La Foi

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La Foi - Shp
Date: 57-1229 | La durée est de: 1 heure et 21 minutes | La traduction: MS
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1     …encore ce chant, Crois seulement.
Tout est possible, crois seulement.

2     Et nous n’avons pas suffisamment de—de places assises ici pour recevoir notre petite église. Il n’y a que deux ou trois cents personnes, je pense, ou un peu plus, qui peuvent s’y asseoir. Et nous regrettons que les gens soient obligés de rester debout. Mais, je vais me dépêcher tout de suite, et—et mes quelques remarques que j’ai à faire. Et je prierai que Dieu vous accorde à tous ce que vous êtes venus voir ici ce soir, et que vos cœurs soient remplis de Sa bonté et de Sa miséricorde. Car je sais vraiment que ce serait Sa Divine volonté qu’il en soit ainsi.

3     La première chose que je veux dire, c’est qu’on regrettera pendant longtemps ici, le départ de notre Sœur Casey. Malgré son âge avancé — elle avait passé quatre-vingts ans, je pense, et jour après jour, à travers la neige et la pluie, elle se dirigeait vers l’église du Dieu vivant. L’autre soir, c’était un grand privilège de me tenir à son chevet comme elle s’en allait. Et j’ai dit: «Me connaissez-vous?» Et elle… Je ne sais pas si elle m’avait reconnu ou pas. Mais quand j’ai dit: «Connaissez-vous Jésus?», elle a fait un signe de tête affirmatif, oui, qu’elle Le connaissait. Alors, j’étais content d’appeler ses enfants, ses petits-enfants et, je crois, même ses arrière-petits-enfants, à son chevet, et de dire: «Voilà la belle façon de partir.»

4     Après tout, il nous faut partir. «Il est réservé aux hommes de mourir une seule fois, après quoi vient le jugement.» Et puis notre Sœur Hall…

5     Frère William Hall, pasteur de l’église baptiste de Milltown, qui s’était converti au Seigneur lors d’une des réunions récemment, il y a quelques années, et qui a été guéri d’un cancer grave. Alors que les médecins avaient dit, les meilleurs qu’on puisse trouver dans son coin du pays, et puis le médecin de New Albany avait dit: «Il est mourant.» Et il est venu ici. Et sa femme… m’a téléphoné, et elle disait: «Frère Billy, voudriez-vous venir prier pour Will? Il se meurt du cancer.» Et nous sommes allés le voir. C’était un cancer du foie, et ça avait déjà gonflé son foie, et il était devenu jaune et était presque inconscient. Et je lui ai demandé si ça ne le dérangeait pas que j’appelle mon ami médecin, de la ville, ici, pour lui parler. C’était le docteur Sam Adair. Beaucoup d’entre vous le connaissent.

6     Et le docteur Sam a dit: «Billy, il n’y a qu’une seule chose à faire, c’est de l’envoyer à Louisville auprès d’un fameux cancérologue.» Et ils l’ont envoyé là-bas pour un examen. Évidemment, comme le médecin de là-bas ne voulait pas lui dire ce qu’il en était, il a appelé le docteur Adair. Et le docteur Adair m’a appelé, et il a dit: «Billy, ton ami prédicateur, dans quatre jours, il sera mort.» Il a dit: «Il n’a plus que quatre jours à vivre,» il a dit, «parce que le cancer a rongé son foie.»
    J’ai dit «Docteur, n’y a-t-il plus rien que tu puisses faire pour lui?»

7     Il a dit «Billy, nous ne pourrions pas lui enlever le foie, et qu’il reste en vie.» Et il a dit: «S’il est prédicateur, il devrait être prêt à partir.»
    J’ai dit: «Ça, je crois qu’il l’est.»

8     Alors, c’était dur pour moi d’aller annoncer à sa précieuse épouse que Frère Will Hall mourrait dans quatre jours. La famille Wright ici, assise ici, en est témoin, ainsi que beaucoup d’autres. Et où… Je suis allé annoncer à Mme Hall: «Dans quatre jours, Will sera mort. Le médecin a dit que son foie est rongé par le cancer.» Alors, je suis rentré à la maison.

9     Le lendemain matin… Beaucoup de gens viennent à la maison, vous savez, alors il faut que je m’éloigne un peu, de temps à autre. Je reviens d’un tel voyage, là-bas au Kentucky, où je suis allé à la chasse. Et ce matin-là, j’allais chasser l’écureuil. Je me suis réveillé de bonne heure, j’ai regardé dehors, il n’y avait personne sur la voie d’accès à la maison. Alors, je—je suis allé prendre mon vieux chapeau et ma carabine de calibre vingt-deux, et j’étais sur le point de sortir.

10     Et j’ai vu une pomme suspendue là, c’était une pomme d’apparence la plus horrible que j’aie jamais vue. J’ai pensé: «Pourquoi est-ce que Meda a mis une pomme comme celle-là au mur?» Ratatinée et rongée par les vers. Et j’ai remarqué qu’elle n’était pas accrochée au mur. Elle flottait dans l’air. Et je me suis agenouillé, avec mon vieux chapeau et mon fusil à la main. Et j’ai vu une autre pomme, puis une autre pomme, jusqu’à ce qu’il y ait là cinq pommes. Et puis, une très grosse pomme avec des rayures rouges est descendue et a happé cinq fois, et elle a simplement coupé les pommes en morceaux et les a avalées. Et j’ai pensé: «Qu’est-ce que c’est?»

11     Et alors l’Ange du Seigneur, dont vous voyez la photo là, s’est tenu dans la pièce et a dit: «Va dire à Frère Hall, AINSI DIT LE SEIGNEUR: Il ne va pas mourir. Il y a maintenant cinq mois qu’il est malade, mais d’ici cinq jours il sera rétabli.»

12     Rapidement. j’ai appelé le docteur Adair. et j’ai dit: «Il va vivre.»

13     Il a dit: «Billy, comment peut-il vivre avec en lui un foie complètement rongé?»

14     J’ai dit: «Je ne sais pas. Mais le Seigneur a simplement dit qu’il va vivre, et c’est tout ce que je sais.» Et il est en vie aujourd’hui.

15     Sa femme, qui avait près de soixante-quinze ou quatre-vingts ans, est partie pour être avec le Seigneur il v a quelques jours, pendant que j’étais dans le Kentucky. Que Dieu accorde le repos à son âme, et aussi à Sœur Casey. Elles ont été toutes deux de cette église et elles ont été en communion avec nous.

16     Tout homme, peu importe qu’il soit jeune ou vieux, ou en bonne santé, il y a un jour où nous allons tous rencontrer Dieu. Nous pouvons nous préparer pour ça.

17     Maintenant, ce soir, je… juste quelques remarques de la Parole Éternelle et bénie de Dieu. Et je voudrais En lire juste un passage ici, qui se trouve dans le Livre de Marc, au chapitre Il de Marc. Je veux parler sur la Foi, juste pendant quelques instants, parce que beaucoup d’entre vous sont debout, vous aurez mal aux jambes. Je veux commencer au verset 20. Je veux le lire d’après le lexique du grec original.
    Et le matin, comme ils passaient, ils virent le figuier séché depuis les racines.
    Et Pierre, se ressouvenant de ce qui s’était passé, lui dit: Rabbi, voici, le figuier que tu as maudit est sec.
    …Jésus, répondant, leur dit: Ayez foi en Dieu.
    En vérité, je vous dis que quiconque dira à cette montagne: Ôte-toi, et jette-toi dans la mer, et qui ne doutera pas dans son cœur, mais croira que ce qu’il dit se fait, tout ce qu’il aura dit lui sera fait. [version Darby—N.D.T.]

18     Quelle promesse bénie! «La foi en Dieu!» Pour beaucoup de gens, c’est quelque chose de stupéfiant. Et pourtant, nous devrions avoir honte de confesser que nous n’avons pas foi en Dieu.

19     D’abord, il y a des lâches, qui meurent dix mille fois pendant qu’ils sont ici sur terre, mais un héros ne meurt jamais. Sa mémoire subsiste par suite de ses hauts faits héroïques.

20     Et d’habitude, les gens qui ont la foi sont des gens qui ont de l’expérience. L’expérience produit la foi. Je pense que c’est la raison pour laquelle la Bible nous enseigne…

21     Jésus a dit, dans Jean, au chapitre 3: «Si un homme ne naît de nouveau, il ne peut pas comprendre le royaume de Dieu.» Or, ça, c’est en le citant d’après le texte original. Dans la version du—du roi Jacques, il est dit: «Il ne peut pas voir.» Mais ce mot ne veut pas dire «voir», comme vous regardez avec vos yeux. Ça veut dire «comprendre». Vous ne pouvez pas voir le royaume, de toute façon. Vous devez le comprendre. Et Jésus a dit: «Si un homme ne naît de nouveau, premièrement, il… ne peut pas comprendre le royaume de Dieu.» Alors, c’est…

22     Il nous faut avoir une expérience, avant que la foi puisse accomplir beaucoup de choses. Par conséquent, les gens devraient d’abord être sauvés. Premièrement, ils viennent à Dieu et ont une expérience du salut, avant de s’approcher de Dieu pour leur guérison. Cela devra, cela—cela accomplira des prodiges, si seulement vous pouvez le croire.

23     Maintenant, remarquez, bien des fois, dans les Écritures. Prenons cette fameuse vieille scène, d’Israël, quand ils avaient des difficultés. Une guerre avait éclaté entre Israël et les Philistins, et Israël s’était rassemblée sur le flanc d’une colline. Et ils étaient en ordre de bataille, mais personne n’était capable d’aller combattre, parce que, sur l’autre flanc de la colline, l’ennemi avait un grand challenger.

24     Et ce qui est arrivé à cette époque-là arrive de même maintenant: quand le peuple de Dieu se met en marche pour commencer à faire quelque chose, l’ennemi a toujours un challenger, pour vous défier.

25     Et ce grand géant, presque préhistorique, se tenait là, avec des doigts de quatorze pouces [35,56 cm—N.D.T.]. Et il avait à la main une lance de la taille d’une aiguille de tisserand. Il défiait tout homme d’Israël de venir se battre avec lui.

