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Honteux de Lui
1 Merci, FrĂšre Neville. Bonjour, mes amis. Câest un plaisir dâĂȘtre ici ce matin. Et â et je pense que jâai fait un⊠Je dĂ©range le tour de frĂšre Neville; il Ă©tait assis lĂ derriĂšre avec son⊠â il rassemblait son texte, et je suis entrĂ©. Il a repliĂ© son texte, et il a dit : «BienâŠÂ»
Cela me rappelle, il y a des annĂ©es, quâun frĂšre de couleur du nom de frĂšre Smith restait dâhabitude par ici, ainsi que soeur Crosse. CâĂ©taient de trĂšs bons amis Ă moi. Et quand jâentrais dans le bĂątiment le soir, le vieil homme avait lâhabitude⊠Il avait une moustache blanche. Je ne sais pas si quelquâun parmi vous se souvient de lui. Et il Ă©tait Ă lâestrade, vous savez. Et tous chantaient : «Câest la grande route qui mĂšne au ciel.» Et frĂšre Smith, vous voyez, il sâasseyait juste comme ceci, vous savez. Et jâentrais par la porte de derriĂšre.
Il y avait une petite fille, assez sombre; elle sâasseyait au coin. Elle tapait les mains, disant : «Elevez-Le», ce cantique, vous savez. Ils chantent cela selon une mĂ©lodie propre Ă eux, vous savez. Et alors, lĂ dans lâautre coin, il y avait quelquâun dâautre qui disait, qui reprenait : «Elevez-Le.» Bien, câest ce quâils chantaient quand je franchissais la porte. Jâaime vraiment ce groupe de gens.
Et alors, le vieux frĂšre Smith assis un peu lĂ , vous savez, et il Ă©tait en quelque sorte du genre calme. Il disait : «Entrez, ancien, faites reposer votre chapeau.» Non pas : «Reposez-vous», «faites reposer votre chapeau.»âŠ?âŠVoyez? «Entrez, ancien, faites reposer votre chapeau.» Il se tenait lĂ , et je pouvais deviner, par la façon dont il allait commencer, ce qui mâattendait.
Il disait : «Bien, disait-il, les enfants, vous savez, disait-il, je â jâĂ©tais assis ici, me demandant simplement : âSeigneur, quâest-ce que Tu vas me donner Ă dire?â» Il disait : «Il â Il â Il continuait Ă me faire «non» de la tĂȘte : âJe ne vais rien te donner Ă dire.â»
Il disait : «Jâai vu lâancien Branham entrer lĂ -derriĂšre, et jâai dit, eh bien: âSeigneur, je commence Ă me rappelerâŠâ» Bien, je savais ce qui mâattendait.
FrĂšre Georges Wright, comment allez-vous, FrĂšre? [FrĂšre Wright rĂ©pond: «Oh! bien, Ă©videmment.» â N.D.E.] Que Dieu vous bĂ©nisse, FrĂšre Wright! Certainement. [«FrĂšre Elijah est lĂ au fond» â N.D.E.] Oh! est-ce bien ça? FrĂšre Elijâ Perry, a-t-il dit, est lĂ au fond. OĂč ĂȘtes-vous, FrĂšre Elijâ? Je ne lâai pas vu. Ăa fait long⊠Eh bien, mon Dieu! Eh bien, il faudrait que nous ayons encore une vĂ©ritable rĂ©union ici avec Elijâ Perry, Georges Wright, et certains vĂ©tĂ©rans qui venaient ici lorsquâil nous fallait presque maintenir les volets en place Ă lâaide de nos mains Ă cause du vent qui soufflait. Ăa fait du bien de vous voir. Maman, la soeur Wright, est-elle avec vous? Est-ce que soeur Wright est ici? Elle est aussi lĂ au fond. Oui, oui. Eh bien, je vaisâŠ?⊠Soeur Perry, je les vois tous maintenant. Eh bien, câest trĂšs bien. Câest un plaisir dâĂȘtre ici. Câest un plaisir dâĂȘtre Ă des endroits comme celui-ci. Câest un plaisir dâĂȘtre ensemble.
Je comptais vraiment revenir, câĂ©tait un fardeau que jâavais sur le coeur. Je reviens dâAfrique comme vous le savez tous. Et lorsque je suis arrivĂ© lĂ -bas, comme jâavais un visa limitĂ©, on nâa pas voulu me laisser â on nâa pas voulu me laisser prĂȘcher, parce que cela rassemble un grand nombre de gens. Et lĂ , on sâattend Ă un soulĂšvement Ă tout moment, et â et on â on nâa pas voulu me laisser prĂȘcher, parce quâon rĂ©unit un grand nombre de gens. Le seul moyen dây arriver, Ă©tait de me faire inviter par une organisation reprĂ©sentĂ©e par le gouvernement, au gouvernement, alors cela permettrait automatiquement au gouvernement dâenvoyer une milice pour la protection. Vous voyez, ils sont juste⊠Il y aura un soulĂšvement, et câest tout ce quâil en est. Câest proche. Voyez? Ce membre du gouvernement a dit : «La derniĂšre fois que vous Ă©tiez ici, vous avez rĂ©uni Ă peu prĂšs un quart de million de personnes.» Et il a dit : «Alors, voyez-vous, ça serait la chose mĂȘme que le communisme cherche, pour un soulĂšvement.» Je ne pouvais donc pas prĂȘcher.
Ces gens se tenaient lĂ , [Ă cause de la dĂ©tresse, ils agitaient les mains] et criaient : «Souvenez-vous de ma mĂšre. Souvenez-vous de mon frĂšre qui est mort⊠MonâŠÂ» LĂ , derriĂšre une barriĂšre, vous savez, une barriĂšre mĂ©tallique; et cela fait que vous vous sentez vraiment mal.
2 Et je suis rentrĂ© Ă la maison, je me suis dit : «Eh bienâŠÂ». Mon fils Joseph, qui est lĂ derriĂšre, avait un petit relĂąchement en lecture, et il avait⊠Il a bien rĂ©ussi, mais il devait bien la maĂźtriser. Il ne lisait pas assez bien. Alors je me suis dit : «Eh bien, nous allons devoir rester quelque temps Ă la maison», puis jâai dit : «Si nous restons Ă la maison, cela va gĂącher les vacances des enfants.» Nous avons donc simplement renvoyĂ© cela Ă plus tard et nous lâavons inscrit pour lâautre quinzaine du mois dâaoĂ»t, et laisser⊠pour revenir ici pour deux ou trois semaines. Voyez?
3 Jâai dit : «Je crois que pendant que nous serons lĂ -bas, je vais tenir une sĂ©rie de rĂ©unions. Nous prendrons lâauditorium de cette Ă©cole, et â et nous tiendrons une sĂ©rie de rĂ©unions du 28 au 1er, une sĂ©rie de rĂ©unions dans lâauditorium de cette Ă©cole.» Je voulais prĂȘcher sur le dĂ©versement de ces sept derniĂšres coupes. Nous avons donc tĂ©lĂ©phonĂ© Ă lâavance et avons Ă©tĂ© quelque peu déçus. Ils ne nous permettent plus dâobtenir ces bĂątiments scolaires; trop de gens sây entasseraient. Nous ne savons les tenir nulle part. Et⊠Jâai donc dĂ©cidĂ© que, pendant que je serais ici, au lieu de⊠Nous ne saurons pas installer tout le monde si nous annonc-... (JusquâĂ prĂ©sent, nous nâavons jamais fait dâannonces.) Si donc nous installons tout ce monde â si nous essayons dâinstaller les gens ici au Tabernacle, nous nây arriverons pas. Vous voyez, seulement cela⊠Cinq jours ici, ce serait affreux. Ainsi, pendant que nous Ă©tions lĂ parlant avec frĂšre Neville, frĂšre Wood et les autres, voici ce que nous avons dĂ©cidĂ© de faire : si nous nây arrivons pas, je vais⊠au lieu que cela nous amĂšne Ă tenir cinq services, ce qui serait les 28, 29, 30, 31 et le 1er, eh bien, je pense quâen commençant dimanche prochain, nous pourrions avoir deux services : le dimanche matin et le dimanche soir (ce serait le 18). Puis le â le 25, nous pourrions avoir le dimanche matin et le dimanche soir. Cela ferait quatre services. Puis le premier aoĂ»t, nous pourrions avoir un service le dimanche matin et un autre le dimanche soir; ce qui nous ferait six services. Les gens nâauront pas Ă trop sâentasser pour entrer. Et je pense que⊠Ne pensez-vous pas que cela serait mieux que dâavoir des gens entassĂ©s, confinĂ©s et tout? Alors vous⊠cela⊠Pour ces deux services, nous pouvons tolĂ©rer cela, mais comme qui dirait tout le monde fait un effort. Mais pour cinq soirĂ©es dâaffilĂ©e, cela serait difficile.
4 Maintenant, pendant que je suis ici, je voudrais rencontrer les administrateurs et les anciens. Cela se fait partout. Nous vivons dans les derniers jours, oĂč lâĂvangile nâa pas la prééminence quâIl devrait avoir; Il nâa pas lâimpact quâIl devrait avoir. Il a Ă©tĂ© enfoui dans la politique et dans toutes ces choses⊠Câest comme une sorte dâunion. Et câest ce Ă quoi cela va finalement arriver, car la marque de la bĂȘte doit venir au moyen dâune union, nous le savons. Ainsi, nous â nous⊠En effet, il sâagit dâun boycott; aucun homme ne pourra acheter ni vendre sâil nâa pas la marque de la bĂȘte.
5 Et maintenant, jâaimerais voir avec les anciens⊠Je me sens conduit. De toute ma vie, je nâai jamais Ă©prouvĂ© une telle faim de Dieu dans mon coeur comme je lâĂ©prouve maintenant. Vous voyez? Car⊠Et je â je veux avoir ma propre tente et mes â mes affaires, comme le Seigneur mâen a donnĂ© la vision, et je crois que le temps est maintenant trĂšs proche. Et pendant que je suis ici, je veux voir pourquoi nous ne pourrions pas obtenir la tente. Et â et alors, quand nous partons, comme quand nous venons ici Ă Jeffersonville, au lieu dâavoir un jour ou deux, ou trois ou quatre jours, nous pourrions aller ici dehors et dresser cette tente et avoir deux ou trois semaines (vous voyez?), cela⊠Personne ne pourrait rien y trouver Ă redire. Nous pouvons prendre un stade de baseball ou, si on ne nous lâaccorde pas, il y a des fermiers par ici qui nous accorderont une ferme. Nous louerons la ferme et â et dresserons la tente lĂ . La seule chose que nous aurions Ă faire lĂ , ce serait de bĂątir nos â nos annexes et tout, et⊠pour nos lieux dâaisance. Et cela pourrait se faire facilement. Et alors nous commencerons Ă avoir nos services comme cela, car câest selon la vision du Seigneur. Câest de cette maniĂšre que cela doit se faire.
6 Et en rentrant hier, jâai vu, vous savez ceci cela, en passant dans la rue, un de mes bons amis qui passait par-lĂ mâa dit : «Salut, Billy!» Je lâai regardĂ©; ses cheveux sont blancs comme neige et il a beaucoup pris du ventre, et â et ce garçon a mon Ăąge! Lorsque jâĂ©tais enfant, nous avions lâhabitude de jouer ensemble (câĂ©tait un beau jeune homme). Je⊠jâen ai eu un sentiment bizarre.
Mon petit garçon Joseph a dit : «Pourquoi es-tu triste, Papa?».
«Oh! ai-je dit, je ne peux pas tâexpliquer cela, Joseph. Tu vois, je ne peux pas â ne peux pas â ne peux te le dire».
7 Je regarde Elijâ Perry, qui est lĂ au fond, ainsi que Mme Perry. Et on dirait que câest hier que ce jeune couple-lĂ avait des cheveux noirs; câĂ©taient mes voisins. Lorsque nous avions le vieux bateau Wahoo, nous pĂȘchions la nuit Ă la riviĂšre. Je les vois tous deux avec des cheveux blancs. Vous savez, cela signifie quelque chose; câest une petite alarme qui vous dit : «Vous nâavez plus beaucoup de temps!». Vous voyez?
8 Ainsi, je veux que chaque jour de ma vie compte pour Lui. Tout le temps qui reste, je veux lâemployer Ă faire quelque chose quelque part, ne serait-ce que me tenir au coin de la rue Ă rendre tĂ©moignage de la gloire et de lâhonneur de Dieu. Et câest dans ce but que je â je suis ici. Jâai un petit endroit secret lĂ -haut Ă Greenâs Mill dans lâIndiana. Ce nâest pas une ville; câest â câest dans la nature. Mais des gens ont repris cela et ils ne veulent mĂȘme pas vous laisser y mettre le pied. Mais jâai lĂ -bas une caverne et on ne me retrouvera jamais lorsque jây entre. Jây vais la nuit et on ne peut pas savoir quand jây rentre ni quand jâen sors. On ne sait pas oĂč se trouve la caverne et on ne peut pas y accĂ©der, peu importe oĂč câĂ©tait. Et je veux aller lĂ -bas pour parler au Seigneur pendant quelque temps. Je sens que câest une nĂ©cessitĂ©.
9 Ma femme aimerait venir, elle aimerait revenir ici, elle, Rébecca, Sarah, et les autres, visiter leurs amies et... si le Seigneur le permet. Nous sommes donc revenus pour les trois prochaines semaines.
10 Et je pense quâau lieu dâessayer dâentasser les gens tous ensemble pour des rĂ©unions ici au Tabernacle⊠Evidemment, ceci nous appartient, ça appartient au Seigneur, câest Lui qui nous lâa donnĂ©; et câest climatisĂ©, nous aimerions avoir un service le dimanche matin et un service le dimanche soir. Cela permettrait aux gens de retourner chez eux et ensuite dâattendre jusquâĂ la semaine prochaine.
11 Je ne pense pas que je pourrais prendre et â et traiter comme il faut le dĂ©versement de ces derniĂšres coupes, car il y a lĂ un message trĂšs, trĂšs important. Mais je pourrais prier pour les malades, et faire des choses que⊠Jâai des messages destinĂ©s Ă la⊠selon que le Seigneur me les donnera pour lâĂ©glise. Pendant la semaine, je vais aller quelque part lĂ dans la nature pour Ă©tudier, puis, je reviendrai dimanche matin pour avoir un service le dimanche matin, comme celui-ci, et un service le dimanche soir.
12 Jâai demandĂ© Ă notre trĂšs bienveillant petit pasteur, frĂšre Neville, si cela lui conviendrait, de le priver de tous ses services, mais il Ă©tait plus que content de les abandonner pour ça.
Je pense que frĂšre Capps, lui aussi, a attrapĂ© la fiĂšvre de vagabondage, et je vois quâil est parti ainsi que â ainsi que frĂšre Humes. Et le Seigneur a placĂ© frĂšre Mann ici pour prendre la relĂšve, et cet endroit... Vous savez, nâest-ce pas merveilleux la maniĂšre dont Dieu fait les choses? Il a toujours fait les choses en leur temps, avec exactitude.
13 En arrivant, jâai entendu quelquâun prĂȘcher et jâai dit : «Cela ne⊠Je croisâŠÂ» FrĂšre Capps est venu Ă Tucson et je crois quâil a trĂšs vite Ă©tĂ© trompĂ©; il faisait environ 110° [Environ 43°c â N.D.T.] degrĂ©s. Il ne voulut rien avoir Ă faire avec cela. Il est donc parti avec frĂšre Humes et ils sont allĂ©s Ă Phoenix; Ă©videmment lĂ il fait 115, 116, 118. [46°c, 47°c, 48°c â N.D.T.] CâĂ©tait encore pire, je pense donc quâaprĂšs cela, il est parti pour le Texas. Il cherche un endroit. Mais je vous assure quâĂ cette Ă©poque de lâannĂ©e, vous ne voudrez pas de lâArizona.
14 Lâautre jour, il faisait 140° [60°c â N.D.T.] vendredi dernier, il faisait 140° [60°c â N.D.T.] Ă Parker. Câest lĂ quâhabite frĂšre Craig, de cette Ă©glise. Vous pouvez casser un oeuf, il sera frit avant de toucher le sol. [FrĂšre Branham rit. â N.D.E.] Crachez et â et lâhumiditĂ© disparaĂźt. Cela⊠Il nây a pas dâhumiditĂ©, ni rien. A cette Ă©poque de lâannĂ©e, câest vraiment un four. Mais vers novembre, dĂ©cembre et janvier, câest merveilleux. Et quand on arrive vers mars et avril, vous â vous feriez mieux de partir si vous ne voulez pas suffoquer.
