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Alors, quand leurs yeux sâouvrirent, ils Le reconnurent
1 âŠ?... dans lâEvangile de saint Luc, chapitre 24, Ă partir du verset 13.
Et voici, ce mĂȘme jour, deux disciples allaient Ă un village nommĂ© EmmaĂŒs, Ă©loignĂ© de JĂ©rusalem de soixante stades ;
Et ils sâentretenaient de tout ce qui sâĂ©tait passĂ©.
Pendant quâils parlaient et discutaient, JĂ©sus sâapprocha, et fit route avec eux.
Mais leurs yeux Ă©taient empĂȘchĂ©s de le reconnaĂźtre.
Il leur dit : De quoi vous entretenez-vous en marchant, pour que vous soyez tout tristes ?
Lâun dâeux, nommĂ© ClĂ©opas, lui rĂ©pondit : Es-tu le seul qui, sĂ©journant Ă JĂ©rusalem, ne sache pas ce qui y est arrivĂ© ces jours-ci ?
Quoi ? leur dit-il.
Et ils lui répondirent : Ce qui est arrivé au sujet de Jésus de Nazareth, qui était un prophÚte puissant en oeuvres et en paroles devant Dieu et devant tout le peuple,
Et comment les principaux sacrificateurs et nos magistrats lâont livrĂ© pour le faire condamner Ă mort et lâont crucifiĂ©.
Nous espérions que ce serait lui qui délivrerait Israël ; mais avec tout cela, voici le troisiÚme jour que ces choses se sont passées.
Il est vrai que quelques femmes dâentre nous nous ont fort Ă©tonnĂ©s : sâĂ©tant rendues de grand matin au sĂ©pulcre
Et nâayant pas trouvĂ© son corps, elles sont venues dire que des anges leur sont apparus et ont annoncĂ© quâil est vivant.
Quelques-uns de ceux qui Ă©taient avec nous sont allĂ©s au sĂ©pulcre, et ils ont trouvĂ© les choses comme les femmes lâavaient dit ; mais lui, ils ne lâont point vu.
Alors JĂ©sus leur dit : Ă hommes sans intelligence, et dont le coeur est lent Ă croire tout ce quâont dit les prophĂštes !
Ne fallait-il pas que le Christ souffrĂźt ces choses, et quâil entrĂąt dans sa gloire ?
Et, commençant par Moïse et par tous les prophÚtes, il leur expliqua dans toutes les Ecritures ce qui le concernait.
Lorsquâils furent prĂšs du village oĂč ils allaient, il parut vouloir aller plus loin.
Mais ils le pressÚrent, en disant : Reste avec nous, car le soir approche, le jour est sur son déclin. Et il entra pour rester avec eux.
Pendant quâil Ă©tait Ă table avec eux, il prit le pain ; et, aprĂšs avoir rendu grĂąces, il le rompit, et le leur donna.
Alors leurs yeux sâouvrirent, et ils le reconnurent ; mais il disparut de devant eux.
Et ils se dirent lâun Ă lâautre : Notre coeur ne brĂ»lait-il pas au-dedans de nous, lorsquâil nous parlait en chemin et nous expliquait les Ecritures ?
2 Prions. Inclinons maintenant la tĂȘte pour la priĂšre.
3 Ă Dieu TrĂšs Saint, nous nous approchons de Toi au Nom de JĂ©sus, Ton Fils. Et nous croyons que nous sommes maintenant dans Ta PrĂ©sence, alors que par la foi nous venons devant Ton grand autel oĂč se trouve Son Sang, qui plaide pour nous, en notre faveur. Et effectivement, nous sommes un peuple nĂ©cessiteux, Seigneur. Nous avons besoin de Toi, et nousânous implorons Ta grĂące. Et comme nous voyons les prophĂ©ties ĂȘtre accomplies aujourdâhui, laâlâĂ©glise, combien nous sommes devenus riches dans les choses du monde, et nous pensons que nous nâavons besoin de rien, pourtant Il a dit que nous Ă©tions nus, aveugles, misĂ©rables et aveugles, et que nous ne le savions pas. Et, PĂšre, nous implorons donc la grĂące, que Tu ouvres nos yeux pour comprendre Ta Parole, que nous puissions comprendre dans quelle heure nous vivons, que nous puissions nous prĂ©parer nous-mĂȘmes pour Son apparition, comme nous croyons rĂ©ellement que cela est proche.
Ainsi donc, nous Te demandons de nous accorder, ce soir, le désir de notre coeur selon la richesse de Ta gloire.
4 Pardonne nos pĂ©chĂ©s, Seigneur. Nousânous Te prions de ne pas tenir compte de notre incomprĂ©hension et de notreânotre ignorance des choses que nous devrions connaĂźtre et de nous pardonner cela. Et, souviens-Toi que nous ne sommes que des ĂȘtres humains, PĂšre. Nous sommes sujets Ă toutes sortes dâerreurs et dâennuis. Toi, Tu es le Dieu infini, infaillible, Ă©ternel. Nous Te prions dâĂȘtre misĂ©ricordieux envers nous et de nous accorder les bĂ©nĂ©dictions que nous demandons, car nous le demandons au Nom de JĂ©sus. Amen. Vous pouvez vous asseoir.
5 Eh bien, ce soir, nous sommes une fois de plus reconnaissants pour cette occasion dâĂȘtre ici dans le⊠dans cet auditorium et dâavoir encore ce moment glorieux de communion autour des choses de Dieu.
6 Je regrette de vous avoir gardĂ©s hier soir, contrairement Ă la promesse que je vous avais donnĂ©e, que nous sortirons chaque soir Ă âà ⊠entre 21h et 21h30â. Et jeâjeâjâai failli Ă cela hier soir, et jeâje regrette de lâavoir fait. Eh bien, ce soir, je vais essayer de me racheter auprĂšs de vous, car je sais que beaucoup parmi vous travaillent, et quâil vous faut aller au travail. Et vous, vous les femmes, vous devez prĂ©parer pour vos maris qui vont au travail et tout. Beaucoup parmi vous travaillent, et câest difficile.
7 Et je pense quâaujourdâhui nous avons eu beaucoup de prĂ©dications. Beaucoup de bons prĂ©dicateurs, des prĂ©dicateurs capables, nous ont apportĂ© la Parole, vos pasteurs etâet les Ă©vangĂ©listes et autres, qui parcourent la ville. Mais, Ă mon avis, la chose essentielle que jâessaye deâque jâessaye de vous faire voir, câest laâla rĂ©alitĂ© de la PrĂ©sence de Christ, afin que vous puissiez Le voir et que vous sachiez que câest Lui, Ă partir de Sa promesse identifiĂ©e pour le jour.
8 Eh bien, hier soir, nous avons essayĂ© de donner un peu une vue dâensemble et, ce soir, nous en donnerons encore une autre et, peut-ĂȘtre, demain soir aussi.
9 Ensuite, le Seigneur voulant, le samedi soir, comme vous nâaurez pas Ă vous rĂ©veiller trĂšs tĂŽt le dimanche matin, jeâjâaimerais essayer dâapporter un message deâde telle maniĂšre quâil soit plus facilement compris par les pasteurs et par ceux qui le peuvent, en le basant sur les Ecritures.
10 Et puis, le dimanche aprĂšs-midi, nous aimerionsâaimerions avoir uneâune ligne de priĂšre, prier pour les malades, en leur imposant les mains, prier pour eux comme ça. Et nous avons constatĂ© que cela a du succĂšs pour ceux qui ne peuvent pas sâĂ©lever par la foi, pour juste croire en Lui et accepter cela. A mon avis, ce serait mieux si seulement nous pouvions nous Ă©lever et accepter cela.
11 LĂ , en Afrique du Sud, quand jâĂ©tais dans une sĂ©rie de rĂ©unions lĂ , Ă Durban, oĂč pratiquement deux cents mille personnes, je pense, sâĂ©taient rassemblĂ©es dans un champ de course Ă Durban. Il y avait⊠nous apportons⊠Nous nâavions eu que cinq personnes sur lâestrade. Et quand la cinquiĂšme personne avait Ă©tĂ© guĂ©rie sur lâestrade, on a demandĂ© aux indigĂšnes lĂ dans lâassistance, oĂč ils Ă©taient simplement couchĂ©s⊠Oh ! la la !
12 Eh bien, câĂ©tait lâun des plus grands champs de course du monde. Câest de loin plus grand que le Churchill Downs Ă Louisville. Et tous les Anglais vont lĂ pour leur sport dâhiver, la course. Et nous avions eu ce champ de course, câĂ©tait plein Ă craquer, partout, et jâĂ©tais lĂ de lâautre cĂŽtĂ©, dans unâun bĂątiment. Sidney Smith, le maire de Durban, mây avait amenĂ© ce jour-lĂ , au champ de course.
13 Et jâai vu, aprĂšs une seule priĂšre dâensemble, aprĂšs que ces indigĂšnes⊠Certains dâentre eux ne savaient mĂȘme pas distinguer leur main droite de leur main gauche. Et je les ai vus, aprĂšs quâils eurent vu et que jâavais expliquĂ©âŠ
14 Jâavais donnĂ© des explications. Jâavais quinze diffĂ©rents interprĂštes. Lorsque vous prononcez une phrase, vous devez attendre que les quinze diffĂ©rentes personnes la traduisent. Vous savez donc combien câĂ©tait difficile pour les tribus. Et puis, aprĂšs cela, je leur expliquais de maniĂšre simple ce que JĂ©sus Ă©tait. Je disais : « Beaucoup parmi vous ici sont considĂ©rĂ©s comme chrĂ©tiens ; vous continuez nĂ©anmoins Ă porter une idole en main. »
15 Et jâai posĂ© une question Ă lâun dâeux. Jâai dit Ă monsieur Smith, jâai dit : « Pourquoi cet indigĂšne porte-t-il cette idole ? Et comme vous lâavez dit : âcâĂ©tait un signe de chrĂ©tien ?â »
16 Il a dit : « Oui. » Il a dit : « Câest un Zoulou. » Il a dit : « Je parle sa langue». Demande-le-lui donc. Et alors, il le lui a demandĂ© Ă ma place. Alors, je⊠Nous nous sommes approchĂ©s de lui. Et je lâai appelé Thomas. Il a dit, juste pour dire quelque chose, car il Ă©tait un peu sceptique.
17 Et jâai dit : « Thomas, ĂȘtes-vous chrĂ©tien ? » Oui, ilâil croyait dans Cela. Et jâai dit : « Eh bien, pourquoi tenez-vous cette idole en main ? »
18 « Eh bien, ceâcâĂ©tait aussi un dieu. Et sonâson pĂšre avait portĂ© cette idole. Et quand il Ă©tait poursuivi par un lion, il lâavait aspergĂ©e du sang etâet avait allumĂ© un petit feu, et il avait offert une priĂšre que le sorcier lui avait apprise. Alors le lion effrayĂ© sâĂ©tait Ă©loignĂ©. »
19 « Eh bien, ai-je dit, je suis unâunâŠÂ » Le mot yacta, yacta signifie un chasseur. Leo, Leo yacta signifie chasser les lions. Jâai dit : « Je suis unâun chasseur de lion. Et ce nâĂ©tait pas la priĂšre qui avait fait fuir le lion, mais le feu. Leâle lion a peur du feu. »
20 Il a dit : « Eh bien, il croyait dans Amoyah. » Amoyah veut dire une force invisible, comme Dieu, ou comme le vent. Voyez ? Amoyah, câest quelque chose que vous ne pouvez pas⊠« Il croyait dans Amoyah. Mais si Amoyah faillissait, ceci ne faillirait pas. » Voyez ? Eh bien, ça, câest la force du christianisme pour eux.
21 Et je lui en ai parlĂ©, jâai dit : « Eh bien, vous voyez, tout ce que le missionnaire vous a dit au sujet de Christ est vrai. Voyez ? Mais, ai-je dit, il y a⊠Voyez, il ne vous a pas tout dit, jamais. Il a essayĂ© de vous dire que Ses grandes puissances avaient pris fin quand Il est mort lĂ Ă la croix et que nous nâen avons plus. LĂ , il est en erreur. Il est vivant, et Il est bien parmi nous (voyez ?), exactement le mĂȘme quâIl lâĂ©tait autrefois. »
22 Et quand ils ont vu cela ĂȘtre confirmĂ©, juste comme vous lâavez vu hier soir, on a Ă©valuĂ© Ă vingt-cinq mille cas de guĂ©rison en une fois. Pensez-y.
23 Alors, le lendemain, monsieur Smith mâa tĂ©lĂ©phonĂ©, disant : « FrĂšre Branham, allez Ă la fenĂȘtre qui donne vers lâocĂ©an Indien, dans votreâvotre chambre dâhĂŽtel. » Et lĂ passaient sept grands camions anglais. Oh ! la la ! Nous nâavons pas un camion qui puisse contenir le tiers de ce que ceux-lĂ contenaient. CâĂ©tait plein de bĂ©quilles et de chariots, Ă bord desquels ils avaient portĂ© leurs bien-aimĂ©s depuis les jungles. CâĂ©tait entassĂ© lĂ la veille, ils sâen Ă©taient servis. Et ils Ă©taient lĂ , marchant derriĂšre ces camions, par milliers, les mains levĂ©es, chantant : « Tout est possible, crois seulement. »
24 Eh bien, si un paĂŻen, un homme qui ne sait pas distinguer la main droite de la main gauche, unâun homme dans cette condition-lĂ peut voir cela arriver en une seule fois, aprĂšs quâon lui eut lu une seule fois les Ecritures et quâon les lui eut expliquĂ©es, que devrions-nous faire, nous qui affirmons ĂȘtre remplis de lâEsprit, que devrions-nous faire ? Voyez ?
25 Mais le problĂšme en est que nous avons Ă©tĂ© tellement endoctrinĂ©s que tout le monde donne son avis. Et, eh bien, câest vraiment diffĂ©rent de gens que vous rencontrez. Vous savez, il y a⊠Un paĂŻen, ça ne veut pas du tout dire un illettrĂ©. Il y a des paĂŻens instruits, vous savez, et ils sont les pires de tous. Ceâcâest vrai. Quand vous vous mettez Ă vous amuser avec⊠je vous assure. Jâai voyagĂ© Ă travers le monde, jâai fait plusieurs fois le tour du monde. Mais savez-vous oĂč le paganisme est pire que jamais ? Câest ici mĂȘme aux Etats-Unis dâAmĂ©rique. Ici mĂȘme. Câest ici le champ missionnaire. Câest vrai. Laissez quelques-uns de ces gens venir, ceux qui ne savent pas distinguer la main droite de la main gauche, et enseigner Ă ces gens ce que Dieu est. Exact. Ils deviennent si intellectuels quâils perdent tout de vue. Oui. Ils cherchent Ă expliquer Cela, et ils cherchent Ă âĂ comprendre cela, ils essayent deâde se reprĂ©senter Cela.
26 LâindigĂšne ne cherche rien Ă se reprĂ©senter. Il croit simplement, câest tout. Et câest ce quâil vous faut faire pour vous mettre en ordre avec Dieu : simplement croire. Vous ne pouvez pas comprendre Dieu.
27 Que serait-il arrivĂ© si MoĂŻse, quand il a vu ce buisson qui ne se consumait pas⊠Eh bien, MoĂŻse Ă©tait un chimiste, et MoĂŻse avait appris toute la sagesse des Egyptiens. Mais quand il vit ce buisson, ça paraissait Ă©trange. Eh bien, il nâa point dit : « Eh bien, je crois que je vais mâapprocher. Une fois le feu Ă©teint, je cueillerai les feuilles de ce buisson, je les amĂšnerai au laboratoire, pour dĂ©couvrir ce qui a Ă©tĂ© aspergĂ© dessus (voyez ?), pour voir pourquoi ce buisson brĂ»lait maisâmais ne se consumait pas. » Cela aurait Ă©tĂ© une approche scientifique.
