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PrĂ©dication Le Feu Rouge Clignotant, Signe De Sa Venue de William Branham a Ă©tĂ© prĂȘchĂ©e 63-0623E La durĂ©e est de: 2 hours and 14 minutes .pdf La traduction VGR
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Le Feu Rouge Clignotant, Signe De Sa Venue

1 Merci, FrĂšre Neville. Restons debout un instant pour la priĂšre, inclinons la tĂȘte. Notre PĂšre CĂ©leste, nous Te donnons la louange pour tout ce que nos yeux ont vu et que nos oreilles ont entendu. Et nous Te remercions, Seigneur, parce qu’aujourd’hui nous savons que Tu es le mĂȘme grand Dieu JĂ©hovah, que Tu l’as toujours Ă©tĂ© et que Tu le seras toujours.

2 Nous Te remercions pour JĂ©sus-Christ qui a rendu possible pour nous d’ĂȘtre de nouveau en communion Divine avec Toi, grĂące Ă  l’effusion de Son Sang innocent, et ainsi, par le Sang de cette victime expiatoire, nous sommes maintenant des fils et des filles de Dieu. Ce que nous serons Ă  la fin n’a pas encore Ă©tĂ© manifestĂ©, mais nous savons que nous serons semblables Ă  Lui, parce que nous Le verrons tel qu’Il est. Et, PĂšre, cela nous suffit entiĂšrement: pourvu que nous soyons semblables Ă  Lui, que nous portions Son image.

3 Et maintenant, PĂšre, nous ne voulons pas, en cette heure, nous conformer aux choses du monde, mais ĂȘtre transformĂ©s par le renouvellement de notre esprit, par le Saint-Esprit, afin qu’Il vienne prendre nos vies sous Sa garde, qu’Il–qu’Il nous conduise et nous guide pendant les jours qui nous restent sur la terre, afin de magnifier Son grand Nom.

4 Nous Te remercions pour toutes ces choses. Et nous sommes dans l’attente de Ta visite parmi nous ce soir, alors que nous nous sommes rassemblĂ©s ici maintenant, en croyant que Tu vas nous rencontrer comme Tu l’as promis. Au Nom de JĂ©sus-Christ. Amen.
Vous pouvez vous asseoir.

5 Je crois que c’est David qui a dit: “Je suis dans la joie quand on nous dit, quand on me dit: ‘Allons Ă  la maison de l’Éternel.’” Et nous sommes vraiment trĂšs reconnaissants d’ĂȘtre ici ce soir, et pour nous c’est un privilĂšge d’avoir cette formidable occasion de–d’ĂȘtre ici, de parler avec vous tous.

6 J’enregistre des bandes. Donc je viens de jeter un coup d’oeil dans le local pour voir si les frĂšres enregistraient. C’est–c’est en route maintenant, les bandes tournent. TrĂšs bien. La raison de cela, c’est que j’avais promis que les Messages qu’on enverrait viendraient, seraient enregistrĂ©s ici, au Tabernacle. Maintenant nous


7 J’aimerais dire quelque chose Ă  propos de ce matin. Aujourd’hui, juste aprĂšs midi, plutĂŽt, au moment oĂč nous terminions la rĂ©union du matin, il s’est produit quelque chose, et peut-ĂȘtre que certains d’entre vous n’étaient pas ici et n’en ont pas entendu parler. Je terminais la rĂ©union, je parlais ici, sur l’estrade, en observant un frĂšre qui Ă©tait debout lĂ , en train de serrer la main des gens, son nom est FrĂšre Way, c’est comme ça qu’on l’appelle ici. Sa femme est une excellente infirmiĂšre diplĂŽmĂ©e.

8 Et FrĂšre Way est un des serviteurs de Dieu, il fait aussi un travail sĂ©culier, mais il a un appel dans son coeur depuis des annĂ©es, pour faire un travail sur le champ missionnaire. Il a senti que Dieu voulait l’amener ici et le conduisait Ă  rester ici, en attendant qu’il reçoive de nouveaux ordres avant de s’engager sur le champ de mission. Il y a quelques jours, je lui ai parlĂ©, j’ai eu un petit entretien avec lui et sa femme.

9 Et ce matin, quand j’ai confessĂ© que j’avais un complexe, j’ai mentionnĂ© que FrĂšre Way aussi avait un complexe, ce qui est certainement normal chez tout le monde; et un–un instant plus tard, FrĂšre Way a Ă©tĂ© terrassĂ© par une crise cardiaque et est tombĂ© mort par terre. J’ai vu sa femme, et j’ai remarqué  Je me suis trouvĂ© auprĂšs de beaucoup de personnes en train de mourir, et je–je ne suis pas obligĂ© de–de dire ceci.

10 J’aime vanter JĂ©sus-Christ et Sa puissance. Cependant, Ă  l’heure qu’il est, je pense qu’on ne devrait jamais chercher Ă  Le vanter d’aucune maniĂšre pour quelque chose qu’Il–qu’Il–qu’Il n’a pas fait. Mais j’ai vu JĂ©sus-Christ ressusciter les morts de nombreuses fois, des examens mĂ©dicaux infaillibles l’attestent.
Par exemple, rĂ©cemment, pendant une rĂ©union dans le Connecticut, dans une grande, l’ancienne
une grande salle bien connue, il y avait un certain docteur Barton, un docteur ChrĂ©tien, sur l’estrade avec moi, un docteur en mĂ©decine. Et il y avait une prĂ©cieuse ChrĂ©tienne de bonne rĂ©putation, c’était une femme aimable et riche. Elle Ă©tait assise un peu Ă  ma gauche. J’avais appelĂ© la ligne de priĂšre, et j’ai remarquĂ© que cette femme, tout Ă  coup


11 Quand quelqu’un, quand son coeur s’arrĂȘte
 On peut fermer les yeux, mais quand on est frappĂ© par une mort subite, quand le coeur s’arrĂȘte, lĂ , vraiment, les yeux se rĂ©vulsent et le blanc de l’oeil ressort. Et c’est ce que j’ai remarquĂ© lorsqu’elle s’est effondrĂ©e. Rapidement on a appelĂ© le docteur, il a accouru vers elle pour lui prendre le pouls, et il a secouĂ© la tĂȘte, il a posĂ© ses mains sur elle, son oreille sur son coeur. Elle Ă©tait partie. Elle s’était effondrĂ©e sur le sol, et sa fille criait, ce qui a interrompu la rĂ©union. J’ai continuĂ©, parce que je n’avais pas de parole du Seigneur pour cette femme. J’ai simplement continuĂ©.

12 Ils ont parlĂ© d’aller chercher FrĂšre Branham. Et ils ont dit: “Nous ne voulons pas l’appeler pendant la ligne de priĂšre, parce qu’il est en train d’exercer le discernement.” Et ils ont dit: “Allez chercher le jeune Branham”, c’est-Ă -dire Billy. Et Billy, Ă©tant donnĂ© que c’était une femme morte, il ne voulait pas


13 Vous savez, les gens sont portĂ©s Ă  ĂȘtre mĂ©fiants devant quelqu’un qui est mort. Ça, ce n’est–ce n’est qu’une enveloppe. Il n’y a rien dedans. Les gens ont des pensĂ©es Ă©tranges Ă  ce sujet. Alors que, la personne elle-mĂȘme, elle n’est plus lĂ ; elle s’en est allĂ©e. Donc, il avait peur de–de s’approcher de cette femme, parce qu’elle Ă©tait morte.

14 Et aussitĂŽt, le Saint-Esprit m’a parlĂ©. Je me suis dĂ©placĂ©, j’ai descendu la marche, me suis approchĂ© de l’endroit oĂč elle Ă©tait. Et au moment oĂč je me dirigeais vers elle, le Saint-Esprit m’a parlĂ©; et j’ai dit: “Marie!”

15 Elle a dit: “Oui, FrĂšre Branham.” Elle Ă©tait vivante. Et–et elle ne nous avait jamais vus auparavant. Et, c’était la premiĂšre fois dans une rĂ©union.

16 Et puis, Ă  Shawano, rĂ©cemment, il y a, oh, je dirais, il y a de ça environ quatre ou cinq ans, je parlais un soir, au bĂątiment militaire. Il y avait une grande foule. Et il y avait un homme ĂągĂ©, d’environ quatre-vingts ans, je pense, et sa charmante Ă©pouse, ils Ă©taient de confession luthĂ©rienne, ils frĂ©quentent la grande Ă©glise luthĂ©rienne bien connue, lĂ -bas. Le nom m’échappe en ce moment. C’est le plus grand rassemblement luthĂ©rien en AmĂ©rique, de membres d’une Ă©glise qui se rĂ©unissent au mĂȘme endroit. C’est une rĂ©gion de forte imprĂ©gnation luthĂ©rienne. Et pendant que je parlais, j’ai remarquĂ© cet homme, sa tĂȘte a basculĂ© en arriĂšre, comme ça; ses mains se sont tendues, et il est tombĂ© en avant, mort sur sa chaise. Sa femme s’est mise Ă  crier, et elle a hurlĂ©: “Aidez-moi, quelqu’un! Aidez-moi, quelqu’un!”

17 Et j’ai regardĂ©. J’ai dit: “Que tout le monde reste assis, restez tranquilles.” Voyez? J’ai attendu que le Seigneur me donne une parole. Et–et je
 Satan
 Je m’apprĂȘtais Ă  faire l’appel Ă  l’autel, et c’est prĂ©cisĂ©ment Ă  ce moment-lĂ  qu’il veut se montrer.

18 Ainsi, avez-vous dĂ©jĂ  remarquĂ© que, lorsqu’on commence Ă  faire un appel Ă  l’autel, il y a mĂȘme les petits bĂ©bĂ©s qui commencent Ă  crier, et toutes sortes de choses du genre? C’est Satan. Vous qui ĂȘtes spirituels, vous le comprenez.

19 Alors le Seigneur m’a donnĂ© son nom, je l’ai appelĂ©, et il est revenu Ă  la vie, comme ça.

20 Et ce matin, quand je me suis retournĂ©, voyez – bien des fois, j’ai vu le Seigneur JĂ©sus ramener les morts. Au Mexique le petit bĂ©bĂ© Ă©tait mort Ă  neuf heures ce matin-lĂ , et c’est entre dix et onze heures ce soir-lĂ  qu’il est revenu Ă  la vie. Et–et c’est un tĂ©moignage authentique, confirmĂ© par un mĂ©decin, voyez, le bĂ©bĂ© Ă©tait bien mort dans son cabinet Ă  neuf heures ce matin-lĂ . Je crois que c’était une pneumonie. Et le bĂ©bĂ© est en vie aujourd’hui, pour autant que je sache. Et c’est arrivĂ© devant, oh! la la! trente ou quarante mille personnes.

21 Et alors, ce matin, j’ai vu notre FrĂšre Way assis lĂ , il est assis ici en ce moment. Mais, alors qu’il Ă©tait quelque part par ici, il Ă©tait debout. Et nous chantions, et, “Gloire, gloire, allĂ©luia”, en nous serrant la main les uns les autres. J’ai remarquĂ© quand cela l’a frappĂ© et que sa tĂȘte a basculĂ© en arriĂšre. Il, FrĂšre Way n’est pas sujet Ă  ce genre de chose, comme s’évanouir ou quoi que ce soit du genre. Et il, je l’ai vu tomber Ă  la renverse. Et j’ai vu sa femme, qui est une infirmiĂšre diplĂŽmĂ©e, lui prendre le pouls. Elle a criĂ©: il n’y en avait plus.

22 Et–et alors je crois que c’est Soeur Nash, une dame ici, une soeur de couleur qui vient Ă  l’église – quelques personnes se sont prĂ©cipitĂ©es en avant. Et lĂ  elle, Mme Way, elle tendait le bras vers moi pour m’inciter Ă  traverser l’estrade. Et j’ai dit: “Que chacun reste tranquille, restez Ă  vos places.” Ne vous Ă©nervez jamais dans ces moments-lĂ . Voyez? C’est ce que Satan voudrait. Attendez simplement de voir ce qu’Il dira. Si c’est quelqu’un qui poursuit son chemin vers la Gloire, eh bien, il nous faut partir un jour ou l’autre, il n’y a pas de meilleur endroit qu’à l’église, et donc–donc, juste lĂ , dans la maison du Seigneur. Et donc

Mais cet homme Ă©tait en train de se retourner. J’ai pensĂ© que peut-ĂȘtre quelque chose Ă©tait, qu’il s’était Ă©vanoui ou que quelque chose du genre lui Ă©tait arrivĂ©. Mais quand j’ai regardĂ©, sa tĂȘte Ă©tait tournĂ©e dans cette direction-ci, j’ai vu l’intĂ©rieur, le bas de ses yeux qui ressortait. On ne peut pas fermer, on ne peut pas mettre ses yeux comme ça; c’est l’arrĂȘt du coeur qui fait ça. Et j’ai traversĂ© ceci, et il
 Quelqu’un, une personne bienveillante, avait mis
posĂ© quelque chose pour soutenir sa tĂȘte. Et ses pieds, ses mains, tout Ă©tait raide. Ça s’était arrĂȘtĂ©. Son visage Ă©tait aussi foncĂ© que ma veste, rouge sombre, et ses yeux Ă©taient rĂ©vulsĂ©s. Et je sais reconnaĂźtre une crise cardiaque. Je sais quelle rĂ©action et quel changement cela produit sur les gens; tous ceux qui ont dĂ©jĂ  vu ça le savent aussi. Alors j’ai tĂątĂ© son pouls, et il n’y avait pas plus de pouls qu’il n’y en a sur cette chaire. [FrĂšre Branham tape dĂ©licatement sur la chaire en bois.–N.D.É.] Rien. Voici sa femme, une infirmiĂšre diplĂŽmĂ©e, qui lui a pris le pouls. Il n’y avait pas de pouls.

23 D’ailleurs, l’autre jour, pendant que j’étais avec FrĂšre Way lors d’un discernement ici, j’avais vu qu’il avait un souffle au coeur. Et donc, je me suis dit: “C’est ça.” Alors je lui ai imposĂ© les mains. J’ai dit: “Dieu bien-aimĂ©, au Nom de JĂ©sus-Christ, je rappelle l’ñme de mon frĂšre, sa vie.” Et le Seigneur JĂ©hovah le sait, – Sa Bible est ici devant moi, – pendant que je tĂątais son pouls, j’ai senti comme
 Et je sais que je devrai rĂ©pondre de ceci au Jour du Jugement si c’est faux. Et j’ai senti comme si son pouls battait quatre ou cinq fois, rapidement, il a fait “pomp, pomp, pomp, pomp, pomp”; et ensuite il a commencĂ© Ă  faire “pomp, pomp, pomp, pomp”.

24 Et il essayait d’ouvrir la bouche pour me dire quelque chose. Il essayait de remuer la bouche, et ça gargouillait, comme, alors qu’il essayait de parler. Finalement ces mots sont sortis: “FrĂšre Branham.” Puis on aurait dit qu’il allait se rendormir ou quelque chose comme ça, j’ai attendu encore un instant, j’ai repris son pouls; il battait normalement. Ensuite j’ai regardĂ© de nouveau, et il a tournĂ© le regard vers moi. J’ai vu qu’il Ă©tait un peu absent; il ne savait pas oĂč il Ă©tait, mais son coeur battait normalement. Dieu avait rappelĂ© sa vie en lui.

25 Alors, je–je dis cela pour honorer JĂ©sus-Christ, car il s’agit du mĂȘme Dieu, lĂ , alors que
 Ce matin, j’avais prĂȘchĂ© longtemps, j’avais largement dĂ©passĂ© l’heure prĂ©vue, et on Ă©tait fatiguĂ© et Ă©puisĂ©. Ce pourrait ĂȘtre deux choses. Ou bien il a cĂ©dĂ© Ă  la fatigue, ou bien, quand j’ai mentionnĂ© qu’il avait un complexe, pas pour–pour mettre mon frĂšre dans l’embarras, comme on dirait, parce que j’avais
je confessais que j’avais moi-mĂȘme un complexe. Et je pense que si, ce soir, je demandais Ă  cet auditoire: “Combien d’entre vous ici savent que vous avez un complexe?”, pratiquement toutes les mains se lĂšveraient. Pour que vous sachiez, FrĂšre Way, laissez-moi vous montrer si c’est du discernement ou pas. Combien d’entre vous savent que vous avez un complexe, levez la main. Regardez-moi ça! Voyez? Mais je–je ne sais pas si FrĂšre Way a eu un choc parce que je lui avais dit ça, s’il a pensĂ© que c’était peut-ĂȘtre un reproche que je lui adressais, ou quelque chose comme ça, et que ça l’a fait tomber dans cet Ă©tat – et le Seigneur JĂ©sus l’a ramenĂ©.

26 Maintenant, je–je suis
je pense que le mĂȘme Dieu que le grand saint Paul reprĂ©sentait, Ă  son Ă©poque: lorsqu’un soir il avait prĂȘchĂ© longtemps, un homme Ă©tait tombĂ© et la vie s’était retirĂ©e de lui; et Paul, s’étant penchĂ© sur cet homme, par la grĂące de Dieu, avait alors dit Ă  l’auditoire: “La vie est en lui.” Je–je pense que cela nous prouve, ou, si vous n’aviez encore jamais vu cela, que JĂ©sus-Christ est le mĂȘme hier, aujourd’hui et Ă©ternellement.

27 Il est possible, d’autre part, que ce soit ceci – j’ai essayĂ© de rĂ©flĂ©chir Ă  ça cet aprĂšs-midi. C’est que, je m’étais tenu ici, et de tout mon coeur je vous avais dit exactement la VĂ©ritĂ©, et je vous ai parlĂ© de mon complexe et l’ai confessĂ© ouvertement, parce que
et je vous ai demandĂ© de prier que mon ĂȘtre intĂ©rieur soit changĂ© Ă  l’égard des gens, afin que je puisse agir comme le Seigneur l’a fait. Et pour confirmer qu’Il va continuer Ă  m’envoyer sur le champ de mission, Il a permis que cela arrive, pour montrer qu’Il guĂ©rit toujours les malades, oui, voyez, qu’Il ressuscite les morts. Et je pense que c’était simplement une confirmation de ce que j’avais prĂȘchĂ© et de ce que j’avais tĂ©moignĂ© au sujet du Royaume de Dieu. Et c’est un peu ce qu’Il venait de dire Ă  FrĂšre Roberson, lĂ , et Ă  un autre frĂšre. Alors, nous L’aimons pour ça.

28 Et ce soir, nous sommes reconnaissants que FrĂšre Way soit avec nous ce soir. Certainement que Dieu n’en a pas fini avec notre frĂšre, sinon il serait parti ce matin. FrĂšre Way a quelque chose Ă  accomplir. Et je veux que vous sachiez, FrĂšre Way, que cette Ă©glise entiĂšre ainsi que moi-mĂȘme, nous prierons que Dieu vous montre Son plan pour votre vie et pour celle de votre femme; et, dĂšs que cela se matĂ©rialisera, qu’Il vous y place. Je suis sĂ»r qu’Il le fera, FrĂšre Way. Et nous tous, comme ChrĂ©tiens, nous serons reconnaissants pour FrĂšre Way. Pas vrai, Ă©glise? [L’assemblĂ©e dit: “Amen.”–N.D.É.] Et nous prierons que lui et Soeur Way trouvent leur place dans le Seigneur, pour accomplir leur service dans la vie.

29 Maintenant, aussi, je tenais Ă  parler Ă  FrĂšre Way. Je suis venu tĂŽt pour pouvoir lui parler et voir au juste quelle avait Ă©tĂ© son attitude, ou ce qui Ă©tait arrivĂ©. Et il ne le sait pas. Voyez, il a perdu conscience, il est tombĂ© et est parti. C’est tout.
FrĂšre Way dĂ©sirait et a demandĂ© s’il y a quelqu’un dans la salle qui va en Arkansas mardi, ou le jour oĂč vous irez, à–à ces rĂ©unions. Bon, ce seront–ce seront peut-ĂȘtre de trĂšs petites rĂ©unions. C’est une association de frĂšres qui se rencontrent. Et je crois que c’est lĂ -haut, dans une sorte de jungle ou quelque chose comme ça, tout lĂ -haut. Il n’y aura probablement pas beaucoup de monde, je–je pense, aux rĂ©unions, parce que, pour tout dire, les gens ne savent mĂȘme pas encore que je viens. Voyez? Et alors, mes amis de lĂ -bas, probablement qu’il se sera dĂ©jĂ  passĂ© un soir ou deux avant qu’ils l’apprennent, mĂȘme mes amis en Arkansas, ceux qui me connaissent lĂ -bas, qui assisteront aux rĂ©unions. Mais, si quelqu’un y va et a de la place pour prendre quelqu’un, FrĂšre Way serait content d’en profiter. Il m’a dit d’annoncer qu’il ne serait pas un fardeau pour les gens, qu’ils n’auraient pas Ă  s’occuper de lui pendant qu’il serait lĂ -bas, parce qu’il pourrait se dĂ©brouiller. Mais il, si quelqu’un y allait, ce serait pour lui un signe que Dieu aimerait qu’il, ou, que ce serait dans–ce serait dans la volontĂ© de Dieu qu’il y aille. Donc, vous connaissez tous FrĂšre Way, qui est assis ici, au coin. Si quelqu’un le veut bien, a l’intention d’y aller et a une place pour un passager supplĂ©mentaire, il serait content d’en profiter.

