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Enfant prodigue
1
[Cet
enregistrement est de trÚs mauvaise qualité et beaucoup de parties sont
inaudibles ; et câest pourquoi elles ne peuvent pas ĂȘtre
transcrites.âN.D.E.]
Merci, FrĂšre Paul. Bonsoir, assistance. Je mâen rĂ©jouis
vraiment beaucoup, de savoir que je suis encore le bienvenu aprĂšs
toutes les
prédications, tous les chants, tous les témoignages. Cela montre que
nous avons
une communion mutuelle. Ăa ne finit pas... mĂȘme la mort ne nous sĂ©pare
pas les
uns des autres. Nous continuerons Ă vivre quelque part. Lâamour
continue Ă
vivre ; aprĂšs que toutes choses auront disparu, lâamour demeurera
toujours. Les
prophĂ©ties prendront fin ; les langues cesseront, mais lâamour durera
éternellement...?...
2
Je suis
heureux dâĂȘtre ici, comme je le rĂ©pĂšte cet aprĂšs-midi, et dâavoir cette
occasion de vous parler juste quelques instants. Il fait chaud. Et ce
soir, il
y aura un service de guĂ©rison, câest la fin du rĂ©veil. Et nous allons
essayer
ce soir, si possible, de nous occuper de rendre service Ă tous ceux Ă
qui nous
pouvons, et de consacrer le plus de temps Ă prier pour les
malades...?...
Eh bien, je suis rentré à la maison trÚs tard. Le
lendemain aprĂšs...?... le samedi, le vendredi soir... Et puis, le
samedi matin,
jâai eu un service. JâĂ©tais vraiment en retard le samedi aprĂšs-midi,
jâai eu
plusieurs cas dâurgence dont il fallait mâoccuper Ă la fois. Et puis,
jâai
quittĂ© le service hier soir et je suis rentrĂ© il nây a pas trĂšs
longtemps,
environ une heure.
Jâai un service cet aprĂšs-midi et ce soir. Demain Ă midi,
je tiendrai un service Ă New Albanie, dans lâIndiana. Vous voyez donc
que nous
restons constamment en mouvement. Mais nous sommes trĂšs content dâĂȘtre
nâimporte oĂč oĂč nous pouvons dire ne fĂ»t-ce quâun petit mot,
travaillant
pour...?...
3
Je suis
trÚs reconnaissant pour les ministres ici présents et, on dirait, ça
les a
inspirĂ©s, ou ça les aide. Et câest lĂ le but de notre prĂ©sence ici,
câest
dâessayer dâaider les autres. Nous... Je ne pourrais jamais apporter le
Message
au monde entier, moi seul. Il faudra des milliers dâentre nous ensemble
pour le
faire, et ensemble, quand nous pouvons nous unir, oubliant nos églises,
nos
doctrines, et tout, pour ne connaĂźtre que cette Chose unique: Christ,
et Christ
crucifié, et savoir cela parmi nous. Et je crois que Dieu est sur le
point
dâaccomplir une oeuvre merveilleuse tout de suite. Je crois que nous
allons
voir une action de lâEsprit, telle que nous nâen avons jamais vu dans
tous les
Ăąges.
Et je me sens conduit Ă dire ceci (je lâai senti depuis
quelque temps, les quelques derniĂšres semaines), que je crois que la
petite
portion que Dieu mâa donnĂ©e pour essayer de rendre service ici si
seulement
je...?... attendant quelque chose dâautre qui sera plus merveilleux que
ce que
vous ayez jamais...?... Ces miracles que Dieu mâa donnĂ©s dâaccomplir
devant les
gens. Je crois que ça sera plus gracieux que jamais dans lâIndiana.
Priez pour
moi. Et les autres peuvent saisir lâinspiration et sâapprocher de Dieu
comme
une grande armée chrétienne en marche.
4
Jâaimerais
le redire pour ma part: les petits cadeaux et autres qui mâont Ă©tĂ©
donnés cette
semaine, je nâai pas eu lâoccasion dâouvrir certains dâentre eux,
jusquâĂ ce
que jâarrive Ă la maison, tout ce que...?... au point que la petite
fille ce
soir-lĂ , quand je suis arrivĂ© Ă la maison... Quelquâun mâa donnĂ© une
boĂźte de
biscuits et...?... Ma fillette était trÚs ravie de les avoir.
Maintenant...?... cet aprĂšs-midi, je nâaimerais pas
prendre beaucoup de temps... Combien ici présents dans la salle
aujourdâhui
sont des chrétiens? Faites voir les mains, des chrétiens, partout dans
la
salle. Oh! la la! Y a-t-il un...?... ou Ă©tant donnĂ© que vous nâĂȘtes
pas...?...
[Espace vide sur la bandeâN.D.E.] [La bande est inaudible.âN.D.E.]
TrĂšs bien...?... je me souviens lorsque jâĂ©tais un enfant
prodigue...?...
5
TrĂšs bien.
Tout le monde, nâoubliez pas de prier pour la rĂ©union. AprĂšs la
réunion...?...
ĂȘtre de fois parti...?... souvenez-vous simplement de moi dans la
priĂšre. [La
bande est inaudible.âN.D.E.]... grande libertĂ©...?... Souvenez-vous de
ce
que...?... Et je ne peux pas compter sur moi-mĂȘme ; en effet, je...?...
et
jâai...?... le Seigneur...?... quâIl inspirera toute lâassemblĂ©e et
conduira
Son peuple...?... Car Il est Dieu parmi nous, prĂȘt Ă glorifier Ses
oeuvres
parmi...?...
Eh bien, jâen suis trĂšs reconnaissant comme ça.
Pouvons-nous Lui parler juste un instant maintenant, alors que nous
inclinons
la tĂȘte?
Notre PÚre céleste, nous sommes trÚs... [Espace vide sur
la bandeâN.D.E.] pour Toi, qui as prĂȘchĂ© la Parole [Espace vide sur la
bandeâN.D.E.] ... ministres que voici.
Ceux qui nâont pas le Saint-Esprit, quâils viennent
aujourdâhui.
[La bande est inaudible.âN.D.E.]
6
Jâaimerais...?...
Ă partir de la façon de...?... Je pense que câest ça la suite de
lâhistoire.
Etâet...?... en effet, le pĂšre avait reçu leâle...?... [La bande est
inaudible.âN.D.E.] Jâai parlĂ© Ă lâĂ©glise par la puissance...?...
Il y a environ cinq ans, je parlais lĂ un dimanche
aprĂšs-midi...?... lĂ avec un drĂŽle de petit...?... [La bande est
inaudible.âN.D.E.] Ils avaient le coin des amen dâun cĂŽtĂ©, lĂ de
lâautre cĂŽtĂ©,
il y avait des dames. Et elles étaient...?... jouant des cantiques sur
lâorgue
Ă lâaide dâune pĂ©dale. Ils avaient un vieil orgue quâon pompait Ă
lâaide dâun
bĂąton...?... Quelquâun en a-t-il dĂ©jĂ vu un?...?... Oh! Oui... lâorgue
Ă
pompe...?... un trĂšs grand sortit...?... [La bande est
inaudible.âN.D.E.] Je
leur ai parlé de la guérison divine cet aprÚs-midi-là , et
certainement...?...
Jâai entendu un...?... et je mâĂ©tais proposĂ© dâaller lĂ voir ce
que...?...
quatre hommes qui se tenaient là ...?... et ils étaient...?... [La bande
est
inaudible.âN.D.E.] et je me suis avancĂ©...?... Et il sâest retournĂ© et
il a
regardĂ©...?... il mâa regardĂ©...?... il a ĂŽtĂ© son chapeau et il a dit:
«Bonjour,
pasteur...?...» Je me suis dit...?... un trÚs grand...?...
Pendant que je parlais cet aprĂšs-midi-lĂ ...?... un
service pendant environ...?... De toute façon, le...?... marchant dans
le
bois... Je parlais de la résurrection de Christ, lorsque ce grand
garçon qui se
tenait lĂ derriĂšre...?... Je rĂ©clame...?... et il a couru Ă lâautel, et
sâest
Ă©criĂ©: «à Dieu, aie pitiĂ© de mon Ăąme.» Et lorsquâIl sâest avancĂ©, eh
bien, il
nâĂ point parcouru tout le trajet jusquâĂ lâautel, Ă peine...?... Eh
bien, il y
avait environ cinquante de ces vieilles grands-mĂšres lĂ , elles lâont
saisi par
le cou et lâont conduit Ă lâautel.
Il y eut environ cinquante et quelques étranges
conversions cet aprĂšs-midi-lĂ . Ainsi donc, ils ne sâagenouillaient pas
lĂ , avec
une confession aux yeux secs, et puis se relever. Elles ont prié avec
lui
pendant environ deux heures, je pense. Elles se sont levées, et leurs
habits
Ă©taient si mouillĂ©s quâelles les pressaient pour faire sortir la sueur.
Elles
se sont levées, et elles ont crié. Et elles criaient en bas dans le
bois et en
haut sur les collines: «AllĂ©luia! AllĂ©luia!» ...?... Peut-ĂȘtre quâelles
gĂȘnaient, mais elles avaient la religion du Saint-Esprit de lâancien
temps.
Câest vrai. En effet, elle...?... Câest la vĂ©ritĂ©.
7
Maintenant,
pendant que je lis ces...?... si vous le voulez. Au chapitre 15 de
Saint Luc,
jâaimerais lire ces versets de lâEcriture, Ă partir du verset 11 du
chapitre 15
de Saint Luc.
Il dit encore: Un homme avait deux fils. Le plus jeune dit Ă
son pĂšre: Mon
pĂšre, donne la part de bien qui doit me revenir. Et le pĂšre leur
partageaâpartagea son bien.
Peu de jours aprÚs, le plus jeune... ayant tout ramassé,
partit pour un
pays Ă©loignĂ©, oĂč il dissipa son bien en vivant dans la dĂ©bauche.
Lorsquâil eut
tout dĂ©pensĂ©, une grande famine survint dans ce pays, et il commença Ă
se
trouver dans le besoin.
Il alla se mettre au service dâun des habitants du pays, qui
lâenvoya dans
ses champs garder les pourceaux. [Espace vide
sur la bandeâN.D.E.]
... mercenaires chez mon pĂšre ont du pain en abondance, et
moi, je meurs de
faim! Je me lĂšverai, jâirai vers mon pĂšre, [Espace vide sur la bandeâN.D.E.] Et
je ne suis plus digne dâĂȘtre appelĂ© ton fils ; [Espace vide sur la
bandeâN.D.E.]