15 Il sâest donc trouvĂ© que frĂšre Capps et les autres sont venus juste Ă ce moment-lĂ , ce que je pense les a fait fuir. Peut-ĂȘtre que le Seigneur a donc fait cela dans un but. Voici ce que je crois : les pas des justes sont ordonnĂ©s par Dieu.
16 Cela semble quelquefois dur, comme lâautre jour pendant ce voyage en Afrique. JâĂ©tais tellement sĂ»r de me dĂ©placer selon la volontĂ© de Dieu parce quâune annĂ©e auparavant je tenais une sĂ©rie de rĂ©unions, et les gens â les gens⊠Je pensais que les gens de cette organisation, ils avaient dit : «Vous pouvez venir par le canal des Hommes dâAffaires ChrĂ©tiens, mais nous nâaurons rien Ă faire avec cela.»
Eh bien, vous savez, je ne veux pas mĂȘler carrĂ©ment ces hommes Ă cela et crĂ©er un conflit. Je â je veux quâils aient de bons sentiments les uns envers les autres. Câest pourquoi jâai simplement dit : «Eh bienâŠÂ» Je leur ai Ă©crit une lettre, disant : «Rappelez-vousâŠÂ».
17 Cela fait des annĂ©es que jâessaye de retourner en Afrique, car je sens que mon ministĂšre en Afrique nâest pas terminĂ©. Je nâai pas de⊠Pourquoi devrais-je aller en Afrique alors quâici, aux Etats-Unis, jâai six ou sept cents villes ici mĂȘme qui mâappellent, vous voyez? Juste ici, sans oublier le Canada, le Mexique ou lâun de ces endroits. Pourquoi faudrait-il que jâaille lĂ -bas? Mais câest quelque chose dans mon coeur qui mâattire en Afrique. LĂ -bas⊠ces gens, il y â il y a quelque chose en eux que jâaime, et jâaimerais y aller uniquement pour les gens de couleur. Il y a quelque chose chez bon nombre de ces dirigeants qui fait quâils pensent que je ne devrais pas faire cela. Je â je veux aller vers mes amis de couleur. Câest lĂ que le Seigneur mâa appelĂ©. Ces gens sont donc dans le besoin. Beaucoup parmi ces gens⊠Les Blancs peuvent avoir des mĂ©decins et tout, mais ces pauvres indigĂšnes qui vivent lĂ -bas sont Ă moitiĂ© rongĂ©s. Je â je pense que ce sont eux, on dirait, qui recevront cela. Ce sont eux. Il y a quelque chose Ă ce sujet. Si vous en arrivez au point oĂč vous ĂȘtes tellement intelligent que vous connaissez tout, alors Dieu ne pourra rien faire avec vous. Mais si vous en arrivez Ă un niveau oĂč vous ĂȘtes disposĂ© Ă Ă©couter et Ă apprendre, alors â alors câest le temps de Dieu, Il peut venir vous parler.
Ainsi, je leur ai Ă©crit en retour et je leur ai dit : «Souvenez-vous quâau jour du jugement, ces mains osseuses jailliront de la fumĂ©e pour vous condamner. Que leur sang retombe sur vous et non sur moi, car cela fait environ dix ans que jâessaye de retourner lĂ -bas.»
18 Puis, aprĂšs avoir postĂ© la lettre, je suis revenu. Quelque Chose mâa dit : «Vois Sidney Jackson; effectue une tournĂ©e de chasse». A ce mĂȘme moment, le Seigneur parlait Ă Sidney Jackson lui disant : «Lion Ă la criniĂšre blonde, frĂšre Branham, camping; Durban, grande rĂ©union.»
19 Eh bien, il Ă©tait ici et il vous a parlĂ©. Soit dit en passant, nous avons baptisé⊠Il Ă©tait fermement opposĂ© au baptĂȘme au Nom de JĂ©sus-Christ et sa femme Ă©tait pire que lui; elle se dĂ©robait tout simplement. On pouvait⊠Je vous assure, je nâai plus jamais vu des gens fervents. Ils ont lĂ -bas environ 150 pasteurs qui ont Ă©tĂ© baptisĂ©s au Nom de JĂ©sus-Christ et ils sont vraiment en train dâenflammer le pays. Le Message est en train de balayer lâAfrique partout. Des aviateurs et de grands hommes viennent pour ĂȘtre baptisĂ©s au Nom de JĂ©sus-Christ.
20 Et ainsi je⊠Lorsque je me suis mis en route pour aller lĂ , je vous assure, jamais je nâai rencontrĂ© autant de difficultĂ©s de toute ma vie, en cherchant Ă y aller. Et puis Ă la toute derniĂšre minute, juste Ă la toute derniĂšre minute avant que je ne parte, on avait mis lĂ sur mon visa : «Ne peut envisager un quelconque type de services religieux; ne peut venir que pour chasser.»
21 Eh bien, câĂ©tait donc flagrant; mais jâai dit : «Je me moque de ce que fait le diable, je â je ne peux pas... Je ne peux pas confirmer ce que frĂšre Jackson a dit du lion Ă la criniĂšre blonde, de ceci, cela et le reste. Je â je ne peux pas confirmer cela. Mais je sais que Dieu mâa dit de voir Sidney Jackson et dâaller Ă la chasse.» Et que jâai dit : «Jây vais.» Et des fois⊠jâai effectuĂ© un de mes plus grands voyages. Jâai dĂ©couvert le problĂšme. Eh bien, si le Seigneur le veut, je pense donc pouvoir retourner en Afrique vers le mois dâoctobre pour tenir une sĂ©rie de rĂ©unions et tout, avec une pleine collaboration et tout le reste, vous voyez. Jâai examinĂ© le fond de la chose et jâai dĂ©couvert oĂč Ă©tait le problĂšme et quelle en Ă©tait la cause.
En Ă©crivant ici, untel a telle chose Ă dire, un autre a telle chose Ă dire, celui-là ⊠La meilleure chose Ă faire, câest dâaller voir vous-mĂȘme. Et je sais ce qui nâallait pas et quelle en Ă©tait la raison. CâĂ©tait Ă cause du rassemblement de beaucoup de gens que le gouvernement ne mâa pas permis de tenir cela.
22 Or, si ce sont les Hommes dâAffaires ChrĂ©tiens ou nâimporte quelle organisation qui nous introduisent, alors automatiquement le gouvernement⊠Comme les organisations sont reprĂ©sentĂ©es au gouvernement, celui-ci envoie une milice de protection.
Sâil y avait vingt-cinq hommes dâune dĂ©nomination et vingt-cinq dâune autre, on ne voudra toujours pas recevoir cela. Il faut que ce soit le â le responsable de cette organisation. Et les Hommes dâAffaires ChrĂ©tiens sont une organisation non-sectaire qui reprĂ©sente toutes les Ă©glises. Le Dr Simon, qui est leur responsable lĂ -bas, est un homme trĂšs bien; jâai eu Ă le voir et Ă lui parler. Et ils organisent des rĂ©unions et toutes les autres Ă©glises viennent se rassembler. Vous voyez? Et je crois que nous aurons une des plus grandes rĂ©unions quâil y ait jamais eu en â en Afrique.
23 Mais voici ce Ă quoi je voulais en venir : lorsque vous savez que vous â vous essayez de faire ce qui est juste, la premiĂšre chose Ă faire est de sentir si vous ĂȘtes conduit Ă faire quelque chose; ensuite, vĂ©rifiez Ă lâaide de la Parole pour voir si câest en accord avec Elle; et Ă ce moment-lĂ , que rien ne vous arrĂȘte. Peu mâimporte combien de bĂątons le diable va vous mettre dans les roues, passez simplement par-dessus cela.
24 Lorsque je suis venu ici, jâai dit Ă ma femme, Ă frĂšre Wood et Ă quelques amis que jâai rencontrĂ©s hier que, pendant environ cinq ans ici, je savais Ă peine ce que je devrais faire. Cela a Ă©tĂ© un â un⊠nerveux. Vous voyez? Le rĂ©veil dans les Ă©glises est mort; tout le monde le sait. Vous sentez cela ici dans ce tabernacle; vous le sentez partout. Il y a une lourdeur â une froideur. Il y a tout simplement quelque chose qui ne va pas; câest parce que les gens nâont plus lâenthousiasme du rĂ©veil. Allez dans les Ă©glises et vous verrez les gens assis lĂ , et le pasteur qui dĂ©livre un message et lâune ou lâautre chose avec hĂ©sitation. Et ensuite, vous savez, il termine par une espĂšce de manifestation quâils projettent dâavoir ou quelque chose de ce genre. Câest comme si partout il y a une lourdeur de mort.
25 Billy Graham a constatĂ© cela, ainsi que Oral Roberts. M. Allen a eu des ennuis, comme vous le savez. Oral Roberts dispose lĂ -bas des immeubles dâune valeur de cinquante millions de dollars et tout le reste. Il a une Ă©cole. Et, eh bien, en ce moment, il nây a personne dans le champ missionnaire.
26 Je suis parti dâici dâaprĂšs une vision pour aller Ă Tucson, afin de voir ce que le Seigneur voulait que je fasse. Il est venu Ă ma rencontre lĂ -haut, comme Il vous a dit ici quâIl le ferait, sous la forme de sept Anges, et Il mâa dit de retourner et que les Sept Sceaux devaient ĂȘtre ouverts. Câest exactement ce qui est arrivĂ©.
Il a dit⊠Un jour, ensemble avec frĂšre Wood quand il est venu lĂ , nous sommes allĂ©s Ă ce mĂȘme endroit et jâai lancĂ© une pierre en lâair, et elle est tombĂ©e. Il a dit : «Encore un jour et une nuit, tuâŠÂ» (Je ne me souviens pas quels sont les termes exacts quâIl a employĂ©s). «Tu verras la gloire de Dieu.» Et le jour suivant, un tourbillon descendit des cieux, et nous savons ce qui arriva. Lorsque ce tourbillon remonta, les gens demandĂšrent ce que câĂ©tait. Je dis : «Cela a prononcĂ© trois mots dans trois grandes dĂ©tonations». Les hommes nâont entendu que les dĂ©tonations. Moi, jâai compris ce qui avait Ă©tĂ© dit. Et il Ă©tait dit : «Le jugement frappe la CĂŽte Ouest.» Deux jours plus tard, lâAlaska a failli sombrer. Il y eut des coups de tonnerre, des tremblements de terre et tout. Regardez-les simplement; chaque jour, il y a des tremblements de terre qui secouent partout.
27 Ma derniĂšre rĂ©union, la derniĂšre rĂ©union que jâai eue⊠Ceci sera mon premier message, Ă vrai dire, que je prĂȘche depuis ce temps-lĂ . JâĂ©tais en train de prĂȘcher Ă Los Angeles au Biltmore Auditorium et je parlais dâun homme qui sâest choisi une Ă©pouse. Vous en avez probablement la bande. Câest... Jâai dit : «Cela reflĂšte son caractĂšre et ses ambitions.» Lorsquâun homme se choisit une femme, se choisit une jeune fille et... pour quâelle devienne sa femme sâil se choisit une â vous savez, une fille moderne, une espĂšce de Ricketta, cela â cela montre simplement ce quâil est⊠Sâil Ă©pouse une reine â une reine de beautĂ© ou une reine du sexe ou quoi que ce soit, cela montre son â ce qui est rĂ©ellement dans lâhomme.
28 Mais un chrĂ©tien recherche le caractĂšre chez une femme, car il envisage de fonder un foyer avec cette femme dans lâavenir. Il envisage â il prend une femme au foyer. Et jâai dit : «Alors Christ, selon Sa Parole ici, nous dit quelle sera notre future demeure. Quel genre de femme va-t-Il donc choisir? Une prostituĂ©e dĂ©nominationnelle? Jamais! Il choisira une femme qui est caractĂ©risĂ©e par Sa Parole et ça sera elle, lâEpouse».
29 Et tandis que jâĂ©tais lĂ -bas, quelque chose mâa frappĂ©; pendant environ trente minutes, je nâai pas su ce que câĂ©tait. Une prophĂ©tie a Ă©tĂ© donnĂ©e. La premiĂšre chose dont je me souvienne, câest que jâĂ©tais en train de marcher dans la rue avec frĂšre Mosley et Billy. Et il Ă©tait dit : «Toi, CapernaĂŒm, qui tâappelles du nom des Anges (câest Los Angeles, la ville des anges, vous voyez? Les anges), et qui est Ă©levĂ© jusquâaux cieux, tu seras prĂ©cipitĂ© au sĂ©jour des morts, car si les oeuvres puissantes qui ont Ă©tĂ© accomplies au milieu de toi avaient Ă©tĂ© faites au milieu de Sodome, elle subsisterait encore Ă ce jour». Et, je ne me rendais pas compte de tout cela. Vous voyez?
30 Et quand jâai terminĂ© dâexhorter⊠Christ, de Lâexalter et de parler Ă lâEglise, jâai dit : «Vous les femmes, peu vous importe combien jâessaie de venir auprĂšs de vous et de prĂȘcher contre ces choses que⊠Vous, les hommes; vous les prĂ©dicateurs, vous trompez constamment les gens, toujours, vous le faites malgrĂ© tout. Vous foulez cela au pied comme si la Parole de Dieu nâĂ©tait rien».
31 Et lorsque jâai compris cela, je suis allé⊠Jâai dit : «Il y a un passage des Ecritures quelque part Ă ce sujet». Et je suis parti et jâai dĂ©couvert quâil sâagissait de JĂ©sus rĂ©primandant CapernaĂŒm qui Ă©tait au bord de la mer. Ce soir-lĂ , jâai regardĂ© dans les Ăcritures. Je suis rentrĂ© Ă la maison, jâai pris un livre dâhistoire; Sodome et Gomorrhe furent autrefois des â des villes prospĂšres, le quartier gĂ©nĂ©ral des nations dans le monde. Et vous savez que lors dâun tremblement de terre, cette ville sombra dans la mer Morte. Et JĂ©sus Se tint lĂ et dit : «CapernaĂŒm, si les oeuvres qui ont Ă©tĂ© faites au milieu de toi avaient Ă©tĂ© faites au milieu de Sodome, elle existerait encore aujourdâhui; mais, maintenant, tu dois ĂȘtre prĂ©cipitĂ© au sĂ©jour des morts.» Et environ deux ou trois cents ans aprĂšs Sa prophĂ©tie, eh bien, toutes ces villes de la cĂŽte, chacune dâelle existe encore Ă lâexception de CapernaĂŒm, et celle-ci se trouve au fond de la mer. Un tremblement de terre lâa prĂ©cipitĂ©e dans la mer.
32 Jâai alors prophĂ©tisĂ© : «Los Angeles ira au fond de la mer.» Je suis rentrĂ© chez moi, puis, je suis allĂ© en Afrique. Et pendant que jâĂ©tais en Afrique, il y a eu un tremblement de terre. Et les hommes de science⊠Vous avez vu cela. Câest lors dâune Ă©mission tĂ©lĂ©visĂ©e quâon a vue de grandes et belles maisons de Los Angeles qui se sont Ă©croulĂ©es, ainsi quâun motel et tout. Et maintenant, il y a un⊠Depuis ce tremblement de terre, il y a dans la terre une fissure de deux ou trois pouces [5 ou 8 cm â N.D.T.]; elle part depuis lâAlaska, contourne les Ăźles AlĂ©outiennes, sâavance jusquâĂ une distance dâenviron cent cinquante ou deux cents miles [240 km ou 320 km â N.D.T.] dans la mer, revient jusquâĂ San Diego, passe en Californie ou Ă Los Angeles, et ressort juste en-dessous de la partie Nord de la Californie, lĂ , dans une petite ville appelĂ©e San JosĂ©, juste lĂ en-dessous. Et cet homme de science expliquait dans lâinterview. Nous suivions cela Ă la tĂ©lĂ©vision. Et il a dit : «Juste en-dessous de cela, il y a de la lave qui bouillonne.» Et il a dit quâils⊠il a dit : «CâestâŠUne grande partie va se dĂ©tacher, a-t-il dit, et cela vaâŠÂ»
33 Et cet inter-⊠homme sur⊠cet homme de science qui interviewait lâhomme de science en chef lui a dit, il a dit : «Eh bien, se pourrait-il alors que le tout sâenfonce?» Il a dit : «Pourrait? Cela doit arriver.»