26     C’est comme ça que l’ennemi agit, quand il pense qu’il a le dessus. Il ne le fera jamais quand il voit une foi victorieuse. Mais il le fera uniquement quand il sait qu’il a réussi à vous intimider. C’est là que l’Église ne peut pas bouger: quand il a l’aiguille de tisserand sur vous.

27     Mais, pendant que, dans les armées des Israélites, Saül, le grand guerrier… S’il y avait un homme dans toute l’armée qui était plus apte à pouvoir aller se battre avec ce géant, c’était Saül. Premièrement, il était un guerrier bien entraîné. Il connaissait toutes les manœuvres: comment esquiver les lances, et comment les parer avec son bouclier. Et en plus de ça, il dépassait d’une tête tous les hommes de son armée. Physiquement, il faisait plus le poids, et c’était un entraîneur d’hommes.

28     Mais, ce qui est arrivé dans le cas de Saül à l’époque, nous voyons que c’est la même chose aujourd’hui, parmi les gens qui fréquentent l’église. Certains d’entre eux, qui sont des érudits avec la plus solide formation, ont, quelquefois, la plus petite foi en Dieu. Ils ont doctorat en philosophie, et doctorat en théologie, et ils essaient de l’expliquer… Ou, ils essaient d’éviter le fait même de faire face à la Parole de Dieu, ils essaient d’y trouver une explication convaincante, qui va dans un autre sens. Et c’est vrai. Tout notre savoir, toute notre formation ne nous mettra jamais en position d’affronter l’ennemi. Il faut la foi en Dieu pour le faire, et rien que ça. Mais si nous remarquons, pendant que ce géant était là à se vanter. Ce grand théologien, dirait-on, se tenait là avec une solide formation, pour savoir comment se battre, mais il n’avait jamais eu aucune expérience avec Dieu.

29     Et c’est vraiment dommage, aujourd’hui, de voir des hommes et des femmes, qui ont vécu dans l’église, qui y ont été élevés, inscrits sur les registres dès la naissance, et qui connaissent bien la Bible, mais qui, pourtant, n’ont jamais témoigné d’une expérience avec Dieu. Ce dont nous avons besoin, c’est de revenir à une expérience qui touche vraiment le cœur, pour savoir en qui vous croyez. Non pas des écrits, mais le Dieu vivant et vrai, qui vit maintenant.

30     Et là, au milieu de tout ça, en retrait derrière les champs, Dieu avait un jeune garçon au teint rosé, du nom de David. Il gardait les brebis de son père—père. Et pendant qu’il gardait ses brebis, il avait eu des expériences. Et c’est son père qui l’a envoyé là-bas auprès des armées, pour apporter à ses frères des gâteaux de figues et des gâteaux de raisins. Et pendant qu’il était là-bas, il a vu ce grand géant s’avancer et se vanter haut et fort.

31     Or, le petit David ne faisait pas le poids du tout. D’abord, il n’était qu’un jeune garçon. Et puis, il était un garçon au teint rosé, ce qui veut dire que c’était un «gringalet», comme on l’appellerait. Et, il ne faisait pas le poids du tout. Il n’avait jamais tenu une épée dans sa main, peut-être qu’il n’avait jamais soulevé un bouclier, de sa vie. Il ne connaissait rien de la formation militaire.

32     Mais il y avait une chose qu’il connaissait bien. Il connaissait son Dieu. C’est ça l’essentiel. Il connaissait Celui en Qui il avait cru. Et alors, quand le géant a lancé son défi, David, il y avait une autre chose qu’il connaissait: ce qui était bien et ce qui était mal.

33     Parfois, nous qui fréquentons l’église, il semble que nous n’avons pas pour ainsi dire l’intelligence spirituelle qu’il faut pour faire la différence. Si nous l’avons, il n’y a pas de différence dans notre comportement.

34     Mais il savait ce qui était bien et ce qui était mal. Il savait que c’était mal pour ce Philistin de défier les armées du Dieu vivant. Alors. il a prononcé ces mots: «Vous n’allez pas me dire que vous allez laisser ce Philistin incirconcis se tenir là et défier les armées du Dieu vivant?» Quelle réprimande pour une armée bien entraînée!

35     Quelle réprimande aujourd’hui, qu’une petite lavandière, qui peut-être ne connaît pas son alphabet, mais elle peut se tenir en face d’un ecclésiastique bien formé, qui déclare que les jours des miracles sont passés, et elle va défier ses propos, en disant: «À un moment donné, j’étais estropiée, ou malade, et maintenant je suis guérie.» Peut-être qu’elle ne connaît pas tous les tenants et les aboutissants de la théologie, mais elle connaît Dieu. Après tout, c’est ça qui est exigé.

36     Et là, ce petit David au teint rosé, tout jeune, enveloppé de son petit manteau en peau de mouton, il s’est avancé devant ces gars-là, et il leur a fait honte. Il a dit: «Vous vous tenez là, l’armée bien entraînée du Dieu vivant, et vous laissez ce Philistin défier les armée de Dieu.» Il a dit: «J’irai le combattre moi-même.» Oh, j’aime cet esprit courageux de David.

37     Et Saül a essayé de l’instruire, et il lui a fait mettre une veste ecclésiastique, mais ça ne lui allait pas. Il a dit: «Débarrassez-moi de ça, je ne sais pas dire ‘ah-men’ comme vous. Et je ne connais pas non plus votre théologie. Laissez-moi y aller avec ce que j’ai expérimenté.»

38     Oh, un homme m’a dit, il y a quelque temps, il m’a dit: «Frère Branham, votre prédication est en vain, car la guérison Divine, ça n’existe pas.»

39     J’ai dit: «Ce qu’il y a, frère, c’est tout simplement que vous n’avez pas été là où nous, nous avons marché, voilà tout. En effet, vous arrivez vraiment trop tard pour nous dire ça maintenant. Nous l’avons déjà trouvée, et nous en avons témoigné dans le monde entier — le grand réveil de l’effusion du Saint-Esprit, pour produire des signes et des prodiges, pour accomplir la Parole de Dieu dans ces derniers jours.»

40     Et ce petit homme s’est débarrassé de ces vieux diplômes, il s’est avancé et il a dit: «Écoutez, voici pourquoi j’y vais. Je sais en Qui j’ai cru.»

41     Saül, de ça, il n’en savait rien, pourtant il allait à l’église tous les sabbats. Et peut-être qu’il pratiquait tous les actes religieux comme les autres, mais il n’avait jamais eu d’expérience.

42     Et qu’est-ce qui s’est passé? David a dit: «Quand je gardais les brebis de mon père, quand je marchais là-bas dans les verts pâturages et près des eaux paisibles, j’ai appris au sujet d’un Dieu qui a fait les cieux et la terre. Et j’étais responsable des quelques brebis de mon papa. Un ours est venu saisir l’une d’entre elles, et je l’ai tué. Puis, un lion est venu, a saisi un petit et s’est sauvé, et je l’ai jeté à terre avec ma fronde. Et quand il s’est relevé, je l’ai saisi par la barbe et je l’ai tué.» Il a dit: «Le Dieu qui a livré l’ours et le lion, à combien plus forte raison livrera-t-Il ce Philistin incirconcis entre mes mains.» Certainement, il savait de quoi il parlait. Il avait foi en Dieu. Il avait eu une expérience, d’avoir vu ce que Dieu allait faire, par conséquent il savait que cette expérience-là allait le mener à la victoire.

43     Oh, des années plus tard, quand il est devenu roi d’Israël. Ce n’est pas étonnant qu’il soit devenu roi, un guerrier comme celui-là. Quand il est devenu roi, il a eu une idée: «Je vais bâtir la maison de l’Éternel.» Et alors le prophète Nathan, ce soir-là, était sorti avec lui et s’était entretenu avec lui.

44     Le Seigneur est apparu à Nathan. Il a dit: «Va dire à Mon serviteur David: Je sais qu’il n’était qu’un petit gars au teint rosé. Je sais qu’il portait un manteau en peau de mouton. Mais Je l’ai retiré de ce pâturage, et Je l’ai établi chef sur Mon peuple, Je lui ai donné un nom semblable aux grands hommes de cette terre.» Oh, combien Dieu a vu cette sincérité de foi pour Le croire, fondée sur une expérience qui montrait qu’Il était le Dieu vivant.

45     C’était bien peu de chose pour Abraham, après qu’il avait tenu ferme, comme voyant Celui qui était invisible. Là, après avoir rencontré Dieu, et après avoir eu l’expérience de parler avec Dieu face à face, il pouvait appeler les choses qui n’étaient pas comme si elles étaient. En effet, il avait une expérience. Il avait parlé à Dieu face à face. C’est ça qu’il nous faut: une expérience personnelle avec le Dieu vivant.

46     Moïse, après quarante ans de formation religieuse auprès de sa mère, quarante ans avec le pouvoir militaire en main, pour savoir comment vaincre une nation, comment conquérir, et Dieu a mis quarante ans à sortir ça de lui. Mais une fois seul, là-bas dans le désert, un jour il s’est trouvé face à face avec Dieu dans un buisson ardent. Et, en cinq minutes, il était mieux équipé, après avoir parlé avec Dieu, qu’avec ce que les quatre-vingts ans d’instruction lui avaient apporté. Il avait été un lâche, qui était mort mille fois. Et après avoir rencontré Dieu, il aurait voulu avoir mille vies à donner pour Christ. Il était prêt à aller de l’avant. Rien ne pouvait l’arrêter, bien qu’il n’ait pas eu d’armée, bien que son instruction ne lui fut d’aucune utilité. Il ne pouvait pas combattre; il n’avait pas d’épée. Il n’avait pas de guerriers, pas de chars, pour le soutenir — d’après ce que le monde en savait. Mais il s’était trouvé face à face avec Dieu, par une expérience qui avait amené les Anges armés de toute l’Éternité à se tenir derrière lui. Et comme Moïse allait son chemin, avec sa femme assise à califourchon sur une espèce de vieux mulet, sa longue barbe qui pendait, je crois que des myriades de myriades d’Anges faisaient route avec lui sur ces routes poussiéreuses. Il avait une expérience.

