La Voie À Laquelle Dieu A Pourvue

Date: 53-1201 | La durée est de: 1 heure et 26 minutes | La traduction: Shp
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1          Notre Père céleste, nous venons à Toi ce soir avec cette manière habituelle de chanter des cantiques, de croire la Parole, et puis de prêcher, sachant qu’il faut que le reste du service soit maintenant sous la conduite de Ton assistance, sinon ce sera un échec total. Et nous croyons que Tu es ici, que Tu connais toutes choses et que Tu fais tout concourir au bien de ceux qui T’aiment.

2          Maintenant, je tiens ici dans ma main quelques lettres et quelques mouchoirs, qui iront vers les malades et les affligés. Or, on nous a enseignés dans la Bible que lorsqu’Israël a été coincé, après avoir quitté l’Egypte, la mer Rouge était devant eux, avec le désert, et l’armée de Pharaon les poursuivait, un écrivain a écrit à cet effet: «Dieu baissa le regard à travers cette Colonne de Feu et s’irrita contre la mer, parce qu’elle bloquait le chemin sur lequel Ses enfants marchaient à destination de la Terre promise. Et la mer, effrayée, recula et ouvrit un sentier sec pour qu’Israël traversât.» Maintenant, Tu es toujours le même Dieu.

            Et maintenant, je tiens ces mouchoirs, et peut-être qu’il y a un pauvre vieux papa assis ici quelque part, tout près des Everglades, une vieille mère aveugle tenant un bâton dans la main avec lequel elle cherche son chemin à tâtons, ou un petit enfant fiévreux couché quelque part, une mère qui attend désespérément le retour du mouchoir. Tu as frayé une voie pour échapper, et je prie que lorsque ces petits symboles que nous tirons de la Bible, où les gens prenaient des mouchoirs qui avaient touché le corps de saint Paul... Nous comprenons que nous ne sommes pas saint Paul, mais nous savons que Tu es toujours Jésus. Et nous prions, ô Dieu, que lorsque ces petits symboles seront posés sur leurs corps malades en commémoration de cette prière de la foi que nous offrons, que Dieu baisse de nouveau le regard à travers ces mêmes yeux, et que l’ennemi qui les a liés prenne peur et recule. Et qu’ils traversent pour entrer dans le pays de la promesse de la bonne santé. Accorde-le, Seigneur. Que pas un seul d’entre eux ne manque d’être guéri.

            Et accorde la même chose ici ce soir ; que le Saint-Esprit prenne le contrôle de cette réunion et qu’Il entre dans la réunion, qu’Il entre dans les gens, et qu’Il se fraie un chemin jusque dans les coeurs des gens, et que de grandes choses s’accomplissent ce soir à cause de Sa Présence, car nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.

3          Les gens... En priant pour les malades, en envoyant des mouchoirs, la plupart des témoignages que je reçois proviennent des mouchoirs. Il y a eu beaucoup de choses que le Seigneur a accomplies, parce qu’ils peuvent atteindre plus de gens. Nous envoyons par la poste depuis Jeffersonville peut-être mille mouchoirs par jour. Et ainsi, nous les envoyons. C’est pour toutes les fois que vous en avez besoin, eh bien, si vous n’en avez pas besoin dans l’immédiat, mettez cela dans votre Bible, mettez cela sur Actes 19. Et j’aurais donc souhaité que le temps le permette, pour mentionner les nombreuses choses qui sont arrivées.

            Une fois que vous recevez cela, mettez cela sur Actes 19, dans votre Bible. Si vous n’utilisez pas cela dans l’immédiat, laissez cela là. Lorsqu’il y aura une urgence, eh bien, prenez simplement le mouchoir et placez-le sur l’enfant qui a le croup ou quoi que ce soit. Observez ce qui se produit. C’est simplement merveilleux ce que notre Seigneur a fait.

4          Le seul problème, c’est–c’est simplement un petit point de contact qui... Eh bien, lorsque j’envoie ces mouchoirs, c’est avec une lettre circulaire. Je demande à tout le monde de prier au même moment à–à neuf heures le matin, à midi, à quinze heures. Et c’est dans le monde entier. Et les gens se lèvent à minuit, dans les vieilles campagnes pour tenir cette chaîne de prière au même moment. Littéralement des dizaines de milliers de milliers et de milliers de gens prient au même moment. Dieu est obligé d’exaucer ; vous–vous prenez d’assaut le Ciel avec vos prières (Voyez-vous?), alors Il doit exaucer.

            Pensez tout simplement aux nombreuses personnes fidèles qui sont là. Et elles prient les unes pour les autres, chacune d’elles prie. On les pose sur les gens et on prie. J’ai reçu beaucoup de glorieux témoignages au sujet des choses que notre Seigneur a accomplies.

5          Eh bien, je suis simplement épuisé comme jamais pour pouvoir tenir debout. Ça fait plusieurs semaines pour moi, et il y a eu beaucoup de visions. Et le Seigneur m’a donc aidé, ce dont je suis très, très reconnaissant, pour Sa bonté ; bien sûr, nous le sommes. Et nous croyons tout simplement que–qu’Il sera avec nous ce soir, et qu’Il nous aidera ce soir.

            Et maintenant, je vais parler pendant quelques instants sur un texte, si on peut appeler cela un texte. Je ne suis pas très doué pour ce qui est de prendre un texte, car je ne reste guère dans le sujet. Et je... Je me disais que je lirai peut-être quelque chose. Je me disais: «Maintenant, lorsque j’irai à l’église ce soir, je vais parler de ceci.» Eh bien, j’ai fait ça toute ma vie. Et aussi sûr que je me dis que je vais faire ceci, dès que je suis seul, le Seigneur me dit de faire autre chose. Et je n’essaie jamais d’annoncer ce dont on va parler, je vais simplement de l’avant et je fais ce que le Seigneur me dit de faire, c’est tout. Et je dois tout simplement, eh bien, le donner aux gens tel qu’Il me le donne. Et parfois c’est, oh! c’est un peu rude, mais cela vous fera du bien. Cela–cela m’a sauvé et cela m’a gardé heureux durant toutes ces vingt-trois années maintenant, où j’ai été très heureux en Jésus-Christ, prêchant l’Evangile. Et je suis... La seule chose que je regrette dans ma vie, c’est de n’avoir pas connu Jésus et le pardon de mes péchés lorsque je n’étais qu’un tout petit garçon.

6          Et je vous assure, vous les parents, je–présentez à vos enfants le bon genre de foyer. C’est la chose à faire. En effet, si j’avais été élevé dans un foyer chrétien, peut-être que je serais plus loin avec notre Seigneur Jésus ce soir, et peut-être que plus de gens auraient été sauvés. Mais ma famille n’était pas une famille portée sur la religion. Et Dieu a dû tout simplement, par Sa grâce étonnante, me sauver. Et alors, depuis lors, j’en ai conduit plusieurs au Seigneur. J’ai baptisé ma mère ; mon père a donné son coeur à Christ, il est mort dans mes bras. Mon grand-père, je l’ai baptisé à environ quatre-vingt-dix ans dans–dans la rivière. Certains de mes frères et ainsi de suite... Et–et mon petit, mon fils qui est ici, et puis ma fillette avait sept ans. Mon autre enfant est trop jeune pour être baptisée, elle n’a que deux ans. Je crois donc que si elle vit, eh bien, lorsqu’elle sera assez âgée pour être baptisée, je vais...?... et elle a donc déjà été confiée au Seigneur, ou plutôt nous appelons cela une consécration. Nous consacrons donc tout simplement les bébés au Seigneur. Nous essayons de suivre les Ecritures aussi près que possible.

            Nous n’avons jamais vu là où Christ, ou plutôt il n’y a aucun passage dans la Bible où on a baptisé des bébés. On les a tout simplement amenés au Seigneur, c’est la seule Ecriture que je puisse trouver. Il les a pris dans Ses bras et les a bénis, Il a dit: «Laissez venir à Moi les petits enfants.» Si vous désirez les asperger, les baptiser, c’est OK.

            Et c’est comme le fait de prendre ces mouchoirs, beaucoup oignent d’huile ces mouchoirs. C’est bien. C’est très bien. C’est–c’est en ordre de les oindre d’huile. Aussi longtemps que Dieu bénit cela, c’est en ordre. Voyez-vous? Mais alors, voulez-vous bien réfléchir à ceci et me supporter pendant quelques minutes? Paul ne les a pas oints d’huile ; on prenait des mouchoirs qui avaient touché son corps. Est-ce juste? On prenait des mouchoirs qui avaient touché le corps de Paul.

7          Or, Paul savait que ce qu’il touchait était béni s’il pouvait amener les gens... Savez-vous où je pense que Paul a tiré cette Ecriture? Souvenez-vous, lorsque la femme sunamite, quand son enfant était mort, elle est allée chez Elie pour essayer de trouver la raison pour laquelle l’enfant était mort... Et Elie avait un bâton dans la main ; il a dit à son serviteur Guéhazi (je crois que c’est ça son nom), il a dit: «Prends ce bâton et va ; si quelqu’un te parle, ne lui répond pas, va simplement le poser sur l’enfant.»

            Eh bien, Elie savait que ce qu’il touchait était béni, que Dieu était en lui ; et que s’il parvenait à amener la femme sunamite à croire cela... Mais elle ne croyait pas dans cela. Elle savait que Dieu était dans Son prophète, mais pas dans le bâton, c’est ainsi que le bâton n’a pas produit d’effet. Le bâton aurait produit le même effet si la femme y avait cru. Ne le pensez-vous pas? Certainement. Et ainsi...

8          Mais lorsqu’Elie est venu, la seule chose qu’il a faite, c’était simplement de se coucher sur l’enfant, et Dieu a ramené celui-ci à la vie. Est-ce juste? Dieu était dans Son serviteur, et Il avait... C’est cela que la femme croyait, et c’est exactement ce qui a dû arriver.

            Je vois les gens, lorsqu’ils viennent à l’estrade quand j’appelle la ligne de prière. Je commence à les faire passer, et bien vite, eh bien, je–je peux voir que les gens ne veulent pas de cela ; les gens veulent que l’on prie pour eux, qu’on leur impose les mains, ou quelque chose comme cela. C’est... Et cela–cela ne marchera pas à moins qu’ils–cela se produise, c’est simplement la manière dont ils–ils s’attendent à cela.

9          Une femme, une personne dans la Bible... Jaïrus a dit: «Viens imposer les mains à ma fille.» Eh bien, c’était la main de Jésus.

            Mais un Romain a dit: «Je ne suis pas digne que Tu viennes sous mon toit, dis simplement un Mot.» Voyez? Cela dépend tout simplement de la manière dont vous croyez, c’est ce qui arrivera.

            Maintenant, si je pourrais appeler ceci un petit texte à partir duquel vous parler ce soir, j’aimerais parler sur: La voie à laquelle Dieu a pourvu. Maintenant, la lecture de ce texte porte sur Elie, ce grand prophète de Dieu. Et puis, la manière dont nous devons nous y prendre pour appeler les malades, et... Lorsque les malades... Ou plutôt nous allons appeler les anciens, et oindre les malades d’huile et prier pour eux.

            La prière de la foi sauvera le malade. Et il est dit: «La prière fervente du juste a une grande efficace.»

10        Maintenant, un juste ce n’est pas un homme qui n’a pas péché. Car remarquez qu’Il a dit: «Elie était un homme de la même nature que nous.» Il avait ses hauts et ses bas, et ses divergences. Et les Ecritures qui parlent de sa vie prouvent qu’il avait ses hauts et ses bas comme nous. Il avait des moments où il se posait des questions et des moments où il perdait le contrôle de son tempérament, et il avait bien des choses qui ne marchaient pas correctement. Pourtant il était un juste, parce qu’il confessait qu’il n’était pas digne et il croyait en Dieu. C’est donc ce qui faisait de lui un juste.

            Nous ne sommes pas justes en nous-mêmes ; nous sommes justes par Jésus-Christ. Je ne peux pas être sanctifié en moi-même ; je suis sanctifié par Jésus-Christ qui se tient dans le–dans la Présence de Dieu à ma place. Il n’est pas question de ma sainteté ; Il est question de Sa sainteté. Ma sainteté ne marchera pas du tout, mais la Sienne si. Parce que Dieu L’a déjà accepté Lui. Et en L’acceptant Il a dû m’accepter, parce que je suis en Lui. Amen. C’est ce qui rend la chose réelle. N’est-ce pas? Alors, nous ne devons pas compter sur nous-mêmes.

            Eh bien, cela ne nous fait pas dire que nous pouvons pécher. Frère, si vous péchez, vous êtes tout simplement–vous vous êtes tout simplement éloigné de Dieu. C’est tout. Il n’y a qu’une seule chose à faire, c’est de confesser cela et de vous mettre en ordre avec Dieu. Aussi longtemps que vous désirez pécher, et que le désir du péché est toujours dans votre coeur, alors c’est le moment de rester à l’autel jusqu’à ce que cette chose-là soit ôtée.

            Eh bien, vous commettrez des péchés. Vous commettrez forcément des péchés parce que vous n’y pouvez rien, mais pas volontairement. «Celui qui pèche volontairement après avoir reçu la connaissance de la vérité (Voyez?), il ne reste plus de sacrifice pour le péché.» Mais chaque jour, vous commettez forcément des péchés.

11        Et forcément vous rétrogradez constamment, c’est pourquoi il faut prier Dieu sans cesse. Paul a dit: «Je meurs chaque jour.» Et si Paul a dû mourir chaque jour, à combien plus forte raison devrais-je–devrais-je rester là mort tout le temps, si–si Paul a dû mourir chaque jour pour rester en ordre avec Dieu. Et, nous devons donc tous faire cela, mourir tout simplement à nous-mêmes. Et c’est cela, suivre la voie de Dieu.

