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Le MinistĂšre De Christ
1
Merci, FrĂšre Rush. Bon aprĂšs-midi, mes amis. Je suis trĂšs
content dâĂȘtre
ici cet aprĂšs-midi, et une fois de plus Ă dĂ©fendre lâEvangile de
Jésus-Christ,
à apporter de bonnes nouvelles, les bonnes nouvelles que Jésus est
ressuscité
dâentre les morts, quâIl vit parmi les hommes aujourdâhui, Son Eglise.
Le mĂȘme
JĂ©sus qui Ă©tait hier, sera aujourdâhui et Ă©ternellement. Il nâa jamais
failli.
Et
maintenant, nous sommes trÚs reconnaissants du progrÚs de la série de
réunions
pendant ces quelques derniÚres soirées, et de la façon dont le Seigneur
bénit.
Des témoignages affluent au sujet de toutes sortes de maladies,
dâafflictions
et autres qui ont Ă©tĂ© guĂ©ries dans lâassistance mĂȘme, Ă part ici Ă
lâestrade,
et des choses, juste lĂ dans lâassistance. Certains dâentre eux
écrivent et
disent: «Eh bien, vous savez, jâavais un enfant, il portait des
appareils
orthopĂ©diques. Je lâai ramenĂ© Ă la maison, jâai enlevĂ© les appareils
orthopédiques, il peut marcher.» Et juste... Voyez? Souvent, il arrive
que je
ne peux pas mentionner tout ce qui se passe lĂ dans lâassistance; je
parle
simplement de temps en temps.
Et je
vois dans cette partie du milieu ici, il y a une LumiĂšre lĂ derriĂšre,
mais
juste ici; parfois, je vois Cela lĂ -bas, mais je ne peux pas voir
exactement
qui est-ce et oĂč ça se trouve. Alors, jâattends simplement que cela se
déplace
quelque part ailleurs. Mais je sais que les gens sont en train dâĂȘtre
bénis et
jâen suis trĂšs reconnaissant.
2
Et maintenant, dâhabitude dans nos rĂ©unions, le... le
dimanche aprĂšs-midi,
cela mâest gĂ©nĂ©ralement rĂ©servĂ© pourâpour parler de laâde la Parole. Je
ne suis
pas unâun prĂ©dicateur, ce quâon appellerait un prĂ©dicateur; je nâai
donc pas
assez dâinstruction, et je nâai que trĂšs, trĂšs peu dâinstruction, mais
je
Lâaime, et jâaime parler de Lui, de ce que je sais ĂȘtre la vĂ©ritĂ©.
Ainsi
donc...
Je sais
quâil y a beaucoup de mes amis ici, en provenance de Fort Wayne. Je me
rappelle
un soir, Ă la rĂ©union de Fort Wayne, jâĂ©tais lĂ ... Je venais dâentrer
et il y
avait un homme qui connaissait tous les angles, et surtout de la
grammaire, il
mâa dit, il a dit: «FrĂšre Branham, a-t-il dit, votre grammaire est trĂšs
pauvre.»
Jâai dit:
«Oui, monsieur, je le sais.»
Et il a
ditâil a dit: «Oh! la la! Vous commettez certaines erreurs les plus
horribles»
Jâai dit:
«Oui, monsieur, je le sais.» Il a dit... Jâai dit: «Eh bien, mon pĂšre
est mort,
je suis restĂ© avec ma mĂšre et dix enfants, ai-je dit, jâai eu Ă
travailler.
Jâai travaillĂ© toute ma vie.» Et jâai dit: «Je nâai pas eu
dâinstruction.»
«Oh!
a-t-il dit, ce nâest plus une excuse maintenant; vous ĂȘtes un homme.»
Jâai dit:
«Oui, monsieur, ceâcâest vrai.»
3
Il a dit: «Vous pouvez suivre des cours par correspondance,
ou quelque
chose comme cela, et améliorer votre grammaire.»
Et jâai
dit: «Oui, monsieur, je pense que câest vrai, ai-je dit, mais aprĂšs que
jâai
commencé des réunions...»
«Eh
bien, a-t-il dit, câest une honte, tous ces gens, et des milliers de
gens Ă qui
vous vous adressez, a-t-il dit, vous utilisez les mots his et hainât
et...»
Jâai dit:
«Eh bien, ils semblent bien sâen tirer.»
Alors,
il a ditâil a dit: «Eh bien, a-t-il dit, jeâje vous assure, a-t-il dit,
par
exemple, ce soir, vous avez commis une erreur grave, a-t-il dit;
jâaimerais
vous corriger.»
Jâai dit:
«Dâaccord, monsieur.»
Il a dit:
«Vous avez dit: âVous tous, montez Ă ce polpit [chaire] ce soir.â Et...»
Et jâai
dit: «Oui, monsieur, ce nâest pas correct?»
4
Il a dit: «Non.» Il a dit: «Vous auriez dû dire pulpit
[chaire].» Il a dit:
«Les gens vous apprécieraient davantage si vous disiez pulpit et non
pas
polpit.»
Alors,
jâai dit: «Bien-aimĂ© frĂšre, je vous aime.» Voyez-vous? «Mais, ai-je
dit,
écoutez, ces gens là -bas, ça leur importe peu que je dise polpit ou
pulpit; ce
quâils veulent de moi, câest que je prĂȘche lâEvangile et que je fasse
ce que...
ce qui est correct, lĂ -bas.» Câest exact. Câest donc pratiquement ça.
Je me
suis toujours rappelĂ©, tout au dĂ©but quand jâai Ă©tĂ© ordonnĂ© dans
lâEglise
baptiste, vous savez comment est un jeune prédicateur, surtout les
baptistes.
JâespĂšre quâil y en a qui Ă©coutent ceci. Oh! Nous mettions notre Bible
sous le
bras, vous savez, et nous étions des révérends. Alors, je descendais la
rue
avec ma Bible et jâavais... Quelquâun disait: «Etes-vous prĂ©dicateur?»
«Oh!
Oui, monsieur.»
5
Alors, jeâjâaimais bien ce titre-lĂ . Cela me rappelait donc
une fois,
quand... Mon pĂšre Ă©tait bien un dresseur; il sâĂ©tait fracturĂ©. Il
dressait les
chevaux, et il montait le cheval au rodĂ©o, câĂ©tait un cavalier trĂšs
raffiné, un
trĂšs bon tireur avec lesâavec les fusils. Et alors, il disait... Je me
rappelle
un jour Ă la maison, je voulais devenir comme mon papa. Et je... Nous
avions un
vieux cheval de labour. Et beaucoup parmi vous ici viennent de la
ferme,
nâest-ce pas? Vous savez donc ce que câest un vieux cheval de labour.
Je labourais
avec ce vieux cheval; il Ă©tait vieux pour commencer. Et je lâutilisais
pour
labourer jusque tard le soir, et papa voulait que je le fasse sortir,
de la
sorte je ne pourrais pas faire du mal Ă ce vieux cheval. Jâavais un
petit
abreuvoir vers le bas, câĂ©tait un rondin creusĂ©. En avez-vous dĂ©jĂ vu
un? Dites
donc, je ne suis donc pas lâunique garçon de campagne par ici
aujourdâhui,
nâest-ce pas? Un vieil abreuvoir avec une vieille pompe Ă lâaide de
laquelle on
pompait de lâeau...
Ainsi,
je rassemblais tous mes jeunes frÚres, je les mettais à cÎté, le long
du mur de
la basse-cour lĂ . Et je remplissais cet abreuvoir dâeau, et aprĂšs que
le vieux
cheval sâĂ©tait abreuvĂ©, et papa Ă©tait quelque part ailleurs en train de
travailler, jâentrais prendre sa vieille selle et je me trouvais une
poignée de
graterons, je les enfonçais en dessous de la selle, je faisais
descendre la
sangle et je montais ce vieux cheval.
6
Le pauvre vieux cheval Ă©tait si vieux quâil nâarrivait
pas... raide et
fatiguĂ©, il nâarrivait pas Ă dĂ©tacher ses pattes du sol, il restait
simplement
lĂ , hennissant, vous savez. Alors, jâenlevais mon chapeau et je
ballottais de
part et dâautre; je disais: «Je suis un vrai cow-boy.» Tous mes jeunes
frĂšres
Ă©taient lĂ , vous savez. Jâavais simplement vu trop de films, câĂ©tait
tout.
Quand
jâai atteint environ dix-neuf ans, jâai dit Ă ma mĂšre que jâallais
quelque part
dans lâIndiana, Ă la rĂ©serve de Boy Scout, Ă Greenâs Mill pour camper.
Jâai fui
et je suis allĂ© Ă lâouest, je suis allĂ© en Arizona. Je me suis dit: «Je
suis un
vrai cavalier, jâai dressĂ© les chevaux, lĂ , pourquoi ne pas me faire un
peuâun
peu dâargent vraiment.» Jâai alors entendu dire quâil y avait un rodĂ©o.
Je me
suis donc procurĂ© une paire de Levi, et je suis allĂ© lĂ et jâai visitĂ©.
Jâai vu
lĂ oĂč Ă©tait le corail, lĂ oĂč on faisait sortir les chevaux. Jâai
regardé, et le
long de ce mur de clĂŽture, il y avait tout un groupe de cow-boys au
visage
défiguré, aux jambes arquées et tout épuisés. Je me suis dit: «Dites
donc,
voilà ma place.» Je suis monté sur le mur de clÎture, je me suis assis
lĂ .
7
On a fait sortir un cheval quâon avait, lâadministrateur
sâest avancĂ© et il
a dit de quel cheval il sâagissait, et que câĂ©tait un cheval qui
faisait des
ruades extraordinaires...?... Quelquâun allait le monter. Alors, on a
présenté
un cĂ©lĂšbre cavalier, et il devait lâattraper autant que possible Ă son
passage
dans la piste des taureaux. Alors, pendant que je me tenais lĂ , jâai vu
cet
homme atterrir sur la selle, un grand gaillard aux longues jambes, on
dirait que
câĂ©tait un bon cavalier. AussitĂŽt quâil avait touchĂ© la selle, mon
vieux, ce
cheval a esquissé environ deux bonds, il a roulé les épaules, et le
cavalier,
et la selle et tout se sont envolés, et alors, quand il est tombé par
terre,
les ramasseurs, ont pris le cheval et lâambulance a amenĂ© le cavalier.
Le sang
lui sortait par les oreilles, les yeux, le nez, et la bouche. Alors,
cet homme
est passĂ© tout le long du mur de clĂŽture, lĂ oĂč tous les cow-boys, tous
ceux
qui Ă©taient censĂ©s ĂȘtre des cavaliers, Ă©taient tous alignĂ©s. Il a dit:
«Je
donnerai cinquante dollars Ă tout homme (CâĂ©tait lors de la crise), je
donnerai
cinquante dollars Ă tout homme qui montera ce cheval pendant trente
secondes.»
Personne ne pouvait... Tout le monde était resté tranquille. Il a
chevauché
jusquâen face de moi: «Monsieur, ĂȘtes-vous cavalier?»
Jâai dit:
«Non, monsieur.» Je me suis rendu compte que ce nâĂ©tait pas mon vieux
cheval de
labour. CâĂ©tait diffĂ©rent avec celui-lĂ .
8
Quand je me promenais, vous savez, je disais que jâĂ©tais un
prédicateur. Un
jour, jâĂ©tais Ă Saint-Louis, dans le Missouri; il y avait un petit
prédicateur
pentecÎtiste là , du nom de révérend Robert Daugherty. Et cet homme
tenait des
rĂ©unions sous tente, il prĂȘchait jusquâĂ perdre le souffle; ses genoux
sâentrechoquaient,
il reprenait le souffle. On pouvait lâentendre Ă une distance dâun pĂątĂ©
de
maisons, il se relevait en prĂȘchant. Quelquâun a demandĂ©: «Etes-vous un
prédicateur?»
Jâai dit:
«Non, monsieur.»
9
Avec mes vieilles maniĂšres lentes de baptiste, je ne pense
pas Ă la chose
si vite, il me faut donc faire de tout mon mieux. Mais je Lâaime. Et
jâaime
consacrer ce temps-ci de lâaprĂšs-midi... Pendant les rĂ©unions du soir,
on est
toujours sur les malades. On parle, et câest quelque chose qui va... Et
quand on
traite avec les malades, il y a une autre onction, une onction
différente. Il y
a un Etre angélique qui se tient prÚs. Et on entre dans une autre
dimension.
