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PrĂ©dication S’identifier Ă  Christ de William Branham a Ă©tĂ© prĂȘchĂ©e 59-1220E La durĂ©e est de: 1 hour and 58 minutes .pdf La traduction Vgr
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S’identifier à Christ

1 Merci beaucoup. Je suis vraiment heureux d’ĂȘtre de nouveau ici, au Nom du Seigneur. Je serai un peu enrouĂ© au dĂ©but, mais au bout d’un moment, le Seigneur me fait passer la deuxiĂšme vitesse. C’est que, cette semaine, j’ai beaucoup prĂȘchĂ©, pendant cette sĂ©rie de rĂ©unions. Et il y a eu beaucoup de questions auxquelles rĂ©pondre. Et aprĂšs cela, sortir du bĂątiment, alors que j’ai chaud. Et là
 Je n’ai pas un mauvais rhume. Je ne me suis jamais senti mieux de ma vie. Alors, je me sens vraiment bien, mais c’est ma gorge qui est surmenĂ©e, c’est tout. Et, tout ira bien. Donc, je tiens Ă  remercier chacun d’entre vous pour tout ce que vous avez fait.

2 J’ai essayĂ© de trouver
 Je suis arrivĂ© en voiture, il y a quelques minutes – Billy et quelques autres Ă©taient Ă  l’extĂ©rieur, cherchant Ă  trouver cette brave famille de gens qui Ă©taient venus, et Ă  qui il ne restait plus d’argent, plus assez pour rentrer chez eux. S’ils sont encore dans le bĂątiment, j’aimerais qu’on
qu’ils lĂšvent la main, ou quelque chose. Je–j’aimerais y participer de ma poche aussi. Donc, cette brave famille du Michigan, ou, de quelque part, qui–qui n’a plus d’essence, ou quelque chose, ou plus d’argent. Si vous–si vous ĂȘtes encore ici en ville
 Si vous les voyez aprĂšs la rĂ©union, faites-leur faire un saut chez moi. Voyez? Je tiens Ă  y participer. C’est–c’est pour ça–c’est pour ça que nous sommes ici: pour donner un coup de main, aider tous ceux que nous pouvons aider. Bon, donc nous prions le Seigneur JĂ©sus de nous bĂ©nir.

3 Bien, cette semaine a Ă©tĂ© une semaine inhabituelle, et il s’est passĂ© des choses inhabituelles parmi nous. Mais je dirai que je n’ai jamais vu le Saint-Esprit agir plus librement que cette semaine, dans les rĂ©unions; j’ai trouvĂ© ça tout Ă  fait merveilleux. Et le soir, en rentrant, des fois ce n’est qu’à une heure du matin que j’en arrivais Ă  dormir. Je me rĂ©jouis vraiment en pensant que le Seigneur JĂ©sus est si bon pour nous. Et maintenant, je


4 Ceux d’entre vous qui sont d’ici, de la ville ou des environs, si vous n’avez pas encore un chez-vous, une Ă©glise qui soit la vĂŽtre, vous pouvez venir ici quand vous voulez, pour en faire votre chez-vous. Souvenez-vous, ici, nous n’inscrivons pas de membres: c’est une fraternitĂ© ouverte Ă  tous. “Nous n’avons”, comme disait Howard Cadle, “aucune autre loi que l’amour, aucun autre credo que Christ, aucun autre livre que la Bible.” Donc, vous ĂȘtes toujours les bienvenus dans ce petit tabernacle.
Et nous comptons, si le Seigneur le veut, construire dĂšs que possible une Ă©glise qui convient mieux, plus–plus spacieuse. Pas trop grande, puisque nous croyons que JĂ©sus revient bientĂŽt; nous ne voulons pas quelque chose de trop sophistiquĂ©. Nous voulons seulement quelque chose
 Celui-ci, il est sur le point de s’écrouler. Il a fait son temps, et nous sommes trĂšs reconnaissants de l’avoir eu.
Je n’oublierai jamais: Ici mĂȘme, oĂč se trouve cette chaire maintenant, il y a une bonne vingtaine d’annĂ©es, je me suis agenouillĂ© dans un vieil Ă©tang, avec des roseaux au-dessus de ma tĂȘte. Et le Seigneur m’a dit: “Construis ton Ă©glise ici.” Sur un petit terrain, que nous sommes allĂ©s acheter aux Ingram pour cent soixante dollars, Ă  charge pour nous de le combler. C’était un Ă©tang oĂč on venait tous patiner quand il Ă©tait gelĂ©.

5 FrĂšre Jess Spencer se souvient certainement du temps oĂč ici, c’était un Ă©tang – lui et Soeur Spencer. Je pense que vous vous en souvenez. Les attelages faisaient un grand dĂ©tour ici pour Ă©viter l’étang.
J’étais un petit garçon, lĂ , Ă  l’école Ingramville. Ici, c’était un Ă©tang; on venait ici patiner, et–et jouer des parties de hockey improvisĂ©es, et tout, sur l’étang. FrĂšre Mike, tu te souviens de l’époque oĂč c’était un Ă©tang, ici. [FrĂšre Mike dit: “Oui.”–N.D.É.] Oui monsieur. Et FrĂšre Roy, lĂ -bas.
Maintenant, Ă  l’emplacement de l’étang – il en reste seulement une partie, juste ici, derriĂšre. C’est lĂ  que nous baptisons les gens dans l’eau pour la rĂ©mission de leurs pĂ©chĂ©s. Et maintenant


6 Vous savez, quand on en vient aux questions, et qu’on–qu’on a quelque chose qu’on veut apporter, ça pose un problĂšme, parce qu’on a un auditoire de diffĂ©rents horizons. Les gens ont Ă©tĂ© enseignĂ©s d’une façon ou d’une autre. Mais, quand on peut expliquer la chose, mĂȘme si c’est contraire Ă  l’enseignement qu’ils ont reçu, et que la douceur de leur esprit rĂ©pond, pour moi, c’est divin.
Je ne veux pas mentionner de nom. Mais un–un certain docteur d’une autre ville est venu me voir, lĂ , dans le bureau Ă  cĂŽtĂ©; je crois qu’il est mĂ©decin. Et il disait que ça faisait des annĂ©es qu’il Ă©tait plutĂŽt embrouillĂ© Ă  ce sujet. Il avait lu un livre qui Ă©tait Ă©crit sur le sujet, contraire Ă  mon enseignement. Mais il a dit que, depuis qu’il est venu aux rĂ©unions et qu’il a vu les rĂ©alitĂ©s de l’Écriture apportĂ©es et mises Ă  leur place, la question est dĂ©finitivement rĂ©glĂ©e.

7 Il y a quelques instants, dans le bureau, j’ai rencontrĂ© des gens qui viennent de l’extĂ©rieur, de l’Illinois. Et il y avait Ă  peu prĂšs quatre ministres, trois ou quatre ministres. Ils m’ont dit: “FrĂšre Branham, nous avons enseignĂ© le contraire toute notre vie, mais maintenant, nous saisissons la vision, et nous voyons oĂč est vraiment la VĂ©ritĂ©. Nous nous demandions ce qu’il en Ă©tait.” Voyez? Et lĂ , c’est, voyez, c’est que maintenant nous sommes


8 En fait, frĂšre, lĂ , n’allez pas croire que cela porte atteinte Ă  une Ă©glise ou Ă  des gens, quels qu’ils soient. Cela ne fait qu’édifier l’Église. Voyez? Et alors, ensemble, nous devons nous unir. Nous devons faire front commun ensemble. Quand ces

Quand Dieu S’est partagĂ©, Ă  la PentecĂŽte, qu’Il a partagĂ© la Colonne de Feu en de petites colonnes de Feu qui sont venues se poser au-dessus des gens, alors le Saint-Esprit est venu sur eux. Si Dieu S’est partagĂ© entre nous, chaque fois qu’il y en a un qui nous rejoint, cela Ă©toffe cette Colonne chaque fois plus. Et ensemble, quand toute la glorieuse Église rachetĂ©e de Dieu sera rassemblĂ©e, nous partirons dans les cieux Ă  coup sĂ»r.

9 Je n’ai jamais essayĂ© de sĂ©parer ou de semer la discorde entre les frĂšres. Je me suis efforcĂ© d’ĂȘtre aussi gentil que possible, de comprendre. Et–et les autres hommes, s’ils
les Ă©glises qui parrainent mes sĂ©ries de rĂ©unions. Alors, s’ils sont
 Ils ont des divergences entre eux, mais ils m’aiment, et ils parrainent mes sĂ©ries de rĂ©unions. Et quand j’arrive parmi leurs fidĂšles, je ne vais certainement pas dire la moindre chose. Un–un homme bien Ă©levĂ© ne ferait pas ça, alors un ChrĂ©tien encore moins. Absolument pas.
Et puis, si jamais je fais des rĂ©unions sous tente, ce que j’ai l’intention de faire, si le Seigneur le veut, un jour. Alors je–je, avant d’aborder l’enseignement d’un de ces points, je commencerai par des rĂ©unions le matin, avec les pasteurs, pendant plusieurs jours, pour qu’ils sachent ce que je vais enseigner. À ce moment-lĂ , si tel frĂšre ne le voit pas comme ça, qu’il n’est pas d’accord, – n’importe quel frĂšre, – il dira Ă  son assemblĂ©e: “Bon, ça, je ne veux pas que vous l’écoutiez. Nous n’assisterons pas quand ils enseigneront Cela.” Voyez? Je leur laisse le choix. Nous voulons toujours rester en harmonie avec Dieu et avec Ses enfants, avec chacun.

10 Donc, et ce soir, j’ai Ă  rĂ©pondre Ă  une question, si le Seigneur le veut. Et je me suis dit que je devrais peut-ĂȘtre d’abord rĂ©pondre Ă  cette question. Il me semblait que j’en avais une autre ici, mais c’était un songe que quelqu’un a donnĂ©, pour que je prie Ă  ce sujet et que j’en donne l’interprĂ©tation. Dans Sa grĂące, le Seigneur nous a si souvent accordĂ© de le faire.

11 Maintenant, avant de poursuivre le service, nous tenons Ă  vous dire que vous ĂȘtes tous cordialement invitĂ©s Ă  revenir Ă  toutes les rĂ©unions, chaque fois que nous en aurons. Et vous, de l’extĂ©rieur de la ville, de Louisville, d’ici en ville, et des environs; ces excellents ministres; le frĂšre de Sellersburg; les gens qui ont chantĂ©; la dame, je ne saurais pas dire qui c’est, qui a chantĂ© ici tout Ă  l’heure, et le petit garçon. Nous vous remercions beaucoup. Comme je–j’étais en train de parler avec des frĂšres, lĂ -derriĂšre, je n’ai mĂȘme pas pu voir qui c’était, ce que c’était, mais je l’ai bien entendu. C’était trĂšs beau, et j’apprĂ©cie vraiment cette contribution. Maintenant, nous


12 Je n’avais pas vu ceci hier soir. Mon fils l’avait mis dans ma poche. Une chĂšre personne avait Ă©crit cela. Et souvenez-vous, les gens ne posent pas ces questions pour s’opposer. Parfois, comme elles sont Ă©crites, elles peuvent donner l’impression que la personne s’oppose, mais c’est un coeur sincĂšre qui cherche une rĂ©ponse. Voyez? C’est toujours de cette façon que nous le prenons: quelqu’un de vraiment sincĂšre qui cherche la vĂ©ritĂ©.

13 Bon, lĂ , il y a quelque temps, j’étais allĂ© dans une maison pour une rĂ©union de priĂšre. Et FrĂšre Junior Jackson – je l’ai entendu tout Ă  l’heure, ou du moins il m’a semblĂ© l’entendre – Ă©tait avec moi. Il venait de terminer de parler. Et il y avait lĂ  un ministre d’une autre assemblĂ©e. Je venais Ă  peine de prendre la parole qu’il s’est levĂ© d’un bond pour chercher la dispute avec moi. Eh bien, il se trouvait qu’il y avait environ cinq ministres lĂ , et ils voulaient tous s’opposer Ă  lui tout de suite. Je leur ai dit: “Non. Ne faites pas ça. Bon, c’est moi qu’il–qu’il a attaquĂ©, alors qu’on s’explique, lui et moi.”
Eh bien, il a commencĂ©: “Nous, nous parlons lĂ  oĂč la Bible parle, et nous nous taisons lĂ  oĂč Elle se tait”, et ainsi de suite. Et c’était parti! Et au bout d’un moment
 Je notais sans cesse les passages de l’Écriture qu’il dĂ©formait, qu’il plaçait mal. Il disait: “Il n’y a eu que–il n’y a eu que douze personnes en tout et pour tout qui ont un jour reçu le baptĂȘme du Saint-Esprit. C’était les apĂŽtres. Et la guĂ©rison Divine n’a Ă©tĂ© donnĂ©e qu’à ces douze-là”, et ainsi de suite. Donc, vous voyez, il manquait le but d’un million de kilomĂštres. Alors, aprĂšs le
aprĂšs que je
 AprĂšs qu’il avait parlĂ© pendant environ une demi-heure, je lui ai demandé  Et il avait dit que j’étais du diable.