47     Il v a eu la fois où, à Dothan, un jeune homme, serviteur d’un—d'un prophète, était descendu avec celui-ci à Dothan. Et pendant que le prophète dormait, la grande armée des Syriens était venue entourer, assiéger les grandes murailles de Dothan. Et quand il s’est réveille, le lendemain matin… Il n’avait jamais eu une expérience. Alors il a dit, en voyant cette grande armée, qui cherchait Élie, il a dit: «Oh, mon père, des armées entières se sont rassemblées et ont entouré ce lieu. Ils te cherchent.»

48     Ça n’a pas ébranlé ce vieux prophète du tout. Ç’aurait pu être le cancer, ç’aurait pu être la tuberculose, ç’aurait pu être une attaque, mais ça n’a pas ébranlé ce prophète. Il l’a regardé, et il a dit: «Fils, ceux qui sont avec nous sont en plus grand nombre que ceux qui sont avec eux.»
    Il a dit «Je ne peux voir que toi et moi.»

49     Il a dit «Ouvre ses yeux, ô Dieu, pour qu’il puisse voir. Donne-lui une expérience.» Et quand ses yeux se sont ouverts, il a regardé, et les montagnes étaient toutes pleines de chars, et de feu, et de chevaux de feu, tout autour de ce vieillard, ce saint prophète. Il a eu une expérience. Il n’y avait plus de doute dans sa pensée à ce moment-là.

50     Il y a eu Samson, qui, avec une mâchoire de mulet, a tué un millier de Philistins, parce qu’il avait eu une expérience: il était né de nouveau. Il avait eu une expérience: il était un naziréen, et le Dieu du Ciel était avec lui.

51     Il y a eu Philippe, qui avait vu Jésus, dans des expériences passées, et qui est allé trouver Nathanaël derrière la montagne. Et il a dit: «Viens voir Celui que nous avons trouvé, Jésus de Nazareth, fils de Joseph.»

52     Et cet homme, qui était très orthodoxe, a dit: «Mais, peut-il venir de Nazareth quelque chose de bon?»

53     Il a dit: «Viens et vois.» Pourquoi? Il avait été avec Jésus. Il savait qu’il y avait quelque chose dans cet Homme, qui était largement de taille à faire face à tout ce que le diable pouvait présenter. Oh, écoutez attentivement.

54     Et pendant qu’ils contournent la montagne, Philippe se met à parler, et Nathanaël converse avec lui. Et il lui dit: «Bon, quand tu arriveras là-bas… Je l’ai vu. Quand Pierre s’est approché, Il n’avait même pas (jamais) vu Pierre, de toute Sa vie. Mais quand il est arrivé là, Il a dit: ‘Tu t’appelles Simon, et tu es le fils de Jonas.’ Il savait son nom, et Il savait qui était son père.» Oh, lui, il ne pouvait pas croire ça. Mais Philippe avait été une fois avec Lui, alors il a su le convaincre, que c’était possible, qu’Il l’avait bien fait.

55     Alors, quand il s’est avancé jusque dans la Présence de Jésus de Nazareth, il en était alors venu à croire. Alors. quand Il l’a regardé. Il lui a dit. Il a dit: «Voici un Israélite. dans lequel il n’y a point de fraude.»
    Et il Lui a dit: «Rabbi, d’où me connais-Tu?»

56     Et Il a dit: «Avant que Philippe t’appelle, quand tu étais sous l’arbre, Je t’ai vu.»
    Or, ça l’a étonné. «Comment a-t-Il pu faire ça?»

57     Mais Philippe a su convaincre Nathanaël, que ça pouvait se faire, parce qu’il avait eu une expérience, d’avoir été avec Jésus.

58     Vous savez, il y a quelque chose, d’être avec Jésus, ça vous donne une expérience. D’être là où Il se trouve, de voir Son œuvre, alors ça vous donne la foi. Quand vous avez une expérience, ça produit la foi. La foi agit en fonction de votre expérience.

59     Maintenant, remarquez ceci, là, alors qu’il s’approche, eh bien, nous pouvons les voir se mettre à se parler l’un à l’autre, quand ils se sont approchés. Et Il s’est mis à lui dire ce qui se passait, et qui il était, d’où il venait, et tout à ce sujet. Et alors, aussitôt qu’il a eu l’expérience… Oh, que le Nom du Seigneur soit béni! Quand il a eu l’expérience, — qu’un miracle de Dieu s’était opéré sur lui, — alors il a pu tomber à Ses pieds et dire: «Rabbi, Tu es le Fils du Dieu vivant. Tu es le Roi d’Israël.» Mais il devait d’abord voir cela s’accomplir. Il pouvait avoir foi en Dieu, après que Dieu S’était manifesté. C’est comme ça que Dieu agit.

60     La femme au sujet de qui Frère Neville lisait ce soir, dans la Bible, elle était assise au puits, ou bien elle puisait de l’eau du puits. Elle était Samaritaine. On lui avait enseigné qu’il viendrait un Messie, qui ferait de grands signes et des prodiges. Elle en savait un peu là-dessus. Et quand ils ont plongé le sceau dans le puits, pour puiser de l’eau, Jésus a dit: «Apporte-Moi à boire.»

61     Elle a dit: «Mais, Tu n’as rien pour puiser. Et pourquoi me demandes-Tu à boire, étant donné que Tu es… D’abord, en tant que Samaritaine, nous n’avons pas de relations les uns avec les autres.»

62     Et ainsi de suite, la conversation s’est poursuivie. Au bout d’un moment, voici ce qui s’est passé, Il a trouvé où était son problème. Rappelez-vous, quand elle s’était présentée là, d’abord, c’était pour Le critiquer, car Il était Juif. Mais Il a dit: «Va chercher ton mari et viens ici.»
    Elle a dit: «Je n’ai pas de mari.»

63     Il a dit: «C’est vrai. Tu en as cinq, et celui que tu as maintenant n’est pas ton mari.»

64     Et très vite, aussitôt que ça s’est produit, elle a été intriguée dans sa pensée. Rappelez-vous, elle avait fréquenté une église froide et formaliste. Elle ne savait pas quoi faire. Elle a dit: «Eh bien. maintenant. Monsieur. je cois que Tu es prophète. Nous savons que, quand le Messie sera venu, Il nous dira ces choses.»

65     Il a dit: «Je Le suis, Moi qui te parle.» Oh, quelle expérience! «Je Le suis, Moi qui parle avec toi.»

66     Et qu’a-t-elle dit? Elle a couru dans la ville, avec une expérience dont elle avait été témoin, que Jésus était le Fils du Dieu vivant. Pourquoi? Elle avait vu une puissance œuvrer en Lui, qui avait accompli un miracle, qui lui avait dit qui elle était, et où se trouvait son péché, et où se trouvait son problème. Donc, elle pouvait courir et dire: «Vraiment, c’est le Fils de Dieu. Venez voir l’Homme qui m’a dit ce que j’ai fait. Ne serait-ce point le Messie?»

67     Maintenant, remarquez encore. Dans quelques instants… Il y avait une femme qui avait une perte de sang. Elle avait pleuré, et elle avait tout essayé pour se rétablir; elle n’y était pas arrivée. Elle s’est frayé un chemin à travers la foule et elle a touché le bord de Son vêtement, car elle croyait. Alors quoi? «La foi vient de ce qu’on entend, ce qu’on entend vient de la Parole de Dieu.» Elle s’est frayé un chemin, parce que la foi vient de ce qu’on entend. Elle a touché Son vêtement. Et elle a dit: «Avec ça je suis satisfaite. Je L’ai touché.» Et elle retourne dans la foule, en croyant dans son cœur que quelque chose se passerait. Oh, si seulement les gens aujourd’hui pouvaient saisir ça, croire!

68     Et quand ça s’est produit, Jésus s’est retourné et Il a dit «Qui M’a touché?»

69     Et Pierre a dit: «Tout le monde Te touche. Pourquoi dis-Tu: ‘Qui M’a touché?’»

70     Il a dit: «Mais Je me suis affaibli. Je suis si affaibli! De la vertu, de la force, est sortie de Moi. Je suis affaibli.»
    Et il a dit: «Eh bien, comment l’as-Tu su?»

71     Et Il a promené Ses regards sur la foule. Elle pensait qu’elle était cachée. Elle était tout au fond, cachée dans la foule. Et quand Jésus s’est retourné et l’a regardée, Il lui a dit quel était son problème, et qu’elle avait été guérie. C’est alors qu’elle a pu tomber à Ses pieds et tout confesser. Après avoir fait l’expérience de Sa grande puissance magnifique, qui lui a révélé qu’elle avait touché, non seulement Son vêtement à Lui, mais le vêtement de Celui qui vit pour toujours, le Dieu Tout-Puissant. Certainement que c’était ça.

72     Alors, il y a eu ces gens, le Jour de la Pentecôte, qui étaient craintifs, et ils étaient dans une chambre haute. Les portes étaient toutes fermées. Ils avaient peur des Juifs. Mais quand Dieu est venu, sous la forme du Saint-Esprit, et qu’Il a baptisé chaque personne de ce groupe, du baptême du Saint-Esprit et de Feu, c’est là qu’ils ont pu aller dans la rue. Et cet homme qui avait juré en Présence de Jésus, quelques jours auparavant, a pu dire: «Hommes Juifs, et vous qui séjournez à Jérusalem, sachez ceci et prêtez l’oreille à mes paroles: Ces gens ne sont pas ivres, comme vous le supposez, car c’est la troisième heure du jour, mais c’est ici ce qui a été dit par le prophète Joël.» Certainement, après qu’il avait eu une expérience! Avant de passer par l’expérience, il avait la foi pour y croire; mais après que l’expérience est venue, l’expérience a produit les résultats. Certainement que oui.