Lâhomme a dit : «Bien, Ă©videmment, nous avons probablement encore beaucoup, beaucoup dâannĂ©es devant nous.»
Il a dit : «Cela peut arriver dâici cinq minutes ou dâici cinq ans.» Il a accordĂ© cinq ans.
Mais aussi sĂ»rement que je me tenais lĂ sous cette inspiration, un jugement a Ă©tĂ© prononcĂ© contre cette CĂŽte Ouest, cela a Ă©tĂ© suivi jusque-lĂ par lâengloutissement de Los Angeles; câen est fini dâelle. Câest vrai. Cela va arriver. Quand? Je ne sais pas.
Mais, oh! Que sâest-il passĂ©? Vous savez, nous nâavons que six continents maintenant; nous en avions sept. Celui qui a sombrĂ© entre lâAfrique et les Etats Unis⊠Oh! Câest quelque chose dâhistorique; vous savez cela.
34 Eh bien, si cela sombre, alors je veux que vous observiez le moment oĂč⊠CâĂ©tait un sermon que jâai prĂȘchĂ© quand⊠Je crois que frĂšre Elijâ Perry devrait ĂȘtre diacre ici dans lâĂ©glise Ă ce moment-lĂ , Ă ce que je sache. Et il fut dit : «Le temps viendra (je ne savais plus cela jusquâĂ ce que Mme Simpson mâapporte le â le sermon lâautre jour, câest Ă©crit dans un petit livre) oĂč le dĂ©sert⊠lâocĂ©an se frayera un chemin dans le dĂ©sert.» CâĂ©tait il y a trente ans. Et, bien sĂ»r, la mer Salton se trouve Ă environ deux cents pieds [61 m â N.D.T.] en-dessous du niveau de la mer. Si ce grand bouillonnement⊠cette terre engloutit comme cela des centaines de kilomĂštres et des centaines de kilomĂštres carrĂ©s qui sâenfoncent dans la terre, cela provoquera un raz-de-marĂ©e qui ira jusquâen Arizona. Certainement!
Oh! nous sommes au temps de la fin! Quelle heure glorieuse! Lâapparition du Seigneur JĂ©sus⊠Il a dit : «Il y aura des tremblements de terre en divers endroits. On ne saura que faire en ce moment-lĂ , lâangoisse parmi les nations, les hommes rendant lâĂąme de terreurâŠÂ» Il a dit : «Lorsque ces choses commenceront Ă se produire, redressez la tĂȘte, votre rĂ©demption est proche.» Oh! la la!
Les nations se disloquent;
Israël se réveille;
Les signes que les prophÚtes avaient prédits;
Les jours des Gentils sont comptés,
Ils sont encombrĂ©s dâhorreur;
Retourne, Î toi dispersé vers les tiens (Assurez-vous de faire cela!)
Ce jour de rédemption est proche;
Les hommes rendant lâĂąme de terreur;
Soyez remplis de lâEsprit de Dieu,
Que vos lampes soient mouchées et propres;
Levez les yeux, votre rĂ©demption est proche. (Câest juste.)
Les faux prophĂštes mentent;
Ils renient la vérité de Dieu,
Que JĂ©sus le Christ est notre DieuâŠ
35 [Espace vide sur la bande. â N.D.E.] Vous avez vu cette photo lâautre jour, comment en tournant cette photo de cĂŽtĂ©, la photo mĂȘme de ces sept Anges sâĂ©levant⊠Faites-la pivoter vers la droite, vous voyez le visage du Seigneur JĂ©sus regardant de nouveau en bas vers la terre. Souvenez-vous, lorsque jâai prĂȘchĂ© les sept Ăąges de lâĂglise, je ne comprenais pas pourquoi JĂ©sus se tenait lĂ avec une⊠blanche sur la tĂȘte. Il Ă©tait un jeune homme. Je ramenais cela dans la Bible et il Ă©tait dit : «Il vint vers lâAncien des jours dont les cheveux Ă©taient blancs comme la laine.» JĂ©sus nâavait que trente-trois ans et demi lors de Sa crucifixion.
36 Jâai tĂ©lĂ©phonĂ© Ă frĂšre Jack Moore qui est un thĂ©ologien. Il a dit : «Oh! FrĂšre Branham! câest JĂ©sus dans Son Ă©tat glorifiĂ©, a-t-il dit. AprĂšs Sa mort, Son ensevelissement et Sa rĂ©surrection, Il est devenu comme cela.» Ăa a lâair bon pour un thĂ©ologien, mais ça ne semblait pas bon; ce nâĂ©tait pas convaincant.
37 Je suis allĂ© lĂ et jâai commencĂ© par le premier Age de lâĂglise; câest alors lĂ que le Saint-Esprit a rĂ©vĂ©lĂ© cela. Je⊠(Vous avez cela juste dans vos «Ages de lâĂglise». Je crois que les livres vont sortir trĂšs prochainement, et il y aura tous les dĂ©tails.) Et il Ă©tait montrĂ© que JĂ©sus Ă©tait le Juge. Autrefois, les gens portaient une perruque blanche, ils mettaient une perruque et la portaient en tant que juges (En Angleterre, ils le font toujours). Quand vous avez lâAutoritĂ© suprĂȘme...
En tournant cette photo de cĂŽtĂ©, on Le voit lĂ avec Ses cheveux noirs (vous pouvez voir cela Ă cĂŽtĂ© de Sa barbe) et Il porte une perruque blanche. Il est la derniĂšre AutoritĂ©; Il est lâAutoritĂ© suprĂȘme; mĂȘme Dieu lâa dit Lui-mĂȘme : «Celui-ci est mon Fils bien-aimĂ©; Ăcoutez-Le.»
38 Le voici avec Ses Anges, le Message, lequel Ă©tait les sept⊠lâouverture de ces Sept Sceaux qui ont rĂ©vĂ©lĂ© la semence du serpent et toutes ces choses-lĂ ; et on voit que câest de cela mĂȘme quâIl Se couvrait. Câest Son⊠câest Son AutoritĂ© suprĂȘme. Il est SuprĂȘme et Il a une perruque, ou â ou Il est couvert. La Bible dit quâIl a changĂ© Son apparence, ou quâIl Sâest changĂ© Lui-mĂȘme, «en morphe.» Ce mot vient dâun mot grec, «en morphe», qui dĂ©signe un acteur grec jouant plusieurs rĂŽles. Aujourdâhui, il est une chose, et dans lâacte suivant, il est autre chose. Il Ă©tait Dieu le PĂšre dans un acte, Dieu le Fils dans un autre acte; et Il est Dieu le Saint-Esprit dans cet acte-ci, voyez. Le voici, Sa Parole est toujours SuprĂȘme. Nous vivons dans les derniers jours.
39 Lorsque je revenais dâAfrique lâautre jour, je â jâĂ©tais un peu fatiguĂ©. Vous voyez, il fait â il fait nuit lĂ -bas maintenant, et il vous faut vous adapter. Et alors, le temps de sâadapter, je suis revenu. Nous avons eu une merveilleuse tournĂ©e, une tournĂ©e de chasse, une des meilleures que jâaie jamais eues dans ma vie. Puis⊠Billy a quelques photos. Si vous en avez peut-ĂȘtre le temps, il peut montrer cela quelque part, et vous montrer le voyage.
40 Jâai fait un rĂȘve. Je rĂȘve toujours que je rĂ©intĂšgre dâune façon ou dâune autre la Compagnie de Service Public. Et je â je pensais que jâabandonnais en quelque sorte le travail. JâĂ©tais censé⊠On me laissait procĂ©der Ă ma façon, et je me disais que jâallais... Au lieu de parcourir les lignes ou de recouvrer les factures, ou quelque chose comme ça, ou ce que jâĂ©tais censĂ© faire, je me suis simplement dit : «Eh bien, je suis mon propre patron.» Je suis tout simplement allĂ© nager. Je suis arrivĂ© lĂ -bas, jâai ĂŽtĂ© mes â ces vĂȘtements, et jâai mis mon maillot de bain. JâĂ©tais tout seul, et je me suis dit : «Dis donc, ce nâest pas correct. La Compagnie⊠Câest la journĂ©e, la Compagnie me paye pour ce moment.» Je me suis dit : «Câest Ă©trange.» Et je me suis donc dit : «Eh bien, lâargent que jâai recouvrĂ© sur la routeâŠÂ» Jâavais Ă la fois et la patrouille et la route, et jâai dit : «Eh bien, jâai recouvrĂ© de lâargent, jâai fait quelque chose en parcourant par ici; jâai perdu tous les reçus que jâavais et jâai mĂ©langĂ© leur argent avec le mien. Maintenant, comment saurai-je qui a payĂ© sa facture?» Je me suis dit : «Câest juste parce que je ne faisais pas attention!» Je me suis dit : «Ce nâest pas correct. Il ne me reste quâune chose Ă faire, câest de retourner vers mon chef et de lui en parler.» CâĂ©tait Don Willis.
Jâai dit : «Don, jâai perdu ces reçus. Eh bien, voici tout lâargent que jâavais et leur argent mĂ©langĂ©. Laissez-le ici dans la caisse, et lorsque les gens viendront, ils auront un reçu prouvant que jâavais reçu la facture.»
41 Il y a probablement des gens assis ici mĂȘme (Je â je⊠je sais quâil y en a.) dont jâavais reçu lâargent Ă â Ă cette Ă©poque et jâavais⊠Et je donnais un reçu. Vous savez, cela ne vous coĂ»tait que dix pour cent lorsque vous laissiez passer lâĂ©chĂ©ance de votre facture, et peut-ĂȘtre 1,50$, soit 15 cents de plus. Beaucoup de ces gens vivaient⊠On aimait bien se mettre ensemble pour parler, et les gens laissaient passer lâĂ©chĂ©ance de leur facture pour que je vienne leur parler un moment. CâĂ©tait... Ils donnaient 15 cents, vous savez, simplement pour pouvoir sâasseoir et parler un petit moment pendant que jâencaissais leurs factures. CâĂ©tait donc dĂ©chiquetĂ© et ils avaient tellement de factures que je nâarrivais pas Ă les encaisser. Eh bien, je me suis dit que câĂ©tait la seule maniĂšre de le faire. Puis je me suis rĂ©veillĂ©.
42 LĂ oĂč nous vivons, chez Soeur Larson... Je ne pense pas quâelle soit ici. Elle a Ă©tĂ© trĂšs gentille envers nous, mais elle nâaime pas que je dise cela. Mais câest une dame trĂšs gentille. Et nous vivons dans ses appartements. Elle a deux appartements (deux petits appartements jumelĂ©s) et nous les louons tous les deux. Ma femme et moi dormons lĂ dans â dans lâautre appartement oĂč je reçois en quelque sorte les gens, quand je le peux, et un⊠Il y a lĂ deux petits lits jumeaux. Je me suis rĂ©veillĂ©, elle nâĂ©tait pas encore rĂ©veillĂ©e. Au bout dâun moment, elle sâest rĂ©veillĂ©e. Je lui ai fait signe de la main, elle a regardĂ©, a battu des paupiĂšres un certain nombre de fois. Jâai dit : «Tu as bien dormi?»
Elle a dit : «Non». Et jâai dit : «Jâai eu un rĂȘve des plus horribles. Je me suis de nouveau retrouvĂ© Ă la Compagnie de Service Public.» Jâai dit : «Quâai-je fait?»
43 Je me souviens que lorsque jâĂ©tais petit garçon, ou jeune homme, je parcourais toutes ces lignes de Salem, dans lâIndiana et Ă diffĂ©rents⊠Je mâachetais un â un petit dĂ©jeuner, peut-ĂȘtre un bol dâavoine. Sous ce soleil brĂ»lant et tout, câest⊠Je⊠cela me rendait malade de prendre un petit dĂ©jeuner. Jâai ramenĂ© un bon de dix cents dans ma petite caisse. Le chef est venu et a dit â a dit : «Savez-vous ce quâon a dit Ă la â Ă la rĂ©union : âQui est cet idiot qui ramĂšne un bon de dix cents pour le petit dĂ©jeuner?â a-t-il demandĂ©. Il vous faut au moins ramener un bon de cinquante cents.» Or, vous savez tous que pour cinquante cents on avait un dĂ©jeuner copieux en ce temps-lĂ . Et jâai dit : «Eh bien, je ne mange pas beaucoup.» Il a dit : «Eh bien, tous les autres ramĂšnent un bon de cinquante cents; il vous faut aussi ramener un bon de cinquante cents.» Jâai dit : «Eh bien, ce nâest pas ce que je dĂ©pense.» Il a dit : «Ramenez-les de toute façon.» CâĂ©tait lĂ mon chef.
Alors, je me suis dit : «Eh bien, que puis-je faire? Je dois demander cinquante cents, mais manger pour dix cents.» Jâallais donc dans la rue chercher quelques petits enfants qui nâavaient pas eu de petit dĂ©jeuner et je leur offrais un petit dĂ©jeuner dâune valeur de quarante cents.
44 Puis je me suis alors dit : «Eh bien, que pourrais-je⊠Peut-ĂȘtre câest lĂ ce quâIl a contre moi.» Et je me souviens quâici, il nây a pas longtemps, une patrouille est passĂ©e; ils ont causĂ© des dĂ©gĂąts lĂ derriĂšre, dans lâarriĂšre-cour, et ils ont dit : «Remettez votre facture.» Vous savez quâils ont le droit de patrouiller, mais ils doivent payer pour les dĂ©gĂąts quâils causent. Je leur ai Ă©crit en rĂ©ponse en disant : «Vous ne me devez rien.» Je me suis dit : «Cela remboursera ces quarante cents. Il se peut que pendant ce temps, jâavais dĂ©pensĂ© vingt ou trente dollars que jâavais donnĂ©s Ă des enfants. Peut-ĂȘtre que ça suffira.» Le rĂȘve sâest rĂ©pĂ©tĂ©.
45 Puis, jâavais lĂ un grand arbre sous lequel les enfants jouaient, et la patrouille (maintenant, ils patrouillent en hĂ©licoptĂšre)... La patrouille est donc venue et mâa dit : «Billy, et si on coupait cet arbre?» Jâai dit : «Non, ne le coupez pas, nous allons le tailler.» Jâai dit : «FrĂšre Wood et moi nous allons le tailler.» Il a dit : «Eh bien, je vais faire venir un homme pour le tailler.» Jâai dit : «Eh bien, ne le coupez pas.» Il a dit : «Je ne vais pas le couper.»
Puis, je suis parti en voyage. A mon retour, lâarbre Ă©tait coupĂ© jusquâau sol. Alors jâallais intenter un procĂšs, vous voyez. Jâai dit : «Eh bien, Seigneur, cela va rĂ©soudre le problĂšme pour ce que je devaisâŠÂ» Jâai donc laissĂ© tomber cela; câĂ©tait juste, jâai simplement laissĂ© faire.
Eh bien, jâai continuĂ© de rĂȘver de cela. Lorsque je me suis levĂ© lâautre matin, jâai dit : «Eh bienâŠÂ» La premiĂšre chose que nous faisons le matin lorsque nous nous levons, câest de prier ensemble; puis nous prions le soir pour nous mettre au lit. Et ainsi, aprĂšs quâelle Ă©tait allĂ©e prĂ©parer le petit dĂ©jeuner des enfants, je me suis mis Ă prier. Jâai dit : «Seigneur, je dois avoir Ă©tĂ© un gars horrible. Quâai-je fait dans ma vie pour que je â je nâarrive pas Ă ĂŽter de mon esprit cette Compagnie de Service Public?» Je suis allĂ© prendre un bain, puis je suis ressorti. Câest comme si quelque chose me disait : «Il se peut que je dĂ©serte Son travail.» Je me suis dit : «Voici environ cinq ans que je ne fais rien, que je mâattends simplement Ă Lui.»
46 Pendant que je me tenais lĂ lâautre jour (on a construit lĂ une nouvelle maison lĂ -haut), et frĂšre Moseley est venu et il parlait de cette maison. Jâai dit : «Câest juste un petit don venant de mon PĂšre.» Et il sâest mis Ă pleurer. Jâai dit : «Voyez-vous, Il a dit, si vous laissez vos foyers, vos maisons, vos terres, vos pĂšres, vos mĂšres, Je vous donnerai des maisons, des terres, des pĂšres et des mĂšres au centuple dans ce monde et la Vie Ăternelle dans le siĂšcle Ă venir. Je dis : «Voyez-vous, jâai dĂ» quitter ce tabernacle que jâaime tellement; jâai dĂ» quitter la maison que le Seigneur mâa donnĂ©e. Et Il mâa tout simplement donnĂ© celle-ci en retour. Jâai dit : «Il est merveilleux; voyez-vous?» Et il sâest mis Ă pleurer.