14 Donc, aprĂšs, une fois qu’il a eu terminĂ© de parler, je lui ai dit: “LĂ , ce que je veux commencer par vous dire, frĂšre, c’est que je vous pardonne pour cela, parce que ce n’était pas vraiment votre pensĂ©e. Je sais que ce n’était pas votre pensĂ©e. En effet, puisque vous ĂȘtes ministre et moi aussi, nous devrions ĂȘtre frĂšres.” Voyez? Alors j’ai dit: “Maintenant, ne pas bien se comprendre sur des points de l’Écriture, ça, c’est autre chose.”

15 Donc, nous nous sommes mis Ă  prendre ce que disent les Écritures. Au bout d’un instant, le pauvre homme Ă©tait tellement fourvoyĂ© qu’il ne savait pas quelle position prendre, ou que faire. Ensuite, il s’est retrouvĂ© au pied du mur, il ne savait pas quoi faire. Et il, en quittant les lieux, ce soir-lĂ , par contre, il m’a dit: “Je vous dirai une chose, FrĂšre Branham. Vous avez l’Esprit de Christ.” Voyez?
Je me suis dit: “‘Du diable’ il y a quelques instants, et maintenant ‘l’Esprit de Christ’.” Cela dĂ©pend seulement de la façon dont vous le prenez. C’est tout. Christ n’a pas polĂ©miquĂ©.

16 Maintenant–maintenant, cet homme, pour avoir fait cela, il lui est arrivĂ© des choses terribles: il a failli perdre la tĂȘte. Dans un hĂŽpital psychiatrique, ou quelque chose comme ça, il s’est jetĂ© par une fenĂȘtre et il a failli se tuer. Et maintenant, il est revenu vers de bons amis Ă  moi. Il cherche le baptĂȘme du Saint-Esprit chaque jour. Il veut venir chez moi, que je lui impose les mains pour qu’il reçoive le Saint-Esprit – un prĂ©dicateur d’une grande Ă©glise d’une dĂ©nomination. Voyez?

17 Donc, c’est en toute honnĂȘtetĂ© que nous rĂ©pondons aux questions, que nous y rĂ©pondons de notre mieux.

18 Bon, maintenant, je vais lire cette question, trĂšs bien Ă©crite. 1. FrĂšre Branham, s’il vous plaĂźt, pourriez-vous expliquer pourquoi les gens, dans Actes 2.4, ont parlĂ© en d’autres langues ou en langues Ă©trangĂšres, avant mĂȘme que la foule ait accouru, dans Actes 2.6? C’est la premiĂšre question. Oui. De la mĂȘme personne aussi, me semble-t-il. Oui, c’est de la mĂȘme personne.

19 Bien, lĂ , si vous remarquez, frĂšre, soeur, vous qui avez Ă©crit cela. Nulle part il n’est fait mention qu’ils sont descendus de l’étage. Et l’auditoire n’était pas Ă  l’étage. Mais une fois qu’ils sont descendus dans la cour, lĂ  oĂč la foule Ă©tait rassemblĂ©e, c’est lĂ  qu’on les a entendus parler en langues. Voyez? Voyez?

20 Bon, vous pourriez dire: “Mais ils ont parlĂ© quand ils Ă©taient Ă  l’étage.”
Et s’il s’agissait d’un dĂ©bat ou d’une polĂ©mique, vous auriez tout autant le droit de dire “qu’ils n’ont pas parlĂ© avant d’arriver en bas, parce que: ‘Le bruit de ceci s’étant rĂ©pandu’”. Voyez?
Maintenant, l’autre, ici, qui va avec: 2. Pourriez-vous expliquer comment Simon a su que le Saint-Esprit avait Ă©tĂ© donnĂ©, dans Actes 8.18? Ça, c’était Ă  Samarie.

21 Eh bien, une chose: ce n’est pas parce qu’ils ont parlĂ© en langues qu’il a su qu’ils avaient le Saint-Esprit; du moins la Bible ne dit pas qu’ils l’ont fait. C’est qu’ils ont vu les rĂ©sultats. Personne ne peut recevoir le Saint-Esprit sans qu’il lui arrive quelque chose. C’est vrai. Mais il n’est pas dit qu’ils ont parlĂ© en langues Ă  ce moment-lĂ , donc ce doit ĂȘtre autre chose qu’il a vu, autre chose que le parler en langues, puisqu’il n’est pas du tout dit qu’ils ont parlĂ© en langues. 3. Et expliquer comment nous savons que certaines des personnes du Jour de la PentecĂŽte parlaient le galilĂ©en?

22 La plupart d’entre eux Ă©taient des GalilĂ©ens. Et tous
 Bon, comme je le disais ce matin
 Bon, il y a deux choses, deux Ă©coles. LĂ  je vais prendre l’opinion selon laquelle ces gens parlaient en langues; qu’ils parlaient, non pas en langues mais dans des langues Ă©trangĂšres, quand ils sont sortis de la chambre haute et qu’ils sont allĂ©s Ă  la rencontre des gens. Mais si vous lisez l’Écriture – Ă©coutez bien, lĂ : 
ces gens qui parlent ne sont-ils pas tous GalilĂ©ens? Et comment les entendons-nous–comment les entendons-nous dans notre propre langue Ă  chacun, dans notre langue maternelle? 
ces gens qui parlent ne sont-ils pas tous GalilĂ©ens?

23 Ils pouvaient parler en galilĂ©en, mais c’est qu’on les entendait dans une autre langue. Il se peut qu’ils aient parlĂ© une autre langue, leur propre langue. Quoi qu’il en soit, ça ne fait rien; d’une façon ou d’une autre, ça n’apporte pas de crĂ©dit Ă  la façon de voir des pentecĂŽtistes. Voyez? Parce que
 Écoutez. Voici pourquoi. Ce n’est pas pour m’opposer, mais seulement pour donner les faits tels qu’ils sont. Si vous remarquez: Alors pourquoi est-ce que Pierre s’est levĂ©, s’est adressĂ© Ă  toute la foule, et que lĂ  chacun l’entendait dans sa langue Ă  lui. Effectivement, trois mille Juifs pieux se sont convertis, des Juifs aussi attachĂ©s Ă  leur religion qu’on peut l’ĂȘtre. Ils ont bien dĂ» prendre, comprendre chaque parole que Pierre a prĂȘchĂ©e sur les prophĂštes, et ainsi de suite, en suivant tout cela jusqu’à la PentecĂŽte. En effet, ils se sont Ă©criĂ©s: “Hommes frĂšres, que devons-nous faire pour ĂȘtre sauvĂ©s?”
Pierre leur a rĂ©pondu: “Repentez-vous, et que chacun de vous soit baptisĂ© au Nom de JĂ©sus-Christ, pour la rĂ©mission de vos pĂ©chĂ©s.”

24 Maintenant, je voudrais dire ceci du–du
de tout mon coeur, pour que vous voyiez le
ce que j’essaie de vous transmettre. Bien sĂ»r que je crois au parler en langues. Je crois que c’est un don pour l’Église. Je crois que le parler en langues existe. Il m’est moi-mĂȘme arrivĂ© Ă  maintes reprises de parler en langues.

25 Je vais vous donner un petit exemple de ce que je crois que la PentecĂŽte a Ă©tĂ©. Et ensuite je
 Quelque chose comme ceci, ou quelque chose qui ressemble Ă  ceci. J’étais Ă  Dallas, au Tex-
à Houston, au Texas, juste avant que cette photo-ci soit prise, ça devait ĂȘtre la veille. Nous avions pu avoir la salle de concert; nous avions lĂ  de la place pour huit mille personnes. Comme les gens ne tenaient pas tous Ă  l’intĂ©rieur, nous sommes allĂ©s au tabernacle de Raymond Richey. Je ne me souviens pas au juste
 C’était un tabernacle immense, gigantesque. Et–et nous l’avons rempli au complet. Et je prĂȘchais et priais pour les malades de ce cĂŽtĂ©-ci. Ensuite, pendant qu’ils laissaient sortir les gens, j’allais prĂȘcher et prier pour ceux qui Ă©taient lĂ -bas, au tabernacle de Raymond Richey, de l’autre cĂŽtĂ© de la riviĂšre.

26 Et lĂ , pendant que nous Ă©tions lĂ -bas, au moment oĂč nous allions revenir Ă  la salle de concert, je
 Howard m’avait laissĂ© continuer aussi longtemps que je le pouvais. Il m’a touchĂ© l’épaule, et il m’a tapotĂ© le cĂŽtĂ©. [FrĂšre Branham montre le geste.–N.D.É.]
Si vous avez remarquĂ©, dans la salle, quand l’onction est lĂ , ils me tapotent comme ceci. [FrĂšre Branham montre le geste.–N.D.É.] Ça veut dire: “Il est temps d’arrĂȘter. N’en dis pas plus. Viens.” Et Howard, dans le temps, quand j’étais lĂ , debout, il me prenait par la main, il passait mon bras par-dessus sur son Ă©paule, et on sortait. Voyez? Parce qu’il savait que je n’en pouvais plus.
Eh bien, quand il m’a tapotĂ©, je me suis mis en route pour quitter l’estrade. Je lui ai dit: “D’accord, frĂšre.” Au moment oĂč j’allais quitter l’estrade, il y avait une fille, une petite fille qui Ă©tait lĂ , debout, en train de pleurer. Une petite fille d’origine mexicaine, qui avait l’air d’avoir dans les douze ou quatorze ans, au dĂ©but de l’adolescence. Je l’ai regardĂ©e, et je lui ai dit: “Qu’est-ce qui ne va pas, mon trĂ©sor?” J’ai dit: “Elle pleure, Howard, c’est que
”
Il a dit: “Tu n’en peux plus. Il y a un autre groupe, là-bas, qui t’attend.”
Et je lui ai dit: “Fais-la monter ici.” J’ai fait un geste dans sa direction, comme ceci. Et elle est montĂ©e sur l’estrade. Je crois que FrĂšre Wood et les autres Ă©taient prĂ©sents Ă  ce moment-lĂ . Ils Ă©taient Ă  cette sĂ©rie de rĂ©unions. Je ne sais pas s’ils Ă©taient prĂ©sents Ă  ce moment-lĂ  ou pas. FrĂšre Wood, oĂč es-tu, ce soir? [FrĂšre Wood dit: “Ici.”–N.D.É.] Est-ce que
 C’est bien ça? [“C’est ça.”] Oui, tu Ă©tais prĂ©sent. Et j’ai dit: “Fais-la monter sur l’estrade.”
Bon, je lui ai dit: “Écoute, mon trĂ©sor. Crois-tu que Dieu peut me dire ce que tu as?” Et elle gardait la tĂȘte baissĂ©e. Je me suis dit: “Bon, elle est peut-ĂȘtre sourde et muette.”

27 LĂ  j’ai regardĂ© de nouveau. J’ai vu que c’était la langue. Et j’ai dit: “Oh, elle ne parle pas l’anglais.” Elle ne parlait pas un mot d’anglais. Alors, – elle venait du Mexique, – alors ils ont fait venir un interprĂšte. Et j’ai dit: “Mon trĂ©sor, crois-tu que le Seigneur JĂ©sus peut me dire ce que tu as?”
Bien, elle a rĂ©pondu Ă  travers l’interprĂšte, elle a dit que: “‘Oui.’ Elle le croyait.”
Et je lui ai dit: “Tu ne parles pas du tout l’anglais?” L’interprĂšte le lui a rĂ©pĂ©tĂ©.
Elle a rĂ©pondu: “Non.” Elle n’avait jamais appris un mot d’anglais. Elle venait du Mexique. Et alors, quand je


28 C’est lĂ  que la vision a commencĂ©. Et j’ai dit
 Les visions, ils ne les traduisent pas, voyez, parce qu’on parle sans interruption. Ils ne traduisent jamais une vision, donc, avant qu’elle soit complĂštement terminĂ©e, c’est ensuite qu’ils leur disent ce qui s’est passĂ©. Alors, pendant que je me suis mis Ă  parler, j’ai eu une vision. J’ai dit: “Je vois une petite fille d’environ six ans. Elle porte une robe en tissu Ă©cossais, et dans le dos, elle a des mĂšches de cheveux noirs avec des noeuds de ruban. Elle est assise prĂšs d’une cheminĂ©e Ă  l’ancienne. Il y a une grande marmite, et elle mange du maĂŻs jaune qui est dedans. Elle mange tellement de maĂŻs qu’elle est prise d’un violent malaise. Elle tombe, et sa mĂšre l’étend sur le lit, elle a des convulsions Ă©pileptiques. VoilĂ  ce qui lui est arrivĂ©. Voyez?” J’ai dit: “Depuis ce moment-lĂ , tu souffres d’épilepsie.”
Et rapidement, avant que qui que ce soit ait parlĂ©, elle a regardĂ© l’interprĂšte, et elle lui a dit, dans sa propre langue: “Je croyais pourtant qu’il ne parlait pas l’espagnol.”
Et l’interprùte m’a dit: “Vous parliez en espagnol?”
Je lui ai dit: “Non, monsieur. Je parlais anglais.”
Il m’a dit: “Eh bien, elle dit que vous avez parlĂ© en espagnol.”
J’ai compris ce que c’était. J’ai dit: “ArrĂȘtez les magnĂ©tophones.” Il y avait tout un tas de magnĂ©tophones, il y en avait peut-ĂȘtre une trentaine qui enregistraient, Ă  l’époque.
FrĂšre Roy Roberson, tu Ă©tais lĂ , n’est-ce pas? [FrĂšre Roy Roberson dit: “Oui.”–N.D.É.] Oui. FrĂšre Roy Roberson, Soeur Roberson et les autres Ă©taient lĂ .