28 Mais quâa-t-il fait ? Il a ĂŽtĂ© ses souliers, il sâest assis et a parlĂ© Ă Cela. Dieu lui a rĂ©pondu. Voyez ? Lorsque vous vous humiliez, humiliez-vous.
29 Que serait-il arrivĂ© si Marthe avait dit, quand elle a appris que JĂ©sus⊠aprĂšs quâelle lâeut envoyĂ© chercher pour prier pour Lazare, ce dernier Ă©tait mort depuis quatre jours. Que serait-il arrivĂ© ici si elle Ă©tait sortie en courant et avait dit : « Je pensais que nous croyions quelque chose. » Elle avait le droit de Le rĂ©primander, vous savez, parce quâIl avaitâIl avait manquĂ© de venir quand elle Lâavait appelĂ©.
30 Mais, vous voyez, elle a eu une bonne approche. Elle sâest approchĂ©e de Lui et a dit : « Seigneur, si Tu eusses Ă©tĂ© ici, mon frĂšre ne serait pas mort. Mais, maintenant mĂȘme, tout ce que Tu demanderas Ă Dieu, Dieu Te lâaccordera. » Oh ! Câest ça. Câest ça la chose. Voyez ? Elle avait eu une bonne approche.
31 Considérez cette foi-là , quand elle toucha Jésus. Il a dit : « Ton frÚre ressuscitera. »
32 Elle a dit : « Oui, Seigneur. Au dernier jour, Ă la rĂ©surrection gĂ©nĂ©rale, il ressuscitera. CâĂ©tait un bon garçon. »
33 Il a dit : « Je suis la RĂ©surrection et la Vie. Celui qui croit en Moi vivra, quand mĂȘme il serait mort. Celui qui vit et qui croit en Moi ne mourra jamais. Crois-tu cela ? »
34 Elle a dit : « Oui, Seigneur. Je crois que Tu es le Messie, le Fils de Dieu qui devait venir dans le monde. » Oh ! la la ! « OĂč lâavez-vous enseveli ? »
35 Je parlais Ă une femme il nây a pas longtemps. Jâen ai parlĂ©, ça vaut encore la peine. Ce sont des gens qui affirment croire que la guĂ©rison divine, câest une guĂ©rison psychique, une guĂ©rison mentale, qui croient Ă la victoire de lâesprit sur la matiĂšre. Et ils ne croient pas que JĂ©sus Ă©tait Dieu. Et ils disaient quâIl Ă©tait un homme de bien, quâIl Ă©tait un docteur, un philosophe, mais quâIl ne pouvait pas ĂȘtre Dieu. »
36 Jâai dit : « SâIl nâĂ©tait pas Dieu, câest quâIl Ă©tait le plus grand sĂ©ducteur que le monde ait jamais eu. Câest vrai. Vous ne pouvez faire de Lui rien dâautre que Dieu. »
37 Elle a dit : « Si je vous le prouve, par votre propre Bible, quâIl nâĂ©tait pas Dieu, allez-vous accepter cela ? »
Jâai dit : « Vous ne pouvez pas le prouver avec la Bible que je connais. »
Elle a dit : « Eh bien, je vais vous le démontrer. »
Jâai dit : « TrĂšs bien. »
38 Elle a dit : « Dans Saint Jean, au chapitre 11, a-t-elle dit, la Bible dit que quand Jésus allait à la tombe de Lazare, Il pleura. »
Jâai dit : « AssurĂ©ment. »
Elle a dit : « Eh bien, comment pouvait-Il pleurer sâIl est Dieu ? »
39 Jâai dit : « Eh bien, vous manquez simplement de voir ce quâIl Ă©tait. LorsquâIl allait Ă la tombe en train de pleurer, Il Ă©tait un homme. Mais lorsquâIl a redressĂ© Ses Ă©paules et quâIl a dit : âLazare, sorsâ, et quâun homme mort depuis quatre jours sortit de la tombe, câĂ©tait plus quâun homme. CâĂ©tait Dieu dans un Homme. » Voyez ? Câest vrai.
40 Il Ă©tait un homme lorsquâIl descendait de la montagne, affamĂ©, et quâIl chercha de quoi manger dans un arbre. Il a maudit cet arbre parce quâil nâavait pas de quoi manger. Il Ă©tait un homme lorsquâIl Ă©tait affamĂ©. Mais lorsquâIl a pris cinq petits pains et deux poissons et quâIl a nourri cinq mille personnes, et quâon a ramassĂ© sept paniers pleins, ça, câĂ©tait plus quâun homme. CâĂ©tait Dieu dans un Homme. Et Dieu ne sâidentifie quâĂ lâhomme. Il a choisi lâhomme.
41 Pendant quâIl Ă©tait couchĂ© lĂ , dans cette barque cette nuit-lĂ , aprĂšs que la vertu Ă©tait sortie de Lui toute la journĂ©e pour avoir prĂȘchĂ©, les gens avaient tirĂ© cela de Lui, Il avait exercĂ© le discernement et autres. Lâorage sâabattait sur la mer. Je pense que dix mille dĂ©mons avaient jurĂ© de Le noyer cette nuit-lĂ alors quâIl Ă©tait couchĂ© lĂ , endormi Ă la poupe de la barque qui flottait çà et lĂ comme un bouchon de liĂšge, quelque part lĂ sur la mer houleuse. Il Ă©tait un homme, alors quâIl Ă©tait fatiguĂ©, couchĂ© lĂ , endormi. Câest vrai. Mais une fois quâIl sâest rĂ©veillĂ© et quâIl a placĂ© Son pied sur le bastingage de la barque, quâIl a levĂ© les yeux vers le haut et a dit : « Silence, tais-toi », ça, câĂ©tait plus quâun homme lĂ . Oui. CâĂ©tait Dieu dans un Homme.
42 Il Ă©tait un homme alors quâIl mourait sur la croix, implorant la misĂ©ricorde. Il Ă©tait un homme. Mais lorsquâIl a brisĂ© les sceaux de la mort, du sĂ©jour des morts et de la tombe, quâIl est ressuscitĂ© le troisiĂšme jour, Il a prouvĂ© quâIl Ă©tait plus quâun homme. Il Ă©tait Dieu dans un Homme. Il nâest pas Ă©tonnant que chaque homme qui ait jamais abouti Ă quelque chose, ait cru cela. Tous les poĂštes et tout ce qui ait jamais abouti Ă quelque chose ont cru cela. Câest vrai. Il Ă©tait plus quâun homme. Il Ă©tait Dieu.
43 Eh bien, Dieu Ă©tait dans Son propre Fils, dans un corps formĂ©, oĂč Il habitait, oĂč Il tabernaclait, et Il a changĂ© de forme. Pensez-y donc : JĂ©hovah couchĂ© dans une crĂšche, sur un tas de fumier dans une grange, pleurant comme un petit enfant. Ces mains de petit Enfant, le petit JĂ©hovah, Il est descendu et sâest voilĂ© sousâsous cette forme-lĂ . Regardez JĂ©hovah dehors, jouant comme un adolescent. Regardez JĂ©hovah en train de travailler dans un atelier de charpentier. JĂ©hovah suspendu Ă la croix. Alors, quand Il est ressuscitĂ©, Il a prouvĂ© quâIl Ă©tait JĂ©hovah. Câest vrai. « Dieu en Christ, rĂ©conciliant le monde avec Lui-mĂȘme. » Il Ă©tait plus quâun philosophe, il Ă©tait plus quâun prophĂšte. Il Ă©tait Emmanuel.
44 Eh bien, ce soir, nous allons aborder un sujet ici, nous venons de lire les Ecritures lĂ -dessus. Nous allons prendre ceci comme sujet : Alors, quand leurs yeux sâouvrirent, ils Le reconnurent.
45 Eh bien, notre scĂšne commence Ă un beau moment ; notre cadre. CâĂ©tait vers ce temps-ci de lâannĂ©e. CâĂ©tait Ă âĂ PĂąques. CâĂ©tait la premiĂšre, une belle PĂąques. Et JĂ©sus Ă©tait ressuscitĂ© dâentre les morts au printemps de PĂąques, Il vivait une fois de plus parmi les gens. Et beaucoup de ceux qui Lâaimaient ne le savaient pas.
46 Et câest pareil aujourdâhui. Il y en a beaucoup qui Lâaiment, qui nâarrivent pas rĂ©ellement Ă croire quâIl est avec nous maintenant. Ilsâils nâarrivent simplement pas, on dirait, Ă comprendre cela.
47 Ils⊠oui, beaucoup dâentre eux en ce jour-lĂ , ceux qui avaient marchĂ© et parlĂ© avec Lui, nâarrivaient pas Ă comprendre quâIl Ă©tait ressuscitĂ© des morts, quoiquâils eussent eu des tĂ©moins, quâils eussent Ă©tĂ© Ă la tombe et tout, quâils eussent su quâIl Ă©tait ressuscitĂ© des morts, mais ils ne pouvaient toujours pas croire cela. Pourquoi ? Je me demande pourquoi. Voyez, câest bien inhabituel. Voyez ? Il y a⊠Câest vraiment inhabituel.
48 Et Dieu est gĂ©nĂ©ralement dans lâinhabituel. Câest lâinhabituel qui fait de Lui Dieu. Voyez ? Câest ce qui fait de Lui ce quâIl est, câest quâIl fait de façon trĂšs inhabituelle.
49 Eh bien, câĂ©tait inhabituel pour Joseph, avant la naissance, de dĂ©couvrir que Marie, son aimable petite chĂ©rie, sa fiancĂ©e, de dĂ©couvrir quâelle Ă©tait grosse sans quâils soient mariĂ©s. Alors, sans doute quâelle lui avait rapportĂ© la visite deâde lâange Gabriel. Et Joseph Ă©tait un homme juste. CâĂ©tait un homme bon. Et il lâĂ©taitâil lâĂ©tait. Il voulait la croire. Je peux me reprĂ©senter quâil lâaimait de tout son coeur, elle regardait cette jeune Juive dans les yeux. Etâet alors, elle disait : « Joseph, mon chĂ©ri, le glorieux ange Gabriel mâa visitĂ©e, et il a dit que je serai couverte de lâombre du Saint-Esprit et que le Saint Enfant qui naĂźtra de moi, qui sortira de moi, sera appelĂ© le Fils de Dieu. »
50 Eh bien, il voulait croire cela. Mais rien de pareil nâĂ©tait jamais arrivĂ©, câĂ©tait donc trop inhabituel. Et, Ă©coutez, il y avait lĂ un homme juste, un homme bon. Et les Ecritures affirmaient que cela se passerait, quâune vierge concevrait, et il ne comprenait pas cela. Voyez, les Ecritures disaient que Christ naĂźtrait de cette façon-lĂ , cependant, Joseph nâarrivait pas Ă comprendre cela parce que câĂ©tait trop inhabituel.
51 Eh bien, Ă lâĂ©poque, ils nâavaient pas de prophĂšte. Un homme Ă©tait⊠Ils nâavaient pas eu de prophĂštes depuis quatre cents ans. Et alors, Dieu a traitĂ© avec lui par un songe. Et un songe est une voie secondaire. La voie correcte, câest toujours par la Parole, dâabord. Donc, Dieu a une façon de dĂ©montrer si Sa Parole est vraie ou pas. Ou sâil y a nâimporteâŠ
52 Dans lâAncien Testament, Aaron avait les douze pierres, des pierres de naissance, sur son pectoral, ici, et on les suspendait au poteau du temple. Si un prophĂšte prophĂ©tisait, ou que quelquâun avait un songe et le racontait, on lâamenait devant cela, ce qui Ă©tait appelĂ©, comme les prĂ©dicateurs le savent, lâUrim Thummim. Et alors, cela, quand celui qui avait eu le songe le racontait, ou quand le prophĂšte annonçait sa prophĂ©tie et que les lumiĂšres surnaturelles ne brillaient pas sur cela pour former cet Urim Thummim, alors peu importe combien ça paraissait rĂ©el, câĂ©tait faux. LâUrim Thummim devait confirmer que câĂ©tait vrai. Eh bien, le sacerdoce dâAaron a disparu avec lâancien Urim Thummim.
53 Mais Dieu a toujours un Urim Thummim, et câest la Parole. Siâsi un prophĂšte donne une prophĂ©tie, ou que quelquâun fait un songe, et que cela est contraire Ă cette Parole, peu mâimporte combien cela paraĂźt rĂ©el, oubliez ça. Câest lâUrim Thummim de Dieu. Câest ça. Et alors, Cela doit ĂȘtre confirmĂ©. Câest Dieu interprĂ©tant Sa propre Parole.
54 Comme Dieu nâavait pas de prophĂšte dans le pays Ă lâĂ©poque, Dieu a alors parlĂ© Ă Joseph par une voie secondaire. Il montrait que sâil nây a alors rien qui puisse lâexprimer, Dieu peut travailler par nâimporte quoi, nâimporte quoi quâIl a promis. Voyez, Il peut donner un songe. Sâil nây avait pas de prophĂšte, Il pouvait alors donner un songe.
55 Alors, peu importe ce que sont nos petits dons, Dieu peut nous parler par nâimporte quel moyen quâIl veut. Mais cela doit ĂȘtre conforme Ă la Parole. Voyez ? Cela doit ĂȘtre conforme Ă la Parole.
56 Eh bien, nous voyons que son songe Ă©tait conforme Ă la Parole. En effet, EsaĂŻe avait dit : « Une vierge concevra », et câĂ©tait arrivĂ©. Son songe Ă©tait conforme Ă la Parole, et câĂ©tait une vierge qui avait conçu. Et puis, quand leâlâEsprit du Seigneur, lâAnge du Seigneur lui est apparu dans ce songe et lui a dit : « Joseph, fils de David, ne crains pas de prendre avec toi Marie, ta femme, car lâEnfant quâelle a conçu vient du Saint-Esprit », eh bien, la question Ă©tait alors rĂ©glĂ©e.
57 Il Ă©tait un homme juste. Il voulait croire cela. Il voulait croire cela, mais câĂ©tait trop inhabituel pour lui.
58 Et si un homme veut croire nâimporte quoi, etâet que la VĂ©ritĂ© est devant lui, Dieu frayera une voie pour confirmer que câest la VĂ©ritĂ©. Dieu est tenu de faire cela, car câest pour cela quâIl lâa sauvĂ© et ce sont ceux-lĂ qui sont ordonnĂ©s Ă la Vie.
59 Eh bien, nous voyons que cette chose inhabituelle Ă©taitâĂ©tait une chose quâon ne pouvait pas comprendre. Et cette rĂ©surrection Ă©tait inhabituelle.
60 Ils⊠Et cependant, sâils avaient prĂȘtĂ© attention Ă cela, câĂ©tait Sa Parole promise. Il le leur avait annoncĂ©. Il avait dit : « Le Fils de lâhomme monte Ă JĂ©rusalem, Il souffrira beaucoup de choses de la part des paĂŻens, Il sera livrĂ© entre leurs mains, Il sera crucifiĂ©, enseveli, et Il ressuscitera le troisiĂšme jour. » Voyez ? Il avait aussi dit : « De mĂȘme que Jonas avait fait trois jours et trois nuits dans le ventre dâun grand poisson, de mĂȘme le Fils de lâhomme doit souffrir dans le sein de la terre pendant trois jours et trois nuits. » David, lâun de leurs prophĂštes, avait prophĂ©tisĂ©, disant : « Je nâabandonnerai pas Son Ăąme dans le sĂ©jour des morts ni ne permettrai que Mon Saint voie la corruption. » Voyez ? Et tous les prophĂštes avaient parlĂ© de Lui.
