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Témoignage
1
Bonsoir, mes amis. Câest un privilĂšge dâĂȘtre encore de
retour ici ce soir.
Je suis un peu enrouĂ©. Ăa fait longtemps que je ne prĂȘche plus. Et les
trois ou
quatre derniĂšres soirĂ©es, jâai prĂȘchĂ© bien durement, cela mâa donc un
peu
irritĂ© la gorge. GĂ©nĂ©ralement, ce sont lâorganisateur et les autres qui
parlent
dans mes services; je ne fais que prier pour les malades. Ainsi,
prĂȘcher, câest
du nouveau; vous pouviez le constater par la façon dont je mây prenais,
que
câĂ©tait du nouveau pour moi. Mais jâaime le Seigneur de tout mon coeur.
JâespĂšre ce soir quâIl viendra dans ce petit groupe de gens et quâIl
aura de
grandes bĂ©nĂ©dictions pour vous tous. Croyez-vous quâIl le fera?
[LâassemblĂ©e
dit: «Amen.»âN.D.E.] Oui, Il le fera. Et maintenant, Il connaĂźt chacun
de vous.
Devant moi, je ne vois exactement personne que je connaisse, sauf le
frĂšre et
la soeur Glover, et leur fille assise lĂ ; ce sont les seuls dont je me
rappelle
le visage. Mais Dieu connaĂźt chacun de vous. Il vous connaĂźt depuis
votre
naissance. Toute la nourriture que vous avez jamais mangĂ©e, lâair que
vous
respirez, Câest Dieu qui vous a donnĂ© cela. Tout vient de Dieu.
2
Jâallais parler dâun certain sujet ce soir, mais demain
soir, le Seigneur
voulant, jâaimerais reprendre une sĂ©rie de sujets sur la GenĂšse.
Ainsi
donc, je me suis proposé de donner un témoignage ce soir, puis
commencer la
ligne de priĂšre. Nous avons donc confiance que Dieu bĂ©nira. Jâai Ă©tĂ©
beaucoup
en priĂšre cet aprĂšs-midi. Ainsi, je nâaimerais pas me dĂ©faire de cette
onction
pour les malades maintenant mĂȘme. Jâaimerais lire un passage des
Ecritures. Il
se trouve au chapitre 4 de Saint Jean, Ă partir du verset 46.
Il retourna donc Ă Cana en GalilĂ©e, oĂč il
avait changĂ© lâeau en vin.
Il y avait Ă CapernaĂŒm un officier
du roi, dont le fils était malade.
Ayant appris que Jésus était venu de
Judée en Galilée, il alla vers lui, et le pria de descendre et de
guérir son
fils, qui était prÚs de mourir.
Jésus lui dit: Si vous ne voyez des
miracles et des prodiges, vous ne croyez point.
Lâofficier du roi lui dit: Seigneur,
descends avant que mon enfant meure.
Va, lui dit Jésus, ton fils vit. Et
cet homme crut à la parole que Jésus avait dite, ou lui avait dite, et
il sâen
alla.
Comme déjà il descendait, son
serviteur, venant Ă sa rencontre, lui apporta cette nouvelle: Ton
enfant vit.
Il leur demanda Ă quelle heure il
sâĂ©tait trouvĂ© mieux; et ils lui dirent: Hier, Ă la septiĂšme heure, la
fiĂšvre
lâa quittĂ©.
Le pĂšre reconnut que câĂ©tait Ă cette
heure-là que Jésus lui avait dit: Ton fils vit. Et il crut, lui et
toute sa
maison.
Jésus fit encore ce second miracle
lorsquâil fut venu de JudĂ©e en GalilĂ©e.
3
Pouvons-nous incliner la tĂȘte juste un instant? PĂšre, nous
sommes heureux
ce soir dâĂȘtre assemblĂ©s dans Ta maison. Pendant que jâĂ©tais assis lĂ
derriĂšre
dans la piĂšce, jâentendais Ton serviteur parler de merveilleuses choses
que Tu
as faites. Nos coeurs sont plus que ravis de penser Ă la grĂące que Tu
nous as
accordée, à nous Tes serviteurs inutiles, sachant que Tu nous as donné
le
privilĂšge dâaccepter la Vie Eternelle, dâĂȘtre Ă©ternellement bĂ©nis dans
le Pays
qui est au-delĂ de celui dans lequel nous vivons maintenant. Et il est
écrit: «Ce
sont des choses que lâoeil nâa point vues, que lâoreille nâa point
entendues,
et qui ne sont point montĂ©es au coeur de lâhomme, ce que Dieu a en
réserve pour
ceux qui Lâaiment.»
Nous Te
prions ce soir de bénir ces gens. Ton serviteur est un peu enroué, la
gorge
Ă©tant irritĂ©e... Nous Te prions maintenant de bĂ©nir, câest peut-ĂȘtre
dans le
but dâen ajouter davantage dans le service de ce soir. Nous espĂ©rons
que Tu
bĂ©niras tout le monde ici, et quâen partant dâici ce soir, nous
puissions dire
comme ceux qui revenaient dâEmmaĂŒs en ce jour-lĂ , qui avaient marchĂ©
avec Lui
et avaient parlĂ© avec Lui, pourtant ne Lâavaient pas reconnu jusquâĂ ce
quâIl
eĂ»t accompli quelque chose qui a fait quâils reconnaissent cela. Ils
ont dit: «Notre
coeur ne brĂ»lait-il pas au-dedans de nous lorsque nous LâĂ©coutions?» Et
quâIl
fasse quelque chose ce soir de telle maniĂšre que tout le monde
reconnaĂźtra que
Jésus-Christ, le Ressuscité, est ici en ce printemps, en ce temps de
Noël, avec
nous, vivant aujourdâhui: Il est ressuscitĂ© dâentre les morts, Il vit Ă
jamais,
Il vit et demeure parmi les hommes jusquâĂ ce quâIl se manifeste au
jour de
lâEnlĂšvement pour ramener Son Eglise Ă la Maison quand nous nous serons
revĂȘtus
des corps immortels comme le Sien. Accorde ces bénédictions que nous
demandons
au Nom de Jésus-Christ. Amen.
JâĂ©tais
juste en train de penser un moment Ă cet homme en dĂ©tresse. Peut-ĂȘtre
quâautrefois il a peut-ĂȘtre frĂ©quentĂ© un groupe qui nâavait pas
tellement de
considĂ©ration pour JĂ©sus. Mais il arriva un temps oĂč il Ă©tait dans le
besoin,
et il lui fallait venir. Aussi alla-t-il voir Jésus, parce que son fils
gisait
lĂ Ă lâarticle de la mort. Il devait faire quelque chose.
Jésus
lui a dit: «Si vous ne voyez des signes, vous ne croyez pas.»
Mais
lâhomme nâa pas rĂ©pondu Ă JĂ©sus. Il a dit: «Seigneur, viens, avant que
mon fils
meure.»
4
Or, lâhomme... Jâaimerais que vous remarquiez quelque chose,
que vous
gardiez ce point-ci Ă lâesprit. Lâhomme voulait que JĂ©sus descende chez
lui
guĂ©rir son fils. Mais JĂ©sus ne lui a pas accordĂ© sa requĂȘte dans les
termes
quâil lâavait formulĂ©e. Quelques fois, Il ne le fait pas pour nous tel
quel.
Vous pourriez dire: «Si je peux entrer dans la ligne de priÚre... Si
Dieu peut
faire pour moi une certaine chose...»
Mais
JĂ©sus a dit: «Ton fils vit.» Et lâhomme a cru Ă Sa Parole. Eh bien, et
si cet
homme nâavait pas cru Ă Sa Parole? Ăa aurait Ă©tĂ© diffĂ©rent. Le fils
serait
mort. Câest pareil aujourdâhui, si vous ne croyez pas Ă Sa Parole, vous
périrez. Voici Sa Parole: «Que celui qui veut vienne.» Mais si vous ne
croyez
pas à cela, vous périrez dans vos péchés. Si vous ne pouvez pas croire
cela
pour votre guérison, vous allez probablement mourir malade, périr dans
votre
maladie, dans le jeune Ăąge. Mais si vous croyez la Parole quâIl a
prononcée,
alors vous aurez tout ce que vous demandez, et ce quâIl a promis.
5
Je mâadressais Ă vous ce matin, probablement au mĂȘme groupe.
Nous avons
demandĂ© aux gens dâassister aux rĂ©unions dans leurs propres Ă©glises ce
soir. Je
ne suis point venu pour retirer quelquâun de son Ă©glise, et je les
attends de
nouveau demain soir. Nous voulons que chacun soit Ă son poste de
devoir, dans
sa propre Ă©glise. Lâintention de frĂšre Reed nâest pas de retirer
quelquâun de
lâĂ©glise de quelquâun dâautre. Tout ce quâil veut câest que les
pécheurs qui ne
vont pas Ă lâĂ©glise viennent Ă son Ă©glise. Ceux qui sont dĂ©jĂ ... ont
déjà une
Ă©glise quâils considĂšrent comme un chez soi... Je connais frĂšre Reed,
je le
connais depuis longtemps. Je sais lâĂ©tat de son coeur face Ă Dieu. Je
me suis
assis Ă table en face de lui; jâai travaillĂ© avec lui cĂŽte Ă cĂŽte. Jâai
su,
quand lâonction de Dieu Ă©tait lĂ , jâai su que jâavais un vĂ©ritable ami
en la
personne de T. Richard Reed. Si ce nâĂ©tait pas le cas, je lâaurais su.
Et je
lâapprĂ©cie.
