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Une fois, j’?tais en train de tondre ma cour et il y avait... Je contournais vers derri?re. Les gens arrivaient et partaient, je n’arrivais m?me pas ? tondre ma cour. Et les mauvaises herbes poussaient devant, pendant que j’?tais derri?re. Alors, j’avais ?t? ma chemise, c’?tait en ?t?. Et je–j’avais ?t? ma chemise. Et j’?tais en train de tondre avec une tondeuse. J’avais oubli? qu’il y avait un grand nid de frelons. Je ne sais pas si vous savez par ici ce qu’ils sont ou pas, c’?tait accroch? dans un coin. Et ?tant torse nu, j’ai cogn? contre cette cl?ture ; en une seconde, j’?tais couvert partout de gu?pes. Ne ha?ssez jamais. L’amour, l’amour, c’est ce qui conquiert. Et plut?t que de chercher ? ha?r ces frelons, pendant qu’ils bourdonnaient tout autour de moi, deux d’entre eux vous tueraient, l’un d’eux peut vous piquer aux genoux. S?rement. Vous en avez trois ou quatre sur vous, vous mourrez. Et j’?tais l? couvert sans m?me une chemise dessus. Au lieu de–de ha?r ces frelons, je les ai aim?s. Cela para?t enfantin, mais c’est vrai.
Alors, j’ai dit : «Petites cr?atures de Dieu, je regrette de vous avoir d?rang?es, ceci est votre maison. Moi, je suis serviteur de Dieu, et je prie pour Ses enfants malades, et il y en a beaucoup qui attendent. Je n’ai pas le temps de jouer avec vous, retournez vite dans votre nid, tr?s vite, au Nom de J?sus, et laissez-moi tranquille. Je ne vous d?rangerai plus.»
Et Dieu, mon Juge ?ternel, sait qu’ils ont form? un cercle et ils sont retourn?s tout droit dans leur nid : L’amour.
J’en ai connu en Afrique, o? les gens se tenaient l?, les sorciers se tenaient l? et lan?aient un d?fi. Ne faites jamais une d?claration l? si vous ne savez pas de quoi vous parlez. Ils boivent le sang dans un cr?ne humain, ils se font des entailles et tout. Ils se tenaient l? et ils lan?aient un d?fi ; et j’ai prononc? le Nom du Seigneur J?sus et je les ai vus se prosterner par terre. C’est vrai. On les a vus entrer, se tenir l?, chercher ? m’hypnotiser. Il allait l?, et il allait me faire aboyer comme un chien, et pendant qu’il se tenait l?, essayant de faire quelque chose comme cela, j’ai senti cet esprit ?trange, pendant que l’onction ?tait l? ; j’ai regard?. J’ai dit : «Toi enfant du diable, pourquoi fais-tu cela?» J’ai dit : «Maudit sois-tu ; tu ne sortiras pas de ton si?ge, au Nom de J?sus-Christ, pour la gloire de Dieu.» Et il est rest? assis l?, paralys? sur le si?ge, et on l’a fait sortir en le transportant. Voyez?
Vous devez faire attention ? ce que vous faites. Ne faites plus de religion. C’est vrai.
Alors, pendant que nous ?tions assis sous la v?randa en train de parler, il m’est arriv? de voir, ? dix heures de la journ?e, un vieil opossum remonter la route. Je ne sais pas ce que vous... Je pense que vous en avez ici. Vous en avez certainement ici dans cet Etat. Eh bien, tout celui qui conna?t la conservation de la nature le sait ; l’opossum est aveugle la journ?e. Ils r?dent la nuit. Et l?, on ?tait ? dix heures, il remontait en tra?nant sa patte, comme ?a. Et j’ai dit : «Cet opossum-l?», il a d?pass? environ quatre ou cinq maisons, il sortait du bois, par rapport ? chez moi, il remontait droit le sentier. Et j’?tais l’unique ? avoir une cl?ture, mais il est venu ? mon portail, il est entr?, et s’est mis ? monter. J’ai dit : «Cet opossum a la rage.» Voyez? C’est... C’est ?a le probl?me. Il est devenu fou. Et alors, il y avait l? dans la cour un vieux r?teau d?pos? l? ; monsieur Wood ?tait assis l? ; madame Wood ?tait l?, pr?sente ; un laitier se tenait l?, il me parlait, monsieur Gilmore, un ami ? moi, et les deux jeunes gens, eux tous ?taient l?, on parlait. Et je les enseignais.
