Les Expériences

Date: 52-0726 | La durée est de: 1 heure et 20 minutes | La traduction: Shp
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1          ...?... Tous les chrétiens nés de nouveau sont Ses représentants. Nous ne sommes plus de ce monde, mais nous sommes passés de la mort à la Vie, et nous sommes héritiers de Dieu, avec Christ, assis ensemble dans les lieux célestes en Jésus-Christ. N’est-ce pas merveilleux? Pensez-y, comme c’est merveilleux!

            Il est écrit: «...Ce sont des choses que l’oeil n’a point vues, que l’oreille n’a point entendues, et qui ne sont point montées au coeur de l’homme, des choses que Dieu a en réserve pour ceux qui L’aiment.» Et maintenant, je crois dans–dans la guérison de Jésus-Christ, je crois que Jésus-Christ guérit les malades. Croyez-vous cela? Il guérit–guérit les malades.

            Je viens de suivre un programme, ce n’est pas pour critiquer quelqu’un. Mais sur ma route, en venant ici cet après-midi, je suivais un docteur en théologie, l’un des plus brillants orateurs de l’Amérique, il parlait de la souffrance. Et il se peut que je sois dans l’erreur. Si je le suis, que Dieu me pardonne. Mais comment un personnage brillant comme lui peut-il s’embrouiller à ce point dans les Ecritures, après avoir enseigné pendant des années et des années dans de grandes écoles et des séminaires? Et il a dit: «La maladie est de Dieu, et que...» a-t-il dit, nous devrions accepter le rhumatisme, l’arthrite. Si Dieu nous les donne, nous devons simplement en témoigner et lancer de la poussière au visage du diable, et dire: ‘Je peux supporter et endurer cela, car Dieu a placé cela sur nous pour Sa gloire.’»

2          Hein! Je ne comprends pas cela. Je ne dis pas... Et je ne crois pas que ça soit raisonnable. Je ne crois pas que c’est... Ça, ce n’est pas l’Evangile de mon Seigneur Jésus-Christ. Et Dieu n’est pas l’Auteur de la maladie. Vous ne pouvez pas attribuer cela à mon Père. Il est venu pour nous guérir. C’est le diable qui nous rend malades. Absolument. Si c’était le cas, alors qu’en est-il de cette dame qui avait l’arthrite et qui était allée auprès de Jésus sur le–ce jour-là, le jour de sabbat, et Jésus lui a imposé les mains et l’a guérie? Et les gens ont dit: «C’était le sabbat», et ils ont trouvé à redire contre Lui. Il a dit: «Lequel d’entre vous, s’il a un animal, ne le détachera pas le jour du sabbat pour qu’il aille s’abreuver?» Il a dit: «Et à combien plus forte raison cette fille d’Israël qui a été liée par le diable pendant toutes ces années? (Pas par Dieu, par le diable.) devrait être délivrée le jour du sabbat?»

3          Et je vous le dis, si ce même homme, maintenant même, s’il tombait malade, très malade, et il irait chez un médecin; et si le médecin lui disait qu’il a l’appendicite, il irait en toute hâte à l’hôpital pour se faire opérer. Eh bien, alors si l’appendicite est une bénédiction, pourquoi aller faire enlever cela? Vous retranchez la bénédiction! Voyez-vous? Alors, si c’est vrai et que la science médicale dit quelque chose au sujet de la guérison  divine, qu’en est-il de cela? Si c’est la vérité, chaque hôpital au monde, chaque médecin, ce sont des antichrists qui travaillent contre Dieu. Eh bien, c’est une honte d’avoir un médecin. C’est une honte d’aller à l’hôpital. C’est une honte d’être guéri. Vous devriez continuer à être malade et mourir. Recevez ces maladies et mourez vite, ou restez là et souffrez avec, ou que sais-je encore. Oh! la la! je ne peux pas–je ne peux pas comprendre cela. Peut-être–peut-être–peut-être que c’est moi [qui suis dans l’erreur.]. Mais si c’est le cas, je–je ne crois pas que ce soit le cas, c’est tout. Je crois qu’il y a quelque–quelque chose de faux quelque part.

            Mais comment un brillant docteur peut-il prêcher un message, et laisser cela simplement là juste sur la ligne, et en arriver carrément là? C’est tout ce que Satan désire, c’est juste assez pour amener... Voyez-vous?

4          Le plus grand mensonge qu’il y a eu au monde renferme une bonne part de vérité. Lorsque Satan est venu vers Ève, il a dit, il lui a dit toute la vérité. Il a dit: «Eh bien, tes yeux s’ouvriront. Tu distingueras le bien du mal. Tu auras la connaissance comme Dieu. Tu n’en a pas maintenant, mais tu vas... c’est la vérité.» Et tout, sur toute la ligne, et ensuite il a dit: «Certainement, tu ne mourras pas.» Mais c’était un mensonge, parce que Dieu avait dit: «Vous allez mourir.»

            Et ensuite lorsque Jésus vint sur terre, ces maladies qu’Il avait guéries, alors Il travaillait contre son Père céleste. Et ensuite Il a donné la commission à Ses disciples et les a envoyés guérir les malades, ressusciter les morts, et purifier les lépreux. A ce moment-là, Il travaillait alors contre la volonté du Père. Et ensuite, les dernières Paroles qu’Il a prononcées étaient: «Imposez les mains aux malades, et ils seront guéris.», c’était donc contraire à la volonté du Père.

5          Alors, si Lui, si nous sommes guéris par Ses meurtrissures, Lui, alors le Père n’a rien à faire dans l’expiation. Fiou! Je ne sais pas comment vous allez vous y prendre. Mais cependant, ce sont–ce sont des gens intelligents. Que Dieu m’aide alors à être un fou. Voyez-vous?

            J’ai entendu un homme qui descendait la rue un jour, il portait un écriteau sur le devant, avec la mention: «Je suis fou de Christ.» Et sur le dos il était dit: «De qui êtes-vous fou?» La Bible... C’est ce que Paul a dit, vous savez, dans le–dans les Ecritures. Il était un fou à cause de Christ.

            Oui, je crois que la Parole de Dieu enseigne la guérison du corps et de l’âme. Non seulement cela, mais Dieu confirme Sa Parole par des miracles et des prodiges qui L’accompagnent. J’admets que Dieu permet parfois à Satan de nous châtier; ça c’est vrai. Mais lorsque ce châtiment est passé, vous revenez à Dieu, Dieu votre Père vous guérira. Et c’est vrai.

6          Et j’admets qu’il y a une maladie qui conduit à la mort. Et c’est pourquoi les dons prophétiques sont dans l’Eglise pour faire connaître ces choses. Mais de dire que notre Père, qu’un homme qui avait le rhumatisme, l’arthrite, puisse dire: «Oui, Seigneur. Je suis heureux d’avoir cela. Je suis heureux que Tu m’aies donné cela. J’accepte cela. J’aime cela. Je me glorifie dans la tribulation.» L’écharde dans la chair de Paul, mais ce n’était rien de plus qu’une maladie. Si ce n’était pas la guérison, il allait se rétablir, il a dit: «Un ange du diable pour me souffleter. Que signifie le mot «souffleter»? «Coup après coup». Voyez-vous? Et puis, Il l’a guéri; il s’est rétabli. Il–Il–Il l’a de nouveau guéri. Il est tombé malade. Et Il l’a guéri. Il est tombé malade, coup après coup. Il a dit: «Un ange de Satan», ce n’était pas une infirmité, telle qu’il voulait le dire, telle qu’il l’avait dit là, mais c’est la manière dont les gens essaient d’interpréter cela. Je laisserai un après-midi frère Baxter ou certains de ces docteurs vous expliquer cette écharde dans la chair.

7          Mais de toute façon, combien les gens brillants, voyez comment ils s’embrouillent avec cela. Et un pauvre malade assis là, en train de souffrir, pensera qu’il est en train de faire la volonté de Dieu, alors que la bénédiction est juste là à portée de sa main pour le guérir.

            J’aimerais lire quelques passages des Ecritures dans quelques instants. Tout d’abord, j’aimerais témoigner d’une expérience. Et ensuite, si c’est en ordre, frère Baxter m’a dit, il a dit: «Témoignez un tout petit peu ce soir ou quelque chose du genre.» Et si je désire le faire, c’est parce qu’il voulait que je–que je le fasse ainsi, parce qu’il était un  peu fatigué, et il voulait se reposer.

            J’aimerais relater une expérience, ensuite je vais lire le passage des Ecritures à la fin.

            Un jour, lorsque la chose la plus remarquable, celle que je pense être l’une des choses les plus remarquables qui soient jamais arrivées, c’était l’un de ces ministres fondamentalistes qui s’en était pris à moi et qui avait dit que j’étais un hypocrite, un démon et un imposteur et qu’on devait me chasser de la ville. Et il avait payé lui-même environ cinquante dollars de sa propre poche, pour mettre cela à la une d’un journal. Il a dit que j’étais en train de m’imposer comme étant un homme de Dieu, et que je ne valais rien, et que je devais être chassé de la ville. Et que c’est lui qui se chargerait de le faire.» C’était juste un jeune homme qui revenait du cimetière, et... Oui. De toute façon, c’est pareil, c’est un endroit mort, c’est exact. Ils apprennent la lecture, l’écriture, l’arithmétique, et certains d’entre eux n’en savent pas plus sur Dieu qu’un Hottentot n’en sait sur un chevalier égyptien. Eh bien, c’est la vérité; eh bien, ils sont en ordre s’ils sortent de là, et qu’ils sont sauvés par Dieu. Mais vous n’êtes pas obligé d’aller là-bas pour être sauvé.

            Paul disait que tout ce qu’Il avait connu, Il–Il a dû... Tout ce qu’il avait appris, il a dû oublier cela pour apprendre Jésus-Christ. Et c’est vrai.

8          Et je ne cherche pas à soutenir mon ignorance. Je dis simplement ce que dit la Bible. Pierre et Jacques passaient par la porte appelée la Belle, et là était couché un homme qui était infirme dès le sein de sa mère. Il a dit: «Je n’ai ni or ni argent, mais ce que j’ai, je te le donne. Au Nom de Jésus-Christ, lève-toi et marche!» Et Pierre a tenu cet homme, l’a fait lever et l’a tenu là jusqu’à ce que les os de ses chevilles se sont fortifiés. Il est entré dans le temple, sautant et glorifiant Dieu. Et la Bible dit: «C’était des hommes du peuple sans instruction.» Est-ce vrai? Nous avons appris que Pierre n’aurait même pas pu reconnaître son propre nom, s’il était écrit devant lui. Il n’aurait pas su ce que c’était. Mais il connaissait Jésus.

            Et je... C’est ce que je–j’aimerais que mes enfants connaissent. C’est ce que j’aimerais que les gens connaissent. Je pense que l’instruction, c’est merveilleux, aussi longtemps que vous n’êtes pas un intellectuel insensé (Voyez-vous? Oui.), vous n’avez pas assez de jugeote pour savoir comment gérer votre instruction. L’instruction, c’est très bien; c’est une très bonne chose, et nous en avons besoin. Dieu le sait. Mais nous avons plus besoin du salut que de l’instruction.

9          Si vous avez été avec moi en Afrique il y a quelques semaines, il y a quelques mois, il y  a des hommes assis ici maintenant, qui viennent droit de l’Afrique et qui savent que c’est la vérité. Lorsque je suis entré dans cette réunion là-bas et que j’ai vu ces Hottentots qui revenaient de là, ces gens illettrés, à qui ces missionnaires qui étaient allés là avaient essayé d’apprendre la lecture, l’écriture, l’arithmétique, cela a fait d’eux deux fois plus des enfants de l’enfer qu’ils ne l’étaient lorsqu’ils avaient commencé. Et tous ces païens qui sont entrés, et qui étaient censés être des chrétiens, portaient une idole aspergée de la boue, et complètement recouverte de sang, et ils étaient censés être des chrétiens.

            Le père de cet homme portait cela autrefois, vous savez, et étant poursuivi par un lion, alors il posa cela à terre, et récita une prière, puis alluma un petit feu, alors le lion s’enfuit. Evidemment, c’est le feu qui avait fait fuir le lion. Voyez-vous? Et alors, si cela ne marche pas, alors, il se retourne, et si... son... si le Dieu dont parle le missionnaire ne répond pas, alors il va essayer celui-là. Il porte d’abord ce dieu-là pour sa sécurité. Ça, ce n’est pas le christianisme. Mais lorsqu’ils ont vu la puissance de Dieu guérir un homme qui était né infirme, et faire qu’il se tienne debout, ils ont brisé leurs idoles par terre, et ils ont accepté Jésus-Christ comme leur Sauveur.