6
Et ainsi, ce matin, je lui racontais lâĂ©vĂ©nement qui Ă©tait
arrivé en
Finlande. Une vision avait été donnée ici en Amérique. Combien étaient
ici ce
matin? Faites voir les mains. Vous vous en souvenez donc. La vision
dâun petit
garçon ressuscitĂ© dâentre les morts. Et câest connu du gouvernement
finlandais.
Jâai un document lĂ©galisĂ© du gouvernement finlandais, tĂ©moignant quâun
petit
garçon était mort trente minutes avant, il avait été renversé, écrasé,
il
gisait sur la route dans un état horrible. Dieu, deux ans auparavant,
avait
montré en vision ce qui arriverait. Le petit garçon fut ressuscité des
morts.
7
Il y a quelques jours, jâĂ©tais assis avec lâun des
organisateurs, Baron Von
Blomberg, un baron dâAllemagne, Ă Saint Petersburg, en Floride...?...
Et il
avait un petit garçon allemand quâil avait fait franchir les frontiĂšres
russes,
sur le... prĂšs de la zone amĂ©ricaine, lĂ oĂč elle touche la zone russe.
Il avait
deux jeunes soeurs. Les soldats russes tombaient dessus, violaient ces
filles
par terre. Le pĂšre avait couru pour prendre parti pour elles. Ils ont
tiré sur
le pÚre. Ils ont amené les jeunes filles et les jeunes garçons là dans
le camp,
ils les ont installés dans une mine de charbon. On amenait les jeunes
filles Ă
faire sortir du charbon la journée, elles se déshabillaient, dansaient
devant
ces soldats la nuit, nues. Lâune dâelles avait perdu la tĂȘte, lâautre
jâai
oubliĂ© ce qui sâĂ©tait passĂ©; elle est morte. Un jour, ce petit garçon
sâest
Ă©vadĂ©. Il sâest en tout cas cachĂ© dâune certaine maniĂšre, dans une
histoire, il
sâest approchĂ© de la frontiĂšre, et il est furtivement sorti dâen
dessous dâun
chargement et il est entrĂ© dans la zone amĂ©ricaine. Ăa faisait environ
huit ou
dix mois quâil Ă©tait venu. Et il parlait trĂšs bien anglais.
Il a dit:
«FrÚre Branham, la nouvelle de la résurrection de ce garçon finlandais
a
parcouru toute la Russie. Ils ont tous appris cela.»
8
Lâautre petit garçon, comme jâavais arrĂȘtĂ© cette histoire ce
matin, laâla
voiture a tamponnĂ© lâun dâeux, lui a roulĂ© dessus, a Ă©crasĂ© son corps,
il
gisait là mort sur la route. Nous... qui était ressuscité des morts. Le
petit
garçon a Ă©tĂ© emmenĂ© Ă lâhĂŽpital. Le lendemain soir, la petite fille
portant des
appareils orthopĂ©diques et tout autour dâelle a Ă©tĂ© guĂ©rie... Les gens
étaient
trĂšs ravis de voir... Je ne pouvais mĂȘme pas parler leurâleur langue.
Et le
Saint-Esprit sâĂ©levait dans lâauditoire: «Telle personne assise, AINSI
DIT LE
SAINT-ESPRIT, il se fait quâelle a fait une certaine chose, elle a
contracté
une certaine maladie.» LâinterprĂšte devait le dire. CâĂ©tait tout Ă fait
vrai.
Cela ne faillit jamais, pas une seule fois. Jamais cela nâa failli et
ne
faillira. Impossible. Câest Dieu.
9
Alors, je me rappelle que quand je rentrais Ă la maison ce
soir-lĂ , on a
essayĂ© de mâamener vers cet autre enfant qui nâĂ©tait pas encore mort.
Il en
Ă©tait Ă son troisiĂšme jour. On ne lâavait point lavĂ©. La voiture
lâavait cognĂ©
au menton, le cognant contre la paroi dâun arbre, Ă©crasant sa petite
tĂȘte, il
eut une commotion cérébrale. Vous savez ce qui arrive là . Il était dans
un état
horrible. Et alors, la petite mÚre et le pÚre étaient tellement
dĂ©chirĂ©s quâils
avaient dormi Ă la porte de lâhĂŽtel; quand ils ont commencĂ©, on a dĂ» me
tirer
par-dessus leurs tĂȘtes. Les instructions de la campagne interdisent de
faire
des visites quand on est en pleine campagne, car si on va chez lâun,
lâautre
sera blessĂ©. Par consĂ©quent, on place tout le monde au mĂȘme niveau,
quâeux tous
viennent à la réunion.
10 Alors, le lendemain, cette petite femme, la pauvre petite
créature, elle
Ă©tait lĂ dehors. LâinterprĂšte, qui Ă©tait une dame, a dit: «FrĂšre
Branham,
a-t-elle dit, je souhaiterais que vous descendiez au moins dire un mot
lĂ -dessus, dire un mot Ă ces pauvres petits pĂšre et mĂšre. Leur petit
garçon
nâest toujours pas revenu Ă lui; il est Ă©tendu lĂ .»
Jâai dit:
«Faites-les venir.» On les a donc fait monter Ă lâĂ©tage. Nous sommes
donc allés
lĂ ; bien sĂ»r, ils ont dĂ» parler par un interprĂšte. Et câest la raison
pour
laquelle je nâai pas Ă beaucoup parler dans les rĂ©unions.
En
Afrique, nous avions quinze différents interprÚtes. Je disais une
phrase comme:
«JĂ©sus-Christ est le Fils de Dieu», je pouvais rentrer mâasseoir,
prendre un
verre dâeau et me reposer avant que cela soit donc rendu par tous les
interprĂštes. Lâun pouvait dire un bruit... produire un bruit, ils
pouvaient
faire: «Blump, blump, blump, blump, blump, blump, blump.» Cela voulait
dire: «Jésus-Christ,
le Fils de Dieu.» Un autre pouvait faire...?... CâĂ©tait: «JĂ©sus-Christ,
le Fils
de Dieu.» Puis on passait à une autre tribu, puis à une autre tribu,
puis Ă une
autre tribu, jusquâĂ ce que cela soit rendu par environ les quinze
différentes
tribus.
11 Je pouvais donc aller prendre un verre dâeau, et parler un
petit moment Ă
frĂšre Baxter. CâĂ©tait le moment de dire: «Et Il est venu sur terre
sauver les
pĂ©cheurs.» Puis je pouvais rentrer mâasseoir et parler encore. Vous
voyez?
Ainsi, il nây avait pas beaucoup Ă dire lĂ -dessus. Cela prend un long
moment
pour terminer cela. Nâimporte quel genre de message de quelques
minutes, ce que
jâapporterais ici en dix, quinze minutes, prendrait pratiquement une
heure et
demi pour le terminer.
Ainsi,
quand nous descendions, cette petite femme nous a rencontrés là , elle
et son
mari, alors elle est tombĂ©e par terre. Elle sâest mise Ă dire quelque
chose
dans son dialecte finlandais. Et madame Isaacson a dit: «Elle vous
demande de
venir rĂ©tablir son petit garçon.» Les mĂ©decins avaient dĂ©jĂ dit quâil
nây avait
physiquement aucun espoir pour lui, pas du tout.
12 Jâai donc dit: «Eh bien, je ne peux pas rĂ©tablir son petit
garçon.»
Et elle
le lui a donc dit. Et elle a dit: «Eh bien, vous avez ressuscité
lâautre petit
garçon dâentre les morts, mais mon petit garçon nâest pas encore mort»,
a-t-elle dit.
Cela
fait trois fois que je vois les morts, déclarés morts par les médecins,
ĂȘtre
ressuscités.
Lâun
dâeux a tĂ©moignĂ© Ă cette chaire la premiĂšre fois que jâĂ©tais ici
premiĂšrement,
la deuxiĂšme fois ici, madame Hattie Waldrop. Vous rappelez-vous? A
Phoenix, en
Arizona. Elle est morte dâun cancer du coeur et du colon. Le suivant,
câĂ©tait
une dame, ou plutÎt un homme de ma ville, du nom de Lij Perry, tué dans
un
accident, amené, étendu prÚs du médecin, il mourut.
13 Hattie fut ressuscitĂ©e dâentre les morts, elle vit
aujourdâhui. Elle
travaillait Ă Pennsylvania Railroad. Et le suivant, câĂ©tait ce bĂ©bĂ©
lĂ -bas.
Cette dame-lĂ , de Kennett, dans le Missouri. Je sais que beaucoup
dâentre eux
pensaient quâelle Ă©tait morte; il se peut quâelle lâait Ă©tĂ©. Le soir oĂč
la
petite fille de couleur aveugle avait été guérie là -bas derriÚre le
bĂątiment.
Vous rappelez-vous le...?... quand jâĂ©tais lĂ la derniĂšre fois. Eh
bien, il se
peut quâelle ait Ă©tĂ© morte; je ne sais pas. Je pense quâelle Ă©tait dans
le
comma. Elle est allĂ©e tĂ©moigner, jusquâen Californie au sujet de sa
guérison:
Le cancer. Peut-ĂȘtre quâelle est assise ici ce soir, Ă ce que je sache.
Et
ainsi, mais je ne sais pas si elle était morte ou pas; je ne pourrais
le dire.
14 Mais, de toute façon, je connais trois déclarations
médicales qui
Ă©tablissaient quâils Ă©taient morts. Puis, ce petit garçon, lui, bien
sûr, il
nâĂ©tait pas encore mort. Mais il Ă©tait inconscient, il nâavait pas
encore
repris conscience, câĂ©tait le troisiĂšme jour. Ils ont donc dit:
«Descendez Ă lâhĂŽpital.»