61 Et, on dirait que ces disciples, onâon dirait quâils auraientâils auraient reconnu cela, ils auraient dĂ» reconnaĂźtre cela. Mais, vous voyez, cela leur Ă©tait cachĂ©. Pourtant la Parole leur avait Ă©tĂ© promise, et ils nâarrivaient toujours pas Ă reconnaĂźtre Cela. Voyez ? Cela sâĂ©tait accompli exactement tel quâIl avait dit que ça arriverait. Ce que lâAncien Testament avait dit devait arriver. CâĂ©tait parfaitement accompli, et ils ne le comprenaient toujours pas.
62 Remarquez. Pendant quâils allaient lĂ , deux dâentre eux, ClĂ©opas et son ami, Ă©taient en route vers EmmaĂŒs. CâĂ©tait le dimanche matin. Ils Ă©taient donc en route vers lĂ , en train de parler. Ils faisaient route, trĂšs tristes. Oh ! la la ! Ils Ă©taient vraiment abattus, et on dirait ça avait Ă©chouĂ©.
63 Dieu permet que les choses en arrivent lĂ . Il le fait Ă dessein, juste pourâjuste pour vous Ă©prouver. Eh bien, laissez-moi dire ceci clairement devant vous, afin que vous puissiez comprendre, que chaque fils qui vient Ă Dieu doit ĂȘtre formĂ© comme fils. Il doit ĂȘtre Ă©prouvĂ©, chaque fils. Si vous nâavez jamais Ă©tĂ© mis Ă lâĂ©preuve, vous nâĂȘtes pas un fils. Et si vous ne pouvez pas endurer le chĂątiment de Dieu, alors vous ĂȘtes un bĂątard, pas un fils de Dieu. Vous dites que Dieu est votre PĂšre, vous dites : « Oh ! je ne peux pas supporter. » Eh bien, cela montre simplement que Dieu nâest pas votre PĂšre. Voyez ? Vousâvous devriez supporter cela. Eh bien, observez cette Ă©preuve. Dieu fait passer chacun de Ses enfants Ă lâĂ©preuve. Tous ceux qui viennent Ă Lui doivent premiĂšrement subir une Ă©preuve, ĂȘtre testĂ©s, ĂȘtre Ă©prouvĂ©s.
64 Observez-Le quand Il Ă©tait ici sur terre. Un jour, Il a regardĂ© la grande foule des gens qui Ă©taient avec Lui. Oh ! Tout au dĂ©but, Il Ă©tait vraiment beaucoup aimĂ©. Toutes les Ă©glises ouvraient leurs portes : « Ce jeune Rabbin, eh bien, sans doute quâun grand ProphĂšte a Ă©tĂ© suscitĂ© parmi nous. Il guĂ©rit nos malades. Eh bien, Il vient dansâdans ces rĂ©unions de guĂ©rison. Il fait de grandes choses. » CâĂ©tait bien. Mais un jour, il y avait trop de gens qui Le suivaient. Voyez ? Cela Ă©tait un signe pour attirer lâattention des gens.
65 Eh bien, une Voix doit suivre ce signe-lĂ . CâĂ©tait Sa doctrine. Remarquez. Mais quand cette Voix se fit entendre, oh ! câĂ©tait diffĂ©rent ! Oh ! la la ! Ilsâils Lâont crucifiĂ© parce quâIl se faisait Ă©gal Ă Dieu. Quand Il guĂ©rissait les malades, accomplissait les miracles et discernait les pensĂ©es de leur coeur, câĂ©tait merveilleux. Mais quand Il a dit : « Moi et le PĂšre, nous sommes Un », oh ! la la ! câĂ©tait trop pour eux. Ils ne pouvaient pas recevoir cela. Voyez ? Ils⊠CâĂ©tait trop.
66 « Il se fait Dieu. IlâIl cherche donc Ă se faire lâĂ©gal de Dieu. »
67 Eh bien, Il lâĂ©tait. Il Ă©tait le Fils de Dieu. Et Il a dit : « Vous appelez ceux Ă qui la Parole venait, câest votre loi qui le dit âla Parole venait aux prophĂštesâ, et vous les appelez des dieux. Si donc vous pouvez appeler un prophĂšte âdieuâ, comment pouvez-vous Me condamner quand Je dis que Je suis le Fils de Dieu ? Vous sondez les Ecritures, ce sont Elles qui vous disent ce que Je suis censĂ© faire. Et si Je nâagis pas selon ce que la Parole dit que Je dois faire, alors ne Me croyez pas. Mais si Je fais les oeuvres de Mon PĂšre (qui est la Parole), alorsâalors, croyez les oeuvres que Je fais. » Ils nâarrivaient toujours pas Ă le saisir.
68 Câest ainsi que JĂ©sus a dit, un jour⊠Maintenant, suivez. Il nâexplique pas les choses. Il les dit simplement. Remarquez. Il a dit : « Si vous ne mangez la chair du Fils de lâhomme, et si vous ne buvez Son Sang, vous nâavez point de Vie en vous. »
69 Pouvez-vous vous reprĂ©senter ce quâun bon groupe dâintellectuels, un groupe de mĂ©decins qui se tenaient lĂ , des rabbins, des gens bien formĂ©s, dâune haute instruction, ont pensĂ© quand Il a dit cela ? Je peux me reprĂ©senter un mĂ©decin regardant çà et lĂ et disant : « Fiou ! » Leâle prĂ©dicateur lĂšve les yeux et dit : « Hein, hein ! Hein ! » Voyez, cela⊠cela a dĂ©voilĂ© la chose lĂ mĂȘme.
70 Eh bien, Il nâa jamais expliquĂ© cela. Il nâa jamais expliquĂ© cela. Il nâĂ©tait pas obligĂ© de le faire. Il nâĂ©tait pas obligĂ© dâexpliquer cela.
71 « Eh bien, ont-il dit, eh bien, eh bien, Il va faire de nous⊠Il veut faire de nous des vampires humains, boire du sang humain et manger la chair humaine. »
72 Il nâa jamais dit comment cela se ferait. Il a simplement dit : « Si vous ne le faites pas. » Voyez ?
73 Et alors, cette foule-lĂ Ă lâextĂ©rieur, des milliers, a dit : « Oh ! oh ! Le voilĂ . (Voyez ?) Je me disais que ça se dĂ©voilerait dâun moment Ă lâautre. » Voyez, ils attendaient que cela se dĂ©voile. Et Il a veillĂ© Ă ce que cela se dĂ©voile. Ils Ă©taient des parasites, pour commencer. Alors, ils nâont plus marchĂ© avec Lui.
74 Il sâest alors retournĂ©. Il en avait soixante-dix avec Lui. Alors, Il a dit Ă ces soixante-dix, Il a dit : « Que direz-vous quand vous verrez le Fils de lâhomme monter au Ciel dâoĂč Il est venu ? » Eh bien, Il nâa jamais expliquĂ© cela.
75 Il se sont regardĂ©s, ils ont dit : « Eh bien, le Fils de lâhomme monter dâoĂč Il est venu ? Eh bien, nous connaissons Sa mĂšre. Nous connaissons Ses frĂšres, Ses soeurs. Nous avons vu la mangeoire oĂč Il Ă©tait couchĂ© Ă Sa naissance. Nous avons vu le berceau oĂč Il a Ă©tĂ© bercĂ©. Eh bien, Il vient de Nazareth. Venir dâEn Haut ? Ceci est une forte dĂ©claration. » Et ils nâont plus marchĂ© avec Lui. Voyez ?
76 Eh bien, les disciples sont restĂ©s lĂ mĂȘme tout le temps. Ils ne savaient pas cela non plus, mais ils le croyaient. Ils ne pouvaient pas expliquer cela. Lui nâavait jamais expliquĂ© cela. Mais, voyez, ils Ă©taient ordonnĂ©s Ă la Vie. Ils ne pouvaient pas expliquer cela, mais ils se tenaient lĂ . Alors, Il sâest retournĂ© et a dit : « Je vous ai choisis, vous les douze, et lâun de vous est un dĂ©mon. » Il a dit : « Voulez-vous aussi partir ? »
77 Câest lĂ que Pierre a prononcĂ© ces paroles mĂ©morables : « Seigneur, nous sommes convaincus que câest Toi seul qui as la Parole de la Vie. A qui irions-nous ? » CâĂ©tait ça. Voyez ? Voyez ?
78 Il nâa pas expliquĂ© Cela. Il lâa dit de telle maniĂšre quâils rejettent cela. Voyez ? La foi ne pose pas des questions ; elle ne raisonne pas. Elle sonde les Ecritures pour ça. Sâils avaient sondĂ© les Ecritures, ils Y auraient trouvĂ© la preuve de Qui Il Ă©tait. Mais Il sâest dĂ©barrassĂ© dâeux comme cela, les mĂȘmes choses, sans jamais expliquer Ăa.
79 Et lĂ , au prĂ©toire, mĂȘme lorsquâon Lui mettait ce lambeau au visage et que quelquâun Le giflait, disant : « Siâsi Tu es prophĂšte, dis-nous qui Tâa donc frappĂ©, etâetâet nousânous croirons en Toi », câĂ©tait la mĂȘme chose, le mĂȘme vieux dĂ©mon quiâqui Ă©tait lĂ -haut quand Il avait Ă©tĂ© tentĂ©, tout au dĂ©but de Son ministĂšre. Il lui avait dit : « Si Tu es le Fils de Dieu, ordonne que ces pierres deviennent des pains. » Câest ce que ces sacrificateurs et ces rabbins, lĂ -bas, avaient dit : « Siâsi Tu es le Christ, descends de la croix et prouve-le-nous. » Voyez ? Il pouvait le faire. Il savait qui Lâavait frappĂ©. Mais Il ne fait le clown pour personne.
80 Il Ă©tait la Parole, et Il est toujours la Parole. Il a toujours Ă©tĂ© la Parole, et Il demeure la Parole. Et on dirait quâils auraient pu voir cela, mais ils nâont pas vu.
81 Ils Ă©taient⊠remarquez. En route vers lĂ , ils Ă©taient une fois de plus⊠Pendant que vous ĂȘtes assis lĂ , jâaimerais toute votre attention. Ils parlaient de Lui quand Il leur apparut.
82 Eh bien, câest alors quâIl apparaĂźt, quand vous parlez de Lui. Le problĂšme aujourdâhui, câest que nous parlons de beaucoup dâautres choses, sauf de Lui. Nous parlons toujours de ce que nous avons Ă faire, dans une quelconque transaction ou de la lessive Ă faire, ou de telle espĂšce de dĂ©tergent quâil vous faut utiliser, alors que nous devrions ĂȘtre en train de Le louer et de Le glorifier. Il y a⊠« LĂ oĂč est notre trĂ©sor, lĂ aussi sera notre coeur. »
83 Ils auraient dĂ» Le reconnaĂźtre, mais ils ne Lâont point reconnu. Câest pareil aujourdâhui. Cependant, les Ecritures le disaient. Voyez ?
84 IlâIl leur a rĂ©vĂ©lĂ© les promesses scripturaires Le concernant pour cet Ăąge-lĂ . Rappelez-vous, Il a commencĂ© par le commencement. Il a dit : « à hommes sans intelligence, et dont le coeur est lent. » Il leur a expliquĂ© les Ecritures. Et aprĂšs que les Ecritures leur eurent Ă©tĂ© prĂȘchĂ©es, ils ne Le reconnaissaient toujours pas. Si ce nâest pas lĂ uneâune assemblĂ©e moderne, je ne sais pas. Voyez ? Ils⊠Les Ecritures leur avaient Ă©tĂ© expliquĂ©es, et ils ne comprenaient toujours pas cela. Ils allaient çà et lĂ , se disant Ses disciples. Cependant, ils ne Lâavaient jamais reconnu aprĂšs quâIl leur eut indiquĂ© les Ecritures pour cet Ăąge-lĂ , la portion que Dieu avait assignĂ©e pour cela.
85 Il a dit : « Ne savez-vous pas que le Christ devait souffrir ces choses, quâIl devait entrer dans Sa Gloire et ressusciter ? IlâŠÂ » Ils auraient dĂ» reconnaĂźtre cela. Il a dit : « Ne savez-vous pas que tous les prophĂštes avaient parlĂ© de Christ ? » Et commençant par lĂ , Il leur expliqua tout et le leur exposa. Et ils ne Le reconnaissaient toujours pas, jamais, aprĂšs un exposĂ© sur les Ecritures, parfait au possible. Et puis, ils tournoyaient tout autour de cela, eux qui Ă©taient censĂ©s ĂȘtre Ses disciples. « Oh ! Est-ce vrai ? Est-ce vrai ? » Et pourtant, Il Ă©tait cette Ecriture accomplie, se tenant lĂ . Et ils ne comprenaient toujours pas cela. Voyez ?
86 Eh bien, câest vraiment un tableau trĂšs net du jour dans lequel nous vivons. Je nâen parle pas en mal. Je le dis pour dire la VĂ©ritĂ©. Câest tout Ă fait vrai.
87 Ils ne Le reconnaissaient toujours pas, malgrĂ© que Ses promesses quâIl avait faites fussent accomplies. Et Il les leur annonçait, Ă©tant prĂ©sent lĂ mĂȘme en Personne. Et ils ne Le reconnaissaient toujours pas.
88 Remarquez le reproche qui leur a Ă©tĂ© fait pour nâavoir pas reconnu lâEcriture accomplie.
89 Eh bien, alors quâils auraient dĂ» reconnaĂźtre. Ils Ă©taient des disciples. CâĂ©taient des hommes qui avaient fait un grand sacrifice. CâĂ©taient des hommes qui Lâaimaient. CâĂ©taient des hommes qui avaient Ă©tĂ© formĂ©s par Lui. Et cependant, aprĂšs quâIl leur avait dit ces choses, quâIl sâĂ©tait tenu en leur compagnie, et quâIl avait dit que cela arriverait, et cela Ă©tait arrivĂ© ; ils se tenaient bien avec Lui aprĂšs Sa rĂ©surrection, mais ils ne Le reconnaissaient toujours pas.
90 Vous direz : « Pourrions-nous faire pareille chose ? » Câest possible que nous le fassions. Câest vrai. Cela peut certainement ĂȘtre possible. AprĂšs avoir promis dans Sa Parole ce quâIl ferait, et nous voyons cela sâaccomplir exactement comme Il lâavait dit, et nous marchons toujours par-dessus cela. Câest ce quâils avaient fait.
91 Eh bien, Il Ă©tait venu et leur avait dit quâIl serait crucifiĂ©, quâIl ressusciterait le troisiĂšme jour. Et Il sâest alors mis Ă tout leur dire Ă ce sujet.
92 Et ils Ă©taient tristes, ils disaient : « Vous savez, quelques-uns sont allĂ©s Ă la tombe, ainsi que certaines femmes. Ils ont dit quâIl Ă©tait ressuscitĂ© des morts. Toute cette rumeur a provoquĂ© une agitation. » Ils Lui ont demandé : « Es-tu le seul Ă©tranger ici ? Ne connais-tu pas ces choses ? »
93 Il a dit : « Quoi? », juste comme sâIl ne savait rien Ă ce sujet. Voyez, Il a dit cela juste pour les dĂ©sarçonner. Et Il a dit cela Ă dessein, juste pour les mettre Ă lâĂ©preuve.
94 Et ne savez-vous pas quâIl ne change pas de nature ? Il fait la mĂȘme chose, juste pourâpour vous mettre Ă lâĂ©preuve, voir ce que vous ferez. Il agira dâune façon, sous vos yeux, juste pour voir ce que vousâce que vous direz Ă ce sujet, votre attitude, la façon dont vous prenez la chose, ce que vous pensez Ă ce sujet. Il fait cela Ă dessein. Il fait encore cela, parce que Sa nature est immuable. Il lâa fait dans le passĂ©.
