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LâExpectative
1
... en faisant ainsi, cela nous détend tous un peu. Et
certains, face au
ministĂšre de ce genre, se mettent Ă penser peut-ĂȘtre quâon devrait ĂȘtre
une
espĂšce de super personne ou quelque chose comme cela. Jâaimerais vous
faire
savoir: je suis juste votre frĂšre (Voyez?), juste un homme (Voyez?),
juste
votre frĂšre. Juste... Rien quâun humain comme nous tous. Et Dieu me
donne juste
un petit ministĂšre pour aider quelquâun, je me mets juste Ă faire de
tout mon
mieux avec cela, et câest au mieux de ma connaissance.
Ainsi
donc, hier soir, je me disais, en parlant de...?... avec des chevaux et
autres,
chevauchant ; eh bien, vous vous rendez compte que nous sommes
justeâjuste des
ĂȘtres mortels ensemble, essayant de notre mieux de faire ce que nous
pouvons
pour le Royaume de Dieu et pour la gloire de Son Bien-Aimé Fils,
Jésus-Christ.
2
Et une telle rĂ©action, cependant, oh! la la! câĂ©tait
merveilleux. Je
pensais que je... En réalité, les réunions ont été organisées pour...
câĂ©tait
pour la prĂ©dication de lâEvangile uniquement. Je suis... Et puis, quand
on se
retrouve lĂ oĂč le... et quâon mentionne la venue... Le Seigneur a bĂ©ni
si
grandement la priĂšre pour les malades que les gens ont simplement... En
fait,
quand ils arrivent, ils sâattendent Ă une rĂ©union de priĂšre pour les
malades.
Vous
pouvez... Parfois, je descends dâun avion quelque part, ou je vais
quelque part
en voyage, et il y a probablement quelquâun lĂ -bas qui fait signe, qui
a une
ambulance parquĂ©e lĂ avec un malade pour qui prier, Ă lâaĂ©roport. Ils
savent
que lâavion va atterrir ou quelque chose comme cela. Câest donc trĂšs
gentil,
je... Câest... JâapprĂ©cie cela. Si les gens ont une si grande foi en
Dieu pour
croire cela, câest trĂšs, trĂšs bien. Ainsi donc, jeâje suis
reconnaissant pour
cela, et je prie que Dieu bénisse.
3
Jâai serrĂ© tout Ă lâheure la main Ă un jeune homme, Ă mon
arrivée, un jeune
garçon (Sâil est ici, je nâai pas lâintention de le mettre en
vedette.), un
trĂšs bon jeune homme ; il a dit: «FrĂšre Branham, jâai grandi dans un
foyer
chrĂ©tien.» Il a dit: «Jâai contractĂ© lâhabitude de fumer, etâet
jâutilise des
mots grossiers.» Il a dit: «FrĂšre Branham, jâaimerais me mettre en
ordre avec
Dieu. Voudriez-vous prier que...»
Voyez,
Ă©lever un enfant selon la voie quâil doit suivre. Ils frĂ©quentent ces
enfants
qui nâont pas ce genre dâenseignement, ils sâĂ©garent, mais ne vous en
faites
pas, Dieu les ramĂšnera. Je le crois.
4
Il y a un frÚre assis ici qui a dit: «FrÚre Branham, ne vous
souvenez-vous
plus lĂ Ă Phoenix, dans le sous-sol de lâauditorium, une fois, vous
avez prié
pour ma femme qui Ă©tait devenue folle?» (Je mâen suis bien souvenu.) Il
a dit: «Elle
est ici avec nous ce soir.»
Il a dit:
«Elle jouit de toutes ses facultés.»
Oh! Je
me demande si cette femme est prĂšs ; quâelle veuille bien se lever.
Est-ce le
ministre, je pense, ou quelque part ici? Câest un... Oui, saâsa femme,
celle
qui a été guérie à Phoenix.
Cela me
rappelle une fois Ă âĂ Little Rock, dans lâArkansas. Je pense que
câĂ©tait lâun
des pires cas de la folie que jâaie jamais vu de ma vie. Et quelquâun
en a
rendu témoignage dans la réunion.
5
JâĂ©tais juste... (Si vous en voulez la confirmation, vous
pourrez écrire au
prĂ©sident du comitĂ©, câĂ©tait RĂ©vĂ©rend G.H. Brown, de Little Rock, dans
lâArkansas, 505, rue Victor ; RĂ©vĂ©rend G.H. Brown.) Et nous Ă©tions en
train de
prier. CâĂ©tait vers... CâĂ©tait tard et jâĂ©tais trĂšs fatiguĂ© ; câĂ©tait
juste
avant que je prenne mon temps, on me laissait le prendre, on me
laissait juste
faire une pause jusquâĂ ce que... failli me tuer.
JâĂ©tais
donc trĂšs Ă©tonnĂ© cette nuit-lĂ . Il y avait lĂ dehors un vieil homme, lĂ
Ă la
réunion. Il était... il avait des béquilles à peu prÚs comme le frÚre
ici qui
est...?... ses pieds placĂ©s dessus. Ăa faisait longtemps quâil Ă©tait
estropié.
Et pendant le service, le Seigneur JĂ©sus lâavait guĂ©ri. Et le jour
suivant, il
parcourait la rue, tenant ses béquilles devant lui, il disait: «Le
Seigneur
mâen a dĂ©barrassĂ© hier soir.» Alors...?...
Oh! la
la! Les journaux mâont vraiment fait une description, disant: «Un
prédicateur
baptiste prétentieux a fait bloquer les rues avec des ambulances et des
véhicules: quel fanatisme!»
6
Ce vieux frĂšre... JâĂ©tais lĂ en train de parler comme ceci,
alors il sâest
levĂ© et a dit: «Dites donc, FrĂšre Branham ; jâaimerais vous poser une
question.»
Tout en désordre...
Néanmoins,
jâai dit: «Dâaccord, frĂšre ; câest quoi?»
Il a dit:
«Je suis vraiment trÚs heureux, je ne sais que faire.»
Jâai dit:
«Eh bien, câest bien.»
Il a dit:
«Vous savez, la chose étrange cependant, a-t-il dit, quand je vous ai
entendu
prĂȘcher, jâĂ©tais sĂ»r que vous Ă©tiez nazarĂ©en.» En effet, lui-mĂȘme Ă©tait
nazarĂ©en, vous savez. Il a dit: «JeâjâĂ©tais sĂ»r que vous Ă©tiez
nazaréen. Et
puis, a-t-il dit, jâai vu tous ces pentecĂŽtistes par ici, et quelquâun
mâa dit
que vous étiez pentecÎtiste.» Et il a ajouté: «Maintenant, je vous ai
entendu
dire il y a quelques instants que vous étiez baptiste.» Il a dit:
«Jeâje
nâarrive pas Ă comprendre cela.»
Jâai dit:
«Câest trĂšs facile.» Jâai dit: «Je suis un baptiste pentecĂŽtiste
nazaréen.» Et
jâai dit... [FrĂšre Branham et lâassemblĂ©e rient.âN.D.E.] Nous sommes
tous un en
Jésus-Christ. Amen...?...
7
Ce soir-lĂ , Mr Brown mâa parlĂ©, disant: «FrĂšre Branham,
aussitĂŽt que...
attendez une petite pause pour vous reposer encore.» On me laissait me
reposer
quelques minutes. Je devenais vraiment engourdi, partout, alors on me
mettait Ă
lâĂ©cart et on me laissait me reposer quelques minutes, juste pendant
quâon
chantait des cantiques, et peut-ĂȘtre un prĂ©dicateur prĂȘchait un petit
sermon.
Je me reposais un peu et je revenais. Alors, cela... Je nâĂ©tais pas
alors sorti
prier pour les malades, mais juste, oh! deux ou trois mois.
On mâa
donc amenĂ© Ă lâĂ©cart et il a dit: «Jâaimerais vous montrer une scĂšne
comme vous
nâen avez jamais vue.»
Jâai dit:
«Câest quoi?»
Il a dit:
«Une folle.»
8
Je suis descendu, et je me suis tenu sur les marches en
descendant, au fond
de lâauditorium. On ne pouvait pas entendre lĂ en bas, sinon par la
sonorisation ; câĂ©tait trĂšs bondĂ©. Mais il nây avait personne en ce
lieu-lĂ ,
dans cette salle, parce quâon ne pouvait pas y entrer Ă cause de cette
femme.
Elle était étendue par terre, ses jambes dressées droit en haut comme
ceci, les
bras et les jambes Ă la fois, et elle saignait partout. Son mari se
tenait sur
les marches, un trĂšs bon frĂšre, un trĂšs brave, du genre Arkansas, il se
tenait
là en salopette tout délavée. Il a dit...
Je vais
vous dire quoi, ami, vous parlez des salopettes et des chemises bleues,
certains de meilleurs vieux coeurs du monde battent derriĂšre cela.
Câest vrai.
Câest vrai. Et ilâil mâa serrĂ© la main. Il a dit: «Oh!»
Jâai dit:
«Quel est votre problÚme?»
Il a dit:
«FrĂšre Branham, câest ma femme.»
Et jâai
regardĂ© lĂ , elle Ă©tait couchĂ©e comme cela. Jâai dit: «Oh! la la!» Jâai
dit: «Pourquoi
saigne-t-elle?»
9
Il a dit: «Eh bien, FrÚre Branham, a-t-il dit, nous avons
suivi ce
témoignage-là , depuis là à Pinewood, de la guérison de cette femme qui
avait
Ă©tĂ© amenĂ©e de lâhĂŽpital psychiatrique.» Il a dit: «Nous avons pensĂ© que
peut-ĂȘtre si nous pouvons amener ma femme...» Il a dit: «Nous avons
obtenu
quâon la libĂšre ce soir et, a-t-il dit, ils...» Une distance dâune
centaine de
kilomĂštres. Il a dit: «Lâambulance ne voulait pas toucher cela.» Il a
dit: «Jâai
pris deux ou trois frĂšres pour mâaccompagner. Nous lâavons embarquĂ©e Ă
bord
dâune Chevrolet et, a-t-il dit, elle a pris le dessus sur ces hommes,
elle a
donné des coups de pied à la vitre et a cassé toutes les vitres, et
câest cela
qui lâa blessĂ©e (Voyez?), Ă partir de la vitre.»
Jâai dit:
«Oh! la la! Câest vraiment dommage.» Et jâai dit: «Comment cela est-il
arrivé,
frÚre?»
Il a dit:
«Eh bien, FrĂšre Branham, a-t-il dit, câest juste la pĂ©riode de
ménopause. Le
mĂ©decin lui a donnĂ© des piqĂ»res qui lâont mise dans cet Ă©tat-lĂ .»
Jâai dit:
«Eh bien, câest certainement dommage.» Et jâai dit: «Eh bien,
Ă©videmment quâil
nâavait pas lâintention de faire cela ; il a fait au mieux de sa
connaissance.»
10 Et il a dit: «Eh bien, ça fait deux ans quâelle est lĂ Ă
lâhĂŽpital
psychiatrique.» Il a dit: «FrĂšre Branham, câest une bonne femme.» Il a
dit: «Jâai
cinq petits enfants.» Il a dit: «Juste aprÚs ceci, a-t-il dit,
câĂ©tait... son
bĂ©bĂ© est nĂ© pendant le temps de la mĂ©nopause.» Il a dit: «Elle sâest
retrouvée
dans une situation trĂšs difficile.» Il a dit: «Nous... Jâai vendu ma
ferme et
tout le reste.» Il a dit: «Et vraiment, a-t-il dit, il me restait un
attelage
de boeufs... Je travaillais.» Il a dit: «Jâai vendu ces mulets afin
dâavoir de
lâargent pour aider Ă lâamener ici ce soir. Ses deux mulets, ce quâil
avait...»
Jâai dit:
«à frĂšre, câest certainement dommage.» Jâai dit: «Je vais mâavancer
pour lui
parler.»
Il a dit:
«Oh! Ne le faites pas, FrÚre Branham, a-t-il dit ; elle vous tuera.»
Jâai
ditâjâai dit: «Eh bien, je vais lui parler.»
Il a dit:
«Eh bien, elle ne connait mĂȘme pas son propre nom ; ça fait deux ans
quâelle
nâa pas prononcĂ© un mot.»
11 «Oh! ai-je dit, je pense que je peux lui parler.» (JâĂ©tais
juste un enfant
dans le ministĂšre. Jeâje ne savais pas alors ce que... Je me rends
compte
maintenant que le mieux est dâattendre et laisser Dieu le dire.) Je me
suis
donc avancé dans la piÚce. Elle était juste...?... couchée sur le dos.
Il a dit
quâelle ne sâĂ©tait pas relevĂ©e du dos ça faisait deux ans, elle Ă©tait
juste
couchĂ©e comme cela. Elle avait les mains en lâair comme cela, et je me
suis
directement avancĂ© lĂ , jâai dit: «Bonsoir, soeur.» Elle est simplement
restée
couchĂ©e lĂ , les yeux enfoncĂ©s et... Jâai tendu la main, jâai dit:
«Bonsoir.» Et
jâai saisi sa main. Oh! la la! Heureusement, Dieu Ă©tait avec moi.
Aurait...
Tout celui qui est possédé de démon, sa force augmente beaucoup, vous
savez.
Elle mâa saisi par la main, comme ça, trĂšs vite. Et jâai Ă©tĂ© un boxeur.
Jâai
détenu le titre de champion poids coq non vaincu, pour trois Etats,
alors... Je
savais ce que câest une prise.
