Nous L’avons Trouvé, Viens Et Vois

Date: 53-0511 | La durée est de: 57 minutes | La traduction: Shp
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1          Merci, Frère Reed. Je regrette d’être encore un peu enroué ce soir. Mais je pense que je prêche trop durement. Mais c’est la–la première fois que j’ai essayé de parler de cette façon depuis des années, je pense. Mais notre Seigneur connaît toutes choses, Il fera donc concourir toutes choses au bien, n’est-ce pas?

            J’étais heureux que frère Reed puisse parler à ma place ce soir. Et maintenant, nous voulons que vous tous, vous soyez vraiment en prière. Je suis content que vous soyez venus. Cela montre que vous aimez notre Seigneur, sinon vous ne seriez pas ici par une soirée pluvieuse comme celle-ci. Et même que certaines personnes étaient debout dehors. Cela montre donc qu’ils aiment le Seigneur. Et quand le coeur des gens éprouve le désir de servir le Seigneur comme cela, certainement que Dieu ne va pas les délaisser. Dieu va certainement les bénir. J’ai donc confiance que ce soir sera une soirée glorieuse, que beaucoup parmi vous qui êtes aalades et qui souffrez, vous trouverez la délivrance dans le Seigneur Jésus-Christ.

2          Merci, Frère Reed. Je viens de trouver l’une des principales causes de mon enrouement... Et je–je peux déjà le dire. Je ferais tout aussi bien de dire ceci. C’était ce ventilateur là derrière. Je ne suis–ne suis pas habitué à cela. Normalement, une personne chauve comme moi... Un chauve a naturellement un cuir chevelu vraiment dur, les–les pores de sa peau sont fermés.

            Un coiffeur m’avait appliqué un produit aux cheveux, cela m’a dépouillé des cheveux, ainsi mon... Voyez, ma peau est tout aussi douce que possible, et tous les pores sont là. A la moindre transpiration, oh ! la la ! cela m’attrape aussi facilement. Le coiffeur avait appliqué un produit pour enlever les pellicules; il les a enlevées et les cheveux aussi sont partis. Ainsi, les pores... Si cela... les pores étaient bouchés comme d’habitude, comme ça se fait naturellement, cela ne me dérangerait pas. Mais ce n’est pas le cas. Les pores sont toujours là.

            Alors, quelqu’un a dit: «Eh bien, si vous allez chercher un système du genre Thomas, ou quelque chose comme cela, ils vont vous donner un traitement.»

            J’ai dit: «Oui, j’ai déjà suivi trop de traitements là.»

3          Ainsi c’est–c’est en ordre. J’ai découvert donc hier soir, je... Pendant que je me tenais tranquille juste un peu, et personne ne saura jamais sous quelle tension on se trouve quand cette onction descend. Chaque muscle, alors que je me tiens ici, même les chaussettes dans mes chaussures, on peut les essorer et il en coulera de la sueur, rien que de me tenir comme ça. C’est la tension sous laquelle on est. Chaque soir, quand je rentre à la maison, d’habitude, je prends une douche pendant longtemps, pour récupérer ma sensibilité comme cela. Je passe par une tension vraiment horrible. C’est un peu difficile à comprendre. Nous ne pouvons pas comprendre cela. Il nous faut simplement croire cela; c’est tout.

            On ne doit pas comprendre Dieu. On doit Le croire. Nous ne pouvons pas comprendre cela. Nous le croyons simplement.

4          D’après le programme, nous avons encore deux soirées à passer avec vous les bien-aimés. Je sais que lundi soir, c’est une soirée plutôt difficile. Et peut-être que demain soir, le Seigneur voulant, j’espère être à mesure de vous parler. Ce soir, j’aimerais lire une Ecriture. Et cette Ecriture, j’aimerais que vous L’écoutiez attentivement. Elle se trouve dans Saint Jean chapitre 1, à partir du verset 44.

            Philippe était de Bethsaïda, de la ville d’André et de Pierre.

            Philippe rencontra Nathanaël, et lui dit: Nous avons trouvé celui de qui Moïse a écrit dans la loi et dont les prophètes ont parlé, Jésus de Nazareth, fils de Joseph.

            Nathanaël lui dit: Peut-il venir de Nazareth quelque chose de bon? Philippe lui répondit: Viens, et vois.

            Jésus, voyant venir à lui Nathanaël, dit de lui: Voici vraiment un Israélite, dans lequel il n’y a point de fraude.

            D’où me connais-tu? lui dit Nathanaël. Jésus lui répondit: Avant que Philippe t'appelât, quand tu étais sous le figuier, je t’ai vu.

            Nathanaël répondit et lui dit: Rabbi, tu es le Fils de Dieu, tu es le roi d’Israël.

5          Inclinons la tête juste un instant pour un mot de prière.

            Notre Père, nous savons, selon Ta Parole, comme des enfants qui croient, que toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment Dieu et qui sont appelés selon Son dessein. Maintenant, nous nous sommes rassemblés ici ce soir en aucun autre but que celui de Te magnifier, d’amener les pécheurs à Te chercher et à T’invoquer pendant qu’ils le peuvent, afin que, peut-être, Tu puisses leur faire miséricorde, en les sauvant du péché; c’est ça notre premier motif.

            Le deuxième, beaucoup de Tes enfants sont malades et affligés. Beaucoup sont désespérément dans le besoin. Sans doute qu’il y en a d’autres ici ce soir avec...?... des maladies comme la maladie du coeur, le cancer, la tuberculose, qui mourront très bientôt si Tu ne leur viens pas au secours. Tes serviteurs, les médecins, ont fait tout ce qu’ils peuvent. Mais il semble qu’ils ne peuvent pas arrêter cela. Tout comme le serpent d’airain devait être élevé dans le désert, alors que Moïse avait appris toute la sagesse des Egyptiens... Des médecins merveilleux...