Aujourdâhui,
quelquâun est entrĂ© dans un restaurant, il me disait quâil avait Ă©tĂ©
guéri,
quâil avait Ă©tĂ© trĂšs malade et dans un Ă©tat terrible, et quâil Ă©tait
bien
portant. Eh bien, je ne me souvenais pas de la personne. Une autre
personne me
disait quâelle avait Ă©tĂ© Ă la rĂ©union de Houston, un homme avancĂ© en
Ăąge, quâil
souffrait de la sclérose en plaques ou quelque chose comme cela, du
foie. «»
JâĂ©tais mal-en-point pendant trente ans et, a-t-il dit, FrĂšre Branham,
cette
mĂȘme nuit-lĂ , tout cela mâavait quittĂ©.» Et jeâje vois le vieil homme
assis
juste de ce cĂŽtĂ©-ci maintenant. Câest vrai. Il a dit: «Et tout cela
mâavait
quitté.» Il est bien portant depuis lors. Et il a dit: «Vous
souvenez-vous de
moi?»
10 Je... Vous savez, cela semble insignifiant quand vous dites:
«Jeâje ne me
souviens pas.» Je nâaimerais pas le dire, mais je ne me souviens
effectivement
pas. Si vous vous mettez Ă mâen parler, eh bien, câest comme si jâavais
vu ça
dans un songe. On me parlait dâune femme paralysĂ©e, qui Ă©tait couchĂ©e
lĂ et qui
avait Ă©tĂ© guĂ©rie lâautre soir. Jeâje ne mâen souviens simplement pas;
donc,
je... On dirait que jâai vu quelque chose Ă ce sujet dans un songe.
Eh bien,
cet aprĂšs-midi, je vais lire un court passage et parler un peu dâun
sujet
familier. Jâallais parler cet aprĂšs-midi sur Combattre pour la foi qui
a été
transmise aux saints une fois pour toutes. Et Ă©tant donnĂ© que jâai
commis une
erreur, jâavais annoncĂ© la rĂ©union... Je pensais que je devais ĂȘtre ici
Ă
quatorze heures trente. Peut-ĂȘtre que si nous restons jusque dimanche
prochain,
jâen parlerai, sur Combattre pour la foi qui a Ă©tĂ© transmise aux saints
une
fois pour toutes, le Seigneur voulant.
Et
maintenant, aujourdâhui, jâaimerais lire une portion, peut-ĂȘtre un
petit
passage familier ici dans les Ecritures, cela se trouve dans Saint
Jean,
chapitre 11, lĂ oĂč un homme Ă©tait mort, et il avait Ă©tĂ© ressuscitĂ©
dâentre les
morts. Croyez-vous que JĂ©sus est toujours aujourdâhui le mĂȘme Seigneur
qui
avait ressuscitĂ© cet homme-lĂ dâentre les morts? Il lâest, amis, câest
vrai; Il
est le mĂȘme Seigneur JĂ©sus.
11 Et toute cette Bible, Ă mon avis, toute cette mise en place,
câest une
histoire dramatique, ça a commencĂ© en Eden, câest passĂ© par la porte,
ça a
continué dehors, la voie de la croix qui ramÚne de nouveau vers là :
câest juste
tout un grand tableau que Dieu a placé là dans Son Esprit. Je peux
mâimaginer
voir Dieu avant mĂȘme la fondation du monde, avant quâil y ait la lune,
lâĂ©toile, quoi que ce soit, Le voir lĂ dans lâespace. Et dans Son
Esprit, Il
sâest reprĂ©sentĂ© ce tableau-lĂ , ce que tout cela serait. Et pour tout,
Il a
simplement parlĂ©, disant: «Quâil y ait.» Et tout a simplement commencĂ©
Ă
occuper sa place. Nâest-Il pas merveilleux? De penser Ă cela...
Et puis,
je Le vois, dans Son grand amour souverain, descendre pour sauver des
pécheurs
perdus comme moi et vous. Je ne peux pas comprendre. Il nâest pas
étonnant que
le poĂšte ait dit:
Lâamour de Dieu, combien
riche et pur!
Insondable et fort,
Il demeurera éternellement
Le chant des hommes et des
anges.
A partir
du chapitre 11, verset 18, je vais lire une portion des Ecritures:
Béthanie...
Et, comme Béthanie était prÚs de
Jérusalem, à quinze stades environ,
Beaucoup de Juifs étaient venus vers
Marthe et Marie, pour les consoler de la mort de leur frĂšre.
Lorsque Marthe apprit que Jésus
arrivait, elle alla au-devant de lui, tandis que Marie se tenait assise
Ă la
maison.
Marthe dit à Jésus: Seigneur, si tu
eusses été ici, mon frÚre ne serait pas mort.
Mais, maintenant mĂȘme, je sais que
tout ce que tu demanderas Ă Dieu, Dieu Te lâaccordera. (Nâest-ce pas merveilleux, juste lĂ ?)
Jésus lui dit: Ton frÚre ressuscitera.
Je sais, lui rĂ©pondit Marthe, quâil
ressuscitera à la résurrection, au dernier jour.
Jésus lui dit: Je suis la
rĂ©surrection et la vie. Celui qui croit en moi vivra, quand mĂȘme il
serait mort;
Et quiconque vit et croit en moi ne
mourra jamais. Crois-tu cela?
Elle lui dit: Oui, Seigneur, je
crois que tu es le Christ, le Fils de Dieu, qui devait venir dans le
monde.
12 Inclinons la tĂȘte juste un instant. Notre PĂšre cĂ©leste, nous
nous tenons
maintenant ici en un autre jour, de ce cĂŽtĂ©-ci de lâEternitĂ©, ou de la
Venue du
Seigneur, devrais-je dire... Et sachant que peut-ĂȘtre dans cette
assistance, il
y a des gens qui sont... qui nâont jamais acceptĂ© Ton Fils bien-aimĂ©
comme leur
Sauveur personnel.
Pendant
que je parcourais les parcs, jâai vu les piscines pleines de jeunes
filles Ă
moitié nues, et exposées, étalées dans des parcs, insouciantes, et ne
se
rendant pas compte que ce beau corps-lĂ quâelles adorent tant, les vers
du
corps vont y ramper un de ces jours alors que leur Ăąme aura Ă
rencontrer Dieu
au Jugement. Je prie, Seigneur, que quelque chose soit fait cet
aprĂšs-midi qui
amÚnera les gens à se réveiller et à se rendre compte que nous nous
approchons
de la fin.
Nous Te
remercions pour ce que Tu as fait pour nous au cours de cette semaine,
en
faisant entendre les sourds, marcher les boiteux, et beaucoup de
puissants
signes et puissants prodiges que Tu as accomplis. En réalité, la
puissance de
Dieu qui agit parmi les hommes en ce dernier jour est irréfutable, sans
mélange...
13 Ces gens se sont rassemblĂ©s ici sous ce toit pour Tâadorer.
Beaucoup de Tes
enfants se fatiguent, Seigneur, ils voient ces méchants prospérer. Mais
puissent-ils considérer David, alors que Tu lui as parlé en ces termes:
«Oui,
jâai vu le mĂ©chant Ă©tendre son grand arbre verdoyant, mais, a-t-il dit,
as-tu
considĂ©rĂ© sa fin?» Câest alors que tout se rĂ©vĂ©lera. Cette heure oĂč
lâange de
la mort entrera dans la chambre, les nuages commenceront Ă entrer dans
la
chambre en flottant, et nous savons que nous traversons la vallée.
Quâen
sera-t-il alors?
Ă Dieu,
bĂ©nis Tes enfants aujourdâhui; Ă©lĂšve leur foi; bĂ©nis leurs Ăąmes et
quâils se
réjouissent en Dieu de notre salut. Que les malades soient guéris; que
plusieurs qui sont assis ici malades et affligés saisissent le
Saint-Esprit
dans leur coeur, que leur foi soit illuminĂ©e aujourdâhui et quâils
soient
emportés. Accorde-le, PÚre.
Maintenant,
aide-moi, Seigneur, moi Ton serviteur inutile. Et parle comme jamais
auparavant
par Ton serviteur. Car nous le demandons au Nom de Christ. Amen.
14 Je sais quâonâquâon se mettra Ă distribuer des cartes de
priĂšre vers
dix-huit heures et que nous aurons Ă partir assez tĂŽt, cela ne nous
prendra
quâun peu de temps pour vous parler, pendant que vous priez.
Combien
de chrĂ©tiens y a-t-il ici cet aprĂšs-midi? Voyons, eh bien, câest
merveilleux.
Oh! Environ, presque cent pour cent. Eh bien, notre texte, notre
passage de cet
aprÚs-midi concerne le tout début du ministÚre de notre Seigneur
Jésus-Christ.
Il venait dâĂȘtre populaire. Si vous Lâobservez bien, en Sa premiĂšre
année, Il
était trÚs populaire, puis Il connut une baisse la deuxiÚme année, et
enfin on
Le crucifia.
Au
dĂ©part, câĂ©tait tout nouveau, cela avait de lâĂ©clat, partout. Tout le
monde
venait voir ce merveilleux Homme qui pouvait connaßtre les pensées des
gens et
faire les choses que le PÚre Lui montrait à faire: «Faire voir les
aveugles,
faire entendre les sourds. Ils nâavaient jamais entendu pareille chose.
Mais
aprĂšs, les conducteurs religieux de lâĂ©poque ont dĂ©clarĂ© quâIl Ă©tait un
démon.
(Je pense que je me tiens trop prÚs de ce microphone.) Ils ont déclaré
quâIl
Ă©tait un dĂ©mon. Et, Ă©videmment, câest ce que les gens agiront
conformĂ©ment Ă
lâenseignement quâils ont reçu. Est-ce bien ou mieux? Câest...
Dâaccord, je me
disais donc que jâĂ©tais... Je nâaimerais pas vous abasourdir, alors...
15 Ils ont donc découvert aprÚs que leurs chefs religieux ne
croyaient pas en
Lui. Ainsi donc, Il devint trĂšs impopulaire. Câest juste les gens de la
classe
pauvre, du peuple... La Bible déclare que les gens du peuple
LâĂ©coutaient avec
joie. Mais ceux de haut standing, ceux qui avaient beaucoup de choses
de ce
monde et beaucoup dâargent, ne faisaient pas cas de Lui. Eh bien,
docteur Untel
a dit quâIl Ă©tait un fanatique, quâIl Ă©tait un dĂ©mon. Ainsi donc, il
nây avait
rien en Lui, ils se tenaient simplement loin de Lui. Ils regagnaient Ă
leurs
propres groupes. Eh bien, ceux qui se ressemblent sâassemblent, câest
vrai.
Mais
ceux qui croyaient en Lui et qui Lâaimaient Ă©taient avec Lui. Et lâune
de ces
familles avait unâun jeune homme du nom de Lazare, et une... ou deux
soeurs.
Lâune sâappelait Marie, et lâautre, Marthe. Eh bien, les historiens
nous
rapportent que Lazare Ă©tait un scribe, quâil Ă©crivait et rĂ©imprimait
les copies
de la loi. Et si quelquâun sait combien câĂ©tait strict, un seul mot de
travers
signifierait autre chose. Cela devait donc ĂȘtre parfait, et il fallait
uneâune
personne honnĂȘte, de renom, sainte, pour Ă©crire cela. Il Ă©tait donc
un... Il
devait donc ĂȘtre dâun bon caractĂšre et avoir une bonne position dans la
foi.
16 Marie et Marthe, il nous est rapportĂ© quâelles faisaient de
la couture,
fabriquaient des tapis pour le temple et tout. Ils étaient restés seuls
sur
terre, leurs parents étant morts. Et à ce moment-là , le pÚre nourricier
de
Jésus, Joseph, je suppose, était mort. Et Jésus est allé habiter avec
eux. Et
Il Ă©tait devenu trĂšs cĂ©lĂšbre, Son oeuvre en Ă©tait arrivĂ©e au point oĂč
elle
Ă©tait tellement connue quâil Lui fallait partir.
Eh bien,
Il habitait... On en Ă©tait arrivĂ© au temps. Tout sâarrange en son
temps.
Croyez-vous cela? Tout... Vous plantez le blé en automne, au printemps,
ça se
reproduit, ou Dieu fait pousser cela. Et vousâvous plantez le maĂŻs au
printemps
et, en automne, on le rĂ©colte. Tout a sonâson temps, juste comme Sa
Vie; elle a
connu un début, elle a connu sa meilleure partie, et elle connait son
ombre
alors quâIl arrive Ă la fin.
17 Il en est de mĂȘme de nos ministĂšres, frĂšres. Ils connaissent
leur meilleur
moment, notre début, notre temps intermédiaire, le meilleur, puis la
fin. On
commence la vie comme un bĂ©bĂ©, puis on est adolescent, ensuite lâĂąge
moyen,
enfin la fin. Câest pareil avec le soleil qui se lĂšve Ă lâest et se
couche Ă
lâouest. Tout a un dĂ©but et une fin.