Mais
elle mâa saisi comme ça, elle a saisi comme ça, et alors, nâeĂ»t Ă©tĂ© le
fait que
jâai trĂšs vite lancĂ© mon pied et que je lâai tapĂ©e aux seins avec mon
pied pour
me ressaisir, elle aurait... Eh bien, elle mâaurait probablement brisĂ©
les os
lĂ mĂȘme par terre, lĂ oĂč elle me tirait brusquement comme cela. Cela a
fait
dĂ©gager sa main, comme cela, et elle a soufflĂ© trĂšs fort comme unâcomme
unâun
crocodile, ou quelque chose comme cela, produisant un trĂšs grand
soufflement,
un bruit Ă©trange [FrĂšre Branham souffle dans le micro.âN.D.E.], comme
ça.
Eh bien,
oh! la la! Et alors, elle sâest mise Ă tournoyer. Eh bien, jeâje me
suis
Ă©loignĂ© dâelle. Et alors, elle a commencĂ© Ă me pourchasser, on dirait
comme un
serpent rampant par terre. On pouvait entendre cela, justeâjuste
commeâcomme
quelque chose qui rampe, lĂ oĂč elle... Elle mâa pourchassĂ© sur le dos,
sur les
marches comme cela. Et lĂ , elle rampait sur le pavement. Et jâai dit:
«Oh! la
la!»
12 Eh bien, câest seulement la grĂące de Dieu, sinonâsinon ĂȘtre
comme
cela...?... vous les femmes, ou les hommes aussi (Voyez?), rien que la
grĂące de
Dieu.
Et quand
elle a mis ses membres trĂšs forts contre leâle paroi du mur, comme
cela, et
quâelle sâest appuyĂ©e au mur comme cela, elle a donnĂ© un coup de pied
trĂšs
fort, et alors, elle sâest avancĂ©e sur le pavement et a cognĂ© un banc
placĂ© lĂ
et un cĂŽtĂ© de sa tĂȘte... CâĂ©tait une belle dame, charmante, dâenviron
quarante-cinq ans, elle sâest cognĂ©e la tĂȘte comme ceci, et les
cheveux... Et
le sang a giclé quand elle a cogné, elle a détaché un morceau du banc.
Eh bien,
ses jambes étaient trÚs fortes pour lancer des coups de pied comme
cela. Et un
morceau de banc sâest envolĂ©, elle a tenu cela entre ses mains, comme
cela, et
elle lâa lancĂ©. Cela a ratĂ© son mari de justesse, et ça a dĂ©tachĂ© le
plĂątre du
mur.
Jâai dit:
«Oh! la la! Elle est dans un état horrible.»
Il a dit:
«Oui.» Il a dit: «Maintenant, FrÚre Branham, vous faudra-t-il lui
imposer les
mains?»
Jâai dit:
«Jeâjâaurais voulu pouvoir le faire.»
Et il
sâest mis Ă pleurer. Il a dit: «Maintenant, je ne sais pas ce que...»
13 Jâai dit: «Regardez, frĂšre. Oui, oui, ce nâest pas moi ;
câest JĂ©sus-Christ
qui opĂšre la guĂ©rison.» Jâai dit: «Si vous croyez de tout votre coeur
que Dieu
guĂ©rira cette femme-lĂ ... Et lâhistoire que je vous ai racontĂ©e, il y a
environ
deux semaines, de cet Ange qui mâa rencontrĂ© lĂ -bas, Il mâavait dit
dâaller et
dâĂȘtre sincĂšre en priant, et dâamener les gens Ă me croire. Et jâavais
dit:
âIls ne me croiront pas.â Il avait dit: â Il te sera donnĂ© des signes
comme il
en avait Ă©tĂ© donnĂ© au prophĂšte MoĂŻse, deux signes.â Vous vous rappelez
lâhistoire. Et Il a dit: âSi tu amĂšnes les gens Ă te croire, rien ne
résistera
Ă la priĂšre.â» Jâai dit: «Monsieur, croyez-vous cela?»
Il mâa
entouré de son vieux bras osseux et a dit: «FrÚre Branham, je le crois
de tout
mon coeur.»
14 Je me suis retourné comme ceci, et alors, cette femme a
bougĂ© de la mĂȘme
façon. Elle a dit: «William Branham, tu nâas rien Ă faire avec moi.» Et
cet
homme a dit: «Eh bien, ce sont les premiers mots quâelle prononce en
deux ans.»
Jâai dit:
«Ce nâest pas elle.»
Elle a
dit... Il a dit: «Comment tâa-t-elle reconnu?»
Jâai dit:
«Ce nâest pas elle ; câest le dĂ©mon qui crie.» Voyez? ...?... Jâai dit:
«Câest
Satan. Elle ne savait pas que jâĂ©tais William Branham. Il a dit quâil
reconnaissait que jâavais dit la vĂ©ritĂ©. Et si seulement vous croyez,
vous
verrez la gloire de Dieu.»...?... Et il a dit: «Tu nâas rien Ă faire
avec moi.
Câest moi qui lâai amenĂ©e ici.»
Jâai dit:
«Tu lâas peut-ĂȘtre amenĂ©e ici, mais JĂ©sus-Christ la guĂ©rira.»
15 Et elle sâest mise Ă avancer vers moi en rampant. Et jâai
dit: «Inclinons
la tĂȘte.» Et quand nous avons inclinĂ© la tĂȘte, et que jâai dit: «PĂšre
céleste,
ce pauvre frÚre et ce... a amené sa femme ici dans cet état. «Tu es le
mĂȘme
Dieu qui... ces dĂ©mons et les lĂ©gions que Tu chasses.» Jâai dit: «Tu es
le mĂȘme
Dieu, je demande donc au Nom de Jésus-Christ que les mauvais esprits
sortent de
la femme.» Alors, je me suis simplement retournĂ© vers lâhomme et jâai
dit: «Croyez-vous?»
Il a dit:
«FrÚre Branham, de tout mon coeur.»
Jâai dit:
«Maintenant, voyez, Il mâa dit que si jâamĂšne les gens Ă croire, que je
suis
sincĂšre, et frĂšre, ai-je dit, jâai Ă©tĂ© tout aussi sincĂšre que je savais
comment
lâĂȘtre.»
Il a dit:
«Merci, FrĂšre Branham.» Il a dit: «Que dois-je faire dâelle?»
Jâai dit:
«Ramenez-la Ă lâhĂŽpital psychiatrique.»
Il a dit:
«Dâaccord.»
Jâai
alors dit: «Laissez quâeux la renvoient.»
Il est
donc retournĂ©, et aprĂšs le service, il lâa ramenĂ©e. Et ce qui est
arrivĂ©, câest
quâelle nâa plus dĂ©rangĂ© personne, en retournant. Elle Ă©tait assise
calmement.
Ils sont
rentrĂ©s, ils lâont remise Ă lâhĂŽpital psychiatrique le lendemain matin.
Et le
matin suivant, quand ils sont entrĂ©s dans la cellule, lĂ oĂč elle Ă©tait,
pour la
nourrir, elle Ă©tait assise. Et le troisiĂšme jour, on lâa renvoyĂ©e du
sanatorium, elle est rentrée chez elle à la maison jouissant de toutes
ses
facultés.
16 Environ deux mois aprĂšs cela, jâĂ©tais Ă Little Rock, ou pas
Ă Little Rock,
mais Ă Jonesboro. Et lĂ Ă©tait assis... Je voyais quelquâun qui me
faisait
continuellement signe de la main, comme ça, à la réunion. Je me suis
dit: «Eh
bien, je ne me souviens pas de ces gens», et jâĂ©tais en train de
prĂȘcher. Jâai
encore regardĂ©, et je me suis dit: «Eh bien...» Et alors, la dame sâest
levée,
ou plutĂŽt lâhomme, et il a dit... Il avait des petits enfants lĂ , il a
dit: «FrÚre
Branham, est-ce que vous nous reconnaissez?»
Jâai dit:
«Je ne pense pas.»
Il a
dit... La dame a dit... Elle sâest aussi levĂ©e ; elle a dit:
«Excusez-moi,
FrĂšre Branham, mais, a-t-elle dit, on me dit que jâĂ©tais couchĂ©e sur
mon dos la
derniĂšre fois que vous mâavez vue.»
Et jâai
dit: «Avez-vous été guérie quelque part?»
Elle a
dit: «Oui. Câest moi la dame qui Ă©tait dans le sous-sol dans ce...»
Jâai dit:
«Oh! la la!»
Elle
Ă©tait lĂ avec ses cinq petits enfants, qui lâĂ©treignaient, normale,
bien
portante et dans son bon sens.
17 Quâest-ce? JĂ©sus-Christ est le mĂȘme hier, aujourdâhui et
éternellement ; Il
a fait marcher les boiteux, Il a fait voir les aveugles, Il a fait
entendre les
sourds, les démons ont été chassés, et la commission se poursuivait.
Amen. Et
cela se passe peut-ĂȘtre Ă travers le monde ce soir, parmi les membres
fidĂšles
et croyants du Corps de Jésus-Christ ; et la guérison divine, ça ne
relĂšve pas
de moi. Chacun de ces frĂšres assis ici, votre pasteur, vous nâavez pas
Ă
attendre dâavoir un programme de guĂ©rison divine pour ĂȘtre guĂ©ri.
Chacun de ces
hommes a la mĂȘme autoritĂ© que moi, ou nâimporte qui, pour prier pour
les
malades. Câest tout ce que nous pouvons faire, câest prier pour les
malades.
Et non
seulement eux, mais sâils sont ailleurs quelque part et quâils ne
peuvent pas
vous atteindre, une bonne soeur remplie du Saint-Esprit, ou un bon
frĂšre, qui
habite prĂšs de chez vous a la mĂȘme autoritĂ© (Câest exact.), la mĂȘme
chose. Si
vous ne pouvez pas atteindre votre pasteur... La Bible déclare:
«Quelquâun
parmi vous est-il malade, quâil appelle les anciens de lâĂ©glise, et que
les
anciens lâoignent dâhuile et prient pour lui. La priĂšre de la foi
sauvera le
malade.» Il est dit: «Dieu le relÚvera.» Pas le prédicateur, Dieu le
relÚvera. «Et
sâil a commis des pĂ©chĂ©s, cela lui sera pardonnĂ©. Confessez vos pĂ©chĂ©s
les uns
aux autres et priez les uns pour les autres.» Est-ce vrai? Priez les
uns pour
les autres. Voyez? «Afin que vous soyez guéri. Car la priÚre fervente
du juste
a une grande efficace.» Câest tout ce dont vous avez besoin. Etre
rempli de
lâEsprit de Dieu. Et vous seriez surpris si seulement vous
reconnaissiez les
dons qui sont placés juste dans cette salle ce soir. Oui, oui.
18 Or, si je connaissais la maladie, assurément je connaßtrais
les dons.
Est-ce vrai? Câest vrai. Alors, jeâje sais que dans des rĂ©unions, quand
je
rencontre des chrĂ©tiens, ils sont lĂ . La seule chose, câest que vous
devez vous
surveiller en parlant aux gens, car ils sâaccrochent bien Ă votre
parole ; ils
diront quelque chose, et il vous faut ĂȘtre sĂ»r que cela vient
directement de
Dieu, ce quâon dit Ă quelquâun. Câest pourquoi ne dites pas ces
choses-lĂ .
Voyez-vous? Mais menez simplement une vie humble devant Dieu, soyez
juste ...
Ne cherchez pas Ă vous faire passer pour quelque chose. Soyez
simplement
humble. Dieu sâoccupera du reste. Voyez? Il manifestera cela.
19 Eh bien, demain, Ă notre regret, jâaurais voulu, du fond de
mon coeur,
avoir une série de réunions un peu plus longue, si nous pouvions avoir
cela,
pour au moins une autre semaine. Jâai envie, si je pouvais, de prendre
la
semaine prochaine, juste Ă peu prĂšs quatre jours pour juste prĂȘcher
lâEvangile
ordinaire, et faire les appels Ă lâautel. Il serait difficile de dire
ce qui
arriverait. AprÚs que les gens se sont déjà fait une idée sur la
puissance de
Dieu qui délivre, que chacun de vous amÚne alors son ami pécheur, la
semaine
prochaine, ce serait peut-ĂȘtre en ce moment-lĂ mĂȘme que nousânous
pourrons
gagner des ùmes à Christ. Généralement, dans ce genre de réunions, il
nây a que
des chrétiens qui viennent. Des pécheurs viennent de temps à autre,
mais
gĂ©nĂ©ralement, ce ne sont que des chrĂ©tiens. Et puis, leâle croyant
croit déjà .
Voyez?
JâespĂšre
donc que ça sera la volonté de Dieu pour moi de revenir une fois de
plus vers
vous trĂšs bientĂŽt. Vous avez certainement un groupe de braves frĂšres et
de
braves... Jamais Ă aucun moment, nulle part, je nâai trouvĂ© davantage
de
collaboration de lâEsprit de Dieu plus que ce que jâai trouvĂ© ici mĂȘme
en ce
lieu. Câest vrai. Câest vrai. Câest la vĂ©ritĂ©.
Je nâai
jamais vu un lieu, que jâai dĂ©jĂ frĂ©quentĂ©, oĂč des ministres sont assis
derriĂšre moi Ă lâestrade. Et câest... La premiĂšre soirĂ©e, cela mâa
dérangé un
peu, car jâĂ©tais conscient de leur prĂ©sence lĂ , mais câĂ©tait juste ce
mur de
foi lĂ . Jâai dit quâon les laisse simplement tranquille. Ceâcâest bien
; ce
sont mes frĂšres. Câestâcâest merveilleux, et jâen suis ravi. Quand vous
trouvez
une telle foi lĂ pour croire, tout peut alors arriver.
