Enfant Prodigue

Date: 50-0827A | La durée est de: 1 heure et 36 minutes | La traduction: Shp
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1          [Cet enregistrement est de très mauvaise qualité et beaucoup de parties sont inaudibles ; et c’est pourquoi elles ne peuvent pas être transcrites.–N.D.E.]

Merci, Frère Paul. Bonsoir, assistance. Je m’en réjouis vraiment beaucoup, de savoir que je suis encore le bienvenu après toutes les prédications, tous les chants, tous les témoignages. Cela montre que nous avons une communion mutuelle. Ça ne finit pas... même la mort ne nous sépare pas les uns des autres. Nous continuerons à vivre quelque part. L’amour continue à vivre ; après que toutes choses auront disparu, l’amour demeurera toujours. Les prophéties prendront fin ; les langues cesseront, mais l’amour durera éternellement...?...

2          Je suis heureux d’être ici, comme je le répète cet après-midi, et d’avoir cette occasion de vous parler juste quelques instants. Il fait chaud. Et ce soir, il y aura un service de guérison, c’est la fin du réveil. Et nous allons essayer ce soir, si possible, de nous occuper de rendre service à tous ceux à qui nous pouvons, et de consacrer le plus de temps à prier pour les malades...?...

Eh bien, je suis rentré à la maison très tard. Le lendemain après...?... le samedi, le vendredi soir... Et puis, le samedi matin, j’ai eu un service. J’étais vraiment en retard le samedi après-midi, j’ai eu plusieurs cas d’urgence dont il fallait m’occuper à la fois. Et puis, j’ai quitté le service hier soir et je suis rentré il n’y a pas très longtemps, environ une heure.

J’ai un service cet après-midi et ce soir. Demain à midi, je tiendrai un service à New Albanie, dans l’Indiana. Vous voyez donc que nous restons constamment en mouvement. Mais nous sommes très content d’être n’importe où où nous pouvons dire ne fût-ce qu’un petit mot, travaillant pour...?...

3          Je suis très reconnaissant pour les ministres ici présents et, on dirait, ça les a inspirés, ou ça les aide. Et c’est là le but de notre présence ici, c’est d’essayer d’aider les autres. Nous... Je ne pourrais jamais apporter le Message au monde entier, moi seul. Il faudra des milliers d’entre nous ensemble pour le faire, et ensemble, quand nous pouvons nous unir, oubliant nos églises, nos doctrines, et tout, pour ne connaître que cette Chose unique: Christ, et Christ crucifié, et savoir cela parmi nous. Et je crois que Dieu est sur le point d’accomplir une oeuvre merveilleuse tout de suite. Je crois que nous allons voir une action de l’Esprit, telle que nous n’en avons jamais vu dans tous les âges.

Et je me sens conduit à dire ceci (je l’ai senti depuis quelque temps, les quelques dernières semaines), que je crois que la petite portion que Dieu m’a donnée pour essayer de rendre service ici si seulement je...?... attendant quelque chose d’autre qui sera plus merveilleux que ce que vous ayez jamais...?... Ces miracles que Dieu m’a donnés d’accomplir devant les gens. Je crois que ça sera plus gracieux que jamais dans l’Indiana. Priez pour moi. Et les autres peuvent saisir l’inspiration et s’approcher de Dieu comme une grande armée chrétienne en marche.

4          J’aimerais le redire pour ma part: les petits cadeaux et autres qui m’ont été donnés cette semaine, je n’ai pas eu l’occasion d’ouvrir certains d’entre eux, jusqu’à ce que j’arrive à la maison, tout ce que...?... au point que la petite fille ce soir-là, quand je suis arrivé à la maison... Quelqu’un m’a donné une boîte de biscuits et...?... Ma fillette était très ravie de les avoir.

Maintenant...?... cet après-midi, je n’aimerais pas prendre beaucoup de temps... Combien ici présents dans la salle aujourd’hui sont des chrétiens? Faites voir les mains, des chrétiens, partout dans la salle. Oh! la la! Y a-t-il un...?... ou étant donné que vous n’êtes pas...?... [Espace vide sur la bande–N.D.E.] [La bande est inaudible.–N.D.E.]

Très bien...?... je me souviens lorsque j’étais un enfant prodigue...?...

5          Très bien. Tout le monde, n’oubliez pas de prier pour la réunion. Après la réunion...?... être de fois parti...?... souvenez-vous simplement de moi dans la prière. [La bande est inaudible.–N.D.E.]... grande liberté...?... Souvenez-vous de ce que...?... Et je ne peux pas compter sur moi-même ; en effet, je...?... et j’ai...?... le Seigneur...?... qu’Il inspirera toute l’assemblée et conduira Son peuple...?... Car Il est Dieu parmi nous, prêt à glorifier Ses oeuvres parmi...?...

Eh bien, j’en suis très reconnaissant comme ça. Pouvons-nous Lui parler juste un instant maintenant, alors que nous inclinons la tête?

Notre Père céleste, nous sommes très... [Espace vide sur la bande–N.D.E.] pour Toi, qui as prêché la Parole [Espace vide sur la bande–N.D.E.] ... ministres que voici.

Ceux qui n’ont pas le Saint-Esprit, qu’ils viennent aujourd’hui. [La bande est inaudible.–N.D.E.]

6          J’aimerais...?... à partir de la façon de...?... Je pense que c’est ça la suite de l’histoire. Et–et...?... en effet, le père avait reçu le–le...?... [La bande est inaudible.–N.D.E.] J’ai parlé à l’église par la puissance...?...

Il y a environ cinq ans, je parlais là un dimanche après-midi...?... là avec un drôle de petit...?... [La bande est inaudible.–N.D.E.] Ils avaient le coin des amen d’un côté, là de l’autre côté, il y avait des dames. Et elles étaient...?... jouant des cantiques sur l’orgue à l’aide d’une pédale. Ils avaient un vieil orgue qu’on pompait à l’aide d’un bâton...?... Quelqu’un en a-t-il déjà vu un?...?... Oh! Oui... l’orgue à pompe...?... un très grand sortit...?... [La bande est inaudible.–N.D.E.] Je leur ai parlé de la guérison divine cet après-midi-là, et certainement...?... J’ai entendu un...?... et je m’étais proposé d’aller là voir ce que...?... quatre hommes qui se tenaient là...?... et ils étaient...?... [La bande est inaudible.–N.D.E.] et je me suis avancé...?... Et il s’est retourné et il a regardé...?... il m’a regardé...?... il a ôté son chapeau et il a dit: «Bonjour, pasteur...?...» Je me suis dit...?... un très grand...?...

Pendant que je parlais cet après-midi-là...?... un service pendant environ...?... De toute façon, le...?... marchant dans le bois... Je parlais de la résurrection de Christ, lorsque ce grand garçon qui se tenait là derrière...?... Je réclame...?... et il a couru à l’autel, et s’est écrié: «Ô Dieu, aie pitié de mon âme.» Et lorsqu’Il s’est avancé, eh bien, il n’à point parcouru tout le trajet jusqu’à l’autel, à peine...?... Eh bien, il y avait environ cinquante de ces vieilles grands-mères là, elles l’ont saisi par le cou et l’ont conduit à l’autel.

Il y eut environ cinquante et quelques étranges conversions cet après-midi-là. Ainsi donc, ils ne s’agenouillaient pas là, avec une confession aux yeux secs, et puis se relever. Elles ont prié avec lui pendant environ deux heures, je pense. Elles se sont levées, et leurs habits étaient si mouillés qu’elles les pressaient pour faire sortir la sueur. Elles se sont levées, et elles ont crié. Et elles criaient en bas dans le bois et en haut sur les collines: «Alléluia! Alléluia!» ...?... Peut-être qu’elles gênaient, mais elles avaient la religion du Saint-Esprit de l’ancien temps. C’est vrai. En effet, elle...?... C’est la vérité.

7          Maintenant, pendant que je lis ces...?... si vous le voulez. Au chapitre 15 de Saint Luc, j’aimerais lire ces versets de l’Ecriture, à partir du verset 11 du chapitre 15 de Saint Luc.

Il dit encore: Un homme avait deux fils. Le plus jeune dit à son père: Mon père, donne la part de bien qui doit me revenir. Et le père leur partagea–partagea son bien.

Peu de jours après, le plus jeune... ayant tout ramassé, partit pour un pays éloigné, où il dissipa son bien en vivant dans la débauche. Lorsqu’il eut tout dépensé, une grande famine survint dans ce pays, et il commença à se trouver dans le besoin.

Il alla se mettre au service d’un des habitants du pays, qui l’envoya dans ses champs garder les pourceaux. [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

... mercenaires chez mon père ont du pain en abondance, et moi, je meurs de faim! Je me lèverai, j’irai vers mon père, [Espace vide sur la bande–N.D.E.] Et je ne suis plus digne d’être appelé ton fils ; [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

... Le fils lui dit: Mon père, j’ai péché contre le ciel et contre toi, je ne suis... digne d’être appelé ton fils.