6          Mais le serpent a été élevé pour une raison double, afin que les gens soient pardonnés et guéris. Ainsi, aide-nous ce soir, Seigneur. Comme Tu l’as dit ici sur terre: «Comme Moïse a élevé le serpent d’airain», de même le Fils de Dieu est élevé, pour la même raison: le pardon du péché et la guérison du corps. Si donc le serpent qui était l’ombre avait la guérison, à combien plus forte raison l’antitype en a: et le salut et la guérison.

            Tu as dit: «Comme Moïse, il faut de même que Je...» Nous essayons de montrer cela aux gens. Et maintenant, Tu as envoyé certains dans l’église comme apôtres; deuxièmement les prophètes, les dons de guérison, le fait d’opérer des miracles, des docteurs, beaucoup d’autres dons merveilleux, que Tu... Etant monté en haut, Tu as emmené des captifs, et Tu as fait des dons aux hommes. Et nous sommes reconnaissants, Seigneur, de ce que Tu as trouvé convenable de restaurer en ces jours-ci ces dons dans l’Eglise, afin que nous puissions amener ce monde instruit et incrédule, comme celui du temps de Noé, avant la destruction antédiluvienne... Combien ils étaient intelligents, comme ils pouvaient construire ces pyramides, ces sphinx, embaumer des corps qui ont l’air naturel même jusqu’aujourd’hui, de grandes choses qu’ils pouvaient faire, ils étaient intelligents. Mais c’est par la folie de la prédication que Tu as sauvé ceux qui pouvaient croire.

            Ô Dieu, sois miséricordieux ce soir. Aide-nous à travailler avec chaque instrument que nous avons pour sauver les nôtres qui ont la foi. Car nous le demandons au Nom de Ton Fils bien-aimé Jésus-Christ. Amen.

            Il y a des mouchoirs qui sont posés ici pour les malades.

7          J’aimerais juste attirer votre attention, alors que je ne peux parler qu’un peu ce soir, mais j’aimerais attirer votre attention sur les commentaires de cet homme religieux qui était venu voir Jésus de Nazareth. Quand Philippe a trouvé Nathanaël, aussitôt que Philippe avait été converti, il avait vu ce que Jésus faisait, c’était dans les premiers jours du ministère de Jésus. Et quand il a vu ce qu’Il faisait, il est vite allé trouver son ami. Eh bien, n’est-ce pas simplement vrai pour ce qui se passe aujourd’hui? Quand nous trouvons Jésus-Christ, nous voulons le dire à nos–nos amis.

            Je me demande si vous arrivez à m’entendre très bien, tout au fond de la salle. M’entendez-vous à travers ce micro-ci? Merci. Là-bas, m’entendez-vous très bien? Merci. Merci.

            Et quand il est allé chez son ami, son ami était un croyant en Dieu. Il était un croyant, un homme très bien cultivé, Nathanaël. Jésus l’a dit quand Il l’a trouvé. Mais il a dit: «Viens vois Qui j’ai trouvé, Jésus de Nazareth, le Fils de Joseph.»

8          Eh bien, sachant que Nazareth était une ville souillée, pleine de brigands, de voleurs, Nathanaël a dit: «Peut-il venir de Nazareth quelque chose de bon?»

            Il a dit: «Viens, et vois.» En d’autres termes: «Viens simplement voir pour toi-même.» C’est le meilleur procédé. Et je pense que si un homme s’approche de Dieu comme Moïse l’a fait avec ses chaussures ôtées, peu importe ce que c’est, avec révérence...

9          Mes amis, ce soir, je crois que si un homme vient en ce jour-ci, ou ce soir, avec révérence devant Dieu, et dit: «Maintenant, je ne vais pas suivre une de mes pensées; je vais simplement T’ouvrir mon coeur, ô Dieu. Et) révèle-Toi à moi. J’aimerais voir.» Je crois que Dieu se révélera aux gens qui veulent Le trouver. Il n’a jamais déçu quelqu’un. Et alors, pouvez-vous remarquer ces deux amis, en chemin?

            Je peux entendre peut-être Philippe dire à Nathanaël: «Eh bien, écoute Nathanaël, cet Homme prie pour les malades là-bas en ce moment.» En effet, Jésus, Sa renommée n’était pas encore répandue dans le pays. Il venait juste de commencer. Et Il ne prétendait pas être une grande Personne. Il rendait toute la gloire à Dieu.

10        Il a dit: «Ce n’est pas Moi qui fais les oeuvres; c’est Mon Père qui demeure en Moi; c’est Lui qui fait les oeuvres.» Et Il a dit... Eh bien, si vous faites attention à Lui, Il était très humble, et un Homme de douleur, habitué à la souffrance. Il ne prétendait avoir aucune connaissance scolaire. Mais Son enseignement simple confondait les–les pharisiens et les érudits de ce jour-là, en effet, eux enseignaient seulement d’après la théologie; mais Jésus semblait jouir de la faveur de Dieu qui confirmait ce qu’Il disait. Eh bien, c’est là qu’est la vérité, quand un homme dit quelque chose et que Dieu le confirme.

            Et finalement, quand il est arrivé auprès de Jésus qui était dans la ligne de prière... Représentons une saynète, disons, Jésus priait pour les malades. Beaucoup de gens venaient, et Lui priait. Il a vu Nathanaël avancer dans la ligne. Et Il a dit: «Voici un Israélite dans lequel il n’y a point de fraude.»

            Si je devrais l’exprimer d’après... disons, je changerais et dirais: «Cet homme se tient ici», si je ne l’ai jamais vu, je dirais: «Voici un homme honnête, un croyant chrétien, sincère.»

