Le Témoignage

Date: 53-0902 | La durée est de: 1 heure et 30 minutes | La traduction: Shp
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1          Merci, Frère Boze. J’aurais pu simplement continuer à écouter cela pendant un moment. C’est très beau.

            Je regrette d’être en retard ce soir. Le manager m’a appelé et m’a dit de venir un peu tôt ce soir. Et je–j’avais oublié cela. Et je continuais simplement à prier, il m’est arrivé de lever les yeux, et je me suis dit: «Bien, voici que...» J’ai regardé ma montre et j’ai dit: «Eh bien, oh! la la! il est... quart, je dois me dépêcher.»

            Et puis, voilà que les gens se tenaient là, ils voulaient me rencontrer quand j’arriverais. Alors, ils ont dit qu’ils allaient me retrancher des points. Ainsi, je pense que c’est bien. Très bien.

2          Eh bien, nous sommes heureux d’être ici ce soir. Nous sommes très heureux, et nous regrettons que le temps continu à être ce qu’il est. Mais nous comprenons que demain ou le jour suivant, il y aura une éclaircie, selon ce qu’a dit le présentateur météo. J’espère qu’il a raison. Mais de toute façon, le Saint-Esprit viendra malgré tout à notre rencontre ...?... Il ne nous délaisse jamais. Et Il–Il sera toujours ici, de la même manière.

            Je L’aime ce soir. Et je sais que vous aussi, n’est-ce pas? [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.] Alors, je suis très heureux que tout le monde soit amoureux de Jésus. Et Il est amoureux de nous tous. C’est ce qui est bien, n’est-ce pas? Car Il nous a aimés avant que nous L’aimions.

            Quand nous nous comportions d’une façon vraiment odieuse et contraire à Dieu, Lui cependant, Il nous a aimés. Je... juste... Ça semble mal, n’est-ce pas, de penser que...? Frère Ryan, je ne sais pas si je pourrais supporter cela très longtemps, que quelqu’un soit très méchant et en désaccord avec moi et que je continue à l’aimer.

3          Une fois, ça ne fait pas longtemps, je tenais une réunion dans–là dans l’Ohio. Et oh! la grande arène était bondée et nous étions tout simplement... je devais loger loin à la campagne, dans un motel. Et nous mangions dans un petit restaurant Dunkard.

            Oh! ce sont les gens les plus gentils, et–et ces gens étaient très aimables. Et–et nous les avons beaucoup appréciés. Et alors, le dimanche, ils ont bien sûr fermé. Nous devions traverser la rue, traverser la route, pour aller à un petit endroit. C’était un petit endroit très mondain, où il y avait un de ces petits juke-boxes, très bruyant que tout le monde jouait.

            Frère, l’homme qui ôtera ces choses de cette nation, je voterai pour lui. Je–je voterai sûrement pour lui. Et toute cette musique insensée jouait, et aussitôt que je suis entré là-dedans, la première chose que j’ai remarquée, c’était un policier qui se tenait là, enlaçant d’un bras une jeune femme, il jouait à une machine à sous.

4          Et c’est illégal de jouer à la machine à sous dans l’Ohio. Mais la loi... Eh bien, ensuite, la chose suivante que j’ai remarquée, en regardant là derrière, c’était une jeune femme vêtue d’une manière très indécente. Et elle était assise, à moitié ivre, à côté d’une table, quelques jeunes gens avec elle ...

            Et j’ai vu, assise à ma droite, une femme âgée, d’environ soixante-cinq ans, je pense. Et elle était vraiment à moitié nue, vous savez. Et–et ses lèvres étaient peintes en bleu, les ongles de ses pieds étaient peints avec la même couleur. Et, oh! la la! je me suis dit: «C’est affreux.»

            Et je me suis mis à réfléchir: «Mes petites Sara et Rebecca vont-elles devoir grandir dans une telle affaire? Quelle sera l’issue?» Je me suis dit: «Ô Dieu, comment peux-Tu supporter de regarder cela? C’est comme si Tu devrais tout simplement Te mettre en colère et faire sauter ce monde.»

5          Et puis, pendant que je me tenais là regardant cela, je critiquais cette femme. Je critiquais cet officier dans mon coeur. Mais je ne m’étais pas encore assis à une table. Et alors, Quelque Chose a semblé me dire: «Viens ici, de ce côté. J’aimerais te parler.» C’était mon Patron.

            Et pendant que je me tenais là, je me suis mis à penser comme cela. Et la chose a semblé m’apparaître–devant moi, pas une vision, j’appellerai cela juste une vision mentale.

            Il me semblait voir le monde. Et autour du monde, il y avait un arc-en-ciel. Et cet arc-en-ciel représentait le Sang de Jésus-Christ. Et si jamais ce Sang quittait là, Dieu ne pourrait pas regarder ce monde une seule seconde. Il le détruirait. Ce Sang de Christ est la seule chose qui nous garde de–de la colère de Dieu ce soir. Le saviez-vous?

            N’eût été cela, il n’existerait plus de monde dans l’espace de cinq minutes. Dieu ne peut pas regarder le péché en face. Et la raison pour laquelle Il ne voit pas ce monde, c’est parce que le Sang de Jésus-Christ le garde loin du péché.

6          Si Dieu pouvait regarder et voir une pareille scène, ce serait fini. Il–Il est tellement Saint. Il ne pourrait pas supporter cela. Alors... Mais le Sang de Jésus...

            Et ensuite, voici ce qui m’est apparu. J’ai pensé voir le Sang de Jésus, qu’il agissait comme un pare-choc, juste comme celui d’une voiture. Au lieu que cela heurte la voiture, cela heurte le pare-choc, et cela–le–le pare-choc protège la voiture. Et je me suis dit: «C’est ce qu’est le Sang de Jésus. C’est un pare-choc contre nos péchés, qui fait qu’avant que cela aille devant Dieu, c’est–Lui reçoit cela. C’est un pare-choc.»

            Et je me suis dit: «Oh! la la! Voilà que je critiquais cette femme-là.» Je n’ai peut-être pas fait cela. Je n’ai peut-être pas agi comme ce policier, mais aux yeux de Dieu cependant, j’étais un pécheur autant qu’eux, autant que la femme qui était assise là. Le péché, c’est le péché. C’est tout. Voyez?

7          Peu importe votre–votre moralité. Vous êtes un pécheur. Vous êtes simplement un pécheur.

            Et alors, je me suis dit: «Oui, et Dieu m’aurait tué n’eût été le Sang de Jésus-Christ, qui garde mes péchés loin de Sa Présence.

            Et alors, Quelque Chose est venu vers moi et a dit: «Oui, Je te pardonne. Mais toi, tu veux la condamner.»

            Je me suis dit: «Ô Dieu, c’est vrai. C’est vrai.»

            J’ai vu alors mes péchés, et un jour, j’ai rampé jusqu’à Lui. Et j’ai vu un vieux Livre posé là, le nom de William Branham était écrit dessus et toutes sortes de péchés étaient dedans. Et j’ai dit: «Seigneur, je–je suis vraiment désolé de T’avoir fait autant saigner», et Son visage était couvert de sueur, et le Sang coulait.

8          Et j’ai dit: «C’est moi qui ai fait cela. Veux-Tu me pardonner?» Et Il a pris Sa main et l’a plongée dans Son côté, et Il a écrit sur ce vieux Livre: «‘Acquitté.’» Et Il a jeté cela derrière Lui dans la mer de l’oubli, pour ne plus jamais s’en souvenir contre moi. C’est juste.

            Eh bien, Il m’a pardonné; et moi, je voulais la condamner. Cela a changé mon attitude. Je me suis avancé là, vers cette femme. J’ai dit: «Bonjour.» Elle était en compagnie de deux hommes, et elle se conduisait très mal. Et alors, ils sont simplement sortis. Et je me suis avancé. Et j’ai dit, j’ai dit: «Veuillez m’excuser.»

            Et elle buvait. Et elle a dit: «Oui, monsieur.»

            Et j’ai dit: «J’aimerais vous parler.» J’ai dit: «Je suis un ministre;»

            Elle a dit: «Oui?»

            Et j’ai dit: «Je suis un ministre.» J’ai dit: «Je me demande si je pourrais vous poser une question. Pourquoi faites-vous ceci, vous comportez-vous comme ceci? Etes-vous une mère?»

            Elle a dit: «Oui, monsieur.»

            J’ai dit: «Pourquoi buvez-vous et tout? Puis-je vous poser cette question, si cela ne vous blesse pas?»

            Eh bien, si vous aviez entendu l’histoire de cette femme, c’est une histoire à vous briser le coeur. Et elle a dit: «J’étais autrefois une chrétienne.» Elle a dit: «Si je ne me trompe pas, n’êtes-vous pas le révérend Branham qui était là-bas?»

            J’ai dit: «C’est moi.»

9          Et je lui ai raconté ce que je venais de voir. J’ai dit: «Je me tenais ici, et je vous condamnais, et je me disais que Dieu devrait venir détruire cet endroit, avec tout ce qui se passe ici. Mais j’ai changé d’avis. Dieu m’a pardonné. Et j’aimerais qu’Il vous pardonne.» Et juste là à cet endroit-là, je l’ai conduite à Jésus-Christ. Amen. Voyez?

            C’est de votre–de votre attitude à l’égard de la chose qu’il est question. Ne condamnez pas les autres. S’ils se comportent mal, soyez bon envers eux de toute façon. Ne tenez simplement pas compte de ces choses. Parce que Dieu a dû ne pas tenir compte de beaucoup de choses à votre sujet et à mon sujet. C’est juste.

            Que Dieu nous aide à avoir toujours cette attitude dans nos coeurs. Priez pour moi afin que je ne considère plus jamais les gens de cette manière. Peu importe ce qu’ils font. Que je les considère toujours comme des créatures de Dieu. Que Dieu a envoyé Son Fils pour prendre leur place.

            Et moi, en tant que ministre, je suis reconnaissant qu’Il m’ait pardonné. Et j’aimerais qu’Il leur pardonne aussi. C’est de cette manière que nous devrions nous y prendre.

10        Dans Esaïe, chapitre 30–chapitre 53, nous lisons ceci:

            Qui a cru à ce qui nous était annoncé? Qui a reconnu le bras de l’Eternel?

            Il s’est élevé devant lui comme une faible plante, Comme un rejeton qui sort d’une terre desséchée; Il n’avait ni beauté, ni éclat pour attirer nos regards, et son aspect n’avait rien pour nous plaire.

            Méprisé et abandonné des hommes, Homme de douleur et habitué à la souffrance, Semblable à celui dont on détourne le visage, nous l’avons dédaigné, nous n’avons fait de lui aucun cas.

            Cependant, ce sont nos souffrances qu’il a portées, c’est de nos douleurs qu’il s’est chargé; et nous l’avons considéré comme puni, frappé de Dieu, et humilié.

            Mais il était blessé pour nos péchés, brisé pour nos iniquités; le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur lui, et c’est par ses meurtrissures que nous sommes guéris.

Nous étions tous errants comme des brebis, chacun suivait sa propre voie; et l’Eternel a fait retomber sur lui l’iniquité de nous tous.

Il a été maltraité et opprimé, et il n’a point ouvert la bouche, semblable à un agneau qu’on mène à la boucherie, à une brebis muette devant ceux qui la tondent; Il n’a point ouvert la bouche.

            Il a été enlevé par l’angoisse et le châtiment; et parmi ceux de sa génération, qui a cru qu’il était retranché de la terre des vivants et frappé pour les péchés de mon peuple?

            On a mis son sépulcre parmi les méchants, son tombeau avec le riche, Quoiqu’il n’eût point commis de violence et qu’il n’y eût point de fraude dans sa bouche.

            Il a plu à l’Eternel de le briser par la souffrance... Après avoir livré sa vie en sacrifice pour le péché, il verra une postérité et prolongera ses jours; et l’oeuvre de l’Eternel prospérera entre ses mains.

            Que le Seigneur ajoute Ses bénédictions à la lecture de Sa Parole. Le prophète Esaïe avait reçu une vision de ce qu’était Jésus, de qui Il était, de ce qu’Il ferait, et de quel sacrifice pour le péché Il ferait ...

11        Il fait très chaud ce soir. Alors, je crois qu’au lieu de prêcher comme je l’avais annoncé, ma prédication... Je ne suis pas très fameux comme prédicateur. Je suis juste un de ces anciens types de prédicateurs sassafras tel qu’on les appelle dans l’Indiana. Vous connaissez. Alors, vous êtes des gens trop gentils pour rejeter cela. Alors, je vais simplement témoigner, et vous raconter peut-être quelque chose que le Seigneur a accompli tout au long de notre–de notre voyage.

            Et maintenant, j’aimerais penser à certains de mes jours du début. Lorsque j’ai commencé à tenir de grandes campagnes, les réunions avaient beaucoup d’éclat à l’époque. Bien sûr tout le monde courait ici et là, mais maintenant, bien sûr c’est différent de ce qui se passait à l’époque.

            Mais, le pasteur Baxter, mon frère et moi, nous bavardions l’autre jour, nous réfléchissions, il a dit: «Considérez ces choses glorieuses, ce qui est arrivé, ensuite regardez comment cela est en train de se calmer.» Dieu accorde des réunions et ensuite Il termine Ses oeuvres.

            Nous pensons à Jésus-Christ, lorsqu’il était ici sur terre. Les premières années de son ministère, oh! il y avait de l’éclat partout. La deuxième année de Son ministère, les gens se sont mis à L’accuser et à Le traiter de Béelzébul et tout. La troisième année, ils L’ont tué.

12        Voyez? C’est toujours ce qui se passe. Les premières années de l’Eglise pentecôtiste, c’était merveilleux. Juste après, une persécution a suivi la deuxième année et elle les a dispersés partout. La troisième et la quatrième années, on a commencé à voir des gens, juste de tout petits groupes: par exemple, il y avait cinq hommes avec quatre ou cinq femmes; ils formaient une église.

            Voyez-vous comment ça se passe? C’est toujours ainsi. Dieu jette tout simplement un grand filet de l’Evangile, et Il le lance... Le Royaume des cieux est semblable à un homme qui est allé à la mer et qui a jeté un filet. Et lorsqu’il a retiré le filet, il a attrapé les créatures de toutes espèces qui–qui vivent dans la mer. Il les a attrapées dans le filet. Il avait des poissons; il avait des tortues; il avait des araignées d’eau; il avait des serpents; il avait toutes sortes de créatures.  