73     Or, ces gens à qui Jésus parlait, là, à propos de l’arbre. Maintenant, remarquez, un petit instant, maintenant, alors que nous terminons. Comme Il s’approchait du… sortait du temple un jour. Il est allé en courant vers un arbre, pour voir si on pouvait trouver quelque chose à manger sur cet arbre. Il n’y avait rien, parce que ce n’était pas la saison des figues. Comme Il n’avait rien pu trouver, Il a dit à l’arbre: «Que désormais personne ne mange de ton fruit. Que personne n’en mange.» Et le lendemain…

74     Ils n’avaient pas vu la moindre différence dans l’arbre à cet instant-là. Il n’y avait aucun résultat apparent, aucun résultat physique apparent. Maintenant, voici ce que je voudrais que vous saisissiez. Il n’y avait aucun résultat apparent. Mais qu’avait-Il dit? «Que personne ne mange de ton fruit.»

75     Et vingt-quatre heures plus tard, vers midi le lendemain, ils sont passés à côté du même arbre. Et là, ils ont remarqué que l’arbre avait commencé à sécher. Et Pierre a dit: «Regarde l’arbre que Tu as maudit; il sèche déjà depuis les racines.»

76     Maintenant, observez là ce que Jésus a dit, alors que nous terminons. «Ayez foi en Dieu.» Quoi? D’abord, Il leur avait montré Sa puissance. Il l’avait montrée sur un figuier, ce qu’Il pouvait faire. En effet, quand Il demandait quelque chose au Père, Il croyait qu’Il recevrait ce qu’Il demandait. Alors, Il leur a dit: «Vous, ayez foi en Dieu. Car Je vous le dis, si vous disiez à cette montagne: ‘Ôte-toi de là, transporte-toi et jette-toi dans la mer’, et si vous ne doutez pas en votre cœur, mais croyez que ce que vous dites arrive, ce que vous aurez dit vous sera fait.» Saisissez-vous? C’est ici, dans le lexique du grec original, vous voyez. «Croyez que ce que vous dites arrivera, ce que vous aurez dit vous sera accordé. Avez foi en Dieu. Croyez que ce que vous demandez, vous le recevez, croyez que c’est déjà fait, et ce que vous aurez dit vous sera accordé.»

77     Maintenant, au sujet de la «montagnes» à déplacer. Peut-être qu’un petit grain de sable a commencé à se déplacer. mais de toute façon, aux yeux de Dieu, c’était déjà fait. Si vous croyez, ce soir, que, peu importe ce qui ne va pas avec vous, si vous croyez, quand vous demandez à Dieu, que vous recevez ce que vous dites, ce que vous aurez dit vous sera accordé. Ayez foi en Dieu.

78     Mais d’abord, Dieu doit Se montrer à vous, vous prouver qu’Il—qu’«Il est toujours le même Seigneur Dieu. Il est toujours le même puissant Jéhovah. Or, Jésus a dit choses que Je fais. vous les ferez aussi.»

79     Maintenant, vous qui êtes ici, ce soir, au tabernacle, alors que nous allons commencer à former la ligne de prière, combien d’entre vous voudraient dire ceci: «Si je peux voir Jésus-Christ accomplir les mêmes miracles, et faire la même chose que ce qu’Il avait fait quand Il était ici sur terre, moi, dans mon cœur, j’accepterai Dieu, et je croirai que tout ce qui ne va pas chez moi, la chose se fera aussitôt que je demanderai à Dieu.» Le croirez-vous? Voulez-vous lever la main pour dire: «Ô Dieu, je croirai de tout…» Peu importe ce que c’est.

80     Or, il n’y a personne qui peut guérir. La guérison est un produit fini de Dieu. Si un homme vous dit qu’il peut vous guérir, s’il est médecin et qu’il vous dit qu’il peut vous guérir, il a tort. En effet, il n’y a qu’un seul guérisseur, c’est Dieu. Un médecin peut donner des médicaments. Il peut administrer un médicament dans une plaie, pour tuer les microbes qui s’y trouvent, pour qu’elle puisse guérir. Qu’est-ce qui arrive? Le médicament ne guérit pas. Le médicament empêche seulement les germes nuisibles d’entrer, tue les germes de maladies qui détruisent les germes utiles, qui vous tuent. Alors, la science travaille sur différents poisons, qu’ils introduisent dans votre système pour empoisonner certains microbes, sans que ça vous empoisonne. Voilà ce que fait la science. Voilà ce qu’est un médicament, c’est quelque chose qui va tuer un certain microbe, sans vous tuer, vous. Les antibiotiques, dans bien des cas, ça tue les deux, ainsi donc ils… C’est la raison pour laquelle ils sont difficiles à prendre, par exemple la pénicilline, qui, quelquefois, tue la personne.

81     Bon, un médecin peut enlever une obstruction. Il peut replacer un os, mais il ne peut pas guérir. Dieu est Celui qui opère la guérison. C’est Dieu qui produit le calcium. C’est Dieu qui produit la—la multiplication des cellules, pour reconstruire votre corps, là où on a enlevé l’appendice ou quelque chose comme ça. Dieu est le seul guérisseur.

82     Or, Jésus a promis qu’Il nous guérirait. «Si vous demandez quoi que ce soit en Mon Nom, Je le ferai. Quand vous priez, croyez que vous recevez ce que vous demandez, et vous le recevrez.» C’est à vous. Croyez que la chose s’accomplit maintenant.

83     Or, quand Il a déployé Ses grandes puissances sur terre, là, Il ne guérissait pas les gens avant que le Père Lui ait d’abord montré quoi faire. Jean 5.19. Il a dit: «Si tu peux le croire, tout est possible.» Et puis, dans Jean 5.19, Il a dit: «Je ne fais rien avant de l’avoir vu faire au Père premièrement. Tout ce que le Père Me montre, le Fils le fait pareillement.’» Combien savent que la Bible le dit? L’avez-vous déjà lu dans la Bible? [L’assemblée dit: «Amen.»—N.D.É.] Certainement.

84     Maintenant, quand Il a fait ça, pendant Son séjour ici sur terre… Il le faisait dans une ville; ils croyaient en Lui. Ils étaient guéris, par milliers. Il va dans une autre ville, Il le fait; ils croient. Il va dans Sa propre ville, l’endroit où Il a grandi; et quand Il a commencé à le faire, ils ont dit: «Qui est cet Homme? D’où Lui vient cette sagesse? Comment sait-Il accomplir ces choses? Nous Le connaissons.» Et la Bible dit qu’«Il n’avait pas pu faire beaucoup d’œuvres puissantes, à cause de leur incrédulité. Il n’avait pas pu faire beaucoup d’œuvres puissantes».

85     Maintenant, je prie, s’il y a un pécheur ici, ce soir, que quand vous verrez, s’Il veut bien le faire. Ici, c’est la ville où j’ai grandi, et c’est l’endroit le plus difficile où j’aie jamais combattu de ma vie. J’ai été chez les Hottentots en Afrique. J’ai été en Inde chez les vaudous, et tout le reste, et j’ai été défié par leurs sorciers et tout. Et je n’ai jamais eu à lutter pour faire agir l’Esprit de Dieu, comme je dois le faire dans ma propre ville, là où j’ai grandi. C’est tout à fait vrai. Ce n’est pas parce que les gens ne m’aiment pas, c’est parce que la Bible est vraie. «En vérité, en vérité, Je vous le dis, un prophète, si ce n’est dans son propre pays et dans sa propre région, il n’est pas sans honneur, si ce n’est dans ce lieu-là.» Il doit en être ainsi.
    Maintenant, courbons la tête un petit instant, pendant que nous prions.

86     Ô Seigneur béni, Toi qui as fait les cieux et la terre, qui les as créés de Ta propre main bénie, je Te prie, Seigneur, d’être bienveillant et miséricordieux envers nous, ce soir, en pardonnant nos péchés et nos transgressions. Je Te prie d’être bienveillant envers ceux qui sont malades et ceux qui sont dans le besoin. Accorde-le, Seigneur. Et s’il y a un péché parmi nous, ô Éternel Dieu, pardonne-le.

87     En effet, dans les quelques instants qui suivront, soit que Ta Parole sera tenue pour vraie, soit qu’Elle sera tenue pour fausse. Soit qu’Elle sera tenue pour vraie, soit qu’Elle est une erreur. Dieu est toujours Dieu, ou bien les Écritures ont tort. Et, Seigneur, ceci, nous le prêchons, nous le croyons, nous nous y tenons jusqu’à ce que vienne l’épreuve de force, Seigneur, jusqu’au point où il faut que quelque chose se passe. Il faut que… Ou bien Dieu doit prouver qu’Il est réel, ou bien les gens sont en droit de dire: «Je dois d’abord voir ça.»

88     Mais, Seigneur, les gens sont nés dans le péché, conçus dans l’iniquité, comme nous le sommes tous, venus au monde en disant des mensonges. Alors, nous savons, Seigneur, que le Dieu miséricordieux nous fera certainement miséricorde, et qu’Il nous aidera, Dieu bien-aimé. Nous prions ce soir pour chaque individu ici, que Ton Esprit repose sur eux, pardonnant nos péchés et notre mauvaise conduite. Et puissions-nous reconnaître le Seigneur Jésus comme notre Sauveur béni maintenant même. Et que Son Esprit soit bienveillant.

89     Maintenant, Père, il est écrit dans la Parole, c’est des lèvres de notre Seigneur et Sauveur béni, Lui-même, Ton Fils, qu’il a été dit ainsi: «Les choses que Je fais, vous, les ferez aussi. Celui qui croit en Moi fera aussi les œuvres que Je fais. Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus, mais vous, vous Me verrez, car Je serai avec vous, et en vous, jusqu’à la fin de l’âge.» Tu as fait la promesse que les enfants incrédules d’Adam ne seraient plus jamais capables de Te voir après que Tu aurais quitté la terre, mais que le croyant Te verrait dans la puissance et la démonstration, dans chaque génération. Nous le croyons, Seigneur.