95 Souvenez-vous dâElie. Il a mĂȘme amenĂ© un soldat Ă le frapper. Il a dit Ă Achab: « Je montais la garde chez le⊠Et jâai laissĂ© sâĂ©vader un prisonnier. » Il nâavait pas fait ça. Mais il lâa prĂ©sentĂ© comme cela, afin de pouvoir amener Achab Ă prononcer son propre jugement.
96 Il a fait la mĂȘme chose du temps de NoĂ©, et IlâIl ne change pas de procĂ©dĂ©. Et Dieu descend dâune certaine façon. Mais chaque foisâŠ
97 Vous direz : « Eh bien, comment distinguerais-je le vrai du faux ? » Il sâagit de lâEcriture promise pour cette heure. Câest lâEcriture qui est promise.
98 Sâils Ă©taient sortis de leur tradition et quâils sâĂ©taient Ă©loignĂ©s de cette tradition dans laquelle ils Ă©taient, et avaient lu les Ecritures comme Il le leur avait recommandé : « Vous sondez les Ecritures, car vous pensez avoir en Elles la Vie Eternelle, et ce sont Elles qui rendent tĂ©moignage de Moi. Elles vous disent qui Je suis. »
99 Et ils disaient : « Eh bien alors, le rabbin nous a dit ceci et cela. Nous, nous croyons ce que lâĂ©glise dit. » Voyez ?
100 Il ne sâagit pas de ce que lâĂ©glise dit ; câest ce que Dieu dit qui compte, non ce que la dĂ©nomination ou autre dit. Câest en Dieu que vous croyez. Eh bien, câest lĂ quâils avaient failli, parce quâils Ă©taient si enfoncĂ©s dans la tradition quâils ont manquĂ© de reconnaĂźtre cela.
101 Eh bien, nous voyons donc quâIl a dit quâIl les a rĂ©primandĂ©s. Observez : « Hommes sans intelligence, et dont le coeur est lent Ă comprendre tous les signes scripturaires et les choses qui se sont passĂ©s dans cet Ăąge. Hommes sans intelligence, et dont le coeur est lent Ă comprendre tout ce que les prophĂštes ont dit devoir sâaccomplir en ce jour-ci, tous ces signes que vous voyez. La Bible dit que ces signes devaient sâaccomplir en ce jour, et vous les voyez sâaccomplir. Et ĂȘtes-vous donc assez insensĂ©s pour ne pas les croire ? » Et Il leur a parlĂ© directement, et ils ne reconnaissaient toujours pas cela. Vous parlez dâaveugle.
102 Pouvons-nous faire cela ? Peut-ĂȘtre que oui, si nous ne sondons pas les Ecritures pour connaĂźtre lâheure dans laquelle nous vivons, voyer, quelle heure, quel est⊠comment. Il est peut-ĂȘtre plus tard que nous ne le pensons.
103 Ils se disaient pourtant Ses disciples. Ils affirmaient croire chaque Parole quâIl avaitâquâIl avait dite, quâils croyaient toute la Bible. Et le Messie Ă©taitâĂ©tait lĂ , le Dieu de la Bible, identifiĂ© lĂ , identifiant la Parole Ă©crite mĂȘme. Ils Ă©taient censĂ©s ĂȘtre des croyants de cette Parole-lĂ . Et Lui sây est rĂ©fĂ©rĂ©, Il leur En a parlé : « Vous souvenez-vous de ce qui Ă©tait dit Ă ce sujet, ce qui Ă©tait dit au sujet de telle chose ? Comment JĂ©sus devait faire telle chose, ou comment leâle Christ devait faire ceci ? Et comment donc toutes ces chosesâŠÂ ? » Et ils ne comprenaient toujours pas Cela. Ils ne reconnaissent pas. QuâĂ©tait-ce ? Ils connaissaient la lettre de la Parole, mais ils ne connaissaient pas la Parole une fois littĂ©ralement interprĂ©tĂ©e.
104 Câest le cas aujourdâhui. Chaque personne a sa propre interprĂ©tation, alors que Dieu condamne le tout. Câest Dieu qui interprĂšte Lui-mĂȘme. Si Dieu a dit quâIl ferait une chose, et quâIl fait cela, câest ça lâinterprĂ©tation. Dieu interprĂšte Sa propre Parole. Il Ă©tait lĂ , Son propre interprĂšte.
105 AllĂ©luia ! Il est le mĂȘme hier, aujourdâhui et Ă©ternellement. Il sâinterprĂšte Lui-mĂȘme. Il nâa besoin dâaucun sĂ©minaire ni de prĂ©dicateurs, ni de moi, ni de vous, ni de quelquâun dâautre pour LâinterprĂ©ter. Il a promis cela, et puis aprĂšs, Il lâaccomplit. Câest rĂ©glĂ©. Ăa sâinterprĂšte.
106 Il se tenait donc lĂ , le Grand et Puissant ConquĂ©rant de chaque maladie, de chaque affliction, de la mort, du sĂ©jour des morts, de la tombe. Et Il est ressuscitĂ©, ce quâils avaient cru tout du long. Et Il se tenait lĂ , mais eux ne pouvaient pas croire cela. Il parlait tout le temps de Lui-mĂȘme. Il leur disait⊠« Et, commençant par MoĂŻse et les prophĂštes, Il leur expliqua tout ce qui Ă©tait Ă©crit Ă Son sujet. » Ils ne comprenaient toujours pas cela. On dirait quâils ne pouvaient simplement pas saisir cela, câest tout.
107 Câest pareil aujourdâhui. Quel est le problĂšme aujourdâhui ? La raison, câest que nous sommes trop occupĂ©s Ă apprendre nos credo. Nous sommes trop occupĂ©s par nosânos programmes dĂ©nominationnels. Nous sommes trop occupĂ©s avec des soupers de bienfaisance etâet la loterie dans lâĂ©glise. Nous sommes trop occupĂ©s avec la sociĂ©tĂ© dâassistance aux dames. Nous sommes trop occupĂ©s avec nos Ă©missions tĂ©lĂ©visĂ©es et tous ces autres non-sens. Nous sommes trop occupĂ©s pour sonder les Ecritures, voir si Elles sont vraies ou pas.
108 Si vous alliez dans un restaurant et que vous commandiez un bol de soupe, et quâil y ait lĂ -dedans une araignĂ©e, vous intenteriez un procĂšs Ă ceâce restaurant. Vous ne consommeriez cela pour rien au monde, avec une araignĂ©e dedans, parce que vous redouteriez que cela puisse tuer ce petit corps.
109 Mais vous laisserez votre Ăąme recevoir nâimporte quoi, nâimporte quoi, nâimporte quel genre de credo, sans jamais examiner cela pour voir si câest correct ou pas. « Telle voie paraĂźt juste Ă un homme. » Sondez les Ecritures. Cette Ăąme est Ă©ternelle, vous le savez. Ne le faites donc pas. Faites bien attention Ă ce que vous consommez lĂ (voyez ?), ces credo, et toutes ces choses. Nous en avons fait une loge. On se contente dâadhĂ©rer Ă la loge, et câest rĂ©glĂ©. Câest ce que les gens pensent aujourdâhui. Câest pourquoi ils nâont pas le temps dâĂ©tudier, de mĂ©diter, de sonder les choses et de chercher Ă voir si cela est vrai ou pas.
110 Laissez Christ Lui-mĂȘme interprĂ©ter Cela. Et si Cela sâaccomplit, ce quâIl a dit, câest donc la vĂ©ritĂ©. Regardez et voyez si câest pour ce jour.
111 Comme jâen parlais lâautre jour, MoĂŻse ne pouvait pas venir avec le Message de NoĂ©. JĂ©sus ne pouvait pas non plus venir avecâavec le Message de MoĂŻse. Voyez ? CâĂ©tait comme ça, une portion Ă©tait assignĂ©e pour chaque heure.
112 Eh bien, nous ne pouvions pas venir avec le Message de Luther, ni avec Celui de Wesley, ni avec le Message de la PentecĂŽte. Nous sommes bien au-delĂ de cela.
113 Vous direz : « Oh ! Câest quelque chose que vous ĂȘtesâŠÂ » Eh bien, câest ce que pensait lâEglise catholique, que Luther montait cela de toutes piĂšces. Câest ce que Wesley a pensĂ©, ou que les luthĂ©riens ont pensĂ©, que Wesley montait cela de toutes piĂšces. Câest ce que les wesleyens ont pensĂ©, que les pentecĂŽtistes montaient cela de toutes piĂšces.
114 Mais la chose Ă faire, câest dâexaminer les Ecritures, Elles identifient chaque Ăąge. Et si les oeuvres quâIl fait aujourdâhui ne Lâidentifient pas, les promesses de Dieu, alors, laissez cela de cĂŽtĂ©. Mais sâIl dit que cela va arriver et que ça arrive, alors croyez cela. Ce nâest pas un homme. Câest Dieu qui parle, interprĂ©tant Sa propre Parole.
115 « Hommes sans intelligence, et dont le coeur est lent Ă croire tout ce que les prophĂštes ont dit au sujet de Christ. » Cependant, Ses disciples ne pouvaient pas croire la Parole Ă©crite, parce quâils Ă©taient trop occupĂ©s au sujet de, oh ! eh bien, de telle et telle choses, deâŠ
116 Pourtant, aujourdâhui, ils prĂ©tendent croire quâIl est ressuscitĂ© le troisiĂšme jour. Nous en parlons : « Oh ! Nous croyons quâIl est ressuscitĂ© le troisiĂšme jour et quâIl vit aux siĂšcles des siĂšcles. » Alors, quâIl fasse seulement quelque chose exactement comme Il avait promis de le faire, voyez ce quâils disent : « Eh bien, soit câest une bande de saints exaltĂ©s, soit câest de la tĂ©lĂ©pathie mentale, soit câest une espĂšce de diseurs de bonne aventure. OuâŠÂ » Câest juste comme les autres avaient fait autrefois. Voyez, il sâagit de ce mĂȘme esprit. Eh bien, ne lâoubliez pas, le diable retire son homme, mais pas son esprit, lâesprit qui Ă©tait sur ces gens autrefois, ces docteurs religieux.
117 Rappelez-vous, personne ne pouvait pointer du doigt ces pharisiens. Ils devaient mener une vie correcte. On les lapiderait si ce nâĂ©tait pas le cas. CâĂ©taient de bravesâde braves hommes, des docteurs dâune haute instruction, des Ă©rudits. Et JĂ©sus a dit : « Vous, bande de serpents. Vous faites les oeuvres de votre pĂšre. » Pourquoi ? Comment un homme de Dieu pouvait-il donc dire cela de ce genre dâhommes ? Comment pouvait-il donc dire pareille chose ? Parce quâils refusaient de voir la Parole identifiĂ©e rendue manifeste.
118 Eh bien, aujourdâhui, nous voyons que bien souvent, nous avons dit, lesâles luthĂ©riens ont dit : « DĂšs que vous croyez au Seigneur JĂ©sus-Christ, vous recevez Cela. Câest tout. » Les nazarĂ©ens, les pĂšlerins de la saintetĂ© et les mĂ©thodistes libres ont dit : « Non, il vous faut crier pour recevoir Cela. » Les pentecĂŽtistes disent : « Il vous faut parler en langues pour avoir Cela. » Tout cela est faux.
119 Jâai vu des sorciers ainsi que des sorciĂšres parler en langues. Je les ai vus sauter et pousser des cris, et jâai vu des musulmans sâenfoncer des Ă©chardes dans les doigts, pousser des cris plus forts que ceux que je nâai jamais entendu de ma vie des pentecĂŽtistes pousser.
120 Mais cependant, croire, câest bien ; parler en langues, câest bien; crier, câest bien, ainsi que se rĂ©jouir. Mais ce nâest pas encore Cela.
121 Ces pharisiens, certains dâentre eux ont dit : « Eh bien, câest le fruit de lâEsprit, câest ça. » Ces pharisiens avaient des fruits de lâEsprit, ce que nous appelons les fruits de lâEsprit, plus quâils ne pouvaient, plus que nous ne pouvons jamais en produire.
122 Qui direz-vous, si je devais Le faire passer en jugement maintenant, disons par exemple quâun jeune homme vient ici dans la ville aujourdâhui et se dit prophĂšte. Faisons-le passer une minute en jugement. Et maintenant, je vais vous parler contre Lui. Que Dieu me pardonne de dire pareille chose, mais câest juste pour me faire comprendre. « Eh bien, disons que ce jeune homme est par ici. Il se dit prophĂšte. Il vient de GalilĂ©e. Il accomplit beaucoup de guĂ©risons et autres, mais cela ne vaut rien. Regardez lĂ , nous avons la piscine de BĂ©thesda. Les boiteux sont couchĂ©s lĂ . Quand cet Ange descend et agite lâeau, nâimporte qui y entre. Pourquoi Dieu voudrait-Il autre chose Ă cĂŽtĂ© de cela ? » Voyez, ils ont manquĂ© de reconnaĂźtre la Parole de ce jour-lĂ . La promesse Ă©tait sur le point dâĂȘtre accomplie.
123 Eh bien, ils disent : « Câest par le fruit de lâEsprit que nous jugeons cela. » Eh bien, Ă©coutez. Qui se tenait Ă lâĂ©cart, alors que vous couriez çà et lĂ comme des jeunes gens, il passait tout son temps Ă Ă©tudier la Parole de JĂ©hovah ? CâĂ©tait votre vieux et pieux sacrificateur. Qui est celui qui, lorsque papa et maman Ă©taient sur le point de se sĂ©parer, les a amenĂ©s Ă faire passer le bras, lâun autour de lâautre, et les a rĂ©conciliĂ©s ? CâĂ©tait votre vieux et pieux sacrificateur. Est-ce vrai ? Qui Ă©tait celui qui, alors que la rĂ©colte de papa nâavait pas donnĂ© et quâil nâavait pas dâargent, que vous nâaviez rien Ă manger, qui Ă©tait celui qui lui avait Ă©tabli un chĂšque et lui avait donnĂ© de lâargent, ou lâavait aidĂ© Ă surmonter cette difficulté ? Ce vieux et pieux sacrificateur. Qui Ă©tait celui qui sâĂ©tait tenu Ă cĂŽtĂ© de votre mĂšre et de votre pĂšre, Ă votre naissance, dĂšs votre naissance dans ce monde ? Ce vieux et pieux sacrificateur. Qui Ă©tait celui qui vous avait pris dans les bras, vous avait circoncis le huitiĂšme jour et avait consacrĂ© votre vie Ă Dieu ? Ce vieux et pieux sacrificateur.
124 « Et puis, regardez. Il y a des hommes dâaffaires ici dans notre ville. JĂ©hovah exige un agneau. Ces hommes dâaffaires sont des commerçants. Ils vendent des articles, alors, ils nâont pasâils nâont pas⊠ils nâĂ©lĂšvent pas des agneaux. Alors, le sacrificateur a trouvĂ© pour eux un moyen afin quâils puissent purifier leur Ăąme conformĂ©ment Ă la Parole de Dieu. Il a construit de petites cages lĂ dans les cours, il a fait venir lĂ des vendeurs desâdes agneaux, et il permet Ă celui qui veut offrir une offrande expiatoire pour son Ăąme, ce qui est une exigence de JĂ©hovah, de venir acheter cet agneau.
125 « Alors, quâa fait ce Gars lorsquâIl est allĂ© lĂ Â ? Il a renversĂ© les tables de change, Il a frappĂ© ces gens et les en a chassĂ©s Ă coups de fouet, cherchant Ă empĂȘcher les hommes de mettre leur Ăąme en ordre avec Dieu. Et quâa-t-Il dit au sujet de votre vieux et pieux sacrificateur ? âQuâils Ă©taient une race de vipĂšre et quâils Ă©taient du diable.â » Vous parlez du fruit de lâEsprit ? Ils Le dĂ©passaient de trĂšs loin.
