Regarder À l’Invisible

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Date: 50-0816 | La durée est de: 53 minutes | La traduction: Shp
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1          Bonsoir, l’auditoire. Je suis très heureux d’être de nouveau ici ce soir pour vous parler de notre Seigneur Jésus, et de Sa grâce qui sauve et guérit les nécessiteux. Je suis sûr que vous n’avez pas besoin qu’on dise plus que ce qui a été déjà dit au sujet de Dieu–de Sa grandeur. Il y a juste quelques instants, j’étais là, à me réjouir de l’exposé de frère Baxter.

2          Et je souhaiterais d’abord lire juste une petite portion de la Parole, qui se trouve dans 2 Rois, chapitre 6, à partir de... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]... verset 13... Je peux commencer au verset 12; c’est au sujet d’un–d’un très puissant homme de Dieu qui a vécu à–à une époque, dans le passé, c’est Elisée. Et écoutez donc attentivement:

L’un de ses serviteurs répondit: ... ô roi mon sei–mon seigneur; mais Elisée, le prophète, qui est en Israël, rapporte au roi d’Israël les paroles que tu prononces dans ta chambre à coucher.

Le roi d’Israël...ils étaient en guerre. Et le–l’autre roi se demandait comment Israël était informé de tout cela. Alors, l’un de ses serviteurs s’est avancé et a dit: « Eh bien, il doit y avoir une espèce d’espion parmi nous. » Mais un autre serviteur a dit: « Non, mais Elisée en sait plus de la part de Dieu, dans sa chambre à coucher. C’est lui qui connaît ces choses et qui les rapporte au roi d’Israël. »

Nous avons besoin de plus d’Elisée aujourd’hui.

Et le roi dit: Allez et voyez où il est, et je le ferai prendre. On vint lui dire: Voici, il est à Dothan.

Il y envoya des chevaux, des chars et une forte troupe, qui arrivèrent de nuit et qui enveloppèrent la ville.

Le serviteur de l’homme de Dieu se leva de bon matin et sortit; et voici, une troupe entourait la ville, avec des chevaux et des chars. Et le serviteur dit à l’homme de Dieu: Ah! mon seigneur, comment ferons-nous?

Il répondit: Ne crains point... (Oh, j’aime ça. Peu importe combien ça a l’air sombre, ne vous inquiétez pas, n’ayez pas peur.)... car ceux qui sont avec nous sont en plus grand nombre que ceux qui sont avec eux.

Elisée pria, et dit: Eternel, ouvre ses yeux, pour qu’il voie. Et l’Eternel ouvrit les yeux du serviteur, qui vit la montagne pleine de chevaux et de chars de feu autour d’Elisée.

3          Que Dieu bénisse Sa Parole. Maintenant, nous pensons à une époque passée, où Dieu agissait d’une certaine manière pour se révéler aux hommes, pour faire connaître Ses voies aux hommes à travers Ses serviteurs, Ses prophètes. Et c’était un temps de guerre, un état de guerre sévissait entre deux nations. Et l’autre nation n’arrivait pas à comprendre comment les Israélites connaissaient tous leurs plans et étaient prêts à les troubler n’importe quand. Alors, le roi a fait venir ses hommes, il a su...pour savoir s’il n’y avait pas parmi eux un espion qui rapportait leurs secrets et leurs missions. Et l’un d’eux a dit: «Il n’y a pas d’espion parmi nous; c’est Elisée, Elisée là en Israël. Il peut se retrouver dans sa chambre à coucher et connaître tous les plans futurs; nous le savons. Et c’est lui qui rapporte cela au roi d’Israël.»

4          Vous savez, la meilleure arme que l’Amérique a en ce temps de crise, ce sont les gens qui craignent et prient Dieu. C’est la meilleure. Cela vaut plus que toutes les bombes et tous les tanks que nous pouvons fabriquer. Dieu combattra toujours pour Son peuple. Allons...

Si toute cette nation pouvait, d’un commun accord, se jeter devant Dieu, vêtue de sacs et couverte de cendre de la repentance, et revenir aux sentiers à l’ancienne mode que nos aïeux avaient empruntés, il ne nous arriverait aucun mal. Je crois que cela vaudrait donc plus que toutes les usines de munitions et autres que nous pouvons fabriquer (c’est vrai), et toutes les bombes que nous pouvons avoir. Il n’y a rien d’aussi puissant que la prière. C’est Dieu qui tient tout l’avenir entre Ses mains.

Quelqu’un m’a posé une question il n’y a pas longtemps, disant: «Frère Branham, que pensez-vous de l’avenir?»

J’ai dit: «Je ne sais pas ce que réserve l’avenir, mais je connais Qui tient l’avenir.» Voilà donc la chose, si je peux maintenir les relations avec Lui.

5          Alors, quand il a su que ce prophète était en Israël, il a dit: «Allez le prendre. Amenez-le-moi.»

Et ces gens sont descendus, et quelqu’un leur a dit qu’Elisée était à Dothan. Et lorsqu’ils sont arrivés là, à Dothan, c’était la nuit, ils l’ont encerclé dans l’obscurité. Voyez-vous comment l’ennemi opère toujours sournoisement, dans les ténèbres? Ils ont encerclé la ville pour attraper Elisée.

Et alors, lorsque le jeune homme, son serviteur, s’est levé de bon matin et qu’il est sorti... En d’autres termes, c’était lui qui le faisait entrer, sortir et l’amenait çà et là, il était comme son serviteur. Après qu’il est sorti, il est revenu et a dit: «Hélas, mon seigneur, car toute la ville est encerclée par des chevaux et des chars de l’ennemi.»

Il a dit: «Eh bien, ceux qui sont avec nous sont en plus grand nombre que ceux qui sont avec eux.»

Eh bien, le jeune homme ne voyait personne à part Elisée. Alors Elisée a prié, disant: «Seigneur, ouvre les yeux de ce jeune homme, afin qu’il voie.»

Et le Seigneur a ôté le voile de devant le jeune homme. Il a alors regardé, et toutes les collines ainsi que les montagnes étaient couvertes de chars de feu, tout autour de ce vieux prophète. Eh bien, alors il n’a plus eu peur.

6          Oh! voici ce à quoi je pense ce soir: «Seigneur, accorde-nous de regarder au-delà du rideau de temps, jeter juste un petit coup d’oeil, voir ce qu’il en est.» Nous menons ici ce soir un grand combat: le vrai contre le faux; la Parole de Dieu contre la théologie moderne, cherchant d’apporter la–la Parole de Dieu... L’apporter aux gens alors que l’ennemi cherche à La cerner de tous côtés. Mais une seule personne constitue la majorité en Dieu.

Maintenant, remarquez, ce que je voudrais que vous voyiez, c’est qu’Elisée, cet homme qui était de Dieu, qui était appelé « l’homme de Dieu », n’a pas regardé aux choses naturelles. Il a regardé aux choses spirituelles. Il n’a pas considéré ce qu’il voyait; il a considéré ce qu’il ne voyait pas.

Et ce soir, chers amis chrétiens, nous regardons à l’invisible. Cela m’est juste venu à l’esprit pendant que frère Baxter apportait cette merveilleuse exhortation sur le surnaturel. Le surnaturel, c’est ce que vous ne voyez pas, mais que vous croyez, et vous continuez à agir comme si cela existait. Voyez-vous?

Toute l’armure des chrétiens est surnaturelle. Nous ne considérons pas ce que nous voyons; nous considérons ce que nous ne voyons pas. Vous ne pouvez être guéris qu’en considérant ce que vous ne voyez pas.

