Toutes choses

Date: 62-1124E | La durée est de: 1 hour and 35 minutes | La traduction: Shp
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1 Vous pouvez vous asseoir. En écoutant simplement ce vieux cantique Crois seulement, je suis plutôt ému. Et puis, venir et être accueilli chaleureusement comme cela, vous avez envie de prendre votre position. Eh bien, je – je suis heureux d’être le pasteur associé du Life Tabernacle. J’aime ce mot « Life » [En français « vie » – N.D.T.]. J’ai parlé de cela ce matin : L’Assurance Vie. Et j’espère que tout le monde a une police d’assurance ; en effet, nous en avons certainement besoin, nous devons l’avoir pour être assurés.

2 Eh bien, je pense qu’ils ont annoncé qu’il y aura un service de baptême juste dans un petit moment, et ainsi, nous attendons impatiemment ce moment du service de baptême. Et nous allons essayer de libérer les gens aussi vite que possible. J’étais un peu fatigué, et je suis venu tôt. Billy m’a appelé et a dit : « On voudrait que tu viennes tôt ce soir. » Il a dit : « Les gens vont… voudraient que tu les laisses sortir tôt. »
J’ai dit : « C’est quoi tôt ? » Et depuis que je suis sorti du temps pour entrer dans l’éternité, eh bien, je – je n’ai plus la notion de temps. Je ne sais simplement pas ce qu’est le temps. Nous ne comptons plus le temps, Jim. Nous le laissons simplement s’écouler.

3 Jim, tu as les bandes là derrière, je suppose ? Je pense qu’on a annoncé cela depuis cette estrade. Et je ne sais pas comment les gens les supportent, mais elles vont à travers le monde. Et elles sont là derrière, des centaines de messages différents, venant de différents coins, des lignes de prière.
Et ainsi, ce jeune homme-ci… son beau-père ainsi que les autres… il y a un… Ils ont un… Ils ont des appareils qui sont constamment en marche, presque jour et nuit, pour les faire. Et nous… Ils les vendent en observant une marge telle qu’ils peuvent à peine s’en tirer avec leur vente. Et ainsi, si vous les voulez, elles sont là, en plus des livres et tout le reste, ainsi que la littérature de ce tabernacle-ci. Et ainsi, nous sommes…
Je rencontre tout le temps des gens… disent : « Je… Vous savez, je jouais telle bande. J’ai été sauvé. » Je… Certaines choses qui sont une bénédiction pour les gens, et la raison pour laquelle nous les envoyons, c’est parce qu’elles sont une bénédiction pour quelqu’un et aident quelqu’un.

4 Eh bien, je voudrais lire ce soir une Ecriture qui se trouve dans Romains 8.32, et nous allons nous mettre directement à parler pour quelques minutes : 8… Romains 8.32 dit ceci : Lui, qui n’a point épargné son propre Fils, mais qui l’a livré pour nous tous, comment ne nous donnera-t-il pas aussi toutes choses avec lui ? Ce matin, je parlais de l’assurance, et maintenant, ce soir nous sommes… des investissements plutôt ; et ce soir, c’est : Il nous donne toutes choses. Maintenant, prions.

5 Notre Seigneur, nous nous sommes rassemblés ici sans aucun autre motif sinon parler de Toi, Te chanter, rendre témoignage de Toi, apporter la gloire et l’honneur à Ton Nom. Et nous Te prions de bénir notre rassemblement, pour que Ta glorieuse puissance vienne et nous accorde ce soir tout ce que Dieu exige de nous.
Et notre requête est placée devant Toi pour une marche plus intime : davantage de salut, de plus grandes expériences, la guérison du corps, et tant de choses, Seigneur. Tu les connais toutes. Et si… nous vient à l’esprit, qu’en serait-il si nous n’avions pas un Père céleste auprès de qui nous pourrions venir ? Qu’en serait-il si nous n’avions nulle part où nous décharger, si nous n’avions personne pour porter nos péchés ? Oh ! quels gens misérables nous serions !
Mais nous sommes si heureux, Seigneur, d’avoir Quelqu’un qui est bon, plein d’amour, qui nous envoie Ses bénédictions. Nous sommes reconnaissants pour celles-ci, Seigneur. Même si nous ne pouvons pas exprimer cela correctement, mais Toi, Tu connais nos coeurs, Seigneur. Et je prie que nous trouvions grâce devant Toi ce soir, dans nos cantiques, dans notre adoration, dans notre attitude en prêchant, afin que Tu puisses nous accorder ce soir toutes nos requêtes, car nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.

6 Bien, demain matin, c’est l’école du dimanche ; et demain soir, la clôture du (Je pense du réveil ?) jubilé. Non pas… J’espère que ce n’est pas la clôture du réveil, mais simplement la clôture de ce grand rassemblement. Et après, j’espère que le réveil va continuer son cours sans arrêt.
Bien, si vous voulez m’accorder toute votre attention juste pour quelques instants, et je vais essayer de parler sur ce sujet : Toutes choses. Et je veux enseigner cela plus au moins comme une leçon d’école du dimanche, parce que je suis… Vous savez donc que je ne suis pas un prédicateur. Ainsi, il me faut faire de mon mieux pour essayer [de prêcher] la Parole. Mais je le fais et n’essaie pas tout à fait, jusqu’à ce que je croie, et croie fermement, que je sois sûr de la chose dont je parle, parce que j’ai expérimenté ce dont je parle. Jésus a dit : « Nous sommes certains de ce que nous croyons. » Nous avons l’expérience.

7 Je me disais ce matin que le jeune prêtre grec qui était avec nous au petit-déjeuner de communion, quel merveilleux petit personnage, et il cherche en quelque sorte à avoir une expérience profonde.
Et j’ai un autre jeune prêtre grec qui a été conduit à Christ à partir des bandes. Son père est un enseignant orthodoxe grec, un homme tenu en haute estime en Grèce. Il est venu ici pour achever son instruction, il est tombé sur une des bandes. Et au départ, il l’a critiquée. Et puis, il est venu et il s’est fait baptiser, et il a reçu le Saint-Esprit. Et il a dit : « Frère Branham, je sais que vous ne connaissez pas le grec, car, si je comprends bien, vous ne connaissez pas très bien l’anglais. Mais, a-t-il dit, si quelqu’un qui connaît vraiment le grec (et c’est un érudit grec), a-t-il dit, la concordance de votre discours avec le grec est vraiment parfaite, en mettant les Ecritures ensemble. » C’est pourquoi il s’est fait rebaptiser. Voyez-vous ? Et il a dit : «Je… C’est – c’est – c’est phénoménal. Et sachant que vous ne connaissez pas cela, mais la façon dont vous rassemblez vos Ecritures, votre enchaînement des Ecritures concorde avec le grec. »
Je pense donc que je vais lui demander de venir voir ce jeune frère un instant. Il lui sera d’un très grand secours. Et maintenant, priez pour nous.

8 Toutes choses, nous ne pouvons pas parler de toutes choses, mais nous possédons toutes choses en Christ. Et s’Il n’a pas épargné Son propre Fils pour nous apporter ceci, à combien plus forte raison nous apportera-t-Il ceci, s’Il – si nous sommes disposés à recevoir cela. Eh bien, je ne peux pas parler de toutes choses, mais je – j’aimerais parler d’une certaine chose parmi toutes ces choses. Et je pense que c’est une chose importante. C’est pardonné. J’aime ce mot pardonné. Effectivement, ce mot signifie : libéré de culpabilité.
Et quelle expérience pour quiconque a expérimenté cela : être libéré de culpabilité.
Ce n’est pas chercher à se détourner par une sorte de psychologie, se détourner ; mais être pardonné. Cela signifie que c’est mis de côté. Il n’en est plus question. C’est oublié. Quand on se détourne de quelque chose, on pourrait y revenir. C’est comme les péchés qui, autrefois, étaient couverts. Mais aujourd’hui, ils ne sont pas couverts ; on a divorcé avec cela. Ils sont complètement morts, jetés dans la mer de l’oubli, pour qu’on ne s’en souvienne plus jamais. J’aime cela.

9 Je sais que les plaisanteries ne sont pas indiquées à la chaire et surtout dans une assemblée pentecôtiste. Mais pour faire remarquer une chose, on m’a raconté une fois qu’une demoiselle dont le père pleurait et criait constamment quand il lisait dans la Bible que ses péchés étaient pardonnés… Alors la jeune fille s’est mariée et elle est allée s’installer en ville ; et elle était membre d’une – une église du genre formaliste, ayant beaucoup d’associations. Et – et l’association des dames allait être reçue chez elle. Et elle se demandait comment elle allait garder son père tranquille pendant ce temps, parce qu’il était très émotif.
Alors elle a dit : « Eh bien, si je lui donne la Bible, il va crier et hurler tout le temps. Il n’y a donc qu’une seule chose à faire. Je vais lui donner un livre de géographie et je vais l’installer au grenier, et le laisser regarder les images. »

10 Et au moment où elle s’apprêtait à servir le thé, ou je ne sais quoi qu’elles servent, vous savez, il y a eu au-dessus un vacarme horrifiant : le type criait, sautait, se roulait, sautillait, et criait : « Alléluia ! Alléluia ! »
Toutes les femmes ont eu peur ; et elle a couru à l’étage, et elle a arraché le livre de géographie de sa main, et a dit : « Papa, ça ce n’est pas la Bible. C’est de la géographie. »
Il a dit : « Je le sais. Mais, a-t-il dit, l’autre jour, je lisais dans la Bible là où il est dit que mes péchés, ayant été pardonnés, ont été jetés dans la mer de l’oubli (Voyez-vous ?), engloutis dans la mer. Et je vois ici dans le livre de géographie que la mer est si profonde que parfois on ne peut même pas en trouver le fond. » Il a dit : « Ils continuent sans cesse à descendre. »

11 Je pense donc que c’est ce que le pardon signifie : c’est complètement effacé, ce n’est pas mis de côté pour essayer quelque chose ; mais c’est effacé. C’est fini, ce n’est pas mis de côté, mais cela a été… Nous avons… Au moyen du pardon, nous sommes libérés, pas par la psychologie. Nous ne sommes pas libérés par un credo. Nous ne sommes pas libérés par l’émotion. Mais nous sommes libérés par la puissance du Calvaire. Nous sommes pardonnés, libres. Oh ! quelle belle chose que d’être libre, un fardeau ôté de vos épaules, de votre coeur, une personne libre !