            Et les journaux ont écrit des articles disant qu’il y avait là de grands camions chargés des montres, des anneaux, et des armes à feu qu’ils avaient volés, qu’ils avaient sorti de leurs–là de leurs huttes et tout. Ils avaient ramené cela avec une véritable conversion.

            Je vous assure, Jésus-Christ envoie dans ce dernier âge un Message qui secoue les choses. «Ce n’est ni par la force ni par la puissance, mais c’est par Mon Esprit, dit l’Eternel.» C’est vrai. Très bien. Et je me suis tenu devant certains de ces docteurs en philosophie, qui avaient leurs doctorats en théologie, il y a quelques jours. Lorsque docteur Devis et beaucoup d’entre eux m’ont dit, ils ont dit: «Billy, rentre chez toi, tu as fait un cauchemar...»

10        J’ai dit: «Je n’apprécie pas cela.» J’ai dit: «Si vous en avez fini avec moi, si vous ne voulez plus de moi, ça ne dérange pas. Voici ma lettre de créance.» J’ai dit: «Je vais suivre Dieu, je vais Le laisser seul me conduire; je ne suis pas obligé de suivre l’Eglise baptiste.»

            Il a dit: «Je–je ne–ce n’est pas ce que je voulais dire, Frère Branham. Je–je–je pense que j’ai blessé tes sentiments.»

            J’ai dit: «Vous n’avez pas blessé mes sentiments du tout, mais lorsque vous me dites que c’était un cauchemar, alors que je me tenais là et j’ai parlé à un Ange face à face...»

            Il a dit: «Tu veux dire que tu vas faire le tour du monde, avec une instruction de l’école primaire, et gagner des milliers d’âmes à Christ?»

            J’ai dit: «C’est ce qu’Il a dit. Et c’est ce que je crois.» C’est juste.

            «Comment le feras-tu?»

            J’ai dit: «Pas plus que je ne sais comment Paul pouvait dire là sur le navire cette nuit-là, qu’il allait comparaître devant César. Mais il a dit: ‘Voici, un Ange de Dieu m’est apparu hier soir’, et Il a dit: «Ne crains point Saul, Paul, tu vas devoir comparaître devant César. Et Dieu m’a donné tous ceux qui naviguent avec moi.» Et il a dit: «Par conséquent, frères, ayez bon courage, car je crois en Dieu, il en sera exactement comme cela m’a été montré. Et je–je crois en Lui.» Et c’est vrai.

11        Et c’est ce qu’il nous faut ce soir, mon frère, ma soeur. Voilà le problème que nous avons, nous les Américains, nous nous assoyons tout simplement et nous nous posons des questions. Docteur Untel a dit telle chose. Savez-vous ce que cela me rappelle? Une grande morgue de l’entrepreneur des pompes funèbres, où on dépose un tas de cadavres, auxquels on injecte un certain fluide, pour les garder... pour s’assurer qu’ils ne reviendront plus à la vie. C’est... C’est le docteur Untel qui a dit: «C’était de la télépathie.» Celui-ci a dit: «C’est de la psychologie.» Celui-là a dit: «C’est telle chose.»

            Je suis tellement fatigué de la philosophie humaine. Je désire voir la véritable puissance de Dieu se manifester et agir parmi Son peuple, là où Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement, en train de se confirmer. Et c’est ce dont le monde a faim aujourd’hui.

            Lorsque je me suis tenu là à côté d’eux, j’ai dit: «Messieurs.»

            Ils ont dit: «Frère Branham, vous revenez à peine d’un voyage missionnaire.» Ils ont dit: «C’était très inquiétant lorsque nous avons lu dans les journaux que vous aviez eu trente mille convertis.»

12        J’ai dit: «Messieurs, pendant ces cinquante dernières années, vous avez envoyé des missionnaires là en Afrique, j’en ai rencontré beaucoup parmi eux qui sont là depuis longtemps. Certaines de ces jeunes filles et des jeunes gens là disaient qu’ils étaient des missionnaires.» Et je leur ai demandé: «D’où venez-vous?» Ils m’ont dit de quelle université ils étaient sortis. J’ai dit: «Combien d’âmes avez-vous gagnées à Christ?» ‘Aucune jusque-là.’ Ils roulaient là à bord d’une belle voiture, ils logeaient dans les meilleurs hôtels, et j’ai dit: ‘Aucune jusque-là?’ ‘Aucune.’ Au moment où les natifs faisaient la danse guerrière, après qu’ils étaient sortis des mines et tout, ils distribuaient quelques tracts.»

            Qu’est-ce qu’un natif connaît d’un tract? Il a besoin... Paul avait appris Jésus-Christ depuis longtemps, et il savait toujours qu’il faut la puissance pour convertir les païens. C’est juste. Et ils se promenaient là, tenant en main ces petits pamphlets. Et aussitôt qu’ils tournaient le dos, les natifs jetaient cela comme cela.

13        Et j’ai dit: «Vous avez envoyé des missionnaires là pendant cinquante ans; vous avez dépensé des millions de dollars.» Et j’ai dit: «Ce que vous traitez de fanatisme a gagné plus de gens à Christ en cinq minutes que tous les missionnaires que vous avez envoyés en cinquante ans.» Alléluia! Notre Dieu vit et règne. Il est un Dieu de puissance. Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Il est le Dieu qui ferma les cieux aux jours d’Elie. Il est le Dieu qui calma les eaux sur une puissante mer cette nuit-là. Il est Celui qui réveilla Son Fils d’entre les morts, après que Celui-ci eut passé trois jours dans la tombe. Il est omnipotent. Il vit et règne à jamais. Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Il sera toujours Dieu. Il aura toujours quelqu’un qui croira en Lui de cette manière aussi. Dieu n’est jamais resté sans un témoignage.

14        Et de voir certaines de ces gens qui ont plus d’instruction qu’ils ne savent qu’en faire, et qui sortent d’un séminaire, avec une espèce de doctorat en théologie, et une licence–un diplôme de licence, et ainsi de suite, et tout comme cela. Quelle pitié! Cela ne représente pas plus que ça [Frère Branham claque ses doigts.–N.D.E.] aux yeux de Dieu. Connaissez-vous Christ dans la puissance de Sa résurrection? Voilà la chose essentielle.

            Voyez-vous, il trouve une explication convaincante à ceci et une explication convaincante à cela. Et certaines de leurs explications collent bien, et ils disent que c’est juste. Et de voir comment cela est fermé et maquillé, et ensuite lorsqu’on arrive à la vérité fondamentale, ils renient cela. Cela me fait bouillonner, parce que je sais que Christ est mort dans ce but. Et c’est à l’usage que l’on reconnaît la qualité d’une chose. C’est juste. La voici. Cela se confirme soi-même. Il y a des millions, des milliers et des milliers de gens qui ont assisté à mes réunions, et qui peuvent produire des témoignages des médecins, et ainsi de suite, qu’ils seraient déjà dans la tombe, beaucoup d’entre eux sont inscrits sur le registre des décès, ils étaient supposés être morts du cancer depuis des années. Je peux montrer cela ce soir, pour attester qu’ils sont vivants, en bonne santé et forts. Et on ne retrouve aucune trace de cela. C’est Jésus-Christ le même hier, aujourd’hui et éternellement. Il a promis ces choses, et nous vivons en ces jours pour voir cela.

15        Ce soir-là, à Houston, lorsque ce jeune homme a mis cela dans le journal, le jour suivant, frère Bosworth, un des vieux soldats de Zion ici... Il m’a appelé. Aujourd’hui il se prépare à retourner en Afrique, il a environ soixante-dix ans et quelques, environ soixante-quinze ans, son coeur brûle de retourner en Afrique. Il désire y rentrer. Il a dit: «Oh! Frère Branham, les Américains sont aimables, a-t-il dit, mais ils ne veulent pas de Dieu. Eh bien, pourquoi leur prêcher cela maintes et maintes fois, et ils sont complètement embrouillés de toute façon, et ils ne savent plus quoi croire, alors que ces gens-là n’ont pas entendu Cela une seule fois. Je vais le leur apporter.» Et c’est aussi le désir de mon coeur, mes amis.

            Et à vous les chrétiens, qui êtes venus ce soir, ceux qui habitent ici dans la ville, la puissance de Jésus-Christ est en train de se mouvoir, il y a des sièges vides ici dans l’auditoire. «Ce qui arriva aux jours de Noé arrivera de même à l’avènement du Fils de l’homme.» Voyez? Les voilà; ils sont indifférents. On leur a tellement injecté de fluide d’embaumement qu’ils n’arrivent... Eh bien, c’est à cela qu’ils ont été prédestinés. Cela vous a offusqués, n’est-ce pas? Mais c’est la vérité. Je peux prouver cela par la Bible. Ces hommes sont prédestinés à être perdus.

16        Jude, vers le chap-... 4–le verset 4 de Jude, dit: «Les hommes d’autrefois, ordonnés d’avance à la condamnation, ont changé la grâce de notre Seigneur en dissolution.» C’est correct. Ils ont été ordonnés d’avance à cette condamnation, Dieu les a ordonnés d’avance à cela; c’est comme Pharaon, Judas Iscariot, et bon nombre d’entre eux. Ne foulez pas au pied la propriété de Dieu. Si Dieu frappe à la porte de votre coeur, soyez la personne la plus reconnaissante dans cette salle ce soir, de savoir que Dieu vous a accordé le privilège d’entrer dans Son Royaume, et qu’Il a frappé à la porte de votre coeur, et qu’Il vous a cherché. Vous auriez pu être l’une de ces personnes qui sont là dehors, qui sont hors du Royaume ce soir. Et là cet homme avec toute son érudition, frère Bosworth est venu et a dit: «Regardez, Frère Branham, ce qui est écrit dans le journal.» J’ai dit... Il a dit: «Ce type vous a défié. Il a fait tout...»

            J’ai dit: «Cela ne veut rien dire, Frère Bosworth.»

            Eh bien, le jour suivant, voici de nouveau le journal, encore un grand article. Il était dit que cela montrerait de quoi j’étais fait, que j’avais peur d’affronter la vérité, et d’affronter les réalités de la Bible de Dieu. Car il en est ainsi avec cette bande des saints exaltés.»

17        Ecoutez. J’ai parcouru les sept mers, et je n’ai jamais vu un saint exalté. Je n’en ai jamais vu un seul. J’ai vu des gens hurler et crier. J’en ai vu même qui allaient en désordre, qui allaient à l’excès, voire à l’extrême. Et cela éloigne les gens. Mais je préférerais plutôt avoir un petit incendie de forêt plutôt que de ne pas avoir de feu du tout. Oui. C’est juste. Mais le voici. Mais un saint exalté, je n’en ai jamais vu un seul. Je n’ai jamais entendu parler d’une église qui serait appelée «sainte exaltée», des gens qui se reconnaissaient comme étant  des saints exaltés. Je n’en ai encore jamais vu. Mais cet homme avait écrit cela dans le journal, le grand Houston Chronicle, vous savez, pour jouer au malin.

            Eh bien, frère Bosworth est venu le jour suivant; il a dit: «Frère Branham, faites-lui la réplique là-dessus.»

            J’ai dit: «Frère Bosworth, Dieu ne m’a jamais envoyé pour me disputer avec les gens. Il m’a envoyé pour prier pour les gens, pas–pas...»

18        Et il a dit: «Eh bien, Frère Branham, a-t-il dit, je comprends cela.» Mais il a dit: «Ecoutez, a-t-il dit, les gens ici vont penser que nous ne sommes qu’une bande de gens qui ne savent pas de quoi ils parlent devant le public. Et des milliers et des milliers de ces gens se sont rassemblés là à cet endroit-là.» Il a dit: «Ils sont supposés savoir ce qu’est la vérité.» Et il a dit... Frère Bosworth a grandi ici à Zion, sous le ministère du docteur Dowie, et–et ainsi de suite. Et il–il croyait cela. Et je crois qu’il est aujourd’hui l’un des plus grands enseignants de la guérison divine. Et il a dit: «Frère Branham, cela–cela ne devrait tout simplement pas se faire, a-t-il dit, devant le public.»

            J’ai dit: «Frère Bosworth, l’onction du Saint-Esprit est sur moi. Je n’ai pas le temps de me disputer. La Bible dit: ‘Laissez-les tranquilles. Si ces gens, un aveugle conduit un aveugle, ne tomberont-ils pas tous dans la fosse?» J’ai dit: «Laissez-les tranquilles. Dieu ne m’a jamais envoyé pour me disputer. Il m’a envoyé prier.»

