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Je connais une institution qui n’est pas tr?s loin d’ici, qui assistait une veuve. Celle-ci ?tait une missionnaire chez les Juifs. Alors, cette femme avait une fille. Et la fille ?tait couch?e ? l’h?pital, ? l’article de la mort, elle ?tait inconsciente, son ur?mie avait ?t? empoisonn?e apr?s la naissance de son enfant. Elle ?tait mari?e ? un jeune homme catholique. Et ce–ce jeune homme avait cru au Seigneur. Et son enfant, l’un de ses premiers enfants, avait ?t? gu?ri. Et, j’?tais alors en dehors de la ville. A mon retour, ils m’ont demand? de bien vouloir aller prier pour la femme. Eh bien, j’y suis all?. Il y avait l? un pr?tre. La belle-m?re avait obtenu qu’un pr?tre se tienne l?. Et alors, elles discutaient, L’une ?tait protestante, l’autre, catholique, et elles discutaient. Alors, l’une a dit : « Eh bien… » La m?re qui avait fait venir le pr?tre l? a dit : « Eh bien, c’est mon petit-fils, et je n’aimerais pas que la grand-m?re aille en enfer. » Elle a dit : « J’aimerais que le pr?tre entre lui administrer l’onction pour la mort. »

Eh bien, ? ce moment-l?, je me suis avanc? et le m?decin ?tait ? l’int?rieur. Moi, j’allais entrer l’oindre pour la vie, le pr?tre entrait l’oindre pour la mort, et le m?decin se tenait l? pr?t ? nous frapper tous deux, je pense. Quel tableau ! Et j’ai dit : « Maintenant, si lui entre l’oindre pour la mort, ? quoi me sert-il d’entrer l’oindre pour la vie ? Nous embrouillons le tout par ici. »
« Eh bien, a-t-il dit, la grand-m?re… les deux grands-m?res discutent ? ce sujet. »
Et j’ai dit : « Eh bien, que… vous devriez laisser le p?re d?cider. » Et le p?re a dit : « Eh bien… » Il avait ?t? catholique. Il a dit : « Ecoutez. R?v?rend Branham a pri? pour mon enfant. » Et il a dit : « Je crois que s’il entre et prie, elle… J’ai dit : « Laissez-le entrer. »
Alors, eux tous se sont retir?s. Le m?decin m’a c?d? la place. Le jeune homme est entr? avec moi. La femme ?tait inconsciente. Je me suis agenouill? pour prier. Et pendant que je me tenais l? ? prier, tout aussi humblement que vous pourrez prier, ou n’importe qui d’autre, le jeune homme, quelqu’un a frapp? ? la porte, et il s’est dirig? vers la porte pour sortir afin de lui parler ; quelqu’un d’autre ?tait venu. Et c’?tait un autre m?decin, ils voulaient se concerter sur l’une ou l’autre chose. Ils l’avaient abandonn?e ? la mort, ainsi, ils allaient faire quelque chose. Le jeune homme ?tait sorti.

Et j’ai pri? environ dix minutes. Je me suis relev? et j’ai dit : « Seigneur, ne laisse pas une pauvre petite m?re mourir. » Eh bien, je me suis relev? du–du pavement, o? je priais pour elle. Je me suis lev? et je me suis un peu essuy? les yeux (j’avais un peu pleur?.), je me suis retourn? pour regarder ; alors, j’ai vu cette femme chez elle, regardant son b?b?, en faisant : « sh » comme ?a. Et elle arrangeait des choses comme cela, appr?tant le d?ner. Je l’ai regard?e un instant. Oh ! la la ! Quel sentiment !
La vision m’a quitt?. Je suis sorti par la porte, avec un petit sourire, mon par-dessus sur le bras. Le p?re et tous les autres se tenaient l?, plut?t le pr?tre, le docteur, eux tous se tenaient l? dehors. Alors, je suis sorti, le mari m’a demand? : « R?v?rend Branham, a-t-il dit, avez-vous des nouvelles ? »
J’ai dit : « Oui, oui. J’ai une bonne nouvelle pour vous. AINSI DIT LE SEIGNEUR : votre femme va rentrer chez elle, r?tablie. » J’ai dit : « L? donc, son ?tat va s’empirer, ai-je dit, avant l’aube. On va lui mettre le pulmotor, car son pull sera tr?s bas. Mais, ai-je ajout?, apr?s cela, elle s’en remettra. Et, AINSI DIT LE SEIGNEUR, demain soir, vers cette heure, votre femme sera chez elle. »

Alors, les gens se sont mis… il s’est mis ? se r?jouir. Et le pr?tre a secou? la t?te et a regard? le m?decin, le m?decin a regard? et secou? la t?te, et il est descendu, comme affol?. Je les ai donc regard?s jusqu’? ce qu’ils ?taient pass?s. Le p?re du jeune homme s’est avanc? et a dit : « Ecoute, fils, n’en avons-nous pas assez de ce non-sens ? »
Il a dit : « Ecoute, papa, a-t-il dit, j’avais amen? mon fils ?… mon fils a?n? (et vous savez que c’est la v?rit?) ? fr?re Branham, il a pri? pour lui au moins quatre ou cinq fois. Je l’avais amen? ailleurs, et il ne s’?tait jamais r?tabli. » Il avait des pieds bots. Et il a dit : « Un jour, j’?tais l? avec quelqu’un d’autre, et pendant qu’on ?tait assis dans une pi?ce, fr?re Branham m’a dit qu’en 24 heures, les pieds de mon enfant se redresseraient. » Il a dit : « Le lendemain matin, ma femme et moi avons bondi au m?me moment et avons couru vers le berceau et, a-t-il dit, les deux pieds ?taient tout aussi normaux que possible. » Et il a ajout? : « Puisque fr?re Branham dit qu’AINSI DIT LE SEIGNEUR, ma femme va rentrer chez elle en 24 heures, alors au revoir, moi, je rentre chez moi mettre les choses en ordre ? la maison pour l’y ramener. » C’est bien. Il s’en est all?, il a arrang? la maison et, en 24 heures, elle ?tait chez elle. Elle y est depuis lors. Il y a de cela deux ans.

Et cette femme, la grand-m?re de… Eh bien, c’?tait la grand-m?re de l’enfant, la m?re de la jeune fille. Quand elle a racont? cela ? une institution qui lui envoyait chaque mois beaucoup d’argent pour soutenir les Juifs, qu’elle avait accept? la gu?rison divine et qu’elle avait vu cela, ils lui ont coup? l’aide financi?re, disant : « Nous avons… Nous ne manquons pas d’?gards envers fr?re Branham, nous n’avons rien contre l’homme, mais nous ne pouvons pas inclure la gu?rison divine dans notre programme. »
Eh bien alors, vous ?tes en dehors du programme de Dieu si ce… Je pr?f?rerais passer pour fanatique aux yeux du monde et ?tre en ordre avec Dieu plut?t qu’?tre tout ce que je sais. Oui, oui. C’est vrai. Quand Dieu prouve Ses oeuvres et Ses actions en les confirmant par des signes et des prodiges… C’est ce qu’Il a toujours fait, et c’est ce qu’Il fera toujours. Tant que le monde existera, il y aura ici un Dieu surnaturel pour contr?ler des choses. Et Il aura toujours quelqu’un sur qui Il peut mettre les mains.

William Branham, Sermon "Josu?, ce vaillant guerrier"
http://www.branham.fr/read_prop.php?id=549

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