Mais le père dit à ses serviteurs: Apportez la plus belle robe et l’en revêtez ; mettez-lui un anneau au doigt et les souliers aux pieds.

Amenez le veau gras, et tuez-le. Mangeons et réjouissons-nous: ... mon fils que voici était mort, et il est revenu à la vie ; il était perdu, et il est retrouvé. Et ils commencèrent à se réjouir.

Que le Seigneur ajoute Ses bénédictions à la Parole.

8          Pour ce qu’est d’être prédicateur, orateur, je–je ne le suis pas. Ma part, ce lot ici sur terre, c’est de prier pour vous les malades, ce que j’aime beaucoup faire. Et je ne suis pas... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

Tout ce que je peux dire ce soir...?... Et vous, priez pour moi, vous tous les frères prédicateurs, pendant que je parle de ce sujet...?... pour cette réunion.

La seule chose... Et remarquez...?... Jésus, en parlant de cette parabole, essayait d’exprimer le sentiment du Père envers les perdus, envers ceux qui étaient étrangers par rapport à Dieu, ceux qui s’étaient éloignés. Souvenez-vous, autrefois, nous étions tous des pécheurs, séparés de Dieu, sans miséricorde, sans espoir, errant dans le monde, dans les ténèbres, perdus pour toujours ; Jésus prit notre place comme pécheur et Il mourut à notre place. Et le Père voit...?... un Evangile merveilleux.

Je me suis souvent demandé à quoi cela ressemblait que de rencontrer Jésus, ce à quoi je pourrais donc m’attendre...?... Où–où serais-je? ...?... Quelle serait ma place?

9          [La bande est inaudible.–N.D.E.] ...?... à moi il n’y a pas longtemps...?... [La bande est inaudible.–N.D.E.] au médecin...?... [La bande est inaudible.–N.D.E.] ...?... tous mes péchés...?... et je... la foi, car je ne prétends pas être...?... Souvent, les chrétiens ici présents, nous essayons de...?... avec Dieu. Vous dites: «Eh bien, ceci n’est pas si mauvais» ; mais le moindre de péché devrait être confessé ; toujours, peu importe ce que c’est, peu importe combien cela vous paraît insignifiant, c’est un péché aux yeux de Dieu. Regardez combien le premier péché paraissait petit. En effet, le Seigneur avait donné à la race humaine... Quand le premier péché fut commis...?... Quand le message est parvenu au Ciel, que: «Ton fils est tombé...», eh bien, on dirait qu’Adam devrait être en train de parcourir le jardin, en criant à tue-tête: «Ô Père, ô Père, où es-Tu?»

Mais Adam alla se cacher. Et c’était juste comme à la première rencontre, c’est le Père qui appelle: «Fils, fils, où es-tu?» Voyez-vous comment l’homme essayait de se justifier. Il va chercher à se cacher derrière quelqu’un. Plutôt que de se présenter directement et dire ce qu’il est, confesser ses péchés devant Dieu, il cherchera à se cacher derrière une souche.

10        Et voici, Dieu cherchait, Il marchait en parcourant du regard le jardin, attristé pour Son fils perdu. Le Père cherchant, recherchant Son fils, et les enfants, Son fils recherchant le Père.

Et aujourd’hui, c’est bien pareil. Aussitôt que l’homme pèche, au lieu que l’homme se présente et confesse ses péchés devant Dieu, il va chercher à se rétracter. Il va essayer de se cacher derrière quelque chose. Il va chercher à se fabriquer une religion.

Regardez Adam. Il s’est fabriqué–il s’est fabriqué des habits en feuilles de figuier, et il s’en était revêtu... les feuilles de figuier... Mais quand on en est arrivé à ce que Dieu a appelé Adam et Ève à se présenter devant Lui, ils se sont rendu compte qu’ils avaient une religion faite de mains d’homme. Le mot religion signifie une couverture. Ils étaient couverts d’un tablier qu’ils s’étaient fabriqués. Voyez-vous cela?

11        Or, l’homme a toujours cette disposition-là aujourd’hui. Et plutôt que de chercher à suivre la voie de la repentance de Dieu et de croire en Son Fils, permettre au Sang de Son Fils de nous purifier de nos péchés, nous nous échappons, cherchant à trouver une autre voie, une échappatoire au lieu de suivre la voie de Dieu. Nous allons... ça va...cette religion...?... Nous allons nous joindre à ceci, et nous ferons ceci avec...?... Lorsqu’ils ont dû faire face à Dieu, les feuilles de figuier ne valaient pas la peine.

Et vous découvrirez, mon cher ami, que les théories élaborées par les hommes ne subsisteront pas lorsque vous atteindrez le dernier souffle de ce corps et de cette vie. C’est bien de vivre en jouissant de ces choses, mais on ne peut pas mourir avec elles. Et je pense, à cause de mon âge dans le ministère, que je me suis probablement tenu à côté de plusieurs mourants plus–plus que n’importe qui de mon âge ; en effet, on m’a beaucoup appelé auprès des mourants.

12        Il n’y a pas longtemps, une certaine jeune fille de notre ville avait reçu le baptême du Saint-Esprit. Elle venait au tabernacle. Une autre jeune fille de la ville, très populaire, était membre d’un groupe religieux, le genre moderne qui renie le Sang et la couverture, elle disait que nous étions une secte et une bande de–de saints exaltés, parce que nous croyons dans la grâce de Christ qui sauve. Si c’est ce qu’il faut pour être un saint exalté, alors j’en suis un, car je crois dans le Sang.

Cette jeune fille allait aux soirées dansantes et aux spectacles, cependant elle était une monitrice de l’école du dimanche à l’église. L’église reniait le Sang de Christ, disant que pareille chose n’existait pas. Le pasteur disait que cela avait séché il y a mille neuf cents ans: un évangile social. Et peu de temps après, la jeune fille sortait avec des garçons, une belle jeune fille...

13        Cette autre petite fille fréquentait le tabernacle. Elle s’habillait plutôt à l’ancienne mode. Elle descendait la rue, la chevelure renvoyée en arrière, tout aussi lisse que possible sans ces... je ne sais comment vous l’appelez, le manucure sur le visage, et... ou peu importe ce qu’est cette chose qu’on porte. Elle descendait la rue.

Oui, c’est la vérité ; notre enseignement est contre cela. Que Dieu aide les prédicateurs à en venir à l’Evangile. Ecoutez, dames, il n’y a eu qu’une seule femme dans la Bible qui se soit jamais maquillée pour rencontrer un homme, et c’était Jézabel ; et Dieu l’a donnée en pâture aux chiens. Ainsi, lorsque vous les voyez porter cela, dites: «Bonjour, mademoiselle viande pour chiens.» C’est exactement ce que c’était: Dieu l’a donnée en pâture aux chiens. Vous n’aimeriez pas être comme elle.

Dieu vous rendra jolie à votre manière: Méfiez-vous des apparences. Mais même nos églises de la sainteté sont en train de se relâcher. Vous savez que c’est la vérité. Vous feriez mieux de revenir donc à la vieille ligne de démarcation, de nouveau, retourner à l’Evangile.

14        Maintenant, remarquez. Alors, cette jeune fille se comportait bien n’importe comment: elle allait aux soirées dansantes, aux fêtes et tout. Elle tomba malade. On ne comprenait pas ce que c’était, et lorsque le médecin est allé vers elle, elle souffrait d’une maladie vénérienne, elle était dans un état très critique. On a essayé quelques piqûres, mais cela n’avait pas marché.

Le pasteur lui a alors annoncé qu’elle irait tout droit au Ciel, car elle était une monitrice de l’école du dimanche. Ainsi, ils s’étaient tous assemblés dans la pièce pour la voir partir et voir venir les anges du Seigneur la prendre.

Je suis passé par là, il n’y a pas longtemps, à côté de cette...?... peu avant cela. Le pasteur se tenait dans le hall de l’appartement, un très bel appartement, de braves gens. Il est simplement sorti de la pièce, et la classe de l’école du dimanche était toute là, chantant des cantiques pour la voir partir au Ciel. Et le pasteur est sorti pour fumer dans le hall. Et quand la mort frappa la fille, elle commença à devenir hystérique ; elle a demandé: «Où est cette jeune fille-là!»

Ils ont demandé: «Quelle jeune fille?» Ils ont dit: «Voici toute votre classe.»

Elle a dit: «Je ne parle pas d’eux. Je parle de cette jeune fille qui (Elle l’a désignée par le nom)–qui est de ce tabernacle-là, qui avait l’habitude de me parler de mon âme.» Elle a dit: «Allez la chercher.»

15        Ils sont allés auprès du pasteur, et ce dernier est entré en courant. Il a dit: «Eh bien, chérie, écoutez.» Il a dit: «Nous allons appeler le docteur pour vous donner une piqûre. Vous devenez un peu hystérique.»