47 Eh bien, je â jâai dit : «Jâai dĂ» venir ici et me sĂ©parer des gens pour venir dans ce dĂ©sert.» Et jâai pensĂ© : «Je me demande pourquoi Dieu mâa amenĂ© dans un dĂ©sert, ici oĂč il nây a que des scorpions et des monstres de Gila [Grands lĂ©zards venimeux â N.D.T.] Ce nâest simplement pas un dĂ©sert oĂč il fait chaud, mais câest aussi un dĂ©sert spirituel. Oh! la la! Il nây a pas du tout de vie spirituelle dans des Ă©glises, elles sont contre⊠Eh bien, vous nâavez jamais vu pareille chose dans votre vie. Nous nâavons mĂȘme pas une Ă©glise oĂč aller, ni rien. Et puis lorsque⊠Spirituellement, les gens pĂ©rissent pratiquement. Je vois cela dans les gens qui viennent lĂ , je les observe, je vois leurs divergences. Et ainsi⊠Si vous demeurez sous lâinfluence de lâEsprit de Dieu, votre vie devient douce, tendre, comme lâeau qui fait pousser lâherbe et ces tendres bourgeons. Si⊠Cette herbe ne pousserait pas en Arizona. Ces arbres seraient des cactus. Ces feuilles se replieraient tout simplement et deviendraient piquantes. Câest ce qui se passe quand on devient sec dans lâĂ©glise, les gens se piquent les uns les autres, vous savez et juste⊠Vous voyez? Il vous faut avoir les douces eaux de pluie pour vous rendre doux et produire des feuilles et de lâombre pour les pĂšlerins qui passent.
48 Et ainsi, quelque chose mâa dit : «Peut-ĂȘtre que tu trahis le travail de Dieu. Jâai donc priĂ© pour avoir une vision. Meda venait de mâoffrir une nouvelle Bible et frĂšre â frĂšre Brown de lâOhio mâa aussi offert une nouvelle Bible, tous les deux en mĂȘme temps, Ă NoĂ«l. Je suis allĂ© et jâai pris lâune de ces nouvelles Bibles et jâai dit : «Seigneur, autrefois, Tu avais un Urim thummim.
49 Maintenant, Ă©coutez, permettez-moi de dire ceci. Bien sĂ»r, ils ne sont pas⊠service nâest pas enregistrĂ©. Câest pourquoi je demande â je dis ceci. Permettez que je dise ceci : Ne faites pas ça; ce nâest pas bien, mais jâai dit : «Seigneur, autrefois lorsque quelquâun faisait un songe, on lâamenait vers lâUrim Thummim et il racontait son songe; et si le â si lâUrim Thummim rĂ©flĂ©chissait en retour les LumiĂšres (la LumiĂšre Surnaturelle), câest que le songe Ă©tait vrai. Je dis: «Mais ce sacerdoce et cet Urim Thummim sont passĂ©s. Maintenant, câest Ta Bible qui est lâUrim Thummim. Seigneur, puissĂ©-je ne jamais refaire cela; je Tâai demandĂ© en priant de me donner une vision et de me dire pourquoi je fais ces songes. Quâai-je fait? Si jâai fait du mal ou si jâai fait quelque chose Ă qui que ce soit au monde, fais-le moi savoir; je vais â je vais â jâirai mettre cela en ordre. Si je dois quelque chose Ă la Compagnie de Service Public, si je leur ai fait quelque chose de mal ou Ă qui que ce soit dâautre, si je Tâai fait quelque chose de mal, fais-le moi savoir; je â je veux mettre cela en ordre.» Mettons ces choses en ordre maintenant mĂȘme; nâattendez pas plus longtemps, cela peut ĂȘtre trop tard, faisons-le maintenant.
50 Et jâai dit : «Certainement quâil y a quelque chose, dans cette Parole de Dieu, de la GenĂšse Ă lâApocalypse, qui serait en rapport avec un certain personnage avec qui Tu as traitĂ© et qui se serait trouvĂ© dans la mĂȘme situation que moi. Si quelquâun a fait quelque chose, et â et que Tu Te sois acharnĂ© contre lui Ă ce sujet, alors permets quâen ouvrant cette Bible, je tombe Ă cet endroit-lĂ . Si quelquâun⊠quoi quâil ait fait, si cela correspond Ă mon cas, lĂ oĂč jâai failli ou sâil y a quelque chose que Tu veuilles que je fasse ou que je nâai pas, montre-moi un personnage dans la Bible qui se trouvait dans le mĂȘme cas. Puis jâai fermĂ© les yeux, jâai laissĂ© simplement ma Bible sâouvrir; jâai posĂ© mon doigt sur un passage de lâĂcriture, GenĂšse 24.7 oĂč Eliezer, le serviteur fidĂšle dâAbraham, le serviteur modĂšle de la Bible, a Ă©tĂ© envoyĂ© pour chercher une Ă©pouse pour Isaac. Jâai senti des frissons me parcourir.
Certainement quâil sâagit de mon â câest en accord avec le reste du Message : faire sortir lâĂpouse. Il dit : «Jure que tu ne prendras pas une Ă©pouse parmi ces femmes mais que tu iras vers mon propre peuple.» Il dit : «Et si la femme ne veut pas me suivre?» . Abraham dit : «Tu seras alors libĂ©rĂ© de ce serment, dit-il. Et Dieu va⊠du Ciel va â va envoyer Son Ange devant toi afin de te conduire.» Il partit immĂ©diatement et commença Ă prier, puis il rencontra la belle RĂ©becca qui devint lâĂ©pouse dâIsaac.
51 CâĂ©tait un parfait message qui mâa ramenĂ© Ă la Parole. «Va chercher cette Ăpouse. Câest un devoir; câest pour cela que je suis ici; câest ce que jâessaye de faire, dâappeler une Ăpouse Ă sortir.
52 Souvenez-vous lĂ en Californie, cette interview de lâEpouse, cette vision prĂ©alable de lâĂpouse que jâaie eue ici. Que cette Ăpouse est premiĂšrement venue, et ensuite je lâai vue passer, et puis Miss AmĂ©rique est venue, Miss Asie et tout, oh! câĂ©tait la chose la plus horrible Ă voir; puis cette mĂȘme Ăpouse est encore passĂ©e. Lâune dâelles ne marchait plus au pas et je la remettais Ă marcher au pas (il sâagissait de deux dâentre elles); et câest lĂ ce que je suis censĂ© faire : maintenir cette Epouse au pas. Chercher cet hommeâŠ
Jâai dit : «à Dieu! je retourne Ă la maison, je vais renouveler mes voeux et prendre un nouveau dĂ©part. Câest donc ce que nous avons lâintention de faire; câest pour cela que je suis ici.
Je pense que ce serait une bonne chose si nous faisions comme ceci : si on commençait le 18 la semaine prochaine, dimanche prochain le matin, dimanche prochain, le soir, puis le dimanche suivant et encore celui dâaprĂšs. Combien pensent que ce serait une bonne chose? Merci.
53 Maintenant, je veux que vous fassiez quelque chose pour moi. Si vous avez informĂ© les gens quâil â quâil y aura une rĂ©union le 28, voulez-vous encore informer que nous ne saurons pas la tenir? Dites-le leur, Ă©crivez-leur une lettre ou quelque chose comme ça. Nous ne voulons pas que les gens viennent et soient déçus; en tout cas, nous nâavons pas pu obtenir lâauditorium. Vous voyez, nous nâavons pas pu lâobtenir. Et ainsi⊠Parce quâĂ la derniĂšre rĂ©union, je pense que nous avons eu tant de monde lĂ -bas et tout, seulement ils⊠Vous savez comment le public se comporte et ils sont⊠Eh bien, nous vivons simplement dans les derniers jours, câest tout. On prĂ©tend que les gens qui viennent lĂ dĂ©rangent lâĂ©cole, quâils sont venus trop tĂŽt, quâils ont fait ceci et cela, que la salle Ă©tait trop bondĂ©e et que le capitaine des pompiers a fait ceci et cela. Eh bien, vous savez⊠Nous allons donc aborder ces Coupes et ces Trompettes. Jâaimerais les situer, je vous avais dit que jâallais le faire. Elles interviennent sous une autre chose; il en est de mĂȘme de ces Coupes qui interviennent quand les Trompettes sonnent. Mais nous voulons les parcourir entiĂšrement dâun trait et apporter cela, relier cela ensemble.
54 Combien ont lu ce que frĂšre Vayle a réécrit Ă ce sujet en lâarrangeant et en corrigeant la grammaire pour moi? En avez-vous lu une partie le⊠Vous lâavez lu, deux ou trois dâentre vous. Je pense que câest vraiment un bon travail que vous avez fait, frĂšre Vayle, un bon travail. Est-ce que vous ⊠je pense que câest soeur Vayle qui a fait cela, et vous, vous lâavez simplement transcrit, mais câest elle qui lâa fait. Câest elle qui Ă©tait⊠Voyez, je ne suis pas contre les femmes, nâest-ce pas, soeur Vayle?
55 Ainsi donc, lisons ici un passage de lâEcriture pour les quinze ou vingt minutes qui suivent. Et je â jâai un petit livre ici. Jâai parlĂ©, je pense que câĂ©tait Ă frĂšre Vayle, ou je ne sais qui, ou je pense que câest Ă frĂšre Roy Borders. FrĂšre Vayle qui mâa achetĂ© ce livre. Je veux en faire un petit manuel. Mais si quelquâun a dĂ©jĂ jetĂ© un coup dâoeil Ă ce que jâappelle notes⊠Si, par exemple, je veux prĂȘcher sur lâĂtoile du Matin, je dessinerai une Ă©toile; et si je veux prĂȘcher sur quelque chose, je reprĂ©sente tout cela ici par des symboles, des griffonnages. Personne ne peut savoir ce que câĂ©tait.
56 Lorsque je sors et que je pense Ă quelque chose, je mets cela sur⊠en route, des fois, pendant que la voiture a des secousses, je note cela, jâajoute ceci cela et je fais des petits signes, des croix, des ponts et â et toutes sortes de choses. Par exemple, si je veux prĂȘcher sur lâĂtoile qui descend, je mettrai une pyramide ici, je la dessinerai et je mettrai lâĂtoile Ă cinq branches de David en train de descendre sur elle. Et je sais oĂč je vais dans les Ăcritures. Et pour une certaine chose que MoĂŻse a faite, je dessine par exemple de petits signes. Jâen ai plusieurs ici, je me disais que jâallais⊠Ce matin, lĂ -bas, lorsque lâidĂ©e mâest venue de prĂȘcher pendant quelques minutes ici sur ce sujet sur un⊠mes notes, cela prendra peut-ĂȘtre vingt minutes. Et puis, je ne â nâaimerais pas arracher Ă frĂšre Neville le service de ce soir. Ce soir, je â je â je vais me reposer et lâĂ©couter; et puis, si le Seigneur le veut, nous commencerons le service le dimanche prochain, le matin. Vous allez tous mâaider et nous prierons, car jâavais Ă coeur dâessayer deâŠ
57 Les gens ont dit : «Eh bien, nous pourrions aller soit Ă Louisville, soit Ă New Albany». Mais la rĂ©union Ă©tait prĂ©vue pour Jeffersonville. Jâirai Ă Louisville et Ă New Albany Ă des moments diffĂ©rents, mais cette rĂ©union Ă©tait censĂ©e avoir lieu ici Ă Jeffersonville.
Maintenant, inclinons la tĂȘte juste une minute pendant que nous avons Ă©tĂ© â je vous ai parlĂ© ici depuis environ trente minutes, maintenant parlons-Lui un moment.
58 Seigneur JĂ©sus, nous sommes â nous sommes certainement un peuple bĂ©ni au-delĂ de notre â notre imagination, au-delĂ de notre entendement. En effet, sâil y avait un noble parmi nous, par exemple une certaine personne venant dâun autre pays, ou un certain diplomate, nous estimerions que ça serait merveilleux dâavoir une seule personne noble parmi nous. Mais aujourdâhui, nous avons le Dieu du Ciel, qui est non seulement parmi nous mais en nous, habitant et vivant Sa vie au travers de nous, et nous sommes si reconnaissants pour cela, Seigneur. Cela dĂ©passe bien sĂ»r notre entendement.
59 Mais maintenant, aprĂšs avoir parlĂ© de ce que les services⊠de notre voyage en Afrique et des choses que nous avons essayĂ© dâorganiser pour ces quelques jours ici dans lâIndiana... Et dâune maniĂšre ou dâune autre, il se peut, Seigneur, que Tu sois en train de nous conduire vers cette tente pour que cette vision sâaccomplisse. Ainsi, que Ta volontĂ© soit faite; nous avons confiĂ© cela de cette façon, au mieux de notre comprĂ©hension. Ainsi, nous Te prions, Seigneur, sâil y a quoi que ce soit de contraire Ă Ta volontĂ©, de nous le faire savoir, afin que nous puissions apprendre Ă faire Ta parfaite volontĂ©.
Maintenant, bénis-nous pendant ces quelques prochaines minutes. Parle-nous au travers de Ta Parole, Seigneur, car Ta Parole est la Vérité. Nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.
60 Ouvrons la Bible dans Marc chapitre 8âŠ?⊠Câest⊠Cela devient⊠Quand est-ce que vous laissez partir les gens dâhabitude? A 12 heures juste? Vers 12 heures. TrĂšs bien. Maintenant, je vais â maintenant, juste un tout petit message ici, que je peux vous prĂȘcher sur la Parole, aprĂšs avoir rendu tĂ©moignage de ce qui sâest passĂ© lĂ -bas et ainsi de suite. Marc chapitre 8, commençons vers le verset 34 jusquâau verset 30, nous allons jusquâau verset 38, tout le reste de ce chapitre. Jâaime lire ce quâIl a dit, car je sais que câest vrai. Maintenant nousâŠ
Puis, ayant appelĂ© la foule avec Ses disciples, Il leur dit: Si quelquâun veut venir aprĂšs moi, quâil renonce Ă lui-mĂȘme, quâil se charge de sa croix, et quâil me suive :
Car celui qui voudra sauver sa vie la perdra; celui qui perdra sa vie Ă cause de moi et de la bonne nouvelle la sauvera.
Et que sert-il Ă un homme de gagner tout le monde, sâil perd son Ăąme?
Que donnerait un homme en échange de son ùme?
Car quiconque aura honte de moi et de mes paroles au milieu de cette gĂ©nĂ©ration adultĂšre et pĂ©cheresse, le Fils de lâhomme aura aussi honte de lui, quand il reviendra dans la gloire de son PĂšre, avec les saints anges.
61 Jâaimerais tirer de lĂ un petit sujet (si on peut lâintituler ainsi), ça sâintitule Honteux. Vous savez, jâaime cela : «Quiconque aura honte de Moi et de Mes Paroles, Jâaurai honte de lui».
Eh bien, le mot «honteux» pourrait ĂȘtre aussi traduit par embarrassĂ©. Vous savez, quelque chose au sujet duquel vous ĂȘtes⊠Vous ĂȘtes confrontĂ© Ă quelque chose qui vous embarrasse, dont vous avez honte. CelaâŠ
62 Une autre chose que fait la honte : cela montre que vous nâĂȘtes pas sĂ»r de ce dont vous parlez. Si vous savez de quoi vous parlez et que vous ĂȘtes sĂ»r que vous savez de quoi vous parlez, vous pouvez le dire Ă nâimporte qui. Vous nâavez pas honte. Mais si vous vous sentez gĂȘnĂ©, si vous sentez que vous nâĂȘtes pas Ă votre place, cela montre que vous nâavez pas dâassurance.
Remarquez quâil y a tant de gens qui sont ainsi aujourdâhui, spĂ©cialement concernant le sujet dont je suis en train de parler, Honteux de la Parole.
Eh bien, Lui et la Parole sont la mĂȘme chose : «Au commencement Ă©tait la Parole; et la Parole Ă©tait avec Dieu, et la Parole Ă©tait Dieu. Et la Parole a Ă©tĂ© faite chair, et a habitĂ© parmi nous : le mĂȘme hier, aujourdâhui, et Ă©ternellement».