30 Et puis dimanche soir prochain, si le Seigneur le veut, je–je serai de retour, ou plutĂŽt dimanche matin prochain. Et–et si FrĂšre Neville a l’école du dimanche, quand elle sera finie, je veux enregistrer une autre bande, si possible. Et, sauf erreur, je pense que je parlerai de: Est-ce que votre vie
 Votre vie est-elle digne de l’Évangile? Donc c’est, ou, Votre femme
vie est-elle digne de l’Évangile? C’est ce que je veux dire. Votre vie est-elle digne de l’Évangile? Et je veux enregistrer une bande lĂ -dessus, si le Seigneur le veut.

31 Et maintenant, ce soir, j’ai annoncĂ© aujourd’hui que j’allais enregistrer la bande. Et le pasteur, je pense qu’il n’a mĂȘme pas prĂȘchĂ©; il m’a simplement appelĂ© pour que je m’avance, donc, que je prenne la parole ici sur l’estrade. Alors, lĂ  je ne sais pas
 Bon, si pendant qu’ils enregistrent les bandes, si vous vous sentez gagnĂ©s par la fatigue ou autrement incommodĂ©s, que vous souhaitez sortir, faites aussi doucement que possible, parce que nous ne
 Voyez, ces–ces microphones sont trĂšs, trĂšs sensibles, et ils captent le moindre bruit. Et nous enregistrons, nous essayons d’enregistrer ces bandes pour un ministĂšre international.

32 Et ce soir, j’aimerais annoncer mon sujet, ce sera
aprĂšs que je–j’aurai lu la Parole de Dieu, ce qu’on trouve dans l’Évangile de Matthieu, au chapitre 24. Dans l’Évangile selon Matthieu, au chapitre 24, commençons maintenant au verset 32 et lisons l’Écriture. Instruisez-vous par une comparaison tirĂ©e du figuier. DĂšs que ses branches sont–sont tendres, et que les feuilles poussent, vous connaissez que l’étĂ© est proche. De mĂȘme, quand vous verrez toutes ces choses, sachez que le Fils de l’homme est proche, Ă  la porte. Je vous le dis en vĂ©ritĂ©, cette gĂ©nĂ©ration ne passera point, que tout cela n’arrive. Les cieux et la terre passeront, mais mes paroles ne passeront point. Pour ce qui est du jour et de l’heure, personne ne le sait, ni les anges des cieux, mais le PĂšre seul. Ce qui arriva du temps de NoĂ© arrivera de mĂȘme Ă  l’avĂšnement du Fils de l’homme.

33 Maintenant, dans notre lecture, nous voyons ce soir, en lisant, qu’il est rapportĂ© dans la premiĂšre partie de ce chapitre que les disciples L’ont fait venir Ă  l’écart, sur le mont, la montagne, et Lui ont dit: “Quel sera le signe de la fin du monde? Quel sera le signe de Ta Venue? Et quand viendra le temps oĂč il ne restera pas pierre sur pierre du temple?” Maintenant Il va donner la rĂ©ponse. Voyez ici au verset 1. 
JĂ©sus s’en allait, au sortir du temple, ses disciples s’approchĂšrent pour lui en faire remarquer la construction. Mais il leur dit: Voyez-vous tout cela? Je vous le dis en vĂ©ritĂ©, il ne restera pas ici pierre sur pierre qui ne soit renversĂ©e. Et son disciple
 Il s’assit sur la montagne
 (pardon) 
Il s’assit sur la montagne des oliviers. Et les disciples vinrent en particulier lui faire cette question: Dis-nous, quand cela arrivera, et quel sera le signe de ton avĂšnement et de la fin du monde?

34 Voyez, ils ont posĂ© trois questions, et Il rĂ©pond Ă  trois questions. “Quand viendra le temps oĂč il ne restera pas pierre sur pierre? Quel est le signe de Ta Venue? Et qu’en est-il de la fin du monde?” Et nous sommes nombreux, je crois, nous les frĂšres, Ă  commettre des erreurs en essayant d’appliquer tout cela Ă  Sa Venue. Mais Il rĂ©pond Ă  trois questions diffĂ©rentes qui Lui ont Ă©tĂ© posĂ©es. “Pourquoi y aura-t-il un temps oĂč il ne restera aucune de ces pierres sur une autre; quand cette chose arrivera-t-elle? Et quel sera le signe de Ta Venue? Et qu’arrivera-t-il Ă  la fin du monde?” Voyez, trois questions diffĂ©rentes. Et Il commence d’abord par rĂ©pondre Ă  la question concernant le temps oĂč “il ne restera pas pierre sur pierre”. Et ensuite, aprĂšs avoir terminĂ© cette question-lĂ , ensuite Il aborde “le signe de Sa Venue”. AprĂšs quoi Il s’engage dans le sujet de “la fin du monde”.

35 Maintenant nous remarquons ici, l’une des choses dont je voudrais parler ce soir, c’est Le–Le feu rouge clignotant, signe de Sa Venue. Et nous allons nous arrĂȘter ce soir sur le temps de NoĂ©: “Il en sera de mĂȘme Ă  la venue du Fils de l’homme.” Et alors, cela m’a frappĂ© l’autre jour, et je me suis dit que j’allais peut-ĂȘtre essayer d’enregistrer cela et d’en parler. Et j’ai notĂ© ici plusieurs passages de l’Écriture auxquels j’aimerais peut-ĂȘtre me rĂ©fĂ©rer, et–et, que j’aimerais lire dans quelques instants.

36 Mais maintenant, ils ont posĂ© cette question Ă  notre Seigneur JĂ©sus, et Il leur a dit quel serait le signe de Sa Venue. Et Il a tout de suite dit ceci: “Les cieux et la terre passeront, mais Ma Parole ne passera pas.” Et Il a aussi dit: “Instruisez-vous par une comparaison tirĂ©e du figuier. DĂšs que ses branches poussent, vous savez que l’étĂ© est proche. De mĂȘme, quand vous verrez ces choses arriver, ou se manifester, sachez que le temps est proche. Et cette gĂ©nĂ©ration ne passera point, que tout cela n’arrive.” Quelle gĂ©nĂ©ration? La gĂ©nĂ©ration qui verra l’apostasie dont nous allons parler ce soir.

37 Alors, quand nous considĂ©rons mon sujet, d’un feu rouge clignotant indiquant Sa Venue, cela me rappelle l’attente dans une gare de chemin de fer, quand un homme ou que des gens se tiennent lĂ , comme beaucoup d’entre nous l’ont fait en attendant de prendre le train. Nous n’entendons pas le train, ou, on ne le voit pas, mais on sait que c’est–c’est l’heure. Peut-ĂȘtre que l’opĂ©rateur de la circulation ferroviaire dit: “Il a un–un peu de retard. Il n’est pas exactement Ă  l’heure, mais, nous ne savons pas prĂ©cisĂ©ment quand, mais il va bientĂŽt arriver.” Et nous nous promenons dans la gare, les mains dans les poches, nous nous asseyons sur nos valises, nous sortons acheter un sachet de cacahuĂštes, et parler au
à quelqu’un de l’autre cĂŽtĂ© de la rue. Mais tout Ă  coup nous voyons quelque chose se produire. Un bruit se fait entendre sur la voie ferrĂ©e. Et, Ă  ce moment-lĂ , le bras s’abaisse et le feu rouge commence Ă  clignoter. Qu’est-ce que ça veut dire? Le train approche de la gare. Bien que vous ne l’entendiez pas, bien que vous ne le voyiez pas, pourtant ce feu rouge clignotant et ce bras baissĂ© montrent qu’il arrive. Donc, si vous comptez partir avec ce train, vous feriez mieux de laisser tomber ce sachet de cacahuĂštes, d’arrĂȘter de bavarder, de prendre vos valises et de vous prĂ©parer, sinon vous serez laissĂ© derriĂšre, parce qu’il s’arrĂȘte seulement quelques instants Ă  cet endroit. Il sera reparti. Si vous restez lĂ  Ă  faire la causette au voisin de l’autre cĂŽtĂ© de la rue, vous serez laissĂ© derriĂšre.

38 À combien plus forte raison, alors, quand nous voyons un signal clignotant qui indique qu’Il approche de la gare! Le vieux train de l’Évangile va bientĂŽt passer. Et alors, ce soir, nous Ă©tudions ce grand sujet, le signal clignotant, comme notre Seigneur s’était assis sur la montagne et leur avait dit que ces choses allaient se produire: “Ce qui arriva du temps de NoĂ© arrivera de mĂȘme Ă  la venue du Fils de l’homme.”

39 Maintenant nous voulons retourner en arriĂšre, pendant un petit instant, voir si nous pouvons trouver quelque chose de l’époque actuelle qui ressemble au temps de NoĂ©. Et nous pourrons alors reconnaĂźtre oĂč nous en sommes par rapport Ă  l’époque dont notre Seigneur a parlĂ©, voir si nous pourrons trouver une quelconque ressemblance avec le temps de NoĂ©. Pour cela, je pense que nous devrions nous reporter au Livre de la GenĂšse, au temps de NoĂ©. Si vous voulez bien prendre avec moi, dans l’Écriture, GenĂšse, chapitre 6; c’est le temps du dĂ©luge, avec les moeurs et la situation de cette Ă©poque-lĂ : GenĂšse, chapitre 6. Maintenant, nous voulons lire, voir et comparer cette Ă©poque-lĂ  avec cette Ă©poque-ci. Remarquez. Lorsque les hommes eurent commencĂ© Ă  se multiplier sur la face de la terre


40 La toute premiĂšre parole nous met devant un feu clignotant qui indique de façon incontestable que ce jour est proche, car jamais dans toute l’histoire il n’y a eu une Ă©poque oĂč il y ait eu autant de gens, et qui se multiplient aussi rapidement, qu’aujourd’hui, Ă  tel point qu’il est difficile de trouver un logement. Il y a tellement de gens qui se multiplient sur la terre que la science dit que “si la multiplication continue Ă  ce rythme, dans vingt ans il n’y aura pas mĂȘme de nourriture sur la terre pour les gens”. C’est le Reader’s Digest, je crois, qui l’a rapportĂ©, “qu’il n’y aurait pas mĂȘme de nourriture pour les gens, tant ils se multiplient rapidement”.

41 Nous pouvons regarder autour de nous et voir que des endroits qui Ă©taient autrefois dĂ©serts sont devenus des villes, et pourtant on pratique le contrĂŽle des naissances Ă  outrance, plus que jamais auparavant. Je crois qu’on a dit de Chicago
 J’espĂšre ne pas me tromper en citant ces chiffres. Mais il y aurait, de cas dĂ©clarĂ©s, en fait, trente mille cas d’avortement tous les soixante jours, Ă  Chicago. Des cas d’avortement dĂ©clarĂ©s, tous les soixante jours! Qu’en est-il de ceux qui n’ont jamais Ă©tĂ© dĂ©clarĂ©s? Voyez, rien que dans une grande ville de quatre millions d’habitants! Qu’en est-il du monde? Et pourtant, il y a une telle surpopulation qu’ils ne peuvent mĂȘme pas s’occuper de


42 En Inde, ils essaient de devenir
d’arrĂȘter la fonction naturelle des hommes et de les rendre stĂ©riles, pour empĂȘcher la naissance d’enfants, parce que leur–leur nombre augmente tellement. Quatre cent soixante-dix millions, actuellement, en Inde.

43 Qu’en est-il de la Chine, oĂč l’augmentation est encore plus forte, la Russie et les nombreux pays du monde? “Lorsque les hommes eurent commencĂ© Ă  se multiplier sur la face de la terre.” Voyez? Maintenant nous nous reportons de nouveau Ă  l’époque antĂ©diluvienne. 
et que des filles leur furent nĂ©es, Les fils de Dieu virent que les filles des hommes Ă©taient belles, et ils en prirent pour femmes
toutes celles qu’ils choisirent. Alors l’Éternel dit: Mon esprit ne contestera pas Ă  toujours avec l’homme, car l’homme n’est que chair, et ses jours seront de–de cent vingt ans. Et les gĂ©ants Ă©taient dans le pays en ces temps-lĂ , aprĂšs qu’eux
que les fils de Dieu furent venus vers les filles des hommes, et qu’elles leur eurent donnĂ© des enfants: et ce sont ces hĂ©ros qui furent fameux dans l’antiquitĂ©.

44 Oh, quel–quel sujet nous avons ici! Voyez? Maintenant, l’une des premiĂšres choses que je veux vous faire remarquer, c’est que les–les fils de Dieu ont vu que les filles des hommes Ă©taient belles. Maintenant je ne
ce que je dis ici s’applique au monde entier. Mais il n’y a jamais eu d’époque sur la terre, aucune Ă  ma connaissance, Ă  part cette Ă©poque-lĂ , oĂč il y ait eu une beautĂ© aussi gĂ©nĂ©ralisĂ©e chez les femmes.

45 Et vous vous souvenez, certaines d’entre vous, les femmes d’un certain Ăąge, et certains d’entre vous ici, les hommes, vous vous souvenez qu’il y a bien des annĂ©es, il Ă©tait rare de trouver une jolie femme. Mais aujourd’hui on n’en trouve aucune qui ne soit pas jolie. C’est qu’elles en sont venues Ă  se couper les cheveux, et Ă  se maquiller, et–et Ă  porter toutes sortes de vĂȘtements sexy, et tout. Elles peuvent ainsi s’exhiber de cette maniĂšre. Et puis il y a autre chose, c’est que l’aiguille du temps a fait marche arriĂšre, conformĂ©ment Ă  l’Écriture. Et la beautĂ© des femmes ne cesse d’augmenter.

46 Je me souviens quand j’étais jeune garçon Ă  l’école, et puis je regarde les jeunes enfants d’aujourd’hui, les jeunes filles qui grandissent. Je peux regarder, penser aux femmes de l’époque oĂč j’étais jeune homme, et regarder les filles d’aujourd’hui. Je me souviens qu’une fille Ă©tait populaire, et ça ne fait pas plus de vingt-cinq ans, ça, une fille Ă©tait populaire, une jolie fille, et presque tous les garçons voulaient sortir avec cette fille-lĂ , parce que c’était la reine du–du groupe. Peut-ĂȘtre que dans une ville entiĂšre, il y avait deux ou trois femmes comme ça. Maintenant ça s’est Ă©tendu Ă  l’ensemble, elles sont toutes jolies. C’est afin d’accomplir l’Écriture, et c’est un clignotement du feu rouge, qui indique que le temps est proche.

47 Ils ont inventĂ© des choses comme le rouge Ă  lĂšvres et le–le maquillage, alors une femme qui n’est pas tellement belle, elle peut quand mĂȘme s’embellir avec les, tous les liftings et les–les choses qu’elles font pour s’embellir.

48 Max Factor tourne jour et nuit; on dĂ©pense plus pour des cosmĂ©tiques, en AmĂ©rique, en une annĂ©e, pour rendre les femmes jolies, que ce qu’on dĂ©pense Ă  l’épicerie. C’est vrai. J’ai oubliĂ© combien de milliards de dollars on dĂ©pense chaque annĂ©e en cosmĂ©tiques, pour embellir nos femmes.

49 Maintenant, je ne dis rien contre ça, je vous montre seulement que c’est un clignotement du feu rouge, qui indique que le temps est proche. En effet, JĂ©sus a dit Lui-mĂȘme: “Ce qui arriva du temps de NoĂ© arrivera de mĂȘme Ă  la venue du Fils de l’homme.” Voyez, la mĂȘme chose.

50 Et remarquez: “Lorsque les gens eurent commencĂ© Ă  se multiplier, beaucoup de gens. Les filles des hommes Ă©taient belles; et les fils de Dieu portĂšrent leurs regards sur elles et en prirent pour femmes.” Ça, ce n’est pas moi qui le dis. C’est ce que je lis dans la Bible, oĂč JĂ©sus nous a dit de nous reporter Ă  la GenĂšse et de comparer les Ă©poques. La multiplication des gens et la beautĂ© des femmes – voilĂ  un signe important.

51 Maintenant l’avertissement, l’avertissement de JĂ©hovah, au verset 3. Alors l’Éternel dit


52 Tout de suite aprĂšs que cela s’est produit
 Souvenez-vous, le Saint-Esprit a Ă©crit la Bible, et JĂ©sus Ă©tait revĂȘtu de la plĂ©nitude du Saint-Esprit. Et Il parlait seulement par le Saint-Esprit. Et les Écritures ont Ă©tĂ© Ă©crites par le Saint-Esprit. Et Celui-lĂ  mĂȘme qui a Ă©crit GenĂšse 6 nous a dit, dans Matthieu 24, pour reconnaĂźtre quand le temps serait proche, de nous reporter Ă  GenĂšse 6 et de comparer.

53 La multiplication des gens sur la terre; et pourtant, mĂȘme le contrĂŽle des naissances et toutes les choses qui se passent n’arrivent pas Ă  mettre un frein Ă  ça. Ça continue quand mĂȘme, parce que nous sommes au temps de la fin.

54 Et alors remarquez, tout de suite aprĂšs, il y a eu une Ă©poque, c’est ce qui est dit, oĂč les femmes Ă©taient trĂšs belles, trĂšs jolies. Nous comparons celle-lĂ  avec celle-ci, et nous pouvons l’attester.

55 Bon, je regardais des photos d’il y a longtemps, quand nos ancĂȘtres, quand ils ont traversĂ© les plaines. Je ne me rappelle pas le–le nom de cette femme, mais son nom Ă©tait connu de San Francisco à–à Boston, elle Ă©tait considĂ©rĂ©e comme la plus belle femme du pays. Elle s’appelait Pearl White, je crois – il y a bien des annĂ©es de ça. Elle a Ă©tĂ© tuĂ©e par son amant, Scott Jackson. Et si vous voyiez la photo de cette femme, qui Ă©tait considĂ©rĂ©e comme la plus belle femme du pays, vous la regarderiez Ă  peine. Elle aurait l’air d’une antiquitĂ©, lĂ  dans la rue. Presque n’importe quelle femme que vous pourriez apercevoir, n’importe comment, serait trois fois plus jolie qu’elle, n’importe quelle femme aujourd’hui que vous pourriez apercevoir en train de descendre la rue. Voyez, il y a une augmentation de la beautĂ© chez les femmes.

56 Alors je me demande si nos femmes se rendent compte de cela et peuvent
 VoilĂ  pourquoi je veux que cette bande soit diffusĂ©e: c’est que–c’est que vous ne devez pas mettre autant
 Nous voulons que vous soyez jolies, mais nous voulons que vous soyez naturelles. Nous ne voulons pas que vous soyez superficielles. Certaines de ces jolies femmes, si on les trempait quelques instants dans une bassine et qu’on les dĂ©barbouillait, elles changeraient peut-ĂȘtre un peu d’apparence, et–et qu’on les habillait comme elles devraient ĂȘtre habillĂ©es. Mais elles–elles–elles ne le font pas, et on ne peut pas leur faire entendre raison. Nous allons y venir dans quelques instants. Mais ceci, c’est le–le feu rouge qui clignote.