            Eh bien, ce n’est pas notre affaire en tant que prédicateur de dire: «Ceci est un poisson, et ceci est cela.» Nous tirons tout simplement le filet de l’Evangile, et alors, peu après vous voyez un réveil se produire, beaucoup de gens sont sauvés et louent le Seigneur. Mais vous voyez, certains sont des poissons, et d’autres sont, nous dirons, des tortues. Cela ne fera pas longtemps que vous direz: «Eh bien, je ne croyais pas qu’il y avait quelque chose de vrai, après tout.» Et le voilà qui retourne vite droit dans la marre.

13        La vieille araignée d’eau, vous savez, plop, plop, plop: «Je vous disais que ce n’était pas vrai après tout.» Eh bien, il retourne à l’eau.

            Et le serpent va se mettre à siffler et dire: «Je n’aime pas la manière dont ils font ces choses, sss–sss.» Directement, il retourne dans l’eau. Mais il y a aussi quelques poissons là-dedans. Dieu les connaît. Eux, ils sont des poissons de par leur nature; il est une araignée de par sa nature; il est un serpent de par sa nature.

14        Et c’est Dieu seul qui fait l’élection et l’appel. Et notre travail, c’est simplement de prêcher l’Evangile. Est-ce juste? C’est Dieu qui appelle. L’un plante, un autre arrose, et Dieu fait croître.

            Je me souviens que c’était très difficile au début, lorsque j’ai commencé à prêcher la guérison divine. Oh! la la! je me souviens que l’évêque de l’église m’a parlé, eh bien, il a dit: «‘Billy, tu as fait un cauchemar. Tu n’as vu aucun ange.»

            J’ai dit: «Je n’apprécie pas cela, Frère Davis.» J’ai dit: «Non, non. Cela... Pour moi, c’est sacré. Et cela représente beaucoup pour moi.»

            Il a dit: «Tu veux dire qu’avec ton instruction de l’école primaire tu vas prier pour des rois et des monarques?»

            J’ai dit: «C’est ce qu’Il a dit. Il en sera ainsi.»

            Il a dit: «Allons, Billy.» Et ainsi de suite.

            J’ai dit: «Non, je vais simplement vous rendre ma carte de membre pendant que je me tiens ici, car je crains que je n’aie plus à l’utiliser.»

            Alors, il a dit: «Oh! moi je ne penserais pas ainsi.»

            Mais j’ai dit: «Eh bien, on pourrait bien le faire.» J’ai dit: «Si c’est Dieu qui m’envoie, il y aura quelqu’un là-bas qui va recevoir cela.» C’est tout. Dieu ne fera jamais rien ici, à moins qu’Il ait quelque chose qui travaille là-bas. Et croyez-vous cela? Absolument.

15        J’étais... Aujourd’hui, je réfléchissais, et un homme dans son coeur, il est telles que sont les pensées de son coeur. Alors, je pensais comment au tout début des réunions, après que j’ai commencé, le–à certains événements qui se sont produits, comment les gens avaient des songes et venaient aux réunions, comment un grand réveil était en cours et secouait les gens. Et maintenant, cela s’est répandu, cela est allé partout dans le monde, partout. Et ce soir, même de nombreuses églises du Plein Evangile condamnent la guérison divine et disent: «Cela n’existe pas. C’est de la sorcellerie et tout.» Les gens devraient prendre position pour les–pour les puissances de Dieu.

            Mais savez-vous ce que Dieu fait? Il met cette organisation de côté, et Il continue tout de même Son chemin. Cela ne L’arrête nullement. C’est toujours...

            Toutes les organisations vont finalement terminer là à Babylone, exactement comme la Bible dit qu’elles le feront. Et Dieu, de tout ce groupe... Le mot même Eglise signifie appelé à sortir. «Sortez du milieu d’eux, mon peuple, afin que vous ne participiez point à leurs péchés.» C’est l’exacte vérité.

16        Eh bien, je me souviens une fois à Jonesboro, dans l’Arkansas, comme l’une des–des choses émouvantes qui vient de me venir à l’esprit maintenant. Il est arrivé qu’au cours d’une soirée... Je tenais des services dans la–la salle. Et beaucoup de gens s’étaient rassemblés là-bas, à tel point que les journaux ont publié que nous avions vingt-huit mille personnes.

            Eh bien, si le journal a publié cela, ils étaient tous là, tous. Et ainsi, ils étaient là sur une distance de quarante miles [64 km] près de Jonesboro. Vous ne pouviez même pas trouver une maison de ferme. Les gens avaient formé des cités de tentes et tout, pour–pour s’occuper des gens, du logement des gens.

            Lorsque les gens ont commencé à voir les merveilles de la grande puissance de Dieu révéler des choses, c’était entièrement nouveau. Les gens venaient carrément. Mais maintenant, ils ont tellement vu cela qu’ils disent: «Eh bien, Seigneur, si c’est tout ce que Tu as, eh bien, je vais attendre autre chose.» Oh! la la! Voilà les gens, n’est-ce pas? Cela–voilà les gens.

            Et je me souviens que je n’avais pas vu ma femme depuis environ deux ou trois mois. Et j’avais une petite fille, ma première fillette; en effet, elles seront en route pour venir ici demain. Elle a maintenant sept ans. Elle était une toute petite enfant lorsque j’avais quitté la maison.

            Et lorsque je suis rentré, elle ne me reconnaissait même plus. J’avais perdu presque tous mes cheveux, et j’avais perdu beaucoup de poids, environ vingt livres [9 kg] et mes épaules s’étaient voûtées. Et sa mère lui parlait, disant: «Voilà papa.» (Ma photo était sur le–sur la commode.)

            Elle a dit: «C’est papa.»

17        Et un jour froid, lorsque je suis rentré par un jour de froid, et que j’ai fait quelques pas dans la maison... et nous habitions une petite maison de deux pièces. Et ma femme était à l’intérieur, et nous causions et elle... J’ai dit: «Où est l’enfant?»

            Elle a dit: «Elle dort dans l’autre pièce.»

            Alors, je suis allé au vieux petit berceau. Et je n’oublierai jamais cela; je l’ai réveillée. Et ces grands yeux bleus m’ont regardé, vous savez, et elle a eu peur de moi. Cela m’a fait mal. Et je... Sa mère l’a prise et me l’a tendue. Elle a dit: «C’est papa.» Elle est retournée. Ce n’était pas son papa. Elle regardait la photo qui était sur le... La photo ne ressemblait pas à son papa.

            Alors, eh bien suivez, mes amis, je prêchais l’Evangile. Je faisais du mieux que je pouvais, comme je le fais ce soir. Un glorieux jour, ce sera différent, de l’autre côté, lorsque nous arriverons tous à la Maison.

            Et je me suis épuisé. Je restais jour et nuit sur l’estrade, une fois, je suis resté environ quatre jours et quatre nuits, ou plus, sans même quitter l’estrade, à prier pour les malades. Et il y avait plus de gens à la fin de la réunion, bien plus qu’il y en avait quand nous avions commencé. Et on n’en finissait pas de prier pour les malades.

18         Et des choses glorieuses se produisaient. Je me souviens qu’un soir là-bas, une dame s’est avancée, elle tenait son mouchoir comme ceci. Je pensais qu’elle était en train de pleurer. Il était environ trois heures ou quatre heures du matin. Et aussitôt que je l’ai prise par la main, et que je me suis mis à lui parler... Je pensais qu’elle pleurait.

            J’ai dit: «Oh! madame, vous–vous avez le cancer sur le nez, n’est-ce pas? Et elle a retiré cela, le mouchoir, et son nez avait été entièrement rongé par le cancer. Et alors... Et j’ai dit: «Croyez-vous que Jésus vous guérira?»

            Et elle a dit: «Je viens de quitter Memphis.» Et elle a dit: «Les médecins là-bas m’ont dit l’autre jour qu’il n’y avait aucun espoir pour moi. Cela était plutôt tellement avancé que même le radium ni rien ne pourrait l’arrêter.»

19        Et oh! je me suis dit: «N’est-ce pas... C’est certainement bien dommage.» Et juste peu après, eh bien, j’ai prié pour elle. Et environ trois ou quatre mois après, je me trouvais à Texarkana, et j’étais dans une petite réunion là-bas.

            Et aussitôt, j’ai vu quelqu’un agiter la main vers moi au fond, et elle agitait la main vers moi. Je ne savais pas qui c’était. Ce jeune homme est monté d’un bond; il était un dératiseur là-bas. Et il–il s’est levé.

            Il a dit: «Frère Branham, je ne peux plus garder cela.»

            Et j’ai dit: «Qu’est-ce qu’il y a, fiston?»

            Et il a dit: «C’est ma mère. La reconnaissez-vous?»

            J’ai dit: «Non, je ne la reconnais pas.»

20        Elle a dit: «C’est moi la femme qui n’avait pas de nez il y a environ trois mois.» Elle avait un autre nez. Dieu l’avait guéri. Cela avait repoussé. Et j’ai son nom, son adresse et son témoignage.

            Et le problème, il se fait qu’elle suivait un traitement, elle est retournée chez son médecin. Et–et elle a dit...Il a dit: «Oh! la la!»

            Elle a dit: «A quoi cela ressemble-t-il maintenant?»

            Il a dit: «Eh bien, dites donc.» Il a dit: «Qu’est-il arrivé?»

            Elle a dit: «J’ai changé de médecin.»

            Il a dit: «Eh bien, chez qui êtes-vous allée?»

            Elle a dit: «Je suis allée chez le Docteur Jésus.»

            Il a dit: «Le Docteur Jésus?» Il a dit: «Voyons. Où exerce-t-Il?» Il a dit: «Je ne crois pas que je...» Oh! la la! n’est-ce pas quelque chose? Oh! la la!

            Mais il se passe bien des choses. Je me souviens d’une autre soirée là-bas où quelque chose s’était produit. J’étais à–à Little Rock et il y avait dans un... Eh bien, le révérend monsieur Brown...Si vous voulez prendre ce témoignage, écrivez simplement au révérend G.H. Brown, au 505 de l’avenue Victor. V-i-c-t-o-r, avenue Victor, à Little Rock, dans l’Arkansas.

21        Nous étions en train de prier et la... oh! les journaux avaient formulé les pires critiques, disant qu’il y avait–que j’avais bloqué le... Il y avait des ambulances là-bas. Ils ont dit: «Un prédicateur baptiste prétentieux sur son trente et un...» Oh! vous n’avez jamais entendu rien de tel de votre vie. Je vous assure.

            Alors, ils ont dit... Et les voitures étaient bloquées dans la rue par les ambulances. Et je priais depuis environ deux ou trois heures.

            Et le révérend Brown est venu me voir, c’était l’un des parrains de la réunion. Il a dit: «Frère Branham, lorsque vous aurez fini, au fond de la salle, a-t-il dit, il y a un cas comme vous n’en avez jamais vu.»

            Ça faisait alors environ trois ou quatre mois que je priais pour les malades, j’avais vu bien des choses pendant tout ce temps-là. Et il a dit: «Lorsque vous aurez l’occasion de souffler un peu ...» J’allais prier pour les gens toute la nuit de toute façon. Il a dit: «Venez, j’aimerais vous montrer quelque chose comme vous n’en avez jamais vu auparavant.»

            Et j’ai dit: «Très bien.» Alors, quelques instants après, j’ai descendu les marches. Et alors, mes amis, lorsque je suis arrivé en bas...

22        Je raconte ces choses pour la gloire de Dieu (Voyez-vous?), pour la gloire de Jésus-Christ, afin que vous puissiez connaître certaines choses qui se sont produites. Oh! il y a eu des millions de choses, je ne dirais pas des millions, mais quand même plusieurs milliers de choses qui se sont produites. 

            Et je suis descendu au bas de l’escalier. Et il y avait une dame étendue là, elle était étendue sur le plancher. Elle était en une sorte de short. Et ses mains étaient levées comme ceci, et ses pieds étaient relevés, elle était couchée sur son dos, elle était simplement couchée là comme cela.

            J’ai dit... Il y avait un vieux frère typique de l’Arkansas qui se tenait là, et il...

            J’ai dit: «Est-ce votre femme?»

            Il a dit: «Oui, Frère Branham.»

            J’ai dit: «Pourquoi ses–ses–ses jambes saignent-elles comme cela?»

            Il a dit: «Eh bien...» Il a dit: «Elle vient d’un asile d’aliénés.» Il a dit: «Elle traversait la ménopause. Et elle a eu un enfant, et cela l’a plongée prématurément dans la ménopause. Le médecin lui a donné certaines piqûres, et cela lui est monté à la tête. Et elle est alors devenue folle.»

            Elle avait passé deux ans dans un asile d’aliénés. Et il avait entendu parler là, dans le Mississippi, de la mère d’un–un soldat qui avait été guérie et qu’on avait fait sortir d’un asile d’aliénés. Alors, il a dit: «Je l’ai amenée.»

23        Il a dit: «Frère Branham, j’ai quatre petits enfants chez moi.» Il a dit: «Et j’ai–j’ai... nous avons vendu notre ferme et tout, a-t-il dit, pour–pour essayer de la soigner. Et elle suit des traitements.»

            Et il a dit: «Et puis, aujourd’hui, a-t-il dit, je–j’ai vendu mes mulets.» Il a dit: «J’ai dû l’amener ici.» Il a dit: «On m’a autorisé à la faire sortir, juste pendant la soirée.» Et il a dit: «On n’arrivait pas à la faire entrer dans une ambulance. Je suis allé prendre quelques frères là-bas. Et à cinq, nous l’avons fait sortir de cet asile d’aliénés, et nous l’avons fait entrer dans une voiture.» Il a dit: «C’est là qu’elle a brisé toutes les vitres de la voiture à coup de pieds pendant le trajet, alors que cinq hommes n’arrivaient pas à la maîtriser.»

            Et lorsqu’ils l’ont fait entrer là dans la salle, frère Brown a dit qu’elle avait juste pris cette place. Ils avaient juste... elle avait bousculé ces hommes dans tous les sens. Et alors, lorsqu’ils l’ont fait descendre, bien qu’elle était couchée sur son dos, elle a simplement levé ses mains et ses pieds comme cela,  ses yeux étaient très vitreux. Et c’est dans cette posture-là qu’elle était.

            Oh! j’ai dit: «C’est bien dommage.» J’ai dit: «Je vais m’avancer et tenir sa main.»

            Il a dit: «Oh! Fère Branham, ne le faites pas.» Il a dit: «Elle vous tuerait.»

            Oh! j’ai dit: «Je ne pense pas.» Et je... J’étais juste un jeune homme à ce moment-là, alors, je n’avais pas tellement d’expérience avec les démons.

            Alors, il a dit: «Frère Branham, je vous avertis, ne le faites pas.»

