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Qui a cru à ce qui nous était annoncé?
1
Merci, FrĂšre
Baxter. Merci, frĂšre. [Lâassistance applaudit.âN.D.E.] Merci beaucoup
pour cet
accueil. Cela me rĂ©jouit vraiment. JâĂ©tais un peu surpris de voir frĂšre
Upshaw.
Je suis
juste un peu plus petit que frĂšre Baxter...?... Câest vraiment un grand
privilĂšge dâĂȘtre ici ce soir.
Cet
aprĂšs-midi, je viens de recevoir dâautres bonnes nouvelles: Ma femme
pourrait
venir durant cette sĂ©rie de rĂ©unions. Etâet je souhaite quâelle soit
ici. Je
dis que nous ne... elle nous manque. Merci. Merci.
Sâil y a
un mérite à attribuer à la famille Branham, que cela lui soit attribué.
Câest
elle qui mérite. A trente ans, elle a des cheveux blancs. Elle a connu
des
ennuis. Quand mon tĂ©lĂ©phone lĂ jâai... Jâai des fois vu lorsque nous
avions...
quâen moyenne soixante-quatre appels de loin par heure, jour et nuit,
des gens
Ă la porte, et tout. Elle a connu des moments difficiles. Mais Dieu
nous a
bénis, et nous sommes heureux de Le servir.
2
CâĂ©tait
vraiment une surprise de voir le membre du CongrĂšs ici ce soir. Je
nâoublierai
jamais sa guĂ©rison. Je sens que cela... Câest de lui que lâAnge du
Seigneur
parlait quand Il mâa rencontrĂ©, et Il a dit: «Tu prieras pour de grands
hommes,
des hommes dâEtat, des rois de la terre.» Comment pouvais-je donc
croire que je
prierai pour pareilles gens? Mon premier choc était quand le roi George
dâAngleterre mâavait envoyĂ© un cĂąblogramme, pour aller prier pour lui
afin
quâil soit guĂ©ri de sclĂ©rose en plaques, et Dieu lâen a guĂ©ri.
JâĂ©tais...
Puis,
une soirĂ©e, alors que je nâavais jamais connu le membre du CongrĂšs
Upshaw quand
il avait postulé... Il avait postulé pour la présidence, je pense, vers
1919.
Et je pense quâil occupait, lĂ dans lâEtat de la GĂ©orgie dâoĂč il vient,
un
poste de sĂ©nateur ou quelque chose comme ça lĂ . Câest un homme de
renommée internationale,
il a servi au CongrÚs et il en est un retraité.
3
Alors, une
soirĂ©e, alors que jâentrais au temple, je ne connaissais personne,
juste comme
ici. Il y avait une rangée de fauteuils roulants là , eh bien, juste
comme ce
soir.
Aujourdâhui,
quelquâun, un homme dâaffaires qui Ă©tait assis lĂ , voulait savoir
pourquoi hier
soir cette dame-là a été guérie dans le fauteuil roulant, pourquoi
nâai-je pas
guéri tous les autres dans des fauteuils roulants.
Jâai
rĂ©pondu: «Je ne lâai point guĂ©rie, Je ne guĂ©ris personne. Câest
Jésus-Christ
qui lâa guĂ©rie par sa... les mĂ©rites de sa foi. Jâai vu cela
sâaccomplir, je
lui en ai parlĂ© et câest tout.» Jâai dit: «Je pouvais parler Ă chacun
dâeux,
sâIl mâavait montrĂ©. Mais je ne peux faire que ce quâIl me dit de
faire.»
4
Et de ma
vie je nâavais jamais entendu parler de ce vaillant homme, monsieur
Upshaw.
Je... Vous savez de par mon langage que je ne suis pas instruit. Jâai
grandi
dans une famille nombreuse, de dix enfants. Je nâavais mĂȘme pas reçu
une
instruction de lâĂ©cole primaire. Tout ce que jâai eu, câest
lâinstruction de
septiÚme année primaire. Je devais aller travailler pour prendre soin
de neuf
enfants. La santĂ© de mon pĂšre nâĂ©tait pas trĂšs bonne. Il est mort
jeune, et je
devais travailler. Je nâai point reçu mon instruction, sinon jâaurais
connu
monsieur Upshaw.
Eh bien,
un soir, je suis entrĂ© dans une salle, jâai eu une vision. Tous les
fauteuils
roulants Ă©taient lĂ . Jâai regardĂ©, et jâai vu un adolescent tomber, et
il sâest
fracturé. Il est tombé sur un rùtelier, ou quelque chose comme cela.
Câest tout
ce que je pouvais dire, que je savais. Je lâai vu en un lieu
remarquable,
portant un habit avec un col Ă©trange, on dirait, le mĂȘme homme.
Quelquâun
lâapplaudissait. Câest tout ce que je savais.
Quelquâun
a dit... FrÚre Baxter a dit: «Connais-tu qui tu as vu?»
Jâai dit:
«Non.»
Il a dit:
«Câest... As-tu dĂ©jĂ entendu parler du membre du CongrĂšs Upshaw?»
Jâai dit:
«Non, non.»
Il a dit:
«Il est assis devant toi. Câest lui.»
Alors,
jâai regardĂ©, et jâai dit: «Câest cet homme-lĂ . Câest lui qui est assis
là .»
5
Je suis
allĂ© de lâavant et je me suis mis Ă regarder pour voir ce qui
arriverait. Jâai
vu un mĂ©decin debout comme cela, un mĂ©decin mince, portant dâĂ©normes
lunettes
en monture dâĂ©caille. Et il avait lâune de ces choses devant sa tĂȘte
qui... des
lunettes comme celles dont on se sert pour regarder dans la bouche. Je
lâai vu
secouer la tĂȘte comme cela, et il a dit...
Jâai
regardé en bas: il y avait là une petite fille de couleur couchée prÚs
de lui.
Il lui avait enlevĂ© les amygdales, et cela lâavait paralysĂ©e depuis sa
voie...
ou depuis sa gorge jusquâen bas. Elle Ă©tait paralysĂ©e. Jâai regardĂ© la
petite
fille, et jâai dit: «Je vois un mĂ©decin. Il a opĂ©rĂ©, il a enlevĂ© des
amygdales
de cette enfant, dâune enfant de couleur qui est paralysĂ©e.»
Jâai
regardĂ© de ce cĂŽtĂ©-ci, et jâai entendu quelquâun pleurer. Jâai regardĂ©,
lĂ Ă
droite était couchée une femme de couleur, avancée en ùge, pleurant
comme cela.
Elle a dit: «Bon Seigneur, câest mon enfant.»
Jâai vu,
couchĂ©e lĂ , jâai dit: «Oui, câest cet enfant-lĂ . Il y a environ deux
ans que
cela sâest passĂ©, nâest-ce pas, maman?»
Elle a
dit: «Câest vrai.»
Jâai dit:
«A voir son apparence, je mâimagine quâil y a de cela environ deux ans.»
Elle a
dit: «Câest ça.»
Je me
suis retournĂ© de ce cĂŽtĂ©-ci et jâai appelĂ© une autre dans la ligne. Et
il mâest
arrivĂ© de regarder; jâai vu un sentier allant comme ceci, ou cela sâest
transformĂ© en une rue. Jâai vu cette petite fille de couleur descendre
la rue
avec une poupĂ©e sur son bras. CâĂ©tait ça. Jâai dit: «TrĂšs bien, maman.
Câest
terminĂ©. Votre enfant est guĂ©rie.» CâĂ©tait lĂ . Voyez?
6
LâEsprit
du Seigneur est entrĂ© dans lâassistance et cela mâa bien affaibli. Et
juste
comme je commençais Ă mâĂ©crouler, mon frĂšre a couru vers moi pour me
saisir. Et
jâai regardĂ©, jâai vu le membre du CongrĂšs Upshaw. Et il a assistĂ© aux
réunions
depuis quâil Ă©tait un jeune garçon lorsquâil est tombĂ© et sâest
fracturé. Il
tenait donc Ă ĂȘtre guĂ©ri par Dieu. Il avait suivi monsieur Roberts; il
a
assisté aux réunions de monsieur Freeman, monsieur Ogilvie, et beaucoup
dâentre
eux avaient prié pour lui.
Mes
amis, jâai quelque chose Ă dire le long de ces lignes dâici peu. Peu
importe
combien vous avez la foi, cela ne changera jamais la volonté
prédestinée de
Dieu. Cela doit se passer par une vision, voir ce qui arrive.
Et alors
que cela commençait, je lâai vu en complet marron descendre la rue,
tirant son
chapeau aux gens comme ça. Jâai dit: «Le membre du CongrĂšs Upshaw est
guéri au
Nom du Seigneur.»
LĂ ,
aprĂšs ĂȘtre restĂ© clouĂ©, estropiĂ© pendant soixante-six ans, alitĂ©
pendant
plusieurs années, poussé dans un fauteuil roulant... Il a fait étudier
des gens
Ă lâuniversitĂ©, en vendant des livres dans la rue, qui sont maintenant
dans
notre gouvernement; et il a fait son temps de service comme un vaillant
homme,
comme un grand homme, comme un homme dâEtat, un membre du CongrĂšs de
notre
pays, les Etats-Unis dâAmĂ©rique. Et lĂ cet homme, pour la premiĂšre fois
depuis
soixante-six ans, a jeté ses béquilles et il a été parfaitement guéri.
Il a
tenu compte de ce que le Saint-Esprit avait dit de faire.
Une
femme Ă©tait assise Ă ses cĂŽtĂ©s, elle souffrait de lâarthrite depuis
quelques
annĂ©es, elle criait et disait: «Quâen est-il de moi?» Comment
pouvais-je le
dire? Que pouvais-je lui dire? Le PĂšre devait premiĂšrement me le
montrer.
7
Et
monsieur Upshaw en avait entendu assez auparavant. Il a dit, avant de
venir aux
rĂ©unions, quâil savait queâque ce nâĂ©tait pas moi, que ce que Dieu
disait par
lĂ , il avait la foi pour croire, car il avait vu dâautres. Et voici
monsieur
Upshaw et sa femme assis ici ce soir pour suivre ce témoignage, qui est
la
vĂ©ritĂ©. Dieu... [FrĂšre Upshaw interrompt.âN.D.E.]
Et il
dit: «Louons le Seigneur.» Amen. Câest... Le voici juste comme... Ă
quatre-vingt-quatre ans tout aussi plein de vie quâun enfant.
8
Maintenant,
pour nâimporte qui parmi vous, je suis... Et concernant la guĂ©rison, je
vous ai
souvent dit que je ne peux rien faire avant que le PĂšre me montre ce
qui est
fait.
Quelquâun
disait: «FrÚre Branham, pourquoi ne faites-vous pas monter les gens
pour prier
pour chacun dâeux?» Câest trĂšs bien. Je peux le faire. Câest trĂšs bien.
Ce
nâest pas exactement la façon dont je conduis les rĂ©unions. Je conduis
des
rĂ©unions selon la manifestation de lâEsprit de Dieu qui mâest donnĂ©
pour aider
les gens. Maintenant, nous faisons de notre mieux pour leur prĂȘcher.
Et
maintenant, avant dâaller plus loin, jâaimerais lire une portion des
Ecritures
pour confirmer ce que je viens de dire. Jâaimerais lire dans Saint
Jean, chapitre
5, vous qui dĂ©sirez le noter. Et jeâjâaimerais que vous Ă©coutiez
attentivement
maintenant.