11        Eh bien, cela l’a un peu étonné, l’Israélite Nathanaël. Il s’est retourné et L’a regardé. Il a dit: «D’où m’as-Tu connu, Rabbi, ou Docteur?» Rabbi veut dire maître, ou docteur. Comme nous disons aujourd’hui: Révérend, ou ancien, ou quelque chose comme cela. «D’où m’as-Tu connu, Rabbi?» Ou: «Voici, je Te suis inconnu. Comment as-Tu su que j’étais un croyant? Comment as-Tu su que j’étais... (Comme nous le dirions aujourd’hui) un chrétien.»

            Eh bien, Jésus a dit: «Avant que Nathanaël t’appelât, ou avant que tu viennes à la réunion de prière, Je t’ai vu sous le figuier.»

12        Maintenant, disons-le en des termes d’aujourd’hui. Eh bien, que dirait un érudit d’aujourd’hui? «Eh bien, cet homme est-il un télépathe? Il est un... Ça, c’est de la télépathie», ou un nom pareil. Et ils n’avaient pas fait mieux en ce jour-là. On Lui a collé la même chose. Ils disaient: «Il est Béelzébul, le chef des diseurs de bonne aventure, ou des démons», vous savez.

            Mais pas Nathanaël. Nathanaël était un homme juste. Quand il a su qu’il y avait quelque chose qu’il n’avait jamais rencontré auparavant, il a dit: «Tu es le Christ, le Fils du Dieu vivant.» Il est tombé devant Lui.

            «Eh bien, a-t-Il dit, Nathanaël, tu crois parce que Je t’ai dit que Je t’ai vu sous l’arbre? Eh bien, a-t-Il dit, tu verras même des choses plus grandes que celle-ci.»

            Et alors, Jésus, pendant tout Son ministère, ne s’est jamais, à aucun moment, attribué la gloire, ou dit quoi que ce soit de grand au sujet de Lui-même. Il magnifiait toujours le Créateur de Son Etre.

13        Or, Jésus, quand Il était dans la chair, Il était Dieu. Dieu avait couvert de Son ombre une vierge et Il a créé une cellule de sang. Nous savons tous que le–l’enfant, ou le... vient du sexe mâle. Le germe de la vie de n’importe quoi vient du mâle. Par exemple, une poule peut pondre un oeuf, mais si elle n’a pas été avec l’oiseau mâle, cela n’éclora jamais. Une vieille mère oiseau peut pondre tout un nid d’oeufs, c’est l’été maintenant; mais si elle n’a pas été avec l’oiseau mâle, ils ne sont pas fécondés. Ils n’écloront jamais, peu importe combien elle les réchauffe et les couve, et ... Elle peut rester sur ce nid-là jusqu’à devenir si faible qu’elle ne peut plus s’envoler. Mais ils n’écloront jamais; ils pourriront.

            Je pense que c’est ça le problème avec beaucoup de nos églises aujourd’hui, mes amis. Nous avons juste un nid plein d’oeufs qui n’ont point de germe. Nous les réchauffons simplement et nous les appelons les membres d’église et tout. Il nous faut nettoyer le nid et recommencer, n’est-ce pas...?...

14        Si ce n’était pas... Si vous n’avez pas été avec le Mâle Jésus-Christ et que vous n’êtes pas né du surnaturel, vous ne pouvez pas croire au surnaturel. Et quand un homme est né de l’Esprit de Dieu, Dieu est un Créateur. Et quand une partie de Dieu est... Je suis une partie de Charles Branham. C’est mon père. Il me ressemble, ou plutôt je lui ressemble. Nous avons à peu près la même taille. Et nous avons beaucoup de traits, parce que je suis sa progéniture. Et si je deviens la progéniture de Dieu dans mon âme, alors mon âme est semblable à quelque chose de l’ordre de Dieu. Elle croit au surnaturel. Elle croit pour tout. Voyez-vous ce que je veux dire?

            «Croit tout, espère tout.»Voyez? Très bien. Si jamais un homme a donc été en contact avec Dieu et qu’il est réellement né de nouveau, parlez-lui de la guérison divine, assurément qu’il y croit. Certainement. «Croyez-vous aux miracles?»

            «Assurément.»

            Voyez? Il est une partie de Dieu; il croit qu’avec Dieu tout peut arriver. Voyez? Et il n’est pas superstitieux.

15        Mais un homme qui n’a que la théologie, eh bien, il dirait: «Oh ! Je crois que les jours des miracles sont passés.» Il renvoie cela dans une espèce de grosse gouttière pour en débarrasser son champ. Il n’en veut pas. Quelle pitié !

            Eh bien, Dieu a dit que nous en aurons, et nous en avons. On ne peut pas arrêter cela; la Bible dit que nous en aurons. Ils sont donc ici, et ils nous surpassent de loin en nombre. Mais si vous remarquez bien, quand Jésus était ici, jamais... On Le taxait de fanatique, on Le taxait de fou, on Le taxait de diable. Eh bien, Il a dit: «S’ils taxent le Maître de la maison de Béelzébul, de quels noms taxeront-ils Ses disciples?» Mais observez Sa vie alors qu’Il avançait.

            Un jour, Il a parlé à une femme au puits. Il lui a dit juste où était son problème. Elle est partie dire à quelqu’un d’autre ce qu’Il avait dit, et cela a amené toute une ville à venir à Dieu. Philippe est allé dans la même ville, il les a baptisés, et ils ont passé un temps merveilleux. Observez-Le.

16        Je Le vois passer près de la piscine de Béthesda, il y avait des infirmes, des boiteux, des gens aux membres tordus, des aveugles couchés là. Il a directement traversé la foule jusqu’à ce qu’Il eût trouvé un homme couché sur un grabat, souffrant du diabète sucré, ou d’une maladie quelconque. Cela n’allait pas lui faire mal. Il en avait souffert depuis trente-huit ans; Il a guéri cet homme-là et est allé de l’avant.