            Et alors, il–il a dit: «Voulez-vous m’accorder le privilège de le faire?» Oh! j’ai apprécié cela. Cela me rappelle Caleb d’autrefois: «Laisse-moi m’emparer de cette ville.»

19        Et je me suis dit: «Cet homme, qui vient à peine de sortir d’un séminaire, là avec tous ses diplômes et tout, et ce vieillard, de soixante-dix ans et quelques, qui se tient là, et veut défier ce jeune homme dans un débat; ou plutôt, c’est ce jeune homme qui l’a défié; mais Lui voulait prendre l’Epée pour l’affronter afin de relever le défi.»J’ai dit: «Non, Frère Bosworth, je ne vous accorderai pas le privilège de le faire.» J’ai dit: «Parce que cela provoquerait tout simplement une dispute, et vous n’obtiendrez rien en vous disputant. Vous êtes comme la chouette de l’Irlandais, c’est simplement trop de bruit et de dispute pour rien.» J’ai dit: «Vous n’arriverez nulle part, et vous ne trouverez aucune  chouette du tout.» Et j’ai dit: «Le...»

            Il a dit: «Eh bien, si vous voulez juste m’accorder ce privilège, frère Branham, je vous promets que je ne vais pas me disputer.» Il a dit: «Je ne ferai aucune réplique; je serai un gentleman chrétien.» Et je l’ai regardé. Ses petits yeux se sont mis à briller, et juste... il désirait vraiment se lancer dans ce débat. Et j’ai dit: «Eh bien», j’ai jeté un coup d’oeil vers ma femme, et... et c’est à ce moment-là que je... Il m’avait poussé dans un défi pour aller au Sud–à Durban, en Afrique du Sud prier pour Florence Nightingale qui se mourait du cancer, la petite fille de la défunte Florence Nightingale, la fondatrice de la Croix-Rouge en Angleterre.

            Et  j’ai dit: «Frère Bosworth, Accordez-moi juste un petit moment pour prier.»

20        Il est sorti; quelques minutes après, il est revenu. Il a dit: «Qu’en dites-vous?» Il a dit: «Les journalistes attendent.» Bien sûr, ils me gardent loin des gens. Ce n’est pas que je n’aime pas être en contact avec les gens, j’aime être en contact avec les gens. J’aime les gens. Mais les gens...

            Parfois mes amis disent: «Frère Branham, voulez-vous venir ici à la réunion, voulez-vous avoir cette petite visite de courtoisie?» J’aimerais bien le faire. Je le veux bien. Mais écoutez, Dieu m’a dit dès le départ, de choisir si je veux être un serviteur de Dieu, ou un serviteur de l’homme, je dois me tenir loin du public, et être en contact avec Dieu, pour que je puisse servir Dieu. Je sers les hommes, en servant Dieu. Et j’aime aller à différents endroits, et voir les gens pour leur parler et tout, mais le Saint-Esprit ne me permettra pas de le faire.

21        Maintenant, je ne dis pas que tous les prédicateurs doivent être ainsi. Je suis né pour être un naziréen, bien sûr, et c’est donc un peu différent. Et ainsi, il y a bien des choses que je fais dans ma vie, que je ne demanderais pas à d’autres personnes de faire. Je ne dirais pas qu’ils doivent faire cela pour être des chrétiens, parce que c’était un... complètement différent.

            Et beaucoup parmi vous comprennent cela, n’est-ce pas? Voyez? C’est juste... C’est juste pour moi– ou c’est pour moi, les choses que je dois faire, et tout, la manière dont je dois vivre, et les choses que je dois faire. Il s’agit d’une naissance naziréenne. Et ainsi nous–nous ne... Ce n’est pas... Vous ne pouvez pas enseigner à tout le monde d’être comme cela. Voyez? Mais je dis cela pour ce qui me concerne, personnellement.

            Et alors finalement, lorsqu’il est revenu, j’ai dit: «Très bien, frère Bosworth.» Ils n’ont pas permis aux reporters d’entrer là où j’étais. J’ai dit: «Si vous voulez le faire et que vous me promettiez que vous n’allez pas vous disputer...» Eh bien, beaucoup d’amis de Bosworth sont assis ici, et vous le connaissez très bien. Et alors, je...

            Et il a dit: «Je vous promets, Frère Branham, que je ne me disputerai pas du tout.»

            J’ai dit: «Ça va. C’est bien. Allez-y.»

            Alors, il a directement dévalé les marches, comme un petit garçon qui tient son premier jouet. Il a couru là et il a parlé aux reporters, et il leur a dit: «Ecoutez, frère Branham ne–ne fera pas cela. Mais, a-t-il dit, je vais le faire, moi.» Il a dit: «Je vais relever ce défi.»

            Et ainsi donc, évidemment, le Houston Chronicle, vous savez comment sont ces journaux, ils avaient écrit de grands titres le jour suivant: «Ça va barder dans le monde ecclésiastique», vous savez, ou quelque chose de ce genre. Je pense que c’est ce qu’ils étaient censés faire, alors cela a été publié partout.

22        Mais ce qui m’a fait réfléchir à ce moment-là, mes amis, et de savoir que le–l’Eglise de Dieu née de nouveau est prête, écoutez. Quelle est la chose la plus glorieuse aujourd’hui? Est-ce les disputes, le problème que le–que les gens nés de nouveau ont entre eux, je veux dire ceux qui sont réellement nés de nouveau?

            Certains ont dit: «Eh bien, j’étais–j’avais fait ceci de cette manière. Je–je fais ceci de cette manière. Je–je... Le Seigneur veut que je fasse ceci.» C’est très bien, aussi longtemps que vous vous reconnaissez comme frères et soeurs, laissez tomber le reste. Et ensuite, ce n’est pas la manière dont vous récitez votre prière, ou ce que vous faites, cela n’a rien à faire avec la chose. C’est votre coeur vis-à-vis de Dieu, c’est ce qui fait cela.

23        Et alors, ce jour-là, ce journal-là, bien sûr, Le Houston Chronicle paraît sur la presse associée, et cela a été publié partout. Et ce qui m’a fait du bien, c’était que ce jour-là, de l’est, de l’ouest, du nord, du sud, des trains spéciaux, des avions ont parcouru le pays, amenant les gens à la rescousse.

            Qu’était-ce? Les gens, il y avait... C’étaient des trinitaires, des unitaires, des Jésus seul ou les gens des Assemblées de Dieu ou tous les autres, les gens de la pluie des derniers jours, ou tout ce qu’ils voulaient être. Des nazaréens, des pèlerins de la sainteté, quelle que soit la dénomination, cela leur importait peu. Les–les principes de Jésus-Christ étaient en jeu, et ils s’étaient rassemblés à tel point que des milliers de gens ont rempli ce grand terrain de course, ce grand endroit, ou le–le stade Sam Houston, à tel point qu’ils remplissaient le terrain là où le grand spectacle de rodéo se produit et tout par là, les galeries et partout. Ils ont dit... [Espace vide sur la bande–N.D.E.] c’est bien. Très bien.

24        Eh bien, et dans cette grande ruée qu’il y avait là, ce soir-là, ces gens sont entrés venant de partout, ils s’étaient alignés et avaient rempli l’endroit en question. J’ai dit: «Je n’irai pas là-bas.» Je ne voulais pas y aller, parce que je ne voulais pas entendre un débat. Vous n’arriverez nulle part lorsque vous faites des débats. Vous pouvez tout aussi bien laisser cela tranquille. Alors je–j’ai dit: «Je ne vais pas y aller.» Eh bien, très bien, c’était OK.

            Et pendant tout ce temps, on apprêtait les services. Je ne pouvais tout simplement pas rester chez moi. C’est tout. Je devais simplement aller. Et j’ai dit à ma femme; j’ai dit: «Je me rends là-bas.» Et elle est assise ici dans la salle ce soir, elle et la petite fille.

            Et alors, nous sommes descendus ensemble, et nous avons pris le... et mon frère Howard m’a accompagné, il était ici avec moi la dernière fois que j’étais à Zion. Et alors, il a dit: «Maintenant, Bill, tu dois te tenir tranquille.»

            Et j’ai dit: «Bien, assurément.»

25        Alors nous sommes montés au balcon numéro 30–au siège numéro 30 là-haut, là très haut. Je me suis assis là-haut. Personne ne me connaissait. J’avais relevé mon manteau comme ceci. Et nous sommes montés là-haut, et nous nous sommes installés.

            Eh bien, je suivais ça, on apprêtait tous les modérateurs et tout. Et je pense que c’était Cy Ramsar qui chantait, qui conduisait les chants. Donc, juste à la fin (Cy était arrivé là, et–et il connaissait monsieur Richey, et tant d’autres. Ils lui ont donc demandé de conduire les chants.), alors, juste à la fin, il a dit: «Maintenant, l’événement de la soirée, la discussion va bientôt commencer; mais, a-t-il dit, j’ai lu un article dans vos journaux ici l’autre jour.» Il a dit: «J’ai lu là-dedans que William Branham devrait être chassé de la ville.» Il a continué, disant: «Vous les habitants de Houston, vous qui vous dites des chrétiens, vous devriez consacrer plus de votre temps à essayer de chasser de cette ville les contrebandiers d’alcool plutôt que des personnes pieuses comme lui, Houston se porterait mieux.»

26        Et je vous dis, une clameur est montée, de tous côtés, des milliers de gens qui étaient là. Je–j’ai alors compris que quelque chose s’était produit. Je–je me suis simplement tenu tranquille. Alors, ce monsieur... Le–le prédicateur baptiste, il ne voulait pas... Il ne permettait pas... il ne voulait pas monter le premier. Il voulait être la dernière personne à monter afin qu’il puisse balayer les arguments de monsieur Bosworth. Alors ils ont dit: «Très bien.» Alors, ils ont finalement connu un petit problème. Alors, monsieur Bosworth s’est levé, ce valeureux vieux soldat de la croix s’est tenu là droit et robuste au possible. Il s’est tenu là et a dit: «Nous ne sommes pas ici ce soir pour faire des histoires ou pour faire des débats.» Il a dit: «Nous sommes ici ce soir pour discuter, ou pour venir plaider ensemble, a-t-il dit, sur les Paroles de Dieu.» Il a dit: «J’ai six cents différentes déclarations concernant Jésus-Christ aujourd’hui, et Son attitude envers les malades. Son–Son attitude–attitude envers les malades est toujours la même aujourd’hui qu’elle était au jour où Il a marché sur le rivage de la Galilée. Je les ai écrites ici sur un bout de papier. Et si monsieur Best peut prendre n’importe lequel de ces passages et réfuter cela par les Ecritures, je vais descendre de l’estrade et abandonner le débat.» Fiou! Quelle déclaration! Monsieur Best a dit: «Allez-y, je m’en occuperai lorsque je monterai là.»

27        Il a dit: «Monsieur Best, j’aimerais vous poser une question. Si vous me répondez par oui ou non, quelle que soit la manière dont vous me répondrez, à ce moment-là la discussion sera terminée.» Il a dit: «Les Noms rédempteurs de Jéhovah s’appliquaient-ils à Jésus, oui ou non?» Je me suis affaissé. Je me suis dit: «Oh! la la! Ça y est.» Je n’y avais jamais pensé de ma vie.

            Mais ce vieux Caleb qui se tenait là, oint... Voyez-vous? C’était différent de l’expérience qu’avait cet homme qui était assis là, sorti de la lecture, de l’écriture, de l’arithmétique. Il n’avait jamais pensé à ces choses.

            Il a dit: «Les Noms rédempteurs de Jéhovah s’appliquent-ils à Jésus, oui ou non?» Il a dit: «Répondez-moi par oui ou non, et je vais m’asseoir.» Celui-ci a dit: «Allez-y, je m’en occuperai.» Il a dit: «Je vous pose une question, monsieur.» Le modérateur lui avait accordé la parole. Il a dit: «Je vous pose une question, montez ici à l’estrade, dites oui ou non, et je vais m’asseoir.» Certainement, il ne pouvait pas dire oui ou non. Il ne pouvait pas le dire. Il était lié juste là, avant même qu’il ait commencé. «Eh bien, a-t-il dit, monsieur Best, je suis très surpris.» Il a dit: «C’est l’un des plus faibles arguments que j’ai là-dessus, et vous n’arrivez pas à y répondre, qu’allez-vous faire des autres?» Voilà. Il a dit: «Ça, c’est mon plus faible argument. Je n’ai fait que commencer avec cela.»

28        Mais s’il disait: «Non», alors, Il n’était pas...S’il–s’il disait: «Non», alors, Il n’était pas Jéhovah-Jiré, le Sacrifice auquel Dieu avait pourvu. Il est Jéhovah... s’Il n’est pas... les Noms rédempteurs de Jéhovah, s’ils ne s’appliquent pas à Jésus et ne sont pas accomplis en Lui, alors, Il n’est pas l’Agneau auquel Dieu avait pourvu, et vous demeurez dans vos péchés, et Lui était un imposteur.