20 Maintenant, nous vous remercions pour tout, et demain
aprĂšs-midi, si vous
le pouvez, je pense que les services commenceront Ă quatorze heures.
Est-ce
vrai? Quatorze heures. Cela me permettra dâĂȘtre ici Ă quatorze heures
trente,
peut-ĂȘtre. Et je parlerai un peu, et puis, je prierai pour les malades.
Et
alors...
Vous
avez Ă©tĂ© une assistance trĂšs gentille, et quâil pleuve ou quâil y ait
de
mauvaises soirĂ©es, vous ĂȘtes venus de toute façon. Vous nous avez aidĂ©s
avec de
lâargent pour payer des dettes. Je pense quâon va tout rassembler.
Monsieur
Brewer va donner cela à mon fils ce soir, et les dépenses à couvrir,
sâil nây
en a pas assez pour couvrir toutes les dépenses, cela sera couvert le
matin.
Sinon, eh bien, aprĂšs que mon offrande dâamour aura Ă©tĂ© prĂ©levĂ©e
demain, cela
sera fait, ça les couvrira. Sinon, en effet... Je pense, câest dĂ©jĂ
plus que
payĂ©. Et sâil en reste quelque chose, nâimporte quoi, je ne le prendrai
pas
pour moi-mĂȘme ; je lâaffecterai droit aux oeuvres missionnaires Ă
lâĂ©tranger,
envoyer outre-mer pour faire tout mon possible. Sâil en manque un peu,
alors je
vais prĂ©lever sur mon offrande dâamour, je couvrirai avec cela. Voyez?
21 Maintenant, nous aimerions quitter sans aucune dette,
laisser tout le monde
bien et merveilleux, et glorifiant Dieu. Câest lĂ un principe que nous
essayons
dâobserver partout. Et tous les prĂ©dicateurs, et les gens ici...
Si vous
ĂȘtes ici et que vous nâĂȘtes pas membre dâune Ă©glise, pourquoi ne pas
adhérer
aux Ă©glises de ces frĂšres, si vous habitez prĂšs dâeux? Vous croyez dans
ce
genre de ministÚre, eh bien, adhérez aux églises qui croient en cela.
Allez
adhérer aux églises qui soutiennent cela, qui croient en cela. Voyez?
Et vous
ĂȘtes venus ici et vous avez Ă©tĂ© guĂ©ris, et rentrer au milieu des gens
oĂč il y a
cette atmosphÚre-là , ceux qui ne croient pas dans la guérison divine et
tout.
Eh bien, votre Ă©tat sera tout aussi pire quâavant. Voyez? Câest vrai.
Vous vous
mettez sous le mĂȘme joug avec les incroyants. Câest ce que la Bible
déclare.
Est-ce vrai? Mais frĂšres... Ainsi donc, je souhaite que vous fassiez
cela. Et
je prie que vous le fassiez.
22 Bon. Eh bien, si votre église croit dans la guérison divine,
croit aux
bĂ©nĂ©dictions de Dieu... Voyez, ce nâest pas votre Ă©glise qui vous
sauve. Câest
Jésus qui est votre Sauveur. Mais si... Vous feriez mieux de fréquenter
les
gens... Et si vous croyez dans la guérison divine et que vous restez
avec ceux
qui ne croient pas dans la guérison divine, vous serez une charge pour
eux.
Câest vrai. Jâai toujours dit... Vous savez, les gens disent: «Dois-je
arrĂȘter
ceci, FrÚre Branham, si je vais me joindre aux églises du Plein
Evangile?
Dois-je abandonner les spectacles, les soirées dansantes et autres?»
Non. Il ne
vous faut rien abandonner. Rien.
Nous
sommes pratiquement tous des gens du nord ici. Nous avons de petits
chĂȘnes
rabougris par ici ; ils conservent leurs feuilles durant tout lâhiver.
DĂšs que
le printemps arrive, vous nâavez pas tous Ă sortir arracher les
anciennes
feuilles pour permettre aux nouvelles de pousser. Laissez simplement la
nouvelle vie monter, et les anciennes feuilles tombent de toute façon.
Donc,
vous ne... Il ne vous faut donc pas avoir une unité de mesure ; laissez
simplement la nouvelle vie entrer ; elle prendra soin dâelle-mĂȘme.
Câest vrai.
Les anciennes choses vont simplement dépérir et la nouvelle vie
apparaĂźtra.
23 Dans lâEvangile de Luc, chapitre 2, verset 25, jâaimerais
lire juste une
portion des Ecritures. Vous ĂȘtes si aimables que ça me dĂ©range vraiment
de
passer une soirée sans vous parler pendant quelques instants. Quand je
reviendrai, nous allons essayer dâen ajouter, nous pourrions ainsi
tenir des
services lâaprĂšs-midi et juste prĂȘcher lâEvangile et passer un
merveilleux
moment.
Et voici, il y avait à Jérusalem un homme appelé Siméon. Cet
homme était
juste et pieux, il attendait la consolation dâIsraĂ«l, et lâEsprit Saint
était
sur lui.
Il avait Ă©tĂ© divinement averti par le Saint-Esprit quâil ne
mourrait point
avant dâavoir vu le Christ du Seigneur. Il vint au temple, poussĂ© par
lâEsprit.
Et, comme les parents apportaient le petit enfant Jésus pour accomplir
Ă son
Ă©gard ce quâordonnait la loi,
Il le reçut dans ses bras, bénit Dieu et dit:
Maintenant, Seigneur, tu laisses ton
serviteur sâen aller en paix, selon ta parole.
Car mes yeux ont vu ton salut.
24 Maintenant, pouvons-nous incliner la tĂȘte juste un instant.
Bienveillant
PÚre céleste, nous Te sommes reconnaissants ce soir de ce que nous
avons cette
approche vers Toi au Nom de Ton Fils bien-aimé, Jésus-Christ, Celui qui
nous a
rachetés du péché.
Oh! Nous
pensons à ... Autrefois, nous étions étrangers à Dieu, des Gentils
retranchés de
Dieu, de la communautĂ© dâIsraĂ«l, errant dans lâadoration des idoles. Et
au
temps convenable, Christ est venu, et Il est mort, Lui lâInnocent pour
les
coupables. Et par lâeffusion de Son saint Sang et le droit Ă lâArbre de
la Vie,
nous les Gentils, nous avons été rapprochés au point que nous sommes
appelés
fils et filles de Dieu. «Et ce que nous serons tout Ă la fin nâapparaĂźt
pas
encore, mais nous savons que nous aurons un corps semblable Ă Son
propre corps
glorieux, car nous Le verrons tel quâIl est.» Sans pĂ©chĂ©, sans maladie,
sans
inquiétude, sans ennuis, sans vieillesse, tout sera alors terminé.
Oh!
Viens, Seigneur Jésus, aide-moi ce soir à presser... à répandre
lâEvangile Ă
travers le monde pour Te permettre de venir. Tu ne peux pas venir,
dâaprĂšs Ta
Parole, avant que le monde entier ait entendu lâEvangile. Je Te prie de
hĂąter
le jour, Seigneur, oĂč le monde entier entendra lâEvangile ; le pĂ©chĂ© et
le
chagrin, la douleur et la mort de ce monde de tĂ©nĂšbres cesseront. Dâici
lĂ ,
accorde-nous la grĂące. Donne-nous la vision. Donne-nous la puissance
dâapporter
lâEvangile aux gens.
25 Il y a devant moi ce soir, Seigneur, une boĂźte contenant des
mouchoirs. Et
alors que je pose mes mains dessus, il nây a rien en Ton serviteur pour
faire
cela, sinon comme un mémorial, ou un signe pour la Parole de
Jésus-Christ, qui
a dit: «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru: Ils
imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris.»
Et le
grand saint Paul, on retirait des mouchoirs et des linges qui avaient
touché
son corps, et la maladie quittait les gens, les démons les quittaient.
Et je Te
prie de guĂ©rir tout le monde. Veille sur eux, Seigneur. Que lâAnge de
Dieu
veille sur ces mouchoirs jusquâĂ leur arrivĂ©e au bon endroit. Et quand
ils
seront placés sur les malades, que tout le monde, sans exception
aucune, que
tout le monde soit parfaitement normal. Accorde-le, PĂšre, car nous
envoyons
cela au Nom de Jésus-Christ. Amen.
26 Jâai demandĂ© que Dieu vous bĂ©nisse tous. Et jâaimerais
parler juste un
moment, et puis, nous allonsânous allons commencer la priĂšre pour les
malades.
Eh bien,
nous aimerions dâabord ce soir mĂ©diter sur ce texte, si nous pouvons
lâappeler
un texte, juste pendant quelques instants. Et jâaimerais me servir du
mot:
Expectative. Comme je lâai mentionnĂ© ici lâautre soir, on reçoit
généralement
ce Ă quoi on sâattend, nâest-ce pas? Si vous ĂȘtes venu ce soir Ă la
réunion,
vous attendant juste Ă voir quelque chose que vous pouvez critiquer au
sujet de
la réunion, le diable vous en montrera beaucoup. Vous retournerez avec
beaucoup
de critiques juste comme vous vous y attendez.
Mais si
vous ĂȘtes venu ce soir dans lâexpectative, disant simplement:
«Seigneur, je
suis venu Te voir. Je suis venu dans lâintĂ©rĂȘt de... pour ĂȘtre guĂ©ri.
Je suis
venu pour le bĂ©nĂ©fice de mon Ăąme. Eh bien, je mâattends Ă ce que Tu me
donnes
cela, car je suis ici Ă cet endroit qui a Ă©tĂ© consacrĂ© Ă TaâĂ Ta
gloire», alors
vous recevrez exactement ce Ă quoi vous vous attendez. Câest vrai.
Chaque fois,
vous... Et vous ne pouvez jamais aller au-delĂ de vos attentes. Vous
aurez
toujours Ă faire cela.
27 Maintenant, lâexpectative... Nous voyons ici que quand JĂ©sus
naquit Ă
BethlĂ©hem de JudĂ©e, il nây avait pas de presse comme nous avons la
radio, la
tĂ©lĂ©vision et autres, comme nous en avons aujourdâhui. Les nouvelles se
rĂ©pandaient donc de bouche Ă oreille. Et puis... (Mâentendez-vous lĂ au
fond,
au balcon, en haut? Ăa va trĂšs bien? Entendez-vous par ici? )
Lâexpectative...
Et
alors, quand JĂ©sus naquit... GĂ©nĂ©ralement, Ă la naissance dâun roi, on
chante.
Il nây avait donc pas de salutation ici sur terre, des gens pour Le
saluer,
aussi les anges étaient-ils descendus et avaient-ils chanté, se
réjouissant:
Aujourdâhui, dans la ville de David, est nĂ© Christ le Sauveur. Le
choeur
angélique de Dieu, qui ne pouvait pas comprendre le mystÚre de cette
naissance
par la vierge, mais cependant, ils ont chanté: «Gloire à Dieu dans les
lieux
trÚs hauts, paix sur la terre aux hommes de bonne volonté», alors
quâils
chantaient Ă Sa naissance. Oh! Que câest merveilleux!
28 Ensuite, nous remarquons encore que, lĂ loin en Orient, des
mages ou des
astrologues... Je pense quâils observaient la prophĂ©tie de Balaam,
quâune
étoile se lÚverait de Jacob. Et ils pouvaient... ils attendaient que
cette
étoile se lÚve. Les historiens nous racontent que les trois mages...
Ils
Ă©taient venus de trois rĂ©gions diffĂ©rentes, ils nâavaient pas suivi une
seule
Ă©toile, comme la tradition chrĂ©tienne le rapporte, mais quâils avaient
suivi
trois étoiles différentes.
Et quand
ils se sont rencontrés à Bethléhem de Judée, tous les trois venant de
lâOrient,
se dĂ©plaçant Ă partir de trois endroits diffĂ©rents, ils ne sâĂ©taient
jamais
connus lâun lâautre avant leur rencontre. Et ils ont consoli-... ils se
sont
plutĂŽt concertĂ©s. Et lâun dâeux Ă©tait un descendant de Cham ; lâautre,
de Sem ;
et de Japhet: les trois fils de NoĂ©. Et ces trois Ă©toiles quâils
avaient
suivies se sont unies et ont formĂ© une grande Ă©toile qui sâest
suspendue
au-dessus de Christ. JĂ©sus a dit que quand cet Evangile sera prĂȘchĂ© aux
descendants de Cham, de Sem et de Japhet, alors viendra la fin.
29 TrÚs bien. Quand elles se sont regroupées et se sont
rassemblées... Eh
bien, tous les observatoires de lâĂ©poque, aucun dâeux nâa vu lâĂ©toile.
Et
pourtant, dans chaque ville, il y avait une tour, un observatoire, qui
observait les étoiles. On déterminait le temps à partir des étoiles.
Les montres
et autres nâexistaient pas Ă lâĂ©poque. Lâunique chose quâils avaient
donc,
câĂ©tait un cadran solaire pendant la journĂ©e, et des Ă©toiles, la nuit.
Ils
déterminaient donc le temps, la premiÚre heure, ou la troisiÚme heure,
et ainsi
de suite, à partir des étoiles.
Remarquez,
cette étoile est apparue, passant juste au-dessus de chaque
observatoire, sans
quâaucun dâeux ne lâait vu. (Eh bien, les gens vont aux rĂ©unions et
disent: «Jeâje
ne vois rien.» Vous ne vous attendiez à rien, en voilà la raison.
Voyez?) Ces
gens dans lâobservatoire, peut-ĂȘtre, lĂ -haut sur la tour de
lâobservatoire, ils
ne sâattendaient pas Ă voir quelque chose. Mais il y avait quelquâun
qui
attendait cette Ă©toile-lĂ de Jacob qui devait se lever. Câest vrai.