«Eh
bien, ai-jeâje dit, câest contre les consignes pour moi de quitter cet
endroit
ici et dâaller Ă lâhĂŽpital. Je prie pour votre garçon.» Jâai dit: «A
propos,
ĂȘtes-vous tous chrĂ©tiens?»
«Non.»
«Eh
bien, ai-je dit, écoutez. Si le petit gar-... Si vous voulez obtenir
une faveur
de ma part, cherchez dâabord ma faveur.» Jâai dit: «Si... Vous devriez
devenir
des chrĂ©tiens. Peut-ĂȘtre que Dieu aurait pitiĂ© de votre petit garçon et
Ă©pargnerait sa vie. Mais siâsi vous devenez chrĂ©tiens, vous pourriez
trouver
grĂące aux yeux de Dieu, et mĂȘme si Dieu reprend le petit garçon, il
nâest quâun
petit garçon, il nâa que six ans, ai-je dit, il ira au Ciel; il nây
aura pas
dâaccidents lĂ -bas.» Et jâai dit: «Si vous mourez pĂ©cheurs, vous nâirez
jamais
au Ciel, et vous ne le reverrez plus. Mais si vous... sâil meurt et que
Dieu le
reprend, et que vous ĂȘtes chrĂ©tiens, vous irez lĂ vivre avec lui un
jour, lĂ oĂč
il nây a pas dâaccidents. Mais, ai-je dit, si donc vous ne le devenez
pas,
alors, etâet si... Il peut Ă©pargner sa vie.» Alors, ils ont vu quâils
ne
pouvaient perdre en aucun cas. Ils voulaient donc devenir des
chrétiens. Nous
nous sommes agenouillĂ©s et nous avons priĂ©. Ils ont donnĂ© leur coeur Ă
Christ.
Ils se sont relevés. Quand ils se sont relevés de là , alors la pauvre
petite
mĂšre, elle avait environ vingt-deux ans, je pense, vingt-trois ans,
elle a dit,
elle est venue lĂ , marmonnant quelque chose Ă mon intention, et
lâinterprĂšte a
dit: «Voici ce quâelle dit. Elle a dit: âMaintenant, allez guĂ©rir mon
garçon.â»
15 «Eh bien, ai-je dit, câest vraiment trĂšs aimable de votre
part, soeur, mais
je ne pourrais guĂ©rir votre garçon.» Jâai dit: «Le Seigneur JĂ©sus doit
dâabord
donner une vision de ce qui va se passer, alors je vous le dirai.»
Elle a
dit: «Allez-y, ayez une vision.»
Jâai dit:
«Câest aimable de votre part, mais je ne peux pas le faire. Câest Dieu
qui doit
donner cela, Lui-mĂȘme.»
Elle a
dit: «Eh bien, vous avez eu une vision pour lâautre garçon.»
Et jâai
dit: «Oui, câest vrai. Mais je nâavais pas demandĂ© cela. Je ne savais
mĂȘme pas
que je viendrais alors ici. Câest Dieu qui a donnĂ© cela. CâĂ©tait Sa
volonté
souveraine.» Jâai dit: «Eh bien, je ne peux pas faire cela.»
Et elle
a ditâelle a dit: «Eh bien, venez Ă lâhĂŽpital.»
16 Jâai dit: «Non, je vais... Ce serait une violation des
consignes. Jâirai en
chambre et je prierai; Dieu peut mâexaucer ici dedans, tout comme Il
peut
mâexaucer Ă lâhĂŽpital.»
Je suis
donc entré, je me suis mis à ... Elle a dit: «Eh bien, entrez en
chambre,
jâattendrai que vous ayez une vision.» CâĂ©tait bien beau, mais...
Jâai dit:
«Il se peut quâIl ne me donne mĂȘme pas une vision. Il se peut quâIl ne
me dise
mĂȘme pas une chose. Je ne peux pas Lâobliger. Câest simplement sâIl le
veut.»
Alors,
madame Isaacson les a finalement convaincus dâaller Ă lâhĂŽpital. Ainsi,
ils...
au lieu dâaller Ă lâhĂŽpital, ils sont rentrĂ©s Ă la maison. Environ dix
minutes
aprÚs, le téléphone a sonné. Et vous devriez voir ces téléphones en
Finlande.
Cela a un long bùton comme ça; vous mettez cela derriÚre votre oreille,
et vous
tournez la manivelle comme ceci. Ils ont donc appelé et ont dit:
«A-t-il dĂ©jĂ
eu une vision?»
«Non.»
Environ
dix minutes plus tard, elle a rappelé: «A-t-il déjà eu une vision?»
17 «Non.» Madame Isaacson a dit: «Il se peut quâil nâen voie
mĂȘme pas une.
Vous tous, allez simplement de lâavant, servez Dieu, remerciez-Le et
croyez que
votre petit garçon va se rétablir.»
Eh bien,
cela a continuĂ© ainsi jusquâĂ lâheure dâaller Ă lâĂ©glise, elle appelait
environ
toutes les quinze, vingt minutes, et elle demandait si jâavais eu une
vision,
ce qui allait se passer. Je disais: «Il peut... Dieu peut me dire quâIl
va le
reprendre.» Jâai dit: «SâIl va le reprendre, eh bien, câest tout ce que
nous
pouvons dire. Que Ta volonté soit faite.»
18 Alors, il a dit... Eh bien, nous sommes allĂ©s Ă lâĂ©glise. Et
câĂ©tait la
soirĂ©e oĂč la petite fille avait Ă©tĂ© guĂ©rie; jâen ai parlĂ© ce matin. En
route
vers la maison, ce soir-lĂ , nous sommes montĂ©s Ă lâĂ©tage. Madame
Isaacson est
allée dans sa chambre. FrÚre Jack Moore et frÚre Lindsay étaient
ensemble dans
une chambre. FrÚre Baxter et Howard, mon frÚre, étaient ensemble. Je
restais
seul dans une chambre Ă cause des visions. Ainsi, je venais dâentrer,
et
jâespĂšre, si jâai des amis canadiens ici, que vous nâaurez pas de
ressentiment
à mon égard.
Au
Canada, Howard mâavait donnĂ© des bonbons quâils avaient fabriquĂ©s lĂ au
Canada,
et ilsâils ne contenaient pas beaucoup de sucre, ils avaient donc un
goût
horrible. Il mâa donc dit, quand on rentrait ce soir-lĂ , il a dit:
«Bill, te
souviens-tu de ces bonbons canadiens?»
Et jâai
dit: «Oui.»
19 Il a dit: «Tu devrais goûter celui-ci de la Finlande.» Deux
petits bonbons
carrĂ©s. Je les ai simplement pris dans ma main. Jâavais cela dans ma
Bible, et
je suis entré dans ma chambre. Il y avait de trÚs grosses tables en
marbre. Ils
sont vraiment Ă lâancienne mode. Alors, jâai dĂ©posĂ© la Bible sur la
table comme
ceci, et je suis sorti. Il Ă©tait environ minuit. CâĂ©tait vraiment
poussiéreux.
Il ne faisait pas sombre, on Ă©tait en avril, on Ă©tait pratiquement Ă
lâaube.
Ils nâont quâun jour par annĂ©e (Vous voyez?); six mois dans
lâobscuritĂ©, six
mois avec... du soleil...?... Et câest le pays du soleil de minuit.
20 Des milliers de Lapons venaient de Laponie, conduisant des
caribous, ils
roulaient Ă bord dâun traĂźneau. Les caribous, la langue pendant droit
entre les
pattes, et ils roulaient derriĂšre cela, comme cela. Ils se
rassemblaient donc
de partout. Il y en avait vingt-cinq mille dans le Messuhalli. Et ce
soir-lĂ ,
quand je suis entré dans la salle, vers trois heures, il y avait une
ligne de
trente, cÎte à cÎte, sur une longueur de six pùtés de maisons, pleine
de gens,
en plus de vingt-cinq mille qui remplissaient le Messuhalli. Ils
aimaient le
Seigneur. En deuxiĂšme position, les ressortissants de lâArkansas. Jâai
dit: «Ce
matin, aimez le Seigneur, endurez tout pour servir le Seigneur.»
21 Alors, quand je me suis levĂ©, jâai dĂ©posĂ© la Bible, je me
suis avancé à la
fenĂȘtre, et on pouvait voir les gens traverser les parcs juste en train
de parler
et de parler de ce qui sâĂ©tait passĂ©. Et ils Ă©taient tellement heureux
et ils
allaient de lâavant, se parlant lâun Ă lâautre. Et les femmes en trĂšs
grosses
bottes, de jeunes filles, et tout, elles portaient des jupes trĂšs
larges et
épaisses, elles devaient les porter hiver et été, tout pareil. Alors,
ils
passaient lĂ , parlant et tout. Et peu aprĂšs, jâai levĂ© les mains; jâai
dit: «Ă
Grand JĂ©hovah Dieu, comme câest merveilleux ! Tu es tellement bon,
Seigneur,
pour mâavoir montrĂ© la vision de la rĂ©surrection de ce petit garçon et
avoir
guéri ce soir cette petite fille.»
22 Le... Un peu avant cela, je nâai point racontĂ© cela ce
matin-lĂ , lâune des
autoritĂ©s municipales, lĂ , un genre, on dirait, un agent de lâEtat, sa
petite
fille avait été estropiée pendant environ dix ans à cause de quelque
chose, une
fiĂšvre lui avait fait recourber le dos. Elle marchait un peu comme
ceci. Et lĂ
mĂȘme Ă la rĂ©union, Dieu lâa guĂ©rie. Elle est sortie en marchant
parfaitement,
normale. Et, oh! ça avait été une merveilleuse soirée là !