29 Alors, j’ai dit: “ArrĂȘtez les magnĂ©tophones. Qu’on Ă©coute ce passage.” Et c’était bien de l’anglais. Mais, vous voyez, lĂ , quand je me suis mis

Tant que la vision durait, je parlais en anglais, mais elle, elle entendait en espagnol. “Comment les entendons-nous dans notre propre langue Ă  chacun, dans notre langue maternelle?” Voyez? Et, mais dĂšs que je me suis remis Ă  parler, moi-mĂȘme, alors elle n’entendait plus ce que je disais. Mais tant que c’était sous l’inspiration


30 Maintenant, appliquez cela au Jour de la Pentecîte, ne serait-ce qu’un instant. Voyez? Mes amis, – Dieu est mon juge, – c’est le Saint-Esprit qui a fait cela. Or, appliquons cela au Jour de la Pentecîte, pour faire ressortir le sens de ce que nous voulons dire. Le Saint-Esprit ne fait pas quelque chose rien que–rien que pour dire qu’Il l’a fait. Il faut qu’il y ait une raison, un but. Voyez?

31 Or, ce Jour-lĂ : “Comment les entendons-nous dans notre propre langue Ă  chacun, dans notre langue maternelle? Tous ces gens qui parlent ne sont-ils pas GalilĂ©ens?” Comment savait-on qu’ils Ă©taient GalilĂ©ens, si ce n’est pas qu’ils parlaient galilĂ©en? Tout le monde s’habillait pareil. Comment savait-on qu’ils Ă©taient GalilĂ©ens? “Tous ces gens qui parlent ne sont-ils pas GalilĂ©ens? Et comment se fait-il donc que nous les entendions s’exprimer dans notre propre langue Ă  chacun, dans notre langue maternelle?”

32 À ce moment-lĂ , un autre homme, Pierre, un GalilĂ©en, se lĂšve, et se met Ă  leur prĂȘcher. Et il se trouve que, dans cette grande foule de gens, trois mille personnes ont compris ce qu’il a dit, ces personnes se sont avancĂ©es, elles se sont converties, elles ont donnĂ© leur vie Ă  Christ.

33 Maintenant, Ă©coutez. Permettez-moi de vous donner un autre passage de l’Écriture. Prenons le grand saint Paul, et lĂ  nous lirons le chapitre 12 de la premiĂšre Ă©pĂźtre aux Corinthiens. Et puis nous passerons au chapitre 13 de la premiĂšre aux Corinthiens, oĂč Paul parle de: “Si les oreilles disaient au nez: ‘Je n’ai pas besoin de toi’”, et ainsi de suite, les membres du Corps. Et ensuite au chapitre 13–13, Ă©coutez ce qu’il dit lĂ .

34 Bon, nous savons que la Bible parle de deux parlers en langues diffĂ©rents. L’un d’eux, c’est une langue qui est–qui est un dialecte qui existe sur terre. Quant Ă  l’autre, c’est une langue inconnue.

35 Or, beaucoup de mes prĂ©cieux frĂšres
 Je vous ai dit que je suis pentecĂŽtiste. Or, la plupart de mes frĂšres croient que, que lorsqu’on reçoit le Saint-Esprit, on se lĂšve et on se met Ă  parler dans une langue inconnue. C’est tout Ă  fait contraire Ă  l’Écriture. Dans ce cas-lĂ , les gens ne comprennent pas ce qu’on dit. Mais au Jour de la PentecĂŽte, chacun comprenait ce qu’on disait. C’était le dĂ©but, la proclamation du message Ă  toutes les nations. Voyez? JĂ©sus a dit “que l’Évangile devait ĂȘtre prĂȘchĂ© au monde entier, Ă  commencer par JĂ©rusalem”. VoilĂ  pourquoi il fallait que ça arrive de cette façon.
Remarquez, lĂ . Paul a dit “qu’un parler en langues, si on parle en langues, dans une langue inconnue, c’est-Ă -dire le don des langues, Ă  moins qu’il y en ait une interprĂ©tation ou une rĂ©vĂ©lation, cela ne sert pas Ă  grand-chose”.
Et puis, nous trouvons au chapitre 13, qu’il dit: “Quand je parlerais les langues des hommes”, c’est-Ă -dire les dialectes de la terre, “ou des Anges. Quand je parlerais les langues des hommes ou des Anges, si je n’ai pas l’amour, je ne suis rien.” Donc, on peut avoir le vĂ©ritable parler en langues, dans les langues des hommes aussi bien que dans celles des Anges, et pourtant ne pas avoir le Saint-Esprit.

36 N’est-ce pas ce que nous venons de voir, dans HĂ©breux 6? “La pluie est tombĂ©e sur le blĂ© et sur l’ivraie.” JĂ©sus n’a-t-Il pas dit: “La pluie tombe sur les justes et sur les injustes”? Voyez? La mĂȘme pluie qui fait pousser le blĂ© est celle qui fait aussi pousser le–le
 Mais c’est Ă  son fruit qu’on le reconnaĂźt.
Et le premier des fruits de l’Esprit, c’est l’amour. Ce que Paul a dit, c’est: “MĂȘme si j’avais–mĂȘme si j’avais toutes, si je savais parler toutes sortes de langues, mais que je n’aie pas l’amour, la longanimitĂ©, la bontĂ©, la foi, la patience, et ainsi de suite, cela ne me servirait Ă  rien.” Voyez?

37 Et remarquez, au sujet des dons. Vous dites: “Oh, voilà un grand homme de Dieu. Oh, il accomplit des miracles.” Là encore, ça ne signifie pas qu’il a ce qu’il faut.

38 “Quand j’aurais un don de miracles”, Paul a dit, dans I Corinthiens, quelque chose comme ça, “quand j’aurais la foi jusqu’à transporter des montagnes, si je n’ai pas les fruits de l’Esprit, l’amour, je ne suis quand mĂȘme rien.” Voyez? Parce que la foi peut tout faire.
C’est pour ça que je dis toujours: “Vous n’ĂȘtes pas guĂ©ri par les mĂ©rites de votre salut. Vous ĂȘtes, le mĂ©rite
vous ĂȘtes guĂ©ri par les mĂ©rites de votre foi: ‘Si tu peux croire.’”

39 Alors, voyez: “Quand je parlerais les langues des hommes et des Anges, si je n’ai pas l’a-
”, bien qu’il lui soit possible de le faire, “je ne suis rien.” Donc, vous voyez, on ne peut pas s’y fier.

40 Maintenant, pour mes chers amis mĂ©thodistes. J’en ai deux assis juste ici, et j’en ai ailleurs. J’en ai plusieurs, ici. L’église mĂ©thodiste, il y a longtemps, Ă  ses dĂ©buts, croyait que “lorsqu’un homme Ă©tait assez inspirĂ© et sanctifiĂ© pour pouvoir crier, il L’avait”.
Les pentecîtistes ont dit que “lorsqu’on parlait en langues, on L’avait”.
Et de nos jours, ils disent que “si on a un ministĂšre de guĂ©rison, on L’a”. Mais il n’y a rien de


41 Écoutez, mes amis. N’essayez pas de vous fier aux sensations et de les rechercher. Mais appuyez-vous plutĂŽt sur les rĂ©alitĂ©s, voyez, et non sur les sensations. C’est trĂšs bien de crier. C’est trĂšs bien de parler en langues. C’est trĂšs bien de louer le Seigneur. C’est trĂšs bien d’avoir la foi pour les miracles; toutes ces choses.

42 Et ces sensations; certains disent: “Ouuh, je L’ai senti comme un vent impĂ©tueux.” Un autre dira: “J’ai senti du Feu dans mon Ăąme.” Quoi? Dans un cas comme dans l’autre, ce n’est pas ça la preuve qu’il faut. C’est ce que vous ĂȘtes aprĂšs L’avoir reçu, voyez, c’est ça qui compte. Voyez? Donc, on ne peut Y rattacher aucune sensation en particulier.

43 VoilĂ  honnĂȘtement tout ce que j’en sais. LĂ  il se peut que je me trompe; et si je me trompe, alors j’ai mal compris les Écritures. Et si je contredis quelqu’un, ce n’est pas dans l’intention de contredire. Voyez? Mais je ne fais que vous dire ma version de ce que je crois ĂȘtre la vĂ©ritĂ©.

44 Bon, on a passĂ© pas mal de temps sur ce sujet, avant de commencer la rĂ©union habituelle. Bon–bon, nous ne parlons pas trĂšs souvent de ces choses, ici au Tabernacle – ça fait un bout de temps. C’est la premiĂšre fois, il me semble, depuis longtemps, depuis peut-ĂȘtre un an ou deux, quelque chose comme ça. Et alors, il y a peut-ĂȘtre de nos fidĂšles qui viennent, et qui disent: “Eh bien, FrĂšre Branham, mes–mes lĂšvres ont balbutiĂ©. Et j’ai fait ceci. J’ai fait cela.”
Je dis: “Bon, d’accord. C’est trùs bien.”

45 Or, si vous voulez parler dans une langue inconnue, je crois que Dieu vous permettra de le faire. Mais d’aprĂšs les Écritures, vous n’ĂȘtes toujours rien, tant que le Saint-Esprit n’est pas venu.
Ensuite, une fois que le Saint-Esprit est venu, alors vous pouvez parler en langues et avoir
 Dieu, avec la nature que vous avez, Il vous taillera, et Il fera de vous le meilleur serviteur que vous puissiez ĂȘtre. Il pourrait vous faire prĂȘcher l’Évangile. Il pourrait vous donner le don de parler en langues. Il pourrait faire de vous un prophĂšte. Il pourrait vous donner un esprit de prophĂ©tie. Il pourrait – qui sait ce qu’Il pourrait faire pour vous. Ou, Il pourrait mĂȘme vous donner toutes ces choses. Mais la premiĂšre chose dont il faut vous assurer, c’est que: “Par un seul
” Pas par une sensation. “Mais, par un seul Esprit nous avons tous Ă©tĂ© baptisĂ©s pour former un seul Corps.” Et ensuite, les dons viennent de ce Corps, voyez: le parler en langues et tout.

46 VoilĂ  ce que c’est: si–si un membre de l’Église du NazarĂ©en vient me voir. Vous diriez: “FrĂšre Branham, il y a les gens de l’Église du NazarĂ©en et les mĂ©thodistes. Ils disent qu’ils ont reçu le Saint-Esprit lorsqu’ils ont poussĂ© des cris. Ils disent qu’ils ont reçu le Saint-Esprit.” Je ne dis pas le contraire.
Mais il y a une chose que je regarde: “C’est à leur fruit.”
Quand la VĂ©ritĂ© est rĂ©vĂ©lĂ©e, certains d’entre eux s’Y opposent farouchement: “C’est du diable.” LĂ , par le fruit on voit d’oĂč c’est venu. Voyez? Ça montre qu’ils ne L’ont pas reçu. Mais ceux qui sont disposĂ©s Ă  marcher dans la LumiĂšre, Ă  recevoir la Parole.