12 J’ai fait une petite expérience l’autre jour. Je pense que je ne devrais pas dire cela ici, mais j’aimerais le dire. J’ai un grand fardeau depuis cinq ans maintenant, comme vous qui êtes ici le savez, à cause du gouvernement fédéral. Et ils essayaient de trouver un moyen pour m’arrêter. Dans les réunions pendant ces seize années dans les champs missionnaires, ils ont remonté et ont pris des chèques que les gens m’ont faits personnellement lors des réunions et sur lesquels ils avaient écrit mon nom. Et moi, je les endossais, je les remettais au Tabernacle pour les dépenses.
Et le percepteur des impôts du gouvernement fédéral a dit que ces chèques m’appartenaient en propre, peu importe ce que j’en ai fait, si… Par exemple, un frère a signé à la fenêtre un chèque de plusieurs milliers de dollars pour un voyage outre-mer. Il l’a donc signé, c’était payé depuis sa fondation à l’ordre de William Branham ; j’ai signé cela, et j’ai mis cela dans la Fondation du Tabernacle. Nous avons gardé tous les chèques, tout, nous avons ramené cela.
Il a dit : « Mais quand vous avez signé cela, cela vous appartenait. Puis vous avez donné cela au tabernacle. » Il n’y a pas moyen d’échapper. C’est tout.
Ainsi, oh ! la la ! Sur le gril de tout côté. Et ils ont dit qu’ils allaient me faire… que je leur devais pour défaut de paiement, et pour toutes mes réunions, trois cents et quelques mille dollars.
J’ai dit : « Je peux payer cela à raison d’un dollar par an. J’espère vivre assez longtemps pour y arriver. » Et… Mais j’ai rejeté cela. J’ai dit : « Je paie mes taxes. Je… » Mais voilà la chose. Ils ont dit : « Vous devez ça aussi. »

13 Eh bien, ils ont fait des années à faire des investigations de fond en comble sur ma personne. Et je dis ceci avec ma Bible ouverte (des gens sont assis ici qui étaient là et qui le savent) que pas un seul centime n’a été trouvé que j’aurais dépensé pour moi-même, mais uniquement pour le Royaume de Dieu. C’est juste.
Alors l’avocat m’a appelé l’autre jour, et il a dit : « Frère Branham, le gouvernement est prêt à faire un compromis », après cinq ans. Ice et Miller d’Indianapolis m’avait été proposé par frère Arganbrigth. Je ne pouvais pas quitter le pays. J’étais sous surveillance du gouvernement, une affaire fédérale. Et je me suis dit : « Oh ! la la, qu’ai-je donc fait ? »
Et il a dit : « Eh bien, voici ce que vous avez fait. Vous devriez être avisé. »
Ce n’était pas de la fraude, parce que je plaçais cela dans l’église aussitôt que les gens me faisaient un chèque. Les gens ne savaient pas mettre cela dans une fondation. Ils écrivaient : « William Branham. »

14 Eh bien, quand cela passe par la chambre de compensation, une photocopie en est faite. Ils avaient donc chacun d’eux. Mais ils ont vu où je les ai placés de nouveau, ici au Branham Tabernacle, pour supporter les dépenses et ainsi de suite, ainsi que les réunions outre-mer. Eh bien, des allées et venues… Et puis il a dit : « Vous – vous pouvez… Ils veulent un compromis avec vous. »
Et j’ai dit : « Eh bien, je – je ne dois pas cela. »
Il a dit : « Eh bien, maintenant voici ce qu’il en est, Frère Branham. » Il a dit : « Je crois que vous avez quatre-vingt-dix neuf pour cent de chances s’ils vous font passer en jugement. » Il a dit : « Ils ne peuvent pas vous accuser, mais ils essaient de vous faire passer en jugement, disant que vous devez cela. Et s’ils le font, ils auront à peu près un pour cent de chance pour ce qu’ils affirment, que votre nom était dessus, que vous avez endossé cela, et que, par conséquent, c’était votre propriété, et ensuite, vous avez donné cela au Tabernacle… » Il a dit : « Ils pourraient vous intenter un procès. »

15 Et tout cela a été déposé, placé dans le compte de l’église et ainsi de suite, que nous faisons fonctionner comme une fondation sans but lucratif. Des allées et venues. Frère Gordon Lindsay, qui est ici ce matin, est venu et a combattu pour moi, et – et tout le monde a essayé cela. Mais il n’y avait pas moyen d’y arriver. Ils s’en sont tenus juste à cela.
Et il a dit : « Voici une chose, Frère Branham. » Alors, quand il m’a dit ce qu’il fallait pour un compromis, cela m’a effrayé à mort.
Et j’ai dit : « Je ne pourrais pas faire cela. Il m’est impossible de faire cela. »
Et il a dit : « Eh bien, maintenant voilà une chose. » Il a dit : « Nous pouvons accepter l’affaire, et nous sommes vos avocats. Mais si nous y allons pour défendre l’affaire, nous avons la possibilité de leur dire que c’était des dons non sollicités et non taxables. Alors vous avez un droit de succession. Et là, l’affaire pourrait traîner encore pour quatre ou cinq ans. »
Et j’ai dit : « Oh ! la la ! » J’ai dit : « Je ne veux pas de cela. Je suis sur le point de… » J’ai dit : « Je n’avais pas du tout un cheveu gris quand cette affaire a commencé. » Et j’ai dit : « Rien que de penser qu’on cherche à m’accuser comme un escroc ou un voleur… » Et j’ai dit : « Comment se peut-il qu’ils puissent prendre un ministre qui essaie de prêcher l’Evangile et qui a prouvé utiliser l’argent pour le Royaume de Dieu, afin de convertir des criminels et autres, et de faire de ceci un meilleur endroit où vivre, et ils veulent vous amener à faire cela, alors que les compagnies de cigarettes, et de whisky, avec la télévision vulgaire et tout le reste, vous donnent le cancer avec la cigarette et tout le reste comme cela, et elles ne payent pas cette publicité, pour leurs impôts au gouvernement ? Ce n’est pas correct. » J’ai dit : « Ce n’est pas correct. Vous ne me traitez pas correctement. »
Il a dit : « C’est au gouvernement de décider. »
Et j’ai dit : « C’est Dieu qui prendra la dernière décision. C’est vrai. » Alors je m’en suis tenu là.
Ensuite le – l’avocat a dit : « Voici ce qu’il en est, Monsieur Branham. » Et j’étais si reconnaissant pour cela. Il a dit : « Il y a un… Nous n’arrivons pas à trouver une seule chose qui touche à votre réputation. Mais si jamais ils vous intentent un procès, et pour un ministre de votre renom, ils vont salir votre réputation à travers le pays, du fait d’avoir un procès. »
« Et qu’arrivera-t-il alors ? »
Il a dit : « On aura beau prouver votre innocence, mais pour beaucoup de gens, vous serez malgré tout coupable. »

16 C’est comme ce précieux frère baptiste par ici, il n’y a pas longtemps, qu’une femme a accusé d’être entré chez elle et de l’avoir insultée. Vous en avez entendu parler. C’était ici quelque part dans le Sud, il y a environ trois ans, ou peut-être moins. Et ce ministre a prouvé, avec sa congrégation, qu’il se trouvait à cent cinquante miles [environ 240 km – N.D.T.] plusieurs jours avant, et le jour même et plusieurs jours après. Même les tribunaux voulaient faire volte-face et demander au ministre s’il voulait… elle voulait… il voulait poursuivre en justice la femme pour avoir diffamé la réputation d’un ministre.
Il a dit : « Laissez-la aller. »
Et avez-vous vu ce sondage populaire à travers le pays ? Très vite, les gens ont critiqué son nom partout, et ils disaient, soixante-dix pour cent d’Américains disaient : « Oh ! il n’y a pas de fumée sans feu. » Eh bien, ce précieux frère devra endurer cela tous les jours de sa vie, alors qu’il est aussi innocent que quiconque ici. Eh bien, vous y êtes.

17 Et alors, il m’a parlé et a dit : « Il faudra beaucoup d’argent pour y arriver. » Et je n’avais que soixante-quinze dollars environ, et il en voulait quarante mille (Voyez-vous ?), pour payer les honoraires de l’avocat et le gouvernement. J’ai dit : « Qu’ai-je fait ? » Je suis rentré chez moi.
J’ai dit à Meda, ma femme : « Lave les visages des enfants, apprête leurs habits. Je serai un vagabond le reste de ma vie. » J’ai dit : « Je ne le ferai pas. Voilà tout. Si je devais cela, je me battrais pour payer cela. Mais je ne dois pas cela, et ils ne peuvent pas dire que je dois cela. Ils n’arrivent pas à prouver cela. Ils ont eu cinq ans pour le faire, et ils n’arrivent toujours pas à le faire. »
C’est une femme très calme. Elle a attendu un peu, et elle est venue mettre sa main sur mon épaule. Elle a dit : « Eh bien, juste un instant. » Elle a dit : « Mais, rappelle-toi, Bill. S’ils… Si tu fuis, c’est lâche. » Et elle a dit : « Ils garderont toujours cela à ta charge. » Et elle a dit : « Il n’y a qu’une seule chose ; c’est faire face à cela. »
Et je suis allé dans mon bureau et j’ai dit : « Seigneur, que dois-je faire ? Donne-moi une Ecriture. »

18 Voici ce qui m’est venu. Un jour les gens Lui ont demandé : « Est-ce juste pour nous Juifs qui sommes libres de payer le tribut à César ? »
Il a pris un denier et a dit : « De qui est l’inscription qu’il y a dessus ? »
On a dit : « De César. »
Il a dit : « Rendez alors à César ce qui est à César, et à Dieu ce qui est à Dieu. »
Puis j’ai vu là où, un jour, Il a dit à Pierre : « Ne les scandalisons pas. Tu sais, tu as un hameçon dans ta poche, que tu as sur toi à tout moment, juste en souvenir du pêcheur que tu étais autrefois. J’ai une banque là dans un poisson. (Vous savez, de toute façon Il est le maître de tout.) » Il a donc dit : « On vient de faire un dépôt il y a un moment. Va là-bas et jette l’hameçon, et le premier poisson que tu vas tirer, ouvre-lui la bouche, et la banque paiera. Et amène cela là-bas et donne-le-leur pour Moi et pour toi, afin que nous ne les scandalisions pas. »
J’ai dit : « Ô Dieu, Tu as encore des poissons. »
Je ne sais pas comment je vais y arriver, mais un frère est assis juste ici, un engagement a été pris en ma faveur. Je suis allé emprunter quarante mille dollars, avec un accord que je rembourserai cela en dix ans, à raison de quatre mille par an. Je ne sais pas comment j’y arriverai, mais Il a encore des poissons. Et je – je… Il a… Tout cela Lui appartient.