            Et s’Il est Jéhovah-Jiré, Il est aussi Jéhovah-Rapha, parce que vous ne pouvez pas séparer ces noms expiatoires, ou ces–ces Noms rédempteurs; en effet, que tout cela est compris dans la rédemption. Et s’il est Jéhovah-Jiré, alors Il est Jéhovah-Rapha, et «Rapha» c’est la même chose que «Jiré»; Il est donc le Guérisseur, le même hier, aujourd’hui et éternellement. Cela régla la question. Oh! la la!

            Il a dit: «Qu’allez-vous dire, monsieur Best?»

            Il a dit: «Je–je–je vais... Je–je–je–je vais...»

            Il a dit: «Venez ici et dites cela...?...»

29        Lorsqu’il est monté sur l’estrade, il s’est mis à taper du pied sans cesse; il s’est levé, et a giflé le prédicateur. Alors, lorsqu’il est descendu de là, il est remonté, et lorsque son temps pour monter sur l’estrade est arrivé, il a prêché un bon sermon campbellite. J’ai grandi dans une Eglise baptiste. Je sais ce que c’est la doctrine baptiste. Je suis censé le savoir. Très bien.

            Et il n’avait absolument pas prêché... divine. Les baptistes croient dans la guérison divine, et dans le fait de prier pour les malades. C’est l’exacte vérité. Mais il... Il a prêché en reniant même la puissance de Christ, et il a dit que même Lazare était de nouveau mort. Il a dit: «La guérison divine s’applique à 1 Corinthiens 15, lorsque ce corps mortel revêtira l’immortalité.»

            Pourquoi aurons-nous donc besoin de la guérison divine, alors que nous serons immortels? Voyez? Telle était donc la situation. Juste au moment où il a dit cela, et tout le monde s’est mis à se moquer de lui. Il a dit: «Ce n’est qu’une bande des saints exaltés idiots comme vous qui êtes les seuls à croire des choses pareilles.» Il a dit: «Un vrai baptiste ne peut pas croire quelque chose de pareil.» Frère Bosworth a dit: «Un instant, frère.»

30        Il a dit: «J’aimerais demander à cette assemblée ce soir, combien parmi vous... [Espace vide sur la bande–N.D.E.] Seulement vous qui êtes des baptistes et qui avez fait longtemps dans l’Eglise baptiste, c’est à vous seuls que je demande de vous tenir debout, pendant que nous sommes... maintenant. Et trois cents personnes  se sont tenues debout. Il a dit: «Qu’en dites-vous, monsieur Best?» Il a dit: «Oh! c’est de la foutaise, ces gens peuvent témoigner de n’importe quoi; cela ne rend pas la chose vraie.»Il a dit: «Vous n’arrivez pas à prouver cela par les Ecritures, et voici la preuve.» Voyez-vous? Et ainsi donc, monsieur Richey s’est levé d’un bond. Il est juste comme une petite mouche, de toute façon, vous savez. [Frère Branham fait claquer ses doigts une fois.–N.D.E.] Il a dit: «Puis-je dire un mot?» Et finalement, le modérateur lui a accordé la parole. Il a dit: «Qu’a fait la Conférence des Baptistes du Sud, et vous les hommes qui êtes assis là, sur cette première rangée, a-t-il dit, est-ce que la Conférence des Baptistes du Sud... c’est ça leur attitude envers Jésus-Christ, le Guérisseur? Est-ce vous qui avez envoyé cet homme par ici?»Suivez bien. Il y avait des milliers de baptistes qui étaient assis là. Personne n’a bougé. [Frère Branham fait claquer les doigts une fois.] Richard leur a encore posé la question.

31        Il était aussi un garçon  de Zion, vous savez. Son père était le maire de cette ville. Voyez-vous? C’est lui qui était resté à l’extérieur, et qui avait dit: «Mort, tiens-toi tranquille, jusqu’à ce que je prêche ce sermon.» Et la mort l’a écouté  jusqu’à ce qu’il a fini de prêcher son sermon, et il est tombé dans les bras de son fils et il est mort: monsieur Richey, effectivement.

            Il a dit: «J’aimerais poser cette question.» Et alors le–le président,  ou l’un de ces baptistes, a dit: «Il est venu de son propre chef. Ça n’engage que lui seul. Ce n’est pas la Conférence Baptiste qui l’a envoyé, mais il est venu de son propre chef.»

            Il a dit: «C’est tout ce que je voulais savoir.» Il s’est assis.

32        Ensuite monsieur Best a dit, monsieur Best s’est levé et a dit: «Que ce saint exalté, que ce guérisseur divin approche. Qu’il accomplisse un miracle. Que je le voie. Que je voie ici un de ses patients qu’il hypnotise, qu’on l’examine d’ici un an. Que je voie cela. Que je voie cela. Amenez-le. Que je le voie accomplir un miracle.»

            Monsieur Bosworth a dit: «Il est ici ce soir, vous êtes le bienvenu à n’importe quel moment.» Voyez-vous? Il a dit: «De toute façon, frère Branham ne prétend pas être un guérisseur divin, a-t-il dit, jamais.» Il a dit: «Je crois que sa littérature est publiée dans plusieurs différentes langues. Il a parlé directement, ou indirectement à des millions de gens.» Il a dit: «Pas une seule fois il a déjà dit qu’il est un guérisseur divin. Il dit toujours que c’est Christ qui est le Guérisseur.» Et il a ajouté: «Si le fait de prêcher la guérison divine fait de frère Branham un guérisseur divin, alors le fait de prêcher le salut fait de vous un sauveur divin.» Cela l’a fait asseoir. Voyez? Il a dit: «Aimerez-vous être appelé sauveur divin?»

            «Absolument pas.»

            Il a dit: «Frère Branham non plus n’aimerait pas être un guérisseur divin.» Il a dit: «Il prêche seulement la guérison divine par la croix. Et vous n’avez pas été capable de dire qu’il ne prêche pas cela par la croix au moyen des Ecritures.» Cela lui a cloué le bec.

33        Il a dit: «Ce défi est aussi lancé à n’importe qui sur la même base pour venir prouver, qu’il contredit la Bible, que Jésus-Christ, Son attitude à l’égard des malades aujourd’hui n’est pas la même qu’autrefois?» S’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement, Il doit être le même Homme. C’est exact.

            Et ensuite, Il a dit: «Mais vous n’arrivez pas à soutenir cela. Et pour lui, le fait de prêcher la guérison divine par Jésus-Christ ne fait pas de lui un guérisseur divin. Il indique simplement Christ aux gens. Et le fait de prêcher le salut par Jésus-Christ ne fait pas de vous un sauveur divin. Et si cela fait de lui un guérisseur, cela fait de vous un sauveur.»

            Ainsi donc il a dit: «Qu’il se présente. Qu’il se présente. J’aimerais le voir. Qu’il vienne accomplir un miracle.» Il s’est mis à taper du pied, faisant des va-et-vient.

            Frère Bosworth a dit: «Eh bien, je sais que frère Branham est dans la salle. S’il veut bien venir congédier l’assistance, ce sera bien. Mais il est sous l’onction, et je... dire de venir et d’accomplir un miracle, c’est quelque chose de différent.» Et–et il a dit: «Frère Branham, je sais là où vous êtes assis.» Et chacun s’est mis à regarder dans tous les sens. Il a dit: «Je sais là où vous êtes assis, si vous voulez bien avancer et congédier cette assistance par un mot de prière, c’est en ordre. Mais vous n’êtes pas obligé de le faire.»

34        Et mon frère Howard a posé sa main sur mon épaule, et deux ou trois huissiers se tenaient à côté de moi, il a dit: «Reste tranquille. Reste tranquille.»

            J’ai dit: «Pas de problème.» Et je me suis tenu là juste une minute. Quelque Chose a fait: «Whooooosh.» Je savais que je ne pouvais plus rester tranquille à ce moment-là; j’ai senti Quelque Chose se mouvoir. Ma femme m’a tenu par la main et elle a dit: «Chéri?»

            J’ai dit: «Chérie, un instant. C’est l’Ange du Seigneur.»

            Howard a dit: «Bill, ne descends pas là-bas.» Et les gens regardaient en haut là où je me trouvais, et ils se sont mis à crier et à pleurer. Il a dit: «Ne descends pas.»

            J’ai dit: «Howard, mets-toi de côté, fiston. L’Ange du Seigneur me dit de descendre là.»

35        Les huissiers se sont mis à joindre leurs mains comme cela, et ils ont formé une ligne qui descendait là, sur le côté, je suis monté à l’estrade. Je savais qu’Il était là. J’ai dit: «Je ne prétends pas être un guérisseur divin.» Et j’ai dit: «Ne vous en prenez pas à monsieur Best.»

            Cependant, il avait loué les services de quelques photographes pour venir là. Ecoutez ceci. Il avait loué les services d’un photographe professionnel, des studios Douglas. Ecrivez-leur, si vous voulez connaître cela. Ils sont affiliés à l’Association Américaine des Photographes. Et il avait loué les services  de monsieur Kipperman des studios Douglas de Houston, au Texas, au numéro 10, sur la rue Rusk. C’est écrit là dans mon livre. Ecrivez-lui et demandez-lui le témoignage. Et monsieur Ayers, qui était venu avec lui, était un catholique romain qui me critiquait, et il avait déclaré dans le journal du jour précédent que j’étais un hypnotiseur. Et Kipperman était un Juif orthodoxe qui niait même Jésus. Et monsieur Best l’avait envoyé chercher là et lui avait dit: «Venez pendre six, venez me prendre des photos sur papier brillant, de 6 à 10, pendant que je vais tenir ce vieil homme par là, et je vais le tailler en pièces, et je vais l’écorcher et lui appliquer du sel sur la peau, et je vais attacher cela sur ma porte comme un mémorial de la guérison divine.» Cela montre là où se trouve l’esprit chrétien, et de prendre un frère... Voyez-vous? Très bien, cela–vous y êtes (Voyez-vous?), il était tout gonflé ici au-dessus; et il n’y avait rien ici en bas. Voyez?

36        Et ainsi, alors il est venu là et ils ont pris les six photos pendant qu’il était en train de prêcher. Il a posé pour être photographié comme ceci, il a posé comme cela, vous savez. Et ils ont pris six poses.

            Et ainsi donc, dès que je me suis mis à descendre pour passer à l’estrade, ils ont dit: «Ne prenez plus des photos, c’est fini pour les photographes, et ainsi de suite, qu’on ne prenne plus des photos.» Ils ont dit: «Plus de photos...» En effet, lorsque les gens prennent ces photos dans les réunions, et qu’ils les vendent, ce n’est pas correct (Voyez-vous?), de faire du commerce sur quelque chose qui appartient à Dieu. Et ainsi, c’est la pire des choses à faire. Alors, nous avons simplement arrêté toutes les photos. Et on n’a donc plus permis que l’on prenne des photos.

37        Alors, j’ai dit: «Que personne ne s’en prenne à monsieur Best.» J’ai dit: «Je pense qu’il était sincère, jusqu’à ce qu’il a regardé cette rangée des civières et des lits de camp et tout gisant là, avec des gens qui sont couchés ici, ayant le cancer et des maladies cardiaques, et qui vont mourir dans quelques jours, si Dieu ne les aide pas. Et les médecins les ont abandonnés. Ils ont fait de leur mieux pour eux. Ils n’en peuvent plus. Et maintenant vous dites qu’il... Je crois qu’il était sincère à tel point qu’il disait qu’il avait pitié de ces gens.» Il ne peut pas avoir pitié de ces gens, et leur priver, essayer de leur enlever l’unique espoir qu’ils ont de vivre. Comment pouvez-vous avoir pitié d’eux? C’est comme arracher la nourriture à un homme qui meurt de faim. J’ai dit: «Et voilà leurs camarades qui sont assis là derrière, qui étaient dans cet état il y a à peine quelques jours, avec des déclarations des médecins attestant qu’ils sont guéris. [Espace vide sur la bande–N.D.E.]... parce qu’ils sont complètement embrouillés dans leur expérience religieuse.» Voyez-vous? J’ai dit: «Je ne...?... crois que c’était sincère.»

            Mais de toute façon, il est monté à grands pas sur l’estrade, il a dit: «Frère Branham?»

            J’ai dit: «Oui, monsieur.»

            Il a dit: «En tant qu’homme, je vous admire. En tant que prédicateur, je n’ai pas beaucoup de considération pour vous.»