57 Et souvenez-vous, quand les gens ont commencĂ© Ă  se multiplier sur la terre et que les femmes sont devenues belles, c’est Ă  cette heure-lĂ , c’est en ce temps-lĂ , que: 
l’Éternel dit: Mon esprit ne contestera pas Ă  toujours avec l’homme,
 Vous voyez l’emprise? Vous voyez la main de Dieu? “Mon Esprit!” Les filles des hommes Ă©taient belles; et ils en prirent pour femmes. Et Il a dit, alors: “Mon Esprit ne contestera pas Ă  toujours avec l’homme. Je fixerai le nombre de ses jours.”
Maintenant le verset 4: Et les gĂ©ants Ă©taient sur la terre en ces temps-lĂ , aprĂšs que les fils de Dieu furent venus vers les filles des hommes, ou–ou, les filles des hommes, et qu’elles leur–leur eurent donnĂ© des enfants: et ce sont ces hĂ©ros qui furent fameux dans l’antiquitĂ©.

58 Avez-vous remarquĂ© qu’il n’est pas du tout fait mention de mariage? Remarquez: “Les fils de Dieu vinrent vers les filles des hommes”, rien Ă  propos de mariage. Et si vous prenez lĂ , dans le grec original, la signification du mot, ce qui est dit, je l’ai notĂ© ici quelque part, pour “femmes”. “Ils en prirent pour femmes,” au verset 3, “ils en prirent pour femmes. ” Dans le grec, je l’ai vĂ©rifiĂ© cet aprĂšs-midi, il n’est pas dit: “Ils en prirent pour femmes. ” Il est dit qu’ils “ont pris ces femmes”, ne les ont pas Ă©pousĂ©es. Maintenant vĂ©rifiez ça avec votre–avec votre
le Emphatic Diaglott, et regardez si ce n’est pas vrai.

59 “Ils ont pris ces femmes,” ne les ont pas Ă©pousĂ©es. Ils les prenaient comme elles Ă©taient, c’était l’amour libre, comme ce qu’on a aujourd’hui. Autrement dit, Ă  cette Ă©poque-lĂ  ils Ă©taient amants, tout comme ce qu’ils sont maintenant. Ils faisaient tout ce qu’ils voulaient et prenaient toutes les femmes qu’ils pouvaient.

60 “Et lorsque les fils de Dieu
” Maintenant, beaucoup disent qu’ici, c’étaient les Anges dĂ©chus et tout, et, ces hommes et ces femmes. Mais pour montrer que c’est faux, que c’est absolument faux, la Bible ne dĂ©clare nulle part que les Anges soient des hommes ou des femmes. Et en plus, il n’est jamais parlĂ©, dans la Bible, de–de femme qui serait un Ange, jamais. Maintenant, si vous voulez une rĂ©fĂ©rence biblique pour ça, c’est dans Matthieu 22.20, et ainsi de suite, que vous pourrez trouver ça.

61 Bon, c’est que, c’est que, un ange femme, ça n’existe pas. VoilĂ  pourquoi une femme prĂ©dicateur
 Un ange est un “messager”. Et c’est un–et c’est un
 Un ange est un “messager”. Ça n’existe pas. Mais, vous voyez, c’est que les gens ont changĂ© aujourd’hui, sont redevenus comme Ă  cette Ă©poque-lĂ . Maintenant, j’ai notĂ© ici des points historiques que nous souhaitons aborder dans quelques minutes.

62 Remarquez, les femmes de cette Ă©poque-lĂ , du temps de NoĂ©, devaient ĂȘtre le sujet de conversation quotidien. Voyez, “les fils de Dieu”, de Seth, les fils de Seth, ont vu que les filles de CaĂŻn Ă©taient ravissantes. Pourquoi? Elles Ă©taient mĂ©chantes, et c’étaient les filles de CaĂŻn. “Lorsque les fils de Dieu ont vu que les filles des hommes Ă©taient belles, ils ont pris ces femmes. Alors les fils de Dieu ont perdu leur rang auprĂšs de Dieu et sont devenus des coureurs de jupons.” Et si ce n’est pas lĂ  le tableau d’aujourd’hui, je ne sais pas ce que c’est. C’est vrai.

63 Les hommes! Regardez mĂȘme nos Ă©glises aujourd’hui, regardez tout ce que vous voulez, remarquez-le. Partout oĂč on regardait, Ă  cette Ă©poque-lĂ , sans doute qu’il y avait de jolies femmes. Les hommes sont devenus leurs esclaves, c’est ce que rapporte l’histoire, que les hommes sont vraiment devenus les esclaves des femmes, parce qu’elles Ă©taient si jolies, ils sont devenus esclaves. Ils sont allĂ©s jusqu’à Ă©lever des sanctuaires, pour les adorer. Pensez un peu, ils sont allĂ©s jusqu’à adorer des femmes de chair et de sang, Ă  cette Ă©poque-lĂ . C’est un fait historique.

64 Et comparez ça avec aujourd’hui. C’est la mĂȘme chose, mon frĂšre. Les hommes adorent vraiment les femmes. Tenez, dans notre propre pays, Mme Kennedy est deux fois plus considĂ©rĂ©e que le PrĂ©sident. C’est vrai. Et si on parle toujours d’un homme, s’il a une femme attirante, voilĂ , c’est pour ça.

65 Et maintenant, ce qu’ils disent, lĂ , Ă  propos de la conduite automobile. On les entend dire que les conducteurs les plus prudents sont des femmes. C’est faux, parce que, je vais vous dire pourquoi. Billy et moi, en parcourant les États-Unis, nous avons constatĂ© par nous-mĂȘmes: nous avons installĂ© un–un petit tableau, dans notre voiture, un petit bloc-notes, et nous avons Ă©crit “homme” et “femme”. Et chaque fois qu’une femme faisait une faute, nous mettions une croix de son cĂŽtĂ©; et quand un homme en faisait une, nous en mettions une de son cĂŽtĂ©. Et sur trois cents “gaffes”, comme on les appelle, faites sur la route, lĂ , vous seriez surpris: il y avait deux cent quatre-vingts femmes pour dix-neuf hommes. Mais vous savez pourquoi? Ces cas-lĂ  ne se retrouvent pas dans les tribunaux de police. Le policier n’arrĂȘtera pas une jolie fille; une sur mille. Bien sĂ»r, il prendra son numĂ©ro de tĂ©lĂ©phone, mais il ne l’arrĂȘtera pas. C’est vraiment comme ça. Ce n’est pas Ă©tonnant que ces cas-lĂ  ne soient consignĂ©s nulle part. Voyez? C’est parce que les hommes d’aujourd’hui sont comme ceux du temps de NoĂ©, ils se prosternent devant le sanctuaire des jolies femmes. C’est vrai. Oh! la la!

66 Comme ça devait ĂȘtre affreux, Ă  cette Ă©poque-lĂ , on les adorait, ces femmes qui s’exhibaient de maniĂšre aussi sĂ©duisante. Et si elles le faisaient plus habilement en ce temps-lĂ  que maintenant, je suis content de ne pas avoir vĂ©cu en ce temps-lĂ . Pensez-y, dire qu’elles ont seulement
dire que les femmes se sont mises Ă  agir de la mĂȘme maniĂšre, comme elles le font maintenant.

67 Remarquez, la Bible dit: “Les hommes mangeaient et buvaient.” Or ça, c’est–c’est quelque chose de lĂ©gitime. Bien sĂ»r.
“Le mariage doit ĂȘtre honorĂ©.” Un homme, un homme qui Ă©pouse une femme, c’est honorable, cela a Ă©tĂ© instituĂ© par Dieu. Mais quand arrive un moment oĂč un homme prend la femme d’un autre homme, ou prend une jeune femme, ou une femme, peu importe qui c’est, et qu’il transgresse son voeu de mariage, qu’il fait quelque chose de mal, c’est un pĂ©chĂ© aux yeux de Dieu. Et la Bible parle en termes trĂšs durs contre cela.

68 Maintenant remarquez, il Y est dit que le mariage, Dieu a instituĂ© cela en Éden, mais Il a certainement condamnĂ© l’adultĂšre. Et ces hommes et ces femmes, Ă  cette Ă©poque-lĂ , ils ont passĂ© outre aux lois de Dieu et se sont permis de le faire quand mĂȘme. Maintenant, comparez ça avec aujourd’hui. Regardez ça. Si vous voulez voir que le train approche de la gare, rĂ©flĂ©chissez profondĂ©ment Ă  ça maintenant, car c’est l’infaillible JĂ©sus-Christ qui a prononcĂ© ces Paroles. Voyez?

69 Et remarquez, la Bible dit ici: “Les hommes mangeaient et buvaient”, bien sĂ»r, avec leurs jolies femmes. Bon, nous savons bien que ça, c’est en ordre. Manger et boire, c’est une des lois naturelles de la vie. Il faut le faire. Mais quand ça occupe toutes vos pensĂ©es – aujourd’hui les gens sont devenus des gloutons, des ivrognes, les femmes boivent dans les restaurants. Quand on entre dans un lieu oĂč sont servis des–des whiskys soda et des cocktails: les femmes boivent plus que les hommes.

70 JĂ©sus a dit: “Ce qui arriva du temps de NoĂ©, les hommes mangeaient et buvaient, et donnaient en mariage.” Autrement dit, ils vivaient avec les femmes sans ĂȘtre mariĂ©s avec elles. Et aujourd’hui, eh bien, c’est instituĂ© comme ça. Effectivement, il y a eu Reno, lĂ  oĂč on pouvait se marier, divorcer et se remarier, tout ça dans la mĂȘme journĂ©e. Mais maintenant c’est complĂštement dĂ©passĂ©. Les–les prĂ©tendus maris et femmes, ils emportent diffĂ©rentes clĂ©s de chambre, dans ces grandes villes. Bon, je voyage. Je–je suis lĂ , au beau milieu des villes, je sais que c’est vrai: le mari a ses rendez-vous Ă  lui, et la femme ses rendez-vous Ă  elle. Oh, c’est un tel amoncellement de–de pourriture, au point que ça a produit une bande de–de gens mous, paresseux, bons Ă  rien, une gĂ©nĂ©ration vouĂ©e Ă  l’enfer.

71 Il y a quelques annĂ©es – regardez l’état dans lequel s’est retrouvĂ© l’homme, l’état de son corps. Regardez l’état dans lequel il s’est retrouvĂ©, par les choses qu’il a faites. La science essaie constamment de produire une meilleure nourriture, du maĂŻs hybride, et–et des tomates hybrides, du boeuf hybride, alors que ces choses-lĂ  ne sont pas bonnes du tout. Cela tue les gens, et ils ne s’en rendent pas compte. Eh bien, encore quelques annĂ©es, et ils ne seront plus qu’une–qu’une bande de gens semblables Ă  des mĂ©duses.

72 Il y a cinquante ans, les matchs de base-ball se dĂ©roulaient exactement comme maintenant, et on n’entendait jamais dire qu’il y avait eu des blessĂ©s, mais maintenant il y a une ou deux douzaines de morts chaque annĂ©e. Si la balle frappe un homme, il, il n’y a rien en lui pour le maintenir en vie. Il est comme un cochon d’Inde. On le frappe, et il est si mou qu’il en meurt.

73 Quand Bob Fitzsimmons a combattu Corbett, je crois qu’ils ont disputĂ© cent vingt-cinq rounds, un aprĂšs-midi, Ă  poings nus. Quand ces hommes avaient une telle force dans les bras, qu’une planche de “deux par quatre” [5 cm sur 10 cm] soulevĂ©e de 10 cm, ils pouvaient casser cette planche de “deux par quatre” [5 cm sur 10 cm] rien qu’avec leurs poings calleux. Ils dormaient les mains dans du vinaigre, pour durcir leurs poings. Et un–un round n’était pas un petit round de deux ou trois minutes comme ce qu’on a aujourd’hui. Ils n’avaient pas de rembourrage de plumes sur leurs gants, et personne n’était tuĂ©. Et ils se battaient. Un round, c’était un knock-down. Il fallait mettre l’homme Ă  terre. Et ils ont disputĂ© cent vingt-cinq knock-down. C’étaient des hommes. Et aujourd’hui on va devoir arrĂȘter l’art de la boxe: alors qu’ils ont un rembourrage de plumes sur les bras et sur les poings, ils ne peuvent pas disputer deux ou trois rounds sans que quelqu’un soit tuĂ©. Qu’est-ce qu’il y a? Il est constituĂ© d’un tas de, je ne sais pas, de boue molle, de nullitĂ© hybride, Ă  tel point que toute cette gĂ©nĂ©ration est en train de mourir.

74 N’est-ce pas ce que la Bible dit, que les gens deviendraient plus faibles et plus sages? Eh bien, une prochaine race de gens vivra de capsules, ils prendront une capsule pour leur dĂźner. Ce n’est rien d’autre qu’une bande de fumeurs de cigarettes, de buveurs de whisky, de coureurs de cocktails, une bande de droguĂ©s, Ă  piqĂ»res. Les jeunes adolescentes Ă  l’école, et la dĂ©linquance juvĂ©nile; pas Ă©tonnant, sa mĂšre dans la rue, se conduisant comme elle le fait, cela entraĂźne la petite dans la mĂȘme chose.

75 Augmentation du nombre de jolies femmes; dĂ©tĂ©rioration de la vie sociale. Oh! la la! quelle grande chose, Ă  l’époque oĂč nous vivons! Comment ils peuvent faire ça, c’est in-
 s’en tirer comme ça. Ils ne vont pas s’en tirer comme ça. Qu’est-ce qu’ils font? Exactement ce qu’ils avaient fait alors: ils font des Commandements de Dieu un objet de moquerie. Dieu a dit: “Tu ne commettras point d’adultĂšre.” Mais eux, ils montrent qu’ils peuvent le faire et s’en tirer comme ça. Ils pensent qu’ils vont s’en tirer comme ça, mais ils ne s’en tireront jamais. Vous n’auriez peut-ĂȘtre pas dĂ» venir Ă©couter ceci. Hum! Cependant, Dieu a bien dit que c’est en ce temps-ci que le feu rouge clignoterait. JĂ©sus l’a dit.

76 Donc, quel–quel pĂ©chĂ© ils commettent, et ils se moquent du pĂ©chĂ©! Souvent, la chose mĂȘme que cette Bible appelle immorale, le monde d’aujourd’hui l’appelle vertu. De prendre nos–nos jeunes filles, les dĂ©shabiller, et les exhiber vĂȘtues de petits shorts, de pantalons et tout, les faire marcher comme ça dans la rue – et on trouve vertueux que cette fille exhibe sa chair de femme. Alors que la Bible dit que c’est un pĂ©chĂ©, horrible! Mais le monde appelle cela de la vertu. Voyez, ils font des Commandements de Dieu
 Et l’église ne dit rien Ă  ce sujet. Il est temps que quelqu’un se lĂšve au nom de la justice, au Nom de JĂ©sus-Christ, et appelle les choses par leur nom, parce que le moment viendra oĂč nous devrons rendre compte de cela, au Jour du Jugement.

77 Maintenant, si ceci paraĂźt archaĂŻque et vieux jeu Ă  quelqu’un, regardez un peu comment c’était il y a quelques annĂ©es, et regardez ce qui se passe maintenant, puis imaginez un avenir. Il n’y a aucun avenir, si ce n’est la Venue du Seigneur.

78 Remarquez, comparez ces femmes antĂ©diluviennes avec la tendance d’aujourd’hui; examinez ce qu’elles Ă©taient. Examinez ce que les fils de Dieu faisaient; examinez ce qu’ils font aujourd’hui.

79 Il n’y a pas longtemps, j’assistais Ă  une convention, et ça m’a presque mis Ă  plat, quand tous les
 Tout le monde semblait apprĂ©cier l’exposĂ© d’un ministre qui Ă©tait debout sur l’estrade. J’étais assis dans un coin. Et une–une jeune fille est entrĂ©e, et elle Ă©tait vraiment mal habillĂ©e. Elle a traversĂ© cette Ă©glise en faisant des petits pas, comme la Bible le dit. Et tous les prĂ©dicateurs sur l’estrade, plus l’assemblĂ©e, tout le monde a tournĂ© la tĂȘte pour suivre cette fille des yeux. Et j’ai pensĂ© Ă  ce passage de l’Écriture: “Les fils de Dieu ont portĂ© leurs regards sur les filles des hommes”, des pĂ©cheresses, des jolies femmes impures. Oh, c’est ce qui a dĂ©moli bien des Ă©glises. C’est ce qui a retirĂ© l’Esprit de Dieu. Remarquez, “ont portĂ© leurs regards sur les filles des hommes”.

80 Maintenant souvenez-vous, l’infaillible JĂ©sus-Christ a dĂ©clarĂ© que ces choses seraient ainsi aujourd’hui. Et Il a dit: “Quand vous verrez ces choses arriver, alors vous saurez que le temps est proche, Ă  la porte.” Or, peu de gens le diront. Beaucoup de prĂ©dicateurs ne pourraient pas dire cela. Il le pourrait, s’il le voulait. Mais s’il le faisait, l’assemblĂ©e le renverrait. C’est l’exacte vĂ©ritĂ©.

81 Mais une chose est sĂ»re: si un homme est appelĂ© de Dieu, il s’en tiendra Ă  cette Bible, peu importe ce qu’il doit faire. Il faut vous souvenir qu’Elle est la VĂ©ritĂ©. Et la VĂ©ritĂ©, ou bien elle lie, ou bien elle affranchit. Et c’est lĂ  exactement ce que JĂ©sus-Christ a dit.

82 “Les fils de Dieu sont tombĂ©s Ă  cause des belles formes et des beaux visages des filles des hommes.” Et c’est exactement ce que nous avons aujourd’hui, de nouveau la mĂȘme chose.

83 Maintenant, comparez ce jour-là. La multiplication des gens; les femmes de plus en plus belles; les fils de Dieu qui tombent; on se marie et on donne en mariage; les cas de divorce; on vit dans l’adultùre; et ainsi de suite.

84 “Mais,” direz-vous, “Frùre Branham, un instant. Ça je ne sais pas.”
Écoutez, frĂšre, avant de dire quelque chose, Ă©coutez ceci. JĂ©sus-Christ a dit que “quiconque regarde une femme pour la convoiter a dĂ©jĂ  commis un adultĂšre avec elle dans son coeur”. Et quand on voit
 Quand un homme sort de son bureau, sort de l’église, sort de chez lui, et met les pieds dans la rue – tout ce qu’on voit, c’est un Ă©talage de femmes de chair et de sang qui s’exhibent: vĂȘtements moulants, jolis visages, il est tentĂ©. C’est ce que Dieu a dit qu’il arriverait. Quand cela arriverait, alors le temps serait proche, Ă  la porte.
“Ce qui arriva du temps de NoĂ©, quand les fils de Dieu virent les filles des hommes, et se mirent Ă  prendre ces femmes.” Voyez? VoilĂ , c’est ça.

85 Maintenant observez. Nous voyons que c’est la mĂȘme chose aujourd’hui. Nous voyons dans l’histoire qu’elles avaient tellement de sex-appeal que les fils de Dieu se sont fait des sanctuaires dĂ©diĂ©s Ă  des femmes. Celui de VĂ©nus, et les autres. Voyez? Ils–ils ont fait des sanctuaires et se sont prosternĂ©s devant. Eh bien, direz-vous: “FrĂšre Branham, on n’a pas ce genre de choses aujourd’hui. Vous ne pouvez pas comparer ça Ă  aujourd’hui.” Je vous demande bien pardon. Je crois que c’est pire aujourd’hui qu’à cette Ă©poque-lĂ .

86 Qu’est-ce que nous voyons? La tĂ©lĂ©. On ne peut mĂȘme pas prendre un journal sans qu’on y voie des femmes partout. De jolies femmes sur tous les emballages de whisky, dans les magazines, sexy, en tenue indĂ©cente. À la tĂ©lĂ©, dans tout, il y a une femme habillĂ©e sexy, une jolie femme. Et nous voyons que dans–dans la publicitĂ© pour les cigarettes, dans tout ce qu’on regarde, on constate qu’il y a lĂ  une femme attirante. On ne peut mĂȘme pas voir de publicitĂ© pour une paire de bas de soie sans les voir enfilĂ©s sur des jambes minces. C’est vrai. Mais qu’est-ce que ça veut dire? Pourquoi ça?

87 Je me souviens d’un homme pour qui j’ai travaillĂ©, Chris Meisner, ici au coin de la rue. Beaucoup d’entre vous se souviennent de Chris Meisner. Sa femme, Liliane, son nom Ă©tait Lili, je pense, une Ellinger. Et quand elle
 Un homme est passĂ©. C’était une jeune fille ravissante. Et un homme a voulu obtenir la permission de son pĂšre pour mettre son visage, sa photo, son profil, sur une boĂźte de bonbons. Et ce vieux luthĂ©rien allemand s’est levĂ© et a dit: “Pour moi, c’est un affront, qu’on mette la photo de ma fille sur une boĂźte de bonbons, pour la diffuser dans tout le pays.” Et aujourd’hui alors? Quand sur les panneaux publicitaires, Ă  la tĂ©lĂ©vision, tout ce qu’on voit, ce sont des choses immorales, vulgaires, sexy, indĂ©centes. C’est vrai. Qu’est-ce que ça veut dire? Le train, le vieux–le vieux train approche maintenant de la gare. La Bible le dit, qu’il arrivera bientĂŽt. Nous en entendons le son.