47 Il y a quelque temps, je prĂȘchais, lĂ -bas dans le Kentucky. Et aprĂšs la rĂ©union, dehors, il y avait un homme qui faisait partie d’une Ă©glise oĂč l’on croit que les jours des miracles sont passĂ©s. Il avait une lanterne Ă  la main. Et il m’a dit: “PrĂ©dicateur, je vous attendais.” J’étais avec un vieil oncle Ă  moi, qui est dĂ©cĂ©dĂ© maintenant.
J’ai dit: “Oui, monsieur.”
Il m’a dit: “Je suis Untel.”
Et je lui ai serrĂ© la main. Je lui ai dit: “Je suis vraiment heureux de vous rencontrer, mon frĂšre.”
Et il m’a dit: “Je tiens à vous dire que je crois que vous avez complùtement tort.”
Je lui ai rĂ©pondu: “Eh bien, c’est votre droit le plus strict, puisque vous ĂȘtes un AmĂ©ricain.” Et il a dit
 Eh bien, vous voyez, et nous
 Je lui ai dit: “Tort Ă  quel sujet? Vous voulez dire au sujet de la guĂ©rison?” Je lui ai dit: “Et cette jeune fille aux pieds nus, qui est montĂ©e sur l’estrade hier, hier soir, avec un petit bĂ©bĂ©?”
Elle-mĂȘme n’avait guĂšre plus de quatorze ans, elle Ă©tait pieds nus. Avec une espĂšce de robe en
 Comment ça s’appelle? Vichy, calicot, ou quelque chose. Je ne m’y connais pas en tissus. Et–et elle tenait un bĂ©bĂ©, elle est venue jusqu’à moi. Il y avait des gens jusque dans les fenĂȘ-
 Et c’était une Ă©glise mĂ©thodiste, l’église mĂ©thodiste de White Hill, tout prĂšs de Burkesville, dans le Kentucky, oĂč je suis nĂ©. Et elle tenait ce bĂ©bĂ©. Et j’ai dit: “Soeur,
”
J’avais demandĂ©: “Est-ce que quelqu’un est malade?”
Et elle s’était avancĂ©e, lĂ , une pauvre crĂ©ature timide, la tĂȘte baissĂ©e. Et elle a dit: “Oui, monsieur; mon bĂ©bĂ©.” Et le petit faisait comme ça.
Je lui ai dit: “Qu’est-ce qu’il a, soeur?”
Elle a dit: “Il a la tremblote.”
J’ai dit: “La tremblote?
– Oui, monsieur.”
J’ai dit: “Depuis combien de temps est-ce qu’il a cette tremblote?”
Elle a rĂ©pondu: “Eh bien, depuis qu’il est nĂ©, et Ă  cette heure il a prĂšs d’un an.”
Et je lui ai dit: “Est-ce que vous voulez bien me laisser tenir ce bĂ©bĂ©?” LĂ -bas, dans les rĂ©gions montagneuses, il faut faire attention Ă  ces choses-lĂ .
Elle a dit: “Oui, monsieur.” Elle m’a mis le petit bout de chou dans les bras.

48 Et dans mon coeur – je suis restĂ© immobile un instant. J’ai dit: “Ô Dieu, si Tu veux me permettre de gagner ces gens Ă  Toi, fais quelque chose pour moi maintenant.”
Et pendant que je tenais ce bĂ©bĂ© dans mes bras, il a cessĂ© de trembler. Je l’ai regardĂ©. Je l’ai assis sur mes bras, j’ai jouĂ© avec, et il m’a fait des risettes. J’ai regardĂ© la jeune fille. Elle a levé  Elle avait la tĂȘte baissĂ©e, la chevelure partagĂ©e en deux nattes qui lui descendaient dans le dos. Elle a levĂ© la tĂȘte, les larmes coulaient sur ses joues. Il y avait lĂ  des hommes frustes, avec la barbe longue comme ça, et des larmes leur coulaient sur les joues. J’ai regardĂ© autour de moi. J’ai dit: “Je vous redonne votre bĂ©bĂ©, soeur. JĂ©sus-Christ l’a guĂ©ri.” Et des femmes ĂągĂ©es, lĂ , se sont mises Ă  s’évanouir et Ă  tomber par terre, on leur versait de l’eau sur le visage, et on les Ă©ventait.
Et–et, alors, je lui ai dit: “Qu’est-ce qui a fait cela?”
Il m’a dit: “Monsieur Branham, je ne peux pas accepter quelque chose si je ne le vois pas de façon tout à fait claire.”
J’ai dit: “Eh bien, voilĂ  qui me semble honnĂȘte, mais”, j’ai dit, “puis-je vous demander oĂč vous habitez?”
Il a rĂ©pondu: “DerriĂšre la colline, par lĂ -bas. Passez donc chez moi ce soir pour le souper, je vous donnerai du babeurre et du pain de maĂŻs.”
J’ai dit: “J’aimerais bien y aller, et j’ai vraiment faim, mais”, j’ai dit, “je ne peux pas. Il faut que je raccompagne mon oncle à la maison.” Et il
 J’ai dit: “Eh bien, puis-je vous demander–puis-je vous demander quelque chose. Comment savez-vous que vous arriverez chez vous?”
Il a rĂ©pondu: “C’est simple: je n’ai qu’à passer de l’autre cĂŽtĂ© de cette colline.”
Je lui ai dit: “Est-ce que vous voyez votre maison?”
Il a rĂ©pondu: “Non.”
Je lui ai dit: “Alors, comment savez-vous que vous allez y arriver?”
Il m’a dit: “Il y a un chemin qui mùne là-bas.”
Je lui ai dit: “N’empĂȘche que vous ne le voyez pas. Et vous venez de me dire que vous ne pouvez pas accepter quelque chose Ă  moins de le voir de façon tout Ă  fait claire.
– Oh,” il a dit, “je prendrai ma lampe, et je marcherai à sa lumiùre.”
Je lui ai dit: “C’est exactement ce que je veux vous amener à faire.”
Au fur et Ă  mesure que la lanterne Ă©claire, vous marchez dans la LumiĂšre, comme Lui, Il est dans la LumiĂšre. Nous arriverons Ă  bon port. MĂȘme si je ne vois pas clairement l’arrivĂ©e, je sais que ce sera lĂ .
Prions, maintenant.

49 PĂšre CĂ©leste, nous Te sommes reconnaissants pour la bontĂ© de JĂ©sus-Christ, qui est l’essence mĂȘme de l’amour. Avant, je pensais que Tu Ă©tais fĂąchĂ© contre moi, mais que JĂ©sus m’aimait. Mais maintenant, je reconnais que JĂ©sus est le coeur mĂȘme de Dieu, donc je–je sais que Tu m’aimes et–et que Tu as souffert pour moi.

50 Et, Dieu notre PĂšre, je prie pour ce monde, aujourd’hui, et pour notre pays. Seigneur, je demande Ton pardon pour mes propres fautes et pour les fautes des miens, des gens que Tu m’as confiĂ©s pour que je sois leur berger. Et je Te prie de les bĂ©nir, et de bĂ©nir chacune des personnes qui sont venues Ă  cette petite sĂ©rie de rĂ©unions et qui ont posĂ© des questions. Ou–ou, peut-ĂȘtre ai-je dit quelque chose de contraire Ă  ce qu’ils croient. Seigneur, moi, je ne peux pas l’expliquer. J’en suis incapable. Mais que
 Est-ce que Tu veux bien leur faire savoir, PĂšre, ce que je veux dire, dans mon coeur? S’il Te plaĂźt. Je Te prie de le faire. BĂ©nis-les tous.

51 BĂ©nis-nous, alors que nous nous attendons maintenant Ă  Ta Parole, pour quelques instants, avant le service de baptĂȘmes. Aide-nous Ă  dire ce qui est juste. Viens-nous en aide pour ce Message, ce soir, comme j’ai la voix un peu enrouĂ©e. Je Te prie de me venir en aide, Dieu bien-aimĂ©, et de guĂ©rir aussi ceux qui sont malades et souffrants dans l’auditoire. Car c’est au Nom de JĂ©sus que nous le demandons. Amen.

52 Maintenant, si vous le voulez bien pendant quelques instants, prenons l’Épütre aux Romains, au chapitre 6.
Oh, attendez. Je crois que j’ai
 Dites donc, j’ai encore beaucoup d’autres ques-
 Disons que je rĂ©pondrai Ă  celles-lĂ  mercredi soir, si vous voulez bien. Il est dĂ©jĂ  si tard. C’est seulement maintenant que je viens de remarquer qu’il y en a encore lĂ .
Bon, lisons Romains, chapitre 6. Que dirons-nous donc? Demeurerions-nous dans le pĂ©chĂ©, afin que la grĂące abonde? Loin de lĂ ! Nous qui sommes morts au pĂ©chĂ©, comment vivrions-nous encore dans le pĂ©chĂ©? Ignorez-vous que tous qui
nous tous qui avons Ă©tĂ© baptisĂ©s pour JĂ©sus-Christ, c’est pour sa mort que nous avons Ă©tĂ© baptisĂ©s? Nous avons donc Ă©tĂ© ensevelis avec lui par le baptĂȘme en sa mort, afin que, comme Christ est ressuscitĂ© des morts par la gloire du PĂšre, de mĂȘme nous aussi nous marchions en nouveautĂ© de vie. En effet, si nous sommes devenus une mĂȘme plante avec lui par la conformitĂ© Ă  sa mort, nous le serons aussi par la conformitĂ© Ă  sa rĂ©surrection.

53 Pour prendre un sujet ce soir, dont je traiterai pendant une vingtaine de minutes, je dirai ceci: “s’identifier”. S’identifier à Christ.

54 Vous savez, aujourd’hui, dans notre pays, il y a tellement de gens insatisfaits. Et on est Ă©tonnĂ©, lorsqu’on est en dĂ©placement, de trouver tant d’insatisfaction. Les gens ne savent guĂšre ce qu’ils veulent. Ils descendent la rue Ă  soixante-dix ou quatre-vingt milles [115 ou 130 km] Ă  l’heure, lĂ  oĂč c’est limitĂ© Ă  trente milles [50 km] Ă  l’heure; ils font crier leurs freins pour tourner au coin de la rue et repartent Ă  toute vitesse en laissant la moitiĂ© de la gomme de leurs pneus, rien que pour aller Ă  deux pas de chez eux discuter un moment. On dirait que les gens ne savent pas vraiment ce qu’ils veulent.

55 Il y en a qui sont tellement dĂ©rangĂ©s qu’ils vont Ă  la pharmacie s’acheter une bouteille d’arsenic, ou d’acide sulfurique, ou quelque chose comme ça, pour se suicider. On les retrouve raide morts. Il y en a qui ouvrent le robinet du gaz chez eux, ou qui restent dans leur voiture avec un tuyau pour amener le monoxyde de carbone qu’il y a dans les gaz d’échappement, pour essayer d’échapper Ă  la vie. Il y en a qui montent sur le pont, qui Ă©crivent un petit mot qu’ils laissent sur leur veston, qui posent leur veston lĂ  et qui se tuent en se jetant dans la riviĂšre; il y en a qui se jettent du haut des montagnes, du haut des tours. Et il y en a qui prennent un pistolet, qui l’appuient contre leur tĂȘte, et qui se font sauter la cervelle. Ils sont insatisfaits, voilĂ .

56 Les hîpitaux sont pleins de gens insatisfaits. Les hîpitaux psychiatriques sont combles. Insatisfaits! Ils ne savent pas ce qu’ils veulent. On dirait qu’ils aspirent à quelque chose, mais qu’ils n’arrivent jamais à l’obtenir.

57 Et il se trouve aussi que les foyers, qui sont les piliers de la nation et–et de l’église, il se trouve que les foyers se brisent, que les tribunaux de divorce sont dĂ©bordĂ©s d’affaires de divorce. Et la dĂ©linquance juvĂ©nile, Ă  cause des–des mĂšres qui laissent leurs jeunes enfants chez des nourrices, pour–pour s’en aller travailler, ou aller quelque part, alors que leurs maris ont une bonne situation, mais elles ne se satisfont pas d’ĂȘtre mĂšre au foyer. Elles ne se satisfont pas de s’habiller comme de vraies dames. Elles–elles veulent s’habiller comme des hommes. Les hommes veulent ressembler aux femmes. Et ils
 On dirait vraiment qu’il y a quelque chose qui cloche quelque part. Les gens aspirent Ă  quelque chose, et ils n’arrivent pas Ă  le trouver. Quel Ă©tat lamentable!

58 Ils ont cherchĂ© partout quelque chose, un exemple Ă  suivre. Prenons les femmes d’aujourd’hui: elles regardent la tĂ©lĂ©vision, et lĂ  elles voient une certaine vedette de cinĂ©ma. Ou, cette vedette de cinĂ©ma se prĂ©sente habillĂ©e d’une certaine façon, et alors toutes les femmes veulent s’habiller comme elle, ou se comporter comme elle, suivre son exemple. De jolies jeunes filles, dans la fleur de l’ñge, essaient d’imiter, de prendre une vedette de cinĂ©ma comme exemple Ă  suivre. Et elles finissent par se retrouver ficelĂ©es dans une cage de pĂ©chĂ© d’oĂč elles n’arrivent plus Ă  ressortir. C’est pitoyable! Je les vois venir aux rĂ©unions, les joues sillonnĂ©es de larmes – mais elles cherchent quelque chose.

59 Prenons les hommes. Les hommes: on les voit dans la rue ou Ă  leur travail. Les hommes d’un certain Ăąge veulent ressembler Ă  des adolescents. Ils se coupent les cheveux en brosse sur le dessus et ils se ramĂšnent les cheveux vers l’arriĂšre en–en queue de canard. Ils veulent ressembler Ă  des adolescents. Les adolescents veulent ressembler Ă  un de ces rois du rock-and-roll. OĂč est-ce qu’ils aboutissent? Dans le pĂ©chĂ© et dans la honte.

60 Les hommes ont l’air d’ĂȘtre insatisfaits. Ils courent dans tous les sens. Ils suivent écoutent la radio, pour entendre des blagues, et tout, racontĂ©es par ces blagueurs. Et ensuite, ils s’en vont essayer d’imiter ces gens ou–ou de faire comme eux.