Eh bien,
mes paroles sont les paroles dâun homme, elles failliront. Mais la
Parole de
Dieu, câest la Parole de Dieu qui ne peut pas faillir. Combien croient
que la
Parole de Dieu est vraie et Elle est la Vérité infaillible? Merci.
Alors
cela... Elle peut ĂȘtre mal comprise, je vais lire au sujet de JĂ©sus.
Câest tout
au début de Son ministÚre. Il se révélait aux gens.
AprĂšs cela, il y eut une fĂȘte des Juifs et
Jésus monta à Jérusalem.
Or, à Jérusalem, prÚs de la porte
des brebis, il y a une piscine qui sâappelle en hĂ©breux BĂ©thesda, et
qui a cinq
portiques.
Sous ces portiques étaient couchés
en grand nombre des malades, des aveugles, des boiteux, des
paralytiques, qui
attendaient le mouvement de lâeau;
Car un ange descendait de temps en
temps dans la piscine, et agitait lâeau; et celui qui y descendait le
premier
aprĂšs que lâeau avait Ă©tĂ© agitĂ©e Ă©tait guĂ©ri, quelle que fĂ»t sa maladie.
LĂ se trouvait un homme malade
depuis trente-huit ans.
JĂ©sus, lâayant vu couchĂ©, et sachant
quâil Ă©tait dĂ©jĂ malade depuis longtemps, lui dit: Veux-tu ĂȘtre guĂ©ri?
Le malade lui répondit: Seigneur, je
nâai personne pour me jeter dans la piscine quand lâeau est agitĂ©e, et,
pendant
que jây vais, un autre descend avant moi.
LÚve-toi, lui dit Jésus, prends ton
lit, et marche.
AussitĂŽt cet homme fut guĂ©ri... [Espace vide sur la bandeâN.D.E.] prit son lit,
et marcha.
CâĂ©tait un jour de sabbat.
Eh bien, jâaimerais que vous lisiez tout ce chapitre. Mais
jâaimerais lire
les versets 19 et 20:
Quand il fut interrogé...
Eh bien, je vais arriver Ă ce verset dans un instant.
Jâaimerais que vous
observiez la scĂšne. Et maintenant, sâil vous plaĂźt, accordez-moi toute
votre
attention sur ces versets, ainsi il nây aura pas... Cela dissipera les
superstitions et les pensées qui ne devraient pas exister.
9
Jésus
Ă©tait le Fils de Dieu nĂ© dâune vierge. Nous croyons cela. Si nous
sommes des
chrĂ©tiens, nous devons croire quâIl Ă©tait nĂ© dâune vierge. Et je crois
que le
Saint-Esprit avait couvert de Son ombre une jeune fille, Marie, et Il a
créé
cette cellule de Sang dans son sein et cela sâest dĂ©veloppĂ© en Fils de
Dieu. Et
je crois que Dieu Ă©tait en Christ rĂ©conciliant le monde avec Lui-mĂȘme.
Car Il a
dit: «Ce nâest pas Moi qui fais les oeuvres; câest Mon PĂšre qui demeure
en Moi.»
Ainsi
donc, au début de Son ministÚre, Il est passé à cÎté de cette piscine,
qui
Ă©tait au marchĂ© des brebis. Nous nâaurons pas le temps dâanalyser, car
vous les
lecteurs, vous connaissez le marchĂ© des brebis, la piscine Ă©tait lĂ Ă
Béthesda,
elle avait cinq portiques par lesquelles les brebis entraient de
différents
endroits, et la piscine... vers la piscine.
10 Et
maintenant, lĂ ... des gens pensaient que ceux qui attendaient lĂ
étaient
superstitieux. Un ange descendait et agitait lâeau, câest-Ă -dire
bougeait lâeau;
câest une eau trĂšs dangereuse. Et le premier homme Ă y entrer avec foi
était
complĂštement guĂ©ri de nâimporte quelle maladie dont il souffrait.
Eh bien,
observons lâimage. Et autour de cette porte, ils Ă©taient donc couchĂ©s
en grand
nombre.
Eh bien,
de quoi, à votre avis, était constitué un grand nombre? Eh bien, il
nous est
rapportĂ© quâun grand nombre est constituĂ© de deux mille. Et en grand
nombre,
câĂ©tait au pluriel, en grands nombres. Or, il y a probablement, disons
dix
mille personnes. Peut-ĂȘtre quâelles Ă©taient plus. Mais au moins cinq Ă
dix
mille personnes, disons.
11 Eh
bien,
voyons quel genre de groupe, câĂ©taient: des estropiĂ©s, des boiteux, des
aveugles et des paralytiques. Quelleâquelle foule de gens dĂ©figurĂ©s
attendant
le mouvement de cette eau! Les historiens nous racontent quâon se
battait mĂȘme
pour entrer dans lâeau, on se blessait avec des couteaux en cherchant Ă
prĂ©cĂ©der lâautre, pour entrer et voir si leur foi Ă©tait suffisante pour
ĂȘtre
guéris.
Bon,
JĂ©sus passa par cette piscine. Eh bien, JĂ©sus ne sâhabillait jamais
diffĂ©remment des hommes de Son Ă©poque. Il nâavait jamais portĂ© son...
différent, pour se faire connaßtre. Le Royaume de Dieu ne réside pas
dans la
façon dont vous vous habillez; câest ce qui est dans votre coeur. Vous
nâavez
pas Ă tourner votre col, ou Ă ĂȘtre appelĂ© docteur ou rĂ©vĂ©rend. Il
sâagit de ce
que vous ĂȘtes dans votre coeur.
Jésus
Ă©tait un Juif dâapparence ordinaire. Et il passait au milieu des gens,
et
ilsâet ils Ă©taient mĂ©langĂ©s. On ne savait mĂȘme pas oĂčâoĂč Il Ă©tait. Il
passait
directement. Il nâĂ©tait pas habillĂ© diffĂ©remment. Il nây avait rien
dâĂ©trange Ă
Son sujet, dans Sa façon de sâhabiller, dans Son apparence.
12 Et
Il est
entrĂ©, Il savait quâun homme Ă©tait couchĂ© lĂ depuis trente-huit ans, il
souffrait dâune affection. Maintenant, Ă©coutez. Il y avait des
estropiés, des
boiteux, et voici un homme qui était couché avec une affection, une
maladie.
Peut-ĂȘtre quâil souffrait de la tuberculose. Peut-ĂȘtre quâil souffrait
de
lâhypertension. Peut-ĂȘtre quâil Ă©tait anĂ©mique, quâil souffrait du
coeur. Mais
il souffrait dâune affection pendant trente-huit ans. Il nâĂ©tait pas
cloué sur
un petit lit, ou un lit ou dans une chaise. Il a dit: «Lorsque je
descends vers
lâeau, quelquâun dâautre qui est en meilleur Ă©tat que moi me devance.»
Et alors
lâange, aussitĂŽt que la premiĂšre personne Ă©tait guĂ©rie, toute la vertu
de
lâange quittait lâeau vers la personne, et ça quittait. Et on
nâattendait pas un
autre jour, mais une autre saison. Peut-ĂȘtre un mois. Mais ils
attendaient.
Nous ne
pouvons pas attendre dâune soirĂ©e Ă une autre. Si on nâa pas priĂ© pour
nous la
premiĂšre soirĂ©e et que nous ne sommes pas guĂ©ris, il nây a rien Ă cela.
Cela
montre combien les temps ont changé, et quelle bande de névrosés dans
lâĂąge
dans lequel nous vivons. La Bible dit quâil en sera ainsi. Et nous y
sommes.
13 Maintenant,
observez ceci. Jésus savait que cet homme était couché là depuis
longtemps. Il
ne savait que ce que le PÚre Lui montrait. Et Il est allé et Il a guéri
cet
homme, et Il sâest Ă©loignĂ© de cette multitude dâestropiĂ©s, dâaffligĂ©s
et
dâhommes qui souffraient; et Il sâĂ©tait Ă©loignĂ© dâeux.
Pouvez-vous
imaginer, cela... Croyez-vous que Jésus avait de la compassion?
Croyez-vous
quâIl Ă©tait plein dâamour? Certainement, je crois cela. Mais ces choses
vont
avec cela, quatre-vingt-dix pour cent de lecteurs de la Bible passent
par-dessus cela. Ils manquent dâen voir la vĂ©ritĂ©. Certainement, Il
était plein
dâamour.
Et on
dirait que, puisque Il Ă©tait si plein dâamour, comme nous savons quâIl
lâĂ©tait,
Il a vu ces gens couchés là , des paralytiques, des gens aux membres
tordus, des
estropiĂ©s, des aveugles, ils pleuraient, ils nâavaient aucun moyen de
subvenir
Ă leurs besoins, ils ne faisaient que mendier, et... Câest comme si cet
aimable
Fils de Dieu aurait dĂ» sâavancer et dire: «Maintenant, aveugle,
recouvre ta
vue. Boiteux, tu es resté couché ici depuis trÚs longtemps, lÚve-toi.
Et
monsieur, toi, au bras atrophié, pourquoi ne te lÚves-tu pas?»
14 Au
lieu de
cela, Il est parti vers un homme qui était simplement malade, qui avait
mené
une vie ordinaire, souffrant dâune affection depuis trente-huit ans.
Cela
paraĂźt Ă©trange, nâest-ce pas? Vous pouvez Ă peine comprendre cela. Eh
bien,
jâaimerais que vous vous rappeliez cette expression: «On ne peut pas
comprendre
cela...» si les Ecritures nâavaient pas exprimĂ© cela plus tard.
Les
Juifs Lâont interrogĂ©. Maintenant, Ă©coutez ce quâIl dit au verset 19:
Jésus reprit donc la Parole et leur
dit: En vérité, en vérité, je vous le dis, le Fils ne peut rien faire
de
lui-mĂȘme, il ne fait que ce quâil voit faire au PĂšre; et tout ce que le
PĂšre
fait, le Fils aussi le fait pareillement.
Car le PĂšre mon... aime le Fils et
lui montre tout ce quâil fait; et il lui montrera des oeuvres plus
grandes que
celles-ci, afin que vous soyez dans lâĂ©tonnement.
Maintenant, remarquez. Pourquoi JĂ©sus nâavait-Il pas guĂ©ri
les paralytiques
lĂ ? Pourquoi nâa-t-Il pas guĂ©ri les affligĂ©s? Pourquoi a-t-il guĂ©ri un
homme
qui avait juste, peut-ĂȘtre un trouble dâestomac, ouâou quelque chose,
et
comment ça, a-t-Il laissĂ© les autres lĂ ? Câest parce que Ses propres
Paroles le
disent: «Il ne pouvait rien faire sans que le PÚre Lui ait montré.»
Est-ce vrai?
Eh bien, nâest-Il pas le mĂȘme hier, aujourdâhui et Ă©ternellement?
15 Quelquâun
mâa posĂ© une question aujourdâhui. Il a dit: «Eh bien, si vous pouvez
tout voir
...» Jâai dit: «Je ne peux pas tout voir.»
Il a dit:
«Eh bien, vousâvous... Cette seule femme assise lĂ , clouĂ©e dans un
fauteuil
roulant, vous lui avez dit de se lever. Et il y a ici tout un grand
groupe de
gens assis devant vous, pourquoi ne leur avez-vous pas dit de se lever?»