7          Quelqu’un m’a écrit une lettre aujourd’hui, une femme qui a été guérie du cancer, elle a dit: «Pendant les deux ou trois premiers jours, j’ai éprouvé un sentiment glorieux, un sentiment merveilleux. Ensuite, le troisième jour, a-t-elle dit, j’ai eu des complications horribles. Ai-je perdu ma guérison?»

Eh bien, cela devrait être expliqué dans chaque–dans chaque cas ce soir. Non, c’est le–c’est le signe le plus parfait de votre guérison. Après soixante-douze heures, la corruption s’installe dans la grosseur. Elle est morte. Cela va... Il se peut que... Parfois, Dieu va–peut accomplir un miracle, et il n’y aura même pas de grosseur.

8          Eh bien, je–je peux vous l’assurer. Dieu qui est mon Juge, que je sers, je... Avec des coupures de journaux, ça a été publié à la une, cela peut être prouvé ici à l’estrade. Des fois, j’ai vu des gens venir à l’estrade avec des cancers suspendus, suspendus sur leurs corps, et pendant que l’on priait, le cancer devenait blanc, tombait, se roulait sur le plancher, pendant que je priais pour eux.

Dieu qui est au Ciel, qui regarde du haut des cieux, sait que c’est vrai. Un journaliste se tenait là, il en a tiré une photo, l’a publiée à la une. C’est un journal chrétien dont les rédacteurs sont chrétiens, des hommes qui croient en Dieu, qui ont de la compassion pour les malades, pour les perdus.

Eh bien, aucune de ces choses ne nous ébranle. Dieu peut me révéler dans ma chambre d’hôtel ce que vous ne sauriez jamais. C’est donc tout à fait vrai. Toutes ces choses-là sont simplement–simplement... Laissez toujours le Seigneur le faire à Sa manière.

9          Eh bien, je me rappelle un cas... Si quelqu’un veut avoir ce numéro du journal, il peut encore obtenir un numéro de «L’Arkansas Gazette», qui est appelé le «Sun». C’est l’Associated Press, un grand journal qui a beaucoup, beaucoup de milliers d’abonnés. Eh bien, il y a là sur l’estrade... sa photo. Si vous le désirez, vous pouvez lui écrire pour recevoir ce numéro du journal, si vous le voulez. Et il se peut qu’il y ait un journaliste ici (je sais qu’il y en a), vous pouvez donc écrire vous-même pour être convaincu.

Très bien. Remarquez, à la une, vous verrez une très grande page, Et sur toute la première page, il y a une photo d’une femme qui avait été déclarée morte, qui était dans la ligne, on l’avait fait sortir de l’hôpital à cause du cancer du coeur, du côlon et du foie. On avait dit à l’infirmière et aux autres qui l’amenaient à travers les rues depuis Phoenix, en Arizona, que les médecins avaient dit à son mari qui... Son nom, c’est madame Hattie Waldrop, elle habite sur la rue...?... à Phoenix, en Arizona. Son mari est propriétaire d’une grande plomberie là-bas. Docteur Bosworth est censé être dans la réunion aujourd’hui, d’après ce que je comprends et le... suivant [Espace vide sur la bande–N.D.E.] Ça a été vraiment une soirée! Lui et moi, nous avons pris un dîner avec cette femme il n’y a pas longtemps.

10        Et là, elle avait un cancer du coeur, du côlon et du foie. Et on lui avait donné quelques heures à vivre. Et lorsqu’elle est entrée dans la ligne de prière, elle était à deux pâtées de maisons, et sa vie la quittait. Elle a dit: «Amenez-moi, même si je meurs, ma requête, c’est d’arriver devant ce frère.»

Et on m’a dit, après qu’elle était arrivée à la porte, on lui a couvert le visage, on a dit qu’il y avait un cadavre dans la salle.

Eh bien, ils sont passés, son mari pleurait. Et j’ai vu cette femme, je l’ai tenue par la main, j’ai palpé son pool. Elle... Apparemment, elle était froide. Je ne sais quel était son état. Et je me suis mis à prier pour elle, et j’ai demandé à Dieu de lui redonner la vie à cause de sa grande foi. Et peu après, elle s’est relevée de la civière et est rentrée chez elle.

11        Il y a de cela environ trois ans. Et son médecin avait utilisé des rayons X. Il est venu à la réunion. Il a dit: «Tout ce que j’aimerais faire, c’est m’avancer et serrer la main à frère Branham, et établir cette attestation.» Et là, un chrétien qui l’assistait (vous pouvez donc avoir son témoignage) a dit: «Il n’y a nulle part de trace de cancer sur elle, pas du tout.» Ça, c’est dans un coin. Et elle est venue là, à la réunion, pour serrer la main.

Et dans l’autre coin, vous verrez dans un endroit là un homme, un soldat américain, un ex-soldat américain, tout enflé, quand on l’avait amené par avion, ses jambes étaient... Ses orteils étaient gros comme ça: c’était le cancer. Et il se tenait là, pendant qu’on priait pour lui (... ça se trouve dans le journal), pendant qu’on priait pour lui, le journaliste rapporte: «J’ai vu de mes propres yeux le gonflement de ses membres diminuer.» Et ça faisait des semaines qu’il n’avait pas mangé à cause de cette grosseur. Alors, il a mangé la moitié d’un poulet frit, et il a terminé avec un demi-litre de glace. Et il est rentré à la maison, c’est Everett Sumpter.

Il se peut que frère Lindsay ait ce numéro du journal ici avec lui. Il en a. Je ne sais pas s’il en a avec lui ou pas.

12        Et dans l’autre coin, vous verrez là un prédicateur qui avait un cancer (c’est le journaliste lui-même qui rapporte) suspendu au cou, cela avait été causé par une blessure survenue lorsqu’il se rasait, il y avait de cela deux ans, et ça s’était dégénéré en cancer. Et il a dit: «Ce cancer, lorsque cet homme est monté à l’estrade, j’ai vu ça. Ça avait l’air vif et saignant. Et peu après, le Révérend monsieur Branham a prié pour cet homme, le cancer est tombé et a roulé sur son pied, nous l’avons ramassé et le voici. Il y a une profonde cavité au cou de cet homme, d’où cela est tombé.» Voilà la photo de cet homme se tenant là, elle est placée là, avec au cou une cavité d’où était tombé le cancer. Jonesboro, en Arkansas, le journal «Arkansas Sun». Ecrivez pour demander cela. Si vous le voulez, obtenez cela, votre attestation.

13        Et cela a continué, là environ vingt-six mille personnes étaient rassemblées depuis... depuis le Canada jusqu’au Mexique [Espace vide sur la bande–N.D.E.] il y avait de l’orage et de la pluie... des gens simples qui aimaient Dieu. Voyez? La foi...

Eh bien, nous regardons à l’invisible et nous croyons que ces choses invisibles, mais dont Dieu a parlé, deviennent des réalités. C’est ça. Bien des fois, cela marche. Pour la guérison, il y... Hier soir, j’ai essayé ici à l’estrade (jusqu’à ce que j’étais devenu inconscient) de parler aux gens, l’un après l’autre.

14        J’ai toujours voulu avoir un temps où je pourrais me débarrasser des cartes de prière, ne pas avoir des cartes de prière, de sorte que les gens, d’un commun accord, croient sans rien d’autre. Il m’a dit que je devais... «Ces signes sont accomplis uniquement pour amener les gens à croire.» Il a dit: «Tu es né dans ce monde pour apporter le don de la guérison divine aux gens sur la terre.»

[Espace vide sur la bande–N.D.E.] Alors, Il a dit... [Espace vide sur la bande–N.D.E.] «... les gens à croire.» Il a dit: «Si tu es sincère en priant, et que tu amènes les gens à te croire, rien ne résistera devant la prière, même pas le cancer.»