Monsieur
Manninen et... Combien reçoivent le journal La Voix de la Guérison et y
ont vu
la photo de ces choses? Ils ont rassemblĂ© des bĂ©quilles et tout, Ă
lâaide
desquelles ces gens marchaient, en un tas si grand, et ils ne pouvaient
pas les
contenir comme ça aprĂšs une soirĂ©e de service. AussitĂŽt quâils voyaient
une
chose ĂȘtre accomplie dans le domaine surnaturel, on nâavait pas Ă prier
pour
eux; tout ce quâils faisaient, câĂ©tait simplement se lever et sortir
quand
mĂȘme. Ils croyaient de toute façon cela. On nâavait pas Ă ... Câest
comme ça
dans dâautres nations, sauf en AmĂ©rique. Mais nous ne sommes pas ainsi
de toute
façon. Câest vraiment dommage, mais nous ne le sommes pas. Savez-vous
quel est
le problÚme? On nous a trop endoctrinés. Il nous faut aller demander au
docteur
Untel si câest vrai. Il a dit: «Eh bien, câest la thĂ©ologie.»
Lâautre
dit: «Eh bien, câest de la tĂ©lĂ©pathie mentale.»
Lâautre
dit: «Câest un dĂ©mon.»
Docteur
Untel dit: «Câest du non-sens.»
Un autre
docteur dit: «Câest du diable.»
23 Oh ! la la ! Il nâest pas Ă©tonnant que vous ne puissiez pas
croire ! Il
nâest pas Ă©tonnant que vous ne puissiez pas croire. ArrĂȘtez de demander
au
docteur Untel; recevez ce que Jésus a dit. Cela rÚgle la question. Il
est le
mĂȘme hier, aujourdâhui et Ă©ternellement.
CâĂ©tait
pareil avec les pharisiens et les autres, ils devaient aller demander
au
sacrificateur si câĂ©tait en ordre de faire ceci ou cela. Câest la
raison pour
laquelle ils ont manqué de voir Jésus et de reconnaßtre Qui Il était.
De mĂȘme, ils
manquent de voir le Saint-Esprit aujourdâhui, la mĂȘme chose. Amis
chrétiens,
écoutez: Ils ont des églises, et nous avons tout, mais ils manquent de
voir le
Grain de vie lĂ , le Saint-Esprit accomplissant des signes et des
prodiges parmi
Son peuple, ce quâIl a promis de faire. Il a dit quâIl serait avec
nous, mĂȘme
en nous jusquâĂ la fin du monde.
24 Pendant que je me tenais lĂ en train de louer le Seigneur
pour Sa bonté, je
regardais parâpar une grande fenĂȘtre; câĂ©tait un peu poussiĂ©reux. On
pouvait
encore lire un journal dans la rue. Et il était environ vingt-trois
heures
trente ou minuit. Tous les autres avaient regagné leurs chambres. Et je
me
tenais lĂ , regardant par la fenĂȘtre comme ceci, louant Dieu au travers
de ces
grandes montagnes parsemées de cÚdres là -bas, avec les mains levées; je
Le
louais. Jâai senti Quelque Chose dâĂ©trange. Cela mâa paru comme une
certaine
LumiĂšre autour de lĂ oĂč je me tenais.
25 Je Lâai vu debout Ă mes cĂŽtĂ©s, et Il Ă©tait lĂ , les bras
croisés, me
regardant, et il y avait devant moi (Cela nâĂ©tait pas lĂ auparavant),
un de ces
longs pots, Ă peu prĂšs de cette hauteur. Et il y avait deux fleurs de
PĂąques,
comme je les appelle. Je ne sais comment on les appelle. De petites
fleurs qui
poussent en forme de petite cloche. Elles sont jaunes et certaines
dâentre
elles sont blanches, elles poussent vers PĂąques. Nous les appelons, je
pense,
on les appelle des jonquilles, câest ça leur vrai nom, mais elles ne
poussent
mĂȘme pas dans cette contrĂ©e. Mais câĂ©tait lĂ dans ce pot. Je me suis
dit: «Eh
bien, quâest-ce?» Et jâai remarquĂ© que lâune dâelles, descendant de ce
gros et
haut pot, sâĂ©talait vers le nord, Ă plat, sur la table, couchĂ©e comme
ceci, et
lâautre Ă©tait recourbĂ©e.
26 Alors, je Lâai regardĂ©; Il se tenait lĂ juste comme Il le
fait dâhabitude.
CâĂ©tait un Homme grand, aux cheveux sombres retombant sur les Ă©paules,
au teint
olivĂątre, pieds nus, revĂȘtu dâune longue robe, Il avait les bras
croisés, et Il
pesait environ deux cent livres [90,7 kg]. Il est toujours juste sous
cette
LumiĂšre-lĂ . Alors, Il se tenait lĂ . Il me regardait. Et jâai dit...?...
lĂ ,
jâallais mâagenouiller; Il a dit: «Quâest-ce que ton frĂšre tâa donnĂ©?»
Et jâai
dit: «Deux bonbons. Je les ai dĂ©posĂ©s sur lâautre... cette table-lĂ .»
Et Il a
dit: «Mange-les.» Eh bien, jâai tendu la main et jâai pris ces bonbons,
et jâen
ai mis un dans ma bouche, jâai commencĂ© Ă le mĂącher. Jâavais
lâintention de les
manger cette nuit-lĂ , et je ne lâavais simplement pas fait, je les
avais donc
dĂ©posĂ©s lĂ et je mâĂ©tais avancĂ© lĂ pour louer le Seigneur. Alors, je me
suis
mis Ă mĂącher ce bonbon, cela avait un bon goĂ»t, et je lâai avalĂ©.
Alors, quand
je lâai avalĂ©, cette fleur de PĂąques qui Ă©tait Ă©talĂ©e Ă plat vers le
nord sâest
mise Ă faire: «Swih-h-h-h.» [FrĂšre Branham illustre.âN.D.E.] Elle sâest
directement relevĂ©e comme cela. Et je lâai regardĂ©e. Je nâavais pas
compris
cela.
27 Je Lâai encore regardĂ©. Il a dit: «Mange lâautre bonbon.» Et
je lâai mis
dans la bouche et, oh ! câĂ©tait horrible. Et pourtant câĂ©tait le mĂȘme
genre de
bonbon, comme ces petits blocs de chocolat. Et je lâai mis dans la
bouche. Cela
avait le goĂ»t, et juste comme, je mâimagine, le goĂ»t de lâamidon.
Juste... Je
lâai fait sortir comme cela, et jâai constatĂ© que cette autre fleur de
PĂąques
était à moitié penchée, et elle a commencé à baisser, baisser, baisser,
baisser. Jâai directement sorti cela. Il a dit: «Si tu ne manges pas
cela,
lâautre garçon va mourir aussi.» Je lâai remis dans la bouche, je me
suis mis Ă
le mĂącher trĂšs rapidement et je lâai avalĂ© vraiment vite. Et alors,
cette autre
qui était penchée vers le sud a fait: «Swih-h-h-h-h.» [FrÚre Branham
illustre.âN.D.E.]
28 Eh bien, câest exactement dans ces directions que ces
garçons étaient
tombĂ©s quand ils ont Ă©tĂ© cognĂ©s par la voiture. Lâun est tombĂ© vers le
nord, et
lâautre vers le sud. Et ils Ă©taient tous lĂ debout. Et je Lâai regardĂ©;
jâai
dit: «Mon Seigneur, je ne comprends pas. Que signifie ceci?»
Il a dit:
«Va, appelle la femme et dis: âAINSI DIT LE SEIGNEUR, ton fils vivra et
ne
mourra pas.â»
Oh ! la
la ! Il mâa quittĂ©. Je me suis tenu lĂ . JâĂ©tais engourdi partout, comme
je
lâĂ©tais ce matin, pendant que jâĂ©tais assis sur mon lit. Je me suis mis
Ă me
mordre les doigts et à me tùter les mains. Je me suis dit: «Oh ! Si
seulement
je peux me parler, je... que je peux arriver à parler.» Et je me suis
dit...
Mes lĂšvres Ă©taient vraiment Ă©paisses, et jeâjâai regardĂ© ma Bible, et
jâai
couru lĂ vers le couloir, jâai poussĂ© un grand cri. Vous connaissez
tous frĂšre
Moore et les autres; vous pouvez leur demander. Jâai lĂąchĂ© un grand
cri; tout
dâun coup, vous savez, les portes se sont ouvertes, les gens
regardaient
dehors.
29 Jâai dit: «Venez, FrĂšre Moore, vous tous, ainsi que soeur
Isaacson.» Eux
tous sont sortis. Jâai dit: «Soeur Isaacson, allez tĂ©lĂ©phoner cette
petite mĂšre,
et dites-lui: âAINSI DIT LE SEIGNEUR, son fils vivra et ne mourra pas.â»
Elle est
donc allĂ©e Ă ce drĂŽle de tĂ©lĂ©phone lĂ oĂč Ă©tait lâascenseur, ou
lâĂ©lĂ©vateur,
comme nous lâappelons ici. Eux lâappellent lâascenseur, ce qui vous
fait
monter. Et elle a téléphoné à partir de ce petit téléphone. Elle a
sonné la
maison de cette mĂšre, et ils avaient les nouvelles selon lesquelles le
petit
garçon se mourait.