            Eh bien, les Juifs L’ont interrogé (Saint Jean 5.19), Il a dit: «En vérité en vérité, Je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-même, mais ce qu’Il voit faire au Père, et tout ce que le Père fait, Il le montre au Fils. Il vous montrera de plus grandes choses que la guérison de cet homme afin que vous soyez dans l’étonnement.» Voyez-vous ce que je veux dire? Eh bien, Il a dit: «Les oeuvres que Je fais... Encore un peu de temps (Ecoutez attentivement), encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus. Mais vous, vous Me verrez (Qui? Les croyants.) Vous Me verrez (Juste cela? Non.), vous Me verrez, car Je serai avec vous, et même en vous jusqu’à la fin du monde»: le même Jésus.

17        Et moi, en tant que Son serviteur, et vous, en tant que Ses serviteurs, et nous, en tant que frères et soeurs, la progéniture de Dieu, et je–je vous déclare que Jésus-Christ est dans cette salle ce soir. Pouvez-vous vous imaginer la joie dans les coeurs de ces disciples qui étaient partis à Emmaüs après avoir parlé avec Lui toute la journée, et ne L’avaient cependant pas reconnu? Puis, tout d’un coup, Il s’est fait connaître à eux par quelque chose qu’Il a fait, juste comme Il l’avait fait. Alors, ils se sont réjouis et ils étaient heureux. Pouvez-vous vous imaginer la joie qu’ils avaient, vivant avec le Christ ressuscité en ce merveilleux temps de Noël... Pâques?

            Si vous n’êtes pas dans cet état-là ce soir, vous vivez en dessous du privilège que Dieu vous a donné. Vous avez le droit ce soir de savourer la pleine bénédiction de tout ce que les apôtres avaient, tout ce qui était dans l’Eglise primitive demeurera dans l’Eglise. En effet, tout ce qui était dans l’Eglise, c’était Jésus-Christ. Et Il a promis Sa Parole. Et les choses que vous voyez se faire ici soir après soir, c’est seulement pour accomplir ce qui a été dit par Jésus-Christ le Seigneur: «Je serai avec vous, en vous jusqu’à la fin du monde. Et vous ferez aussi les oeuvres que Je fais. Crois-tu cela?»

            Croyez-vous que cela est la vérité? Inclinons la tête pour un mot de prière.

18        Grand Maître de la Vie, nous venons au Nom de Jésus Ton Fils pour T’offrir des actions de grâces pour Ta Parole. Nous pouvons penser aux apôtres avant qu’ils soient devenus apôtres. Une nuit, Pierre et André, les fils de Zébédée, avaient durement travaillé, toute la nuit, sans rien attraper, ils étaient assis sur le rivage en train de nettoyer leurs filets, très très découragés. Puis, ils ont regardé, ils ont vu venir sur la plage une Personne aimable, et quelques hommes Le suivaient.

            Je peux voir les femmes laisser leur lessive, les hommes arrêter leur vache dans le champ, descendre aux rivages de Galilée pour L’écouter. Il avait quelque chose de différent. Il avait de l’autorité venant de Dieu.

            Et après avoir parlé, Il a emprunté l’une de leurs barques qu’Il devait utiliser comme chaire, une vieille petite barque sale de pêche, la plus grande chaire. Et là, Il a parlé à des multitudes. Puis, après avoir emprunté la barque, Il a dit: «Avance en pleine eau, Simon, et jette ton filet pour pêcher.»

19        «‘Jette ton filet pour pêcher?’ Nous avons tiré ici... par ici toute la nuit. Il n’y a rien ici. Mais sur Ta Parole, Seigneur, je jetterai le filet.»

            Ô Dieu, ça y est. «Sur Ta Parole, Seigneur. S’il n’y a rien là, la Parole de Dieu mettra quelque chose là. Nous savons que c’est la vérité, Seigneur. Tu ne pouvais pas dire qu’il y avait quelque chose là, si Tu n’étais pas capable d’accomplir ce que Tu as dit. Il y a beaucoup d’hommes et de femmes ici ce soir, Seigneur, sans aucun doute, qui ont traîné dans tous les hôpitaux et tous les cabinets de médecins de la ville, des alentours. Ils sont allés partout, essayant de trouver de l’aide. Ils sont malades, Seigneur; ils se meurent. Les démons de la maladie rongent leur vie. La maladie du coeur les tue. Ils sont allés dans des dépôts de charbon. Ils ont été dans des buissons; ils ont été à l’autel, priant. Ils ont demandé à leur bien-aimé pasteur, aux différents ministres, de prier pour eux. Apparemment, ils n’arrivent toujours pas à avoir du succès.

20        Mais, que ceci soit le moment où ils diront comme Pierre: «Sur Ta Parole, Seigneur. Je vais jeter le filet. Je vais Te faire confiance ce soir même. C’est pour ce soir. C’est maintenant le moment. Dès ce soir, je vais Te faire confiance. Je vais m’affectionner aux choses d’en haut. Nous savons que Ta Parole déclare que Tu es le Souverain Sacrificateur assis à la droite de la Majesté divine pour intercéder sur base de notre confession. Ce que nous disons que Tu as fait, c’est ce que Tu fais. Mais si nous ne... confessons cela réellement, si nous avons peur, alors, Tu ne peux pas nous aider.