... Le fils lui dit: Mon pĂšre, jâai pĂ©chĂ© contre le ciel et
contre toi, je
ne suis... digne dâĂȘtre appelĂ© ton fils.
Mais le pĂšre dit Ă ses serviteurs: Apportez la plus belle
robe et lâen
revĂȘtez ; mettez-lui un anneau au doigt et les souliers aux pieds.
Amenez le veau gras, et tuez-le. Mangeons et
réjouissons-nous: ... mon fils
que voici était mort, et il est revenu à la vie ; il était perdu, et il
est
retrouvé. Et ils commencÚrent à se réjouir.
Que le Seigneur ajoute Ses bénédictions à la Parole.
8
Pour ce
quâest dâĂȘtre prĂ©dicateur, orateur, jeâje ne le suis pas. Ma part, ce
lot ici
sur terre, câest de prier pour vous les malades, ce que jâaime beaucoup
faire.
Et je ne suis pas... [Espace vide sur la bandeâN.D.E.]
Tout ce que je peux dire ce soir...?... Et vous, priez
pour moi, vous tous les frÚres prédicateurs, pendant que je parle de ce
sujet...?... pour cette réunion.
La seule chose... Et remarquez...?... Jésus, en parlant
de cette parabole, essayait dâexprimer le sentiment du PĂšre envers les
perdus,
envers ceux qui étaient étrangers par rapport à Dieu, ceux qui
sâĂ©taient
éloignés. Souvenez-vous, autrefois, nous étions tous des pécheurs,
séparés de
Dieu, sans miséricorde, sans espoir, errant dans le monde, dans les
ténÚbres,
perdus pour toujours ; Jésus prit notre place comme pécheur et Il
mourut Ă
notre place. Et le PĂšre voit...?... un Evangile merveilleux.
Je me suis souvent demandé à quoi cela ressemblait que de
rencontrer JĂ©sus, ce Ă quoi je pourrais donc mâattendre...?... OĂčâoĂč
serais-je?
...?... Quelle serait ma place?
9
[La bande
est inaudible.âN.D.E.] ...?... Ă moi il nây a pas longtemps...?... [La
bande
est inaudible.âN.D.E.] au mĂ©decin...?... [La bande est
inaudible.âN.D.E.] ...?...
tous mes péchés...?... et je... la foi, car je ne prétends pas
ĂȘtre...?...
Souvent, les chrétiens ici présents, nous essayons de...?... avec Dieu.
Vous
dites: «Eh bien, ceci nâest pas si mauvais» ; mais le moindre de pĂ©chĂ©
devrait
ĂȘtre confessĂ© ; toujours, peu importe ce que câest, peu importe combien
cela
vous paraĂźt insignifiant, câest un pĂ©chĂ© aux yeux de Dieu. Regardez
combien le
premier péché paraissait petit. En effet, le Seigneur avait donné à la
race
humaine... Quand le premier péché fut commis...?... Quand le message
est
parvenu au Ciel, que: «Ton fils est tombé...», eh bien, on dirait
quâAdam
devrait ĂȘtre en train de parcourir le jardin, en criant Ă tue-tĂȘte: «Ă
PĂšre, ĂŽ
PĂšre, oĂč es-Tu?»
Mais Adam alla se cacher. Et câĂ©tait juste comme Ă la
premiĂšre
rencontre, câest le PĂšre qui appelle: «Fils, fils, oĂč es-tu?»
Voyez-vous
comment lâhomme essayait de se justifier. Il va chercher Ă se cacher
derriĂšre
quelquâun. PlutĂŽt que de se prĂ©senter directement et dire ce quâil est,
confesser ses péchés devant Dieu, il cherchera à se cacher derriÚre une
souche.
10 Et
voici,
Dieu cherchait, Il marchait en parcourant du regard le jardin, attristé
pour
Son fils perdu. Le PĂšre cherchant, recherchant Son fils, et les
enfants, Son
fils recherchant le PĂšre.
Et aujourdâhui, câest bien pareil. AussitĂŽt que lâhomme
pĂšche, au lieu que lâhomme se prĂ©sente et confesse ses pĂ©chĂ©s devant
Dieu, il
va chercher à se rétracter. Il va essayer de se cacher derriÚre quelque
chose.
Il va chercher Ă se fabriquer une religion.
Regardez Adam. Il sâest fabriquĂ©âil sâest fabriquĂ© des
habits en feuilles de figuier, et il sâen Ă©tait revĂȘtu... les feuilles
de
figuier... Mais quand on en est arrivé à ce que Dieu a appelé Adam et
Ăve Ă se
prĂ©senter devant Lui, ils se sont rendu compte quâils avaient une
religion
faite de mains dâhomme. Le mot religion signifie une couverture. Ils
étaient
couverts dâun tablier quâils sâĂ©taient fabriquĂ©s. Voyez-vous cela?
11 Or,
lâhomme
a toujours cette disposition-lĂ aujourdâhui. Et plutĂŽt que de chercher
Ă suivre
la voie de la repentance de Dieu et de croire en Son Fils, permettre au
Sang de
Son Fils de nous purifier de nos péchés, nous nous échappons, cherchant
Ă
trouver une autre voie, une échappatoire au lieu de suivre la voie de
Dieu.
Nous allons... ça va...cette religion...?... Nous allons nous joindre Ă
ceci,
et nous ferons ceci avec...?... Lorsquâils ont dĂ» faire face Ă Dieu,
les
feuilles de figuier ne valaient pas la peine.
Et vous découvrirez, mon cher ami, que les théories
élaborées par les hommes ne subsisteront pas lorsque vous atteindrez le
dernier
souffle de ce corps et de cette vie. Câest bien de vivre en jouissant
de ces
choses, mais on ne peut pas mourir avec elles. Et je pense, Ă cause de
mon Ăąge
dans le ministÚre, que je me suis probablement tenu à cÎté de plusieurs
mourants plusâplus que nâimporte qui de mon Ăąge ; en effet, on mâa
beaucoup
appelé auprÚs des mourants.
12 Il
nây a pas
longtemps, une certaine jeune fille de notre ville avait reçu le
baptĂȘme du
Saint-Esprit. Elle venait au tabernacle. Une autre jeune fille de la
ville,
trĂšs populaire, Ă©tait membre dâun groupe religieux, le genre moderne
qui renie
le Sang et la couverture, elle disait que nous étions une secte et une
bande
deâde saints exaltĂ©s, parce que nous croyons dans la grĂące de Christ
qui sauve.
Si câest ce quâil faut pour ĂȘtre un saint exaltĂ©, alors jâen suis un,
car je
crois dans le Sang.
Cette jeune fille allait aux soirées dansantes et aux
spectacles, cependant elle Ă©tait une monitrice de lâĂ©cole du dimanche Ă
lâĂ©glise. LâĂ©glise reniait le Sang de Christ, disant que pareille chose
nâexistait pas. Le pasteur disait que cela avait sĂ©chĂ© il y a mille
neuf cents
ans: un évangile social. Et peu de temps aprÚs, la jeune fille sortait
avec des
garçons, une belle jeune fille...
13 Cette
autre
petite fille frĂ©quentait le tabernacle. Elle sâhabillait plutĂŽt Ă
lâancienne
mode. Elle descendait la rue, la chevelure renvoyée en arriÚre, tout
aussi
lisse que possible sans ces... je ne sais comment vous lâappelez, le
manucure
sur le visage, et... ou peu importe ce quâest cette chose quâon porte.
Elle
descendait la rue.
Oui, câest la vĂ©ritĂ© ; notre enseignement est contre
cela. Que Dieu aide les prĂ©dicateurs Ă en venir Ă lâEvangile. Ecoutez,
dames,
il nây a eu quâune seule femme dans la Bible qui se soit jamais
maquillée pour
rencontrer un homme, et câĂ©tait JĂ©zabel ; et Dieu lâa donnĂ©e en pĂąture
aux
chiens. Ainsi, lorsque vous les voyez porter cela, dites: «Bonjour,
mademoiselle viande pour chiens.» Câest exactement ce que câĂ©tait: Dieu
lâa donnĂ©e
en pĂąture aux chiens. Vous nâaimeriez pas ĂȘtre comme elle.
Dieu vous rendra jolie à votre maniÚre: Méfiez-vous des
apparences. Mais mĂȘme nos Ă©glises de la saintetĂ© sont en train de se
relĂącher.
Vous savez que câest la vĂ©ritĂ©. Vous feriez mieux de revenir donc Ă la
vieille
ligne de dĂ©marcation, de nouveau, retourner Ă lâEvangile.
14 Maintenant,
remarquez. Alors, cette jeune fille se comportait bien nâimporte
comment: elle
allait aux soirĂ©es dansantes, aux fĂȘtes et tout. Elle tomba malade. On
ne
comprenait pas ce que câĂ©tait, et lorsque le mĂ©decin est allĂ© vers
elle, elle
souffrait dâune maladie vĂ©nĂ©rienne, elle Ă©tait dans un Ă©tat trĂšs
critique. On a
essayĂ© quelques piqĂ»res, mais cela nâavait pas marchĂ©.
Le pasteur lui a alors annoncĂ© quâelle irait tout droit
au Ciel, car elle Ă©tait une monitrice de lâĂ©cole du dimanche. Ainsi,
ils
sâĂ©taient tous assemblĂ©s dans la piĂšce pour la voir partir et voir
venir les
anges du Seigneur la prendre.
Je suis passĂ© par lĂ , il nây a pas longtemps, Ă cĂŽtĂ© de
cette...?... peu avant cela. Le pasteur se tenait dans le hall de
lâappartement, un trĂšs bel appartement, de braves gens. Il est
simplement sorti
de la piĂšce, et la classe de lâĂ©cole du dimanche Ă©tait toute lĂ ,
chantant des
cantiques pour la voir partir au Ciel. Et le pasteur est sorti pour
fumer dans
le hall. Et quand la mort frappa la fille, elle commença à devenir
hystérique ;
elle a demandĂ©: «OĂč est cette jeune fille-lĂ !»
Ils ont demandé: «Quelle jeune fille?» Ils ont dit: «Voici
toute votre classe.»
Elle a dit: «Je ne parle pas dâeux. Je parle de cette
jeune fille qui (Elle lâa dĂ©signĂ©e par le nom)âqui est de ce
tabernacle-lĂ , qui
avait lâhabitude de me parler de mon Ăąme.» Elle a dit: «Allez la
chercher.»