24        Et j’ai dit: «Oh! je ne pense pas qu’elle me ferait du mal, frère.» Et j’ai descendu une petite marche comme cela, et je me suis avancé sur le plancher. Et elle était étendue là, les mains levées. J’ai dit: «Bonsoir, soeur.» Je l’ai tenue par la main. Et juste au moment où j’ai tenu sa main, je... elle s’est agrippée comme cela. Et elle a tiré comme cela. Elle m’a pratiquement soulevé du sol. Et elle m’aurait projeté de l’autre côté de la pièce. Et je... Eh bien, elle pesait environ cent, et, oh! je pense septante ou quatre-vingt livres, [77 ou 81,6 kg] et cette puissance démoniaque...

            Avez-vous déjà vu une personne possédée d’une puissance démoniaque? Elle devient quatre ou cinq fois plus forte. Eh bien, si le diable peut vous rendre quatre fois plus fort lorsqu’il vous possède, qu’en est-il d’une personne possédée du Saint-Esprit? Quelle puissance Dieu peut-Il vous donner? Voyez?

25        Et alors,... C’est la raison pour laquelle vous avez peur, vous qui êtes infirme. N’ayez pas peur. Jetez ces béquilles, tenez-vous debout et partez. Dieu est avec vous. S’Il vous a oint, Il vous l’accordera. C’est juste. Soyez oint du Saint-Esprit.

            Et alors, lorsque cette femme m’a tiré brusquement comme cela, j’ai failli tomber. J’ai lancé mon... pied comme cela et je l’ai tenue juste à la poitrine comme ceci. J’ai tenu... Et cela a dégagé ma main des siennes.

            Eh bien, je–j’ai vite reculé vers le–l’escalier. Il a dit: «Je vous l’avais dit, Frère Branham.» Et elle s’est mise à produire un bruit très drôle, elle faisait: «Hee-hee, uhh-uhh [Frère Branham illustre.–N.D.E.]» Et elle s’est mise à ramper comme un serpent sur son dos, c’était vraiment... Vous pouviez l’entendre se traîner, vous savez, elle se traînait tout simplement, comme cela sur le plancher, sur le béton comme cela.

            Elle s’est mise contre le mur, elle a mis ses grandes et puissantes jambes contre le mur, et elle a donné un coup comme cela, et alors, elle a heurté un–un siège, et sa tête a heurté comme cela. Et cela... Il y avait un siège là, où les gens s’asseyaient avant qu’elle soit amenée là.

26        Et cela a brisé le siège, le banc, les cheveux se sont arrachés et le sang a coulé de sa tête. Elle s’est mise à produire un bruit très drôle, elle a soulevé la chose de sa main comme cela et l’a lancée sur son mari, et cela a détaché le plâtre du mur en cognant juste à côté de l’endroit où il se tenait.

            Il a dit: «Vous voyez, Frère Branham, a-t-il dit, maintenant tout espoir a disparu.» Il a dit: «Que puis-je faire?» Et il... Le pauvre homme s’est mis à pleurer, il m’a entouré de ses bras comme cela, il portait une vieille salopette rapiécée. J’ai vraiment eu pitié de cet homme.

            Et j’ai dit: «Eh bien, frère, écoutez: la seule chose que je sache vous dire, c’est que cet ange qui m’a rencontré m’a dit que si je suis sincère, et que j’amène les gens à croire pendant que je prie, qu’Il guérira les malades.» J’ai dit: «Croyez-vous, que la simple foi pour croire que Jésus-Christ est le Fils de Dieu chassera les démons? Et Il–Il est monté au Père maintenant, et Il est ici sous la forme du Saint-Esprit.» J’ai dit: «Je crois qu’Il est le même Jésus aujourd’hui qu’Il était autrefois.» J’ai dit: «Je ne dois pas vous dire ce qui ne va pas. Vous savez ce qui ne va pas.»

            Il a dit: «C’est juste.»

27        J’ai dit: «Croyez-vous que si je le demandais à Dieu, Dieu le fera?»

            Il a dit: «Oui.» Et à ce moment-là, elle s’est retournée sur son dos.

            Elle a dit: «William Branham, tu n’as rien à faire avec moi. Je l’ai amenée ici», elle venait vers moi en rampant.

            Eh bien, son mari s’est retourné, il a dit: «Qu’est-ce que c’est?» Il a dit: «Cette femme ne connaît même pas son propre nom.» Il a dit: «Elle n’a pas dit un seul mot depuis deux ans.»

            J’ai dit: «Ce n’était pas elle. C’était ce démon. Voyez-vous? C’est ce démon. Il sait qu’il va devoir quitter cette femme si seulement vous croyez au Seigneur Jésus-Christ, maintenant même.»

            Et il continuait d’appeler comme cela: «Tu n’as rien à faire avec moi. Je l’ai amenée ici.»

            Alors, j’ai dit: «Maintenant, êtes-vous d’accord avec moi?»

            Il a dit: «Oui.»

            J’ai dit: «Père céleste, au Nom de Ton Fils Jésus-Christ, fais que ce démon quitte cette femme.»

            Alors, elle n’a plus parlé. Elle... Il a dit: «Que dois-je faire?»

            J’ai dit: «Ramenez-la après que le service sera terminé. Si vous croyez, cela doit arriver.»

            Il a dit: «Très–très bien.»

28        Alors, environ trois mois après cela, j’étais ici à–à Jonesboro. Et j’ai vu quelqu’un là, derrière en train d’agiter la main. Et j’ignorais qui c’était, qui était assis juste là comme cela. Et on me faisait signe de la main. Et c’était–c’était la femme en question, assise là.

            Elle a dit: «Ne me reconnaissez-vous pas, Frère Branham?»

            J’ai dit: «Non, je ne vous reconnais pas.» Tous ses quatre petits enfants étaient assis à côté d’elle.

            Elle a dit: «La dernière fois que vous m’avez vue, on m’a dit que je saignais partout et que j’avais perdu la tête.»

            Et le... Il avait ramené la femme, il n’avait eu aucun problème pour la ramener. Elle s’était calmée. Le deuxième jour, quand elle était dans l’asile... J’ai dit: «Qu’on la renvoie chez elle.»

            Alors, le deuxième jour, ils sont allés la voir, et elle était assise. Le troisième jour, on lui a fait signer une décharge à l’hôpital, on l’a renvoyée chez elle, étant dans son bon sens. Voyez? C’est juste. Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement.

            N’est-ce pas beau? Mais ai-je du temps pour donner un autre petit témoignage?

29        Ma femme n’avait jamais assisté à l’une des réunions. Alors, je l’ai envoyée chercher pour qu’elle vienne. J’étais tellement seul. Et alors, elle est venue. Et frère Reed... C’était à Jonesboro. Et Richard, T. Richard Reed pourrait vous donner le témoignage de ceci.

            Le vieux Bible Hour Tabernacle béni, il en est le pasteur, là à Jonesboro, dans l’Arkansas, si vous aimeriez avoir ce témoignage.

            Et ensuite, je me souviens, ce soir-là, lorsque nous avons commencé la réunion, il y avait des gens dans la rue sur une distance de trois pâtés de maisons, vous ne pouviez pas... Les policiers étaient là, ils laissaient tout simplement les gens s’entasser comme cela et bloquer les issues. Et cela empêchait un...

            Et ma femme a dit: «Tous ces gens sont-ils venus pour t’entendre, chéri?»

            J’ai dit: «Non, chérie, ils viennent voir Jésus.» Et la petite s’est tenue là. Elle est très timide, elle me tenait à la main en pleurant. Et elle chantait ce cantique:

            Oh! ils viennent de l’Est et de l’Ouest,

            Ils viennent de lointains pays, (Vous avez entendu cela.)

            Pour fêter avec le Roi, dîner comme ses convives.

            Combien ces pèlerins sont bénis!

30        Et elle se tenait là, chantant cela pour moi. Et alors, les huissiers se sont avancés et ils ont dit: «Frère Branham, les gens attendent.» Et alors... Je n’ai jamais su ce qui lui est arrivé.

            Et ils m’ont fait entrer dans la salle. Et juste au moment où j’y entrais, il m’est arrivé de baisser les yeux. Oh! il y avait des civières, des ambulances, et tout posés là. Et il y avait deux infirmières à côté d’une jeune fille ici. Elle avait la tuberculose.

            Et je–je pouvais tout simplement sentir que quelque chose allait se produire juste là. Et pendant que j’observais cela, il y avait un homme qui se tenait de ce côté-ci en uniforme bleu, qui agitait sans cesse son chapeau.

            J’ai dit: «Est-ce à moi que vous essayez de parler, monsieur?»

            Il a dit: «Oui, monsieur.»

            Il a dit: «Je–j’ai un cas par ici qui est... et–et elle se meurt. Et je pense qu’elle est déjà morte.» Il a dit: «Je ne peux trouver de médecin nulle part.» Et il a dit: «Nous avions un médecin là-bas, juste un interne.» Et il a dit: «Je pense qu’elle est déjà morte.» Et il a dit: «Voulez-vous venir la voir?»

            J’ai dit: «Frère, il y a probablement deux mille personnes qui se sont amassées là-bas.» J’ai dit: «Je ne crois pas que je saurais le faire.»

            Et–et quatre ou cinq huissiers se sont arrêtés et ont dit: «Eh bien, nous allons vous aider à parvenir là-bas.»

            Nous sommes partis, et nous sommes allés vers l’ambulance là où... Oh! il y avait environ huit ou dix ambulances garées, en file. Et c’était une grande ambulance.

31        Cet–cet homme m’a parlé, disant: «Un homme a été guéri ce matin, un aveugle, il était aveugle depuis dix ans. Et on a prié pour lui, on lui a dit qu’il allait recouvrer la vue. Et en rentrant chez lui ce matin-là, ses yeux se sont ouverts.» Et son... Il roulait dans une vieille Ford modèle T sur ces routes accidentées de l’Arkansas. Il s’est mis à crier. On a arrêté la voiture, et il s’est mis à tourner autour de la voiture en criant. Il est entré dans la ville en courant, Kennet, ou une autre petite ville là, dans le Missouri, ce genre de petite ville où on trouve un cimetière de tireurs, là, dans le Missouri.

            Et il a couru, il est entré dans une église, dans une Eglise catholique, et il s’est mis à témoigner, et on l’a jeté dehors. Et–il avait suspendu son chapeau à sa canne noire ou plutôt à sa canne blanche, son chapeau noir, il descendait les rues criant à tue-tête. Il avait été un cordonnier là-bas.

            Il descendait la rue, en criant et en louant Dieu. Il est entré dans une Eglise méthodiste. Ha-ha. On l’a jeté dehors. On ne savait pas... Il avait réveillé toute la ville. Eh bien, je vous assure, il était... Et tous ceux qui étaient dans les hôpitaux voulaient venir pour que l’on prie pour eux.

            Alors, l’ambulancier a dit: «Je dois rentrer.» Et il a dit: «Je–je dois...» Alors, nous sommes entrés là à l’intérieur, et lorsqu’il...

            J’ai dit: «Eh bien, maintenant ouvrez simplement la porte.» Nous sommes entrés et un vieux papa typique se tenait là, son vieux chapeau cousu à l’aide d’une ficelle, le fil d’emballages, vous connaissez, tout autour...

32        Ces gens de l’Arkansas sont pauvres au possible. Mais, frère, sous ces vieilles chemises bleues battent de très braves coeurs fidèles, remplis du Saint-Esprit. Oui, oui. Je préférerais en avoir un avec moi tout le temps, plutôt que d’avoir peut-être un filou au col retourné vers l’arrière, auquel je ne pourrais pas faire confiance aveuglément. Oui, vraiment, oui, vraiment.

            Juste... Je vous le dis, cette vieille religion à l’ancienne mode, frère, elle vous redresse. C’est juste. Cela amènera une–une–une femme vêtue de soie et une vêtue de calicot à l’étreindre l’une l’autre, et à s’appeler «soeur». Est-ce juste? Cela amènera un homme vêtu d’un smoking et un autre vêtu d’une salopette à s’appeler «frère». C’est ce que ça fera, frère.

            Cela vous purifiera. Cela ne changera rien pour vous. Cela détruira ce moi, notre formalisme et notre orgueil.

33        Et alors, ensuite je–je me souviens que je suis entré là, et il portait des chaussures aux semelles usées. Il s’est agenouillé en criant: «Ô Dieu, rends-la moi, ô Dieu.» Le pauvre vieil homme. Il m’est arrivé de penser à mon propre vieux papa lorsque je l’ai vu s’agripper à ce chapeau comme cela.

            J’ai dit: «Qu’est-ce qu’il y a, papa?»

            Il a dit: «Qui êtes-vous?»

            Et j’ai dit: «C’est moi frère Branham.»

            Il a dit: «Oh! Frère Branham, a-t-il dit, la mère est une femme très douce.» Et il a dit: «Je l’ai perdue, j’en suis certain.»

34        Et j’ai dit: «Eh bien, qu’est-ce qu’il y a?» Alors, j’ai pris la main de la femme. Et ses yeux étaient alors fixes, mais je ne pensais pas qu’elle était morte. Voyez-vous? Ses fausses dents avaient été enlevées, et elle était couchée. C’est comme si une eau boueuse sortait de ses yeux. Et ses yeux étaient révulsés. C’était une très vieille femme, elle n’était pas très vieille, mais elle avait dépassé l’âge moyen, je dirais qu’elle avait soixante-huit, ou soixante-dix ans ou quelque chose comme cela.

            Alors, elle était couchée là et–comme cela. Et j’ai dit... Et je l’ai touchée. Son front était moite de transpiration. Et il a dit: «Elle vient d’arrêter de respirer il y a quelques instants, Frère Branham.» Il a dit: «Oh! c’était une bonne femme.» Il a dit: «Elle a labouré ces mottes de terre et elle m’a aidé à assurer notre subsistance.» Il a dit: «Nous avons élevé une ribambelle d’enfants.» Et il a dit: «Elle a attrapé ce cancer.» Et il a dit: «Le médecin a travaillé fidèlement. Il a fait tout ce qu’il pouvait.» Ça se trouvait dans les glandes féminines. Il a dit: «Il ne peut plus rien faire.» Il a dit: «Nous avons vendu ses couvertures pour que l’ambulance nous amène ici», les couvertures qu’elle avait fabriquées.

35        Je me suis dit: «Ô Dieu.» J’ai dit: «Eh bien, prions, frère.» Et j’ai tenu sa main. Et j’ai dit: «Père céleste...» Je voulais faire une prière pour le consoler. Je confesserai cela. Je pensais que cette femme était morte.