61 Prenez les petits garçons dans la rue. J’en sais quelque chose! Ils veulent ĂȘtre Paladin, ou Hopalong Cassidy, ou
 Et le monde du commerce exploite ça pour gagner des millions de dollars. Ils veulent ĂȘtre Roy Rogers, ou monsieur Dillon, ou–ou un personnage d’une des sĂ©ries tĂ©lĂ©visĂ©es.
Ils essaient d’imiter ce personnage. Ils en ont fait leur exemple. Ils les ont pris comme guides pour leur–leur maniĂšre de vivre. Et qu’est-ce qu’ils trouvent au bout du chemin? Ces petits gars deviennent des bandits et des voleurs. Les femmes deviennent des prostituĂ©es, et–et, des filles de trottoir, et–et des dĂ©linquantes. Et les hommes deviennent des joueurs, et “ils aiment le plaisir plus que Dieu”. Les assemblĂ©es essaient d’imiter une autre assemblĂ©e, une grande assemblĂ©e.

62 On voit bien, semble-t-il, qu’il n’y a pas de satisfaction chez les gens. Qu’est-ce qu’ils

Qu’est-ce qui leur fait faire ça? Il y a une raison. C’est une nature. C’est Dieu qui leur a donnĂ© cette nature. Ils ont une nature qui les pousse Ă  vouloir quelque chose Ă  quoi s'identifier. Il faut qu’ils aient quelque chose qu’ils dĂ©sirent imiter, un objectif dans la vie.
Ils veulent ĂȘtre une vedette de cinĂ©ma, ou un cow-boy, ou–ou quelque chose du genre.

63 J’entendais Ă  la radio, en rentrant chez nous, qu’un grand homme d’origine italienne, Ă  Denver, essayait d’imiter Hopalong Cassidy, ou quelque chose, avec un pistolet chargĂ©. Au lieu de ça, il sera Jambe de bois pour le restant de ses jours. Le coup est parti et lui a arrachĂ© la rotule. VoilĂ .

64 Mais ils essaient de trouver quelque chose à quoi s'identifier. Et la raison pour laquelle ils le font, c’est parce qu’il y a quelque chose en eux, et c’est Dieu qui les a faits comme ça.
Mais Dieu leur a fait un exemple auquel s’identifier, et c’est quand Il a fait JĂ©sus-Christ, pour qu’Il soit votre Sauveur. VoilĂ  l’exemple. VoilĂ  ce Ă  quoi les gens cherchent, devraient chercher Ă  s’identifier: Ă  JĂ©sus; ĂȘtre comme Lui.

65 Si tous les petits garçons qui voudraient ĂȘtre Hopalong Cassidy, ou–ou un autre de ceux-lĂ , ou les petites filles, les Annie Oakley, et tout, si seulement ils voulaient ressembler Ă  JĂ©sus autant qu’ils veulent ressembler Ă  ceux-lĂ , les Ă©coles du dimanche dĂ©borderaient partout. Si les femmes qui veulent ressembler Ă  une vedette de cinĂ©ma, si elles voulaient ressembler Ă  JĂ©sus, l’église, eh bien, on n’aurait jamais besoin d’y ramasser une offrande. C’est sĂ»r.

66 Dieu a mis dans l’homme le dĂ©sir d’avoir un exemple Ă  suivre. Et Dieu lui a donnĂ© cet exemple. Cet exemple, c’est JĂ©sus-Christ: pour qu’on s’identifie Ă  Lui.

67 Maintenant, si nous Lui ressemblions davantage, il n’y aurait pas autant de gens vaniteux dans le monde. Il n’y aurait pas d’enfants affamĂ©s dans le monde. Il n’y aurait pas de whisky, de boisson, ou de jeux d’argent. Dieu nous a donnĂ© un exemple Ă  imiter, mais nous refusons de nous Y conformer. VoilĂ  ce qui cloche dans le monde. Ils ont bien le dĂ©sir, c’est Dieu qui le leur a donnĂ©, mais ils l’ont orientĂ© dans la mauvaise direction. C’est le moment de faire demi-tour, de reprendre le bon chemin, et de se diriger vers le Calvaire. La nature le prouve.

68 Bien, si les gens d’aujourd’hui, – avec ce grand dĂ©sir, cette grande ambition de ressembler Ă  quelqu’un qu’on prend pour exemple, – s’ils prenaient Christ comme exemple, il y aurait
on pourrait licencier tous les policiers du pays. Tout le monde serait doux et humble. Tout le monde serait gentil et plein d’affection fraternelle les uns pour les autres. On ne jugerait plus une seule affaire de divorce dans le pays. Il n’y aurait aucune maladie. On pourrait mĂȘme dĂ©saffecter les hĂŽpitaux, si tout le monde tĂąchait de prendre JĂ©sus-Christ comme exemple. Nous n’aurions besoin de rien d’autre.

69 Donc, cette nature est dans l’homme, mais il l’oriente vers lĂ  oĂč il ne faut pas. Il se donne un homme pour
 Et vous savez, la Bible dit que “nous sommes maudits lorsque nous prenons la chair pour appui. Quand on veut prendre la chair pour appui, ou qu’on met sa confiance dans la chair”, la Bible dit “qu’on est maudit”.
Je ne le sais que trop bien! On s’y laisse si facilement prendre.

70 VoilĂ  ce qui est Ă  l’origine de beaucoup de ces choses: ce sont nos kiosques Ă  journaux pleins de magazines obscĂšnes, nos maisons qui sont pleines de photos de pin-up. Nos informations tĂ©lĂ©visĂ©es qui ne sont jamais censurĂ©es, tout y est permis, on peut sortir n’importe quelle blague, ou–ou faire des choses terribles. Il n’y a plus de puretĂ© parmi nous. Je sais que vous me trouvez trĂšs dur lĂ -dessus. Mais c’est
il faut que quelqu’un soit dur lĂ -dessus. Il faut absolument que quelqu’un le fasse.

71 Quand j’étais petit, j’ai lu le livre Tarzan chez les singes. Maman avait une espĂšce de petit tapis en fourrure que Mme Wathen lui avait donnĂ©, il Ă©tait posĂ© devant sa commode. J’ai dĂ©coupĂ© ce truc-lĂ , je m’en suis fait un costume de Tarzan, et j’ai dormi dans un arbre pendant une semaine. Je voulais ĂȘtre Tarzan. Ensuite, quand j’ai lu le livre The Lone Star Ranger, je sortais Ă  cheval sur le balai de maman, je l’utilisais comme un cheval de bois, je voulais ĂȘtre le Lone Star Ranger.

72 Ce que les gens font dĂ©pend ni plus ni moins de ça: ce qu’on lit, la musique qu’on Ă©coute.
Entrez donc dans un restaurant, et cette espĂšce de rock-and-roll, ce n’est pas Ă©tonnant que les gens deviennent fous. Il y a de quoi rendre fou un ĂȘtre humain.

73 Mais, oh, je serai reconnaissant toute l’ÉternitĂ© pour le jour oĂč j’ai lu au sujet de JĂ©sus. VoilĂ  ce qui m’a satisfait. Je veux ĂȘtre comme Lui. VoilĂ  mon dĂ©sir: de pouvoir tendre l’autre joue, ou faire l’effort supplĂ©mentaire. De pouvoir pardonner quand tout est contre vous, de n’en vouloir Ă  personne. MĂȘme quand ils vous maltraitent Ă  raison, ou plutĂŽt, Ă  tort, pour le bien que vous avez fait, mais de continuer Ă  les aimer. VoilĂ  comment je veux ĂȘtre. VoilĂ  le genre de personne que je veux ĂȘtre. Je veux ĂȘtre capable, lorsqu’on m’injurie, de ne pas injurier en retour. VoilĂ  l’exemple que Dieu nous a donnĂ© en JĂ©sus-Christ. C’est Ă  Lui que nous devrions nous identifier. Nous sommes id-


74 “Comment s’identifier Ă  Lui,” me direz-vous, “FrĂšre Branham? LĂ , pour ressembler
il faut s’habiller comme les vedettes de Hollywood, et faire toutes ces choses. Mais comment s’identifier Ă  JĂ©sus-Christ?”
PremiĂšrement, vous vous repentez de ce que vous avez dĂ©jĂ  fait. Et ensuite, vous vous identifiez Ă  Lui ici, dans le baptistĂšre. Sans doute que beaucoup de personnes vont s’identifier Ă  Lui dans quelques minutes. Dans le baptistĂšre, vous vous identifiez Ă  Lui par le baptĂȘme. “En effet, si nous sommes ensevelis en Christ, nous sommes identifiĂ©s Ă  Sa mort, Ă  Son ensevelissement et Ă  Sa rĂ©surrection.” VoilĂ  pourquoi nous nous faisons baptiser. Nous descendons dans l’eau, et nous en ressortons, pour tĂ©moigner de ce que nous croyons Ă  la mort, Ă  l’ensevelissement et Ă  la rĂ©surrection de JĂ©sus-Christ. Et si nous sommes devenus une mĂȘme plante avec Lui par la conformitĂ© Ă  Sa mort, Dieu nous a donnĂ© cette promesse: nous serons semblables Ă  Lui Ă  la rĂ©surrection.

75 Identifiez-vous Ă  une reine du cinĂ©ma, et voyez oĂč vous arriverez. Identifiez-vous Ă  un certain cow-boy, ou Ă  un certain adolescent, et voyez oĂč vous arriverez.
Mais je vous mets au dĂ©fi ce soir: identifiez-vous Ă  JĂ©sus-Christ dans Sa mort et dans Sa rĂ©surrection, et voyez oĂč vous serez, Ă  la rĂ©surrection. “Car si nous souffrons avec Lui, nous rĂ©gnerons avec Lui.” Dieu nous a donnĂ© cette promesse. Tout mon dĂ©sir, c’est d’ĂȘtre comme Lui.
Prends-moi, Î Seigneur, pour me modeler, me former. Façonne-moi à nouveau. Comme le prophÚte qui est allé à la maison du potier, brise-moi pour me remodeler.

76 Dans l’Ancien Testament, lorsqu’un homme voulait s’identifier, dans la maison de Dieu, il prenait tout ce qu’il pouvait trouver de plus innocent: un agneau. Il savait que l’agneau n’avait pas de pĂ©chĂ©, puisqu’il ne connaissait pas le pĂ©chĂ©. Alors il y allait, il prenait l’agneau, il posait la main sur sa tĂȘte, il confessait ses pĂ©chĂ©s. Et par la foi, il transfĂ©rait ses pĂ©chĂ©s vers l’agneau, et l’innocence de l’agneau vers lui. Ensuite, l’agneau mourait, puisqu’il Ă©tait pĂ©cheur. Et cet homme vivait, par un acte de foi, pour avoir obĂ©i Ă  ce que Dieu avait dit. Mais qu’est-ce qu’il faisait? Il ressortait du temple avec le mĂȘme dĂ©sir qu’il avait en lui en entrant. Parce que, quand cette cellule sanguine se brisait, – et la vie commence dans une cellule sanguine, – quand cette cellule sanguine se brisait, la vie de l’agneau n’était pas compatible, elle ne pouvait pas revenir dans une vie humaine, parce que c’était une vie animale. Cet homme repartait avec le mĂȘme dĂ©sir, ce qui fait qu’il continuait Ă  pĂ©cher de plus belle chaque fois.

77 Mais un moment est venu oĂč Dieu nous a fourni un exemple, Il nous a donnĂ© le Seigneur JĂ©sus. Et lorsqu’un pĂ©cheur pose les mains sur Sa tĂȘte si prĂ©cieuse et qu’il confesse ses pĂ©chĂ©s, et que ses pĂ©chĂ©s sont transformĂ©s, ou–ou, transfĂ©rĂ©s du pĂ©cheur vers JĂ©sus, et que l’innocence de JĂ©sus est transfĂ©rĂ©e vers cette personne par le Saint-Esprit: “Il est une nouvelle crĂ©ature en JĂ©sus-Christ.” C’est Ă  cela que je veux m’identifier. La Bible dit: “Lui qui n’a point connu le pĂ©chĂ©, Il est devenu pĂ©chĂ© pour nous.” S’Il a souffert, c’est Ă  cause de nos pĂ©chĂ©s. Et ce qu’il nous convient de faire, le devoir que nous avons, c’est d’examiner ces choses et de reconnaĂźtre que ces dĂ©sirs que nous avons, c’est parce que Dieu a mis cela en nous, pour crĂ©er en nous, nous pousser Ă  vouloir Lui ressembler.

78 Et maintenant, si vous reconnaissez cela par la foi, avant que le vĂ©ritable dĂ©sir vous touche, avancez-vous pour vous identifier Ă  Lui par le baptĂȘme. Alors, en devenant une mĂȘme plante avec Lui par la conformitĂ© Ă  Sa mort, vous serez aussi semblables Ă  Lui Ă  la rĂ©surrection. En effet, en sortant de la tombe, Il Ă©tait le mĂȘme JĂ©sus qui Ă©tait entrĂ© dans la tombe. “Et si nous sommes en Christ
” Comment y entrons-nous? Par le baptĂȘme du Saint-Esprit. “En ce jour-lĂ , nous paraĂźtrons, nous aurons part Ă  Sa rĂ©surrection.”
Il y a un petit chant que je chantais, il y a des annĂ©es. Être comme JĂ©sus, ĂȘtre comme JĂ©sus,
Sur terre je languis d’ĂȘtre comme Lui;
Pendant tout mon voyage de la terre Ă  la Gloire,
Je ne demande qu’à Lui ressembler.
De la crĂšche de BethlĂ©hem sortit un Étranger (Étranger au monde),
Sur terre je languis d’ĂȘtre comme Lui;
Pendant tout mon voyage de la terre Ă  la Gloire,
Je ne demande qu’à Lui ressembler.