19 Je suis rentré chez moi, et j’ai écrit… Après avoir établi le chèque… et j’ai mentionné dessus : « Payé intégralement pour tous les arriérés des impôts. » Et je me suis dit : « Le gouvernement acceptera-t-il cela comme tel ? » Et juste avant de venir ici, je me suis dit que je ferais mieux d’appeler la banque.
J’ai appelé la banque, et le caissier est allé vérifier. Il a dit : « Oui, ils l’ont accepté, Billy. Vous êtes libre. Vous êtes pardonné. » Oh ! la la ! Quelque chose m’a parcouru. J’ai couru dans la pièce et j’ai étreint ma femme au cou. J’ai dit : « Chérie, je suis pardonné. Je suis libre. Le vieux compte a été réglé. Je peux maintenant aller où je veux, où le Seigneur me conduira. Je suis libre. Oh ! quelle chose que d’être pardonné, quelque chose auquel je ne pouvais rien. »

20 Et mes péchés aussi étaient quelque chose auquel je ne pouvais rien. Je suis né avec la nature d’Adam en moi, mais Quelqu’un m’a pardonné. On a effacé l’ancien compte un jour, et depuis ce jour-là j’étais libre. Je suis si heureux.
Quand l’homme a péché, il a traversé le grand gouffre, ou plutôt [il s’est créé] un gouffre entre lui et Dieu. Il s’est séparé de Dieu, et il n’y avait plus moyen pour lui de revenir. Il était totalement de l’autre côté du gouffre par rapport à Dieu, sans possibilité du tout de revenir. Dieu, qui est riche en miséricorde et merveilleux en grâce, a accepté un substitut pour lui, lui a permis d’avoir un substitut, le sacrifice d’un animal à sa place.
Le sang était la seule chose qui pouvait payer le prix. Rien d’autre ne pouvait payer le prix. Rien d’autre ne pouvait le faire à l’époque, et rien d’autre ne l’a fait depuis lors, rien d’autre ne le fera après : le sang et le sang seulement.

21 La première décision de Dieu était de pardonner l’homme par l’effusion du sang, et Dieu ne peut pas prendre une deuxième décision contraire à Sa première décision. S’Il le fait, alors Il s’était trompé dans Sa première décision ; et Il ne peut pas se tromper et être Dieu. Par conséquent, Il n’a qu’une seule voie, et c’est la voie du sang. Ses décisions sont parfaites et éternelles, parce qu’Il est Dieu. Et Sa Parole est éternelle, et Ses décisions sont Sa Parole, et Celle-ci est parfaite. Vous ne pouvez rien Y ajouter ni rien En retrancher.
Depuis ce temps-là, cela a été le seul lieu de communion où Dieu rencontre l’homme. Avant cela, Il le rencontrait dans le jardin d’Eden. On n’avait pas besoin de sang. Mais depuis ce temps-là, Sa décision était de rencontrer de nouveau l’homme, racheté par le Sang. C’est le seul lieu d’adoration que Dieu a pu observer. C’est le seul lieu où Dieu peut rencontrer un pécheur, et nous sommes tous des pécheurs par nature. Il faut le sacrifice du Sang pour nous ramener à la communion avec Christ, pas une autre voie, c’est absolument et totalement cela.

22 Depuis Adam jusqu’à aujourd’hui, l’homme a essayé de faire son propre substitut. L’homme a constamment essayé de le faire, en partant des feuilles de figuier jusqu’à l’instruction. Il a essayé de se faire un substitut. Adam a exprimé ce qui était dans l’homme, quand il a essayé de se faire un chemin du retour avec les feuilles de figuier. Depuis lors, ils ont construit des tours, ils ont bâti des villes, ils ont érigé des idoles, ils ont érigé la civilisation, ils ont formé des dénominations, ils ont élaboré des régimes scientifiques, et toutes ces choses. Mais cela reste toujours la même chose. Dieu n’acceptera que le Sang.
Dieu n’agrée un homme qu’à travers le Sang versé. Le seul lieu de communion, la seule voie pour passer de l’autre côté du gouffre, ce n’est pas à travers une organisation religieuse, ni à travers des idoles, ni à travers des tours, ni à travers des lieux saints, ni à travers des villes, ni à travers quoi que ce soit d’autre, mais c’est à travers le Sang versé. C’est la seule voie pour revenir.
La prédication de la croix, bien que cela… aussi méprisée qu’elle soit, c’est la voie à laquelle Dieu a pourvu pour que les pécheurs entrent dans la communion avec Dieu ou l’un avec l’autre. C’est juste.

23 Tout au long des âges, le juste a vécu par cette décision de Dieu. Le juste ne discute jamais de quoi que ce soit. Le juste est prêt à accepter la décision de Dieu. Il ne veut rien faire pour lui-même. Il n’y a que Dieu qui l’intéresse, et il veut se conformer à la décision de Dieu. Et le juste vit par cela, toujours, car c’est la voie par laquelle le juste devrait vivre. Essayer de faire quelque chose à cela, y injecter quoi que ce soit, ne serait pas juste ; en effet, ce serait contraire au plan que Dieu a établi pour nous par lequel communier, c’est à travers le Sang versé.

24 Job, le patriarche... Comment Job... Je crois que le livre de Job a été écrit avant que Moïse ait écrit la Genèse, d’après ma compréhension ; c’est le plus vieux livre de la Bible. Job, quand il a accepté le sang... Et quand bien même ses voisins et les membres de son église ont essayé de le condamner, disant qu’il avait péché en secret, cependant Job savait qu’il était ferme, parce qu’il avait fait ce que Jéhovah exigeait. Il savait qu’il avait offert son sacrifice d’un coeur sincère.
Abraham aussi a adoré sous le sang. Le seul lieu où Israël rencontrait Dieu, c’était sous le sang versé. Cela ne pouvait se faire nulle part ailleurs. Les prières étaient offertes, les actions de grâces faites, ou quoi que ce soit, sous le sang versé d’un animal. Le seul lieu où la rédemption pouvait venir, ou plutôt où on pouvait être amené dans la communion avec Dieu, c’était sous le sang versé.

25 Je me souviens d’une soirée où j’ai prêché cela chez Oral Roberts. Et un rabbin, un rabbin juif... J’ai prêché sur Les Sept Rayures de la Génisse Rousse, et cela l’a étonné. Et il est venu en parler. Remarquez. Quand le pécheur venait au tabernacle, ces sept rayures de sang signifiaient qu’il devait être sûr que quelque chose était mort et l’avait précédé pour lui préparer la voie.
Et un homme qui a l’intention de communier avec Dieu doit reconnaître le Sang de Jésus-Christ, sachant qu’Il est mort pour faire l’expiation de ses péchés, pour tracer une voie afin qu’il entre encore en communion avec Dieu. Il doit le reconnaître, forcément.
Dieu a rencontré l’homme sous le Sang versé et nulle part ailleurs. Peu importe combien nous essayons d’y parvenir : « Eh bien, je suis membre de ceci et membre de cela », c’est… cela ne marchera pas. C’est seulement sous le Sang versé que Dieu rencontre l’adorateur.

26 Dieu – Dieu, étant plein de miséricorde et de grâce, quand l’homme a péché, comme je l’ai dit, a pris un substitut, un animal. Imaginons cela une minute. Imaginons un Juif très sincère, autrefois dans l’Ancien Testament. Il reconnaît qu’il n’est pas dans la communion aussi longtemps qu’il n’y a pas de sang pour lui. Eh bien, il prend de son troupeau un très bel animal, de premier choix. Ça doit être un très bel animal. Ça ne peut pas être un animal atteint d’une infection ; en effet, le sacrificateur doit d’abord l’examiner. Et il doit être... Pour le sacrifice d’expiation, un agneau sans défaut doit être gardé et examiné, comme sacrifice d’expiation, de même que Jésus fut éprouvé en toutes choses.
Mais ce sacrificateur... Descendant la route, un Juif apporte son sacrifice d’expiation, apporte son sacrifice pour son péché, et il le présente avec sincérité à son sacrificateur. Il reconnaît qu’il a péché. Il sait qu’il a tort. Et il prend cet animal et le présente au sacrificateur. Et alors, il pose ses mains sur le sacrifice. Que fait-il? Il s’unit à son sacrifice. Comprenez-vous ce que je veux dire? Alors le sang est répandu, et l’homme, le Juif, peut s’en aller avec le sentiment d’être justifié, parce qu’il a satisfait aux exigences de Jéhovah.
Et aujourd’hui, le seul moyen par lequel le chrétien peut être pardonné correctement de ses péchés, c’est en allant au Calvaire avec son Sacrifice, en s’unissant à Lui et en acceptant donc l’aspersion du Sang. Aucun credo dans le monde ne peut faire cela. Aucun système éducatif ne peut le faire. Aucun moyen scientifique ne peut le faire. Cela ne vient qu’en acceptant le Sang versé, son Substitut.

27 Eh bien, il s’en va. Cela fait, il a accompli l’ordre de Jéhovah, il s’en va alors avec le sentiment d’être justifié, parce qu’il a satisfait à l’exigence de Jéhovah. Il a fait ce que Jéhovah a ordonné. Alors il sent qu’il est... Par la foi, il a pris Dieu au Mot. Et maintenant, écoutez donc attentivement. Il a pris Dieu au Mot. Il a été sincère en faisant ce qu’il a fait. Il l’a fait sincèrement selon la Parole. Peu importe qui se moquait de lui, il l’a fait de toute façon, parce que c’était l’exigence de Dieu. Et maintenant... C’était merveilleux. Il était certain qu’il a été justifié. Il pouvait avoir un tel sentiment parce qu’il avait satisfait aux exigences de Jéhovah (C’est-à-dire la Parole.), il avait satisfait à ce que la Parole de Dieu exigeait de lui pour sa justification.

28 Finalement... Eh bien, c’était merveilleux au départ. Mais finalement, cela est devenu une tradition familiale. Je suis sûr que vous comprenez ce que je veux dire. Il allait... Le Juif allait offrir son sacrifice juste parce que cela... Eh bien, la famille le faisait. Et, eh bien, c’était une tradition. Et quand il venait là et disait : « Attendez une minute. Je crois que j’ai péché. Je vois. C’est juste. Eh bien, je vais me procurer un agneau et monter »…
Voyez-vous, il n’y avait aucune tristesse selon Dieu pour son péché. C’était seulement un rite, juste une forme ritualiste consistant à prendre son animal pour le sacrifice. Il n’en tirait rien, parce qu’il n’avait rien mis là-dedans. Bien qu’il obéissait à l’ordre de Dieu par Sa Parole, mais il n’arrivait pas au vrai sens de Sa Parole. Il obéissait à cela tant que... Etant fondamentaliste, il a obéi à cela. Mais en toute sincérité, il n’a pas obéi. Par conséquent, ce n’était qu’un rite, il suivait une tradition.