15 Ils
sont
allés auprÚs du pasteur, et ce dernier est entré en courant. Il a dit:
«Eh
bien, chérie, écoutez.» Il a dit: «Nous allons appeler le docteur pour
vous
donner une piqûre. Vous devenez un peu hystérique.»
Elle a dit: «Je ne suis pas hystérique.» Elle a dit: «Toi
sĂ©ducteur dâhommes, je suis perdue et je mâen vais en enfer, Ă cause de
ce que
tu mâas enseignĂ©.» Et la jeune fille est morte et elle est allĂ©e Ă la
rencontre
de Dieu, perdue, réclamant en criant la fille qui essayait de lui dire
ce qui
était correct.
Regardez, frĂšre, lorsque vous arriverez Ă la fin du
voyage de cette vie, vous souhaiteriez avoir vécu une vie pure et
sainte
lorsque vous serez en face de Dieu. Soyez-en rassurés et
souvenez-vous-en.
Maintenant, quant Ă votre Ă©glise, dont vous ĂȘtes membre,
elle ne reprĂ©sente rien devant Dieu. Il sâagit de ce que vous ĂȘtes dans
votre
coeur. Câest vrai. Dieu ne vous demandera pas si... de quelle Ă©glise
vous étiez
membre ; il sâagit de ce que vous ĂȘtes dans votre coeur, câest ce que
Dieu va
considérer.
16 Remarquez
comment JĂ©sus parle ici du pĂšre et du fils qui sâen Ă©tait allĂ©. Il a dĂ»
ĂȘtre...
avait ceci Ă lâEsprit, comment Dieu cherche, Il appelle, attire les
gens Ă la
repentance. Et aujourdâhui, le Saint-Esprit parcourt encore la terre,
appelant
les perdus et les mourants.
Avant de quitter ceci, au sujet des feuilles de figuier,
jâaimerais dire encore un mot. Remarquez ce que Dieu a fait. Dieu,
quand Il a
rencontrĂ© Adam et lâautre, ces derniers sâĂ©taient confectionnĂ© leur
propre
religion. Ăa ne fait pas plus de vingt-quatre heures que quelquâun mâa
dit: «FrÚre
Branham, savez-vous ce quâest ma religion?» Il a dit: «Ma religion,
câest la
rĂšgle dâor: Tout ce que vous voulez que les hommes fassent pour vous,
faites-le
de mĂȘme pour eux.»
Jâai dit: «Câest bien, mais il nâa aucun salut lĂ -dedans.»
Câest vrai. «Si un homme ne naĂźt de nouveau, il nâentrera point dans le
Royaume.» Etre nĂ© de lâEsprit de Dieu, renouvelĂ©, rĂ©gĂ©nĂ©rĂ©, devenir une
nouvelle personne en Jésus-Christ: les choses anciennes sont passées et
toutes
choses sont devenues nouvelles ; converti, complÚtement changé, vous
suivez
votre route dans cette direction-ci et vous faites demi tour et vous
suivez
cette autre direction, vice versa.
17 Eh
bien,
mais ensuite, lorsquâils se sont tenus devant Dieu, Adam sâest avancĂ©
avec
honte et a dit: «Je suis nu.»
Eh bien, regardez, Dieu est allé prendre des peaux, Il
est revenu, Il en avait confectionnĂ© des tabliers et les en a revĂȘtus.
Maintenant, remarquez, si Dieu a pris des peaux, câest quâIl a dĂ» tuer
quelque
chose. Quelque chose a dû mourir pour faire une couverture ; Il a tué
quelque
chose et Il lâa Ă©corchĂ©. Quelque chose est mort Ă leur place, car la
peine
était la mort. Ainsi, une victime innocente a dû mourir pour les
coupables afin
de les couvrir.
Et câest pareil aujourdâhui, frĂšres ; pas la rĂšgle dâor
(Elle est bonne), non; pas enseigner un homme...?... Mais Dieu donne
quelque
chose pour vous couvrir, Son Fils Jésus-Christ est mort au Calvaire,
Lui
lâInnocent pour les coupables, afin de frayer une voie pour que vous et
moi
nous devenions innocents en Lui devant Dieu. Et câest ça la chose, vous
laissez
le Saint-Esprit fouiller la terre aujourdâhui, essayer de trouver
quelquâun qui
croit en Lui, en Jésus-Christ.
18 Maintenant,
commence notre histoire, une histoire trÚs pathétique pour moi ; et
jâessayerai
donc de lâaborder juste un tout petit peu, cette partie... PrĂ©sentons
cela sous
forme de saynÚte cet aprÚs-midi, représentons juste un peu un tableau
du passé,
afin que les enfants reçoivent cela. à Dieu, aide nos enfants.
Il nây a pas longtemps, une grande division J. Edgar, le
capitaine Al Farrar... [Espace vide sur la bandeâN.D.E.]
Le docteur Bosworth parlait, il était sur le point de
mâintroduire ; et alors, quelquâun sâest avancĂ©, habillĂ© en civil, il
lâa
touchĂ© Ă lâĂ©paule, il a dit: «Jâaimerais dire un mot.»
Docteur Bosworth a dit: «Ce nâest pas la coutume ici,
monsieur.» Il a exhibĂ© ses piĂšces dâidentitĂ©. CâĂ©tait le capitaine Al
Farrar.
Il a dit: «Oui, monsieur.»
Il a dit: «Mes amis...» Dix mille sâĂ©taient
assemblĂ©s...?... [Espace vide sur la bandeâN.D.E.]
Il a dit: «Capitaine... Je suis capitaine Al Farrar.» Il
a dit: «Presque tout le monde ici me connaĂźt, car mon Etat dâorigine,
câest
Washington, Tacoma.» Il a dit: «Mon travail, câest dâarrĂȘter la
corruption.» Et
il a dit: «Lorsque jâai entendu dire que ce Branham est un...?... Je
suis allé
Ă ...?... Ă la cĂŽte ouest pour arrĂȘter...?...» Il a dit: «Jâai vu ces
choses, et
je vous ai entendu prĂȘcher ou parler ; et il ne mâa pas semblĂ© ĂȘtre un
escroc»
Il a dit: «Nous avons amené, nous sommes allés chercher des médecins,
et nous
avons envoyé un jeune garçon là qui était...qui était paralysé au
niveau de ses
jambes suite à la polio.»
«Le Saint-Esprit...?...» Il a dit: «Lorsquâil est
passé... Nous sommes restés pendant deux soirées. Finalement, nous
avons
introduit le garçon dans la ligne.» Il a dit: «Lorsquâil est passĂ©,
frĂšre
Branham a dit: âIl est victime de la polio.â Et il a demandĂ© au papa de
croire.
Et le papa travaillait dans la police. Et il a dit, il a dit quâil
est...?...»
Il a dit: «FrĂšre Branham a dit que dans lâespace de huit jours, le
garçon
serait guéri.»
Et il a dit: «Nous lâavons observĂ©.» Et il a dit: «Le
petit garçon se tient derriÚre le rideau ici ce soir parfaitement
normal, il
est retournĂ© Ă lâĂ©cole.» Il a dit: «Jâaimerais que vous tous, vous en
soyez
bien rassurĂ©s: nous avons vĂ©rifiĂ© leurs conclusions, ce quâils en ont
fait, et
tout.» Il a dit: «Je veux que vous sachiez que ce nâest pas de
lâescroquerie,
que câest vraiment la main du Dieu Tout-Puissant.»
19 Le
lendemain, il mâa amenĂ© dans cette prison quâils avaient lĂ . Et ils
avaient de
jeunes filles lĂ , certaines dâentre eux, des bandits Ă main armĂ©e.
Elles
parcouraient la piĂšce, se maudissant les unes les autres. Il a dit:
«Quâen
pensez-vous, Révérend Branham?»
Jâai dit: «Mon Dieu!» Jâai dit: «Puis-je leur adresser un
mot?»
...?... «Assurément.»
Je suis descendu lĂ avec les jeunes gens. Et elles
Ă©taient lĂ dans une condition horrible. Il mâa montrĂ© comment elles
Ă©taient...?... On a mis... On a ouvert certaines cellules, et ce nâest
que lĂ
quâon pouvait les garder.
On le tuerait sâil appuyait sur un bouton, ici, enfermĂ©,
chaque police et tout, tout autour de cet endroit.
Puis, aprĂšs quâil eut fini, il avait deux gardes avec
lui, et lorsque nous sommes descendus dans la galerie, il a dit: «Vous
aimez
les fusils, FrĂšre Branham, nâest-ce pas?»
Jâai dit: «Oui.»
20 Nous
sommes
descendus dans la galerie, en dessous, lĂ en bas dans une espĂšce de
cellule. Il
a dit: «Câest ici que nous entraĂźnons les jeunes gens.» Il a commencĂ© Ă
mâindiquer les distances dâun endroit Ă un autre, comment tirer, et
ainsi de
suite. Et je lâai vu vĂ©rifier...?... Ă moi. Et je me suis demandĂ© ce
quâil
allait faire, il avait renvoyĂ© les officiers qui lâaccompagnaient. Et
nous
sommes restés seuls dans ce petit endroit, construit tout en métal.
Alors, il a dit: «FrÚre Branham...?...»
Jâai dit: «Oui, monsieur...»
Il a placé sa main sur mon épaule, et je me suis dit: «Oh!
la la! ...?...»
Il a dit: «Nous nous demandons sâil y a une opportunitĂ©.»
Jâai dit: «Que voulez-vous dire, sâil y a une
opportunité?»...?...
Il a dit: «Jeâje nâai pas Ă©tĂ© un homme mauvais.» Il a dit:
«Jâessaie dâobserver la loi et de faire ce qui est juste.»
«Câest votre devoir, monsieur.»
Il a dit: «Eh bien, je veux vraiment trouver Jésus.»
Et jâai dit: «Croyez-vous?»
Il a dit: «Oui, monsieur. Mais je nâai pas trouvĂ©...?...»
Il a dit: «Je suis membre dâune Ă©glise ici. Jeâje ne Le connais pas.»
Il a dit:
«Câest inutile pour moi de me duper.» Il a dit: «Jâai adhĂ©rĂ© Ă une
église qui
est dans le voisinage ici.» Il a dit: «Je ne sais pas... Prions.»
Jâai dit: «TrĂšs bien, capitaine Farrar, vousâvous pouvez
Le recevoir si seulement vous croyez.»
Il a dit: «Je vous assure. Avant que vous quittiez
Washington, indiquez un endroit oĂč nous nous rencontrerons, et nous
nous
rencontrerons, et là , nous en parlerons.» Il a dit: «Arrangez
simplement cela.