63 Ainsi, «Quiconque a honte de moi et de ma Parole,» (Et Lui et Sa Parole sont Un, si donc vous avez honte de Sa Parole dans cette gĂ©nĂ©ration pĂ©cheresse dâaujourdâhui) «Jâaurai honte de lui».
Eh bien, nous remarquons aujourdâhui que si quelquâun demande : «Etes â ĂȘtes-vous chrĂ©tien?», câest trĂšs courant de dire : «Oh! je suis chrĂ©tien». Vous voyez? Mais croyez-vous la Parole de Dieu lorsquâElle dit : «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru?». Oh! MĂȘme les prĂ©dicateurs rougissent. Vous voyez? «Avez-vous honte, disons, de la guĂ©rison divine? Avez-vous honte du Plein Ăvangile? Avez-vous honte de votre expĂ©rience de pentecĂŽte? Câest cela ĂȘtre honteux de Sa Parole, câest Sa Parole qui est faite chair en vous.
64 Sa Parole doit donc vivre par Elle-mĂȘme pour chaque gĂ©nĂ©ration. Elle a vĂ©cu par Elle-mĂȘme du temps de MoĂŻse, car en ce temps-lĂ , la Bible dit dans HĂ©breux chapitre1 : «Dieu, Ă plusieurs reprises et de plusieurs maniĂšres, a parlĂ© aux pĂšres par les prophĂštes.» Et ces prophĂštes⊠LâĂ©glise a tellement tordu tout cela que, lorsque ces prophĂštes... Ces audacieux messagers de Dieu vinrent sans Ă©glise, sans dĂ©nomination, sans organisation, sans rien, et ils dĂ©fiĂšrent des rois, des royaumes, des Ă©glises et tout.
65 Lorsque ces sacrificateurs furent amenĂ©s devant⊠Lorsquâils furent amenĂ©s devant les sacrificateurs, ils nâeurent pas honte, car ils avaient directement le «Ainsi dit le Seigneur!». Si vous remarquez bien, le prophĂšte, dans un sens du mot, dans lâAncien Testament, lorsquâil disait «Ainsi dit le Seigneur», (Eh bien, observez-le!), dans ses paroles, il prenait directement la place de Dieu. Vous remarquerez que lorsquâil prononçait le «Ainsi dit le Seigneur», il devenait carrĂ©ment Dieu, et il agissait comme Dieu. Alors, il donnait son Message, câĂ©tait Dieu qui parlait en lui : Ainsi dit le Seigneur.
66 Je pense aux prophĂštes de lâancien temps, lorsquâils venaient avec ce Message qui mettait les rois dans lâembarras et qui mettait les gens mal Ă lâaise. MĂȘme les prĂȘtres se sentaient mal Ă lâaise; car ce sont eux qui Ă©taient censĂ©s ĂȘtre des conducteurs, des hommes religieux; et lorsquâils â la Parole sortait comme cela, Elle les exposait et ils Ă©taient embarrassĂ©s ou honteux.
Et bien des fois, nous voyons cela, pas bien des fois â trop souvent, aujourdâhui, que lâhomme⊠Vous dites : «Je suis chrĂ©tien». «Avez-vous reçu le Saint-Esprit depuis que vous avez cru?». «Oh! Euh⊠ha!»
Vous voyez, ils sont â ils sont embarrassĂ©s Ă ce sujet.
67 Quelquâun demandera : «Etes-vous membre de ce groupe lĂ -bas qui pousse tous ces cris et qui exerce toutes ces histoires de guĂ©rison divine?». Souvent les chrĂ©tiens reculent. Sâils sont membres dâune dĂ©nomination, ils aiment donc le proclamer : «Je suis baptiste», «Je suis presbytĂ©rien», «Je suis luthĂ©rien». Ils nâen ont pas honte, mais pour ce qui est dâĂȘtre un chrĂ©tien qui peut prendre la Parole de Dieu telle quâElle est, alors ils ont â ils ont â ils ont honte.
â «Je ne suis pas membre dâune quelconque dĂ©nomination». Vous voyez? Ils â ils ont honte de le dire. Ils sont forcĂ©ment comme le reste du monde, reprĂ©sentĂ©s par une organisation.
68 Eh bien, câest tout rĂ©cemment que cela est arrivĂ©. Du temps de Luther, si vous avouez que vous Ă©tiez un luthĂ©rien, un disciple de Luther, eh bien, cela signifiait pratiquement ĂȘtre mis Ă mort par lâĂ©glise catholique. Du temps de Wesley, si on apprenait que vous aviez dĂ©fiĂ© lâĂ©glise anglicane, les anglicans vous infligeaient la peine de mort si vous avouiez que vous Ă©tiez mĂ©thodiste. Du temps des pentecĂŽtistes, câĂ©tait presque une honte de dire quâon Ă©tait un â quâon Ă©tait un pentecĂŽtiste, car on vous taxait vite dâun saint exaltĂ© ou â ou dâun parleur en langues ou autre chose de ce genre. Maintenant, ils se sont organisĂ©s et se sont directement associĂ©s au reste du groupe.
69 Maintenant, lorsque viendra le temps dâappeler les gens Ă sortir et que vous nâappartiendrez Ă aucune⊠Il est trĂšs courant de dire : «Je suis pentecĂŽtiste»; il est trĂšs courant de dire : «Je suis presbytĂ©rien, luthĂ©rien». Mais quâen sera-t-il lorsque viendra le temps oĂč vous devrez sortir et prendre position pour la Parole? «Je ne suis membre dâaucune de ces organisations». Cela â cela euh... embarrassĂ©.
JĂ©sus a dit : «Eh bien, si vous avez honte de Moi, alors Jâaurai honte de vous». Pourquoi aurait-Il honte de vous? Parce que vous prĂ©tendez Lui appartenir alors que vous ne voulez pas Le suivre. Quâarriverait-il si je disais : «Ce petit garçon, câest â câest mon fils», et qui se retourne et dise : «Qui? Moi, ĂȘtre votre fils? Pour qui donc me prenez-vous?».
70 Cela mâembarrasserait. Cela vous embarrasserait sâil sâagissait de votre fils. Et câest ainsi que la soi-disant chrĂ©tientĂ© dâaujourdâhui⊠Si vous portez le nom dâune dĂ©nomination, câest trĂšs bien; on accepte la paternitĂ© dâune dĂ©nomination, mais lorsquâil faut accepter la paternitĂ© de la Parole de Dieu, Christ, non! Ils sont embarrassĂ©s; ils ne veulent pas dire : «Oui, jâai parlĂ© en langues. Oui, jâai eu des visions. Oui, je crois dans la guĂ©rison divine. Oui, je loue le Seigneur. Je suis libre de toute organisation. Je ne mâincline devant aucune dâelles; je suis un serviteur de Christ». Oh! la la! Cela⊠les met tout simplement en piĂšces.
71 Lâautre soir, un grand orateur est allĂ© chez les Hommes dâAffaires du Plein Ăvangile Ă Chicago. Puis-je mâarrĂȘter juste une minute pour vous dire ceci, (excusez-moi) : mais, bien des fois, vous pensez, et moi aussi, que ces choses dont nous parlons, la VĂ©ritĂ© de la Bible, nâatteignent pas les gens; mais ça atteint les gens. Parfois les gens vont se dresser directement contre cette VĂ©ritĂ©, mais ils ne le font pas intentionnellement. Ils cherchent Ă dĂ©couvrir oĂč vous vous tenez.
Câest comme lâhistoire concernant un groupe dâivrognes qui discutaient, disant que le christianisme nâexistait pas. Un homme a dit : «Moi, je sais oĂč il y a un chrĂ©tien; câest ma femme».
Lâun dâeux a dit : «Eh bien, je â je nây crois pas».
Il a dit : «Viens! Nous allons⊠agissons tous comme si nous étions vraiment ivres».
72 Ils sont allĂ©s lĂ Ă la maison, et ils ont fait tout ce qui leur Ă©tait possible de faire. Et â et il a demandĂ© Ă sa femme de leur prĂ©parer des oeufs, quâil jeta par terre en disant : «Tu sais bien que ce nâest pas comme ça quâil faut me prĂ©parer les oeufs!» (Et il a fait des histoires dans la maison.) Puis ils sont allĂ©s dans lâautre piĂšce et se sont jetĂ©s sur un fauteuil. Ils ont entendu quelquâune balayer cela sans dire un mot, disant â chantant un petit cantique pour elle-mĂȘme.
Jésus doit-Il porter seul la croix
Et le monde entier ne rien porter? âŠ
Il y a une croix pour chacun,
Et il y a une croix pour moi,
Et je porterai cette croix consacrée,
JusquâĂ ce que la mort me libĂšre,
Et alors je rentrerai Ă la maison pour porter une couronneâŠ
Ce vieil ivrogne dit alors : «Quâest-ce que je vous avais dit?». Ils dirent : «Câest une chrĂ©tienne!». Vous voyez? Ils la mettaient simplement Ă lâĂ©preuve. Et jâai trouvĂ© que, des fois, le monde vous met Ă lâĂ©preuve.
73 Aussi, je nâaurais jamais pensĂ© que cela pourrait arriver, mais samedi soir dernier, je crois que câĂ©tait ça ou plutĂŽt câĂ©tait dimanche soir, ce grand orateur⊠(je ne dois pas citer le nom des gens) mais il essaye⊠il agit exactement dans le sens contraire. Jâessaye de garder ces Ă©glises hors de ce mouvement oecumĂ©nique et cet homme essaye de les y faire entrer. Il prĂȘche donc aux Hommes dâAffaires ChrĂ©tiens (avec qui jâĂ©tais censĂ© avoir une rĂ©union Ă Chicago. Je pensais que je serais en Afrique Ă ce moment-lĂ ; ainsi je ne pouvais y participer.) Cet homme a dit, il sâest levĂ© lĂ et a dit : «Câest le plus grand mouvement, la plus grande chose qui ait jamais existĂ© sur terre maintenant; toutes les Ă©glises retournent Ă lâĂ©glise catholique dans le mouvement oecumĂ©nique, et les catholiques recevront le Saint-Esprit». Quel piĂšge du diable!
74 Et ce dirigeant, frĂšre Shakarian, le prĂ©sident de lâAssociation Internationale des Hommes dâAffaires, sâest levĂ© et a dit (aprĂšs que cet homme sâest assis), il a dit : «Ce nâest pas ainsi que nous avions appris la chose.» Il a dit : «FrĂšre Branham nous a dit que ce mouvement oecumĂ©nique les conduira tous Ă la marque de la bĂȘte.» Et cet homme Ă©tait assis lĂ Ă lâestrade. Il a dit : «Cela conduira Ă la marque de la bĂȘte.» Et il a dit : «Nous sommes enclins Ă croire que ce quâil dit est la VĂ©ritĂ©. Suivez-nous.» Il a dit : «Combien aimeraient entendre frĂšre Branham et aimeraient quâil vienne vous montrer le vĂ©ritable aspect de la chose? LevezâŠÂ». Et cinq mille et quelques personnes sâexclamĂšrent et sâĂ©criĂšrent : «Quâil vienne pour un jour â (Voyez) â un jour!».
75 FrĂšre Carl Williams mâa appelĂ© disant : «FrĂšre Branham, eh bien, jâai parcouru toute cette foule, dit-il, les gens ont rempli les mains de tas de billets de cent dollars pour vous procurer un billet dâavion aller et retour». Voyez-vous, juste pour un jour! Vous voyez, ces gens⊠Cette Parole sâenfonce parfois Ă des endroits que nous ignorons. Vous voyez? Mais, voyez, lorsque vous ĂȘtes vraiment⊠Peu importe combien le monde est contre cela, combien les dĂ©nominations sont contre cela, Dieu confirme que câest la VĂ©ritĂ©.
76 Lorsque, enfin, cette heure glorieuse sonnera, il se passera des choses auxquelles nous nâaurions peut-ĂȘtre pas songĂ©.
Oui, si vous ĂȘtes dans lâembarras, cela montre que vous nâĂȘtes pas sĂ»r. Ainsi, vous pourriez⊠ou plutĂŽt vous ne discuteriez pas sur ce sujet si vous savez que vous allez avoir honte de cela; vous nâaimeriez pas discuter sur ce sujet, vous vous retiendriez.
77 Mais comment un homme rempli du Saint-Esprit, un homme dont le coeur est rempli de la Puissance de Dieu et de lâamour de Dieu, peut-il parler Ă quelquâun pendant quelques minutes et ne rien mentionner au sujet de cet amour qui est dans son coeur? Voyez? Il y a quelque chose qui fait que cela⊠Vous ne pouvez pas le faire. Câest un⊠ça doit ĂȘtre le mauvais jour dont parlait JĂ©sus. Les gens ont honte de la Parole et de lâEsprit de Dieu qui agit en eux. Mais lorsque la VĂ©ritĂ© est clairement rĂ©vĂ©lĂ©e aux gens, alors câest Dieu Lui-mĂȘme qui se rĂ©vĂšle au travers de la Parole⊠Eh bien, nâimporte qui peut avoir toutes sortes de prĂ©tentions. Et nous en avons eu en ces jours-ci, oĂč on a eu tant de prĂ©tentions que câest devenu horrible. Mais voyez-vous, sâil y a une VĂ©ritĂ©, Elle doit venir par la Parole. En effet, on dit quâils ont toutes sortes de choses : de lâhuile sort de ces gens, du sang sort de leurs mains, les femmes ont du sang qui leur coule depuis le dos jusquâaux chaussures, elles lĂšvent leurs chaussures et dĂ©versent de lâhuile, des grenouilles sortent dâun bond et descendent lâestrade en sautillant et toutes sortes de choses semblables. Des telles histoires nâexistent pas dans la Bible. Il nây a aucune promesse des choses pareilles dans la Bible. Elle dĂ©clare simplement que dans les derniers jours, lâesprit serait si proche que cela sĂ©duirait mĂȘme les Ă©lus si câĂ©tait possible. Mais il nây a pas dâĂcriture pour cela.
78 Mais pour ce qui est de la vĂ©ritable Parole de Dieu sans mĂ©lange, confirmĂ©e par Dieu, il semble que cela embarrasse mĂȘme lâautre groupe radical. Vous voyez? Cette Parole cause de lâembarras, mais pour chaque homme, chaque femme, chaque garçon ou fille qui est vraiment un chrĂ©tien authentique, Elle est une rĂ©alitĂ©.
79 Dieu a fait la promesse du baptĂȘme du Saint-Esprit, et si vous recevez Cela, quelque chose sâinstalle en vous que rien ne peut remplacer. Quand un homme rencontre Dieu, non pas dans un emballement dâĂ©motions, un enthousiasme ou une doctrine religieuse, un catĂ©chisme, un credo ou un dogme quâil a acceptĂ© par commodité⊠mais lorsquâil arrive vraiment au point, comme ce fut le cas pour MoĂŻse derriĂšre le dĂ©sert, de se tenir face Ă face avec le Dieu Tout-Puissant, et que vous entendez la Voix vous parler exactement selon la Parole et la promesse de lâheure, Cela vous fait quelque chose. Vous voyez? Vous nâEn avez pas honte. Ăa fait quelque chose en vous. Eh bien, suivons maintenant, pendant les quinze prochaines minutes.
80 Certaines personnes vivent une telle expĂ©rience. Et tel que je vous parle aujourdâhui, ce nâest pas en tant quâune Ă©glise ou une dĂ©nomination, mais je vous parle en tant quâun individu; ce nâest pas parce que vous ĂȘtes venus ici dans ce tabernacle, câest parce que je vous aime et que vous mâaimez⊠ce nâest pas Ă cause de cela. Laissez-moi vous parler comme Ă des personnes mortelles qui devront un jour parvenir Ă la fin de cette vie. Et il se peut que je ne sois pas lĂ , et le⊠Il se peut quâun autre prĂ©dicateur ne soit pas lĂ , mais il nây en a quâun Seul qui peut vous rencontrer lĂ , et câest Dieu. Et vous â vous Ă©coutez cela et ne vous demandez pas : «Ma femme est-elle une bonne chrĂ©tienne?», ni â ni «mon mari est-il un bon chrĂ©tien?», mais : «Suis-je en ordre avec Dieu? Ai-je rencontrĂ© Dieu comme cela?». Non pas parce que «Mon pasteur a rencontrĂ© Dieu», ni parce que «Mon diacre a rencontrĂ© Dieu», mais «Lâai-je rencontrĂ©?» Non parce que «Jâai crié», non parce que «Jâai parlĂ© en langues», mais parce que «Je Lâai rencontrĂ© en tant quâune Personne». Alors, vous nâaurez jamais honte de cela!