88 Nous parlons d’autres choses en rapport avec cela, mais souvenez-vous, ceci, c’est un autre clignotement, un des clignotements, ce qui clignote devant nous aujourd’hui. Oh, nous voyons la situation nationale, nous voyons les troubles politiques, nous voyons l’état actuel de l’église. Nous prĂȘchons sur tout ça. Mais ceci, c’est quelque chose de nouveau. C’est quelque chose qui n’est pas trĂšs populaire comme sujet de prĂ©dication, mais il faut absolument en parler, car une voix doit crier. Souvenez-vous, les paroles mĂȘmes que je prononce ce soir, me rejoindront lĂ -bas, au Jugement. Voyez?

89 Quand j’ai vu cette femme, il n’y a pas longtemps, dans une vision que le Seigneur m’a donnĂ©e, je l’ai vue mourir. Cette, je n’arrive jamais Ă  me rappeler le nom de cette femme, elle – Marilyn Monroe. Je ne l’avais jamais vue. Je ne vais pas au cinĂ©ma. Mais je–je–j’ai vu cette fille, et elle Ă©tait attirante. Elle essayait d’atteindre quelque chose; elle Ă©tait en train de mourir, elle avait eu une crise cardiaque. Et le Seigneur a dit: “Alors, dis ‘qu’elle est morte Ă  quatre heures. Elle ne s’est pas suicidĂ©e.’” Il a dit: “Mais tu peux dire qu’elle est morte Ă  quatre heures, parce que c’est juste quelques secondes avant quatre heures.” Et lĂ  j’ai vu l’endroit oĂč on l’a trouvĂ©e. Et j’en ai parlĂ© Ă  Billy, j’en ai parlĂ© Ă  la famille, Ă  ceux qui Ă©taient avec moi. Et quelques jours plus tard, voilĂ  Marilyn Monroe qui meurt.

90 Maintenant, l’autre jour, pendant que j’étais au Canada – mes enfants m’avaient parlĂ© Ă  plusieurs reprises, ils Ă©taient quelque part oĂč une dame nous avait fourni une maison, et il y avait lĂ  une tĂ©lĂ©vision. Et ils disaient: “Il va y avoir une piĂšce qui s’appelle ‘RiviĂšre sans retour’.” C’est la riviĂšre oĂč je vais toujours pĂȘcher. Et c’est Don Smith, un de mes amis, qui est guide pour cette excursion. Ils ont dit: “On en a fait un film.” Et ils ont dit: “Papa, peut-ĂȘtre que M. Smith participera Ă  l’émission. Aimerais-tu la regarder?”
“Eh bien,” j’ai dit, “quand je rentrerai du Canada, si j’arrive Ă  temps, je la regarderai.” Eh bien, lorsque, effectivement, la piĂšce a Ă©tĂ© prĂ©sentĂ©e Ă  l’écran, je suis allĂ© la regarder, allĂ© regarder ça. Et lĂ , devinez qui jouait dedans? Marilyn Monroe. VoilĂ , elle Ă©tait lĂ , une annĂ©e ou plus aprĂšs sa mort, elle Ă©tait lĂ , habillĂ©e trĂšs sexy. Il y avait lĂ  sa voix, sur, qu’on entendait encore, et qu’on entendra pendant bien des annĂ©es encore, sur cette bande magnĂ©tique. Si cette bande magnĂ©tique retient son action, alors, si elle pouvait regarder, depuis l’endroit oĂč elle se trouve ce soir
 J’espĂšre qu’elle est sauvĂ©e, mais je ne sais pas; c’est l’affaire de Dieu. Mais si elle peut revoir cela, elle ne peut pas le nier. Elle ne peut pas le nier, parce que nous l’avons sur bande. À combien plus forte raison Dieu a-t-Il chaque mouvement, chaque action, sur Sa grande bande magnĂ©tique suprĂȘme, qui sera
 Nous ne pourrons pas y Ă©chapper. C’est lĂ .

91 Et souvenez-vous, s’il y avait un microphone Ă  l’endroit oĂč il y a ceci, et que je sois maintenant en train de diffuser un message radiophonique dans le monde, les gens partout dans le monde entendraient ma voix avant mĂȘme qu’elle ait franchi cette chaire pour vous atteindre. C’est du domaine de l’électronique du–du monde.

92 Et vous savez, cette voix ne meurt jamais. Elle ne mourra jamais. La science prĂ©tend que “dans vingt ans,” s’ils continuent Ă  progresser comme ils l’ont fait jusqu’à prĂ©sent, “ils pourront capter la voix mĂȘme de JĂ©sus-Christ quand Il Ă©tait sur terre – dans vingt ans d’ici”. En effet, c’est comme lancer un caillou dans un Ă©tang, les vaguelettes peuvent finir par disparaĂźtre de votre vue, mais la science prĂ©tend qu’elles vont d’une rive Ă  l’autre de l’ocĂ©an, elles vont et viennent, et elles ne meurent jamais. Et les paroles que vous prononcez non plus; elles vous rejoindront au Jour du Jugement, et elles vous condamneront ou vous sauveront. Et vous ne pourrez jamais vous soustraire, Ă  aucune d’elles.

93 Et nous sommes trĂšs conscients du fait qu’en ce moment il y a des images de gens qui traversent cette salle. Si vous ne le croyez pas, allumez la tĂ©lĂ©vision. Et il y a des voix de gens, pourtant nos sens ne peuvent pas les capter.

94 Or, ils ont une station Ă©mettrice, et une piĂšce polaire magnĂ©tique, ou un tube, ou un dĂ©tecteur Ă  cristal, qui capte ces voix et les reproduit. Et maintenant, tout ce que la Bible est, c’est ceci: la Parole de JĂ©sus-Christ, qu’Il a prononcĂ©e, et Ses Paroles sont rĂ©ellement vivantes, comme n’importe quelle autre parole dans le monde ce soir.

95 Alors, si votre coeur a Ă©tĂ© purifiĂ© par le Sang de JĂ©sus-Christ et devient un poste rĂ©cepteur de ce Poste Ă©metteur: Il est le mĂȘme hier, aujourd’hui et Ă©ternellement, et Il fait les mĂȘmes choses qu’Il avait faites, parce que Ses Paroles ne peuvent pas mourir. Elles sont vivantes Ă  tout jamais. Elles n’ont pas besoin d’ĂȘtre captĂ©es ni par un appareil, ni dans vingt ans. Nous Les recevons maintenant mĂȘme. Alors, voilĂ .

96 Comme nous vivons dans cette grande Ă©poque oĂč nous vivons, tout prĂšs de la venue du Fils de l’homme, alors les feux clignotent partout, indiquant Sa Venue. Nous voyons ça dans la politique; nous voyons ça dans l’église; nous voyons ça dans le temps; nous voyons ça partout oĂč nous regardons. Nous voyons que le soleil n’a plus la mĂȘme apparence qu’avant.
Le monde est de travers. On me dit qu’actuellement, au pĂŽle Nord, que lĂ -haut la mer est devenue plus profonde qu’avant, je ne sais plus de combien. Le dĂ©troit de BĂ©ring, on pouvait le traverser Ă  pied. Maintenant il atteint beaucoup, beaucoup, beaucoup de mĂštres de profondeur, le dĂ©troit de BĂ©ring. Pourquoi? La terre enfle en son milieu. La mer devient peu profonde lĂ  oĂč elle Ă©tait profonde, et devient profonde lĂ  oĂč elle Ă©tait peu profonde. Le monde est complĂštement de travers. Il titube. Il vacille. La nature tout entiĂšre est en train de cĂ©der, et tout ce que nous pouvons voir.

97 Et maintenant, ce soir, nous constatons que la nature elle-mĂȘme produit, dans la race humaine, le signe de Sa Venue; car les fils de Dieu, et les filles des hommes devenant belles, alors ils prennent ces femmes. Quelle heure que celle oĂč nous vivons! Oh! la la! et tout ce qui se passait Ă  cette Ă©poque-lĂ !

98 Et là nous voyons, dans l’histoire, cette chose absolument choquante, les hommes qui adoraient les femmes, et nous constatons qu’aujourd’hui c’est un monde de la femme.

99 Il n’y a pas longtemps, j’étais en Suisse, et je parlais à
 Maintenant, rien contre nos femmes chrĂ©tiennes, non monsieur, ce sont des perles. Je parle de la tendance gĂ©nĂ©rale, du monde. Il y avait une dame dans la voiture avec moi, FrĂšre Guggenbuhl et sa petite amie, qu’il frĂ©quentait. C’est un homme qui a Ă  peu prĂšs–à peu prĂšs, presque mon Ăąge, qui n’a jamais Ă©tĂ© mariĂ©, un vieux cĂ©libataire, et il frĂ©quentait une jeune femme. Et une des jeunes filles de lĂ -bas, elle a dit: “FrĂšre Branham, parlez-nous de l’AmĂ©rique. On entend dire que les femmes lĂ -bas, que c’est vraiment un monde de la femme lĂ -bas.”
J’ai dit: “C’est vrai.”
Elle a dit: “J’ai toujours voulu y aller.”
Alors j’ai commencĂ© Ă  lui expliquer. Elle a dit: “Quoi?” J’ai dit: “Oui.” Elle a tout de suite changĂ© d’avis.
“Eh bien,” elle a dit, “comment peut-on vivre une vie chrĂ©tienne dans un tel endroit, alors?” Imaginez un peu.

100 Quand je suis allĂ© à–à Rome, et que je suis descendu Ă  Saint-Ange, aux catacombes, c’était choquant. Quand je suis sorti de mon hĂŽtel et que je suis allĂ© Ă  l’endroit appelĂ© “Trois piĂšces dans une fontaine” – les femmes dans la rue, quelle immoralitĂ©. Les femmes s’approchent et vous demandent de sortir avec elles, des femmes de toutes sortes, de toutes tailles, de tous genres. Je ne sais plus combien sont venues vers Billy et moi et FrĂšre Baxter, avant que nous puissions arriver au bassin. Et il y avait l’homme de la TWA qui nous faisait visiter les lieux. J’ai dit: “Est-ce que ces femmes sont obligĂ©es de mener ce genre de vie?

101 Il a dit: “Non. Quand les militaires Ă©taient ici, elles en ont pris l’habitude. Bien qu’elles aient un bon travail, elles continuent quand mĂȘme.”
Mais mĂȘme dans un endroit pareil, quand je suis arrivĂ© lĂ -bas, Ă  Saint-Ange, il y avait un grand Ă©criteau, tout prĂšs du Vatican, qui disait: “Avis aux femmes amĂ©ricaines! Veuillez vous habiller avant d’entrer, pour honorer les morts.”

102 J’ai vu une fille amĂ©ricaine descendre Ă  Paris, et Paris, autrefois, c’était en fait l’un des endroits d’oĂč venaient nos collections de mode. Mais cette fille Ă©tait habillĂ©e d’une façon si indĂ©cente, accompagnĂ©e de son pĂšre et sa mĂšre, que les militaires qui travaillaient lĂ  ont laissĂ© tomber leur pioche et leur pelle, et ont accouru pour observer la scĂšne, regarder passer cette fille amĂ©ricaine.

103 C’est nous qui donnons le ton Ă  la mode. Autrefois, c’était Paris, mais maintenant ils viennent ici chercher les saletĂ©s dĂ©goĂ»tantes et vulgaires. Dans cette nation, qui vient d’ĂȘtre traversĂ©e par un rĂ©veil du baptĂȘme du Saint-Esprit, alors que le bien-aimĂ© Seigneur JĂ©sus montre les signes et les prodiges de Sa misĂ©ricorde, et parle de ce qui est arrivĂ© du temps de NoĂ©, et les feux clignotent de tous cĂŽtĂ©s. Un Dieu qui peut ressusciter les morts sur leur lit; un Dieu qui peut guĂ©rir les malades; un Dieu qui peut annoncer des choses avant qu’elles arrivent et les faire s’accomplir absolument parfaitement chaque fois, sans faillir. Et on a beau prĂȘcher Ă  nos femmes en AmĂ©rique, elles deviennent pires d’annĂ©e en annĂ©e. À Bombay, je veux dire


104 À Durban, en Afrique du Sud, oĂč quelque deux cent mille indigĂšnes s’étaient rassemblĂ©s pour la rĂ©union, quand Dieu a accompli ce grand miracle. Et j’ai vu trente mille indigĂšnes vĂȘtus d’une couverture. Des femmes Ă©taient debout lĂ  avec seulement une ceinture de perles de dix centimĂštres de large sur le devant. Et les hommes, sans aucun vĂȘtement, juste la ceinture de dix centimĂštres. Nus! Une couverture sur laquelle ils dorment, une peau de chĂšvre; on la leur donne quand ils atteignent tel Ăąge; et alors ils vivent dedans, ils dorment dedans, ils s’enveloppent dedans, et ils meurent et sont enterrĂ©s dedans, quelque part dans un corral.

105 Et j’ai vu ces femmes, si primitives, au point qu’une femme a donnĂ© naissance Ă  un bĂ©bĂ©, lĂ , Ă  vingt pieds [6 m] de moi. Elle n’est pas allĂ©e Ă  l’hĂŽpital, pas du tout. On, une femme l’a aidĂ©e lĂ  une minute, et en cinq minutes environ, tout Ă©tait terminĂ©. Elle a pris le bĂ©bĂ© et l’a tenu contre sa poitrine pour qu’il tĂšte. Primitifs Ă  ce point! Mais quand ils ont vu la puissance du Dieu Tout-Puissant venir sur un garçon qui Ă©tait gravement atteint, qui n’avait mĂȘme pas toute sa raison, – et il s’est levĂ© avec toute sa raison, en louant Dieu, – trente mille indigĂšnes vĂȘtus d’une couverture ont reçu JĂ©sus-Christ comme leur Sauveur personnel. Qu’est-il arrivĂ©? Souvenez-vous, ça, c’est dix fois plus qu’à la PentecĂŽte. Trente mille! Et personne

J’ai observĂ© ces femmes de mes propres yeux, quand elles sont tombĂ©es par terre, ont brisĂ© leurs idoles, donnĂ© leur vie Ă  JĂ©sus-Christ. Elles ne savaient pas; elles n’avaient probablement jamais entendu Son Nom, beaucoup d’entre elles. Mais, quand elles sont tombĂ©es à–à genoux; je leur avais demandĂ©, s’ils Ă©taient sincĂšres, sĂ©rieux Ă  ce sujet, de briser leurs idoles. Et ils ont brisĂ© leurs idoles. Et alors ils sont tombĂ©s Ă  genoux, ils ont donnĂ© leur vie Ă  Christ, pendant que je priais pour eux, et ils se sont relevĂ©s. Et ces femmes qui s’étaient tenues lĂ , debout les bras baissĂ©s, sans savoir qu’elles Ă©taient nues, dĂšs que la Vie de Christ a touchĂ© leur vie, j’ai vu ces femmes se couvrir avec leurs bras et s’éloigner de la prĂ©sence des hommes. Si le fait d’ĂȘtre touchĂ©e par JĂ©sus-Christ peut produire ça chez une indigĂšne vĂȘtue d’une couverture, qu’est-ce que cela devrait produire dans une nation qui entend l’Évangile depuis une centaine d’annĂ©es? Nous voilĂ  maintenant
 Je l’ai vu moi-mĂȘme. Ce n’est pas ce que quelqu’un d’autre a dit. Je l’ai vu moi-mĂȘme. Voyez? Il est Ă©trange que nous nous disions ChrĂ©tiens, alors que chaque annĂ©e nous nous dĂ©shabillons davantage. Et les Ă©glises semblent ne pas s’en soucier le moins du monde.

106 Les Ă©missions de tĂ©lĂ©, oh, font des femmes de chair et de sang
 Elles ne sont pas des dieux. Elles ne sont pas des dĂ©esses. Mais cela place l’AmĂ©rique dans une position parfaite pour accomplir l’Écriture. Le nombre de l’AmĂ©rique, c’est treize. Le sanctuaire de l’AmĂ©rique, c’est la femme, toujours. Elle est sur notre monnaie. Elle est sur tout. Et voilĂ , cela annonce certainement un temps oĂč nous allons aussi avoir une dĂ©esse amĂ©ricaine, dans un avenir pas trĂšs Ă©loignĂ©. Vous pouvez voir l’écriture sur la muraille.

107 Oh, qu’est-ce que nous allons faire? On ne peut mĂȘme pas sortir dans la rue et trouver
 Regardez dans la rue, allez en ville et voyez un peu comment les femmes s’exhibent, comment elles se montrent, dans des vĂȘtements que, franchement, une femme devrait avoir honte de porter dans sa chambre. Elles sortent dans la rue, moulĂ©es, et–et, dans de tout petits vĂȘtements. Et–et lĂ -bas sur ces plages balnĂ©aires, vĂȘtues de petits ’kinis, ou le nom qu’ils donnent Ă  ça, et des choses pareilles. Et elles ne savent pas qu’en elles se trouve un esprit du mal. Alors que beaucoup d’entre elles chantent dans des chorales. C’est ce que JĂ©sus avait dit qu’il arriverait.

108 La chair des femmes! Elles sont de chair et de sang. Elles ne sont pas des dieux. À mon avis
 Que Dieu me pardonne si j’ai tort. C’est du strip-tease gĂ©nĂ©ralisĂ©. On ne peut pas vraiment mettre la faute sur l’homme, s’il n’est pas un–un ChrĂ©tien, s’il venait Ă  tomber, Ă  cĂ©der Ă  la tentation, au point de faire quelque chose de mal, au point qu’il, voyez, qu’il ne puisse pas se retenir. C’est Ă©tonnant qu’il n’y ait pas plus de viols, parce que, trĂšs souvent, ce sont les femmes qui l’ont cherchĂ©. Or, mĂȘme dans le cas contraire, comment pourrait-on mettre la faute sur l’homme? Il faut mettre la faute sur qui est en faute.

109 Une femme dira: “Mais, FrĂšre Branham, je suis d’une moralitĂ© Ă  toute
” Je n’en doute pas.
Mais, ma soeur, savez-vous qu’au Jour du Jugement vous aurez Ă  rĂ©pondre d’avoir commis un adultĂšre, quand vous vous montrez comme ça et que des hommes vous regardent? Il a dit: “Quiconque regarde une femme pour la convoiter a dĂ©jĂ  commis un adultĂšre avec elle dans son coeur, et devra rĂ©pondre de cela.” Peut-ĂȘtre que vous n’avez pas commis l’acte, mais si vous permettez Ă  Satan de mettre cet esprit sur vous, alors que la nature elle-mĂȘme devrait vous enseigner que c’est mal! Sans l’Esprit de Dieu, la nature devrait le faire, vous enseigner que c’est mal.

110 Je prĂ©dis que bientĂŽt elles vont se mettre Ă  porter un genre de truc, ce sera de nouveau juste une feuille de figuier. Je l’ai prĂ©dit il y a trente ans. Voyez, un affront Ă  la Bible. Voyez? Elles le feront. C’est du strip-tease public.

111 Maintenant, le diable fait la mĂȘme chose aux fils de Dieu aujourd’hui. C’est vrai. Observez nos entreprises. La majoritĂ© de nos entreprises sont dirigĂ©es par des femmes, bon nombre d’entre elles. C’est vrai. Regardez nos Ă©glises, regardez notre nation, comment les fils de Dieu s’inclinent trĂšs bas devant le sanctuaire de ces choses, de ces femmes. Alors que ce sont, Ă  mon avis, ce ne sont que des prostituĂ©es publiques. C’est affreux Ă  dire, mais c’est la vĂ©ritĂ© toute nue. Je sais que les gens qui Ă©coutent ces bandes et tout, c’est ce qu’ils diront. Mais comment pouvez-vous faire une chose pareille? Si vous vous exhibez dans cette tenue, et qu’un homme vous regarde, alors, JĂ©sus a dit que vous avez “commis un adultĂšre” avec lui. Et quand cet homme devra rĂ©pondre d’avoir commis un adultĂšre, qui l’a fait? Ă  qui la faute? À la femme qui s’est dĂ©shabillĂ©e comme ça et qui s’est montrĂ©e, ou qui s’est exhibĂ©e devant ce pĂ©cheur. C’est vrai. De quoi est-ce le signe? Du temps de la fin, du feu rouge.