Nous aurons un dĂźner et nous irons ensemble, et ainsi de suite, et
peut-ĂȘtre
que je prendrai le...?...»
21 Jâai
dit: «Capitaine
Al Farrar, vous pouvez Le recevoir ici mĂȘme...?...
Il a dit: «Pas ici dans cette galerie...»
Jâai dit: «Si, monsieur.»
Il a dit: «Descendra-t-Il ici?»
Jâai dit: «Une fois, Il est allĂ© dans le ventre dâun
grand poisson. Il est descendu dans une fournaise ardente pour en faire
sortir
Ses enfants. Il descendra dans cette galerie.» Et là , cet officier a
enlevé son
arme, il lâa dĂ©posĂ©e par terre, il mâa entourĂ© de ses bras comme cela,
Dieu est
descendu miraculeusement, Il lâa sauvĂ©...?... il sâen va prĂȘcher
lâEvangile...?... Le prĂ©dicateur, il sort, il voit que le PĂšre ramĂšne
encore
les perdus. Peu importe qui vous ĂȘtes, dans quel environnement vous
ĂȘtes, JĂ©sus
viendra partout oĂč vous pouvez croire.
22 Considérez
cet enfant prodigue cet aprĂšs-midi, lâendroit oĂč il Ă©tait: le pire
endroit oĂč
un Hébreux puisse se retrouver: dans une porcherie.
Remarquez, observez maintenant la saynĂšte. Il y a une
maison de campagne Ă lâancienne mode. ReprĂ©sentons-nous-la dans notre
esprit
pendant un moment. Je peux voir un vieux couple aimable qui vit lĂ , ils
avaient
travaillé dur toute leur vie et ils ont eu deux fils. Certainement, le
fils est
toujours hĂ©ritier. Et alors, ce fils cadet, peut-ĂȘtre... Disons quâils
allaient
Ă lâĂ©glise chaque dimanche, et ils aimaient Dieu, et ils servaient Dieu
de tout
leur coeur.
Mais un jour, ce fils cadet, disons quâil a commencĂ© Ă
frĂ©quenter un groupe quâil ne devait pas frĂ©quenter. Ecoutez, vous
jeunes
gens...?... [Espace vide sur la bandeâN.D.E.] ...?... AussitĂŽt que vous
quittez
le...?... Vous ĂȘtes sur votre chemin de retour. Souvenez-vous, aussitĂŽt
que
vous obtenez...?... Peu mâimporte quel gars est-ce ou quelle fille
est-ce,
sâils ne sont pas sauvĂ©s, gardez-les loin dâeux. Câest tout Ă fait
vrai. Et
vous aussi, hommes...
Quelquâun a dit: «Eh bien, je peux entrer dans un bar
avec un gars. Je peux prendre un coca pendant quâil prend la biĂšre et
le
whisky, puis en ressortir la mĂȘme personne.» Jâen doute. Câest vrai. La
Bible
déclare: «Evitez toute espÚce de mal.» Et tenez-vous loin du terrain de
lâennemi. Le vieux...?... est trĂšs joli. Il vous fera faire parade et
vous
flouera avec un vieux...?... elle est tombée là dans le toboggan...?...
23 [Espace
vide
sur la bandeâN.D.E.] ...?... Je me suis demandĂ© sâil avait louĂ© les
services de
quelquâun pour lâamener lĂ sur la colline. Quelquâun disait: «Eh bien,
je
conduis bien ces chevaux, Ă plein galop Ă deux pieds [60 cm] de la
falaise sans
jamais dévier.»
Lâautre a dit: «Je peux chevaucher Ă six pouces [15 cm]
sans jamais dévier.»
Il a dit: «Quâen est-il de vous?», sâadressant au
suivant.
Il a dit: «Je mâen Ă©loigne autant que possible.»
Il a dit: «Vous, amenez-moi là !»
Ne voyez pas Ă quel point vous pouvez vous rapprocher du
péché. Voyez combien vous pouvez vous en éloigner. Eloignez-vous-en,
fuyez tout
Ă fait cela. Câest une honte, ce que fait notre peuple amĂ©ricain: se
vautrer et
faire des histoires.
Vous entrez dans certaines maisons aujourdâhui... Je suis
allĂ© dans les maisons de chrĂ©tiens, jâai ouvert le rĂ©frigĂ©rateur, et
câĂ©tait
plein de canettes de biĂšre ; câest censĂ© ĂȘtre la maison dâun chrĂ©tien.
Les
chrĂ©tiens nâont rien Ă faire avec cette histoire-lĂ . Câest vrai. Que
faites-vous, à votre avis? Nous avons transigé, en enlevant de nos
maisons
lâautel de priĂšre Ă lâancienne mode pour le remplacer par une table de
jeu de
cartes. Câest ce qui empĂȘche vos enfants de...?... Câest la dĂ©linquance
parentale. Si les parents enseignaient les enfants, veillaient lĂ oĂč
ils sont,
prenaient soin dâeux, il nây aurait pas tant...?... Câest vrai.
24 Nous
voyons
des jeunes filles étalées ici sur ces plages, en maillots de bain
devant des
hommes. Et elles se retrouvent lĂ dans les rues vĂȘtues de ces vĂȘtements
vulgaires, et si quelquâun insulte lâune dâentre elles, et vous
aimeriez...?...
Câest vrai. Vous lâenvoyez dehors comme cela ou vous la laissez sortir
comme
cela...?... donc...?...
Lâautre jour, je parlais Ă une jeune fille ; elle disait:
«Eh bien, jâessaie de lui faire passer un bronzage.»
Jâai dit: «Regardez, jâai une petite fillette Ă la maison
; je ne sais pas ce que...?... mais si jamais je lâattrape Ă©tendue lĂ
comme
cela, elle aura un bronzage du fils, mais ce sera le fils de monsieur
Branham
qui lui administrera un bronzage avec une barre, ou quelque chose comme
cela, Ă
son derriĂšre, aussi vite que je lâaurai ramenĂ©e Ă la maison.» Câest
vrai. Elle
aura le bon genre de bronzage quâil lui faut. Câest tout Ă fait vrai.
Merci.
Câest le genre de bronzage dont nous avons besoin...?... [Une partie de
la
bande nâest pas assez audible pour ĂȘtre transcrite.âN.D.E.]
25 Eh
bien, je
peux voir le jeune homme sortir de...?... en effet...?... tout ce que
vous
faites, câest faire des va-et-vient Ă lâĂ©glise...?... Je peux les
entendre dire:
«Pourquoi vous ne...?... Venez chez moi et vivez comme un jeune garçon
devrait
vivre.» Eh bien, la premiÚre chose, vous savez, je peux le voir
maintenant: Il
va demander à son papa: «Papa, vous devenez vieux, et maman avance en
ùge...»
Mais, un jour, il vient, et...?... sa mĂšre et son pĂšre...
dâabord il a dit: «Papa, jâaimerais que tu me donnes ma part. Jâen ai
marre de
rester ici Ă la maison. Tous mes amis...?... ils sâen vont tous, ils
sont chez
eux. Jâaimerais faire comme les autres.» Ne suivez jamais les foules ;
suivez
Jésus.
Mais câest cela lâattitude des jeunes gens aujourdâhui:
«Jâaimerais
agir comme les autres.» Nâimitez jamais les autres, comme modĂšle ;
prenez-Le
pour votreâpour votre modĂšle.
26 Puis,
je
lâentends dire...?... Jâentends le pĂšre dire: «Eh bien, fiston, câest
mon
unique gagne-pain. Câest lâunique moyen de subsistance.»
«Eh bien, jâai un hĂ©ritage, et donne-le-moi. Mes
droits...» Quel est votre droit?
Je peux voir le pauvre vieux pĂšre ; cela lâa beaucoup
dérangé. «Eh bien, que vas-tu faire, fils?»
Il a dit: «Je descends en ville, et je vais vivre comme
les autres.»...?... «...?... reste avec moi et maman, nous tâaimons de
tout
notre coeur, et nous aimerions te témoigner de la bonté au possible.
Nous avons
fait tout notre possible.» Mais cela ne convainquait pas. Satan sâĂ©tait
emparé
du jeune homme. Il est donc descendu en ville pour vivre comme les
autres
mondains.
Ensuite, je peux voir son pÚre dire à la maman: «Maman,
sais-tu ce qui est arrivé? Notre fils a eu une mauvaise compagnie. Et
il est
maintenant un jeune homme, il y a donc... il mâa demandĂ© de vendre la
ferme et
de prendre tout ce que jâai et de le partager entre lui et son frĂšre.
Je
nâarrive pas...?...»
27 Je
peux voir
la vieille mĂšre. (Que Dieu bĂ©nisse ces chĂšres vieilles soeurs.) Jâen ai
une Ă
la maison. Combien je lâaime ce soir...?... hier, elle a Ă©tĂ© si
gentille envers
moi, jâaime regarder...?... Votre mĂšre nâa pas...?... Je suis plein de
joie et
de paix lorsque nous allons lĂ pour quelques...?... Et jâai dit:
«Maman, jeâje
veux aller...?...»
Cette vieille mĂšre, je peux la voir ici, dans ce
récit-ci, alors que nous la voyons aller auprÚs de son fils et dire:
«Fils,
maman a lavĂ© beaucoup dâhabits, les a repassĂ©s, et elle a essayĂ© de
prendre
soin de toi...?... Pourquoi dois-tu...?...»
«Eh bien, jâapprĂ©cie cela, maman, vous aviez bien
Ă©voluĂ©...?... Câest lâancien temps. Je ne veux rien de pareil. Je veux
tailler
mon chemin. Jâai pratiquement de lâĂąge maintenant. Je vais mây prendre
Ă ma
façon.»
Je peux la voir lâentourer de ses bras et lâembrasser.
Elle lâaimait bien, et elle a dĂ©tournĂ© la tĂȘte...?... Il nâa pas besoin
dâun
baiser en public...?... Pas dâaffections...?... le suivant...?... La
Bible
dĂ©clare quâils seraient ainsi. Paul en parle: «dĂ©pourvus dâaffection
naturelle.»
Câest comme ça aujourdâhui. Ce sont les enfants qui dirigent les foyers
aujourdâhui, plutĂŽt que les... pieux...?... Ce sont eux qui dirigent la
conversation. Câest Ă©trange: «DĂ©pourvus dâaffection naturelle.»