Chaque
fois que Dieu est sur le point de faire quelque chose sur la terre,
toujours,
Il... Dâabord, avant dâenvoyer le jugement, Il envoie premiĂšrement la
misĂ©ricorde. Et quand lâhomme rejette la misĂ©ricorde, il ne reste que
le
jugement. Est-ce vrai? Si vous nâacceptez pas la misĂ©ricorde, alors il
ne vous
reste que le jugement. Donc, Dieu, avant de faire quoi que ce soit, Il
le
montre toujours dâavance aux gens. Si vous croyez cela, je crois que
notre
prĂ©sence ici Ă Connersville aujourdâhui est un prĂ©sage. Dieu ne fait
pas des
choses juste pour faire le clown; Il ne lâest pas. Il ne fait pas de
parades.
Il le fait Ă dessein. Chaque Parole occupe juste sa place. Il nây a pas
un
iota, il nây a pas un titre qui puisse faillir, cela subsiste
éternellement.
Je pense
à ce passage des Ecritures: «Ta Parole est éternellement confirmée au
Ciel.»
Personne nâen doute dans le ciel. Câest nous les mortels qui doutons de
Cela.
Tout au Ciel croit Sa Parole. Ce que Dieu dit, câest rĂ©glĂ©. «Ta Parole
est
éternellement établie au Ciel». Elle est déjà établie.
18 Maintenant, remarquez, alors juste avant la Venue de Jésus,
ce qui avait
Ă©tĂ© annoncĂ© par la prophĂ©tie depuis le jardin dâEden, la venue de
Jean-Baptiste
avait Ă©tĂ© annoncĂ©e par la prophĂ©tie. Et Zacharie... Jâaimerais vous
faire
remarquer la famille maintenant: Un homme saint et croyant. Quelque
chose
dâhorrible est arrivĂ© dans leur famille, ils avaient un bĂ©... ou ils
voulaient
avoir un enfant. A lâĂ©poque, câĂ©tait une disgrĂące de manquer des
enfants;
aujourdâhui, câest une disgrĂące dâen avoir un, pratiquement. Combien
cela a changé!
Les gens nâont pas le temps dâĂ©lever les enfants.
Eh bien,
Ă©coutez, câest pour moi un aprĂšs-midi Ă passer ici avec le Seigneur
dans
lesâdans les services. Je dis simplement ce quâIl me dit de dire. Mais
câest un
jour triste, oĂč on a inventĂ© des machines Ă laver, des lave-vaisselles
et tout,
on donne aux femmes tout ce temps pour se pavaner dans des bars et
tout, boire,
fumer la cigarette et parcourir le pays. Câest vrai. On devient
fouineurs,
paresseux, on a beaucoup de temps, et rien Ă faire. Ăa aurait Ă©tĂ© mieux
si on
avait la brosse à récurer et ...?... pour ce lavage avec ce genre de
machines Ă
laver, comme ma mĂšre le faisait. Câest exact.
19 Eh bien, je ne suis pasâpas seulement contre cela, mais les
vieux, ils
doivent régler le temps de telle façon à pouvoir sortir pour jouer au
golf ou
quelque chose comme cela, faire un petit exercice, se dégraisser. Que
câest
pitoyable! Et le reste du monde crĂšve de faim. Vous pensez que nous
nâallons
pas ĂȘtre condamnĂ©s pour ces choses? AssurĂ©ment que nous serons
condamnés. Je
viens de quitter les nations, ces pauvres petits enfants qui se tordent
les
mains et les yeux et qui pleurent, leurs petits visages sales, comme
cela,
réclamant en criant un morceau de pain. En Amérique, certains...
Parfois les
aprĂšs-midi, ou au milieu de lâaprĂšs-midi, un plat de huit dollars et la
moitié
de cela est jetĂ©e dans la poubelle, pour nourrir des porcs. Ce nâest
pas
correct. Et, frĂšre, le temps arrive oĂč Dieu nous fera aussi payer pour
ces
choses.
Mais cet
homme Zacharie, avec sa femme Elisabeth, câĂ©taient des gens justes,
saints; ils
priaient tout le temps. Et maintenant, le temps Ă©tait arrivĂ© oĂč la
prophétie
dâEsaĂŻe devait ĂȘtre accomplie, et cela avait Ă©tĂ© proclamĂ© huit cents
ans ou
sept cent douze ans auparavant: «Il y aura une voix qui criera dans le
désert.»
20 Observez les roues prophĂ©tiques de Dieu, juste au temps oĂč
la prophétie est
sur le point de sâaccomplir, les autres appelĂ©s seront lĂ , quand
celui-ci
arrivera lĂ . JĂ©sus sera lĂ Ă lâheure pile. LâEglise montera Ă lâheure
pile.
Rien ne fera dĂ©faut. Ăa sera juste comme Dieu lâa ordonnĂ©.
Maintenant,
observez ces gens. Dieu était descendu sur terre, sans doute, pour
chercher
quelque part oĂč Sa Parole pouvait sâaccomplir. Et Il a trouvĂ© un homme
du nom
de Zacharie, qui était juste. Dieu attend toujours de trouver ce qui
est bas,
ce qui est dĂ©favorisĂ© et rejetĂ©. Câest pourquoi je Lâaime; Il mâa
choisi. Le
pauvre de ce monde, celui qui est humble de coeur et disposĂ© Ă
apprendre...
21 Alors, Il a trouvé Zacharie, il était pourtant fidÚle à son
poste de
devoir, il agitait le parfum. Et quand il est entré pour brûler le
parfum ce
jour-lĂ , Zacharie, eh bien, un homme avancĂ© en Ăąge, sa femme avait dĂ©jĂ
dépassé
lâĂąge de la fĂ©conditĂ©, lâAnge de lâEternel sâest tenu Ă droite de
lâautel; et
quand Zacharie sâest retournĂ© et Lâa regardĂ©, câĂ©tait Gabriel,
lâArchange.
Regardez, Dieu peut envoyer beaucoup dâanges, nous tous, nous avons des
anges
gardiens. Les enfants de Dieu, Dieu... Jésus a dit: «Gardez-vous de
mépriser un
seul de ces petits, car leurs anges voient continuellement la face de
Mon PĂšre
qui est dans les cieux.» Est-ce vrai? Faites attention à ce que vous
faites
contre les chrĂ©tiens. Il vaudrait mieux pour vous quâon suspende Ă
votre cou
une pierre, et quâon vous jette au fond de la mer plutĂŽt que dâoffenser
mĂȘme
lâun dâeux. Faites attention. Voyez?
22 Eh bien, ce... Il envoie beaucoup dâanges, mais quand vous
entendez dire
que Gabriel est descendu de la Gloire, ce nâest pas juste une mince
affaire;
quelque chose de capital est sur le point dâarriver. Gabriel... Ăa y
est donc.
Gabriel a annoncé la PremiÚre Venue de Christ. Et Gabriel annoncera la
Seconde
Venue de Christ. Amen. Il est lâArchange, il se tient Ă la droite de Sa
Majesté
divine dans la Gloire.
Et ici,
ce sacrificateur est lĂ , peut-ĂȘtre en train de prier ou dâagiter cet
encensoir,
alors que les gens Ă©taient en train de prier dehors. Il a regardĂ© et lĂ
était
Gabriel. Quel sentiment! Mais il a parlé à Zacharie; il a dit: «Tu as
trouvé
grùce aux yeux de Dieu.» Et il a dit: «Maintenant, Zacharie, quand tu
rentreras
chez toi, aprĂšs les jours du service ici Ă lâautel, quand tu monteras
donc chez
toi, tu retourneras Ă Silo, a-t-il dit, tu vas rester avec ta femme, et
elle va
concevoir et enfanter un fils.» Quel message!
23 Maintenant, suivez, un homme qui était si établi dans ses
voies
ecclĂ©siastiques, sachant cependant quâil se tenait dans la prĂ©sence
dâun ange,
il a dit: «Comment ces choses se pourront-elles?» Eh bien, en dâautres
termes: «Cela
ne peut pas se faire, ma femme a cinquante ans, ou soixante. Eh bien,
jâai vĂ©cu
avec elle depuis quâelle Ă©tait une jeune fille de dix sept, dix-huit
ans, et
elle a dĂ©passĂ© lâĂąge de la fĂ©conditĂ©. Ces choses ne peuvent pas se
faire.»
Observez,
jâaime ça. Dieu est dĂ©terminĂ© Ă accomplir Sa Parole. Le dimanche
prochain,
jâaborderai cette Ă©lection et lâappel, lĂ . Remarquez, il a dit: «Je
suis
Gabriel, je me tiens dans la Présence de Dieu, et mes paroles
sâaccompliront en
leur temps. Et parce que tu as doutĂ©, tu resteras muet jusquâau jour oĂč
lâenfant
naßtra. Tu lui donneras le nom de Jean.»
24 Dites donc, câest vraiment quelque chose, nâest-ce pas?
Observez lĂ .
Croyez-vous que cet Ange-là est mort? Absolument pas. Il écoute cet
aprĂšs-midi.
Observez. Et puis, la chose suivante, nous savons, nous trouvons des
gens qui
se demandaient totalement pourquoi il traĂźnait si longtemps, ils sont
donc
allĂ©s lui jeter un coup dâoeil et lâont vu leur faire des signes avec
les
mains. Ils ont remarquĂ© quâil avait eu une vision.
Il
rentre chez lui. Et juste comme Gabriel lâavait dit, câest arrivĂ© comme
ça.
Elisabeth a conçu. AllĂ©luia! La Parole de Dieu lâavait dit, cela devait
sâaccomplir. Alors Elisabeth, vieille quâelle Ă©tait, ça faisait
peut-ĂȘtre
longtemps quâelle avait eu la mĂ©nopause... Mais observez, ce
sacrificateur
avait doutĂ© que cela pĂ»t se faire. Il avait beaucoup dâexemples de ce
qui était
arrivé auparavant. Mais néanmoins, il a douté pour son propre cas.
Eh bien,
vous direz: «Je vois celui-ci ĂȘtre guĂ©ri, et celui-lĂ ĂȘtre guĂ©ri, mais
quant Ă
moi, je ne sais pas.» Eh bien, ça vous concerne aussi.
Vous
dites: «Je sais, celui-lĂ est trĂšs heureux depuis quâil a reçu le
Saint-Esprit,
mais je crains seulement que les voisins ne se moquent de moi.»
25 Que vous importe ce que les voisins disent. Dieu ne fait pas
de vous un
clown; Il fait de vous un saint. Quâest-ce que Dieu en dit? Ce que les
voisins
disent ne change rien; câest ce que Dieu dit qui compte. Amen. Vous
savez, je
commence déjà à me sentir religieux. Oui. Le Saint-Esprit, je crois, Il
est ici
cet aprÚs-midi pour bénir Son peuple.
Oh! Je
pense... Jâai vu Zacharie donc, doutant de cela, mais peu aprĂšs,
Elizabeth
avait conçu. Elle sâest cachĂ©e pendant six mois, parce quâelle avait
conçu et
quâelle allait enfanter cet enfant. Et six mois plus tard... Tournons
le regard
maintenant quelque part ailleurs, à Nazareth, la ville la plus méchante
du
monde, pire que Connersville, Jeffersonville, ou nâimporte laquelle.
Oh! Elle
était horrible.
26 Maintenant, remarquez, présentons un peu une saynÚte ici;
représentons-nous
quâon est un lundi. Câest le pire des jours pour les femmes,
généralement. Cela
lâĂ©tait quand jâĂ©tais chez moi; je devais transporter de lâeau pour
faire la
vaisselle et tout. Je pense que ma mÚre est présente cet aprÚs-midi.
Jâai vu
mon frĂšre ici, par ici, il y a quelques minutes. Et je mâimagine
quâelle est
présente.
Et, oh!
il me fallait aller couper des branches de ces caroubiers, les ramener,
les
mettre au feu et faire bouillir lâeau dans une vieille grosse
bouilloire Ă
lâextĂ©rieur. Oh! la la! Je me rappelle quâelle faisait des conserves.
Et
jâentrais lĂ , en sueur, vous savez, en Ă©tĂ©. Et ces petites tomates
jaunes de
gourde (Câest trĂšs bon, vous savez), on les met en conserve. On les met
entre
des biscuits chauds par un matin froid, je vous assure, câest bon. Elle
dĂ©versait cela dedans, et je disais: «Ah! maman, câest assez chaud.»
Elle
disait: «Oh! Ce nâest pas encore assez chaud.» Et cela ne faisait que
cuire et
dégager de la vapeur.
Je
demandais: «Pourquoi cela nâest-il pas encore assez chaud?»