112 La maternitĂ© s’est dĂ©gradĂ©e. Les nations se dĂ©gradent. Maintenant, si vous voulez voir oĂč JĂ©sus l’a dit, lisez Matthieu 5.28. C’est lĂ  que ça se trouve. C’est la vie des femmes qui a Ă©tĂ© la cause et la forme de leur chute, c’est-Ă -dire que c’est le pouvoir sexuel qui a Ă©tĂ© l’instrument de leur ruine. Si vous voulez faire des recherches, voici quelques nations sur lesquelles j’ai fait des recherches pour trouver la cause de leur chute. Il y a eu l’Égypte, l’Assyrie, Rome, et j’en passe, qui sont tombĂ©es par le pouvoir des femmes.

113 Remarquez: aprĂšs le salut, il n’y a rien que Dieu puisse donner Ă  un homme qui soit meilleur qu’une gentille Ă©pouse. Il n’y a aucun homme qui puisse consoler, aucune–aucune personne qui puisse consoler quelqu’un – quand ils sont fatiguĂ©s, ils ne se confieront Ă  personne comme ils se confient Ă  leur Ă©pouse. Quelle chance vous avez, frĂšres, quand vous avez une gentille petite Ă©pouse, qui est pure et droite, et vertueuse, quand vous ĂȘtes fatiguĂ© et abattu, vous pouvez rentrer chez vous et vous asseoir, et elle pourra vous parler. Elle peut faire plus pour vous que n’importe qui d’autre. C’est vrai. Elle est une perle. Elle est une reine.

114 Mais souvenez-vous: “La femme a Ă©tĂ© créée Ă  cause de l’homme, et non l’homme Ă  cause de la femme.” Le dernier ĂȘtre qui a Ă©tĂ© créé, que Dieu a créé, c’était l’homme. La femme est un produit dĂ©rivĂ© de l’homme. “Elle a Ă©tĂ© créée Ă  cause de l’homme, et non l’homme créé Ă  cause de la femme.” LĂ  ils ont inversĂ© les rĂŽles, et l’homme se prosterne devant le sanctuaire de la femme. C’est exactement ce qui a dĂ©clenchĂ© tout ça au commencement. C’est ce qui est arrivĂ© au commencement. Comme le fils de Dieu, Adam, ne pouvait pas ĂȘtre tentĂ© de faire ce qui est mal, Satan est entrĂ© dans une personne appelĂ©e le serpent, qui Ă©tait comme un homme. Et c’est lĂ  que ça a dĂ©butĂ©: Ève est sortie de derriĂšre la Parole de Dieu, et c’est ce qui a causĂ© tous les chagrins, tous les cimetiĂšres, tous les pĂ©chĂ©s qui aient jamais Ă©tĂ© commis, tout ça a dĂ©butĂ© lĂ .

115 Et c’est ce qui arrive de nouveau. Quoi? Les femmes ont Ă©tĂ© la cause de la premiĂšre chute, et les femmes marquent la fin du temps. Elle en a marquĂ© le dĂ©but; elle en marque la fin. Ce n’est pas Ă©tonnant que la Bible dise: “Les rĂ©chappĂ©s de Sion auront de la gloire aux yeux de l’Éternel.”

116 Alors que, dans ÉsaĂŻe 5, il a parlĂ© de ce que serait l’immoralitĂ© des femmes dans les derniers jours, et comment elles seraient: qu’il leur faudrait avoir tant de vĂȘtements, et avoir les cheveux coiffĂ©s, et tout ce genre de chose. La Bible en parle, dans ÉsaĂŻe 5. “Qu’elle marcherait avec des chaussures Ă  talons hauts qu’elle ferait rĂ©sonner en marchant. Et qu’elle descendrait ses bas, et les choses qu’elle ferait; et les nombreux vĂȘtements de rechange, l’habillement, et tout ce genre chose.” Et il est dit: “Tout cela lui sera ĂŽtĂ©, et elle sera assise lĂ , elle sentira mauvais Ă  cause de son immoralitĂ©.” Et il est mĂȘme dit: “Sept femmes saisiront un seul homme et diront: ‘Nous ferons notre propre travail. Fais-nous seulement porter ton nom, enlĂšve notre opprobre.’”

117 Mais il a dit: “Quelle gloire aura ce petit germe, qui aura Ă©chappĂ© Ă  toutes ces choses! Ce sera ‘SAINTETÉ À L’ÉTERNEL’ en ce jour-là”, quand les femmes vraiment et authentiquement nĂ©es de nouveau connaĂźtront leur place – bien qu’on se moque d’elles, qu’on dise qu’elles sont ridicules et dĂ©modĂ©es, et tout. Mais comportez-vous comme une femme, comme une dame! Tenez-vous comme une femme! Habillez-vous comme une femme! Parlez comme une femme! Vivez comme une dame. Oui. Amen. Ça veut dire “qu’il en soit ainsi”. N’ayez pas peur. Ça ne vous fera pas de mal. TrĂšs bien.

118 La Parole mĂȘme de JĂ©sus a annoncĂ© ce qui arriverait, ce grand Ă©talage.

119 Il a aussi dit: “Du temps de Lot.” Si vous voulez noter ce passage de l’Écriture, c’est–c’est Luc 17.28. Il a dit: “Les hommes mangeaient, buvaient. Ils achetaient. Ils vendaient.” Normalement, ce sont des choses lĂ©gitimes. Mais observez. Et–et ils s’y occupaient, mais ils mettaient tout
toutes leurs pensĂ©es lĂ -dessus.

120 Et du temps de Lot, les femmes avaient une moralitĂ© si relĂąchĂ©e qu’on ne se servait plus d’elles comme on doit se servir des femmes, mais elles Ă©taient perverties, Ă  tel point qu’elles
 C’était devenu si commun, les femmes Ă©taient devenues si communes qu’ils–qu’ils, que les hommes avaient des relations entre eux. Il y avait eu perversion des fonctions naturelles, des cellules sexuelles, ce qui avait modifiĂ© leur penchant, parce que les femmes Ă©taient devenues si faciles.

121 Il y a quelques jours j’étais Ă  Tucson, et je suis sorti acheter un pain. Il y avait un garçon assis lĂ , et deux jeunes garçons dans la voiture. Un autre est entrĂ©, pour acheter un paquet de cigarettes. Le vieux monsieur aux cheveux gris a baissĂ© les yeux vers lui, il a dit: “C’est pour qui, ces cigarettes? pour ta mĂšre?”
Il a dit: “Non, c’est pour ce garçon.”
Il a dit: “Est-ce qu’il est assez ĂągĂ© pour ça?”
Il a dit: “Oui, monsieur.”
Il a regardĂ© derriĂšre lui, comme ça. Moi, je me tenais lĂ  avec un pain et un litre de lait, en train d’observer. Et alors, il a dit: “Bon”, et il le lui a donnĂ©.
Il a regardĂ© dans ma direction, et il a dit: “J’en doute.”

122 J’ai dit: “Il ne pourra jamais ĂȘtre assez ĂągĂ© pour ça. Il est trop
 Il n’est pas assez ĂągĂ©, quel que soit son Ăąge.”
Il a dit: “Je suis d’accord avec vous.” Il a dit: “Est-ce que vous–est-ce que vous avez du mal Ă  essayer d’arrĂȘter?”

123 J’ai dit: “Je n’ai jamais commencĂ© ça.” J’ai dit: “Je n’ai jamais commencĂ©.” J’ai dit: “Mes parents fumaient et consommaient du tabac, mais le Seigneur Dieu m’en a gardĂ©.”

124 Il s’est retournĂ© et m’a regardĂ© un peu bizarrement, il a dit: “Eh bien, je trouve que c’est scandaleusement honteux, aujourd’hui, de voir comment
” Il a dit: “Autrefois, on mettait les femmes sur un piĂ©destal.” Il a dit: “On l’honorait. On ĂŽtait notre chapeau en sa prĂ©sence. On marchait dans la rue, et les hommes, s’ils entendaient quelqu’un faire une remarque sur une femme, ils le remettaient sĂ©vĂšrement Ă  sa place.” Voyez? Et il a dit: “Ils honoraient les femmes.” Mais il a dit: “Monsieur, les femmes l’ont cherchĂ©.” Il a dit: “Maintenant ils ne se lĂšvent plus. Autrefois ils se levaient; quand une femme montait dans un tram, tous les hommes ĂŽtaient leur chapeau et lui offraient un siĂšge.” Il a dit: “Maintenant on se pousse, on se bouscule!” Il a dit: “Elles l’ont cherchĂ©.” Et c’est la vĂ©ritĂ©.
C’est Hollywood, cet antre dĂ©moniaque lĂ -bas, qui a prĂ©sentĂ© ça Ă  la tĂ©lĂ©vision et dans les magazines, au point que c’est devenu une Ă©norme marmite remplie d’ordures. C’est vrai.

125 Je sais qu’une telle affirmation n’est pas populaire, mais c’est une affirmation vraie. C’est la VĂ©ritĂ©. C’est la Parole du Seigneur, et aussi un signal avertisseur, annonçant que Christ viendra dans cette gĂ©nĂ©ration. Il a dit: “Ceux qui verront ceci arriver ne passeront pas, que toutes ces choses ne se soient accomplies.” Il a dit: “Les cieux et la terre passeront, mais Ma Parole ne passera jamais.” C’est un avertissement. Le feu rouge clignote; le rideau tombe. Nous sommes au temps de la fin.

126 Nous voyons les signes du Seigneur JĂ©sus, qui guĂ©rit les malades, ressuscite les morts, chasse les mauvais esprits. Nous voyons les–les gens sanctifiĂ©s et rendus saints par le Saint-Esprit. Nous voyons des vies changĂ©es. Nous voyons de grands signes. Nous voyons des signes mystiques dans les cieux, comme des soucoupes volantes. Le Pentagone, beaucoup de gens montrent ça Ă  la tĂ©lĂ©vision, Ă©crivent Ă  ce sujet. Ils ne savent pas quoi en penser. Toutes sortes de signes mystĂ©rieux! Le Seigneur JĂ©sus qui descend sous la forme d’une Colonne de Feu, qui Se laisse photographier, qui vit parmi nous, qui prouve qu’Il est le mĂȘme hier


127 Nous voyons toutes ces choses arriver. Nous voyons la froideur de l’église. Nous voyons les dĂ©nominations prendre de l’extension. “Quand vous verrez le figuier et tous les autres arbres bourgeonner”, les Juifs qui rentrent. “Le figuier”, les Juifs, qui rentrent dans leur nation, dans leur pays Ă  eux. Nous voyons les presbytĂ©riens, les mĂ©thodistes, les baptistes, les luthĂ©riens, les pentecĂŽtistes, toutes les Ă©glises “produire leurs feuilles”, un rĂ©veil. Il a dit: “PrĂ©parez-vous! C’est le temps.” Quand nous voyons cela arriver, c’est le moment oĂč Dieu s’apprĂȘte Ă  appeler Ses Élus. Alors, quand vous

Un autre signe. Il a dit: “Quand vous voyez les femmes devenir extrĂȘmement jolies, quand vous voyez les fils de Dieu les prendre comme femmes, en prendre pour femmes, et faire ceci, cela ou autre chose,” Il a dit, “sachez que c’est le signe.” Nous en sommes lĂ .

128 Maintenant, encore quelque chose que j’avais notĂ©. Souvenez-vous des deux filles de Lot. Oui, nous nous en souvenons, lĂ -bas dans la ville de Sodome. JĂ©sus a dit ici, dans Luc 17: “Ce qui arriva du temps de Sodome.” Souvenez-vous que les hommes avaient utilisĂ© les femmes de façon tellement incorrecte qu’il n’y avait plus de dĂ©sir pour l’acte naturel de la vie. Et, oh, c’est affreux de dire ceci depuis l’estrade, mais c’est
 Si la VĂ©ritĂ© existe, c’est bien d’ici qu’Elle doit ĂȘtre proclamĂ©e. Et c’est si terrible aujourd’hui, qu’il y en a des dizaines de milliers de milliers, leur nombre est en augmentation partout: de la perversion, des Sodomites, comme ce qui Ă©tait arrivĂ© en ce temps-lĂ . C’est parce que l’usage naturel de la vie humaine, qui leur permet de se reproduire sur la terre, a Ă©tĂ© tellement malmenĂ©, et ça a continuĂ© de plus belle, si bien que ce dĂ©sir-lĂ  est rapidement en train de s’éteindre. Je dirais que, d’ici dix ou quinze ans, ce sera presque du passĂ©, Ă  l’allure oĂč vont les choses.

129 Des remarques importantes. J’avais quelque chose d’Edgar Hoover lĂ -dessus, mais je ne sais pas
je pensais l’avoir posĂ© ici, mais je ne l’ai pas – ce qu’il a dit Ă  ce sujet. Et donc, nous voyons ces choses. Oh! la la!

130 Jude, dans son grand petit Livre, comme je l’appelle, au verset 7, lisons-le donc. Je veux lire ceci. Jude, au verset 7. C’est le dernier Livre avant le Livre de l’Apocalypse. Je l’ai notĂ© ici, Jude 7, verset 7. L’homme et la femme qui brandissent leurs voeux de mariage, qui les transgressent, qui vont aprĂšs une autre chair! Écoutez. Et comme Sodome et Gomorrhe, et les villes d’alentour, se sont abandonnĂ©es Ă  la fornication de la mĂȘme maniĂšre que ceux-lĂ , étant allĂ©es aprĂšs une autre chair,
 (Voyez? Oh.) la fornication, Ă©tant allĂ©es aprĂšs une autre chair, sont lĂ  comme exemples, de la peine subie et d’un feu Ă©ternel. (C’est-Ă -dire, ĂȘtre complĂštement consumĂ©es et Ă©liminĂ©es.) [version Darby]

131 Il y a quelque temps, Ă  Los Angeles, j’attendais, ou, j’étais au camping, lĂ -bas. Je roulais sur la route. Et une–une petite demoiselle, une jolie petite jeune fille, trĂšs jolie, marchait sur la route. J’ai pensĂ©: “Elle doit aller Ă  un spectacle.” Elle portait un petit costume traditionnel du Far West, d’environ–d’environ six Ă  huit pouces [15 Ă  20 cm] de large sur le devant, avec une petite frange de trois Ă  quatre pouces [7 Ă  10 cm] qui pendait. Et sur le haut du corps, elle n’avait qu’un petit truc posĂ© en travers, comme ça, j’aurais pu mettre ça en bouchon et le cacher dans mon poing fermĂ©. Elle portait un chapeau de cow-boy et une paire de bottes avec des glands. TrĂšs attirante, je voyais ce qui pourrait pousser n’importe quel jeune homme Ă  donner un coup de frein, et tout, pour s’arrĂȘter prĂšs d’elle, pendant qu’elle marchait sur la route en se trĂ©moussant.

132 Je m’apprĂȘtais Ă  tourner en direction du camping, je suis montĂ© vers le camping. Et j’allais faire demi-tour pour retourner lĂ -bas. Je me suis dit que j’allais m’arrĂȘter et dire: “Mademoiselle, j’aimerais vous parler au Nom de notre Seigneur JĂ©sus-Christ. Bien que vous soyez une jolie fille, ça ne fait aucun doute, bien que vous ayez une silhouette qui ferait
 Probablement que vous–que vous dĂ©sirez entendre crisser les freins. Vous rendez-vous compte que cet esprit qui vous fait faire ça vous emmĂšnera dans l’enfer du diable, oĂč vous souffrirez pendant les Ăąges Ă  venir? Vous rendez-vous compte que ce beau petit corps bien formĂ©, et ces belles pommettes, ces cheveux bien coiffĂ©s, et tout, ces lĂšvres rouges, peut-ĂȘtre que dans–dans six mois les vers entreront et sortiront de ce corps bien formĂ©, lĂ -bas, dans la poussiĂšre? Et cette Ăąme qui l’habite aujourd’hui, sera dans le tourment du diable.”

133 Et lĂ  quelque chose m’a arrĂȘtĂ©, comme si Dieu disait: “Si tu fais ça, ils vont t’enfermer lĂ -bas, en prison.” Voyez? VoilĂ . Alors j’ai vu Billy sortir et me faire signe, c’était le temps de venir. Je les entendais chanter Crois seulement.

134 Oh! la la! Comment les gens peuvent-ils se laisser envoĂ»ter par de telles choses? C’est parce qu’ils ne tiennent aucun compte de la Parole de Dieu.

135 Et une autre chose, c’est que les ministres qui sont derriĂšre l’estrade, qui sont associĂ©s Ă  ces organisations, qui lisent Cela et qui savent ce qu’il En est, on leur interdit de dire quoi que ce soit Ă  ce sujet, parce qu’ils feraient fuir leur assemblĂ©e loin d’eux. Et les Ă©glises cherchent des membres. Mais Dieu cherche des saints du Dieu vivant nĂ©s de nouveau, qui brilleront comme les Ă©toiles. Que Dieu nous aide Ă  ĂȘtre honnĂȘtes et Ă  dire la VĂ©ritĂ©: ce que JĂ©sus-Christ a dit. Mais c’est l’époque oĂč nous vivons. Ce sont les signes que JĂ©sus a annoncĂ©s, et nous les voyons directement devant nous.

136 Regardez, maintenant, revenons Ă  Jude, chapitre 7: “Sodome et Gomorrhe.” Oh! la la! quelle chose affreuse! Sans ĂȘtre mariĂ©s Ă  ces femmes, “allĂ©s aprĂšs une autre chair”. Un homme qui est mariĂ© avec sa femme, ils ne sont–ils ne sont plus deux, ils sont un. Et un homme qui sort avec une autre femme, il se sĂ©pare automatiquement de sa femme. Et une femme qui sort avec un autre homme, elle est morte pour son mari. Elle a reniĂ© sa propre chair; elle est retranchĂ©e de lui. C’est vrai. Au Jour du Jugement, ils devront rĂ©pondre de cela.

137 Mais aujourd’hui, ils ne veulent pas entendre un Message comme celui-lĂ . Les gens ne veulent pas entendre Cela. Ils veulent entendre des choses agrĂ©ables. C’est exactement ce que le Saint-Esprit m’a dit le jour oĂč j’ai posĂ© la pierre angulaire lĂ , Il a dit: PrĂȘche la Parole, insiste en toute occasion, favorable ou non

Car il viendra un temps oĂč les hommes ne supporteront pas la saine doctrine; mais, ayant la dĂ©mangeaison d’entendre des choses agrĂ©ables,
se donneront une foule de docteurs selon leurs propres dĂ©sirs,
Se détourneront de la vérité, et se tourneront vers les fables.
Il a dit: “Quand la vision disparaĂźtra, lis II TimothĂ©e 4.” Il a dit: “N’oublie pas, II TimothĂ©e 4!” Et quand la vision a disparu, alors que je me trouvais lĂ , sur la 7e Rue, un garçon de dix-neuf ans, que je me trouvais lĂ , la Voix de Dieu a parlĂ© dans la piĂšce, et Il a dit: “II TimothĂ©e 4.” C’est exactement ce qui est arrivĂ©. Voyez? “Il viendra un temps oĂč les hommes ne supporteront pas la saine doctrine.”

138 Les gens veulent quelque chose. Les pentecĂŽtistes veulent quelque chose qui les flatte et les laisse vivre comme ils veulent. Ils peuvent jouer du piano Ă  quarante temps par seconde, sautiller et danser lĂ -dessus; et les femmes font comme elles veulent, et les hommes aussi. Les presbytĂ©riens, les mĂ©thodistes, les luthĂ©riens et les baptistes, il y a beaucoup de personnes sincĂšres dans toutes ces organisations. Tout Ă  fait. Mais ce systĂšme les a tellement liĂ©s qu’ils pensent que, tant qu’ils sont membres de cette Ă©glise-lĂ  et que leur nom est sur ces registres, ils sont en route pour le Ciel. Votre nom sur un registre ici sur la terre, ça ne comptera pas plus que ça pour Dieu. [FrĂšre Branham a fait claquer ses doigts.–N.D.É.] Votre nom doit ĂȘtre Ă©crit dans le Livre de Vie de l’Agneau, par le Sang de JĂ©sus-Christ, indiquant que vos pĂ©chĂ©s sont pardonnĂ©s. C’est vrai.