            Or, pour chaque chose il n’y a que deux voies: c’est la bonne voie et la mauvaise voie. Et ces voies, ce sont vos voies et la voie de Dieu. Et vous ne pouvez pas être à la fois dans votre voie et dans la voie de Dieu. Vous devez renoncer à votre propre voie pour entrer dans la voie de Dieu. Et vous devez sortir de votre propre voie pour entrer dans la voie de Dieu. Car aussi longtemps que vous êtes dans votre propre voie, vous êtes en dehors de Sa voie. Alors abandonnez votre voie, abandonnez vos pensées, abandonnez tout, et comptez sur une seule chose, sur l’AINSI DIT LE SEIGNEUR. C’est tout. Alors, vous êtes sûr d’être dans le bon.

12        Même si vous ne voyez pas cela, aucun des sens ne déclarera que c’est juste, chacun d’eux déclarera que c’est faux ; mais vous savez que c’est juste parce que Dieu l’a dit. C’est ce qui fait que c’est juste. Alors, c’est... La voie à laquelle Il a pourvu, c’est Sa Parole ; c’est Sa Parole. La voie à laquelle Dieu a pourvu pour que l’homme vive ce n’est pas par le moyen de vos sens ; c’est par Sa Parole.

            Or, pour commencer, Dieu a créé l’homme à Son image, il était à l’image de Dieu. Et Dieu est un Etre surnaturel ; il était un homme surnaturel. Et ensuite, Il l’a placé dans les cinq sens, et aucun de ces cinq sens ne révèle sa demeure céleste. Ces cinq sens révèlent sa demeure terrestre. Dieu lui donne cinq sens pour entrer en contact avec sa demeure terrestre, pas pour entrer en contact avec Dieu.

            Ses sens, ces–ces cinq sens contrôlent le corps humain, et deux sens contrôlent l’homme intérieur. C’est la foi et l’incrédulité. Et vous possédez l’un ou l’autre de ces sens ce soir.

13        Eh bien, au jardin d’Eden il y avait deux arbres. L’un d’eux, c’était l’arbre de la connaissance ; l’autre, c’était l’Arbre de la Vie. Et l’homme ne peut jamais connaître Dieu par la connaissance. Alors peu importe combien vous êtes bien instruit, combien votre pasteur est intelligent, le nombre de diplômes qu’il possède, vous n’arriverez... On ne connaît pas Dieu par l’instruction, on ne Le connaît pas non plus par la recherche scientifique ; la seule manière de connaître Dieu, c’est par la foi. Que vous ne sachiez pas distinguer des pois cassés de grains de café, si vous acceptez absolument Dieu par la foi et... Cela doit être un acte de foi.

            Et aussi longtemps que l’homme mangeait de cet Arbre de la Vie, il avait la Vie Eternelle. Mais lorsqu’il a abandonné cet Arbre de la Vie et qu’il est allé vers l’arbre de la connaissance, à la première bouchée qu’il a prise, il a brisé sa communion avec Dieu, et chaque fois qu’il prend une bouchée de cet arbre de la connaissance, il se détruit.

14        Il y a quelque temps, lorsque les gens ont organisé une grande grève et qu’ils étaient... Je longeais la voie ferrée, et j’ai vu un chargement de charbon qui remontait la voie ferrée, et j’ai dit: «Eh bien, gloire au Seigneur, la grève est finie. Je pense que les mineurs ont repris le travail.» Je me suis dit: «Devrais-je louer Dieu pour cela? Eh bien, je me suis dit ; il y avait une interruption de fourniture d’électricité et tout.»

            Mais ne l’oubliez surtout pas, mes amis, que chaque bouchée de la connaissance... Eh bien, tout d’abord, l’homme a pris une bouchée de cet arbre par ici, l’arbre de–de la connaissance, et chaque fois qu’il prend une bouchée de cet arbre, il s’éloigne davantage de Dieu. Et lorsque vous pensez que vous pouvez obtenir toute votre instruction... J’ai vu des hommes venir me voir, ils possédaient toutes sortes de diplômes et tout le reste, et qui disaient: «Frère Branham, j’aimerais être sauvé.» C’est vrai. Des hommes qui ont des doctorats en théologie, des doctorats en Droit. C’est juste. Qu’est-ce que cela signifie? Rien. Cela signifie tout simplement que vous avez beaucoup ici en haut, mais qu’en est-il d’ici en bas? Voyez? C’est là où...

15        On ne connaît pas Dieu en connaissant la généalogie, mais c’est par la genoulogie, c’est là que l’on connaît Dieu. On ne trouve pas Dieu en étudiant des livres ; on trouve Dieu à genoux.

            Et la première fois... Maintenant suivez, il s’en est offert une bouchée: la poudre à canon. Qu’en a-t-il fait? C’était la connaissance, l’arbre de la connaissance ; il tue son camarade. La prochaine bouchée qu’il a prise, c’était l’automobile. L’automobile tue plus de gens que toutes les guerres réunies. La connaissance... toujours... Il s’est maintenant fabriqué une bombe à hydrogène, je me demande ce qu’il va en faire. Voyez? Il se détruit constamment en mangeant de l’arbre de la connaissance. Oubliez donc la connaissance et toute votre connaissance prétentieuse, et souvenez-vous tout simplement que c’est AINSI DIT LE SEIGNEUR, et c’est ce que Dieu désire que vous croyiez, c’est-à-dire Sa Parole. C’est juste. C’est la voie à laquelle Dieu a pourvu pour l’homme, et cela l’a toujours été.

16        Et tout homme qui a déjà pris Dieu au mot, et tout homme qui a été quelqu’un dans le monde, c’étaient des hommes qui avaient pris Dieu au mot. C’est juste. Faites juste un recul dans le passé et considérez Georges Washington, Abraham Lincoln et tous ceux que vous voulez, ces grands Américains, tout au long de l’histoire de–de grands hommes, vous verrez que c’étaient des hommes qui se confiaient en Dieu. Et–et c’est la voie de Dieu pour cela.

            Maintenant, lorsque l’homme... Eh bien, Dieu prenait soin de l’homme ici, mais lorsque celui-ci a commencé à se débrouiller, il s’est rendu compte que c’était une tâche difficile. Alors, il s’est rendu compte qu’il ne pouvait pas se tenir dans la Présence de Dieu sans avoir une couverture, et Dieu lui a fourni une couverture. Et Il a confectionné quelques peaux dont Il l’a couvert, alors il était couvert en sorte qu’il puisse rencontrer Dieu. C’était la voie à laquelle Dieu avait pourvu.

17        Maintenant, l’homme essaie de se frayer une voie par la connaissance. Il a dit: «Maintenant regarde, je suis nu.» Alors il s’est cousu quelques feuilles de figuier et il s’est confectionné des ceintures. Mais les gens se sont rendus compte que cela ne marchait pas. Alors ils ont dû adopter, non pas leur voie à eux, mais la voie de Dieu.

            Et aujourd’hui, les hommes essaient de se frayer une voie. Ils disent: «Eh bien, maintenant je fréquente l’église. Et–et je fais ceci, et je suis un homme de bien.» Eh bien, il n’y a rien de mal là-dedans, mais toujours est-il que ce n’est pas la voie de Dieu pour vous. La voie de Dieu, Il a dû tuer quelque chose pour vous, c’était Son Fils, Jésus-Christ. Et, oh... Et le Sang a, était, est, et sera toujours la voie à laquelle Dieu a pourvu pour échapper, pour toute personne pécheresse, ou pour n’importe quel besoin. C’est par le Sang. C’est la seule voie au monde pour que vous... Dieu a pourvu à une voie, c’est le Sang de Jésus-Christ.

18        Il n’y a pas longtemps, une de ces grandes fameuses églises, beaucoup de leurs membres sont assis ici ce soir... J’ai lu un article tiré d’un journal qui disait qu’ils voulaient même retirer le sang de leurs recueils de cantiques. Ils voulaient retirer le Sang, les cantiques parlant du Sang du recueil de cantiques. Ils ont dit: «Nous n’avons pas une religion abattoir ; nous voulons quelque chose de beau et de pieux.»

            Eh bien, cela vous met à égalité avec le bouddhisme, ou l’une de ces autres religions. Ecoutez, si vous en retirez le Sang, vous n’avez plus de salut. C’est tout. Parce que seul le Sang ne v-... Ou plutôt le salut ne vient que par la Vie, et la Vie est dans le Sang. Et le Sang a été offert, et ce n’est que par l’effusion de Sang qu’il y a la rémission des péchés. J’aime la vieille religion à l’ancienne mode, qui est aspergée du Sang ; ça c’est moi. Parce que Dieu a regardé là-dessus, et Il a accepté cela. Et ce Sang a été répandu pour nous, et nous devons accepter cela.

19        Et alors, le seul fait d’accepter cela ne suffit pas, Dieu doit confirmer qu’Il vous a accepté. Voilà le problème. Vous pouvez L’accepter, mais alors à condition que Lui vous accepte. Tenez-vous-en à cela jusqu’à ce qu’Il vous accepte. Et alors lorsqu’Il vous accepte, Il vous scelle dans Son Royaume par le baptême du Saint-Esprit. Alors vous avez la sécurité, vous êtes en sécurité jusqu’au jour de la rédemption. C’est juste.

            «N’attristez pas le Saint-Esprit de Dieu par lequel vous avez été scellé (Jusqu’au prochain réveil? Non, non, non.) jusqu’au jour de votre rédemption.» Est-ce juste? Il n’y a pas de hauts et de bas, d’entrées et de sorties ; vous entrez réellement en Dieu. Si vous êtes réellement en Lui, pas si vous imitez quelque chose, mais si vous êtes réellement en Christ, vous n’avez qu’un seul choix, vous avez livré tout votre coeur ; vous avez brûlé tous les ponts derrière vous ; et vous avez placé vos affections dans les choses d’En haut ; et vous courez avec patience dans la carrière qui est ouverte devant vous. Amen.

20        Remarquez, Dieu fraie une voie. Il fraie une–une voie à laquelle Il a pourvu. Il a appelé une brebis. Je me suis toujours demandé pourquoi Il nous compare à des brebis dans la Bible. Je ne sais pas s’il y a des éleveurs de brebis ici ou pas, mais j’ai élevé quelques brebis ; elles étaient élevées en partie dans les troupeaux de bestiaux et tout, pratiquement la majeure partie de ma vie. C’était là dans les ranches, eh bien, c’est depuis que j’étais un garçon.

            Mais si vous n’avez jamais vu quelque chose d’impuissant, c’est bien une brebis perdue. Lorsqu’une brebis se perd, elle ne peut tout simplement pas retrouver son chemin, c’est tout. Elle restera là même et elle bêlera jusqu’à ce que les coyotes ou un autre animal l’attrape ; elle est tout simplement–elle est simplement perdue. Elle est impuissante.

            Et c’est pareil avec l’homme. Lorsque vous vous perdez, frère, peu importe le nombre de réformes que vous essayerez de faire, vous êtes absolument impuissant à moins que le Berger vienne vous chercher. C’est... Vous ne pouvez pas vous sauver. Il n’y a aucun moyen du tout qui... Un léopard peut lécher ses taches du mieux qu’il peut ; vous pouvez le frotter avec du carbonate de soude, tout ce que vous voulez, cela ne fera qu’aviver les taches. Il nous est donc impossible de nous réformer, ou de mettre ceci de côté, ou de tourner une nouvelle page ; nous n’avons qu’une seule chose à faire, c’est d’accepter ce que la Parole a dit de faire, de naître de nouveau, ou d’être perdu. C’est vrai, maintenant. Dieu, Jésus-Christ a dit: «Si un homme ne naît d’eau et d’Esprit, il ne peut entrer dans le Royaume.» Qu’il soit petit, grand, ignorant, qui qu’il soit, il doit satisfaire à ces exigences. C’est ce qu’a dit Jésus.

            Et savez-vous ce que c’est qu’une naissance? C’est une régénération, une nouvelle création. L’homme devient une nouvelle création en Christ, en acceptant Sa Parole.

21        Maintenant, nous pouvons penser au temps... Et–et toujours, l’homme qui emprunte la voie à laquelle Dieu a pourvu est toujours un homme qui est méprisé et pris pour un fanatique. C’est toujours ainsi, tout au travers des âges, le monde l’a toujours pris pour un fanatique. Jamais, jamais, à aucun moment, la religion et le salut de Dieu sur cette terre n’ont été populaires parmi les gens du monde. Il a dit: «Si vous aimez...» Le monde connaît les siens. C’est juste. «Si vous aimez le monde, les choses du monde, l’amour de Dieu n’est même pas en vous.» C’est pourquoi cela a toujours été une dure bataille que de marcher par la foi. Mais le... Ce n’est pas dur pour l’homme en question. C’est le monde qui le méprise, qui dit: «Eh bien, ces gens doivent être fous ; ils se comportent d’une manière idiote.» Et cela a toujours été ainsi, parce qu’il a accepté la voie à laquelle Dieu a pourvu pour lui afin d’échapper.

22        A l’époque du monde antédiluvien, pouvez-vous imaginer le père Noé, là quand il est peut-être rentré chez lui un après-midi, qu’il est rentré du travail (Il était un fermier), et qu’il a dit à sa femme: «L’Eternel m’a parlé aujourd’hui et Il m’a dit d’aller construire une grande arche.»

            «Eh bien, a-t-elle dit, Noé, comment pourrais-tu construire une arche? Tu es un fermier. Comment pourrais-tu construire une arche?»

            «Eh bien, Dieu a dit qu’il va pleuvoir, et que le monde entier sera inondé, et tout le monde sera noyé. Et Il m’a dit que si je suis Sa Parole, je vais y échapper.»

            Je vous assure, c’est de cette manière que nous échappons toujours, c’est en suivant le programme de Dieu. C’est la seule façon dont nous pourrons le faire.