27 Elle disait: «Cela doit en arriver à éclater avant que ça
soit bien:
Ă©clater.» Elle disait: «Continue simplement Ă mettre du bois jusquâĂ ce
que
cela Ă©clate.» Ăa bouillonnait, vous savez, la vapeur montait, ça
éclatait.
Je me
suis dit que câĂ©tait une trĂšs bonne illustration. Cela me rappelle une
bonne et
vieille réunion du Saint-Esprit. Vous déterrez du bois, vous continuez
Ă le
jeter au feu jusquâĂ ce que ça se mette Ă Ă©clater. Câest vrai. On est
alors
prĂȘt pour le scellement. Avant que vous puissiez chauffer le fer,
lâapprĂȘter
pour en faire quelque chose dâautre, vous devez le chauffer, le placer
sous
lâenclume, en faire sauter les Ă©tincelles et laisser cela se modeler.
Dieu doit
premiÚrement chauffer une réunion; Il doit amener votre coeur à se
tourner vers
Lui. Alors, Dieu peut se mettre Ă faire de vous quelque chose, Ă vous
modeler
en des fils et en des filles de Dieu, par une foi pure et sans mélange.
28 Maintenant, remarquez, je peux voir Marie rentrer Ă la
maison, avec un... Ă
la maniĂšre des Orientaux, avec de lâeau sur la tĂȘte, revenant de la
source des
vierges, remontant la rue, et tout, il nây a personne dans la rue. Elle
traverse la ruelle, peut-ĂȘtre, oĂč elle habitait, peut-ĂȘtre dans une
petite
cabane sur le flanc: ils étaient trÚs pauvres, elle vivait avec sa
maman qui
était veuve. Et sur la route ce lundi-là , un jour de lessive, elle
continue Ă
marcher, et elle était une vierge. Peu importe combien vile était la
cité, elle
Ă©tait une vierge; elle se fiait Ă Dieu. Et tout dâun coup, une grande
LumiĂšre
apparaĂźt devant elle. Et sous cette LumiĂšre, il y avait Gabriel
(Alléluia!),
lâArchange. Amen. Ne vous laissez pas vous effrayer par cela; amen veut
dire
ainsi soit-il. TrĂšs bien, lâArchange Ă©tait lĂ , et Il a dit: «Je te
salue Marie,
Toi à qui une grùce a été faite, toi à qui Dieu a fait grùce.»
29 «Quoi? Moi, originaire de la ville la plus méchante du pays?
Une pauvre
petite fille qui habite par ici dans cette ruelle? Et pourtant, jâai
trouvé
grùce aux yeux de Dieu?»
Il a dit:
«Oui, Tu as trouvé grùce aux yeux de Dieu.»
Cela a
effrayé la petite vierge, la salutation de cet Ange, une LumiÚre était
suspendue au-dessus de lui. Et il était là , dans cette LumiÚre, disant:
«Je te
salue.» Cela vous effraierait. Cela effraierait nâimporte qui.
Eh bien,
jâaimerais regarder et le voir parler. Il a dit: «Tu as trouvĂ© une trĂšs
grande
grĂące devant Dieu, tu enfanteras un Fils et tu Lui donneras le Nom de
Jésus.»
«Eh
bien, a-t-elle dit, comment ces choses se feront-elles?»
Il a dit:
«Le Saint-Esprit te couvrira de Son ombre (Amen!), et ce Saint Enfant
qui
naßtra de toi sera appelé le Fils de Dieu.» Eh bien, rappelez-vous,
croyez-vous
cela? Dieu est Esprit.
Je
parlais à un homme il y a quelque temps, il disait: «Vous ne croyez pas
en fait
que câest la vĂ©ritĂ©, prĂ©dicateur?»
Jâai dit:
«Si, je crois.»
30 Il a dit: «Eh bien, regardez, câĂ©tait juste une petite
gaffe, a-t-il dit,
Joseph allait avec cette femme, cette jeune fille.» Il était un veuf,
avec
quatre enfants. Et il a dit: «Eh bien, écoutez, il allait avec cette
femme-lĂ .
Je crois quâil y a juste une petite gaffe, pas vous?»
Jâai dit:
«Non, monsieur. Je crois quâIl Ă©tait le pur Fils de Dieu nĂ© dâune
vierge.»
Il a dit:
«Comment est-ce possible?»
31 Et jâavais fini par dĂ©couvrir que cet homme ne croyait pas
en Dieu. Et il a
dit: «Câest contraire Ă toutes les rĂšgles scientifiques, FrĂšre Branham;
cela ne
peut pas se faire.» Il a dit: «Regardez, le blĂ© ne peut mĂȘme pas
croĂźtre sans
un pollen, le maĂŻs non plus. Il ne peut pas y avoir de reproduction si
on nâa
pas un mĂąle et une femelle.» Il a dit: «MĂȘme un arbre doit ĂȘtre percĂ©
et changé
et tout. Et les abeilles transportent le pollen de lâun Ă lâautre pour
mettre
le mĂąle et la femelle, sinon ils ne pousseront pas.» Il a dit: «Câest
contraire
à toutes les lois de la science.»
Jâai dit:
«Mais ceci est Dieu, le Créateur de la science.»
Il a dit:
«Cela ne peut simplement pas se faire.»
Jâai dit:
«Jâaimerais vous demander quelque chose. Vous ne croyez pas que Dieu
existe?»
Il a dit:
«Non, monsieur.» Il a dit: «Je ne crois pas quâil y ait une naissance
virginale;
je ne crois pas que cela ait jamais existé et que pareille chose puisse
jamais
exister, jamais.» Il a dit: «Cet homme, Joseph, câĂ©tait lui Son pĂšre.»
32 Jâai dit: «Jâaimerais vous poser une question. Voulez-vous
alors me dire
quâil est totalement impossible Ă un homme, au grand CrĂ©ateur Dieu...»
Il a dit:
«Pareille chose nâexiste pas.»
Jâai dit:
«Observez, suivez-moi simplement.» Jâai dit: «Vous croyez quâil est
impossible
au CrĂ©ateur Dieu de faire naĂźtre cet Enfant. Vous accepterez quâIl a eu
une
mĂšre terrestre, moi aussi. Mais que ce serait impossible de Lâavoir eu,
eh
bien, sans quâIl ait eu un pĂšre terrestre.»
Il a dit:
«Câest vrai.»
33 Jâai dit: «Jâaimerais alors vous demander comment le premier
homme est
arrivĂ© ici sans pĂšre ni mĂšre. Quâil soit le tĂȘtard, un tĂȘtard, un
singe, je ne
sais comment vous voulez lâappeler, comment sâest-il retrouvĂ© ici?
DâaprĂšs ce
que vous venez de dire lĂ , Il devait avoir Ă la fois un papa et une
maman.»
Câest vrai. Jâai dit: «Qui Ă©tait le sien?» Il ne mâa pas rĂ©pondu
jusquâaujourdâhui, et il ne le peut pas. Dieu a créé cet Enfant. Oui,
oui. Je
crois que la cellule de sang vient du sexe mĂąle. Câest vrai. Nous le
savons.
Beaucoup parmi vous ici sont des fermiers. Votre poule peut pondre des
oeufs
tout lâĂ©tĂ©. Mais si elle nâa pas Ă©tĂ© avec le mĂąle, ils nâĂ©cloront pas.
Câest
vrai.
Les
oiseaux construisent leurs nids aujourdâhui, la vieille mĂšre oiseau
peut
construire un nid lĂ dans un arbre et le remplir dâoeufs, sans jamais
avoir été
avec un mĂąle, elle peut rester sur ce nid-lĂ et couver ces oeufs, les
tourner
et retourner, se rendre tellement faible quâelle nâarrive mĂȘme pas Ă
sâenvoler
de ce nid, les rĂ©chauffant. Mais si elle nâa pas Ă©tĂ© avec lâoiseau
mĂąle, ces
oeufs resteront là dans le nid et pourriront. Ils ne sont pas féconds,
parce
que leâle germe de la vie vient du mĂąle.
34 Cela me rappelle certaines de ces églises froides et
formalistes que lâon a
par ici; on a un nid plein dâoeufs, on ne fait que les blottir, les
appeler
diacres et...?... Vous feriez tout aussi mieux de détruire le nid et
dâavoir
autre chose. Ils ne croient pas dans la guérison divine; ils ne croient
pas en
Dieu. Ils nâont jamais Ă©tĂ© avec le mĂąle pour avoir une touche de la
vie, câest
vrai. Câest la vĂ©ritĂ©. Vous feriez tout aussi mieux de vider ce nid et
de
recommencer. Câest vrai. Peu importe Ă quel point on est diacre, que
vous le
raffiniez et que vous lâappeliez ceci, cela ou autre, ou quâon le
tapote au
dos, ou quâon inscrive son nom dans un registre de lâĂ©glise, il est
néanmoins
mort dans les pĂ©chĂ©s et les offenses tant quâil nâest pas nĂ© de
nouveau. Oui,
oui. Câest vrai.
35 Maintenant, remarquez rapidement. Dieu le PĂšre, lâEsprit
avait couvert de
Son ombre la petite vierge et, Dieu le PÚre, le Créateur de toutes
choses, a
créé la cellule de Sang dans le sein de cetteâle sein de cette femme et
Il a
mis au monde le Fils, Jésus-Christ, le Tabernacle de Dieu sur la terre.
Amen.
Nous
sommes donc sauvés non pas par le sang venu par le sexe, mais nous
sommes
sauvĂ©s par le Sang crĂ©ateur, par le Sang de Dieu Lui-mĂȘme. Il Ă©tait le
Sang qui
avait Ă©tĂ© versĂ© Ă la croix du Calvaire. Câest pourquoi jâai foi dans le
salut
et dans la guĂ©rison divine, parce que câĂ©tait le Sang de Dieu Lui-mĂȘme
qui
avait été versé au travers des veines de Son Fils, à la croix du
Calvaire.
Amen. Câest pourquoi nous pouvons tenir ferme face Ă lâopposition et
dire: «Câest
vrai!» Vous savez votre position, si vous retournez aux réalités de
base pour
dĂ©couvrir ce que câĂ©tait. Nous sommes sauvĂ©s par le Sang de Dieu.
36 Eh bien, cette petite vierge était tout excitée. Remarquez,
voici ce que
jâaime chez Marie. Amen. Au lieu de douter comme ce prĂ©dicateur-lĂ
Zacharie,
elle a dit: «Voici la servante du Seigneur, quâil me soit fait selon Ta
Parole.»
Elle nâa
pas cherché à comprendre tout cela comme lui. «Eh bien, a-t-il dit,
maintenant,
regardez, ma femme est vieille», et tout comme cela. Nous avons
beaucoup
dâexemples. Regardez Agar au temple. Regardez Sara. Beaucoup de
vieilles femmes
avaient eu des enfants grùce aux bénédictions de Dieu sur elles. Et il
avait
beaucoup dâexemples. Mais il avait... Elle a dĂ» croire quelque chose
qui
nâĂ©tait jamais arrivĂ©.
Eh bien,
voici ce que jâaime chez Marie, avant quâelle sente la vie, avant quâil
y ait
une quelconque manifestation extĂ©rieure, avant quâil y ait quelque
chose qui
ait cessĂ© dans son corps, avant quâelle sente la vie ou nâimporte quoi,
elle
sâest mise Ă tĂ©moigner quâelle allait avoir un Enfant. AllĂ©luia! Que
Dieu nous
donne plus de Marie qui prendront Dieu au Mot. Dieu lâa dit par Son
ange, peu
importait tout autre chose qui arrivait, elle allait avoir un Enfant,
car elle
avait pris Dieu au Mot. Amen.
37 Si nous avions ce genre de personnes ici dans cette
assistance cet
aprĂšs-midi, il nây aurait pas de malades parmi nous. Prenez Dieu au Mot
et
mettez-vous à vous réjouir. Elle est allée raconter à tout le monde:
«Je vais
avoir un Enfant.»
«Comment
le savez-vous?»
«Dieu
lâa dit.»
Une
vierge... AllĂ©luia. Amen! Jâaime ça. TrĂšs bien. Elle a pris Dieu au Mot
et
sâest mise Ă se rĂ©jouir. Elle ne pouvait pas rester tranquille; elle
devait
aller en parler Ă quelquâun. Tout celui qui entre donc en contact avec
Dieu
doit en parler Ă quelquâun dâautre. Oui, oui.
Et elle
sâen est allĂ©e. Lâange lui avait parlĂ© dâElisabeth. Et Elisabeth Ă©tait
sa
cousine germaine. Il lui fallait trouver Elisabeth. Ainsi, lĂ dans les
rues de
Nazareth, en Judée, là dans la contrée montagneuse, elle est allée
trouver
Elisabeth, pour lui annoncer ce qui allait lui arriver. Elle savait
aussi
quâElizabeth Ă©tait dĂ©jĂ enceinte, quâelle en Ă©tait Ă son sixiĂšme mois.