139 Mais ils veulent ce genre-lĂ . C’est ça le genre de pasteurs qu’ils veulent avoir. Ils ne veulent rien d’autre. Alors que Dieu, en ces derniers jours, a agitĂ© chaque don Divin qui a Ă©tĂ© recommandĂ© dans la Bible, chaque don que JĂ©sus-Christ a promis, chaque don, et chaque signe, et chaque signe du temps de la fin. Tout ce qui a Ă©tĂ© promis dans cette Bible, d’aprĂšs ce que moi je vois, a dĂ©jĂ  Ă©tĂ© agitĂ© devant la nation, et elle continue Ă  se prĂ©cipiter Ă  toute vitesse vers l’enfer. Le leur dire? Ils continuent quand mĂȘme dans cette direction.
Si vous permettez, je vais prendre encore quelques passages de l’Écriture ici, avant de terminer. Bien. Oh, “destinĂ©s Ă  une ruine Éternelle”, c’est ce qu’ils sont, dit la Bible.

140 Cette nation-ci se trouve dans la mĂȘme pourriture. La mĂȘme pourriture sociale, cette nation s’y trouve ce soir. Vous savez cela. Ce n’est pas une blague. Ce n’est pas un ouĂŻ-dire. C’est la VĂ©ritĂ©. GenĂšse 6.12: “Toute chair Ă©tait corrompue, l’homme marchait dans sa propre voie”, suivait sa propre pensĂ©e, ne tenant aucun compte des lois de Dieu. C’est ce que l’homme fait aujourd’hui. L’homme ne veut pas Ă©couter la Parole de Dieu. Les gens ne veulent pas L’écouter. Ils veulent marcher dans leur propre voie.

141 JĂ©zabel a refusĂ© d’écouter la Parole du Seigneur. Elle ne voulait pas appeler Élie, ce vieux prĂ©dicateur poilu, son pasteur. Mais il Ă©tait quand mĂȘme son pasteur. C’est vrai. Dieu l’a envoyĂ©, et il a criĂ© son message. Quoique sans instruction – on ne sait pas d’oĂč il est venu ni oĂč il est allĂ©. Il est arrivĂ© avec la Parole du Seigneur. Il a lancĂ© son message, il l’a prĂȘchĂ©, et il a condamnĂ© tout ce qui s’appelait pĂ©chĂ©. Alors que cette JĂ©zabel moderne avait dĂ©tournĂ© et envoĂ»tĂ© les gens par la sorcellerie de ses pouvoirs, au point que la nation entiĂšre Ă©tait corrompue; et Élie s’est tenu seul, lĂ  sur la montagne. Dieu a dit: “Élie, ne va pas penser ça. J’ai encore sept mille hommes lĂ -bas, qui ont le coeur honnĂȘte.” C’était son deuxiĂšme pull, et au troisiĂšme, il est retournĂ© les chercher.

142 Mais, souvenez-vous, Dieu a Ă©tĂ© misĂ©ricordieux, et Il–Il
 Et le message d’Élie a condamnĂ© cette gĂ©nĂ©ration incrĂ©dule. Le message de NoĂ© a condamnĂ© cette gĂ©nĂ©ration, et a amenĂ© le jugement sur ceux qui ont refusĂ© de l’écouter et la dĂ©livrance sur ceux qui y ont cru. “Et ce qui arriva du temps de NoĂ© arrivera de mĂȘme Ă  la venue du Fils de l’homme.”

143 Genùse 6: ne tenant aucun compte des lois de Dieu! Ils disent: “Les lois de Dieu?” La Parole de Dieu dit, aujourd’hui, que, dans la Bible

Maintenant Ă©coutez, je ne dis pas ceci Ă  une personne en particulier. Seulement j’ai cette responsabilitĂ© en tant que votre frĂšre. J’ai la responsabilitĂ© de vous dire toute la VĂ©ritĂ©, comme le grand saint Paul l’a dĂ©clarĂ© avant son dĂ©part: “Je vous ai annoncĂ© tout le conseil de Dieu, sans en rien cacher.”

144 Or la Bible dit, aujourd’hui, que les femmes ne doivent pas se couper les cheveux. Peu m’importe combien de prĂ©dicateurs disent que c’est en ordre; c’est mal. Peu m’importe combien d’églises le permettent; la Bible dit quand mĂȘme que c’est mal. “C’est honteux pour elle de le faire.” Mais elles continuent pourtant Ă  le faire, ça continue. Qu’est-ce qu’elles font lĂ ? Elles ont dans l’idĂ©e qu’elles se font jolies, elles pensent qu’elles sont jolies.

145 La Parole de Dieu adresse cette mise en garde: elle ne doit pas faire ces choses. “Elle ne doit pas porter un habillement, un pantalon ou tout vĂȘtement d’homme”, mais elle continue Ă  le faire quand mĂȘme. Essayez donc de l’arrĂȘter.
Vous dites: “Mais alors, pourquoi criez-vous, FrĂšre Branham? Pourquoi faire tant d’histoires? Eh bien, les gens vous aimeraient plus si vous
” Ça, ça m’importe peu. Ce que les gens pensent, oui, ça m’importe. Comprenez-moi bien, maintenant. Mais ce qui m’intĂ©resse, c’est ce que Dieu pense, et Ceci, c’est Sa Parole.
Oui, dites-lui que c’est mal de faire ça, et elle va le faire quand mĂȘme. Voyez? Pourquoi? Les femmes de l’ensemble de la ChrĂ©tientĂ© font ces choses, et l’église ne semble pas du tout s’en prĂ©occuper. Pourquoi donc? Les fils de Dieu sont tombĂ©s par convoitise des femmes de chair et de sang, et ils ont reniĂ© le Dieu mĂȘme et le Sang mĂȘme qui les a rachetĂ©s afin de les sĂ©parer de ces saletĂ©s. Amen. C’est la VĂ©ritĂ©. Je le certifie devant Dieu, c’est la VĂ©ritĂ©.

146 Essayez donc de l’arrĂȘter. Pensez-vous que la prĂ©dication de NoĂ© a Ă©tĂ© un frein? Non monsieur. Mais qu’est-ce que c’est? C’est une voix, la Voix. Et quand nous serons tous appelĂ©s lĂ -bas, au Jugement, le Message mĂȘme que je prĂȘche ce soir, me rejoindra lĂ -bas, Mot pour Mot. Et lĂ , qu’est-ce que vous allez faire?

147 C’est un Feu rouge qui clignote, elles se conforment bien Ă  l’époque: il y a de l’entĂȘtement chez les femmes. Nous allons
 LĂ  nous allons bien Ă©tablir ceci, puisqu’il s’agit de femmes. Et vous vous demandez pourquoi je crie toujours Ă  propos de ceci. Maintenant je vais apporter, prĂ©senter beaucoup–beaucoup de passages de l’Écriture ici, avant de terminer, et vous montrer pourquoi. Et c’est pour ça que je dois rester fidĂšle Ă  cette Parole, et que chaque serviteur de Dieu devrait rester fidĂšle Ă  la Parole. Vous devez le rester, parce qu’il faut qu’il y ait une voix quelque part, qui crie contre ces choses. Peu m’importe ce que les autres font; vous n’ĂȘtes pas responsable d’eux. Vous rĂ©pondez en tant qu’individu. Vous ne rĂ©pondez pas en tant que mĂ©thodiste, vous ne rĂ©pondez pas en tant que baptiste, ou pentecĂŽtiste. Vous rĂ©pondez Ă  Dieu en tant qu’individu, pour votre propre vie.

148 Et nous voyons ces signes, mais elles continuent quand mĂȘme Ă  faire ces choses. Dites-lui que c’est mal, et voyez ce qu’elle dira. TĂȘtue! C’est exactement ce qu’Ève a fait. Ève savait bien qu’il ne fallait pas faire ça. N’est-ce pas? Elle avait la Parole de Dieu. Il avait dit: “Le jour oĂč tu en mangeras, ce jour-lĂ  tu mourras.” Eh bien, pourquoi l’a-t-elle fait? Elle voulait n’en faire qu’à sa tĂȘte. Pourquoi les femmes se coupent-elles les cheveux, pourquoi les femmes portent-elles ces vĂȘtements, et la Bible le dit, que c’est exactement ce qu’elles allaient faire? Et la chose qu’elles font – elles sont toutes condamnĂ©es. C’est exact. Mais pourquoi le fait-elle? Elle est sa propre personne, oui monsieur, elle n’en fera qu’à sa tĂȘte. Et l’église ne dit rien Ă  ce sujet. Et l’église, qui est censĂ©e ĂȘtre l’Épouse de JĂ©sus-Christ, elle ne dit rien Ă  ce sujet.

149 Parlez-en Ă  l’une d’elles, et vous savez ce qu’elles disent? Elles vont jusqu’à dire: “Ce n’est pas une vieille Bible qui va m’empĂȘcher de m’amuser.” Maintenant, c’est tout Ă  fait ça. Vous leur dites que c’est Ă©crit dans la Bible. Oh, elles ne diront peut-ĂȘtre pas ces mots-lĂ , mais c’est ce qu’elles expriment.
Avez-vous dĂ©jĂ  entendu ce vieux dicton: “Les actions parlent plus fort que les paroles”? Eh bien, alors, est-ce le cas? Les actions parlent plus fort que les paroles. Peu importe ce que vous dites, votre–votre vie parle tellement fort qu’on ne peut pas entendre votre tĂ©moignage. Comme je l’ai dit ce matin, sautez juste aussi haut que vous vivez. Voyez? Vos actions parlent plus fort que vos paroles. Autant le dire carrĂ©ment, parce que leurs propres paroles parlent. Vos–vos paroles, peu importe ce qu’elles sont, vos actions parlent de ce que–ce que vous ĂȘtes.
Si ce que vous dites ne correspond pas Ă  ce que vous ĂȘtes vraiment, cela devient de l’hypocrisie. JĂ©sus a dit: “Hypocrites! Comment pouvez-vous dire de bonnes choses, quand c’est du coeur que parle, c’est du coeur que parle la bouche?” Voyez, ils disaient quelque chose qu’ils ne pensaient pas vraiment.
Et les femmes, c’est ça, il faut bien le dire, oh! la la!: “M’amuser.”

150 Qu’est-ce qui arrive? Dans le mariage, on retire
 Voici un autre endroit dans la Bible. Dans le mariage, on retire le voeu “d’obĂ©ir”. Hum! ObĂ©ir? Hum! “OccupĂ©e aux soins domestiques, chaste, parĂ©e de bonnes oeuvres.”
Elle vous rit au nez et part travailler à la fabrique de poudre, dans le bureau de quelqu’un. “Mon mari
” Ouais. Oh, j’en doute.
Vous voyez les forces aujourd’hui, quelle honte, mettre des femmes dans les forces de police. C’est bien lĂ  une marque de–de dĂ©bauche dans n’importe quelle ville! Il y a tellement d’hommes au chĂŽmage, et il faut qu’on mette ces femmes lĂ -bas, alors que la Bible dit qu’elle doit “rester Ă  la maison, et ĂȘtre chaste et occupĂ©e aux soins domestiques”. Mais c’est elle qui tient tous les comptes du patron, et les vĂŽtres aussi. Oui. C’est vrai.
Je ne parle pas des femmes qui sont bonnes, lĂ . Je ne m’en prends pas Ă  vous, les femmes qui sont vraiment des femmes de Dieu. Que Dieu vous bĂ©nisse. À l’écoute de la bande, ou n’importe oĂč ailleurs.
Mais ce que je dis, c’est que, quand on en trouve une comme ça, on en trouve quinze cents qui sont autrement. Elles ne veulent pas Ă©couter un seul Mot. “Gardez votre Bible! PrĂȘchez-La Ă  vous-mĂȘme. On ne veut pas entendre Ça.” ObĂ©ir? Oh!

151 Elle dira peut-ĂȘtre ceci: “Allez raconter vos histoires de la Bible Ă  quelqu’un d’autre. Gardez votre Dieu pour quelqu’un d’autre, et laissez-moi tranquille. Pourquoi me criez-vous aprĂšs? Je ne vous ai jamais demandĂ© de dire ces choses.” Je sais, mais Dieu oui. Voyez? Alors, tout est lĂ .

152 Donc, encore aujourd’hui elles corrompent la voie. Tout comme elles l’ont fait Ă  l’époque du Seigneur, tout comme elles l’avaient fait Ă  cette Ă©poque-lĂ , elles le font aujourd’hui, c’est pareil. Ça n’a pas changĂ©. Ça ne change pas. Ça ne changera pas.

153 La dĂ©linquance juvĂ©nile attrape finalement ses enfants. La prison attrape une partie des femmes et des hommes, et l’enfer rafle tout, c’est tout Ă  fait vrai, finit par les engloutir tous. Et la prĂ©dication semble glisser sur elles. Elles n’Y prĂȘtent jamais attention. Elles vont se donner
 On a beau leur dire que la Bible dit Ceci. Elles disent: “Gardez votre Bible. Nous, on va se donner du bon temps.”

154 Je peux entendre certaines d’entre vous, soeurs, dire maintenant, peut-ĂȘtre pas vous qui ĂȘtes prĂ©sentes, mais je vous entends dire: “Qui, moi, obĂ©ir Ă  mon mari? Hum! Moi, je le fais m’obĂ©ir.” Mais c’est lĂ  que vous avez tort. “Rester Ă  la maison, chaste? Peu m’importe ce que la Bible en dit, laissez-moi tranquille!” Écoutez, soeur, ce n’était pas dans, pour autrefois, dans l’ñge des tĂ©nĂšbres, c’est la Voix pour aujourd’hui. Ce n’est pas tant arrivĂ© Ă  l’époque antĂ©diluvienne, mais c’est aussi aujourd’hui que cela arrive. C’est la mĂȘme chose.

155 Elles disent encore: “Je suis une femme moderne. Je vis en AmĂ©rique.” Eh bien, ce n’est pas mieux que de vivre dans une porcherie. Pour Dieu, ça ne change rien, ça, l’endroit oĂč vous vivez. Vous ĂȘtes ce que vous ĂȘtes dans votre coeur. C’est vrai. Et ne pensez pas, soeur, que vous ĂȘtes si moderne, que vous ĂȘtes une de ces femmes modernes, comme vous voulez le dire aujourd’hui. Vous venez d’une Ă©poque trĂšs reculĂ©e, selon cette Bible, d’un Ăąge de tĂ©nĂšbres, de l’époque antĂ©diluvienne. À l’époque de NoĂ©, c’est lĂ  qu’elles ont fait la mĂȘme chose. Alors, vous n’ĂȘtes pas si moderne que ça, aprĂšs tout, n’est-ce pas? Voyez? C’est comme ça qu’elles se comportaient dans le monde antĂ©diluvien. Voyez? Et c’est comme ça qu’elles se comportent aujourd’hui, alors ce doit ĂȘtre de nouveau un Ăąge de tĂ©nĂšbres, un retour Ă  ce grand au-delĂ  tĂ©nĂ©breux.

156 Et vous, hommes, qui laissez votre femme faire ça, vous n’ĂȘtes plus des fils de Dieu. Non, vous ĂȘtes tombĂ©s dans Sodome en quelque sorte, c’est vrai, en laissant les femmes vous commander. Oh! la la!

157 Je ne sais pas si je dois dire ceci ou pas. Je ferais mieux de laisser de cĂŽtĂ© cette partie-ci. Mais, trĂšs bien. C’est terrible, mais tout ça, c’est bien l’ñge oĂč nous vivons. Vous voyez le feu rouge allumĂ©, qui clignote? [L’assemblĂ©e dit: “Amen.”–N.D.É.]
La trompette du Seigneur retentira, et il n’y aura plus de temps,
Le matin Éternel poindra, resplendissant de beautĂ©;
Alors Ses élus se rassembleront (de la poussiÚre de la terre) à leur Demeure au-delà du ciel.
Oh, quel jour ce sera! TrĂšs bien. Oh, oui!

158 On retourne Ă  Sodome. Ne vous en faites pas, il y a une bombe A qui attend pour nettoyer tout ça, c’est vrai, pour nettoyer le monde entier. Elle le fera. Et alors tout sera renouvelĂ©, comme nous l’avons vu sous le SixiĂšme Sceau, pour un groupe de gens rachetĂ©s qui ont acceptĂ© le Seigneur JĂ©sus, qui sont devenus ChrĂ©tiens, qui se sont dĂ©faits de tous leurs soucis et leurs modes de ce monde, et qui sont venus Ă  JĂ©sus-Christ, et qui regardent Ă  Lui et Ă  Lui seul; dans Son programme humble et simple, de venir et de croire en Lui, et de recevoir la Vie Éternelle. Et si vous dites que vous avez la Vie Éternelle et que vous ĂȘtes en dĂ©saccord avec cette Bible, votre vie Ă©ternelle n’est pas la Vie Éternelle que Dieu donne. Vous avez Ă©tĂ© trompĂ©, par la mort, et ce n’est pas la Vie. C’est vrai.

159 Donc, oh: “Crains Dieu et observe Sa Parole, car c’est lĂ  le commandement complet.” Les feux rouges clignotent et le temps est proche. Ce qui arriva du temps de NoĂ©, voyez, la chose lĂ©gitime, ils ont pris ça et l’ont perverti. Manger, boire, bĂątir, toutes ces autres choses, ils ont pris tout ça et l’ont perverti. Bon, JĂ©sus s’attend Ă  ce que nous bĂątissions une maison, voyez; mais regardez un peu ce qui s’est passĂ© avec ça. Manger, Il s’attend Ă  ce que nous mangions, c’est vrai; regardez ce qui s’est passĂ© avec ça. Boire, nous nous attendons Ă  boire notre eau, et Ă  faire ce que nous devons faire; mais, Ă  la place de ça, ils ont fait des alcools et des liqueurs, et tout, et des cocktails, et ils entraĂźnent leurs femmes lĂ -dedans. Voyez?

160 Et qu’en est-il de l’augmentation de la population, comme c’était arrivĂ© du temps de NoĂ©? Qu’en est-il de l’augmentation constante de la beautĂ© des femmes, de plus en plus? Voyez? Un feu rouge!
Qu’en est-il du temps oĂč les femmes deviendraient, oĂč elles seraient comme elles l’étaient alors, “emportĂ©es, enflĂ©es d’orgueil”, et tout, qu’on ne pourrait rien leur dire? PrĂȘchez-leur la Parole, elles vont continuer Ă  le faire quand mĂȘme. Voyez?
Qu’est-ce qui va arriver? Exactement comme du temps de NoĂ©. Un jour, la porte de la misĂ©ricorde sera fermĂ©e. Alors l’Écriture dit que “le sanctuaire se remplit de fumĂ©e”, cela signifie que l’Intercesseur en est sorti. Et tant que l’Agneau est toujours lĂ -bas
 Comme je l’ai dit ce matin, ou quelque part oĂč je prĂȘchais: tant que l’Agneau est lĂ  pour intercĂ©der, il y a toujours de la misĂ©ricorde. Mais quelle assurance avons-nous, quand nous voyons que le train approche dĂ©jĂ  de la gare, quand nous voyons la Venue du Seigneur, le feu qui clignote?

161 Combien je pourrais parler de diffĂ©rentes choses que nous savons qu’Il a promis de faire ici dans les derniers jours, et nous les voyons juste devant nous. Et puis nous voyons ce sujet ce soir, d’un autre feu rouge qui clignote: nos femmes qui se conduisent n’importe comment et tout, leur comportement. Nous voyons que cela indique, que chaque–chaque borne kilomĂ©trique, tout, chaque aiguille, chaque boussole, tout est dirigĂ© sur Sa Venue. Nous sommes Ă  la fin. Que je sache, il n’y a rien d’autre qui doive arriver, que la Venue du Seigneur.

162 Et alors, mon cher ami qui est en dehors de Christ, qu’en pensez-vous? Vous appuyez-vous seulement
 HonnĂȘtement, mon ami, je veux vous poser une simple question. Vous appuyez-vous seulement sur une petite sensation que vous avez eue, ou quelque, peut-ĂȘtre, quelque chose que vous avez eu? Peut-ĂȘtre qu’une fois vous avez Ă©tĂ© dans la joie et vous avez dansĂ© dans tous les sens, comme le font beaucoup de gens de la saintetĂ© et de pentecĂŽtistes, de nazarĂ©ens et de pĂšlerins de la saintetĂ©. Ils croient que s’ils sont assez dans la joie pour danser, ça Y est. Et aprĂšs, vous vous coupez les cheveux et vous portez des shorts? Est-ce que le Saint-Esprit vous ferait faire ça, alors qu’Il le condamne dans la Bible?