«Comment
puis-je le leur dire si Dieu ne me le montre pas?»
Il a dit:
«Eh bien, jâavais une tante assise lĂ derriĂšre. Elle souffre du coeur.
Et vous
avez guéri un homme qui était assis là avec...»
Jâai dit:
«FrĂšre, je nâai guĂ©ri personne qui souffrait du coeur. Câest
Jésus-Christ qui a
guĂ©ri cet homme par sa priĂšre. Et jâai simplement vu cela ĂȘtre
accompli.» Eh
bien, Il guérit les estropiés.
Mais les
gens dâaujourdâhui... JĂ©sus a dit: «Une gĂ©nĂ©ration faible et adultĂšre
demande
des miracles.» Est-ce vrai? Si vous ne voyez pas des miracles, a dit
Jésus, et
des prodiges, vous ne croyez pas.»
Eh bien,
il y a des estropiés qui ont été guéris. Mais le problÚme en est que,
jâaimerais vous dire, vous les estropiĂ©s, que quatre-vingt-dix pour
cent
dâestropiĂ©s, une fois que le mĂ©decin dit: «TrĂšs bien, vous resterez
aussi lĂ le
reste de votre vie», ils nây peuvent rien. Au fin fond dâeux, il y a
quelque
chose qui les effraie et leur dit que cela va ĂȘtre la vĂ©ritĂ©. Et vous
avez peur
de vous déployer.
Eh bien,
vous nâĂȘtes pas sans secours, pas plus quâun homme qui souffre du
coeur. Je me
tiens là , je regarde des estropiés, et je vois ce qui cloche chez eux
et
autres. Câest vrai. Je peux voir cela, ou nâimporte quoi de ce genre.
16 Je
ne parle
point pour dire: «Cet homme, ce garçon ici était tombé et était mort,
et il
sâest fracturĂ©, et ainsi de suite comme cela, et il sâest cassĂ© la
colonne
vertĂ©brale, et tout.» Il connaĂźt cela. Et lâestro-... Les gens ici les
voient
et savent quâils sont estropiĂ©s, quâils souffrent de lâarthrite, du
coeur, des
maladies comme cela. Ils voient cela.
Mais ce
qui se fait... La puissance de Dieu, câestâcâest quand un homme se
tient ici,
apparemment en bonne santé, et vous lui dites ce qui cloche chez lui,
alors que
pour lâoeil naturel, il paraĂźt en bonne santĂ©. Lâoeil naturel peut voir
que
lâhomme est estropiĂ©. Voyez, peut-ĂȘtre que sa jambe est courbĂ©e, ou
son... ou
voir lâhomme assis lĂ , aveugle avec une canne, ou il se dirige vers...
et
quelquâun le conduit, ou... Vous savez quâil est aveugle. Mais la chose
est que
les gens paraissent en bonne santé.
17 Ă
chrétiens,
pincez lâhomme intĂ©rieur maintenant et rĂ©veillez-vous Ă la rĂ©alitĂ©, que
Jésus-Christ est ici pour se manifester à vous. Et Son attitude
présente,
maintenant, est juste la mĂȘme envers vous queâquâenvers les gens
dâautrefois.
Mais Il ne peut agir que dans la mesure oĂč votre foi confirmera, ou
votre foi
va sâĂ©lever vers le PĂšre pour accepter ce quâIl a dĂ©jĂ fait pour vous.
Maintenant,
Ă vous les estropiĂ©s. Il nây a personne ici parmi vous dans un Ă©tat
aussi grave
que celui du membre du CongrÚs Upshaw autrefois. Il est resté estropié
soixante-six ans, était poussé dans un fauteuil roulant, couché sur des
lits,
aidĂ© et il marchait avec des bĂ©quilles. Je ne lâavais jamais vu ni
nâavais
jamais entendu parler de lui de ma vie, et Dieu sait que câest vrai. Et
voici
lâhomme ce soir, debout devant vous, parfaitement guĂ©ri. Voyez?
18 Le
membre du
CongrĂšs a une femme spirituelle qui lâinstruisait, disant: «Croyez.» Et
lui-mĂȘme Ă©tant un homme spirituel, il a cru. Et quand il a vu lâaction
de
lâEsprit, en lui-mĂȘme il sâest dit: «Si seulement Dieu exauce ma
priĂšre, et
permet que les frÚres me voient, alors je crois.»
Peu
importe combien dâhommes avaient essayĂ© de chasser, de pousser et
dâĂŽter les
bĂ©quilles, câest seulement... Eh bien, je peux descendre lĂ et essayer
de
relever quelquâun, du fauteuil roulant, dire: «LĂšve-toi, tiens-toi
debout,
tiens-toi debout, fais ceci.» Câest juste un acte de foi. Câest trĂšs
bien. Si
cela peut vous aider, allez de lâavant. Laissez quelquâun le faire.
19 Mais
quant Ă
moi, lorsque je vous dis de vous lever de votre fauteuil roulant,
faites ce que
je vous dis, vous allez marcher. Câestâcâest tout ce quâil y a pour ça.
En
effet, je ne vais pas vous le dire si le PÚre céleste ne me montre pas
que vous
ĂȘtes guĂ©ri. Et faites ce qui vous est dit. Lorsque vous entendez Ă
lâestrade,
Cela vous dire quoi faire, allez, faites-le, et vous serez guéri, car
ce nâest
pas moi.
Cela nâa
jamais failli sur littéralement des centaines de milliers de fois. Cela
ne peut
pas faillir pour vous. Seulement, ce nâest pas moi; câest Lui qui fait
cela.
Voyez? Ce nâest pas moi, câest Lui. Je ne fais que parler, car je ne
parle pas
de moi-mĂȘme. Câest Lui qui parle au travers de moi. Et câest
pratiquement oĂč...
20 Eh
bien,
Dieu montre des visions. Jâaimerais que certains dâentre eux, si câest
possible, me rappellent mon temps. Je... peut-ĂȘtre que je peux voir
lâhorloge.
Je ne suis pas sûr. Cinq minutes aprÚs? Merci. Si je peux... Eh bien,
je
nâaimerais pas mâĂ©tendre trĂšs longtemps. Jâaimerais vous raconter
uneâune
petite histoire, chaque soir, un petit témoignage. Aussi, il fait un
peu plus
frais ce soir, ce dont nous sommes reconnaissants.
Et chers
amis chrĂ©tiens, peut-ĂȘtre que je suis en train de tenir mes derniĂšres
réunions
en Amérique, au mieux de toute ma connaissance. Je pars outre-mer
maintenant.
Et je sens lâappel pour terminer mon voyage outre-mer, en Afrique et Ă
divers
endroits dans le monde. Je ne sais pas quand je pourrais revenir. Ce
sera
uniquement par la volontĂ© de Dieu, et tout ce quâIl me montre Ă faire.
Et je
vous aime. Je sais quâun jour je dois me tenir Ă la barre du Jugement
de Christ
pour rendre compte des choses que nous avons faites dans cette vie.
Maintenant,
Ă ... pour quelque chose que peut-ĂȘtre certains ici qui avaient assistĂ©
aux
réunions et savent cela. Et dorénavant, je vais essayer de donner un
témoignage
quand je monte Ă lâestrade, et puis je partirai.
21 Et
lors de
la distribution des cartes de priĂšre du jour... Vos cartes de priĂšre
nâont rien
Ă faire avec cela, câest juste un numĂ©ro pour vous garder en ligne. Ils
essaient de... je demande Ă mon fils...
Au
début, nous envoyions des cartes de priÚre aux prédicateurs. Pour
commencer, je
nâen avais pas du tout. Je disais: «Tout celui qui veut quâon prie pour
lui,
quâil vienne.» Oh! Il y avait une bagarre: Qui serait dans les lignes
de devant
(En effet, je nâen prends quâun certain nombre) et qui allait entrer.
Il nous
a fallu faire quelque chose. Nous distribuons les cartes de priĂšre.
Alors, nous
nous sommes dit: «Eh bien, le premier venu sera servi.» Et le premier
jour, lĂ ,
nous avions simplement distribué toutes les cartes de priÚre que nous
pouvions
distribuer. Si quelquâun dâautre venait un peu en retard, il Ă©tait
exclu. Et il
nây avait que ceux qui recevaient les premiĂšres cent ou deux cents
cartes pour
qui on priait. Si un homme venait avec un cas dâurgence, ilâil ne
pouvait pas
passer avant quelquâun dâautre, car il lâaurait devancĂ©.
22 Par
la
suite, il est arrivé que nous les remettions aux prédicateurs. Eh bien,
alors... Et disons quâĂ chaque prĂ©dicateur, on lui envoyait deux cents;
et le
prochain prédicateur, deux cents, tous les ministres qui collaboraient.
Et cela
a mĂȘme fait quâils ont perdu les membres de leurs Ă©glises. Si quelquâun
donnait
une carte de priĂšre Ă un membre et quâil ne donnait pas Ă une autre
personne,
et alors le premier prédicateur faisait entrer son groupe; le temps
quâon prie
pour son groupe, et le reste était terminé, le service était terminé.
Cela a
causé du trouble.
Et
lâunique moyen prospĂšre que nous avons donc trouvĂ© de faire cela, câest
de
prendre un tas de cartes chaque jour et descendre lĂ . Peu importe si
vous avez
été là une douzaine de fois, ou si vous avez été là ... Et alors, nous
en
prenions et en distribuions, cinquante cartes. On commence par le
numéro un.
23
Et si on ne
pouvait pas avoir les dix ou quinze premiÚres cartes, on disait: «Je
nâen veux
pas. On ne va pas mâappeler de toute façon.» Voyez? En effet, câest
environ
tout ce que je pouvais prendre en une soirĂ©e. Peut-ĂȘtre parfois pas
plus dâun
ou deux. Et les gens comprennent mal cela. Et des lettres affluent. «On
nâa pas
prié pour nous.»
Notre
MaĂźtre entrait dans une ville, Il guĂ©rissait un seul homme, et Il sâen
allait
de la ville. Nâest-ce pas vrai? Et sâIl est le mĂȘme hier, aujourdâhui
et
éternellement... Voyez-vous ce que je veux dire?
Eh bien
alors, nous avons compris ceci, et le Seigneur me lâa rĂ©vĂ©lĂ© une nuit.
Il a dit:
«Va distribuer un tas de cartes. Et puis, cela fait, ne fais savoir Ă
personne
Ă partir de quel numĂ©ro et monte en chaire.» Et tout ce quâIl me met Ă
lâesprit, câest Ă partir de lĂ que je commence. Et cela donne Ă chacun
une
belle occasion, chaque jour dâentrer.
Et les
cartes de priĂšre, il y a plus de gens guĂ©ris dans lâassistance par
rapport Ă
ceux qui le sont Ă lâestrade. Vous savez que câest vrai. Ainsi, la
carte de
priĂšre nâa rien Ă faire avec cela. Je demande chaque soir: «Combien
nâont pas
de cartes de priĂšre?» Et jâessaie de veiller sur ces gens pour voir ce
que le
Seigneur vaâva me montrer Ă leur sujet, et ils seront guĂ©ris.