81 Il y a quelque chose de tellement parfait, pur et vrai⊠Souvenez-vous quâil se peut que vous rencontriez un esprit qui agisse comme Dieu; il se peut que vous rencontriez un esprit qui fait telle ou telle chose; suivez cela un petit instant, voyez comment cela sâidentifie avec la Parole de Dieu. Il se peut que vous rencontriez un esprit qui vous dise que vous ĂȘtes sauvĂ© et qui vous procure une sensation glorieuse; vous criez, vous poussez des cris, et puis lorsque cet esprit en vient Ă renier la Parole⊠Comment le Saint-Esprit qui a Ă©crit la Parole peut-Il renier Sa propre Parole? Cet Esprit doit ponctuer dâun «amen» chaque promesse de Dieu. Sinon, alors vous nâavez jamais rencontrĂ© Dieu; vous avez rencontrĂ© un esprit sĂ©ducteur, et le monde en est plein aujourdâhui!
82 Mais lorsque vous voyez Dieu descendre et dire quâIl va faire une certaine chose, et quâIl vienne ensuite faire cela, Ă maintes reprises, câest que vous avez un vĂ©ritable Esprit de Dieu. Comment lâEsprit pourrait-Il ĂȘtre sur un homme, ce Saint-Esprit qui a Ă©crit la Bible, puis faire volte face et nier que câest vrai et dire que câĂ©tait pour un autre jour? Il a dit que la promesse est pour vous, pour vos enfants, et pour tous ceux qui sont loin, en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu en appellera (CâĂ©tait Actes 2.38). Comment donc un esprit peut-il ĂȘtre de Dieu et accepter quelque chose diffĂ©rent de cela, alors quâHĂ©breux 13.8 dit que «JĂ©sus-Christ est le mĂȘme hier, aujourdâhui, et Ă©ternellement»? Quâarriverait-il si quelquâun disait : «Oh! je pense quâIl Ă©tait un philosophe, quâIl Ă©tait un homme de bien, quâIl Ă©tait un prophĂšte; mais en ce qui concerne Sa puissanceâŠÂ»
83 Lâautre soir, je parlais avec George Smith, le jeune homme qui frĂ©quente ma fille RĂ©becca. Câest un gentil garçon, il a chantĂ© ici au Tabernacle. Un jeune baptiste, qui a tout rĂ©cemment dit : «Otez mon nom de cette histoire; je ne veux rien avoir Ă faire avec cela.» Et il y a une jeune dame⊠Il y avait une confĂ©rence dans une certaine Ă©glise baptiste lĂ -haut sur les collines, et â et lĂ -bas ils sont tous fermement et vraiment opposĂ©s Ă moi. Et au sujet de ceâŠEn fait, ils nâont rien contre moi, mais contre cette Parole. Ils ne peuvent rien dire contre moi en tant quâhomme; je ne leur ai jamais fait de mal, mais câest de ceci quâils ont peur. Vous voyez? Eh bien, nous Ă©tionsâŠ
84 Ils tenaient plutĂŽt cette rĂ©union lĂ -haut, ils avaient â allaient recevoir un missionnaire les trois derniers soirs de cette grande confĂ©rence qui avait lieu lĂ -haut sur les collines, oĂč il fait frais. Il arriva que le missionnaire se leva et en vint Ă parler de Marc 16, et il dit : «Il y a aujourdâhui beaucoup de gens qui ne peuvent pas croire dans la guĂ©rison divine». Il a dit : «JâĂ©tais en Inde. Je suis indien et je me trouvais en Inde lorsquâun homme dâici aux Etats-Unis, du nom de frĂšre Branham est arrivĂ© (le pasteur commençait Ă sâagiter.), a-t-il dit. Ma femme se mourait du cancer et moi jâĂ©tais aveugle (ou quelque chose de ce genre). Il a priĂ© pour lâun de nous et a appelĂ© lâautre du milieu de lâassistance; il ne connaissait mĂȘme pas notre langue. Il a proclamĂ© la Puissance de Dieu.» Et il a dit : «Nous voici, guĂ©ris».
85 Eh bien, ils ont essayĂ© de le faire taire, mais ils nâont pas rĂ©ussi. Câest notre⊠vous voyez, en plein dans leur propre confĂ©rence. Ensuite, ils ont mĂȘme niĂ© que quelque chose⊠Certaines personnes, mĂȘme mon⊠la soeur de ce garçon. Ceux qui Ă©taient sur place nâavaient mĂȘme rien Ă dire. Ils voulurent savoir si elle nâavait pas une certaine relation, de sorte quâils puissent arriver Ă dĂ©couvrir... Une des dames a dit : «Eh bien, je crois cela.» RĂ©becca et George sont allĂ©s voir cette dame. Et elle est allĂ©e chercher une fille qui souffrait dâun â un⊠était en quelque sorte un peu retardĂ©e. Alors, lâautre soir, ils mâont fait venir lĂ pour voir cette fille. Et je suis allĂ© et cette jeune fille Ă©tait assise lĂ et je lui ai dit : «Etes-vous croyante?» Elle a dit : «Oh! je ne sais pas si jâen suis une ou pas.» Eh bien, elle nâĂ©tait pas retardĂ©e, ce nâĂ©tait quâun esprit dĂ©moniaque; on ne sâen rend pas compte. Vous voyez, cela vous saisit et vous ne le savez pas. Cela vient⊠[Espace vide sur la bande â N.D.E.] âŠla violence saisit la personne sans quâelle le sache.
86 Les femmes qui marchent lĂ dans la rue en shorts ne sâen rendent pas compte. Il se peut quâelles soient, elles peuvent â pourraient prouver et le jurer, quâelles nâont jamais rien fait de mal envers leur mari, ou autre; mais dans leur coeur elles ne sont pas conscientes, mais lâesprit dĂ©moniaque sâest emparĂ© dâelles. Elles en sont possĂ©dĂ©es. Pourquoi une femme voudrait-elle ĂŽter ses habits devant un homme? Il nây a quâune seule personne qui a fait cela dans la Bible, et elle Ă©tait folle. Les autres cherchent Ă se couvrir. Elles ne sâen rendent pas compte; câest tellement rusĂ© et subtil. Vous devez veiller, vous examiner avec la Parole de Dieu et voir oĂč vous en ĂȘtes.
87 Cette jeune fille a dit : «Oh! on mâa dit que jâai Ă©tĂ© baptisĂ©e quand jâĂ©tais enfant; a-t-elle dit. Je ne sais pas si je dois croire ces balivernes ou non.»
Jâai dit : «Ne croyez-vous pas en JĂ©sus-Christ?».
Et elle a dit : «Eh bien, je ne sais pas si oui ou non.» Elle a dit : «Je ne crois pas à cette supercherie.»
Jâai dit : «Eh bien, naturellement, vous ne croyez pas Ă cette supercherie.» Jâai dit : «Mais, croyez-vous quâIl Ă©tait le Fils de Dieu?».
«Oh! a-t-elle dit, câest possible quâIl lâait Ă©tĂ©.»
Jâai dit, et jâai dit : «Croyez-vous quâIl est le mĂȘme aujourdâhui, quâIl est ce Dieu qui peut vous sauver?».
Elle a dit : «Existe-t-il quelque chose comme ces miracles-lĂ et ces et â ces affaires-lĂ ? Mais, je nâen crois rien.»
Et jâai dit : «Que feriez-vous si vous Ă©tiez assis Ă une rĂ©union et que vous voyiez Dieu, le Saint-Esprit, qui est le seul Dieu qui existe, oeuvrer parmi les gens, Dieu Ă©tant dans Son office de PĂšre, la Colonne de Feu⊠et des prophĂštes, Dieu dans Son Fils, puis Dieu dans Son peuple? Ce ne sont que des attributs de Dieu, du seul grand Dieu qui remplit lâĂternitĂ©.» Jâai dit : «Que diriez-vous si vous Le voyiez parmi Son peuple faire voir les â les aveugles, faire entendre les sourds, regarder Ă travers lâauditoire, et dire aux gens ce qui cloche en eux, et exactement comme Il le fit lorsquâIl Ă©tait ici sur terre?»
Elle a dit : «Je crois que ce serait lâhoroscope.»
Et jâai dit : «Vous ĂȘtes dans un Ă©tat pire que je ne le pensais.»
«Ăa serait mieux pour toi si tu Ă©tais folle, voyez, tu nâaurais pas Ă rĂ©pondre de cela.» Mais, je lui ai dit : «Tu es possĂ©dĂ©e dâun mauvais esprit.» Jâai dit : «Lorsque JĂ©sus a parlĂ© Ă la femme au puits de ses maris, lorsquâIl regardait les gens et quâIl connaissait les pensĂ©es de leurs coeurs, appellerais-tu cela de lâhoroscope?» Voyez, elle est tellement plongĂ©e dans une dĂ©nomination appelĂ©e luthĂ©rienne que toute autre chose contraire Ă cela serait fausseâŠ
Maintenant, Dieu a besoin des gens qui sont plongĂ©s dans la Parole. Toute chose contraire Ă Elle est fausse. JĂ©sus Ă dit : «Que toute parole dâhomme soit reconnue comme mensonge et la mienne comme vraie.»
Il y avait lĂ un homme du nom de NoĂ© qui vivait dans un Ăąge trĂšs scientifique. Il nâavait pas honte de la Parole de Dieu. Dieu lâavait rencontrĂ©. Il lui avait parlĂ©. Il savait bien que câĂ©tait Dieu. Et Il lui a dit : «Il va pleuvoir.»
Il nâavait jamais plu, mais il croyait quâil allait pleuvoir et il nâavait pas honte de mettre en pratique la foi quâil avait. Cela lui prit cent-vingt ans pour construire une arche, alors que le monde Ă©tait contre lui. Il nâavait pas honte de la Parole de Dieu en son jour; Dieu le sauva pour cela, lui et sa maison.
88 Il y avait un⊠Comme cela a dĂ» paraĂźtre insensĂ© pour les autres, mais pour lui, il avait rencontrĂ© Dieu. Quels que scientifiques quâaient Ă©tĂ© les autres, ceux qui Ă©taient opposĂ©s Ă cela, Ă quel point on soutenait que cela ne pouvait arriver, que ça ne pouvait arriver, il avait rencontrĂ© Dieu. Il en est ainsi quand vous savez que vous Lui parlezâŠ
89 Vous pourriez penser que câĂ©tait quelque chose dâinsensĂ©; quand quelquâun.. alors que je sais quâil y a quelques personnes dans le monde qui sâaccrochent Ă ce que je dis comme Ă©tant la VĂ©ritĂ©. Je me suis tenu ici et jâai dit: «AINSI DIT LE SEIGNEUR, je vais en Arizona. LĂ , je rencontrerai une constellation de sept Anges». Eh bien, il y avait un groupe dâhommes qui Ă©taient lĂ pour voir cela arriver.
90 Lâautre soir, il a Ă©tĂ© dit : «Los Angeles sombrerait dans lâocĂ©an». Mais quand vous avez rencontrĂ© Dieu, ce Dieu qui ne faillit jamais, ce Dieu qui fait exactement ce quâIl a dit quâIl ferait, Il lâa toujours fait, alors vous nâavez pas honte de cela. Vous nâavez pas Ă faire marche arriĂšre et Ă ĂȘtre embarrassĂ© Ă ce sujet; vous pouvez le dire au monde entier. Si un homme rencontre Dieu, Lui parle et que Dieu devienne rĂ©el dans son coeur, il nâen aura pas honte.
91 NoĂ© nâavait pas honte. Cela semblait insensĂ© au reste du monde, mais pas Ă lui.
92 MoĂŻse, quand il Ă©tait devant Pharaon, il nâeut pas honte de dire Ă Pharaon que certaines choses devaient arriver, parce quâil avait rencontrĂ© Dieu. Dieu lui avait parlĂ© dans le buisson ardent. MoĂŻse avait dit : «Je â je bĂ©gaie». Câest ce quâil avait, un dĂ©faut dâĂ©locution.
Dieu lui a dit : «Voici venir Aaron; sois Dieu pour lui et il sera ton prophĂšte. Je sais quâil parle bien, mais je serai avec ta bouche. Qui fait parler lâhomme?» Amen. Mes amis. Jâaime cela. Câest Dieu! «Qui rend lâhomme sourd ou muet, ou qui fait parler lâhomme? Câest Dieu.»
Il a dit : «Seigneur, montre-moi Ta gloire!»
Dieu a dit : «Quây a-t-il dans ta main?»
MoĂŻse a dit : «Câest un bĂąton.»
Dieu dit : «Jette-le par terre!» Et ça devint un serpent.
Dieu dit : «Ramasse-le!»Et câĂ©tait redevenu un bĂąton. Amen! Il est Dieu!
«Mets ta main dans ton sein!» Il lâa fait entrer et il lâa fait sortir, elle Ă©tait blanche de lĂšpre. Dieu dit : «Remets-la et ressors-la de nouveau (et elle redevint comme lâautre main). Je suis Dieu».
Puis il sâavança devant Pharaon et lui dit ce que Dieu avait dit de lui dire. Il a dit : «Telle et telle chose va arriver.» Il ramassa du sable, le jeta en lâair et dit: «AINSI DIT LE SEIGNEUR, que des mouches viennent sur la terre». Et les mouches vinrent. Il prit de lâeau, la versa dans la riviĂšre et dit : «AINSI DIT LE SEIGNEUR,» et toutes les riviĂšres et tout devinrent du sang. Il fit aussi descendre de la grĂȘle du ciel.
93 Vous savez, dans ces derniers jours, ces plaies sont censĂ©es revenir. Et souvenez-vous, au temps biblique, ceux qui commettaient lâadultĂšre Ă©taient condamnĂ©s Ă mourir par lapidation; et lâĂ©glise incroyante sera lapidĂ©e Ă mort avec des grĂȘlons. CâĂ©tait autrefois le chĂątiment de Dieu. Il lapidera ce monde incrĂ©dule, cette gĂ©nĂ©ration adultĂšre. Il la lapidera depuis le ciel avec des grĂȘlons pesant chacun un talent, ce qui reprĂ©sente quarante-cinq kilos. LâĂ©glise adultĂšre mourra, le monde adultĂšre mourra sous le chĂątiment de Dieu, Il les lapidera comme Il le fit au commencement. Ăglise, mets-toi en ordre avec Dieu! Câest ce que nous devons tous faire : retourner Ă Dieu!
94 Voyez ce vieil Elie ĂągĂ© de quatre-vingts ans, au visage couvert de duvet, Ă la barbe grise, chauve et aux bras maigres, se tenant lĂ dans le dĂ©sert, regardant les gens en train de pĂ©cher. Un matin, Dieu lui a parlĂ© et lui a dit : «Descends lĂ -bas et dis Ă Achab que mĂȘme la rosĂ©e ne tombera pas du ciel, sinon Ă ta parole». Je me reprĂ©sente ses petits yeux drĂŽles en train de regarder par-dessous cette barbe duveteuse blanche, avec ce bĂąton en main, marchant dans la rue comme un jeune garçon de 16 ans. Il alla directement se prĂ©senter devant le roi et dit : «MĂȘme la rosĂ©e ne tombera pas du ciel sinon Ă ma parole!» Il nâavait pas honte de Dieu ni de Sa â Sa Parole. Il pouvait en parler au roi ou Ă nâimporte qui dâautre. Il nâavait pas honte; il nâavait pas besoin de se cacher, en disant : «Eh bien, Achab, tu â tu serais unâŠÂ»
95 Cela me fait penser Ă quelque chose qui ressemble Ă ce que je disais le jour oĂč jâai dit aux gens : «Jâen arrive Ă un point oĂč jâai besoin de plus de foi». Câest pour cela que je suis revenu Ă la maison maintenant, câest pour avoir une â une nouvelle explosion de foi. Câest un peu comme si, lorsquâon prie pour les gens, on sâexcuse : «Monsieur le Diable, voudriez-vous, sâil vous plaĂźt, partir et me laisserâŠÂ» Non! La foi a des muscles et des poils sur la poitrine. Quand elle parle, tout le reste se tait. Nâallez pas dire : «DĂ©mon, sors». «Pars dâici; je suis un fils de Dieu, envoyĂ© par Dieu; laisse ces gens tranquilles!». Et il sâen va.