23        Je peux voir Noé là dehors, construisant d’arrache-pied cette arche placée au milieu d’un grand terrain sec, où il n’était jamais tombé du ciel une seule goutte de pluie. Il n’était jamais tombé du ciel quoi que ce soit comme la pluie, il n’y avait jamais eu un seul nuage dans les cieux. Et pourtant, Noé, était là dehors construisant d’arrache-pied une arche, pouvez-vous vous imaginer à quel point cela paraissait idiot? Eh bien, pour la pensée charnelle cet homme était fou.

            Je peux entendre les gens qui rentraient chez eux en revenant du travail l’après-midi, là dans–dans la ville, dire: «Dites, croyez-vous à cette histoire de pluie que l’on raconte là-bas? Que pensez-vous de ce vieux fanatique? Eh bien, c’est le type le plus fou que vous ayez jamais vu, n’est-ce pas? Il est là, construisant d’arrache-pied une–une arche, racontant que l’eau va tomber du ciel, eh bien, cet homme est fou. Il n’y a rien là-haut. Dieu a toujours arrosé la terre par l’irrigation, ici en bas... comme ceci. Pareille chose n’existe pas.»

24        Mais Dieu lui avait révélé que c’était le moyen pour échapper, et c’était le moyen qu’il était en train de construire. C’est comme Jésus l’a dit: «Ce qui arriva du temps de Noé arrivera pareillement à la Venue du Fils de l’homme.» Il y aura un programme sur terre qui semblera être autant de la folie aux yeux des gens (C’est juste.), autant ridicule. Mais pourtant, ce sera le programme de Dieu, parce qu’il sera question de prendre Dieu au Mot. Et ils construisaient sans interruption une arche. Et cette Arche est Jésus-Christ. C’est juste. C’est juste, essayant de Lui gagner des convertis.

            Maintenant, aucun... Dieu avait révélé à Noé qu’il n’y aurait que cet unique moyen pour échapper. Et c’était l’unique moyen. Et il a prêché pendant cent vingt ans. Et les gens ne lui ont pas prêté attention, ils ont ri de lui, ils se sont moqué de lui, ils l’ont tourné en ridicule, ils l’ont méprisé. Ce qui arriva au temps de Noé, où on mangeait... Quel genre de monde avaient-ils? Ils mangeaient, buvaient, se mariaient, donnaient en mariage: toutes sortes de choses, juste comme les gens le font maintenant. Ils avaient une civilisation qui était même plus avancée que celle que nous avons maintenant. Si vous ne croyez pas que c’était ainsi, essayez, essayons de reproduire la pyramide qui est là-bas. Essayons de construire cela, ou bien le sphinx, ou quelque chose de ce genre-là. Essayons de faire une momie comme les Egyptiens le faisaient lorsqu’ils embaumaient les gens, voyons combien–combien nous sommes loin derrière la civilisation de cette époque-là. Nous sommes loin, loin derrière elle.

25        A une époque où il y avait une civilisation plus avancée que celle-ci, un homme était là, dehors, en train de construire une arche, il disait qu’il allait pleuvoir, et il n’y avait jamais eu même pas un seul nuage dans les cieux. Pendant deux mille ans, depuis la création du monde, il n’y avait jamais eu un seul nuage, pas un seul coup de tonnerre, ni d’éclair, ni rien d’autre. Et pourtant, Dieu lui avait dit que c’est ce qui allait arriver, car Son grand Esprit allait faire sortir ce monde de son orbite, là, et l’incliner pour provoquer la formation des nuages. Si Dieu l’avait dit, cela allait simplement se faire tel que Dieu avait dit que cela allait arriver.

            Et Noé s’est mis immédiatement à la tâche, il a enduit l’arche de poix, il l’a enduite de goudron comme elle allait flotter sur l’eau. Or, il n’allait pas seulement pleuvoir, mais il y aurait un déluge qui allait inonder le monde entier. Et Noé croyait en Dieu, il a été averti par Dieu, il était poussé par la foi, et il a construit l’arche, il a travaillé dans la voie à laquelle Dieu a pourvu.

26        Oh! la la! Oh! je peux simplement l’imaginer donnant des coups de marteau. Quand il était arrivé à la dernière partie qui restait, les gens se tenaient tout autour à se moquer, disant: «Hé! que vas-tu faire de cet immense pauvre machin? Que...» Ils se moquaient de lui, et tout. Il a simplement construit d’arrache-pied, et il s’est tenu là quand il a terminé et il a prêché aussi fort qu’il l’a pu.

            Et alors finalement vint un jour où Dieu en eut assez. Et je peux simplement m’imaginer voir un étrange sentiment gagner le monde. C’est comme aujourd’hui, les gens sont agités, ils disent: «Qu’est-ce qui est sur le point d’arriver?» Allez dans la rue et parler à n’importe quel pécheur que vous voulez ; vous pouvez aller dans un bar, tout le monde sait que quelque chose est sur le point d’arriver. C’est juste. Quelque chose est sur le point d’arriver. Le jugement plane sur le monde, et les gens voient cela.

27        Pouvez-vous imaginer un agneau quelque part ici en train de brouter dans un champ. Et le pauvre petit animal ne voit rien, mais il commence à se sentir nerveux, quelque chose est sur le point d’arriver. Tapi là-bas dans les buissons, un lion approche. Il y a simplement quelque chose au-dedans de lui qui le lui fait savoir ; quelque chose est sur le point d’arriver. Il ne voit pas ce lion, mais il sait que quelque chose ne tourne pas rond.

            C’est pareil aujourd’hui, frère, une scène se met en place aujourd’hui avec tout ce conglomérat d’obscurité et de ténèbres de péchés et tout qui s’installe dans ce monde ; ils mettent en place une scène pour le plus grand drame qui n’a jamais eu lieu dans tous les âges: la Venue de Jésus-Christ. Et l’homme ne peut pas...

            Nous ne pouvons pas avoir le dernier jour à moins que les gens entrent dans l’esprit du dernier jour.

28        Nous ne pouvons pas avoir une réunion de guérison ici à moins que les gens entrent dans l’Esprit de la réunion de guérison. Nous ne pouvons pas avoir un remplissage du Saint-Esprit à moins que les gens entrent dans ce genre d’atmosphère. Et les gens étaient dans l’atmosphère de ce jour-là pour amener le jugement sur la terre. Et ils sont dans la même atmosphère aujourd’hui: ils mangent, ils boivent, ils se marient, ils donnent en mariage et tout ce genre de choses. Et la gloire de Dieu est prêchée et démontrée dans la puissance du Saint-Esprit qui donne un–un exemple de la résurrection de Jésus-Christ qui va enlever l’église dans la Gloire, tout aussi certainement que je me tiens ici. C’est juste. Et les hommes ignorent cela, ils ne prêtent aucune attention à cela, ils s’en éloignent, car ils sont dans l’esprit du dernier jour.

29        Le monde doit être dans cette condition. Dieu serait injuste de déverser Sa colère sur un peuple juste. Les gens ne Lui avaient pas prêté attention et s’étaient éloignés, et Satan les a capturés. Les gens sont dans cette condition en ce moment. Mais Dieu a pourvu à une voie aujourd’hui, une voie pour échapper. Cette voie, c’est Jésus-Christ, par la nouvelle naissance.

            Je peux voir un éclair jaillir pour la première fois et illuminer les cieux ; Noé dit: «Viens, chérie.»

            Ses enfants disent à leurs femmes: «Venez.»

            Ils sont entrés dans l’arche. Oh! les gens ont dit: «Je me pose la question de savoir ce qui s’est passé. Il y a eu une explosion quelque part.»

30        Mais je vous assure, il y avait une attraction telle que même la création animale a compris que quelque chose n’allait pas. Je peux voir la vieille mère oiseau perchée là-haut, et le père oiseau chantant simplement sans arrêt. Au premier coup de tonnerre, la première fois que des signes et des prodiges ont commencé à se produire, je peux voir le père oiseau dire: «Chère mère, viens, allons directement dans l’arche, parce que c’est exactement ce que Noé avait annoncé. C’est l’Esprit de Dieu qui agit en nous, allons dans l’arche.»

            Je peux voir la vieille mère chameau là, broutant sur le flanc de la colline, et le chameau mâle par là. Lorsque le premier éclair a jailli dans les cieux et que les signes et les prodiges ont commencé à apparaître, je peux entendre le père chameau dire à la mère chameau: «Viens, c’est ça. Quelque chose bat ici à l’intérieur, quelque chose me pousse ; je dois entrer dans l’arche.» Je vous assure, Dieu avait préordonné qu’ils entreraient dans l’arche.

31        Et je crois qu’aujourd’hui où les signes et les prodiges de la Venue du Fils de Dieu apparaissent partout, je crois que chaque homme ou chaque femme que Dieu a préordonné à entendre la voix de Dieu, entend cette saccade, ils courent vers l’arche aussi vite que possible, pour se mettre à l’abri ; car Dieu a pourvu à une voie pour que l’homme puisse échapper. C’est juste. Vous voyez des signes apparaître, des miracles apparaître, des choses mystérieuses se produire, certainement, des soucoupes volantes traverser les airs et tout le reste. Jésus a dit: «Il y aura des signes en haut dans le ciel et en bas sur la terre, des colonnes de feu et des vapeurs de fumée, et cela arrivera avant le grand et terrible jour de l’Eternel.»

            Il a annoncé toutes ces choses, les mugissements de la mer, des raz de marée, et tout, les coeurs des hommes qui défaillent. C’est le temps où il y a le plus de maladies cardiaques comme nous en avons jamais eues. La peur, des temps d’angoisse, la détresse parmi les nations... Oh! la la! le prophète a dit: «Voici des calèches sans chevaux s’élancent sur de grandes routes, et on dirait des flambeaux, ils courent comme des éclairs.» Tout ce qui a été annoncé, nous le voyons devant nous aujourd’hui.

32        De quoi s’agit-il? C’est Dieu qui vous avertit: «Préparez-vous à rencontrer Dieu.» Soyez prêt.

            «Pourquoi devrais-je me préparer à rencontrer Dieu, Frère Branham?» Frère, vous vous préparez pour un mariage ; vous vous préparez pour toute autre chose. Lorsque vous voyez ces choses arriver, préparez-vous à rencontrer Dieu. Chaque fois que vous voyez un cheveu gris sur votre tête, cela signifie que vous feriez mieux de vous préparer à rencontrer Dieu. Chaque fois que vous passez devant l’établissement d’un entrepreneur de pompes funèbres, cela signifie que vous devez vous préparer à rencontrer Dieu. Chaque fois qu’un bébé naît, souvenez-vous, préparez-vous à rencontrer Dieu. Chaque fois qu’un cortège funèbre passe, préparez-vous à rencontrer Dieu. Chaque fois que vous entendez l’avertissement de l’Evangile, préparez-vous à rencontrer Dieu.

            Dieu a une voie pour échapper: Entrez en Jésus-Christ maintenant, où vous êtes en sécurité. Tous ces animaux sont entrés directement dans l’arche deux à deux. Dieu fraie toujours une voie pour ceux qui veulent réellement échapper à la colère de Dieu.

            En allant plus loin, nous pouvons penser à bien des choses. Je peux penser à Job, l’un des plus anciens Livres de la Bible. Je peux m’imaginer Job qui se tient là, le corps couvert d’ulcères. Parfois les gens disaient: «Eh bien, Job avait péché.» Bien des fois, aujourd’hui les gens disent: «Eh bien, comme à telle personne telle chose est arrivée, et telle chose lui est arrivée, cela montre que c’est un pécheur.»

33        Cela ne montre pas que c’est un pécheur, pas du tout. Parfois, Dieu permet effectivement que la maladie vienne. Mais si vous savez dans votre coeur comme Job, que vous êtes pur et net devant Dieu... Job a eu aussi quelques consolateurs qui sont venus, et ils sont restés assis, lui ayant tourné le dos pendant sept jours, l’accusant d’être un pécheur en secret. [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

            «Tu parles comme une femme insensée. L’Eternel a donné, et l’Eternel a ôté, que le Nom de l’Eternel soit béni!» Frère, il avait... Il savait une chose, c’est que Dieu était son choix ; Dieu était la seule chose à laquelle il devait s’accrocher. Alors il a dit: «Que le Nom de l’Eternel soit béni!» Il a dit: «Je suis venu nu dans ce monde ; nu je m’en irai, mais que le Nom de l’Eternel soit béni!»

            Un homme qui est dans cet état, un homme qui veut s’accrocher à la Parole de Dieu, Dieu est dans l’obligation de lui envoyer quelque chose. Dieu est dans l’obligation de l’amener à cela.

34        Ce soir, vous qui êtes assis ici, qui désirez la guérison divine, croyez-vous que la guérison divine existe? Si vous le croyez de tout votre coeur, Dieu est dans l’obligation de vous présenter cela. Amen, car, c’est ce que la Parole de Dieu enseigne.

35        C’était là un prophète. C’est juste. C’était là un prophète d’autrefois ; il ne savait exactement pas quelle était la volonté de Dieu pour lui. Il a attendu ; il ne savait quoi faire. Alors peu après, lorsque tout semblait aller mal, ses consolateurs ne voulaient pas le consoler... Et alors Dieu s’est trouvé devant Ses obligations. De l’est est venu un petit gars, Elihu. Elihu s’est tenu à ses côtés, il a dit...

            Maintenant suivez, nous allons présenter cela à la manière des enfants. Job a dit: «Maintenant écoutez, je–je vois les arbres lorsqu’ils meurent, ils reviennent à la vie. Les fleurs lorsqu’elles meurent, elles reviennent à la vie. Mais l’homme se couche ; il doit–il rend l’âme ; il dépérit. Ses fils viennent l’honorer, mais où est-il? Oh! si tu voulais me cacher au séjour des morts, et ainsi de suite, a-t-il dit.

            Et Elihu a dit: «Eh bien, attend, Job...» J’aime ceci. Il a dit: «Attends, Job, tu accuses Dieu à tort. Eh bien, ces fleurs n’ont pas péché. Dieu a pourvu à une voie pour que cette fleur revienne à la vie.»