Elle a dit: «Je ne suis pas hystérique.» Elle a dit: «Toi séducteur d’hommes, je suis perdue et je m’en vais en enfer, à cause de ce que tu m’as enseigné.» Et la jeune fille est morte et elle est allée à la rencontre de Dieu, perdue, réclamant en criant la fille qui essayait de lui dire ce qui était correct.

Regardez, frère, lorsque vous arriverez à la fin du voyage de cette vie, vous souhaiteriez avoir vécu une vie pure et sainte lorsque vous serez en face de Dieu. Soyez-en rassurés et souvenez-vous-en.

Maintenant, quant à votre église, dont vous êtes membre, elle ne représente rien devant Dieu. Il s’agit de ce que vous êtes dans votre coeur. C’est vrai. Dieu ne vous demandera pas si... de quelle église vous étiez membre ; il s’agit de ce que vous êtes dans votre coeur, c’est ce que Dieu va considérer.

16        Remarquez comment Jésus parle ici du père et du fils qui s’en était allé. Il a dû être... avait ceci à l’Esprit, comment Dieu cherche, Il appelle, attire les gens à la repentance. Et aujourd’hui, le Saint-Esprit parcourt encore la terre, appelant les perdus et les mourants.

Avant de quitter ceci, au sujet des feuilles de figuier, j’aimerais dire encore un mot. Remarquez ce que Dieu a fait. Dieu, quand Il a rencontré Adam et l’autre, ces derniers s’étaient confectionné leur propre religion. Ça ne fait pas plus de vingt-quatre heures que quelqu’un m’a dit: «Frère Branham, savez-vous ce qu’est ma religion?» Il a dit: «Ma religion, c’est la règle d’or: Tout ce que vous voulez que les hommes fassent pour vous, faites-le de même pour eux.»

J’ai dit: «C’est bien, mais il n’a aucun salut là-dedans.» C’est vrai. «Si un homme ne naît de nouveau, il n’entrera point dans le Royaume.» Etre né de l’Esprit de Dieu, renouvelé, régénéré, devenir une nouvelle personne en Jésus-Christ: les choses anciennes sont passées et toutes choses sont devenues nouvelles ; converti, complètement changé, vous suivez votre route dans cette direction-ci et vous faites demi tour et vous suivez cette autre direction, vice versa.

17        Eh bien, mais ensuite, lorsqu’ils se sont tenus devant Dieu, Adam s’est avancé avec honte et a dit: «Je suis nu.»

Eh bien, regardez, Dieu est allé prendre des peaux, Il est revenu, Il en avait confectionné des tabliers et les en a revêtus. Maintenant, remarquez, si Dieu a pris des peaux, c’est qu’Il a dû tuer quelque chose. Quelque chose a dû mourir pour faire une couverture ; Il a tué quelque chose et Il l’a écorché. Quelque chose est mort à leur place, car la peine était la mort. Ainsi, une victime innocente a dû mourir pour les coupables afin de les couvrir.

Et c’est pareil aujourd’hui, frères ; pas la règle d’or (Elle est bonne), non; pas enseigner un homme...?... Mais Dieu donne quelque chose pour vous couvrir, Son Fils Jésus-Christ est mort au Calvaire, Lui l’Innocent pour les coupables, afin de frayer une voie pour que vous et moi nous devenions innocents en Lui devant Dieu. Et c’est ça la chose, vous laissez le Saint-Esprit fouiller la terre aujourd’hui, essayer de trouver quelqu’un qui croit en Lui, en Jésus-Christ.

18        Maintenant, commence notre histoire, une histoire très pathétique pour moi ; et j’essayerai donc de l’aborder juste un tout petit peu, cette partie... Présentons cela sous forme de saynète cet après-midi, représentons juste un peu un tableau du passé, afin que les enfants reçoivent cela. Ô Dieu, aide nos enfants.

Il n’y a pas longtemps, une grande division J. Edgar, le capitaine Al Farrar... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

Le docteur Bosworth parlait, il était sur le point de m’introduire ; et alors, quelqu’un s’est avancé, habillé en civil, il l’a touché à l’épaule, il a dit: «J’aimerais dire un mot.»

Docteur Bosworth a dit: «Ce n’est pas la coutume ici, monsieur.» Il a exhibé ses pièces d’identité. C’était le capitaine Al Farrar.

Il a dit: «Oui, monsieur.»

Il a dit: «Mes amis...» Dix mille s’étaient assemblés...?... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

Il a dit: «Capitaine... Je suis capitaine Al Farrar.» Il a dit: «Presque tout le monde ici me connaît, car mon Etat d’origine, c’est Washington, Tacoma.» Il a dit: «Mon travail, c’est d’arrêter la corruption.» Et il a dit: «Lorsque j’ai entendu dire que ce Branham est un...?... Je suis allé à...?... à la côte ouest pour arrêter...?...» Il a dit: «J’ai vu ces choses, et je vous ai entendu prêcher ou parler ; et il ne m’a pas semblé être un escroc» Il a dit: «Nous avons amené, nous sommes allés chercher des médecins, et nous avons envoyé un jeune garçon là qui était...qui était paralysé au niveau de ses jambes suite à la polio.»

«Le Saint-Esprit...?...» Il a dit: «Lorsqu’il est passé... Nous sommes restés pendant deux soirées. Finalement, nous avons introduit le garçon dans la ligne.» Il a dit: «Lorsqu’il est passé, frère Branham a dit: ‘Il est victime de la polio.’ Et il a demandé au papa de croire. Et le papa travaillait dans la police. Et il a dit, il a dit qu’il est...?...» Il a dit: «Frère Branham a dit que dans l’espace de huit jours, le garçon serait guéri.»

Et il a dit: «Nous l’avons observé.» Et il a dit: «Le petit garçon se tient derrière le rideau ici ce soir parfaitement normal, il est retourné à l’école.» Il a dit: «J’aimerais que vous tous, vous en soyez bien rassurés: nous avons vérifié leurs conclusions, ce qu’ils en ont fait, et tout.» Il a dit: «Je veux que vous sachiez que ce n’est pas de l’escroquerie, que c’est vraiment la main du Dieu Tout-Puissant.»

19        Le lendemain, il m’a amené dans cette prison qu’ils avaient là. Et ils avaient de jeunes filles là, certaines d’entre eux, des bandits à main armée. Elles parcouraient la pièce, se maudissant les unes les autres. Il a dit: «Qu’en pensez-vous, Révérend Branham?»

J’ai dit: «Mon Dieu!» J’ai dit: «Puis-je leur adresser un mot?»

...?... «Assurément.»

Je suis descendu là avec les jeunes gens. Et elles étaient là dans une condition horrible. Il m’a montré comment elles étaient...?... On a mis... On a ouvert certaines cellules, et ce n’est que là qu’on pouvait les garder.

On le tuerait s’il appuyait sur un bouton, ici, enfermé, chaque police et tout, tout autour de cet endroit.

Puis, après qu’il eut fini, il avait deux gardes avec lui, et lorsque nous sommes descendus dans la galerie, il a dit: «Vous aimez les fusils, Frère Branham, n’est-ce pas?»

J’ai dit: «Oui.»

20        Nous sommes descendus dans la galerie, en dessous, là en bas dans une espèce de cellule. Il a dit: «C’est ici que nous entraînons les jeunes gens.» Il a commencé à m’indiquer les distances d’un endroit à un autre, comment tirer, et ainsi de suite. Et je l’ai vu vérifier...?... à moi. Et je me suis demandé ce qu’il allait faire, il avait renvoyé les officiers qui l’accompagnaient. Et nous sommes restés seuls dans ce petit endroit, construit tout en métal.

Alors, il a dit: «Frère Branham...?...»

J’ai dit: «Oui, monsieur...»

Il a placé sa main sur mon épaule, et je me suis dit: «Oh! la la! ...?...»

Il a dit: «Nous nous demandons s’il y a une opportunité.»

J’ai dit: «Que voulez-vous dire, s’il y a une opportunité?»...?...

Il a dit: «Je–je n’ai pas été un homme mauvais.» Il a dit: «J’essaie d’observer la loi et de faire ce qui est juste.»

«C’est votre devoir, monsieur.»

Il a dit: «Eh bien, je veux vraiment trouver Jésus.»

Et j’ai dit: «Croyez-vous?»

Il a dit: «Oui, monsieur. Mais je n’ai pas trouvé...?...» Il a dit: «Je suis membre d’une église ici. Je–je ne Le connais pas.» Il a dit: «C’est inutile pour moi de me duper.» Il a dit: «J’ai adhéré à une église qui est dans le voisinage ici.» Il a dit: «Je ne sais pas... Prions.»

J’ai dit: «Très bien, capitaine Farrar, vous–vous pouvez Le recevoir si seulement vous croyez.»

Il a dit: «Je vous assure. Avant que vous quittiez Washington, indiquez un endroit où nous nous rencontrerons, et nous nous rencontrerons, et là, nous en parlerons.» Il a dit: «Arrangez simplement cela. Nous aurons un dîner et nous irons ensemble, et ainsi de suite, et peut-être que je prendrai le...?...»