            Ainsi, nous prions, ô Dieu, que Tu donnes à chaque homme et à chaque femme, jeune garçon ou jeune fille ici ce soir, le courage, une vraie conviction, la foi, qui regardera en haut et verra ce Fils de Dieu assis là dans la Majesté divine, la puissance de Son Esprit agissant dans Son Eglise; alors, il n’aura plus peur. Il dira: «C’est par Ses meurtrissures que je suis guéri, et je m’en vais croire cela.» Alors, Tu es le Souverain Sacrificateur. Tu vas commencer à confesser cela au Ciel au même moment que nous le confessons ici. Mais Tu ne peux pas le faire si premièrement nous ne disons pas que Tu l’as fait. Car c’est une confession, et cela signifie: «Dire la même chose.» Nous devons dire ce que Tu dis à ce sujet. Nous avons déjà été guéris, nous acceptons donc cela. Envoie l’Ange de Dieu, Seigneur, le Grand conducteur, le Saint-Esprit, pour guider Ton Eglise dans toute la vérité ce soir.

            Aide Ton pauvre serviteur inutile et indigne qui se tient ici, Seigneur, alors que j’essaie de représenter... [Espace vide sur la bande–N.D.E.] aux gens, car je le demande au Nom de Christ. Amen.

21        Il est donc ici. Est-ce vrai? Il a dit: «Là où deux ou trois sont rassemblés», peu importe combien petit est le groupe, deux ou trois, «Je serai au milieu d’eux. Tout ce qu’ils demanderont, ils le recevront.» Or, c’est soit vrai, soit faux.

            Jésus a dit: «Si vous demeurez en Moi et que Ma Parole demeure en vous, vous pouvez demander ce que vous voudrez, et cela vous sera accordé. Tout ce que vous demanderez en priant, croyez que vous l’avez reçu.» C’est... Mais observez l’ordre de la Parole de Dieu maintenant. Vous croyez maintenant que vous l’avez reçu et vous le verrez s’accomplir ce soir. Voyez? Il ne peut rien faire pour vous à moins que vous croyiez cela premièrement et que vous disiez qu’Il a fait cela. Laissez-moi enfoncer cela très profondément.

22        Combien comprennent cela correctement? Hébreux 3.1: Peu importe combien vous êtes malade, ce qu’il en est, vous devez d’abord croire qu’Il le fait, et ensuite confessez qu’Il l’a fait, avant qu’Il puisse même se mettre à travailler là-dessus. Combien savent cela? Quand vous venez à l’autel pour prier afin d’être pardonné de vos péchés, ce n’est pas parce que vous pleurez, ce n’est pas parce que vous confessez. C’est parce que vous croyez. Et quand vous croyez et que vous vous tenez debout et témoignez... Maintenant, observez.

            Vous sortez après avoir reçu Christ, la vieille foule dit: «Vous n’avez pas changé. Il n’y a aucun changement.» Mais vous croyez que vous êtes changé.

            Eh bien, si vous vous mettez à dire: «Non, je pense que je ne l’ai pas reçu.» Eh bien, vous aurez simplement un autre déplacement à faire vers l’autel.

23        Mais quand vous croyez que vous l’avez, vous dites: «Si, je le suis», alors, vous croyez que vous êtes un chrétien. Vous ne pouvez rien montrer pour dire que vous l’êtes. Mais vous croyez que vous l’êtes. Vous croyez que vous l’êtes. Et puis, quand vous confessez que vous l’êtes et que vous Le confessez, Lui, et que Lui vous confesse, Il est le Souverain Sacrificateur de quoi? Non pas de vos cris, non pas de votre repentance, non pas de votre foi, mais de votre confession. Peu importe la grandeur de votre foi, cela ne vous fera aucun bien, jusqu’à ce que vous y ajoutiez les oeuvres. Car la foi sans les oeuvres est morte. Est-ce vrai? Juste comme ce...

            Le corps sans l’esprit est mort. Alors, quand vous dites: «Je crois en Christ», alors acceptez cela, mettez-vous à le dire. Vous croyez donc que vous êtes un chrétien, dites que vous êtes un chrétien; agissez comme un chrétien; associez-vous avec ceux qui sont chrétiens; et cela produit la justice. Après un temps, tout le monde saura que vous êtes un chrétien, parce que vous maintenez votre confession. Vous agissez en conséquence. Vous descendez la rue, pas en disant: «Eh bien, je suis un demi... peut-être, je suis un chrétien.» Non, vous descendez en disant: «Je suis un chrétien.» Vous en êtes sûr. Alors, Il en est sûr. Voyez?

24        Il ne peut faire que ce que vous dites parce qu’Il est le Souverain Sacrificateur de ce que vous confessez. Et Il est là devant la Présence de la Majesté divine pour faire confirmer tout ce que Ses bénédictions rédemptrices réclament... Son Sacrifice. C’est ce pourquoi Il a payé le prix, Il est là pour vous confirmer tout ce que vous dites, que vous avez accepté qu’Il a fait. Qu’a-t-Il fait?

            Il a été blessé pour vos péchés. Est-ce vrai? Disons cela ensemble. [L’assemblée répète après frère Branham.–N.D.E.] «Il a été blessé pour nos péchés, Il a été brisé pour notre iniquité. Le pe-... notre... est tombé sur Lui, et c’est par Ses meurtrissures que nous avons été guéris.» Est-ce vrai?

25        Maintenant, n’importe laquelle de ces choses, si vous êtes fatigué, bouleversé, tracassé, nerveux, malade, un péché, quoi que ce soit, quand vous acceptez cela du fond de votre coeur, que vous vous mettez à le confesser et que vous dites que c’est vrai, Dieu est là même pour confirmer cela, dès que vous vous mettez à confesser cela. Mais si vous avez peur de le dire, peur d’agir sur base de votre confession, peu importe combien de fois on prie pour vous, vous ne guérirez jamais. Il vous faut d’abord croire cela. Voyez? Il est le Souverain Sacrificateur de ce que vous confessez qu’Il a fait pour vous.