36        Là dans la contrée du nord d’où je viens, nous élevons... Les dames qui sont là-bas aiment les fleurs comme vous. Et ces petites fleurs sont jolies en été, ensuite lorsque le gel vient, certaines d’entre elles sont jeunes, certaines sont vieilles, mais lorsque le gel vient, elle les mord, c’est la mort. Elles inclinent leurs petites têtes ; aussitôt, les pétales tombent, une petite semence noire tombe ; alors on leur organise une procession funèbre.

            Lorsque vient la pluie d’automne, elles se mettent à pleurer, et cela ensevelit la petite semence dans le sol. L’hiver froid vient, je pense que c’est gelé sur quatre ou cinq pouces [10 ou 12 cm] là à ce moment-là. Vous voyez? Eh bien, les petits pétales ont disparu ; la pulpe s’est desséchée ; la vieille petite semence a éclaté ; la pulpe s’en est échappée.

37        Alors, cela va traverser le mois de décembre, janvier, février, mars, avril, mai. Alors, mai vient, à la fin d’avril et au début de mai. La semence a disparu ; la pulpe a disparu ; les pétales ont disparu ; la tige a disparu ; tout ce qui existait de cette fleur a disparu, on ne peut plus voir cela.

            Cela a-t-il disparu? Non. Dieu a pourvu à une voie. Il y a un petit germe de vie qui est enfoui là quelque part. Aussi sûr que le soleil se lèvera là à l’est et commencera à briller pour réchauffer le sol, cela vivra de nouveau. Pourquoi? Dieu a pourvu à une voie pour que cela revienne à la vie. Si Dieu a pourvu à une voie pour qu’une fleur revienne, qu’en est-il de l’homme qui a été créé à Son image? Dieu a frayé une voie pour que nous revenions à la vie.

38        Mais Job en parlant, voyant que l’homme a été séparé de Dieu à cause de son péché, de ses transgressions... Et Elihu s’est mis à lui expliquer cela, que ses–ses transgressions l’ont éloigné de Dieu. Alors Job s’est mis à y réfléchir. Je peux m’imaginer, le voir se tenant là, et au bout d’un moment Elihu a dit: «Mais il y en a Un qui vient, un Juste, Un qui se tiendra à la brèche, qui placera Sa main sur un pécheur et sur un Dieu saint ; et alors l’homme ressuscitera de la terre tout comme la fleur ressuscite de la terre.» Il a dit: «Maintenant, observe la fleur qui pousse au printemps, mais tu dis que l’homme se couche, il rend l’âme, où est-il? C’est parce qu’il est sorti de la voie à laquelle Dieu a pourvu.»

39        Mais il y en a Un qui va le ramener dans cette voie. Alléluia! Oh! quand j’y pense, mon être intérieur s’écrie: «Que puis-je faire pour faire comprendre ceci à l’homme?»

            «Oui, il y en a Un qui vient et qui va le remettre dans la voie de sorte qu’Il va se tenir là et placer sa main sur le–cette brèche du péché, ici, et Il va venir et placer le péché sur Lui et jeter un pont pour une voie de retour, afin que l’homme ressorte de la terre.»

            Job commençait à voir cela, étant un prophète ; il s’est mis à écouter ce petit prophète d’Elihu. Aussitôt, Job s’est levé, Dieu a placé Ses jumelles sur ses yeux ; il a regardé loin, quatre mille ans plus tard, il a dit: «Je sais que mon Rédempteur est vivant, et qu’au dernier jour Il se tiendra sur la terre: quand les vers auront détruit ce corps, cependant dans ma chair je verrai Dieu. Je Le verrai moi-même, mes yeux Le verront, et non ceux d’un autre.»

            Oui, il a vu la résurrection de Christ. Il a dit: «Mes yeux Le verront, et non ceux d’un autre.» Il a vu Jésus. Il savait qu’il était dans la voie à laquelle Dieu avait pourvu ; il avait la vie en lui, il a dit: «Je sais que je ressusciterai en ce jour-là, parce que je crois en Lui.»

            Au dernier jour, Jésus devait se tenir là et jeter un pont sur cette voie pour l’homme. Dieu a toujours frayé une voie pour échapper pour ceux qui croient.

40        Je pense à Moïse, aux enfants d’Israël là en Egypte, lorsqu’ils étaient tout là-bas en Egypte, où ces chefs de corvée égyptiens les battaient, les frappaient. Dieu a frayé une voie pour échapper. Il a envoyé là un homme du nom de Moïse. Et avant que Moïse puisse les faire sortir, ils avaient péché et s’étaient éloignés de Dieu. Et la seule chose que Moïse pouvait faire, c’était d’obéir à Dieu. Et Dieu l’a envoyé là-bas et lui a dit de prendre un agneau et de faire un sacrifice, et d’appliquer le sang sur le linteau de la porte, sur le poteau de la porte.

41        J’aimerais que vous remarquiez combien c’est beau, le linteau, le montant de la porte, et sur le poteau de la porte, pas sur le bas de la porte. On ne doit pas baisser les yeux vers le Sang de Christ ; il faut lever les yeux pour...?... Dans la porte, vous avez parfaitement la forme de la croix. Chaque père en ce jour-là était le sacrificateur de sa famille. Et il appartenait à chaque famille individuellement de tuer un agneau. L’agneau devait être gardé pendant quatorze jours, il devait être éprouvé: un type parfait de Christ, Il a été éprouvé devant tous Ses accusateurs. Oui, Il n’avait aucun défaut.

            Jetons un coup d’oeil pour voir si l’on pouvait trouver un seul défaut chez cet Agneau de Dieu. Bien sûr, vous savez, tous Ses amis allaient rendre témoignage de Lui. Considérons Ses ennemis. Son pire ennemi, Judas Iscariot, lorsqu’il L’a regardé pendu là, il a dit: «J’ai livré le sang innocent.» Il a jeté l’argent par terre aux pieds du souverain sacrificateur, il est allé chercher une corde et il s’est pendu.

            Considérons le centurion romain lorsqu’il a senti la terre trembler et bouger quand Jésus est mort, il a posé sa main sur son coeur, il a dit: «Assurément, cet Homme était le Fils de Dieu.»

42        Le Père Lui-même a voilé les cieux. Il y eut des ténèbres de minuit en plein jour, selon ce que le prophète avait annoncé. Dieu a dit: «C’est Mon Fils bien-aimé.» Certainement, c’est ce qu’Il a dit.

            Considérons Pilate, ce grand homme qui siège là au tribunal. On est allé le chercher de bon matin, il avait l’esprit tout agité, il était plein d’amertume de toute façon, il haïssait plutôt cet homme. Ils l’ont fait venir là et l’ont fait siéger au tribunal, de bon matin pour prononcer un jugement. Et ils L’ont amené, ils voulaient qu’Il accomplisse quelques miracles pour lui, ou qu’Il lui fasse plaisir d’une certaine manière.

43        Et remarquez, juste quand il était sur le point de condamner Jésus, j’entends quelque chose venir sur la route aussi vite que possible. Qu’est-ce? C’est un cheval qui vient du palais. Un homme descend du cheval d’un bond et court jusque-là. Qu’est-ce? C’est un des gardes du palais. Il fait sortir une lettre de sa poche, il s’incline devant Pilate, il la lui tend. Celui-ci la prend, il l’ouvre. Il se tient là dans sa fureur prêt à condamner Jésus. Il se met à lire, ses mains se mettent à trembler, ses genoux se mettent à s’entrechoquer. Que dit cette lettre qui amène ce cruel empereur à changer en quelques minutes? Qu’est-ce qui se passe pour faire qu’un tel homme...?... ou leur empereur, qu’est-ce qui lui ferait faire cela? Jetons un coup d’oeil par-dessus son épaule juste une minute et voyons. Elle vient d’une femme païenne, qui dit: «Qu’il n’y ait rien entre toi et ce Juste, car aujourd’hui j’ai beaucoup souffert en songe à cause de Lui.»

            Il a dit: «Apportez-moi de l’eau, je vais me laver les mains. Je n’ai rien à faire avec cela.» Alléluia! Dieu lui frayait une voie là, si seulement il l’avait acceptée. C’est juste. Oui, oui.

44        Il a frayé une voie pour vous ce soir. Allez-vous faire la même chose que Pilate, Le laver de vos mains? Vous n’y arriverez jamais. Certaines personnes justifient-elles Pilate? Non, non. Pilate n’était pas justifié en se lavant les mains. Vous ferez cela... Pilate était justifié, vous pouvez l’être aussi. Vous qui êtes ici, vous voyez cela ici chaque soir, vous pouvez vous laver les mains, dire: «Eh bien, je n’aurai rien à voir avec cela. Je vais retourner.»

            Vous ne saurez pas ôter cela de vos mains. C’est juste. Vous connaissez quelle a été la fin de Pilate ; il s’est noyé là, près de la Norvège et de la Suède. Et chaque année encore les gens se rendent là-bas pour voir cette eau bleue monter, la même eau avec laquelle il avait lavé ses mains pour se débarrasser de Jésus. Cela pourrait être une superstition, mais les gens se rassemblent là pour voir quand même cela chaque année. Non, non. Vous ne pouvez pas vous en débarrasser en vous lavant les mains.

45        Et lorsqu’il est allé là en Egypte, Dieu lui a dit: «Appelle maintenant...» J’aime ceci, Il a dit: «Je vais montrer la différence.» Dieu montre la différence. «Je vais montrer une différence entre les Egyptiens et les Israélites. Et cette différence sera par l’effusion du sang d’un agneau.» Ils étaient des appelés à sortir, des séparés: Dieu appelle toujours des séparateurs. Bien des gens qui sont dans l’église disent: «Nous désirons avoir ce jeune homme ; il vient de sortir de l’université. Et je vous assure, il prend un verre amical, et oh! il–il est très sociable.»

            Dieu ne veut pas de gens sociables ; Il veut des séparateurs. «Mettez-moi à part Paul...» Séparez-vous des choses du monde. Ô Dieu, aie pitié. Donne-nous quelques vieux prédicateurs à l’ancienne mode, qui prêcheront le pur Evangile de Jésus-Christ, qui appelleront le chat par son nom, et qui mettront l’Evangile à sa place. Comme Jean-Baptiste qui a dit: «La cognée est mise à la racine de l’arbre.» Donne-nous encore de tels prédicateurs. Alors nous retournerons à la manière de Dieu de traiter les choses. Amen.

46        Très bien. J’aimerais que vous remarquiez, alors il a dit: «Je veux que vous preniez l’agneau et que vous le tuiez le soir.» Un type parfait de Christ, qui fut tué le soir. Et alors, toute l’assemblée d’Israël devait être témoin de la mort. C’est ce qu’ils ont fait avec Christ. Et le sang devait être appliqué sur la porte, car cette nuit-là, l’Ange de la mort allait parcourir le pays, et partout où il n’y avait pas de sang, la mort allait frapper.

            Et je vous assure, frère: si jamais il y a un temps où l’Ange de la mort parcourt le pays, c’est ce soir. Il vient à la porte de l’église où se tient le sacrificateur. Et une église qui renie le Sang et la puissance de Jésus-Christ, il y a...?... la gloire de Dieu s’en est allée, l’Ange de la mort entre et c’est fini. Les gens deviennent formalistes et meurent, ils renient la puissance de Dieu. Et aussitôt, la mort s’installe sur tout le groupe. Vous n’arriverez jamais à les amener à croire quelque chose ; ils ne peuvent pas croire cela.

47        Maintenant, observez cet Ange de la mort. Je peux voir le père. Eh bien, lorsque le soleil se serait couché et que l’obscurité se serait installée, ils étaient censés aller aussitôt sous le sang de cet agneau, et ils devaient y rester jusqu’à ce que l’ordre de marcher était donné. Frère, c’est bon pour vous les nazaréens maintenant.

            Suivez, venir sous le sang... une fois sous le sang, ils appliquaient celui-ci sur le linteau et sur le poteau de la porte. Mais chaque fois qu’un homme franchissait cette porte pour entrer dans ce foyer, il y restait jusqu’à ce que l’ordre de marcher pour sortir de l’Egypte soit donné. Restez là.

            Je peux voir les jeunes filles se rendre à la fête cette nuit-là et dire aux jeunes filles israélites: «Viens, Rebecca», ainsi de suite «sortons, nous allons...»

            «Je ne peux pas le faire.»

            «Pourquoi?»

            «Eh bien, nous sommes sous le sang.» Oh! la la! «Nous sommes sous le sang.»

            «Oh! viens, allons. C’est absurde, c’est cette vieille religion insensée que ton papa a là.»

            «Mais écoute, quelque chose dans mon coeur me dit qu’il ne faut pas que j’aille au-delà de ce sang.»

48        Et elles sont allées à leur grande soirée et ainsi de suite. Ensuite, vers minuit les gens ont commencé à ressentir quelque chose d’étrange, cela semble envahir de nouveau le monde aujourd’hui ; nous en avons parlé il y a quelques instants. Quelque chose ne va pas, de grandes et profondes ténèbres s’installent sur la terre. Le vent se met à souffler. Je peux voir le petit garçon dans cette maison-ci où nous allons nous rendre. Observons-le, il dit: «Dites, qu’est-ce que c’est? Je–je–je me sens plutôt drôle. Je vois toutes les jeunes filles qui étaient allées aux danses se dépêcher de rentrer à la maison.»

49        Oh! la la! il est alors trop tard pour prier. Eh bien, aussitôt, cela commence à–il se met à regarder tout autour de lui. Je peux entendre le petit garçon dire: «Papa, la–la–la Parole dit-Elle que le fils aîné sera tué dans la maison?»

            «Oui.»

            «Eh bien, papa, qu’en est-il de notre maison?»

            «Fiston, nous sommes autant en sécurité que possible.»

            «Comment sais-tu que nous sommes en sécurité?»