126 Mais quelle est lâĂ©vidence dâun croyant ? Câest celui qui croit seulement la Parole identifiĂ©e de lâheure. Ăa a toujours Ă©tĂ© ainsi. Les gens ont embrouillĂ© Cela avec toutes sortes de traditions, de religions, de dĂ©nominations, dâinstructions et tout le reste. Mais Dieu vient avec Sa Parole et La confirme pour lâheure. Câest ça lâĂ©vidence.
127 Regardez-Le et voyez. Il a dit : « Si Je ne fais pas les oeuvres de Mon PĂšre, ne Me croyez pas. Vous sondez les Ecritures, parce que vous pensez avoir en Elles la Vie Eternelle : Ce sont Elles qui rendent tĂ©moignage de qui Je suis. Et si Je ne fais pas ce que les Ecritures disent que Je ferai, alors, ne croyez pas en Moi. » Voyez ? Et ils ne reconnaissaient toujours pas cela, aprĂšs quâils eurent marchĂ© avec Lui, et ici Il sâidentifiait aprĂšs la rĂ©surrection et aprĂšs avoir prouvĂ© par les Ecritures queâque câĂ©tait Lui.
128 Câest toujours le cas aujourdâhui, vous savez, aprĂšs que JĂ©sus est ressuscitĂ© des morts, et quâIl est apparu aux gens dans les derniers jours.
129 Alors quâils disaient, il y a des annĂ©es, tout au dĂ©but du groupe pentecĂŽtiste, que cela nâexistait pas. Câest lâĂ©glise la plus prospĂšre au monde, lâEglise pentecĂŽtiste. Câest le Message quâon a aujourdâhui depuis cinquante ans. On disait : « Câest impossible », mais ça sâest fait malgrĂ© tout. On disait : « Le Saint-Esprit nâexiste pas. » Les gens ont continuĂ© Ă recevoir Cela, Lâont reçu malgrĂ© tout. Dieu avait promis quâIl dĂ©verserait Son Esprit. Comment allez-vous arrĂȘter cela, alors quâIl avait promis de le faire ? On disait : « Personne ne croira cela. » Mais on a cru cela.
130 « De ces pierres, Dieu est capable de susciter des enfants à Abraham, qui croiront Sa Parole. »
131 Ils sont carrĂ©ment allĂ©s de lâavant jusquâĂ devenir lâĂ©glise la plus puissante du pays. Notre Sunday Visitor des catholiques, le Visitor a publiĂ© cela ; il a Ă©tĂ© dit il nây a pas longtemps que lâEglise pentecĂŽtiste est lâĂ©glise la plus prospĂšre de toutes les organisations. Ils ont dit que leur Ă©glise a eu un million de conversions lâannĂ©e passĂ©e, tandis que les pentecĂŽtistes ont eu un million cinq cent mille lâannĂ©e passĂ©e, sans compter les miens, ceux de Roberts, et ceux issus des autres rĂ©unions comme cela. Voyez ? Ce sont juste ceux qui ont Ă©tĂ© amenĂ©s commeâcomme des membres. Dâautres, nous ne savons pas oĂč ils vont, dans ces rĂ©unions dâĂ©vangĂ©lisation. Mais on a enregistrĂ© un million cinq cent mille convertis en une annĂ©e, dâaprĂšs le tĂ©moignage de lâEglise catholique. Voyez ?
132 Ils disaient que câĂ©tait impossible. Et aujourdâhui, les presbytĂ©riens, les mĂ©thodistes et les baptistes cherchent Cela. Et les pentecĂŽtistes sont trop aveugles pour voir lâheure. Ne savez-vous pas quâĂ la septiĂšme veille, alors que les vierges endormies disaient : « Allons ! Donnez-nous un peu de votre huile », et quand il... on leur a dit : « Nous en avons juste assez pour nous-mĂȘmes » ? Et pendant quâelles cherchaient Ă en acheter, lâEpoux est venu, et les autres Ă©taient entrĂ©es. Nous y sommes. Voyez ?
133 « Hommes sans intelligence, pourrait-Il encore dire, et dont le coeur est lent Ă croire tout ce que les Ecritures disent concernant ce jour-ci ; croire quâen cet Ăąge de lâĂ©glise de LaodicĂ©e, Il est mis hors de lâĂ©glise, parce que nous sommes riches, nous nâavons besoin de rienâ »
134 « Eh bien, nous sommes lâune des organisations les plus riches du monde, le mouvement pentecĂŽtiste. Oh ! la la ! Autrefois, on sâassemblait lĂ sur une allĂ©e, mais, frĂšre, elle est lĂ sur la route principale aujourdâhui, avec les meilleures Ă©glises et les meilleurs sĂ©minaires. Nousânous en construisons un, un de cinquante millions de dollars ici mĂȘme maintenant (voyez ?) et toutes sortes de grandes choses. Riche ! »
135 Mais, aprĂšs, vous oubliez la promesse. Vous vous tournez vers la tradition. Et câest pourquoi, quand on en arrive Ă Son identification, les gens sont totalement froids et engourdis avec leur instruction, leur philosophie et autres. Ils ont changĂ© les commandements de Dieu en tradition. Nous nous levons et nous leur parlons, et ça ne passe pas du tout ; câest tout. Ăa revient.
Or, si câest trĂšs raffinĂ©, comme un grand Ă©vĂȘque, ou quelquâun apportant quelque chose comme cela, eh bien, ilsâils recevront cela. Mais, vous voyez, Cela nâest jamais venu comme ça. Si une organisation sâaffectionne de cela, câest en ordre, mais Il ne lâa jamais fait comme cela. Jamais.
136 Si cela sâĂ©tait passĂ© chez CaĂŻphe, et que CaĂŻphe avait alors dit : « Câest moi le Messie. Câest Moi qui suis censĂ© venir », lĂ , voyez les gens auraient dit : « Oh ! TrĂšs saint pĂšre, câest Toi le Messie. »
Mais, voyez, ce nâest pas ça qui identifie le Messie, sesâses titres religieux, ce nâest pas cela qui faisait de Lui le Messie. Il y avait un signe, dit la Bible, qui Lâidentifiait comme Messie.
137 Câest pareil encore aujourdâhui. Non pas nos dĂ©nominations, non pas nos credo, mais ce quâest lâAINSI DIT LE SEIGNEUR. Eh bien, remarquez.
138 Câest pareil aujourdâhui. Nous nous retrouvons dans cette mĂȘme situation. Nous croyons toujours nos credo, la dĂ©nomination, lâinstruction mondaine et autres. Eh bien, vous savez, beaucoup de nos Ă©glises commencent Ă accepter lâidĂ©e quâavant quâun missionnaire puisse aller sur le champ missionnaire, il doit subir un test psychique de la part dâun psychiatre pour voir si son coefficient intellectuel est suffisamment Ă©levĂ© pour devenir missionnaire. Et câest contraire aux Ecritures.
139 La Bible dit que Pierre Ă©tait un homme du peuple sans instruction. Il nâĂ©tait mĂȘme pas capable de signer de son propre nom. Mais il a plu Ă Dieu de lui confier les clĂ©s du Royaume, parce quâil avait vu le Messie, il avait reconnu Son Ă©vidence et sâĂ©tait prosternĂ© Ă Ses pieds, et Lâavait reconnu comme le Messie. Il avait cru la Parole. « Tu es Pierre. Je te le dis, tu es Pierre, et sur cette pierre Je bĂątirai Mon Eglise. » Non pas sur Pierre, non pas sur JĂ©sus, mais sur la rĂ©vĂ©lation spirituelle que Pierre avait reçue de Qui JĂ©sus Ă©tait.
140 Câest ce quâAbel avait fait. « Par la foi, Abel offrit Ă Dieu un sacrifice plus excellent que celui de CaĂŻn. » Les deux garçons ont prĂ©sentĂ© des offrandes. Les deux garçons ont priĂ©. Les deux garçons ont bĂąti un autel. Les deux garçons ont adorĂ© le mĂȘme Dieu. Voyez ? Lâun avait Ă©tĂ© agréé et lâautre, rejetĂ©. Câest parce que, par la rĂ©vĂ©lation, Abel avait vu que ce nâĂ©tait ni les fruits ni les pommes qui avaient fait que nous soyons chassĂ©s du jardin dâEden. CâĂ©tait le sang. Et il a offert le sang, et Dieu a agréé cela.
141 Et considĂ©rezâconsidĂ©rez Moab lĂ -haut, la grande organisation, avec le mĂȘme Dieu ! Balaam est venu lĂ , lâĂ©vĂȘque, il a bĂąti sept autels, exactement ce quâIsraĂ«l avait bĂąti lĂ en bas. Il a placĂ© sept sacrifices purs, des taureaux, et sept bĂ©liers, ce qui annonçait la Venue de Christ. Au fond, tous deux Ă©taient dans le vrai. Mais regardez lĂ en bas, ce petit groupe de renĂ©gats qui allait çà et lĂ , il ne pouvait mĂȘme pas traverser le pays. Ce prophĂšte redoutait quâils connaissent une espĂšce de rĂ©veil lĂ -haut, aussi ne voulait-on mĂȘme pas les laisser passer. Ils Ă©taient Ă©galement en route vers la Terre promise, et il ne voulait pas laisser passer son frĂšre, IsraĂ«l. Exact. IlâŠ
142 Ce que Balaam avait manquĂ© de voir, câĂ©tait ce Rocher frappĂ©, ce serpent dâairain et le chant de triomphe royal dans le camp. Ils ont manquĂ© de voir lâidentification de Dieu parmi eux. Ils avaient tous deux des prophĂštes : Balaam, lĂ -haut, et MoĂŻse, ici en bas. Mais MoĂŻse Ă©tait identifiĂ© par la Parole. VoilĂ la diffĂ©rence. Tous deux de grands prĂ©dicateurs, mais cet homme Ă©tait identifiĂ© par la Parole. Il nâĂ©tait pas dâune nation aussi puissante que lâautre, mais il Ă©tait identifiĂ© par la Parole et il En avait lâĂ©vidence. Amen !
143 LĂ , câest un groupe de vrais croyants. Christ avec nous, Christ en nous. « Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus ; mais vous, vous Me verrez, car Je serai avec vous, mĂȘme en vous, jusquâĂ la fin du monde. » Remarquez.
144 Eh bien, souvenez-vous, trĂšs vite. Ils ont manquĂ© de voir cela. Non. Ils ne comprenaient pas cela, comment câĂ©tait possible. Et la Parole promise Ă©tait pour leur Ăąge. Il Ă©tait cette promesse accomplie, et ils manquaient toujours de voir cela, un signe sĂ»r dâun vrai prophĂšte. Observez ce quâIl a fait. Et ils⊠Eh bien, remarquez. Ils sont viteâŠ
145 Il a dit : « Es-Tu Ă©tranger et ne connais-Tu pas ce JĂ©sus de Nazareth, un ProphĂšte puissant en oeuvres devant Dieu et devant le peuple ? Nous croyions et nous savions quâIl Ă©tait un prophĂšte. » Observez-Le, aussitĂŽt quâils LâidentifiĂšrent.
146 Il continuait Ă demander : « Quoi ? Que sâest-il passé ? Queâquâest-il arrivé ? »
147 Il a dit : « Jésus de Nazareth, un ProphÚte puissant devant Dieu et devant les hommes. Et nous croyions que ce serait Lui qui délivrerait Israël. »
148 Et aussitĂŽt quâils Lâavaient identifiĂ© comme un ProphĂšte, observez, Il a aussitĂŽt recouru Ă la Parole ; unâun vrai signe dâun vĂ©ritable prophĂšte. Un vrai prophĂšte recourt toujours Ă la Parole, parce que la Parole du Seigneur vient au prophĂšte. Voyez ? Et Il va à ⊠Et observez ce quâIl a fait. Ils Lui ont dit quâils croyaient quâIl Ă©tait un ProphĂšte. Eh bien, il convient, il est convenable quâun prophĂšte sâidentifie par la Parole. Amen ! En effet, la Parole vient toujours au prophĂšte.
149 Le vieux docteur Davis est assis ici, en fait, je ne sais pas sâil est ici ou pas. Je pense quâil est ici quelque part en Floride, mâa-t-on dit. Docteur Davis, si vous ĂȘtes ici, câest lui qui mâavait ordonnĂ© dans lâEglise baptiste missionnaire. Autrefois, nous discutions sur les Ecritures. Et il disait que Jean-Baptiste avait premiĂšrement baptisĂ© JĂ©sus⊠ou plutĂŽt JĂ©sus avait premiĂšrement baptisĂ© Jean, parce que Jean nâavait jamais Ă©tĂ© baptisĂ©. Et il prĂȘchait le baptĂȘme, et personne dâautre nâĂ©tait digne de le baptiser, alors JĂ©sus avait baptisĂ© Jean, disait-il ; quand Il lâa laissĂ© faire. Eh bien, je ne comprenais pas cela, comment Il sây Ă©tait pris. Je ne pouvais pas saisir cette Ecriture.
150 Un jour, alors que nous Ă©tions seuls, lâAnge du Seigneur Ă©tait prĂ©sent, Il mâa rĂ©vĂ©lĂ© cela.
151 Voyez ? Maintenant, Ă©coutez. JĂ©sus Ă©tait la Parole ; Jean Ă©tait le prophĂšte. CâĂ©taient les deux plus grands sur la terre : Dieu et Son prophĂšte. Et la Parole Ă©tait Dieu. Et il est toujours convenable que la Parole vienne au prophĂšte. Jean Ă©tait le prophĂšte. Et voici venir la Parole, sâavançant dans lâeau, vers le prophĂšte. La Parole vint au prophĂšte dans lâeau. Amen ! Je me sens religieux. La Parole vient absolument au prophĂšte. Il Ă©tait lĂ , la Parole dans un corps vivant, et le prophĂšte Ă©tait lĂ , dans lâeau, et la Parole est venue au prophĂšte. Je peux voir leurs regards se croiser.
152 Jean leva les yeux, et il vit les cieux ouverts, cette colombe descendant comme un feu, avec des ailes, descendant sur Lui. Une voix se fit entendre de LĂ , disant : « Celui-ci est Mon Fils bien-aimĂ© en qui Jâai mis toute Mon affection. »
153 Quand Jean a regardĂ©, il a vu cette LumiĂšre ou je ne sais quoi, briller. Dâabord, lorsquâIl se dirigeait vers le rivage, il a dit : « Voici lâAgneau de Dieu qui ĂŽte le pĂ©chĂ© du monde. »
154 Il Ă©tait si parfaitement concernĂ©, avec une foi vĂ©ritable, quâil a dit : « Au milieu de vous, il y a quelquâun dont je ne suis pas digne de porter les souliers. Câest Lui qui baptisera du Saint-Esprit et de Feu. » Il savait que JĂ©sus devait venir en son jour, parce quâil Ă©tait Son prĂ©curseur. Il a dit : « Au milieu de vous il y a Quelquâun maintenant, que vous ne connaissez pas. Mais je Le reconnaĂźtrai un de ces jours, quand je verrai ce signe Lâidentifier. » Puis un jour, JĂ©sus sâavança.
155 Il a dit : « Voici lâAgneau de Dieu qui ĂŽte le pĂ©chĂ© du monde. »
156 JĂ©sus, la Parole, sâest directement avancĂ© vers le prophĂšte dans lâeau. Jean a levĂ© les yeux vers Lui et Lâa regardĂ© avec humilitĂ©. Il a dit : « Câest moi qui ai besoin dâĂȘtre baptisĂ© par Toi. Pourquoi viens-Tu vers moi ? »
157 Observez donc ceci, la Parole et le prophĂšte ensemble. Voyez, le prophĂšte aura Ă reconnaĂźtre la Parole, parce que la Parole est manifestĂ©e au prophĂšte. Eh bien, lĂ sâaccomplissait sa prophĂ©tie, quâil prĂ©sentait le Messie. » Le prophĂšte et la Parole Ă©taient lĂ , ensemble.