            Combien comprennent cela maintenant? Levez la main. Voyez? C’est vrai. Seulement quand vous le dites. Eh bien, si on a prié pour vous, et que vous dites: «Maintenant, je crois. Oui, oui.» Eh bien, vous ne pouvez pas dire que vous croyez si vous ne croyez pas réellement. Si vous croyez, vous êtes juste... vous êtes... vous faites mal quelque chose. Vous ne pouvez pas dire que vous croyez avant de croire réellement dans votre coeur. Mais une fois que vous avez fermement prié jusqu’à l’exaucement, que vous croyez réellement, alors vous pouvez dire: «Je crois.» Alors, vous pouvez accepter cela. Et maintenant, souvenez-vous, Il est là, Il confirmera tout ce que vous croyez dans votre coeur qu’Il a fait et vous confesserez cela. Alors, partout où vous allez, vous témoignez de votre guérison. Dites-le. Croyez-le. Dites-le aux autres.

26        Et amis, cela ne faillira jamais. J’ai vu le cancer sarcome être guéri grâce à cela. Et je sais que cela... Savez-vous ce qu’est un cancer sarcome? Très bien. Nous avons des douzaines, oui, des tas de telles lettres concernant ce type de cancer, il y a des dossiers pleins de témoignage, des déclarations médicales, des boiteux, des infirmes, des aveugles, des gens rongés par le cancer. Tout ce à quoi on peut penser, dans un...?... des maladies qui ont été guéries: la foi

            Eh bien, prêchez la Parole; ça, c’est un moyen; puis, Dieu a d’autres dons. Eh bien, puisse le Saint-Esprit venir ce soir vous dire que ce même Jésus qui était ressuscité des morts est ici. Et puisse-t-Il envoyer Son Ange à Son humble serviteur pour vous manifester Sa Présence divine. Que Dieu vous bénisse.

            Très bien, docteur Reed, où... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

            Tout ce qui est en lui, bénisse Son saint Nom.

            Mon âme, bénis l’Eternel, et n’oublie aucun de Ses bienfaits:

            C’est Lui qui pardonne toutes tes iniquités; qui guérit toutes tes maladies;

            J’étais heureux quand on m’a dit: Allons à la maison de l’Eternel.

27        Y a-t-il une déception, mère? J’ai vu que vous aviez... vous vous êtes assise. Votre carte de prière n’a pas été appelée, est-ce cela? Vous–vous... Vous n’étiez pas de ce nombre-là? Oh ! Vous n’en étiez pas. Eh bien, je suis... Je n’ai aucun moyen de le savoir, vous savez. Je vous dis ce que je sais. Si vous croyez que je suis le serviteur de Dieu, et de tout votre coeur, et que vous acceptez ce que je vous dis au sujet de Jésus-Christ, Il vous guérira.

            Pauvre créature, je l’ai vue rentrer là avec une véritable déception se lisant sur son visage et elle s’est assise. Elle avait une carte de prière, et elle a fait quelque chose avec cela. Je pensais: «Pauvre femme, peut-être qu’elle sent qu’elle a été peut-être omise.» Non, non. Non, Dieu n’omet personne. Ces gens-ci, ceux qui sont dans cette ligne, ce n’est pas un signe que l’un d’eux sera guéri, aucun d’eux. Il n’y a aucune chose qui puisse être faite pour cette assistance, ici, qui peut se... pour ceux-ci ici, qui peut se faire là dans l’assistance. Voyez? C’est pour chacun de vous. Croyez-vous cela?

28        Et si je me tenais ici par l’Esprit de Dieu et que je vous disais ce qui clochait chez vous, allez-vous croire? Allez-vous être... Je ne vous connais pas. Mais si moi, par l’Esprit de Dieu... Si j’étais oint par l’Esprit de Christ maintenant, l’Ange de Dieu que vous voyez ici, Il sait ce qui cloche chez vous. Si je vous le disais, accepteriez-vous votre guérison? L’accepteriez-vous? Vous souffrez de l’estomac. Est-ce vrai? Si c’est vrai, tenez-vous debout, juste en guise de témoignage. «Oui, c’est vrai.» Eh bien, vous pouvez rentrer chez vous et manger ce que vous voulez.

            Ne doutez pas. Ayez foi.

            Eh bien, le Saint-Esprit me positionne et tous les esprits ici sont sous mon pouvoir maintenant, au Nom de Jésus-Christ.

            Eh bien, soyez respectueux. Très bien, Billy, faites venir...?...

29        Bonsoir. Nous sommes inconnus, madame. Croyez-vous de tout votre coeur? Croyez-vous? Je–je vais... je voudrais... S’il y avait quelque chose que je pouvais faire pour vous aider, en tant que ministre, je le ferais. Car j’ai pitié des gens malades. Mais je... Tout ce que je peux faire, c’est leur montrer le Seigneur Jésus. C’est Lui qui guérit. Or, si vous et moi sommes inconnus dans cette vie, mais pourtant, je sais que nous sommes frères et soeurs, car vous êtes une chrétienne. C’est vrai, n’est-ce pas? Eh bien, n’est-ce pas à peu près ça que notre Seigneur avait dit à Nathanaël? «Un Israélite... vraiment...» Puis-je encore vous dire ceci donc? En tant que chrétienne, vous n’êtes pas seulement une chrétienne, mais vous êtes une enseignante, vous formez des chrétiens, une femme prédicateur. Est-ce vrai? Je vous vois à la chaire proclamant la Parole.

            Vous êtes tourmentée par un mauvais esprit de nervosité, cela vous cause beaucoup d’ennuis, ça vous empêche quand vous parlez. Eh bien, je vais vous dire ce qui est à la base de cela. Vous avez autrefois fait un accident d’automobile. Est-ce vrai? C’est cela le début de votre trouble. Croyez-vous que vous êtes dans Sa Présence? Croyez-vous que Celui qui avait parlé à Nathanaël est ici quelque part maintenant? Eh bien, allez au Nom du Seigneur Jésus. Vous serez guérie. Vous êtes...?...