            «Nous avons obéi à la Parole de Dieu. Nous avons... Nous sommes sous le sang.»

            Je peux l’entendre dire, un peu plus tard, au bout d’un moment, je regarde par la fenêtre, le petit garçon regarde par la fenêtre, voici venir deux grandes ailes noires se déplaçant dans les airs. C’est la mort. Et s’il y a un moment où les ailes noires ont frappé le pays, c’est aujourd’hui, nous avons eu des tremblements de terre ; nous avons eu la pestilence ; nous avons eu toutes sortes de choses qui pouvaient venir sur ce pays, tout comme eux en Egypte. Mais le dernier fléau qui frappa l’Egypte avant la destruction, c’était la mort. Et le dernier fléau qui frappe l’église, c’est une mort spirituelle. C’est juste. C’est la dernière chose.

50        Les gens meurent, les églises meurent. Les gens deviennent... Oh! nous tenons des réunions qui se prolongent, mais il n’y a pas de réveil, pas de réveil. Les gens ont dit: «Le grand réveil en Amérique...» Dites-moi où il se trouve. Où se trouve-t-il? Nous n’avons même pas entamé la première phase d’un réveil en Amérique. La raison en est que nous essayons d’enseigner la théologie et tout aux hommes, au lieu de les ramener à la voie à laquelle Dieu a pourvu, par le baptême du Saint-Esprit, et de les ramener à Dieu par la voie du Calvaire. Nous essayons de les introduire dans l’église, de les faire adhérer à l’église, de les baptiser dans une église, de les faire entrer dans une église par une poignée de mains, d’introduire leurs lettres pour les faire entrer dans l’église ; pourtant ils doivent naître dans l’Eglise du Dieu vivant. Et c’est la raison pour laquelle nous n’avons pas de réveil.

51        Ce qu’il nous faut, c’est une nouvelle secousse à l’ancienne mode comme du temps du réveil de John Wesley, où les gens se tenaient là et prêchaient toute la nuit, et où la puissance du Saint-Esprit tombait sur l’assistance. C’est ce qu’il nous faut encore. Amen. Je commence à me sentir un peu religieux maintenant même. Alors écoutez mes amis ; laissez-moi vous dire quelque chose. Lorsque je pense au grand besoin de cette nation, nous n’avons pas besoin de plus de séminaires. Nous n’avons pas besoin de plus de prédicateurs. Ce qu’il nous faut, c’est que les prédicateurs soient remplis du Saint-Esprit. C’est ce qu’il nous faut. Aussi vrai que je me tiens ici, c’est la vérité. Maintenant, j’aimerais que vous remarquiez autre chose. Ce petit garçon a donc vu ces ailes descendre, lorsqu’elles ont touché une maison, il a entendu un cri monter. Mais j’entends le petit garçon dire: «Papa, es-tu sûr que le sang est là sur la porte?»

            Je le vois aller dehors, regarder sur la porte, et dire: «Oui, oui, fiston, elle en est couverte.»

52        Ces ailes commencent à se diriger vers cette maison, lorsqu’elles commencent à descendre comme ceci, elles voient le sang, il a dit: «Quand Je verrai le sang, Je–Je passerai par-dessus vous ; Je passerai par-dessus.» C’est juste. Par-dessus... La voie à laquelle Dieu a pourvu pour échapper.

            Dieu a pourvu à une voie ce soir pour que vous échappiez à cet état froid, formaliste, indifférent, impie, qui existe en Amérique aujourd’hui et qui porte le nom de christianisme ; tout ce que Christ a dit aux gens de ne pas faire, c’est ce qu’ils font, et ils le font au Nom de Christ. Christ a seulement dit: «Guérissez les malades, ressuscitez les morts, purifiez les lépreux et chassez les démons.» Et les gens renient cela. Et ils instruisent leurs prédicateurs et les envoient avec de la théologie, c’est très exactement ce qu’Il a dit de ne pas faire ; et puis ils font cela au Nom de Christ. Amen.

53        Frère, c’est la vérité. Je ne sais peut-être pas le dire tel que je devrais le dire, mais je le dis tel que cela est dans mon coeur. Cela pourrait être pieds nus, mais il est–il est–il est temps que l’homme qui manipule l’Evangile ne soit pas une poule mouillée pour le faire en mettant une paire de gants en caoutchouc. Dites-leur la vérité. C’est juste. Ils pourraient vous haïr ici, mais ils vous aimeront à la barre du jugement. Nous ne sommes pas des poules mouillées. L’Evangile de Jésus-Christ n’est pas une poule mouillée ; c’est la chose la plus glorieuse que l’homme ait jamais accomplie.

            Dieu–Dieu ne juge jamais un homme maintenant... Quelqu’un dira: «N’est-il pas un homme?» Il pourrait avoir des épaules de cette largeur et des bras de cette grosseur. Il pourrait être une brute, mais il pourrait ne pas avoir un seul gramme d’homme en lui. C’est juste. Ne jugez pas l’homme par ses muscles, jugez l’homme par son caractère. J’ai vu des hommes qui pesaient deux cents livres [90,7 kilos] et qui arracheraient un bébé des mains d’une mère et la violeraient pour satisfaire leur convoitise bestiale. C’est juste. Ne jugez pas un homme par les callosités qu’il aura aux mains, mais plutôt par les poches aux genoux de son pantalon à cause de la prière. Alléluia! C’est ce qu’il nous faut aujourd’hui, davantage de tels hommes, qui ont une conviction très pieuse du Saint-Esprit à l’ancienne mode.

54        Je préférerais avoir un tel homme en compagnie de mon fils même s’il ne connaît pas son abc, qui se tienne là-bas, près d’une souche quelque part dans un carré de sauge, et prie pour lui jusqu’à ce qu’il s’en tire rempli du Saint-Esprit, plutôt que d’avoir tous les docteurs qu’il y a au monde, qui essayeront de lui faire avaler la théologie. Amen. Frère, c’est la vérité. Ce qu’il nous faut aujourd’hui, c’est de retourner à la voie à laquelle Dieu a pourvu pour les pécheurs. Alors là-bas, lorsqu’ils sont sortis sous cela, ils n’avaient pas... Ils ont reçu l’ordre de se mettre en marche ; ils sont sortis. Lorsqu’ils ont traversé le pont, ils sont passés de l’autre côté, Dieu a créé un pont au fond de la mer pour eux. Lorsqu’ils sont arrivés là de l’autre côté, lorsqu’ils ont eu besoin de boire, l’eau étant épuisée, il y avait là un étang. Mais l’eau était amère ; ils ne pouvaient pas la boire. Dieu a pourvu à un arbre. Il s’est simplement avancé là, il a coupé l’arbre, il l’a jeté dans l’étang, on a bu à volonté. Dieu a pourvu à une voie.

55        Nous sommes en voyage, et Dieu a une voie pour tout ce qu’il nous faut. Alléluia! Que Dieu ait pitié. Certainement, il y a un moyen pour démolir cette ville-ci pour la gloire de Dieu. Si seulement nous pouvions le découvrir. C’est juste. Que pouvons-nous faire? Que puis-je faire? Dieu le révèle simplement.

            Maintenant suivez, il y avait une voie. Il y avait un buisson sur le flanc d’une colline. Moïse a coupé le buisson, il l’a plongé dedans, il a dit: «Buvez comme vous voulez, c’est bon.»

            Un moment après, lorsqu’ils ont eu encore besoin d’eau, ils étaient loin dans le désert, Dieu a dit: «Va frapper le rocher», le rocher. Après qu’ils avaient ratissé chaque endroit, probablement chaque petit endroit qu’ils pouvaient trouver, chaque oasis, ils sont allés à chaque endroit et ils ont dressé des pierres partout où il y avait une source, il n’y avait pas d’eau du tout, et alors Dieu a fait quelque chose de ridicule. La chose la plus sèche qu’il y avait dans le désert, Il a dit: «Va, parle à cela, c’est là qu’il y a de l’eau.»

56        De quoi cela a-t-il l’air aujourd’hui, quand les gens s’imaginent que la guérison divine, la puissance de Dieu et le baptême du Saint-Esprit devraient venir de la cité du Vatican ou de quelque part? Dieu prend une bande de petits saints exaltés là, au coin, qui ne connaissent peut-être pas leur abc, mais c’est là que se trouve de l’eau. C’est juste. Il ne fait pas les choses avec pompe et tout comme cela. Il a–a pitié des ignorants.

            Pierre et Jean étaient des hommes du peuple, sans instruction. La Bible dit qu’ils étaient absolument sans instruction. Mais les gens ont dû voir en eux qu’ils avaient été avec Jésus. C’est l’essentiel. C’est juste. Ils avaient suffisamment de foi pour guérir un homme à la porte appelée la Belle. Pierre avait suffisamment de puissance de Dieu en lui pour dire à Ananias: «Tu mens.» C’est juste. Il a retenu cet argent. «Et Saphira, tu as fait de même.» Cela les a tellement effrayés qu’ils ont piqué une crise cardiaque et sont morts. On les a emp-...–emportés et on les a enterrés. Amen. Ce même Dieu vit aujourd’hui. Ce même programme est le programme de Dieu pour aujourd’hui.

57        Dieu opérait là-bas dans le désert... Il est venu un moment où les gens avaient besoin de nourriture. Lorsqu’ils ont eu besoin de nourriture, Dieu a fait tomber la manne du ciel, la voie à laquelle Dieu a pourvu.

            «Comment allons-nous manger? Nous sommes ici où il n’y a pas de pain, où il n’y a pas de blé, où il n’y a pas de maïs. Qu’allons-nous faire?»Cela ne change rien, Dieu a dit: «Venez ici ; Je m’occuperai du reste.» Et la manne est tombée du ciel. N’est-ce pas glorieux? La manne est simplement tombée, tout ce que vous avez à faire, c’est de sortir et de ramasser cela. Mais n’en ramassez pas trop à la fois, car, si vous essayez d’en prendre suffisamment ce soir pour le garder jusqu’à demain soir, il s’y formera des asticots, ça va pourrir.

58        C’est en partie le problème qu’a l’église aujourd’hui: l’eau est stagnante et contient ce qu’on appelle, là dans le Sud, des vers de terre. C’est cela le problème avec l’expérience de beaucoup de gens aujourd’hui, qui disent: «Eh bien, je–j’ai été béni là autrefois, il y a dix ans.» Qu’en est-il de maintenant? Où en êtes-vous aujourd’hui pour ce qui est de prier comme il faut?

            Cela me rappelle une petite mère irlandaise qui traversait la mer, en provenance d’Irlande. Elle se rendait à New York pour rencontrer sa fille. En cours de route, ils ont envoyé un SOS, le navire était sur le point de couler. Les gens jouaient une sorte de Jazz en bas dans le–dans la cale, et tous dansaient. Le capitaine, le commandant, est descendu là et a dit: «Un instant, tout le monde, a-t-il dit, changez votre musique, si nous pouvons tenir trente minutes, nous arriverons là, sinon nous allons nous retrouver au fond de la mer.»

59        Et tout le monde s’est mis à jouer: Mon Dieu plus près de Toi, et tout le monde est tombé par terre et s’est mis à prier. La vieille petite mère irlandaise portait une petite robe agrafée par ici et aux longues manches, elle a dit: «Gloire! Alléluia! Alléluia!»

            Eh bien, le commandant a dit: «Madame, qu’est-ce qui vous prend?»

            Elle a dit: «Je suis heureuse.»

            Il a dit: «Vous m’avez mal compris.» Il a dit: «Savez-vous que j’ai dit que d’ici trente minutes nous pouvons être au fond de la mer?»

            Elle a dit: «Je vous ai compris.»

            Il a dit: «Pourquoi ne priez-vous pas?»

            Elle a dit: «Je suis constamment en prière, je ne suis pas obligée de prier.» C’est juste. «Je suis constamment en prière.» Elle a dit: «Oh! gloire! Que le Seigneur soit béni!»

            Il a dit: «Comment pouvez-vous vous comporter ainsi, madame? Pourquoi criez-vous si vous êtes dans une atmosphère de prière?»

            Elle a dit: «Eh bien, vous avez dit que d’ici trente minutes si nous tenons bon nous serons à New York.»

            «C’est juste.»

            «Et si nous ne tenons pas bon, nous serons au fond de la mer.»

            «C’est juste.»

60        Elle a dit: «Gloire!» Elle a dit: «J’ai à New York une fille que je vais voir. Et si je... Et si nous ne tenons pas bon, j’en ai une dans la Gloire» Elle a dit: «Je vais voir l’une d’elles dans trente minutes. Alléluia! Gloire au Seigneur!»

            C’est de cette manière que vous devez vivre (Alléluia! C’est juste.): Etre dans une atmosphère de prière et être prêt à partir. Amen. Marchez dans la voie à laquelle Dieu a pourvu, soyez prêt à chaque minute. Amen. Car vous ne savez pas à quelle minute Il vous appellera à entrer dans–dans Sa Présence.

61        Je peux voir les Israélites là, pendant qu’ils avançaient. Tout d’abord, ils n’avaient aucun remède là-bas, le docteur Moïse ne pouvait pas trouver le bon genre de sérum, alors ils ont reçu des morsures de serpents. Alors Dieu a pourvu à une voie. Est-ce juste? Il a fait un serpent, c’était un serpent fait d’airain et qu’Il a placé sur une perche. Et la seule chose que les gens avaient à faire, c’était d’aller regarder cette perche, ce serpent sur cette perche, de croire que Dieu l’avait placé dessus, et ils étaient guéris. Quelqu’un a dit: «Eh bien, je vais descendre par ici pour voir si je peux trouver un peu d’aristoloche et voir si je peux l’appliquer sur cette morsure.»

            L’autre dit: «Oh! Jean, où vas-tu?»

            Il dit: «Je vais me procurer un peu de bistorte et l’appliquer ici et voir si cela guérira.»