            Et alors,... je... Et pendant que je priais, j’ai senti quelque chose s’accrocher à ma main. Le diable m’a dit, il a dit: «C’est simplement la chair, tu sais. Elle est déjà morte et ce sont seulement les nerfs qui se contractent.» Et j’ai continué de prier un petit peu, et j’ai senti cela se contracter encore. J’ai regardé. J’ai continué de prier. Mais je la regardais.

            Et le vieil homme était à genoux sur le plancher en train de crier: «Ô Dieu, rends-moi maman.»

            Et je tenais ses mains comme cela. Et ensuite, il m’est arrivé de regarder encore. Et j’ai vu la–la peau de son front se rider.

            Elle a levé les yeux vers moi. Elle a dit: «Qui êtes-vous?»

            Et j’ai dit: «Je suis frère Branham.»

            Elle a dit: «Eh bien, nous sommes venus pour que vous priiez pour moi.»

            Et j’ai dit: «Oui, madame.»

            Elle a dit: «Je me sens si bien.»

            J’ai dit: «Voulez-vous vous redresser?»

            Et à ce moment-là, il a regardé. Et ce vieil homme m’a regardé et il a crié: «Mère, mère, mère!» Les larmes coulaient sur ses pauvres joues barbues. Et il–il l’a saisie en quelque sorte, et ils se sont mis à s’étreindre et à s’embrasser.

            Et oh! trois ou quatre mois plus tard, elle était là-bas dans la réunion témoignant, elle était tout feu tout flamme avec ce témoignage.

36        Alors, je me suis mis à sortir et le huissier a dit: «Eh bien, Frère Branham, vous ne saurez pas sortir.» Il a dit: «Des milliers de gens se sont amassés ici.»

            Et alors, j’ai dit: «Bien, voulez-vous tout simplement faire comme si vous enleviez votre veste maintenant, ils ne vont pas me remarquer et je vais sortir en me glissant de cet autre côté. Et envoyez ces huissiers tout autour. Personne ne me connaît là, dans ce parking.» Beaucoup de gens se tenaient là; et il pleuvait, il pleuvait à verse. Les gens se tenaient là malgré tout, tenant des journaux au-dessus de leurs enfants et tout comme cela. Ils étaient restés couchés dans les rues depuis cinq ou six jours de suite, comme cela. Ils s’étendaient sous les camions qui transportent du coton, tout ce qu’ils pouvaient trouver... Les gens aiment le Seigneur. Ils viennent à l’église. Frère, ils L’aiment et ils croient en Lui.

            Et alors, j’étais... j’ai fait un détour et je suis allé à l’arrière, comme cela. Il s’est mis à... Ça semblait hypocrite de faire cela. Mais je ne pouvais pas aller là où il y avait tout ce monde. Et ces pauvres gens se seraient tout simplement rués sur vous. Alors, il s’est mis à ôter sa veste comme ceci. Et je me suis glissé par la porte et je suis sorti, j’ai traversé cette rangée d’ambulances, je me suis mis à monter là.

37        Il y avait... Il y avait de grands projecteurs derrière cet endroit. Et il y avait un groupe de bus charter garés comme cela. Et je traversais là en poussant les gens, vous savez, comme ceci. Et personne ne me connaissait; personne ne m’avait encore vu, parce qu’ils n’avaient pas la possibilité de s’approcher du bâtiment. Les gens restaient juste là dans ce bâtiment; ceux qui étaient à l’intérieur, conservaient leur place. Alors, ils envoyaient quelqu’un dehors leur acheter des sandwiches, ou quelqu’un gardait leur place pendant qu’ils devaient sortir et revenir, vous savez. Ils gardaient leur place.

            Alors, je–je pensais pendant que j’allais là. Quelqu’un ne cessait de dire: «Arrêtez de pousser. Arrêtez de pousser.»

            J’ai dit: «Excusez-moi.» J’ai simplement continué, de pousser, vous savez. J’ai poussé sur le côté un homme de très grande taille, il se tenait là en train de tailler quelque chose avec son couteau. Et j’ai poussé juste en dessous de lui comme cela.

            Il a dit: «Arrêtez de pousser!»

            Je–j’ai arrêté de pousser, car je craignais qu’il puisse pousser. Et alors, je–j’ai dit: «Excusez-moi, monsieur.»

38        Et je–j’avais les mains baissées comme ceci. Il a baissé les yeux vers moi d’une manière un peu sarcastique, vous savez, il a continué à tailler avec son couteau. J’ai dit: «Désolé.» Il n’a pas dit un seul mot, il a simplement continué à tailler. Oui, monsieur. J’ai regardé et je me suis dit: «Eh bien, je vais de nouveau pousser dans quelques minutes, dès qu’il va se mettre à penser à autre chose.»

            Alors, j’ai regardé autour de moi. Et alors, quelques instants après, j’ai entendu quelqu’un crier: «Papa! papa!» Je me suis demandé d’où cela venait. Ça semblait être la voix des gens de couleur du Sud. En général, tous les gens du Sud parlent de la même manière. Et il m’est arrivé de regarde; et j’ai vu sortir, du milieu des gens qui se tenaient derrière dans ce parking, une jeune fille de couleur; il y avait plus de gens là que ceux qui sont assis ici.

            Eh bien, là-bas, il y avait la loi de la ségrégation: les lois ségrégationnistes. Les Blancs et les gens de couleurs ne pouvaient se mélanger. Et ainsi... Je ne pense pas que c’est correct. Et c’est–c’est donc mal. Je ne dis pas cela pour témoigner du respect à nos amis de couleur qui sont ici ce soir, mais peu m’importe s’il n’y a personne ici. C’est mal. C’est juste.

39        Et moi, je suis du Sud, mais je–toujours est-il que c’est mal. Je suis un homme d’Abraham Lincoln. Je–je crois que–que Dieu nous a tous créés égaux. C’est juste.

            Ainsi donc... Et j’ai vu cette jeune fille venir, et–et j’ai vu que ses yeux étaient blancs de cataracte, aussi blancs que ma–ma chemise. Et elle était... personne ne voulait l’aider. Elle traversait simplement la foule en bousculant et en criant: «Papa! papa!» Comme cela.

            Et je me suis dit: «Pauvre créature.» Et je me suis dit: «Je crois que je vais aller là pour voir ce qu’elle désire. Personne ne me connaît.» Et j’attendais que ces huissiers arrivent au coin. Ils essayaient de passer au travers de la foule. Alors, je me suis rapproché de là où elle se trouvait. Et lorsqu’elle allait dans cette direction, moi j’allais dans cette direction. Alors, je me suis retrouvé juste devant elle. Et, ça semblait donc horrible de faire cela.

            Alors, elle s’est heurtée contre moi. Elle a dit: «Pardon.»

            J’ai dit: «Oui, madame.»

            Elle a dit: «Excusez-moi, monsieur», lorsqu’elle a entendu ma voix d’homme.

            Et j’ai dit: «Qu’est-ce–qu’est-ce qu’il y a?»

            Elle a dit: «Monsieur, j’ai perdu mon papa. Je n’arrive pas à le retrouver.» Elle a dit: «Je suis aveugle. Et je n’arrive pas à retrouver mon papa.»

            Et j’ai dit: «Eh bien, d’où viens-tu?»

            Elle a dit: «Je viens de Memphis.»

40        Et j’ai regardé, j’ai vu le bus charter garé là qui venait de Memphis. Et je me suis dit: «Je ne peux pas la ramener là devant ces huissiers... Si je n’arrive pas à le faire, je vais demander à l’un d’eux de l’amener là-bas.»

            Et elle a dit: «Je suis venue ici de Memphis.» Et elle a dit: «J’ai perdu mon papa.»

            J’ai dit: «Bien, je ne vois pas d’autres gens de couleur dans la–dans la–dans cette foule de gens.»

            Elle a dit: «Oh! voulez-vous m’aider à aller jusqu’au bus?»

            Et j’ai dit: «Pourquoi es-tu venue ici?»

            Elle a dit: «Je suis venue voir le guérisseur.»

            J’ai dit: «Le quoi?»

            Elle a dit: «Le guérisseur.»

            Et j’ai dit: «Crois-tu cela?» Elle a dit... Je me disais que j’allais très bien tester sa foi, vous savez.

            J’ai dit: «Crois-tu cela?»

            Elle a dit: «Oui, monsieur, je le crois.»

            Et j’ai dit... Eh bien, je me suis senti petit, vous savez. Alors, j’ai dit: «Eh bien, crois-tu que dans ces jours où nous avons tous ces très bons médecins et hôpitaux, que Dieu a envoyé un ange sur terre et qu’Il guérira les gens?»

            Elle a dit: «Oui, monsieur, je le crois.»

            J’ai dit: «Comment en as-tu entendu parler?»

41        Elle a dit: «J’ai entendu ce matin à la radio qu’un homme ici à Kennett, dans le Missouri, qui était aveugle depuis dix ans a recouvré la vue.» C’était lui qui témoignait à la radio. Voyez? Et elle a dit: «Je suis venue. Nous avons formé un grand comité, et nous sommes venus à bord de ce bus.» Et elle a dit: «On m’a dit que c’est la dernière soirée du guérisseur ici.» Et elle a dit: «Je ne peux même pas m’approcher du bâtiment.» Et elle a dit: «J’ai perdu mon papa. Je suis aveugle. Je–je ne sais simplement pas quoi faire.»

            Et j’ai pensé: «Pauvre fille.» Elle n’était pas... C’était une adolescente, elle pouvait avoir dix-sept, dix-huit ans. Et j’ai dit: «Qu’est-ce qui ne va pas?»

            Elle a dit: «Eh bien, j’ai la cataracte.» Et elle a dit: «Le médecin m’a dit que lorsqu’elles auraient mûri, il allait les enlever.» Mais elle a dit: «Maintenant, depuis qu’elles ont mûri...» Elle a dit: «Il dit qu’il ne peut pas les enlever, parce qu’elles ont enveloppé le nerf optique de mes yeux. Et s’ils les enlevaient, il devrait enlever aussi le nerf optique.»

            Et j’ai dit: «Crois-tu que ce guérisseur peut te guérir?»

            Elle a dit: «Oui, monsieur. Je le crois.»

            Et j’ai dit: «Eh bien, consulte un médecin.»

            Elle a dit: «Ils ne peuvent pas m’aider.»

            Et j’ai pensé à ce cantique de l’aveugle Fanny Crosby:

            Ne m’oublie pas, ô Doux Sauveur,

            Ecoute mon humble cri;

            Pendant que Tu appelles les autres

            Ne m’oublie pas.

            Et je me suis mis à penser à cela. Elle–elle a dit... J’ai dit: «Oh! tu ne crois pas à ce genre d’affaire, n’est-ce pas?» Je l’ai de nouveau interrogée.

            Elle a dit: «Monsieur, a-t-elle dit, je comprends que vous êtes un Blanc. Je crois que vous êtes un Blanc.»

            J’ai dit: «Oui, oui.»

42        Elle a dit: «Si seulement vous m’aidez à entrer là où se trouve cet homme qui prie pour les malades, je serai en mesure de retrouver mon papa après cela.» Oh! la la!

            C’était trop pour moi. Je me suis dit que j’avais fait assez longtemps l’hypocrite. J’ai dit: «Ecoute, demoiselle, maintenant garde... Reste tranquille.» J’ai dit: «Crois-tu que ce gars-là est un guérisseur?»

            Elle a dit: «Je crois que c’est Jésus qui est le Guérisseur.»

            J’ai dit: «C’est juste.» J’ai dit: «Mais je suis frère Branham.»

            Elle a dit: «Est-ce vous ce guérisseur?»

            Et j’ai dit: «Non, non.» Elle m’a carrément saisi par le revers de la veste, comme cela.

            Elle a dit: «Est-ce–est-ce–est-ce vous ce guérisseur?»

            J’ai dit: «Non, tu as dit que c’est Jésus qui est le Guérisseur.»

            Elle a dit: «Oui, monsieur. Mais–mais–mais–mais–mais est-ce vous le–le–le–le–le pasteur Branham?»

            Et j’ai dit: «Oui, oui.»

            Et elle a dit: «Oh! ayez pitié de moi, Pasteur Branham.» Elle a dit: «Seigneur, comment ceci est-il arrivé?»

43        Voyez-vous? Là dehors, comment cela a-t-il pu arriver? Dieu sait comment s’y prendre. Et j’ai dit: «Eh bien, si tu veux bien lâcher ma verste maintenant.» J’ai dit... Et je ne pouvais pas tirer cela. Non, non. Elle ne voulait pas me lâcher. Non, non. Elle me tenait bien fort.

            Elle a dit: «Non, monsieur.» Elle a dit: «Je pourrais vous perdre ici.»

            Et j’ai dit: «Non, je vais prier pour toi.» Voyez-vous?

            Et j’ai dit: «Donne-moi ta main juste une minute. J’aimerais tenir ta main pendant que je prie pour toi.» J’ai dit: «Incline maintenant ta tête.» Elle l’a fait. Et en priant, j’ai dit quelque chose comme ceci.

44        J’ai dit: «Ô Dieu bien-aimé, il y a quelque mille neuf cents ans, une vieille croix rugueuse était traînée à travers Jérusalem, effaçant les empreintes de pas ensanglantées du Porteur. En route vers le Calvaire, la grosse vieille croix, sur Ses petites épaules faibles qu’elle frottait, pesait tellement qu’Il est tombé sous le poids. Puis, vint Simon de Cyrène, un homme de couleur, qui l’a prise, il L’a aidé à porter la croix.»

            J’ai dit: «Seigneur Jésus, voici une de ses enfants ce soir, titubant ici dans le noir et dans l’obscurité totale. Elle ne peut même pas voir sa main devant elle. Seigneur, Tu sais ce que cela a été pour cet homme de décharger Tes épaules ce jour-là en T’aidant à porter cette croix.» J’ai dit: «Ô Dieu, Tu avais porté sa maladie à elle au moment où Tu portais cette croix là-bas. J’ai dit: «Je Te demande maintenant...» Et juste à ce moment-là quelque chose est venu sur moi; je savais que quelque chose était arrivé. Je savais que la chose avait disparu. J’ai attendu juste une minute.

            Eh bien, je me demande si frère Baxter vous a donné les instructions l’après-midi ici. Lorsqu’un démon... Vous voyez, une grosseur, c’est un démon. Et cela vit, cela construit des cellules. Et c’est simplement la vie qui quitte cela. Mais vous... Cela va se rétrécir. Et ensuite, après quelque temps, cela va gonfler et devenir plus gros qu’avant. Mais la vie en est sortie. Cela va vous quitter. Voyez?