Bon, c’est vrai. J’aimerais en arriver à ne plus avoir des attroupements pour des cartes de prière, mais que tous, d’un commun accord, croient, soient guéris et s’en aillent. Un jour dans une ville, on va dans une autre; un jour dans une ville, on va dans une autre; des milliers sont guéris partout, et la gloire du Seigneur descend; c’est ce que je veux.

15        Moïse, sur base de ses signes... Il est allé et les a accomplis une seule fois devant Israël, et ils l’ont suivi dans un voyage de quarante ans. Est-ce vrai? Oui oui. Il a accompli cela une seule fois... Il a guéri la lèpre à sa main, il a fait du bâton–de la canne qu’il avait, la canne était devenue un serpent, puis c’était redevenu un bâton. Ils ont cru. Et alors qu’il y avait beaucoup de magie, d’imitations en ce jour-là... Jannès et Jambrès s’étaient opposés à Moïse. Mais Dieu avait veillé à ce que Sa puissance ait toujours de la prédominance et qu’elle ait le dessus. Voyez-vous? Toujours.

Il y a beaucoup de vrais et de faux aujourd’hui. C’est vrai. Et le faux voudra toujours soutenir que c’est lui qui est le vrai. Mais par ces signes, Dieu a confirmé cela. Et nous ne devons prendre la parole de personne d’autre en dehors de la Parole de Dieu. Sa Parole est infaillible. Les visions sont merveilleuses. C’est la voie initiale.

16        Juste une petite histoire sur la guérison, ça me vient à l’esprit. Je vais vite former une ligne de prière dans un instant. Je descendais... la nuit chez ma mère. Je priais. On dirait que j’étais entré dans une vision, quelque chose comme cela. Je me demandais ce qui se passait. Je regardais...

Nous avons grandi très pauvres. Maman, lorsqu’elle lavait les habits, elle les étalait simplement sur une chaise. On n’avait pas assez d’espace où les mettre, mais on les mettait juste sur une chaise.

...dans ma chambre, je pensais que c’était la chaise où on déposait les habits, c’était vers une heure du matin. Et d’habitude, les visions ont lieu entre une heure et trois heures. Alors, je regardais cela, je me suis dit: «Ce sont là les habits de maman.» Je me suis dit: «Certainement, il y a quelqu’un dans le besoin, sinon je ne me sentirais pas comme ça.» Je n’arrive pas à dormir. Je suis tellement fatigué maintenant même que c’est à peine si je peux me tenir debout. C’est vrai. Là, la nuit...

17        Vous qui priez, rappelez-vous, cela produit des effets sur moi. Voyez-vous? Quand–quand vous priez et que vous demandez ces choses, cela revient droit sur moi, et–et me garde éveillé pendant beaucoup d’heures la nuit.

Et je me suis dit que peut-être c’est ce qui se passait. Alors, j’ai commencé à me poser des questions. Peu après, cela a commencé à s’approcher de moi; j’ai remarqué que cela était devenu du moulage blanc, comme un nuage. Et je suis entré dans le nuage. Et alors, j’ai entendu une voix, comme celle d’un petit agneau bêlant: «Baa, baa.» Et j’étais loin dans les ténèbres. Et j’allais çà et là. Et je me suis dit: «Eh bien, juste un instant. Laissez-moi voir donc. C’était très clair.» J’ai dit: «Je ne rêve donc pas. Je me rappelle que j’étais au lit, en train de prier. Ceci est une vision.» Et j’ai dit–j’ai dit: «Oh, où est-ce, Seigneur?»

C’était dans les ténèbres, j’essayais de m’approcher de cela, tirant les branches qui avaient des ronces et tout. J’ai de nouveau entendu. Et je me suis emparé des ronces, cela me piquait à la main. Et ça a fait: «Baa », ça ne faisait que bêler. J’ai pensé: «Pauvre petit animal, il est perdu dans les ténèbres.» Et je me tirais d’affaire, comme ça. Et je me suis dit: «Seigneur, je ne sais pas ce que signifie cette vision, mais j’essayerai d’atteindre cet agneau.»

Et quand je me suis approché de cela, c’était une voix humaine. Et cela criait: «Milltown, Milltown.» Il criait très faiblement. Je me suis dit: «Oh! la la! Où? Où? Milltown?» J’ai dit: «Je n’en ai jamais entendu parler. Eh bien, je vais essayer d’y aller.» Et j’ai continué à avancer.

18        Peu après, j’ai commencé à entendre quelqu’un crier: «Frère Branham. Oh! Frère Branham.» Et je–je suis sorti de cette vision, j’ai regardé tout autour. Je me suis demandé: «Où suis-je?» J’étais debout dans une pièce, les mains levées, et j’ai entendu quelqu’un m’appeler à la porte.

Alors, lorsque le matin s’est levé, je suis allé à mon église ce soir-là, et j’ai dit: «J’ai eu une vision, j’ai entendu le nom de Milltown. Y a-t-il quelqu’un qui sait où ça se trouve?» Personne ne le savait. Le dimanche suivant, j’ai dit: «Il y a quelqu’un en difficulté dans une petite ville appelée Milltown. Probablement que je recevrai une–une lettre de quelque part m’invitant à une ville appelée Milltown. Il y a quelqu’un en difficulté. Je ne sais pas ce qu’il y aura. Il me faut simplement y aller.» J’ai dit: «Il se peut que ça soit là, dans une autre partie du pays.»

Et pendant que je parlais, il y avait un homme qui était assis là, qui a dit: «Frère Branham, je sais où se trouve Milltown.» Il a dit: «C’est vers... c’est un tout petit endroit dans le Sud, à trente, quarante miles [64,36 km –N.D.T.] au sud de Jeffersonville ou de New Albany, vers la partie sud de l’Indiana.» Il a dit: «J’habite près de là.»

J’ai dit: «Ce que... Comment ça s’épelle?»

Il a dit: «M-i-deux l-t-o-w-n, Milltown.»

J’ai dit: «C’est ça.»

Et quand il a dit cela, j’ai senti l’Esprit du Seigneur témoigner que c’était là le lieu. Alors j’ai dit: «Je trouverai cela. Indiquez-moi comment y arriver.» Et il m’a indiqué l’autoroute.

19        Et je suis allé chez lui, il m’a conduit à plusieurs miles à travers la contrée jusqu’à un petit village. Eh bien, c’était là Milltown.

C’était un samedi. Mais ce que... Tous les gens de la ville se déplaçaient pour faire des achats, c’est une petite ville d’environ mille personnes, c’est à peine s’il y en a autant.

Et je–j’ai dit: «Eh bien, peut-être que le Seigneur veut que je prêche ici même, au coin de la rue.» Alors, je suis allé remettre dix cents à un homme pour avoir une vieille caisse à savons sur laquelle je pouvais me tenir. Je suis sorti, je ne savais que faire, si ce n’était qu’aller à Milltown. C’est tout ce que je savais. Et j’ai dit: «Il y a quelqu’un en difficulté ici.» Et j’ai dit: «C’est peut-être un ivrogne ou quelque chose comme cela.»

Et j’ai commencé à monter sur la caisse à savons, regardant çà et là. Je n’y arrivais pas. Quelque chose me disait tout simplement: «Ne fais pas ça.» Eh bien, j’ai dressé la caisse à savons, un groupe de gens voulaient me poser une question, ils m’ont demandé: «Qu’allez-vous en faire?» Et j’ai répondu: «Je suis prédicateur, ai-je dit, mais je–je sens que le Seigneur veut que je fasse autre chose.»