24 Maintenant,
câest la priĂšre, votre priĂšre, votre priĂšre. Eh bien, rappelez-vous, si
vous
allez ĂȘtre guĂ©ri, ne pensez pas que câest quelquâun qui a un don de
guérison
divine qui vous guĂ©rit. Si vous allez ĂȘtre guĂ©ri par la guĂ©rison
divine, câest
vous qui avez le don de guĂ©rison. Câest votre foi en Christ, pas cette
personne, ni un autre homme. Câest votre propre foi personnelle en
Christ.
Combien comprennent cela? Câest la vĂ©ritĂ©.
Je ne
peux rien faire. Je peux prier pour vous. Ou votre voisin peut prier
pour vous.
Mais câest votre foi qui opĂšre la guĂ©rison. Vous acceptez vous-mĂȘme,
individuellement, ce que Christ a fait pour vous. Vous vous y
accrochez, et
câest la vĂ©ritĂ©.
Maintenant,
tout ce que cela fait, câest que parfois ça corrige la vie dâun homme.
25 Je
ne sais
pas, on mâa dit... (Oh! Câest comme un songe, aprĂšs la rĂ©union, lorsque
lâonction vient.) au sujet dâun homme qui est venu ici hier soir Ă
lâestrade,
et lâEsprit de Dieu est allĂ© vers lui et lui a dit quâil Ă©tait une
espĂšce de
critiqueur, et quâil me critiquait. Lâorganisateur et les autres mâen
ont
parlé, le... Mon fils dit que cet homme a humblement étendu la main, il
a
demandĂ© pardon et il a dit que câĂ©tait la vĂ©ritĂ©. Est-ce vrai? Il a
donc mis
cela en ordre avec Dieu, et il est allĂ© chez lui. On a rapportĂ© quâune
femme
sourde a été guérie et tout; et la femme dans le fauteuil roulant et
dâautres
choses. On me le rapporte. Lorsquâils se sont mis Ă en parler, jeâjâai
commencé
Ă ... On dirait que ça revient. Je peux mâen souvenir.
Hier
soir en sortant, jâai pu entendre quelquâun mâappeler. Je ne pouvais
pas savoir
oĂč câĂ©tait. Et je nâavais rien Ă faire avec cela moi-mĂȘme.
26 Eh
bien,
voici comment cela se passe. Maintenant, pour les quelques prochaines
minutes,
pendant que jâĂ©tais Ă Houston, quand on avait pris cette photo, le
docteur F.
F. Bosworth, lâun des vieux hommes les plus braves quâil y avait au
monde... Je
tiens beaucoup Ă ce que le membre du CongrĂšs Upshaw le rencontre.
Il part
avec moi en Afrique, monsieur Bosworth! Nous aimerons le voir terminer
son
ministĂšre et terminer sa course avec grande joie. Et il part en Afrique
avec
nous. Je lâaime, dâun amour chrĂ©tien et pieux.
Alors,
il est entré dans ma chambre, il a dit: «FrÚre Branham, regarde ça.»
Juste
environ une soirĂ©e avant que cette photo soit prise. Et il mâa donnĂ© la
photo
de mademoiselle Florence Nightingale, une arriĂšre-arriĂšre-petite-fille
de feue
Florence Nightingale dâAngleterre qui Ă©tait partie en Afrique. Et elle
se
mourait dâune tumeur maligne sur le...?... de lâestomac. Et on lui a
tiré une
photo.
27 Et
je
pensais que Georgie Carter, ma pianiste Ă lâĂ©glise baptiste de
Milltown, dans
lâIndiana, Ă©tait la personne la plus mince que jâaie jamais vue. Elle
pesait
trente et quelques livres [13 kg], elle souffrait de la tuberculose, et
elle
est restée couchée sur le dos neuf ans et huit mois. Et une heure aprÚs
que le
Saint-Esprit mâavait montrĂ© oĂč elle Ă©tait afin de prier pour elle, elle
jouait
de nouveau le piano. Et elle est ma pianiste lĂ ce soir. Il y a six,
sept ans,
elle est en bonne santĂ©, comme nâimporte qui.
Mais
cette femme mesurait presque six pieds [1,82 m], Georgie était une
petite
femme. Cette femme mesurait Ă peu prĂšs six pieds [1,82 m] et elle
pesait
environ trente-cinq ou quarante livres [15,8 ou 18 kg]. On lâaidait Ă
se tenir
debout, on la soutenait, et elle nâavait quâun petit morceau de tissu
sur elle.
MĂȘme en Ă©tant insensible comme je le suis, cela mâa fait fondre en
larmes. Et
je...
Elle me
suppliait: «FrĂšre Branham, câest le dernier appel. Sâil vous plaĂźt,
venez en
Afrique maintenant mĂȘme.» Elle disait: «Je crois que si seulement je
peux vous
voir, Dieu me guĂ©rira.» Eh bien, elle nâest pas membre dâune Ă©glise
fondamentaliste. Alors... Mais elle avait la foi.
Toute
foi ne rĂ©side pas dans lâĂ©glise fondamentaliste, ou neâne rĂ©side pas
dans
lâĂ©glise pentecĂŽtiste, ou dans lâĂ©glise de la saintetĂ©. Elle rĂ©side
dans
lâindividu. Jâai vu un catholique romain venir Ă lâestrade et ĂȘtre
guéri
miraculeusement des maladies. Et différentes personnes...
28 Jâai
vu Ă
Winnipeg, au Canada, un adorateur de Bouddha, un petit garçon aveugle,
ĂȘtre
converti Ă lâestrade. Jâai dit: «Tu deviens aveugle; crois-tu?»
Il a dit:
«Si JĂ©sus-Christus me guĂ©rit ce soir, je nâadorerai plus un autre Dieu
que
JĂ©sus-Christus.» Et ses yeux sâĂ©taient ouverts. Vous y ĂȘtes. Bouddha...
Jâattends
voir les Indiens et les Indous en Afrique et les Hottentots ĂȘtre amenĂ©s
Ă la
grùce salvatrice de Jésus-Christ.
Ecoutez.
Jâai priĂ©, et jâai dit: «à Dieu, je ne peux pas aller lĂ -bas maintenant
Ă moins
que Tu me conduises. Je Te demande donc, Seigneur, si Tu guéris cette
femme, ça
sera un feu vert.»
Et frĂšre
Bosworth sâest agenouillĂ© avec moi, Il a dit: «Va en Afrique.» FrĂšre
Baxter ne
le sait mĂȘme pas.
Et nous
avons joint nos mains lĂ , frĂšre Bosworth et moi, ma femme et une petite
fille.
Nous nous sommes agenouillés et nous avons prié que Dieu guérisse cette
femme.
Jâai confiĂ© cela au Seigneur, et jâai laissĂ© les choses aller ainsi. Je
ne
savais rien Ă ce sujet, jâai laissĂ© cela aller.
29 Et
lorsque
frÚre Baxter et moi, et nous tous, nous sommes arrivés à Londres, frÚre
Baxter
et moi, nous sommes arrivĂ©s, en fait, il est Ă lâĂ©coute... assis ici en
train
de mâĂ©couter maintenant. Lorsque nous sommes arrivĂ©s, jâai dit: «Eh
bien, ce
sera paisible ici pendant un temps.»
Je me
levais donc, et on mâa appelĂ©. Et quand je suis arrivĂ© lĂ , je me
demandais si
câĂ©tait lâappel du roi pour aller immĂ©diatement au palais de
Buckingham, ou ce
que câĂ©tait.
Mais ce
que câĂ©tait, lâappel Ă©tait de traverser... [Espace vide sur la
bandeâN.D.E.] Il
y avait lĂ une dame qui venait dâarriver, avant moi, Ă bord dâun avion
venant
de lâAfrique, et on arrivait Ă peine Ă la faire sortir de lâavion:
Mademoiselle
Florence Nightingale. Comment a-t-elle su que je devrais ĂȘtre lĂ , je ne
sais
pas encore. Et jâai dit Ă ce prĂ©dicateur, jâai dit: «Amenez-la quelque
part, et
je vous reverrai dans environ une journée ou plus.» Nous voulions
descendre au
palais.
Il a
donc dit: «Si elle vit jusque là .» Il a dit: «FrÚre Branham, elle est
mourante.»
30 On
lâavait
donc amenée en un lieu et, en ce jour-là , quand frÚre Baxter, frÚre
Lindsay,
frÚre Moore, les organisateurs et moi, nous sommes allés en ce lieu-là ,
un
prédicateur était venu nous prendre, et nous sommes allés au lieu pour
prier
pour la femme. Quand je suis entrĂ© dans cette piĂšce, mes amis, jeâjeâje
ne peux
vous dĂ©crire le sentiment que jâavais Ă©prouvĂ©. Un squelette Ă©tait
couché là , il
respirait.
Eh bien,
je suis dans une assistance mixte. Eh bien, vous écoutez votre médecin,
et moi,
je suis votre frĂšre. Eh bien, sâil vous plaĂźt, comprenez-moi de la
bonne
maniĂšre. Lorsquâon a fait descendre la couverture, frĂšre Baxter a
détourné la
tĂȘte.
Et elle
voulait... Eh bien, elle ne pouvait pas me parler, et il me fallait
mâincliner
et laisser lâinfirmiĂšre rĂ©pĂ©ter ce quâelle disait. Et je ne sais pas
dâoĂč
venait assez dâhumiditĂ© pour faire couler les larmes sur ses joues.
Elle
voulait mourir. Elle voulait que je demande Ă Dieu de la laisser mourir.
31 Eh
bien, je
lâai tenue par la main, et câĂ©tait froid, pi... on dirait juste des os.
Sa
tĂȘte, Ă ce niveau, le crĂąne, on pouvait voir les jointures. Ses yeux
étaient
enfoncĂ©s. Et sur sa poitrine, en tant que femme, il nây en avait pas,
câĂ©tait
enfoncé dans ses cÎtes. Et quand on a fait descendre la couverture
jusquâici,
ses os... ses jambes ici à la place, à leurs cavités, avaient environ
cette
grosseur.
On
nâarrivait mĂȘme pas Ă trouver des veines pour injecter le glucose ni
rien. Ăa
faisait des mois quâelle nâavait pas mangĂ©, elle ne pouvait rien
avaler. On
devait la perfuser et tout. Ainsi donc, on ne pouvait pas trouver des
veines
pour la nourrir. Et lĂ au niveau de lâos de sa hanche, lâanneau sâĂ©tait
resserrĂ©, et la peau de deux cĂŽtĂ©s de lâanneau se rattachait comme ça.
Vous
nâavez jamais vu pareil spectacle de votre vie.
Je me
suis agenouillĂ© et jâai dit: «PĂšre cĂ©leste, sois misĂ©ricordieux.» Je
lui ai
dit, jâai dit: «Je ne suis pas sous lâonction; je suis simplement venu
ici.
Mais je vais prier, mais pas pour que vous mouriez.» Et je me suis mis
Ă prier.
Et elle a dit: «Pouvez-vous...?...»
Je
mâinclinais davantage, et lâinfirmiĂšre a dit: «Elle a dit: âFrĂšre
Branham, jâai
toujours cru que si je pouvais mâapprocher de vous, Dieu rĂ©pondrait Ă
la
priĂšre.â» MĂȘme si jâĂ©tais un hypocrite, Dieu rĂ©compenserait une telle
foi.
Câest vrai.
32 Et
lorsque
je me suis mis Ă prier pour elle, aussitĂŽt que jâai commencĂ© Ă prier...