45        Et si vous ne connaissez pas ces choses, vous ne pourrez certainement pas... Vous ne comprenez pas la guérison divine, eh bien vous–il est inutile d’essayer cela, parce que ce serait un essai de toute façon. Voyez-vous, si vous essayez cela comme cela...

            Mais si vous savez ce qui va arriver, alors votre foi est fixée. Alors, il vous faut tomber malade pour être guéri. Parce que cette grosseur est en vous et votre système sanguin doit prendre un ... Imaginez une grosseur de cette taille au-dedans de vous, et cela... Eh bien, cela est simplement pourri, un morceau de chair comme cela qui est en vous... Bien sûr, vous aurez des fièvres et vous serez malade et tout.

            Certains pourraient dire: «J’ai perdu ma guérison.» Eh bien, c’est le meilleur signe au monde qui montre que vous l’avez obtenue. Voyez?

            Et alors, j’attendais que cette cataracte se rétrécisse afin qu’elle voie. Elle avait la tête inclinée. J’ai dit: «Maintenant, ne relève pas la tête. Et ne fais aucun bruit.» J’ai dit: «Si tu fais du bruit, alors...» J’observais si mes huissiers n’étaient pas encore arrivés.

            Alors, je–j’ai dit: «Maintenant, alors que tu relèves la tête, garde tes paupières fermées jusqu’à ce qu’il t’arrivera de penser être à la hauteur de mon visage. Et je te dirai quand ouvrir les yeux.»

            Elle a dit: «D’accord.» Et je lui ai donné le temps, puis elle a relevé la tête.

            J’ai dit: «Tu es maintenant presque à la hauteur de mon visage. Maintenant, est-ce que tu crois?»

            Elle a dit: «Oui, monsieur.» Elle a dit: «Il y a une fraîcheur qui m’a traversée complètement.»

            J’ai dit: «Maintenant, tu–tu peux voir juste un moment.»

            Elle a dit: «Oh! Seigneur», et les larmes coulaient sur ses joues noires comme cela.

46        Et j’ai dit: «Maintenant, ouvre tes yeux. Tu as reçu la vue au Nom de Jésus-Christ.» Elle a ouvert les yeux. Elle a dit... La lumière. Elle a dit: «Est-cela des lampes?» Elle a dit: «Qu’est-ce que c’est?» Voyez-vous? Cela n’avait pas encore beaucoup rétréci. Elle–elle n’arrivait pas à distinguer la lumière de l’obscurité. Mais cela rétrécit, (Vous voyez?), lorsqu’ils–le–la vie a quitté la cataracte.

            Elle a dit: «Que... Ces taches sont–sont–sont–sont-elles... Est-ce là des gens qui sont en train de se déplacer?

            J’ai dit: «C’est juste.»

            Elle a dit: «Oh! Seigneur, moi qui étais autrefois aveugle, maintenant je vois.»

            Et–et elle a poussé un grand cri, et elle a sauté comme cela.

47        Et à ce moment-là, je... Les huissiers arrivaient là, au coin. Je me suis mis à reculer comme ceci pour aller à leur rencontre. Et un vieux frère se tenait là, son unique jambe disposée comme ceci. Il tenait un gros bâton en main, il avait observé cette scène. Il se tenait là comme cela. Il a dit: «Frère Branham, je sais qui vous êtes.» Il a dit: «Je me tiens sous cette pluie depuis huit jours. Et il a dit: «J’ai une ribambelle de petits enfants à la maison.»

            Il a dit: «Voulez-vous bien demander à Dieu de me guérir?»

            J’ai regardé sa jambe. J’ai dit: «Depuis combien de temps elle est dans cet état?»

            Il a dit: «Une camionnette m’avait écrasé lorsque j’étais enfant.» Et il a dit: «Je dois travailler pour chi-... pour faire vivre mes enfants.» Il a dit: «Ça fait huit jours que je me tiens ici sous cette pluie.»

            J’ai dit: «Croyez-vous de tout votre coeur?»

            Il a dit: «De tout mon coeur, je crois que vous êtes un bon gars. Et tout ce que vous demanderez à Dieu, Dieu le fera.»

            J’ai dit: «Donnez-moi votre béquille au Nom de Jésus-Christ.» Et de même que je me tiens ici, comme un témoignage vivant devant Dieu, ce pied recourbé s’est redressé comme cela. Il a sauté comme cela, il est monté en l’air, en criant à tue-tête. Oui, oui.

            Et alors que je traversais là, les femmes à ce moment-là... Eh bien, ma mère est assise ici. Ma femme sera ici demain soir. Elle me réprimandera après que j’aurai dit ceci.

48        Quand j’en étais à mes débuts, je n’avais même pas un complet à porter. Eh bien, c’est–c’est vrai. Mon frère, qui était un jeune homme, avait connu un accident, et il portait un complet qui avait été déchiré; il avait été déchiré dans un accident d’automobile. Et il...?... pour commencer.

            Et je portais la vieille veste et le pantalon qui était déchiré à plusieurs endroits.

            Et Meda et moi, c’est ma femme, nous sommes descendus au bazar et nous avons acheté quelques-unes de ces pièces, vous connaissez, qu’on repasse à l’aide d’un fer chaud, vous connaissez? Et nous avons–nous avons repassé quelques pièces sur ce pantalon. Et la veste était déchirée ici à la poche du côté droit, elle était déchirée comme cela. Et je me suis procuré une aiguille et j’ai cousu cela. Et je ne suis pas un bon couturier. Alors, et j’ai cousu cela du mieux que je pouvais.

49        Et lorsque les ministres venaient, vous savez, bien habillés et tout, et qu’il fallait que je les accueille, ils disaient: «Frère Branham, voici Untel.»

            Je craignais qu’ils ne voient cette vieille–vieille poche déchirée. Et je gardais mon bras juste dessus comme ceci et je leur tendais ma main gauche. Je disais: «Excusez-moi, la main gauche est plus près de mon coeur.» J’ai dit... Je gardais ma main gauche comme cela, et cette vieille veste usée...

            Mais comme je descendais là, ces pauvres gens, alors que les richesses du monde... Oui, des cueilleurs de coton et ainsi de suite qui se tenaient là... Mais j’avais eu une vision là-bas et j’avais vu comment Jésus révélait les secrets du coeur. De voir comment Il faisait... Les gens avaient la foi.

50        Et ils se pressaient et prenaient leurs petits enfants, et ils touchaient cette vieille veste pour être guéris. Laissez-moi vous dire, pas une seule personne ne touchait cette veste sans être guérie. Eh bien, ce n’était pas la vieille veste usée, frère, c’était leur foi en Jésus-Christ qui les guérissait.

            Ce même Seigneur Jésus qui était là-bas ce soir-là est ici même à Chicago, dans l’Illinois, ce soir, ici au Gospel Tabernacle de Chicago. Et si vous touchez simplement Son vêtement par la foi, Il vous rétablira de tout ce dont vous souffrez. Le croyez-vous? [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.]

            Notre Père céleste, oh! lorsque je pense à ces glorieux jours inoubliables, pendant lesquels Tu as été miséricordieux et aimable envers les gens. Ils se rassemblaient par milliers et Tu les guérissais, si bien qu’on amenait de grands camions à bestiaux qu’on remplissait de fauteuils roulants, de civières et de petits lits de camp. Les gens marchaient dans les rues en chantant: Crois seulement.

            Sur l’autre rive du Jourdain, un de ces jours lorsque nous nous assoirons là, nous rencontrerons beaucoup d’entre eux, nous parlerons de ces glorieuses choses que Tu as accomplies ici sur terre. Et mon coeur retourne en arrière ce soir, pensant à cette soirée où cette jeune fille de couleur qui se tenait là avait recouvré la vue. Des années plus tard, je l’ai de nouveau rencontrée, elle était une serveuse, travaillant...

            Ô Dieu, combien je suis reconnaissant dans mon coeur que Tu sois le Seigneur Jésus ressuscité! Et ce soir, ce vieux monde que des secousses mettent en pièces est troublé de partout, le monde entier est nerveux, les bombes atomiques et les bombes à hydrogène sont suspendues au-dessus de nous. De dangereux ennemis, Seigneur, qui en ont vraiment, ils pourraient détruire cette nation tout entière en une seule nuit, le monde chancèle...

51        Oh! mais ô Dieu regarde là-bas là, Toi qui es mort là-bas au Calvaire, Tu nous as rachetés et nous as accordé Tes bénédictions. Et, ô Dieu, le feu de la bombe atomique ne peut pas être libéré ici maintenant. En deux minutes, nous serons dans Ta Présence, nous nous tiendrons là-bas, rendus semblables à Lui, en tant que Ses fils et Ses filles pour vivre avec Lui dans les âges sans fin. Rien ne peut nous nuire. Toutes choses concourent au bien de ceux qui T’aiment.

            Et, Père, beaucoup de Tes enfants malades sont ici ce soir. Je Te prie de les guérir tous. Et lorsqu’ils quitteront cette salle ce soir, qu’ils partent en se réjouissant et étant heureux, et qu’ils soient guéris de toutes leurs infirmités. Et qu’il n’y ait pas une seule personne faible parmi nous. Accorde-le, Seigneur.

            Que quelque chose de spécial se produise ce soir: Juste quelque chose là, qui fera que le Saint-Esprit descende sur les gens de telle manière qu’ils ne pourraient pas s’empêcher de recevoir cela, Seigneur. Accorde-le. Et qu’ils aient une profonde compréhension; ouvre leurs coeurs et leur entendement, Seigneur, pour qu’ils comprennent que ces choses sont seulement pour la gloire de Dieu et pour l’édification de l’Eglise de Dieu, que Jésus-Christ a acquise par Son propre Sang. Car nous le demandons en Son Nom. Amen.

52        Quelle série de cartes de prière avez-vous, B? Très bien. Je n’ai pas pu demander à Billy ce soir. Mais lui et frère Baxter se tenaient là pour me prendre lorsque nous sommes arrivés. J’étais en retard. Il a dit qu’il a distribué les cartes de prière de la série B.

            Très bien. N’alignons pas trop de gens à la fois. Ecoutez, si une seule personne dans cette salle... La Bible a été prêchée. C’est ce qui vient en tout premier lieu, juste ici. Cela doit être AINSI DIT LE SEIGNEUR. Et si Dieu l’a dit, cela règle la question.

            Souvenez-vous, la Parole de Dieu vaincra Satan n’importe où, n’importe quand. Dites simplement: «Il est écrit. Il est écrit.» Cela règle la question. Satan sera obligé de fuir. «Résistez au diable, et il fuira loin de vous.»

            Maintenant, voulez-vous que je vous dise la première chose avant que nous commencions le–pendant que nous sommes en train de former la ligne de prière? Voulez-vous que je vous dise ce que je pense être le problème de Chicago, le problème qu’ont les gens ici? Je vous dirai tout simplement ce que je pense. Je pense que vous êtes des gens charmants. Vous avez... Ceci c’est l’une des plus gentilles...

53        Lorsque j’ai commencé à prier pour les malades, il semblait y avoir un banc de foi qui se dressait juste là, au point que je ne sais pas prendre les gens, lorsque l’Ange du Seigneur... Je vois cela comme une Colonne de Feu, qui semble suspendue au-dessus de la personne. J’observe et je vois ce que Cela va faire. Et Cela s’ouvre. Alors, je vois de qui il s’agit. Alors, je baisse le regard et je vois ce qu’est leur problème, alors je vois qui est la personne. Voyez?

            Je ne peux pas le faire de moi-même. C’est exactement la personne qu’Il désigne. Ce n’est pas ce que moi je dis. Mais vous avez certainement une merveilleuse foi. Je peux sentir cela, et  je le crois. Mais voici ce dont vous avez peur, vous avez peur de libérer cette action. C’est ça. Vous avez peur de mettre votre foi en action. Voyez? Ne le faites pas. La foi sans les oeuvres est morte.

            Dites simplement: «Merci, Jésus. Cela règle la question. Je vais carrément de l’avant maintenant en croyant en Toi.» Voyez-vous? Et ensuite... Eh bien, ces signes...

            Je sais qu’on m’a accusé d’être un astronome, ou plutôt un diseur de bonne aventure, ou un démon, un... Oh! la la! il n’y a rien que l’on puisse trouver dans le dictionnaire dont je n’ai pas été traité.

            Très bien. Mais cela ne change rien. Ils ont appelé le Maître de la maison Béelzébul. Alors, je peux m’attendre à cela.

            Mais, mes amis chrétiens, je n’ai jamais professé être autre chose qu’un serviteur de Dieu. Je ne suis qu’un serviteur et rien que cela, un pécheur sauvé par grâce. C’est tout. Voyez?

54        Il n’y a rien au monde que je puisse faire pour vous aider, seulement par un... Maintenant, par la prédication je pourrais vous dire ce que dit la Parole. C’est ce que frère Baxter fait. Et puis, un... Par un don divin, si Dieu le permet, cela accomplira les oeuvres que Jésus faisait.

            Or, Jésus ne prétendait pas guérir les gens. Il a dit... Il faisait seulement ce que le Père Lui montrait. Mais Il saisissait les pensées des gens. Est-ce juste?

            Et si je vous disais que Jésus-Christ était un liseur des pensées, combien me croiront? Oh! très peu. Mais c’est ce qu’Il était. Oh! oh! Cela a rencontré une opposition, n’est-ce pas?

            Très bien. La Bible dit que Jésus (dans plusieurs passages) saisissait les pensées des gens. Combien disent que c’est vrai? Quelqu’un peut-il dire la différence qu’il y a entre saisir la pensée et lire la pensée? S’Il sait ce que vous pensez, que fait-Il? Ce n’est pas un de ces liseurs psychiques des pensées que le diable a par ici pour imiter, je parle de quelque chose qui est pour la gloire de Dieu. Oui, oui.

55        L’Urim Thummim, c’était quelque chose où les lumières brillaient sur un–sur un pectoral qu’Aaron portait, sur les douze pierres, ça brillait dessus comme l’Urim Thummim. Maintenant, le diable est allé se procurer une boule de cristal dans laquelle on regarde. Voyez? Le diable a un modèle de tout ce que Dieu possède. C’est ce que dit la Bible. Oui, oui.

            Alors, vous feriez attention, là! «C’est à leur fruit que vous les reconnaîtrez.» Le diable ne prêche pas l’Evangile et n’amène pas les gens à être guéris et sauvés, à accepter Jésus-Christ pour les baptiser et... Eh bien, certainement pas. Si c’est le cas, il est associé à Dieu.