20        Monsieur Wright est sorti du magasin, cet homme qui m’accompagnait, il a dit: «Je dois gravir cette colline-ci pour apporter des oeufs à un homme. Voudriez-vous m’accompagner?»

Et j’ai dit: «Oui, oui.»

Nous avons contourné la colline et nous l’avons gravie. Nous sommes passés par une vieille grande église, une grande église peinte en blanc. Et j’ai dit: «C’est une vieille belle église, elle surplombe la ville.»

Il a dit: «C’est une ancienne Eglise baptiste, Frère Branham.»

J’ai dit: «Quelle baptiste est-ce?»

Il a dit: «Missionnaire.»

J’ai dit: «Oh! eh bien, ce sont des baptistes dont je...» J’ai dit: «Qu’est-il arrivé?»

Il a dit: «Eh bien, quelque chose de mal s’est passé ici il y a quelques années. Un prédicateur a eu des ennuis, et il s’est retrouvé dans un grand pétrin.» Et il a dit: «L’église est tombée, et les–les gens de l’église l’ont donnée à la ville. Et on y tient des services funèbres.»

Je suis allé à la porte. Et quand je me suis approché de la porte, cela semblait être en meilleur état. J’ai essayé d’ouvrir la porte, elle ne s’ouvrait pas. Et je–j’ai dit: «Poursuivez votre chemin. J’attendrai ici sur les marches jusqu’à votre retour.»

21        Après qu’il eut gravi la colline, je me suis agenouillé. J’ai dit: «Seigneur, si c’est ça l’endroit où Tu veux que je sois, Tu veux que je tienne une réunion ici, ouvre cette porte pour moi. Ouvre la porte.» J’étais... Alors que j’étais encore en prière, j’ai entendu quelqu’un traverser la colline, venant vers là où j’étais; c’était un homme, il sifflotait. Il a dit: «Salut, prédicateur.»

J’ai dit: «Salut.»

Il a dit: «Tu observes l’église?»

Et j’ai dit: «Oui. Comment as-tu su que j’étais un prédicateur?»

Il a dit: «Monsieur Wright a dit que vous étiez un prédicateur. Il pensait que peut-être vous vouliez regarder à l’intérieur. J’ai simplement apporté les clés. » Il a ouvert la porte. J’ai dit: «Merci.» Je suis entré et j’ai regardé ici et là. J’ai dit: «Merci, Père céleste.» Et j’ai regardé tout autour, c’était une belle église, elle offrait environ trois cents places assises. J’ai demandé: «C’est à qui?»

Il a dit: «A la ville.»

Et je suis allé voir ces gens. Et on a payé pour l’électricité à l’entreprise, l’entreprise de service public où j’avais travaillé autrefois.

Et il a dit: «Allez de l’avant. Placez-y un compteur. Ça vous appartient tant que vous le voudrez.»

«Merci.» Et j’ai placé le compteur. Et j’ai annoncé un réveil pour le dimanche suivant.

22        Ce soir-là... Le jour où je sortais, j’ai dit à un homme qui habitait tout près sur la colline, j’ai dit: «Monsieur, ai-je dit, c’est moi frère Branham, je vais tenir une réunion par ici. Voudriez-vous venir?» Cet homme a dit: «Ecoutez, prédicateur.» Il a dit: «Nous n’avons pas le temps pour la religion ici. Nous élevons des poules.»

Il a dit... J’ai dit: «Eh bien, c’est très bien, mon ami. Mais un de ces jours, vous allez trouver du temps pour mourir.» Trois semaines plus tard, on l’a enterré.

Et alors, j’ai continué à contourner le flanc de la colline. J’ai rencontré beaucoup d’autres qui étaient très indifférents. J’ai commencé la réunion; et le premier soir, j’avais monsieur Wright, sa fille, ses deux filles, son fils et sa femme; cinq personnes. J’ai prêché de toutes mes forces. Et nous sommes donc allés de l’avant. Le soir suivant, nous avons eu le même groupe, seulement vers le moment où je montais en chaire, seulement quand j’étais assis sur l’estrade, lisant un passage des Ecritures... J’avais eu à conduire sur une bonne distance des voitures.

23        Alors, j’ai entendu quelque chose frapper sur le mur du bâtiment. C’était un homme qui tapait contre le mur avec une vieille pipe d’épi de maïs. Il est entré, un... Oh! c’était un homme horrible à voir, les cheveux lui pendaient au visage. Il a regardé ici et là, comme ça, une dent lui sortait par devant. Il a regardé tout le bâtiment et a demandé: «Où est ce petit Billy Sunday dont on parle?»

Monsieur Wright m’a parlé, disant: «C’est un gars difficile.» Il a dit: «C’est un... Il était membre de l’église des Nazaréens, mais il a rétrogradé et il maudit chaque prédicateur qui vient dans la ville.»

Je suis retourné et Wright a dit: «Voici monsieur Hall, Monsieur Branham.»

J’ai dit–j’ai dit: «Enchanté de faire votre connaissance.»

Il a dit: «Est-ce vous le prédicateur?» Il a dit: «Vous n’en avez pas l’air.» Et cela a... au sujet de... comme ça.

Et il s’est brouillé avec l’un d’eux, au sujet d’un sale type, comme ça.

J’ai dit: «Voudriez-vous vous asseoir?»

Il a dit: «Eh bien, je ferais mieux de m’asseoir un peu. J’aime chanter.»

Et j’ai dit: «Eh bien, nous ferons de notre mieux pour vous mettre à l’aise. Asseyez-vous.»

J’ai dit: «Voudriez-vous venir devant?»

Il a dit: «Non, ça m’importe peu d’être là devant.» Il a dit: «Je m’assoirai ici même.»

Il a dit: «Très bien. Prenez un livre de chants. Soyez à l’aise, monsieur.» Et on a continué.

24        Monsieur Wright est monté à l’estrade. Et lorsqu’il était sur le point de commencer à chanter, il a dit: «C’est le pire des gars qu’il y a dans cette ville.»

Et alors, je me suis levé là, j’ai pris mon texte sur l’homme riche qui a levé les yeux depuis l’enfer... [Espace vide sur la bande–N.D.E.] ...?... Il était à l’autel. Il est le pasteur de l’Eglise baptiste de Milltown là même, c’est un frère très aimable. [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

Eh bien, prenez donc son nom, vous pouvez écrire à la jeune fille. Elle... je vais attendre une minute avant de donner son nom et son adresse pour vous permettre de prendre votre crayon et un bout de papier. Elle habitait au bas de la colline. Et les gens de la famille sont membres d’une église dénominationnelle qui ne croit absolument pas dans l’Esprit ou... [Espace vide sur la bande–N.D.E.] la Parole est morte tant qu’Elle n’est pas vivifiée par l’Esprit, mais ils ne croient pas dans cela. Une église, je ne sais pas si vous en avez ici ou pas. Mais on avait donc annoncé que tout celui qui fréquenterait mon église...?... recevrait une lettre à son retour.

Alors, j’ai dit: «Très bien. Quelqu’un viendra.» Ensuite, nous avons eu une église pleine en hiver.