96 Vous nâavez pas Ă vous excuser devant le diable, vous nâavez rien Ă faire avec lui, nâayez pas honte de la Parole de Dieu, nâayez pas honte de la commission, on nâa pas honte de ce que lâon est. La seule honte que jâĂ©prouve, câest celle dâĂȘtre un Branham, câest ma naissance terrestre. Jâai honte de mes manquements; mais en tant que Son serviteur, je nâai pas honte! Je nâai pas honte de Sa Parole; je suis toujours prĂȘt Ă donner une rĂ©ponse, que ce soit aux dĂ©nominations, aux rois, aux potentats ou quoi que ce soit, je suis prĂȘt Ă donner une rĂ©ponse. Dieu exige cela.
97 MoĂŻse sâest avancĂ© devant Pharaon; il nâavait pas honte de lui dire quâils ne feraient pas de compromissions et quâil emmĂšnerait les siens pendant tant de jours dans le dĂ©sert. Pharaon a dit : «Que quelques-unes des femmes et des enfants restent». MoĂŻse a dit : «Nous irons tous. Il ne restera pas un seul sabot derriĂšre nous; nous emprunterons notre bĂ©tail et tout le reste». Il nâavait pas honte. Pourquoi? Il Ă©tait entrĂ© dans la LumiĂšre de la dĂ©livrance.
98 Câest la raison pour laquelle une fois quâun homme ou une femme qui est malade ou qui a un problĂšme quelconque entre dans la prĂ©sence de Dieu avec lâassurance que Dieu lâa guĂ©ri, il pĂ©nĂštre dans la LumiĂšre de la dĂ©livrance! Il ne fait de compromission sur rien. La dĂ©livrance Ă©tait dans son coeur, car il avait rencontrĂ© Dieu qui avait dit : «Je suis le Dieu dâAbraham, qui a donnĂ© la promesse Ă Abraham, et le temps â le temps de la rĂ©demption, de la dĂ©livrance est proche; je tâenvoie lĂ -bas pour les faire sortir.» Quây a-t-il Ă sâexcuser lĂ -dessus?
99 Pharaon aurait pu le tuer, MoĂŻse nâĂ©tait quâun homme. CâĂ©tait un esclave. Pharaon aurait pu le tuer, mais MoĂŻse nâavait pas honte de la Parole. Il nâest pas venu sâagenouiller devant Pharaon pour le supplier pour quelque chose. Il a dit : «Je suis venu les emmener».
Pharaon a dit : «Eh bien, tu ne peux pas les emmener».
MoĂŻse a dit : «TrĂšs bien, il y aura alors tant de puces sur la terre que vous aurez de la peine Ă vous frayer un chemin.» Et câest ce qui arriva.
Pharaon a dit : «Oh! Moïse, emmÚne-les!»
Moïse a dit : «TrÚs bien; te repens-tu, à présent?»
Pharaon a dit : «Eh bien, vous pouvez aller pendant autant de jours dans le désert.»
MoĂŻse a dit : «Alors des mouches viendront.» Amen! Il a dit : «LâobscuritĂ© viendra», et il faisait trĂšs noir au point quâils ne pouvaient rien voir.
100 Finalement, la mort frappa, depuis chez Pharaon jusquâau serviteur, le fils aĂźnĂ© de chaque famille mourut. MoĂŻse ne sâexcusa auprĂšs de personne. Il Ă©tait un fils dâAbraham, nĂ© de lâEsprit de Dieu, commissionnĂ© par Dieu; le Message de Dieu consistait Ă descendre faire sortir ces gens.
Eh bien, Dieu nâest-Il pas capable de faire venir la mĂȘme chose en ce temps-ci pour faire sortir une Ăpouse de lâĂ©glise?
101 Daniel, ou plutĂŽt David nâavait pas peur devant SaĂŒl. Alors que tout le monde avait peur de Goliath lĂ -bas, il nâeut pas peur de sâavancer. Et il a dit : «Ton serviteurâŠÂ». Ce petit jeune homme blond, il a dit : «Ton serviteur gardait les moutons de son pĂšre lorsquâun ours est venu et a emportĂ© lâun dâeux. Je lâai pourchassĂ© dans la nature et je lâai tuĂ© avec cette fronde. Un lion est entrĂ© (oh! la la! un lion est entrĂ©!), il est venu et a emportĂ© un des moutons et sâest enfui dans le dĂ©sert. Je lâai terrassĂ© Ă lâaide dâune fronde et lorsquâil sâest relevĂ©, je lâai abattu.» Il a dit : «Et le DieuâŠÂ» Et ce roi rĂ©trograde se tenait lĂ avec ces soldats mous qui prĂ©tendaient servir le Dieu du Ciel et qui laissaient ce Philistin incirconcis se tenir lĂ et dĂ©fier les armĂ©es du Dieu Vivant. David a dit : «Ton serviteur va Ă©galement le tuer; car le Dieu qui mâa livrĂ© le lion et lâours, me livrera aussi ce Philistin incirconcis». Il nâa pas bĂ©gayĂ©, il nâa pas dit : «Peut-ĂȘtre que cela sera fait.» Il a dit : «Ăa sera chose faite!» Il nâavait pas honte.
102 Devant le roi, Daniel nâavait pas peur de dĂ©sobĂ©ir aux ordres du roi, dâaprĂšs lesquels on ne devait adresser de priĂšre quâĂ lui. Daniel ouvrait les fenĂȘtres, en remontait le chĂąssis et priait trois fois par jour. Il nâavait pas peur.
Schadrac, MĂ©schac et Abed-Nego nâavaient pas peur de la fournaise ardente. Ils ont dit : «Notre Dieu est capable de nous dĂ©livrer. Dieu peut nous dĂ©livrer, et mĂȘme sâIl ne le fait pas, nous ne nous inclinerons pas devant ta statue». Ils nâavaient pas honte de cela. Certainement pas! Certainement pas! Ils nâen avaient certainement pas honte, car ils Ă©taient sĂ»rs.
103 Samson nâavait pas honte devant les Philistins. Alors quâun millier dâentre eux accouraient vers lui, il ramassa la mĂąchoire dâune mule. Or les casques de ces Philistins avaient une Ă©paisseur de 1,5 pouce dâairain [Environ 4 cm â N.D.T.]. Il en a battu un millier avec sa mĂąchoire. Il avait encore la mĂąchoire en main. Il nâĂ©tait pas embarrassĂ©. Il ramassa simplement ce quâil avait sous la main et se mit au travail avec. Il savait que lâEsprit de Dieu Ă©tait sur lui. Il savait quâil Ă©tait nĂ© nazirĂ©en. Il savait que rien ne pouvait le dĂ©ranger; il Ă©tait serviteur de Dieu. Tant quâil restait dans la volontĂ© de Dieu, rien ne pouvait se mettre en travers de son chemin, peu importait le nombre des rois, des Philistins ou quoi que ce soit qui sâĂ©levaient. Câest juste.
104 Jean nâeut pas honte de la Parole de Dieu qui vint Ă lui dans le dĂ©sert et lui dit dâaller baptiser dâeau. Il nâeut pas honte de dire : «Voici lâAgneau de Dieu qui ĂŽte le pĂ©chĂ© du monde», car lâEsprit de Dieu Ă©tait sur lui. Il nâeut pas honte devant les sacrificateurs. Il nâeut pas honte de la Parole de Dieu lorsquâil sâavança devant HĂ©rode. La femme de Philippe vivait avec HĂ©rode. Il alla directement en face de ce roi; ce brave homme barbu qui venait du dĂ©sert est sorti de lĂ , câest de lĂ quâil est sorti, sans instruction ni quoi que ce soit dâautre, il alla directement devant HĂ©rode et dit : «Il ne tâest pas permis de lâavoir!» Il nâavait pas honte de la Parole de Dieu. Certainement. Il nâen avait absolument pas honte.
Etienne nâeut pas honte de la Parole de Dieu.
105 Tout dâabord, le jour de la PentecĂŽte, quand les gens de la PentecĂŽte sâĂ©taient rassemblĂ©s dans la chambre haute, le Saint-Esprit descendit sur eux selon une promesse de Dieu. Luc 24.49 dit :
âŠet voici, moi, jâenverrai sur vous ce que mon PĂšre a promis. Mais vous, attendez dans la ville de JĂ©rusalem, jusquâĂ ce que vous soyez revĂȘtus de la puissance dâen haut.
Et la promesse mĂȘme que la Parole de Dieu leur avait faite⊠«Voici, Jâenvoie sur vous la promesse de Mon PĂšre, mais attendez lĂ ; nâapprenez plus de thĂ©ologie, et dâinstructions et tout. Attendez jusquâĂ ce que vous soyez revĂȘtus de la Puissance.» Et lorsque cette Puissance du Ciel est venue comme un vent impĂ©tueux, ils nâeurent pas honte de lâĂvangile.
Pierre se leva et dit : «Repentez-vous tous. Vous avez, par la main des impies, crucifiĂ© le Prince de Paix que Dieu a ressuscitĂ© dâentre les morts; et nous en sommes tĂ©moins. Câest ici ce qui a Ă©tĂ© dit par JoĂ«l et qui arriverait dans les derniers jours : âJe rĂ©pandrai de mon Esprit sur toute chair.â» Il nâavait pas honte de lâĂvangile.
106 Le jeune Etienne, câest comme je lâai dit quand je parlais de lui il y a quelques minutes, il y est allĂ© comme une â une â une tornade. Il nâĂ©tait pas prĂ©dicateur, il nâĂ©tait quâun diacre, mais il tĂ©moignait partout de la rĂ©surrection. Il avait rencontrĂ© Dieu. Et câĂ©tait juste comme⊠Essayer de lâarrĂȘter? Eh bien, câĂ©tait comme essayer dâĂ©teindre le feu dâune â une maison, dâune maison en flamme, par un jour de vent, en un temps sec. Eh bien, chaque fois que le vent soufflait, le feu sâenflammait davantage.
107 Ils le traĂźnĂšrent devant le conseil du SanhĂ©drin. RĂ©alisez-vous de quoi il sâagit? Câest comme le Conseil OEcumĂ©nique. Toutes les religions se dirigent vers le Conseil OEcumĂ©nique; toutes les religions se dirigeaient vers le conseil du SanhĂ©drin. Les Pharisiens, les SadducĂ©ens, les HĂ©rodiens ou peu importe ce quâils Ă©taient, ils devaient entrer dans ce conseil. Et ils lâont saisi, non pas une seule organisation, mais le grand conseil sâest saisi de lui. «Nous allons lui causer une grande frayeur.»
108 La Bible dit que, lorsquâil sâest avancĂ© lĂ ce matin-lĂ , son visage ressemblait Ă celui dâun ange. Gloire! Il a dit : «Hommes frĂšres, laissez-moi vous parler. Nos pĂšres ont habitĂ© en MĂ©sopotamie avant de venir Ă Charan» et ainsi de suite. Il continua ainsi Ă citer des passages des Ăcritures; et lorsquâil Ă©tait tout blessĂ©, le Saint-Esprit est venu sur lui et il a dit : «Hommes au cou raide, incirconcis de coeur et dâoreilles, vous vous opposez toujours au Saint-Esprit; ce que vos pĂšres ont Ă©tĂ©, vous lâĂȘtes aussi.» Il nâavait pas honte de lâĂvangile; il nâavait pas honte de la Parole; il nâĂ©tait embarrassĂ© devant aucun conseil du SanhĂ©drin. Non!
109 Paul sâest exprimĂ© devant Agrippa. Il Ă©tait un juif, enseignĂ© aux pieds de Gamaliel (un grand dignitaire) mais⊠un jour quâil Ă©tait sur le chemin de Damas, il est entrĂ© dans la prĂ©sence â en contact avec Dieu. Un Ange Ă©tait descendu du Ciel sous la forme dâune Colonne de Feu, une LumiĂšre qui lâa terrassĂ©. Il se releva et dit : «Seigneur, qui es-Tu?» Et Il rĂ©pondit : «Je suis JĂ©sus».
Pendant quâil se tenait devant Agrippa, il raconta encore cette histoire. Il a dit : «Je nâai pas honte de lâĂvangile de JĂ©sus-Christ, car câest la Puissance de Dieu pour le salut pour quiconque croit!» Certainement.
110 Maintenant, mes amis, nous avons passĂ© en revue des hommes au travers des Ăąges (nous avons dĂ©passĂ© lâheure), mais laissez-moi dire ceci : un homme qui a Ă©tĂ© une fois en contact avec Dieu, câest-Ă -dire la Parole, et Ă qui la Parole a Ă©tĂ© manifestĂ©e et rendue claire, nâen a pas honte. Vous nâĂȘtes pas embarrassĂ©s. Je ne suis pas embarrassĂ© de dire que je crois chaque Parole de Dieu. Je ne suis pas embarrassĂ© quand le Seigneur me dit de dire quelque chose, vous allez le dire et faire ce quâIl dit. Je ne suis pas embarrassĂ© de dire que je suis rempli du Saint-Esprit. Je ne suis pas embarrassĂ© de dire que jâai parlĂ© en dâautres langues. Je ne suis pas embarrassĂ© de dire que notre Seigneur mâa montrĂ© des visions. Je ne suis pas embarrassĂ© de dire quâIl est le mĂȘme hier, aujourdâhui et Ă©ternellement.
111 «Quand vous comparaĂźtrez devant des gouverneurs et des rois Ă cause de Mon Nom, ne pensez pas Ă ce que vous devrez dire car cela vous sera donnĂ© Ă lâheure mĂȘme. Ce nâest pas vous qui parlerez, mais Mon PĂšre qui habite en vous. Mais quiconque a honte de Moi et de Ma Parole dans cette gĂ©nĂ©ration, jâaurai honte de lui devant Mon PĂšre et devant les saints anges.» Que Dieu nous aide Ă ne pas avoir honte, mais Ă ĂȘtre des tĂ©moignages vivants.
112 Dans lâAncien Testament, chaque homme⊠Lorsque ces prophĂštes venaient, ils devenaient â ils devenaient la Parole vivante. Ils Ă©taient la Parole. JĂ©sus a dit quâils Ă©taient appelĂ©s des dieux et câest ce quâils Ă©taient, car la Parole de Dieu venait Ă eux. Ils disaient : «Câest AINSI DIT LE SEIGNEUR.» Et tout disciple de Christ qui est entrĂ© en contact avec Lui par la RĂ©demption et qui a reçu le salut dans son coeur, possĂšde Dieu en lui. Et quel genre de vie devrions-nous vivre, comment devrions-nous marcher, comment devrions-nous parler si Dieu sâidentifie au travers de nos propres corps mortels? Qui pourrait avoir honte de cela?
113 Sâil mâarrivais dâĂȘtre dans la police ici Ă Jeffersonville et que je descende ici la rue avec toute autoritĂ©, je nâaurais pas honte de la ville; je mâidentifierais Ă la ville; je serais un policier, mâidentifiant Ă la ville pour y maintenir lâordre et la discipline. Si un homme brĂ»lait un feu rouge, je nâaurais pas honte de lui dire quâil a mal agi, de lui coller une contravention. Câest mon devoir, car je suis â je suis payĂ© par la ville; câest la ville qui me fait vivre, jâai reçu lâautoritĂ© de la ville. Peu importe si cet homme Ă©tait ivre ou quoi que ce soit qui clochait en lui, la ville me soutiendra. Je tiendrais bon, car je suis policier, et ou⊠jâen ai reçu la commission, jâai Ă©tĂ© placĂ© lĂ et jâai reçu lâautoritĂ© de le faire. Vous devriez accepter la loi, le droit et dâautres choses, et veillez Ă ce que ce soit appliquĂ©.
114 Alors, si je suis un chrĂ©tien et que je suis rempli de lâEsprit, et que je porte le tĂ©moignage de la rĂ©surrection de JĂ©sus-Christ selon lequel Il est le mĂȘme hier, aujourdâhui et Ă©ternellement, ne laissez aucun dĂ©mon essayer de vous malmener en disant : «Ne fais pas ceci et ne fais pas cela». Faites-le carrĂ©ment. Câest Dieu qui vous a donnĂ© le⊠Vous voyez, nous nâavons pas de puissance. Ce policier nâa pas de puissance pour arrĂȘter une voiture. Câest Ă peu prĂšs⊠Parfois, elle a un moteur dâune puissance de trois cents ou quatre cents chevaux; que peut-il faire contre cela? Mais il a lâautoritĂ©. Et câest cela lâĂglise. Nous avons reçu lâautoritĂ© par la rĂ©surrection de JĂ©sus-Christ et par Sa Parole promise! AllĂ©luia! «Les choses que je fais, vous les ferez aussi; et vous en ferez de plus grandes, car je mâen vais au PĂšre».