Et
alors, elles allaient se réjouir un moment ensemble.
38 Et maintenant, regardez, je peux voir Marie sâapprocher
dâElisabeth, et lĂ
Elisabeth sort Ă sa rencontre. Et elle lâa vue venir, elle est sortie
en
courant, je mâimagine, et elle lâa entourĂ©e de ses bras, elle lâa
étreinte et
elle sâest mise Ă lâembrasser.
«Oh!
Elisabeth, je suis trÚs contente de te voir.»
«Et
Marie, je suis trÚs contente de te voir.»
Câest ainsi
quâon se saluait. On sâaimait. On ne voit plus cela aujourdâhui. Tout
cela a
pratiquement disparu, lâamour. Vous savez, frĂšre, nâest-ce pas
horrible? Les
gens ne sâintĂ©ressent plus les uns aux autres. Eh bien, autrefois,
quand nous
Ă©tions lĂ Ă la campagne, nous avions notre ferme, et quand quelquâun
tombait
malade dans le parage, eh bien, on allait lĂ , on coupait du maĂŻs pour
lui,
ouâou on coupait du bois pour lui, on ramenait cela, on faisait tout ce
quâon
pouvait pour lâaider.
Mais on
ne fait plus cela, lâunique moyen pour vous de savoir que votre voisin
est
mort, câest en le lisant dans un journal. Vous ne savez rien Ă ce
sujet.
Lâamour fraternel a disparu. Nâest-ce pas vrai?
39 Je roulais avec quelquâun lâautre jour, et il y avait une
femme qui descendait
la rue et qui connaissait ma femme. Etâet elle a dit: «Bonjour.»
Et jâai
dit: «Lui as-tu parlé?»
Elle a
dit: «Oui.»
Jâai dit:
«Je ne tâai pas entendue.»
Elle a
dit: «Eh bien, je me suis retournée et je lui ai souri.»
Jâai dit:
«Ce nâest pas ça, un petit sourire dĂ©pourvu de sens. Vous faites:
âSalut.â Je
nâaime pas ça.»
Je
sortais dâune rĂ©union Ă Miami. FrĂšre Bosworth... Et il y avait une
duchesse
là -bas, elle était là , derriÚre une petite trappe de la tente, là . Et
frĂšre
Bosworth a dit: «La duchesse qui nous a permis dâavoir cette concession
aimerait vous serrer la main, FrÚre Branham.»
Jâai dit:
«Eh bien alors, elle nâest pas plus que les autres.» Voyez? Jâai dit:
«Elle
nâest quâune femme.»
Il a dit:
«Eh bien, je lui ai dit quâelleâquâelle ne pourrait pas vous parler,
mais si
nous traversions le lieu comme cela, a-t-il dit, eh bien, elle pourrait
vous
serrer la main.»
Jâai dit:
«Eh bien, ça dépend de vous.»
40 Alors, aprÚs le service de prédication de ce dimanche
aprĂšs-midi, je suis
passĂ© lĂ derriĂšre, et elle portait pratiquement assez dâhabits pour
ĂȘtre
contenus dans une boĂźte dâaspirine. Et elle... Elle est arrivĂ©e lĂ ,
elle avait
une paire de lunettes au bout dâun bĂąton, elle tendait cela comme ça.
Eh bien,
vous savez bel et bien que personne ne peut voir au travers des
lunettes Ă
cette distance-lĂ dâelle, comme ceci, tendant cela comme ça.
Elle est
arrivĂ©e lĂ , la tĂȘte redressĂ©e comme ça, regardant au travers de ces
lunettes,
des bracelets tout au long de ses bras, des boucles dâoreilles lui
pendant
comme les Ă©triers sous la selle dâun dĂ©mon...?... Elle sâest engagĂ©e lĂ
comme
ça, avec ces lunettes sur ses yeux, et elle a dit: «Est-ce vous docteur
Branham?»
Jâai dit:
«Non, madame.» Jâai dit: «Câest moi frĂšre Branham.»
Elle a
dit: «Eh bien, docteur Branham, enchanté de faire votre connaissance.»
Jâai
saisi cette grosse main potelĂ©e comme ceci. Jâai saisi cela. Je lui ai
dit: «Faites-la
descendre ici afin que je vous reconnaisse quand je vous reverrai.»
41 Toute cette histoire, des artifices. Il nây a rien à ça.
Câest du non-sens.
AssurĂ©ment, qui ĂȘtes-vous aprĂšs tout? Vous vous promenez en manteau de
cinquante dollars avec le nez en lâair; sâil pleuvait, vous vous
noieriez, et
vous pensez ĂȘtre quelquâun. Vous ĂȘtes six pieds [1,82 m] de poussiĂšre.
Si votre
Ăąme nâest pas sauvĂ©e, vous ĂȘtes perdu! Il nây a pas dâautre issue. Mais
câest
ça le monde aujourdâhui. «Oh! Nous sommes quelquâun. Nous appartenons Ă
quelque
part.» Puis vous vous en moquez et vous taxez les gens de saints
exaltés. Oh!
la la!
Je peux
voir Marie sortir en courant et saisir Elisabeth et, ensemble, elles se
sont
embrassées. Puis, je peux entendre Marie dire: «Oh! Elisabeth, je suis
trĂšs
heureuse et trĂšs ravie de te voir.» Elle savait quâelle Ă©tait enceinte.
Alors,
elle a dit: «Jâai appris que tu es enceinte.» PrĂ©sentons cela sous
forme de
saynĂšte maintenant une minute.
42 Je peux entendre Elisabeth dire: «Oui, Marie, câest vrai,
mais je suis
inquiÚte.»
«Pourquoi?»
«Eh
bien, ça faitâça fait six mois que je suis enceinte, et il nây a pas
encore de
vie.» Eh bien, câest tout Ă fait anormal Ă deux ou trois mois environ.
Elle a
donc dit: «Six mois sans vie, cela mâinquiĂšte.»
«Eh
bien, a-t-elle dit, moi, je ne mâinquiĂ©terais pas. Eh bien, Ă©coutez, je
sais,
tu es enceinte. Car lâAnge mâen a parlĂ©. Mais lâAnge mâest aussi apparu
et Il a
dit que jâaurais un Fils sans avoir connu un homme. Et je Lui donnerais
le Nom
de Jésus.»
Et
aussitÎt que ce Nom-là de Jésus a été prononcé pour la premiÚre fois
par les
lĂšvres dâun mortel, ce petit enfant mort dans le ventre de la mĂšre a
reçu le
baptĂȘme du Saint-Esprit, il sâest mis Ă tressaillir de joie et Ă se
trémousser.
Câest vrai.
FrĂšre!
Si cela a amenĂ© un enfant mort dans le ventre dâune femme Ă tressaillir
de
joie, quâest-ce que cela devrait faire Ă une Ă©glise nĂ©e de nouveau?
Certainement. La premiÚre fois que le Nom de Jésus a été prononcé par
les
lĂšvres dâun mortel... Amen. Vous parlez des dĂ©mons qui crient en
sortant, des
pécheurs qui pleurent... Ce Nom-là , vous ne pouvez pas Le lancer, Le
respecter
à moitié et puis obtenir la puissance avec cela, il vous faut Le croire
et Le
respecter. Dieu accordera cela.
43 Eh bien, elle a dit: «AussitÎt que ta salutation...» Elle a
dit: «Béni
soit...» Le Saint-Esprit est descendu dâun bond sur la maman. Elle a
dit: «DâoĂč
vient que la mĂšre de Mon Seigneur? Car aussitĂŽt que ta salutation a
atteint mes
oreilles, mon enfant a tressailli de joie dans mon sein.»
Vous
parlez de crier quelque chose de nouveau, hein, eh bien, câest la
religion la
plus ancienne au monde, la religion des cris. Eh bien, des milliers
dâannĂ©es
avant la fondation du monde, Dieu demanda un jour Ă Job, Il dit: «OĂč
étais-tu
quand Je fondais la terre? Quand les étoiles du matin éclataient en
chants
dâallĂ©gresse, et que les fils de Dieu poussaient des cris de joie?»
Vous parlez
de quelque chose de nouveau, nous avons juste un cas nouveau de quelque
chose
de lâancien temps, câest tout. Certainement. Ils poussaient des cris de
joie,
quel moment! Oh! la la!
44 Quel genre dâenfant allait-il ĂȘtre, une fois ce Jean nĂ©? Oh!
la la! Je le
vois sortir du désert, non pas avec son col retourné, ni prenant du
poulet frit
trois fois par jour. Absolument pas. Il Ă©tait revĂȘtu dâune peau de
brebis, il
portait une ceinture en peau de chameau, mais il prĂȘchait la
repentance. Et il
avait secouĂ© les rĂ©gions avoisinantes. Il prĂȘchait Christ.
Et,
frĂšre, quand Christ est prĂȘchĂ© dans Sa simplicitĂ©, mais dans Sa
puissance, cela
secouera les nations, chaque fois, quand Christ, le Dieu vivant,
devient une
rĂ©alitĂ© pour les gens. Certainement, câest ce qui a toujours Ă©tĂ©. La
puissance
de Dieu a toujours été avec Son peuple au cours de tous les ùges. Hier
soir,
nous avons vu les enfants dâIsraĂ«l, je me suis alors dit, quand ils ont
atteint
un certain niveau (Parfois, nous sommes déconcertés), quand ils sont
arrivĂ©s Ă
KadÚs-Barnéa, ils ont été déconcertés. Dieu avait frayé une voie pour
eux.
Quand ils étaient à la mer Rouge, Dieu a ouvert la mer Rouge.
45 Regardez-les, ils sont sortis de ce pays-lĂ sans rien, sinon
une petite
casserole plaine de pains sur la tĂȘte. Vous nâavez pas Ă attendre de
mettre fin
Ă toute votre mĂ©chancetĂ©; venez simplement tel que vous ĂȘtes. Câest ce
quâil
vous faut. Vous direz: «Eh bien, quand je me serai débarrassé de ceci,
et que
ceci ou cela... je viendrai.» Venez maintenant tel que vous ĂȘtes.
Remarquez,
quand ils ont traversĂ© de lâautre cĂŽtĂ©, il nây avait plus de pain. Dieu
pourvoit toujours à un moyen. Cette nuit-là , quand ils sont allés au
lit, je
peux voir le prophĂšte sortir et prier. Le lendemain matin quand ils se
sont
réveillés, ils ont regardé partout sur terre, il y avait la manne
partout sur
terre comme le givre. Cela avait le goût du miel et des galettes. Ils
sortaient
et se mettaient Ă ramasser cela, et ils en mangeaient. Oh! CâĂ©tait
délicieux,
la manne. CâĂ©tait un trĂšs beau type de notre Manne dâaujourdâhui, tout
le
voyage à travers le désert. Et regardez-les, Dieu pourvoyait à leur
besoin avec
la manne. Et puis, quand ils étaient... Cela avait le goût du miel sur
le
rocher, disait-on. Avez-vous déjà goûté cela, la Manne céleste
descendant du
Ciel, dâauprĂšs de Dieu? Câest plus doux que nâimporte quel miel que
jâaie
jamais goûté.
46 Ainsi donc, la chose suivante, vous savez, les gens
pensaient quâils
nâauraient pas de rations, alors ils sortaient simplement et en
prenaient assez
pour que cela leur dure longtemps. Câest comme ça avec les gens, qui
frĂ©quentent lâĂ©glise, une fois Ă la PĂąques, ils pensent en avoir eu
assez pour
lâannĂ©e prochaine.
Un
pasteur dâune certaine grande Ă©glise Ă©vangĂ©lique mâa parlĂ© il nây a pas
longtemps, il a dit: «RĂ©vĂ©rend Branham, jâai toujours souhaitĂ© Ă mon
peuple un
trÚs joyeux Noël, une bonne année, à la Pùques.» Il a dit: «Je ne les
reverrai
plus jusquâĂ la prochaine PĂąques.»
Savez-vous
pourquoi? Les gens ont essayé de faire cela là -bas. Mais ils ont
découvert
quâil leur fallait en avoir un nouveau cas chaque jour. Le genre quâon
avait et
quâon gardait jusquâau lendemain, et certaines personnes sâen allaient
et
agissaient nâimporte comment. Ils ont dĂ©couvert que cela Ă©tait
contaminé. Les
asticots y Ă©taient entrĂ©s, et ce nâĂ©tait plus bon.