163 Qu’en est-il de vous qui dites: “Eh bien, moi je fais partie de l’église. Je suis pentecĂŽtiste. Je suis mĂ©thodiste, ou quoi que je sois. Je suis membre! Ma mĂšre est membre fondateur de l’église. J’ai Ă©tĂ© membre fondateur”? Et l’esprit mĂȘme qui est sur vous vous fait faire les choses que cette Bible condamne. Voyez?
Vous dites: “J’ai parlĂ© en langues, FrĂšre Branham. Maintenant, ne touchez surtout pas Ă  ça. J’ai parlĂ© en langues, et c’est la preuve qu’on a le Saint-Esprit.” Si votre vie
 Si vous pouvez toujours vous couper les cheveux, si vous pouvez toujours faire ces choses que la Bible dit de ne pas faire, vous aurez beau parler en langues toute la journĂ©e et toute la nuit, lĂ  encore ça n’a rien Ă  voir avec Dieu. On reconnaĂźt l’arbre Ă  son fruit.

164 Je prends de l’ñge. Je le sais. Chaque jour j’ai de nouvelles douleurs, de nouveaux maux. C’est le cas pour chacun d’entre nous. Autant dire la vĂ©ritĂ©. J’ai pensĂ©: “Ô Dieu, ne permets pas que je
”
L’une des choses les plus tristes, c’est de voir un homme ou une femme qui n’a jamais acceptĂ© Christ, et qui a seulement menĂ© la vie d’un vieux membre d’église conservateur, plus mĂ©chant que Satan lui-mĂȘme, et de le voir agir comme un vieux grognon: “Eh bien, je te le dis, moi je ne crois pas Ă  ces
” Ô Dieu, que jamais
 C’est–c’est
 C’est la couronne la plus affreuse avec laquelle Satan puisse couronner la vie de quelqu’un. Une vieille grincheuse d’environ soixante ou soixante-dix ans, de la graisse qui lui pend sous les bras, et le visage couvert de rides, les cheveux coupĂ©s courts, de quatre ou cinq couleurs diffĂ©rentes, en train de se pavaner dans un petit short; si ce n’est pas ça ĂȘtre couronnĂ© par Satan, je n’ai jamais vu ce que c’est – ou un vieux grognon.

165 Ô Dieu, je sais que je
 Donne-moi la grĂące de ne jamais me plaindre. Et je veux que ma vie, Seigneur, je veux que la vie des miens
 Ô Dieu, fais que notre vie puisse ĂȘtre couronnĂ©e, peu importe que nous souffrions, quoi qu’il arrive, quel que soit le nombre de ceux qui se retournent contre moi.
Je sais une chose, c’est que, dans ma vie, alors que je prends de l’ñge, mes amis, le courant derriĂšre moi aura bientĂŽt disparu, il rĂ©trĂ©cit de plus en plus, comme je descends le chemin. Et je sais une chose, il viendra un temps oĂč plus personne ne viendra vers moi pour dire
pour me demander conseil. Ceux qui me connaissaient dans mes jeunes annĂ©es seront partis, si je suis toujours en vie. Mes amis seront de moins en moins nombreux, Ă  mesure que j’avancerai en Ăąge maintenant.

166 Et je sais qu’un jour je devrai mourir. J’espĂšre que Dieu ne laissera jamais Satan me couronner comme un vieil homme grincheux et indiffĂ©rent, et ma femme comme une vieille femme qui n’arrĂȘte pas de faire des remarques, ou votre femme, ou vous comme ça. Je prie, frĂšre, que notre vie soit couronnĂ©e des fruits de l’Esprit: l’amour, la joie, la longanimitĂ©, la bontĂ©, la patience, la VĂ©ritĂ©, la foi, par le Saint-Esprit.

167 Ma vie s’effrite. Il y a environ trente-cinq ans, je me tenais ici Ă  la chaire, j’étais un jeune garçon. Ce soir, je suis ĂągĂ©, les cheveux gris, chauve, les Ă©paules tombantes; je suis usĂ©. Ma vie tire Ă  sa fin, et les fils sur lesquels je marche deviennent tĂ©nus. Comme je continue Ă  naviguer dans ce courant, mes amis deviennent moins nombreux. Et, au bout d’un certain temps, j’en viendrai Ă , peut-ĂȘtre que je–je n’apprĂ©cierai plus les chants comme auparavant; et peut-ĂȘtre que mes petits-enfants, les enfants devront dire: “N’énervez pas grand-papa.” Ça pourrait en arriver lĂ  si je vis.

168 Ensuite j’en arriverai Ă  ne plus pouvoir me lever de mon fauteuil. Alors, un matin, le brouillard entrera dans la chambre, je ferai signe Ă  la mort de l’autre cĂŽtĂ© de la frontiĂšre de venir me chercher. Elle peut seulement me prendre par la main et me conduire de l’autre cĂŽtĂ©, vers mon MaĂźtre. Elle n’est pas pour moi un surveillant d’esclaves. Je ne suis pas son esclave. C’est elle qui est mon esclave. Christ a vaincu la mort pour moi. Et la seule chose qu’elle peut faire, c’est me faire entrer dans la PrĂ©sence de mon CrĂ©ateur, “quand cette tente oĂč nous habitons sur la terre sera dĂ©truite”.

169 À l’instant oĂč la maman va avoir un bĂ©bĂ©, on remarque, – peu m’importe combien elle a Ă©tĂ© cruelle, et combien mĂ©chante, – vous savez, peu de temps avant la naissance de ce bĂ©bĂ©, la mĂšre devient douce. Pourquoi donc? Quand ces petits muscles dans son ventre se contractent et tressaillent comme ça, il y a un corps cĂ©leste qui l’attend. Et quand il sort de la mĂšre, le mĂ©decin, ou la sage-femme, ou quelqu’un, doit le prendre et lui donner un choc, une claque sur les fesses, le secouer, ou quelque chose comme ça, et alors il reçoit le souffle de vie. Le petit esprit angĂ©lique entre en lui, le souffle de vie, et il devient une Ăąme vivante. Et quand nous avons Christ dans notre coeur, et que Christ devient rĂ©el dans notre coeur, c’est un petit bĂ©bĂ©. “Si cette tente oĂč nous habitons sur la terre est dĂ©truite
”

170 JĂ©sus a dit, dans Jean 14. Pour terminer, je dirai ceci. Il a dit: “Que votre coeur ne se trouble point; si vous avez cru en Dieu, croyez en Moi. Car, dans le Royaume de Mon PĂšre, il y a plusieurs tentes. J’irai vous prĂ©parer une place.” Quand cette tente oĂč nous habitons sur la terre serait dĂ©truite, nous en avons une autre. “J’irai vous prĂ©parer une place, afin que lĂ  oĂč Je suis, vous puissiez y ĂȘtre aussi.” Vous qui dĂ©sirez ĂȘtre avec Lui.

171 Alors, je sais qu’il y a ce petit enfant, Christ, qui a pris forme par la nouvelle naissance; lorsque toute autre vie se dĂ©tachera, que toute vie mortelle et tout disparaĂźtra, alors il faudra quelque chose pour me donner un choc, il faut la mort. La mort vous donne le choc, quand elle vous frappe, mais elle ne fait que vous faire renaĂźtre dans un nouveau Royaume, lĂ -bas de l’autre cĂŽtĂ©, oĂč il n’y a pas de maladie, pas de chagrin, pas de vieillesse, ni rien. Que Dieu nous aide.

172 Comment, mon ami, pourriez-vous rejeter quelque chose comme ça, puisqu’il n’y a aucun espoir dans ce monde, en dehors de JĂ©sus-Christ? Les feux rouges clignotent. Les nations se disloquent, IsraĂ«l se rĂ©veille,
Les signes que la Bible a prédits (les femmes qui se coupent les cheveux, qui portent des shorts; le feu rouge est allumé, voyez);
Les jours des nations sont comptĂ©s, ils sont remplis d’effroi,
“Retournez, ĂŽ dispersĂ©s, vers les vĂŽtres.”
Le jour de la rédemption est proche,
La peur fait défaillir le coeur des hommes;
Soyez remplis de l’Esprit, vos lampes prĂ©parĂ©es et lumineuses,
Levez les yeux, votre rédemption est proche!

173 Je L’aime. Je veux que vous L’aimiez. Et, alors que nous inclinons la tĂȘte un instant, pour prononcer une priĂšre, en terminant. Les feux rouges clignotent. Le signal est allumĂ©. La Venue du Seigneur est proche. Il parle aux nations. Il parle aux gens. Il parle par les signes et les prodiges. Comme nous avons pris Sodome et montrĂ© comment cet Ange Ă©tait venu Ă  Abraham: les signes qu’Il avait accomplis juste avant que le feu tombe, nous les voyons.

174 Il a dit: “Du temps de Lot, les hommes bĂątissaient, ils vendaient.” Regardez ça aujourd’hui. “Et ce qui arriva du temps de NoĂ©â€, les femmes qui deviennent jolies, les fils de Dieu qui tombent, la chair humaine qui est adorĂ©e sous la forme de femmes, et toutes ces choses qui arrivent, dont nous avons parlĂ© ce soir. Le feu clignote, la Venue du Seigneur est proche. N’ĂȘtes-vous encore qu’un membre d’église?
Êtes-vous sĂ»r, mon ami? Qu’est-ce qui vous dit que vous serez en vie demain? Regardez FrĂšre Way qui Ă©tait debout ici ce matin, en un instant, alors qu’il se retournait pour serrer la main Ă  quelqu’un, il est tombĂ© raide mort. Dieu n’aura peut-ĂȘtre pas la bienveillance de vous donner, Ă  vous, une autre occasion. Vous ne savez pas Ă  quelle minute votre coeur va battre pour la derniĂšre fois. RĂ©flĂ©chissez Ă  ça.

175 La Venue de Christ fait clignoter ses signes. Regardez-les. Voyez si ce que je vous ai dit ce soir
 Ce n’est peut-ĂȘtre pas trĂšs populaire, mais c’est la VĂ©ritĂ©. C’est ce que Dieu a dit, et nous en sommes lĂ .

176 Les femmes ne veulent pas rester Ă  la maison. Elles ne veulent pas s’occuper de leur famille. Elles engagent une baby-sitter et vont Ă  une soirĂ©e quelque part. De la dĂ©linquance juvĂ©nile, toutes sortes de choses qui se passent: elles se coupent les cheveux, portent des shorts, se maquillent. Elles augmentent en nombre, de plus en plus jolies. Les hommes, les fils de Dieu, tombent. C’est un piĂšge que Satan utilise pour faire tomber les fils de Dieu. Comme JĂ©sus l’a dit, il faut que cela arrive. Il a dit qu’il en serait ainsi, et voilĂ , ça y est. Il a dit: “Quand ces choses arriveront, cette gĂ©nĂ©ration ne passera pas,” ça, c’est quarante ans, “que tout cela n’arrive.” RĂ©flĂ©chissez Ă  ça.

177 N’ĂȘtes-vous encore qu’un membre d’église? Avez-vous mal agi? Regardez et sondez votre vie, ce soir, hommes et femmes. Regardez-vous, regardez vos propres fautes. Qu’arriverait-il, dans votre Ă©tat actuel, si Christ Ă©tait sur terre en train de prĂȘcher ceci? Vous dites: “Si–s’Il avait, si je L’avais entendu prĂȘcher ça, je–je me serais repenti.” Si vous l’auriez fait, alors Ceci, ce soir, c’est Sa propre Parole, vous le ferez maintenant. Si vous ĂȘtes sans Dieu, et que vous savez


178 “Oh,” vous dites, “je suis membre de l’église. J’ai parlĂ© en langues. Je–je ne
” LĂ  nous mettons ça de cĂŽtĂ©. Regardez-vous, examinez votre vie maintenant Ă  la lumiĂšre de la Parole de Dieu. Êtes-vous cette personne qui s’en va en disant: “Peu m’importe ce que la Bible dit. FrĂšre Branham, je pense que vous avez tort”? Ce n’est pas moi qui ai tort. S’il y a quelque chose qui a tort Ă  ce sujet, c’est la Parole.
Et vous ne connaissez pas encore Dieu, et vous n’ĂȘtes pas sĂ»r que, si JĂ©sus venait Ă  cette heure-ci, vous seriez prĂȘt Ă  partir. Pourquoi prendriez-vous la chose Ă  la lĂ©gĂšre, en voyant que la mort est si proche, en voyant que la fin est si proche?

179 S’il y a quelqu’un ici, pendant que vous avez la tĂȘte inclinĂ©e maintenant, qui voudrait qu’on pense Ă  lui dans la priĂšre alors que nous terminons, voulez-vous simplement lever la main et dire: “FrĂšre, priez pour moi.” Que Dieu vous bĂ©nisse, soeur. Que Dieu vous bĂ©nisse, frĂšre, soeur. Oh, partout dans le bĂątiment.

180 C’est ça, faisons simplement un petit inventaire maintenant. Vous les soeurs, maintenant, en Ă©tant vraiment de bonne foi et dans l’espĂ©rance, rĂ©flĂ©chissez Ă  ceci. “Ai-je vraiment obĂ©i Ă  Dieu? Vraiment, oĂč est mon dĂ©sir? FrĂšre Branham, je–je–je–je fais encore ces choses. Je–je me sens bien. Je me sens heureuse.”
Savez-vous que les paĂŻens se sentent tout aussi heureux? Vous savez, un homme ivre est tout aussi heureux que vous, sous l’effet de l’alcool, sous l’influence de l’alcool? Si vous ĂȘtes heureux sous l’effet de quoi que ce soit qui est contraire Ă  la Parole de Dieu, c’est le diable. Si vous dites: “Je suis satisfait dans mon Ă©glise”, et qu’en entendant la Parole de Dieu prĂȘchĂ©e, vous refusez de vous Y conformer, vous ĂȘtes inspirĂ© par la mauvaise chose, quelle que soit votre inspiration. Je les ai vus crier, et sauter, et hurler, et–et tout, boire du sang dans un crĂąne humain et invoquer le diable, c’est vrai, tout aussi heureux que vous pourriez l’ĂȘtre. Le paganisme produit autant de psychologie que n’importe quoi d’autre, les capacitĂ©s parapsychologiques de l’esprit. Mais l’expĂ©rience de Christ se produit dans le coeur, elle transforme tout le caractĂšre, transforme la personne en une nouvelle crĂ©ature. RĂ©flĂ©chissez Ă  ça, trĂšs sĂ©rieusement.

181 Regardez-vous. Imaginez qu’il y a un miroir devant vous, que vous ĂȘtes en train de vous regarder. “Suis-je honnĂȘte? Suis-je sincĂšre? Est-ce que vraiment, dans mon coeur, est-ce que je sers le Seigneur?”

182 Vous dites: “Je Le sers.” Regardez dans le miroir, vous les femmes, qui avez les cheveux coupĂ©s, qui portez des shorts. Regardez-vous, vous qui faites ces choses. Regardez-vous, hommes qui laissez vos femmes faire ça; dites: “Suis-je un fils de Dieu? Suis-je un Sodomite?” Vous les femmes, dites: “Suis-je rĂ©ellement une femme moderne, ou suis-je quelque chose d’antĂ©diluvien, quelque chose que JĂ©sus a annoncĂ© comme devant arriver de nouveau dans les derniers jours?” RĂ©flĂ©chissez bien. Regardez-vous.

183 Voyez, votre ĂȘtre exprime ce que vous ĂȘtes. Et si vous n’ĂȘtes pas en rĂšgle, serez-vous assez honnĂȘte pour
 Maintenant soyez honnĂȘte, levez la main, dites: “Ô Christ, je ne lĂšve pas la main vers FrĂšre Branham ni vers personne d’autre que Toi. Mais j’ai tort. Pardonne-moi. FrĂšre Branham a promis de prier pour moi, maintenant je vais lever la main, pour dire: ‘JĂ©sus, sois misĂ©ricordieux envers moi ce soir. Sauve-moi, Ă  cause de Christ. Je ne veux pas ĂȘtre perdu. Toute cette vie que Tu m’as donnĂ©e, ce serait la chose la plus terrible si je–si je la gĂąchais, alors que j’ai cette occasion en or ce soir, de vraiment voir de mes propres yeux que les feux rouges clignotent de tous cĂŽtĂ©s; la Venue du Seigneur, la promesse qu’Il montrerait ces signes et qu’Il guĂ©rirait les malades, qu’Il ressusciterait les morts, qu’Il chasserait les dĂ©mons; qu’il y aurait beaucoup, un grou-
seulement un petit nombre de gens, juste une minoritĂ©, dont le monde se moquerait, et qu’on traiterait de tous les noms, et tout, comme ça.’”

184 Et il faut qu’ils nous traitent de tous les noms. Il faut qu’ils traitent la VĂ©ritĂ© de tous les noms. JĂ©sus a dit: “Quiconque parlera contre le Fils de l’homme, il lui sera pardonnĂ©, quand Il fera prĂ©cisĂ©ment la chose que vous Le voyez faire.” Il a dit: “Mais quiconque parlera contre le Saint-Esprit, quand Il viendra faire la mĂȘme chose, il ne lui sera jamais pardonnĂ© dans ce siĂšcle.” Voyez, il faut qu’ils le fassent. Il faut qu’il y ait un Message comme ça, pour que les gens s’En moquent, pour montrer que Dieu est juste de condamner le monde entier et de le dĂ©truire.

185 Pendant qu’il y a de la misĂ©ricorde et quelqu’un qui se tient Ă  la brĂšche, JĂ©sus-Christ, et une porte ouverte ce soir, ne voulez-vous pas Le recevoir, mon ami?

186 Bon, la coutume, c’est de s’avancer Ă  l’autel. C’est bien. Je n’ai rien contre ça. Mais dans l’Écriture, il est dit: “Tous ceux qui crurent furent baptisĂ©s.” De tout votre coeur, si vous abandonnez votre vie Ă  JĂ©sus-Christ lĂ  oĂč vous ĂȘtes assis, lĂ  oĂč Il vous a parlĂ© quand vous avez levĂ© la main!

187 Ce mĂȘme Dieu qui a pu rappeler Ă  la vie cet homme qui Ă©tait Ă©tendu mort devant moi ce matin, pour vous confirmer que je vous dis la VĂ©ritĂ©. Qui peut ressusciter les morts, Ă  part Dieu? C’est vrai. Donc, ce n’est pas votre–votre petit pasteur rompu, ici, c’est le Christ qui vous aime. Et Il vous exprime ceci ce soir: “Vous avez entendu la VĂ©ritĂ©. Vous avez vu la VĂ©ritĂ©. Cela vient de Ma Parole. Vous avez vu Ma Parole rappeler quelqu’un. Vous voyez que Ma Parole prĂ©dit ces choses. Vous les voyez arriver parfaitement, depuis toutes ces annĂ©es, sans faillir une seule fois.”

188 Maintenant, que ferez-vous de JĂ©sus, pendant que le feu rouge clignote? Pourquoi ne pas faire ceci: laissez tomber ce vieux sac de cacahuĂštes mondaines! Pourquoi ne pas laisser tomber ce vieux magazine True Story [magazine Ă  potins–N.D.T.] et cette vieille–vieille camelote dont votre Ăąme se gargarise tous les jours! Pourquoi ne pas mettre la tĂ©lĂ©vision au coin, face au mur, si elle vous empĂȘche de venir Ă  l’église! Pourquoi ne pas rejeter tout fardeau qui vous enveloppe si facilement! Pourquoi ne pas Ă©lever votre coeur vers Christ, en disant: “Ô Christ, ce soir, c’est fini pour moi. Je me prĂ©pare. Je vois que Tu viens. Je prends la valise, la Bible de Dieu qui est remplie de la Vie Éternelle, et dĂ©sormais je vivrai de Ceci!” Ne voulez-vous pas le faire, pendant que nous prions?