79 Ayez part Ă  Sa douceur, et vous aurez aussi part Ă  Sa puissance. Ayez part Ă  Son obĂ©issance, et vous aurez aussi part Ă  Sa rĂ©surrection. Faites ce que Dieu dit de faire. Dans mon coeur, la chose la plus grandiose que je puisse concevoir, c’est d’ĂȘtre comme JĂ©sus-Christ, de m’identifier Ă  Lui. C’est pour cela que je baptise les gens au Nom de JĂ©sus-Christ: parce que c’est Ă  Lui que nous nous identifions. Nous nous revĂȘtons de Son identitĂ©: “Quoi que vous fassiez, en parole ou en oeuvre, faites tout au Nom de JĂ©sus-Christ, en rendant pour cela des actions de grĂąces Ă  Dieu.” Et c’est par le baptĂȘme que nous nous identifions Ă  Lui.

80 Ce soir, nous allons baptiser, dans quelques instants, les gens qui attendent d’ĂȘtre baptisĂ©s, ici, dans la piĂšce. Et s’il y a dans votre coeur un dĂ©sir, si vous voulez, si vous avez de grandes ambitions dans ce monde, repentez-vous-en maintenant. Demandez pardon Ă  Dieu d’avoir voulu ĂȘtre quelqu’un de grand dans ce monde. [espace non enregistrĂ© sur la bande–N.D.É.] Dites: “Seigneur, ma seule ambition, c’est d’ĂȘtre comme JĂ©sus.” Venez avec douceur, avec humilitĂ©, alors, en posant vos mains sur Sa TĂȘte, et en confessant vos pĂ©chĂ©s par la foi. Dites: “Seigneur, je regrette d’avoir fait cela.” Qu’est-ce qui se passera alors? Dieu va transfĂ©rer toute votre culpabilitĂ© sur Lui, et Il prendra Son innocence pour vous l’attribuer Ă  vous. Et vous serez justifiĂ© dans la PrĂ©sence de Dieu, parce que vous avez cru Ă  JĂ©sus-Christ, Son Fils. Quel plan du salut! À ce moment-lĂ , vous aurez part Ă  Sa gloire. La bontĂ© de Dieu entrera dans votre coeur. La Puissance de Sa rĂ©surrection fera de vous une nouvelle personne. Elle satisfera toutes vos aspirations.

81 Quand j’étais gamin, j’ai tout essayĂ©. Je–j’ai fait tout ce que j’étais assez grand pour faire, et beaucoup de choses que je n’étais pas assez grand pour faire – j’essayais. J’aimais, et j’aime toujours chasser. Pour moi, on ne pouvait pas avoir mieux que ça. Je me disais que si je
 Mon pĂšre montait Ă  cheval. Et je me disais: “Si seulement je pouvais partir dans l’Ouest, pour aller dĂ©bourrer des chevaux!”
Eh bien, frĂšre, une fois, tout lĂ -bas dans les montagnes de l’Arizona, alors que je faisais redescendre un troupeau de bĂ©tail, un soir. J’étais lĂ . Et il y avait un jeune gars qui s’appelait Slim, et qui avait appuyĂ© une feuille de papier sur un peigne. Il en jouait. Il y avait un autre gars, lĂ , qui venait du Texas, qui grattait sa guitare. Et au bout d’un moment, ils se sont mis Ă  jouer un cantique. J’avais enlevĂ© la selle de mon cheval, je l’avais mise sous ma tĂȘte, je l’utilisais comme oreiller. Et ma couverture tirĂ©e sur moi, j’étais allongĂ©, lĂ , j’avais gardĂ© mes bottes sur moi, soulevĂ© du sol par les Ă©perons. Et il s’est mis Ă  jouer. À la croix oĂč mourut mon Sauveur
Je suis venu, brisé de douleur;
LĂ , Son sang purifia mon coeur.
À Son Nom la gloire!

82 J’ai essayĂ© de tirer la couverture et de me boucher les oreilles. J’ai regardĂ© vers le ciel: on voyait les Ă©toiles trĂšs proches. Et on aurait dit que le bruissement des pins, dans la montagne, appelait: “Adam, oĂč es-tu?”
Oh, l’élevage du bĂ©tail, lĂ  c’était bien secondaire. Je voulais trouver Dieu. Tout lĂ -bas, soulevĂ© sur une paire d’éperons, j’ai dit: “Monsieur, je ne sais pas qui Vous ĂȘtes, mais ne me punissez pas tant que je n’aurai pas trouvĂ© ce qu’il faut.”

83 Deux jours plus tard, j’étais assis lĂ , en ville, quelques jours plus tard, aprĂšs le grand rassemblement du bĂ©tail. J’étais assis lĂ , sur un banc public. Une jeune fille originaire d’un pays de langue espagnole s’est approchĂ©e. Et moi, j’étais assis lĂ , je pensais Ă  Dieu: “Qu’est-ce que Cela peut bien ĂȘtre?” Et cette fille s’est approchĂ©e – j’étais un garçon d’environ dix-huit ans – et elle a laissĂ© tomber son mouchoir en passant. Je lui ai dit: “Mademoiselle, vous avez laissĂ© tomber votre mouchoir.” Rien que de penser Ă  Dieu, ça avait changĂ© mon dĂ©sir. [FrĂšre Branham donne quatre coups sur la chaire.–N.D.É.] Mon pauvre coeur d’Irlandais Ă©tait affamĂ©. Je dĂ©sirais quelque chose, quelque chose qui me satisfasse.

84 Dieu m’a donnĂ© le privilĂšge de chasser dans le monde entier, en Afrique, en Inde, en traversant des chaĂźnes de montagne, au Canada, de faire certains des plus grands parcours de chasse, d’attraper des records mondiaux. Tout ça, c’est trĂšs bien. Mais il n’y a rien qui puisse supplĂ©er Ă  cette Puissance du Dieu vivant, Ce qui descend lĂ , dans l’ñme.

85 Quand j’arrive dans ces endroits: j’aime les montagnes; j’aime les couchers de soleil. Là–lĂ  je m’installe, j’attache mon cheval. Et je me dirige vers les sommets; je reste lĂ  quelques jours, Ă  admirer les levers et les couchers de soleil, Ă  Ă©couter le cri des aigles. C’est agrĂ©able. J’aime ĂȘtre lĂ . Mais, frĂšre, mon coeur se met Ă  cogner et Ă  palpiter quand je repense Ă  ceci: Impur, impur; les mauvais esprits le dĂ©chiraient.
JĂ©sus est venu s’établir, et depuis, tout va bien.
Je me mets Ă  penser aux malades, et Ă  cet appel. Et il y a quelque chose en moi qui s’écrie: “DĂ©pĂȘche-toi de redescendre de ces montagnes. Va vite auprĂšs de ces gens.”
Je veux m’identifier comme Ă©tant Son serviteur, parmi Son peuple. Oh, que j’aime m’identifier Ă  Lui. Et en retour, Il vient parmi nous pour S’identifier avec nous. Il est ici ce soir, mes amis.

86 Le moment de commencer le service de baptĂȘmes arrive, maintenant, dans une dizaine de minutes. Et avant de le faire, avant de commencer, je tiens Ă  dire ceci. JĂ©sus-Christ, le Fils de Dieu
 J’aurais encore beaucoup de choses Ă  faire remarquer, mais je n’ai pas le temps.
JĂ©sus-Christ, le Fils de Dieu, S’est identifiĂ© dans Sa Parole. JĂ©sus-Christ, le Fils de Dieu, a montrĂ© Son identitĂ© dans la rĂ©union, ce matin, en donnant le discernement. Il montre Son identitĂ© en sortant le pĂ©cheur des orniĂšres du pĂ©chĂ© pour faire de lui un homme nouveau, une nouvelle crĂ©ature. Il prend la femme ou l’homme le plus bas tombĂ© – ivrogne, alcoolique, quoi que ce soit – et Il le relĂšve, Il le purifie et Il en fait un vrai monsieur, ou une vraie dame. VoilĂ  mon Seigneur. Il prend le malade, celui qui est souffrant, pour qui il n’y a plus d’espoir, et Il le ramĂšne Ă  une nouvelle vie. Et Il apparaĂźt parmi nous, Il S’identifie comme Ă©tant le mĂȘme JĂ©sus, en connaissant les pensĂ©es mĂȘmes de notre coeur. Il se tient parmi nous, dans Son peuple, Dieu dans Son peuple, montrant Son identitĂ©. Il est ici maintenant, ce mĂȘme Saint-Esprit.

87 Avant de commencer la rĂ©union pour les baptĂȘmes, lĂ , pendant que les frĂšres se prĂ©parent, je voudrais savoir ceci. Je voudrais savoir s’il y a quelqu’un ici pour qui on n’a pas priĂ© ce matin, et qui est malade. Faites voir, levez la main. Levez la main, si vous ĂȘtes malade et avez des besoins, et qu’on n’a pas priĂ© pour vous ce matin. Sans carte de priĂšre, ni rien; ceux qui–qui sont malades, souffrants. TrĂšs bien.
Courbons la tĂȘte un instant.

88 Seigneur, malgrĂ© ma gorge enrouĂ©e, ma voix Ă©raillĂ©e, oh, je Te prie de faire descendre cette Semence au fond du coeur, du coeur des gens: nous devons nous identifier Ă  Toi. En effet, il y a un proverbe qui a cours ici sur terre: “On reconnaĂźt l’oiseau Ă  son plumage, et on reconnaĂźt l’homme Ă  ses frĂ©quentations.” Et, bien-aimĂ© PĂšre CĂ©leste, nous Te prions d’ĂȘtre notre frĂ©quentation. Seigneur, puissions-nous ĂȘtre avec Toi, mĂȘme si cela doit nous coĂ»ter tout ce que nous avons sur cette terre. Qu’on nous identifie ainsi: “Cet homme-lĂ , il vit vraiment avec Dieu. Il vit en compagnie de Dieu.”

89 Qu’on dise comme Ă  l’époque de Pierre et de Jean, aprĂšs qu’ils avaient passĂ© la porte appelĂ©e la Belle et qu’ils ont dit: “Je n’ai pas d’argent, mais ce que j’ai, je te le donne.” Et l’infirme a Ă©tĂ© guĂ©ri. Et la fois oĂč ils Ă©taient dans la cour, les gens ont dit qu’ils reconnaissaient qu’ils Ă©taient des hommes illettrĂ©s et du commun. Ils n’avaient pas d’instruction, mais ils reconnaissaient qu’ils s’étaient identifiĂ©s Ă  une bonne frĂ©quentation: ils avaient Ă©tĂ© avec JĂ©sus. Ô Dieu, c’est le dĂ©sir de mon coeur: d’ĂȘtre identifiĂ© Ă  Toi, en tant qu’un de Tes serviteurs, en tant que quelqu’un qui T’aime, quelqu’un qui Te sera fidĂšle et qui gardera les paroles de Ton Livre, et fera tout ce qu’il sait ĂȘtre juste.

90 Maintenant, PĂšre, veuille de nouveau montrer Ton identitĂ© parmi nous, pour que les gens sachent que ce n’est pas seulement quelque chose, oh, une occasion spĂ©ciale, ou–ou quelque chose de ce genre, Seigneur. Que ce soir on sache que Tu es le mĂȘme Dieu qui Ă©tait ici ce matin. Tu as la mĂȘme Puissance. Et les mĂȘmes–les mĂȘmes choses que Tu as faites ce matin, Tu peux les faire encore ce soir. Tu as promis qu’elles arriveraient dans les derniers jours.

91 Et il y a beaucoup de gens ici qui n’ont pas pu mettre en oeuvre suffisamment de foi. Nous Te prions de leur donner la foi maintenant. Et que Ton Esprit montre Son identitĂ© parmi nous, parce que Tu as dit: “Les oeuvres que Je fais, celui qui croit en Moi les fera aussi.” Donc, ĂŽ Dieu, je Te prie de T’identifier, de montrer que Tu es ici avec nous ce soir, et que Tu es
que Tu nous aimes toujours. Et que Tu dĂ©sires que chaque personne ici, qui ne s’est pas encore fait baptiser, vienne s’identifier Ă  Toi. Et qu’ainsi ils aient, eux aussi, part Ă  cette grĂące merveilleuse qui peut ĂȘtre transmise; de nous vers Lui et de Lui vers nous, notre culpabilitĂ© vers Lui, et Sa grĂące vers nous. Accorde-le, Seigneur. Exauce nos priĂšres, car c’est au Nom de Ton Fils, JĂ©sus, que nous le demandons. Amen.