90     Et nous croyons que nous vivons dans les derniers jours de la dispensation des nations, qu’elle va bientôt se terminer. Et Tu as ramené ces œuvres puissantes pour que les gens des nations soient sans excuse. Tu T’es fait photographier avec nous comme la grande Colonne de Feu qui avait conduit les enfants d’Israël. Et, oh, quel phénomène que celui-là, et de Te voir! Si ce n’était que la photo, si, nous pourrions dire: «Bon, ça pouvait être telle et telle chose, bien que le monde scientifique ait dit que c’était vrai.» Mais quand nous voyons l’Esprit descendre et se manifester, et faire les mêmes choses qu’Il avait faites, alors, nous sommes forcés de reconnaître qu’il s’agit là du Seigneur ressuscité.

91     Aide-nous, ce soir, Seigneur. Nous sommes un peuple en route vers l’Éternité. Nous avons courbé nos têtes vers la poussière d’où Tu nous as tirés, et où nous retournons rapidement. Ce petit moment de préparation est pour nos âmes. Sois bienveillant maintenant, Seigneur.

92     Et comme Ton serviteur se tient là, ô Dieu, avec… J’ai la foi pour croire que Dieu ne peut pas mentir, qu’Il tiendra Sa promesse. Il doit le faire, afin d’être Dieu.

93     Seigneur, comme je prends de l’âge, et je ne sais pas combien de temps encore je dois rester ici, je Te prie, ô Dieu, de me donner de grandes expériences, même plus grandes que ce qui a été fait, si c’est possible, afin que les gens puissent le savoir et en faire l’expérience, que la Parole vivante de Dieu est une partie de Dieu. Et que chaque personne soit sans excuse, ce soir, quand nous sortirons d’ici, si jamais ils Te tournaient le dos. Accorde-le. Sauve des âmes et guéris les malades. Car nous le demandons au Nom de Ton Enfant, le Seigneur Jésus. notre Sauveur béni. Amen.

94     Merci de votre attention. Je sais que je vous ai retenus un—un peu trop longtemps. J’aime tant cette bonne vieille Parole. J’Y suis né. Je veux mourir avec Elle. L’endroit où je voudrais partir, c’est ici même derrière l’estrade, j’aimerais m’en aller à la Maison pour rencontrer Dieu. Si j’avais vingt vies à vivre, ou cent vies, je voudrais que chacune d’elles soit donnée au Seigneur Jésus. Même si après, il n’y avait pas de Ciel où aller, je voudrais quand même servir le Seigneur Jésus, à cause de la paix et de la satisfaction que j’ai de savoir qu’Il vit. Et parce qu’Il vit, je peux vivre, moi aussi.

95     Maintenant, si je me tenais ici ce soir pour dire à ce petit groupe de gens que j’ai la puissance de guérir quelqu’un je… vous sauriez tout de suite, ou ceux qui connaissent la Bible le sauraient, que je suis en train de tromper les gens. Je n’ai pas de puissances pour guérir. Il n’y a pas non plus un homme au monde qui ait des puissances pour guérir. Ce n’est que par Christ et par votre foi dans l’œuvre terminée. Chaque pécheur peut être sauvé maintenant même, par… Pourquoi? parce que Jésus descend et vous sauve maintenant? Non. Parce qu’Il vous a sauvés quand Il est mort pour vous au Calvaire, c’était terminé, le plan entier du salut, et de votre guérison. C’est votre foi personnelle dans le Dieu vivant.

96     Bon, je me suis tenu avec le Coran dans une main, et la Bible dans l’autre, devant des centaines de milliers de mahométans, et j’ai dit: «L’un doit être vrai, et l’autre faux.»

97     Quoi que dise un homme, s’il ne peut pas confirmer ses dires, il ment. Et si Jésus-Christ a promis que son Église ferait la même chose que ce que Lui avait fait, et qu’Il ne le confirme pas, il y a quelque chose qui ne va pas: Il n’était pas le Fils de Dieu. Mais s’Il le confirme, alors le monde est sans excuse. C’est exact. Il est obligé de tenir Sa Parole.

98     Et vous Lui êtes obligés. Vous ne vous appartenez pas à vous-mêmes; Il est mort pour vous racheter. Et c’est vous qu’Il cherche, pour que vous reveniez à Celui qui vous a rachetés.

99     Si je le pouvais, ce soir, je guérirais chaque personne ici présente. Je n’ai pas de puissance pour le faire. Le seul moyen pour un ministre de le faire, c’est de prêcher la Parole. «La foi vient de ce qu’on entend la Parole.»

100     Et la Parole dit aussi qu’il y aura, dans les derniers jours, et tout au long de l’âge, de l’âge de l’Église, qu’«il y aura, premièrement des apôtres,» qui sont des missionnaires, «secondement des prophètes, ensuite des docteurs, et puis différents dons», qui seraient dans l’Église, pour manifester et montrer Sa Présence.

101     Or, ce que j’affirme, c’est ceci. S ‘Il y a des nouveaux venus ici, je ne reste pas à ma propre église assez longtemps pour savoir qui vient ici. Voici le petit tabernacle, vous visiteurs, où je… j’ai été élevé. mon premier et mon seul petit tabernacle. C’est dans cette ville-ci que j'ai vécu parmi les gens. Si vous êtes des nouveaux venus chez nous, demandez à quelqu’un dans cette ville, allez à la police, chez le maire de la ville, et chez n’importe qui, et voyez si jamais un Chrétien d’ici a déjà vu faillir une seule de ces visions. Ça ne peut pas faillir; c’est Dieu. Voyez? C’est Dieu.

102     Et juste là-bas sur la rivière, il y a bien, bien, bien des années, quand nous étions en train de baptiser, lors de mon premier petit réveil, là où cet Ange du Seigneur ici était descendu et s’était tenu suspendu au-dessus de l’endroit où nous étions. Et Il m’a dit: «Ce Message fera le tour du monde, Il amorcera un réveil qui se répandra dans le monde entier, et ce sera juste avant la Venue de Christ, la seconde fois.»

103     Et alors que le frère Davis, le docteur Roy Davis, beaucoup d’entre vous le connaissent, celui qui m’a ordonné dans l’église, dans l’église baptiste, alors qu’il disait que j’avais fait un cauchemar. Avec un niveau d’instruction de septième primaire, comment allais-je prêcher aux rois, aux potentats, et aux monarques, dans le monde entier? Je ne saurais vous le dire. Mais Dieu l’a dit, et je l’ai cru. Et Il m’a permis de vivre pour le voir, que ça s’est réalisé. Et un grand réveil maintenant, des feux de réveil sont en train de flamber sur chaque colline, partout dans le monde, dans l’attente de la Venue du Seigneur béni.

104     De grands précurseurs de ces choses! Il y a un grand message dans le monde aujourd’hui, de l’évangélisation, c’est Billy Graham, qui, comme Jean-Baptiste, travaille d’arrache-pied à ces choses, et il met la cognée à la racine de l’arbre, sans faire de miracles; Jean non plus n’en avait pas fait. Mais il prêchait la Parole.

105     Mais tout de suite après lui, le Seigneur Jésus est venu; pas un si grand prédicateur, mais Il faisait des signes et des prodiges, Il disait: «Si Je ne fais pas les œuvres de Mon Père, alors ne Me croyez pas. Mais si Je fais les œuvres, si vous ne Me croyez pas, croyez aux œuvres.» Puis Il a dit: «Je ne fais rien de Moi-même, mais seulement ce que Je vois aussi faire au Père.» Et qu’est-ce qu’Il a fait? Il a dit à la femme ses péchés. Il a dit à Philippe où il était, avant que Nathanaël… à Nathanaël où il était, avant que Philippe le trouve, sous un arbre, en train de prier. Il a dit à Pierre quel était son nom. Il a dit à la femme qui avait la perte de sang, quand elle avait touché Son vêtement, toutes ces choses.

106     Et Il a dit: «Ces œuvres que Je fais, vous les ferez aussi. Vous en ferez davantage, car Je m’en vais à Mon Père.» Une seule femme a touché Son vêtement, et Il a été affaibli. Il n’y avait personne d’autre qui avait touché, à ce que nous sachions. C’est tout ce que nous avons, la Bible est tout ce que nous avons, comme référence. Mais maintenant nous pouvons le voir se produire, maintes et maintes fois, par des pécheurs sauvés par la grâce. Pourquoi? Parce que Sa Parole a dit: «Vous en ferez davantage.» Or, Il est mort. Oui, mais Il est ressuscité, et Il est vivant ce soir.

107     Il a dit: «Je suis le Cep, vous êtes les sarments.» Le cep ne porte pas de fruit. Il émonde les sarments, et ce sont les sarments qui portent le fruit. Il n’a de mains que les miennes et les vôtres: Il n’a d’yeux que les miens et les vôtres, parce qu’Il est retourné à l’état Esprit.

108     La Colonne de Feu qui conduisait les enfants d’Israël. C’était l’Ange de l’Alliance, Jésus-Christ. La Bible le dit. Tout lecteur de la Bible le sait. Et Il a dit: «Je viens de Dieu. Je vais à Dieu.» Et Il est retourné à Dieu.

109     Vous dites: «Il est retourné à cette Colonne de Feu?» Absolument. «Est-ce que la Bible le dit?» Oui monsieur.

110     Paul, un peu après Sa résurrection, L’a rencontré sur le chemin de Damas. C’était cette même Lumière éclatante, qui a rendu Paul aveugle. Et personne ne L’avait vue, sauf Paul. C’était une réalité pour les uns, mais pas pour les autres.

111     Je sais, par une expérience, que ce même Seigneur Jésus est à moins de d-… deux pieds [60,96 cm—N.D.T.] de là où je me tiens maintenant même. C’est exact. Les visions viennent, et vous voyez ça.

112     Et Elle était si éclatante qu’Elle l’a rendu aveugle. Il a dit «Seigneur! Seigneur!»
    Il a dit «Pourquoi Me persécutes-tu, Paul?»
    Il a dit «Qui es-Tu, Seigneur?»
    Il a dit «Je suis Jésus», la Lumière.