47 Câest pareil avec beaucoup de nos expĂ©riences aujourdâhui,
mĂȘme chez les
pentecĂŽtistes: Câest plein dâasticots. Il est temps de sâen
débarrasser. Il ne
sâagit pas de ce que nous avons fait il y a trente ans, mais de ce que
nous
faisons aujourdâhui. Quelle est cette expĂ©rience avec Dieu aujourdâhui?
La
contamination... Vous direz: «Eh bien, il y a vingt ans, jâai vĂ©cu une
expĂ©rience merveilleuse.» Quâen est-il aujourdâhui? «Eh bien, jâai cru
en Lui
il y a longtemps.» Mais quâen est-il aujourdâhui?
Remarquez
donc, jâaime ça. Il a dit: «Cela a le goĂ»t du miel.» Cela me rappelle
David.
David était un berger. Et dans les temps anciens, les bergers portaient
une
petite gibeciÚre de cÎté, comme ceci. Ils y mettaient du miel. Ils en
mangent
un peu eux-mĂȘmes. Mais dĂšs quâune brebis tombait malade, ils allaient Ă
une
roche calcaire. Ils prenaient un peu de ce miel et en frottaient
partout sur ce
rocher. Et alors la brebis malade, on la rapprochait du rocher, et la
brebis
malade se mettait à lécher ce miel, pour en consommer, et elle léchait
le
calcaire du rocher, elle pouvait... cela guérissait la brebis malade.
48 Cela me rappelle bien, frĂšre, jâai toute une gibeciĂšre
pleine de miel ici
cet aprÚs-midi, et je vais le mettre sur le Rocher, Jésus-Christ, et
vous les
brebis malades, mettez-vous à lécher cela, et je vous assure, vous
trouverez
Christ. Amen. Je ne vais pas mettre cela sur une église là , je vais
mettre cela
à sa place: sur Jésus-Christ, en qui demeure votre puissance de la
guérison et
le salut. Et vous les brebis malades, mettez-vous à lécher trÚs vite et
voyez
si vous nâallez pas trĂšs vite vous rĂ©tablir. Sur le Rocher,
Jésus-Christ, ils
lĂšchent, lĂšchent, lĂšchent, lĂšchent, et plus ils lĂšchent... Il y a
quelque chose
à propos de ce Rocher qui guérit.
49 Dans lâancien temps, on utilisait la pierre antirabique. Et
chaque fois que
quelquâun Ă©tait mordu par un chien on... mordu par un chien enragĂ©, on
prenait
cet homme et on lâattachait Ă cette pierre. Sâil sây attachait, il se
rĂ©tablissait. Sâil ne sây attachait pas, il mourrait. Je connais un
Rocher, le
Rocher des Ăges pour chaque malade du pĂ©chĂ©, ou chaque malade
physiquement, il
peut venir Ă ce Rocher des Ăges et sâY attacher, sâY coller et toucher
Cela.
Dieu est tenu de vous amener aux vertus guérissantes du Calvaire, qui
coulent
au travers de ce Rocher, JĂ©sus-Christ, aujourdâhui, qui guĂ©riront
chaque
personne malade quâil y a (oui), qui rĂ©tabliront chaque pĂ©cheur, qui
donneront
de la joie aux découragés, sur Jésus-Christ.
Ce dont
nous avons besoin aujourdâhui, frĂšre, dans ce pays, ce nâest pas dâun
rassemblement évangélique; nous en avons beaucoup à travers le pays
aujourdâhui. Un certain Ă©vangĂ©liste a parcouru le pays il nây a pas
longtemps,
un trÚs célÚbre, trÚs connu parmi les églises dénominationnelles. Il
est allĂ© Ă
Boston ou dans une ville là -bas, il a dit: «En six semaines, on a eu
vingt
mille convertis.»
50 Un groupe de laïques et de ministres sont rentrés vérifier
les cartes et
environ deux mois aprĂšs, ils nâarrivaient pas Ă trouver vingt qui
soient restés
attachĂ©s. Pourquoi? Ils nâĂ©taient pas allĂ©s assez loin. Ils ne sây
étaient pas
attachĂ©s. Câest ça le problĂšme. Ce dont nous avons besoin aujourdâhui,
câest
dâun bon rĂ©veil Ă lâancienne mode, Ă la Saint Paul, et de prĂȘcher de
nouveau
dans lâĂ©glise le Saint-Esprit biblique. Câest vrai, mon frĂšre, ma
soeur.
Cela me
rappelle une fois, mon frÚre et moi, un jour, nous étions là à la
riviĂšre; nous
Ă©tions de petits garçons. Et nous avons trouvĂ© lâune de ces vieilles
tortues.
Vous savez ce que câest ici dans lâIndiana: câest une crĂ©ature drĂŽle,
vous
savez, la façon dont elle lance ses pattes et marche. Et nous pensions
que
câĂ©tait la crĂ©ature la plus drĂŽle, nous nous sommes donc approchĂ©s
dâelle. Elle
a fait: «Ouf.» Elle sâest du coup retirĂ©e dans sa carapace.
51 Cela me rappelle beaucoup de gens qui ne croient pas dans la
guérison
divine. Quâune campagne commence dans une ville, ils disent: «Ouf, nây
allez
pas. Il nây a rien chez cette bande de saints exaltĂ©s.» Voyez. Ăa y
est.
Alors,
jâai dit: «Attends, je vais la faire marcher.» Et jâai coupĂ© une
branche dâun
arbre et je lâen ai vraiment arrosĂ©e. Cela ne lui a point fait un
quelconque
bien. Vous ne pouvez pas la frapper Ă lâintĂ©rieur. Cela ne tiendra pas.
Jâai
dit: «Je vais lui rĂ©gler son compte.» Je lâai amenĂ©e Ă la riviĂšre; je
lâai
plongĂ©e dans lâeau. Il y a eu juste quelques bulles qui sont montĂ©es et
câĂ©tait
tout.
FrĂšre,
vous pouvez les baptiser de cette façon-ci, de cette façon-lĂ , la tĂȘte
en
avant, en arriĂšre, en bas trois fois, quatre fois, comme vous voulez.
Il
descend pécheur sec et remonte pécheur mouillé, toujours un pécheur.
52 Savez-vous ce que jâai fait? Jâai allumĂ© un petit feu et
jâai placĂ© ce
drÎle de créature dessus. Elle a alors marché. Ce dont nous avons
besoin
aujourdâhui, ce nâest pas de lâadhĂ©sion Ă une Ă©glise et de discuter sur
le
baptĂȘme, mais juste du Saint-Esprit et du feu qui fera bouger nâimporte
quelle
Ă©glise. Ramenez le Saint-Esprit dans lâEglise, les apĂŽtres, les
docteurs et
autres, Ă leur place, que le Saint-Esprit se mette Ă pleuvoir sur une
église
comme cela, et voyez ce qui arrive. Les signes, les prodiges et les
miracles
lâaccompagneront; assurĂ©ment.
Je sais,
vous pensez que je suis fou. Vous allez me taxer de saint exalté aprÚs
ceci;
vous feriez donc tout aussi mieux de commencer maintenant. Peut-ĂȘtre
que je le
suis. Mais si vous vous sentiez comme moi pendant que je me tiens ici,
vous
feriez la mĂȘme chose.
Remarquez,
Dieu a promis de bénir Son peuple. Oh! Comme je pense à cette manne-là ,
avant
que nous quittions encore cela. CâĂ©tait un type. Toutes les choses de
lâAncien
Testament Ă©taient un type du Nouveau. Je vois lĂ oĂč le Saint-Esprit
faisait
pleuvoir la manne. Cela devait durer pour eux, cette manne nâa jamais
fait
défaut au cours de tout le voyage.
53 Et maintenant, suivez, la manne descendait sans cesse. Eh
bien, MoĂŻse a dit
Ă Aaron de sortir prendre plusieurs omers pleins de cela et de placer
cela dans
le lieu trĂšs saint, Ă cĂŽtĂ© de lâArche, afin quâaprĂšs cela, chaque
sacrificateur
(Comprenez-vous cela?), chaque sacrificateur qui entrerait dans le
sacerdoce
puisse prendre une bouchée de la manne originelle qui était tombée au
début.
Or, cela
nâĂ©tait jamais contaminĂ©, lĂ derriĂšre, câĂ©tait dans le lieu trĂšs saint.
Et
chaque sacrificateur qui commençait leâle sacerdoce, une fois ordonnĂ©
sacrificateur, on prenait une poignée de manne et on lui en donnait une
bonne
poignée. Et il avait le goût de la manne originale qui était tombée au
début.
Quel
type du Saint-Esprit! Quand Dieu, le jour de la PentecÎte, a déversé
les
bénédictions des gens... Ils étaient tous enfermés dans une petite
chambre,
cent vingt, les femmes et les hommes ensemble, en train de prier. Et
soudain,
il vint du ciel un bruit comme celui dâun vent impĂ©tueux, et il remplit
toute
la maison oĂč ils Ă©taient assis. Des langues sĂ©parĂ©es se posĂšrent sur
eux. Ils
furent remplis du Saint-Esprit. Ils sortirent dans les rues, rendirent
témoignage et louÚrent Dieu.
54 Maintenant, suivez, câĂ©tait notre Manne, câest pour
perpĂ©tuer lâEglise du
Saint-Esprit au cours de lâĂąge jusquâĂ la Venue de JĂ©sus. AllĂ©luia!
Remarquez,
pendant combien de temps cela devait durer, vous lâenseignant qui ne
connaissez
pas votre Bible? Pierre a dit... Quand ils se sont mis Ă tituber et Ă
crier,
les ecclésiastiques, dehors, le plein Evangile surnaturel, ou le monde
fanatique sâest approchĂ© de lui et a dit: «Ces gens sont ivres.»
Pouvez-vous
vous imaginer? Et écoutez, amis catholiques, et vous autres. La vierge
Marie
bĂ©nie Ă©tait parmi eux. Et si Dieu nâa mĂȘme pas permis Ă la mĂšre de Dieu
le Fils
dâentrer dans le Royaume de Dieu avant dâĂȘtre si remplie du
Saint-Esprit
quâelle avait agi comme une femme ivre, comment allez-vous avoir
quelque chose
de moindre? Quâest-ce que ça va ĂȘtre? RĂ©flĂ©chissez-y vous-mĂȘme. La
Bible dit
que Marie Ă©tait lĂ Ă lâintĂ©rieur. La mĂšre mĂȘme de Christ a dĂ» passer
par la
PentecĂŽte et elle est restĂ©e lĂ dans la ville de JĂ©rusalem jusquâĂ ce
quâelle
fĂ»t tellement remplie du Saint-Esprit quâelle titubait comme si elle
était
ivre. Amen. Câest la vĂ©ritĂ©. Câest la Bible.
55 Pendant quâils Ă©taient lĂ -bas, Pierre, un petit lĂąche, sâest
tenu sur une
caisse Ă savon, aprĂšs quâil fut rempli du Saint-Esprit, ou sur une
souche, ou
quelque chose comme cela. Et tous les autres riaient et disaient:
«Regardez
cette bande de saints exaltés. Regardez-les là -bas. Ils agissent comme
sâils
Ă©taient ivres.» Ils titubaient, si jamais vous avez Ă©tĂ© Ă lâune des
réunions,
câest merveilleux. Câest exact.
Regardez
MoĂŻse, il en est un type. Quand ils ont traversĂ© la mer Rouge et quâils
se sont
retrouvĂ©s de lâautre cĂŽtĂ©, MoĂŻse a regardĂ© en arriĂšre et il a vu tous
les chefs
de corvĂ©e noyĂ©s. Câest juste notre type, quand nous traversons le Sang
de
Christ, nettoyĂ©s par la puissance de sanctification, mis Ă lâĂ©cart du
péché, on
regarde en arriĂšre, on voit toute la cigarette quâon fumait, la
boisson, les
jeux de carte, les films, toutes les choses vilaines du monde, morts
dans le
Sang de Christ. MoĂŻse a levĂ© les mains et sâest mis Ă chanter en
Esprit.
Myriam, la prophétesse, a pris un tambourin et elle a parcouru le
rivage en
sautillant, en battant le tambourin et en dansant. Les filles dâIsraĂ«l
lâont
suivie, battant, chantant, dansant. Si ce nâest pas lĂ une rĂ©union Ă
lâancienne
mode, du Saint-Esprit, en plein air, câest que je nâen ai jamais vu une
(Amen!),
chantant en Esprit, dansant en Esprit. Amen.
56 Regardez, frĂšre, alors quâils passaient tous un bon moment,
les autres se
moquaient, raillaient, les ridiculisaient. Pierre sâest mis debout sur
une
caisse à savon ou une souche, il a dit: «Hommes Juifs, sachez ceci, et
prĂȘtez
lâoreille Ă mes paroles! Ces gens ne sont pas ivres, comme vous le
supposez,
car câest la troisiĂšme heure du jour»; les bars ne sont mĂȘme pas
ouverts. Il a
dit: «Câest ici ce qui.»