30 Il sera ici lâun de ces quatre matins, et il nây aura que
ceux qui
attendent qui recevront cela. Câest vrai, uniquement ceux qui veillent.
Autrefois, nous chantions un ancien cantique: «Veille et attends de
voir ce
spectacle-lĂ , Il revient.» Câest vrai. Soyez donc dans lâattente,
veillant.
Vous ne savez pas le moment exact oĂč Il pourra apparaĂźtre.
Alors,
ce soir, veillez et attendez-vous Ă vous lever des civiĂšres, des
brancards, des
fauteuils roulants, de nâimporte quel support oĂč vous ĂȘtes.
Attendez-vous Ă
sentir lâonction du Fils de Dieu quand Il entrera en vous pour vous
donner une
nouvelle foi et une nouvelle Vie, Ă bondir sur vos pieds. «Câest moi.
Jâattends, Seigneur. DĂšs que Tu touches mon coeur, je sors de ce
fauteuil. DĂšs
que Tu touches mon corps, je sors dâici.» Voyez? Veillez, attendez-vous
Ă ce
que quelque chose se produise.
31 Eh bien, les anges étaient venus, ils avaient chanté aux
bergers. Les
bergers sont descendus en ville pour voir ce qui était arrivé.
Huit
jours plus tard, selon la coutume de la tradition juive, on amenait un
enfant
au temple, tous les enfants mĂąles. Et ils devaient ĂȘtre circoncis, on
devait
offrir soit deux tourterelles (CâĂ©tait lâoffrande des paysans), soit un
agneau
(CâĂ©tait lâoffrande pour lâenfant dâun riche) pour la purification de
la maman
et pour lâenfant.
Ainsi
donc, si... Quand vous Ă©tudiez lâAncien Testament et que vous voyez ces
lois de
rachat, la loi de la rĂ©demption, oh! câest une belle chose. Jâaime
vraiment
lâAncien Testament, car Il est juste lâombre du Nouveau. Si vous vous
mettez en
ligne avec lâAncien Testament, vous aurez une bonne conception de ce
que le
Nouveau reprĂ©sente. Eh bien... En effet, câest lâombre de cela.
Et juste
comme Apocalypse 12, lĂ , la femme apparaĂźt avec la lune sous ses pieds,
la loi,
et le soleil sur sa tĂȘte, lâEvangile. Voyez? Douze Ă©toiles, les douze
apĂŽtres
et tout...
32 Remarquez donc attentivement. Ilsâils attendaient, ces
gens-lĂ , de voir
Dieu. Ils Ă©taient dans lâexpectative, dans leur coeur, de voir ces
choses
arriver, et Dieu le leur a accordé. Eh bien, il vous faut désirer cela.
David a
dit dans les Ecritures: «Quand la profondeur appelle la profondeur...
Au bruit
de tes ondĂ©es.» Or, avant quâil y ait uneâune profondeur ici Ă
lâintĂ©rieur pour
appeler, il doit y avoir premiĂšrement une profondeur lĂ dehors pour
rĂ©pondre Ă
lâappel de cette profondeur quâil y a ici Ă lâintĂ©rieur pour cela.
Voyez? La
profondeur appelant la profondeur...
33 Jâaime le paysage. Oh! la la! Il y a quelque temps, jâĂ©tais
Ă la chasse
lĂ -haut dans les montagnes, pas tellement pour le gibier, jâĂ©tais
lĂ -haut pour
me retrouver Ă lâĂ©cart. Jâaime vraiment les montagnes. Ma mĂšre est
mi-Indienne,
il y a donc assez de cela ; jâaime la nature et je ne peux pas mâen
dégager.
Ainsi donc, je peux contempler le coucher du soleil et pleurer comme un
enfant.
Je me
rappelle, lĂ -haut, un jour, je me tenais sur la montagne, les troupeaux
dâĂ©lans
Ă©taient en haut cette annĂ©e-lĂ , il nây avait pas eu de neige, et je me
promenais lĂ -haut, Ă la lisiĂšre. Et en automne, en octobre, des
tempĂȘtes
éclatent là . Il peut neiger un peu, puis il pleut un peu, ensuite le
soleil
apparaĂźt.
34 Je me rappelle en automne, il nây a pas longtemps, lĂ -haut,
jâerrais
lĂ -bas, et une tempĂȘte a Ă©clatĂ© lĂ . Je me suis mis derriĂšre un arbre et
je me
suis tenu comme ceci, un instant, jâai dĂ©posĂ© mon fusil par terre. La
tempĂȘte
est passée... Il y avait là de vieux arbres qui avaient été abattus par
le
vent, lĂ , dâune façon ou dâune autre. Et peu aprĂšs, aprĂšs la tempĂȘte,
jâai
Ă©coutĂ©. Je me tenais lĂ , je me suis dit: «Eh bien, par oĂč commencer ici
maintenant?»
Jâai
commencĂ©... Je me suis adossĂ©. JâĂ©tais Ă environ soixante ou
soixante-dix miles
[96,56 km ou 112,65 km], Ă ce que je sache, dâun ĂȘtre humain vivant,
avec deux
ou trois chevaux de bĂąt, et campant lĂ . JâĂ©tais donc assis lĂ , ou
plutĂŽt debout
lĂ , regardant tout autour et me demandant quelle direction suivre Ă
partir de
lĂ . Je ne voyais pas de pistes dâanimaux ni rien. Je me suis donc dit:
«Que
vais-je faire?»
Et vers
ce moment-lĂ , sur lâautre crĂȘte, la tempĂȘte avait dispersĂ© les Ă©lans.
Et jâai
entendu de gros mĂąles bramer (Oh! la la!), jâai entendu cela faire Ă©cho
de
lâautre cĂŽtĂ© de la vallĂ©e. La profondeur a donc commencĂ© Ă appeler la
profondeur. LĂ loin derriĂšre, un vieux loup gris sâest mis Ă hurler, et
sa
compagne a répondu vers le bas. Humm. Oh! la la! La profondeur appelant
la
profondeur! Je me suis dit: «à Dieu, certainement que Tu es aussi le
Dieu des
montagnes, ici en haut.» Si vous avez Dieu ici Ă lâintĂ©rieur, vous
pouvez voir
Dieu partout oĂč vous regardez. Câest vrai. Celaâcela se manifestera
dehors.
35 Je me suis donc tenu lĂ un petit instant, et lĂ oĂč le soleil
atteint son
apogĂ©e, Ă travers les fissures des rochers, alors quâil se couchait Ă
lâouest,
brillant comme lâoeil de Dieu, regardant, parcourant la terre dâun bout
Ă
lâautre, jâai vu cela briller sur ces arbres-lĂ . Et lĂ -haut, il faisait
froid,
il y avait du gel sur les arbres toujours verts, formant un petit
glaçon. Et
alors, un arc-en-ciel sâest formĂ© lĂ dans la vallĂ©e. Eh bien, ce loup
hurlait
ici, et sa compagne répondait en bas. Oh! la la! Et les troupeaux
dâĂ©lans, et
lâarc-en-ciel...
Jâai
dĂ©posĂ© mon fusil contre lâarbre. Jâai couru lĂ , jâai levĂ© les mains et
jâai dit:
«à Grand Jéhovah Dieu, qui regarde en bas depuis les cieux, le Dieu...
vous a
donnĂ© cette pluie et nous a donnĂ© ce signe de lâarc-en-ciel.» Jâai dit:
«Je
peux voir un autre signe de lâarc-en-ciel dans Apocalypse 2, lĂ oĂč
Jésus a
lâaspect de la pierre de Jaspe et de Sardoine: Ruben et Benjamin, le
Premier et
le Dernier, avec lâarc-en-ciel parcourant les sept Ăąges de lâEglise ;
les
couleurs ; oh! le mĂȘme hier, aujourdâhui et Ă©ternellement, lâAlpha,
lâOmĂ©ga ;
le Commencement et la Fin ; Celui qui était, qui est et qui vient, la
Racine et
le Rejeton de David ; lâEtoile du matin.» Cela se trouvait derriĂšre
moi, les
sept couleurs, lâalliance de Dieu avec lâEglise, quâIl a Ă©crite avec
Jésus-Christ, Son Fils, une rédemption parfaite...
36 Je me suis mis Ă crier. Eh bien, si on avait fait venir
quelquâun lĂ pour
regarder, il aurait pensĂ© quâil y avait un fou lĂ . Jâai contournĂ©
lâarbre sans
cesse Ă toute vitesse, je sautais en lâair et je poussais des cris.
Jeâje neâje
ne me souciais pas de qui me voyait. Jâadorais Dieu. Je... Ăa ne
changeait rien
pour moi, ce que quelquâun pensait.
Et
alors, je contournais sans cesse, et je me disais: «Oh! la la!
Seigneur,
pourquoi dois-je donc quitter ici? Câest beau ici, nâest-ce pas?» Câest
comme: «Construisons
trois tentes», mais aux pieds de la colline il y avait quelquâun qui
attendait
quâon prie pour lui, Ă©videmment. Je me suis donc dit que je ferais tout
aussi
mieux de me rĂ©jouir un peu plus. Et jâai encore contournĂ© lâarbre,
secouant mes
bras et criant Ă tue-tĂȘte: «AllĂ©luia! AllĂ©luia Ă Dieu! AllĂ©luia Ă
Dieu!» Je me
suis dit: «Câest merveilleux, nâest-ce pas?» Oh! la la! Je me tenais
lĂ . La
profondeur rĂ©pondant Ă la profondeur, lâappel, les bruits de Tes
ondĂ©es.» Jeâje
me suis dit: «Oh! la la! Câest beau, nâest-ce pas?»
37 Il mâest arrivĂ© dâentendre quelque chose sauter ; cela sâest
mis Ă
jacasser, jacasser, jacasser, jacasser, jacasser, un drĂŽle de petit
écureuil de
pin. Un petit animal, Ă peu prĂšs de cette taille, câĂ©tait lâanimal le
plus
bruyant que vous ayez jamais entendu. Il a sauté sur un rondin là et,
eh bien,
je... A voir comment il agissait, je me suis dit quâil allait me
tailler en
piĂšces ; juste Ă peu prĂšs de cette taille. Voyez? Je lâai regardĂ©. Je
me suis
dit: «Maintenant, Seigneur, Tu nâas jamais placĂ© quelque chose devant
un homme
Ă moins quâil y ait... que ce soit quelque chose pour Ta gloire.» Et
jâai dit: «Maintenant,
pourquoi as-Tu laissé ce petit écureuil de pin jacasser comme cela?»
Il mâest
arrivé de voir que le petit écureuil regardait vers le bas, comme cela
; il ne
me regardait pas. Mais la tempĂȘte avait forcĂ© un gros aigle Ă descendre
lĂ . Cet
aigle sortait de ce sous-bois, de ce buisson. Et jâai regardĂ©, jâai
dit: «Oh!
Lâaigle, câest ce qui tâa excitĂ©.» Et ce petit animal Ă©tait simplement
en train
dâagir comme sâil allait tailler cet aigle en piĂšces. Alors, ce gros
aigle, il
a sauté sur une branche comme cela.
38 Et je me suis dit: «Maintenant, pourquoi Dieu a-t-Il
détourné mon attention
de cet arc-en-ciel, de ce loup qui appelle, et autres, vers quelque
chose comme
ceci?» Je me suis dit: «Eh bien, Seigneur, Tu es dans Ta nature. Et je
me
tapais donc un moment merveilleux ; pourquoi as-Tu fait cela?» Je me
suis dit: «Jâobserverais
cela juste une minute.» Je me suis dit: «Eh bien, maintenant, cet
aigle-lĂ ,
câest un charognard, il nây a rien de bon en lui.» Je me suis dit: «Eh
bien,
que fait-il?» Jâai vu ce gros oiseau me regarder.» Je me suis dit: «Oh!
Je
comprends. Il est si brave ; il nâa pas peur de moi. Je me suis dit:
«Je vais
éprouver sa bravoure.»
Jâai dit:
«Hein! Oiseau, sais-tu que je peux te tirer dessus?» Ces gros yeux
gris, ils
les roulaient de façon dramatique, me regardant ; il a regardé ce petit
Ă©cureuil. Il nâavait pas peur. Je me suis dit: «Oh! Seigneur, je vois.
Tu veux
quelquâun qui nâa pas peur.»
Câest ça
le problĂšme de lâEglise aujourdâhui. Vous avez peur. Vous avez peur
quand vous
demandez, que vous nâallez pas recevoir. Câest la raison pour laquelle
vous ne
recevez pas. Nâayez pas peur. Demandez, et puis croyez que vous allez
recevoir
cela ; vous le recevrez. Dieu vous lâaccordera.
39 Je me suis donc dit: «Oh! Je vois, la bravoure.» Je me suis
dit: «Quâest-ce
qui le rend donc brave? Il doit y avoir une raison qui fait quâil soit
brave.»
Et jâai dit... Jâai saisi mon fusil comme ceci ; jâai dit: «Je vais
lâeffrayer.»
Alors, jâai saisi mon fusil comme si jâallais le lever comme ceci, et
il a
battu ces grandes ailes, il mâa encore regardĂ©, il a regardĂ© de
nouveau. Je me
suis dit: «Eh bien, pourquoi est-il si brave?» Je lâai observĂ©, il
continuait Ă
bouger ses ailes, à battre ses plumes. Je me suis dit: «Oh! Je vois.
Dieu tâa
donnĂ© deux ailes ; câest la puissance que Dieu tâa donnĂ©e. Et tu te
fies Ă
cela.»