            Jésus a dit: «Oh! eh bien, oh! si Satan chasse Satan, a-t-Il dit, alors son royaume est divisé.» Est-ce juste? «Personne ne peut faire un miracle en Mon Nom et parler en mal de Moi.»

            Lorsque les disciples ont dit: «Nous avons trouvé un homme qui chasse des démons, et il ne nous suit pas.»

            Il a dit... Jésus a dit: «Ne l’empêchez pas de faire  cela. Personne ne peut dire...et je... peut faire un miracle en Mon Nom et parler en mal de Moi.»

56        Maintenant, je sais qu’Il a dit: «Eh bien, en ce jour-là, a-t-Il dit, beaucoup viendront à Moi et diront: ‘Seigneur, Seigneur, je... n’ai-je pas chassé...’» Oui. Ils ont dit cela. Mais Jésus a dit: «Même si vous l’avez fait, Je n’en sais rien.» Ça, ce sont des imposteurs que vous trouvez (Voyez?) et qui ont simplement des prétentions.

            Jésus dit: «‘Seigneur, n’ai-je pas chassé des démons, et n’ai-je pas prophétisé en Ton Nom?’», des prédicateurs et tout.

            Il a dit: «Je ne vous ai même jamais connus.» Ils n’en savaient rien. Ils prétendaient simplement l’avoir fait. Mais cet homme qui chassait les démons faisait le travail. Il faisait vraiment le–le travail. Ainsi, Jésus l’a reconnu.

57        Ceux-ci ont simplement dit: «Oh! j’ai fait ceci, et j’ai fait cela.» Mais c’était faux. Ils–ils prétendaient tout simplement le faire. Jésus n’a pas reconnu cela. Mais au Nom de Jésus-Christ, voici la puissance.

            Très bien. Appelons à partir de... Prenons les vingt-cinq premiers. Qui a la carte de prière B-1? Carte de prière 1-B? Levez simplement la main où que vous soyez. Très bien. B–B-1? Très bien. B-2, B-3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13, 14 jusqu’à 25. Faisons ce... Je crois que c’est là que nous nous sommes arrêtés hier soir.

            Et–et puis, au fil de la réunion, nous allons essayer de plus en plus si nous pouvons ajouter d’autres personnes dans... Eh bien, c’est B. A-t-il dit la série B ou D? B. Etait-ce B? B, oui. Excusez-moi. B-1 jusqu’à B-25. (Que dis-tu? Eh bien, cela... Très bien. Tu–tu... Très bien. Merci.)

            Très bien. Maintenant, pendant qu’on les aligne... Maintenant, jetez un coup d’oeil et ensuite, Il me le fera savoir après un instant. Nous allons commencer la ligne de prière.

            Frère Boze, amenez la dame, s’il vous plaît. [Espace vider sur la bande–N.D.E.]

58        Bon, combien croient de tout leur coeur? Seigneur, je crois; viens au secours de mon incrédulité.

            Père miséricordieux, manifeste Ta Présence et Ta gloire ce soir dans cette salle, afin que les enfants des hommes partent d’ici en disant: «Vraiment, Dieu a ressuscité Son Fils des morts», et en montrant des miracles et des prodiges dans nos jours pour appeler une église des Gentils qui portât Son Nom. Nous demandons cette bénédiction au Nom de Jésus-Christ. Amen.

59        C’est très bien. J’aime cela. Combien croient qu’il y a la puissance dans la musique? Il y a des églises qui ne croient pas au fait d’avoir de la musique dans l’église. Eh bien, c’est en ordre. C’est... Je ne vais pas discuter avec vous là-dessus.

            Mais écoutez, mon cher ami, une fois, il y avait un–des prédicateurs ou plutôt des rois étaient sortis et avaient fait une alliance. Et ils s’étaient rendus au désert, et ils voulaient accomplir une grande oeuvre là-bas, tuer des gens, et ils–ils n’avaient pas cherché Dieu. Alors, peu après, ils sont allés chez Elie le prophète pour savoir ce qu’il en était. Et le prophète était tout fâché. Il s’est fâché.

            Elie était un homme de la même nature que nous. Est-ce juste? Il avait ses hauts et ses bas. Il n’était pas un être angélique. Il était un homme. Il était un gars à l’aspect rude, au corps poilu et aux cheveux hérissés comme une chenille, et sa–sa barbe pendait comme cela, et il était ceint d’un morceau de cuir. Si vous... s’il venait mendier à votre porte, vous le chasseriez probablement. Voyez?

            Mais sous cette peau brune battait un coeur qui était fidèle à Dieu. C’est juste. Et il l’a regardé. Il a dit: «Si je n’avais égard à la présence de Josaphat, (le croyant), je ne t’aurais même pas regardé.» Est-ce juste? Mais il a dit: «Néanmoins, amenez-moi un joueur de harpe.»

60        Et lorsque la musique a commencé à jouer, l’Esprit de Dieu est descendu sur le prophète. Si elle avait aidé à faire venir l’Esprit sur le prophète en ce temps-là, elle fera la même chose ce soir. Ne le pensez-vous pas? C’est juste.

            Très bien. Très bien. Maintenant, que le Seigneur vous bénisse maintenant. Et que chacun de vous soit respectueux. Restez tranquilles. Ayez la foi. Ne soyez pas troublés. Regardez simplement dans cette direction. Et quand Dieu fait quelque chose, croyez de tout votre coeur que Dieu va faire de même pour vous. Et si vous faites cela, alors Dieu vous bénira. Le croyez-vous?

            Très bien. Maintenant, ayez la foi. Maintenant, je pense que vous êtes la–la première dame dans la ligne de prière, eh bien, Dieu est... Croyez-vous de tout votre coeur que Jésus-Christ, le Fils de Dieu, est ressuscité des morts? Et vous croyez. Et vous croyez que ces choses que nous... Est-ce votre première soirée dans les réunions? Vous étiez ici hier soir. Avez-vous vu la manière dont le Saint-Esprit révélait les choses?

            Très bien. Maintenant, vous venez d’entrer tout à l’heure, et on vous a donné une carte de prière, et il se fait que votre numéro a été appelé, et vous voici ici à l’estrade. Est-ce juste? Oui, oui, c’est... Que Dieu vous bénisse. Je crois que vous avez la foi. Et je...

            Maintenant, si Jésus-Christ est dans cette salle, alors Il peut...S’Il se tenait ici portant cette veste que je porte, et qu’Il se tenait ici, Il–Il saurait ce qui ne va pas en vous. Mais maintenant, pour ce qui est de vous guérir, Il vous dira qu’Il l’a déjà fait lorsqu’Il est mort au calvaire. Il testerait votre foi. Est-ce juste? Il testerait votre foi pour voir si... «Crois-tu cela?» Il pourrait dire: «Crois-tu que Je suis mort pour toi au Calvaire pour te guérir?» ou pour ôter vos inquiétudes ou ce dont vous souffrez. Voyez-vous? Mais croirez-vous qu’Il–qu’Il vous dirait cela? Oui. Vous voyez? Et puis, si vous croyez ce qu’Il a dit, cela réglera la question, n’est-ce pas? Eh bien, voici les dernières Paroles.

61        Lisez-vous la Bible? Quelles étaient les–les dernières Paroles que Jésus à prononcées lorsqu’Il a quitté ce monde? Voici ce qu’Il a dit pendant qu’Il était enlevé: «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru: en Mon Nom, ils chasseront les démons; ils parleront de nouvelles langues; ils saisiront des serpents ou boiront des breuvages mortels, et cela ne leur fera point de mal. Et s’ils imposent les mains aux malades, les malades seront guéris.» Est-ce ce qu’Il a dit?

            La première commission qu’Il a donnée à Ses disciples, c’était de guérir les malades, de purifier les lépreux, de ressusciter les morts, de chasser les démons. «Vous avez reçu gratuitement, donnez gratuitement.» Matthieu 10. La dernière commission qu’Il a donnée à Ses disciples, c’était de guérir aussi les malades. Et Il s’intéressait à la guérison, n’est-ce pas?

            Or, après qu’Il a placé cela dans Sa Parole, et vous comme une chrétienne, toutes choses doivent concourir au bien, si vous êtes une chrétienne. Eh bien, et puis, si–si vous êtes malade, alors cela doit être pour une gloire. Cela doit être pour la gloire de Dieu. Cela ne peut être pour rien d’autre. Voyez?

62        Et maintenant, peut-être que c’est pour un témoignage, pour que vous puissiez témoigner à votre famille et leur relater les choses glorieuses que Jésus a accomplies. Vous... Est-ce là votre désir? Que Dieu bénisse votre coeur, mère.

            Vous–vous êtes très malade. On vous a examinée tout récemment par un médecin, et c’était dans votre dos. Oh! c’est un–c’est un–c’est un cancer. Et c’est–c’est sur la moelle épinière et le rectum. Est-ce– est-ce juste? Oui. Oh! la la! soeur... Oh! oui, c’est votre fils qui est assis là. Il est aussi malade. Il a des hémorragies dans le nez. Je l’ai vu essuyer le sang de son nez pendant qu’il se tenait dans la cour. Voulez-vous être guéris tous les deux? Veux-tu être guéri, fiston? Très bien, inclinons la tête.

            Seigneur Jésus, Ta Parole dit que s’ils imposent les mains aux malades, les malades seront guéris. Maintenant, je réprimande l’ennemi, le diable, ce démon qui est en train de tuer cette femme. Sors d’elle au Nom de Jésus-Christ! Et que le Saint-Esprit guérisse son petit garçon. Je le demande au Nom de Jésus-Christ. Amen.

            Maintenant, lorsque vous irez là-bas, imposez les mains à votre fils et dites: «Merci, Seigneur.» Très bien.

            Disons: «Gloire à Dieu!» [L’assemblée dit: «Gloire à Dieu!»–N.D.E.]

            Croyez-vous de tout votre coeur? Merci. Amen. Alléluia! Je crois qu’il n’aura plus jamais d’hémorragie...?...

63        Ceci est étrange pour vous, n’est-ce pas? Et ce qui vous indispose beaucoup, vous êtes dérangé par la nervosité malgré tout, c’est cela votre problème. Croyez-vous qu’Il va ôter cela de vous? C’est votre âge, et en ce moment, il n’y a probablement qu’un seul remède pour vous: c’est Christ. C’est une chose horrible. C’est la pire sensation que l’on puisse avoir. Il n’y a rien de comparable à ce sentiment de détresse. Voyez? Mais Jésus-Christ peut vous guérir.

            Et souvenez-vous, il n’existe pas de remède dans un livre de médecine pour cela. Pourquoi? C’est une oppression, une oppression démoniaque, c’est comme une ombre sombre qui est suspendue, cela vous met toujours dans cet état. Mais, Il vous guérira si vous pouvez croire. Croyez-vous? Allez-vous croire? Inclinons la tête.

64        Seigneur Jésus, je Te prie de guérir cette femme. Qu’elle parte d’ici ce soir et qu’elle soit guérie. Accorde-le, Dieu éternel, au Nom de Ton Fils Jésus. Amen. Que Dieu vous bénisse, madame. Maintenant, partez en remerciant Dieu, en étant heureuse, et Dieu accordera cela.

            Avez-vous la foi? Maintenant, souvenez-vous mes amis, c’est votre foi. Il n’y a rien qu’un homme puisse faire pour vous guérir. Un Homme vous a déjà guéri. Vous devez simplement croire ce qu’Il a fait pour vous. Voyez?

            Est-ce que vous croyez, madame? Très bien. Parlons alors juste un moment, vous et moi. Si vous êtes une croyante, je–je crois que c’est la vérité. Vous avez une merveilleuse atmosphère. Mais vous souffrez. Vous avez–vous avez eu... Votre maladie est assez grave pour vous comme... Vous avez consulté un médecin. Et je le vois faire quelque chose, écrire sur un... Oh! c’est un trouble cardiaque. Vous avez un trouble cardiaque, n’est-ce pas? Et il a mis quelque chose autour de votre bras; c’est la tension artérielle. Et c’est très grave, c’est environ trois cents. Est-ce juste? Je le vois secouer la tête et s’éloigner. Il pense que vous allez avoir une attaque à n’importe quel moment. C’est ce qu’il vous a dit. Voyez?

            Maintenant, qui était dans cette pièce-là, pour l’entendre dire cela et revenir et me permettre de voir cela juste ici devant moi maintenant? Jésus-Christ. Est-ce juste? Donc, Il s’intéresse à vous, n’est-ce pas? Croyez-vous que vous n’aurez jamais une attaque maintenant, allez-vous croire? Que Dieu la bénisse maintenant. Que sa foi soit confirmée au Nom de Jésus. Amen. Partez en croyant de tout votre coeur. Amen.

65        Disons: «Grâces soient rendues à Dieu!»  [L’assemblée dit: «Grâces soient rendues à Dieu!»–N.D.E.] Croyez de tout votre coeur, vous verrez la... Tout le monde ici devrait croire maintenant même. Tout le monde ici devrait accepter sa guérison juste en ce moment. Croyez de tout votre coeur.

            Bonsoir, madame. Oh! la la! j’aime que les garçons aient les cheveux coupés comme cela. Est-ce que tu aimes le Seigneur? Oui. Eh bien, je crois que tu es un bon garçon. Et maintenant–et n’importe quel garçon qui aime le Seigneur et qui aime son père et sa mère, je pense que c’est un bon garçon. Je pense qu’il ne peut pas être en erreur en faisant cela.

            Maintenant, si Jésus était ici ce soir, et que tu te tenais devant Lui comme tu te tiens devant frère Branham, eh bien, Jésus saurait ce qui te fait souffrir. Il viendrait et prendrait les petits enfants dans Ses bras, comme Il le faisait, Il leur imposerait les mains et les bénirait. Tu te rétablirais, n’est-ce pas? C’est juste. Tu–tu te rétablirais.

66        Mais, bien sûr, Jésus est parti, mais Il a renvoyé Ses dons dans l’Eglise. Est-ce juste? Tu es trop jeune pour avoir cela, fiston. Il a comme une toux asthmatique dans la gorge. Pas vrai? Une toux asthmatique. Quand tu te couches, tu es souvent obligé de te lever; c’est simplement la toux et cela te fait très mal. C’est une chose horrible. Que Dieu te bénisse, petit garçon. Tu as un esprit très tendre.

            C’est ta mère qui est assise juste là, n’est-ce pas? Croyez-vous aussi? C’est ta petite soeur qui est aussi assise juste là. Elle a la sinusite. Pas vrai, chérie? Votre mère a le rhume de foin. Pas vrai? Elle a aussi l’hydropisie. Que Dieu bénisse ce petit garçon qui a des larmes qui lui coulent sur les joues. Que la mère se tienne debout et que la petite fille se tienne debout. Pendant que l’Esprit de Dieu est ici dans la tendresse, impose la main à maman, soeur, et vous mère à la petite fille.