Je peux voir la maman...?... Elle a regardé son fils. «Un
de ces jours...?... et il pense que le monde de...?...» Ce vieux papa Ă
cÎté de
qui vous avez honte de vous asseoir...?... à la croisée des chemins
vers
lâĂ©glise...?... Ce copain et cette copine avec qui vous allez Ă
lâĂ©glise,
disant: «Eh bien, regardez, les amis ne sont pas... câest terrible.»
Avez-vous
un tout petit peu honte de Lui? Un temps arrivera oĂč vous nâen aurez
point
honte.
28 Il
nây a pas
longtemps, une jeune fille revenait de lâuniversitĂ©. Sa mĂšre avait fait
la
lessive sur une planche pour lâenvoyer Ă lâuniversitĂ©. A son arrivĂ©e Ă
la gare,
elle avait une... elle avait amené une jeune fille avec elle, et elle
sâĂ©tait
Ă©loignĂ©e de Dieu et de lâĂ©glise. La jeune fille lâaccompagnait. La
jeune fille
Ă©tait assise Ă bord duâdu train regardant dehors, au... et lĂ dehors se
tenait
sa mÚre, le visage complÚtement balafré. La jeune fille la regardait
depuis le
train, finalement elle a dit: «Regardez cette femme, une vieille peau.»
CâĂ©tait
la mĂšre de la jeune fille. Elle a dit: «Nâest-elle pas horrible? Oh! la
la! On
rĂ©pugnerait sâasseoir Ă table avec elle pour manger, nâest-ce pas?»
VoilĂ ce
que disait sa copine. Eh bien, au lieu que la jeune fille intervienne,
elle a
dĂ©tournĂ© la tĂȘte. Et quand elle est descendue du train, cette vieille
mĂšre
ridée a couru vers elle, elle a lancé ses bras autour de la jeune fille
et lâa
embrassĂ©e. La jeune fille lâa vraiment repoussĂ©e. Elle sâest dĂ©gagĂ©e
dâelle,
elle sâĂ©tait Ă©loignĂ©e de lâĂ©glise et de Dieu. Elle Ă©tait devenue si
froide
quâelle a tournĂ© le dos Ă la dame.
Elle a dit: «Oh! la la! ChĂ©rie, ma chĂ©rie, quâest-ce qui
tâest arrivĂ©?» Elle Ă©tait si embarrassĂ©e Ă cause de sa copine...
29 Juste
Ă ce
moment-lĂ , un des machinistes qui connaissait lâhistoire sâest approchĂ©
et a
saisi la jeune fille par les épaules, il a dit: «Regarde, toi...?...
Que
veux-tu dire?» Il a dit: «As-tu honte de ta mĂšre puisque tu es allĂ©e Ă
lâuniversitĂ©?» Il a dit: «Souviens-toi, tu connais lâhistoire. Un jour,
la
maison était en feu. Votre mÚre était une belle femme, de loin plus
belle que
toi, ou que tu ne le seras jamais.» Et il a dit: «Tu étais un tout
petit
enfant. Alors quâelle Ă©talait ses habits dans la cour arriĂšre, et tout
Ă coup
la maison a pris feu. Et les voitures des pompiers sont arrivées pour
éteindre
le feu. La maison Ă©tait en flammes. Et tu criais en haut, Ă lâĂ©tage.
Personne
nâosait traverser les flammes. Cette petite mĂšre sâest couverte, et
elle a
traversĂ© ces flammes en courant. Elle tâa saisie. Elle a enlevĂ© des
habits pour
te couvrir la face, et elle tâa complĂštement couverte, elle a placĂ© tes
bras,
et elle a exposé son propre visage aux flammes. Et elle a parcouru les
flammes
pour te secourir. Câest ainsi que toi, tu es jolie aujourdâhui, et elle
est
balafrée. As-tu honte de ces cicatrices?»
30 Câest
ce que
Jésus a fait pour nous. Quand nous étions des pécheurs, laids devant
Dieu,
rejetĂ©s, renvoyĂ©s, Il est venu, Lui, lâAimable Fils de Dieu, de la
Gloire Il
est descendu sur la terre, Il a portĂ© lâopprobre et le pĂ©chĂ© sur Lui,
et Il est
mort au Calvaire, en poussant des cris.
Devrais-je avoir honte de Son Evangile? Les chrétiens ont
honte dans la rue de dĂ©fendre lâEvangile. Mais Il a Ă©tĂ© dĂ©figurĂ© et
rendu laid,
afin que vous soyez libre. Il a été défiguré par le péché afin que vous
soyez
libre du péché. Ne Le reniez jamais. Aimez-Le toujours. Défendez ce qui
est
juste. Défendez Son Evangile.
31 Ainsi
donc,
câest pratiquement cela lâattitude des jeunes gens aujourdâhui. Ce
jeune homme
a Ă©prouvĂ© les mĂȘmes sentiments, il a dit: «Maman, je ne veux plus rien
avoir Ă
faire avec cette famille. Tout ce que vous faites, câest aller Ă
lâĂ©glise.
Câest tout ce que jâentends...»
Observez. Je peux voir le vieux pĂšre mettre une affiche
de vente là . Bien sûr, nous présentons plutÎt ceci sous forme de
saynĂšte, pour
le montrer aux jeunes gens. Je peux donc le voir placer une affiche de
vente,
pour vendre la vieille ferme, et rassembler tous les biens, etâet les
partager
entre les garçons. La mÚre et le pÚre vivront tout aussi longtemps que
subsistera leur part, peut-ĂȘtre, et puis, ça sera terminĂ©.
Remarquez, je peux voir lorsquâils ont donnĂ© une part au
jeune homme, ce dernier a empoché son argent, et il a dit: «Eh bien, je
vais me
taper de bons moments.»
Le lendemain matin, je peux le voir aller affronter sa
mÚre. «Brave dame, fais maintenant mes valises. Je quitterai le matin.»
Oh! la
la! Oh! Comme cette pauvre vieille mĂšre va entrer prendre les petites
choses
quâil portait lorsquâil Ă©tait un petit enfant ; elle les a enfouies, en
les
regardant. Je peux la voir prendre une petite paire de chaussures...?...
Vous savez, les mĂšres aiment garder de telles choses.
Maman a les vieilles chaussures que je portais lorsque jâĂ©tais tout
petit. Elle
garde la longue robe, du genre que les bĂ©bĂ©s portaient Ă lâĂ©poque.
Câest un
trĂ©sor pour le coeur dâune mĂšre. Je peux voir cette vieille mĂšre
prendre ces
petites chaussures et les dĂ©poser sur lâorgue, sâagenouiller lĂ et
prier,
disant: «à Dieu, prends soin de mon fils. Alors quâil me quitte
maintenant,
je...»
32 Combien
parmi vous ont une mĂšre Ă lâancienne mode comme cela? Faites voir la
main. Oh!
Elles sont aimables et douces, nâest-ce pas? «Prends soin de mon fils.
Il est
allĂ© sâassocier au monde, et je ne sais pas ce qui lui arrivera ;
seulement,
prends soin de lui, PÚre.» En priant... Avez-vous déjà demandé à votre
mĂšre de
prier pour vous? Oh! Quand ma brave vieille mĂšre... Je lâai vue entrer
seule
dans sa chambre lorsque nous manquions de nourriture, sâagenouiller et
crier Ă
Dieu. Ă Dieu, accorde-nous davantage de mĂšres Ă lâancienne mode, comme
cela,
qui prient. Câest la colonne vertĂ©brale de notre nation (Câest vrai):
De bonnes
mÚres sauvées par Dieu.
Je peux la voir crier à Dieu: «à Dieu, prends soin de mon
fils.» Peu importe ce que vous faites donc, elle est...?... son coeur
est
toujours prĂȘt Ă pardonner, Ă revenir.
33 Ensuite,
je
peux voir le vieux papa. Il est bien inquiet, il fait les cent pas,
arpentant
la cour, depuis la grange jusquâĂ la maison, dâun bout Ă lâautre. Je
peux
entendre la maman, elle va vers lui et dit: «Que se passe-t-il, papa?»
«Oh! Je ne sais pas, maman.» Vous savez comment des
parents qui sont braves, des gens sauvés par Dieu, se soucient de leurs
enfants. Eh bien, je suis moi-mĂȘme un pĂšre, et jâai un petit garçon
assis lĂ ,
en train de me suivre maintenant mĂȘme. Dieu sait que je lâaime.
Je...?... un
petit...?... désir cet aprÚs-midi: «Que je meure dix mille fois et que
lui une
seule fois.» Câest vrai. Que lui reste. Lâamour de... que nous avons
pour notre
progĂ©niture. Câest pourquoi Dieu a tant aimĂ© le monde, Sa progĂ©niture,
quâIl
est venu Lui-mĂȘme mourir afin que nous soyons libres ; Il a Lui-mĂȘme
enduré le
chĂątiment.
34 Remarquez
donc, ce pĂšre, las, faisant les cent pas, de part et dâautre... Le
lendemain,
lorsque le temps arriva oĂč le jeune garçon devait quitter, je peux le
voir
prendre sa valise et sortir là . Je peux le voir sortir et dire: «Au
revoir, mes
amis», et sâen aller.
La mĂšre dit: «Juste un instant, fils. Avant dâaller,
prions une fois de plus.» Ils se sont agenouillés à terre. Je peux voir
la
vieille mĂšre et le vieux pĂšre, les bras lâun autour de lâautre, dire Ă
Dieu: «Ă
Dieu, nous lâavons Ă©levĂ© et nous lâavons reçu depuis ce...?... Il sâest
écarté
du chemin, il sâĂ©loigne de nous maintenant, pour vagabonder. Sâil Te
plaĂźt,
PÚre, prends soin de lui.»
Je peux lâentendre dire... «Oh! Ce pĂšre agitĂ© est en
train de prier.» Il ne voulait plus entendre ces priÚres de maman et de
papa.
Il avait dâautres choses Ă lâesprit. Câest pourquoi nous sommes parfois
impatients ; nous ne pouvons simplement pas attendre quelques minutes,
nous ne
pouvons pas prier, nous ne pouvons pas attendre une priĂšre. Et il y
aura un
temps, mes amis, oĂč vous aurez toute une Ă©ternitĂ© pour y rĂ©flĂ©chir.
Priez
maintenant. Soyons maintenant prĂȘt Ă rencontrer le MaĂźtre.
Je peux les entendre prier, puis se relever. La maman
essaie de lâembrasser, mais il a dĂ©tournĂ© la tĂȘte. Le papa a placĂ© ses
bras
autour de lui et a criĂ©: «Oh! Tu pars, vas-y.» Et il sâest mis Ă gravir
la
colline. Je peux voir papa et maman se tenant lĂ , avec leurs mains...
leurs
bras lâun autour de lâautre, lui disant au revoir dâun signe de la main
alors
quâil gravissait la colline, il descendait en ville pour sâassocier au
reste du
monde. Et ce parent, je peux le voir retourner Ă la maison, de nouveau,
pleurant, criant et priant.