FrĂšre
Baxter ici est un témoin. Lorsque je me suis mis à prier, un petit
pigeon a
volĂ© Ă la fenĂȘtre et sâest mis Ă faire: «Coucou, coucou.» Et tout...
Je me
suis agenouillĂ©. Jâai dit: «Notre PĂšre qui es aux cieux...»
Le petit
pigeon sâest mis Ă faire «Coucou.»
Jâai dit:
«Que Ton Nom soit sanctifié.»
Il a
fait: «Coucou», en parcourant.
Et quand
jâai fini ma priĂšre, et que jâai dit: «Amen», et que jâai demandĂ© sa
guérison,
le petit pigeon sâest envolĂ©.
Les
prĂ©dicateurs avaient constatĂ©. Et au moment oĂč jâallais parler Ă la
femme pour
la consoler, le Saint-Esprit a parlé et a dit: «Elle va se rétablir.»
Et
aujourdâhui, elle pĂšse cent trente-cinq livres [61 kg] et elle est en
parfaite
santĂ©. CâĂ©tait lĂ un feu vert pour lâAfrique qui brĂ»le.
33 De
lĂ , nous
sommes allĂ©s Ă Helsinki. (Et il me faudra me dĂ©pĂȘcher, juste avoir une
partie
de ceci.) Avant de quitter, jâĂ©tais Ă ... Un soir, le Saint-Esprit mâest
apparu
Ă Miami, en Floride. Jâai vu un petit garçon tuĂ© par un accident et
couché dans
un pays rocailleux. Oh! A voir lâĂ©tat de cet enfant, il... Je lâavais
décrit.
Et beaucoup parmi vous ici peuvent reconnaĂźtre cela, quand jeâjâen ai
parlé.
Et jâai
demandĂ© que cela... Je suis allĂ© Ă la tente, et jâai dit: «Un petit
garçon
quelque part va ressusciter. Câest une contrĂ©e rocailleuse. Il a des
cheveux
bruns, un peu bouclés. Il portait un tout petit ensemble pantalon et
chemise
boutonnés ensemble. Ses pieds vont ressortir hors de ses chaussettes.
Et il
seraâsera complĂštement Ă©crasĂ© suite Ă un accident. Et il va mourir. Et
le
Seigneur va le ressusciter. âJâai dit: AINSI DIT LE SEIGNEUR.â» Jâai
dit: «Vous
tous, écrivez cela dans vos Bibles, et cela apparaßtra dans le journal
Voice of
Healing. Et un de ces jours, lorsque, je ne sais pas, (parce que la
vision a
duré deux heures.) cela aura lieu à un moment.
34 Et
je pense
que câest lâune des douzaines et des centaines de choses quâil a
montrées. Je
prends quiconque ici Ă tĂ©moin, si chacune dâelles ne sâest pas
accomplie. Alors
quand... Environ deux ou trois soirĂ©es aprĂšs cela, on mâa amenĂ©
derriĂšre la
tente et on mâa dit: «Un petit garçon est couchĂ© ici derriĂšre, venez le
voir.»
Le petit garçon dâenviron cinq ans sâĂ©tait noyĂ©; il avait les cheveux
trĂšs
noirs comme du charbon, eh bien... Jâai dit: «Non, ce nâest pas lui.»
Jâai
offert une priĂšre de consolation, et je suis parti.
Jâai
parcouru la rĂ©gion de lâEst, jusquâau Canada. Et je lâai racontĂ©e
partout dans
mes réunions. Je disais: «Ecrivez cela dans votre Bible. Il y a une
vision qui
nâest pas encore accomplie. Il sâagit dâun petit garçon qui sera sur
son chemin
vers lâĂ©tablissement dâentrepreneur des pompes funĂšbres ou quelque
chose comme
cela, et Dieu va le guĂ©rir. Je serai lĂ . Câest dans une rĂ©gion
rocailleuse,
avec beaucoup dâarbres. Et le petit garçon Ă environ huit ou dix ans;
il a un
petit visage plat, et des yeux bruns. Et jâai dit: «Il avait des
cheveux coupés
au carrĂ© comme ceux dâune fille. Il Ă©tait trĂšs pauvrement habillĂ©.»
35 Combien
se
souviennent que jâavais dit cela? Y a-t-il quelquâun ici qui sâen
souvient?
Voici un homme qui lĂšve les mains ici. Oui, un autre lĂ -bas. CâĂ©tait
bien avant
(Voyez?) que cela arrive. LĂ , derriĂšre, oui, je vois vos mains. TrĂšs
bien.
CâĂ©tait pratiquement une annĂ©e et demie ou deux ans avant que cela
nâarrivĂąt.
Un jour,
lorsque nous sommes partis Ă Helsinki, nous sommes alors allĂ©s Ă
Kuopio.
CâĂ©tait le moment de jeĂ»ne, je jeĂ»nais et je priais.
On
chantait, les Russes et tous, certains parmi eux étaient là , et les
Finlandais.
Ils chantaient un beau cantique: A Golgotha. Et tous leurs cantiques
sont en
mineur, trĂšs triste. Il y avait lĂ un Anglais ivre, en bas aux pieds de
la
tour. Nous lâavons conduit Ă Christ lorsque nous sommes descendus.
Jâai dit
auxâaux frĂšres, jâai dit: «Quelque chose dâĂ©trange va arriver. Je sens
que
lâAnge du Seigneur est proche, et ce nâest mĂȘme pas le temps pour la
réunion.»
Nous tenions des merveilleuses réunions. Des milliers se tenaient
debout sur
une surface dâun demi mile [804 m], environ cinq ou six pĂątĂ©s de
maisons, aussi
loin quâils pouvaient se tenir lĂ , Ă quinze heures, cherchant Ă entrer
Ă
Messuhalli, qui offrait alors vingt-cinq mille places assises ou plus.
Ainsi
donc, on attendait.
36 Et
lorsque
vous passez par... On pouvait passer Ă cĂŽtĂ© dâeux, des larmes leur
coulaient
sur les joues; juste en guise de respect, ils se tenaient comme cela.
Aimables... Oh! la la!
Les
choses sont faciles ici chez nous. Nous avons... Nous sommes bien
nourris et bien
habillĂ©s, et nous nâavons besoin de rien, comme nous le pensons. FrĂšre,
ils
peuvent nous enseigner le christianisme. Il leur faut prier et
sâaccrocher Ă
Dieu pour tout ce quâils reçoivent. Nous aurons une Ă©conomie un jour si
nous ne
redressons pas notre mode de vie dans ce pays.
Je suis
AmĂ©ricain, nĂ© ici, et de gĂ©nĂ©ration en gĂ©nĂ©ration. Jâai survolĂ© en
avion les
tombes de beaucoup de Branham qui sont morts, qui gisent en Allemagne,
en
France et partout là , qui étaient morts pendant les guerres. Et si
câest mon
appel ce soir, je mourrai librement pour mon pays. Mais il a besoin
dâĂȘtre
redressĂ©. Câest exact.
Nous
parlons du rĂ©veil, et nous nâavons pas encore eu de rĂ©veil. Nous avons
eu
beaucoup de rassemblements, mais un rĂ©veil, câest lorsquâon brise
lesâles
hangars et quâon se met Ă prier et Ă se mettre en ordre avec Dieu. Une
religion
Ă lâancienne mode, du fond du bois, au ciel bleu, qui tue le pĂ©chĂ©, qui
est
prĂȘchĂ©e et qui amĂšne les gens Ă se mettre en ordre avec Dieu, câest ce
dont
nous avons besoin, dâun rĂ©veil, pas de lâadhĂ©sion Ă une Ă©glise. Amen.
Je ne
sais pas pourquoi jâai dit cela, mais je lâai dĂ©jĂ dit.
37 Remarquez.
TrĂšs bien. Et ces gens sont trĂšs aimables. Et quand nous sommes
descendus, jâai
continué à dire aux frÚres: «Quelque chose va arriver.» Nous sommes
descendus
de la colline. Et lĂ en bas, une voiture roulait rapidement.
Il nây a
pas beaucoup de voitures en Finlande. On vend les Ford dâoccasion Ă
environ
quatre mille dollars, lâessence Ă environ un dollar et demi le gallon.
Il y a trĂšs
peu de voitures lĂ , on en voit une rarement.
Il y eut
un accident de véhicule, une Ford verte modÚle 35, de fabrication
américaine,
avait tamponné des écoliers. Deux petits garçons se sont engagés dans
cette
direction-ci. Ils ont cherchĂ© Ă revenir en courant. Lâun est parti dâun
cÎté et
lâautre, de lâautre. Et le pare-choc a percutĂ© lâun par le menton. Il
est allé
comme ceci.
Quand le
chauffeur a pivotĂ© sa voiture vers la droite, il lâa percutĂ© par le
menton et
lâa projetĂ© comme ceci par terre, il lâa roulĂ© plusieurs fois, il a
cogné la
bordure, il est allĂ© cogner contre un arbre, et il sâest commotionnĂ© le
cerveau. Et lâautre petit garçon, cela lâa percutĂ© de face et lâa cognĂ©
par le
pare-choc, il a roulĂ© sur lui et lâa Ă©crasĂ©.
Et la
voiture roulait Ă environ soixante miles [96,54 km] Ă lâheure. Elle lui
a roulé
dessus, lâa propulsĂ© par derriĂšre et lâa projetĂ© en lâair quand il est
sorti,
comme cela. Et il est tombĂ© comme un sac par terre. On aurait pensĂ© Ă
un chien
qui a été cogné comme cela ou quelque chose de ce genre.
38 CâĂ©tait
quelque temps, quelques minutes, quinze minutes avant que nous
arrivions sur le
lieu. Le petit garçon était étendu là , mort. Le frÚre et les autres
sont allés
lĂ le voir. Je ne pouvais pas regarder cet enfant. Celaâcela donc...
FrĂšre
Lindsay est revenu. Beaucoup parmi vous connaissent frĂšre Gordon
Lindsay. FrĂšre
Baxter, je ne pense pas... Non, il nâĂ©tait pas sur le lieu. FrĂšre
Baxter nâest
jamais allé avec nous. Il se promenait, lui et mon frÚre. Et quand je
suis
arrivé là , je...
FrĂšre
Lindsay est revenu en pleurant. FrĂšre Moore est revenu en pleurant.
Soeur
Isaacson, lâinterprĂšte...
Eh bien,
je ne savais que penser. Et finalement, jâai regardĂ© le petit garçon.
Et je me
suis mis Ă pleurer. Jâavais un fils ici. Et je me suis dit: «LĂ loin en
AmĂ©rique, mon fils.» Eh bien, si je nâĂ©tais pas tout excitĂ©, jâaurais
rapidement reconnu cela. Mais je mâĂ©tais retournĂ©. Cela couvrait son
petit
visage. Et je...
39 On
dirait
Quelque Chose avait juste placé Sa main sur mon épaule, ou quelque
chose comme
cela. Alors, je me suis retournĂ©, il nây avait personne lĂ . Je me suis
dit: «Attendez.
Quel est ce sentiment Ă©trange?» Jâai attendu quelques instants. Jâai
dit: «Laissez-moi
revoir ce garçon.» Et on avait enlevĂ© laâla chose qui le couvrait, et
lĂ , il
Ă©tait Ă©tendu lĂ . Et jâai dit: «Demandez aux prĂ©dicateurs si ce garçon a
jamais
fréquenté une église.»