FrĂšre,
si ceci nâest pas ce qui, je vais garder câest ici jusquâĂ ce que ce
qui
arrive. Amen! Il a dit: «Câest ici ce qui a Ă©tĂ© dit par le prophĂšte
Joël: Dans
les derniers jours, dit Dieu, Je répandrai de Mon Esprit sur toute
chair, vos
fils et vos filles prophétiseront, sur Mes servantes et Mes serviteurs,
Je
répandrai de Mon Esprit. Et Je ferai paraßtre des signes en haut dans
le ciel,
et en bas sur la terre, des colonnes de feu, des vapeurs de fumée, cela
arrivera avant le jour grand et redoutable de lâEternel, et tout celui
qui
invoquera Son Nom sera sauvé.»
Ils
eurent le coeur vivement touché et ils demandÚrent: «Hommes frÚres, que
ferons-nous?»
Pierre a
dit: «Repentez-vous, et que chacun de vous soit baptisé au Nom de
Jésus-Christ
pour le pardon de vos péchés, et vous recevrez le don du Saint-Esprit.»
Quoi? La
manne. Nous en avons un pot plein que nous allons mettre là , ça sera
pour vos
enfants, pour les enfants de vos enfants, pour ceux qui sont au loin,
tous ceux
qui veulent recevoir le Saint-Esprit aujourdâhui, ils auront la mĂȘme
Manne.
Quoi?
Ils ne recevront pas quelque chose de semblable au Saint-Esprit, mais
ils
auront une bouchée et un coeur plein de la Manne originelle qui était
tombée le
jour de la PentecÎte. Dieu a conservé Cela pour chaque génération.
Alléluia!
Amen! Cela produit les mĂȘmes rĂ©sultats: On titube comme un homme ivre,
rempli
de lâEsprit, avec des signes et des prodiges. Amen! Ouf! Je me sens
religieux.
57 Remarquez comment Dieu avait bĂ©ni. Il avait promis quâIl
descendrait. Câest
pour qui? «Pour vous, pour vos enfants, pour les enfants de vos
enfants, pour
ceux qui sont au loin, en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu
les
appellera.» A Connersville, dans lâIndiana, oĂč que ça soit, si Dieu
appelle
toujours, Il continue Ă donner Ă chaque sacrificateur... Sommes-nous
sacrificateurs? Un sacerdoce Royal, une nation sainte, sâapprochant de
Dieu,
offrant des sacrifices spirituels (Quoi?), les fruits de nos lĂšvres qui
louent
Son Nom. Je bave beaucoup cet aprĂšs-midi.
Savez-vous
ce qui se passe? Je viens dâentrer Ă Canaan; je mange de ces nouveaux
raisins.
Je mâenivre autant que possible. Amen! Cela vous fait baver. Dâaccord.
Oh!
Câest rĂ©el!
Oh! Je
vois quel type dâenfant ça devra ĂȘtre, il a tressailli dans le ventre
de sa
mĂšre avant la naissance et il a reçu le Saint-Esprit. Il nâallait pas
ĂȘtre un
hypocrite; il allait avoir ce dont il parlait. Il est donc sorti et il
a prĂȘchĂ©
le Saint-Esprit.
58 Il se tenait lĂ , et il prĂȘchait... Nous allons devoir nous
dĂ©pĂȘcher. Je
vois que mon temps sâĂ©coule trĂšs vite ici. Eh bien, je me sens
simplement trĂšs
bien. Mais, Ă©coutez; jâai remarquĂ© lĂ , depuis un petit moment.
Puis
vint JĂ©sus. Nous savons tous ce quâil en est de Sa naissance; quand Il
est né,
Son ministĂšre. Nous allons trĂšs vite aborder le texte maintenant.
Observez-Le
venir.
La chose
suivante, vous savez, Il commence Ă devenir tellement populaire quâIl a
dĂ»
quitter la maison de Lazare. Et quand Jésus a quitté la maison de
Lazare, la
tristesse et la maladie sont entrées. Et quand Jésus quitte votre
maison, la
tristesse et la maladie entrent. Eh bien, dans ce cas-ci, ce nâĂ©tait
pas quâIl
avait Ă©tĂ© forcĂ© de partir ou quâIl avait Ă©tĂ© chassĂ©; Il avait eu une
vision et
Dieu Lâavait envoyĂ© ailleurs.
Ainsi
donc, Lazare tomba malade. Pouvez-vous vous imaginer les critiqueurs de
JĂ©rusalem Ă lâĂ©poque? Ils ont dit: «Hein, hein, oĂč est son Copain? OĂč
est ce
Guérisseur divin?»
«Eh
bien, nous Lâavons envoyĂ© chercher, Il nâa pas rĂ©pondu Ă cela.»
59 Oh! la la! On a envoyĂ© appeler le pasteur, il nâa pas fait
attention Ă lui
pour venir. Quâauriez-vous fait? «Oh! Dieu soit bĂ©ni, je ne perdrai
plus le
temps avec ce vieux pasteur-lĂ , jâirai ici me faire membre chez les
Assemblées,
ou jâirai me faire membre chez celui-ci, ou jâirai me faire membre chez
celui-là .»
Câest la
raison pour laquelle vous ne pouvez arriver nulle part. Câest vrai. Eh
bien,
ils ne mâont jamais demandĂ© de dire ceci, mais, frĂšre, si vous ne
pouvez pas
avoir foi dans votre pasteur, dĂ©barrassez-vous de lui. Câest vrai.
Votre
pasteur peut vous aider aujourdâhui si vous avez foi en lui. Mais il
vous faut
croire en Lui. Croire quâil est un homme de Dieu. Des fois il ne peut
pas venir
aussitĂŽt que vous avez claquĂ© vos doigts, il nâest pas censĂ© le faire,
il est
censĂ© suivre ce que Dieu lui ordonne. Câest exact.
60 Eh bien, mais ils ont dit lĂ ... Ils Lâont encore envoyĂ©
chercher. Et quand
ils Lâont encore envoyĂ© chercher, eh bien, Lui est simplement allĂ© plus
loin.
Oh! la la! Quelle situation! Lazare était devenu gravement malade, et
il est
mort. On lâa fait sortir et on a embaumĂ© son corps. On lâa amenĂ© et on
lâa
dĂ©posĂ© dans une tombe. JĂ©sus savait alors quâil Ă©taitâquâil Ă©tait mort.
Aussi
a-t-Il dit Ă Ses disciples... Vous connaissez lâhistoire. Il revient Ă
Jérusalem.
Eh bien, je peux entendre certains parmi eux dire: «Ouais, nous avons
appris
que ce Saint Exalté est en route vers ici, ce Guérisseur divin, une
fois de
plus. Mon vieux, il est dĂ©jĂ mort. Oh! SâIl avait Ă©tĂ© ici, Il lâaurait
guéri.
Assurément.»
Mais la
petite Marthe, je lâaime plutĂŽt. Elle tardait beaucoup Ă faire des
choses,
mais, remarquez bien, tout le temps que Marie Ă©tait lĂ trĂšs occupĂ©e Ă
faire des
choses, Marthe restait assise aux pieds de Jésus et écoutait. Cela paie
maintenant. La voici donc détaler; elle a appris que Jésus était venu.
Elle
descend donc les rues. Je peux me reprĂ©senter les critiqueurs dire: «OĂč
allez-vous maintenant? Quâen est-il de tout ça cette fois-ci? Tu vas Le
voir,
je pense.»
61 Elle a continuĂ©, elle nâa point fait cas. Elle est allĂ©e lĂ
oĂč Ă©tait JĂ©sus.
Eh bien, naturellement, elle avait le droit de Le réprimander, on
dirait, de
dire: «Pourquoi nâes-Tu pas venu vers mon frĂšre?» Ecoutez
attentivement. «Pourquoi
nâes-Tu pas venu quand nous Tâavions appelĂ©? Eh bien, nous avons quittĂ©
lâĂ©glise. Nous avons tout quittĂ©; nous avons quittĂ© notre
sacrificateur; nous
nous sommes opposĂ©s Ă sa volontĂ©. Nous Tâavons hĂ©bergĂ© chez nous; nous
Tâavons
payĂ© notre argent. Nous Tâavons nourri avec notre nourriture. Nous Te
donnons
des habits. Et quand mon frÚre est tombé malade, nous avons envoyé Te
chercher
et Tu nous as tourné le dos et Tu es parti.»
Tout
cela aurait été la vérité. Mais, frÚre, permettez-moi de vous dire
quelque
chose maintenant. Câest votre attitude envers un quelconque don divin,
votre
approche vers cette attitude qui détermine ce que vous en tirerez. Vous
venez
simplement à Dieu de la mauvaise façon. Jésus entrait simplement dans
la ville.
Mais ce
nâest pas ce quâelle avait fait. Elle a couru vers Lui, elle sâest
prosternĂ©e Ă
Ses pieds, et elle a dit: «Seigneur (Câest ce quâIl Ă©tait), Seigneur,
si Tu
eusses été ici, mon frÚre ne serait pas mort.»
62 Oh! Jâaime ça. Elle savait que CâĂ©tait le Fils de Dieu. Eh
bien, je pense,
lĂ oĂč elle avait reçu cela, elle devait lâavoir lu dans la Bible, lĂ oĂč
on
parle une fois dâune femme, une Sunamite. Et elle nâavait pas
dâenfants, etâet
ElisĂ©e lâavait bĂ©nie, et elle a eu un enfant. Et cet enfant avait
atteint
environ dix ou douze ans, et un jour, je pense que le petit garçon
devait avoir
attrapé une insolation. Vers onze heures, il est revenu en criant: «Ma
tĂȘte! ma
tĂȘte!» Et le pĂšre lâa renvoyĂ©. Et il est rentrĂ©, et Ă midi lâenfant est
mort.
Et cette femme avait construit une petite maison lĂ pour que le
prophĂšte y
reste.
Et
observez cette mĂšre, combien câest appropriĂ©. Elle a pris le petit
enfant mort,
elle lâa transportĂ© dans la chambre du prophĂšte et elle lâa couchĂ© sur
le lit
du prophĂšte. Un bon endroit oĂč le coucher. Elle a dit: «Selle le mulet
maintenant, et va de lâavant, et ne tâarrĂȘte pas Ă moins que je te
lâordonne.»
Eh bien, jâaime ça.
TrĂšs
bien, son mari a dit: «Ce nâest ni la nouvelle lune, ni le sabbat, le
prophĂšte
ne sera donc pas là .»
Elle a
dit: «Tout va bien.»
63 Eh bien, Dieu ne révÚle pas tout à Ses prophÚtes; vous le
savez. Alors,
Elie Ă©tait lĂ , Ă cĂŽtĂ© de sa caverne, il a regardĂ© et il a dit Ă
Guéhazi, il a
dit: «Voici venir cette Sunamite.» Il a dit: «Elle pleure. Il y a
quelque chose
qui cloche chez elle. Et Dieu me lâa cachĂ©. Je ne sais pas.» Voyez, Il
nâavait
pas Ă le lui dire.
Alors,
la Sunamite a couru jusque-lĂ , et GuĂ©hazi a couru au-devant dâelle.
Elisée a
dit: «Te portes-tu bien? Ton mari et ton enfant se portent-ils bien?»
Eh bien,
voici ce que jâaime. Elle rĂ©pondit: «Tout va bien.»
64 La chose Ă©tait lĂ . Elle savait que câĂ©tait le prophĂšte de
Dieu. Elle savait
que si jamais elle arrivait auprÚs de cet homme-là , elle découvrirait
pourquoi
lâenfant Ă©tait mort. Ainsi, tout allait bien. Elle savait que Dieu
était dans
Son prophĂšte. Câest vrai. Elle sâest donc prosternĂ©e Ă ses pieds et lui
a
révélé son secret. Et il a dit à Guéhazi: «Ceins-toi les reins, prends
mon
bĂąton; si quelquâun te parle, ne lui rĂ©ponds pas: mais va dĂ©poser ce
bĂąton sur
cet enfant mort.»
Eh bien,
câest lĂ , je pense, que Paul a tirĂ© le fait de prendre les mouchoirs
qui
avaient touchĂ© son corps. Elie savait que tout ce quâil touchait Ă©tait
béni. Eh
bien, sâil pouvait amener la femme Ă croire cela... Mais la foi de la
femme
nâĂ©tait pas dans le bĂąton; la foi de la femme Ă©tait dans le prophĂšte.
Elle a
dit: «LâEternel est vivant, je ne te quitterai point. Je resterai juste
avec
toi.»