25        Alors, monsieur Hall est venu vers moi et a dit: «Frère Branham, il y a une petite fille qui est couchée là sur cette colline, elle a environ vingt ans. Elle est couchée sur le dos, à plat, ça fait neuf ans et huit mois, elle n’a pas quitté le lit, elle a la tuberculose partout. Les médecins ne l’ont même pas visitée pendant les trois ou quatre dernières années. Ils n’ont rien fait depuis l’année passée. Elle a la tuberculose à la gorge, aux poumons, dans les intestins, dans les organes de femme.» Et il a dit: «Elle a reçu votre petit livre il y a quelques mois. Elle pleure et prie, elle aimerait que vous la voyiez. Mais son père est diacre dans cette église-ci, et sa mère y est organiste. Alors, ils ne vous permettront pas d’y aller.» Et aussitôt qu’il a dit ça, quelque chose m’a dit: «Voilà l’agneau qui était attrapé par les cornes dans le désert.» Alors, je me suis dit: «Oh! eh bien, Seigneur, Tu frayeras une voie. Je vais tout simplement m’attendre à Toi.» Mais je savais que c’était le témoignage de l’Esprit. J’ai attendu.

26        Et finalement donc, après que la réunion avait pris fin, environ huit jours, j’allais rentrer chez moi. Et sur... Et ce jour-là, la mère avait accepté que j’y aille. Elle a dit: «Nous tous, nous quitterons la maison, s’il veut venir juste la satisfaire, mais nous quitterons donc la maison. Nous ne serons même pas là pendant qu’il sera ici.» Des hypocrites.

Et alors, j’ai dit: «Eh bien, j’irai de toute façon.»

Je suis allé là, je suis entré dans la chambre. Et quand j’entrais dans la chambre, j’ai reconnu que c’était elle la jeune fille. Je l’ai regardée. Elle pesait trente-sept livres [16,78 kg –N.D.T.] Il ne lui restait que des os. Elle n’arrivait pas à lever la main. Elle n’arrivait même pas à lever son crachoir. Sa mère avait attrapé la paralysie, c’était une jeune belle femme, elle avait grisonné au possible, et elle s’asseyait là. Et on n’avait même pas... la femme avait... La jeune fille n’avait jamais regardé par la fenêtre depuis huit ans. Neuf ans et huit mois, elle était alitée. Il... Tout aussi clair, mais ceci est... On ne pouvait même pas la faire asseoir sur le bassin hygiénique. Et elle avait une alaise qui était placée en dessous d’elle, on changeait simplement cette alaise, comme ça. Et alors... et elle... Ses membres étaient à peu près gros comme ceci à ce niveau-ci.

27        Et écrivez-lui donc. Je vais vous donner son nom. Mademoiselle Georgie Carter, C-a-r-t-e-r, G-e-o-r-g-i-e, mademoiselle Georgie Carter, Milltown, Indiana. Elle recevra le courrier et vous écrira son témoignage. Ecoutez, elle vous dira la même chose. Et demandez l’attestation médicale de son médecin et tout également, cela vous parviendra.

Alors, lorsque je traversais la colline, tous les chrétiens disaient: «Si cette jeune fille est guérie, on poussera des cris partout dans cette contrée.» Mais c’est exactement en ce moment-là qu’il vous faut veiller. Dieu n’opère pas de guérison pour faire parade. Voyez-vous? Cela ne se fera pas ainsi. Généralement, c’est chez la personne la plus dure au monde que s’opère la guérison. Mais lorsque tout le monde est dans l’attente, alors tous les démons ont leur puissance focalisée juste sur cela, avec l’incrédulité. L’incrédulité, c’est la puissance des démons, évidemment. Celui qui ne croit pas est déjà condamné.

28        Eh bien, remarquez, je suis entré, j’ai prié pour la jeune fille. Et elle m’a dit avoir lu là où...dans un journal, là où une autre fille, par une vision (elle était estropiée toute sa vie, estropiée, c’était un membre de l’Eglise méthodiste à Salem, dans l’Indiana. Son nom, c’est Nail.) et comment le Seigneur avait agi par une vision, m’avait envoyé au désert, et j’avais cherché dans des collines et je l’avais trouvée. Et les journaux avaient publié un article là-dessus, comment elle avait été guérie. Ses jambes s’étaient redressées et tout, et cela avait suscité un réveil dans toute cette contrée. Et elle re-... Elle a fréquenté l’école après cela. Cette jeune fille est maintenant mariée. Elle avait environ seize ans, elle en a maintenant vingt, je pense, dix-huit, vingt. Et elle était dans une situation horrible. Et Georgie m’en a parlé.

Eh bien, j’avais vu le visage de cette jeune fille-là en vision. J’avais prié pour elle et j’étais parti. Très bien. Quelques semaines après, je lui ai parlé... Il a dit: «Si le Seigneur vous parle, Frère Branham, venez vers moi.»

J’ai dit: «Je le ferai.»

J’ai dû vraiment m’abaisser. Elle n’arrivait pas à lever son crachoir, elle se mettait à tousser, elle faisait [Frère Branham illustre cela.–N.D.E.] Et sa mère devait soulever le crachoir, comme ça. Elle n’arrivait même pas à lever ses mains. Ses mains... Son visage n’avait pas de chair à ce niveau-ci, on dirait que ce n’était que les os de son crâne, et les–ses yeux étaient enfoncés. Oh, c’était le plus... Elle n’arrivait même pas à tourner sa petite tête.

29        Alors, j’ai regardé derrière et j’ai dit... Il y a quelques jours, j’étais là-bas, je regardais ce petit vieux lit. Et elle m’a fait entrer pour que je lui montre cela. Et c’était là, toute la peinture avait été enlevée de barreaux par le frottement, juste là où, année après année, elle avait saisi en criant, en pleurant, en implorant, comme cela, elle s’était accrochée à cela, et cela avait enlevé la peinture de colonnes de lit, comme ça. Mais Dieu avait entendu ses pleurs peu importe la foi dans laquelle elle avait été élevée.

Alors, je–je suis sorti, j’ai tenu une réunion. Je suis allé chez monsieur Wright quelques jours après cela pour prendre un dîner. Ces gens là-bas ont dit... Lorsque nous tenions un service de baptême sur la rive d’une rivière, beaucoup de fidèles de cet homme-là se tenaient là. Je suis entré dans la rivière, et j’ai dit: «On dirait que les Anges de Dieu sont tout près.» J’ai commencé à baptiser. Et là, il y avait beaucoup de gens qui étaient candidats au baptême, l’un après l’autre, ces gens qui étaient venus de l’église de cet homme-là sont directement entrés dans l’eau et se sont fait baptiser dans leurs beaux habits et tout, et ils sont directement sortis. Dieu entrera en action. Vous, tenez-vous simplement tranquille et laisser Dieu faire la chose. Voyez-vous? C’est vrai. Ayez foi en Lui. Il fera tout marcher correctement.

30        Et alors, je suis allé dans–je suis allé cette nuit-là. C’était la dernière soirée de la série de réunions, j’allais prendre un dîner chez monsieur Wright. Et nous étions là. Et j’ai dit: «Frère Wright, on dirait que je dois aller prier dans le bois. Le Saint-Esprit me conduit non pas à manger, mais à prier. »

Et alors, je suis monté dans le bois et je me suis agenouillé. Et c’était tard dans l’après-midi. Et j’ai prié. Et chaque fois que je levais les mains, je saisissais ces branches avec des épines, cela m’écorchait les mains. J’ai... On dirait que je n’arrivais pas à m’agenouiller, cela me faisait mal aux genoux. Vous savez comment ça se passe. Et j’ai continué à essayer de prier. Et je me suis agenouillé.

Eh bien, elle a dit–elle m’avait dit avant que je quitte: «Lorsque sa mère sonnera la cloche, on ira aussitôt au–au souper.»

Et alors, j’ai entendu la cloche sonner, mais j’étais dans l’Esprit, en train de prier, et je suis tout simplement resté là. Et j’ai continué à prier: «Ô Dieu, quel est ce fardeau qui est sur mon coeur? Ai-je fait quelque chose? Ou... quelque chose que Toi Tu veux.» Et j’ai senti que l’Ange du Seigneur était proche, alors je me suis relevé. C’était clair tout autour du petit buisson de cornouillers. Il y avait la Lumière jaune verdâtre. J’ai entendu une voix dire: «Va chez les Carter.»