113     Le voici, dans les derniers jours, produisant la même chose, les mêmes fruits. Un esprit rendra chaque fois témoignage de lui-même. S’Il veut bien le faire, ce soir, dans cette petite église, alors que vous vous tenez ici, avec les pieds et les jambes qui font mal! Je prie. Il suffirait qu’Il le fasse une fois. Une fois suffirait.

114     Nous sommes des gens qui avancent à tâtons dans l’obscurité. Nous voulons penser qu’il en est autrement, mais ce n’est pas le cas. Nous voyons ces choses. Jésus a dit, dans la Bible, ou la Bible dit de Lui, dit ceci: «Ils ont des yeux, mais ils ne voient pas; des oreilles. mais ils n’entendent pas. Malgré tant de miracles qu’Il avait faits, ils ne croyaient pas en Lui.» Voyez-vous ce que je veux dire? Réveillez-vous maintenant, vite.

115     Si le Seigneur Jésus accomplit ces choses, alors Il est le Christ, le même hier, aujourd’hui et éternellement. Puisse-t-Il l’accorder maintenant. S’Il le fait, je Lui serai reconnaissant. Alors que nous prions.

116     Seigneur Dieu, Créateur des cieux et de la terre, maintenant le reste est entre Tes mains, Seigneur. Voici le petit Message entrecoupé, apporté avec difficulté. Des gens qui ont l’esprit perturbé, qui sont debout, les pieds qui font mal, et des gens malades qui pleurent, et, c’est très difficile. Mais je prie, Seigneur, que, d’une manière quelconque, d’une manière ou d’une autre, Tu leur fasses parvenir ce petit Message: ces hommes qui ont la foi, qui croient que Tu as promis que tout est possible.

117     Et ceux qui ont touché le vêtement de notre Seigneur; le Nouveau Testament nous enseigne qu’«Il est toujours le Souverain Sacrificateur qui peut être touché par le sentiment de nos infirmités». Il peut encore parler. Il est toujours vivant. Et nous sommes Son cep… ou, Ses sarments, qui sont rattachés au Cep. Alors viens, Saint-Esprit, parle et donne-nous la Lumière. Donne-nous la guérison. Donne-nous le pardon de nos péchés, et fais de nous Ton peuple. Car nous demandons ceci au Nom de Jésus, et pour Sa gloire. Amen.

118     Je ne sais pas comment nous pourrions procéder pour faire tenir les malades ici. Nous ne pouvons pas en faire venir beaucoup à la fois. Voyons voir. Des cartes de prière, est-ce que vous en… Bon, il y a deux frères de plus qui viennent distribuer des cartes de prière, Gene et Leo. Ils ne sont pas arrivés. Aussi ils n’ont pas distribué beaucoup de cartes. Je crois que Billy avait… Combien? Il n’en avait que cinquante. Vous n’êtes pas obligés d’en avoir une. Évidemment, il n’y en a que quelques-unes, on les mêle, on peut en faire venir un petit nombre ici, jusque—jusqu’ici. Alors, c’était quoi? de un à cinquante? C’était de un à cinquante. Comment vont-ils faire? Ils viennent là et ils battent les cartes, les distribuent entre vous. [espace non enregistré sur la bande—N.D.É.]

119     …seulement pour vous parler, simplement pour contacter… Tenez, placez-vous de ce côté-ci, parce que je crois que la voix ne passe pas comme il faut dans ce petit microphone-ci. Si vous…

120     Si le Saint-Esprit révèle pourquoi vous êtes ici, comme à la femme au puits qui était venue au Seigneur Jésus. Et Jésus a dit: «Ces choses que Je fais, vous les ferez aussi.» Et s’Il révèle ce que vous attendez de Lui, ce que vous voulez, quel est votre problème, croiriez-vous que c’était Lui? Vous croiriez. Ils sauraient que ça ne pourrait venir que d’une puissance surnaturelle. Maintenant, si la dame…

121     Si je disais: «Madame, vous voulez—vous voulez de l’argent, parce que vous—vous êtes… vous avez une dette à régler. Vous en aurez.» Hum! Elle aurait le droit d’en douter. Si je disais: «Vous êtes malade, et vous allez vous rétablir.» Elle aurait le droit d’en douter. Elle ne saurait pas.

122     Mais si le Saint-Esprit retourne en arrière, et montre quelque chose qu’elle faisait, quelque chose? Ça, elle saura si c’était vrai ou pas. Elle sera à même d’en juger. Voyez? Ce sera à elle d’en juger. Voyez?
    «Vous dites que vous êtes en train de faire quoi, là, Frère Branham?»

123     Après avoir prêché comme ça, et dans mon église locale, ici, j’attends que cette onction descende, que ce Saint-Esprit béni donne l’onction. Et j’ai confiance qu’Il le fera, pour la gloire de Dieu.

124     Maintenant, que la dame… Elle est ici. Elle a la tête inclinée. Ses yeux sont fermés. Elle est en prière. Je veux que vous priiez pour ce que vous voulez obtenir. Que le Seigneur le révèle, et ce sera à vous d’en juger.

125     Cette femme, si l’auditoire peut encore entendre ma voix, elle souffre d’une nervosité extrême. Et je vois un médecin qui fait quelque chose. Il lui met un—un truc autour du bras. Et il dit qu’elle a de l’hypertension. C’est vrai. N’est-ce pas vrai, madame? [La sœur dit, en pleurant: «C’est vrai.» —N.D.É.] Maintenant, quelque chose…

126     Avez-vous entendu cette voix? Ce n’était pas moi. Je n’ai rien eu à voir là-dedans. Maintenant, plus je parlerais avec elle, plus il se passerait des choses. Regardez bien, là, nous allons encore lui parler. Je ne sais pas ce qu’Il a dit qui n’allait pas chez elle. S’ils… Ce que c’était, ce sera sur les bandes, là au fond, vous voyez. Mais, peu importe ce que c’était, c’était vrai.

127     Maintenant, posons encore un peu notre regard sur elle. [Frère Branham fait une pause. —N.D.É.] Oui, je la vois maintenant dans un état de nervosité. Et quelque chose ne va pas dans son sang. Et elle n’est pas de cette ville. Elle est de Louisville. Dernièrement, elle a été dans un hôpital, et c’était pour une pneumonie. Et son médecin lui dit qu’elle fait une rechute, et qu’elle doit encore retourner à l’hôpital. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR. C’est vrai.

128     Mais vous n’êtes pas obligée d’y retourner, madame. Votre foi vous a rétablie. Vous êtes—vous êtes guérie maintenant, au Nom du Seigneur Jésus. Maintenant, allez et soyez en bonne santé. Que le Seigneur vous bénisse.
    Est-ce que j’ai eu quoi que ce soit à voir là-dedans? Rien du tout.

129     Maintenant, voici une dame que je n’ai jamais vue de ma vie. Je suppose que nous sommes des inconnus l’un pour l’autre. N’est-ce pas? Vous m’avez vu, mais je ne vous ai probablement jamais vue. Vous avez probablement été à des réunions ou quelque part. Maintenant, si le Seigneur Jésus me faisait savoir ce pour quoi vous êtes ici, alors vous reconnaîtriez, puisque je ne vous connais pas, que j'ai un moyen qui me permet de le savoir. Il vous faudrait reconnaître que ça vient du surnaturel. Alors, à votre avis, ce serait quoi? La même chose que dit la Bible, que Jésus-Christ est le même hier et éternellement.

130     Est-ce que mon auditoire le croirait? [L’assemblée dit: «Amen.» —N.D.É.] Je lève la main. Pour autant que je sache, je n’ai jamais vu cette femme de ma vie. Voyez? Mais elle m’a vu…

131     Mais je ne sais pas ce pour quoi vous êtes ici. Je n’en sais rien. Je—je—je ne le sais vraiment pas, mais Dieu, Lui, le sait. Maintenant, si le Seigneur le révèle, amen. C’est tout ce qu’Il pourrait faire s’Il se tenait ici. Que ce soit pour une guérison ou pour quoi que ce soit d’autre, Il désire simplement que vous le croyiez, c’est tout. C’est pour manifester que Sa Parole est vraie. [Frère Branham fait une pause. —N.D.É.]
    Il s’est passé quelque chose dans l’auditoire, là. Ayez seulement la foi.

132     Maintenant il semble que… Maintenant si vous pouviez voir entre moi et la femme. Vous souffrez d’une faiblesse. Vous avez des moments de grande faiblesse. C’est exact. Vraiment une faiblesse extrême; nerveuse, faible. Mais ce n’est pas la raison de votre présence ici. Vous êtes ici pour quelqu’un d’autre, et c’est un homme. C’est votre mari. Il ne pouvait pas venir, parce qu’il souffre d’une maladie cardiaque grave, et de nervosité. Et vous n’êtes pas de cette ville. Vous êtes d’un endroit appelé Columbia. Columbia, dans le Kentucky. [La sœur dit: «C’est exact.» —N.D.É.] Vous vous appelez Lottie Goodin. Votre mari s’appelle Elmer. Rentrez chez vous, et trouvez la chose comme vous l’avez crue. Et que Dieu vous l’accorde, au Nom du Seigneur Jésus.
    Croyez seulement. Ayez la foi. Maintenant ne doutez pas. Croyez seulement.

133     Je suppose que nous sommes des inconnus l’un pour l’autre, monsieur? Maintenant, voici deux hommes. Tout comme Philippe, qui était allé trouver Nathanaël et l’avait amené au Seigneur. Je ne vous connais pas, et vous ne me connaissez pas. Mais Dieu nous connaît tous les deux. Vous êtes conscient qu’il se passe quelque chose en ce moment même. Voyez? De vous tenir devant un homme, vous ne ressentiriez pas ça, cette sensation humble et douce.