29 Et puis-je m’arrêter ici une minute? Voyez-vous ce que je martèle jour après jour et soir après soir? Ce n’est pas que j’aie quelque chose contre les méthodistes, les baptistes, les presbytériens, ou les dénominations. C’est parce que vous perdez cette sincérité, ce quelque chose que vous devriez avoir dans votre adoration. Ça devient simplement une tradition familiale.
Quand nous venons à l’église et qu’on demande : «Croyez-vous à la nouvelle naissance ? »
– Oui, assurément. Oui, oui, ouais.
– Croyez-vous au – au sang du...
– Oh ! assurément, assurément. Assurément, assurément ; j’ai accepté cela.
Voyez-vous, il n’y a aucune sincérité là-dedans. Quand il va offrir son sacrifice d’expiation pour prendre la communion, il la prend n’importe comment, qu’il fume, boive, coure avec la femme de quelqu’un d’autre, ou – ou que les femmes se comportent n’importe comment. Et il va prendre cette communion. Alors que, rendez-vous compte, la Bible dit : « Si un homme mange cette chair et boit ce Sang indignement, il est coupable envers le Corps et le Sang du Seigneur ». Nous avons perdu la sincérité. Il y a quelque chose qui cloche en nous. Notre fête solennelle n’est plus ce qu’elle était.

30 Ceci pourrait être approprié pour le moment. Il y a une chose qui fait que nous ne pouvons même pas rester éveillés, ou à peine, pendant un sermon. Ce n’est pas le cas ici ; mais à plusieurs endroits, quelqu’un tire toujours sur ma queue de pie [sorte de costume – N.D.T.], disant : « Hé, hé, hé. Nous devons faire ça et ça. » Qu’y a-t-il de plus important que proclamer la Parole de Dieu ? C’est ma conception des choses.
Les réunions en plein air qui... Le prédicateur à l’ancienne mode se tenait là, et prêchait jusqu’à ce que le sa – sang et la sueur, pour ainsi dire, coulaient jusque dans ses chaussures. Quand on tient une réunion en plein air aujourd’hui, c’est un tas de chants, et un tas d’autres choses. Et, frère, quelqu’un essaie de conduire la prière, et prie pour le président et pour tous les autres, il y consacre à peu près une heure, et déjà les gens s’en sont allés. La Parole est la chose principale, la Parole. Mais nous avons perdu l’intérêt. Des fois...
J’apprécie les témoignages. J’apprécie la musique et toutes ces choses. Mais ce n’est pas là la chose. Il faut la prédication de la croix. Il faut une circoncision de l’Esprit pour apporter la Vie. C’est là que nous avons perdu notre sincérité. Ça fait longtemps que nous avons vu une grande sincérité. Quand un homme sait que c’est mauvais que ces choses s’introduisent dans son église, et puis il n’en parle pas aux gens ! Où est cette sincérité profonde?
Un ministre me parlait, disant : « Vous allez perdre votre ministère. »
J’ai dit : « C’est Dieu qui m’a donné ce ministère. Et si prêcher la Parole de Dieu fait que je le perde, alors j’ai manqué le coche quelque part. Dieu honore Sa Parole. Il attend cela. »

31 Eh bien, la sincérité ! Nous n’en avons pas. C’est comme si on a très peu d’intérêt. En ce temps de jubilé, il devrait se faire que maintenant même, après que nous avons compris et que nous sommes convaincus de ces choses, Shreveport bourdonne comme une scie circulaire. La prison devrait être pleine, avec des gens suspendus aux fenêtres, prêchant l’Evangile. Les coins de rue devraient être pleins d’hommes et de femmes qui témoignent de la puissance de Dieu.
Pourtant, nous disons croire cela. Mais nous avons perdu la sincérité et l’enthousiasme qu’il y a à recevoir la Chose. Eh bien, c’est la vérité. C’est exact. Et nous ne reviendrons jamais avant que nous arrivions à ce point d’appréciation, où Dieu nous fraie une voie, et qu’ensuite nous y appelle, et nous confirme cela par Son Esprit et par Sa Parole, cette assurance que nous avons.

32 Quelle tragédie de voir les églises dans cette condition ! Ce n’est pas que j’aie quelque chose contre les églises, mais vous voyez ce que je veux dire. Eh bien, sans aucune tristesse, juste une forme rituelle... Et pourtant Israël faisait usage de la Parole et du commandement de Dieu.
Et aujourd’hui, les églises tirent les choses de la Bible. Mais il n’y a aucune sincérité là-dedans.
Et quand Israël a commencé à prendre la Parole et les commandements de Dieu, pour en faire un rite, cela déplut à Jéhovah, le Donateur de la Chose. C’est au moment où ils ont fait de la Parole de Dieu un rite, que ce puissant prophète Esaïe est apparu sur la scène. Lisez cela dans Esaïe 1. Il était envoyé à Israël. Les gens le haïssaient, et finalement ils l’ont scié en morceaux.
Mais qu’a-t-il fait? Il les a dépouillés. Il a dit : « Dieu a rejeté vos fêtes solennelles. » Il a dit : « C’est devenu une puanteur dans Ses narines. » Qu’était-ce? La fête que Dieu leur avait ordonnée, les nouvelles lunes, les sabbats, et les sacrifices d’expiation, et autres que Dieu avait donnés à Israël, ils en ont fait une tradition. C’est juste.

33 Oh ! église, vois-tu ce qui brise le coeur d’un ministre ? Quand nous faisons de la Pentecôte qu’Il nous a donnée une tradition. La sincérité a disparu de l’église. Oh ! je ne dis pas totalement, Dieu merci. A l’époque ce n’était pas totalement parti ; mais la grande partie... La sincérité est partie. Les gens ne sont plus en mesure d’entendre cela. Ils ne veulent pas en entendre parler. Ils préfèrent prendre quelqu’un de plus raffiné. Ils n’en veulent pas. Eh bien, ce qui arriva à l’époque, arrive pareillement aujourd’hui.
Mais Dieu leur a envoyé Esaïe, et il ne mâchait pas ses mots. Et il leur a dit ce qu’ils avaient fait. Lisez Esaïe 1, quand vous rentrerez chez vous. Ecoutez ce prophète prêcher cela. Il leur a dit que c’était une puanteur. En d’autres termes, Dieu ne voulait pas de leur sacrifice puant, un sacrifice qui... Ils... Qu’avaient-ils fait ? Ils avaient souillé leur sacrifice. Ils l’avaient souillé, car ils entraient avec cela sans sincérité. Ils n’obtenaient aucun résultat.
Il a dit : « Vos traditions... » En venant avec leurs traditions, ils avaient ôté la puissance de Ses commandements.

34 Eh bien, aujourd’hui, notre tradition enlève la puissance de notre adoration, à cause de nos propres traditions. Et nous disons : « Cela veut dire les méthodistes et les baptistes. » Il s’agit des pentecôtistes. C’est nous tous ensemble. Votre tradition a perdu sa puissance… ce n’est pas parce que vous n’avez pas fait cela. Ouais.
Les gens disent : « Jésus a dit que celui qui croit et qui sera baptisé sera sauvé. » C’est juste. Mais nous en avons fait une tradition. Cela est une puanteur devant Lui. Voyez-vous la raison? L’adorateur en venant, en accomplissant cela, il le faisait seulement comme du formalisme.
Et nous sommes coupables de faire la même chose. Nous en avons fait du formalisme, alors que c’est le commandement de Dieu.

35 Par exemple, tout récemment, quand nos mouvements ont commencé et que Dieu a commencé à y ajouter quelque chose, nous sommes partis avec cela, nous en avons fait une tradition, et cela a perdu sa puissance. Au lieu d’unir les frères, cela a séparé les frères. Des fois vous faites cela juste comme une tradition, sans sincérité là-dedans. Vous devez entrer dans la fête de Dieu avec sincérité. Aucune véritable sincérité, aucun chagrin à cause du péché.
Les gens viennent à l’autel, et beaucoup d’entre eux ont beaucoup de musique, une petite danse, des battements des mains, peut-être qu’ils courent l’allée de long en large, peut-être qu’ils parlent simplement en langues. Eh bien, je crois au fait de parler en langues. Je crois au fait de courir les allées de long en large; je crois au fait de battre les mains. Mais s’il n’y a pas de sentiment là derrière, s’il y a une sincérité selon laquelle Jésus-Christ vous a purifié... Vous ne le faites pas parce que mademoiselle Jones l’a fait, mais vous le faites parce qu’il y a quelque chose en vous qui palpite, la tristesse pour vos péchés, et la joie de la victoire que vous partagez par la résurrection de votre sacrifice, l’évidence de votre sécurité éternelle. Comment pouvez-vous ne pas être sincère dans cela?

36 Je crois qu’un homme peut crier sans être sauvé. Je crois qu’il peut courir sans être sauvé. Je crois qu’il peut parler en langues sans être sauvé. Je crois qu’il peut faire toutes ces choses sans être sauvé. Mais vous ne pouvez donc pas y assimiler tous ceux qui font cela. L’autre camp déclare : « Tout cela ne vaut rien. »
Mais il y a quelqu’un de sincère là-dedans. Il y a quelqu’un qui obtient de vrais résultats, parce qu’il est entré dans cela avec sincérité, sur base de sa foi dans le Sang versé. Et il a les choses authentiques. Mais l’autre ne fait que s’en moquer. Et il y a trop de moqueries, trop d’imitations, d’imitations charnelles, de comparaisons charnelles.

37 Si vous venez chercher le Saint-Esprit, et Le laissez… à la foi que vous avez en Lui, ajoutez la vertu, et à cela l’amour fraternel (2 Pierre 1.7), jusqu’à ce que vous soyez édifié selon la stature parfaite de Christ, puis la dernière chose c’est l’amour, qui est Dieu, le Saint-Esprit, qui vous scelle jusqu’à votre destination.
Vous ne pouvez pas faire de l’imitation. Vous pouvez imiter cela, mais comme je l’ai dit hier soir, c’est comme un – un merle qui enfonce des plumes de paon sur ses ailes, et qui dit : « Regardez, je suis un paon. » Il les a simplement ajoutées, il les a plantées. S’il y avait quelque chose en lui, qui les a fait pousser, il serait effectivement un paon. Réellement. Mais certaines personnes essaient de faire quelque chose pour ressembler à quelqu’un d’autre, ou elles imitent quelqu’un d’autre, pensant que les autres l’ont fait. Et voyez-vous ce que cela a produit ? Cela nous ramène de nouveau au rituel et au formalisme. C’est le Sang, la Vie qui électrifie et sanctifie votre vie. C’est juste.