            Il dit: «Je vais simplement prendre la voie à laquelle Dieu a pourvu, juste regarder le serpent et vivre.»

62        Et il a vécu ; l’aristoloche n’a pas marché. Amen. Dieu a un remède ce soir. Alléluia! Ce remède, c’est Son Fils Jésus-Christ par le baptême du Saint-Esprit. Vous pensez que je suis fou. Il se peut que je le sois. Si c’est le cas, je suis heureux. Mais je suis plus heureux de cette manière que si je l’étais de l’autre manière. C’est pourquoi je préfère être comme ceci. Voyez? C’est pourquoi je me–je me sens tout simplement bien.

            Très bien, oui, oui, Dieu a pourvu à une voie. Une fois, il y avait un homme appelé Elie. Le Seigneur lui a parlé, disant: «Ce pays est tellement rempli de péché, a-t-Il dit, Je vais envoyer le jugement dessus. Mais Elie, je vais te frayer une voie pour échapper.»

            «Que vas-Tu faire, Eternel?»

            «J’aimerais que tu montes là-haut et que tu t’assoies près de l’étang de–de Kérith, là-bas au sommet de cette montagne.»

            Elie parcourait les rues, il disait: «Eh bien, il n’y aura pas de pluie jusqu’à ce que je l’appelle. Je vais monter là-haut et rester sur la montagne.»

            Et lorsque la sécheresse vint... Pouvez-vous imaginer ces gens-là chez eux disant: «Regardez ce vieil excentrique ; il est fou, il est là-haut, assis là-haut près d’une petite source, au sommet de cette montagne-là, alors que vous savez qu’il n’y a pas d’eau là-haut.»? Mais Dieu a fait en sorte que cette source continue à couler. Je suis si heureux qu’Il l’ait fait.

            Le voici, assis au sommet de la montagne. Quelqu’un a dit: «Je parie que ce vieux gars s’est desséché là-haut.»

63        Non, non, non, il va tout simplement... Il a suivi la voie à laquelle Dieu a pourvu. Dieu a dit: «Monte là-haut et assied-toi, car J’ai déjà ordonné aux corbeaux de te nourrir.»

            Les gens disaient: «Ce pauvre vieil excentrique qui s’est installé là-haut crève de faim.»

            Eh bien, il allait mieux. Je parie qu’il allait mieux que bon nombre d’entre vous qui êtes ici ce soir. Il avait quelques serviteurs de couleur qui le servaient. Je parie que vous n’en avez pas. Oui, oui. Les corbeaux venaient le servir. Est-ce vrai? C’est juste. Il avait des porteurs de couleur et la moitié d’entre vous n’en ont pas. Ils passaient par-là le servir, les corbeaux, comme ils passaient par là.

64        Un prédicateur m’a dit il n’y a pas longtemps, il a dit: «Billy, voulez-vous me dire que vous croyez que ces corbeaux ont apporté de la nourriture à cet homme-là?»

            J’ai dit: «C’est ce que dit la Bible, je crois cela.» Oui.

            Il a dit: «J’aimerais vous poser une question.» Il a dit: «Où diable ces corbeaux ont-ils eu ces sandwiches qu’ils apportaient à Elie?»

            J’ai dit: «Je ne sais pas.» J’ai dit: «La seule chose que je sais, c’est que les corbeaux avaient cela ; les corbeaux apportaient cela ; Elie recevait cela ; cela règle la question.» J’ai dit: «C’est exactement comme maintenant, je ne peux pas vous dire ce qui me fait agir comme ceci ; la seule chose que je sais, c’est que Dieu a enseigné cela ; la Bible le dit ; le Saint-Esprit a apporté cela ; j’ai reçu cela ; je passe simplement un bon moment.» Je ne sais pas comment cela vient, je... C’est juste ici. Alléluia! Je ne sais pas. Dieu l’a dit, je–je mange tout simplement cela. Le Saint-Esprit apporte cela, je dis: «Oui, Seigneur.»

65        «Eh bien, on va te traiter de saint exalté.»

            Ça m’est égal, Seigneur, j’aime simplement cela ; c’est délicieux ; je continue simplement de manger. Il envoie cela. Amen. Il me donne une plus grosse bouchée de sandwich. C’est tout.

            Je peux les entendre dire: «Oh! la! la! il se tient là essayant de trouver...» Et ce vieux prédicateur qui était là-haut, qui était censé être le fanatique, assis là, il ne–ne s’inquiétait de rien. Voyez? Il restait assis là toute la journée. Il a dit: «Oh! Eternel, je T’aime, loué soit l’Eternel. Ô Dieu, je Te loue tout simplement.»

            Les corbeaux passaient, ils disaient: «Elie, tiens.»

            Il prenait ce très gros sandwich, il disait: «Oh! la la!» Ces gens-là, en bas qui se mordaient la langue... Il descendait carrément au ruisseau, et il buvait comme il voulait, et pourtant on le traitait de fou.

66        C’est ainsi qu’il en est, frère. Les gens pensent que nous sommes fous parce que nous avons le baptême du Saint-Esprit. Frère, nous buvons à une fontaine qui ne tarira jamais, une fontaine des Eaux Eternelles de la Vie qui coulent à travers Jésus-Christ, le Fils de Dieu. Certainement, c’est la voie à laquelle Dieu a pourvu. Certainement.

            N’essayez pas d’adhérer à l’église et de serrer la main à votre prédicateur, mettez-vous en ordre avec Dieu. Alléluia! C’est ainsi qu’il faut faire: Dieu a pourvu à une voie pour vous pour que vous le fassiez. Il frayera chaque fois une voie pour échapper, si seulement vous croyez. Le croyez-vous? Oui, oui. Il a frayé pour Elie une voie pour échapper.

            Alors lorsque le temps est finalement arrivé où il n’y avait plus de pluie, Dieu a tout simplement dit à Elie: «Va te préparer pour certaines choses.» Eh bien, Elie s’est préparé pour le réveil qu’il allait y avoir en Israël. Alors Il a dit: «Je vais te dire ce que Je veux que tu fasses. Je veux que tu ailles Me chercher douze pierres et que tu les rassembles ici.»

67        Eh bien, il s’agissait de mettre les choses en ordre. Il agissait selon la voie à laquelle Dieu avait pourvu. Il est allé chercher une pierre pour chaque tribu d’Israël. Mais savez-vous ce qu’est le problème aujourd’hui? Nous essayons de rouler une pierre pentecôtiste, de dire: «C’est ceci.» Les méthodistes roulent une pierre, ils disent: «C’est ceci.» Mais Dieu désire que nous les rassemblions toutes et que nous ayons une effusion du Saint-Esprit à l’ancienne mode sur l’église entière partout. Oh! frère, cela a-t-il fait mouche? J’ai senti cela. Oui, oui.

            C’est ce qu’il nous faut aujourd’hui, frère, rassembler tous les croyants et prêcher l’Evangile. Ne retenez rien, mais prêchez le plein Evangile de Christ jusqu’à ce que le baptême du Saint-Esprit sera déversé sur toute l’église. C’est la seule manière d’avoir un réveil.

68        Elie a dit: «Eh bien, rassemblez tout. Apportez-moi pour chaque tribu une pierre qui la représente.» Il a mis son sacrifice dessus, il s’est avancé là et il a dit: «Maintenant, Eternel, que l’on sache que Tu es le Dieu des Cieux et que je suis Ton prophète.» Et le feu a commencé à descendre.

            Frère, lorsque les méthodistes pourront oublier qu’ils sont les seuls sur la terre, les baptistes, qu’ils sont les seuls, les pentecôtistes, qu’ils sont les seuls, nous pourrons tous nous rassembler et dire: «Seigneur, envoie le feu», nous allons parvenir quelque part. C’est juste.

69        Lorsque les unitaires pentecôtistes, les binitaires pentecôtistes, les trinitaires pentecôtistes, les quinquetaires pentecôtistes, et tous les autres, pourront travailler ensemble, lorsque tous les méthodistes pourront oublier l’aspersion, si l’on a été baptisé ou si l’on a été aspergé, ou si l’on fait ceci, et si tout le monde se rassemble et oublie toutes ces vieilles petites choses, et dit: «Ô Dieu, envoie la puissance», tout ira de soi-même. Oui, oui. Absolument. Amen. Je crois dans ce genre de réveil. Prenez la voie à laquelle Dieu a pourvu.

            Roulez la pierre du salut ; j’aime cela. Roulez la pierre du parler en langues, j’aime cela. Roulez la pierre de l’interprétation, je crois à cela. Roulez la pierre de la guérison divine, je crois à cela. Frère, préparez-vous maintenant pour le feu. Cela vous appartient. «Eh bien, je vais oublier tout ce qui est de ma théologie, Seigneur ; je roule simplement ces pierres. Je vais carrément m’étendre et dire: ‘Ô Seigneur, consume-moi.’» Il le fera, ne vous en faites pas, Il vous prendra.

70        C’est ce qu’il faut que vous fassiez, frère: faites sortir tout ce qui est dans votre esprit, et que la Parole de Dieu soit la voie à laquelle Dieu a pourvu. Pas les rituels méthodistes, pas ces rituels-ci, pas ces rituels-là, ou cette théologie-ci, ou cette théologie-là, que la Bible ait raison. Dieu a dit: «Que Ma Parole soit reconnue pour vraie et tout homme pour menteur.»

            «Dans les derniers jours, Je répandrai Mon Esprit sur toute chair (les méthodistes, les baptistes, les presbytériens, les catholiques, les luthériens, et tout le reste.). Je répandrai Mon Esprit sur toute chair. Sortez du milieu d’eux, Mon peuple, afin que vous ne participiez point à leurs péchés. Je vous accueillerai.»

71        Eh bien, le péché, ce n’est pas juste les habitudes immorales, vous savez. Quelqu’un disait: «Eh bien, cet homme fume, c’est un péché.» Non, ça ne l’est pas. Ce n’est pas...?... qu’il mente. Ce n’est pas–ce n’est pas un péché qu’il mente, qu’il vole. Ce n’est pas cela le péché. Ce sont les attributs du péché. Il fait cela parce qu’il est un pécheur. S’il n’était pas un pécheur, il ne ferait pas cela. Mais c’est parce qu’il est un pécheur qu’il fait cela. Maintenant, vous direz: «Eh bien, gloire à Dieu! Je ne fume pas, je ne bois pas.» Cela ne fait pas de vous un pécheur ; ce sont simplement les attributs d’un chrétien. Vous ne faites pas cela parce que vous êtes un croyant. C’est comme cela. Et si vous faites vraiment cette autre chose, vous n’êtes pas un chrétien, si vous croyez, vous n’êtes pas un chré-... vous êtes un chrétien. Voilà la différence. C’est la voie à laquelle Dieu a pourvu.

            Jésus a dit: «Celui qui écoute Mes Paroles, et qui croit à Celui qui M’a envoyé, a la Vie éternelle et Je... ressusciterai...» [Espace vide sur la bande–N.D.E.] Les gens professent avoir cela, mais leurs vies prouvent qu’ils ne l’ont pas. On les reconnaît à leurs fruits.

            Bon, bon, Elie, je peux l’imaginer qui descend la colline là-bas. Un jour, un homme ordinaire descendait, il avait la lèpre, il s’appelait Naaman. Il est arrivé là et il avait... Oh! la la! il a entendu. La foi vient de ce qu’on entend, n’est-ce pas? De ce qu’on entend la Parole de Dieu. Et il était allé chez tous les médecins qu’il y avait en Syrie, et aucun d’eux n’avait pu le guérir de sa lèpre. Alors, il a appris qu’une petite fille avait été capturée. Elle avait probablement une bonne expérience chrétienne, une bonne–bonne expérience du salut. Elle a dit: «Tu sais, il y a un homme là dans notre pays qui pratique la guérison divine, il répond au nom d’Elie. A ce que je sache, jusque là, il n’y a personne qui a été guérie de la lèpre, mais je crois que si tu vas là-bas et accepte qu’il prie pour toi, tu seras guéri.» Oh! la la! il nous faut encore quelques petites filles de ce genre. C’est juste.

72        Très bien. Il a dit: «Bien, je crois que je vais simplement seller mon cheval et aller voir cet homme.» Il a pris beaucoup de vêtements de rechange, plusieurs livres d’argent, et plusieurs livres d’or, et il est allé là.

            Eh bien, il voulait voir la guérison divine tel qu’il se la concevait dans son esprit: «C’est de telle manière que je vais obtenir cela.» Alors il va là et il arrête son cheval devant le... Elie, là-bas.

            Et Elie était assis là-derrière j’imagine, dans un vieux petit fauteuil, il était assis derrière, dans sa petite hutte de terre là-bas, lisant certaines Ecritures. Voici Guéhazi qui entre, il dit: «Ô maître.»

            «Que veux-tu?»

73        «Eh bien, voilà le grand Naaman, le chef de l’armée de Syrie là dehors ; il a la lèpre.»

            «Dis-lui d’aller se plonger sept fois dans le Jourdain.»

            Il a dit: «Eh bien, ne vas-tu pas sortir pour le voir?»

            «Non, je n’ai pas le temps ; je suis en train de parler au Seigneur maintenant.»

            Alors il dit: «Eh bien, il est en train de lire les Ecritures ; il est en prière ; il ne peut pas sortir.» Il a dit: «Va te plonger sept fois dans le Jourdain.»

            Et oh! il s’est emporté. Oh! la la! Juste comme les gens le font maintenant. «Oh! je ne reviendrai plus jamais à cet endroit. Hum! Je n’aurai jamais rien à voir avec cette bande de saints exaltés.» Il a éclaté comme une grenouille qui mange de la chevrotine, et il se retourne comme cela.

            «Oh! je n’aurai plus jamais rien à voir avec cela ; je ne peux pas croire à cela, non, non, non.»

            C’est la raison pour laquelle vous êtes dans l’état où vous êtes à l’instant. C’est juste. La Parole de Dieu a frayé la voie.