92 Nous nous tenons dans l’ombre de la justice Ă©quitable de Dieu. Il a promis que, chaque fois que deux ou trois seraient rassemblĂ©s au Nom de JĂ©sus-Christ, Il serait au milieu d’eux.

93 Bon, je ne sais pas, je suppose qu’une partie des cartes de priĂšre ont Ă©tĂ© utilisĂ©es. Certains d’entre vous en ont peut-ĂȘtre encore. Beaucoup d’entre vous n’ont pas de carte de priĂšre. Peu importe que vous en ayez ou non. Si vous ĂȘtes malade, vous ĂȘtes malade. Et si
 Ce Dieu qui a Ă©crit cette Bible, croyez-vous sĂ©rieusement en Lui? [L’assemblĂ©e dit: “Amen.”–N.D.É.] S’Il revient parmi nous pour prouver Lui-mĂȘme, aprĂšs la prĂ©dication de la Parole, qu’Il est ici, pour convaincre les pĂ©cheurs qu’Il est ici; s’Il est prĂ©sent pour guĂ©rir les malades et qu’Il rĂ©vĂšle quelle est la cause, comme Il l’a fait quand Il Ă©tait ici sur terre, est-ce que vous accepterez joyeusement votre guĂ©rison? Si oui, levez la main, partout. Nous n’allons pas
nous n’avons pas
 Je ne sais pas quelles sont les cartes de priĂšre qu’il a distribuĂ©es. Nous n’utiliserons pas les cartes de priĂšre. À vous de prier, simplement, et Ă  vous de croire.

94 Et s’Il le fait, qu’Il montre Son identitĂ©, vous devriez avoir honte de ne pas vous identifier Ă  Lui, Ă  ce moment-lĂ . Vous auriez intĂ©rĂȘt Ă  le faire. Bon, voici un dĂ©fi pour vous. Ce matin, dans l’église, nous avons distribuĂ© des cartes de priĂšre, et nous avons fait avancer les gens devant l’autel, nous avons priĂ© pour eux. Alors le Saint-Esprit a agi de façon mĂ©morable, et au bout d’un moment j’ai senti qu’on me tirait par le cĂŽtĂ©: il fallait que je m’en aille, parce que j’étais Ă©puisĂ©. Et maintenant, je vous dis, Ă  vous qui n’avez pas de carte de priĂšre, ni rien, et qui ĂȘtes assis lĂ , dans l’auditoire, vous avez ce dĂ©fi. Je vous mets au dĂ©fi de faire ceci: de croire que l’histoire de JĂ©sus-Christ, que je vous ai racontĂ©e, est la VĂ©ritĂ©. Et, si vous ĂȘtes malade, priez. Peu importe


95 Ce matin, j’ai essayĂ© de trouver des gens qui n’étaient pas du Tabernacle. Ce soir, peu importe d’oĂč vous ĂȘtes. Priez simplement. Et lĂ , si le glorieux Saint-Esprit de Dieu, dont nous avons la photo ici, s’Il vient parmi nous! Vous m’avez entendu si souvent prĂȘcher Ă  ce sujet, dĂ©clarer qu’Il nous a promis de faire ces choses. Comme quand Il Ă©tait sur terre – quand Il reviendrait dans notre chair, Il ferait la mĂȘme chose. Maintenant, si vous ĂȘtes malade, priez. Mettez-vous au dĂ©fi!

96 Mettez Dieu au dĂ©fi, dites: “Ô Dieu, FrĂšre Branham ne me connaĂźt pas. Il ne sait rien de moi. Mais si seulement Tu permets qu’il se tourne vers moi, fais que je touche Ton vĂȘtement, et ensuite, parle, je saurai que Tu t’associes Ă  cette Ă©glise.” L’église, c’est les croyants. “Alors je saurai que Tu es le mĂȘme hier, aujourd’hui et Ă©ternellement.” Et priez.

97 C’est que je me sens conduit à faire cela. Je ne sais pas pourquoi, mais je me sens conduit à le faire.
Maintenant, si vous voulez bien lever la tĂȘte.

98 Il y a ici, en train de me regarder, une femme qui avait la main levĂ©e comme ceci, qui priait il y a quelques instants. Elle prie pour quelqu’un d’autre. Pour autant que je le sache, je n’ai jamais vu cette femme de ma vie. Elle m’est tout Ă  fait inconnue. Mais elle prie pour sa fille, pour, au sujet d’une opĂ©ration. Vous ne venez mĂȘme pas de cette rĂ©gion. Vous venez du Texas. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR. Est-ce que vous avez une carte de priĂšre? Non? Vous n’en avez pas besoin. Croyez de tout votre coeur.

99 Comment est-ce que j’ai su Ă  quel sujet vous Ă©tiez en train de prier? Ne voyez-vous pas que le Dieu du Ciel rĂ©vĂšle les secrets du coeur? N’est-ce pas ce que Daniel a dit, Ă  son Ă©poque? Dieu rĂ©vĂšle les secrets du coeur.

100 Il y a une dame assise Ă  cĂŽtĂ© de vous, lĂ . Elle s’en est vraiment rĂ©jouie. Elle a eu des problĂšmes cardiaques, et elle voudrait qu’on prie pour elle. Donc, si vous voulez bien poser votre main sur elle. TrĂšs bien. Maintenant, retournez Ă  Chicago, et soyez guĂ©rie. Amen. Cette femme, je ne la connais pas non plus; je ne sais rien d’elle. Mais Dieu vous connaĂźt! Voyez?
Il S’identifie avec nous. “Si tu peux croire, tout est possible.”

101 Cette petite dame juive, assise ici, elle aussi, elle priait. C’est vrai. Vous Ă©tiez en train de prier pour que je m’adresse Ă  vous. J’ai vu quelle Ă©tait la nature de vos ennuis ce matin, mais je n’en ai pas parlĂ©. Mais vos problĂšmes de pieds, qui vous ennuient, ils vont s’arranger. Donc, ne vous faites pas de souci.

102 Vous aussi, vous croyez, madame, qui ĂȘtes assise lĂ ? Est-ce que vous croyez que je suis Son prophĂšte, Son serviteur? Je ne vous connais pas. Dieu vous connaĂźt. Mais s’Il est l’Esprit de Dieu avec nous, alors Il fera ce que faisait JĂ©sus. Vous Ă©tiez en train de prier, et j’ai senti quelque chose qui m’attirait vers vous. L’Ange de l’Éternel est lĂ , Ă  cĂŽtĂ© d’elle. Si vous croyez, vos ennuis cardiaques cesseront, et votre arthrite aussi. Vous vous appelez madame Wisdom. C’est ça. Rentrez chez vous et soyez guĂ©rie, madame Wisdom. Je n’ai jamais vu cette femme de ma vie.
Mais Il est Dieu, si vous voulez seulement le croire.

103 Regardez, ici. Vous voyez cette dame, assise lĂ , qui tient sa main comme ceci, devant sa bouche? Il y a
 Vous ne voyez pas cette LumiĂšre qui se tient juste au-dessus de cette dame, lĂ ? Regardez un peu, ça s’approche d’elle. Ça s’ouvre Ă  mes yeux. Elle a des problĂšmes de foie, elle souffre d’un problĂšme hĂ©patique. C’est un problĂšme de vĂ©sicule biliaire. Mais, vous ĂȘtes madame Palmer. C’est ça. VoilĂ , je me rappelle qui. Je ne voyais pas – seulement en vision; lĂ  je vous vois assise Ă  cĂŽtĂ© de FrĂšre Palmer. C’est juste, soeur. Maintenant, repartez guĂ©rie. Croyez de tout votre coeur.

104 Il y a aussi une dame assise derriĂšre elle, qui a levĂ© les yeux, d’un air un peu Ă©tonnĂ©, juste derriĂšre elle. Vous croyez que les problĂšmes d’amygdales de ces deux enfants vont s’arranger, soeur, et les vĂŽtres aussi? Alors, rentrez chez vous, rĂ©jouissez-vous, et soyez heureuse. Posez votre main sur les bĂ©bĂ©s, les deux qui ont ces problĂšmes. Et votre problĂšme a disparu, lui aussi. Vous ĂȘtes guĂ©ris au Nom du Seigneur JĂ©sus, tous les trois. Vous vous rĂ©tablirez, soyez rĂ©tablis.

105 Ne voyez-vous pas que le Dieu vivant vit aujourd’hui? Il est tout aussi merveilleux oĂč que ce soit. N’est-ce pas? [L’assemblĂ©e dit: “Amen.”–N.D.É.] Ne voulez-vous pas vous identifier Ă  Lui? [“Amen.”] Bien sĂ»r que si. Bien sĂ»r que vous voulez le faire.

106 Maintenant courbons la tĂȘte pendant un instant. Avant que je
 Cela m’affaiblit vraiment beaucoup. Combien de gens voudraient qu’on pense Ă  eux dans la priĂšre en ce moment, voudraient dire: “Ô Dieu, sois misĂ©ricordieux envers moi. Maintenant je veux croire au Seigneur JĂ©sus. Je–je veux que tous mes ennuis soient rĂ©glĂ©s maintenant mĂȘme”? [L’assemblĂ©e dit: “Amen.”–N.D.É.] Que Dieu soit avec vous.

107 Seigneur, Toi qui as ressuscitĂ© JĂ©sus d’entre les morts, Dieu du Ciel, je Te prie de leur part, pour que cette heure puisse ĂȘtre celle oĂč ils croiront; oĂč ils s’avanceront, s’ils ne l’ont encore jamais fait, pour s’identifier Ă  JĂ©sus-Christ, ici, dans le baptistĂšre, ce soir. Car l’Écriture dit que “si nous sommes ensevelis avec Lui, ce que nous montrons par le baptĂȘme, et que nous avons part Ă  Sa mort, nous aurons aussi part Ă  la rĂ©surrection avec Lui”. C’est une promesse. Et le grand saint Pierre, autrefois, a dit que nous devons “nous repentir et ĂȘtre baptisĂ©s au Nom de JĂ©sus-Christ pour la rĂ©mission de nos pĂ©chĂ©s, et nous recevrons le don du Saint-Esprit”. Toute cette semaine


108 Ma belle-fille est assise ici, Seigneur, la brave Loyce, qui a faim et soif, qui jeĂ»ne, qui est dans l’attente. Il y a ma soeur, assise lĂ -bas, qui a faim et soif, qui jeĂ»ne, qui est dans l’attente. Ô Seigneur, envoie le Saint-Esprit maintenant, dans ce bĂątiment, pour toucher leur Ăąme par la Puissance de la rĂ©surrection. Et qu’elles se relĂšvent avec une Puissance de rĂ©surrection, pour s’identifier Ă  JĂ©sus-Christ par Sa rĂ©surrection. Accorde-le, Seigneur.

109 Pardonne chaque pĂ©chĂ©. Omets tout ce qui n’est pas juste, PĂšre, et donne-nous Ta grĂące, nous T’en prions au Nom de JĂ©sus-Christ.

110 GuĂ©ris tous ceux qui sont malades et souffrants. Seigneur, Tu es ici. Tu es Dieu. Tu–Tu as prouvĂ© que Tu es Dieu. Et nous faisons cette priĂšre, connaissant la nature de Ton Esprit, sachant que Tu as accompli certaines choses, et qu’ensuite Tu as disparu du milieu d’eux, Tu es parti ailleurs, dans une autre ville, et reparti encore. Mais Tu as laissĂ© une trace, qui indiquait que le Dieu vivant est en vie. Je prie, Seigneur JĂ©sus, que–que ceci soit gravĂ© dans le coeur des gens, de sorte qu’ils n’oublieront jamais que le Saint-Esprit est prĂ©sent pour guĂ©rir, pour sauver, et pour remplir de Sa bontĂ©. C’est au Nom de JĂ©sus que nous T’en prions. Amen.

111 Maintenant, combien de personnes ici doivent se faire baptiser? Levez la main, s’il vous plaĂźt, vous qui avez prĂ©parĂ© vos affaires. Vous pouvez vous prĂ©parer Ă  entrer dans l’eau dans quelques instants.
Et maintenant, alors que nous nous attendons au Saint-Esprit pendant quelques instants. Combien de personnes ici n’ont pas encore reçu le Saint-Esprit, et dĂ©sirent, prient avec un ardent dĂ©sir de recevoir le Saint-Esprit?
Teddy, s’il te plaüt, ou l’un de vous, venez tout de suite au piano. Nous allons maintenant chanter quelques cantiques.
Pendant que les femmes qui vont se prĂ©parer pour le baptĂȘme s’en vont dans cette piĂšce-ci. Que les hommes aillent dans cette piĂšce-lĂ , ceux qui se prĂ©parent pour le baptĂȘme. Pendant que nous mettons tout cela en place.