189 Notre PĂšre CĂ©leste, je ne veux pas ĂȘtre blessant, en aucun cas, Seigneur. Mais le Message se focalise sur le temps, pas sur des individus, pas sur une certaine personne, mais Il se focalise sur le temps. C’est un temps oĂč il semble que le Saint-Esprit m’a poussĂ© Ă  enregistrer ceci. AprĂšs les trĂšs nombreuses fois oĂč nous avons montrĂ©, depuis cette chaire, le temps de Lot, le temps de Sodome, les temps dont JĂ©sus a parlĂ©, les signes du temps, la Venue du Seigneur, de beaucoup de maniĂšres. Et alors, aprĂšs tout cela, aprĂšs avoir parlĂ© si fort contre les femmes d’aujourd’hui, et ça, dans tout le pays, alors, PĂšre, j’ai pensĂ© que c’était le Saint-Esprit qui me parlait, pour que je dise aux gens pourquoi je l’ai fait. C’est parce que Ta Parole inspirĂ©e a tellement scrutĂ© mon coeur, que je n’ai pas pu me taire.

190 Il y a peut-ĂȘtre environ cinquante ou soixante-quinze mains qui se sont levĂ©es dans le bĂątiment, PĂšre, aprĂšs une Parole du Seigneur tranchante, apportĂ©e sans mĂ©nagement. Mais Cela leur a donnĂ© un choc, leur a fait prendre conscience que le sifflet retentit; les saints sont tous en train de se rĂ©unir; les nations sont dĂ©chirĂ©es; les signes de la Venue; les feux rouges clignotent. Et nous voyons, par cette action dirigĂ©e vers les femmes de notre Ă©poque, ce soir, que c’est comme ça que la Bible a dit qu’elles seraient, et les voici.

191 La Voix infaillible de JĂ©sus-Christ nous a avertis qu’il fallait examiner le temps de NoĂ© et le comparer avec l’époque oĂč nous vivons. Et alors, quand nous verrions ces choses arriver, les femmes qui deviennent belles et les fils de Dieu qui les prennent, et ces choses qui devaient arriver, alors nous savons que c’est cette gĂ©nĂ©ration qui verra la Venue du Seigneur. Alors, nous reconnaissons le feu qui clignote, Sa Venue est proche.

192 Je Te prie, PĂšre CĂ©leste, de bĂ©nir toutes les personnes qui ont levĂ© la main. Je–je fais cette sincĂšre et humble priĂšre, et je sais que Tu m’exauceras. Tu as Ă©tĂ© si bienveillant envers FrĂšre Way ce matin, de permettre Ă  une humble petite priĂšre de faire battre de nouveau son coeur – un amour sincĂšre pour un frĂšre qui s’était effondrĂ© sur les genoux de sa femme, une forme froide et morte. Seigneur, fais que les gens sachent, ce soir, qu’ĂȘtre mort par le pĂ©chĂ© et par les offenses est beaucoup plus dangereux que de mourir d’une mort physique; car il n’y a personne qui puisse vous rattraper Ă  ce moment-lĂ , si vous passez de l’autre cĂŽtĂ© du voile, dans votre pĂ©chĂ© et vos offenses.
Fais que, ce soir, Seigneur, toutes les Ăąmes qui ont levĂ© la main, – je fais cette priĂšre au Nom du Seigneur JĂ©sus, – qu’il se produise une telle rĂ©volution dans leur vie, qu’il y ait une telle dĂ©termination dans leur coeur, cette dĂ©termination dans leur coeur Ă©tant de ne plus pĂ©cher contre Dieu; qu’à partir de cette heure, ils s’en tiendront Ă  la Parole Éternelle et bĂ©nie de Dieu, et seront nourris par Son Saint-Esprit et conduits sur les sentiers de la Vie, jour aprĂšs jour, alors qu’ils continuent leur voyage Ă  partir de cette heure-ci.

193 Maintenant, PĂšre CĂ©leste, il se peut que je ne les revoie plus, il se peut que je ne puisse plus jamais serrer leur main physique, ici sur cette terre, bien que j’aimerais le faire. Mais, Seigneur Dieu, je Te prie d’exaucer cette priĂšre. Et Tu as dit dans Ta Parole: “Celui qui Ă©coute Ma Parole, et qui croit Ă  Celui qui M’a envoyĂ©, a la Vie Éternelle et ne vient point en Jugement, mais il est passĂ© de la mort Ă  la Vie.” Alors que j’ai apportĂ© Ă  ma maniĂšre humble la VĂ©ritĂ© de Dieu, ce soir, beaucoup ont Ă©coutĂ© la Parole. Maintenant, Tu as promis que Tu les sauverais et “qu’ils ne pĂ©riraient point”, que personne ne pourrait les ravir de Ta main, que Tu les ressusciterais aux derniers jours, qu’il ne se perdrait pas un seul cheveu de leur tĂȘte. Tu l’as promis.

194 Maintenant, comme priĂšre, en tant que serviteur, Seigneur, et en tant que frĂšre pour–pour eux, je–je fais cette priĂšre et je les remets entre les mains de Dieu, afin qu’aucun mal ne puisse jamais leur arriver et que Satan ne les ravisse pas de la main de Dieu. Ils sont Ă  Toi, des trophĂ©es. Et j’ai confiance que Tu leur donneras une longue vie et, si possible, qu’ils voient la Venue du Seigneur JĂ©sus. Qu’en repartant d’ici ce soir, ils soient des gagneurs d’ñmes, qu’ils parlent Ă  d’autres personnes pour les amener Ă  la connaissance du salut en Christ. Accorde-le. Tout est entre Tes mains, PĂšre. Au Nom de JĂ©sus-Christ.

195 Et, pendant que nous avons la tĂȘte inclinĂ©e un instant. Je me demande s’il y a une personne prĂ©sente maintenant qui sent que, pendant que nous Ă©tions en priĂšre, que–que quelque chose d’inhabituel s’est passĂ© dans votre coeur, et vous sentez qu’à partir de maintenant vous allez vivre une vie consacrĂ©e Ă  Christ, et vous voyez que la Venue du Seigneur est proche, vous croyez que ce que j’ai prĂȘchĂ© est la VĂ©ritĂ©, Ă  propos de ce feu rouge qui clignote, de l’état actuel des choses. Et–et vous comprenez que c’est la Parole du Seigneur, parce que c’est Christ, et vous croyez qu’à partir de ce soir vous vivrez une vie meilleure, plus proche de Christ, Ă  cause de la priĂšre que vous avez faite ce soir et de la confession que vous avez faite. Et en gardant la tĂȘte inclinĂ©e, levez simplement la main, dites: “Je le crois. À partir de ce soir, je vivrai une vie diffĂ©rente.” Que Dieu vous bĂ©nisse. C’est bien. C’est vraiment merveilleux. Je crois pouvoir dire que peut-ĂȘtre, pratiquement tous ceux qui avaient levĂ© la main il y a un moment ont levĂ© encore une fois la main, pour montrer qu’ils ont acceptĂ© cela.

196 Maintenant, si vous n’avez jamais Ă©tĂ© baptisĂ©s au Nom de JĂ©sus-Christ pour la rĂ©mission de vos pĂ©chĂ©s, souvenez-vous: “Il n’y a sous le Ciel aucun autre nom qui ait Ă©tĂ© donnĂ© parmi les hommes, par lequel vous deviez ĂȘtre sauvĂ©s, si ce n’est le Nom de JĂ©sus-Christ.” Souvenez-vous, il y a une seule Épouse, l’Épouse de Christ, et Elle porte Son Nom.

197 Alors, et si vous n’avez jamais Ă©tĂ© baptisĂ©s par immersion dans l’eau, au Nom de JĂ©sus-Christ, permettez-moi, en tant que Son serviteur
 Si Dieu vous a prouvĂ© par des signes et des prodiges, et par Sa Parole, que je vous dis la VĂ©ritĂ©: je vous donne cet ordre, comme saint Paul l’a fait dans Actes 19, ayant rencontrĂ© un groupe de baptistes. Ils avaient Ă©tĂ© baptisĂ©s par Jean-Baptiste. Il a dit: “Avez-vous reçu le Saint-Esprit aprĂšs avoir cru?”
Ils ont dit: “Nous ne savons
s’il y a un Saint-Esprit.”
Il a dit: “De quel baptĂȘme avez-vous donc Ă©tĂ© baptisĂ©s?”
Ils ont dit: “Nous avons dĂ©jĂ  Ă©tĂ© baptisĂ©s, par Jean-Baptiste, lĂ -bas dans le Jourdain, le mĂȘme homme qui a baptisĂ© JĂ©sus-Christ.”

198 Ce serait un baptĂȘme merveilleux, ça, mais Paul a dit: “Il n’est plus valide maintenant.” Il leur a ordonnĂ© de se faire rebaptiser au Nom de JĂ©sus-Christ, Actes 19.5.
Et Paul a dit: “Si un Ange descend du Ciel et prĂȘche un autre Ă©vangile que Celui-ci que j’ai prĂȘchĂ©, qu’il soit anathĂšme.” Galates 1.8. Ensuite il l’a rĂ©pĂ©tĂ©, il a dit: “Je l’ai dĂ©jĂ  dit, et je le rĂ©pĂšte: ‘Quand un Ange,’” Ă  plus forte raison un ministre, un Ă©vĂȘque, un pape, ou quoi que ce soit, “si un Ange descendait du Ciel, un–un ChĂ©rubin descendu des Cieux, qui prĂȘcherait un autre Ă©vangile que Celui-lĂ , qu’il soit maudit.”
Alors, je vous ordonne, si vous n’avez jamais Ă©tĂ© baptisĂ©s au Nom de JĂ©sus-Christ, pendant qu’il y a de l’eau dans le baptistĂšre et que les vĂȘtements sont prĂȘts, de venir vous faire baptiser, “en invoquant le Nom du Seigneur, et vous recevrez le don du Saint-Esprit; car la promesse est pour vous et pour vos enfants, et pour ceux qui sont au loin, en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera”.

199 Notre PĂšre CĂ©leste, maintenant Ă  Toi d’agir. Persuader les hommes, c’est ce que j’essaie de faire; mais forcer les hommes, je ne le peux pas. Et Tu n’agis jamais contre la volontĂ© de l’homme; en effet, si un homme ou une femme a Ă©tĂ© prĂ©destinĂ© Ă  la Vie Éternelle, quand la LumiĂšre de Dieu brille sur cette semence, elle prend Vie. Et s’il y a de la Vie parmi nous ce soir, PĂšre, si Tu as fait briller Ta LumiĂšre sur des gens et qu’ils ont vu la VĂ©ritĂ©, puissent-ils s’avancer humblement et gentiment vers le baptistĂšre, pour se faire baptiser au Nom de Ton Fils bien-aimĂ©, JĂ©sus-Christ.

200 En effet, nous savons que toutes les personnes, dans l’Écriture, ont dĂ» se faire baptiser, et rebaptiser. Celles qui n’avaient pas Ă©tĂ© baptisĂ©es au Nom de JĂ©sus-Christ ont dĂ» se faire rebaptiser. Et le grand apĂŽtre, qui avait les clĂ©s du Royaume, a dit, le Jour de la PentecĂŽte: “Repentez-vous, chacun de vous, et soyez baptisĂ©s au Nom de JĂ©sus-Christ pour la rĂ©mission de vos pĂ©chĂ©s, afin que vos pĂ©chĂ©s soient remis, et alors la promesse du Saint-Esprit sera pour vous.” Fais que cela se rĂ©alise pleinement ce soir, PĂšre.

201 Je Te les confie maintenant. “Reçois favorablement ces quelques paroles et la mĂ©ditation de mon coeur, ĂŽ Éternel.” Ancre-Toi dans Tes enfants, et donne-leur la Vie Éternelle. Sauve tous ceux qui peuvent ĂȘtre sauvĂ©s, et guĂ©ris ceux qui sont malades. Que la grĂące de Dieu repose sur chacun d’eux, alors que nous Te les confions maintenant, au Nom de JĂ©sus.

202 Maintenant, pendant que nous avons la tĂȘte inclinĂ©e, je vais demander Ă  notre soeur qui joue du piano de venir. Juste un instant, encore environ cinq minutes. S’il y a des gens qui dĂ©sirent se faire baptiser maintenant, qui ont fait une confession et qui croient. Si vous croyez que JĂ©sus-Christ est le Fils de Dieu et que vous le croyez de tout votre coeur, pas juste–juste sous le coup de l’émotion, mais vous le croyez, et vous ĂȘtes prĂȘts Ă  confesser que vous avez tort; et vous ne vous appuyez pas sur vos propres mĂ©rites, mais sur ce qu’Il a fait; et vous ĂȘtes prĂȘts Ă  vous avancer, pour revĂȘtir Son Nom dans le baptĂȘme d’eau, pour devenir un membre du Corps par le Saint-Esprit; alors la piĂšce rĂ©servĂ©e aux femmes est Ă  ma droite, et la piĂšce rĂ©servĂ©e aux hommes est Ă  ma gauche, les vĂȘtements et les autres choses sont prĂȘts.

203 Pendant que nous inclinons la tĂȘte, alors que notre soeur joue: “La Voix du Seigneur m’appelle”, si le conducteur de chants veut bien nous aider avec les paroles. Gardons la tĂȘte inclinĂ©e maintenant, le service est maintenant entre les mains du Dieu Tout-Puissant; pour ceux qui dĂ©sirent se faire baptiser; ceux qui dĂ©sirent aller prier dans les piĂšces rĂ©servĂ©es Ă  la priĂšre, afin de recevoir le baptĂȘme du Saint-Esprit, il y a ici des instructeurs qui seront prĂȘts Ă  vous donner des directives ou Ă  faire n’importe quoi. Puissent les Paroles ne pas tomber en vain, mais accomplir ce pour quoi Elles ont Ă©tĂ© envoyĂ©es. En gardant la tĂȘte inclinĂ©e, pourrions-nous maintenant prier. Et–et oĂč Il vous conduira, suivez-Le. La Voix du Seigneur
 Maintenant priez, tous les ChrĂ©tiens. La Voix du Seigneur m’appelle
 L’avez-vous entendu appeler, quand Il a ressuscitĂ© cet homme qui Ă©tait mort ce matin? La Voix du
 L’avez-vous entendu appeler, alors qu’Il est dans la Parole, faisant clignoter Ses Feux au temps de la fin? Je Le suivrai, suivrai
 Êtes-vous prĂȘts Ă  aller jusqu’au bout? OĂč Il
 Que Dieu vous bĂ©nisse, mon frĂšre. Les hommes Ă  gauche. Les femmes Ă  droite. Je
 OĂč Il me conduira, j’irai,
OĂč Il me conduira

La Bible dit: “Tous ceux qui crurent furent baptisĂ©s.” 
j’irai,
Je Le suivrai, suivrai, jusqu’au bout.
J’irai avec Lui au jardin,
J’irai avec Lui au jardin,
Le Saint-Esprit
?
 J’irai avec Lui au
 Si quelqu’un veut aller avec les femmes par ici, pour rechercher le Saint-Esprit, allez dans la piùce à droite, certaines d’entre vous les soeurs, qui sont instruites dans le Seigneur. 
jusqu’au bout.
OĂč Il me conduira

Pouvez-vous honnĂȘtement dire cela: “OĂč Il me conduira, j’irai”? Voulez-vous le faire? Cette petite Voix, lĂ , qui vous parle, voulez-vous–voulez-vous aller oĂč Il vous conduit? Regardez le feu rouge. Vous voyez le feu qui clignote? Nous sommes au temps de la fin. OĂč Il me conduira, j’irai,
Je Le suivrai, suivrai jusqu’au bout.
La Voix du Seigneur
 Comment parle-t-Il? Par Sa Parole, dans votre coeur. Voulez-vous venir maintenant? C’est votre invitation. Souvenez-vous, si cela arrive avant que nous nous rĂ©unissions de nouveau, vous aurez Ă©tĂ© avertis. 
Voix du Seigneur m’appelle,
“Prends ta croix, et viens, suis-Moi.”
OĂč Il
 Maintenant, est-ce que quelques frĂšres pourraient aller dans la piĂšce ici Ă  ma gauche avec les frĂšres qui se prĂ©parent pour le baptĂȘme, pour leur donner des directives. OĂč Il me conduira
” Quelques frĂšres dans le ministĂšre ici, venez nous aider, entrez dans la piĂšce avec eux. 
j’irai,
OĂč Il me conduira

Est-ce que vous le pensez vraiment? 
j’irai,
Je Le suivrai, suivrai, jusqu’au bout.

204 Maintenant, un instant. Bon, si vous n’avez pas Ă©tĂ© baptisĂ© par immersion dans l’eau, au Nom du Seigneur JĂ©sus-Christ. Seulement dans les titres de “PĂšre, Fils, Saint-Esprit”, personne dans toute la Bible, absolument personne, n’a jamais Ă©tĂ© baptisĂ©, dans la Bible, au nom du “PĂšre, Fils et Saint-Esprit”, dans ce titre-lĂ . Personne n’a jamais Ă©tĂ© baptisĂ© dans l’église, dans l’histoire, pendant les trois cents premiĂšres annĂ©es de notre Ăšre, tout le monde a Ă©tĂ© baptisĂ© au Nom du Seigneur JĂ©sus-Christ, jusqu’au concile de NicĂ©e, Ă  NicĂ©e, Rome, oĂč l’église catholique romaine s’est organisĂ©e, et c’est lĂ  qu’ils y ont substituĂ© les titres de “PĂšre, Fils, Saint-Esprit”.

205 S’il y a un historien, un ministre ou toute autre personne, Ă  l’écoute par la voie des ondes, par la bande, qui peut prĂ©senter un seul passage de l’Écriture ou une seule petite rĂ©fĂ©rence historique, indiquant que quelqu’un a dĂ©jĂ  Ă©tĂ© baptisĂ© autrement qu’au Nom de JĂ©sus-Christ, jusqu’à l’église catholique romaine Ă  NicĂ©e, Rome, vous avez le devoir de me l’apporter, afin que je puisse prĂ©senter des excuses. Une telle chose n’existe pas. Non. Et tous ceux qui avaient Ă©tĂ© baptisĂ©s par immersion, qui n’avaient pas Ă©tĂ© baptisĂ©s au Nom de JĂ©sus-Christ, ont reçu l’ordre, avant de pouvoir entrer dans la Gloire, de revenir se faire rebaptiser. Maintenant, Ă  vous d’agir.

206 Il n’y a pas de passage dans la Bible, oĂč des personnes aient dĂ©jĂ  Ă©tĂ© baptisĂ©es en employant le nom du “PĂšre, Fils, et Saint-Esprit”, comme les gens baptisent aujourd’hui. C’est un credo catholique, catholique romain, qui a Ă©tĂ© transmis par Martin Luther et John Wesley, et qui continue. Et la Bible prĂ©dit que ce serait ainsi, et ce, jusque dans les derniers jours, et lĂ  la porte serait ouverte, comme nous l’avons vu en Ă©tudiant les Ăąges de l’église.

207 C’est Ă  vous d’agir. Je suis seulement un messager du Message. Encore une fois, croyons-le. Les portes sont ouvertes. Le baptistĂšre est rempli, et il n’y a pas de raison
 Il y a des vĂȘtements prĂȘts, et nous serons prĂȘts Ă  baptiser dans quelques minutes.

208 Si vous ĂȘtes ici et que vous n’avez pas Ă©tĂ© baptisĂ©s, chantons encore une fois, et venez, ne le voulez-vous pas? Accomplissez


209 Vous dites: “J’ai l’intention de le faire un jour, FrĂšre Branham.” Ce jour-lĂ , il arrivera peut-ĂȘtre pour vous de la mĂȘme façon que pour FrĂšre Way ce matin, mais il ne sera peut-ĂȘtre pas suivi de la mĂȘme grĂące. Vous pourriez partir d’une minute Ă  l’autre. Que vous soyez jeune, si vous ĂȘtes en vie demain, vous
 Si vous avez soixante-dix ans, vous allez survivre Ă  beaucoup de personnes qui ont dix, quinze ou trente ans. Des milliers de personnes vont mourir cette nuit. C’est vrai. Vous ne savez pas quand vous allez partir.

210 Soyez sĂ»rs. Ne prenez pas de risque avec cela. Souvenez-vous, vous pouvez prendre un risque avec votre boulot, ou prendre un risque avec ceci, mais ne prenez surtout pas de risque avec cela. Souvenez-vous, ma voix sera lĂ  comme tĂ©moin, sur la bande magnĂ©tique de Dieu au Jour du Jugement, s’élevant contre ces choses.

211 Alors, maintenant, rĂ©flĂ©chissez Ă  ça, pendant que nous chantons de nouveau, avec nos tĂȘtes inclinĂ©es. “OĂč Il
” FrĂšre Neville. “
j’irai.”

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