30        Bonsoir. Je suppose que vous et moi sommes inconnus aussi. Le sommes- nous? Et je–je ne vous connais pas. Je ne vous ai jamais vue. Mais il se tient Quelqu’Un ici près maintenant, vous êtes consciente de Sa Présence, qu’il y a Quelque Chose près de vous, ce–ce n’est pas vous. Et c’est Lui qui connaît tout à votre sujet. C’est Lui qui vous a nourrie toute votre vie et qui connaît tout à votre sujet.

            Vous souffrez aussi de la nervosité, n’est-ce pas? Très nerveuse... Une chose, c’est la période de la vie qui vous rend nerveuse, la ménopause. C’est courant parmi les femmes de votre âge. Puisse le Saint-Esprit dire autre chose qui serait, qui ne semblerait pas si naturelle comme vous le pensez, de la psychologie, en vous regardant, et dire: «Bien, c’est dû à l’âge.» Je n’ai jamais perçu cela par la psychologie. Vous savez ce que je comprends, était-ce... Est-ce vrai?

31        Maintenant, observez ce... Vous–vous avez peur de quelque chose. En effet, vous avez en quelque sorte peur d’avoir le cancer. N’est-ce pas vrai? Dites donc, vous avez subi une opérat-... Vous en avez subi beaucoup... Vous avez subi plusieurs interventions chirurgicales. N’est-ce pas vrai? Je vous vois aller et revenir de l’hôpital à plusieurs reprises. Je dirais au moins quatre ou cinq fois, vous avez été à l’hôpital: cinq fois.

            Voici une autre chose. Vous avez une grosseur en vous maintenant. Cela vient d’être examiné, cette grosseur se trouve dans le rectum, n’est-ce pas?

            Seigneur, aie pitié de notre soeur. Bénis-la, Dieu bien-aimé. Puisse ceci être...?... puisse-t-elle partir et être guérie. Je Te le demande au Nom de Jésus-Christ, de...?... Partez et que Dieu vous bénisse...?...

32        Soyez respectueux. Ayez... Est-ce votre patient? Excusez-moi. Souvent, quand la réunion progresse donc vers le... Vous–vous ne comprenez pas, mes amis. On est dans deux mondes. Voyez? Et je ne suis pas hors de moi. Je–je vais très bien. Je sais ce que je fais. Mais cela vous bouleverse simplement. Ça ne sert à rien d’essayer d’expliquer cela. Vous ne le pouvez pas. Maintenant, soyez respectueux.

            C’est vous, n’est-ce pas, monsieur? Je crois que nous sommes inconnus, n’est-ce pas? Croyez-vous que je suis prophète de Dieu? Vous croyez? Si je suis Son–Son prophète, et que Son Esprit est ici près maintenant... Vous êtes venu vers moi pour avoir de l’assistance. Et je–je ne peux vous aider qu’avec ce qu’Il me donnerait pour vous aider avec. Quant à vous guérir, Il l’a déjà fait, quand Il mourut pour vous. Mais tout ce que je peux faire, c’est vous aider à avoir foi pour croire, quelque chose qui peut être dit ou fait, qui susciterait une grande foi pour vous. C’est vrai, n’est-ce pas?

            Vous souffrez de l’estomac. Est-ce vrai? Je vous vois refuser différentes nourritures, alors que vous passez devant moi maintenant. Et on vous a mis un appareil autour de votre bras chez le médecin... Oh ! C’est l’hypertension. Au lieu que ça monte, ça baisse. Vous avez l’hypotension. C’est vrai, n’est-ce pas? Cela s’est éloigné de moi. Voici–voici une autre chose. L’une des plus grandes choses dont vous avez besoin maintenant, c’est Jésus-Christ comme Sauveur personnel. N’est-ce pas vrai? Vous n’êtes point encore devenu chrétien. Voyez? Le même Jésus qui a dit à la femme au puits qu’elle agissait mal, vous dit la même chose maintenant.

33        Ne voulez-vous pas L’accepter maintenant? Vous allez L’accepter maintenant comme votre Sauveur. Afin que vous sachiez, votre maison... Voici quelque chose que je vois... Afin que vous compreniez, n’est-ce pas que vous avez une femme qui souffre–qui souffre de l’arthrite?

            Eh bien, je la vois... vous prenez... Elle est une femme de–de petite taille, un peu corpulente. Est-ce vrai? Et elle porte un–un tailleur deux pièces gris. Est-ce vrai? Est-ce vrai? Vos péchés vous sont pardonnés, mon ami, mon frère. Partez maintenant et mangez ce que vous voulez. Que Dieu soit avec vous...?... au... Jésus...?...

            Où est parti cet homme...?... vous parler...?... Cet homme était un pécheur. Ne l’était-il pas, quelqu’un ici, il y a de cela juste quelques minutes? Il était un pécheur. [Quelqu’un parle à frère Branham.–N.D.E.] Oh ! Très bien. Patient...

34        Bonsoir. Nous sommes aussi inconnus, n’est-ce pas? Je ne vous ai jamais vue. Mais croyez-vous que vous vous tenez dans la Présence de la Majesté divine, non pas de votre frère, de Sa Majesté divine? Je suis juste Son serviteur, autant que cette ampoule sert le courant. Voyez-vous? Comprenez-vous? Vous êtes en très grande détresse, n’est-ce pas? Vous êtes inquiète, effrayée, parce que vous avez une grosseur, une tumeur. Et cette grosseur est dans votre sein. Est-ce vrai? C’est dans votre sein gauche. Est-ce vrai? Venez ici.

            Ô Seigneur, Créateur des cieux et de la terre, Auteur de la Vie Eternelle, Donateur de tout don excellent, envoie Tes bénédictions sur cette pauvre mortelle, qui attend maintenant la guérison, prête pour une intervention chirurgicale. Ô Eternel Dieu, bénis-la et aide-la. Guérie-la au Nom de Jésus-Christ, je le demande. Amen.