31        Je me suis relevé et j’ai crié à tue-tête. J’ai traversé le champ. On cherchait...des équipes de recherche me cherchaient. J’ai pratiquement sauté en plein dans les bras de frère Wright.

Il a dit: «Frère Branham.» Il a dit: «Maman vous attend; ça fait des heures.» Il a dit: «Nous serons en retard pour la dernière réunion.»

J’ai dit: «Nous n’irons pas prendre le souper. Mais AINSI DIT LE SEIGNEUR, voici la soirée où Georgie Carter va être complètement guérie, dans quelques instants.»

Il a dit: «Frère Branham, veux-tu vraiment dire cela?» Il a dit: «Est-ce que cela vient de Dieu? Alors toute cette contrée se convertira à Dieu.»

J’ai dit: «AINSI DIT L’ANGE DE DIEU, qui m’a nourri depuis ma naissance sur cette terre, et qui ne m’a jamais menti, Georgie Carter va être une jeune fille bien portante à la prochaine heure.»

Alors, les gens ont commencé à se rassembler sur la colline, il a dit: «Allons, deux hommes.»

32        Et au même moment, sa mère qui critiquait... Georgie pleurait et priait, parce que sa mère me traitait comme elle me traitait. Et alors, elle est entrée dans la cuisine et s’est agenouillée pour prier. Elle a dit: «Ô Dieu, a-t-elle dit, ce vaurien de Branham qui parcourt cette contrée-ci, a-t-elle dit, il a complètement embrouillé mon enfant là, et, a-t-elle dit, cette pauvre petite enfant est couchée là mourante. Et aujourd’hui, a-t-elle dit, elle ne fait que pleurer, et ses petits yeux deviennent rouges.» Elle a dit: «Il l’a complètement bouleversée avec beaucoup de psychologie.» Elle a dit: «Ô Dieu, maudis cet homme, ou fais quelque chose », comme ça, et elle a continué, elle a dit: « Oh...» En priant.

Et quand elle s’est mise à prier, elle a pensé que sa fille qui habitait à côté passait. Elle a vu une ombre sur le mur. Et elle a laissé... Vous pouvez recevoir son propre témoignage sur... si vous lui écrivez. Elle a dit que c’était tout aussi clair que jamais, elle a vu Jésus venir, marchant à travers ce mur. Il a traversé cela. «Ne touchez pas à mes oints.»

Elle a dit: «Qui vient?» Et elle a regardé, elle a dit qu’elle m’a vu venir, je tenais sur mon coeur cette même Bible, comme ça. Elle a dit qu’elle a vu mes cheveux clairsemés sur le front. Elle a dit: «Eh bien, c’est ce prédicateur-là.» Alors, elle a sauté. Elle a dit: «Ô Dieu, s’il Te plaît. Etais-je en transe, ou qu’est-ce qui m’arrive? J’ai perdu la tête. »

Elle est entrée dans la chambre en courant, elle a dit: «Georgie, tu sais?»

33        Et vers ce moment-là la porte s’est fermée. Et me voici venir exactement tel qu’elle avait vu cela en vision. Et j’allais là tenant une Bible sur mon coeur, et deux hommes me suivaient. Oh! la la! Quand il–il n’y a pas un démon en enfer qui ait le pouvoir d’arrêter cela en ce moment-là. Dieu l’a déjà dit; la prière a déjà été exaucée. C’est vrai. Quelque chose doit arriver.

J’ai commencé à m’approcher; frère Hall continuait à me dire, il disait: «Frère Branham, voudriez-vous que j’aille le premier?»

Je ne disais rien. Et mes amis, en tant que votre frère ici ce soir, j’avais senti quelque chose me quitter, on dirait que je pouvais me voir moi-même monter ces marches.

34        Je suis monté jusqu’à la porte, j’ai ouvert la porte. Et la jeune fille était couchée là, la pauvre petite créature. Et ses lèvres tremblaient. Sa mère était intriguée. Elle n’avait pas fini de lui raconter ce qui était arrivé, comme ça. Je me suis avancé vers le lit, je lui ai imposé les mains. J’ai dit: «Georgie, Jésus-Christ, qui m’avait donné la vision d’un agneau accroché dans le désert, quelque part par ici, m’est apparu aujourd’hui dans le bois et m’a envoyé ici, afin que je puisse t’imposer les mains et que tu sois guérie.»

Je l’ai tenue par la main et j’ai dit: «Comme le Seigneur Dieu me l’a dit: Au Nom du Seigneur Jésus-Christ, lève-toi et sois guérie.» Et comment allait-elle se lever avec des membres gros comme ça, qui n’avaient pas bougé depuis neuf ans et huit mois, elle qui était restée immobile au lit? Mais lorsque Dieu parle, Il donne la force. C’est vrai. Je l’ai tenue par la main... Elle m’a regardé comme ceci, et ses yeux semblaient être fixes.

Et je l’ai tenue par la main, je l’ai relevée de son lit. Et, dans moins de temps, elle a parcouru la maison. Elle criait. Sa mère est tombée à la renverse dans la chambre, elle s’est évanouie. La jeune fille avait ouvert la porte, elle est sortie, elle s’est assise sur la pelouse et s’est mise à bénir la pelouse, bénir les feuilles. Que son petit coeur soit béni. C’était la première fois qu’elle voyait les feuilles et la pelouse depuis pratiquement neu-...plus de neuf ans donc. En effet, elle était alitée, et–et les gens ont commencé à accourir de partout dans le voisinage.

35        Je suis sorti et je me suis dirigé vers les collines, vers l’église. Je ne pouvais pas rester là, l’onction ne faisait que bénir tout autour. J’ai commencé à gravir la colline... Elle est rentrée à la maison en courant, elle s’est assise au piano. Après quelques instants, son père qui venait de la colline portant un petit seau de lait, là où se trouvait leur étable... Il a traversé, il a vu la foule. Il a commencé à entendre cette musique. Il a dit: «Quoi, nous avons du monde? Ecoutez les gens là...» Et lorsqu’il a franchi la porte, il n’y avait que sa seule fille bien-aimée qui était assise là, en train de jouer:

Jésus, garde-moi près de la croix

Il y a une Fontaine précieuse,

Gratuite pour tous, un flot guérissant,

Qui coule de la Fontaine du Calvaire.

Il se tenait donc là, il a laissé tomber son seau, il l’a entourée de ses bras et a dit: «Chérie, qu’est-ce?»

Elle a dit: «Celui que vous taxiez de vaurien, le Seigneur Jésus l’a envoyé ici. Il m’a imposé les mains, et me voici guérie.»

Et elle est ma pianiste à l’Eglise baptiste de Milltown aujourd’hui. Elle est parfaitement normale et en bonne santé, et tout aussi en bonne santé que quiconque est assis dans ce bâtiment ce soir. Ecrivez-lui, vous verrez.

36        Voici venir le docteur là, celui qui l’avait assistée... [Espace vide sur la bande–N.D.E.] Jésus-Christ. Amen. [Espace vide sur la bande–N.D.E.] Et tout aussi puissant ce soir qu’Il l’était alors. Ecoutez, vous qui êtes ici, ceci peut vous sembler étrange. Peut-être que vous n’êtes... [Espace vide sur la bande–N.D.E.] ...?... le prince de la puissance de l’air. Satan est toujours prêt à essayer de tripoter quelque chose dans votre esprit. Mais ce soir, affectionnez-vous aux choses d’en haut, là où Christ est assis à la droite de Dieu. Et rappelez-vous, la Bible dit: «Il est le même hier, aujourd’hui, et éternellement.» Et si Son Esprit est ici, Il révélera des choses aujourd’hui comme Il l’avait fait autrefois. Les cieux et la terre passeront, mais Ses Paroles ne passeront jamais. Ayez foi en Dieu. Ne doutez pas.