21        J’ai dit: «Capitaine Al Farrar, vous pouvez Le recevoir ici même...?...

Il a dit: «Pas ici dans cette galerie...»

J’ai dit: «Si, monsieur.»

Il a dit: «Descendra-t-Il ici?»

J’ai dit: «Une fois, Il est allé dans le ventre d’un grand poisson. Il est descendu dans une fournaise ardente pour en faire sortir Ses enfants. Il descendra dans cette galerie.» Et là, cet officier a enlevé son arme, il l’a déposée par terre, il m’a entouré de ses bras comme cela, Dieu est descendu miraculeusement, Il l’a sauvé...?... il s’en va prêcher l’Evangile...?... Le prédicateur, il sort, il voit que le Père ramène encore les perdus. Peu importe qui vous êtes, dans quel environnement vous êtes, Jésus viendra partout où vous pouvez croire.

22        Considérez cet enfant prodigue cet après-midi, l’endroit où il était: le pire endroit où un Hébreux puisse se retrouver: dans une porcherie.

Remarquez, observez maintenant la saynète. Il y a une maison de campagne à l’ancienne mode. Représentons-nous-la dans notre esprit pendant un moment. Je peux voir un vieux couple aimable qui vit là, ils avaient travaillé dur toute leur vie et ils ont eu deux fils. Certainement, le fils est toujours héritier. Et alors, ce fils cadet, peut-être... Disons qu’ils allaient à l’église chaque dimanche, et ils aimaient Dieu, et ils servaient Dieu de tout leur coeur.

Mais un jour, ce fils cadet, disons qu’il a commencé à fréquenter un groupe qu’il ne devait pas fréquenter. Ecoutez, vous jeunes gens...?... [Espace vide sur la bande–N.D.E.] ...?... Aussitôt que vous quittez le...?... Vous êtes sur votre chemin de retour. Souvenez-vous, aussitôt que vous obtenez...?... Peu m’importe quel gars est-ce ou quelle fille est-ce, s’ils ne sont pas sauvés, gardez-les loin d’eux. C’est tout à fait vrai. Et vous aussi, hommes...

Quelqu’un a dit: «Eh bien, je peux entrer dans un bar avec un gars. Je peux prendre un coca pendant qu’il prend la bière et le whisky, puis en ressortir la même personne.» J’en doute. C’est vrai. La Bible déclare: «Evitez toute espèce de mal.» Et tenez-vous loin du terrain de l’ennemi. Le vieux...?... est très joli. Il vous fera faire parade et vous flouera avec un vieux...?... elle est tombée là dans le toboggan...?...

23        [Espace vide sur la bande–N.D.E.] ...?... Je me suis demandé s’il avait loué les services de quelqu’un pour l’amener là sur la colline. Quelqu’un disait: «Eh bien, je conduis bien ces chevaux, à plein galop à deux pieds [60 cm] de la falaise sans jamais dévier.»

L’autre a dit: «Je peux chevaucher à six pouces [15 cm] sans jamais dévier.»

Il a dit: «Qu’en est-il de vous?», s’adressant au suivant.

Il a dit: «Je m’en éloigne autant que possible.»

Il a dit: «Vous, amenez-moi là!»

Ne voyez pas à quel point vous pouvez vous rapprocher du péché. Voyez combien vous pouvez vous en éloigner. Eloignez-vous-en, fuyez tout à fait cela. C’est une honte, ce que fait notre peuple américain: se vautrer et faire des histoires.

Vous entrez dans certaines maisons aujourd’hui... Je suis allé dans les maisons de chrétiens, j’ai ouvert le réfrigérateur, et c’était plein de canettes de bière ; c’est censé être la maison d’un chrétien. Les chrétiens n’ont rien à faire avec cette histoire-là. C’est vrai. Que faites-vous, à votre avis? Nous avons transigé, en enlevant de nos maisons l’autel de prière à l’ancienne mode pour le remplacer par une table de jeu de cartes. C’est ce qui empêche vos enfants de...?... C’est la délinquance parentale. Si les parents enseignaient les enfants, veillaient là où ils sont, prenaient soin d’eux, il n’y aurait pas tant...?... C’est vrai.

24        Nous voyons des jeunes filles étalées ici sur ces plages, en maillots de bain devant des hommes. Et elles se retrouvent là dans les rues vêtues de ces vêtements vulgaires, et si quelqu’un insulte l’une d’entre elles, et vous aimeriez...?... C’est vrai. Vous l’envoyez dehors comme cela ou vous la laissez sortir comme cela...?... donc...?...

L’autre jour, je parlais à une jeune fille ; elle disait: «Eh bien, j’essaie de lui faire passer un bronzage.»

J’ai dit: «Regardez, j’ai une petite fillette à la maison ; je ne sais pas ce que...?... mais si jamais je l’attrape étendue là comme cela, elle aura un bronzage du fils, mais ce sera le fils de monsieur Branham qui lui administrera un bronzage avec une barre, ou quelque chose comme cela, à son derrière, aussi vite que je l’aurai ramenée à la maison.» C’est vrai. Elle aura le bon genre de bronzage qu’il lui faut. C’est tout à fait vrai. Merci. C’est le genre de bronzage dont nous avons besoin...?... [Une partie de la bande n’est pas assez audible pour être transcrite.–N.D.E.]

25        Eh bien, je peux voir le jeune homme sortir de...?... en effet...?... tout ce que vous faites, c’est faire des va-et-vient à l’église...?... Je peux les entendre dire: «Pourquoi vous ne...?... Venez chez moi et vivez comme un jeune garçon devrait vivre.» Eh bien, la première chose, vous savez, je peux le voir maintenant: Il va demander à son papa: «Papa, vous devenez vieux, et maman avance en âge...»

Mais, un jour, il vient, et...?... sa mère et son père... d’abord il a dit: «Papa, j’aimerais que tu me donnes ma part. J’en ai marre de rester ici à la maison. Tous mes amis...?... ils s’en vont tous, ils sont chez eux. J’aimerais faire comme les autres.» Ne suivez jamais les foules ; suivez Jésus.

Mais c’est cela l’attitude des jeunes gens aujourd’hui: «J’aimerais agir comme les autres.» N’imitez jamais les autres, comme modèle ; prenez-Le pour votre–pour votre modèle.

26        Puis, je l’entends dire...?... J’entends le père dire: «Eh bien, fiston, c’est mon unique gagne-pain. C’est l’unique moyen de subsistance.»

«Eh bien, j’ai un héritage, et donne-le-moi. Mes droits...» Quel est votre droit?

Je peux voir le pauvre vieux père ; cela l’a beaucoup dérangé. «Eh bien, que vas-tu faire, fils?»

Il a dit: «Je descends en ville, et je vais vivre comme les autres.»...?... «...?... reste avec moi et maman, nous t’aimons de tout notre coeur, et nous aimerions te témoigner de la bonté au possible. Nous avons fait tout notre possible.» Mais cela ne convainquait pas. Satan s’était emparé du jeune homme. Il est donc descendu en ville pour vivre comme les autres mondains.

Ensuite, je peux voir son père dire à la maman: «Maman, sais-tu ce qui est arrivé? Notre fils a eu une mauvaise compagnie. Et il est maintenant un jeune homme, il y a donc... il m’a demandé de vendre la ferme et de prendre tout ce que j’ai et de le partager entre lui et son frère. Je n’arrive pas...?...»

27        Je peux voir la vieille mère. (Que Dieu bénisse ces chères vieilles soeurs.) J’en ai une à la maison. Combien je l’aime ce soir...?... hier, elle a été si gentille envers moi, j’aime regarder...?... Votre mère n’a pas...?... Je suis plein de joie et de paix lorsque nous allons là pour quelques...?... Et j’ai dit: «Maman, je–je veux aller...?...»

Cette vieille mère, je peux la voir ici, dans ce récit-ci, alors que nous la voyons aller auprès de son fils et dire: «Fils, maman a lavé beaucoup d’habits, les a repassés, et elle a essayé de prendre soin de toi...?... Pourquoi dois-tu...?...»

«Eh bien, j’apprécie cela, maman, vous aviez bien évolué...?... C’est l’ancien temps. Je ne veux rien de pareil. Je veux tailler mon chemin. J’ai pratiquement de l’âge maintenant. Je vais m’y prendre à ma façon.»

Je peux la voir l’entourer de ses bras et l’embrasser. Elle l’aimait bien, et elle a détourné la tête...?... Il n’a pas besoin d’un baiser en public...?... Pas d’affections...?... le suivant...?... La Bible déclare qu’ils seraient ainsi. Paul en parle: «dépourvus d’affection naturelle.» C’est comme ça aujourd’hui. Ce sont les enfants qui dirigent les foyers aujourd’hui, plutôt que les... pieux...?... Ce sont eux qui dirigent la conversation. C’est étrange: «Dépourvus d’affection naturelle.»