158 Il a dit : « Câest moi qui ai besoin dâĂȘtre baptisĂ© par Toi, pourquoi viens-Tu vers moi ? »
159 JĂ©sus lâa regardĂ© droit en face et a dit : « Laisse faire, car il est convenable que nous... il nous incombe, il est convenable que nous accomplissions ainsi tout ce qui est juste. » Et aprĂšs quâil lâeut baptisĂ©, Ă©coutez, quâĂ©tait-ce ? JĂ©sus a dit : « En tant que prophĂšte, tu sais que Je suis le Sacrifice, et le Sacrifice doit ĂȘtre lavĂ© avant dâĂȘtre prĂ©sentĂ©. » Amen ! Amen ! Donc, la Parole vient toujours au prophĂšte. Câest exact. Et Il lâa laissĂ© faire. Il a dit : « Câest tout Ă fait exact. »
160 « Il est convenable que nous accomplissions ainsi tout ce qui est juste. Je suis le Sacrifice. Je dois ĂȘtre lavĂ©. Câest exact. Tu as besoin dâĂȘtre baptisĂ©. Amen ! Mais laisse faire, car il est convenable que toi et Moi, nous accomplissions ainsi tout ce qui est juste. » AllĂ©luia !
161 Hommes et femmes, il est convenable que nous, en tant que pentecĂŽtistes, avec le Message de Dieu, nous accomplissions ainsi tout ce qui est juste et croyions en Lui. Il est convenable que nous accomplissions ainsi tout ce qui est juste.
162 Observez, en tant que ProphĂšte, Il alla donc droit Ă la Parole. DĂšs quâils ont dit : « JĂ©sus de Nazareth Ă©tait un ProphĂšte, puissant en oeuvres devant Dieu et devant le peuple. » PuisquâIl Ă©tait un prophĂšte identifiĂ©, Il est donc directement allĂ© lĂ et a pris les Paroles mĂȘmes qui montraient ce quâils disaient quâIl Ă©tait. Ne manquez pas ceci. Il a pris ce quâeux disaient quâIl Ă©tait, Il a pris la Parole Ă©crite et Il sâest identifiĂ© comme Ă©tant cela, et ils ne comprenaient toujours pas cela. Ils ne comprenaient pas cela. Cependant, ils lâont appelĂ© un ProphĂšte; et Il Ă©tait lĂ , un ProphĂšte. Et Il est directement allĂ© Ă la Parole, Il a pris la Parole et a identifiĂ© Son propre ministĂšre.
163 Et ils ont dit : « CeâcâĂ©tait un bon sermon ; câĂ©tait trĂšs bien. Notre coeur brĂ»lait au-dedans de nous. » CâĂ©tait ça. Mais câĂ©tait ça.
164 Je me demande si nous pouvons faire la mĂȘme chose. Il est Ă©crit que nous le ferons. Câest exact. Donc, nous le ferons. Remarquez.
165 Oh ! quel signe dâun vrai prophĂšte ! Il va toujours droit Ă la Parole, mĂȘme sâils ne pouvaient pas comprendre Cela. Il Ă©tait⊠Son enseignement Ă©tait trop Ă©levĂ©.
166 Et, (Oh ! la la ! Oh ! la la !) oĂč est passĂ© le temps ? Encore huit minutes environ, ça sera le temps de vous congĂ©dier. Remarquez. Je ne peux pas comprendre comment ces quarante-cinq minutes sont si vite passĂ©es.
167 Observez. Regardez ici. MĂȘme sâils ne pouvaient pas comprendre, bien que vous nâen soyez peut-ĂȘtre pas capables, mais, sâil vous plaĂźt, faites comme eux. Ils Lâont invitĂ© Ă entrer. Ils ont dit : « Entre. Leâle jour est fort avancĂ©. Entre », ont-ils dit. Câest ça. Câest ça. Câest alors, et alors seulement, quâIl peut se faire connaĂźtre, lorsque vous Lâinvitez Ă entrer.
168 Vous direz : « Je ne comprends pas ça. Jâai entendu cela ĂȘtre expliquĂ© par la Parole, comment ces choses sont censĂ©es arriver en ce jour-ci. Mais jeâjeâjeâje âje nâarrive pas Ă comprendre cela. »
169 Mais invitez-Le quand mĂȘme. Dites : « Entre, Seigneur JĂ©sus. » Pourquoi ne faites-vous pas cela maintenant mĂȘme, voyez ? « Entre. »
170 Comment ? Observez donc. AprĂšs quâils eurent dit cela, Il parut vouloir les dĂ©passer et les laisser. Il peut agir de mĂȘme vis-Ă -vis de vous, mais Il ne le fera pas, si vous Lâinvitez. Il est dit, alors quâIl paraissait vouloir dĂ©passer, et ils ont dit : « Ce soir, le jour est avancĂ©. Eh bien, viens donc et reste avec nous. »
171 Il sâest donc retournĂ© et a dit : « Ăa va, Je vais entrer. » Il est donc entrĂ©. Eh bien, câest ça lâessentiel.
172 MĂȘme si vous ne pouvez pas comprendre la Parole, vous⊠câest tropâtrop profond pour certains parmi vous. Vous ne comprenez pas Cela. Vous ĂȘtes tout bourrĂ©s de diffĂ©rents credo ; Untel dit telle chose, Untel dit telle autre. Et votre pauvre esprit est tel que vous ne savez quoi penser. Je vais vous dire quoi faire. Faites exactement comme eux. Dites : « Entre, Seigneur, et demeure avec moi, juste ce soir. Le veux-Tu ? Entre seulement et reste avec moi maintenant. »
173 Et quand Il est entré, ils ont fermé la porte. Observez comment Il avait donc fait cela.
174 Observez comment Il sâest fait connaĂźtre Ă eux, aprĂšs que la prĂ©dication de la Parole nâavait pas fait cela, la Parole prĂȘchĂ©e et la Parole identifiĂ©e. Et ils affirmaient quâIl Ă©tait un ProphĂšte. Et ils affirmaient ĂȘtre Ses disciples. Il leur a parlĂ© toute la journĂ©e, mais ils nâarrivaient toujours pas Ă saisir cela par la prĂ©dication de la Parole. Absolument pas. Ils ne saisissaient pas cela. Mais une fois Ă lâintĂ©rieur, une fois quâils se sont retrouvĂ©s Ă lâintĂ©rieur, Il leur a ouvert les yeux pour quâils sachent qui Il Ă©tait. Il leur a ouvert les yeux.
175 Comment sây Ă©tait-Il pris ? En faisant quelque chose exactement comme Il lâavait fait avant Sa crucifixion. Il leur a ouvert les yeux, et ils Lâont vu accomplir quelque chose quâils Lâavaient vu faire et que LuiâLui seul fait.
176 Il est diffĂ©rent de tous les autres hommes. Si jamais vous Le voyez, une fois⊠Personne ne peut faire ce que Lui fait. Voyez ? Et les gens ne font pas cela comme Lui le fait ; Il lâa toujours fait ainsi, et Il ne change jamais. HĂ©breux 13.8 est vrai. « Il est le mĂȘme hier, aujourdâhui et Ă©ternellement. »
177 Une fois Ă lâintĂ©rieur, une fois au milieu dâeux, alors Il sâest identifiĂ© en faisant quelque chose quâIl⊠comme Il avait toujours fait.
178 Exactement comme Il avait fait vis-Ă -vis de cette femme au puits. Remarquez. Elle sâest avancĂ©e lĂ , trĂšs arrogante, une petite femme de mauvaise rĂ©putation. Probablement que cette pauvre enfant avait Ă©tĂ© jetĂ©e dans la rue pour mener nâimporte quel genre de vie. Mais au fin fond de son coeur, elle avait une semence prĂ©destinĂ©e.
179 Et ces sacrificateurs et tout lĂ , ils avaient uneâils avaient une instruction, uneâune conception [Espace vide sur la bande. â N.D.E.]âŠ?... pour commencer. Câest ce quâIl a dit.
180 Mais cette petite femme, sa vie était toute souillée. Là au fond, il y avait un tout petit peu de lumiÚre ; mais là au fin fond, une semence attendait. Voyez ? Et aussitÎt que la lumiÚre avait frappé la semence qui avait un germe, cela est venu à la vie.
181 La voilĂ donc venir. Peut-ĂȘtre quâelle Ă©tait en retard Ă cause de son travail. Elle ne pouvait pas venir avec les autres femmes, aprĂšs tout. Elle, peut-ĂȘtre que câĂ©tait une jolie petite dame, elle portait sa cruche sur lâĂ©paule. Et elle sâest avancĂ©e lĂ et sâest mise Ă faire descendre cela au puits. Elle a entendu cet Homme dire : « Donne-Moi Ă boire. » Il sâest mis Ă lui parler. Il a dit : « Va chercher ton mari et viens ici. »
182 Eh bien, voyez, lĂ , elle savait que câĂ©tait le signe du Messie. Elle Lui a dit : « Je nâai point de mari. »
183 Il a dit : « Câest vrai. Tu en as eu cinq. Celui que tu as maintenant nâest pas ton mari. »
184 Elle a dit : « Seigneur, je vois que Tu es ProphĂšte. Nous nâavons pas eu de prophĂšte depuis des centaines dâannĂ©es. Je vois que Tu es ProphĂšte. Eh bien, nous savons que nous attendons le Christ, le Messie oint, et quand Il sera venu, câest exactement ce quâIl sera. » Eh bien, Ă©coutez. Il a dit : « Je Le suis, Moi qui te parle. »
185 Elle est directement entrĂ©e dans la ville. Elle nâavait pas le droit de faire cela, selon leurs lois. Une femme de ce genre-lĂ , un homme ne lâĂ©couterait pas. Mais, essayez de lâarrĂȘter. Câest comme une maison en feu par un jour de vent ; elle est partie. Elle a dit : « Venez voir un Homme qui mâa dit ce que jâai fait. Ne serait-ce pas le Messie ? »
186 Eh bien, rappelez-vous, JĂ©sus nâa jamais rĂ©pĂ©tĂ© cela. Il ne lâa plus jamais fait une autre fois lĂ -bas, mais il est dit que toute la ville a cru en Lui sur base du tĂ©moignage de cette femme. Pensez-y. Oh ! la la !
187 Comme elle connaissait la promesse, ce que le Messie serait, et quand elle a vu cette promesse accomplie, cela lui a ouvert les yeux. Voyez ? Ceux-ci Ă©taient fermĂ©s par le pĂ©chĂ©, mais lorsque cette promesse⊠Elle a dit : « Câest ce que fera le Messie quand Il sera venu.
188 Il a dit : « Je Le suis. » Ses yeux furent ouverts. Elle a la Vie Eternelle parce que ses yeux ont été ouverts.
189 Les yeux de Pierre ont Ă©tĂ© ouverts ; ceux de NathanaĂ«l. Nous en avons parlĂ© lâautre soir.
190 Quâest-ce que la promesse accomplie a fait Ă nos yeux en ces jours ? Cela a-t-il ouvert nos yeux ? Quand nous avons vu Saint Jean 14.12, HĂ©breux 13.8, Saint Jean 14.9 ; quand nous avons vu Luc 17.27-28, et toutes ces Ecritures promises, Malachie 4, tout cela ĂȘtre accompli ici mĂȘme devant nous, quâest-ce que cela a fait Ă nos yeux ? Si cela ne les ouvre pas, ça les aveuglera Ă©ternellement. Cela ouvre les yeux de certains, ça aveugle ceux des autres. Voyez ? Ăa les ouvre Ă cela en ces derniers jours, ce quâIl a promis de faire. Ce quâIl a dit, quâIl le ferait. « Restaurer la Foi. »
191 Oh ! pentecĂŽtistes, vous qui confessez avoir le Saint-Esprit de Dieu, puisse le Dieu du Ciel ouvrirâouvrir vos yeux au Dieu vivant en vous dĂ©barrassant de la tradition, par une promesse de la Bible que nous affirmons croire, ce quâIl a dit que nous serions, une Semence royale dâAbraham appelĂ©e Ă sortir dans ces derniers jours. Et JĂ©hovah descendra au milieu de Son peuple dans la chair et fera exactement ce quâIl avait fait du temps de Sodome.
192 Avez-vous suivi les nouvelles ce soir, comment dans cet Etat mĂȘme, jâoublie combien de centaines dâenseignants, dâenseignants de lâĂ©cole, sont des homosexuels, preuve Ă lâappui ? Ce sont les nouvelles de ce soir. Oh ! tout est pourri jusquâĂ la moelle ! Le gouvernement, affirme-t-on, les autoritĂ©s de lâEtat, il y a pratiquement quarante pour cent parmi eux qui sont des homosexuels confirmĂ©s. Il y a plein de lettres dans mon bureau, des mĂšres qui pleurent de ce que leurs garçons vivent avec des garçons. Et, voyez, câest simplement le jour dans lequel nous vivons. Tout !
193 Les nations se disloquent. Israël se réveille. Il est dans sa patrie. Le figuier bourgeonne.
194 Oh ! LâĂ©glise sâendort dans LaodicĂ©e. Et JĂ©sus cherche Ă obtenir une collaboration, Il nâarrive mĂȘme pas Ă avoir cela ! ...?... Voyez ? Cependant, malgrĂ© toutes ces choses que les Ecritures dĂ©clarent, lâĂ©glise sâendort dans le lit de la mondanitĂ©.
195 Ă Ă©glise, si vous ne pouvez pas comprendre la Parole, ouvrez simplement votre coeur et voyez sâIl ne sâidentifie pas comme autrefois, « le mĂȘme hier, aujourdâhui et Ă©ternellement. » Inclinons la tĂȘte un instant.
196 PĂšre cĂ©leste, peut-ĂȘtre quâun jour⊠Ce nâest pas mon intention dâĂȘtre cassant envers les gens. Ce nâĂ©tait pas mon intention dâĂȘtre dur. Mais, Seigneur, comme le disent les charpentiers : « Comment peut-on faire tenir une planche si on ne rive pas le clou ? » Je prie donc, ĂŽ Dieu, quâils comprennent que câestâcâest par amour chrĂ©tien queâque nous essayons dâenfoncer ceci. Peut-ĂȘtre que câest une visitation pour certains ici, la derniĂšre fois que cela leur sera donc permis. Peut-ĂȘtre que câest la derniĂšre fois que nous nous rencontrons donc. Cette ville peut ne jamais avoir pareil rĂ©veil une fois de plus.
197 Cependant, un jour, ils continueront Ă avoir un rĂ©veil, affirment-ils, mais ça sera terminĂ© pour lâĂ©glise, elle aura Ă©tĂ© scellĂ©e, les portes⊠NoĂ© Ă©tait dans lâarche et la porte avait Ă©tĂ© fermĂ©e derriĂšre lui sept jours avant que la pluie tombe, mais personne ne pouvait plus entrer dans lâarche. Le monde continuait comme dâhabitude.
198 Et un jour, ça pourrait ĂȘtre de mĂȘme. Ils pourraient se rĂ©veiller Ă ce que JĂ©sus avait dit, quand les disciples demandaient : « Pourquoi les scribes disent-il quâElie doit premiĂšrement venir ? »
JĂ©sus a dit : « Il est dĂ©jĂ venu, et vous ne lâavez pas reconnu. »
199 Ăa pourrait ĂȘtre de mĂȘme pour la Venue et lâEnlĂšvement. Un de ces jours, ils se retrouveront dans la tribulation. Ils diront : « Je pensais que lâEpouse partiraitâŠÂ » LâĂ©glise passer par la tribulation ? AssurĂ©ment. LâĂ©glise passera par la tribulation, mais pas lâEpouse. « Eh bien, ceci est-il censĂ© arrivĂ© premiĂšrement ? »
200 Et alors, la Parole pourra se faire entendre : « Elle est dĂ©jĂ partie et vous nâavez pas reconnu cela. » Ils continueront Ă avoir des rĂ©unions Ă lâĂ©glise comme dâhabitude.