134     Maintenant, si seulement vous pouviez voir, il v a une Lumière qui se déplace, et qui se pose entre moi et cet homme. Maintenant il disparaît de devant moi. Et. il n’est pas ici pour lui-même. Il est ici pour quelqu’un d’autre, c’est un parent, un neveu. Et il est dans les forces armées, dans la marine. [Le frère dit: «Oui.» —N.D.É.] Mais il n’est pas loin d’ici. [«Non, monsieur.»] Il est à proximité d’un endroit où il y a beaucoup d’installations militaires. C’est un hôpital, et, c’est Fort Knox. [«Oui.»] Et il est aveugle. [«Oui.»] Par suite d’un—d’un coup de fusil. [«Oui.»] Et le médecin dit qu’il n’y a pas d’espoir pour lui. [«Oui.»] C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR. Croyez-vous? [«Oui, monsieur.»] Alors, qu’il en soit selon votre foi, mon frère. [«Gloire à Jésus!»] Et recevez, au Nom de notre Seigneur Jésus. Amen. [«Gloire à Dieu!»] Croyez-vous? [«Gloire à Dieu! Gloire…»] Que Dieu vous bénisse, mon cher frère. [«Loué soit le Nom de Jésus!»]
    C’est vous la personne suivante. Bonjour. [espace non enregistré sur la bande—N.D.É.]

135     Qu’Il est aimable, notre Sauveur béni, qu’Il—qu’Il est omniprésent, qu’Il est ce même Jésus qui s’est tenu en Galilée!

136     Un petit instant. Est-ce que c’est cet homme-là qui était sur l’estrade tout à l’heure? Lequel de ces hommes était-ce? Cet homme-là? Bien. Vous pouvez vous asseoir.

137     Il s’agit de cette dame ici au bout, avec le chapeau rouge. Oui. Vous êtes en train de prier pour un ami qui est alcoolique. C’est exact. Bien. Si vous pouvez le croire, vous pouvez le recevoir. Amen. Bien.

138     Croirez-vous? Je ne vous connais pas. Je ne vous ai jamais vue de ma vie. Nous sommes des inconnus l’un pour l’autre. Mais si le Seigneur Dieu du Ciel Se manifeste, dans Sa puissance, et révèle qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement, croirez-vous en Lui? [La sœur dit: «Oui, je crois en Lui.» —N.D.É.]

139     Voyons un peu, est-ce que c’est trois ou… personnes ou… Il y en a eu plus que ça qui sont passées, n’est-ce pas? Trois, c’est une confirmation, bien sûr. Mais, quoi qu’il en soit.

140     Vous êtes ici pour quelqu’un d’autre. C’est ça votre désir principal. Et c’est pour un homme. Et cet homme, c’est votre fils. Et il souffre d’une maladie de cœur. Et il y a eu quelque chose qui lui est arrivé. C’est une attaque. Et ça l’a partiellement paralysé. Et vous aussi, vous êtes malade. Vous souffrez de colite. C’est une affection intestinale. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR.

141     Et autre chose, je vois un messager qui va d’un endroit à l’autre. Non. C’est quelqu’un qui était venu ici au tabernacle, il y a quelque temps, et qui avait demandé qu’on prie pour vous, et le Seigneur vous avait guérie. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR. Si c’est vrai, levez les mains. Vous croyez que vous recevez ce que vous demandez? [La sœur dit: «Oui, je le crois.» —N.D.É.] Alors, qu’il vous soit fait, ma sœur, selon ce que le Seigneur Jésus a pourvu. Amen.
    Bonjour.

142     Est-ce que tout le monde croit? [L’assemblée dit: «Amen.» —N.D.É.] Vous croyez de tout votre cœur? Avez la foi, là. Qu’est-ce?

143     Il faut que je parle, là, une seconde, si vous me permettez: en effet, il y en a encore d’autres dont je dois m’occuper, et je veux juste me reposer un petit instant. Vous ne vous rendez pas compte de ce que ça vous fait. C’est pire que pri-… Bien sûr. Combien se rappellent que le grand prophète Daniel a eu une seule vision, et il a eu la tête troublée pendant plusieurs jours? Vous vous rappelez?» Bien sûr. Voyez? C’est seulement Sa grâce.

144     Maintenant vous, dans l’auditoire, qui n’êtes pas dans la ligne de prière, commencez donc à regarder par ici. Je… Vous dites: «Frère Branham, est-ce que ça servirait à quelque chose?» Bien sûr. Demandez simplement au Seigneur Jésus. Dites: «Père béni, laisse-moi toucher Ton vêtement. Et le seul moyen pour moi de savoir que Tu m’as touché, ou que Tu m’as entendu, c’est si Tu parles à travers les lèvres de cet homme et que Tu me dis ce que je demande, comme là-haut sur l’estrade. Je crois en Toi.» Vous qui n’avez pas de carte de prière maintenant, priez et croyez-le de cette manière-là. Ne doutez pas. Ayez seulement la foi.

145     Maintenant, est-ce la malade, Frère Neville? C’est la malade? [Frère Neville dit: «Oui, c’est elle.» —N.D.É.]

146     Je ne l’ai pas fait exprès, de vous laisser debout là. Mais c’est… Vous pouvez vous imaginer ce qui se passe. Sommes-nous des inconnus l’un pour l’autre? [La sœur dit: «Exact.» —N.D.É.] Nous le sommes. Maintenant, que ce soit une chose réglée. Cette femme m’est inconnue. Je ne la connais pas. Je ne l’ai jamais vue de ma vie. Et c’est la première fois que nous nous rencontrons. C’est exact. [«Exact.»] C’est la première fois que nous posons les yeux l’un sur l’autre. Et elle est simplement une femme, qui est venue ici sur l’estrade. Quelqu’un lui a donné une carte de prière, et elle est simplement venue ici sur l’estrade. C’est tout ce que je sais d’elle.

147     Mais le Seigneur Jésus peut le révéler. Et s’Il peut le révéler, alors Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. C’est exactement ce qu’Il a promis de faire. Et si cette promesse-là s’accomplit, Il accomplira chaque promesse qu’Il a faite. Et Il a promis de vous guérir si vous le croyiez. Voyez-vous ce que je veux dire maintenant? Ça ne peut pas faillir. Il faut qu’il en soit ainsi. Oh, béni soit Son Nom! Il ne peut tout simplement pas faillir.

148     Si le Seigneur Jésus me fait savoir ce qui s’est déjà passé dans votre vie, certainement qu’Il saura ce qui se passera dans votre vie. Ce sera à vous d’en juger.

149     Combien diront: «Je croirai de tout mon cœur, si cette femme lève les mains, que vous le faites tous les deux, pour dire que vous ne vous êtes jamais rencontrés avant, et que le Seigneur Jésus le révèle. Je croirai»? De—de tout votre cœur, le ferez-vous? [L’assemblée dit: «Amen.» —N.D.É.]

150     Dieu ne veut pas que nous soyons paresseux. Il veut que nous ayons la foi. Nous voici, devant la chaire, la Bible posée ici, et tous les deux, nous voici debout ici.

151     Cette dame souffre d’une nervosité extrême. C’est ça votre problème. Mais vous, ce que vous pensez, c’est que c’est quelque chose à l’estomac, qui vous donne des gaz dans l’estomac. C’est la nervosité qui fait ça. C’est exact. Et vous avez des problèmes avec votre cou, et avec vos épaules. En effet… Vous fréquentez l’église, et vous êtes Chrétienne. Et vous êtes pianiste de votre église. Et quand vous jouez du piano, cette douleur se fait sentir quand vous jouez du piano. C’est AINSI DIT L’ESPRIT. C’est vrai. [La sœur dit: «C’est vrai.» —N.D.É.] Et vous n’êtes pas de cette ville. [«Non.»] Mais vous êtes d’une ville au bord de la rivière. Et ce n’est pas Louisville. C’est Cincinnati. [«C’est vrai.»] Cincinnati, dans l’Ohio. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR.

152     Pouvez-vous voir cette ligne? La foi a touché, juste à ce moment-là, parce que son… Ce jeune homme assis juste là, avec les cheveux un peu ondulés, il a un lien avec vous. C’est vrai, jeune homme. Votre foi a touché quelque chose. Vous souffrez d’une hernie. C’est exact. Et vous venez aussi de Cincinnati. C’est vrai. Vous croyez?

153     Une petite dame a haussé les épaules, elle est assise juste ici, avec un chapeau rose, un châle autour d’elle. Elle a des problèmes avec ses yeux. C’est vrai. Elle aussi vient de Cincinnati. C’est vrai. Et je vais vous dire. Vous croyez que je suis le prophète de Dieu? Vous le croyez? Vous priez pour un mari qui s’est mis à boire. Avant il allait à l’église et il était Chrétien, mais il a rétrogradé, et maintenant il boit. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR. C’est vrai. Eh bien, levez la main si c’est vrai. Alors, très bien.

154     Cette petite dame, assise à côté de vous, là, souffre de nervosité. Elle aussi, elle vient de là-bas. Mais la chose dont vous avez besoin, plus que jamais… Vous fréquentez l’église, mais vous n’êtes pas encore devenue une vraie Chrétienne. C’est vrai. Voulez-vous L’accepter maintenant comme votre Sauveur personnel, étant donné qu’Il est là? Si oui, faites-Lui signe de la main. acceptez-Le maintenant. Que Dieu vous bénisse. Vos péchés sont pardonnés. Allez en paix. et votre nervosité est partie. Amen. Rentrez chez vous et soyez heureuse, au Nom du Seigneur.
    Croyez-vous? Tout est possible à ceux qui croient.

155     Maintenant j’ai senti une vibration, là-bas, au fond… pas une vibration, mais un esprit qui dit que je lis dans leurs pensées. Je ne fais pas ça. Faites attention, sinon c’est à vous que ça arrivera.

156     Tenez, cet homme-ci, mettez votre main sur la mienne, monsieur. Je ne vous regarderai même pas. Si le Seigneur Jésus me révèle quel est votre problème, accepterez-vous votre guérison, ou ce dont vous avez besoin? Le ferez-vous? Cet homme-ci: vous le ferez? [Le frère dit: «Oui.» —N.D.É.] Problèmes cardiaques. Maintenant, allez et soyez guéri. Que le Seigneur Jésus vous rétablisse. Si vous croyez de tout votre cœur, vous pouvez aller et être en bonne santé. Que Dieu vous bénisse.

