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Berger il y am?ne toutes les brebis et les fait entrer l?-dedans, puis il va se coucher en travers de la porte. Et les brebis, ou plut?t le loup ne peut pas entrer, ni les brebis sortir sans enjamber le berger. Je me suis dit : "N'est-ce pas merveilleux !" Vous voyez, Il est la Porte de la bergerie. Vous voyez? Rien ne peut arriver aux brebis sans que le berger l'ait permis. Et si notre Berger est ? la porte, combien nous devrions ?tre en s?curit? et - et heureux ! Satan ne peut pas vous toucher, sans que le Berger l'ait permis. Et tout concourt au bien, peu importe ce que ce doit ?tre. Ici le berger ne repr?sente pas grand-chose; eh bien, c'est un vieux mot. Mais l?-bas, un berger, oh ! la la ! et les brebis... Les gens vivent de leurs brebis. Et c'est le berger qui en prend soin.
Une fois en parcourant le pays, j'ai remarqu? en Extr?me-Orient un - un petit... Comment en Inde les gens avaient le… un berger venait, portant sa brebis, et il... J'ai pens? ? cette parabole o? il est dit : "Mes brebis connaissent Ma voix. Elles ne suivront point un ?tranger."
Eh bien, cette brebis est n?e sous la tutelle de ce berger. Elle apprend ? conna?tre cette voix; elle ne fera jamais attention ? la voix de quelqu'un d'autre. Elle apprend ? conna?tre la voix de ce berger. Un autre berger peut beau appeler, faire tout ce qu'il veut, mais il y a une petite particularit? chez ce berger-l? qui fait que la brebis le reconnaisse. Vous voyez, c'est pareil pour les brebis de Dieu. Si ce sont des voix ?trang?res, elles… ?a ne sonne pas juste; elles n'iront simplement pas; c'est tout. Et m?me si la brebis peut ?tre tent?e, mais d?s qu'elle d?couvre que c'est le faux berger, elle se d?tourne et s'en ?loigne.
Et je vois combien la brebis suit l'exemple du berger. Quand on descend les rues, les rues sont un peu ?troites ; les rues, l? dans les pays orientaux, avaient ?t? construites ? l'?poque o? on utilisait des chars, quand ils avaient des chars et des cavaliers qui circulaient dans les rues. Et elles sont tr?s ?troites. C'est tr?s rare que vous en trouviez une aussi large que [l'espace entre] ces poteaux-l?, tr?s rare. Parfois ces rues ont peut-?tre, oh, douze pieds de largeur.
Par exemple ? Oslo, en Norv?ge, les rues n'ont que huit pieds environ largeur dans la vieille ville; c'est une ville qui est vieille de pr?s de mille cinq cents ans, et alors vous comprenez qu'ils n'avaient pas d'autos comme dans cet ?ge moderne o? les gens s'agitent et se bousculent sur de grandes routes. Vous voyez, l'homme les a appel?es de grandes routes.
Et puis, quand j'?tais l? sur le boulevard p?riph?rique ? Chicago, j'y ai pens? bien des fois, comment on roule c?te ? c?te, ? trois ou quatre sur chaque voie, les grandes routes. Et la sur?l?vation au milieu pour s?parer les voies...?... endroit. Et sur plusieurs kilom?tres, une barre se dresse comme ceci pour s?parer la circulation ? diff?rents moments du soir et de la journ?e : les grandes routes. En ces temps-l?, une seule de ces voies aurait ?t? toute une autoroute.
Mais de voir ce berger traverser la ville, c'?tait un - c'?tait alarmant. Toute une file de brebis le suivaient. Or, les orientaux exposent toutes leurs friandises dehors dans la rue; m?me leurs viandes et tout le reste se trouvent dans la rue avec tous leurs fruits et leurs pro… produits alimentaires expos?s juste dans la rue comme... Voil? votre magasin comme ceci; ils cachent leurs produits l? ? l'int?rieur, mais vous achetez directement ce qui se trouve le long de la route. Et il n'existe pas de trottoir; c'est juste une rue. Donc tout le monde marche juste sur la rue, en plein sur la rue, la rue pav?e.
Et voici un berger descendre la rue, il marche et avance, et derri?re lui une file de brebis longue comme un p?t? de maisons. Et ces brebis passent juste ? c?t? de ces produits alimentaires et tout le reste sans se d?tourner ni ? droite ni ? gauche ; elles ont gard? les yeux sur le berger, passant directement. Je me suis dit : "? Dieu, ce que le berger veut dire, c'est de ne regarder ni ? droite ni ? gauche, ne pas ?tre tent? par ceci ou cela, mais de marcher sur les empreintes des pas du berger. Il leur faut suivre le berger."
Un jour, pendant que nous nous promenions ? bord d'une petite Jeep britannique, j'ai remarqu? qu'un berger avait l? sur la colline un grand nombre de b?tes, et il les faisait pa?tre. Il les conduisait, et les amenait ? de diff?rents endroits. Et il avait l? des brebis ; il avait l? des ch?vres; il avait l? des mulets, il avait des chameaux et tout. Il les faisait tous pa?tre; tous broutaient. Et le berger les surveillait. J'ai dit : "Oh ! la la! Ici un berger, ?a signifie beaucoup de choses. Aussi...?... Un berger, c'est quelqu'un qui fait pa?tre." Mais il a dit : "Vous savez, ce qui est ?trange, Monsieur Branham, a-t-il dit, quand la nuit tombe, vous voyez, a-t-il dit, toutes ces brebis vont directement aupr?s du berger." Il a dit : "Les mulets restent dehors dans le p?turage." Et il a dit : "Les chameaux restent dehors dans le p?turage, et, a-t-il dit, les ch?vres resteront dehors dans le p?turage. Par contre, a-t-il dit, toutes les brebis vont droit aupr?s du berger, quand la nuit tombe." Pourquoi? Il a dit : "Parce que les brebis sont h?berg?es la nuit et gard?es en s?curit?." Je - j'ai dit : "Monsieur, ne dites pas ?a; vous allez me faire crier juste au milieu de la route." Voyez? La nuit approche. Beaucoup se nourrissent juste de la m?me chose, mais Il ne reconna?t que les brebis. Comprenez-vous ce que je veux dire? Seulement les brebis, ceux qui sont n?s de nouveau. "Il y a beaucoup d'appel?s, mais peu d'?lus." Oh ! je L'aime aujourd'hui, pas vous?

William Branham, Sermons "LE SURNATUREL (L'ATMOSPH?RE SPIRITUELLE)"
http://www.branham.fr/read_prop.php?id=459

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