            Notre Père céleste, que Tes miséricordes viennent maintenant sur ces gens et qu’ils partent d’ici ce soir, et qu’ils soient tous guéris. Accorde-le, Seigneur. Je réprimande le démon qui le lie, qu’il sorte de lui au Nom de Jésus-Christ. Amen.

            Ecoute, petit garçon, quel est ton nom? Ton... Tu vois, ton asthme a disparu. Avec toute la poussière qu’il y a sur le plancher et tout comme ceci, tu tousserais à gorge déployée si jamais tu respirais cela. Tu es guéri maintenant. Que Dieu te bénisse. Va et que Dieu soit avec toi.

            Est-ce que vous croyez, monsieur, que si je demandais tout simplement à Dieu, Dieu vous guérirait. Au Nom de Jésus-Christ, que la puissance de guérison de Dieu touche votre corps et vous rétablisse. Amen. Maintenant, partez en croyant de tout votre coeur, en disant: «Merci, Seigneur Jésus.»

67        Très bien. Voulez-vous bien venir, monsieur? Qu’en pensez-vous? Excusez-moi. Excusez-moi. Croyez-vous de tout votre coeur? Voulez-vous rentrer chez vous et prendre votre souper? Très bien. Allez-y. Jésus-Christ va vous rétablir. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse. Maintenant, allez-vous Le servir? Toute votre vie? Très bien. Que Dieu vous bénisse. Très bien.

            Approchez, madame. Croyez-vous que Dieu guérira vos yeux et vous rétablira? Vous croyez? Allez-vous accepter votre guérison maintenant, qui vient de Jésus-Christ le Fils de Dieu? Seigneur Jésus, je Te prie de la guérir. Et qu’elle parte d’ici ce soir et recouvre la vue au Nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu. Amen. Que Dieu vous bénisse maintenant. Partez en croyant de tout votre coeur.

            Voulez-vous bien venir maintenant? Même si je ne vous disais pas un seul mot, croyez-vous que vous êtes dans Sa Présence maintenant? Pendant que vous êtes dans cette salle, vous êtes dans Sa Présence. Est-ce juste? Et acceptez-vous votre guérison? Alors, cette maladie de femme vous a quittée. Très bien. Maintenant, vous pouvez partir, que la paix de Dieu soit avec vous.

            Disons: «Gloire au Seigneur!» [L’assemblée dit: «Gloire au Seigneur!»–N.D.E.]

68        Est-ce que vous croyez, monsieur? [L’homme dit: «Oui, monsieur. Je suis un ministre, je suis menacé par un problème de l’oeil qui a sérieusement handicapé mon ministère.»–N.D.E.]

            Vous êtes un ministre et vous avez un problème de l’oeil? Et un problème de l’estomac? Alors, partez simplement, et prenez votre souper, et glorifiez Dieu, et prêchez l’Evangile. Amen.

            Disons: «Gloire au Seigneur!» [L’assemblée dit: «Gloire au Seigneur!» –N.D.E.] Amen. Oh! grâces soient rendues au Seigneur Jésus. Mon âme s’écrie et L’exalte, Lui qui est l’Auteur de ma vie et de votre vie. Il est l’Auteur de la Vie Eternelle, le Donateur de tout Don excellent, Il est doux et aimable pour ceux qui L’aiment. Ce n’est pas étonnant qu’Il soit si... Oh! j’aime répandre l’adoration de mon coeur sur Lui. C’est une joie ineffable et pleine de gloire que de Le servir. Je n’ai jamais eu le désir de rien d’autre, si ce n’est de servir notre Seigneur Jésus-Christ. Amen.

69        Voulez-vous guérir de ce mal de pied, frère? Le voulez-vous? Arrêtez alors de fumer la cigarette et servez le Seigneur, vous pourrez avoir cela. Allez-vous le faire? Très bien. Que Dieu vous bénisse. Alors partez, soyez guéri. Amen. Que les bénédictions de Dieu reposent sur vous tous. Alléluia!

            Quelque chose touche mon âme et m’agite quand je sais que Sa Présence est là. Oh! quelle sensation! Mes vêtements me vont parfaitement, tout, quand je sais qu’Il est tout près. Vous pourriez me traiter de fanatique, ce sera en ordre. S’il faut du fanatisme pour croire en Jésus-Christ, alors je suis un fanatique. Amen. J’aime mon Seigneur. Et je sais que Ses bénédictions sont avec nous. Et nous sommes le troupeau de Son pâturage. Allons dans les verts pâturages et mangeons selon le désir de notre coeur. Amen! Gloire au Seigneur!

            Voulez-vous approcher, madame? Je sais. Je–je vois ce qui ne va pas. Maintenant ayez simplement la foi et croyez là de tout votre coeur.

70        Bonsoir, madame. Oui, c’est à cette dame de couleur que je m’adresse. Ayez simplement la foi, là, frère. Jésus-Christ est présent maintenant pour vous guérir.

            Est-ce que vous croyez? De tout votre coeur? Ça vous a pris bien du temps pour arriver jusqu’ici, n’est-ce pas? Il y a un trafic intense sur la route, n’est-ce pas? Lorsque vous vous êtes retrouvée derrière ce bus, c’était épouvantable, n’est-ce pas? Vous êtes très nerveuse, n’est-ce pas? Vous êtes très colérique, ce qui provoque cette nervosité. Vous cherchez à vous en débarrasser. Vous avez également beaucoup de problèmes de ménage qui vous dérangent. N’est-ce pas vrai? Oui. Le retour de votre fils, votre fille, votre belle-fille est partie avec lui. Elle a un mauvais esprit. Elle est allée quelque part avec lui dans une contrée, où ils verront ces grands arbres, ces grands pins. C’est sur un... C’est près d’un lac ou d’un rivage, ou de quelque chose comme cela. Dites donc, je pourrais dire Washington ou quelque chose comme cela, près de l’Etat de Washington. Est-ce juste? [«Tacoma»] Tacoma. Je me disais que ça ressemblait au détroit de Puget. Je... Croyez-vous que vous serez guérie? Croyez-vous que ce garçon rentrera? Allez-vous accepter que Jésus-Christ a promis que toutes choses concourent au bien? Et que vous êtes prête à vous calmer et à vous soumettre à Sa volonté? Approchez. Prions ensemble.

            Seigneur Jésus, aie pitié de cette femme, et que Ton Esprit vienne sur elle, et qu’elle soit rétablie, Seigneur. Accorde-lui le désir de son coeur. Accorde ces douces bénédictions, ô notre Père céleste. Au Nom de Ton Fils, Jésus-Christ. Amen.

71        Maintenant, partez en croyant. Partez en vous réjouissant, étant heureuse. Maintenant écoutez, madame, si le Dieu Tout-Puissant peut dévoiler votre vie ici devant cette assistance, certainement qu’Il... S’Il connaît ce qui a été, Il sait ce qui sera. Est-ce juste? Maintenant, ne vous inquiétez pas. Les soucis n’ont aucune valeur du tout. Voyez? Quel bien les soucis vous feront-ils? Mais la foi vous fait du bien. Alors, ayez la foi. Que Dieu vous bénisse.

            Très bien. Approchez, madame. Est-ce que vous croyez? Voulez-vous guérir de cet asthme? Très bien, acceptez simplement Jésus-Christ maintenant comme votre Guérisseur. De tout votre coeur? Maintenant, ce que vous avez à l’esprit c’est: «Va-t-il m’imposer les mains?» Oui. Approchez. Très bien.

            Seigneur Jésus, Tu as dit: «Selon ta foi...» Je Te prie de la guérir maintenant au Nom de Jésus-Christ. Amen. Maintenant, partez en remerciant Dieu et soyez guéri de cela, et que cela ne vous tracasse plus.

72        Très bien. Ayez maintenant foi en Dieu. Croyez de tout votre coeur et vous recevrez toutes vos bénédictions. Amen.

            Eh bien, je ne lis pas la pensée des gens comme le pensent maintenant là-bas certains parmi vous. C’est faux. Tenez, je vais... Maintenant, voici un homme qui se tient ici. Je ne l’ai pas regardé. Posez votre main sur mon épaule, monsieur. Dieu peut-Il me révéler ce dont vous souffrez? Voulez-vous également guérir de cet asthme? Si vous ... C’est ce que vous voulez. Très bien. Je ne vous ai pas regardé en face. Alors, je ne pourrais pas être en train de lire votre pensée. Vous avez l’asthme. Vous êtes nerveux. Quittez l’estrade et soyez guéri, au Nom de Jésus-Christ. Voyez?

73        C’est la vision, mes amis, ce n’est pas de la lecture de la pensée. C’est la vision. Ayez la foi en Dieu. Croyez de tout votre coeur.

            Très bien. Approchez. Vous êtes tellement nerveuse, c’est un problème de l’oeil qui vous dérange, c’est l’astigmatisme. Voulez-vous que Dieu vous guérisse? Il l’a déjà fait. Le croyez-vous? Très bien. Ça règle le problème.

            Père, merci pour sa foi, et qu’elle parte d’ici et ne soit plus dérangée, au Nom de Jésus-Christ. Amen.

            Maintenant, partez en vous réjouissant, mère, remerciez Dieu et vous recevrez exactement ce que vous avez demandé.

            Merveilleux, merveilleux, Jésus est pour moi,
            Le Conseiller, le Prince de la Paix, Il est le Dieu Tout-Puissant:
            Il m’a sauvé, Il m’a gardé de tout péché et de la honte,
            Merveilleux est mon Rédempteur, gloire à Son Nom!

74        Est-ce que vous croyez? Croyez-vous que cette arthrite va vous quitter maintenant et que vous allez quitter l’estrade guéri? Quittez carrément l’estrade en boitillant, en tapant du pied. Ne–Ne cédez pas à cela. Allez-y, c’est juste. Amen.

            Croyez-vous en Lui maintenant de tout votre coeur? Très bien.

            Venez. Bonsoir. Est-ce que vous croyez? Je le crois, mère. Votre problème, c’est dans vos yeux, n’est-ce pas? La cataracte s’est formée sur vos yeux. Il y a quelque chose d’étrange en ce qui vous concerne. Croyez-vous que je suis serviteur de Dieu? Je le crois. Vous êtes–vous avez été une voyageuse, n’est-ce pas? Vous êtes une missionnaire, c’est ce que vous êtes. Vous avez parcouru bien des mers. Est-ce vrai? [«Oui, j’ai fait environ trois fois le tour du monde.»] Vous avez fait trois fois le tour du monde? [«...?... tous les champs missionnaires.»] Tous les champs missionnaires. Que Dieu soit avec vous. Je compatis avec vous. Et je vous admire.

75        Vous avez une certaine... Vous avez un lien de parenté avec une personne qui est une autorité dans une–une école, ou c’est votre gendre ou quelque chose de ce genre, c’est–c’est... C’est l’Université Asbury. C’est là qu’il est. Vous êtes méthodiste, n’est-ce pas? Vous venez de Wilmore, dans le Kentucky? Est-ce juste? Que Dieu vous bénisse.

            Ô Dieu, rends à cette femme la vue. Je prie pour que la cataracte meure et que cette femme soit guérie. Ô Dieu, bénis Ta vieille servante, qui a voyagé sur les mers. Et qu’elle soit guérie au Nom de Jésus-Christ. Je demande à ce démon des ténèbres de ne jamais aveugler ses yeux, afin qu’elle voie encore pour glorifier Jésus-Christ. Nous le demandons en Son Nom. Amen. Que Dieu vous bénisse, mère. Poursuivez votre chemin en vous réjouissant maintenant, et soyez guérie.

            Disons: «Gloire à Dieu!» [L’assemblée dit! «Gloire à Dieu!»–N.D.E.]

            Très bien. Approchez, madame. Alléluia! Qu’était-ce? C’était quoi son problème? Que–que–qu’est-il arrivé si quelque chose...?... [Quelqu’un s’adresse à frère Branham.–N.D.E.]  Oh... Oh! oh!

76        Bonsoir. Voulez-vous guérir de cette nervosité et rentrer chez vous et être bien portante, être entièrement rétablie? Croyez-vous que Dieu vous guérira de cette manière? Seigneur Jésus, que Tes mains de grâce et de puissance lui soient imposées. Qu’elle parte d’ici ce soir et qu’elle soit guérie, en forme et en bonne santé. Je prie pour que sa foi ne faillisse pas, au Nom de Jésus-Christ. Amen. Maintenant, partez en vous réjouissant maintenant et dites: «Merci, Seigneur Jésus.» C’est le...?... Amen!

            Très bien. Approchez, madame. Croyez-vous en Lui de tout votre coeur? Croyez-vous que Dieu va vous guérir? C’est de cette manière qu’il faut le croire.

77        Béni soit le Seigneur Jésus-Christ! Une vision est apparue juste ici. C’est quelqu’un qui est assis juste ici quelque part (je n’arrivais pas à bien voir le visage.), qui a un problème avec ses mains, c’est une sorte de–d’éruption sur les mains. C’est juste–juste ici quelque part. J’ai vu quelqu’un qui avait un... qui avait quelque chose sur les mains. C’est une éruption de sang. C’est de cela qu’il s’agit. Une maladie du sang ou quelque chose qui provoque un... Assis juste là. Oh! oui. Ce n’est pas étonnant que je... C’est... Que Dieu vous bénisse. Très bien.

            Maintenant, voulez-vous guérir de ce trouble cardiaque? Partez, en vous réjouissant et en disant: «Merci, Seigneur!» et soyez guéri. Amen!

            Disons: «Gloire au Seigneur!» [L’assemblée dit: «Gloire au Seigneur!»–N.D.E.]

78        Bon, bonsoir, monsieur. Croyez-vous que Dieu vous guérira? Croyez-vous que vous allez guérir de ce trouble cardiaque? Et vous êtes aussi anémique. Est-ce juste? Allez-vous croire que Dieu va vous guérir? J’ai entendu ce que votre médecin vous a dit. Partez et acceptez Jésus-Christ comme votre Guérisseur et vous obtiendrez cela. Que Dieu vous bénisse, mon frère, au Nom de Jésus.

            Disons: «Gloire à Dieu!» [L’assemblée dit: «Gloire à Dieu!»–N.D.E.] Alléluia! [L’assemblée dit: «Alléluia!»–N.D.E.] Ayez maintenant la foi. Soyez respectueux. Croyez de tout votre coeur.