Une jeune fille de couleur, la veille, avait eu un enfant ; elle l’a pris, l’a envelopp?, l’a ?touff? ? mort et l’a jet? dans la rivi?re, comme ?a. Et nous parlions du coeur de cette jeune fille-l?.
Et alors, je suis all? l?, j’ai pris un r?teau, je l’ai jet? sur l’opossum, et g?n?ralement ils font ce qu’on appelle «faire l’opossum», ils se couchent simplement et grimacent en montrant les dents. Au lieu de cela, il continuait ? se tortiller. J’ai regard? ici. Ceci est un... Je ne veux pas vous soulever le coeur, mais il ?tait couvert de mouches, il ?tait couvert de vers, et sa patte ?tait recroquevill?e, juste enfl?e comme cela. Soit un v?hicule l’avait cogn?, soit les chiens l’avaient broy?.
J’ai dit : «Oh ! Il est bless?.» Il m’est arriv? de voir qu’il cherchait ? se lever. Et alors, j’ai vu qu’il avait neuf petits nus ? peu pr?s comme ?a, des petits opossums. Et j’ai dit : «Elle est plus m?re que ne l’?tait la jeune fille, quand bien m?me elle est une b?te.» J’ai dit : «Elle n’a peut-?tre pas une demi-heure ? vivre, mais elle passera la demi-heure ? combattre pour prot?ger ces petits.» J’ai dit : «L’opossum a plus de moralit? que cette jeune fille-l?.» C’est vrai. Et j’enseignais les jeunes gens ? partir de cela.
Et juste cela, aussit?t que j’avais ramass? le r?teau, il est parti ? toute vitesse, montant directement ma marche, directement ? c?t? de ma marche par o? on monte, et il s’est couch?, fatigu?.
Je suis mont? et je l’ai secou?. Et il ne bougeait pas. Et alors, il... Les petits essayaient de t?ter. Ils ont dit : «Eh bien, il est mort.»
Et j’ai dit : «Je ne sais pas. Je ne pense pas qu’il soit mort.» Je lui ai encore donn? un petit coup, on peut simplement voir on dirait un petit sourire sur ses l?vres, vous voyez, comme cela. Et je lui ai encore donn? un petit coup.
Madame Wood ?tait assise l?, elle est une esp?ce de v?t?rinaire, madame Wood. Elle a dit : «Fr?re Branham, l’unique chose humaine ? faire avec ceci maintenant, a-t-elle dit, ces petits mourront.» Elle a dit : «Il n’y a qu’une seule chose ? faire, c’est le prendre et finir par tuer l’opossum, et puis tuer les petits.» Elle a dit : «Comme ils sont trop petits pour grandir... De toutes petites b?tes ? peu pr?s de cette taille, a-t-elle dit, vous...» Elle a dit : «Ils vont–ils vont mourir.» Et elle a dit : «Alors, les petits vont simplement crever mortellement de faim.»
Et j’ai dit : «Madame Wood, c’est vrai, mais je ne peux pas tuer l’opossum.»
«Eh bien, a-t-elle dit, Fr?re Branham, vous ?tes un chasseur.» Elle a dit : «Allez prendre l’un de vos fusils et abattez-les.»
Et j’ai dit : «Je suis un chasseur, mais je ne suis pas un meurtrier.» J’ai dit : «Je–je ne peux pas tuer ces petits opossums.» Voir cette pauvre m?re se d?battre jusqu’? arriver ici, et elle ?tait couch?e. J’ai dit : «Je n’ai pas de coeur ? tuer cette m?re ainsi que ses petits pendant qu’ils sont couch?s l? comme ?a.»
Elle a dit : «C’est bien. Mais, a-t-dit, la chose humaine ? faire, Fr?re Branham, pensez ? ces petits ; ce pauvre lait qui sort de cette maman morte l?, eh bien, ils–ils... cela va simplement les tuer de toute fa?on.» Elle a dit : «Laissez monsieur Wood les prendre et les tuer.»
J’ai dit : «Je ne peux simplement pas faire cela, soeur Wood.» Et je ne leur ai pas permis de le faire.
Elle ?tait couch?e sous ce soleil chaud tout cet apr?s-midi-l?. Elle est rest?e couch?e l?. Ce soir-l?, nous sommes sortis, et nous nous sommes promen?s sur la route. Monsieur Wood a dit : «Eh bien maintenant, vous avez assez travaill? aujourd’hui, Fr?re Branham. Nous ferions mieux de vous amener dehors pour reposer un peu votre esprit.» Et nous avons roul? sur la route. Et j’ai vu un dr?le de petit chien, couch? l?. C’est ma femme qui l’a vu la premi?re. [Espace vide sur la bande–N.D.E.]