157     Venez. Maintenant, cette dame ici. Cette femme a un esprit de mort sur elle, car elle a le cancer. Vous croyez que le Seigneur vous guérira, sœur? [La sœur dit: «Bien sûr, je le crois.» —N.D.É.]

158     Ô Dieu bien-aimé, qui as fait les cieux et la terre, cette pauvre petite femme a été prise dans les griffes du diable. Une ombre noire est suspendue près d’elle, mais nous défions ce démon. Au Nom du Seigneur Jésus, sors de cette femme. Et puisse-t-elle aller et être en bonne santé, par le Nom de Jésus-Christ. Amen.
    Que le Seigneur vous bénisse, sœur. Allez, et ne doutez en rien.

159     Si tu peux le croire! Croyez-vous? [L’assemblée dit: «Amen.» —N.D.É.] Ayez seulement la foi. La Bible dit: «Si tu peux le croire, tout est possible.» Mais c’est le seul moyen par lequel ça peut se faire.

160     Nous sommes des inconnus l’un pour l’autre, monsieur, mais le Seigneur nous connaît tous les deux. S’Il me révèle ce pour quoi vous êtes ici, le recevrez-vous? Vous avez des problèmes d’estomac.

161     Et autre chose, vous êtes un pécheur. Vous n’avez pas accepté le Seigneur comme votre Sauveur. Voulez-vous L’accepter comme votre Sauveur? Levez les mains vers Lui, acceptez-Le comme votre Sauveur, et je vous déclare, au Nom de Christ, guéri de vos problèmes d’estomac. Allez et ne péchez plus. Amen.
    Sois miséricordieux, Dieu vivant!

162     Vous croyez que Dieu vous guérit de ces problèmes cardiaques?» Alors allez là-bas et soyez guéri, au Nom du Seigneur Jésus.

163     Est-ce que la petite dame assise ici, avec un manteau noir, des lunettes, est-ce que vous avez une carte de prière, madame? Vous n’en avez pas? Vous avez des problèmes avec vos oreilles, vous voulez que je prie pour ça. Et vous avez aussi des problèmes d’intestins. Est-ce vrai? Très bien. C’est fini maintenant. Allez, croyez. Si tu peux le croire!

164     Vous voulez qu’on prie pour quelqu’un, n’est-ce pas? [Le frère dit: «Oui, monsieur.» —N.D.É.] Une sœur. [«Oui, monsieur.»] Dans un hôpital psychiatrique. [«Oui, monsieur.»]

165     Ô Dieu Éternel, envoie Ta bénédiction à cette personne, et puissent-ils être guéris. Accorde-le, ô Seigneur, car nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.
    Trouvez la chose comme vous l’avez crue, mon frère. Ne doutez pas.

166     Si tu peux le croire! Est-ce que vous croyez? [L’assemblée dit: «Amen.» —N.D.É.] Oh, quel moment glorieux ça pourrait être pour tous, si vous croyiez!

167     Il semble y avoir une Lumière autour de la femme qui est plutôt corpulente, qui me regarde, juste ici derrière. C’est la dame qui est dans la rangée. Cela s’éloigne d’elle, parce que cette dame vient d’être guérie. Mais la dame à côté a quelque chose, comme de la tension artérielle, de l’hypotension. Vous croyez que le Seigneur vous guérira, madame? Si tu peux le croire, tout est possible. Le croyez-vous, madame, celle qui regarde autour d’elle, là? En croyant de… Vous le croyez, de tout votre cœur? Oui. Vous l’acceptez? Très bien. Vous pouvez aller et être rétablie, au Nom du Seigneur Jésus.

168     L’homme assis juste ici, en train de prier. Vous voulez que je vous dise ce que vous êtes en train de dire? «Seigneur, guéris-moi de cette sinusite.» Très bien. Il le fait, au Nom du Seigneur Jésus, si tu peux le croire.

169     Vous croyez que Dieu va vous enlever cette maladie de cœur, que vous pourrez repartir pour être en bonne santé? [Le frère dit: «Oui.» —N.D.É.]

170     Ô Seigneur, envoie Ta miséricorde et Ta puissance, et bénis ce pauvre homme, Seigneur. Et rétablis-le, par le Nom de Jésus-Christ, je le demande. Amen.
    Croyez-le maintenant. Ne doutez pas. Tout est possible.

171     L’arthrite n’est pas une chose difficile à guérir, pour Dieu. Vous croyez qu’Il le fera?

172     Ô Seigneur, je Te prie, au Nom de Jésus, d’envoyer Ton Esprit sur cette chère femme et de la guérir complètement. Et puisse-t-elle rentrer chez elle dans la joie, et qu’elle soit rétablie, sans douter du tout, mais en croyant que la chose arrive maintenant même. Et elle recevra ce qu’elle aura cru. Nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.

173     Croyez-vous de tout votre cœur? Alors, vous pouvez recevoir ce que vous demandez.

174     Tout au fond, là-bas, au coin, il y a l’Ange du Seigneur qui se tient là, une Lumière. Si vous pouvez croire! Vous là-bas, à environ trois rangs du fond, de ce côté. D’après ce que je peux voir d’ici, c’est à peu près la deuxième personne dans la rangée: celle qui est en train de prier, là-bas au fond, qui a des problèmes intestinaux. Croyez-vous que Dieu va vous guérir? Très bien. Vous pouvez recevoir ce que vous demandez.

175     Imposez vos mains à cet homme qui est là à côté de vous. En effet, il est en train de prier, il souffre d’une affection des amygdales. Si vous croyez de tout votre cœur, vous pouvez recevoir ce que vous demandez. Amen.

176     Est-ce que vous croyez? [L’assemblée dit: «Amen.» —N.D.É.] Le Seigneur Jésus, juste à Son… en ce moment, peut rétablir parfaitement chacun de vous, si vous pouvez le croire. Le croyez-vous? [«Amen.»] Alors, imposez-vous les mains les uns aux autres un petit instant, et je vais vous montrer la gloire du Seigneur.

177     Maintenant, il y a soit Frère Woods, soit Billy, l’un des deux, qui me touche au dos, alors je sais qu’il est presque temps, là, ils ne vont plus me laisser debout encore très longtemps, parce que je suis à bout de forces.

178     J’ai dit, il y a quelques instants, que si Dieu venait et qu’Il Se manifestait, s’Il prouvait, par une expérience, qu’Il est le Seigneur Dieu, qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement, alors vous n’auriez aucune raison de douter; ceux de mon Message de ce soir non plus, aucun d’eux n’aurait pu douter, une fois qu’ils avaient vu la Présence de Dieu. Comment Philippe aurait-il pu douter? Comment Nathanaël aurait-il pu douter? Comment la femme qui avait la perte de sang aurait-elle pu? Elle ne pouvait pas douter. Elle L’avait touché, et Il lui avait révélé ce pour quoi elle L’avait touché.

179     Ne regardez pas aux dimensions de l’église ni à son aspect. Ne regardez pas à la petite assemblée, parce que nous sommes tous des gens ordinaires. Mais pensez au Seigneur béni, dont la Présence est ici, qui montre qu’Il est vivant. Croyez en Lui maintenant même, et vous pourrez recevoir tout ce que vous demandez et croyez. Maintenant, Il peut guérir, exactement de la même manière, ici même. Sa Présence… Vous êtes déjà guéris. Il n’y a qu’une seule chose qui vous empêche de le recevoir, c’est l’incrédulité. Débarrassez-vous de ça, maintenant même. Ne soyez plus incrédules; renoncez à ça, et acceptez le Seigneur Jésus comme votre guérisseur. Regardez bien ce qui se passera. Vous sortirez de ce bâtiment dans la joie, parce que vous êtes maintenant même en Présence du Seigneur Jésus. Non pas parce que vous êtes dans ce tabernacle, mais parce que Lui est venu nous visiter. Non pas parce que je suis le prédicateur, ou ce… ou mon Frère Neville, ou n’importe lequel de ces autres Chrétiens, ce n’est pas notre présence, mais c’est Sa Présence à Lui. Elle est infaillible. C’est la Bible. C’est la Vérité. Béni soit Son Nom!

180     Malgré ce qu’Il avait dit, «dans notre propre pays, parmi les gens de chez nous», la grâce a passé outre à ça, ce soir, parce que le temps est proche. La fin est proche. Il a promis que, quand ces choses commenceraient à arriver, le temps de la fin serait proche.

181     Croyez-le maintenant, pendant que je prie. La Bible dit: «La prière fervente a une grande efficacité.» Alors, prions, alors que vous priez les uns pour les autres, que vous vous imposez les mains les uns aux autres.

182     Seigneur, Tu as été notre retraite dans chaque génération. Tu as été notre refuge. Nous nous sommes longtemps attendus à Toi. Cette église protestante a longtemps brûlé de voir le jour où elle pourrait se tenir debout. Alors que ce petit groupe a été repoussé, mis à l’écart, parce qu’ils avaient refusé de se conformer à l’incrédulité des incroyants qui se sont mis sous un même joug. Et ceux-ci ont lancé leur défi, disant que ce petit Feu, qui avait commencé à descendre, il y a quelques années, finirait par s’éteindre. Mais, oh, nous sommes si contents d’avoir notre grand Capitaine, David, qui se tient au milieu de nous ce soir, et qui défie l’ennemi.

183     Ô Seigneur Dieu, nous adressons cette prière de la foi pour chaque personne ici présente. Qu’ils sachent, en ce moment précis, que Ta grande Présence est ici, pour envahir tout cet auditoire et guérir chaque personne. O grand Saint-Esprit, puisse chaque cœur tressaillir de joie en ce moment même, alors qu’Il les baptise dans la grande Présence du Saint-Esprit.

184     Oh, Satan, tu es vaincu. Sors de ce lieu et retire-toi des gens. Au Nom de Jésus-Christ, que chaque personne soit guérie.

185     Ô Dieu Éternel et béni, accorde ces choses, par le Nom de Jésus-Christ.

186     Que chaque personne qui croit qu’elle est guérie se lève et donne la louange à Dieu. Merci, et que le Seigneur Dieu vous bénisse! Frère Neville.

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