Et je me
suis dit: «Siâsi Dieu a donnĂ© Ă lâaigle deux ailes pour quâil se tire
du
danger, et quâil a une si grande confiance en ses ailes, que devrait
faire une
église baptisée du Saint-Esprit?» Voyez? Il était là , bougeant ses
plumes. Je
me suis dit: «Oui, tant quâil peut sentir ces ailes, câest en ordre, il
nâa peur
de rien.» Et jâai dit: «Gloire Ă Dieu!» Tant que je peux sentir le
Saint-Esprit
se mouvoir, les dĂ©mons ne peuvent mâeffrayer en rien (Câest vrai.),
quand le
Saint-Esprit est lĂ .
Que
câest merveilleux! Il nâest pas Ă©tonnant que vous puissiez vous tenir
lĂ , pas
comme le rocher de Gibraltar, mais comme le Rocher des Ăąges. Nous
subsisterons,
aprĂšs que le rocher de Gibraltar aura disparu.
40 Je me suis donc dit: «Câest merveilleux, nâest-ce pas?» Eh
bien, jâai alors
dit... Je me demande pourquoi il... Eh bien, jâai dit: «Maintenant, ce
bois
nâest pas trĂšs Ă©levĂ© et il sait que câest son Ă©chappatoire. Avant que
je puisse
épauler ce fusil-là , et surtout regarder au travers de ce petit viseur
en V, il
se retrouverait dans ce bois-lĂ , et je ne pourrais pas lui tirer
dessus, et il
sait ça. Eh bien, me suis-je dit, câest merveilleux, nâest-ce pas?» Et
je me
suis remis Ă crier. Je ne sais pas si je lâai effrayĂ© en ce moment-lĂ
ou pas.
Mais de
toute façon, il a regardé tout autour un petit instant. Je me suis dit:
«Je
tâadmire, oiseau. Je ne te tirerais pas dessus. Puisque tu es si brave,
jeâjâaime la bravoure, et je ne te tirerais certainement pas dessus.»
Il est
restĂ© perchĂ© lĂ un petit moment. Peu aprĂšs, il sâest tout simplement
balancé un
peu, comme cela, sur ses pattes. Il en avait marre dâentendre ce drĂŽle
de petit
écureuil de pin jacasser, jacasser, jacasser, jacasser, jacasser,
jacasser. Et
je me suis dit: «Câest vrai. Cela rappelle bien certaines de ces
personnes par
ici: âLes jours des miracles sont passĂ©s. La guĂ©rison divine nâexiste
pas. Le
Saint-Esprit nâest pas pour aujourdâhui.â» Eloignez-vous-en donc dâun
bond.
Câest vrai. Eloignez-vous-en donc, tenez-vous simplement loin.
Je lâai
observĂ©. Eh bien, il nâa pas battu, battu, battu, battu, battu ses
ailes. Il a
simplement effectué un grand bond, il a battu à peu prÚs deux fois,
puis il a
disposĂ© ses ailes. Et quand ce coup de vent...?... Il nâa point bougĂ©
une
plume. Il savait donc comment naviguer en lâair, il a simplement
continué à aller,
sans cesse, jusquâĂ disparaĂźtre de la vue.
41 Je me suis tenu lĂ . Jâai pleurĂ© comme un enfant. Jâai dit:
«Câest ça,
Seigneur. Il nâest pas question de courir ici et courir lĂ , battre ici
et
battre lĂ . Il est juste question de disposer vos ailes de la foi face Ă
la
puissance de Dieu, et quand cela vient, vous vous élevez. Vous vous
éloignez
de... qui disent: âLes jours des miracles sont passĂ©s ; telle chose
nâexiste
pas.â» Surmontez. Ne cherchez pas Ă pousser et Ă bousculer, disposez
simplement
votre foi face Ă la puissance de Dieu. Et Ă chaque coup de vent,
surmontez cela
comme cela en naviguant. Câest ça. Amen.
Câest
alors que la profondeur appelait réellement la profondeur donc.
Merveilleux! La
profondeur appelant la profondeur. A moins quâil y ait une
profondeur... Avant
quâil y ait une nageoire sur le dos dâun poisson, il a dĂ» y avoir
premiĂšrement
de lâeau pour que le poisson y nage, avant quâil ait donc de nageoire,
sinon il
nâaurait pas eu de nageoire. Est-ce vrai? Avant quâil y ait un arbre
qui pousse
sous terre, il a dĂ» y avoir premiĂšrement une terre oĂč il devait
pousser, sinon
il nây aurait pas eu dâarbre. Est-ce vrai? En dâautres termes...
42 Tenez, il y a quelque temps, je lisais au sujet dâun petit
garçon qui
mangeait la gomme dâun crayon. Il avait mangĂ© la... et mangeait la
pĂ©dale dâune
bicyclette, le caoutchouc de la pĂ©dale. Et on nâarrivait pas Ă
comprendre
pourquoi le petit garçon mangeait le caoutchouc tout le temps. On lâa
donc
amenĂ© Ă une clinique et on lâa consultĂ©, et le mĂ©decin a dit: «Eh bien,
son
petit corps a besoin de soufre.» Vous y ĂȘtes. Voyez? Or, le petit
garçon a été
tirĂ© de la terre oĂč se trouve le soufre, et tant quâil y avait un
besoin de
soufre ici Ă lâintĂ©rieur, il devait y avoir du soufre pour rĂ©pondre Ă
ce
besoin. Voyez?
Maintenant,
combien ici présents croient à la guérison divine? Faites voir les
mains. La
puissance de Dieu? Merci. Regardez. Avant quâil puisse y avoir une
création, il
a dû y avoir un Créateur pour créer cette création-là . Est-ce vrai? Eh
bien, tant
que vous éprouvez une faim pour la guérison divine et la puissance de
Dieu, il
doit y avoir une Fontaine ouverte quelque part. Est-ce vrai? Sâil nây
avait pas
de guĂ©rison divine, il nây aurait pas cela dans votre coeur. Le Dieu
Créateur a
dĂ» crĂ©er cela dans votre coeur avant que vous puissiez mĂȘme penser Ă
pareille
chose. Alléluia! Vous désirez donc davantage de Dieu ; vous avez faim
de
davantage de Dieu. Et parce que vous avez effectivement faim, câest
lâĂ©vidence
mĂȘme, et une bonne, quâil y a plus de Dieu Ă recevoir. Et si vous avez
un vif
dĂ©sir de la guĂ©rison divine, cela montre quâil y a une Fontaine de la
guérison
divine quelque part, sinon cette création ne serait pas dans votre
coeur.
Comprenez-vous ce que je veux dire?
43 Rapidement maintenant, juste encore quelques minutes. Oh! la
la! Je Lâaime
vraiment. Câest tout. Je ne peux pas mâen empĂȘcher. Voyez, jâai...
Pensez-y.
Toute voie que vous suivez, tout point de départ que vous voulez
adopter, vous
verrez JĂ©sus-Christ dans Sa puissance. Câest vrai. Toute voie que vous
voulez
suivre: Deux natures, deux atmosphĂšres, deux signes, deux tout ce que
vous
voulez ; il y a Jésus-Christ en plein milieu de cela. Amen! Oui.
44 Maintenant, regardez ceci. Je vois Siméon, un vieil homme,
un vieux sage
(Comme on les appelait), avec une longue chevelure blanche, une
quatre-vingtaine dâannĂ©es, dâaprĂšs ce quâon nous apprend, avec une
longue
barbe. Il jouissait dâune rĂ©putation. Il Ă©tait docteur dâIsraĂ«l. Et il
travaillait au temple, lĂ , et tout, il jouissait dâune bonne
considération.
Mais un jour, le vieil homme, peut-ĂȘtre, Ă©tait lĂ quelque part en train
de
prier, et le Saint-Esprit est venu vers lui et a dit: «Siméon, tu ne
mourras
pas. Tu es un vieil homme, mais tu ne mourras pas avant dâavoir vu le
Christ de
Dieu.» Il sâen est allĂ© çà et lĂ tĂ©moignant, le disant aux gens. Eh
bien, il
nâavait pas peur de porter atteinte Ă sa rĂ©putation.
Je peux
mâimaginer un homme disant: «Regardez ce vieux gars. Eh bien, il estâil
est un
peu dĂ©traquĂ©.» Voyez? «En effet, regardez, il estâil est pratiquement
mort
maintenant mĂȘme. Et pourtant, David a attendu Christ, et tous les
prophĂštes
dans le passĂ© ont attendu Christ, et câest plus loin que jamais. Nous
voici
dans tout ce conglomérat et dans ce que nous sommes maintenant, et
pourtant, ce
vieil homme dit quâil ne mourra pas sans voir Christ. Quelque chose
cloche chez
ce vieil homme. Il a trop étudié.»
Non,
mais câest le Saint-Esprit qui le lui avait rĂ©vĂ©lĂ©. Câest une bonne
raison de
tĂ©moigner de Cela ; est-ce vrai? Le Saint-Esprit lâavait dit.
45 Eh bien, tout dâun coup donc, vous savez, quand JĂ©sus
naquit... Siméon ne
savait rien Ă ce sujet. Eh bien, prĂ©sentons juste cela sous forme dâune
saynĂšte
ici vers la fin, si vous le voulez bien.
Je
mâimagine quâon est lundi matin au temple. Et, oh! la la! les gens
affluent, il
y avait environ deux millions de Juifs Ă lâĂ©poque ou plus. Je suppose,
peut-ĂȘtre, cinquante ou cent enfants naissaient (Il pouvait y en avoir
plus que
ça.) chaque nuit. Eh bien, alors, chaque matin, il y avait une trÚs
longue
ligne de mamans, lĂ debout avec leurs enfants, les unes, pauvres, avec
des
tourterelles, et les autres, avec de petites brebis, pour la
purification et la
circoncision de lâenfant, et que sais-je encore ; et elles remontaient
la rue
vers le sacrificateur afin dâexĂ©cuter laâlâinstruction.
Alors,
disons quâon est lundi matin, lĂ . Et, oh! il y a un grand conglomĂ©rat
dans la
ville et tout, et tout le monde est occupé et son... tous les temples
sont
pleins. Et SimĂ©on a passĂ© un petit temps lĂ dans la salle de priĂšre, Ă
prier un
moment. Il est allé là ...
Je
mâimagine donc quâil lisait EsaĂŻe, vers le chapitre 40, oĂč il est
écrit: «Nous
tous comme des brebis, nous étions égarés (ou quelque chose comme
cela).
LâEternel a fait retomber sur Lui lâiniquitĂ© de nous tous. Oh! Il a Ă©tĂ©
blessé
pour nos péchés, brisé pour nos iniquités ; le chùtiment qui nous donne
la paix
est tombĂ© sur Lui, câest par Ses meurtrissures que nous avons Ă©tĂ©
guéris.» Je
peux entendre SimĂ©on dire: «Maintenant, je me demande qui dâautre que
le Messie
ça pourrait ĂȘtre.» Et au mĂȘme moment, le Messie Ă©tait au temple dans
les bras
de Sa mĂšre.
46 Voyons avancer la ligne maintenant. Je vois ces braves dames
lĂ avec de
petites couvertures tricotées, de petites couvertures roses et bleues
couvrant
leurs petits enfants, et elles leur roucoulaient sur le menton et tout.
Et, oh!
comme elles avançaient. Et il y avait là une petite fille qui subissait
une
mauvaise réputation: elle avait eu un Enfant sans avoir été mariée
(Hum), elle
appartenait Ă ... lĂ quelque part Ă Nazareth. Oh! la la! Elle est lĂ au
temple.
Cet Enfant nĂ© hors des liens sacrĂ©s du mariage Ă©tait lĂ . Marie savait Ă
Qui
appartenait lâEnfant. Elle sâest avancĂ©e droit avec cet Enfant. «Gardez
votre
distance vis-Ă -vis dâelle. Ne vous tenez pas Ă cĂŽtĂ© dâune telle
personne.»
Cela me
rappelle certaines de ces Ă©glises demi-soeurs aujourdâhui. Nous savons
oĂč nous
nous tenons. Je sais ce que ce Saint-Esprit reprĂ©sente pour moi ; câest
la Vie.
Peu mâimporte ce que les autres en pensent. Câest la Vie. Cela peut me
faire
agir de façon particuliĂšre, câest aux yeux du monde.
47 Mais remarquez, elles gardaient leur distance: «Tenez-vous
loin dâelle.»
Elles lâĂ©vitent. Et chaque fois... Elle tenait son petit BĂ©bĂ© dans ses
mains.
Les autres étaient couverts de belles petites couvertures, mais Lui
était
emmailloté.
Or, jâai
appris que les langes, câest ce quâon mettait au dos du joug dâun boeuf
pendant
quâon labourait avec. LâEnfant Ă©tait nĂ© dans une mangeoire, on a donc
dĂ»
enlever le... Il nây avait pas de vieux habits pour revĂȘtir le petit
Enfant.
Vous parlez dâĂȘtre pauvre! Et pas... Et pourtant, le Roi de Gloire...
Et on a
enlevé cet habit-là et on a emmailloté le petit Enfant.
Et Il
était là , le petit Enfant, porté dans les bras de Sa mÚre, une jeune
fille
dâenviron dix-huit ans, vingt, qui sâavance, tenant ce petit Enfant,
Lui
roucoulant et regardant Son visage. Elle ne se faisait pas de soucis.