38 Esaïe le leur a révélé et a dit : « Dieu a dit qu’Il détourne Sa face de vos prières. Vous avez votre forme rituelle, quoique cela soit la vérité. Vous faites ce qu’Il vous a ordonné, mais vous ne le faites pas avec sincérité. Et vous hurlez jour et nuit, mais Dieu a dit : ‘Votre sacrifice est une puanteur devant Moi, et Je ne l’agréerai plus. Et si vous priez dans de telles conditions, Je détournerai de vous Ma face.’»
Ô Dieu ! Si les gens pensaient à cela, cela déclencherait une Pentecôte. Dieu a dit : « Même si vous êtes en ordre pour ce qui est de la Parole... » Mais si vous ne le faites pas avec amour et sincérité, Dieu a dit qu’Il détournera de vous Sa face, et qu’Il n’écoutera pas vos prières. Voyez-vous ? C’est comme ça.

39 Oh ! vous avez dit : « Vous vous référez à l’Ancien Testament, Frère Branham. » D’accord. Prenons le Nouveau Testament, II Timothée 3. Le Saint-Esprit nous a avertis que dans les derniers jours l’église s’éloignera de la sincérité et de la foi. Les gens auront une forme de piété, mais renieront la puissance qui accompagnait la chose authentique, ayant une forme de piété, mais reniant ce qui en fait la force. Certainement.
Dieu hait une religion sans puissance. Et aujourd’hui, toute religion qui n’a pas Christ est sans puissance. Mais toute religion qui a Christ est sous Son propre Sang et elle a la puissance. Vous dites que Dieu hait une religion sans puissance? Il a dit : « Vos fêtes solennelles sont une puanteur. » Je pense qu’Il hait cela. Il a dit : « Cela – cela Me rend malade. »
Et, rappelez-vous, Il a dit à cette église riche de Laodicée : « Parce que tu es tiède (en d’autres termes, tu Me rends malade), Je te vomirai de Ma bouche. » Et nous sommes arrivés à cet âge. Ô Dieu, envoie-nous un Esaïe pour mettre la chose en pièces, l’exposer devant les gens, crier, sans ménager. Pensez-vous qu’il sera accepté ? Certainement pas. Il criera malgré tout. Les fêtes solennelles ! Elles sont une puanteur.
Dieu hait une religion sans puissance. Elle doit avoir la puissance. Elle doit avoir la sincérité. La sincérité amène la puissance. La sincérité amène la vraie adoration, pas le formalisme, mais la vraie adoration avec puissance, sachant que vous êtes passé de la mort à la Vie.

40 Dieu veut accomplir Sa Parole par Sa puissance. Et quand l’église renie Sa puissance, comment peut-Il accomplir et confirmer Sa Parole ? Quand l’église trouve une explication convaincante de cela et dit que c’est pour un autre jour, et quelque chose de ce genre, comment Dieu peut-Il, Lui qui veut accomplir Sa Parole et manifester Sa Parole parmi les gens... Et les gens nient qu’Il le fait. Malgré tout, ils accomplissent tous les rituels. Voyez-vous?
Voici ce qui s’est passé. Dieu veut oeuvrer et confirmer Sa Parole par le Saint-Esprit; et l’église veut oeuvrer. Il faut que les gens renient le Saint-Esprit. Ils veulent oeuvrer pour faire une grande organisation, et quoi d’autre ? Pour avoir des membres, peu importe si on doit baptiser des pécheurs, des ivrognes, des contrebandiers d’alcool, n’importe quoi d’autre, pour les faire entrer dans le corps de l’église. Il n’est pas étonnant qu’Apocalypse 17 ait dit que cette vieille prostituée, qui avait une suite de filles, était pleine de noms, ou plutôt de noms blasphématoires. Des églises, ou des filles… citant les noms de ses filles...
Les gens qui se joignent aux églises et qui appellent cela « être sauvé », c’est un blasphème. Or, je sais qu’ici le Roi Jacques dit : « Des noms de blasphème », mais regardez dans le Diaglott, et voyez si c’est cela. Il est dit : « Des noms blasphématoires. » Il y a une grande différence. Elle en est pleine. Elle a en son sein neuf cents et quelques organisations différentes, beaucoup de noms blasphématoires. Ils se sont éloignés, par une certaine tradition faite de main d’homme ils se sont éloignés de la vraie adoration, la puissance de la...

41 « Oh ! dites-vous, je suis allé là, et il y a une grande puissance. Frère, toute l’assemblée dansait en Esprit », sans avoir suffisamment de foi pour guérir un mal de dents. Vous appelez cela puissance? Ça, ce n’est pas la puissance. Ça, ce sont des bénédictions. Il y a une grande différence entre les bénédictions et la puissance. Dieu fait tomber Ses bénédictions sur le juste et sur l’injuste. Le soleil brille et... Voyez-vous? Nous devons revenir à la vérité, mes amis. Nous devons revenir à ce que Dieu veut dire. Ce qu’Il dit, c’est ce qu’Il veut dire. Voyez-vous? Et Il a rejeté leur... Une fois, Il a détourné Sa face de leurs prières...

42 Et suivez, mes amis. Si Dieu n’a pas épargné l’arbre original qui a fait cela, que dire de l’arbre greffé ?
Nous devons être sincères. Nous devons faire ces choses correctement. Dieu veut oeuvrer et amener le Saint-Esprit à opérer dans Son Eglise. L’Eglise veut oeuvrer et produire ses crédos pour avoir des membres. Voilà la différence.
La première chose à faire, Dieu veut envoyer le Saint-Esprit, qui était le Conducteur de l’Eglise ; c’est ce qu’Il doit faire. Et le seul moyen pour que les gens puissent empêcher que cela se fasse, c’est en Le rejetant. Et quand vous Le rejetez, vous empêchez que la puissance opère. Cela vous laisse donc une coque morte. « La Parole tue ; l’Esprit vivifie. » Voyez-vous ? C’est juste.
C’est comme une locomotive qui est sur les rails, toute la voiture est bien astiquée, et des gens bien habillés sont assis dedans, mais il n’y a pas de vapeur dans la locomotive. A quoi sert-elle de toute façon?

43 Il y a quelques semaines, j’étais... Il y a environ huit mois ou un peu plus, un soir, j’ai vu en vision deux hommes, l’un dans un bar et l’autre dans un autre, se lançant des provocations devant leur public respectif, auquel ils s’adressaient. Finalement, ils se sont rencontrés à New York au milieu d’une rue, c’est comme s’ils ont creusé un trou dans lequel ils sont entrés, et l’un a tué l’autre. J’ai dit : « Quelqu’un va être tué. » Ils étaient des jeunes gens beaux et grands. Environ un mois après, ces deux boxeurs professionnels se sont réglé leurs comptes dans un combat, et l’un a tué l’autre.
Il y a quelques mois, j’étais dans une – une petite cabane dans le Colorado, je suis parti et j’ai dit à mon fils, à ma femme, à ma belle-fille, et aux autres : « Quelque chose est arrivé dans les quelques dernières heures. J’ai vu une jeune dame, une belle femme, et elle avait en quelque sorte de grosses lèvres ; c’est comme si je l’avais vue quelque part. Et elle est… elle essayait de joindre un médecin, et elle est morte. »
Et l’Esprit qui me parlait a dit : « Eh bien, les gens vont dire qu’elle s’est suicidée, mais elle est morte d’une crise cardiaque. » Et Il a dit : « C’est juste peu avant quatre heures, mais tu peux dire que c’était à quatre heures », et la vision m’a quitté. Je leur ai dit : « Qu’est-ce que cela veut dire ? » Je ne savais pas. « Quelqu’un est sur le point de mourir. »
Deux jours après notre sortie des montagnes, cette vedette du cinéma (Comment s’appelle cette femme ?), Marilyn Monroe, elle était plutôt une strip-teaseuse ou... Ou bien vous avez lu son histoire. Elle était une enfant illégitime. Sa mère était dans un hôpital psychiatrique. La pauvre jeune fille a probablement eu un parcours difficile. Et elle avait toujours un désir ardent de quelque chose. Je regrette de n’avoir pas pu la rencontrer. Je sais de quoi elle avait besoin. Je savais de quoi elle avait besoin. Elle avait cependant adhéré à des églises et tout. Mais, voyez-vous, c’était juste une forme rituelle. Elle avait besoin que le Sang lui soit appliquée. Voyez-vous ?
Bien. Je pense qu’il n’y a pas un fanatique du sexe dans le pays qui ne l’ait pas connue et qui n’ait pas sa photo. Elle était censée être la femme au plus beau physique du monde, à ce que j’ai appris. Mais si ce corps était si important, alors observez... Quand la vie est sortie de son corps, on a dû lui donner un numéro pour la mettre dans une salle. Et personne n’a réclamé son corps. Alors, qu’est-ce qui est important? L’âme ou le corps? Voyez-vous, nous devons être sincères dans ces choses. Dieu l’exige. Cela doit arriver.

44 Remarquez. Maintenant, pour rejeter le Saint-Esprit, ils ont accepté le côté formaliste de la chose, en ayant une forme de piété mais reniant ce qui en fait la force. Ils récitent toutes sortes de crédos des apôtres, et tout comme cela, en mélangeant cela avec une bonne partie de la Parole, et beaucoup de choses qui ne sont pas la Parole. Et puis ils... Je veux dire la Parole de Dieu. Et puis, faire toutes ces choses, et cependant, cela passe par ce qui est formaliste et rituel. Il n’y a aucune puissance là-dedans. C’est mort. Ce n’est qu’une coque, comme le corps de cette fille. Quand la vie en était sortie, cela ne valait alors plus rien. Personne n’en voulait. La vie était sortie. Voyez-vous?
C’est la vie qui vaut quelque chose. Peu importe ce que vous accumulez dans ce monde, le nombre d’églises dont vous êtes membre, qu’en est-il de votre âme? Qu’en est-il de cette vie qui est en vous? Est-elle en ordre avec Dieu? Et elle ne peut être en ordre qu’en acceptant cette glorieuse préparation que Dieu a faite pour amener les hommes à traverser ce gouffre vers Lui-même. C’est le Sang de Jésus-Christ. Aucun credo ne jettera le pont; aucune dénomination ne le fera. Aucune instruction, aucun scientifique, le Sang de Jésus-Christ et rien d’autre est la seule chose qui jettera le pont.