            «Moi, me plonger dans ces eaux boueuses, absolument pas. Eh bien, les eaux qui sont là en Syrie sont meilleures que celles d’ici.»

74        J’ai entendu une personne dire l’autre jour: «On va là-bas et on crie, on fait des histoires comme les autres qui sont là-bas, et on sanglote et on pleure.»

            J’ai dit: «Si vous voulez être sauvé, vous ferez cela.»

            «Oh! a-t-il dit, je ne ferai jamais cela.»

            J’ai dit: «Continuez dans la voie où vous êtes, dans ce cas.»

75        Je prêchais là, et une femme pleu-... pleurait, elle a levé les mains et elle s’est mise à crier. Un jeune prédicateur baptiste s’est approché de moi, et il a dit: «Billy, quand allez-vous vous éloigner de ces saints exaltés?» [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

            ...?... «Ces qui?»

            Il a dit: «Ces saints exaltés.» Il a dit: «Je dégustais votre message l’autre soir, jusqu’au moment où cette femme-là s’est levée et s’est mise à pleurer, les mains en l’air, pleurant.»

            J’ai dit... Il a dit: «Cela ne vous a-t-il pas interrompu?»

            J’ai dit: «Non, si elle n’avait pas fait cela, cela m’aurait interrompu.» J’ai dit: «Cela... cela ne m’a pas interrompu.»

            Il a dit: «Vous savez quoi?» Il a dit: «Cela m’a simplement donné un frisson qui m’a parcouru le dos comme un store.»

76        J’ai dit: «Mon gars, si jamais vous alliez au Ciel, vous mourriez de froid.» J’ai dit: «Il y a plus de cris au Ciel...?... Là-bas on crie devant le Seigneur et on dit: ‘Saint, saint, saint, saint, est l’Eternel Dieu Tout-Puissant.’» Jour et nuit durant tous les âges. Amen. Oui, oui. La voie à laquelle Dieu a pourvu.

            Vous direz: «Frère Branham, vous prêchez cette nouvelle sorte de religion.» Oui, oui, j’en ai une toute neuve du genre à l’ancienne mode.

            «La religion à l’ancienne mode a tous ces cris, ces pleurs et toutes ces histoires?»

            «Oui, c’est juste.»

77        Dieu a parlé à Job, Il a dit: «Où étais-tu quand Je posais les fondations du monde, quand cette religion à l’ancienne mode a été amenée à l’existence pour la première fois?» Il a dit: «Lorsque les étoiles du matin chantaient ensemble, et que les fils de Dieu criaient de joie?» Fiou! Oh! frère. La voie à laquelle Dieu a pourvu, c’est tout. Faire simplement ce que Dieu a dit de faire.

            Très bien, aussitôt, Naaman, je peux le voir, bouffi d’orgueil ; qui dit: «Je ne retournerai jamais là-bas.»

            Il y avait un jeune homme qui se souciait suffisamment de son salut, il a dit: «Eh bien, écoute, père, si le–si le prophète t’avait ordonné de faire quelque chose de difficile, de donner tout ton argent, et–et de payer pour ta guérison, eh bien, tu aurais accepté de le faire. Mais juste parce qu’il t’a dit d’aller te plonger dans le Jourdain, eh bien, tu ne veux pas le faire.»

            Je peux le voir dire: «Bien, peut-être que je vais essayer de le faire.» Et le voici qui descend, vous savez, il descend, il regarde ce Jourdain boueux: «Hum, cette bande de...» C’est comme... Vous savez ce que je veux dire. «Devrais-je descendre à cet endroit-là?» D’accord, alors gardez votre lèpre.

78        Ainsi il descend donc là-bas. Je peux le voir descendre de son grand cheval, comme beaucoup le font, vous savez. «Si je dois m’abaisser pour descendre vers cette bande de gens comme cela.» Il est entré furtivement là dans l’eau, hum, vous savez, en se pinçant le nez comme ceci...?... Il a dit: «Mon gars, je vous ai dit qu’il n’y avait rien là-dedans. J’ai toujours la lèpre.»

            «Non, non, le prophète a dit, sept fois, continue simplement de te plonger jusqu’à totaliser sept fois.»

            «Mais Frère Branham, combien de temps dois-je plonger?»

            «Jusqu’à ce que.»

            «Jusqu’à quand?»

            «Jusqu’à ce que vous obteniez la chose.» C’est ce qu’a dit Jésus. «Attendez dans la ville de Jérusalem jusqu’à ce que vous soyez revêtus de la puissance d’En Haut.»

            «Deux jours?»

            «Jusqu’à ce que.»

            «Combien de temps?»

            «Jusqu’à ce que, jusqu’à ce que vous soyez revêtus de la puissance.» C’est juste. Restez là jusqu’à ce que ; c’est la Parole du Seigneur.

79        Très bien. Une fois, il y avait un homme du nom de Josaphat qui est allé...?... là dans le désert. Et quand ils sont partis, ils ont oublié de prendre une boussole avec eux, et...?... ils sont sortis sans consulter l’Eternel et ils ont eu des ennuis. Lorsque vous commencez à faire quelque chose sans consulter le Seigneur, vous aurez aussi des ennuis. Ils ont donc eu des ennuis.

            Et ils se sont rendus compte qu’ils avaient fait là sept jours ; ils n’avaient rien à manger ; l’eau avait complètement tari. Certainement...?... rien pour qu’ils mangent ou qu’ils boivent. Ils avaient...?... ou périr. Alors il est arrivé à l’un d’eux de se souvenir que Dieu a pourvu à une voie pour ceci. Ils ont dit: «N’y a-t-il pas un prophète quelque part par lequel nous pouvons consulter l’Eternel?»

            Ils ont dit: «Oui, il y a Elisée, il versait l’eau sur–il versait l’eau sur les mains d’Elie.»

            «Oh! s’il avait quelque chose à voir avec Elie, ce... Elie était un véritable prophète. Alors nous allons aller le voir.»

            Alors ici...?... allé chez le prophète. Il a vu venir le fils de cette idolâtre, alors il s’est en quelque sorte emporté, et...?... et il a dit: «Pourquoi es-tu...?..? pourquoi viens-tu vers moi?» Oh! il s’est fâché à ce sujet, vous savez, il était en quelque sorte dans tous ses états. Il a dit: «Pourquoi allons-nous...?... Pourquoi ne vas-tu pas vers l’église de ta mère? C’est là que...?.. comme cela...?... Il a dit: «Si je n’avais égard à Josaphat, je ne ferais aucune attention à toi.» Eh bien, il était tout agité, il a dit: «Jouez-moi un peu de musique.»

80        Alors, ils se sont mis à jouer de la musique, le...?... Maintenant, écoutez. Si vous ne pouvez pas être le prophète, vous pouvez être un instrument, vous savez, qui joue la musique qui fait descendre l’Esprit sur le prophète. Vous comprenez ce que je veux dire. Alors ils se sont mis à jouer...?... ainsi de suite, ils ont battu le tambour et ont joué les instruments, et oh! ils se sont mis à battre et à jouer...?...

            Il y aura une rencontre dans les airs,
            Un de ces jours très bientôt,
            C’est le propre Fils de Dieu qui conduira,
            A cette rencontre dans les airs.

            Le prophète a commencé à entrer dans l’Esprit. Et bien vite, lorsqu’il est entré dans l’Esprit, des choses ont commencé à se produire.

            Voilà pourquoi nous ne pouvons arriver nulle part aujourd’hui ; nous n’entrons pas dans l’Esprit de la chose. C’est ça. C’est juste...?... Oui. Vous devez entrer dans l’Esprit de la chose.

            Ils se sont mis à battre des mains et ils passaient vraiment un moment merveilleux, et l’Esprit de Dieu a commencé à descendre sur le prophète. Son Esprit est venu sur le prophète ; alors il a commencé à voir des choses. Vous commencerez à voir des choses lorsque vous entrerez dans l’Esprit.

81        Ils ont commencé à entrer dans l’Esprit, à l’instant même, à entrer dans la voie à laquelle Dieu a pourvu pour voir ce qui va arriver. Il a dit: «Allez là-bas et commencez à creuser des fosses, parce qu’on va avoir de l’eau qui viendra de...?...»

            Je peux les voir prendre des pelles et commencer à creuser. Un homme a dit: «Oh! la la! eh bien, c’est quelque chose...?... regardez...?...» C’est de l’eau que vous cherchez. Jetez simplement la chose et continuez à creuser, comme cela.

            L’un d’eux dit: «Eh bien, je... Mademoiselle Dupont...?... la guérison divine n’existe pas.» Jetez les...?... et continuez à creuser. Plus–plus profondément vous creusez, plus vous aurez de l’eau.

            «Eh bien, je ne vois aucun signe. Je ne vois aucun signe de guérison ; je ne vois pas ceci.» Vous n’avez pas encore creusé votre fosse. Voilà le problème. C’est ça le problème ce soir, vous n’avez pas creusé vos fosses. Frère, prenons les pelles, et creusons une fosse...?...

            «... vois aucun signe. Il n’y aura pas de pluie. Il n’y aura pas ceci, ou cela...?...» Gloire, alléluia!

            Ce que je pense ce soir, c’est que West Palm Beach a besoin d’un bon réveil du Saint-Esprit à l’ancienne mode, que l’on prêche l’infaillible...?... qui bondira sur ces prédicateurs qui sont ici autour, à moitié rétrogrades dans leur coeur, qu’ils aillent là-bas et se mettent en ordre avec Dieu, et ils auront un réveil à l’ancienne mode. Amen...?... C’est juste.

            Frère, c’est ce qu’il faut à cette nation aujourd’hui ; c’est ce qu’il faut à ce pays, à cause de la jalousie et des larcins en sortant...?... Amen. C’est juste. Revenez à Dieu. Frère...?... difficile de prendre. Je sais que ça entre profondément dans le coeur.

82        Lorsque j’étais petit garçon, nous étions très pauvres, nous avions... Maman devait bouillir les peaux de viande dans une casserole pour en tirer de la graisse afin de fabriquer notre pain de maïs–de maïs ; nous devions simplement vivre de pain de maïs et de mélasse, et–et ainsi de suite. Nous n’avions pas de lard, alors elle devait prendre les peaux de viande.

            Et chaque samedi soir, je me souviens... Elle avait la grande théière et le grand bac de cèdre, et...?... elle versait dedans une petite théière pleine de l’eau chaude et nous prenions tous un bain. Chaque samedi soir, c’était le bain. Ensuite nous prenions une bonne dose d’huile de ricin. Je–je n’oublierai jamais cela. Après que vous avez mangé une telle nourriture... Et je prenais cela. Lorsque maman venait, je–je me pinçais le nez, je disais: «Maman, maman, s’il te plaît, ne me donne pas cela. Oh! disais-je, je... Cette chose me rend tellement malade.»

            Elle disait: «Si cela ne te rend pas malade, cela ne te fait aucun bien.»

            C’est donc ce que je veux dire ce soir: si cela ne vous rend pas très malade, prédicateurs, cela ne vous fait aucun bien, mais cela vous secouera un peu, procurez-vous de l’huile digestive...?... le Plein Evangile. Alléluia! Amen. Vous devez prendre la voie à laquelle Dieu a pourvu. C’est juste. Cela vous remettra sur pied, vous fera vous sentir mieux le lendemain. Avalez carrément cela, dites: «Oui, je crois que c’est juste ; je vais aller là-bas serrer la main à cet homme, je vais donc me réconcilier avec lui. Oui, oui. Je vais collaborer pour la tenue des réunions. Je vais faire tout ce que je pourrais pour voir la gloire de Dieu en action.» Vous arriverez alors quelque part. Fiou...?... vous avez quelque chose. Très bien. Mais c’est la voie à laquelle Dieu a pourvu. C’est juste.

            Très bien, je peux donc voir qu’ils ont eu de l’eau, et que leurs fosses sont remplies. Et tout d’abord, ils ne boivent pas seulement...?... plutôt leur eau, ils sont allés là et ont pris une pierre, et ils ont bouché tous les vieux puits formalistes qu’il y avait là. Et si seulement vous creusiez très profondément ce soir, au point que cette salle soit remplie du baptême du Saint-Esprit, et que les gens soient guéris et remplis de l’Esprit et sortent dans les rues en criant et en louant Dieu, qu’ils aillent dans ces bars le lendemain et rendent témoignage et tout pour la gloire de Dieu, nous boucherons certains de ces vieux puits froids et formalistes qu’il y a ici avec ces pierres (C’est juste.) des témoignages. Amen. C’est juste. Je crois cela de tout mon coeur. Dieu a pourvu à une voie.

83        Dans la Bible, une fois, une femme avait une perte de sang. Oh! la la! c’était très grave. Les médecins ne pouvaient rien faire. Alors elle avait entendu parler d’un Homme qui guérissait les malades. Alors aussitôt, un soir... Il savait cela. Il avait peiné toute la nuit pour traverser la mer dans une grande tempête. Le lendemain matin, cette petite barque était amarrée là dans les saules. La voir–elle était assise là sur la colline ; elle a vu cela. Et quelque chose lui a dit dans son coeur: «Dieu a pourvu à une voie pour moi. Si seulement j’arrive à toucher les vêtements de cet Homme, je serai guérie.»

            La voici qui descend. Et lorsque vous essayez de suivre la voie à laquelle Dieu a pourvu, comme c’était dans tous les âges, vous trouverez des conflits partout. Je peux la voir se présenter chez son pasteur ; il dit: «Eh bien, où penses-tu aller?»

            «Je veux toucher Son vêtement.»

            «C’est absurde.» Elle l’a carrément passé outre.