«Non.»
«Est-ce
quâils le connaissent?»
«Non.»
Jâai dit:
«Jâai vu ce garçon quelque part.» Je lâai encore regardĂ©, jâai vu son
petit
pied qui ressortait par cette chaussette. Jâai regardĂ© tout autour,
jâai vu
cette contrĂ©e accidentĂ©e. Jâai dit: «Ăa y est.»
Jâai dit:
«FrÚre Moore, regarde dans ta Bible.»
Il a dit:
«Que veux-tu dire?»
Jâai dit:
«Regardez la page de garde, toi et frÚre Lindsay. AINSI DIT LE
SEIGNEUR, voilĂ
le garçon que jâavais vu en AmĂ©rique. Ce garçon vivra dans quelques
minutes.»
Vous ne saurez jamais le sentiment quâon Ă©prouve quand on sait oĂč on se
tient.
Câest vrai.
40 Il
a dit: «Est-ce
ce garçon-là ?» FrÚre Moore a regardé la page de garde de sa Bible,
câest lĂ que
beaucoup... Jâavais demandĂ© aux centaines et centaines de gens dâĂ©crire
cela
lĂ .
Il a dit:
«FrĂšre Branham, câest la description exacte.»
Jâai dit:
«Câest le garçon.» TrĂšs bien. On sâest rassemblĂ©s, on sâest
agenouillĂ©s. Jâai
dit: «à Eternel Dieu, là loin dans mon pays en Amérique, une nuit, Tu
mâavais
visitĂ© et Tu mâavais montrĂ© cette contrĂ©e rocailleuse et ce petit
garçon. Et le
voici Ă©tendu ici mort, pendant quâon attend que son pĂšre et sa mĂšre
viennent
apprendre cette triste nouvelle.» Jâai dit: «Toi qui mâas sĂ©parĂ© du
sein
maternel et qui mâas envoyĂ© pour voir ces visions, maintenant, Dieu
Tout-Puissant, parle. Et toi mort, qui le retiens, je rappelle sa vie
au Nom de
Jésus-Christ qui a montré la vision.»
Et le
petit garçon a lùché un cri, il a sauté sur ses pieds. Et il est aussi
normal
et bien portant que nâimporte qui assis ici dans la salle ce soir.
Cette touche
est venue comme une traßnée de feu.
41 Ce
soir-lĂ ,
alors quâon cherchait Ă mâamener Ă la rĂ©union, eh bien, la... La rue
était
bondée des gens jusque plus bas, les officiers, la police de
patrouille, les
officiers militaires avaient dû venir me prendre à quelques pùtés de
maisons,
lĂ dans la rue. Lorsque je suis entrĂ©, je nâoublierai jamais cela.
Il me
faudra me dĂ©pĂȘcher; encore une chose. Je vais terminer lâhistoire de
lâautre
garçon demain soir.
Jâentrais
dans une salle, il y avait deux soldats finlandais derriĂšre moi et deux
devant
moi pour me faire partir. Et je suis entré dans la salle, et ils...
Lâauditorium Ă©tait rempli. Oh! la la! Et de part et dâautre des rues,
on avait
dressĂ© des tentes partout tout autour. Et jâai reçu lâune des autoritĂ©s
de la
ville, que nous appelons le maire, il a écrit dans leurs livres, il a
signé de
son propre nom, quâil a Ă©tĂ© tĂ©moin de la puissance du Dieu
Tout-Puissant qui
avait ressuscité le mort.
42 Eh
bien,
câest la troisiĂšme fois que jâai vu cela sâaccomplir. Peut-ĂȘtre que je
peux
aborder cela plus tard quand madame Hattie Waldrop lĂ Ă Phoenix, et
Ralph Perry
chez nous... Eh bien... Je veux par là parler de ceux qui ont été
déclarés
morts, qui Ă©taient Ă©tendus lĂ ... Ce garçon, quand jâallais entrer...
Je
mâavançais vers la petite piĂšce, et jâai entendu une porte se fermer.
Et
câĂ©taient des toilettes du dortoir des femmes, pour ainsi dire. Et
lorsquâelle
est sortie, ce fut le spectacle le plus pitoyable que jâaie jamais vu
de ma
vie. CâĂ©tait une jeune fille.
Combien
reçoivent le journal The Voice of Healing? Vous avez probablement vu sa
photo
et vous savez de quoi je parle. Elle portait unâun gros appareil en
acier
autour dâelle comme ceci, et une jambe Ă©tait un peu plus courte que
lâautre.
Elle nâavait pas de contrĂŽle de ce membre. Elle portait de gros
souliers placés
au bout de cet appareil orthopĂ©dique. Et lâappareil orthopĂ©dique Ă©tait
si
complet quâil empĂȘchait le genou de se plier. CâĂ©tait partout. Cela
remontait
autour dâelle et Ă©tait lacĂ© autour. Et il y avait unâun crochet au bout
de son
soulier, une courroie remontait et passait par-dessus ses épaules et se
rattachait Ă la partie arriĂšre de lâappareil orthopĂ©dique. Et puis,
elle avait
deux bĂ©quilles Ă lâaide desquelles elle marchait.
Et elle
avançait les béquilles, elle oscillait sa petite épaule, et cela
faisait
avancer ce membre-lĂ . Et cela ne sâĂ©tait pas assez dĂ©veloppĂ©, il Ă©tait
inutilisable, et le poids de cela reposait sur ce support-ci. Voyez?
Alors,
elle pouvait tenir et marcher. Et cela lâaidait Ă marcher. Elle posait
cette
chaussure par terre, elle pouvait effectuer un pas.
43 Et
la pauvre
petite créature se tenait là . Et les dames, si vous connaissiez comment
elles
devaient sâhabiller... La petite crĂ©ature se tenait lĂ , de petits
lambeaux
pendant de son petit jupon et de ses petits habits tout déchirés. Et
jâai
appris plus tard quâelle Ă©tait une petite orpheline de guerre. Son pĂšre
et sa
mÚre avaient été tués pendant la guerre; une Russe.
Elle est
sortie lĂ , et elle... sa petite chevelure Ă©bouriffĂ©e. Et quand elle mâa
vu lĂ ,
elle a regardĂ© et elle sâest redressĂ©e comme cela, et elle a inclinĂ© sa
petite
tĂȘte. Oh! la! la! Quelque chose mâa simplement brisĂ© le coeur. Jâai
regardé la
petite crĂ©ature. Je... Oh! Jâai donc Ă©prouvĂ© le sentiment le plus
horrible. Et
ce soldat a dit: «Silence, silence», me poussant.
Non...
Et jâai compris quâelle voulaitâquâelle voulait me parler, seulement on
leur
avait interdit de la déranger dans la rue, ou quelque chose comme cela.
Jâaime
ces petits enfants. Je les amenais tous Ă lâĂ©glise. Et quand ils
étaient dans
lâauditorium, au service de lâaprĂšs-midi... On me remettait de petites
piĂšces
dâargent finlandais, je sortais lĂ et je les leur remettais afin quâils
puissent sâacheter leurs bonbons. Et elles dĂ©ployaient leurs petites
jupes et
disaient: «Kiitos.» Kiitos veut dire merci. Et elles criaient:
«Kiitos.» Alors,
jâavais une file dâenfants, dâici jusque lĂ derriĂšre le bĂątiment, qui
me
suivaient. Jâaime les petits enfants.
44 Alors,
elle
mâa regardĂ© comme cela, et ses petites lĂšvres se sont mises Ă
trembloter, et
elle sâest tenue tranquille. Et je lui ai fait signe de venir. Je
savais
quâelle voulait venir. Et elle est venue lĂ oĂč jâĂ©tais. Elle est venue
lĂ avec
sa petite bĂ©quille et son appareil orthopĂ©dique, elle sâest avancĂ©e. Je
voulais
voir ce quâelle allait faire. Et elle sâest saisie de ma veste et elle
lâa baisĂ©e,
elle a laissé tomber cela, elle a levé les yeux vers moi comme ça, elle
tenait
ses petites béquilles, elle a déployé sa petite jupe et a dit:
«Kiitos.» Et les
larmes lui coulaient sur ses petites joues comme cela, tombant. Oh!
Je... On
dirait que mon coeur allait Ă©clater. Jâai baissĂ© les yeux vers elle, et
je lâai
vue guĂ©rie. Je savais que Dieu rĂ©compenserait une telle foi. Et jâai
dit: «Chérie,
tu es guérie.»
Et elle
ne pouvait pas me comprendre. On mâa poussĂ© de lâavant.
Nous
avions eu une réunion formidable ce soir-là . Et les gens, quand ils
voyaient
quelque chose ĂȘtre rĂ©vĂ©lĂ© lĂ , dans lâassistance, ils jetaient
simplement leurs
béquilles et se mettaient à marcher.
45 Et
ce
soir-lĂ , on sâest simplement saisi de grandes brassĂ©es. Vous avez vu
cela dans
le journal, des brassées de béquilles et des choses semblables ainsi
que des
cannes de gens qui avaient été guéris. Ils pouvaient simplement
avoir... On les
a écartés de moi, docteur Manninen et les autres, quand on a pris la
photo. Et
jâai dit Ă mon frĂšre... Il a dit: «Nous devons tâamener.» Il me faisait
partir.
Et jâai
dit: «Encore quelques-uns.» Et par la sagesse providentielle de Dieu,
la
prochaine carte qui a Ă©tĂ© appelĂ©e, jâai entendu quelque chose faire du
bruit,
et câĂ©tait elle. Elle Ă©tait la personne suivante Ă monter Ă lâestrade.
Et la
voici passer. Et jâai dit: «Soeur Isaacson,» lâinterprĂšte, «rapporte
fidĂšlement
mes paroles.»
Elle a
dit: «TrÚs bien.»
Et jâai
dit: «ChĂ©rie, câest toi la petite fille qui mâa rencontrĂ© lĂ dehors
dans le
hall.»
Et elle
a acquiescĂ© de sa petite tĂȘte lorsque lâinterprĂšte lâa rĂ©pĂ©tĂ©.
Et jâai
dit: «JĂ©sus-Christ tâa guĂ©rie, chĂ©rie. Va lĂ , assieds-toi et ĂŽte ton
appareil
orthopédique. Et juste quand tu... quand tu Îteras cet appareil
orthopédique,
baisse doucement ta petite main comme cela. Tu es guĂ©rie.» Jâai dit:
«Je tâai
vue en vision. Tu es guérie.» Elle est allée là . Les huissiers se sont
mis Ă
lui enlever les appareils orthopédiques. Et juste quand ils...
46 Je
me suis
mis à prier pour une autre femme qui se tenait là , qui était montée.
Juste Ă ce
moment-lĂ , jâai entendu un cri. Et jâai regardĂ©, et la voilĂ traverser
lâestrade, les appareils orthopĂ©diques et les bĂ©quilles sur la tĂȘte,
courant Ă
toute vitesse, comme le membre du CongrÚs Upshaw, parfaitement guérie.
Rétablie.
Quâest-ce?
JĂ©sus-Christ est le mĂȘme hier, aujourdâhui et Ă©ternellement. Sa
puissance est
illimitĂ©e. Elle est limitĂ©e Ă votre foi. Croyez-vous cela? Câest
confirmé parmi
des milliers de fois, des milliers de gens.