35 Je
peux le
voir fréquenter des groupes importants là -bas. Et tant que son argent
subsistait, il Ă©tait un bon gars. Câest comme ça que le monde vous
traite. Tant
que vous avez de lâargent, vous avez des amis. Mais dĂšs que votre
argent est
épuisé, vos amis vous quittent. Ce sont des amis aux moments favorables.
Je connais un Ami qui restera Ă vos cĂŽtĂ©s mĂȘme si vous
nâavez pas de sou: JĂ©sus-Christ, le Fils de Dieu. Jâen suis arrivĂ© au
point Ă
manquer un sou. Il mâa aimĂ©. Il mâa aimĂ© autant quand je nâavais pas de
sou,
comme si jâavais un million de dollars. Il mâaime simplement de mĂȘme.
Cet amour
pur, saint et sans mélange vient de Dieu seul et se déverse dans Son
peuple.
Câest ainsi que nous devrions nous aimer les uns les autres dâun amour
divin.
36 Remarquez,
je peux le voir comme un grand, dans des places publiques, avec des
appareils
de jeux dâargent, dans des salles malfamĂ©es, et tout. Et quelques
instants
aprĂšs, son argent sâĂ©puisa, ses amis disparurent. Il Ă©tait un garçon
populaire.
Il pouvait fixer rendez-vous Ă nâimporte quelle fille. Mais lorsque son
argent
Ă©tait Ă©puisĂ©, elles sont toutes parties avec la foule. Câest ce que
fait le
diable...?... Tant que vous avez de lâargent, vous ĂȘtes populaire, et
tout va
bien ; mais dĂšs que ce temps est passĂ©, ça en est fini de vous. Câest
tout...?... le monde.
Et je peux le voir. Il devait se taper un job. Il est
donc allĂ© auprĂšs dâun habitant de la contrĂ©e, un Ă©leveur de porcs.
Regardez
dâoĂč il est donc descendu: un Juif, il nâest mĂȘme pas censĂ© placer ses
mains
sur le cadavre dâun porc. Mais il Ă©tait dans le besoin ; il crevait de
faim.
Alors, il lui fallait trouver un job. Et on lui a donné la chose la
plus
vilaine. Câest ce que fait le diable. AussitĂŽt quâil vous fait
descendre la
colline, il vous combattra avec tout ce quâil a. Et puis... Jâai vu
beaucoup...?...
37 Il
sâest
joint à un habitant de la contrée. Et cet habitant lui a donné deux
grands seaux
Ă soupe Ă cochons pour nourrir les porcs. Pensez Ă cet endroit et lui
qui
est...?... le jeune homme sâest retrouvĂ© lĂ , nourrissant les porcs dans
une
porcherie, loin de sa mĂšre, loin de la religion quâil avait une fois
pratiquée,
en se gardant loin des porcs ; maintenant, il y est figé.
Câest ce que fera le diable. Il vous fera fumer votre
premiĂšre cigarette, vous disant quâil nây a pas de mal à ça. Et aprĂšs
un temps,
vous devenez un maniaque de la cigarette. Il vous dira quâil nây a pas
de mal Ă
prendre un verre pour vous montrer sociable.
Je me suis tenu Ă cĂŽtĂ© des gens avant quâils aillent aux
potences, je me suis tenu Ă cĂŽtĂ© dâeux avant quâils ne soient
électrocutés
et... «Je nâai jamais eu lâintention de..., disait-il, de jouer Ă
lâargent. Je
nâavais point lâintention, alors que je jouais aux cartes, de jouer Ă
lâargent.
Je nâavais jamais lâintention de...?... la bouteille dâune station
dâessence.
Je nâavais pas lâintention dâĂȘtre un voleur.» Mais tout ce que le
diable veut
que vous fassiez, câest commencer, et il prendra la relĂšve. Allez une
fois sur
son terrain et observez-le. Vous savez ce que ça signifie que de mal
agir, mais
il y a une influence de la puissance des ténÚbres, le prince de la
puissance de
lâair vous guide pour ĂȘtre pris au piĂšge dans ces choses. Vous devez
vous
lever. SĂ©parez-vous des choses du monde et vivez pour Christ. Câest
vrai.
38 Et
je peux
voir cet enfant. Eh bien, il nourrit les porcs. Le voici dans la
porcherie,
nourrissant les porcs de la soupe Ă cochons et en mangeant lui-mĂȘme. Il
nourrissait les porcs... Pensez-y, ce quâil avait laissĂ© et ce quâil
avait
alors. Et la part quâil avait dĂ©pensĂ©e Ă©tait en fait celle de son pĂšre,
quâil
avait gagnĂ©e. Mais il sâest retrouvĂ© lĂ dans une porcherie. Tout ce
quâil
pouvait entendre, câĂ©tait le grognement des porcs.
Câest ce quâil en est de cette nation ce soir. Il y a
beaucoup de fils Ă maman maintenant dans les boĂźtes de nuit, se
nourrissant lĂ
dans tous ces endroits malfamés. Beaucoup de jeunes femmes prostituées
lĂ dans
les rues... Pourquoi? Parce quâils se sont Ă©loignĂ©s de la maison, ils
se sont
éloignés de Dieu, ils se sont éloignés de la Bible, ils se sont
éloignés de Ses
enseignements, ils sont allés vivre avec le reste du monde. Tenez-vous
loin du
monde.
La Bible dit que si vous aimez le monde ou les choses du
monde, lâamour de Dieu nâest mĂȘme point en vous. Eloignez-vous-en. Et
tant que
ce dĂ©sir est dans votre coeur, de faire cela, revenez Ă lâautel. Amen.
Restez
lĂ jusquâĂ ce que tout cela soit parti. Oh! la la! Câest de ce genre de
religion Ă lâancienne mode dont je parle, qui cherche Ă vous
débarrasser du
désir.
39 Au
début de
ma conversion, une jeune dame est venue auprÚs de moi et a dit: «FrÚre
Branham,
a-t-elle dit, quel plaisir tirez-vous de la vie si vous ne fumez pas,
ni ne
buvez, ni nâallez au spectacle, et tout?»
Quelques soirées aprÚs cela, environ huit ou dix pécheurs
sont venus Ă lâautel. Jâai dit: «Je trouve plus de plaisir dans ceci en
une
minute que vous ne pourriez en avoir dans le monde pendant dix ans.»
Quand les
perdus viennent Ă Dieu... Câest lĂ que nous Ă©prouvons du plaisir, nous
les
chrétiens, en voyant les nouveaux nés en Christ entrer dans le Royaume,
une Ăąme
qui est éternelle, quelque chose de réel...
Eh bien, je peux voir le garçon là , couché dans la
porcherie.
La nuit, ce vieil endroit puait, alors...?... dans la porcherie, couché
à cÎté
des porcs dans la mangeoire.
Un soir, je peux voir la maman agitée et le papa se
mettre à parler de leur fils...?... Je peux entendre la maman dire: «Je
suis
vraiment agitĂ©e, papa, je ne sais quoi faire. Je nâarrĂȘte simplement
pas de
penser Ă notre fils. Je me demande oĂč il est. Je me demande sâil a
quelque
chose à manger.»
Et son papa a dit: «Eh bien, il nous est toujours
enseigné que toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment Dieu.
Prions.»
Je peux les voir sâagenouiller par terre et commencer Ă prier pour le
petit
Johnny. Je peux les entendre dire: «à Dieu, sauve le cher petit garçon.
OĂč
quâil soit, dans quelque Ă©tat quâil soit, prends soin de lui, PĂšre, et
ramĂšne-le Ă la maison.» OĂč est-il? LĂ dans une porcherie, il est allĂ©
dans une
porcherie.
40 LâAnge
de
Dieu est venu...?... «Fils, réveille-toi.» Il lui a parlé, disant: «Oh!
Et si
tu retournais simplement à la maison...?...»
«De penser à mon pÚre qui possÚde toutes les richesses
quâil a et tout ce quâil mâa donnĂ©. Me voici couchĂ© ici, mourant de
faim,
couché dans une porcherie, mangeant la soupe à cochon.» La Bible dit
quâil
revint Ă lui-mĂȘme.
Et câest ce que lâEglise a besoin de faire aujourdâhui,
câest revenir Ă elle-mĂȘme, rĂ©aliser quiâqui est son PĂšre, car, des
fois, nous
agissons comme si nous nâavions pas de PĂšre cĂ©leste. En effet, toutes
les
bonnes choses du Ciel appartiennent Ă lâEglise: la guĂ©rison divine, le
salut,
ĂȘtre sans souci ou tout, tout appartient Ă lâEglise. JĂ©sus est mort, et
nous
sommes... nous héritons de tout ce que Dieu a au travers de Lui, des
héritiers
du Royaume, des riches...
Mon PĂšre est riche en maisons et en terres,
Il a la richesse de ce monde dans Ses mains.
Câest ce que nous sommes. Revenons simplement Ă
nous-mĂȘmes. Oh! Je peux le voir alors quâil commence Ă revenir Ă
lui-mĂȘme, et
il dit: «Oh! Si seulement je pouvais retourner Ă la maison. Mais jâai
péché et
je ne suis plus... je ne suis pas digne de retourner Ă la maison. Que
puis-je
donc faire?»
41 Pour
moi, je
peux avoir un souvenir net du temps oĂč il nâĂ©tait quâun petit garçon.
Lorsquâil
tombait malade, la maman apportait...?... dâun bout Ă lâautre, de fond
en
comble...?... Et maintenant, il nây a personne pour lâaimer et prendre
soin de
lui. Il est là dans le monde froid, se débrouillant tout seul. Tout ce
quâil
entend, câest le grognement...?... Et je peux lâentendre commencer Ă
chanter un
vieux cantique, peut-ĂȘtre celui que sa mĂšre connaissait. Je crois que
ce cantique
se chantait comme suit:
Si je pouvais encore entendre ma mĂšre prier,
Si je pouvais encore entendre sa tendre voix,
Combien je mâen rĂ©jouirais,
Cela représenterait beaucoup pour moi,
Si je pouvais encore entendre ma mĂšre prier.
Y a-t-il de braves mĂšres lĂ quâon aimerait entendre prier
cet aprĂšs-midi? Beaucoup parmi vous...?... Oh! Si vous pouviez entendre
votre
mĂšre prier...?... Que Dieu baisse le regard depuis le ciel...?... Priez
maintenant...