84        La chose suivante, elle est allée là, elle est allée chez Brigham Young avec toute sa ribambelle de femmes. Elle est allée et les gens ont dit: «Eh bien, les jours des miracles sont passés.» Elle s’est carrément baissée, elle est passée entre leurs jambes et elle a continué carrément. Elle ne s’en faisait plus. Elle avait fait le choix ; c’était de faire ce que Dieu lui avait dit de faire dans son coeur. Amen. C’est ce qu’il nous faut ce soir, c’est de suivre la voie à laquelle Dieu a pourvu. Elle s’est carrément faufilée, et elle a touché Son vêtement. Beaucoup de gens L’étreignaient et tout, en disant: «Oh! Maître, Tu es...»

            Il a dit: «Qui M’a touché? Qui M’a touché?»

            Il a regardé autour de Lui pour voir où se trouvait la vision, Il fait de même maintenant.

            Il a dit: «Ta foi t’a sauvée ; va en paix.» Amen.

            Qu’était-ce? Beaucoup disaient ceci, cela. Pierre a dit, lorsqu’Il a dit: «Qui M’a touché?», il a dit: «Eh bien, Maître, c’est toute la foule qui Te touche.»

            Il a dit: «Je sais que quelqu’un M’a touché.»

85        C’est le genre de toucher que nous aimerons avoir ce soir. C’est la voie à laquelle Dieu a pourvu pour chacun de vous ce soir. Le toucher de Dieu, c’est Sa voie à laquelle Il a pourvu. Regardez et vivez. Il a une voie à laquelle Il a pourvu. Dites: «Seigneur, je le crois.»

            C’est comme la dame qui va là maintenant avec ce bébé. Elle croit pour ce bébé, celle qui sort là. Madame, vous qui portez le bébé, tournez-vous dans cette direction. Croyez-vous de tout votre coeur pour ce bébé? Croyez-vous que cette maladie va le quitter? Croyez-vous que le diabète l’a déjà quitté? C’est ça, alors continuez votre chemin. C’est de cette manière que vous...?... C’est Sa voie à laquelle Il a pourvu. Amen. Alléluia! La voie à laquelle Dieu a pourvu...

            Jésus-Christ, le Fil du Dieu vivant, est la voie à laquelle Dieu a pourvu pour chaque pécheur. Tout homme qui croit peut avoir cela maintenant même. Le croyez-vous? La voie à laquelle Dieu a pourvu...?...

86        Un jour, un homme, lorsqu’il avait perdu sa petite fille, Jésus, la voie à laquelle Dieu a pourvu, est venu imposer les mains à la fille. Elle fut guérie.

            Un jour, il y avait un petit aveugle du nom de Bartimée, qui a touché le bord de Son vêtement, pour ainsi dire. Et ainsi, il avait appelé. Et il avait accepté la voie pourvue par Dieu et il a été guéri. Croyez-vous cela?

            Ecoutez. Alléluia! Frère, je me sens bien. Maintenant, entrez dans cette atmosphère. Maintenant vous recevez les choses juste...?... esprit pur dans vos coeurs. Dites: «Ô Dieu, j’accepte cela. Je crois cela de tout mon coeur.»

            Dieu a maintenant une voie pour guérir chaque personne. Croyez-vous cela? C’est la voie à laquelle Dieu a pourvu. Cette femme qui a ce petit bébé, juste lorsqu’elle est sortie en se posant des questions dans son esprit, elle est devenue tout...?... Quel était le problème? Dieu avait pourvu à une voie. C’est juste.

87        Laissez-moi vous dire quelque chose, frère, une fois l’église est devenue toute formaliste et indifférente. L’église est devenue telle qu’elle est maintenant, chacun avait un credo, chacun avait une dénomination, chacun avait ceci: celui-ci avait ceci, l’autre avait cela. Mais il vint ensuite un temps où Jésus est venu. Il était la voie à laquelle Dieu avait pourvu. Est-ce juste?

            Une femme a touché le bord de Son vêtement. Il vint un temps où Jésus était monté au Ciel et où Dieu a pourvu à une voie. Pierre, l’apôtre, les gens se couchaient dans son ombre et ils étaient guéris. Est-ce juste? La voie à laquelle Dieu a pourvu.

            Il y avait un autre homme qui s’appelait Paul. Est-ce juste? Et les gens ne pouvaient même pas–il ne pouvait même pas prier pour eux tous, alors Dieu a pourvu à une voie: on utilisait des linges qui avaient touché le corps de Paul, et les esprits impurs sortaient. Est-ce juste?

88        L’église est arrivée à un point où elle est plutôt peureuse. Eux, ils sont montés dans la chambre haute, et ils y sont restés dix jours et dix nuits. Et tout à coup il vint du ciel un bruit comme celui d’un vent impétueux, ce n’était pas un prédicateur qui montait la route en disant: «Maintenant, nous allons vous compter parmi nos membres», pas un prêtre catholique qui dit: «Nous allons vous donner la sainte eucharistie.»

            Le Feu est venu selon la voie à laquelle Dieu a pourvu. Le Saint-Esprit est descendu du ciel comme un vent impétueux. Cela a rempli toute la maison où ils étaient assis. Ils ne se sont pas avancés pour dire: «J’aimerais inscrire mon nom sur le registre de l’église.» Ils se sont repentis selon la voie à laquelle Dieu a pourvu. Ils se sont mis à courir, en criant, en parlant en langues, en sautillant par-ci par-là et en criant et en louant Dieu. A ce moment-là vint une église (Fiou!), la voie à laquelle Dieu a pourvu.

            C’est toujours la voie à laquelle Dieu a pourvu. Dieu n’a pas changé du tout. «Car cette Bonne Nouvelle doit être prêchée à toute tribu, toute langue, et toute nation pour Me servir de témoignage.» Alors Il reviendra.

            «Allez par tout le monde, et prêchez la Bonne Nouvelle. Celui qui croira et qui sera baptisé sera sauvé ; celui qui ne croira pas sera condamné. Et voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru»: la voie à laquelle Dieu a pourvu.

            «Priez pour les malades»: la voie à laquelle Dieu a pourvu.

            «Ces choses que Je fais.»

            «Je vois des visions.»

            «Tout ce qui est dans votre coeur, faites-le.»

            «Vous ferez aussi ces choses que Je fais»: la voie à laquelle Dieu a pourvu.

            Ceci Me servira de témoignage pour Ma résurrection à Palm Beach, en Floride, et partout dans le monde: la voie à laquelle Dieu a pourvu. Alléluia!

            Oh! comme je L’aime! Oh! comme Sa voie à laquelle Il a pourvu est ici, Sa voie à laquelle Il a pourvu pour chaque pécheur, Sa voie à laquelle Il a pourvu pour toute personne qui cherche le Saint-Esprit, Sa voie à laquelle Il a pourvu pour toutes choses, pour tout.

89        Madame, vous qui êtes assise là portant cette robe à carreaux, vous n’avez pas une carte de prière, n’est-ce pas? Vous qui êtes assise juste là, cette dame, vous n’avez pas une carte de prière. Vous étiez en train de prier. C’est juste. Mais vous souffrez de quelque chose sur votre côté, n’est-ce pas? Vous voulez en être guérie. Croyez-vous que Dieu va vous rétablir? Croyez-vous que Dieu vous guérira? C’est à votre côté gauche, n’est-ce pas? Je vous vois alors essayant de descendre du lit, vous tenant le côté gauche. Pas vrai? Très bien, cela vous a quittée maintenant. Vous avez accepté la voie à laquelle Dieu a pourvu. Il est ici pour vous guérir. Que Dieu vous bénisse. Partez, et que la paix et la grâce éternelles de Dieu reposent sur vous. Amen.

            Croyez-vous en Lui de tout votre coeur? Regardez dans cette direction et vivez, s’il vous plaît.

90        A quoi pensez-vous, madame, assise là? Croyez-vous de tout votre coeur? Vous qui êtes assise là, souffrant de la hernie, croyez-vous que Dieu vous guérira de cette hernie? Si vous le croyez... Le croyez-vous? Croyez-vous qu’Il l’a fait? Allez-vous accepter la voie à laquelle Dieu a pourvu? La voie à laquelle Dieu a pourvu, c’est la puissance que vous sentez venir sur vous maintenant même. Si vous ouvrez votre coeur, cet Ange de Dieu qui se tient juste au-dessus de vous là vous guérira. Croyez-vous cela? Si vous le pouvez, vous pouvez être guérie. Que Dieu vous bénisse.

            Qu’en pensez-vous, vous qui êtes assise là souffrant de l’hypertension, madame? Croyez-vous... vous qui êtes assise là souffrant d’une maladie cardiaque? Pas vrai? Croyez-vous que cette puissance de Dieu, qui est en train de se mouvoir sur vous maintenant, est en train de vous rétablir? Tenez-vous debout ; votre maladie cardiaque vous a quittée: la voie à laquelle Dieu a pourvu. Alléluia!

            Ayez foi en Dieu. Amen. Mettez-vous à croire.

            Je vois une dame qui vient de Miami, elle s’avance ici. Cette femme a–elle a l’hypotension, et elle est anémique ; elle est assise juste là. Très bien. Que Dieu vous bénisse, soeur. Rentrez chez vous et soyez guérie, au Nom de Jésus-Christ. Amen.

91        La dame assise juste à côté de vous, elle avait aussi l’hypertension. Que Dieu vous bénisse, vous pouvez rentrer chez vous ; vous pouvez aussi être guérie. Grâces soient rendues à Dieu. Alléluia! Amen.

            L’Ange de Dieu est ici! Mon corps tout entier est tellement engourdi que j’arrive à peine à sentir mes mains, alors que je les presse.

            Vous souffrez des poumons, vous qui êtes assis là derrière, n’est-ce pas, monsieur? Très bien, tenez-vous debout ; Jésus-Christ vous a guéri. Que Dieu vous bénisse. Vous pouvez rentrer chez vous maintenant et soyez rétabli. Amen.

            Je vous demande de croire le Dieu Tout-Puissant.

92        Je vois un homme assis là, juste hors de–là quelque part, un instant. Cet homme a l’arthrite ; il a–il a aussi des hémorroïdes. C’est ça. C’est votre femme qui est assise à côté de vous, n’est-ce pas? Est-ce juste? Tenez-vous debout, madame. J’ai vu cette même dame debout dans une vision. Un instant. Soyez respectueux. Je crois... Oui, monsieur, vous avez un problème de la vésicule biliaire. Et vous avez quelque chose comme, dans votre nez, quelque chose qui fait couler votre nez ; c’est–c’est le rhume de foin. Pas vrai? Dites, ne... Votre nom n’est-il pas Joe, ne vous appelle-t-on pas Joe, ou quelque chose comme cela? Ou Joe Stone, ou quelque chose comme cela? Pas vrai? Je pensais avoir entendu cela lorsque j’ai entendu ce médecin vous examiner. Rentrez chez vous, monsieur, vous venez aussi de Miami, n’est-ce pas? Je ne vous ai jamais vu de ma vie, mais n’est-ce pas la vérité? Pas vrai? Imposez la main à votre femme, femme imposez la main à votre mari. Et acceptez tous votre guérison, car vous rentrez chez vous guéris. Alléluia!

            Vous pouvez penser que je suis fou, je sais de quoi je parle. Le baptême du Saint-Esprit est ici pour chaque homme. La guérison est ici pour chaque personne. Amen. Vous pensez que j’ai perdu la tête ; non. Je sais ce que je sens. Vous êtes dans la bonne atmosphère maintenant même pour vous mettre à regarder et être guéri. Allez-vous croire cela?

93        Dieu, qui est mon juge, parcourt toute cette salle maintenant même. On dirait une grande couche jaune avec des raies, suspendue partout. C’est votre foi, mes amis. Oh! Prenez la voie à laquelle Dieu a pourvu en acceptant Sa Parole et en disant: «Seigneur, c’est la vérité.» Et acceptez cela? Allez-vous le faire?

            Oh! la la! Chaque esprit qui est ici est sous mon contrôle maintenant par Jésus-Christ. C’est juste. C’est vrai. Si vous croyez que je suis le prophète de Dieu, en ce moment, plus personne ne sera faible parmi vous. C’est juste. Si vous croyez cela. Je peux seulement déclarer cela, et Dieu est ici pour confirmer cela, pour soutenir cela, et dire que c’est la vérité. Inclinez la tête. Prions.

94        Seigneur, je ne sais quoi faire d’autre. Je vois Cela se déplacer au-dessus de toute cette assistance maintenant. Ô Père, s’il Te plaît, ô Dieu, pendant que Tu es ici avec cette grande puissance et que Tu es en train d’opérer, puisses-Tu guérir chaque personne qui est ici. Que le Saint-Esprit maintenant, pendant que cette grande puissance est en train de se mouvoir au-dessus de cette assistance, que le Saint-Esprit descende directement. Ceci c’est Ta voie, celle à laquelle Tu as pourvu. Car tout celui qui était couché à l’ombre de Pierre était guéri. Comme Pierre prononçait encore ces mots, le Saint-Esprit descendit sur eux.

            Seigneur, je prie au Nom de Jésus-Christ que le Saint-Esprit chasse chaque esprit funeste, chaque esprit de doute, et que le témoignage de Jésus-Christ, qui est présent en ce moment pour confirmer qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement, démolisse les murs de ce démon de doute, des esprits impies, qui se déplacent ici et que chaque personne soit guérie.

95        Oh! toi démon, je t’ordonne par le Fils de Dieu, Jésus-Christ de Nazareth, de libérer ces gens. Sors d’eux! Que tout le monde prie. Certains sont assis là souffrant de l’arthrite, la femme qui est assise là est liée par la puissance du diable. Cette femme assise là perd la tête à cause de la ménopause.

            Chacun de vous est absolument guéri maintenant même, au Nom de Jésus-Christ si vous acceptez cela et vous tenez debout. Réclamez votre victoire que Dieu vous a offerte. C’est le moment de crier. Et les murailles de Jéricho, pour ainsi dire, l’ennemi qui vous garde dehors, tomberont par terre et chaque puissance du diable sera brisée. Au Nom de Jésus-Christ...

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