Je peux voir la maman...?... Elle a regardé son fils. «Un de ces jours...?... et il pense que le monde de...?...» Ce vieux papa à côté de qui vous avez honte de vous asseoir...?... à la croisée des chemins vers l’église...?... Ce copain et cette copine avec qui vous allez à l’église, disant: «Eh bien, regardez, les amis ne sont pas... c’est terrible.» Avez-vous un tout petit peu honte de Lui? Un temps arrivera où vous n’en aurez point honte.

28        Il n’y a pas longtemps, une jeune fille revenait de l’université. Sa mère avait fait la lessive sur une planche pour l’envoyer à l’université. A son arrivée à la gare, elle avait une... elle avait amené une jeune fille avec elle, et elle s’était éloignée de Dieu et de l’église. La jeune fille l’accompagnait. La jeune fille était assise à bord du–du train regardant dehors, au... et là dehors se tenait sa mère, le visage complètement balafré. La jeune fille la regardait depuis le train, finalement elle a dit: «Regardez cette femme, une vieille peau.» C’était la mère de la jeune fille. Elle a dit: «N’est-elle pas horrible? Oh! la la! On répugnerait s’asseoir à table avec elle pour manger, n’est-ce pas?» Voilà ce que disait sa copine. Eh bien, au lieu que la jeune fille intervienne, elle a détourné la tête. Et quand elle est descendue du train, cette vieille mère ridée a couru vers elle, elle a lancé ses bras autour de la jeune fille et l’a embrassée. La jeune fille l’a vraiment repoussée. Elle s’est dégagée d’elle, elle s’était éloignée de l’église et de Dieu. Elle était devenue si froide qu’elle a tourné le dos à la dame.

Elle a dit: «Oh! la la! Chérie, ma chérie, qu’est-ce qui t’est arrivé?» Elle était si embarrassée à cause de sa copine...

29        Juste à ce moment-là, un des machinistes qui connaissait l’histoire s’est approché et a saisi la jeune fille par les épaules, il a dit: «Regarde, toi...?... Que veux-tu dire?» Il a dit: «As-tu honte de ta mère puisque tu es allée à l’université?» Il a dit: «Souviens-toi, tu connais l’histoire. Un jour, la maison était en feu. Votre mère était une belle femme, de loin plus belle que toi, ou que tu ne le seras jamais.» Et il a dit: «Tu étais un tout petit enfant. Alors qu’elle étalait ses habits dans la cour arrière, et tout à coup la maison a pris feu. Et les voitures des pompiers sont arrivées pour éteindre le feu. La maison était en flammes. Et tu criais en haut, à l’étage. Personne n’osait traverser les flammes. Cette petite mère s’est couverte, et elle a traversé ces flammes en courant. Elle t’a saisie. Elle a enlevé des habits pour te couvrir la face, et elle t’a complètement couverte, elle a placé tes bras, et elle a exposé son propre visage aux flammes. Et elle a parcouru les flammes pour te secourir. C’est ainsi que toi, tu es jolie aujourd’hui, et elle est balafrée. As-tu honte de ces cicatrices?»

30        C’est ce que Jésus a fait pour nous. Quand nous étions des pécheurs, laids devant Dieu, rejetés, renvoyés, Il est venu, Lui, l’Aimable Fils de Dieu, de la Gloire Il est descendu sur la terre, Il a porté l’opprobre et le péché sur Lui, et Il est mort au Calvaire, en poussant des cris.

Devrais-je avoir honte de Son Evangile? Les chrétiens ont honte dans la rue de défendre l’Evangile. Mais Il a été défiguré et rendu laid, afin que vous soyez libre. Il a été défiguré par le péché afin que vous soyez libre du péché. Ne Le reniez jamais. Aimez-Le toujours. Défendez ce qui est juste. Défendez Son Evangile.

31        Ainsi donc, c’est pratiquement cela l’attitude des jeunes gens aujourd’hui. Ce jeune homme a éprouvé les mêmes sentiments, il a dit: «Maman, je ne veux plus rien avoir à faire avec cette famille. Tout ce que vous faites, c’est aller à l’église. C’est tout ce que j’entends...»

Observez. Je peux voir le vieux père mettre une affiche de vente là. Bien sûr, nous présentons plutôt ceci sous forme de saynète, pour le montrer aux jeunes gens. Je peux donc le voir placer une affiche de vente, pour vendre la vieille ferme, et rassembler tous les biens, et–et les partager entre les garçons. La mère et le père vivront tout aussi longtemps que subsistera leur part, peut-être, et puis, ça sera terminé.

Remarquez, je peux voir lorsqu’ils ont donné une part au jeune homme, ce dernier a empoché son argent, et il a dit: «Eh bien, je vais me taper de bons moments.»

Le lendemain matin, je peux le voir aller affronter sa mère. «Brave dame, fais maintenant mes valises. Je quitterai le matin.» Oh! la la! Oh! Comme cette pauvre vieille mère va entrer prendre les petites choses qu’il portait lorsqu’il était un petit enfant ; elle les a enfouies, en les regardant. Je peux la voir prendre une petite paire de chaussures...?...

Vous savez, les mères aiment garder de telles choses. Maman a les vieilles chaussures que je portais lorsque j’étais tout petit. Elle garde la longue robe, du genre que les bébés portaient à l’époque. C’est un trésor pour le coeur d’une mère. Je peux voir cette vieille mère prendre ces petites chaussures et les déposer sur l’orgue, s’agenouiller là et prier, disant: «Ô Dieu, prends soin de mon fils. Alors qu’il me quitte maintenant, je...»

32        Combien parmi vous ont une mère à l’ancienne mode comme cela? Faites voir la main. Oh! Elles sont aimables et douces, n’est-ce pas? «Prends soin de mon fils. Il est allé s’associer au monde, et je ne sais pas ce qui lui arrivera ; seulement, prends soin de lui, Père.» En priant... Avez-vous déjà demandé à votre mère de prier pour vous? Oh! Quand ma brave vieille mère... Je l’ai vue entrer seule dans sa chambre lorsque nous manquions de nourriture, s’agenouiller et crier à Dieu. Ô Dieu, accorde-nous davantage de mères à l’ancienne mode, comme cela, qui prient. C’est la colonne vertébrale de notre nation (C’est vrai): De bonnes mères sauvées par Dieu.

Je peux la voir crier à Dieu: «Ô Dieu, prends soin de mon fils.» Peu importe ce que vous faites donc, elle est...?... son coeur est toujours prêt à pardonner, à revenir.

33        Ensuite, je peux voir le vieux papa. Il est bien inquiet, il fait les cent pas, arpentant la cour, depuis la grange jusqu’à la maison, d’un bout à l’autre. Je peux entendre la maman, elle va vers lui et dit: «Que se passe-t-il, papa?»

«Oh! Je ne sais pas, maman.» Vous savez comment des parents qui sont braves, des gens sauvés par Dieu, se soucient de leurs enfants. Eh bien, je suis moi-même un père, et j’ai un petit garçon assis là, en train de me suivre maintenant même. Dieu sait que je l’aime. Je...?... un petit...?... désir cet après-midi: «Que je meure dix mille fois et que lui une seule fois.» C’est vrai. Que lui reste. L’amour de... que nous avons pour notre progéniture. C’est pourquoi Dieu a tant aimé le monde, Sa progéniture, qu’Il est venu Lui-même mourir afin que nous soyons libres ; Il a Lui-même enduré le châtiment.

34        Remarquez donc, ce père, las, faisant les cent pas, de part et d’autre... Le lendemain, lorsque le temps arriva où le jeune garçon devait quitter, je peux le voir prendre sa valise et sortir là. Je peux le voir sortir et dire: «Au revoir, mes amis», et s’en aller.

La mère dit: «Juste un instant, fils. Avant d’aller, prions une fois de plus.» Ils se sont agenouillés à terre. Je peux voir la vieille mère et le vieux père, les bras l’un autour de l’autre, dire à Dieu: «Ô Dieu, nous l’avons élevé et nous l’avons reçu depuis ce...?... Il s’est écarté du chemin, il s’éloigne de nous maintenant, pour vagabonder. S’il Te plaît, Père, prends soin de lui.»

Je peux l’entendre dire... «Oh! Ce père agité est en train de prier.» Il ne voulait plus entendre ces prières de maman et de papa. Il avait d’autres choses à l’esprit. C’est pourquoi nous sommes parfois impatients ; nous ne pouvons simplement pas attendre quelques minutes, nous ne pouvons pas prier, nous ne pouvons pas attendre une prière. Et il y aura un temps, mes amis, où vous aurez toute une éternité pour y réfléchir. Priez maintenant. Soyons maintenant prêt à rencontrer le Maître.

Je peux les entendre prier, puis se relever. La maman essaie de l’embrasser, mais il a détourné la tête. Le papa a placé ses bras autour de lui et a crié: «Oh! Tu pars, vas-y.» Et il s’est mis à gravir la colline. Je peux voir papa et maman se tenant là, avec leurs mains... leurs bras l’un autour de l’autre, lui disant au revoir d’un signe de la main alors qu’il gravissait la colline, il descendait en ville pour s’associer au reste du monde. Et ce parent, je peux le voir retourner à la maison, de nouveau, pleurant, criant et priant.