Cela ne
la faisait pas rougir quand on la taxait de fanatique et tout, ou de
ceci, de
cela, quâelle Ă©tait sous la disgrĂące. Elle ne faisait pas attention Ă
elle ;
elle sâavançait simplement. Elle savait oĂč elle en Ă©tait. Elle savait
ce quâil
en était de tout cela. Cela ne changeait rien, ce que le monde
extérieur
disait. Vous vous rappelez la mĂȘme chose pour votre tĂ©moignage, si vous
ĂȘtes nĂ©
de nouveau. Quâon vous taxe de fanatique, câest en ordre. Vous savez oĂč
vous
ĂȘtes. Le monde connaĂźt les siens. Dieu aussi connaĂźt les Siens.
48 Elle avance donc là avec son Bébé, progressant. Je peux voir
des gens
passer et dire: «Je me demande pourquoi elles se tiennent loin de cette
drĂŽle
de jeune fille. Oh! la la! Regardez-la avec ces langes. Oh! la la! Ăa
doit ĂȘtre
un Enfant pauvre. Eh bien, nous sommes raffinés. Nous fréquentons donc
la
meilleure Ă©glise ; et nous nâavons pas Ă perdre le temps avec quelque
chose
comme cela.»
Un vieil
homme était assis là derriÚre. Oh! Il avait un peu de paix en lui, ici
derriĂšre. Je peux lâentendre, assis lĂ , lisant les Ecritures. Tout dâun
coup,
le Saint-Esprit... Maintenant, regardez. Si Dieu a donné à Siméon... le
Saint-Esprit a donnĂ© Ă SimĂ©on cette promesse quâil ne mourrait pas sans
avoir
vu le Christ de Dieu, le Saint-Esprit est tenu de veiller Ă ce quâil
voie
Christ en ce moment-lĂ . Câest vrai. Il lui a fait la promesse ; Il est
tenu.
(JâespĂšre que vous lisez entre les lignes ici...?...)
Le
Saint-Esprit est tenu Ă la Parole. Dieu est tenu Ă Sa Parole. Il lâest
certainement. Je suis tenu Ă ma parole, vous ĂȘtes tenu Ă votre parole.
Et si votre
parole nâest pas valable, alors vous ne valez rien. Si la Parole de
Dieu nâest
pas valable, alors, jeâje ne peux pasâje ne peux pas adorer Dieu ; en
effet,
il... je ne croirais pas quâIl existe sâIl ne pouvait pas soutenir Sa
Parole.
Câest vrai.
49 Ainsi donc, je la vois avancer. Voici Siméon ; il est assis
lĂ en train de
lire. Et tout dâun coup, le Christ au temple. Le Saint-Esprit lui avait
fait la
promesse. Le Saint-Esprit savait tout Ă ce sujet. Vous voyez donc
Siméon, assis
là en train de lire. Alors, Il lui a dit: «Siméon, lÚve-toi.»
Siméon a
dit: «Oui, Seigneur.» Il a dĂ©posĂ© cela. «CâĂ©tait la Voix du
Saint-Esprit» Je
peux entendre Siméon dire...
«LÚve-toi.
Mets-toi en marche.»
«OĂč,
Seigneur?»
«Marche
simplement. Je mâoccuperai du reste.»
50 «Comment vais-je marcher aprĂšs ĂȘtre sorti de ce brancard?»
Je ne sais pas.
Il sâoccupera du reste. Voyez? Mettez-vous simplement Ă marcher
(Voyez?) quand
Il vous le dit.
«Comment
vais-je sortir de ce fauteuil roulant?» Je ne sais pas, mais continuez
simplement Ă marcher. IlâIl sâoccupera du reste.
«Comment
vais-je guĂ©rir du cancer, de la maladie du coeur?» Jeâje ne sais pas.
Recevez
simplement Sa Parole et continuez Ă marcher. Il sâoccupera du reste.
Voyez ici.
Il est tenu Ă Sa Parole. Câest vrai.
«Comment
vais-je parler à ma mÚre si je reçois le Saint-Esprit, et à mon papa?
Ils sont
membres dâune autre Ă©glise.» Recevez simplement Cela. Il sâoccupera du
reste.
Voyez? Vous nâavez pas Ă vous en inquiĂ©ter. Il sâen occupera.
«Comment
vais-je faire face à mon école, à mes camarades de jeux?» Ne vous en
faites
pas, continuez simplement dâaller. Il sâoccupera de cela. Voyez?
51 SimĂ©on se lĂšve. Le voici partir, sans savoir oĂč il va,
marchant simplement.
Mais le Saint-Esprit dirige ses pas. Ne croyez-vous pas que les hommes
sont
conduits par lâEsprit de Dieu? Ceux qui sont fils de Dieu le sont.
Est-ce vrai?
Le voici venir, sans savoir oĂč il va. Mais il est sous la conduite de
lâEsprit
de Dieu. Il sâavance vers cette ligne des enfants Ă circoncire, qui est
en
train de descendre, Sa mĂšre. Il se met Ă marcher vers lĂ , sans savoir
oĂč il va.
Le Saint-Esprit est en train de le conduire. Et le Saint-Esprit lâa
amené tout
droit devant cette petite mÚre méprisée, elle était là debout avec cet
Enfant
emmailloté.
Je peux
entendre le Saint-Esprit dire: «Câest Celui-ci.»
Il a
Ă©tendu les mains et a pris lâEnfant dans ses bras, Lâa pris des bras de
Marie ;
les larmes lui coulaient sur sa barbe blanche, il a dit: «Seigneur,
laisse Ton
serviteur sâen aller en paix, selon Ta Parole, car mes yeux ont vu Ton
salut.»
Câest
vrai. Le monde Lâavait rejetĂ©, et cet homme Lâaimait. Câest pareil
aujourdâhui,
le monde rejette le baptĂȘme de lâEsprit, et les oeuvres du
Saint-Esprit, mais
il y a des coeurs affamĂ©s qui viennent vers Cela, qui sâavancent vers
Cela.
52 Maintenant, regardez. Le mĂȘme Saint-Esprit... Il nây a pas
deux
Saint-Esprit, il nây en a quâUn seul. Et le mĂȘme Saint-Esprit qui avait
donnĂ© Ă
SimĂ©on cette promesse-lĂ , câest le mĂȘme Saint-Esprit qui vous a attirĂ©
ici ce
soir. Est-ce vrai? Il vous a fait venir, soeur, et vous, soeur, et
vous, vous,
vous, vous, chacun de vous. Il vous a amenés ici. Le diable ne vous
amĂšnerait
jamais Ă un tel endroit. Je vais vous le garantir. Câest le
Saint-Esprit qui
vous a amenés ici. Si vous croyez dans la guérison divine, le
Saint-Esprit vous
a donc amenĂ© lĂ oĂč la Fontaine est ouverte, juste comme Il lâavait fait
pour
SimĂ©on. Vous avez embrassĂ© la promesse de Dieu comme SimĂ©on lâavait
fait.
Et au
mĂȘme moment, au temple, il y avait une vieille femme du nom dâAnne.
Elle était
aveugle, dâaprĂšs ce que nous avons appris. Et elle attendait la
consolation
dâIsraĂ«l. Au mĂȘme moment, le Saint-Esprit lâa frappĂ©e. Voici venir une
vieille
prophĂ©tesse aveugle, marchant au milieu des gens, sans savoir oĂč elle
allait.
Peut-ĂȘtre aveugle ici, mais elle Ă©tait conduite par le Saint-Esprit.
Elle sâest
approchĂ©e Ă cĂŽtĂ© de lâEnfant, elle a levĂ© les mains et a bĂ©ni Dieu. Et
tous
ceux qui attendaient la consolation dâIsraĂ«l...
53 Si le Saint-Esprit a pu conduire cette femme aveugle vers la
promesse de
Dieu, Ă combien plus forte raison peut-Il nous conduire, vous et moi,
vers Sa
promesse?
Elle
Ă©tait dans lâexpectative et elle attendait la consolation dâIsraĂ«l ;
câĂ©tait le
Christ. Elle sâattendait Ă Le voir. SimĂ©on sâattendait Ă Le voir. Et je
mâattends Ă Le voir ce soir. Je mâattends Ă observer Sa puissance. Je
mâattends
Ă voir quelque chose ĂȘtre accompli, car Il mâa promis de le faire.
Câest vrai.
Tout ce Ă quoi vous vous attendez, câest ce que vous recevrez.
Pouvons-nous
prier.
54 PĂšre cĂ©leste, au Nom de JĂ©sus, Ton Fils bien-aimĂ©, de mĂȘme
que Siméon
dâautrefois Lâavait embrassĂ© dans ses bras, puissions-nous le faire
avec des
bras forts de la foi ce soir, les tendre et Lâembrasser, Le rapprocher
de nous
qui sommes des nécessiteux. Puisse-t-Il venir vers Ton peuple ce soir.
Sauve
les perdus, ramÚne les brebis errantes qui se sont égarées, qui se sont
Ă©parpillĂ©es Ă travers le pays, sans Ă©glise oĂč se sentir chez soi, sans
endroit
oĂč aller, comme des Ă©toiles filantes, conscientes quâelles devraient
ĂȘtre Ă la
maison de leur PĂšre en train de festoyer et de se nourrir de bonnes
choses de
Dieu. RamĂšne-les ce soir, Seigneur.
Ce
pauvre pĂ©cheur qui nâa jamais mangĂ© Ă la table de Dieu les bonnes
choses de
lâEsprit, puisse-t-il sâen rendre compte ce soir, quitter cette
poubelle dâoĂč
il mangeait et revenir sâasseoir Ă la table avec de saintes mains
bénies.
Accorde-le, Seigneur.
Que les
pauvres malades, les estropiés et les affligés, par les bras de la foi,
étendent ceux-ci ce soir et embrassent Jésus-Christ comme leur
Guérisseur.
Et
maintenant, PĂšre, quand Il Ă©tait ici sur terre, Tu Lâas envoyĂ©. Tu Lui
avais
dit quâIl devait accomplir Ta volontĂ©: «Dans le rouleau du Livre, il
est
question de Moi, Je viens pour faire Ta volonté, Î Dieu.» Et
maintenant, Il est
retourné à Toi aprÚs avoir accompli le sacrifice que... de Son propre
ĂȘtre,
afin quâIl puisse avoir plusieurs fils pour Dieu.
Et
maintenant, ce soir, Seigneur, moi en tant que Ton serviteur, avec ces
autres
serviteurs, nous sommes ici pour accomplir Ta volonté, Î Dieu, selon
quâil est
écrit, par Lui qui a dit: «Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais.»
Accorde-le ce soir. Et que cette mĂȘme puissance qui avait conduit
Siméon et
Anne, Jean-Baptiste, beaucoup dâautres, tous les autres justes, quâIl
vienne et
quâIl nous conduise dans des pensĂ©es plus profondes et dans des
hauteurs
élevées avec Ton amour et Ta puissance, car nous le demandons en Son
Nom. Amen.
55 Je suis dĂ©solĂ© dâavoir pris beaucoup de votre temps, mais je
sens
vraiment... Oh! Quelle gentille assistance avec la foi!
Maintenant,
si vous étiez... veniez ce soir et que vous vouliez voir Jésus... Si
vous
vouliez voir JĂ©sus, Ă quel genre dâHomme vous attendriez-vous? Un trĂšs
bon
Ă©rudit? Non. Demandez Ă quelquâun qui sait ce que les Ecrits originaux
de la
Bible Ă©taient dans... juste clairement, sans mĂȘme une bonne grammaire,
juste
comme ce quâon utilise dans des rues, les gens ordinaires. Voyez? Câest
le
genre de Personne que vous retrouveriez.
OĂč Le
trouveriez-vous? Dans de hautes classes? Oh! Non! A la riviĂšre parmi
les
pauvres, les rejetés, tous ceux qui voulaient Le recevoir. Ces esprits
de haute
classe, des religieux au possible, de trĂšs belles synagogues...
Rappelez-vous,
érudits... Eh bien, qui pouvait dépasser ces sacrificateurs en
saintetĂ©? Sâils
faisaient une seule mauvaise chose, ils étaient lapidés. Ils devaient
ĂȘtre
saints, sans reproche. Est-ce vrai? Les érudits de la Parole, mais
cependant,
ils avaient manquĂ© de voir Dieu. Câest ce qui se passe aujourdâhui.
56 Eh bien, quand Dieu a pris... Il retire Son homme, mais
jamais Son Esprit.
Le mĂȘme Esprit qui Ă©tait sur Elie est venu sur ElisĂ©e, ensuite sur
Jean-Baptiste, et il est encore prédit pour le dernier jour. Est-ce
vrai? Dieu
a retirĂ© Son homme, mais... Il a retirĂ© Son Fils, mais lâEsprit est
revenu.
Voyez? Le diable retire son homme, mais jamais lâesprit. Il revient
directement, trĂšs religieux. Paul nâa-t-il donc pas dit que dans les
derniers
jours les hommes seraient emportĂ©s, enflĂ©s dâorgueil, aimant les
plaisirs plus
que Dieu, ayant lâapparence de la piĂ©tĂ©, mais reniant ce qui en fait la
force ;
éloigne-toi de tels hommes?
Maintenant,
nous sommes tous ici. Câest vrai. Le peuple de Dieu est ici, Satan est
ici.
LâantĂ©christ, ce nâest pas le communiste. Le communiste, ce nâest pas
lâesprit
antĂ©christ. La Bible dit dans Matthieu, chapitre 24, que lâantĂ©christ
sera si
proche de la chose rĂ©elle quâil sĂ©duirait mĂȘme les Ă©lus si câĂ©tait
possible.
Câest vrai. Il est religieux. Tout cela se trouve dans Apocalypse 17:
Assis sur
une bĂȘte Ă©carlate, elle avait des filles, issues dâelle. Et vous nâĂȘtes
pas
aveugle. Voyez? Dâaccord.