201 Ă Dieu, laisse que ce soir les gens, bien quâils ne comprennent pas les Ecritures, cela peut ĂȘtre une Ă©nigme pour eux, mais laisse que chacun dâeux dise : « Alors, Seigneur JĂ©sus, Toi qui es prĂ©sent, entre et demeure avec moi. Jeâjâai un besoin. Jâai lu dans la Bible quâune femme avait touchĂ© Ton vĂȘtement, et Tu Tâes retournĂ©, Tu lui as rĂ©vĂ©lĂ© sa maladie, et Tu as dit que sa foi lâavait guĂ©rie. Et jâai lu encore ceci dans la Bible, que Tu es maintenant âun Souverain Sacrificateur qui peut ĂȘtre touchĂ© par le sentiment de nos infirmitĂ©sâ, et âTu es le mĂȘme hier, aujourdâhui et Ă©ternellementâ. Maintenant, entre dans mon coeur, Seigneur, et donne-moi la rĂ©vĂ©lation. Bien que jâaie marchĂ©, que je Tâaie aimĂ©, mais en vĂ©ritĂ©, je nâai jamais vu cela ĂȘtre accompli. Je Te prie donc, ĂŽ Dieu, de faire cela pour moi ce soir. »
202 Accorde-le Ă ces gens, PĂšre. Et puissent nos yeux ĂȘtre ouverts, dans toute lâĂ©glise, et nous verrons cet aimable, et doux Seigneur JĂ©sus ressuscitĂ©, le mĂȘme hier, aujourdâhui et Ă©ternellement. Accorde-le. Puissent nos yeux ĂȘtre ouverts pour lâamour du Royaume de Dieu. Au Nom de JĂ©sus-Christ. Amen.
203 Eh bien, si je vous laisse sortir Ă temps, je nâaurai pas le temps de former une ligne de priĂšre ici, quoique vous ayez des cartes de priĂšre, je pense. Vous nâavez pas Ă ĂȘtre ici. Dieu est tout aussi puissant ici quâIl lâest nâimporte oĂč.
204 Il⊠Croyez-vous quâIl est omniprĂ©sent ? [LâassemblĂ©e dit : « Amen. » â N.D.E.] Certainement quâIl lâest. Il est omniprĂ©sent, parce quâIl est omniscient. Eh bien, Il connaĂźt la fin parce quâIl⊠Du fait quâIl est omniscient, Il connaĂźt toute chose. Ainsi donc, IlâIl est partout de par Son omniscience.
205 Câest juste comme le mot « prĂ©destiné », câest un mot qui dĂ©range. Je lâai utilisĂ© il y a quelques minutes et je me suis ressaisi, parce que jâai senti un peu de rĂ©serve. Beaucoup de gens ne croient pas dans la prĂ©destination. La prĂ©destination, câest un mot qui dĂ©range. A vrai dire, câest la prescience. Dieu sait dâavance qui voudra et qui ne voudra pas. Ainsi donc, Il peut prĂ©destiner par Sa prescience. Câest la raison pour laquelle Il sait qui voudra et qui ne voudra pas. Voyez ? Il ne⊠Il⊠« Il ne veut pas quâaucun pĂ©risse. » Mais Il sait qui pĂ©rira. Sinon, alors Il nâest pas Dieu. Il doit ĂȘtre tout autant omnipotent quâomniprĂ©sent (voyez ?), omniscient, omniprĂ©sent, omnipotent, infini. Il est infini. SâIl ne lâest pas, Il nâest pas Dieu. Il sait donc toutes choses, par consĂ©quent, Il peut annoncer la fin dĂšs le commencement, parce quâIl est la Parole.
206 Eh bien, je suis un parfait inconnu. Je ne vois personne ici que je connaisse, sauf ce jeune garçon ici mĂȘme. Si je connais ce jeune garçon⊠Vous portiez une grosse barbe, lâune ou lâautre chose depuis longtemps, nâest-ce pas ? Je ne peux pas vous en parler, mais jeâje pense que ce sont lĂ les gens qui sont assis ici devant moi. En dehors de cela, je ne vois personne que je connaisse. Je ne vois personne dans lâassistance que... Il mâest arrivĂ© de voir ce jeune homme pleurer, il y a quelques minutes, sâessuyer les yeux. Je me suis dit : « On dirait que câest le mĂȘme jeune homme que jâavais eu une fois dans une entrevue privĂ©e. Et je ne sais pas dâoĂč il vient. Jâai juste reconnu son visage. Je nâavais pas⊠» Voyez ? Mais, câest lâunique personne que je connais ici pour le moment. TrĂšs bien.
207 Maintenant, voudriez-vous simplement ouvrir votre coeur comme ceci ? Combien parmi vous ont besoin de Dieu ? Levez la main et dites : « Je suis dans le besoin. Je suis dans le besoin. » Peu mâimporte qui vous ĂȘtes. Levez simplement la main. Solennellement donc.
208 Maintenant, puisse le Dieu du Ciel qui a ressuscitĂ© Son Fils, JĂ©sus-Christ, qui, par Sa Parole Ă©crite⊠jâessaie par un don divin dâidentifier Sa PrĂ©sence devant ces gens pour leur gloire, puisse-t-Il envoyer le Saint-Esprit sur moi alors que par ce don, je mâabandonne pour ĂȘtre⊠pour identifier JĂ©sus-Christ dans la chair humaine comme Dieu avait Ă©tĂ© identifiĂ© dans la chair humaine du temps de Sodome, pour accomplir Sa Parole. Puisse-t-Il accorder cela, au Nom de JĂ©sus-Christ.
209 Maintenant, avec respect, tout le monde. Maintenant, mettez-vous simplement Ă prier dans votre coeur : « Seigneur JĂ©sus, je vais ouvrir mon coeur. Alors entre, laisse-moi simplement enfermer toute mon incrĂ©dulitĂ© dehors. Alors, fais-moi connaĂźtre cela, ce que Tu avais fait avant Ta crucifixion ; alors, je reconnaĂźtrai que Tu es ressuscitĂ© dâentre les morts.
210 Eh bien, je ne peux pas vous prendre vous tous. Câest tout Ă fait vrai. Mais certains parmi vous, je nâen doute pas, saisiront cela. Et si Cela saisissait un seul⊠câest juste comme cette femme-lĂ , les autres de⊠les gens de Sychar nâavaient pas Ă voir cela ĂȘtre exercĂ© sur eux. Ils ont cru cela. Et si quelquâun, juste une femme, un homme, un jeune garçon, un enfant, qui que ce soit, peut ĂȘtre identifiĂ© comme cela ; si ces gens lĂ derriĂšre, qui nâont jamais vu cela... nous avons Ă©tĂ© enseignĂ©s lĂ -dessus, nous devrions sĂ»rement croire. Est-ce vrai, frĂšres ? Ăa a lâair raisonnable pour vous tous, nâest-ce pas ? [Les ministres disent : « Amen. » â N.D.E.] AssurĂ©ment.
211 Câest dur pour moi de prĂȘcher comme cela, ensuite on en arrive⊠Voyez, il sâagit de deux dons diffĂ©rents. Lâun, câest prĂȘcher, lâautre, câest avoir des visions.
212 Maintenant, croyez simplement de tout votre coeur et soyez trĂšs respectueux. Ne doutez pas. Ayez simplement foi en Dieu. Commençons par regarder de ce cĂŽtĂ©-ci, quelque part. Que quelquâun regarde juste⊠Vous aurez Ă vous tenir lĂ , au milieu de toutes sortes de croyances. Ne soyez pas pressĂ© lĂ -dessus. Voyez, vous sautez par dessus cela. Câest comme ça, câest comme une partie de vous. Voyez ? DĂ©tendez-vous simplement et dites : « Eh bien, assurĂ©ment. Câest la Parole. Je crois cela. Ce petit homme drĂŽle qui est lĂ ne me connaĂźt pas, mais je sais que JĂ©sus a dit la vĂ©ritĂ© au sujet de la Parole, et je La crois. » Faites-le exactement comme ça. Dites : « Je mâattends Ă Le voir, jâai un besoin. »
213 Je ne peux pas vous guĂ©rir, et ceci ne vous guĂ©rit pas. Mais ça vous aide Ă identifier. Il nâest pas Ă©tonnant que vous soyez mĂ©fiants, vous nâen voyez queâquâune infime partie ici. Cela annonce ce qui arrivera, qui viendra, oĂč, et tout Ă ce sujet. Et Ă aucun moment, Ă aucun moment, cela nâa failli, sur des dizaines de milliers de fois Ă travers le monde. Combien ont dĂ©jĂ suivi cela et savent que câest vrai ? [LâassemblĂ©e dit : « Amen. » â N.D.E.] Levez la main. Voyez ? Eh bien, oh ! la la ! voyez, jamais. Ăaâça ne peut ĂȘtre que Dieu pour que ça soit si prĂ©cis (Voyez ?), parce que câest Sa promesse. Et cela ne peut jamais faillir. Maintenant, Il neâŠ
214 Cela ne vous guĂ©rit pas ; en effet, Il lâa dĂ©jĂ fait. Il sâidentifie simplement comme Ă©tant ici pour tenir cette promesse. SâIl a tenu cette promesse-lĂ , Il tient la promesse de la guĂ©rison. Est-ce vrai, frĂšre ? [Les ministres disent : « Amen. » â N.D.E.] Il tient Sa promesse de la guĂ©rison, puisquâIl tient cette autre promesse-lĂ . Câest un signe plus sĂ»r.
215 Quâarriverait-il si quelquâun se trouvait ici dans un fauteuil roulant, et que je le soulevais ? Cela pourrait ĂȘtre un bon cas de psychologie, ou un petit quelque chose qui a pu faire que cette personne marche. Mais cela ne peut pas discerner les pensĂ©es du coeur. Voyez ? Ăa, câest une chose sĂ»re. Savoir ce que vous avez fait, qui vous ĂȘtes et tout Ă votre sujet, il faut Dieu seul pour que ça soit parfait Ă chaque coup.
216 Tenez. Jeâje souhaiteraisâje souhaiterais pouvoir expliquer cela. Ce nâest pas nĂ©cessaire pour moi de chercher Ă expliquer cela, on ne peut pas y arriver.
217 Mais toutefois, si je peux dire ce mot, quelque chose en moi a changĂ©, vers une autre dimension. Voyez ? Je regarde droit Ă cette Colonne de Feu qui suivait IsraĂ«l dans le dĂ©sert. Combien parmi vous ont vu Sa photo ? Faites voir les mains. AssurĂ©ment ! Je regarde droit Ă Cela. Ici mĂȘme, je regarde droit Ă Cela. Elle est dâune couleur ambre, un peu jaune verdĂątre. Ăa tournoie.
218 Je vois une femme sâavancer. Elle est assise ici mĂȘme. Oui, elle regarde tout droit vers moi. Elle est assise ici mĂȘme, regardant droit vers moi. Et elle souffre. Elle prie pour une maladie quâelle a. Câest une maladie de sang. Câest le diabĂšte. Câest vrai. Câest vrai. Vous toutes deux. Vous toutes deux, assises lĂ , estropiĂ©es, vous souffrez de diabĂšte. Voyez ?
219 Maintenant, quâest-ce ? Vous pensiez Ă cela, nâest-ce pas, essayant dâouvrir votre coeur ? Je vous ai vues apparaĂźtre du coup, et ça sâest passĂ© exactement comme Il lâavait fait avant Sa crucifixion. Eh bien, vous ne me connaissez pas, nâest-ce pas ? Aucune de vous ne me connaĂźt. Si câest vrai, levez la main, si vous ne me connaissez pas. TrĂšs bien. TrĂšs bien. Vous ne me connaissez pas. Ăa a donc dĂ» ĂȘtre Lui, puisque moi, je ne vous connais pas. Ăa a dĂ» ĂȘtre lui.
220 Si seulement vous croyez cela de tout votre coeur, Dieu le manifestera. Vous devez de toute façon croire cela.
221 Tenez. Il y a lĂ un homme qui a murmurĂ©, il a dit quelque chose Ă un autre ; il est assis ici mĂȘme, il regarde, il est un peu costaud, il porte une chemise blanche. Nous sommes inconnus lâun Ă lâautre, monsieur. Est-ce vrai ? Il est assis lĂ mĂȘme Ă cĂŽtĂ© de vous. Est-ce que je vous connais ? Non. Il est derriĂšre vous, monsieur. Non, derriĂšre vous. Lâhomme en chemise blanche. Restez bien Ă votre place. Croyez-vous, vous lâhomme en chemise blanche ? Si Dieu⊠Câest vous. Oui. Vous regardiez tout autour. Si Dieu me rĂ©vĂšle votre maladie, croirez-vous quâIl la guĂ©rira ? Vous souffrez du coeur. Si câest vrai, levez la main. TrĂšs bien. Acceptez-vous votre guĂ©rison ?
222 Eh bien, voilĂ un homme lĂ mĂȘme, il a levĂ© la main, quelque part ici, câest dans ce petit⊠vous. Croyez-vousâvous que je suis le serviteur de Dieu, Son prophĂšte ? Croyez-vous ? Vous souffrez aussi du coeur. Vous avez aussi lâarthrite. Câest votre femme qui est assise lĂ , Ă cĂŽtĂ© de vous, elle souffre de lâarthrite, elle a aussi des malaises. Si câest vrai, levez la main. Câest vrai. Croyez-vous que je peux dire qui vous ĂȘtes ? Monsieur et madame Jones, croyez. Croyez maintenant et soyez guĂ©ris.
223 Croyez-vous de tout votre coeur ? Je vous suis inconnu. Ayez foi en Dieu. Ne doutez pas. Croyez simplement.
224 Voici un homme assis ici, il est un peu grisonnant, il est assis ici mĂȘme au bout, il a la tĂȘte penchĂ©e de cĂŽtĂ©. Il y a lĂ cette LumiĂšre Ă cĂŽtĂ© de vousâŠ?... Croyez-vous que je suis le prophĂšte de Dieu, Son serviteur ? Croyez-vous que ce rhume de foin va vous quitter et que vous serez rĂ©tabli ? Croyez-vous ? Levez la main. Eh bien, je vous suis complĂštement inconnu. Câest pour cela que vous priez.
225 Le suivant a aussi levĂ© la main parce quâil croyait. Bien. QuelâŠ. Il nâa pas le rhume de foin, mais lâarthrite. Câest exact. Si câest exact, levez la main, monsieur. Câest vrai. Eh bien, croyez-vous ? Dieu lui accordera cette grĂące dâavoir la foi.
226 Cette petite dame assise ici mĂȘme au bout, croyez-vous, madame ? Croyez-vous de tout votre coeur ? Oui, oui. Croyez-vous que cette gastrite va vous quitter ? Croyez-vous ? Vous avez un fardeau sur votre coeur, nâest-ce pas ? Câest pour votre fille. Elle nâest pas ici. Croyez-vous que je peux vous dire oĂč elle habite ? Elle habite en Californie. Il y a une ombre noire sur elle. Elle va mourir si rien nâest fait Ă ce sujet ; en effet, elle est couverte de lâombre dâun cancer. Si câest vrai, levez la main. Croyez-vous que je peux vous dire qui vous ĂȘtes, avec lâaide de Dieu ? JĂ©sus a dit Ă Simon qui il Ă©tait. Est-ce vrai ? Madame Ackerman. Si câest ça, levez la main. Oui, oui. TrĂšs bien.
227 Une petite missionnaire assise lĂ Ă cĂŽtĂ© de vous, elle est aussi un peu inquiĂšte au sujet de certaines choses. Câest vrai. Elle prie pour un ami, toute fatiguĂ©e, vous-mĂȘme. Est-ce vrai ? Vous ĂȘtes missionnaire. Croyez de tout votre coeur. Je ne vous connais pas, je ne vous ai jamais vue. Mais câest vrai.