37        Ecrivez à Georgie. Demandez-le-lui. Non seulement à elle, mais je peux me tenir ici jusqu’à l’aube, à vous raconter des cas qui sont arrivés pendant les quatre dernières années. Cela arrive jour après jour, c’est infaillible.

Dieu est ici maintenant. Votre attitude... leur dire tout simplement de croire au Seigneur de tout leur coeur. Recevez Dieu. Très bien. Prions.

Ô Père, oh, si seulement mes lèvres pouvaient prononcer des mots, ma langue exprimer des louanges qui Te sont dues! Ô Seigneur, Tu sais ce qu’il en est de Georgie. Tu sais tout à ce sujet. Ô Seigneur, Tu sais que Ton serviteur a dit ce qui est la vérité. Et devant ces gens, au Grand Jugement, je me tiendrai pour rendre compte. Si j’ai dit un mensonge, je serais alors rejeté, renvoyé loin de mes bien-aimés, renvoyé loin de Jésus, sans espoir et condamné. Ô Dieu, je n’aimerais pas faire cela. J’aimerais être véridique et honnête.

Et je sais qu’il y a beaucoup d’incrédulité dans le monde. Tu as dit que dans les derniers jours, il y aura des moqueurs, les gens seront emportés, enflés d’orgueil, aimant le plaisir plus que Dieu, déloyaux, calomniateurs, intempérants, ennemis des gens de bien, et même haïs. Ils seront un groupe de religieux, ils auront l’apparence de la piété, mais renieront ce qui en fait la force. Eloigne-toi de tels hommes; il est dit que l’Esprit dit expressément que, dans les derniers jours, ces signes arriveront.

38        Père, nous voici ici et nous sommes heureux, comme des disciples, de porter l’opprobre de Ton Nom. Ce soir, nous voulons un témoignage comme celui de Paul d’autrefois: « Je sers le Dieu de mes pères selon la voie qu’ils appellent une secte. » Selon la voie dont on parle en mal, qu’on taxe de secte, de folie, d’insensé, de névrotique, Dieu est effectivement... Satan a mis son homme à l’oeuvre, mais je suis reconnaissant que Toi, Tu aies les Tiens. Et nous sommes contents d’être de Ton côté ce soir, croyant tout. Et nous sommes contents que Tu sois avec nous, confirmant la Parole par des signes et des prodiges qui L’accompagnent. Accorde que les gens voient, Seigneur, et qu’ils se détournent de leur méchanceté et qu’ils se tournent vers Christ ce soir avant qu’il ne soit éternellement trop tard, avant qu’ils ne puissent être ôtés de la face de la terre pour aller en enfer du diable, aller à la tombe sans Christ, passer l’éternité sans fin, sans Dieu, sans espoir, sans miséricorde. Ceci est le jour de la repentance. Ceci est le jour de l’homme. Le jour du Seigneur arrivera.

Maintenant, aide-nous, ô Dieu. Il y a beaucoup de Tes enfants ici ce soir qui se sont rassemblés, qui sont malades. Tu t’es mu sur eux comme Tu l’as fait autrefois sur Siméon, et Tu les as amenés ici dans le but d’être guéris. Aide-moi à avoir foi avec eux, Père. Puisse leur foi s’accorder, et que nous tous comme un seul homme maintenant, une seule unité, alors que nos prières vont constamment, sans cesse... Comme ils priaient à la maison de Jean Marc, sans cesse, Tu avais envoyé un Ange là, et Il avait ouvert les portes de la prison et Il en avait fait sortir l’apôtre.

Beaucoup de Tes enfants sont dans la prison des afflictions, de la maladie, et des affections. Puisse l’Ange de Dieu venir sur Ton serviteur ce soir et briser chaque chaîne. Accorde-le, Seigneur. Puissions-nous franchir les portails de la ville en nous réjouissant, étant heureux, louant Dieu pour Sa bonté. Au Nom de Son Saint Fils Jésus, nous demandons cette bénédiction. Amen.

39        Ayez foi; ne doutez pas. Je prends beaucoup de temps. Je suis désolé. Et je me tiens ici, je sais que beaucoup ne peuvent pas entrer dans la ligne... S’ils ne le peuvent pas, pourquoi alors... Si vous avez foi dans la Parole de Dieu, vous serez guéris n’importe où. Croyez-vous cela, madame, de tout votre coeur? Cette dame qui a un petit enfant, vous êtes en difficulté, n’est-ce pas, soeur? Que Dieu bénisse votre coeur. Je vois que vous êtes inquiète. N’est-ce pas? Regarde dans cette direction-ci, soeur. Je suis désolé pour vous. Oui, vous êtes–ce n’est pas vous; vous vous inquiétez au sujet de votre enfant. N’est-ce pas vrai? Il y a quelques instants, vous étiez en train de prier ou de faire quelque chose comme cela, n’est-ce pas? Vous demandiez à Dieu de m’accorder de vous parler au sujet de cet enfant. N’est-ce pas? Je ne lis pas vos pensées, j’ai senti cela il y a quelques instants quand... Il y a tout un groupe dans ce coin-là qui est en train de prier. C’est...qu’y a-t-il avec votre enfant? Savez-vous que Jésus a guéri cet enfant quand Il est mort là au Calvaire? Il en a payé le prix.

Eh bien, votre enfant, ce qui ne va pas chez lui... Votre enfant a environ trois ans, je pense, quelque chose comme cela. N’est-ce pas? Et sa croissance s’est arrêtée, et il ne se prend pas en charge. Est-ce vrai? Croyez-vous en moi? Très bien. Si vous croyez, acceptez la guérison pour l’enfant maintenant même.

Le voici dans les bras de sa mère maintenant, et sans qu’on le tienne. Elle a enlevé ses bras autour de lui. Disons: «Gloire au Seigneur.» Cet enfant se reprend en charge maintenant. Très bien. Tout le monde, soyez respectueux.

40        Cette petite fille qui est assise juste à côté de vous, chérie, crois-tu que frère Branham te dit la vérité? Cette petite fille-là, qui a de mauvais yeux, vas-tu croire que Jésus va te guérir? Vas-tu le faire? Très bien, j’aimerais que tu places ta petite main sur les yeux, comme ceci. Dis: «Bien-aimé Jésus, guéris-moi.» Que Dieu te bénisse, chérie; tu vas recouvrer la vue.

Madame, pourquoi vous faites-vous des inquiétudes, vous qui êtes assise à côté d’elle là, avec le mouchoir? Bien. Regardez dans cette direction, soeur. Il y a quelque chose qui ne va pas en vous. Oui. Vous aussi, vous avez également de mauvais yeux, vous êtes nerveux, n’est-ce pas? Vous avez eu un... très... le démon de l’oppression. N’est-ce pas vrai? L’oppression vous dérange tout le temps, la nervosité, n’est-ce pas vrai? Que Dieu vous bénisse. Si je vous dis que vous êtes guérie, allez-vous me croire? Très bien. Rentrez chez vous, vous êtes guérie. Que Dieu vous bénisse.