Ainsi,
la mÚre avait laissé le baby-sitter avec son tout petit bébé, et elle
était
partie Ă lâhĂŽpital. LâhĂŽpital, câest juste une maison lĂ -haut, juste
une maison
ordinaire oĂč on devait placer les malades. Elle a donc sonnĂ© lâhĂŽpital,
et elle
lâa eue au tĂ©lĂ©phone; ils ont dit que le garçon se mourait. Elle lâa
eue au
tĂ©lĂ©phone, soeur Isaacson a dit: «FrĂšre Branham vient dâavoir une
vision, et il
mâa dit de vous dire: âAINSI DIT LE SEIGNEUR...â» La petite mĂšre
criait. Elle a
dit: «Ne craignez pas, le garçon ne va pas mourir.»
30 Et quand la petite mĂšre a pu atteindre le lieu quâelle
pouvait atteindre,
elle a dit: «Oh ! Je le sais bien. Nous nous tenions prÚs de lui il y a
quelques minutes, et il sâest levĂ© du lit. Nous lâavons dĂ©jĂ lavĂ©; il a
prisâpris un verre dâeau; nous allons le ramener Ă la maison le matin.»
Dieu
avait dĂ©jĂ exaucĂ© sa priĂšre. Mes amis, je nâai jamais touchĂ© le garçon,
ni
aucun dâeux, jamais je nâai touchĂ© aucun dâeux. CâĂ©tait Dieu qui, en
exauçant
leur priĂšre, avait fait cela. Il mâa seulement montrĂ© et a dit: «Va
dire ceci.
Va dire cela.» Voyez-vous là ? Ainsi, cela ne fait pas de moi un
guérisseur
divin. Je nâai rien du tout Ă faire avec cela.
31 Si je dis à frÚre Reed là : «Allez dire à tel homme telle
chose», ce sera
moi qui envoie un message, et certains dâentre nous sont nĂ©s, amis,
pour ĂȘtre
prĂ©dicateurs, frĂšre Reed, beaucoup dâautres. Dâautres parmi nous sont
nés pour
ĂȘtre des musiciens. Jâai remarquĂ© ce soir cette jeune dame qui battait
sur ces
instruments-lĂ , le xylophone, qui jouait Ă lâorgue, au piano, eh bien,
je ne
connais rien Ă ce sujet-lĂ . Eh bien, je ne saurais mĂȘme pas si câest en
accord
ou pas. Je ne pourrais le distinguer. Dieu ne mâa jamais envoyĂ© jouer
de la
musique. Mais je suis né un voyant.
Eh bien,
eux jouent la musique pour la gloire de Dieu. Câest une façon de
prĂȘcher
lâEvangile. Lâhomme prĂȘche Cela par la Parole. Et ma façon Ă moi, câest
par la
vision. Ne voulez-vous pas croire tous les témoins que Dieu vous a
envoyés? Ne
pouvez-vous pas reconnaĂźtre que Dieu est dans ces cantiques quand vous
chantez,
que quelque chose bĂ©nit votre Ăąme? Nây a-t-il personne... le
prĂ©dicateur prĂȘche
cela, quâil vous confirme bien tout? Nâest-ce pas vrai?
Eh bien,
Il a dâautres dons. Il y a dâabord les apĂŽtres, puis les prophĂštes, les
dons de
la guĂ©rison, dâopĂ©rer des miracles, les docteurs, et ainsi de suite.
Est-ce
vrai? Tout cela pour le perfectionnement de lâEglise. Est-ce vrai?
Maintenant,
ne doutez pas. Ayez foi en Dieu. Dieu fera sâaccomplir cela.
Croyez-vous cela?
Inclinons la tĂȘte. Soeur Reed...
32 Je suis reconnaissant quâil nây ait personne qui soit venu
ici dans un
fauteuil roulant, sur une civiĂšre, ou sur un brancard, sans en sortir Ă
ce que
je sache. Il y a une dame assise lĂ ce soir, qui semble avoir un membre
fracturé, ou quelque chose comme cela. Le Saint-Esprit peut lui révéler
ce
quâil en est. Câest Lui le GuĂ©risseur de toutes nos maladies, de nos
afflictions.
Ă
Seigneur, comme mon esprit remonte maintenant en arriĂšre, Ă quelques
années
auparavant, Ă des centaines de milliers de gens. Eh bien, nous sommes
maintenant juste Ă un jour plus prĂšs de la maison. On est sur le point
de
tourner la page pour ce jour-ci. Ce sera un autre jour de lâhistoire,
un jour
que nous rencontrerons lĂ -bas au Jugement un jour. Une partie de plus
du
service, la priĂšre pour les malades, lâappel Ă lâautel...
33 Bénis Tes serviteurs partout ce soir, ces vaillants
ministres de la foi qui
se tiennent Ă lâestrade, proclamant lâEvangile sans peur. BĂ©nis-les Ă
travers
le monde, Seigneur, à travers toutes les nations. Envoie Jésus Ton
Fils. Ce
vieux monde est trempé du sang des chrétiens, les autels sont baignés
de
larmes, criant: «Viens, Seigneur Jésus.» Un jour, Il viendra. Nous Le
verrons.
Et
maintenant, PĂšre, il mâincombe ce soir de prier pour les malades. Alors
que ce
petit groupe sâest rassemblĂ© en ce temps de tempĂȘte, ils Tâaiment, ils
ont
conduit sur des milliers de kilomĂštres, certains dâentre eux. Sans
doute quâil
y en a assis ici qui sont trĂšs malades. Dâautres sont assis ici, se
posant des
questions. Ă Dieu, que tout le monde rentre Ă la maison ce soir
heureux, se
réjouissant, et guéri. Que les pécheurs soient convertis, les
rétrogrades,
réclamés. Que ça soit une soirée glorieuse. Tire gloire du service.
34 Et maintenant, Dieu Tout-Puissant, Toi qui as ramené notre
Seigneur
JĂ©sus-Christ dâentre les morts, qui as envoyĂ© Son Ange pour ĂȘtre un
Esprit au
service, diriger Ton serviteur dans cette vie, puisse-t-Il se tenir Ă
mon cÎté
ce soir ici et manifester Jésus-Christ à cet auditoire; car je le
demande au
Nom de Jésus-Christ. Amen.
[Espace
vide sur la bandeâN.D.E.]... car jâĂ©tais faible, partout dans le monde.
Lâautre
jour, jâai reçu une lettre de lâAllemagne. La dame avait Ă©tĂ© estropiĂ©e
et
clouĂ©e dans un fauteuil roulant pendant des annĂ©es suite Ă lâarthrite.
Elle
avait lu mon petit livre: Un Homme envoyé de Dieu, qui a été traduit en
allemand, en finlandais, en suédois, en afrikaans, oh ! je ne sais pas.
Elle a
donc pris le petit mouchoir; elle a suivi les instructions et elle lâa
attaché
Ă son sous-vĂȘtement, elle a placĂ© sa main dessus. Elle a dit:
«Maintenant,
dĂ©mon, sors dâici.» Elle a sautĂ© de son fauteuil et a marchĂ© seule Ă
travers la
maison.
35 [Espace vide sur la bandeâN.D.E.] Et lâenfant avait attrapĂ©
une insolation,
je pense, en effet vers onze heures; il était dehors dans le champ de
moisson
avec son papa, il sâest mis Ă crier: «Ma tĂȘte !» On lâa renvoyĂ© et il
sâest
couchĂ© sur les genoux de sa mĂšre et il est mort Ă lâheure du dĂźner.
Elie
avait une petite chambre. Elle avait construit pour Elie une petite
chambre Ă
cĂŽtĂ©, oĂč il pouvait passer la nuit: il avait lĂ un lit, un tabouret, et
une
cruche dâeau. Elle lâa pris et lâa placĂ© sur le lit du prophĂšte. Un bon
endroit
oĂč le placer, nâest-ce pas? Câest vrai.
Son mari
est venu. Il a dit: «Selle le mulet. Va de lâavant maintenant. Ne
tâarrĂȘte pas.»
Il a dit:
«Ne va pas au mont Carmel, car ce nâest ni le sabbat ni la nouvelle
lune. Le
prophĂšte ne sera pas Ă la montagne.» Il avait une caverne lĂ -bas oĂč il
restait.
Elle a
dit: «Tout va bien.»
36 Il a dit: «Selle ce mulet et va de lâavant», sâadressant au
serviteur, «et
ne tâarrĂȘte pas Ă moins que je te lâordonne.» Jâaime ça. «Va de
lâavant; ne
tâarrĂȘte pas.» Une seule alternative pour elle.
Alors,
quand le prophĂšte est sorti, il lâa vue venir, il a dit Ă GuĂ©hazi, son
serviteur, il a dit: «Voici venir cette Sunamite, a-t-il dit; elle est
affligée
dans son coeur. Je ne sais pas ce qui cloche chez elle.» Il a dit:
«Dieu ne me
lâa point rĂ©vĂ©lĂ©.»
Voyez,
Dieu ne dit pas tout Ă Ses prophĂštes. Il a dit: «Dieu lâa gardĂ© secret
pour
moi.» Il a demandé: «Tout va-t-il bien pour toi? Tout va-t-il bien pour
ton
mari? Tout va-t-il bien pour ton enfant?»
37 Elle a dit: «Tout va bien. Tout va bien pour mon mari. Et
tout va bien pour
lâenfant.» Jâaime ça. Son enfant Ă©tait Ă©tendu lĂ , un cadavre, mais:
«Tout va
bien.»
Elle
savait que câĂ©tait le prophĂšte de Dieu, et elle savait que câĂ©tait
lâhomme de
Dieu pour lâheure. Et elle savait que Dieu Ă©tait dans le prophĂšte. Elle
le
savait. Et si seulement elle pouvait atteindre ce prophĂšte, elle
découvrirait
pourquoi Dieu a repris son enfant.
Jâaime
ça. Je pense que Marthe avait fait la mĂȘme chose quand elle avait
rencontré
Jésus.