42 Puis,
je
remarque là -bas...?... Je peux voir le papa devenir trÚs agité, se
lever,
porter son manteau et sortir pour voir le clair de lune ; il regarde de
lâautre
cĂŽtĂ© du chemin, en se demandant: «OĂč est mon fils?» Le vieux cantique
que mon
pĂšre avait lâhabitude de chanter lorsque premiĂšrement nous...?... mon
brave
pĂšre chantait comme ceci. Jâobservais papa. Il avait un vieux mouchoir
rouge ;
il marchait avec le mouchoir à moitié ressorti de sa poche. Il se
levait et
chantait ce cantique:
Oh! OĂč est mon fils ce soir?
Oh! OĂč est mon fils ce soir?
Mon coeur déborde,
En effet, je veux quâil le sache.
Oh! OĂč est mon fils ce soir?
43 Oh!
la la!
Il a vu son fils au loin sur la route, lĂ en bas. Je peux voir le jeune
garçon
revenir Ă lui-mĂȘme, et lĂ , on dirait quâil pouvait entendre sa mĂšre
prier. Les
anges de Dieu attendaient dâamener le message. Je peux lâentendre se
lever,
chanter et dire:
Dites Ă maman que je serai lĂ (chantons tous cela)
En réponse à sa priÚre.
Que les anges gardiens lui apportent ce message.
Dites Ă maman que je serai lĂ ,...partager les joies du
Ciel avec elle.
Oui, dites Ă ma chĂšre maman que je serai lĂ .
Combien ont des mĂšres qui sont mortes aujourdâhui? Faites
voir les mains. Gardons simplement les mains levées et chantons cela.
Dites Ă maman (Lui avez-vous promis de la rencontrer?)
En réponse à sa priÚre.
Que lâange gardien lui apporte ce message.
Dites Ă maman que je serai lĂ ,
... partager les joies du ciel avec elle.
Oui, dites Ă ma chĂšre maman que je serai lĂ .
44 Je
peux
lâentendre dire: «Je me lĂšverai...?...» Le voici venir, en
rampant...?... Je
peux voir papa et maman...?... assis lĂ ...?... lĂ dans les bois. Le
voici venir
; le lever du soleil dans le...?... pieds nus, les habits en lambeaux
et
déchirés, rentrant à la maison en titubant. Je peux entendre sa mÚre
dire: «Le
voilà venir, papa.»
Je peux entendre papa dire: «Câest mon fils.»
Je peux lâentendre dire: «à papa, je ne suis pas digne
dâĂȘtre votre fils, peut-ĂȘtre, lâun de vos mercenaires. Mais je
continuerai
seulement...» Le pÚre et la mÚre se dirigÚrent aux portails. Peu
importe ce
quâil avait fait, il retourne maintenant Ă la maison. Il a couru, il a
jeté ses
bras autour de lui et a dit: «Allez tuer un veau gras. Réjouissons-nous
; mon
fils que voici était mort et il est de nouveau en vie. Il était perdu,
mais
maintenant il est retrouvé. Mettez-lui un anneau aux doigts, faites-lui
porter
des chaussures. RevĂȘtez-le de la meilleure robe que vous avez Ă la
maison.»
Câest lâattitude du PĂšre envers chaque pĂ©cheur ici prĂ©sent qui
chancelle...?...
45 Je
me
souviens lorsque jâĂ©tais perdu et Ă©garĂ©, lĂ dans le monde, mourant, un
pécheur,
couchĂ© sur un lit dâhĂŽpital. Le mĂ©decin avait dĂ©clarĂ© que je nâavais
que
quelques instants Ă vivre. Mais jâai criĂ©, je suis descendu dans la
rue. Et
comme enfant, jâai couru Ă la rencontre du PĂšre cĂ©leste ; Il mâa
embrassé au
cou dâun baiser, Il a ĂŽtĂ© tous mes pĂ©chĂ©s et tous mes soucis. Il mâa
revĂȘtu de
la Robe, le Saint-Esprit, Il mâa mis au doigt la bague de mariage ; et
lâun de
ces jours, jâirai quelque part. Il a fait que je mâassocie Ă Son peuple
ici, oĂč
nous pouvons nous rĂ©jouir, vivre ensemble et ĂȘtre heureux. Pourquoi?
Autrefois,
jâĂ©tais mort, et maintenant, je suis vivant. Oh! la la! Autrefois,
jâĂ©tais
perdu, mais maintenant, je suis retrouvé.
Il y a beaucoup dâenfants prodigues dans le monde
aujourdâhui. Il y a beaucoup dâhommes prodigues, de femmes prodigues,
et Dieu
les appelle tous Ă la repentance. Est-ce vrai? Il veut que nous
venions. Il
veut que vous veniez, tous les enfants prodigues partout.
Je me demande sâil y a ici aujourdâhui un enfant prodigue
qui sâest Ă©garĂ©. Je nâĂ©tais pas...?... mon temps sâĂ©coule. Y a-t-il un
enfant
prodigue? Levez la main, quelquâun qui sâest Ă©loignĂ© de Dieu.
Voudriez-vous
lever la main maintenant mĂȘme pour dire: «FrĂšre Branham, jâĂ©tais un
enfant
prodigue. Jâaimerais trouver Christ ce soir»?
46 Combien
nâont pas le Saint-Esprit? Oh! Vous seriez choquĂ©, ceux qui nâont
pas...?... Je
me demande si vous tous qui nâavez pas le Saint-Esprit, avec les
mains...?...
de loin vouloir descendre ici maintenant. Pendant que nous chantons
encore ce
couplet:
Dites Ă maman que je serai lĂ , et venez juste ici et
parlons-en avec Dieu maintenant mĂȘme. Croyez-vous quâIl ouvrira les
yeux des
aveugles, pour moi, quâIl dĂ©bouchera les oreilles des sourds? Ne
croyez-vous
pas quâIl exaucera mes priĂšres maintenant pour vos besoins? Chantons
simplement
tous ensemble maintenant.
Dites Ă maman que je serai lĂ ...
(Câest vrai, venez, amis pĂ©cheurs, vous... Que Dieu vous
bénisse, mon frÚre. Que Dieu soit avec vous. Que Dieu vous bénisse,
soeur. Que
Dieu vous bénisse, mon frÚre.)... lui apporter.
Dites Ă maman que je serai lĂ ,
...partager avec elle les joies du Ciel,
Oui, dites Ă ma chĂšre mĂšre que je serai lĂ ,
Jâentends le PĂšre appeler maintenant son fils.
Oh! OĂč est mon fils ce soir? (Courir çà et lĂ ...?... une vie
dure.)
Oh! OĂč est mon fils ce soir,
Mon coeur déborde,
Il sait que je lâaime
Oh! OĂč ...
47 [Espace
vide
sur la bandeâN.D.E.] ...?... Oh! la la! Câest merveilleux, ce
rassemblement
ici, tous ensemble [Espace vide sur la bandeâN.D.E.] Oh! ChrĂ©tiens,
soyez
sincĂšres...?... Levez la main, tous ceux qui veulent... [Espace vide
sur la
bandeâN.D.E.]...?... ReprĂ©sentez-vous le MaĂźtre debout ici cet
aprĂšs-midi?...?...
[Espace vide sur la bandeâN.D.E.]
Jâai un PĂšre dans lâau-delĂ ,
Jâai un PĂšre dans lâau-delĂ ,
Jâai un PĂšre dans lâau-delĂ ,
LĂ sur lâautre
rive.
Un jour clair, jâirai Le voir,
Un jour clair, jâirai Le voir,
Un jour clair, jâirai Le voir,
LĂ sur lâautre
rive. (Chantons cela.)
Ce jour clair peut ĂȘtre demain,
Ce jour clair peut ĂȘtre demain,
Ce jour clair peut ĂȘtre demain,
LĂ sur lâautre rive.
48 Combien
ont
un pĂšre de lâautre cĂŽtĂ©? Faites voir la main. Oh! la la! Combien ont
une mĂšre
lĂ -bas? Faites voir la main. FrĂšre, soeur, un jour, nous irons les
voir,
nâest-ce pas? Si vous nâĂȘtes pas sĂ»r de votre expĂ©rience, venez
maintenant (Le
voulez-vous?), pendant que nous chantons.
Ce jour clair peut ĂȘtre demain,
Ce jour clair peut ĂȘtre demain,
Ce jour clair peut ĂȘtre demain,
LĂ sur lâautre
rive,
Oh! quelle heureuse rencontre!
Quelle heureuse rencontre ce sera!
Quelle heureuse rencontre ce sera!
LĂ sur lâautre rive.
Je me souviens lorsque mon frĂšre se mourait lĂ Ă
lâhĂŽpital...?... «Dites Ă Bill, dites Ă Bill que je le rencontrerai de
lâautre
cÎté.»
Nâest-ce pas...
Ce jour clair peut ĂȘtre demain
Ce jour clair peut ĂȘtre demain
Ce jour clair peut ĂȘtre demain
LĂ sur lâautre rive.
49 Vos
mĂšres
veulent savoir pourquoi nous attendons...?... rassemblés ici...?... A
votre
avis, quâest-ce que le MaĂźtre pense cet aprĂšs-midi? Combien est...? les
voir
assemblés ...?... affamés et assoiffés de la vie...?... Oh! Que Dieu
vous
bénisse, mes chers amis. Un jour lorsque ce...?... appellera, nous
pleurerons
et...?... Je crois avoir touché Sa Gloire, Son Ciel, le Dieu. Et je
crois que
le PĂšre est bien content cet aprĂšs-midi maintenant. Il cherche dans
lâassemblĂ©e
pour trouver ceux qui ont faim et soif de la justice, afin quâils
soient
remplis.
Ne voulez-vous pas venir, quelquâun dâautre, pendant que
nous attendons? Quelquâun ici prĂ©sent qui nâest pas... qui sait que son
expĂ©rience ne sâaccorde pas avec Dieu et qui nâa pas le Saint-Esprit,
voudriez-vous venir, vous rassembler ici pendant que nous offrons la
priĂšre?
Chantons ce bon vieux cantique:
Oh! Ne laissez pas passer la Parole,
Et fermer vos yeux contre la LumiĂšre ;
Pauvre pĂ©cheur, nâendurcissez pas votre coeur,
Soyez sauvé, oh! ce soir
Oh! Pourquoi pas ce soir?
Oh! Pourquoi pas ce soir? (Voulez-vous venir?)