45 Eh bien, après qu’Esaïe a dit à Israël qu’ils avaient souillé leur substitut par des traditions, et qu’il le leur a prouvé, et que Dieu rejetait leurs prières... Esaïe était un prophète, un annonciateur ; en effet, ce sacrifice n’était destiné qu’à Israël. Mais après cela, un autre grand prophète apparut sur la scène, et il s’appelait Jean. Nous le connaissons comme étant Jean-Baptiste. Et il n’a pas seulement montré à Israël, mais à toute la race d’Adam, un Agneau qui a ôté les péchés du monde. Et ils ont souillé ce jour-là ou plutôt cette dispensation-là, par leur hypocrisie et leur action formaliste, Dieu a tout anéanti. Alors Il a envoyé un autre prophète pour introduire un autre âge et un autre Agneau. C’était pour toute la race d’Adam, l’Agneau de Dieu qui ôte le péché du monde. Aussitôt cet Agneau a été cloué à Son autel, la croix. Il a été cloué là-haut sur le Calvaire. Pour quelle raison? Le pardon des péchés, pas seulement pour les Juifs, mais pour tout celui qui veut.
Le Sang de Jésus-Christ, le Fils de Dieu, purifie de tout péché. Peu importe combien de crédos nous récitons, il faut néanmoins que le Sang soit appliqué pour ôter le péché. Et on l’applique par la foi dans la Parole, en croyant qu’Elle est vraie ; et puis vous savez qu’Il vous répond, et vous Le connaissez ; vous Le connaissez parce que vous vous êtes conformé à Sa Parole avec sincérité.

46 Eh bien, si quelqu’un parmi vous, ou tout homme, où que ce soit, sent le fardeau de son péché, nous avons un Agneau. Ne souillons pas ce programme. C’est l’Agneau qui ôte le péché du monde. C’est la seule disposition que Dieu a prise pour les hommes pécheurs (que je suis, et que vous êtes) ainsi que pour les femmes, les garçons et les filles pécheurs, c’est le Sang de Jésus-Christ.
Nous devons venir à Lui avec sincérité et, par la foi, poser nos mains sur Sa tête par la foi, afin de nous unir à Lui, en nous considérant alors comme morts, et rester là jusqu’à ce que les résultats se manifestent, jusqu’à ce que le Sang qui a été versé au Calvaire soit appliqué à notre coeur. Alors le fardeau a disparu. Voyez-vous ? « Mon fardeau m’a quitté. » Alors vous êtes libre. Celui que le Fils affranchit est réellement libre.
Il n’est pas étonnant que nous ne puissions pas avoir les choses que nous avions ou plutôt que nous devrions avoir. Nous ne sommes pas venus par la voie de la sincérité à laquelle Dieu a pourvu pour nous. Il se pourrait que vous... Nous ne voulons pas souiller cela, vous savez. Elle ne sera pas souillée. L’autre non plus n’a pas été souillée, mais Dieu a éloigné cela d’eux.

47 C’est comme une histoire que j’ai lue il y a quelque temps. Un vieux capitaine marin était en mer, et il avait pratiquement passé sa vie dans le péché. Mais, une fois, il avait entendu parler de la Bible et de Dieu. Et alors qu’il était étendu, mourant, il a dit : « Y a-t-il quelqu’un qui peut me parler de la Bible, ou bien y a-t-il une Bible à bord de mon bateau? » Il avait attendu longtemps pour penser à cela, mais Dieu est plein de miséricorde et de grâce.
Et on a trouvé un garçon qu’ils avaient pris à bord du bateau, et ce dernier avait une Bible. Et il lui a parlé, et a dit : « Entre, fiston, et assieds-toi près de mon lit, et lis-moi cette Bible. »
Et le jeune homme a ouvert Esaïe 53.5, et voici ce qu’il y est dit : « Il était blessé pour nos péchés, brisé pour nos iniquités; le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur Lui, et c’est par Ses meurtrissures que nous sommes guéris. »
Le petit garçon s’est retourné, et il a dit : « Monsieur le Capitaine? »
Il a dit : « Oui, fiston? »
Il a dit : « Permettez-moi de lire cela comme ma maman me le lisait. » Il a dit : « Je vous l’ai lu tel que c’est écrit dans la Bible. Mais voici comment ma maman me le lisait. »
Il a dit : « Vas-y, fiston. Lis-le tel que ta mère le lisait. »
Il a dit : « Maman me mettait sur son genou et lisait : ‘Il était blessé pour les… de Willie Pruitt, Il était brisé pour l’iniquité de Willie Pruitt; le châtiment qui donne la paix à Willie Pruitt est tombé sur Lui, et c’est par ses meurtrissures que Willie Pruitt a été guéri.’ »
Le vieux capitaine a dit : « J’aurais souhaité avoir une maman comme celle-là. » Il a dit : « Peut-être que mon nom pourrait être mentionné là-dedans. »
Le petit garçon a dit : « Juste une minute, Capitaine. » Il a dit : « Permettez-moi de lire en y mettant votre nom. » Il a dit : « Il était blessé pour le salut de John Court (Amen.); Il était brisé pour l’iniquité de John Court ; le châtiment qui donne la paix à John Court est tombé sur Lui, et c’est par Ses meurtrissures que John Court a été guéri. »
Une lumière a brillé sur le visage du vieux capitaine. Il a dit : « Ferme le Livre, fiston. Je vois la chose. »
Quand vous pouvez lire en y mettant votre nom : « Il était blessé pour les péchés de William Branham, Il était brisé pour l’iniquité de William Branham », c’est à ce moment-là que la paix vient. Ce n’était pas seulement une affaire de masse ; c’était pour moi. C’est individuel. J’étais inclus là-dedans. « C’est par Ses meurtrissures que William Branham a été guéri. » Alors c’est différent.

48 Il y a encore une chose dont j’aimerais parler ici en rapport avec notre pardon. Et c’est que, après que nous avons reçu le pardon, nous recevons la pureté avec ce pardon. Maintenant, si vous faites juste comme si vous avez obtenu le pardon, vous n’avez pas reçu la pureté.
Eh bien, vous dites : « Pouvez-vous le prouver, Frère Branham? »
Notez-ceci : Hébreux chapitre 9, du verset 11 au verset 15: « Celui qui rend le culte, étant une fois purifié, n’a plus conscience de son péché. » Si vous êtes vraiment pardonné, la culpabilité même, le désir même vous a quitté. C’est complètement parti. La pureté accompagne le véritable pardon. Si donc nous prétendons être pardonnés, sans toutefois être purs, comment pouvons-nous prétendre être pardonnés, alors que le pardon produit la pureté ? Voyez-vous ce que je veux dire?
Purifié, vous purifier de quoi? Purifié de tout lien avec les oeuvres formalistes, traditionnelles qui sont mortes (Amen.), être purifié des traditions mortes. Comment pouvez-vous rester encore dans une tradition morte quand vous en êtes purifié? Maintenant, lisez cela dans Hébreux 9.11. Voyez si c’est juste. Cela nous purifie des souillures des oeuvres mortes et formalistes, quand nous sommes pardonnés par le Sang de Jésus ; en effet, c’est la puissance de sanctification qui accompagne le pardon. Et nous sommes purifiés de toutes nos oeuvres mortes.

49 Or, quand il en est ainsi pour nous, nous venons communier de la façon correcte. Nous venons à la communion en nous souvenant de Lui, en nous souvenant de Lui, notre Sacrifice. Nous nous souvenons de Lui, notre Paix; nous nous souvenons de Lui, notre Pureté, nous nous souvenons de Lui, notre Purification; nous nous souvenons de Lui quand nous nous agenouillons à la croix, pas tout en étant à moitié ivres, pas en vivant dans l’adultère, sans malice, sans haine, et sans querelles ; mais nous nous agenouillons à la croix par la foi, à Ses pieds pour recevoir Son pardon. C’est dans cet état que nous venons à la communion, étant très sincères. Pas juste en disant : « Je dois y aller. » Vous y allez parce que vous êtes profondément sincère. C’est une question de vie ou de mort. Oui, oui. Allez-y, et ne vous souvenez plus de vos traditions, et vous serez purifié de votre péché.
C’est là l’endroit. Quand vous vous agenouillez là avec sincérité, frère méthodiste, frère baptiste, frère unitaire, frère binitaire, frère trinitaire, si vous vous agenouillez là avec sincérité, vos traditions sont mortes. C’est juste. Les trinitaires, les unitaires, les baptistes, ils sont tous purifiés et ce sont des fils de Dieu. Les traditions et les agitations sont passées. Vous n’y pensez plus, parce que vous êtes propres et purs. Voyez-vous ? Vous êtes des frères. Peu importe ce qu’une quelconque tradition a dit, n’ayez rien à voir avec eux. Vous êtes à la même croix, à la même fontaine. Vous êtes des frères de sang. Oh ! la la !

50 C’est pour obtenir cela que nous avons fait tout notre possible. C’est ce que nous avons essayé d’obtenir. Ce n’est pas que j’aie quelque chose contre les baptistes, les méthodistes. C’est le système de ces choses qui sépare nos frères. C’est une tradition qui a fait qu’ils prennent la Parole de Dieu pour En faire une tradition, en disant : « Nous croyons dans la purification par le Sang. » Et ensuite traiter un homme de « saint exalté », et ne rien à voir à faire avec lui. Un frère?
Quand un homme vient au Calvaire, au pied de la croix, en se souvenant que Jésus est mort pour le sauver, et que par la foi il s’unit à cela, et si un frère se tient là à côté, vous ne regardez pas aux caractéristiques terrestres, la couleur, le credo, quoi que ce soit d’autre. Il est un frère. Bien sûr que oui. Les traditions et les disputes sont passées. Vous pouvez communier.

51 Voici le moyen, le seul moyen par lequel vous pouvez être pardonné. Le seul moyen par lequel vous pouvez venir, c’est la croix par le Sang. Et alors, vous êtes purifié des traditions et des oeuvres mortes. Il y avait...
Je ne peux pas faire que tout le monde soit baptiste. Si j’étais un méthodiste, je ne pourrais pas faire que tout le monde soit méthodiste. Si j’étais de l’organisation pentecôtiste, je ne pourrais pas faire que tous soient des unitaires ou que tous soient des trinitaires, ou de l’Eglise de Dieu, ou que sais-je encore. Certainement pas. Ils ne le deviendraient pas. Mais voici une chose (et c’est ce que je crois en le faisant), c’est de faire que tous les hommes soient des frères par le Sang versé de Jésus-Christ, là où nous pouvons tous nous rencontrer à la même croix, en nous souvenant de notre Sacrifice. Dieu a agréé cela et rien que cela.