            J’ai dit: «C’est réciproque.» Oui, oui. Il est descendu de l’estrade. C’était tout.

38        Alors, j’ai dit: «Très bien. Bon, Il est...» J’ai dit: «Ecoutez, je ne prétends pas être un guérisseur divin.» Et j’ai dit: «Je me souviens de mon Seigneur, lorsqu’on Lui avait dit: ‘Descends de cette croix et accomplis un miracle. Descends, fais-moi voir un miracle.’» J’ai dit: «Ce même démon, lorsque Jésus était sur la croix et qu’ils ont placé un chiffon sur Son visage... Je crois qu’Il était le Prophète, le Roi des prophètes.» Ne le croyez-vous pas? Il connaissait la femme au puits. Elle avait eu cinq maris. Il  savait où était Nathanaël lorsqu’il était sous le figuier, ou plutôt sous l’olivier, oh! le figuier, je crois que c’était le figuier; pendant qu’il se trouvait là. Il savait où  se trouvait le poisson qui avait la pièce de monnaie dans la bouche. Ils ont mis un chiffon sur Son visage et L’ont frappé à la tête avec un bâton, et ils ont dit: «Maintenant, si Tu es Prophète, prophétise, dis-nous qui T’a frappé.» Il n’a même pas ouvert Sa bouche ou dit un seul mot.»

39        «Et ensuite, lorsqu’on L’a mis sur la croix, ils ont dit: ‘S’Il est le Fils de Dieu, qu’Il descende de la croix et qu’Il nous montre cela. Prouve-le-nous maintenant. Descends de la croix, et nous Te croirons.’» J’ai dit: «Ce même vieil esprit, les prédicateurs qui l’avaient là en ce temps-là sont morts. Mais cet esprit vit encore dans d’autres prédicateurs, tout au long des âges.»

            «Il a guéri celui-ci. Oui, nous voulons Le voir guérir celui-là.» Lorsqu’Il était ici et qu’Il est passé près de la piscine de Béthesda, il y avait là une multitude de gens infirmes: des estropiés, des boiteux, des aveugles, des gens aux membres atrophiés, qui étaient couchés là comme cela, et Il est carrément passé à côté, Il s’en est allé et Il a pris un homme qui avait le diabète sucré, ou une sorte d’infirmité, l’a guéri, et Il a laissé la multitude des gens qui étaient couchés là.

            Les Juifs ont connu la même chose. Il est dit: «Ils L’ont interrogé à ce sujet.»

            Voici ce qu’Il a dit (Saint Jean 5.19): «En vérité, en vérité, Je vous le dis, Je ne peux rien faire, à moins que le Père Me le montre. Car le Père aime le Fils, Il Lui montre ce qu’Il fait. Il montre tout ce qu’Il fait. Il vous montrera des choses plus glorieuses (plus glorieuses que la guérison de ce diabétique, ou de ce tuberculeux, ou de n’importe quelle maladie), afin que vous soyez dans l’étonnement. Mais Je ne peux rien faire, à moins que Je voie premièrement une vision, ce que le Père a fait.»

            Est-ce l’Ecriture? C’est juste.

40        Eh bien, ils ont dit: «Eh bien, qu’en est-il de ces boiteux, de ces infirmes, de ces aveugles, de ces gens aux membres tordus, atrophiés qui attendent là?» Le Père ne Lui avait rien montré du tout à leur sujet, Il a carrément continué Son chemin. Ce que le Père Lui montrait de faire, c’est ce qu’Il faisait. Mais conformément à Ses Paroles, Lui qui était le Fils de Dieu, Il ne faisait rien avant que le Père le Lui montre premièrement. Est-ce vrai? C’est Sa propre Parole. Allez discuter de cela avec Lui. Et Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. C’est la même chose. C’est juste. Ce que le Père montre, c’est ce qu’Il fait. Très bien.

            Maintenant, remarquez ceci. Ensuite j’ai dit: «Mais je ne peux–je ne peux guérir personne.» Mais j’ai dit: «Voici ce que je dis. Lorsque je suis venu au monde dans l’Etat du Kentucky, selon les déclarations de ma propre mère, et cela a été confirmé durant toute ma vie, ai-je dit, une Lumière était entrée dans la pièce de cette vieille petite hutte-là, là où ça se trouvait, il n’y avait pas de plancher là-dedans, ça n’avait même pas une fenêtre, il y avait juste un petit truc en guise de fenêtre là, comme une petite porte, et ils ont poussé cela pour l’ouvrir, vers cinq heures du matin, et cette Lumière est entrée en tourbillonnant alors que le jour se levait.»

41        J’ai dit: «Depuis ce temps-là, Elle m’a toujours accompagné. C’est un Ange de Dieu. Il m’a rencontré en personne il y a quelques années. Tout au long de ma vie, Il m’a dit des choses qui sont arrivées, et je les ai racontées telles qu’Il me l’a dit. Et je défie quiconque n’importe où, d’aller dans la ville où j’ai grandi, ou partout ailleurs, de vérifier si une déclaration a été faite au Nom du Seigneur, sans que la chose n’arrive exactement telle que cela a été annoncé.» Et j’ai dit: «Eh bien, ce n’était pas moi, mais c’était Lui.» Et j’ai dit: «N’importe qui ici, n’importe quel chrétien sait que Dieu n’aura rien à faire avec une erreur. Dieu est la Vérité.» Est-ce vrai? Et j’ai dit: «Il ne bénira pas une erreur. ...?... Et avant ce moment.» J’ai dit: «Cela ne marchera jamais. Dieu ne bénira pas une erreur. Mais si je témoigne de la Vérité, alors Dieu témoignera de moi. Si je fais une déclaration, et que c’est Dieu qui m’a dit de le faire, à ce moment-là Dieu soutiendra cela. Le croyez-vous? S’Il ne soutient pas cela, alors ce n’est pas Lui qui avait fait cette déclaration. Mais s’Il a fait la déclaration, Dieu se tiendra derrière ce qu’Il a promis.» Alléluia!

            Oh! vous ne savez pas comment cela–comment je me sens avec ça. Ne pensez pas que j’ai perdu le nord. Je sais où je me tiens. Ecoutez. Oui, mais lorsque je sais où–ce dont je parle... Et tout homme ou toute femme née de nouveau ici sait de quoi il parle.

42        Maintenant, si vous pouvez vous arroger la foi, je ne sais pas. Mais, ce que Dieu dit, c’est la Vérité. Et j’ai dit: «Si je dis la Vérité, Dieu rendra témoignage à la Vérité. Car Dieu est obligé de rendre témoignage à la Vérité, mais Il n’aura rien à faire avec l’erreur. Alors, si j’ai dit la Vérité, Dieu rendra témoignage à la Vérité.» Et juste à ce moment-là, Il est arrivé là, faisant: «Whoosh», Il est directement descendu juste là où je me trouvais.

            Cela avait excité ce photographe. Il a couru, celui qui avait pris la photo de cet homme. Et il a tiré la photo, il m’a photographié pendant que je me tenais là. J’ai dit: «Dieu en témoignera. Je n’en dirai pas davantage.» Je suis descendu de l’estrade.

            Alors, ce soir-là il est rentré chez lui, en rentrant chez eux ils en ont discuté. Il a dit: «Qu’en pensez-vous?» Le catholique a dit au... je voulais dire le Juif a dit au catholique...

            Il a dit: «Eh bien, nous avons appris dans notre église que cela peut arriver, mais il faudrait que ça soit un catholique, rien qu’un catholique. Voyez? Cela devrait venir par l’église. S’il existe une bénédiction, cela doit venir par l’église.»

            Il a dit: «Oh! je...» Kipperman a dit: «Je n’en sais rien, j’aimerais simplement être sincère avec vous.»

            Ayers a dit: «Eh bien, c’est peut-être à tort que j’ai critiqué cet homme.» Il a donc continué comme cela.

            Kipperman a dit: «Eh bien, je vais à l’étage dormir.»

43        Ayers a dit: «Je vais mettre celles-ci dans le studio, et les plonger dans l’acide, parce que Best veut les avoir demain. Je pense qu’il voudrait, peut-être mettre l’une d’elles dans le journal, une de ces photos.»

            Alors, il a plongé les six négatifs dans l’acide. Il se tenait là, fumant une cigarette, attendant le–le développement de ces pellicules, alors que cela se développait dans l’acide. Il fumait une cigarette. Quelque temps après, il a jeté la cigarette à terre; il pensait à la réunion et à ce qui s’était passé. Alors, il est entré dans la pièce, il a retiré les six négatifs. Il a regardé l’une d’elles, c’était totalement vide; la deuxième, c’était vide, la troisième, la quatrième, la cinquième, la sixième, c’était complètement vide. Chacune des pellicules de monsieur Best était vide.

            Et lorsqu’il a retiré la pellicule de la photo qu’il avait tirée de moi, il y avait là l’Ange de Dieu, la Colonne de Feu, dans la photo.

44        Il a porté la main sur son coeur; il est tombé sur sa face. Il a appelé Ted en criant. Ils ont dévalé les marches. Il était environ vingt-deux heures trente. Et à vingt-trois heures, la photo en question était en route à bord d’un avion pour Washington DC, pour être placée sous copyright. Elle est retournée, et alors elle a été envoyée au chef George J. Lacy, celui que tout le monde connaît comme le chef du département des empreintes digitales et autres du FBI. Et il s’est fait qu’il se trouvait en Californie, se dirigeant vers Houston, ils avaient amené ça à l’immeuble Shell, pour examiner cela pendant deux jours. A la fin, il a dit: «Approchez, entrez dans la pièce», et il voulait leur faire savoir ce que c’était.

45        Alors, ils ont pris leur appareil photo; ils ont examiné l’appareil photo. Ils ont pris le négatif. Ils l’ont fait passer aux rayons ultraviolets, et sous toutes sortes de lumières. Et ils sont allés à l’auditorium. Ils ont examiné le film de toutes les manières. Alors cet après-midi-là, alors que tout le monde était rassemblé là dans le petit immeuble Shell, pour arriver à savoir ce qui s’était passé, ou plutôt dans l’immeuble de la Compagnie pétrolière Shell, cet immeuble-là...

            Il a dit: «Qui s’appelle Révérend Branham?» C’était un gars qui avait l’air un peu rude. Mais il s’était beaucoup adouci.

            J’ai dit: «C’est moi, monsieur.»

            Il a dit: «Levez-vous.» Je me suis levé.

            Il a dit: «Monsieur Branham, a-t-il dit, vous allez mourir un jour comme tous les mortels.»

            J’ai dit: «Je le sais, monsieur. Mais grâces soient rendues à Dieu qui me donne la victoire par Jésus-Christ.»

46        Et il a dit: «Monsieur, a-t-il dit, j’ai entendu parler de vos réunions. Et je disais que ces choses-là, c’était de la psychologie.» Et il a dit: «J’ai vu des tableaux où des saints étaient peints avec ces lumières qu’ils avaient autour d’eux et autour du Sauveur.» Il a dit: «Ma mère était une chrétienne. Elle m’avait appris à être un chrétien.» Il a dit: «Mais j’ai toujours dit que cela...?... ce tableau-là, c’était de la psychologie. Bien sûr, c’était un artiste qui avait peint cela.»

            Mais il a dit: «Révérend Branham, je crois maintenant que c’était la vérité.» Il a dit: «L’oeil mécanique de cet appareil photo ne captera pas de la psychologie. C’était une image absolument authentique. C’est le seul Etre dans toute l’histoire du monde aujourd’hui. Cet homme peut s’avérer un hypocrite, il voulait dire cet incrédule qui avait dit: ‘Il n’existe pas d’Etre surnaturel; que cela ne pouvait pas être prouvé scientifiquement, mais a-t-il dit, ce temps-là est passé. Voici la chose.»

47        Les gens criaient et pleuraient et tout. Il a dit: «Venez recevoir le négatif.» Il a pris le négatif, il a dit: «Révérend Branham, nous avons examiné cela de toutes les manières.» Il a dit: «Absolument, j’aimerais bien apposer ma signature sur n’importe quel document pour attester que la Lumière a frappé le négatif.» Il a dit: «La psychologie ne produit pas de lumière.» Alléluia!

            Les larmes ont commencé à couler sur mes joues, j’ai regardé autour de moi, Elle était là. Dieu avait confirmé une personne ayant une instruction d’école primaire. Les choses que les gens traitaient de fanatisme, Dieu avait confirmé la Vérité au monde scientifique, une fois pour toutes. Il a dit: «La Voici.»

            Il a dit: «Vous ne vivrez jamais assez longtemps pour voir la valeur de cette photo.» Il a dit: «Vous mourrez avant ce temps-là, sans doute.» Il a dit: «Tenez, je vous la remets.»