228 La dame assise derriÚre vous, aux cheveux grisonnants, elle a la gastrite. Croyez-vous que Dieu va vous en guérir ? Vous pouvez aussi avoir cela.
229 Croyez-vous de tout votre coeur ? [LâassemblĂ©e dit : « Amen. » â N.D.E.] Voyez ? Quâest-ce ? Câest ce qui est identifiĂ©. Eh bien, câest ce que dit la Parole. Maintenant, Il est ici, Il entre dans votre coeur et Il se rĂ©vĂšle, juste comme Il lâavait fait. Câest exactement ce quâIl avait fait avant Sa crucifixion, nâest-ce pas ? Levez la main. Il est donc ressuscitĂ© des morts. Croyez-vous cela ? [« Amen. »] Maintenant, si vous ĂȘtes dans Sa divine PrĂ©sence, que vos yeux soient ouverts maintenant pour reconnaĂźtre que le Dieu mĂȘme devant lequel vous allez vous tenir au jour du Jugement est ici mĂȘme parmi vous maintenant, accomplissant la chose mĂȘme qui Lâidentifie. Voulez-vous incliner la tĂȘte maintenant ?
230 Pensez-vous Ă Lui ? Voudriez-vous quâIl soit votre Sauveur ? Si vous le dĂ©sirez, voudriez-vous vous lever pour un mot de priĂšre ? Vous qui voulez quâIl soit votre Sauveur, levez-vous pour un mot de priĂšre. Que Dieu vous bĂ©nisse, monsieur. Que Dieu vous bĂ©nisse, madame. Que Dieu vous bĂ©nisse, madame. Que Dieu vous bĂ©nisse. Regardez simplement. Je souhaitais quâon se lĂšve juste un instant afin que je puisse prier pour vous. Levez-vous. « Je veux Lâaccepter comme mon Sauveur. Dans la divine PrĂ©sence de Son Etre, maintenant, je veux Lâaccepter comme mon Sauveur. » Y en aurait-il dâautres ? Je crois quâil y en a. Alors, veuillez vous lever. Que Dieu vous bĂ©nisse. Que Dieu vous bĂ©nisse.
231 Faites-le maintenant. Voyez ? Nâattendez pas demain. Demain pourra ĂȘtre trop tard. Aujourdâhui, Il est votre Sauveur. Demain, Il pourra ĂȘtre votre Juge. Voyez ? Ainsi donc, sâIl parle Ă votre coeur, de mĂȘme que vous ouvrez votre coeur⊠Que Dieu vous bĂ©nisse, vous. Câest bien. Restez simplement debout. Si vous croyez de tout votre coeur, allez-vous Lâaccepter pendant que vous ĂȘtes dans Sa PrĂ©sence ? Allez-vousâallez-vous le faire ? Allez-vous juste Lâaccepter comme votre Sauveur ?
232 Je me demande si vous allez le faire pendant que vous avez votre main sur votre coeur comme ceci, chacun de vous. Prions. Maintenant, priez à votre maniÚre : « Dieu, sois miséricordieux envers moi, pécheur. »
233 Et alors, pendant que vous faites ça, je voudrais que vous veniez dans quelques minutes tĂ©moigner ici que vous Lâavez acceptĂ© comme votre Sauveur. « Car celuiâcelui qui Me tĂ©moignera devant les hommes, Je le tĂ©moignerai devant Mon PĂšre et les saints anges. Celui qui aura honte de Moi devant les hommes, Jâaurai honte de lui devant Mon PĂšre et les saints anges. » Maintenant, remarquez. Rappelez-vous, Il connaĂźt votre coeur. Il lâa prouvĂ©. Il est la Parole. Maintenant, jâaimerais que vous fassiez cela dans quelques minutes. Jâaimerais que vous Lâacceptiez maintenant alors que nous prions.
234 Seigneur JĂ©sus, alors que cette LumiĂšre se mouvait au-dessus et parmi les gens et que des visions apparaissaient au-dessus dâeux, tout dâun coup, Cela sâest arrĂȘtĂ©, puis Câest revenu. Tu as dit que je fasse ceci. « LâobĂ©issance vaut mieux que le sacrifice. »
235 Et, Seigneur JĂ©sus, ceâce groupe de gens, beaucoup parmi eux croient en Toi maintenant mĂȘme. Ils Tâacceptent commeâcomme leur Sauveur. Ils croient. Ils savent que câest vrai. Ils Ă©taient ici mĂȘme quand cela a eu lieu, et ils savent que Tu es ressuscitĂ© des morts, et que Tu es toujours vivant. Ils savent que nous allons au Jugement et que nous Te rencontrerons au trĂŽne du Jugement de Christ. Et nous avons besoin du pardon, Seigneur. Tu as dit dans Ta propre Parole, je vais citer cela, PĂšre, afin queâque nous le sachions, Tu as dit : « Celui qui Ă©coute Ma Parole (câest exactement ce dont nous parlons ce soir), et qui croit Ă Celui qui Mâa envoyĂ© (ils le croient), a (temps prĂ©sent) la Vie Eternelle et ne vient point en jugement, mais il est passĂ© de la mort Ă la Vie. » Eh bien, câest Ta Parole, Seigneur, au mĂȘme titre que Jean 3.16 et tout le reste de la Parole. Tu as dit : « Celui qui croiraâŠÂ »
236 « Celui qui Me confesse, a-t-Il encore dit, devant les hommes, Je le confesserai devant Mon PĂšre et les saints anges. Mais celui qui a honte de Moi devant les hommes, Jâaurai honte de lui devant Mon PĂšre et les saints anges. »
237 Maintenant, dans Ta divine PrĂ©sence, comme Tu es venu ce soir et que nous sommes tous ici, des croyants chrĂ©tiens, nous sentons la PrĂ©sence de Ton glorieux Etre, ce noble et auguste sentiment de laâde la divinitĂ© ou Dieu se mouvant parmi nous. Il nâest pas Ă©tonnant, Seigneur, que Cela aveugle les yeux de lâincroyant, qui ne croit pas la Parole, et que Ăa ouvre les yeux de ceux qui veulent croire.
238 Maintenant, Tu as ouvert les yeux de ces gens en Te rĂ©vĂ©lant Ă eux. Maintenant, Seigneur, ouvre les coeurs de ces gens et Ă©tablis Ta demeure en eux, PĂšre. Ils sont Ă Toi. Je Te les confie. Ils sont les trophĂ©es de Ta Parole. Câest Ta Parole qui les a appelĂ©s, et Ta Parole a Ă©tĂ© identifiĂ©e devant eux. Et maintenant, ils se sont identifiĂ©s en se levant pour tĂ©moigner quâils veulent que Tu pardonnes leurs pĂ©chĂ©s. Tu as dit : « Je ne rejetterai pas celui qui vient Ă Moi. » Les cieux et la terre passeront, mais Ta Parole ne passera point. Ils sont Ă Toi, Seigneur. Ils Tâappartiennent. Au Nom de JĂ©sus-Christ, je rĂ©clame chacun dâeux. Et Ton Nom sera glorifiĂ© pour cela.
239 Puissent-ils ĂȘtre membres de lâEpouse et venir dans la rĂ©surrection. Et si jamais je nâarrive Ă leur parler sur terre, ou Ă leur serrer la main, ou Ă avoir le privilĂšge de les baptiser du baptĂȘme chrĂ©tien, puissent-ils, ĂŽ Dieu, en ce jour-lĂ , quand tout sera terminĂ© et que nous serons assis au souper de noces, puissĂ©-je avoir le privilĂšge de les regarder par-dessus la table. Et quâils disent : « Oh ! eh bien, jâĂ©tais lĂ Ă Tampa, en Floride, ce soir-lĂ , FrĂšre Branham ; je mâĂ©tais levĂ©. Jâavais dit : âMaintenant, Il est ici. Voyez, Il est le mĂȘme.â » Accorde-le, Seigneur. Garde-les par Ta grĂące. Au Nom de JĂ©sus-Christ, je le demande. Amen. Vous pouvez vous asseoir.
240 Dans juste quelques minutes, nous allons vous inviter Ă monter ici, et Ă vous identifier Ă votreâŠ
241 Maintenant, vous qui vous Ă©tiez tenu debout, vous qui Ă©tiez debout pendant la priĂšre, avez-vous tĂ©moignĂ© une chose ou une autre, que vous avez fait une bonne chose, que vous croyez quâIl est le Fils de Dieu, et que vous Lâacceptez maintenant comme votre Sauveur personnel ? Levez la main et dites : « Je Lâaccepte maintenant. » Que Dieu vous bĂ©nisse. Ăa me semble ĂȘtre cent pour cent. « Je Lâai maintenant acceptĂ© comme mon Sauveur. »
242 Maintenant, votre prochain pas, câest dâĂȘtre rempli du Saint-Esprit. [FrĂšre Branham parle Ă quelquâun Ă lâĂ©cart. â N.D.E.] Vous avez une piĂšce pour cela, nâest-ce pas, frĂšres ? Une piĂšce pour cela ici. Oui, oui. On vous donnera plus dâinstructions lĂ -dessus.
243 Maintenant, pour terminer cette ligne de priĂšre ; arrĂȘtons-nous⊠Maintenant, ne vous dĂ©placez pas. Voyez, chaque fois que vous vous dĂ©placez, cela interrompt lâEsprit de Dieu. Voyez ? Eh bien, ne vous dĂ©placez pas. Je sais que je suis en retard une fois de plus. Imposez-vous les mains les uns aux autres. Imposons-nous les mains les uns aux autres et prions les uns pour les autres. Eh bien, câest ça. Câest ça. Chacun de vous est un croyant.
244 Oh ! oui. Ne vous sentez-vous pas bien ? Dites : « Amen. » [LâassemblĂ©e dit : « Amen. » â N.D.E.] Vous sentez maintenant que vous ĂȘtes dans la PrĂ©sence de Dieu, ce sentiment humble et doux, nâest-ce pas ? Puissent nos Ăąmes ne jamais ĂȘtre emportĂ©es par le monde et les autres choses, alors que ce sentiment aimable et doux de notre glorieux Messie, JĂ©sus-Christ, est juste parmi nous maintenant sous forme du Saint-Esprit. Le monde ne sait rien Ă ce sujet, mais nous, nous Le connaissons, nous Le voyons. Nous Le voyons sâidentifier.
245 Rappelez-vous, du temps dâAbraham oĂčâoĂč Dieu Ă©tait dans la chair humaine, Il nâĂ©tait jamais allĂ© lĂ -bas Ă Sodome. Il nây avait que deux prĂ©dicateurs qui Ă©taient partis lĂ , mais pas Lui. Il est restĂ© avec lâEglise Ă©lue, appelĂ©e Ă sortir. Câest Ă ceux-lĂ que le Message Ă©tait adressĂ©. Nâest-ce pas merveilleux quâIl vienne Ă nous aujourdâhui ? Nous nous voyons identifiĂ©s comme la Semence royale dâAbraham, preuve Ă lâappui. Avec Son dos tournĂ© Ă la tente, Il a dit Ă Sara ce quâelle pensait. La mĂȘme chose se passe ici mĂȘme ce soir, Il fait la mĂȘme chose dans la chair humaine. JĂ©sus a dit que cela arriverait aux jours oĂč le Fils de lâhomme serait rĂ©vĂ©lĂ©.
246 Eh bien, Il a ensuite dit ceci : « Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru. Ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris. »
247 Eh bien, avec vos mains ensemble, vos coeurs ensemble, inclinons donc la tĂȘte et prions pour les malades.
248 Notre bienveillant PĂšre cĂ©leste, nous Tâamenons cet auditoire qui est dans lâattente et qui est dans cette PrĂ©sence divine, ĂŽ Dieu. Il nâest pas Ă©tonnant que ces disciples, ClĂ©opas et son ami⊠Il leur a fallu toute la journĂ©e pour arriver Ă EmmaĂŒs, mais, en quelques instants, ils Ă©taient de retour. Ils Ă©taient avec les autres disciples. Ils nâĂ©taient pas allĂ©s discuter sur leurs points de vue religieux, mais ils Ă©taient venus parce quâils Lâavaient vu. Et ils Ă©taient dans⊠Ils Lâavaient rencontrĂ©. Ilsâilsâils Lâavaient entendu prĂȘcher, et ils Lâavaient vu sâidentifier, quâIl Ă©tait le Christ ressuscitĂ©.
249 Tu es la Parole. La Parole a Ă©tĂ© prĂȘchĂ©e. La Parole a Ă©tĂ© rendue manifeste. « Laâla Parole discerne les pensĂ©es du coeur. » Câest ce qui est dit. Et nous sommes aussi sĂ»rs quâils lâĂ©taient, Seigneur, tout aussi sĂ»rs quâils lâĂ©taient. Nous voyons le signe de la rĂ©surrection, et nous savons que câest lâidentification de Ta rĂ©vĂ©lation, comme Ton Eglise et la Parole doivent ĂȘtre un. En effet, le mari et la femme sont un. LâEpouse et la Parole deviennent un.
250 Ă Dieu, lorsque nous voyons Cela parmi nous, combien nous nous En rĂ©jouissons, de voir les mĂȘmes attributs, la mĂȘme photo ĂȘtre prise scientifiquement !
251 LâAnge du Seigneur qui avait fait sortir IsraĂ«l hors de lâEgypte et qui les avait conduits Ă la Terre promise a Ă©tĂ© fait chair et a habitĂ© parmi nous. Il est montĂ© en haut. Il a dit : « Je viens de Dieu et Je retourne Ă Dieu. »
252 Quelques mois plus tard, Il Ă©tait en chemin vers Damas avec Saul, Il lâa terrassĂ©. Et Saul, voyant cette mĂȘme Colonne de Feu, a dit : « Qui es-Tu, Seigneur ? »
253 Il a dit : « Je suis Jésus. Il te serait dur de regimber contre les aiguillons. »
254 Ă Seigneur, nous voyons que deux mille ans plus tard, il est scientifiquement prouvĂ© quâIl est dans lâĂ©glise, la foi le prouve aussi ; Il fait la mĂȘme chose quâIl avait faite pour identifier les Ecritures dâune maniĂšre exacte pour ce jour-ci.
Nous ne doutons plus, Seigneur. Nous croyons. Viens au secours de notre incrĂ©dulité ! Puissent nos coeurs ĂȘtre libĂ©rĂ©s !
255 Que la maladie perde sa puissance. Ces croyants se sont imposĂ©s les mains. La priĂšre de la foi est offerte maintenant mĂȘme. « Et les malades seront sauvĂ©s. Et Dieu les relĂšvera. »
256 Satan, lĂąche cet auditoire. Au Nom de JĂ©sus-Christ, laisse-les aller, quâils soient libres des maladies et des afflictions, pour la gloire de Dieu.
257 Maintenant, continuez Ă ĂȘtre enfermĂ©s. Mettez-vous simplement Ă prier. Priez Ă votre propre maniĂšre. Imposez-vous les mains les uns aux autres maintenant. Continuez simplement Ă prier. Dites : « Seigneur Dieu... », Ă votre maniĂšre, donc. Jâai priĂ© pour vous, maintenant, priez les uns pour les autres. Gardez vos mains sur votre voisin lĂ , dites : « Seigneur, guĂ©ris cette femme. GuĂ©ris cet homme. Je crois cela. Je prie pour lui. Ils prient pour moi. Je crois que Tu es ici. » Eh bien, on serait insensible de ne pas croire cela. Croyez cela de tout votre coeur.
258 Seigneur Dieu, rĂ©tablis-les tous. Priez simplement et croyez. Puisse le Seigneur guĂ©rir chacun de vous, de la plante de vos pieds au sommet de la tĂȘte. Amen.
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