Il y avait de la ros?e par terre, et il ?tait ?tendu l?. J’ai dit : «Eh bien, je pense qu’il est mort.» Je lui ai donn? des coups ? quelques reprises, je lui ai secou? la patte comme cela. Et cette patte ?tait renvoy?e en arri?re comme cela, et des mouches vertes le couvraient partout et tout. J’ai dit : «Oh ! la la !»
Ma fillette Rebecca, celle qui vient de commencer ? avoir des visions (Elle a ? peu pr?s cette taille-l?), est sortie, elle a dit : «Papa, que vas-tu faire avec cet opossum?»
Et j’ai dit : «Ch?rie, je ne sais pas.»
Elle a dit : «Oh ! Cette pauvre vieille m?re, elle cherche ? vivre pour ses petits. Eh bien...»
J’ai dit : «Oui, ch?rie, c’est–c’est pitoyable.»
Elle a dit : «Est-elle morte?»
J’ai dit : «Non, elle n’est pas morte. Je–je crois toujours qu’elle a la vie dans ton... En effet, si tu regardes tr?s attentivement, tu peux voir son flanc palpiter de temps en temps quand elle respire, on dirait comme cela, sans bouger si ce n’est que le flanc.» Ainsi donc, j’ai dit : «Je crois qu’elle est toujours vivante.» J’ai dit : «Ch?rie, tu ferais mieux de rentrer au lit, c’est trop t?t pour toi d’?tre lev?e.»
Alors, je suis rentr? et je me suis assis au bureau. J’?tais assis l?, comme ceci, me frottant la t?te. Et j’ai dit : «Eh bien, je ne sais que faire.»
Et une Voix m’a parl?. Je ne sais pas ; c’est ? vous de croire cela, si vous le voulez. C’est ? vous. Mais une Voix, une Voix audible a parl?, disant : «Elle est couch?e ? ta porte pendant vingt-quatre heures comme une dame, attendant son tour pour qu’on prie pour elle.»
J’ai dit : «Je ne savais pas ?a.»
Et Il a dit : «Eh bien, elle est mont?e l?, elle s’est couch?e l?, et tu n’as pas encore pri? pour elle. Et elle a attendu et attendu.»
J’ai dit : «Eh bien, je ne savais pas.» Je me suis dit : «O? suis-je... Est-ce que je me parle ? moi-m?me?» Je me suis dit : «O? est cette Voix-l?.»
Je suis all? dehors, l? o? ?tait l’opossum. J’ai dit : «Bien-Aim? J?sus, si Toi avec Ta puissance omnipotente, je sais que Tu T’int?resses m?me ? un passereau, de sorte qu’il ne peut pas tomber dans la rue sans que Tu le saches. Et cet opossum n’a m?me pas d’?me ; c’est un animal. Et si Tu as conduit cette vieille m?re opossum ici...»
Et Il avait dit l? ? l’int?rieur, aussi : «Tu t’es servi d’elle hier comme un sermon et tu as dit quelle vraie m?re elle ?tait. Et la voici, elle veut vivre pour ses petits. Et tu n’as pas pri? pour elle.»
Et j’ai dit : «? Dieu, si–si c’est Toi qui parles, je regrette, c’est l’ignorance de Ton serviteur. Je ne savais pas que le–l’opossum ?tait couch? l? pour cela.» J’ai dit : «Seigneur, si c’est... pour que Tu... pour que je fasse ceci, je prie donc au Nom de J?sus, P?re, que Tu restitues la vie ? l’opossum.» Et aussit?t que j’avais dit cela, et voici, c’est la v?rit?. Cet opossum s’est relev? et m’a regard?, il a rassembl? ses petits, il est retourn?e dans son petit... L’opossum et le kangourou sont les seuls deux animaux ? avoir une–une poche o? ils portent leurs petits. Il a rassembl? ses opossums, il est all? tout aussi bien que n’importe–n’importe quel opossum pouvait marcher, il s’est retourn? vers moi, comme pour dire : «Merci, monsieur.» Il est directement descendu la rue, il est all? dans les bois, heureux de vivre avec ses petits.

William Branham, Sermon "Le Voile Int?rieur"
http://www.branham.fr/read_prop.php?id=1300

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