35        Je peux le voir fréquenter des groupes importants là-bas. Et tant que son argent subsistait, il était un bon gars. C’est comme ça que le monde vous traite. Tant que vous avez de l’argent, vous avez des amis. Mais dès que votre argent est épuisé, vos amis vous quittent. Ce sont des amis aux moments favorables.

Je connais un Ami qui restera à vos côtés même si vous n’avez pas de sou: Jésus-Christ, le Fils de Dieu. J’en suis arrivé au point à manquer un sou. Il m’a aimé. Il m’a aimé autant quand je n’avais pas de sou, comme si j’avais un million de dollars. Il m’aime simplement de même. Cet amour pur, saint et sans mélange vient de Dieu seul et se déverse dans Son peuple. C’est ainsi que nous devrions nous aimer les uns les autres d’un amour divin.

36        Remarquez, je peux le voir comme un grand, dans des places publiques, avec des appareils de jeux d’argent, dans des salles malfamées, et tout. Et quelques instants après, son argent s’épuisa, ses amis disparurent. Il était un garçon populaire. Il pouvait fixer rendez-vous à n’importe quelle fille. Mais lorsque son argent était épuisé, elles sont toutes parties avec la foule. C’est ce que fait le diable...?... Tant que vous avez de l’argent, vous êtes populaire, et tout va bien ; mais dès que ce temps est passé, ça en est fini de vous. C’est tout...?... le monde.

Et je peux le voir. Il devait se taper un job. Il est donc allé auprès d’un habitant de la contrée, un éleveur de porcs. Regardez d’où il est donc descendu: un Juif, il n’est même pas censé placer ses mains sur le cadavre d’un porc. Mais il était dans le besoin ; il crevait de faim. Alors, il lui fallait trouver un job. Et on lui a donné la chose la plus vilaine. C’est ce que fait le diable. Aussitôt qu’il vous fait descendre la colline, il vous combattra avec tout ce qu’il a. Et puis... J’ai vu beaucoup...?...

37        Il s’est joint à un habitant de la contrée. Et cet habitant lui a donné deux grands seaux à soupe à cochons pour nourrir les porcs. Pensez à cet endroit et lui qui est...?... le jeune homme s’est retrouvé là, nourrissant les porcs dans une porcherie, loin de sa mère, loin de la religion qu’il avait une fois pratiquée, en se gardant loin des porcs ; maintenant, il y est figé.

C’est ce que fera le diable. Il vous fera fumer votre première cigarette, vous disant qu’il n’y a pas de mal à ça. Et après un temps, vous devenez un maniaque de la cigarette. Il vous dira qu’il n’y a pas de mal à prendre un verre pour vous montrer sociable.

Je me suis tenu à côté des gens avant qu’ils aillent aux potences, je me suis tenu à côté d’eux avant qu’ils ne soient électrocutés et... «Je n’ai jamais eu l’intention de..., disait-il, de jouer à l’argent. Je n’avais point l’intention, alors que je jouais aux cartes, de jouer à l’argent. Je n’avais jamais l’intention de...?... la bouteille d’une station d’essence. Je n’avais pas l’intention d’être un voleur.» Mais tout ce que le diable veut que vous fassiez, c’est commencer, et il prendra la relève. Allez une fois sur son terrain et observez-le. Vous savez ce que ça signifie que de mal agir, mais il y a une influence de la puissance des ténèbres, le prince de la puissance de l’air vous guide pour être pris au piège dans ces choses. Vous devez vous lever. Séparez-vous des choses du monde et vivez pour Christ. C’est vrai.

38        Et je peux voir cet enfant. Eh bien, il nourrit les porcs. Le voici dans la porcherie, nourrissant les porcs de la soupe à cochons et en mangeant lui-même. Il nourrissait les porcs... Pensez-y, ce qu’il avait laissé et ce qu’il avait alors. Et la part qu’il avait dépensée était en fait celle de son père, qu’il avait gagnée. Mais il s’est retrouvé là dans une porcherie. Tout ce qu’il pouvait entendre, c’était le grognement des porcs.

C’est ce qu’il en est de cette nation ce soir. Il y a beaucoup de fils à maman maintenant dans les boîtes de nuit, se nourrissant là dans tous ces endroits malfamés. Beaucoup de jeunes femmes prostituées là dans les rues... Pourquoi? Parce qu’ils se sont éloignés de la maison, ils se sont éloignés de Dieu, ils se sont éloignés de la Bible, ils se sont éloignés de Ses enseignements, ils sont allés vivre avec le reste du monde. Tenez-vous loin du monde.

La Bible dit que si vous aimez le monde ou les choses du monde, l’amour de Dieu n’est même point en vous. Eloignez-vous-en. Et tant que ce désir est dans votre coeur, de faire cela, revenez à l’autel. Amen. Restez là jusqu’à ce que tout cela soit parti. Oh! la la! C’est de ce genre de religion à l’ancienne mode dont je parle, qui cherche à vous débarrasser du désir.

39        Au début de ma conversion, une jeune dame est venue auprès de moi et a dit: «Frère Branham, a-t-elle dit, quel plaisir tirez-vous de la vie si vous ne fumez pas, ni ne buvez, ni n’allez au spectacle, et tout?»

Quelques soirées après cela, environ huit ou dix pécheurs sont venus à l’autel. J’ai dit: «Je trouve plus de plaisir dans ceci en une minute que vous ne pourriez en avoir dans le monde pendant dix ans.» Quand les perdus viennent à Dieu... C’est là que nous éprouvons du plaisir, nous les chrétiens, en voyant les nouveaux nés en Christ entrer dans le Royaume, une âme qui est éternelle, quelque chose de réel...

Eh bien, je peux voir le garçon là, couché dans la porcherie. La nuit, ce vieil endroit puait, alors...?... dans la porcherie, couché à côté des porcs dans la mangeoire.

Un soir, je peux voir la maman agitée et le papa se mettre à parler de leur fils...?... Je peux entendre la maman dire: «Je suis vraiment agitée, papa, je ne sais quoi faire. Je n’arrête simplement pas de penser à notre fils. Je me demande où il est. Je me demande s’il a quelque chose à manger.»

Et son papa a dit: «Eh bien, il nous est toujours enseigné que toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment Dieu. Prions.» Je peux les voir s’agenouiller par terre et commencer à prier pour le petit Johnny. Je peux les entendre dire: «Ô Dieu, sauve le cher petit garçon. Où qu’il soit, dans quelque état qu’il soit, prends soin de lui, Père, et ramène-le à la maison.» Où est-il? Là dans une porcherie, il est allé dans une porcherie.

40        L’Ange de Dieu est venu...?... «Fils, réveille-toi.» Il lui a parlé, disant: «Oh! Et si tu retournais simplement à la maison...?...»

«De penser à mon père qui possède toutes les richesses qu’il a et tout ce qu’il m’a donné. Me voici couché ici, mourant de faim, couché dans une porcherie, mangeant la soupe à cochon.» La Bible dit qu’il revint à lui-même.

Et c’est ce que l’Eglise a besoin de faire aujourd’hui, c’est revenir à elle-même, réaliser qui–qui est son Père, car, des fois, nous agissons comme si nous n’avions pas de Père céleste. En effet, toutes les bonnes choses du Ciel appartiennent à l’Eglise: la guérison divine, le salut, être sans souci ou tout, tout appartient à l’Eglise. Jésus est mort, et nous sommes... nous héritons de tout ce que Dieu a au travers de Lui, des héritiers du Royaume, des riches...

Mon Père est riche en maisons et en terres,

Il a la richesse de ce monde dans Ses mains.

C’est ce que nous sommes. Revenons simplement à nous-mêmes. Oh! Je peux le voir alors qu’il commence à revenir à lui-même, et il dit: «Oh! Si seulement je pouvais retourner à la maison. Mais j’ai péché et je ne suis plus... je ne suis pas digne de retourner à la maison. Que puis-je donc faire?»

41        Pour moi, je peux avoir un souvenir net du temps où il n’était qu’un petit garçon. Lorsqu’il tombait malade, la maman apportait...?... d’un bout à l’autre, de fond en comble...?... Et maintenant, il n’y a personne pour l’aimer et prendre soin de lui. Il est là dans le monde froid, se débrouillant tout seul. Tout ce qu’il entend, c’est le grognement...?... Et je peux l’entendre commencer à chanter un vieux cantique, peut-être celui que sa mère connaissait. Je crois que ce cantique se chantait comme suit:

Si je pouvais encore entendre ma mère prier,

Si je pouvais encore entendre sa tendre voix,

Combien je m’en réjouirais,

Cela représenterait beaucoup pour moi,

Si je pouvais encore entendre ma mère prier.

Y a-t-il de braves mères là qu’on aimerait entendre prier cet après-midi? Beaucoup parmi vous...?... Oh! Si vous pouviez entendre votre mère prier...?... Que Dieu baisse le regard depuis le ciel...?... Priez maintenant...