112 Et lĂ  nous allons nous attendre au Saint-Esprit, afin qu’Il vienne nous rĂ©vĂ©ler les choses qu’Il veut que nous fassions.
Ensuite, nous Ă©teindrons les lumiĂšres dans la grande salle. Le ministre sera dans l’eau, là–lĂ , derriĂšre, et nous ferons–nous ferons la cĂ©rĂ©monie du baptĂȘme.
Un instant, avant d’éteindre les lumiĂšres, FrĂšre Evans. J’aimerais lire un passage de l’Écriture pendant que nous attendons, un instant, si vous voulez bien. Pendant qu’ils commencent Ă  se prĂ©parer, j’aimerais lire un passage de l’Écriture, ici.

113 Combien croient que Dieu est infini? Bien sĂ»r. Il est ici maintenant. La seule chose que vous ayez Ă  faire pour recevoir le Saint-Esprit, c’est de vous lever et de L’accepter. Oui, Sa Puissance a prouvĂ© qu’Il est ici. Comment est-ce qu’on pourrait avoir le moindre doute? Sa PrĂ©sence sainte et bĂ©nie inonde notre Ăąme! J’aurais envie de crier, et de toutes mes forces, Sa bontĂ©. “Et Sa misĂ©ricorde qui dure Ă  toujours et Ă  perpĂ©tuitĂ©.” Il est ici. Mon coeur brĂ»le, il est rempli de joie et d’allĂ©gresse Ă  cause de Sa PrĂ©sence.

114 Avant qu’ils Ă©teignent les lumiĂšres, je lirai dans Actes, chapitre 1.
Et je crois que tout homme, tout prĂ©dicateur, toute personne ici, Ă©vangĂ©liste, ou quoi qu’il soit, doit reconnaĂźtre ceci: Dieu est infini. Dieu ne peut pas faire quelque chose d’une façon, pour ensuite changer et le faire comme ceci, le faire–le faire autrement. Il le fera forcĂ©ment de la mĂȘme façon chaque fois. N’est-ce pas?
Voici ce que Dieu a proclamĂ©. Hommes IsraĂ©lites, Ă©coutez ces paroles! JĂ©sus de Nazareth, cet homme Ă  qui Dieu a rendu tĂ©moignage devant vous par
les prodiges et les signes qu’il a opĂ©rĂ©s par lui au milieu de vous, comme vous le savez vous-mĂȘmes; Quels signes a-t-Il opĂ©rĂ©s, pour prouver qu’Il Ă©tait le Messie? De connaĂźtre les pensĂ©es de leur coeur. N’est-ce pas? [L’assemblĂ©e dit: “Amen.”–N.D.É.] C’est ce que Pierre a dit: “Par des signes et des prodiges, Dieu a prouvĂ© qu’Il Ă©tait avec Lui.” Cet homme, livrĂ© selon le dessein arrĂȘtĂ©, selon la prescience de Dieu, vous l’avez crucifiĂ©, vous l’avez fait mourir par la main des impies. Dieu l’a ressuscitĂ©, en le dĂ©livrant des liens de la mort, parce qu’il n’était pas possible qu’il soit retenu par elle. Car David dit de lui: Je voyais constamment le Seigneur devant moi,
il est Ă  ma droite, et je ne serai point Ă©branlĂ©. C’est pourquoi je, mon coeur est dans la joie, et ma langue dans l’allĂ©gresse; et
ma chair reposera avec espĂ©rance, Car tu n’abandonneras pas mon Ăąme dans le sĂ©jour des morts, et tu ne permettras pas que ton Saint voie la corruption. Tu m’as fait connaĂźtre le sentier de la vie, tu me rempliras de joie par les regards de ma face. Hommes frĂšres, qu’il me soit permis de vous dire librement, au sujet du patriarche David, qu’il est mort, qu’il a Ă©tĂ© enseveli, et que son sĂ©pulcre existe encore aujourd’hui parmi nous. Comme il Ă©tait prophĂšte,
qu’il savait que Dieu lui avait promis avec serment de faire asseoir un de ses descendants sur son trĂŽne, C’est la rĂ©surrection du Christ qu’il a prĂ©vue et annoncĂ©e, en disant qu’il ne serait pas abandonnĂ© dans le sĂ©jour des morts et que sa chair ne verrait pas la corruption. C’est ce JĂ©sus que Dieu a ressuscitĂ©; c’est pourquoi nous en sommes
tĂ©moins. Oh, que cela me rĂ©jouit! Nous sommes toujours Ses tĂ©moins. Il est ressuscitĂ© des morts. Il est vivant ce soir. ÉlevĂ© Ă  la droite de Dieu, il a reçu du–du PĂšre le Saint-Esprit qui avait Ă©tĂ© promis et il l’a rĂ©pandu, comme vous le voyez et l’entendez. Car David n’est point montĂ© au ciel, mais il dit lui-mĂȘme: Le Seigneur a dit Ă  mon Seigneur: Assieds-toi Ă  ma droite, Jusqu’à ce que je fasse de tes ennemis ton marchepied. Que toute la maison d’IsraĂ«l sache donc avec certitude que Dieu a fait Seigneur et Christ ce JĂ©sus que vous avez crucifiĂ©. Quelle langue parlait-il donc, lĂ , pour que des gens de toutes les langues du monde le comprennent? AprĂšs avoir entendu ce discours, ils (les gens des diffĂ©rents peuples) eurent le coeur vivement touchĂ©, et ils dirent Ă  Pierre et aux autres apĂŽtres: Hommes frĂšres, que ferons-nous? Il y a quelques instants, ils les trouvaient “fous”. Maintenant, aprĂšs la proclamation de ce puissant message adressĂ© aux gens de toutes les nations, qui Ă©taient lĂ : “Hommes frĂšres, que ferons-nous?” C’est alors que vient l’ordonnance. C’est alors que rĂ©p-
 Pierre leur dit: Repentez-vous, et que chacun de vous soit baptisĂ© au nom de JĂ©sus-Christ, pour le pardon de votre pĂ©chĂ©; et vous recevrez le don du Saint-Esprit. Car la promesse est pour vous, pour vos enfants, et pour tous ceux qui sont au loin, en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera. Et, par plusieurs autres paroles, il les conjurait et les exhortait, disant: Sauvez-vous de cette gĂ©nĂ©ration prochaine. Si ce n’est pas lĂ  le mĂȘme Évangile que nous prĂȘchons aujourd’hui! “Sauvez-vous de cette gĂ©nĂ©ration prochaine.” Beaucoup de signes et de prodiges qui s’accomplissent, la PrĂ©sence de JĂ©sus-Christ qui montre qu’Il est vivant. Et la mĂȘme directive qui a Ă©tĂ© donnĂ©e lĂ -bas quant au baptĂȘme, c’est cette mĂȘme directive qui est donnĂ©e ici, Ă  cette chaire, ce soir. Ceux qui acceptĂšrent sa parole furent baptisĂ©s; et, en ce jour-lĂ , le nombre des disciples augmenta d’environ trois mille Ăąmes.

115 Dieu bien-aimĂ©, lĂ , les piĂšces sont remplies de gens qui s’identifient Ă  Toi par le baptĂȘme. Seigneur, je Te prie de leur part, d’avoir la bontĂ©, Seigneur, en cette heure – lorsqu’ils sortiront de l’eau, que quelque chose leur arrive, que leur Ăąme soit remplie du Saint-Esprit. Qu’ils sortent de l’eau, et qu’ils aillent Te manifester en prĂȘchant l’Évangile, en enseignant Ă  l’école du dimanche, en parlant en langues, en interprĂ©tant les langues, en accomplissant des signes, des prodiges et des miracles, et par-dessus tout, que l’amour de Dieu brĂ»le dans leur Ăąme, par la douceur, la bontĂ©, la patience et l’humilitĂ©.

116 Seigneur, je Te les confie. Ce sont les trophĂ©es de cette sĂ©rie de rĂ©unions de rĂ©veil. Je Te prie de prendre soin d’eux. Et un jour
 Comme je suis ici, en train de prier sur Ta Bible, aprĂšs avoir prĂȘchĂ© ce qu’Elle contient, proclamĂ© de tout mon coeur ce que je pense ĂȘtre la VĂ©ritĂ© comme Tu me la rĂ©vĂšles.

117 Seigneur, nous attendons leur baptĂȘme, tout comme nous tous, ici dans l’auditoire, nous attendons la rĂ©surrection. Et un jour, Seigneur, alors que nous serons ensemble dans les lieux CĂ©lestes, qu’il vienne un bruit du Ciel. La trompette retentira, et les morts en Christ ressusciteront premiĂšrement. Que nous soyons enlevĂ©s avec Lui, Ă  la rencontre du Seigneur dans les airs, pour ĂȘtre avec Lui pour toujours. Accorde-le, PĂšre.

118 Garde-nous en bonne santĂ©, heureux et remplis de zĂšle. Nous ne recherchons pas l’argent. Nous ne cherchons pas Ă  avoir la vie facile. Tout ce que nous voulons, c’est ĂȘtre comme JĂ©sus. C’est Ă  Lui que nous voulons nous identifier, avec la sorte d’Esprit qui Ă©tait en Lui, humble et doux, toujours occupĂ© aux affaires du PĂšre.

119 Seigneur, au moment oĂč nous terminons cette sĂ©rie de rĂ©unions de rĂ©veil, et oĂč ces chĂšres personnes, en grand nombre, vont s’identifier, oh, veuille continuer Ă  T’identifier en leur donnant le Saint-Esprit. Accorde-le, PĂšre.

120 Bénis ce petit tabernacle. Bénis chaque prédicateur, chaque personne qui est venue, chaque assemblée qui est venue ici.

121 Seigneur, je Te prie d’envoyer un rĂ©veil dans toutes les assemblĂ©es, Ă  travers le monde. Et nous les verrons se rassembler d’un mĂȘme coeur et d’un mĂȘme accord, et ainsi la grĂące de JĂ©sus-Christ qui produit l’EnlĂšvement nous sera donnĂ©e. C’est au Nom de JĂ©sus que nous le demandons. Amen.

122 Maintenant, les lumiĂšres de la salle principale vont ĂȘtre Ă©teintes pendant un moment. J’ai priĂ© sur ces mouchoirs. Donc maintenant, les lumiĂšres vont ĂȘtre Ă©teintes pendant un court moment, et donc–et donc, restez tranquilles. Et le ministre baptisera les gens, l’un aprĂšs l’autre, jusqu’à ce que ce soit terminĂ©.

123 [FrĂšre Branham et les frĂšres dĂ©placent des meubles sur l’estrade, en vue du service de baptĂȘmes.–N.D.É.] Bon, pour que tout le monde voie bien.

124 Bon, celui-lĂ , ce micro-lĂ , mettez-le en bas, lĂ , au bout du baptistĂšre. Oui. C’est ça. [Quelqu’un ajuste le pied du microphone.–N.D.É.] On dirait que c’est mieux. Oui. [Un frĂšre dit: “Celui-lĂ , c’est pour qu’on en produise un bon enregistrement.”] Celui-lĂ  est reliĂ© au magnĂ©tophone? [“Oui.”] D’accord. Il s’occupe de ça.

125 J’aurais voulu faire ceci moi-mĂȘme, ce soir. J’ai tellement chaud. Et FrĂšre Neville, lui, il s’est reposĂ©, donc nous voulons que le pasteur aussi ait une participation Ă  ceci, un frĂšre vraiment bien.

126 Dans quelques instants, les lumiĂšres seront Ă©teintes dans la salle principale, et vous verrez au moyen de notre grand miroir, qui est accrochĂ© derriĂšre, qui permet de voir le baptistĂšre oĂč ils viendront les enterrer, dĂšs qu’ils seront prĂȘts.

127 Et chaque fois, au moment du baptĂȘme, ils
les anciens tireront le rideau. À cause des femmes, lorsqu’elles sortent de l’eau. Donc, ils entreront l’un aprĂšs l’autre. Nommez-vous, dites qui vous ĂȘtes, et on vous baptisera au Nom de JĂ©sus-Christ.

128 Maintenant, rappelez-vous, en tant que–que ministre responsable de cet Évangile qui m’a Ă©tĂ© confiĂ©, je recommande Ă  tous ceux qui n’ont pas Ă©tĂ© baptisĂ©s au Nom de JĂ©sus-Christ de se faire baptiser. C’est ce que Paul a dit. Il a dit que, mĂȘme s’ils avaient dĂ©jĂ  Ă©tĂ© baptisĂ©s d’une certaine façon, mais sans le Nom, alors ils devaient se faire rebaptiser au Nom de JĂ©sus-Christ.

129 Il a dit que “mĂȘme si un Ange venait enseigner autre chose, qu’il soit anathĂšme”. Cela se trouve dans Galates. Galates, chapitre 1, verset 8. “Si nous-mĂȘmes, si un Ange du Ciel annonçait un autre Ă©vangile, qu’il vous soit anathĂšme.” [Le rideau du baptistĂšre s’ouvre.–N.D.É.]

130 Bon, avant qu’on commence la cĂ©rĂ©monie: est-ce que tout le monde voit bien? [L’assemblĂ©e dit: “Amen.” FrĂšre Neville baptise les gens.–N.D.É.]

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