Et de
toute façon, je crois que juste là dans mon livre, je crois que nous
avons son
adresse et le petit garçon qui ressuscita... Ă©tait ressuscitĂ© dâentre
les
morts. Je parlerai de lâautre demain soir.
47 Qui
a cru Ă
ce qui nous Ă©tait annoncĂ©? Qui a reconnu le bras de lâEternel? Il est
ici ce
soir. Jésus, le Fils de Dieu, pour bénir chaque personne qui est dans
la
Présence divine. Je ne peux pas vous guérir. Dieu peut me montrer ce
quâIl a
fait pour vous. Si vous confessez votre foi en Lui, et que vous croyez
quâIl
mâa envoyĂ© faire... [Espace vide sur la bandeâN.D.E.] ceci, vous verrez
la
gloire du Seigneur. Inclinons la tĂȘte... [Espace vide sur la
bandeâN.D.E.]
alors que nous prions.
PĂšre
céleste, nous aimons bien témoigner de Ta voie. Cela continue
simplement Ă
brûler dans mon coeur, cette pauvre petite orpheline finlandaise, la
petite
créature sans mÚre, sans pÚre, les deux avaient été tués, la pauvre
créature,
qui était trimballée de lieu en lieu.
Et, ce
soir, je pense aux scĂšnes que je vois ici chez nous, alors quâils vont
dehors vers
la poubelle et entassent ces gros morceaux de pain et ces morceaux de
viande.
Alors que ces pauvres petits Finlandais marchent dans les rues;
certains
dâentre eux avec de petites mains sales, essuyant les larmes de leurs
petits
yeux. Ils seraient heureux dâavoir un de ces morceaux de pain. Ă Dieu,
nous
sommes indignes.
48 Un
glorieux
jour, nous traverserons la frontiÚre. Nous nous assiérons alors à Ta
table,
nous regardant lâun lâautre, les larmes nous coulant sur les joues,
aprĂšs ces
grandes batailles, nous verrons beaucoup de ces anciens vétérans qui
ont
combattu dans la bataille. Nousânous nous serrerons la main et nous
pleurerons
un peu. Et le Roi sortira et Il essuiera toutes les larmes de nos yeux.
Il dira:
«Ne pleurez plus maintenant. La bataille est terminĂ©e; vous ĂȘtes Ă la
maison.
Entrez dans les joies du Seigneur.» Câest pour ce jour-lĂ que je
travaille,
Seigneur. Câest pour ce jour-lĂ que nous combattons. Peu importe que
les gens
croient ce qui nous Ă©tait annoncĂ© ou pas, Seigneur, nousânous
enseignons cela,
et Tu le confirmes.
Et nous
savons que Tu es ici pour faire connaßtre Tes bénédictions. à Dieu,
bénis ces
gens ce soir, Seigneur Jésus. Beaucoup de vieux papas et mamans qui
sont
assis... [Espace vide sur la bandeâN.D.E.] ça en est pratiquement fini
dâeux.
Les médecins les ont abandonnés. Beaucoup sont assis ici dans ces
fauteuils
roulants et pensent quâils ne marcheront plus, Ă moins que quelque
chose
arrive. Beaucoup de vieux frĂšres qui sont assis ici, peut-ĂȘtre
souffrant du
coeur, ou une soeur qui partira dans quelques semaines si quelque chose
nâarrive pas. Un cancer lâa rongĂ©e. Oh! Sois misĂ©ricordieux, JĂ©sus.
Sois avec
nous encore ce soir dâune maniĂšre spĂ©ciale.
49 Jâai
tĂ©moignĂ© de Ton Ange qui montre des visions. Ă PĂšre, ce nâest pas afin
que
cette assistance puisse entendre ma voix, car ce nâest pas moi qui leur
parle.
Je Te parle. Je Te prie, ĂŽ Dieu, de montrer des visions ce soir. Puisse
cela
apparaĂźtre visiblement si câest possible. Que partout ici dans la
salle, que
lâAnge de Dieu dĂ©ploie Ses grandes ailes ici, et que les gouttes de
rosée de
miséricorde en tombent, Seigneur, sur chaque coeur affamé ici. Et
puissent-ils
avoir la foi dâĂȘtre guĂ©ris ce soir et dâaccepter leur guĂ©rison de la
part du
Seigneur. Sâil y en a qui remplissent ces conditions que Tu as exigĂ©es,
Seigneur, montre cela Ă Ton serviteur. Et puisse-t-Il engloutir Ton
serviteur
maintenant, lâenrouler, Seigneur, et le cacher.
Je sais
que frĂšre Upshaw est assis ici, lui qui a attendu soixante-six ans.
Mais, Ă
lâheure sombre de sa vie, Tu lâas bĂ©ni. Tu lui as accordĂ© le dĂ©sir de
son
coeur. Tu ne refuses aucune bonne chose Ă ceux qui marchent dans la
droiture.
50 Il
y en a
assis ici qui se mouraient de cancer et qui sont maintenant bien
portants. Une
femme qui était estropiée, dans un fauteuil roulant hier soir, est ici
maintenant, marchant, bien portante. Ă Christ, que les hommes et les
femmes se
rendent compte, quâils se dĂ©barrassent de leurs superstitions, quâils
regardent
maintenant au Calvaire dâoĂč provient notre secours, et quâils puissent
voir
Celui que nous avons essayĂ© de prĂ©senter, lâAgneau de Dieu qui a Ă©tĂ©
blessé
pour nos pĂ©chĂ©s, et câest par Ses meurtrissures que nous avons Ă©tĂ©
guéris.
Puissent-ils Le voir dans Sa puissance et Sa gloire. Puissent-ils Le
voir dans la
puissance de Sa résurrection ce soir. Et comme Ses disciples autrefois,
alors
quâils revenaient dâEmmaĂŒs, quand cette assistance partira dâici ce
soir,
puissent-ils ĂȘtre comme ceux qui revenaient dâEmmaĂŒs, qui avaient vu la
puissance de Christ ressuscité, et qui avaient dit: «Notre coeur ne
brûlait-il
pas au-dedans de nous?» Alors quâIl Ă©tait lĂ ... [Espace vide sur la
bandeâN.D.E.] les guĂ©rir. Accorde-le, Seigneur.
Maintenant,
je mâabandonne moi-mĂȘme Ă Toi... [Espace vide sur la bandeâN.D.E.]...
une glorieuse
effusion de Tes bénédictions, car je le demande au Nom de Ton Fils,
Jésus.
Amen.
51 Maintenant,
souvenez-vous, alors que je fais cette déclaration: Je ne suis pas
responsable
des critiqueurs qui sont dans la rĂ©union. Puis-je le rĂ©pĂ©ter, sâil vous
plaĂźt?
Je ne serai pas responsable des critiqueurs qui sont dans la réunion.
Sâil y en
a ici qui sont des critiqueurs, ou qui sont venus juste par curiosité,
jeâje ne
voudrais pas quâils restent pendant le dĂ©roulement de cette partie du
service.
Revenez demain suivre la prédication. Mais ne restez pas pour ceci. Car
soyez-en rassuré, quand les esprits démoniaques et leur puissance sont
lùchés,
ils cherchent oĂč aller, si câest possible. Et lâincrĂ©dulitĂ© va
certainement
prendre place (Ou si vous ĂȘtes un croyant en fait, avec une faible foi
et que
quelque chose arrive, nous pouvons nous en occuper.) Mais quand vous
ĂȘtes un
incroyant, ou jeâje nâai rien Ă faire avec cela, parce que je ne
pourrais pas
faire partir cela.
Et
maintenant, Ă Celui qui est capable de vous garder de la chute, et qui
peut
faire infiniment au-delĂ de tout ce que nous pouvons penser, que Sa
grĂące et
Son Ătre oignent notre rĂ©union maintenant. Et puisse votre foi ĂȘtre
stable. Et
imaginez-vous unâun PĂšlerin solitaire, rejetĂ© des hommes, un Homme de
chagrin,
habituĂ© Ă la souffrance, accusĂ© dâĂȘtre un dĂ©mon, un lecteur de pensĂ©es,
un
spirite, venir en marchant, mal compris. Mais Il Ă©tait le Fils mĂȘme de
Dieu.
Et Il
est ici ce soir. Il est ici maintenant mĂȘme avec moi. Il est ici avec
vous, et
Il connaßt toutes choses. Je ne connais rien. Mais Il peut révéler
tout.
Nâest-ce pas?
52 Un
pauvre
homme estropiĂ© est en train dâavancer. TrĂšs bien, venez simplement ici
un
moment. Soyez simplement respectueux au possible. Je me demande si les
chrétiens se rendent compte de la position dans laquelle je me trouve.
Vous
rendez-vous compte que dans une assistance de ce genre, il y a des
superstitions, des critiques, et tout, ici? Et jâai fait une
déclaration au
sujet de Jésus-Christ.
Vous
direz: «FrÚre Branham, avez-vous peur?» Non, non! Pas du tout. Je sais
Qui se
tient ici, et jâai cru en Lui. Et je suis persuadĂ© quâIl est capable de
garder
ce que je Lui ai confié pour cette heure.
Cet
homme mâest inconnu, humainement parlant. Je ne le connais pas. Nous
sommes
inconnus, nâest-ce pas, monsieur? Oui, oui, nous sommes inconnus.
Maintenant,
monsieur, jâaimerais juste votre attention pour vous parler juste un
moment. Et
maintenant, il y a... Si nous sommes inconnus, et que je ne connais
rien Ă
votre sujet, celaâcela devra provenir dâune source spirituelle,
nâest-ce pas,
monsieur? Cela devra provenir dâune source spirituelle. Vous savez
quâil se
passe quelque chose. Certainement. Câest juste lâAnge du Seigneur.
Etes-vous un
croyant? Oui, oui. Vous... Je crois que vous croyez. Vous ĂȘtes plus que
cela.
NâĂȘtes-vous pas un prĂ©dicateur? Vous avez prĂȘchĂ© de trĂšs puissants
sermons dans
des rĂ©unions. Nâest-ce pas? Vous aviez Ă©tĂ© dans un hĂŽpital ou dans le
cabinet
dâun mĂ©decin, ou quelque chose comme cela, pour un examen. Nâest-ce pas
vrai?
Nâest-ce pas vrai? Oui, oui, je le vois examiner. Oui, vousâvous avez
des
problĂšmes avec votre foie, câest sur votre bile, je pense. Nâest pas
vrai? Je
crois que vous souffrez du cancer. Je crois que câest cela...
Jésus-Christ est
ici pour vous guĂ©rir. Croyez-vous cela? TrĂšs bien. Oh! Je voisâje vois
cela
suspendu comme cela. Câest la vessie plutĂŽt quâun... nâest-ce pas vrai?
La
vessie. Venez ici un moment.
53 Dieu
Tout-Puissant, Toi qui as ressuscitĂ© JĂ©sus-Christ dâentre les morts, je
pensais
que cet homme est un estropié, et je Te vois Te mouvoir là . Mais il est
Ton
serviteur, et cette main que je tiens a bien des fois été agitée aux
pécheurs
pour Ta gloire. Sois misĂ©ricordieux, Eternel Dieu. Et pendant quâil est
dans Ta
Présence, se tenant ici, reconnaissant ceci, la derniÚre opportunité de
sa vie
pour recevoir, puissent maintenant les bénédictions de Dieu descendre
sur Ton
serviteur que voici. Et alors que je lui impose la main, jâordonne au
cancer de
le quitter au Nom de Jésus-Christ. Que Dieu vous bénisse, frÚre. Allez
en vous
réjouissant maintenant. Descendez directement.