42        Puis, je remarque là-bas...?... Je peux voir le papa devenir très agité, se lever, porter son manteau et sortir pour voir le clair de lune ; il regarde de l’autre côté du chemin, en se demandant: «Où est mon fils?» Le vieux cantique que mon père avait l’habitude de chanter lorsque premièrement nous...?... mon brave père chantait comme ceci. J’observais papa. Il avait un vieux mouchoir rouge ; il marchait avec le mouchoir à moitié ressorti de sa poche. Il se levait et chantait ce cantique:

Oh! Où est mon fils ce soir?

Oh! Où est mon fils ce soir?

Mon coeur déborde,

En effet, je veux qu’il le sache.

Oh! Où est mon fils ce soir?

43        Oh! la la! Il a vu son fils au loin sur la route, là en bas. Je peux voir le jeune garçon revenir à lui-même, et là, on dirait qu’il pouvait entendre sa mère prier. Les anges de Dieu attendaient d’amener le message. Je peux l’entendre se lever, chanter et dire:

Dites à maman que je serai là (chantons tous cela)

En réponse à sa prière.

Que les anges gardiens lui apportent ce message.

Dites à maman que je serai là,...partager les joies du Ciel avec elle.

Oui, dites à ma chère maman que je serai là.

Combien ont des mères qui sont mortes aujourd’hui? Faites voir les mains. Gardons simplement les mains levées et chantons cela.

Dites à maman (Lui avez-vous promis de la rencontrer?)

En réponse à sa prière.

Que l’ange gardien lui apporte ce message.

Dites à maman que je serai là,

... partager les joies du ciel avec elle.

Oui, dites à ma chère maman que je serai là.

44        Je peux l’entendre dire: «Je me lèverai...?...» Le voici venir, en rampant...?... Je peux voir papa et maman...?... assis là...?... là dans les bois. Le voici venir ; le lever du soleil dans le...?... pieds nus, les habits en lambeaux et déchirés, rentrant à la maison en titubant. Je peux entendre sa mère dire: «Le voilà venir, papa.»

Je peux entendre papa dire: «C’est mon fils.»

Je peux l’entendre dire: «Ô papa, je ne suis pas digne d’être votre fils, peut-être, l’un de vos mercenaires. Mais je continuerai seulement...» Le père et la mère se dirigèrent aux portails. Peu importe ce qu’il avait fait, il retourne maintenant à la maison. Il a couru, il a jeté ses bras autour de lui et a dit: «Allez tuer un veau gras. Réjouissons-nous ; mon fils que voici était mort et il est de nouveau en vie. Il était perdu, mais maintenant il est retrouvé. Mettez-lui un anneau aux doigts, faites-lui porter des chaussures. Revêtez-le de la meilleure robe que vous avez à la maison.» C’est l’attitude du Père envers chaque pécheur ici présent qui chancelle...?...

45        Je me souviens lorsque j’étais perdu et égaré, là dans le monde, mourant, un pécheur, couché sur un lit d’hôpital. Le médecin avait déclaré que je n’avais que quelques instants à vivre. Mais j’ai crié, je suis descendu dans la rue. Et comme enfant, j’ai couru à la rencontre du Père céleste ; Il m’a embrassé au cou d’un baiser, Il a ôté tous mes péchés et tous mes soucis. Il m’a revêtu de la Robe, le Saint-Esprit, Il m’a mis au doigt la bague de mariage ; et l’un de ces jours, j’irai quelque part. Il a fait que je m’associe à Son peuple ici, où nous pouvons nous réjouir, vivre ensemble et être heureux. Pourquoi? Autrefois, j’étais mort, et maintenant, je suis vivant. Oh! la la! Autrefois, j’étais perdu, mais maintenant, je suis retrouvé.

Il y a beaucoup d’enfants prodigues dans le monde aujourd’hui. Il y a beaucoup d’hommes prodigues, de femmes prodigues, et Dieu les appelle tous à la repentance. Est-ce vrai? Il veut que nous venions. Il veut que vous veniez, tous les enfants prodigues partout.

Je me demande s’il y a ici aujourd’hui un enfant prodigue qui s’est égaré. Je n’étais pas...?... mon temps s’écoule. Y a-t-il un enfant prodigue? Levez la main, quelqu’un qui s’est éloigné de Dieu. Voudriez-vous lever la main maintenant même pour dire: «Frère Branham, j’étais un enfant prodigue. J’aimerais trouver Christ ce soir»?

46        Combien n’ont pas le Saint-Esprit? Oh! Vous seriez choqué, ceux qui n’ont pas...?... Je me demande si vous tous qui n’avez pas le Saint-Esprit, avec les mains...?... de loin vouloir descendre ici maintenant. Pendant que nous chantons encore ce couplet:

Dites à maman que je serai là, et venez juste ici et parlons-en avec Dieu maintenant même. Croyez-vous qu’Il ouvrira les yeux des aveugles, pour moi, qu’Il débouchera les oreilles des sourds? Ne croyez-vous pas qu’Il exaucera mes prières maintenant pour vos besoins? Chantons simplement tous ensemble maintenant.

Dites à maman que je serai là...

(C’est vrai, venez, amis pécheurs, vous... Que Dieu vous bénisse, mon frère. Que Dieu soit avec vous. Que Dieu vous bénisse, soeur. Que Dieu vous bénisse, mon frère.)... lui apporter.

Dites à maman que je serai là,

...partager avec elle les joies du Ciel,

Oui, dites à ma chère mère que je serai là,

J’entends le Père appeler maintenant son fils.

Oh! Où est mon fils ce soir? (Courir çà et là...?... une vie dure.)

Oh! Où est mon fils ce soir,

Mon coeur déborde,

Il sait que je l’aime

Oh! Où ...

47        [Espace vide sur la bande–N.D.E.] ...?... Oh! la la! C’est merveilleux, ce rassemblement ici, tous ensemble [Espace vide sur la bande–N.D.E.] Oh! Chrétiens, soyez sincères...?... Levez la main, tous ceux qui veulent... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]...?... Représentez-vous le Maître debout ici cet après-midi?...?... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

J’ai un Père dans l’au-delà,

J’ai un Père dans l’au-delà,

J’ai un Père dans l’au-delà,

Là sur l’autre rive.

Un jour clair, j’irai Le voir,

Un jour clair, j’irai Le voir,

Un jour clair, j’irai Le voir,

Là sur l’autre rive. (Chantons cela.)

Ce jour clair peut être demain,

Ce jour clair peut être demain,

Ce jour clair peut être demain,

Là sur l’autre rive.

48        Combien ont un père de l’autre côté? Faites voir la main. Oh! la la! Combien ont une mère là-bas? Faites voir la main. Frère, soeur, un jour, nous irons les voir, n’est-ce pas? Si vous n’êtes pas sûr de votre expérience, venez maintenant (Le voulez-vous?), pendant que nous chantons.

Ce jour clair peut être demain,

Ce jour clair peut être demain,

Ce jour clair peut être demain,

Là sur l’autre rive,

Oh! quelle heureuse rencontre!

Quelle heureuse rencontre ce sera!

Quelle heureuse rencontre ce sera!

Là sur l’autre rive.

Je me souviens lorsque mon frère se mourait là à l’hôpital...?... «Dites à Bill, dites à Bill que je le rencontrerai de l’autre côté.»

N’est-ce pas...

Ce jour clair peut être demain

Ce jour clair peut être demain

Ce jour clair peut être demain

Là sur l’autre rive.

49        Vos mères veulent savoir pourquoi nous attendons...?... rassemblés ici...?... A votre avis, qu’est-ce que le Maître pense cet après-midi? Combien est...? les voir assemblés ...?... affamés et assoiffés de la vie...?... Oh! Que Dieu vous bénisse, mes chers amis. Un jour lorsque ce...?... appellera, nous pleurerons et...?... Je crois avoir touché Sa Gloire, Son Ciel, le Dieu. Et je crois que le Père est bien content cet après-midi maintenant. Il cherche dans l’assemblée pour trouver ceux qui ont faim et soif de la justice, afin qu’ils soient remplis.

Ne voulez-vous pas venir, quelqu’un d’autre, pendant que nous attendons? Quelqu’un ici présent qui n’est pas... qui sait que son expérience ne s’accorde pas avec Dieu et qui n’a pas le Saint-Esprit, voudriez-vous venir, vous rassembler ici pendant que nous offrons la prière? Chantons ce bon vieux cantique:

Oh! Ne laissez pas passer la Parole,

Et fermer vos yeux contre la Lumière ;

Pauvre pécheur, n’endurcissez pas votre coeur,

Soyez sauvé, oh! ce soir

Oh! Pourquoi pas ce soir?

Oh! Pourquoi pas ce soir? (Voulez-vous venir?)

Voudriez-vous être sauvé?

Alors pourquoi pas ce soir?

Oh! Pourquoi, dites-moi pourquoi pas ce soir?