48        J’ai dit: «Monsieur, ce n’est pas à moi.» J’ai dit: «Ça appartient à l’Association des Photographes Américains.» Monsieur Kipperman s’est avancé. Il a dit: «J’aimerais demander le document de ceci, avec mon avocat qui est assis ici, que vous m’accordiez la permission de vendre cette photo.»

            J’ai dit... Il a dit, et alors il a dit: «Monsieur Branham, vous rendez-vous compte que cette photo vaut cent mille dollars?»

            J’ai dit: «Monsieur, écoutez. A vous tous, une fois pour toutes, si mon Seigneur Jésus a eu assez de considération pour moi pour descendre à mes côtés, dans ce dur combat entre le bien et le mal, et se tenir à mes côtés pour la première fois dans toute l’histoire du monde et se faire photographier, en se tenant à mes côtés, je L’aime trop pour commercialiser cela. C’est vrai.» Et j’ai dit: «Je n’aurai rien à faire avec cela.»

            Il a dit: «Eh bien, il faudrait qu’il y ait un certain document.»

            J’ai dit: «Monsieur Kipperman et le studio Douglas ont le droit de vendre Cela. Je ne signerai rien. Mais s’ils vont vendre Cela à un prix tel que les pauvres gens seront à mesure de s’en procurer...»

            Et ils ont promis de le faire. Et cela a été mis à la portée de tout le monde. Ils en ont reçu le droit d’auteur, et vous pouvez envoyer une demande et en recevoir une copie.»

49        Et j’ai dit: «Il y a une autre chose que Monsieur Lacy avait dite, qui a attiré mon attention.» Il a dit: «Ce qu’on pourrait dire de plus, c’est que cette photo ne peut pas être vendue à moins qu’il y ait une déclaration qui suive cela; en effet, on a fait en sorte que la photo ne suscite pas des critiques et que l’on dise: «Eh bien, ces sont des futilités. Et tout ça ce sont des oui-dire, ou quelque chose du genre. Vous pouvez carrément en avoir une photocopie là-bas, si vous voulez. Vous pouvez voir monsieur Lacy, et chercher à savoir qui il est. Tout celui qui se connaît en photographie, ou au sujet des empreintes digitales, connaît qui est George J. Lacy. C’est le meilleur spécialiste qu’on ait aux Etats-Unis en cette matière, et je pense que c’est le meilleur au monde. Et voici qu’après deux jours de recherche, et à l’aide de produits chimiques et tout, il a dit: «C’est absolument la photo d’un Etre surnaturel qui s’est tenu là à vos côtés.»

50        Alors, que pouvais-je dire? Toute personne qui connaît l’Ancien Testament, sait que c’était une Colonne de Feu qui avait conduit les enfants d’Israël. Est-ce vrai? Et tous lecteurs de la Bible savent que c’était l’Ange de l’Alliance. Croyez-vous cela? Alors, si c’était cet Ange de l’Alliance, c’était Jésus-Christ. Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Il est toujours le Seigneur Jésus.

            «Je suis venu de Dieu, Je retourne à Dieu.» Il a dit: «Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus; mais vous, vous Me verrez. Je serai avec vous, même en vous, jusqu’à la consommation du siècle.»

            «Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement.»

            C’était lorsque monsieur Bosworth m’avait donné le négatif, ou plutôt la photo de Florence Nightingale, qui était couchée là, mourante. Il a dit: «Si seulement je...»

51        Combien ont déjà vu cette photo-là dans le livre? Vous la voyez dans La Voix de la guérison. Oh! je n’oublierai jamais ceci. Combien c’était merveilleux lorsque je suis allé prier pour elle! Lorsqu’elle est entrée là, je l’ai regardée, et cette main froide... Dieu était descendu là, et une petite colombe a traversé les buissons et est venue se poser sur le rebord de la fenêtre, elle roucoulait en faisant des va-et-vient pendant que je priais. Lorsque je me suis levé, les ministres se sont levés, et ils ont dit  «Avez-vous entendu... Avez-vous vu–remarqué cette colombe?» La colombe s’est envolée lorsque je me suis levé. Ils ont dit: «Avez-vous remarqué cette colombe?» J’étais sur le point de dire que je...

            Cette femme n’arrivait même pas à bouger; elle était couchée là. Et j’ai dit: «Je me disais que vous... J’ai vu la colombe en question», ou quelque chose.

52        Et à peine avais-je commencé à en parler que Quelque Chose est descendu. Je crois que c’était la même Colonne de Feu. Ma voix a changé. Je n’arrivais plus à  retenir mes mots, et j’ai dit: «AINSI DIT LE SEIGNEUR, cette femme vivra et ne mourra pas.» Aujourd’hui elle pèse cent cinquante-cinq livres [70 kg] et elle est en parfaite santé. Elle avait un cancer d’estomac au duodénum.

            Et elle est là en train de se promener dans les rues. C’est ce qui m’a amené à aller en Afrique du Sud. C’est pourquoi j’étais parti; en effet, j’avais dit à Dieu que s’Il la guérissait, j’irais là. Lorsque j’étais ici à Houston, au Texas, j’ai vu... je savais que j’allais venir ici, cependant, je ne le savais pas. Mais, elle est venue à bord d’un avion. Monsieur Baxter ici présent, mon manager, lorsque je suis arrivé à Londres, en Angleterre, eh bien, il avait entendu quelqu’un m’appeler aux haut-parleurs. Et ils sont allés là pour savoir de quoi il s’agissait. Et ils ont dit: «Mademoiselle Florence Nightingale se trouvait là, et ils estimaient qu’ils n’arriveraient même pas à la faire sortir de l’avion, parce qu’elle se mourrait juste à l’instant.» Je leur ai dit de l’amener là-bas, parce que nous allions nous rendre au Palais de Buckingham, à l’Abbaye de Westminster, et à certains endroits, et que je la rencontrerais lorsque j’allais revenir. Et c’est là que Dieu a guéri cette femme.

53        Qu’est-ce que cela veut dire? Qu’est-ce que cela signifie pour moi ce soir, devant tous ces critiqueurs? Combien ont lu le livre là, lorsque ce fou a foncé vers l’estrade là-bas? Vous–vous feriez mieux de savoir de quoi vous parlez. Il a dit: «Toi espèce de faux jeton, je vais briser chaque os de ton maigre corps, ce soir, tu te fais passer pour un homme de Dieu.» C’était un véritable fou qui s’était évadé d’un asile d’aliénés, c’était un homme d’environ deux cent quatre-vingts, livres [127 kg], musclé, qui se tenait là. Monsieur Baxter se tenait derrière moi, au moment où des centaines de prédicateurs avaient reculé. Deux petits policiers que je venais de conduire à Christ, là dans une pièce avant de venir, ont couru pour l’attraper, comme cela.

            J’ai dit: «Un instant, monsieur. Ceci n’est pas une affaire de chair et de sang.» Il bombait le torse. Il a joint ses pieds.

            Il a dit: «Toi, espèce d’hypocrite. Toi, espèce de faux jeton.»

54        J’étais en train de prêcher, je me suis tourné vers lui, dans cette direction. Tous les prédicateurs avaient reculé. Il avançait vers moi. Il a dit: «Je vais briser chaque os de ton corps frêle ce soir.» Je pesais cent dix-huit  livres [53.5 kg]. Il a dit: «Je vais te montrer ce que tu vaux en tant qu’homme de Dieu, toi serpent.» Il s’est avancé. Je n’ai pas dit un seul mot. Je me suis simplement retourné. J’ai dû lever les yeux vers lui comme cela. Il s’est avancé, et il était presqu’à cette distance-là. Et quand il s’est approché, je me suis dit: «Dieu bien-aimé, le seul espoir que j’ai est en Toi.»

            Il était capable d’exécuter ses menaces. Il s’est avancé là juste à ce moment-là. Lorsqu’il s’est avancé là, j’allais dire: «Monsieur...» Ça, je n’aimerais pas le dire.

            Et alors, Il a dit: «AINSI DIT LE SEIGNEUR, parce que tu as défié l’Esprit de Dieu, ce soir tu tomberas à mes pieds.»

55        Il a dit: «Toi espèce d’hypocrite, je vais te montrer aux pieds de qui je tomberai.» Il a dit: «Je te briserai le cou, toi serpent.» Et il a fait... [Frère Branham produit le bruit de quelqu’un qui crache.–N.D.E.] Il m’a craché en plein visage comme cela. Je suis simplement resté tranquille, m’attendant à l’Esprit de Dieu. Mille six cents personnes, à part ceux qui étaient à l’extérieur, se tenaient là, retenant leur souffle. Vous ferez mieux de savoir de quoi vous parlez.

            Il s’est rué vers moi, il a retourné sa salive dans sa bouche... Il a dit: «Je vais te montrer aux pieds de qui je vais tomber», il a reculé comme cela.

            J’ai dit: «Satan, au Nom de Jésus-Christ, sors de lui!» Voyez-vous? Il se tenait là avec son défi comme Goliath, faisant ses fanfaronnades. L’Esprit de Dieu avait déclaré ce qui arriverait. Maintenant, nous verrons qui a raison. Il... je... Tout semblait être contre moi. Ses désirs, et tout, il était capable d’exécuter ses menaces.

            Il a dit: «Je vais briser chaque os de ton corps. Je vais t’assommer là au milieu de cette assistance.» Il en était capable, physiquement parlant.

            Mais le Saint-Esprit a dit: «Tu tomberas à mes pieds.» Il s’est rué là. Et lorsque l’Esprit...

            J’ai dit: «Satan, sors de cet homme au Nom de Jésus-Christ!» Il s’est retenu de lancer son gros poing.

56        Monsieur Baxter que voici est un témoin, à part...?... il était en divagation et la police l’avait arrêté et tout par là. Vous avez lu cela dans La Voix de la guérison, n’est-ce pas? Comment il était recherché, et tout, et cela a été confirmé, à cent pour cent, ça a été publié là, et tout le reste. Nous ne sommes pas des menteurs. Nous témoignons de Jésus-Christ.

            Vous êtes le bienvenu pour prendre le livre et le lire, et n’importe quel autre témoignage que je fais. Oui, monsieur. Je suis tenu devant Dieu d’être un homme d’honneur, de dire la vérité, en tant que prophète de Dieu.

57        Et lorsqu’il s’est élancé vers moi, il a ramené ses mains en arrière. Alors, il a fait: «Oh! ah–ah–ah–ah!» Ses yeux sortaient de leurs orbites. Sa bouche était ouverte comme cela. Il s’est affaissé et est tombé sur mes pieds, de sorte que je n’arrivais même pas à bouger. Je l’ai regardé.

            Ces policiers ont dit: «Cet homme est-il mort?»

            J’ai dit: «Non, monsieur.»

            Ils ont dit: «Est-ce qu’il va retrouver ses esprits?»

            J’ai dit: «Non, monsieur. Il adore cet esprit. Il pense qu’il est normal. S’il veut bien abandonner cela, cela le quittera maintenant. Mais il adore cela; cela reviendra tout simplement sur lui.» J’ai dit: «Voulez-vous l’enlever de mes pieds?» Et ils l’ont enlevé de mes pieds. Et je suis retourné à l’estrade et je me remis à prêcher.

            J’ai dit: «Notre Père céleste a toute la puissance dans le Ciel et sur la terre.»

58        Et un homme qui était couché sur un lit de camp a dit: «Oui, Il a toute la puissance. Il m’a guéri.» Et il s’est levé. Il y avait là un homme qui avait des béquilles. Il a jeté ses béquilles par terre, il a dit: «Il m’a guéri aussi.» Et il s’en est allé. Un homme s’est levé d’un fauteuil roulant, et il a dit: «Moi aussi.»  Là la puissance de Dieu s’est répandue dans la salle, et cela a cloué le bec à Satan. Alléluia! traitez-moi de fanatique si vous voulez. Je suis un fanatique de Christ. De qui êtes-vous fanatique? Je sais de quoi je parle. Si je meurs cette nuit... Je ne mourrais jamais; j’ai en moi la Vie Eternelle. Et chaque chrétien né de nouveau aussi. Si je rentre à la Maison rencontrer le Seigneur, ce soir, mon témoignage est toujours confirmé comme étant la vérité. Et chaque fois que Satan s’est levé, Dieu l’a désarçonné. Alors, par conséquent, sans aucune crainte, sachant que mon Seigneur Jésus est ici, je n’hésite pas de vous dire la vérité de la Parole de Dieu en cette heure.