52 Cela me rappelle un article que j’ai lu il n’y a pas longtemps (pour terminer). Un homme et sa femme étaient en voie de séparation. Ils ont commencé à se disputer, à avoir des prises de bec, à se quereller. Ils n’arrivaient simplement pas faire bon ménage. Il leur était pratiquement impossible de cohabiter. Alors ils ont décidé de divorcer, et ils ont formulé une demande en divorce. Ils se sont donc mis d’accord pour se rencontrer à la maison et se partager leurs biens, afin de ne pas être obligés de passer par le tribunal.
Et ils se sont retrouvés dans une pièce et se sont partagé ce qu’il y avait dans cette pièce, puis ils se sont partagé ce qu’il y avait dans la pièce suivante. Et finalement, ils sont arrivés à un endroit où... Ils sont montés au grenier et ont fait descendre une vieille malle. Et quand ils ont commencé à sortir de la malle de petits objets et à les déposer d’un côté ou de l’autre, en se regardant l’un l’autre, disant : « Ne me trompe pas, je te poursuivrai en justice si tu le fais », juste comme les font certaines traditions chrétiennes.
Et peu après, ils se sont rués sur un petit soulier blanc. Le papa l’a ramassé, et la mère a mis sa main dessus. Ils se sont regardés. Quelques instants après, ils étaient dans les bras l’un de l’autre. Qu’était-ce? Autrefois ils avaient eu une fillette, quelque chose qu’ils avaient en commun. Tout était terminé ; le divorce fut annulé. Ils étaient de nouveau dans les bras l’un de l’autre. Ils avaient quelque chose en commun.
Et lorsque les baptistes, les méthodistes, les unitaires, les binitaires, les trinitaires, frères, lorsque nous venons à la croix et voyons quelque chose que nous avons en commun... C’est le Sang de Jésus-Christ qui nous purifie. Nous pouvons mettre nos bras autour de Lui, et Lui mettre Ses bras autour de nous, et avoir communion ensemble sous le Sang de Jésus-Christ. C’est le seul moyen que je connaisse. Prions.

53 Seigneur Jésus, ce n’est pas du tout un petit soulier que j’ai trouvé, mais j’ai trouvé un Sauveur un jour. Et je L’ai aimé, et Il m’a aimé. Et lorsque je vois ces traditions apparaître, apparemment sans avoir la foi, et éloigner les gens du véritable fondement fondamental du Christianisme, la communion par le Sang, alors je souffre.
Et je – j’ai travaillé durement ces années, Seigneur. Je commence à me faire vieux maintenant. Mais je ne suis pas fatigué. Je suis toujours amoureux, Seigneur. Je T’aime, et j’aime mon frère, parce que Toi aussi Tu l’aimes. Et puissé-je avoir le privilège de vivre assez longtemps pour voir le jour où nous pourrons tous nous rencontrer autour de la croix, alors les disputes seront terminées. La paille sera brûlée, mais le blé sera rassemblé au grenier. Accorde-le, Seigneur.
Et s’il y en a ici ce soir, Père, qui n’ont jamais pensé à ceci, et qui se sont peut-être fiés à un certain credo, ou à une certaine émotion, mais qui voient qu’au travers du – du reflet même de ce qui est en eux, par leur façon de vivre, d’agir, ou de se comporter, ils sentent le fardeau de leur culpabilité, puis-je avoir le privilège ce soir, Seigneur, de les conduire à la croix? Accorde-le, Seigneur. Je voudrais leur montrer là où il y a une fontaine où nous pouvons nous tenir ensemble. Je Te les confie, Seigneur.

54 Et pendant que vous avez la tête inclinée, sentez-vous ce poids dont vous aimeriez vous débarrasser ? Cela – cela vous écrase-t-il en vous ? Bien que vous avez essayé de vous joindre à l’église, vous avez essayé de faire le bien, mais néanmoins vous n’arrivez pas à vous en débarrasser. Levez la main. Je ne vous demande pas de monter ici.
Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse. Oh ! la la ! Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse, partout dans la salle.
« Je sens ce poids, Frère Branham. Oh ! je – j’ai essayé de m’en débarrasser par la danse. J’ai essayé de m’en débarrasser par des cris. J’ai essayé d’adhérer à l’église pour m’en débarrasser. Mais, Frère Branham, ça se trouve toujours là. »
Doucement maintenant, venons au Calvaire, non pas aller vers une quelconque organisation, non pas aller vers un quelconque système, mais allons au Calvaire, là où nous tous plaçons les mains sur le Sacrifice. C’est alors que nous aurons des choses en commun.
Avez-vous remarqué dans les lignes de guérison? Il n’a jamais tenu compte du fait que les gens sont des baptistes, des méthodistes, des presbytériens. Pourquoi? Il était blessé pour leurs péchés; c’est par Ses meurtrissures qu’ils ont été guéris. Il est l’Agneau qui ôte les péchés du monde dont nous faisons partie. Ne voulez-vous pas recevoir cela maintenant pendant que nous prions?

55 Père céleste, ce grand nombre de mains levées, des coeurs lourds et des seins lourds (ce soir) des hommes, des femmes, des garçons et des filles, ils ont aussi trouvé un petit soulier. Et ils savent qu’il y a quelque chose de faux dans leurs vies. Et la seule chose qui peut redresser cela, c’est ce flot qui coule du Calvaire.
Et nous venons maintenant par la foi au Sang versé, et nous posons nos mains sur notre Sacrifice sanglant. Nous sentons Sa chair se déchirer en nous-mêmes. Nous sentons les épines et les clous. C’est par la foi que nous sentons cela.
Je vois ce qu’Il a fait, et c’était pour nous tous, non pas qu’Il fût obligé, mais Il l’a fait volontairement. Et Il était blessé pour nos péchés. Mon nom est là-dedans, Seigneur, avec celui de chacun de nous. Il était brisé pour nos iniquités. Le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur Lui, et c’est par Ses meurtrissures que nous avons été guéris. Nous avons accepté cela ce soir avec joie et révérence, Seigneur. Je crois cela. J’accepte cela avec révérence. Je crois cela.
Au Nom de Jésus, reçois-les, Seigneur, dans Ton Royaume. La Bible dit : « A tous ceux qui ont cru en Lui, Il leur a donné le pouvoir de devenir fils de Dieu. » Je – je crois donc, Seigneur, que Tu agréeras cela, parce que dans le... Pas suivant une forme avec laquelle nous sommes censés venir à l’autel pour faire ceci, mais avec sincérité... Nous croyons cela. Nous acceptons cela dans la – la souveraineté de la Parole, dans les liens de Son amour, dans la communion de Sa grâce. Nous acceptons cela, Seigneur. J’accepte cela. Je ne connais pas d’autre source, rien que le Sang de Jésus. Sauve, guéris chaque âme brisée, Seigneur. Au Nom de Jésus, je prie et je Te les confie. Amen.

56 Maintenant, pour vous qui sentez que vous avez été au Calvaire, qui croyez que ceci est la vérité, mais qui n’avez pas encore reçu le baptême chrétien, le service va avoir lieu dans quelques instants en bas.
Mais il est plus tard que je ne le pensais. Et cependant, j’ai cité Esaïe 50… 53.5 qui dit qu’Il était blessé pour nos péchés. Croyez-vous cela ? Il était brisé pour nos iniquités. Croyez-vous cela? Le châtiment qui nous donne la paix, alors que nous aurions dû être châtiés, et maintenant nous avons la paix, parce qu’Il a été châtié à notre place, et la réprimande qui pesait sur nous est tombée sur Lui. Et c’est par Ses meurtrissures que nous avons été guéris, guéris physiquement.
Croyez-vous cela? Acceptez-vous cela ? Croyez-vous qu’Il demeure le même hier, aujourd’hui et éternellement? Croyez-vous que le Dieu qui a écrit la Parole accompagne toujours la Parole, veille sur Elle pour La confirmer? Il La tient. Allez-vous croire cela? Alors regardez au Calvaire. Là où vous avez regardé il y a quelques instants pour le salut, regardez au Calvaire pour la guérison de vos corps, et croyez.

57 Voici un enfant étendu sur un lit de camp. J’aurais souhaité pouvoir le guérir. Je n’en suis pas capable. C’est déjà fait. Voici assis ici un bel homme, un jeune homme assis dans un fauteuil roulant. J’aurais souhaité pouvoir le guérir. Je ne le peux pas. Voilà une dame assise dans un fauteuil roulant. Je – je ne sais pas ce qu’ils ont comme problème, mais je – je ne peux pas le faire. C’est déjà fait. Voyez-vous?
Il y a des gens là qui ont des troubles cardiaques, les cancers ; ils vont mourir, si rien n’est fait. J’aurais souhaité pouvoir vous aider. Croyez-vous que je le ferais? Bien sûr que oui. Si je pouvais prendre une pièce de vingt-cinq cents, la mettre dans la rue, et la pousser à travers toute la ville avec mon nez, avec tout le monde se moquant de moi, pour vous voir être guéris, je le ferais. Dieu le sait. Je le ferais certainement. Mais je ne peux pas le faire, parce que vous avez déjà été... Mais Dieu m’a envoyé pour vous indiquer l’endroit où cela a été fait pour vous.

58 Maintenant, avec sincérité, venez-y. La femme au puits a considéré Jésus avec sincérité lorsqu’Il a dit : « Va chercher ton mari. »
Elle a dit : « Seigneur, je n’ai pas de mari. »
Il a dit : « Tu as dit vrai ; en effet, tu en as eu cinq. Et celui que tu as maintenant n’est pas ton mari. »
Elle a dit avec sincérité : « Seigneur, je crois que Tu es un prophète. Maintenant, nous savons que quand le Messie viendra, Il fera ces choses, Il nous révèlera ces choses. Mais Toi, qui es-Tu? »
Il a dit : « Je Le suis. » Non pas... Elle a accepté cela avec la plus profonde sincérité.

59 La petite dame qui avait la perte de sang avait dépensé tout son argent. Elle n’y allait pas au hasard. Elle avait dépensé tout son argent chez les médecins, et aucun d’eux n’avait pu l’aider. Et elle est venue, en croyant sincèrement, pas juste en disant : « Quelqu’un d’autre l’a fait. » A notre connaissance, personne d’autre n’avait jamais fait cela. Elle a commencé quelque chose. Elle a dit : « Je crois tellement cet Homme que si je peux toucher le bord de Son vêtement, je serai guérie. »
Elle ne le disait pas simplement, elle croyait cela. Elle était sincère en cela. Sans doute que cela lui a coûté sa qualité de membre de l’église. Cela lui a coûté beaucoup de choses. Mais elle était sincère. Elle était… elle était décidée à le faire. Et son toucher sincère du bord de Son vêtement L’arrêta sur-le-champ. Et Il a regardé tout autour, et a dit : «Qui m’a touché? »
Lorsque Pierre Le reprit, disant : « C’est toute la foule qui Te touche. »…
Il a dit : « Mais Je suis devenu faible. Une vertu est sortie de Moi. » Et Il a cherché des yeux dans l’auditoire jusqu’à ce qu’Il a trouvé la femme et lui a parlé de sa perte de sang. Et elle a senti dans son corps que cela s’est arrêté, dès ce moment-là elle était guérie.