65 Alors, Elie sâest dit quâil ferait tout aussi mieux de se
ceindre les reins
et dâaller. Il sâen est donc allĂ©. Et GuĂ©hazi lâavait prĂ©cĂ©dĂ©, il
revenait et a
dit: «Il nây a pas de vie dans lâenfant; il est mort.»
Alors,
Elie est allĂ© lĂ oĂč leâlâenfant mort Ă©tait Ă©tendu lĂ , il y avait deuil
et des
cris. Observez-le. Il entre dans la chambre oĂč Ă©tait lâenfant. Il fait
les cent
pas. Jâaime ce...?... «Seigneur, que feras-Tu?» Il fait les cent pas,
tout le
monde dehors en train de gémir, hystérique, poussant des cris et
faisant des
histoires. Il a simplement parcouru la piĂšce.
Il est
allĂ© poser son corps, un homme... La Bible dit: «Nous sommes de la mĂȘme
nature
que lui.» Un homme, pas un ange, un homme, un prophÚte, il a posé son
corps sur
lâenfant mort. Et il sâest Ă©tendu lĂ un moment, il a mis ses lĂšvres sur
celles
de lâenfant, et son nez sur celui de lâenfant, son front sur celui de
lâenfant,
ses mains sur celles de lâenfant, et il sâest couchĂ© lĂ . Elie, je
pense, était
un petit homme mince, alors il sâest carrĂ©ment couchĂ© sur lâenfant.
66 Il sâest levĂ© et il a touchĂ© lâenfant, il sâĂ©tait rĂ©chauffĂ©.
Il a encore
fait les cent pas... Alléluia! Dieu était dans Son prophÚte. Il a
encore fait
les cent pas donc. Il est allĂ© poser son corps sur lâenfant mort une
fois de
plus et celui-ci a éternué sept fois. Il a dit: «Prenez cet enfant et
amenez
cette Sunamite ici.» Lâenfant Ă©tait revenu Ă la vie.
Eh bien,
jâaurais voulu que nous ayons le temps dâaborder ces sept Ă©ternuements,
mais il
nous faut nous dĂ©pĂȘcher. Regardez, amis, Marie, non... Marthe avait
sans doute
lu cette histoire-lĂ , mais elle savait que si cette Sunamite avait
reconnu que
Dieu était dans Son prophÚte, assurément que Dieu était dans Son Fils.
Elle a
reconnu, la femme Sunamite avait reconnu le don de Dieu en un prophĂšte.
Elle
sâest approchĂ©e de lui correctement. Et Marie reconnaissait le don de
Dieu dans
Son Fils. Elle a donc couru vers Lui; elle sâest prosternĂ©e. Eh bien,
écoutez
attentivement une minute. Elle sâest prosternĂ©e Ă Ses pieds et a dit:
«Seigneur,
si Tu eusses été ici, mon frÚre ne serait pas mort. Mais, maintenant
mĂȘme, tout
ce que Tu demanderas Ă Dieu, Dieu Te lâaccordera.»
67 Le jeune homme gisait là , ça faisait déjà quatre jours, les
vers de son
corps grouillaient dans son corps, une contamination, le nez sâĂ©tait
dĂ©jĂ
affaissĂ© pendant ce temps-lĂ . «Mais, maintenant mĂȘme, Seigneur, tout ce
que Tu
demanderas Ă Dieu, Dieu Te lâaccordera.»
Je mâimagine
quâil y a ici des gens qui ont Ă©tĂ© chez chaque mĂ©decin quâil y a dans
cette
contrée, par ici. Le médecin vous a probablement abandonné, il a dit:
«Vous
ĂȘtes un cas dĂ©sespĂ©rĂ©.»
«Mais,
maintenant mĂȘme, Seigneur, tout ce que Tu demanderas Ă Dieu, Dieu Te
lâaccordera.»
Pouvez-vous
y penser? Cela change les coeurs. Il lâa regardĂ©e et a dit: «Ton frĂšre
ressuscitera.»
Elle a
dit: «Oui, Seigneur. Je sais, il ressuscitera au dernier jour; câĂ©tait
un bon
garçon. Il ressuscitera au dernier jour, à la résurrection générale.»
Observez-Le.
Il nâĂ©tait pas trĂšs beau Ă voir. La Bible dit: «Il nâavait pas de
beauté pour
attirer nos regards.» Probablement que câĂ©tait un petit Homme mince. Il
a
redressé Son petit corps, Il a dit: «Je suis la Résurrection et la Vie.
Celui
qui croit en Moi vivra, quand mĂȘme il serait mort. Quiconque vit et
croit ne
mourra jamais. Crois-tu cela?»
68 Elle a dit... Observez cela, chaque roue tournant bien sur
soi. Une femme
désire quelque chose de Dieu, elle se tient devant Lui, totalement
ointe, et
Lui parle: «Oui, je crois que Tu es le Messie. Je crois que Tu es le
Fils de
Dieu; Tu es le MaĂźtre de la moisson. Je crois que tout ce que Tu
demanderas Ă
Dieu, Dieu le fera. Dieu lâa promis, de faire cela par le Messie, je Te
le
demande donc, et je suis ici devant Toi maintenant mĂȘme. Maintenant
mĂȘme,
Seigneur, tout ce que Tu demanderas, Dieu Te lâaccordera.»
Observez
cela. Il a dit: «Ton frÚre ressuscitera.»
Elle a
dit: «Dans les derniers jours.»
Il a dit:
«Je suis la Résurrection et la Vie. Celui qui croit en Moi vivra, quand
mĂȘme il
serait mort. Quiconque vit et croit en Moi ne mourra jamais. Crois-tu
cela?»
Elle a
dit: «Oui, Seigneur, je crois que Tu es le Fils de Dieu qui devait
venir dans
le monde.»
69 Quâen pensez-vous cet aprĂšs-midi? Croyez-vous que câest le
Saint-Esprit?
Affichez simplement la mĂȘme attitude envers Cela et voyez ce qui
arrive. Tout
ce dont vous avez besoin, Dieu vous lâaccordera, si vous reconnaissez
que câest
le Saint-Esprit. Le problĂšme en est que vousâvous ne savez pas ce que
vous en
pensez.
Débarrassez-vous
de chaque chaĂźne et dites: «Câest rĂ©el.» Oui, oui.
Elle a
dit: «Tout ce que Tu demanderas, Dieu lâaccordera.»
Et Il a
dit: «Ton frÚre ressuscitera.»
Elle a
dit: «Oui, Seigneur, à la résurrection.»
Eh bien,
suivez, Il a dit: «OĂč lâavez-vous mis?» Et Le voilĂ partir.
Quelquâun
mâa dit il y a quelques annĂ©es, il a dit: «FrĂšre Branham, voulez-vous
me dire
que vous croyez que cet Homme était Dieu?»
Jâai dit:
«Oui, oui.»
Elle a
dit: «Je peux vous prouver quâIl nâĂ©tait quâun homme.»
Jâai dit:
«Il Ă©tait plus quâun homme.»
«Oh!
a-t-elle dit, Il Ă©taitâIl Ă©tait un prophĂšte.» Câest ce quâun certain
enseignement superficiel a inculquĂ© aux gens aujourdâhui.
Jâai dit:
«FrĂšre, soit Il Ă©taitâIl Ă©tait Dieu, soit Il Ă©tait un sĂ©ducteur; Il
était un
menteur.»
70 Il a dit: «Eh bien, Il nâĂ©tait pas Divin, FrĂšre Branham,
a-t-elle dit, Il
ne pouvait pas lâĂȘtre. Je peux vous prouver par la Bible quâIl nâĂ©tait
pas
Dieu.»
Jâai dit:
«Si vous le prouvez par la Bible, je lâaccepterai.» Elle a dit:
«Dâaccord.»
Elle a dit: «Dans Saint Jean, chapitre 11, la Bible dit que quand Jésus
se
dirigea vers la tombe de Lazare, Il pleura.» Elle a dit: «Câest la
preuve quâIl
était un Homme; Il a versé des larmes comme un mortel.»
Jâai dit:
«Certainement quâIl avait pleurĂ©, mais Il Ă©tait Dieu-Homme.» Jâai dit:
«Quand
Il est arrivĂ© Ă la tombe de Lazare, Il a peut-ĂȘtre pleurĂ© comme un
homme. Mais
quand un homme qui gisait lĂ depuis quatre jours, mort et pourri,
gisant dans
la tombe, Il a fait rouler la pierre et une odeur nausĂ©abonde sâen est
dégagée,
partout, et Il sâest tenu lĂ , ce mĂȘme Homme qui pleurait, Il a parlĂ©,
disant: â
Lazare, sors.â Et un homme mort depuis quatre jours, son Ăąme avait
effectué un
pĂšlerinage de quatre jours quelque part, est ressuscitĂ© et il sâest
tenu sur
ses pieds. Ăa, câĂ©tait plus quâun homme. CâĂ©tait Dieu parlant au
travers de Son
Fils. Il était Dieu-Homme.»
71 Certainement, Il était un Homme quand Il se tenait là cette
nuit-lĂ , toute
la nuit, sur la montagne à jeûner et à prier. Et le lendemain matin, Il
est
descendu, Il a cherchĂ© dans cet arbre-lĂ pour trouver quelque chose Ă
manger;
il nây avait pas de figues, rien lĂ Ă manger pour Lui, pas de figues
des
lâarbre. Il Ă©tait un Homme quand Il avait faim. Mais quand Il a pris
cinq
petits pains et deux petits poissons et quâIl a nourri cinq mille
personnes,
câĂ©tait plus quâun homme, câĂ©tait Dieu dans Son Fils. Exact.
Il était
un Homme cette nuit-lĂ alors quâIl Ă©tait couchĂ© lĂ dans cette barque,
aprĂšs
avoir prĂȘchĂ© et guĂ©ri toute la journĂ©e au point quâIl Ă©tait trĂšs
fatigué. Je
pense que dix mille démons de la mer juraient de Le noyer cette
nuit-lĂ . Cette
drĂŽle de petite barque lĂ -bas sur cette mer ressemblait Ă un bouchon de
liĂšge.
Le diable a dit: «Nous Lâavons eu cette fois-ci.» Cela tanguait comme
cela, et
Lui Ă©tait profondĂ©ment endormi et trĂšs Ă©puisĂ©, Il ne sâest mĂȘme point
réveillé.
Mais quand Il... les disciples Lâont rĂ©veillĂ©, câĂ©tait un Homme qui
était
couché là ; mais quand Il a placé Son pied sur le bastingage de la
barque et a
dit: «Silence, tais-toi», alors les vents et les vagues Lui ont obéi.
Alléluia!
Crois-Tu cela? Oui, oui.
72 Il était un Homme quand Il était suspendu au Calvaire,
criant et implorant
misĂ©ricorde: «Mon Dieu, Mon Dieu, pourquoi Mâas-Tu abandonnĂ©?» Et
chaque muscle
de Son corps tremblotait, le sang de la vie tombait, câĂ©tait un Homme.
On Lâa
enseveli et Il était mort comme un homme. Mais quand Il ressuscita le
matin de
PĂąques, Il Ă©tait plus quâun homme. Il a prouvĂ© quâIl Ă©tait Dieu.
Alléluia!
Une femme
toucha le bord de Son vĂȘtement, elle fut complĂštement guĂ©rie. Crois-tu
cela? Je
crois que JĂ©sus-Christ est le mĂȘme hier, aujourdâhui et Ă©ternellement.
Crois-tu
cela? Je crois que les signes et les prodiges quâIl avait accomplis sur
terre
sont en train de sâaccomplir ici mĂȘme, jour et nuit. Crois-tu cela?
Je crois
que le Saint-Esprit est ici mĂȘme maintenant. Crois-tu cela? Je crois
que tout
ce que vous demanderez Ă Dieu maintenant mĂȘme, vous le recevrez.
Crois-tu cela?
AllĂ©luia! Vous pensez que je suis fou. Dâaccord. Laissez-moi
tranquille, je
suis heureux.
73 Le Saint-Esprit est ici. Crois-tu cela? Je crois que chaque
malade peut
ĂȘtre guĂ©ri maintenant mĂȘme. Crois-tu cela? Je crois que chaque pĂ©cheur
peut
ĂȘtre sauvĂ©. Crois-tu cela? JĂ©sus-Christ est ici maintenant. Si vous
croyez
cela, tenez-vous debout, rendons-Lui gloire maintenant mĂȘme. Tout le
monde,
rendons-Lui gloire.
Dieu
Tout-Puissant, viens, Seigneur Jésus, envoie la puissance de Ton
Saint-Esprit.
Bénis les gens, au Nom de Jésus-Christ.
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