Un jour,
jâespĂšre simplement parcourir le pays, en enseignant lâEvangile au
mieux de ma
connaissance. Mais maintenant, câest la priĂšre pour les malades.
57 Quand nous voyons JĂ©sus debout lĂ , quel genre dâHomme
était-Il alors? Il
était un Homme de chagrin, habitué à la souffrance. Mais Il avait une
personnalité. Il pouvait leur parler quand il le fallait. Un jour, Il a
pris
des bĂątons, ou plutĂŽt des cordes, et Il a fait sortir du temple, Ă
coups de
fouet, tout un groupe dâentre eux. Si cela sâavĂšre donc nĂ©cessaire, Il
pourrait
le faire. SâIl vous regarde donc, votre coeur se fondrait. Voyez?
Et maintenant,
comment les gens ont-ils reçu cela? Ceux qui Lâabordaient (Maintenant,
suivez),
ceux qui Lâabordaient comme un tendre Sauveur aimable, ils percevaient
la
vertu. Il leur Ă©tait rĂ©vĂ©lĂ© ce qui clochait chez eux, ce quâils
devaient faire.
58 Mais ceux qui Lui ont mis un lambeau autour du visage un
jour, qui Lâont
frappĂ© Ă la tĂȘte avec un bĂąton et qui ont dit: «Maintenant, Tu es un
Voyant,
TuâTu es un prophĂ©tiseur. Tu sais ce que les gens font et tout. Dis Ă
ceux qui
sont lĂ dans lâassistance ce quâils pensent Ă ce sujet et ce quâils
font.» Eh
bien, ils Lâont frappĂ© Ă la tĂȘte et ils ont dit: «Maintenant, dis-nous
qui Tâa
frappĂ©?» Il nâa point ouvert la bouche, Il nâa point dit un mot. Voyez?
Vous
avez entendu les gens dire: «Laissez-moi voir ce guérisseur divin aller
guérir
telle personne, nous croirons cela.» Rappelez-vous donc, cet homme-lĂ
est
possĂ©dĂ© dâun dĂ©mon. Voyez?
La toute
premiĂšre chose queâque Satan a faite quand il a rencontrĂ© Ăve, câĂ©tait
cette
chose-lĂ . La premiĂšre chose quâil a faite quand il a rencontrĂ© JĂ©sus,
il a dit:
«Si Tu es le Fils de Dieu... Maintenant, Tu as la puissance. Si Tu es
le Fils
de Dieu, accomplis-moi un miracle ici, que je Te voie faire cela.
Changeâchange
ce pain enâen... ces pierres en pains. Fais-moi voir cela maintenant,
et je
croirai en Toi.» Voyez?
59 Il Lâa amenĂ© au sommet du temple, il a dit: «Maintenant,
lance Ton pied
vers le bas, juste... ou saute dâici, lĂ mĂȘme. Il est Ă©crit dans les
Ecritures.
Je vais Te donner le passage des Ecritures en rapport avec cela.»
Jésus a
dit: «Tu ne tenteras pas lâEternel ton Dieu. Eloigne-toi de moi,
Satan.» Est-ce
vrai? Il nâa jamais fait le clown pour Satan. Il ne faisait que la
volonté du
PĂšre.
Maintenant,
regardez. Il ne prĂ©tendait pas ĂȘtre un guĂ©risseur, nâest-ce pas? Il
disait: «Je
ne peux rien faire de Moi-mĂȘme.» Quand Il a dĂ©passĂ© tous les estropiĂ©s
et
autres, sans jamais guérir un seul parmi eux, Il a guéri un homme qui
souffrait
dâune maladie, quelque chose du genre, la prostatite ou quelque chose
comme
cela ; il en avait souffert depuis longtemps. Il a dit: «Veux-tu ĂȘtre
guéri?»
Il nâa point guĂ©ri un des estropiĂ©s. Et les Juifs Lâont interrogĂ©. Il a
dit: «En
vérité, en vérité, Je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de
Lui-mĂȘme, mais
Il ne fait que ce quâIl voit faire au PĂšre.» Est-ce vrai? «Le PĂšre Me
montre
quoi faire et Je dois le faire.»
Or, sâIl
est le mĂȘme hier, aujourdâhui et Ă©ternellement, quâIl est mort, quâIl
est
ressuscitĂ© dâentre les morts, Il a dit: «Vous ferez aussi les oeuvres
que Je
fais.» Est-ce vrai? Câest une promesse.
60 Evidemment, vous savez, je fais quelque chose. Certainement.
Je me dégage
de lâonction de la prĂ©dication pour rentrer dans celle-ci (Voyez?),
pour la
guĂ©rison (Voyez?), rentrer Ă ... dĂ©tendre lâassistance. Soyez
respectueux.
Eh bien,
Il ne soutenait pas ĂȘtre un GuĂ©risseur, mais Il avait des visions de ce
que
le... JĂ©sus a dit: «Je ne fais rien.» Cela veut dire quâIl ne faisait
aucune
chose sans que Dieu le Lui ait premiÚrement montré. Eh bien, si vous
voulez
lire cela, prenez Jean 5.19 et voyez si câest vrai. Voyez? «En vĂ©ritĂ©,
en
vĂ©ritĂ©, Je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-mĂȘme, mais ce
quâIl
voit faire au PĂšre, Il le fait. (Voyez?) Le Fils le fait aussi
pareillement.»
Il ne sâest jamais attribuĂ© des mĂ©rites ; Il les attribuait Ă Dieu.
Voyez?
Aucune chair humaine ne peut se glorifier aux yeux de Dieu. Il a donc
dit quâIl
faisait ce que le PĂšre Lui montrait. Il savait oĂč Ă©tait le poisson qui
avait
une piĂšce dâargent dans sa bouche.
Paul
Ă©tait lĂ une fois prĂȘchant, et il a vu un homme qui Ă©tait estropiĂ©, ou
qui
avait quelque chose qui clochait, couché sur un brancard ou une
civiĂšre, lâune
ou lâautre chose. Il a dit: «Je vois que tu as la foi dâĂȘtre guĂ©ri.
LĂšve-toi.
JĂ©sus-Christ te guĂ©rit.» Et il sâest levĂ© dâun bond. Câest lâEvangile.
61 Maintenant, si JĂ©sus revient ici ce soir et quâIl accomplit
les oeuvres
quâIl accomplissait quand Il Ă©tait ici sur terre, quâIl fait les mĂȘmes
manifestations... Il avait appelé une femme au puits et lui avait dit:
«Apporte-Moi
à boire.»
Elle
avait dit: «La pompe... Le puits est profond ici.»
Il lui a
parlé un peu et Il a dit... Il est allé tout droit à son problÚme, Il a
dit: «Va
chercher ton mari.»
Elle a
dit: «Je nâai point de mari.»
Il a dit:
«Câest vrai. Tu en as eu cinq.»
Eh bien,
elle est entrée dans la ville en courant et a dit: «Venez voir un Homme
qui mâa
dit tout ce que jâai donc fait.» Eh bien, ce nâest pas ce quâIl avait
fait. Il
lui avait seulement dit une seule chose. Mais si Dieu peut Lui montrer
une
seule chose, Il peut Lui montrer toutes choses. Elle a donc dit: «Ne
serait-ce
point le Christ?»
62 Philippe est allé auprÚs de Lui, il a été sauvé, il est allé
trouver
NathanaĂ«l. Il a dit Ă NathanaĂ«l: «Viens voir Qui jâai trouvĂ©, JĂ©sus de
Nazareth, le Fils de Joseph.»
Il a dit:
«Peut-il venir de Nazareth quelque chose de bon?»
Il a dit:
«Viens, et vois.»
Quand
donc Il se tenait dans la ligne de priĂšre, priant peut-ĂȘtre pour les
malades
... Ce qui prenait soixante pour cent de Son temps, ou plus, câĂ©tait la
priĂšre
pour les malades, oui, environ quatre-vingts pour cent, la priĂšre pour
les
malades.
Et
peut-ĂȘtre que Philippe sâest avancĂ© vers Lui, dans la ligne, ou plutĂŽt
NathanaĂ«l. JĂ©sus lâa regardĂ© et a dit: «Voici un IsraĂ©lite dans lequel
il nây a
point de fraude.»
«Eh
bien, a-t-il dit, quand as-Tu... Comment le sais-Tu?»
En
dâautres termes: «VoilĂ un chrĂ©tien honnĂȘte.» Il a dit: «Comment as-Tu
su que
jâĂ©tais un chrĂ©tien et que jâĂ©tais honnĂȘte?»
Il a dit:
«Avant que Philippe tâappelĂąt, quand tu Ă©tais sous lâarbre, câest alors
que Je
tâai vu.»
Philippe
a dit... ou plutÎt Nathanaël a dit: «Tu es le Christ, le Fils de Dieu,
le Roi
dâIsraĂ«l.»
Savez-vous
ce que pourrait en ĂȘtre la version 1944? Câest de la tĂ©lĂ©pathie
mentale, câest
le diable, câest un diseur de bonne aventure, quelque chose comme cela.
Voyez? «Un
aveugle conduit un aveugle, ils tomberont tous dans une fosse.» Câest
exact. Ne
leur ressemblons pas ce soir. Ayons des coeurs ouverts et recevons
notre tendre
Seigneur Jésus dans nos coeurs.
63 [Espace vide sur la bandeâN.D.E.]... Ă©videmment, je ne
saurais pas si vous
Ă©tiez juste passĂ©, ce que nous avions lâhabitude de faire, lâancienne
ligne
rapide, vous savez, oĂč les gens passaient simplement, trĂšs vite, ils
passaient
aussi vite que possible. Je suis content que vous ayez mentionné cela,
quelque
chose, afin que jâaie un point de dĂ©part pour vous parler.
Maintenant,
quant Ă la vie, nous sommes tous deux inconnus lâun Ă lâautre, je ne
vous ai
jamais connu, lâun lâautre. Et... Mais Dieu nous connaĂźt tous deux,
nâest-ce
pas?
Maintenant,
et si notre Seigneur Jésus-Christ, notre Sauveur, était ici ce soir,
portant ce
costume quâIl mâa donnĂ©, et quâIl se tenait ici, vous regardant...
Eh bien,
Il saurait ce queâce quâest votre problĂšme. Est-ce vrai? Mais
maintenant, quant
Ă la guĂ©rison, que pensez-vous quâIl pourrait dire? Eh bien, Il dirait:
«Enfant,
ne crois-tu pas que Je tâai guĂ©ri quand Je suis mort pour toi il y a
mille neuf
cents ans? Peux-tu accepter cela?» Vous diriez: «Oui, je le peux,
Seigneur.» Eh
bien, si vous pouvez accepter cela, il vous sera alors fait selon votre
foi.
Est-ce exact?
64 Mais maintenant, comme le Roi des prophĂštes, Dieu, Emmanuel,
Il saurait ce
quiâce qui clochait en vous, ce quâĂ©tait votre problĂšme et tout. Est-ce
vrai?
Mais autrement, Il-Il ne pourrait rien faire pour vous. Est-ce vrai? Eh
bien
alors, sâIl est ressuscitĂ© dâentre les morts et quâIl peut... SâIl peut
entrer
dans mon corps et se servir de ma voix, peut-Il dire la mĂȘme chose
quâIl dirait
sâIl Ă©tait ici dans la chair...?... A-t-Il promis de le faire? Il lâa
promis.
Câest bien. Cela fait de Lui le mĂȘme hier, aujourdâhui et
éternellement. Et
alors, nous, les croyants, nous pouvons Le voir. Il sera avec nous, en
nous,
jusquâĂ la fin du monde. Câest dans chaque Ăąge, jusquâĂ la fin du
monde. Est-ce
vrai? Cela fait de Lui le mĂȘme hier, aujourdâhui et Ă©ternellement.
Est-ce vrai?
Maintenant,
vous ĂȘtes conscient quâil se passe quelque chose. Nâest-ce pas?
Câestâcâest...
Voyez, maintenant, juste entre vous et moi se tient cette LumiĂšre-lĂ .
65 Maintenant, quant Ă vous guĂ©rir, je ne le peux pas. Quant Ă
cacher votre
vie, vous ne le pouvez pas. Voyez? En effet, tout cela est entre les
mains de
Dieu maintenant. Voyez? Câest exact. Ă Enfant! Beaucoup de tristesse,
et dans
beaucoup de dangers... Une chose, vous ĂȘtes extrĂȘmement nerveuse. Vous
en avez
assez pour ĂȘtre nerveuse. Cela devient sombre tout autour de lĂ oĂč vous
ĂȘtes.
Oh! Câest... Vousâvous avez... Câest une maladie du coeur. Et câest...
Eh bien,
vous avez été abandonnée à la mort par le médecin, il y a de cela
environ un
mois ou plus. Et il a dit quâil y avait... vous aviez deux trous, ou
des
fuites, ou quelque chose comme cela. Un drĂŽle de terme quâil a donnĂ© Ă
cela. Je
lâai entendu tout Ă lâheure quand il a dit cela. Et cela avait un drĂŽle
de nom,
câest au sujet de... Mais ce quâil y a, cela aboutit Ă ... ce sont deux
trous
dans votre coeur ; je vois comme du sang qui coule par lĂ . Ces choses
sont-elles la vérité?
Est-ce
le mĂȘme JĂ©sus qui avait su que Philippe Ă©tait sous lâarbre, qui a pu
vous voir
dans la... dans la condition oĂč cela... Est-ce vrai? Est-Il ici debout?
Est-Il
votre Sauveur? Est-Il votre Guérisseur? Venez ici.
66 Maintenant, je sais que je ne suis quâun homme, soeur. Mais
maintenant,
pendant que Cela est ici... Je suis votre frĂšre et un serviteur de
Dieu. Voyez?