59        Oh! Zion, voici le jour de ta visitation. Vous ferez mieux de recevoir cela au Nom du Seigneur; il se peut que vous soyez en train de recevoir votre dernière invitation. Je ne dis pas que c’est le cas. Mais je sais que c’est par une promesse que je suis venu ici. Lorsque j’ai quitté là-bas, un de vos critiqueurs de cette ville s’est levé contre moi, pensant que je revenais ici pour m’emparer de l’église de quelqu’un... Je ne vais m’emparer de l’église de personne. J’ai été envoyé prêcher l’Evangile dans tous les coins du monde. Je suis seulement venu ici pour vous bénir et vous aider dans mes prières, du mieux que je peux. Je suis venu. Lorsque je quittais cette ville, j’avais dit: «Je reviendrai.» J’ai accompli ma commission. Me voici.

            Et l’autre jour, pendant que j’étais ici, le Saint-Esprit m’a dit... J’allais... Savez-vous où j’allais? A Minneapolis, dans un auditorium qui peut accueillir environ dix, douze mille personnes, il y a un groupe de gens qui ont collaboré. Et juste ici sur la côte, à Baltimore, il y avait un auditorium qui pouvait accueillir environ cinq cents ministres, des baptistes, des méthodistes, et tous avaient souscrit pour collaborer dans la série de réunions, dans un auditorium qui peut accueillir dix mille personnes, c’est sans frais. Aucun rond à payer, on n’a même pas eu besoin de prélever une seule offrande durant toute la série de réunions, nous avons laissé le reste aller de soi.

            Mais le Saint-Esprit a dit: «Passe par Zion.» Me voici. Ô Dieu, aie pitié.

60        Notre Père céleste, ô Dieu, je ne sais quoi dire. Je–j’essaie de tout mon coeur. Que les gens se réveillent ce soir, Seigneur. Ô Dieu, agis encore à Zion. Accorde-le, Seigneur.  Déclenche un grand réveil, d’une manière ou d’une autre, Seigneur. Nous voyons comment ces tueurs de brebis assoiffés de sang sont passés par cette ville, ils ont ravi aux gens leurs bénédictions. Ô Dieu Tout-Puissant, aie pitié et envoie de nouveau ceux que Tu as établis, Seigneur. Accorde-le.

            Envoie Tes bontés et guéris les malades et les nécessiteux, et bénis les gens, Seigneur. Car je crois que l’heure est arrivée à la fin. L’obscurité s’installe sur la terre. Ô Dieu, apprête Ton Eglise rapidement. Viens, Seigneur Jésus. Reçois-nous. Accorde Tes bénédictions ce soir pour la suite du service. Que Ton Cher Fils, Jésus-Christ, sous la forme du Saint-Esprit descende sur Ton pauvre serviteur indigne qui a témoigné de tout son coeur. Je ne peux pas les convaincre à croire cela, Seigneur. Tout ce que je peux, c’est leur dire la vérité. Et Tu es derrière chaque témoignage pour attester que c’est vrai.

61        Qu’ils se réveillent ce soir, Seigneur. Que les nations soient secouées encore une fois, que ça ne soit pas une de ces réunions qui durent trop longtemps, Seigneur. Mais, que ça soit une réunion à l’ancienne mode où Dieu sauve, qui fermera les débits de Whisky, qui amènera les femmes à mettre leurs vêtements, qui amènera les hommes à se conduire comme des gentlemen, qui déclenchera la gloire de Dieu dans l’Eglise. Accorde-le, Seigneur. Encore une fois, que Tes bontés se manifestent. Exauce la prière de Ton serviteur; je prie d’un coeur sincère. Accorde-le, Seigneur. Je le demande au Nom de Jésus, Ton Bien-Aimé et Fils unique. Je demande cela pour Sa gloire, afin que ces Paroles s’accomplissent, pour montrer qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Amen. [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

62        Si vous ne recevez pas mes paroles, écoutez les Siennes, qui se trouvent au chapitre 16 de Saint Jean, à partir du verset 30. J’aimerais lire deux passages des Ecritures. Jésus avait toujours parlé d’une manière telle que les gens n’arrivaient pas à Le comprendre. Les gens disaient: «Que veut-Il dire? Je ne sais pas. Il parlait en paraboles.» Mais en ce temps-là, Il a parlé ouvertement.

            Alors les disciples ont dit: «Maintenant nous savons que Tu sais toutes choses, et Tu n’as pas besoin que personne ne T’interroge; c’est pourquoi nous croyons que Tu es sorti de Dieu.»

            Il a dit: «Tu n’as rien fait sans que le Père Te l’ait montré. Et ce que Tu as dit était exactement la vérité.» Est-ce là votre interprétation de l’Ecriture?

63        «Tu as dit que Tu es venu au Nom de Ton Père, et le Père... Tu n’as rien fait de Toi-même, sinon ce que le Père T’a montré... Lorsque Tu es allé à... Un jour là-bas, on t’a envoyé chercher pour prier pour ton frère Lazare, Tu as simplement continué Ton chemin. Tu savais ce que le Père allait faire. Ensuite, Tu t’es arrêté et Tu nous as dit qu’il était mort après tant de jours, bien sûr, c’est Dieu qui avait fixé le temps où Lazare allait mourir. Il a dit: ‘Mais Je vais le réveiller.’»

            «Lorsque Tu t’es tenu là à la tombe, nous avons compris que Tu t’es adressé au Père, et Tu as dit que Tu le savais. Mais Tu as simplement prié à cause de ceux qui se tenaient là à côté, afin qu’ils comprennent. Et Tu as appelé un homme mort à sortir de la tombe. Nous Te voyons faire ces choses. Et tout ce que Tu as prédit, tout ce que Tu as dit aux gens, ce qu’étaient leurs problèmes, ce qu’ils avaient comme problèmes. Tu connaissais leurs pensées, et chaque chose était la vérité. Et c’est pourqoui nous croyons que Tu es sorti de Dieu. C’est pourqoui...»

64        Maintenant, Hébreux 13.8 dit que Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Est-ce vrai?

            Dans Actes 2.22, Pierre parlait au jour de la Pentecôte:

            Hommes Israélites, écoutez ces paroles! Jésus de Nazareth, cet Homme à qui Dieu a rendu témoignage devant vous par les miracles, les prodiges et les signes qu’Il a opérés par lui au milieu de vous, comme vous le savez vous-mêmes;

            Jésus...  Dieu avait confirmé Jésus par des signes, des prodiges et des miracles. Ce n’est pas Jésus qui faisait cela; c’est le Père qui Lui montrait d’abord quoi faire. Est-ce vrai? Maintenant, s’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement, c’est la même chose.

            Maintenant, Seigneur, je Te recommande ce service. J’ai parlé un tout petit peu; la salle est très chaude ce soir. Cette petite foule s’est assemblée ici dans ce gymnase de cette école secondaire. Père, que le Saint-Esprit, que cette même Colonne de Feu qui a conduit les enfants d’Israël, descende, qu’elle s’installe dans ce lieu saint, cette chaire. Que les Anges de Dieu prennent leur position et leur place, d’après leur positionnement parmi les gens, qu’Ils parlent à leur coeur, qu’Ils les amènent à croire. Ôte toute incrédulité. Que cela disparaisse de cette salle ce soir, afin que ce soit une merveilleuse réunion.

            Puisse-t-il s’accomplir des oeuvres infiniment au-delà de toute mesure. J’ai rendu témoignage de Toi, mon Seigneur. Maintenant je Te demande de rendre témoignage à Ton serviteur, afin que Ta gloire se répande dans toute cette contrée tout autour de Zion, juste avant la venue du Juste, car nous le demandons en Son Nom. Amen. [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

            Que le premier patient vienne.

65        Jéhovah-Jiré, Rapha, Manassé, le Grand Jéhovah Dieu sait ce soir qu’au mieux de ma connaissance, je n’ai jamais vu cet homme de ma vie. Je ne connais rien à Son sujet. Je ne l’ai jamais vu. M’avez-vous déjà vu, monsieur? Non, il ne m’a jamais vu. Nous sommes parfaitement des inconnus l’un pour l’autre. Quel est le problème de cet homme? Dieu le sait.

            Eh bien, Dieu peut, s’Il veut, me le révéler, et si cela peut se faire, et si vous croyez que je suis au moins un homme honnête, chacun de vous ici devrait dire: «Cela règle la question pour moi.»

66        Vous souvenez-vous du moment où j’étais à Zion la dernière fois? Combien étaient à la réunion l’autrefois? Le seul moyen que j’avais de connaître les choses, c’est que je prenais la personne par la main, et je me tenais là, je tenais cette main-là. Et cette main, je la tenais, jusqu’à ce que Quelque Chose parlait à travers moi et disait de quelle maladie il s’agissait. Et je vous ai témoigné que Dieu m’avait dit, l’Ange du Seigneur, que si je suis sincère, [il arriverait que] je connaîtrais les secrets même des coeurs des gens. Vous souvenez-vous que j’avais dit que cela arriverait? Combien se souviennent m’avoir entendu témoigner de cela? Levez la main. Voyez? Maintenant, la première fois que cela s’était produit, j’étais avec frère Baxter au Queen Gardens, à Regina, dans le Saskatchewan. Je me suis avancé sur l’estrade. Il m’a donné de l’eau à boire.

67        Et j’ai gardé la femme debout là, j’ai vu une vision de ce qu’elle faisait. Et ça a commencé là. Dieu avait manifesté Sa Parole. Il m’exauce. Je le crois. Je ne peux pas dire qu’Il me l’a dit, mais quelque chose est en train de se mouvoir en moi, disant: «Il y a quelque chose de plus glorieux, c’est sur le point de se déclencher dans mon ministère.» Souvenez-vous, Il m’a dit d’être respectueux, d’être obéissant, d’être humble, et Dieu vous ajoutera le reste.» Maintenant, j’essaie de mon mieux de l’être.

            Maintenant, Moïse, lorsque Moïse avait dit qu’il n’était pas un homme éloquent... Son langage était... Il n’avait pas un langage facile. Il bégayait, et ainsi de suite, et il ne pouvait pas aller, et ainsi de suite. Mais Dieu a essayé de le persuader à aller de toute façon, mais il ne voulait pas écouter. Mais alors, lorsque Dieu a envoyé Moïse, Il lui a parlé, mais il a dit, il a dit: «Les gens ne me croiront pas.»

68        Il a dit: «Mets ta main dans ton sein.» Il avait la lèpre, Dieu a guéri sa main de la lèpre. Ensuite il a pris un bâton et a accompli un miracle, à l’aide de ce bâton, en transformant cela en un serpent, et puis, c’est redevenu un bâton. Dieu a dit: «Fais ceci devant les enfants d’Israël et ils te croiront.» Est-ce vrai?

            Eh bien, Il m’a dit que ce signe serait donné en premier. «Et s’ils ne croient pas cela, il arrivera que tu connaîtras les secrets mêmes de leur coeur, et à cela ils vont croire.» C’est le même Dieu. Et Dieu sait que je ne sais donc rien à ce sujet. La même Colonne de Feu qui parla à Moïse a de nouveau parlé dans ce dernier jour. Et ce n’était pas Moïse qui accomplissait quoi que ce soit; c’était l’Ange qui allait devant Moïse, qui accomplissait cela. Est-ce vrai? Certainement, nous, nous pouvons comprendre. Or, Moïse, voici une chose que je ne fais pas comme il faut. Je reconnais cela avec cette Bible devant moi. Je n’agis pas bien en faisant monter cette personne ici et en lui parlant, jusqu’à ce que je dois moi-même entrer dans une vision qui m’affaiblit. Ce que je devrais faire, eh bien, peut-être je devrais les appeler depuis l’assistance, ou quelque chose d’autre comme cela, et les faire monter ici et leur parler, former une ligne de prière, et prier pour tous les autres à mesure qu’ils vont passer. Ce serait mieux. Mais on en est arrivé à un point où si vous ne vous tenez pas là pour parler à la personne, la vision ne vient pas, ils ne vont même pas penser que vous êtes oint. J’ai mis cela sur mon compte, c’est une confession devant Dieu.

69        Mais si cet homme ici, étant donné que je ne connais rien à son sujet, et–et il sait que je ne connais rien à son sujet, et que je ne l’ai jamais vu de ma vie, si Dieu se manifeste, et de la même façon qu’Il l’a fait devant  Nathanaël, cela devrait régler la question pour tout cet auditoire. Est-ce vrai? Je vous considère, monsieur, comme un homme honnête. Et je ne vous ai jamais vu, je n’ai aucun lien avec vous, je ne sais rien à votre sujet. Est-ce vrai? Je n’ai aucun autre moyen de le savoir. Très bien. Mais, il se tient là.