Alors,
le prophĂšte lâa regardĂ©e, et donc il... elle est tombĂ©e Ă ses pieds.
Guéhazi
lâa relevĂ©e de prĂšs de son maĂźtre, comme cela. Elle sâest alors mise Ă
lui
révéler ce qui clochait.
Eh bien,
observez, il a dit: «GuĂ©hazi, prends mon bĂąton et va de lâavant. Ne
salue
personne. Ne parle Ă personne. Si quelquâun te parle, ne lui rĂ©ponds
mĂȘme pas.
Et va poser ce bĂąton sur lâenfant.»
38 Eh bien, Elie savait que tout ce quâil touchait Ă©tait bĂ©ni.
Mais
maintenant, sâil pouvait amener cette femme Ă croire cela. Je pense que
câest
de là que Paul a tiré le systÚme de ses mouchoirs. Vous voyez? Il
savait que
Dieu Ă©tait en lui. Et Elie savait que ce quâil bĂ©nissait, ce sur quoi
il plaçait
ses mains Ă©tait bĂ©ni. Câest pourquoi nous avons lâordre dâimposer les
mains aux
malades, ce que vous touchez est bĂ©ni. Câest la raison pour laquelle on
prenait
des mouchoirs et des linges qui avaient touchĂ© le corps de Paul. Câest
la
raison pour laquelle lâombre de Pierre passait sur le public, et ils
reconnaissaient Cela.
Allons
un peu plus loin avec cette femme sunamite. Jâaime ce cas-lĂ . Regardez.
Mais
elle nâavait pas foi dans leâdans leâdans le bĂąton. Elle a dit:
«LâEternel est
vivant, et ton ùme est vivante ! Je ne te quitterai point.» Déterminée,
jâaime
ça. Pas vous? Elle a dit: «Je vais carrĂ©ment mâaccrocher Ă vous.»
39 Il sâest donc ceint les reins et il est parti. Il est arrivĂ©
Ă la maison,
et tout le monde pleurait, criait et se comportait bizarrement. Le
pauvre Elie
ne savait que faire. Eh bien, observez. Il est entrĂ© dans la piĂšce oĂč
reposait
lâenfant mort. Et Elie a parcouru le plancher, faisant des va-et-vient,
des
va-et-vient, il ne priait pas lĂ , il parcourait ce plancher. Puis, il
alla
placer son corps sur le corps de cet enfant, ses lĂšvres contre les
lĂšvres de
lâenfant, son nez contre le nez de lâenfant, sa tĂȘte contre la tĂȘte de
lâenfant. Et il sâest couchĂ© lĂ .
40 Dieu en lui... La chair de lâenfant sâest rĂ©chauffĂ©e. Il
sâest relevĂ©, il a
de nouveau parcouru le plancher de long en large, il est revenu, il
sâest de
nouveau couchĂ© sur lâenfant, ses lĂšvres contre les lĂšvres de lâenfant,
son nez
contre le nez de lâenfant, ses mains contre les mains de lâenfant, et
lâenfant
a Ă©ternuĂ© sept fois (Jâaurais souhaitĂ© avoir le temps dâaborder lĂ ce
chiffre
sept, mais nous nâen avons pas). Il Ă©ternua sept fois et revint Ă la
vie.
Dieu
était dans ce prophÚte-là . Et cette femme savait que si jamais elle
pouvait
atteindre ce prophÚte dans... Dieu était dans Son prophÚte, et si
jamais elle
pouvait ĂȘtre en contact avec Son prophĂšte, elle saurait ce quâil en
était de
son enfant. Et son enfant lui a été ramené, de nouveau en vie; en
effet, elle
avait honoré Dieu dans Son serviteur. Est-ce vrai?
41 Câest pourquoi les gens Ă©taient guĂ©ris, Ă partir des
mouchoirs que Paul
envoyait; ils savaient que Dieu était dans cet apÎtre-là . Ils savaient
quâil
nâĂ©tait pas seulement un apĂŽtre, il Ă©tait un prophĂšte. Et on prenait
des
mouchoirs et des linges qui avaient touché son corps et on les posait
sur les
malades, et les mauvais esprits sortaient dâeux, et ils Ă©taient guĂ©ris.
Est-ce
vrai?
Inclinons
la tĂȘte. Seigneur JĂ©sus, voici posĂ©s ici devant moi des mouchoirs.
Peut-ĂȘtre un
cher vieux papa aveugle est assis lĂ dans une petite cabane quelque
part
derriĂšre un champ de coton, derriĂšre une petite vieille cuisiniĂšre ce
soir,
attendant que ce mouchoir revienne. Peut-ĂȘtre quâune maman, lĂ , se
demande
quand reviendra ce mouchoir, avec un petit enfant affligé couché sur le
lit,
alors quâelle le baigne maintenant pour le coucher, attendant que ce
mouchoir
revienne. Ă Dieu, regarde ces scĂšnes.
42 Lâun des Ă©crivains nous a appris que quand IsraĂ«l est sorti
de lâEgypte,
suivant le commandement de Dieu, ils sont arrivés à la mer Rouge, il y
avait
les montagnes dâun cĂŽtĂ©, des dĂ©serts de lâautre, lâarmĂ©e de Pharaon
venait, et
la mer Rouge les avait eus dans un piÚge. Il a dit: «Dieu baissa le
regard au
travers de cette Colonne de Feu avec des yeux courroucés. Et la mer eut
peur et
recula, et Israël traversa.»
Ă Dieu,
accorde ce soir, alors que je pose mes mains sur ces mouchoirs, quand
ils
toucheront ces malades, que Dieu baisse le regard au travers de cette
Colonne
de Feu, une fois de plus, avec des yeux courroucés, et que les maladies
quittent les gens, et quâils traversent vers la Terre promise de la
bonne santé
et de la force. Accorde-le, Seigneur. Je bénis ces mouchoirs au Nom de
Ton Fils
Jésus pour ce but. Amen.
43 TrĂšs bien, Billy. A partir dâoĂč? Cinquante Ă cent? Quel
était ce...?... la
premiĂšre partie de cela? Un Ă cinquante? Appelons la seconde partie, la
derniĂšre partie de cela. Appelons cela. Appelons les cartes de priĂšre
T, câest
ce quâils ont distribuĂ© cet aprĂšs-midi. Appelons de 85 Ă 100.
Dâhabitude, nous
prenons environâenviron quinze, câest Ă peu prĂšs ce que nous pouvons
faire
monter Ă lâestrade. Et alors, nous prenons lâauditoire.
Qui a
T-85? Oh ! 85, 90, 95, câest vrai. Pardonnez-moi. TrĂšs bien. 86, 87,
88, 89,
90, jusquâĂ 100. Alignez-vous dâabord. Vous autres, regardez dans cette
direction-ci, vers moi, juste une minute. Combien ici veulent ĂȘtre
guéris ce
soir? Levez la main et dites: «Je veux ĂȘtre guĂ©ri, FrĂšre Branham.»
Combien
ici disent: «Je nâai pas reçu la carte de priĂšre, mais je veux de toute
façon
ĂȘtre guĂ©ri, FrĂšre Branham»? Levez la main. Regardez cette masse
compacte
partout dans ces lignes, partout.
44 Mon ami chrétien, assurément, Dieu a assez témoigné devant
vous pour vous
faire savoir que je vous dis la vérité. Si vous regardez de ce cÎté-ci,
que
vous priiez, et que vous croyiez que cette histoire que je vous raconte
est la
vĂ©ritĂ©, que vous acceptiez simplement cela, que vous dites: «Câest la
vérité»
de tout... Par les mérites de la Bible, par la confirmation de la
science, par
ce que vous voyez vous-mĂȘme.
La Bible
dĂ©clare: «Câest sur la dĂ©position de deux ou trois tĂ©moins que chaque
parole
sera Ă©tablie.» Est-ce vrai? Combien disent que câest ce que dĂ©clare la
Bible?
Dites: «Amen.» [LâassemblĂ©e dit: «Amen.»âN.D.E.]
45 La Bible dĂ©clare que JĂ©sus-Christ est le mĂȘme hier,
aujourdâhui et
éternellement. Est-ce vrai?
Il a dit
quâIl ne faisait que ce que le PĂšre Lui montrait. Est-ce vrai? Il a
dit: «Vous
ferez aussi ce que Je fais.» Est-ce vrai? Cela confirme la Bible.
TrĂšs
bien. En voici la preuve scientifique, en ce jour-ci, la mĂȘme Colonne
de Feu.
Vous avez droit, vous avez un droit légitime de demander à George J.
Lacy. Vous
avez un droit lĂ©gitime dâexaminer cela. Je vous le demande. Câest ici
dans ce
livre, les adresses, et tout. Tous ces témoignages, toutes ces choses,
tout
cela, câest la vĂ©ritĂ©. Demandez-leur et voyez. Appelez-les. Si vous
ĂȘtes un peu
sceptique, je payerai votre appel.
TrĂšs
bien. En plus, le Saint-Esprit accomplit ici chaque soir les mĂȘmes
choses que
Jésus avait faites quand Il était ici sur terre. Est-ce vrai? Il y a
donc trois
témoins. La Bible, la science et le Saint-Esprit qui est ici présent
maintenant
pour accomplir cela. Est-ce vrai?
46 Ce serait un péché pour vous que de douter. Naturellement,
lâincrĂ©dulitĂ©,
câest le pĂ©chĂ©. Câest le seul pĂ©chĂ© qui existe. Voyez? Je ne pense pas
que
jâaborderai cela cette semaine, pendant que mon fils aligne les gens
lĂ -bas.
Mais est-ce que certains huissiers voudraient lâaider? Ou faites...