115 Nâayez pas honte de Lui dans cette gĂ©nĂ©ration pĂ©cheresse et perplexe, la derniĂšre gĂ©nĂ©ration sur terre. Câest une gĂ©nĂ©ration pĂ©cheresse, adultĂšre et pleine de plaies en putrĂ©faction. Tout, tout ce qui Ă©tait dĂ©cent est devenu indĂ©cent. La politique nationale, la souillure⊠les nations se disloquent. LĂ , trĂšs loin, dans les jungles dâAfrique, les chasseurs qui allaient en safari devraient emporter des radios de fortes puissances pour Ă©couter Elvis Presley, Pat Boone et ces gars qui font du rock and roll et du twist. Et les indigĂšnes cherchaient Ă les voir agir comme cela, secouant la tĂȘte, et agir comme cela, les indigĂšnes se tenaient lĂ et les observaient. Mais vous voyez, ce ne sont pas des AmĂ©ricains comme Pat Boone, Elvis Presley et Ricky Nelson et tous ces gars. Ce nâest pas cette sorte de Judas, mais ils sont⊠Vous voyez, il sâagit dâun esprit, et cet esprit ne se trouve pas seulement en AmĂ©rique; il sâest rĂ©pandu dans le monde entier pour amener les gens Ă la bataille dâArmagĂ©don. Ils agissent comme ça, quâils soient⊠quelle que soit la nation dont ils sont ressortissants; en Afrique, en Inde, oĂč que ce soit, ces histoires sales et vulgaires se sont rĂ©pandues sur toute la terre, Ă partir dâun seul homme qui en est lâinitiateur.
116 De mĂȘme, lâĂvangile et la Puissance du Dieu Tout-Puissant se sont rĂ©pandus Ă travers le monde! Et câest maintenant le temps de la sĂ©paration oĂč Dieu appelle une Ăpouse et oĂč le diable appelle une Ă©glise. Laissez-moi faire partie de lâĂpouse! Prions.
117 Dieu bien-aimĂ©, nous voyons lâEcriture sur la muraille; nous sommes au temps de la fin. Nous savons que de grandes choses sont devant nous, mais pourtant quelque part, quelque part dans ce gĂąchis se trouvent encore des gens honnĂȘtes qui sont destinĂ©s Ă la Vie. Il serait impossible quâun homme ou deux le fassent, mais permets, ĂŽ Dieu, que tous ensemble nous puissions rĂ©pandre dans chaque coin cette Bonne Nouvelle, que JĂ©sus vient; et, voyons, puissions-nous rĂ©pandre un peu de Pain sur le chemin, un peu de Parole. OĂč que soient les Aigles, ils suivront cette Nourriture. QuâElle vienne par bande cassette, par la parole ou par un tĂ©moignage, les Aigles La suivront jusque dans Son quartier GĂ©nĂ©ral. Car il est Ă©crit : «LĂ oĂč se trouve le corps, lĂ sâassembleront les Aigles».
118 Bien-aimĂ© JĂ©sus, nous savons que Tu es le Corps que nous mangeons. Tu es la Parole et la Parole a Ă©tĂ© faite chair et a habitĂ© parmi nous. Nous Te prions, ĂŽ Dieu, comme nous rĂ©pandons la Parole, que les vĂ©ritables Aigles La trouvent. Fais en sorte que nous nâayons pas honte lorsque nous nous tenons devant les gens mĂ©chants, indiffĂ©rents, religieux, quoi quâils soient. Comme Paul le disait Ă TimothĂ©e : en toute occasion, favorable ou non, reprends, censure et exhorte, avec toute douceur et en instruisant, car il viendra un temps oĂč les hommes ne supporteront pas la saine doctrine, mais, ayant la dĂ©mangeaison dâentendre des choses agrĂ©ables, ils se donneront une foule de docteurs selon leurs propres dĂ©sirs, dĂ©tourneront lâoreille de la vĂ©ritĂ©, et se tourneront vers les fables. Ă Dieu, nous vivons en ce jour-lĂ . Tu mâas laissĂ© vivre assez longtemps pour voir cela arriver, comme cela se trouve juste lĂ dans la pierre angulaire de ce tabernacle voici aujourdâhui trente trois ans.
119 Que Dieu bĂ©nisse chaque personne ici prĂ©sente. Sâil y a quelquâun ici, Seigneur, qui nâest pas encore prĂȘt Ă Te rencontrer, parce quâil ne peut tout simplement pas sâaccorder avec Ta Parole, parce quâil ne Tâa pas rencontrĂ© face Ă face pour â pour savoir quâon ne Te reçoit pas par un quelconque acte de â de â dâapprobation, comme on le ferait avec un credo ou quelque chose comme ça, mais quâil a rencontrĂ© le Dieu Vivant. Et sâil nâa pas fait cela, Seigneur, puisse-t-il le faire maintenant mĂȘme. Je â je crois quâĂ cette heure, Tu es â Tu es trĂšs proche. Je ne sais pas qui ils sont. Je ne sais mĂȘme pas sâil y en a, mais je me sens simplement conduit Ă Tâadresser cette priĂšre. Non afin que les gens mâentendent, car ce serait un rite hypocrite. Que Dieu mâen garde; je ne veux pas ĂȘtre un hypocrite. Mais je le demande par ma priĂšre avec sincĂ©ritĂ© dans mon coeur, Seigneur. Peu importe lâhomme ou la femme Ă qui Tu as parlĂ© ce matin, quâen toute humilitĂ©, ils nâaient pas honte, mais au plus profond du coeur quâils Te reçoivent maintenant, quâils viennent ce soir pour ĂȘtre baptisĂ© au Nom de JĂ©sus-Christ, obĂ©issant Ă chaque Parole â chaque Parole. Sâils ont Ă©tĂ© baptisĂ©s autrement, sâils ont Ă©tĂ© aspergĂ©s, si on leur a versĂ© de lâeau dessus. Souviens-Toi (nous nous en souvenons, Seigneur), que Tu as dit : «Quiconque retranchera un mot de ce Livre ou Y ajoutera un mot, sa part sera retranchĂ©e du Livre de Vie». MĂȘme si cette personne cherche Ă venir inscrire son nom dans le Livre, cela â cela ne marchera pas. Soyons sincĂšres et humbles. Maintenant, ils sont entre Tes mains, Seigneur. Fais dâeux comme bon Te semble, car ils sont Ă Toi. Au nom de JĂ©sus-Christ, le Fils de Dieu.
120 Maintenant pendant que nous avons nos tĂȘtes inclinĂ©es, je veux que vous rĂ©flĂ©chissiez trĂšs sĂ©rieusement maintenant. Tout dâabord, je mâexcuse pour les quelques quinze minutes de retard. Nous voulons maintenant fredonner. Et rĂ©flĂ©chissez donc simplement dans votre coeur : «Ai-je rĂ©ellement rencontrĂ© Dieu?» RĂ©flĂ©chissez trĂšs sincĂšrement Ă ce sujet maintenant, car il nây aura peut-ĂȘtre plus beaucoup dâoccasions jusquâĂ ce que⊠Il se peut que ce soit maintenant la derniĂšre fois que nous nous rencontrons avant Sa venue. Câest proche, mes amis. Il semble que chaque Ăcriture est pratiquement accomplie. Cela peut ĂȘtre pour vous ou pour moi. Il se peut que ce soit notre derniĂšre occasion. Il se peut quâavant cette nuit, nous soyons partis.
âŠJâirai avec Lui tout le long du chemin.
Jâentends : (Avez-vous honte de Moi et de Ma Parole?)
Jâentends mon Sauveur⊠(Imaginez simplement que vous soyez Ă©tendu sur votre lit de mort.) JâentendsâŠ
Il se peut que ce soit alors trop tard, mais ce nâest pas le cas maintenant mĂȘme.
«Prends ta croix et (Il se peut quâil y ait des sacrifices Ă faire maintenant) ⊠suis-moi». (Maintenant dans votre coeur rĂ©pondez ceci :)
Je traverserai le Jardin avec Lui,
Je traverserai le Jardin avec Lui,
Je traverserai le Jardin avec Lui,
Jâirai avec Lui, avec Lui tout le...
(Maintenant, avec nos tĂȘtes inclinĂ©es, levons simplement les mains et disons :)
Je passerai avec Lui en Jugement, (Câest ce qui se passe maintenant mĂȘme; Il nous juge.)
Jâirai⊠(Seigneur, me trouves-Tu coupable? Alors pardonne-moi) par Son Jugement,
(Comment me juges-Tu ce matin, Seigneur?)
âŠ.avec Lui en Juge â ⊠(Eprouve-moi, Seigneur, vois sâil y a en moi une chose impure.)
âŠavec Lui, avec Lui tout le long du chemin.
121 PĂšre, ce matin nous Te remercions pour toutes ces mains. Je nâai pas vu une seule personne qui nâa pas levĂ© la main. Je Te remercie, Seigneur. Je â jâespĂšre que Toi, non plus, Tu nâen as pas vu, Seigneur. Il nây en a aucun qui nâait levĂ© la main; ils sont prĂȘts Ă passer en Jugement. Juge-nous, Seigneur, et sâil y a un mal en nous, pardonne-nous pour cela, PĂšre. Accorde-nous Ta misĂ©ricorde car nous ne voulons pas rencontrer Ton Jugement, quand il nây aura plus misĂ©ricorde. Ainsi, comme la misĂ©ricorde est prĂ©sente maintenant, nous Te prions donc, ĂŽ Dieu! de nous juger et de nous pardonner nos pĂ©chĂ©s, selon Ta Parole et Ta promesse; Laisse-nous vivre pour Toi tous les jours de notre vie sans que nous ayons honte de lâĂvangile.
122 Maintenant, PĂšre, si câest Ta volontĂ©, nous commençons des rĂ©unions qui auront lieu trois dimanches dâaffilĂ©e. PrĂ©pare nos coeurs pour cela, Seigneur. PrĂ©pare-moi, ĂŽ Dieu! Câest moi qui ai profondĂ©ment besoin de Toi. Je Te prie de me guider et de me diriger dans les choses que je suis censĂ© faire et dire dans les jours Ă venir. Guide et conduis notre prĂ©cieux frĂšre Neville qui est Ton vaillant serviteur, Seigneur, ainsi que frĂšre Mann et les diacres de lâĂ©glise, les administrateurs et toutes les personnes qui sont assemblĂ©es ici. PrĂ©pare-nous, Seigneur, afin que nous soyons capables comme des vrais chrĂ©tiens Ă ramener des pĂ©cheurs Ă Toi, Ă amener les membres dâĂ©glise Ă connaĂźtre le Dieu que nous connaissons et que nous avons rencontrĂ© personnellement, quâIl devienne aussi leur Dieu.
123 Maintenant, PĂšre, cela, nous ne pouvons pas le faire. Nous ne pouvons pas les faire entrer; mais Toi, le Saint-Esprit, meus-Toi sur les gens, les membres des Ă©glises. Et comme la petite expĂ©rience que jâai eue lâautre matin avec Toi : «Va chercher une Ăpouse pour mon Fils. Prends-la parmi les gens, parmi les Ă©glises; fais sortir cette Ăpouse.» Laisse-moi donc le faire en priĂšre maintenant, Seigneur. Envoie la RĂ©becca; jâessaierai dâĂȘtre Eliezer. Aide-moi Ă ĂȘtre un serviteur fidĂšle. Et que le Dieu du Ciel envoie Son Ange devant moi, devant nous, afin que nous mettions les choses ensemble et que nous sĂ©lectionnions lâĂpouse que Tu as choisie. Nous le demandons au Nom de JĂ©sus. Amen.
124 Eh bien, je suis dĂ©solĂ© de vous avoir gardĂ© un peu tard; cela fait vingt-cinq minutes de plus. Il y a 25 minutes que je devrais ĂȘtre parti. Mais... Maintenant, aimez-vous ce vieux cantique «Prends le Nom de JĂ©sus avec toi»? [LâassemblĂ©e dit : «Amen.» â N.D.E.] Nâest-il pas beau? Cela fait maintenant trente-trois ans que je le chante pour congĂ©dier lâassemblĂ©e. Lors des baptĂȘmes dâeau, câest «Je me tiens sur les rives tumultueuses du Jourdain». Je pense que câest tellement beau : «Prends-Le simplement partout oĂč tu vas».
Précieux Nom, Nom si doux!
EspoirâŠ
Maintenant serrez la main Ă quelquâun Ă cĂŽtĂ© de vous
Précieux Nom, précieux Nom, Î Nom si doux!
Espoir de la terre et joie du ciel.
Eh bien, souvenez-vous de la rĂ©union de ce soir, Ă 19h30â, Ă 19h30â ce soir. Maintenant, chantons juste un couplet, voyez.
Prends le Nom de Jésus avec toi
Comme un bouclier contre tout piĂšge
Quand les tentations tâassaillentâŠ
Que faites-vous alors?
Murmure simplement ce saint Nom en priĂšre.
Précieux Nom, Î Nom si doux!
Espoir de la terre et joie du ciel
Précieux Nom, Î Nom si doux!
Espoir de la terre, et joie du ciel.
Inclinons la tĂȘte, et prions que Dieu bĂ©nisse chacun de nous trĂšs richement afin que Sa grĂące et Sa misĂ©ricorde soient avec nous le long de la semaine prochaine, et sâil arrive que quelquâun parmi vous passe donc au-delĂ du voile...
125 Y a-t-il des gens qui sont venus pour ĂȘtre baptisĂ©s aprĂšs ce service? Sâil y en a, levez la main. Y a-t-il quelquâun Ă baptiser? Deux, câest bien, Ă baptiser aussitĂŽt aprĂšs ce service. Si le reste dâentre vous, nâimporte qui parmi vous veut ĂȘtre baptisĂ©, nous aurons le service de baptĂȘme Ă chacune de ces rĂ©unions.
Tout ce que vous avez Ă faire, câest de demander. Nous sommes prĂȘts Ă vous baptiser. Câest notre devoir, de vous baptiser au Nom de notre Seigneur JĂ©sus-Christ. Câest notre devoir de le faire. Et nous serons heureux de le faire nâimporte quand.
Vous qui devez ĂȘtre baptisĂ©, allez dans des piĂšces, aussitĂŽt aprĂšs le service, et nous continuerons juste avec le baptĂȘme dâeau. Quiconque veut les suivre, quâil se rassure que nous sommes ici⊠Si vous vous ĂȘtes repenti de votre pĂ©chĂ© et que vous avez acceptĂ© JĂ©sus comme votre SauveurâŠ
126 Si vous ĂȘtes chrĂ©tien depuis des annĂ©es et que vous nâavez jamais vu la LumiĂšre, (et que) la LumiĂšre de la dĂ©livrance est maintenant venue. Une femme, une Epouse qui doit prendre le Nom⊠JĂ©sus a dit : «Je suis venu au Nom de Mon PĂšre, et vous ne Mâavez pas reçu. Mais un autre viendra en son propre nom, et vous le recevrez». Ce sont vos dĂ©nominations.
127 Chaque fils vient au nom de son pĂšre. Je suis venu au nom de mon pĂšre. Vous les hommes, vous ĂȘtes venus au nom de votre pĂšre.
128 Et quel Ă©tait Son Nom, quel est le Nom du PĂšre? JĂ©sus! «Il»..., suis venu au Nom de Mon PĂšre, vous ne Mâavez pas reçu! Maintenant Son Epouse portera Son Nom, assurĂ©ment.
129 Jâai Ă©pousĂ© une femme du nom de Broy, et elle est devenue une Branham.
130 Il vient chercher une Epouse, soyez-en sĂ»rs et souvenez-vous-en alors que vous venez au baptistĂšre. Inclinons maintenant la tĂȘte.
131 Et FrĂšre Vayle ici nâest pas un Ă©tranger pour nous. Câest un trĂšs prĂ©cieux frĂšre. Il a Ă©tĂ© avec moi dans beaucoup de rĂ©unions, son Ă©pouse et lui. Et il met Ă©galement par Ă©crit ces sermons et tout, sous forme de livre. FrĂšre Vayle, voudriez-vous nous congĂ©dier par la priĂšre, pendant que nous inclinons la tĂȘte? [FrĂšre Vayle prie. â N.D.E.]
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