Oh! Pourquoi...

Notre Père céleste, parle maintenant même. Accorde à ces gens de m’entendre, de descendre simplement à l’autel, pendant que cette grande action de l’Esprit...?...

Pourquoi pas ce soir...?...

Vous êtes ici maintenant, où serez-vous dans cinq cents ans?

Le soleil de demain peut ne point briller ;

Pour bénir vos projets illusoires à longtemps,

C’est maintenant le temps, oh! soyez donc sage,

Oh! Pourquoi pas ce soir? (Voudrez-vous venir, le dernier appel)

Oh! Pourquoi pas ce soir?

Souvenez-vous, votre aimable maison. Je dois vous rencontrer au jugement. Peut-être que c’est la dernière fois que je vais jamais vous parler. Je suis déjà...?... changé, écoutant votre saynète.

... être sauvé?

Oh! Pourquoi pas ce soir?

Vous êtes quasi persuadé,

Ô Dieu, regarde. Ne voudriez-vous pas venir?

Plusieurs sont sauvés, sans le Saint-Esprit...?...

Quasi persuadé, maintenant pour croire ;

On dirait qu’une âme dit maintenant:

Va, Esprit, va Ton chemin,

Un jour plus opportun, je T’invoquerai.

[Frère Branham se met à fredonner.–N.D.E.] ...?...

On dirait qu’une âme dit maintenant: Va, Esprit ; va Ton chemin.

Un jour plus opportun, je T’invoquerai.

50        Juste avant de vous asseoir, alors que l’orgue continue à jouer, je me demande si...?... venir maintenant même. Ecoutez, un de ces jours, d’ici peu, il y en a beaucoup ici présents qui seront peut-être partis. Je partirai un de ces jours. La lune refusera de briller un jour, le soleil ne donnera pas de sa lumière. Eh bien, si vous n’êtes pas simplement... vous savez que vous n’êtes pas en ordre avec Dieu...?...

Maintenant, je vais offrir...?... Eh bien, souvenez-vous, si–si Dieu peut révéler Ses secrets à Son serviteur, alors vous savez que là au Ciel...?... Ce sera un jour merveilleux, n’est-ce pas?

Ne voudrez-vous pas venir? Jeunes hommes et jeunes femmes qui généralement sont au début de leur vie, juste à la croisée des chemins, venez si vous n’êtes pas sauvés. Voudriez-vous venir maintenant même, doucement, humblement pour la prière?

51        Un jour, tout sera terminé et alors, vous irez à Sa rencontre pour rendre compte des actions qui ont été accomplies dans votre corps. Une de ces heures, une bombe atomique frappera cette ville de...?... nation...?... Il n’y aura pas de survivant, ni rien d’autre, cela pourrait arriver dans moins d’une année. Où ira votre pauvre âme? Ne prenez pas le risque avec cela...?... Venez maintenant. Et allez-vous rester là à jouer? Vous êtes une église et tous ceux qui sont membres de l’église, mais vous n’avez en fait pas une véritable expérience, ne voulez-vous pas venir?

C’est très étrange, je suis conduit à faire ce–à faire...?... vos mains. Regardez ici, vous tous, chrétiens. Regardez cette scène. Pensez-vous que Dieu ne verra pas cela s’Il garde le passereau qui tombe sur la route? S’Il connaît la mort d’un passereau, qu’en est-il des centaines de gens sincères qui prient? Ça sera un temps merveilleux. Ils continuent à venir, mes amis, de tous côtés. Si vous vous frayez un chemin, Dieu sera très heureux et sera très content de...?... vous.

52        Voudriez-vous être de ce nombre? Et si vous vous retrouviez là dehors? Vous pourriez mourir...?... C’est ce qui s’est passé...?... la Venue de Dieu. Oh! la la! Le dernier appel a été fait. Où êtes-vous? Lorsque vous pouvez...?... Et si vous vous retrouviez hors des portes...?... frappé par la crise cardiaque...?... Où sera votre âme? Venez maintenant même pendant que vous avez l’occasion.

Ne Le rejetez pas, ne Le rejetez pas...?...

Même si vous vous êtes égaré ;

Oh! comme vous aimeriez qu’Il dise: «C’est bien.»

En ce jour éternel!

Ne rejetez pas le Sauveur de votre coeur,

Ne Le rejetez pas.

Je peux L’entendre vous dire ce soir, alors que vous arrivez dans les derniers jours...?... maintenant. J’aimerais que chacun de vous...?... si vous le voulez maintenant ce soir. S’Il est...?... Oh! Chrétien, les gens partout, soyez en prière pour ces chers...?... une seule âme maintenant...?...

Y a-t-il quelqu’un ici qui a besoin du Saint-Esprit, qui est dans le besoin? De même que...?... Qu’est-ce que cela a représenté pour vous ce soir, que de recevoir le Saint-Esprit? Qu’est-ce que cela a représenté pour vous...?... Recevez le Saint-Esprit pour être vraiment sauvé de la vie du péché. Ils sont sincères, ils ont faim de Dieu...?... Je vous retiens pendant une demi-heure ou plus pour faire un appel à l’autel.

53        Maintenant, inclinons la tête partout pendant que nous prions. Mes frères ministres, voudriez-vous vous associer à cette assemblée maintenant, alors qu’ils viennent? Mêlez-vous à eux et soyez...?... Tout le monde prie, partout. Est-ce que tous ces gens ici présents cherchent Dieu? Levez la main maintenant, et adorez-Le simplement pendant que je...?...

Notre Père céleste, nous, les enfants prodigues, éloignés du Royaume, égarés. Plusieurs d’entre nous, Père bien-aimé, nous ne sommes pas dignes d’être appelés Tes enfants. Plusieurs, ô Dieu, pensent qu’ils sont des mercenaires, mais Tu ne veux pas qu’ils soient Tes mercenaires. Tu veux qu’ils soient Tes fils et Tes filles, qu’ils aient l’assurance...?... Remplis le réfrigérateur lorsqu’ils retourneront dans leur maison et qu’ils auront faim...?... faim et des moments difficiles.

Ô Dieu, regarde aujourd’hui alors que plusieurs d’entre eux se souviennent du passé, quoique errant...?... du père et de la mère qui les aiment, qui savent...?... de la mère qui a prié pour eux...?... Un père à l’ancienne mode...?... Oh! Essuie les larmes de ses yeux, pendant qu’il est assis...?... dans la Gloire un...?... aujourd’hui. Et ils sont là...?... regardant dans cette direction...?... les appels à l’autel sont faits...?... les pécheurs et des âmes qui cherchent Dieu se sont assemblés autour de l’autel. Ô Saint-Esprit, meus-Toi avec une glorieuse puissance maintenant même ; plane sur cette salle...?... Je sais que Tu es disposé à baptiser tout celui qui invoque...?...

54        [Espace vide sur la bande–N.D.E.] ... rassurer que c’est le moment approprié pour que Ton Royaume et Ta Puissance soient manifestés à ces gens. Ouvre-nous les yeux...?... ceci. Combien ça sera de loin plus glorieux, ô Dieu! Souviens-toi de moi, mes jours sont comptés. Mon sort est déterminé. Un jour, la mort exercera une pression sur le corps, et la vie quittera mon corps et il me faudra aller à Ta rencontre, ô Jésus. Et lorsque j’arriverai et que je m’assiérai là à Tes pieds, alors je vais...?... Je Te chercherai, lorsque les étoiles commenceront à s’assembler...?... et remontera ma marche. Je m’attendrai à ce que Tu Te tiennes là. Tu as...?... moi: Oui, si je marche dans la vallée de l’ombre de la mort, je ne crains aucun mal. Tu es avec moi, Ta houlette et Ton bâton me rassurent.

Ô Dieu, maintenant, cette grande heure sombre, juste devant la plupart...?... Couvre-moi de la puissance du Saint-Esprit, se mouvant simplement...?... se tenir...?... et être convaincus qu’ils sont venus à Jésus-Christ, entrant par la porte, la porte étroite...?... l’ange de la mort...

Maintenant, alors que ces gens sont à genoux, accorde-leur...?... par Toi... Exauce la prière de ces...?... les besoins, de tout mon coeur, puisses-Tu recevoir chacun d’eux dans Ton Royaume. Que Ton Esprit soit dans leurs vies et que Tu leur accordes le désir de leurs coeurs cet après-midi même.

55        Que plusieurs parmi ceux qui se tiennent debout au balcon maintenant, qui prient, que le Saint-Esprit se déverse dans ces allées là-haut. Appelle Ton peuple, Seigneur, et bénis-les partout, ayant... assis...?... prière, Père, au Nom de Ton Fils Jésus. Modèle ces gens, Père céleste, bénis. Nous le demandons au Nom de Jésus-Christ, à cause de Lui.

Pendant que vous êtes en prière, que tout le monde ici est en prière, levez maintenant vos saintes mains et...?... les besoins et sois miséricordieux...?...

[Un frère fait des commentaires sur la suite du service.–N.D.E.]

 

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