            Maintenant, restons donc en prière, pendant que je lui parle. Restez silencieux. Vous pouvez regarder dans cette direction. Eh bien, j’aimerais vous demander une chose ce soir. Hier soir, lorsque j’ai commencé à prier et que je vous ai demandé d’incliner la tête, certains n’ont pas voulu le faire. Et cela rend la situation difficile pour le patient. Voyez-vous? Cela... Vous–vous devez le faire. Le seul moyen pour que je puisse faire quelque chose pour vous aider, c’est une entière coopération. Et sachez-le bien. Lorsque ces maladies étranges sortent des gens, souvenez-vous, vous n’êtes pas immunisés contre elles. Et ces esprits sont totalement impuissants aussi longtemps qu’ils ne sont pas dans un corps. Et soyez-en assurés, je ne suis pas responsable. Si vous n’inclinez pas la tête pendant que je vous le demande, et si vous n’obéissez pas, je n’aimerais même pas rester dans la réunion, car c’est dangereux. Laissez-moi vous le dire: Il y a des gens qui se retrouvent dans des asiles d’aliénés aujourd’hui, qui étaient assis là dans la réunion aussi normaux que possible, et qui sont sortis de la réunion dans cet état-là à cause de la désobéissance. Il y en a beaucoup qui sont dans la tombe.

70        Maintenant, regardez par ici, faites tout ce que vous voulez, mais... et lorsque je vous le dis, où que vous soyez, si vous êtes là dans ...?... Si vous êtes malades, tout ce qu’Il vous dit de faire, allez le faire sans tarder. Faites juste ce que Cela vous dit de faire.

            Si je devais rester plus longtemps à Zion, je vous dirai des choses qui se sont produites, mais nous devons nous dépêcher. Croyez. La seule chose que je vous demande de faire, c’est de croire que Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement.

            Allez-y, monsieur, approchez. Maintenant, je crois que vous comprenez, mes amis, que ceci n’est pas un–un spectacle ou quelque chose du genre. Vous êtes monté ici, je crois, en toute sincérité. Si ce n’est pas le cas, Dieu me révèlera certainement ce qui vous concerne dans quelques minutes, et vous saurez si vous êtes–que vous–vous n’auriez jamais dû venir. Mais si vous êtes sincère, si vous êtes ici pour la guérison, ou pour que quelque chose arrive. Et je suis ici dans une profonde sincérité afin de vous aider en priant pour vous. C’est tout ce que je peux faire, frère. C’est tout ce que je peux faire. Pourquoi vous ai-je appelé «monsieur», il  y a quelques minutes, et ensuite «frère»? Parce que j’ai perçu votre esprit; vous êtes un chrétien. C’est juste. Très bien.

            Maintenant, Il est déjà ici. Et vous êtes conscients que quelque chose est en train de se passer. Et je vous parle juste un petit instant. J’étais en train de prêcher (Voyez?), et c’est–c’est une onction différente; il faut sortir de là (Voyez-vous?) et entrer dans un autre domaine.

            Et je–j’aimerais être certain de ce dont je parle (Voyez-vous?), jusqu’à ce qu’une vision apparaisse, et alors je peux dire ce qui ne va pas.

71        Mais maintenant, écoutez, alors que je vous parle, comme Jésus a parlé à la femme au puits... maintenant, comme quelque chose clochait chez cette femme, Jésus lui a parlé un peu, et Il est allé droit au but et lui a dit son problème. Est-ce vrai? Il ne la connaissait pas, Lui était un Juif,  et elle une Samaritaine, Il s’est simplement tenu là au puits, et elle s’est avancée. Ainsi, après lui avoir parlé pendant quelques instants, alors, Il a pu lui dire ce qu’était son problème.

72        Maintenant, si je suis un chrétien, si l’Esprit de Dieu est en moi, c’est-à-dire, l’Esprit de Christ, alors Ça m’amènera à me comporter comme Lui, cela fera que chaque chrétien soit semblable à Lui. Ensuite sur–au-dessus de cela, s’Il a donné un don spirituel ou si Sa Présence est là, alors Il sera exactement comme Il l’a été en ce temps-là. Il peut agir directement. Voyez? Sur la terre Il n’a pas des lèvres, sinon les miennes, les nôtres. Il n’a pas d’autres mains, sinon les nôtres, nos yeux. Il parle à travers nous, et regarde à travers nous, et Il voit à travers nous. Est-ce vrai? C’est vrai. Vous êtes...?... alors. Nos lèvres sont Ses lèvres pour prêcher l’Evangile et que sais-je encore.

            Monsieur, vous êtes–vous souffrez d’une maladie de sang. Je–je crois que c’est le diabète. Est-ce vrai? Maintenant, croyez-vous? De tout votre coeur? [Le frère répond: «De tout mon coeur.»–N.D.E.]

73        Maintenant, voilà la maladie de cet homme. C’est ce qui n’allait pas en lui. Je ne l’ai jamais vu de ma vie. Mais c’est là sa maladie. Maintenant, si je peux lui parler un petit peu, alors le Saint-Esprit pourrait révéler autre chose, Il peut, oh! lui dire, peut-être, quelque chose qu’il avait fait lorsqu’il était un petit garçon, ou peut-être un certain obstacle, ou quelque chose, quelque chose qui pourrait–qui fait obstacle dans sa vie. Je–je ne sais pas. Peut-être... Est-ce que vous croyez réellement vous tous?

            Maintenant, j’aimerais, étant donné qu’il est la première personne, prenons ce cas au sérieux. J’aimerais simplement vous parler, monsieur. Eh bien, j’aimerais simplement que vous me répondiez. Oh! je ne lis pas votre pensée, monsieur. J’aimerais que vous pensiez à moi pendant que je me tiens ici, dites-vous simplement que vous êtes dans la Présence du Seigneur, ou de Son Etre ici. Ne pensez pas... parce que les gens pouvaient penser que c’est la lecture de la pensée. Laissez-moi... Nous avons établi cela, l’autre soir, que Jésus connaissait leurs pensées. Mais et... je–je n’aimerais pas cela du tout. J’aimerais voir une vision, pas la chose à laquelle les gens pensent. Voyez-vous? Je–j’aimerais savoir si Dieu peut montrer quelque chose à votre sujet, quelque chose dans votre vie. Croyez-vous que je suis en mesure de le faire, étant donné que je suis Son prophète? Vous le croyez. Eh bien, que le Seigneur accorde cela.

74        Vous avez quelque chose à faire avec un bateau, ou plutôt des bateaux, ou quelque chose du genre. Pas vrai? Et n’êtes-vous pas un genre de... N’êtes-vous pas un ministre? Vous êtes un prédicateur, c’est ça. Et vous êtes en train de... Je vous vois en train de prêcher, ou de parler à des pêcheurs, ou quelque chose d’autre, ou plutôt des bateaux, ou quelque chose du genre. Est-ce vrai? Si c’est vrai, levez la main. Croyez-vous que je suis Son prophète? Très bien, rentrez chez vous et portez-vous bien, mon  frère, au Nom de Jésus-Christ...?... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

75        Je crois, sans l’ombre d’un doute, que les gens qui sont dans cette réunion reconnaîtront forcément qu’il y a un Etre surnaturel qui se tient ici, qui prêche à travers moi. Et vous pouvez accepter que c’est Dieu, ou tout ce que vous voulez. Cela déterminera votre guérison. Si c’est le cas, et Dieu a déclaré que je dis la vérité. Et un homme pourrait venir ici et dire qu’il est... Dieu vous a dit ceci ou cela. Je n’ai pas le droit de dire qu’Il ne l’a pas fait. Ecoutez, lorsque Dieu descend et parle nettement, tout ce qu’Il dit est la vérité.

            Croyez-vous que cet homme a dit est la vérité? C’est la vérité. Pouvez-vous me croire maintenant? Croyez que Jésus-Christ, notre Sauveur, est assis à la droite du Père. Sa Présence est ici ce soir. Tout comme on me fait passer à la télévision maintenant, et qu’on me voit là en Californie, mais je suis ici. Sa Présence invisible est ici. C’est Lui qui, par la Puissance du Saint-Esprit, est en train d’agir dans cette salle. Et maintenant, Il est prêt à apporter la puissance de la guérison aux gens pour leur guérison.

76        Voulez-vous me croire comme étant Son prophète? J’étais sur le point d’appeler encore dix personnes. Mon manager a déjà signalé que ça suffit. S’il n’y a pas d’autres maladies, je–je vous assure que le Saint-Esprit est en train de se mouvoir. Tout autour de moi tout devient comme de l’émeraude; en effet, je me tiens ici, c’est tout ce que je sais, et que je tiens ce microphone.

            Je t’aime, Zion. Et Dieu sait que je désire faire quelque chose pour toi. Et je vous ai témoigné, et mon Dieu a attesté que j’ai dit la vérité. Recevez-Le ce soir (je vous prie?) comme votre Guérisseur, pendant que nous inclinons la tête.

77        Notre Père qui es aux Cieux, que Ton Nom soit sanctifié. Que Ton Règne vienne. Que Ta volonté soit faite sur la terre comme au Ciel. Dieu Tout-Puissant, Auteur de la Vie et Donateur de tout don excellent; Sauveur de l’âme, Guérisseur du corps, Créateur des cieux et de la terre, envoie Tes bénédictions sur ces gens. Comment pouvons-nous encore douter? Pendant combien de temps allez-vous rester exposé au danger?

            Béni soit le Dieu et Père de notre Seigneur Jésus-Christ, qui par Sa grâce infinie, nous a envoyé Son Saint-Esprit dans ces derniers jours. Nous de pauvres gens des nations, des étrangers, nous qui portions des idoles muettes, nous qui étions des sauvages, il y a deux mille ans, nous les Anglo-Saxons, sans aucune espérance, sans Dieu dans ce monde, et aujourd’hui nous avons été changés en des fils et filles de Dieu, et Dieu a envoyé Son Esprit en nous, qui crie: «Abba, Père.»

78        Ô Dieu, à travers mon pays, l’Amérique, malheur à elle! si les oeuvres qui ont été accomplies en Amérique durant ces cinq dernières minutes avaient été faites dans Sodome et dans Gomorrhe, celles-ci subsisteraient jusqu’à ce jour. Si cette nation Te recevait, ô Dieu, comme ces pauvres païens africains noirs là, en Afrique, t’avaient reçu, la guerre de la Corée serait réglée et la paix serait de nouveau restaurée sur la terre. Mais s’ils n’acceptent pas la miséricorde, nous devons accepter le jugement. Que Dieu soit miséricordieux ce soir envers ces gens qui sont ici dans cette assistance. Cette pauvre petite ville de Zion négligée, où jadis les cloches retentissaient là dans les rues, d’après ce qu’on a appris, là lorsque j’étais un bébé, et que ma mère me berçait dans ses bras. Tu savais que ce soir serait la soirée où les cloches retentiraient dans l’église, les femmes cesseraient leur travail, les hommes s’arrêteraient dans les rues et se couvriraient la tête. Et on offrirait la prière au Dieu Tout-Puissant.

79        De penser maintenant que des filles à moitié vêtues se promènent sur la rue... Le péché est partout. Le...?... appelé des noms saints. Des pécheurs, impies, séduits et sur une terre dédiée à Dieu, Seigneur, ces choses vont-elles durer? Toi seul Tu le sais. Mais cependant, je crois qu’il y a encore à Zion des noms qui sont écrits dans le livre de Vie de l’Agneau.

            Viens, Seigneur Jésus, ce soir, alors que Ton Esprit se meut au-dessus de cette assistance. Exauce chacun d’eux, Seigneur, ceux qui sont rassemblés dans cet endroit ici et dans d’autres coins de ce pays: à Waukegan, Chicago, et dans les autres villes. Seigneur, que la miséricorde se répande dans cette salle juste en ce moment. Que la pluie du Saint-Esprit, comme c’était arrivé dans la fournaise ardente, avec les enfants hébreux qui avait chassé au loin toute incrédulité, tout doute, et que le Dieu Tout-Puissant rompe le charme de l’incrédulité et que cela libère chaque croyant ce soir. Et puisse le Saint-Esprit baptiser maintenant beaucoup de gens dans cette assistance ce soir, et les faire entrer dans le Royaume de Dieu, et que là-bas, ils puissent sauter de ces fauteuils...?... béquilles, que leurs yeux s’ouvrent, leurs oreilles se débuchent, que les malades qui passeront ici, et...?... soient guéris. Ô Dieu, accorde-le. Exauce ma prière, ô Dieu. Exauce cela au Nom de Jésus.

            Et, Satan, quitte, toi esprit impie, de doute et d’incrédulité, je t’adjure par Jésus le Fils de Dieu qui est ici, quitte chaque personne! sors d’eux!

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