Disons: «Gloire
au Seigneur!» TrÚs bien. Maintenant, que chacun soit respectueux au
possible.
Amen. [Espace vide sur la bandeâN.D.E.] ...veut louer le Seigneur avec
lui. Il
est guĂ©ri. Il vient de se rendre compte quâil a... Oui, oui. Il veut
louer le
Seigneur Ă partir des marches parce quâil est guĂ©ri. BĂ©ni soit le Nom
du
Seigneur Jésus.
Nous Te
remercions, Seigneur, pour Ta puissance et Tes serviteurs qui Tâaiment.
Et que
ceci soit une grĂące. Que notre frĂšre prĂȘche encore beaucoup de
puissants
sermons, et quâil convertisse beaucoup de pĂ©cheurs Ă la Croix de
Christ.
Accorde-le, Seigneur. Alors que nous Tâapportons des louanges au Nom de
Ton
Fils JĂ©sus, nous Tâoffrons lâadoration de nos coeurs. Amen. Oh!
Merveilleux,
merveilleux, Jésus est pour moi,
Conseiller,
Prince de la paix, Dieu Tout-Puissant;
Il me
sauve, Il me garde de tout péché et de honte,
Merveilleux
est mon Rédempteur, gloire à Son Nom!
Lâaimez-vous?
Que Sa paix repose sur vous, que cela soit sur vous avec grĂące.
54 TrĂšs
bien.
Madame, oh! je devrais dire, ma soeur. Vous ĂȘtes une chrĂ©tienne. Ce
désir que
vous avez dans le coeur de recevoir le Saint-Esprit, vousâvous voulez
Le
recevoir, nâest-ce pas? Il y a des troubles qui vous ont causĂ©... Vous
ĂȘtes
nerveuse depuis longtemps, nâest-ce pas? Vous ĂȘtes cependant sincĂšre.
Oui. Vous
souffrez aussi du coeur. Câest... Vous avez toujours de la nervositĂ©,
câest ce
qui a causĂ© cela. LâĂ©touffement, quand vous vous couchez, câest pire
que
jamais. Nâest-ce pas vrai? Je vous vois au lit, essayant de vous tenir
comme...
Dites donc, quand je me touche... Oh! ChĂšre soeur, vous avez plus que
cela.
Vous avez le cancer; câest aussi sur le sein, nâest-ce pas? Oui, oui.
Venez
ici, soeur. Croyez-vous que Jésus vous a guérie il y a mille neuf cents
ans?
Acceptez-vous cela maintenant?
Dieu
miséricordieux, bénis cette femme. Puisse-t-elle recevoir le
Saint-Esprit et
ĂȘtre guĂ©rie au Nom de JĂ©sus-Christ. Amen. Allez-y, recevez cela, soeur,
et
soyez guĂ©rie. Disons: «Gloire au Seigneur!» Que câest merveilleux! Amen.
55 Eh
bien, je
ne suis pas une personne surexcité. Mais amen veut dire ainsi soit-il.
La Bible
dit que lâassemblĂ©e dise amen. Ainsi soit-il: JĂ©sus-Christ est le mĂȘme
hier,
aujourdâhui et Ă©ternellement. Ayez donc foi. Ne doutez pas. Croyez.
Tout est
possible Ă ceux qui croient. Amen.
Combien
nâont pas de cartes de priĂšre? Faites voir les mains. Oh! Un grand
groupe parmi
vous. TrĂšs bien. Croyez-vous?
TrĂšs
bien, soeur, votre grande foi vous a guérie pendant que vous étiez
assise lĂ .
Descendez de lâestrade.
Disons: «Gloire
Ă Dieu!» Câest comme ça quâil faut recevoir cela. Nerveuse, la
nervosité ...
Que câest merveilleux! JĂ©sus-Christ est le mĂȘme hier, aujourdâhui et
éternellement. Ne croyez-vous pas cela? Amen.
A quoi
pensez-vous, soeur? Câest merveilleux, nâest-ce pas? Vous vous
intéressez aussi
on dirait Ă cet enfant, nâest-ce pas? Hein? Vous en avez deux, nâest-ce
pas?
Nâest-ce pas vrai? Nây en a-t-il pas deux parmi eux lĂ ? TrĂšs bien. TrĂšs
bien.
Croyezâvous? TrĂšs bien. Que Dieu vous bĂ©nisse. Recevez votre guĂ©rison.
Amen.
56 Papa,
quâen
pensez-vous? Le prĂ©dicateur lĂ vient dâĂȘtre guĂ©ri. Nâest-Il pas
merveilleux?
Vous vous sentez mieux maintenant, nâest-ce pas? Votre ami lĂ veut
aussi ĂȘtre
guĂ©ri, nâest-ce pas, celui qui est assis Ă cĂŽtĂ© de vous.
Regardez
par ici, monsieur, juste un peu. Croyez-vous de tout votre coeur? Vous
aimeriez
que cette grosseur quitte votre nez, nâest-ce pas? Amen. Levez-vous et
recevez
votre guérison au Nom du Seigneur Jésus. Amen.
Quâen
pensez-vous, madame, assise à cÎté de lui? Croyez-vous aussi de tout
votre
coeur? TrĂšs bien. Vous souffrez de la gorge, nâest-ce pas? Levez-vous
et
recevez alors votre guérison au Nom du Seigneur Jésus. Amen.
Cela
fait que le groupe entier soit guéri. Disons: «Gloire au Seigneur!» Que
chacun
croie. Ayez foi en Dieu.
Venez,
soeur. Oh! la la! LâanĂ©mie, le diabĂšte, la maladie du coeur. Allez et
soyez
guérie, soeur, au Nom du Seigneur Jésus.
Disons: «Gloire
au Seigneur!» Câest vrai, ayez foi en Dieu.
57 Monsieur
assis lĂ , votre maladie du coeur est guĂ©rie. Câest vrai. Le troisiĂšme
homme
assis lĂ . Levez-vous. Vous souffriez du coeur, nâest-ce pas? Cela vient
donc de
vous quitter, monsieur, tout Ă lâheure. Rentrez chez vous et soyez
guéri
maintenant, au Nom du Seigneur Jésus. Amen. Ne doutez pas, ayez foi.
TrĂšs
bien. Venez, monsieur. Nâaimeriez-vous pas ĂȘtre guĂ©ri de cet asthme?
Nâaimeriez-vous pas en ĂȘtre guĂ©ri? Allez-y, croyez au Seigneur
Jésus-Christ et
recevez cela. Disons: «Gloire au Seigneur!» Ayez foi.
Venez,
madame. Croyez-vous? Croyez-vous que Dieu a envoyé Son don pour vous
guérir?
Croyez-vous? TrĂšs bien. Vous avez besoin dâune transfusion sanguine
depuis le
Calvaire. Vous ĂȘtes anĂ©mique. Allez de lâavant et soyez guĂ©rie au Nom
de
JĂ©sus-Christ. Ăa y est. Ayez foi.
Venez,
madame. Regardez par ici. Me croyez-vous en tant que prophĂšte de Dieu?
Croyez-vous? Votre maladie du coeur vous a donc quittée. Rentrez chez
vous et
soyez guérie au Nom de Jésus. Louange soit rendue à Dieu!
Jeune
homme lĂ derriĂšre, voulez-vous ĂȘtre guĂ©ri de cette tuberculose? Le
voulez-vous?
Levez-vous et acceptez votre guérison au Nom du Seigneur Jésus. Amen.
Amen.
Disons: «Gloire
à Dieu!» TrÚs bien.
58 La
dame est
sourde. Inclinons la tĂȘte. Dieu Tout-Puissant, Auteur de la Vie,
Donateur de
tout don excellent, envoie Tes bénédictions sur la femme. Toi qui es
mort pour
racheter, Toi qui étais blessé pour nos péchés, brisé pour notre
iniquité, le
chùtiment qui Te donne la paix... qui nous donne la paix est tombé sur
Toi, et
câest par Tes meurtrissures que nous avons Ă©tĂ© guĂ©ris. Toi qui chassais
lâesprit de surditĂ© et cela TâobĂ©issait, ĂŽ Eternel Dieu, Ă©coute cette
priĂšre de
Ton humble serviteur et je Te représente ici ce soir dans la puissance
de la
guérison divine. Ecoute la priÚre de Ton serviteur, et que ce démon qui
retient
la femme, qui la secoue, sorte dâelle.
Toi
dĂ©mon, quitte la femme. Au Nom de JĂ©sus-Christ, sors dâelle.
Mâentends-tu? TrĂšs
bien. Vous avez eu des complications et autres qui clochaient chez
vous.
Pouvez-vous bien mâentendre maintenant? Pouvez-vous mâentendre
maintenant?
Mâentendez-vous maintenant? Vous ĂȘtes guĂ©rie. Descendez de lâestrade et
soyez
bien portante. Vous ĂȘtes guĂ©rie.
Disons: «Gloire
au Seigneur!»
TrĂšs
bien, venez, madame. Croyez-vous que je suis le prophĂšte de Dieu?
Croyez-vous?
Vous avez souffert de reins ça fait longtemps, nâest-ce pas? Descendez
de
lâestrade et soyez guĂ©rie. JĂ©sus-Christ vous guĂ©rit.
Disons: «Gloire
au Seigneur.» Amen. Il est ici pour guérir. Croyez-vous cela? Ayez foi.
59 Croyez-vous
en Lui de tout votre coeur? Si vous croyez, vous pouvez rentrer chez
vous. Vous
nâaurez plus Ă perdre du temps avec votre civiĂšre et votre brancard. Au
Nom du
Seigneur JĂ©sus-Christ. Amen. Amen. La voilĂ . Ătez la civiĂšre du chemin.
La
voilĂ . TrĂšs bien. Croyez-vous en JĂ©sus-Christ? Ătez son brancard, car
il y a
quelquâun dâautre assis lĂ qui est prĂȘt dâĂȘtre guĂ©ri.
Soyez
respectueux. Regardez par ici. Croyez de tout votre coeur.
TrĂšs
bien, monsieur. Croyez-vous? Votre maladie du coeur vous a quitté. Vous
pouvez
descendre de lâestrade. (Quâil soit notre dernier, et ainsi de suite).
Descendez de lâestrade Ă©tant bien portant.
Croyez-vous
de tout votre coeur? Regardez lĂ , vous qui nâavez pas votre... regardez
par
ici.
Quâen est-il
de vous, monsieur, assis lĂ souffrant de lâestomac? Levez-vous et soyez
guéri
au Nom de Jésus.
Lâhomme
Ă cĂŽtĂ© de vous souffre des hĂ©morroĂŻdes, nâest-ce pas? Levez-vous et
soyez guéri
au Nom de Jésus.
La dame
qui souffre de lâarthrite, si vous voulez croire au Seigneur,
levez-vous et
soyez guérie au Nom de Jésus.
A tout
le reste dâentre vous, croyez-vous en Lui? Quâen est-il? Il est ici.
Levez-vous. Levez la main. Acceptez votre guérison.
Satan,
au Nom de Jésus-Christ, quitte ces gens.
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