            Eh bien, croyez-vous maintenant que vous allez vivre? Que Dieu vous bénisse. Qu’il en soit selon votre foi. Il a dit: «Ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris.» Ça devient clair autour de vous. Je crois que vous allez guérir. Le Seigneur Jésus...?...

            Croyez-vous de tous vos coeurs? Croyez-vous que Dieu guérit ceux qui ont foi en Lui?

35        Vous avez une grosseur aussi, n’est-ce pas, soeur? Cette grosseur est sur votre cou, n’est-ce pas? Voici la vie qui vient de sortir de cela, et cela criait, implorant miséricorde et c’était suspendu là au-dessus de vous, un nuage sombre. Je vois cela, un autre au-dessus de vous, criant à l’autre. Mettez votre main sur votre cou et dites: «Seigneur Jésus, j’accepte ma guérison.» Et que le Seigneur soit miséricordieux envers vous et qu’Il vous accorde votre guérison.

            Soyez fidèle. Soyez respectueux.

            Venez, monsieur. Est-ce que vous cro-... Sommes-nous inconnus? Je deviens très faible. Voudriez-vous... Si le Seigneur Jésus me parle juste et me montre quelque chose, ce qui cloche chez vous, allez-vous accepter votre guérison, mon frère? Allez-vous le faire? Vous souffrez du diabète. Vous avez dit que vous accepteriez votre guérison, n’est-ce pas? Que le Seigneur soit avec vous, frère...?...

            Ne voulez-vous pas faire la même chose, madame? C’est de la maladie du coeur que vous souffrez. Maintenant, allez, et que le Seigneur vous bénisse.

36        Voulez-vous croire la même chose, madame, si je vous révélais ce qui clochait chez vous? Vous souffrez de l’estomac, n’est-ce pas? Partez maintenant...?...

            Disons: «Gloire à Dieu !» [L’assemblée dit: «Gloire à Dieu !»–N.D.E.]

            Inclinons juste la tête et offrons une prière, s’il vous plaît. Seigneur Jésus, viens et sois miséricordieux envers notre coeur. Pardonne-nous nos offenses et nos péchés. Bénis-nous tous au Nom de Jésus-Christ...?... Dieu vous guérira.

            Que le Seigneur vous bénisse maintenant. Partez, et qu’Il vous guérisse complètement. Que Dieu vous bénisse.

            Le Dieu qui connaît ce qui cloche chez vous connaît ce que sera le futur. Très bien.

            Disons: «Grâces soient rendues à Dieu !» [L’assemblée dit: «Grâces soient rendues à Dieu !»–N.D.E.]

            C’est pour l’enfant que vous venez, soeur? Croyez-vous de tout votre coeur? Voulez-vous guérir de cet asthme? Partez et dites: «Merci, Seigneur Jésus...?...»

37        Cela...?... assis là même souffrant de la bronchite, assis juste là derrière, tout au fond, là au bout de la rangée là, vous pouvez aussi vous lever si vous le voulez bien et accepter votre guérison. Le Seigneur Jésus vous a guéri quand Il a guéri cette personne ici souffrant de...?... tumeur. Vous pouvez partir et...?...

            Croyez-vous, monsieur? Si Dieu me révèle ce qui cloche chez vous, accepterez-vous votre guérison? Vous souffrez des reins. Très bien.

            Croyez-vous, soeur? Vous pensiez que beaucoup de choses clochaient chez vous. C’est le trouble d’estomac, et vous avez des palpitations cardiaques plusieurs fois, vous avez pensé que vous souffriez du coeur, mais c’est le–c’est le... C’est quand vous vous couchez que vous sentez cela empirer (Vous voyez?), ce sont les nerfs. Le gaz passe par les tubes jusqu’à votre estomac, ce qui fait... ou vers votre coeur, c’est ce qui vous donne cette sensation-là. C’est une maladie de nerfs. Dieu vous a guérie maintenant. Partez...?...

38        Ma soeur, voulez-vous guérir de cette maladie gynécologique? Allez et acceptez votre guérison.

            Venez, soeur. Croyez-vous de tout votre coeur? Si vous croyez, vous pouvez recevoir. Quand j’ai dit: «Coeur», vous avez éprouvé une sensation drôle, n’est-ce pas? Vous avez... l’autre au bout de la rangée. Oui. Voulez-vous guérir de cette maladie du coeur? Le voulez-vous? Vous pouvez juste vous lever alors et accepter votre guérison, vous deux.

39        Vous monsieur, vous aussi, vous souffriez, vous assis là même, vous souffriez aussi du coeur. Levez-vous, vous avez été guéri au même moment là. Que Dieu vous bénisse. C’est...?... Que le Seigneur vous bénisse, mon frère...?...

            Croyez-vous en Dieu?

            La petite fille, regarde de ce côté-ci...?... chérie. L’autre petite fille là, regarde ici, chérie, juste une minute. Je vois la Lumière suspendue au-dessus de la petite... Non, ce n’était pas ça, c’est sur cette dame là. C’est vous. Croyez-vous que je suis Son prophète? Vous avez... La dame en robe blanche tendant vers le gris, n’est-ce pas que vous avez une espèce d’éruption, ou quelque chose comme cela? Les médecins ne savent pas exactement ce que c’est, n’est-ce pas? Je le vois secouer la tête et s’en aller. C’est sur vos jambes, n’est-ce pas? Quelque chose comme l’eczéma. Si c’est vrai, faites signe de la main...?...

            Que le Seigneur soit avec vous et qu’Il vous guérisse. Ayez foi en Dieu...?... debout près... Billy, est-ce cette dame?

            Madame, regardez de ce côté-ci. Croyez-vous que je suis Son prophète, Son serviteur?

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