Avez-vous
eu tous les quinze? TrĂšs bien? Jâaimerais quâon regarde les cartes,
quâils
voient donc, quelquâun peut ĂȘtre sourd et il pourra ne pas se lever
(Voyez?),
quelquâun qui nâest pas avec eux pour les dĂ©signer.
Maintenant,
jâaimerais que vous soyez en priĂšre. Jâaimerais que vous croyiez de
tout votre
coeur. Voici une chose qui est... qui me fait un peu réfléchir, mes
amis.
Pendant une minute, pensons comment ce... Est-ce le premier patient?
Amenez-le
donc ici.
Ce
quiâce qui mâalarme, câest que parmi les gens du Saint-Esprit, Ă qui on
a
enseigné à croire au surnaturel, et alors, quand vous voyez Dieu dans
Sa
puissance rĂ©elle, confirmĂ©e sans lâombre dâun doute, il me semble que
tout le
monde devrait pratiquement sâenvoler au Ciel.
47 Mais vous savez quoi? Des fois, nous restons assis: «Eh
bien, câĂ©tait trĂšs
bien. Oui, Seigneur. Nous apprécions cela, PÚre.» On rentre à la maison
comme
si câĂ©tait juste lâune des routines ordinaires du jour. Pourquoi?
FrĂšre, soeur,
si câĂ©tait en Afrique, et que le Saint-Esprit agissait dans cet
auditoire-lĂ ,
appelait quelquâun et lui disait ce qui clochait chez lui, lĂ -bas, un
péché
dans sa vie ou quelque chose quâils auraient fait, frĂšre, vous auriez
entendu
des cris pendant quatre heures; vous ne pourriez pas les calmer. Tout
le monde
tomberait Ă genoux et donnerait son coeur Ă Christ, sur place. Ce qui
est...
Non, non, il nâest pas difficile dâappeler les gens Ă Dieu lĂ -bas,
faites-leur
voir simplementâsimplement quelque chose de surnaturel; câest tout ce
quâils
veulent savoir. Ils ont lu cela dans la Bible, et quand ils voient
cela, ils
croient alors cela. Mais aujourdâhui, nous nions tout cela, vous savez,
câest
quelque chose dâautre. Câest la raison pour laquelle nous nâaboutissons
nulle
part. Câest la raison pour laquelle nous nâavons pas de rĂ©veil en
Amérique.
Jâai
entendu Billy Graham faire cette déclaration il y a quelques jours. Il
a dit: «Je
suis allĂ© partout dans ce pays, partout, mais nous nâavons pas eu de
réveil.»
48 Je me suis dit: «Oui, Billy, câest vrai.» La prochaine fois
que jâaurai
lâoccasion de lui parler, je vais lui dire pourquoi. Câest vrai. Sâil
avait
fait ce que George Jefferies lui avait dit lĂ -bas Ă Londres, en
Angleterre: «Enseignez
le baptĂȘme du Saint-Esprit et ne bougez pas.» Il se serait tenu lĂ .
Câest vrai.
Quand il
Ă©tait aux cĂŽtĂ©s de Lewi Pethrus, et quâil Ă©tait assis juste Ă mes
cÎtés, il a
dit: «Je vais en Angleterre recevoir le baptĂȘme du Saint-Esprit
moi-mĂȘme.» TrĂšs
bien. Sâil avait entamĂ© cela, avant que ces gens le refroidissent Ă
mort lĂ -bas
! Je regrette pour lui. Ce grand groupe de prédicateurs essaient de
lâĂ©touffer;
je pense que ce jeune homme se tirerait bien dâaffaires, mais il est
lié. Il
sait ce quâest la vĂ©ritĂ©. Ainsi, Dieu... Priez pour ces jeunes gens.
Priez pour
tout le monde.
Il y en
a un parmi ces jeunes gens, Hyman Appleman; jâaimerais que vous vous
rassuriez
de prier pour lui; je dois le rencontrer dans quelques jours. Dieu mâa
donné
une vision à son sujet. TrÚs bien, déjà .
49 TrĂšs bien, madame. Maintenant, ne voudriez-vous pas venir
ici juste une
minute, ma soeur? Eh bien, quand vous viendrez, je nâaimerais pas que
vous
veniez comme si vous alliez toucher un mùt totémique ou quelque chose
comme
cela. Cela ne marchera pas. Non. Il nây a rien ici. Je suis juste votre
frĂšre.
Aux yeux de Dieu, je ne vaux pas plus que nâimporte quoi dâautre, ou ce
microphone... Eh bien, je vaux plus que ce microphone naturellement,
parce que
nous sommes des ĂȘtres humains, des fils et des filles de Dieu. Mais
quand vous
viendrez, jâaimerais que vous croyiez que vous entrez dans Sa PrĂ©sence.
Et
jâaimerais que vous veniez avec un coeur vraiment respectueux et
véridique,
croyant de tout votre coeur que Dieu va faire quelque chose pour vous.
Alors,
demandez à Dieu et vous recevrez ce que vous avez demandé. Venez avec
révérence.
Venez comme Marthe Ă©tait venue, quand elle sâest prosternĂ©e devant
Jésus. Elle
a dit: «Seigneur, si Tu eusses été ici, mon frÚre ne serait pas mort,
mais tout
ce que vous demanderez Ă Dieu, Il lâaccomplira.» Vous y ĂȘtes. Câest lĂ
que vous
en ĂȘtes.
50 Maintenant, madame, comme vous ĂȘtes la premiĂšre patiente ce
soir,
peut-ĂȘtre, reprĂ©sentons une saynĂšte, vous et moi, et parlons quelques
instants.
Si je... si nous vivions lĂ aux temps bibliques et, ensuite, en
descendant dans
la rue, que vous voyiez Jésus de Nazareth, portant ce costume-ci, cette
chemise
et cette cravate, vous vous approcheriez de Lui et vous diriez:
«Seigneur, aie
pitié de moi.»
Eh bien,
je ne sais pas ce qui cloche chez vous; peut-ĂȘtre quâil nây a rien qui
cloche.
Sâil nây a rien, soyez-en rassurĂ©e, Il vous en parlera. Voyez? Si vous
ĂȘtes
juste ici pour tromper, vous découvrirez ce qui se passe dans quelques
minutes.
TrĂšs bien.
51 Si donc vous ĂȘtes profondĂ©ment sincĂšre, et je crois que vous
lâĂȘtes, si
vous vous approchiez de Lui, Il se mettrait Ă vous parler, comme je le
fais. Il
dirait: «Eh bien, femme», lâune ou lâautre chose, Il engagerait une
petite
conversation avec vous comme Il lâa fait avec la femme au puits.
Ensuite, Il
irait droit à votre problÚme et vous le révélerait. Il dirait: «Eh
bien,
vousâvous vivez dans le pĂ©chĂ©, ou vousâvous avez fait telle chose, ou
vous avez
une tumeur, ou vous avez la tuberculose,» ouâou quoi que ça puisse
ĂȘtre. Il
vous révélerait ce qui clochait chez vous. Puis, Il dirait...
Vous
diriez: «Seigneur, veux-Tu mâaider?»
Il
dirait: «Je le peux, si tu crois.»
Vous
diriez: «Seigneur, je crois.»
Il
dirait: «Eh bien, quâil te soit fait selon ta foi.»
Est-ce
vrai? Câestâcâest ce quâIl faisait. Câest tout.
52 SâIl est donc le mĂȘme hier, aujourdâhui et Ă©ternellement, Il
agira sur Ses
serviteurs et fera la mĂȘme chose. Câest le mĂȘme JĂ©sus. Venez un peu,
sâil vous
plaĂźt. Juste un peu plus fort sur cela maintenant. Câest vrai.
Il y a
dans ce cantique quelque chose que lâAnge aime. Jâai regardĂ© la femme
trois ou
quatre fois; il nây a de rĂ©action nulle part. Ainsi, Il nâest donc pas
encore
ici pour lâonction. Maintenant, parlons, vous et moi, une minute. Et
alors,
peut-ĂȘtre, Il nous parlera.
53 Est-ce que vousâest-ce que vous croyez queâque JĂ©sus-Christ
est le mĂȘme
hier, aujourdâhui et Ă©ternellement? Et croyez-vous que Dieu peut me
faire
connaĂźtre votre vie? Croyez-vous cela? Eh bien, vous savez que je ne la
connais
pas. En effet, je ne pense pas vous avoir déjà rencontrée de ma vie.
Nous
sommes inconnus lâun Ă lâautre. Mais si Dieu peut me la faire
connaĂźtre, et
sâIl le fait, cela vous rendrait-il heureuse? Faire... Cela
confirmerait-il
donc... Si je vous ai dit... Maintenant, regardez ici. Jâaimerais que
lâauditoire comprenne ceci. Cette femme est une inconnue, je suis un
inconnu,
lĂ , si seulement vous pouvez comprendre cela, le cas de cette seule
femme ici
devrait régler la question pour toute la soirée, si Dieu veut bien le
faire. Il
se peut quâIl ne parle Ă personne. Je ne sais pas. Cela dĂ©pend de Lui.
Mais si
Lui et cette femme... Tournez de ce cÎté-ci, madame. Je ne sais rien
sur vous,
nâest-ce pas? Je lui suis un parfait inconnu. Et je vous suis un
parfait
inconnu, Ă vous tous lĂ . Je ne sais rien sur vous. Mais si le
Saint-Esprit
rĂ©vĂ©lait mĂȘme une seule chose, cela devrait amener cet auditoire Ă
dire: «Merci,
Seigneur Jésus, je crois en Toi.»