60 Or, c’est Celui qui a donné Sa vie et qui a été meurtri pour votre guérison. Le prix est déjà payé. Dieu l’a agréé. Leurs péchés ont disparu. Dieu a agréé cela, Il nous a justifiés en Le ressuscitant, et en confirmant qu’Il a agréé cela, pas seulement Sa mort à la croix, mais Sa résurrection, et maintenant Il envoie Son Esprit, pour rendre témoignage à Sa Parole. Comment pourrions-nous douter de cela?
Si vous êtes malade, notre Bible dit que Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Il est le Souverain Sacrificateur qui peut être touché par le sentiment de nos infirmités. En ce glorieux moment... J’ai souffert de la maladie. Je suis votre concitoyen. Je suis votre frère et je sais ce que cela signifie, être malade. Et je connais un endroit où aller, ce lieu caché de la foi, pour toucher Son vêtement et dire : « Seigneur Jésus, je viens avec sincérité maintenant. Je suis sincère à ce sujet, Seigneur. Tu connais mon coeur. Tu m’as dit que je peux Te toucher, que Tu es un Souverain Sacrificateur. Je viens Te toucher. Permets-moi juste de toucher une fois, Seigneur ».
Quelque chose s’ancre en retour et dit : « Tu l’as. »
« Merci, Seigneur. Merci, Seigneur, mon Sauveur. Je crois cela. »
Ne quittez jamais ce poste. Cela vous appartient.
Puis s’Il est ressuscité, fera-t-Il la même chose aujourd’hui, s’Il est vivant? Croyez-vous qu’Il est vivant? « Car Je vis, vous vivrez aussi. » Alors Il est vivant. Alors s’Il est vivant, alors Il sera le même qu’Il a toujours été. Est-ce juste? Maintenant, croyez.

61 Eh bien, ne... Maintenant, je vais vous demander de regarder à… vers moi, mais je ne veux pas dire cela dans un sens où... je veux dire cela de la même manière que Pierre et Jean l’ont dit à l’homme qui était à la porte : « Regarde-nous. » Voyez-vous ? Cela signifie : « Prête attention à ce que je dis. » Croyez que je vous ai dit la vérité.
Examinons cette chose et voyons si c’est juste. « Examinez toutes choses », dit la Bible. Je ne peux pas Lui faire faire ça, mais Il a promis de le faire. C’est de là que je tiens cela. Il a promis qu’Il le ferait. « Les oeuvres que je fais, vous les ferez aussi. Celui qui croit en Moi... » Et Dieu sait que je crois que j’ai été au Calvaire il y a des années. Je crois qu’Il tient Sa Parole, et vous, croyez-le aussi.

62 Si je pouvais guérir cet enfant, je le ferais. Mais je vous ai dit... (Votre enfant?) Je ne peux pas le guérir. Et si Jésus se tenait ici, habillé de ce complet, Il ne pourrait pas le faire non plus. Il vous demanderait si vous croyez ce soir Sa Parole : « Par Ses meurtrissures, vous avez été guéris. »
Vous dites : « Je n’ai pas beaucoup de foi, Frère Branham. » L’avez-vous entendu dire : Si vous avez la foi de la taille d’un grain de sénevé ? La foi d’un grain de sénevé n’accomplit pas de miracle. Mais si vous vous accrochez à cela, cela vous fera sortir. Voyez-vous ? Ancrez simplement cela. C’est ça.
L’handicapé moteur, si vous croyez que Dieu peut guérir cela, Il le fera. Croyez-vous cela ? Acceptez-vous cela? Ô Dieu, accorde-le.
Vous, vous avez un os fracturé dans le dos. Je ne vous ai jamais vu de ma vie, mais c’est ça votre problème. Je ne peux pas vous guérir, mais vous ne pouvez pas cacher votre vie. Acceptez-vous cela ? S’Il a su ce qui n’allait pas chez la femme, s’Il a su ce qui n’allait pas ici et là, Il est toujours le même. Croyez-vous cela ? Acceptez-vous cela ?
Qu’en est-il de vous, madame? Vous qui souffrez de la sclérose en plaques. Croyez-vous que Dieu va vous guérir de cela ? Maintenant, il se peut que vous ayez le rhumatisme ou n’importe quoi. Vous ne pourriez pas cacher votre vie. Croyez cela, car Il a été blessé pour vos péchés ; c’est par Ses meurtrissures que vous avez été guéri. Croyez-vous cela ? C’est exactement ce qu’Il a dit.

63 L’homme qui est assis ici au coin souffre d’un mal de l’estomac, c’est un cas qui a des complications. Il n’est pas d’ici, il vient du Texas. Croyez-vous que Dieu vous connaît? Moi, je ne vous connais pas. Cela vous aiderait-il, si le même Dieu vous disait : « Ton nom est Simon », M. Summoned? Maintenant, vous pouvez retourner au Texas et être guéri de votre mal de l’estomac, si vous le croyez.
Il y a ici un homme qui est tourmenté par la sinusite. Je ne le connais pas, je ne l’ai jamais vu. Il vient de Shreveport. M. Wallace, croyez-vous? Est-ce vrai? Levez la main. Votre foi vous rétablit, si vous croyez cela.
La dame qui est assise ici derrière, elle a une hernie. Elle est accompagnée d’un enfant qui est retardé. Je ne la connais pas. Je ne l’ai jamais vue. Et elle n’est pas d’ici. Mais elle me croit et croit ce que je dis. Elle vient de l’Arkansas, de Hope, dans l’Arkansas. Son nom est mademoiselle Jackson. Croyez-vous cela, mademoiselle ? Allez et soyez guérie.
Cela a frappé tout au fond de la salle, une dame qui a un petit garçon qui est incapable d’apprendre à l’école. Elle n’est pas d’ici non plus. Elle vient du Mississippi. Mademoiselle Stringer, croyez de tout votre coeur, et le petit garçon ira bien. Si tu peux croire, toutes choses arrivent.
Une petite femme âgée assise juste ici souffre du cancer, elle est mourante. Minnie, croyez-vous que vous serez guérie? Croyez au Seigneur. Je vous demande de croire cela.
M. Grigsby, qui venez de l’hôpital pour un cas de tuberculose, croyez de tout votre coeur. Soyez guéri. A ma connaissance, je n’ai jamais vu cet homme de ma vie.

64 Qu’est-ce? Mettez votre nom. Par Ses meurtrissures nous avons été guéris. Croyez-vous cela? Alors il s’agit de Sa Présence. Il était blessé pour nos péchés. S’il peut donc faire cela, cela montre qu’Il est ici avec Sa Parole. Maintenant, nos transgressions sont sincèrement pardonnées. Nos iniquités ont disparu. Nous avons la paix avec Dieu par notre Seigneur Jésus-Christ. Ses meurtrissures nous guérissent. Il nous le prouve ; nous sommes pardonnés.
Que fait-Il? Il repère cette sincérité. Il fait attention à cette personne qui est ancrée à la croix. Il visite ces gens, qui que ce soit. Je vois une autre. Continuez simplement à croire.
Permettez que je vous demande quelque chose. Croyez-vous cela de tout votre coeur? Jésus a dit : « Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru. » Combien croient ? Alors imposez-vous les mains les uns aux autres si vous êtes des croyants. Vous êtes autant Son enfant que moi.
Qu’est-ce? C’est une confirmation qu’Il est ici. Oh ! ne pouvons-nous pas venir avec sincérité maintenant, selon Sa Parole, dans Sa Présence? C’est le même Dieu qui vous jugera au jour du Jugement.

65 Ô Dieu, aie pitié ce soir. Je prie, ô Père céleste, que le Saint-Esprit béni, le Christ vivant, pas une idole, pas une ville, pas une tradition, mais un Christ vivant qui est ressuscité des morts, qui a honoré Sa Parole lorsqu’Il a prêché dans la puissance de Son Sang, et Sa résurrection...
Ceux-ci sont des croyants. Dans la dernière commission, Tu as dit : « Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru. S’ils imposent les mains aux malades, les malades seront guéris. » Seigneur Jésus, je prie avec eux. Je suis à la croix. Ils sont à la croix. Nous avons tout en commun. Voici le Sang de Jésus-Christ. Le Fils de Dieu est ici avec nous, et Il confirme qu’Il est ici. Nous posons nos mains sur Son corps tremblant. Nous acceptons notre guérison.
Et maintenant, Satan, nous t’adjurons au Nom de Jésus-Christ, sors d’ici et libère ces gens pour qu’ils s’en aillent et qu’il soient rétablis par la puissance de la résurrection de Jésus-Christ !

66 Je crois en Lui. Disons cela ensemble. Je crois en Lui. Je L’accepte. Maintenant, citez votre nom. Par Ses meurtrissures... Dites-le avec moi. Par Ses meurtrissures (maintenant votre nom) William Branham a été guéri. C’est terminé. C’est fini. Le Dieu qui a fait la promesse est ici pour la confirmer.
Jésus a dit : « Comme le Père M’a envoyé, Moi aussi Je vous envoie. » Et le Dieu qui L’a envoyé était avec Lui et en Lui. Il a dit : « Si Je ne fais pas Ses oeuvres, ne Me croyez pas. » Et si je ne vous dis pas la vérité, Il ne confirmera pas cela. Mais le Dieu qui a envoyé Ses disciples a envoyé cette oeuvre de Dieu dans le pays. Il accompagne cela afin de montrer qu’Il accompagne cela. Les signes mêmes qui ont été promis confirment Sa Présence. Nous sommes dans la Présence de Jésus-Christ.

67 J’accepte votre guérison. Je l’accepte. Peu importe ce qui se passe maintenant. Je ne regarde pas à cela. Je regarde à votre foi qui est ancrée là-bas, ancrée à la croix, où vous avez posé la main sur votre Sacrifice. Partez et croyez cela. Vous allez certainement vous rétablir. Je L’aime, je L’aime,
Parce qu’Il m’aima le premier ;
(Gardez la main sur votre Sacrifice maintenant.) Et acquit mon salut
Sur le bois du Calvaire. Levons-nous maintenant. Je... (Levez les mains et les coeurs maintenant.) je... (Pourquoi L’aimez-vous?) ... aime (Notre Sacrifice, notre Propitiation) ,
... ce que... aima le premier... (Qu’a-t-Il acquis? Votre délivrance totale maintenant.)
Et acquit mon salut
Sur le bois du Calvaire. Je… aime (Oh, je n’arrive pas à arrêter de chanter cela de toute façon.) ...
... ce que... m’aima le premier,
Et acquit mon salut
Sur... Qu’en penses-tu, fiston? Crois-tu cela, crois-tu que ce vieux mal d’estomac va te quitter? Hein? Que ce noeud à l’estomac va partir? Très bien. Ça partira. Je... je... (Très bien.) Seigneur Jésus, au Nom de Jésus, accorde la guérison de ces gens dont les mouchoirs...?... Toi, ô Père...

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