41        Qu’en pensez-vous, soeur? Qu’en pensez-vous? Je vois que vous avez aussi des problèmes, n’est-ce pas? Eh bien, soyez respectueux, tout le monde. Maintenant, ce sont des esprits qui louchent. Ce petit garçon assis ici est en train d’exercer une attraction sur moi. Eh bien, tout le monde, soyez vraiment respectueux au possible. Regardez ici, soeur. Vous vous inquiétez au sujet de quelque chose; c’est quelque chose de mal, parce qu’il fait vraiment sombre autour de vous. Vous–vous avez été chez le médecin récemment, n’est-ce pas? Et on vous a consultée. Eh bien, voyons. Ayez foi. Croyez-moi de tout votre coeur. Oui, vous souffrez d’une maladie de femme. Le médecin n’est pas très sûr là-dessus; il a raison. Il a dit que c’était... Ça pouvait être un cancer. Est-ce vrai? Très bien, c’est, ou c’était plutôt... Maintenant, vous êtes guérie. Vous avez votre guérison. Maintenant, regardez dans cette direction, soeur. Croyez-vous cela?

S’il vous plaît, soyez respectueux, tout le monde. Ne... Soyez–soyez–soyez respectueux, s’il vous plaît.

Vite, il y a quelque... Il y a quelque chose... Un rapport. Vous ici, monsieur, vous qui êtes assis ici avec «La Voix de la Guérison» en mains, vous qui êtes assis sur le banc devant. Il y a un rapport entre vous et cette femme-ci. Vous étiez très heureux lorsqu’elle était... C’est peut-être votre... C’est votre soeur ou votre femme, l’un ou l’autre. C’est votre femme, n’est-ce pas? C’est vrai. Vous êtes aussi dérangé. Vous l’étiez. Vous et votre femme, rentrez chez vous et soyez heureux, car vous êtes guéris.

42        Qu’en est-il de vous, soeur, vous qui êtes assise là en train de pleurer? Vous êtes nerveuse, n’est-ce pas vrai? Très bien. Dieu vous a aussi guérie... Vous êtes...

Pourquoi as-tu incliné la tête, chérie, juste derrière cette petite fille. Tu as aussi beaucoup d’ennuis, n’est-ce pas? Hein? Une affection de gorge, n’est-ce pas? Tu es sur le point d’être opérée, est-ce vrai? Tu es sur le point d’être opérée. Tu es censée subir une opération à la gorge. N’est-ce pas vrai? Très bien. Crois au Seigneur maintenant même et sois guérie. Vas-tu faire cela?

Aie–aie foi en Dieu. Il est ici pour faire...

Maintenant, juste un instant. Il y a juste ici quelqu’un qui est très abattu et qui souffre sérieusement. Juste un instant. Il y en a tellement que j’arrive à peine à identifier. Eh bien, c’est un cas très grave, où que ça se trouve. Juste un instant. Oui, c’est ici. Il s’agit d’une dame qui est assise juste ici, elle porte une robe noire fleurie. N’est-ce pas que vous avez des ennuis, soeur, que vous souffrez? N’est-ce pas? N’est-ce pas vrai? Un tas...?... Regardez dans cette direction. Oui, soeur. Quelque chose doit être fait pour vous si... Vous avez beaucoup de tumeurs (N’est-ce pas vrai?), des tumeurs ou quelque chose comme cela sur vous. Levez-vous. Est-ce vrai? Ayez foi en Dieu et votre tumeur vous quittera, soeur. Croyez-vous de tout votre coeur? Eh bien, regardez droit...?... Vous vous sentez mieux maintenant, n’est-ce pas, soeur, ici au bout du siège? Oui, oui, madame. C’est fini maintenant. Vous allez vous rétablir.

43        Cette dame, votre amie est assise là, elle continue à vous parler. Vous vous demandez tout simplement pourquoi je ne vous ai pas appelée, n’est-ce pas? C’est ça. Vous vous posez la question. Je ne suis pas en train de lire vos pensées, mais vous vous demandiez pourquoi je ne vous avais pas saisie là. Je ne peux pas encore dire exactement ce qui ne va pas en vous, soeur. Levez-vous, s’il vous plaît. Eh bien, croyez de tout votre coeur. Voyez, je vous prends par-dessus ces autres vibrations qui viennent si vite que je n’arrive pas... Eh bien, juste un instant. Levez la main, comme ceci. Je ne suis pas très sûr de quelque chose. Mettez deux pouces, comme ceci, placez cela autour de vous, comme ceci, plus loin, plus loin comme les miens. Vous avez touché cela donc. C’est votre foie. Est-ce vrai? C’est vrai. Je ne savais pas si c’était vos reins ou votre foie. Très bien. Jésus-Christ vous guérit, soeur. Allez, ayez bon courage...?... car Dieu sait que...?...

44        Ayez foi en Dieu. Combien de cartes de prière y a-t-il encore dans la salle? Que Dieu vous bénisse, maman. Qu’il vous soit fait... Très bien. Allez-vous croire de tout votre coeur?

Je me demande combien croient maintenant même. Eh bien, ne soyez pas agités maintenant, soyez simplement respectueux. Prenons juste... Je suis un peu indécis ici sur la façon dont l’Esprit du Seigneur se meut. Beaucoup parmi eux veulent être–avoir une ligne de prière, beaucoup voudront avoir une ligne de prière maintenant même. Moi, non plus, je ne sais pas pourquoi. Très bien. Soyez respectueux, juste dans quelques instants.

L’Esprit du Seigneur est ici. Allez-vous croire de tout votre coeur? Maintenant, j’essaie simplement. Vous devriez vous abandonner à Dieu, une vie douce, abandonnée à Lui, ça L’amènerait à...?...

45        Prions. Père céleste, Tu sais tout, et Tu sais ce qui est et ce qui n’est pas, et ce que Tu es...?... Ô Dieu, bénis cet auditoire; accorde cela maintenant. Puisse Ton Esprit être sur l’auditoire, le veux-Tu en ce moment, Père? De tout mon coeur, s’il Te plaît, Dieu bien-aimé, si nous formons une ligne de prière, il y aura ces gens-ci qui viendront à l’estrade, ça ne sera que pour tous ceux-ci. Mais nous devrions maintenant croire que Tu es ici, Seigneur, et que Ton onction est juste en train de paralyser Ton serviteur, elle se déverse comme des vagues. Ô Jésus, puissent les gens recevoir une touche de cela en ce moment, qu’ils soient guéris. Accorde-le, Seigneur, par Jésus-Christ. Oh, vous tous... S’il vous plaît, mon bien-aimé frère, ma bien-aimée soeur, croyez-moi en tant que Son serviteur. Il n’y a rien dans cette salle qui ne puisse être guéri. Croyez-vous cela dans un...

46        Combien ici acceptent leur guérison maintenant même? Dites: «Dès ce moment, par la grâce de Dieu, je suis guéri», et rentrez chez vous et dites: «Je suis guéri par Christ.» Levez-vous, vous qui acceptez la guérison, maintenant même. Et c’est vrai. Amen. C’est ainsi qu’il faut s’y prendre. Alléluia!

Ô Dieu, combien je Te remercie pour Ta bonté, Seigneur, je sais que je ne peux pas...?... plus longtemps. L’heure est arrivée où ils ont accepté leur guérison.

Ô démons, vous avez perdu votre puissance. Vous avez perdu le contrôle. Et vous irez dans les ténèbres du dehors maintenant, et la gloire de Dieu va être manifestée dans cette ville et dans cette contrée, comme quoi le Seigneur Jésus-Christ guérit les gens.

Merci, Père. Merci, Seigneur. Que tous ceux qui acceptent leur guérison, lèvent la main et disent: «Merci, Jésus, de m’avoir guéri. Merci, Jésus, de m’avoir guéri.» Rendez-Lui gloire.

 

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