54 Eh bien, ce... La personne nâa pas Ă ĂȘtre ici Ă lâestrade.
[Espace vide sur
la bandeâN.D.E.] Vous lĂ dans lâassistance, vous tous sans carte de
priĂšre lĂ ,
regardez de ce cÎté-ci et croyez bien de tout votre coeur, mettez-vous
Ă prier
et Ă demander Ă Dieu de vous venir en aide, de vous donner la foi.
LâAnge
du Seigneur viendra mĂȘme avant que nous commencions Ă lâestrade. Mes
amis, je
vous ai dit la vĂ©ritĂ© de la Bible. Je sais quâil y a la foi dans
lâauditoire.
Il me faut simplement attendre voir Quelque Chose apparaĂźtre lĂ ... Nous
sommes
tous en famille. En effet, lâĂ©glise nâest mĂȘme pas remplie ce soir
(Vous voyez?),
nous restons bien assis ici dans lâattente.
55 Maintenant, jâaimerais que quelquâun qui nâa pas de carte de
priĂšre prie,
afin que vous voyiez quâil ne vous faut pas avoir une carte de priĂšre
pour que
le Seigneur vous parle.
Quâen
pensez-vous, madame? Vous, croyez-vous? Eh bien, la dame à cÎté de vous
est
donc en train de prier, je vais lui parler. Vous priez, nâest-ce pas,
madame,
la petite dame en robe bleue lĂ ? Oui. Je cherchais Ă atteindre cette
dame-lĂ ,
mais je... Avez-vous une carte de priĂšre? Vous nâen avez pas. Me
croyez-vous en
tant que prophĂšte de Dieu? Vous me croyez. Il nây a en fait rien qui
cloche
chez vous, mais vous pensez Ă quelquâun qui est loin dâici. Est-ce la
vérité?
Levez la main. Nâest-ce pas quâil sâagit dâune femme qui a des
complications,
tout un tas, elle est nerveuse, bouleversĂ©e et brisĂ©e? Nâest-ce pas
vrai? Si
câest la vĂ©ritĂ©, levez la main. Une femme Ă peu prĂšs dâĂąge moyen...
TrĂšs bien.
Levez-vous. Si câest la vĂ©ritĂ©, faites signe de la main vers les gens.
Maintenant, rentrez chez vous et imposez cette mĂȘme main sur la femme,
et elle
se rétablira.
56 Bon ! Croyez-vous? Eh bien, le Saint-Esprit est ici.
Maintenant, regardez
de ce cÎté-ci, madame. Croyez-vous que je suis Son prophÚte? Oui. Je
sais
maintenant ce qui cloche chez vous. Vous souffrez du cancer. Câest
vrai,
nâest-ce pas? Ce cancer est dangereux. Et il est sur le sein. Est-ce
vrai?
Câest sur le sein droit. Est-ce vrai? TrĂšs bien. Allez et soyez
rétablie au Nom
du Seigneur Jésus...
Ayez
foi. Maintenant, lâAnge du Seigneur est devant vous. Ayez foi.
Bonsoir,
madame. Croyez-vous que je suis le prophĂšte de Dieu? Croyez-vous que ce
que
jâai dit au sujet de lâAnge est la vĂ©ritĂ©? Vousâvous pensiez aussi Ă
quelquâun.
Câest votre fils. Et votre fils est un prĂ©dicateur. Est-ce vrai? Il est
dans un
hĂŽpital, ou un sanatorium. Nâest-ce pas vrai? Vous vous inquiĂ©tez Ă son
sujet.
Que Dieu vous bénisse.
Notre
PÚre céleste, nous Te prions de bénir ce garçon. RelÚve-le.
Rétablis-le,
Seigneur. Bénis cette chÚre vieille mÚre...?...
Ayez foi
en Dieu.
57 TrĂšs bien, madame, croyez-vous? Croyez-vous en Dieu?
Croyez-vous que Christ
Ă©tait le Fils de Dieu? Croyez-vous que je suis Son prophĂšte? Vousâvous
avez une
tumeur. Est-ce vrai? Et cette tumeur se localise dans votre oreille,
derriĂšre
votre oreille gauche, nâest-ce pas? Est-ce vrai? Ăa ne se fait pas voir
dâici,
mais câest juste derriĂšre... Vous y ĂȘtes. TrĂšs bien. Maintenant, partez
et
soyez...?...
Ayez
foi. Ne doutez pas. Croyez.
58 Quâen pensez-vous, vous assis lĂ avec vos manches
retroussées, monsieur? Croyez-vous
que je suis le prophĂšte de Dieu? Vous ĂȘtes assis lĂ , en train de
pleurer parce
que vous ĂȘtes dans un Ă©tat critique. Vous souffrez de lâhypertension.
Est-ce
vrai? Si vous nâĂȘtes pas guĂ©ri, vous allez mourir dâune attaque
dâapoplexie,
trĂšs bientĂŽt. Vous le savez, nâest-ce pas? Pourquoi ne vous levez-vous
pas pour
accepter donc votre guérison? Si Dieu est ici, et Il vous tire depuis
lâassistance, pour dire... Eh bien, que Dieu vous bĂ©nisse. Que Dieu
soit avec
vous.
TrĂšs
bien. Et vous ĂȘtes conscient dâĂȘtre aussi prĂšs de la mort, nâest-ce
pas? Vous
ĂȘtes mal-en-point, autant que vous pouvez lâĂȘtre avec votre maladie.
Vous avez
le diabÚte dans son pire état. Est-ce vrai? Rien ne peut vous aider, en
dehors
de Dieu. Voulez-vous accepter Dieu comme votre Sauveur et Guérisseur ce
soir?
Je veux dire votre GuĂ©risseur plutĂŽt; vous Lâavez acceptĂ© suivant
lâautre
titre. Croyez-vous quâIl sera votre GuĂ©risseur maintenant? Alors, au
Nom de
JĂ©sus-Christ, puissiez-vous ĂȘtre rĂ©tabli. Et partez...?...
Ne doutez
pas. Ayez foi. Maintenant, élevez votre foi, frÚre, redressez-vous et
agissez
comme si vous étiez parfaitement normal et bien portant. Alléluia !
59 Croyez-vous en Lui? Vous souffrez dâune hernie, nâest-ce
pas, monsieur,
assis lĂ au bout de...?... Ne craignez pas, soeur, je vous ai vue en
train de
prier pour lui. Je ne vous connais pas; je ne vous ai jamais vue, mais
câest la
vĂ©ritĂ©. Câest vrai. Ce petit gars assis juste derriĂšre vous lĂ a
vraiment peur.
Il ne sait pas; il est vraiment nerveux et bouleversé. Il souffre de la
prostatite. Vous savez que câest la vĂ©ritĂ©. Voulez-vous aussi accepter
votre
guérison? TrÚs bien, monsieur, que le Seigneur vous bénisse. Que Dieu
vous
bénisse. Que Dieu vous bénisse.
60 Venez, monsieur. Croyez-vous, monsieur? Je pense avoir
trouvé un coeur
véridique en vous. Croyez-vous que je suis le prophÚte de Dieu? Jamais
de ma
vie je ne vous ai vu ni entendu parler de vous. Mais ce nâest pas pour
vous,
câest pour cet enfant. Est-ce vrai? Cet enfant a Ă©tĂ© opĂ©rĂ©, une
intervention
chirurgicale pour une tumeur. Il en a une autre. Et cette tumeur est
dans sa
bouche, dans sa mĂąchoire. Est-ce vrai? Nâest-ce pas que vous Ă©crivez ou
vous
correspondez avec quelquâun au sujet... Estâest-ce vrai? Câest vrai.
Oui,
monsieur... On vous a conseillé de venir ici pour savoir quoi au sujet
de
lâintervention chirurgicale de cet enfant. Je ne suis pas en train de
lire vos
pensĂ©es, frĂšre, mais lâEsprit de Dieu est ici.
Seigneur
Dieu, Créateur des cieux et de la terre, bénis cet enfant et cet
homme...?...
Que lâintervention chirurgicale soit un succĂšs, que lâenfant soit
normal au Nom
de Jésus-Christ...?...
Ayez foi
en Dieu. Chacun de vous devrait croire maintenant mĂȘme. Ayez foi en
Dieu. Ne
doutez pas.
61 Ayez foi et venez, madame. Voulez-vous guérir de ce trouble
dâestomac?
Allez manger ce que vous voulez alors. Croyez-vous cela? TrĂšs bien.
Allez faire
cela alors.
Quelque
part juste Ă lâintĂ©rieur lĂ , il y a une petite fille avec un... Je
vois... je
continue de voir deux petites filles debout devant moi ici quelque
part, qui
ont quelque chose qui cloche dans leur gorge, on dirait des amygdales
ou
quelque chose comme cela. Câestâcâest ici devant moi, mais je nâarrive
pas Ă
savoir oĂč sont ces enfants. Elles doivent ĂȘtre avec quelquâun. Les
voilĂ . Câest
vrai. Ce sont lĂ les deux enfants. Partez, ne craignez pas, maman.
Le
Saint-Esprit est ici. Voulez-vous ĂȘtre guĂ©ris?...?...
Jésus-Christ...?...
62 Câest ça. Câest ça une rĂ©union de la pentecĂŽte Ă lâancienne
mode.
Levez-vous là , monsieur. Dieu vous guérit de cette affection de
vésicule
biliaire, vous assis là derriÚre. Voulez-vous guérir de cette affection
de
vésicule biliaire, vous, assis là derriÚre au bout de la rangée? Si
câest le
cas, levez-vous et acceptez votre guérison. Jésus-Christ vous rétablit.
Quâen
est-il? Combien ici veulent ĂȘtre guĂ©ris maintenant?
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