Voudriez-vous ĂȘtre sauvĂ©?
Alors pourquoi pas ce soir?
Oh! Pourquoi, dites-moi pourquoi pas ce soir?
Oh! Pourquoi...
Notre PĂšre cĂ©leste, parle maintenant mĂȘme. Accorde Ă ces
gens de mâentendre, de descendre simplement Ă lâautel, pendant que
cette grande
action de lâEsprit...?...
Pourquoi pas ce soir...?...
Vous ĂȘtes ici maintenant, oĂč serez-vous dans cinq cents
ans?
Le soleil de demain peut ne point briller ;
Pour bénir vos projets illusoires à longtemps,
Câest maintenant le temps, oh! soyez donc sage,
Oh! Pourquoi pas ce soir? (Voudrez-vous venir, le dernier
appel)
Oh! Pourquoi pas ce soir?
Souvenez-vous, votre aimable maison. Je dois vous
rencontrer au jugement. Peut-ĂȘtre que câest la derniĂšre fois que je
vais jamais
vous parler. Je suis déjà ...?... changé, écoutant votre saynÚte.
... ĂȘtre sauvĂ©?
Oh! Pourquoi pas ce soir?
Vous ĂȘtes quasi persuadĂ©,
Ă Dieu, regarde. Ne voudriez-vous pas venir?
Plusieurs sont sauvés, sans le Saint-Esprit...?...
Quasi persuadé, maintenant pour croire ;
On dirait quâune Ăąme dit maintenant:
Va, Esprit, va Ton chemin,
Un jour plus opportun, je Tâinvoquerai.
[FrĂšre Branham se met Ă fredonner.âN.D.E.] ...?...
On dirait quâune Ăąme dit maintenant: Va, Esprit ; va Ton
chemin.
Un jour plus opportun, je Tâinvoquerai.
50 Juste
avant
de vous asseoir, alors que lâorgue continue Ă jouer, je me demande
si...?...
venir maintenant mĂȘme. Ecoutez, un de ces jours, dâici peu, il y en a
beaucoup
ici prĂ©sents qui seront peut-ĂȘtre partis. Je partirai un de ces jours.
La lune
refusera de briller un jour, le soleil ne donnera pas de sa lumiĂšre. Eh
bien,
si vous nâĂȘtes pas simplement... vous savez que vous nâĂȘtes pas en
ordre avec Dieu...?...
Maintenant, je vais offrir...?... Eh bien, souvenez-vous,
siâsi Dieu peut rĂ©vĂ©ler Ses secrets Ă Son serviteur, alors vous savez
que lĂ au
Ciel...?... Ce sera un jour merveilleux, nâest-ce pas?
Ne voudrez-vous pas venir? Jeunes hommes et jeunes femmes
qui généralement sont au début de leur vie, juste à la croisée des
chemins,
venez si vous nâĂȘtes pas sauvĂ©s. Voudriez-vous venir maintenant mĂȘme,
doucement, humblement pour la priĂšre?
51 Un
jour,
tout sera terminé et alors, vous irez à Sa rencontre pour rendre compte
des
actions qui ont été accomplies dans votre corps. Une de ces heures, une
bombe
atomique frappera cette ville de...?... nation...?... Il nây aura pas
de
survivant, ni rien dâautre, cela pourrait arriver dans moins dâune
annĂ©e. OĂč
ira votre pauvre Ăąme? Ne prenez pas le risque avec cela...?... Venez
maintenant. Et allez-vous rester lĂ Ă jouer? Vous ĂȘtes une Ă©glise et
tous ceux
qui sont membres de lâĂ©glise, mais vous nâavez en fait pas une
véritable
expérience, ne voulez-vous pas venir?
Câest trĂšs Ă©trange, je suis conduit Ă faire ceâĂ
faire...?... vos mains. Regardez ici, vous tous, chrétiens. Regardez
cette
scĂšne. Pensez-vous que Dieu ne verra pas cela sâIl garde le passereau
qui tombe
sur la route? SâIl connaĂźt la mort dâun passereau, quâen est-il des
centaines
de gens sincĂšres qui prient? Ăa sera un temps merveilleux. Ils
continuent Ă
venir, mes amis, de tous cÎtés. Si vous vous frayez un chemin, Dieu
sera trĂšs
heureux et sera trĂšs content de...?... vous.
52 Voudriez-vous
ĂȘtre de ce nombre? Et si vous vous retrouviez lĂ dehors? Vous pourriez
mourir...?... Câest ce qui sâest passĂ©...?... la Venue de Dieu. Oh! la
la! Le
dernier appel a Ă©tĂ© fait. OĂč ĂȘtes-vous? Lorsque vous pouvez...?... Et
si vous
vous retrouviez hors des portes...?... frappé par la crise
cardiaque...?... OĂč
sera votre Ăąme? Venez maintenant mĂȘme pendant que vous avez lâoccasion.
Ne Le rejetez pas, ne Le rejetez pas...?...
MĂȘme si vous vous ĂȘtes Ă©garĂ© ;
Oh! comme vous aimeriez quâIl dise: «Câest bien.»
En ce jour éternel!
Ne rejetez pas le Sauveur de votre coeur,
Ne Le rejetez pas.
Je peux Lâentendre vous dire ce soir, alors que vous
arrivez dans les derniers jours...?... maintenant. Jâaimerais que
chacun de
vous...?... si vous le voulez maintenant ce soir. SâIl est...?... Oh!
Chrétien,
les gens partout, soyez en priĂšre pour ces chers...?... une seule Ăąme
maintenant...?...
Y a-t-il quelquâun ici qui a besoin du Saint-Esprit, qui
est dans le besoin? De mĂȘme que...?... Quâest-ce que cela a reprĂ©sentĂ©
pour
vous ce soir, que de recevoir le Saint-Esprit? Quâest-ce que cela a
représenté
pour vous...?... Recevez le Saint-Esprit pour ĂȘtre vraiment sauvĂ© de la
vie du
péché. Ils sont sincÚres, ils ont faim de Dieu...?... Je vous retiens
pendant
une demi-heure ou plus pour faire un appel Ă lâautel.
53 Maintenant,
inclinons la tĂȘte partout pendant que nous prions. Mes frĂšres
ministres,
voudriez-vous vous associer Ă cette assemblĂ©e maintenant, alors quâils
viennent?
MĂȘlez-vous Ă eux et soyez...?... Tout le monde prie, partout. Est-ce
que tous
ces gens ici présents cherchent Dieu? Levez la main maintenant, et
adorez-Le
simplement pendant que je...?...
Notre PÚre céleste, nous, les enfants prodigues, éloignés
du Royaume, Ă©garĂ©s. Plusieurs dâentre nous, PĂšre bien-aimĂ©, nous ne
sommes pas
dignes dâĂȘtre appelĂ©s Tes enfants. Plusieurs, ĂŽ Dieu, pensent quâils
sont des
mercenaires, mais Tu ne veux pas quâils soient Tes mercenaires. Tu veux
quâils
soient Tes fils et Tes filles, quâils aient lâassurance...?... Remplis
le
rĂ©frigĂ©rateur lorsquâils retourneront dans leur maison et quâils auront
faim...?... faim et des moments difficiles.
Ă Dieu, regarde aujourdâhui alors que plusieurs dâentre
eux se souviennent du passé, quoique errant...?... du pÚre et de la
mĂšre qui
les aiment, qui savent...?... de la mÚre qui a prié pour eux...?... Un
pĂšre Ă
lâancienne mode...?... Oh! Essuie les larmes de ses yeux, pendant quâil
est
assis...?... dans la Gloire un...?... aujourdâhui. Et ils sont
lĂ ...?...
regardant dans cette direction...?... les appels Ă lâautel sont
faits...?...
les pécheurs et des ùmes qui cherchent Dieu se sont assemblés autour de
lâautel. Ă Saint-Esprit, meus-Toi avec une glorieuse puissance
maintenant mĂȘme
; plane sur cette salle...?... Je sais que Tu es disposé à baptiser
tout celui
qui invoque...?...
54 [Espace
vide
sur la bandeâN.D.E.] ... rassurer que câest le moment appropriĂ© pour
que Ton
Royaume et Ta Puissance soient manifestés à ces gens. Ouvre-nous les
yeux...?... ceci. Combien ça sera de loin plus glorieux, Î Dieu!
Souviens-toi
de moi, mes jours sont comptés. Mon sort est déterminé. Un jour, la
mort
exercera une pression sur le corps, et la vie quittera mon corps et il
me
faudra aller Ă Ta rencontre, ĂŽ JĂ©sus. Et lorsque jâarriverai et que je
mâassiĂ©rai lĂ Ă Tes pieds, alors je vais...?... Je Te chercherai,
lorsque les
Ă©toiles commenceront Ă sâassembler...?... et remontera ma marche. Je
mâattendrai Ă ce que Tu Te tiennes lĂ . Tu as...?... moi: Oui, si je
marche dans
la vallĂ©e de lâombre de la mort, je ne crains aucun mal. Tu es avec
moi, Ta
houlette et Ton bĂąton me rassurent.
Ă Dieu, maintenant, cette grande heure sombre, juste
devant la plupart...?... Couvre-moi de la puissance du Saint-Esprit, se
mouvant
simplement...?... se tenir...?... et ĂȘtre convaincus quâils sont venus
Ă
JĂ©sus-Christ, entrant par la porte, la porte Ă©troite...?... lâange de
la
mort...
Maintenant, alors que ces gens sont Ă genoux,
accorde-leur...?... par Toi... Exauce la priĂšre de ces...?... les
besoins, de
tout mon coeur, puisses-Tu recevoir chacun dâeux dans Ton Royaume. Que
Ton
Esprit soit dans leurs vies et que Tu leur accordes le désir de leurs
coeurs
cet aprĂšs-midi mĂȘme.
55 Que
plusieurs parmi ceux qui se tiennent debout au balcon maintenant, qui
prient,
que le Saint-Esprit se déverse dans ces allées là -haut. Appelle Ton
peuple,
Seigneur, et bénis-les partout, ayant... assis...?... priÚre, PÚre, au
Nom de
Ton Fils Jésus. ModÚle ces gens, PÚre céleste, bénis. Nous le demandons
au Nom
de Jésus-Christ, à cause de Lui.
Pendant que vous ĂȘtes en priĂšre, que tout le monde ici est
en priĂšre, levez maintenant vos saintes mains et...?... les besoins et
sois
miséricordieux...?...
[Un frĂšre fait des commentaires sur la suite du
service.âN.D.E.]
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