            Amenez cet homme. C’est en quelque sorte un mauvais endroit là, n’est-ce pas? C’est la carpette qui est là. Oui, oui. Très bien. Nous sommes des inconnus l’un pour l’autre, monsieur. Nous le sommes. Je ne crois pas que nous nous soyons déjà rencontrés dans la vie. Mais Dieu nous connaît tous les deux, n’est-ce pas? Oui, oui. Il nous connaît. Bon, pour ce qui est de votre guérison, Jésus l’a acquise lorsqu’Il est mort au Calvaire. Je suis simplement Son serviteur, pour essayer de vous aider à avoir la foi. Vous comprenez cela, n’est-ce pas? Oui, monsieur.

79        Vous êtes gravement malade, monsieur. Vous avez été opéré. Vous avez été opéré pour un problème de la vésicule biliaire. Oui, monsieur. Maintenant, c’est... je regarde là les piqûres. Oh! la la! Tenez juste ici le côté de ce... Oui, oui. Lors de l’opération, on a trouvé autre chose, n’est-ce pas? [Un homme dit: «On a trouvé un cancer.»–N.D.E.] Oui, monsieur. Et c’était dans le–dans le système intestinal. Croyez-vous que Dieu vous guérira de cela? Vous croyez. Si je Lui demandais, allez-vous croire en Lui, alors il... cela devra arriver, n’est-ce pas?

            Maintenant, écoutez, monsieur, comprenez-vous que vous devez tout simplement... Le médecin vous a dit qu’il vous reste six mois à vivre. Est-ce juste? Savez-vous que d’ici quelques mois vous allez passer de l’autre côté, vous n’avez qu’un seul espoir, mon frère. [Un homme dit: «Cela m’importe peu si je ne peux pas guérir...?....»–N.D.E.] Certainement. [«Je suis prêt à partir.»] Mais que ferez-vous s’Il vous laissait vivre? Allez-vous témoigner de Lui et Le glorifier...?... Que Dieu vous bénisse. C’est de cette manière qu’il faut être. C’est de cette manière, Frère. Voyez-vous? Très bien.

            Maintenant, prions et demandons-Lui. Seigneur Jésus, le Fils de Dieu, alors que cet homme mourant se tient ici devant moi, confessant qu’il T’a accepté comme son Sauveur, Il croit en Toi, je Te prie, Père, de bénir cet homme et de le guérir. Et que les médecins soient surpris lorsqu’ils le consulteront de nouveau, en disant: «Que vous est-il arrivé, monsieur?» Alors, il Te rendra la louange et la gloire, car nous le demandons au Nom de Jésus-Christ. Amen. Que Dieu vous bénisse, mon frère. Que Dieu vous bénisse.

80        Dites, j’aimerais vous parler un instant loin du micro. C’est juste, voyez? Pouvez-vous arrêter cela? Abandonnez cela à Dieu. Que Dieu vous bénisse. Voyez-vous? Dieu a dû révéler cela. Que Dieu vous bénisse. Partez tout simplement en vous réjouissant.

            Disons: «Gloire à Dieu!» [L’assemblée dit: «Gloire à Dieu!»–N.D.E.] Amen! Béni soit le lien qui unit nos coeurs dans l’amour chrétien. Croyez-vous de tout votre coeur? Alléluia!

            Que le Seigneur vous bénisse, ma soeur. Croyez seulement. Ayez foi en Dieu. Vous avez le problème du dos qui vous fait mal là. Continuez simplement de vous accrocher à Dieu. Vous étiez en train de L’implorer et de prier, croyant que Dieu vous guérira, ayant la foi. N’est-ce pas juste? Très bien, monsieur. Il–Il vous a exaucé. Alors, ne vous inquiétez plus maintenant. Que la paix de Dieu soit sur vous.

            Vous qui êtes assis là avec ce problème de l’estomac, la deuxième personne là-derrière, si vous voulez aussi être guérie, croyez simplement en Dieu. Dieu vous guérira. La chose se tient juste au-dessus de vous maintenant, et il y a une table là où c’est... Je sais que vous refusez de prendre votre nourriture. Oui, mais... croyez-vous qu’Il vous guérit? Très bien, monsieur.

81        La dame assise là à côté de vous aussi? Oui, maintenant, croyez que Dieu vous guérira. Très bien. Dieu sera avec vous. C’est juste.

            Monsieur, vous êtes ici pour une cause très juste. Voulez-vous arrêter de fumer et partir, et que Dieu vous rétablisse et vous guérisse? Vous avez prévu de quitter cette ville ce soir, n’est-ce pas? Vous avez prévu de vous en aller. Dieu est ici pour vous guérir, et Il vous renvoie d’ici en vous réjouissant et étant heureux, si seulement vous croyez en Lui de tout votre coeur. L’acceptez-vous maintenant comme votre Libérateur?

            Dieu Tout-Puissant, que Ton Esprit vienne sur cet homme. Puisse-t-il partir d’ici et Te louer pour le reste de ses jours. Ô Dieu, accorde-le au Nom de Jésus-Christ. Amen. Maintenant, partez en vous réjouissant et en disant: «Merci, Seigneur.»

            Chaque personne qui est assise ici ce soir devrait être guérie maintenant même. Le crois-tu, jeune homme, assis là, dans le fauteuil roulant? Crois-tu cela? Croyez-vous cela, monsieur, assis là dans le fauteuil roulant? Tout le monde peut voir que vous tous... ce dont vous souffrez. Vous êtes infirme. Voyez-vous? C’est pour ces gens qui semblent bien portants que les choses sont mystérieuses.

82        Jeune dame, qu’en pensez-vous? Croyez-vous que Jésus-Christ vous guérira? Combien de malades y a-t-il ici, levez la main, dites: «Je crois que Christ me guérira maintenant  même.»

            J’aimerais vous citer un passage des Ecritures. J’aime faire cela. L’onction ne vous touche pas tellement en ce moment, parce que j’ai sauté quelques-uns là sans rien leur dire ou attendre une vision. Alors, je pouvais faire ceci à la fin de la ligne de prière.

            Il y avait une fois dans la Bible trois lépreux qui étaient assis à la porte, la ville de Samarie. La ville était assiégée par les Syriens. Et c’étaient des lépreux. Dans la ville, les gens tuaient les enfants les uns des autres, et ils mangeaient leurs enfants. Ils avaient mangé toutes les écorces des arbres et toute l’herbe du sol.

83        Et ces lépreux ont dit... Eh bien, les Syriens les avaient assiégés et les faisaient crever de faim. Alors, ils ont dit: «Pourquoi resterions-nous assis ici jusqu’à ce que nous mourrions? Eh bien, nous devons faire quelque chose. Maintenant, voyons, il n’y a que deux routes.» L’une d’elles conduisait à la ville.

            Il y avait trois choses qu’ils pouvaient faire. Ils pouvaient entrer dans la ville pendant que les portes étaient encore ouvertes, ou ils pouvaient rester là où ils étaient, ou bien ils pouvaient descendre au camp des Syriens. Eh bien, ils ont dit: «Si nous entrons dans la ville, il n’y a pas de nourriture là-bas, car les gens sont en train de manger les enfants les uns des autres. Alors, il n’y a pas de nourriture là-bas. Et si nous restons ici, nous allons certainement mourir. Alors, nous n’avons qu’un seul espoir; c’est-à-dire que nous allons descendre chez les Syriens. S’ils nous tuent, nous allons mourir de toute façon. Nous allons–nous allons mourir. Si donc nous descendons vers l’armée des Syriens, s’ils nous tuent, nous allons mourir de toute façon. Mais s’ils nous épargnent, alors nous vivrons.» Eh bien, ils n’avaient qu’une seule–une seule chance, c’était de descendre vers l’armée des Syriens.

84        Eh bien, quelle chance c’était: chez l’ennemi, et eux des lépreux! Vous n’êtes donc pas dans cette situation-là ce soir. Mais peut-être que vous êtes assis dans ces fauteuils, ayant le cancer, vous–vous êtes rongé par le cancer, la tuberculose, et ainsi de suite. Il n’y a rien sur terre que vous puissiez faire à ce sujet. Votre médecin a fait tout ce qu’il pouvait. La médecine, tout le monde a fait tout ce qu’il pouvait. Et si vous êtes assis là, vous allez forcément mourir dans cet état-là.

            Alors, faisons quelque chose à ce propos. Nous avons une chance ce soir. Et ce n’est pas de descendre dans le camp de l’ennemi, mais d’aller vers votre Bien-Aimé Père céleste qui a promis de vous guérir. Vous allez mourir de toute façon. Alors, allons et croyons Sa Parole.

85        Il pourrait vous sauver. Ce n’est pas qu’Il pourrait, Il va vous sauver. Il l’a fait. Il veut seulement que vous le croyiez et que vous appliquiez une petite foi. Pouvez-vous faire cela? Pouvez-vous croire ce soir pour toutes choses? Oh! mon frère, ma soeur, si vous pouvez seulement saisir ce qu’il y a là et dire: «Oui, Seigneur Jésus, je le crois.» Si vous le croyez assez profondément dans votre coeur, il n’y a pas assez de démons dans ce pays pour vous empêcher d’être guéri ce soir. Tout...

            «Les cieux et la terre passeront, mais la Parole de Dieu ne passera jamais.» Est-ce juste? Eh bien, Il a dit: «Tout ce que vous désirez...»

            Je suis obligé de surveiller l’assistance. Il y a des gens qui sont guéris juste pendant qu’ils sont assis juste ici maintenant. Après que je serai parti d’ici dans quelques semaines, vous continuerez à apprendre que les gens sont guéris, ils diront: «Eh bien, cela vient de me quitter. Cela vient de me quitter.» Cela se passe dans toute la salle maintenant même. Cela se passe chaque soir. Je le vois comme cela.

86        Si je me mets à regarder cela de près, alors, c’est tout simplement des visions qui se succèdent, l’une après l’autre. Et alors, je deviens si faible que je peux à peine continuer jusqu’à la fin de la réunion. Mais ce soir, vous et moi ce soir, levons-nous et disons: «Seigneur Jésus, je–je suis resté assis ici assez longtemps. Je viens à Toi ce soir, croyant de tout mon coeur que Tu vas faire cela pour moi maintenant même.» Allez-vous croire cela?

            Maintenant, je vous dis ce que vous–ce que je veux que vous fassiez. Je veux que vous incliniez la tête, partout. Maintenant, je vais prier pour vous. Et maintenant, croyez-vous la commission de l’Ange? Il a dit: «Si tu es sincère, et que tu amènes les gens à te croire, rien ne résistera à ta prière.»

87        Maintenant, écoutez mes amis, je pense au roi George d’Angleterre, lorsqu’il a été guéri de la sclérose en plaques, lorsque nous avons prié pour lui. Pensez à Florence Nightingale, sa grand-mère, c’est la fondatrice de la Croix-Rouge, elle pesait environ soixante livres [27 kg], elle était couchée là mourante d’un cancer gastroduodénal, elle était couchée là mourante. Une petite colombe a volé là dans le buisson et l’Esprit de Dieu est venu et a dit: «AINSI DIT LE SEIGNEUR, elle vivra.» Et elle pèse cent cinquante-cinq livres [70 kg] et est en parfaite santé.

            Pensez au sénateur Upshaw qui était cloué dans un fauteuil roulant et dans un lit pendant des années et des années, pendant soixante-six ans. Et juste en quelques instants, il s’est tenu debout, il a couru à travers la salle, il a touché ses orteils, il était parfaitement guéri et normal.

            Pensez tout simplement aux milliers et aux milliers de gens qui ont été guéris. Pourquoi devrions-nous rester assis ici jusqu’à ce que nous mourions? Faisons quelque chose à ce sujet.

88Maintenant, si Dieu peut respecter une prière... Je demande à chacun, ne priez pas pour vous-même, priez pour quelqu’un d’autre. Ne priez pas pour vous-même. Je vais prier pour vous. Vous, priez pour quelqu’un d’autre. Et ensuite, par une réprimande je vais ordonner au diable de quitter chaque personne ici. Je crois que tout celui qui croit en Jésus-Christ et qui L’accepte, Lui et Sa puissance de résurrection, sera guéri ce soir, juste ici. Vous pouvez accepter cela et rentrer chez vous et être guéri.

            Je veux que vous incliniez la tête. Seigneur Jésus, j’ai essayé de tout mon coeur, Seigneur, durant ces soirées passées pour expliquer, d’apporter aux gens l’amour de Dieu qu’Il avait pour eux lorsqu’Il a répandu Son Esprit dans leurs coeurs. Ce sont des gens aimables. Ils sont assis dans cette salle chaude en train d’écouter chaque soir.

            Mais, Seigneur, je comprends qu’il n’y a qu’une seule chose qui ne va pas: Satan ne cesse de les amener à se demander: «Eh bien, suis-je certain que c’est possible?» Je Te prie, Seigneur, de les bénir et de les guérir. Et que Ton Esprit soit sur chacun maintenant même. Et que l’ennemi lâche prise. Et que des femmes et des hommes, des garçons et des filles, ceux qui sont assis dans la salle maintenant, d’un commun accord, Seigneur, regardent à Toi pendant que nous prions les uns pour les autres.

89        Et je Te prie de briser l’emprise de Satan, ce grand esprit d’incrédulité. Ô Dieu, sachant que c’est lui qui cause l’opposition. C’est lui qui pousse les–les gens à faire défection. «Car tout est possible à ceux qui croient.» Et lorsque l’incrédulité existe, alors Dieu ne peut pas avoir la première place. Mais, ô Père, que le diable fuie ce soir. Accorde-le, Seigneur.

            Et maintenant, en tant que Ton serviteur, alors que je me tiens ici en représentant Tes souffrances, Ton sang versé et Ta mort à notre place au Calvaire, alors qu’Il était blessé pour nos péchés, et brisé pour notre iniquité, le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur Lui, par Ses meurtrissures nous avons été guéris...

90        Seigneur Dieu, je crois cela, et je me tiens devant Ton peuple comme Ton représentant (Alléluia!), comme Ton ambassadeur. Et je dis à Satan ce soir: «Tu n’as plus le droit de retenir ces gens.» Ils croient. Dieu guérit leurs coeurs qui se soudent à Son Esprit. Et maintenant, je te réprimande, Satan, toi le démon qui fait souffrir ces gens. Sors d’eux au Nom de Jésus-Christ!

            Croyez-vous que vous êtes guéri? Si vous croyez, tenez-vous debout et louez Dieu et glorifiez-Le. Tenez-vous debout si vous croyez que vous êtes guéri. Tapez les mains. Dites: «Merci, Seigneur Jésus.» «Merci, Seigneur Jésus.» Très bien. Frère Boze. Que Dieu vous bénisse.

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