Maintenant, la puissance de la guĂ©rison (Câest exact) est ici. Voyez?
Mais je
ne peux quâagir avec cela, sâIl me le permet. Je vais proclamer la
bénédiction,
que vous vivrez et que vous ne mourrez pas. Et je suis... Allez-vous
louer Dieu?
Notre
Seigneur JĂ©sus, jâimpose la main Ă cette femme et je rĂ©clame que sa vie
soit
Ă©pargnĂ©e. Et pour ce que les mĂ©decins nâont pas pu faire, que la
puissance du
Dieu Tout-Puissant le fasse, au Nom de Jésus-Christ. Amen. Je vous
bénis, ma
soeur, pour votre guérison au Nom de Jésus, le Fils de Dieu. Amen.
Maintenant,
écrivez-moi votre témoignage. Que Dieu vous bénisse.
67 Que le Seigneur soit bĂ©ni. Maintenant, avant que lâonction
mâamĂšne lĂ oĂč je
ne saurai pas oĂč je suis, combien croient que JĂ©sus-Christ est ici
maintenant?
Câestâcâest le mĂȘme JĂ©sus. Maintenant, câest Sa puissance. Câest Son
prodige
quâIl a dit quâIl accomplirait.
Maintenant,
soyez respectueux, partout. Attendez-vous Ă voir Dieu faire pour vous
ce quâIl
a fait pour elle. Croyez simplement ; câest tout ce quâil vous faut
faire.
Maintenant,
continuez Ă prier lĂ dans lâassistance. Croyez simplement cela et voyez
si le
Saint-Esprit ne peut pas parcourir lâassistance, vous guĂ©rir lĂ oĂč vous
ĂȘtes,
lĂ dans les bancs, ou nâimporte oĂč que vous ĂȘtes. Croyez simplement,
câest tout
ce que je vous demande de faire.
68 Venez, madame. Bonsoir. Evidemment, vous ĂȘtes consciente que
Quelque Chose
est proche. Mais nous sommes inconnus lâun Ă lâautre. Je ne vous
connais pas,
je ne vous ai jamais vue de ma vie, Ă ce que je sache. Je suppose que
vous ne
mâavez jamais vu auparavant. Non. Nous sommes de parfaits...
Nous ne
nous sommes jamais donc rencontrĂ©s lâun lâautre auparavant, câest la
premiĂšre
fois dans la vie de nous rencontrer face-Ă -face lâun lâautre. Mais le
Seigneur
vous connaĂźt, et Il me connaĂźt.
Vous
ĂȘtes une croyante chrĂ©tienne ; en effet, votre esprit est vraiment le
bienvenu.
Et je sais que ceci ici, câest le Saint-Esprit. Et je sais quâIl vous
accueille.
Maintenant,
si Jésus est notre Sauveur, comme Il est notre Sauveur à tous deux, et
Dieu, le
PĂšre de nous tous deux, nous sommes donc devenus les enfants de Dieu.
Nous
sommes donc ici pour nous entraider. Et si Dieu mâa envoyĂ© vous aider,
je dois
donc faire ce que Dieu mâordonne. Je vous demande donc de croire en Lui
et de
croire quâIl mâa envoyĂ© pourâpour... avec un don divin, juste pour
susciter la
foi en vous.
69 Eh bien, puisque nous ne nous sommes jamais vus lâun lâautre
auparavant, eh
bien, il doit y avoir un moyen par lequel... SâIl me disait quelque
chose Ă
votre sujet... Si moi, probablement quand Cela frappe, je continuais Ă
vous
parler, cela continuerait simplement Ă parler. Mais câest juste quelque
chose... Par exemple, si vous ĂȘtes malade, ou sâil y a quelque chose
qui cloche
chez vous, autrement dit, si vous avez fait quelque chose de mal, sâIl
le
dénonçait ou vous en parlait, vous serez disposé à accepter cela ;
nâest-ce pas?
Jeâje
peux vous lâassurer, avant que quoi que ce soit arrive, que vous ĂȘtes
vraiment
une croyante. Votre problĂšme, câest que vous ĂȘtes trĂšs nerveuse. Et
cela est dĂ»
au temps de la vie que vous traversez ; vous en arrivez à la ménopause.
Câest
lâĂąge dâune dame. Mais... Excusez-moi. Quelque chose est arrivĂ©.
Vousâvousâvous
avez connu un accident. Jâai vu un bĂąton, ou quelque chose comme cela
vous
frapper Ă la tĂȘte, nâest-ce pas? Est-ce vrai? Et cela vous a provoquĂ©
une
lâhĂ©morragie inâinterne dans la tĂȘte. Est-ce vrai? Venez ici.
à Jésus,
Fils de Dieu, je bénis ma soeur que voici pour sa guérison. Et
maintenant,
ennemi, quitte-la. Je réprimande cette tumeur. Au Nom de Jésus-Christ,
quâil
sorte dâelle et quâelle soit guĂ©rie pour Ta gloire. Je vous bĂ©nis, ma
soeur,
pour la guérison de votre corps. Que Dieu vous bénisse maintenant.
Allez en
vous réjouissant.
70 Ayez foi. Ne doutez pas. Gardez simplement la foi ;
continuez Ă croire.
Soyons respectueux et croyons donc de tout notre coeur maintenant.
Maintenant,
soyons donc tout aussi respectueux, lĂ . Bonsoir, madame. Je dis:
Bonsoir. Nous
sommes inconnus, je suppose, lâun Ă lâautre. [La dame parle Ă frĂšre
Branham.âN.D.E.] Oui, madame. Vous avez Ă©tĂ© dans ma rĂ©union oĂč? [La
dame dit: «A
Evansville.»âN.D.E.] Excusez-moi. Je nâentends pas ; difficilement,
mais câest
juste... vous pouvez comprendre. Il y a de cela environ cinq ou six
ans. Oh!
Oui. Vous venez de, je pense, de Saint Louis, là , une soirée. Oui. [La
dame dit:
«FrĂšre Von Huesen.»âN.D.E.] Oui, VonâVon Huesen, câest ça. CâĂ©tait
frĂšre Von
Huesen. Ils avaient le mĂȘme endroit, je pense, jây Ă©tais lâautre jour,
lĂ -bas,
il y a quelques semaines ou... [La dame parle encore.âN.D.E] Je vois.
71 Eh bien alors, vous et moi, nous sommes inconnus lâun Ă
lâautre, nous ne
nous connaissons pas. Mais croyez-vous que Jésus-Christ est ressuscité
dâentre
les morts? Et croyez-vous quâIl peut, par la grĂące souveraine et
lâĂ©lection
souveraine, envoyer des gens ici sur terre, les Ă©tablir pour prĂȘcher
lâEvangile
et accomplir diverses oeuvres pour Lui? Vous croyez cela, nâest-ce pas?
Si donc
nous ne nous sommes jamais rencontrés dans la vie, et si Dieu dit
quelque chose
qui clochait chez vous, et que vous reconnaissez que je nâai aucun
moyen de
savoir cela, eh bien, cela devra venir dâune source surnaturelle.
Est-ce vrai?
Eh bien alors, accepterez-vous cela comme Dieu? Voyez? Il vous le faut.
Merci.
Voyez,
câest juste... Je cherche Ă trouver lâapproche. Vous voyez ce que je
veux dire.
En effet, ceâcâest par la façon dont vous considĂ©rez Cela. Ce nâest pas
moi,
mais vous devez respecter ce que je dis Ă ce sujet, sinon cela
nâarrivera
simplementâsimplement pas. Voyez? Câest votre approche vers Dieu qui
compte.
Les gens qui... Une femme toucha Son vĂȘtement une fois et elle fut
guérie. Mais
un autre Lâa frappĂ© Ă la tĂȘte et tout le reste, il nâa pu ressentir
aucune
vertu. Ăa dĂ©pendait de lâapproche quâils avaient vis-Ă -vis de Lui.
72 Oui. Maintenant, la femme est simplement en train
dâapparaĂźtre... devant
moi. Mais elle est... quelque chose... Je vois quâelle a un... Câest
une
affection de vĂ©sicule biliaire. Cela est dans son... Câest dans son
flanc
droit. Et elle a... Il y a quelque chose qui cloche Ă la gorge. Est-ce
vrai? Et
puis aussi, je vois quand vous ĂȘtes debout avec des habits... Vous avez
une
grosseur, et cette grosseur est sur lâĂ©paule droite. Est-ce vrai?
Est-ce...
Etait-ce vrai?
Maintenant,
ce qui vous a parlĂ©, ce nâĂ©tait pas moi. CâĂ©tait maâma voix, mais ce
nâest pas
moi qui la faisais fonctionner. En effet, je ne savais quoi dire. Non.
Mais
câĂ©tait une autre voix... Câest ma voix, mais Quelque Chose parle en se
servant
de ma voix. Est-ce vrai? Croyez-vous que câĂ©tait Dieu? Venez donc ici.
Bienveillant
PÚre céleste, au Nom de Jésus, Ton Fils bien-aimé, je réclame la
guérison de ma
soeur. Et je la bĂ©nis maintenant, et je condamne lâennemi, et
guéris-la, au Nom
de Jésus, le Fils de Dieu. Amen.
Je te
bénis, ma soeur, au Nom de Jésus pour ta guérison. Amen. Que Dieu te
bénisse,
ma soeur. Va, heureuse, te réjouissant. Ne doute pas. La Bible déclare:
«Va et
ne pĂšche plus (Câest lâincrĂ©dulitĂ©), de peur quâune chose pire ne
tâarrive.»
73 Maintenant, soyez trĂšs respectueux. Continuez simplement Ă
prier, madame.
Mais Cela sâest tenu au-dessus de vous deux fois, ce soir. Voyez?
Maintenant,
ayez foi. Je connais votre problĂšme, mais je ne peux pas dire
exactement quoi.
Cela Ă©tait aussi au-dessus de cette autre dame, mais jeâjâaimerais vous
voir
ĂȘtre guĂ©rie. Voyez? Je peux alors vous dire que câest AINSI DIT LE
SEIGNEUR.
Maintenant,
soyez respectueux partout, sâil vous plaĂźt. Voyez, chaque personne est
un
esprit. Quand vous bougez, cela... Je... Croyez-moi donc. Restez
simplement
tranquilles, vous savez, soyez tout aussi respectueux que possible.
TrĂšs
bien. Que le patient vienne.
74 La foi est en train dâagir partout. Maintenant, soyez trĂšs
respectueux.
TrĂšs bien. Bonsoir, monsieur. Vous ĂȘtes un croyant. Vous ĂȘtes dĂ©jĂ
oint. Mais
nous sommes inconnus lâun Ă lâautre, personnellement, comme des
inconnus, oui, monsieur.
Je ne sais rien Ă votre sujet. A ce que je sache, je ne vous ai jamais
vu de ma
vie. Mais Dieu seul vous connaĂźt. Pas moi. Y a-t-il quelquâun ici qui
connaĂźt
cet homme? Quelquâun dans la salle qui connaĂźt lâhomme, qui le connaĂźt?
TrĂšs
bien. Si donc nous sommes inconnus lâun Ă lâautre, mon frĂšre, et que
nous ne
nous connaissons pas lâun lâautre, et que Dieu nous connaĂźt tous deux,
puisse-t-Il nous aider. Puisse-t-Il mâaider en tant que Son serviteur Ă
vous
venir en aide, vous, Son serviteur. En effet, nous aimerions tous deux
vivre ;
nous aimerions servir Dieu. Nous aimerions faire tout notre possible
pour le
Royaume de Dieu. Oui, monsieur.
Maintenant,
cet homme me quitte. Vous avez Ă©tĂ© guĂ©ri, et câĂ©tait... Mais vous
nâĂ©tiez pas Ă
lâestrade. Vous Ă©tiez assis dans une assistance. Et votre femme a Ă©tĂ©
guĂ©rie Ă
lâestrade. Et câĂ©tait quelque part... CâĂ©tait frĂšre Bosworth qui se
tenait Ă ma
droite, en train de sourire. Câest... Il y a frĂšre Vibbert. CeâcâĂ©tait
Ă
Evansville, dans lâIndiana. Etait-ce vrai?
Cela
apparaĂźt encore. Juste un instant maintenant. Vous, oh! vous...
CâĂ©taient des
ulcÚres dont vous souffriez. Maintenant, vous représentez un homme
avancé en
Ăąge ; câest votre pĂšre, et il nâest pas ici, il souffre des reins.
Rentrez Ă la
maison, imposez-lui les mains, et...?... au Nom de Jésus-Christ, le
Fils de
Dieu.
75 Bonsoir. Maintenant, que tout le monde soit respectueux. Je
ne suis pas
hors de moi. Je dois simplement me repérer. Voyez-vous? Les visions,
câest
quelque chose... On est dans un autre monde. Et maintenant, câest Ă
peine si
jâarrive Ă voir lĂ dans lâassistance, et jâai une bonne vue. Mais on
dirait
donc... Je sais que je peux entendre les gens. Je peux entendre les
gens. Et
cela paraĂźt juste comme si câest un nuage jaune suspendu ici. Vous ne
saurez
jamais avant que nous nous rencontrions au Jugement.
76 Câest le patient, nâest-ce pas? Est-ce le patient? Venez
ici. Je suppose
que nous sommes inconnus, madame ; nous ne nous connaissons pas lâun
lâautre,
nous sommes de parfaits inconnus. Mais Dieu seul connaĂźt. Et jeâje sais
que
Dieu peut révéler et Il peut me faire connaßtre ce que votre
problĂšme... Je ne
peux pas vous guérir, je ne fais que Lui obéir, imposer les mains...
Jésus a
dit: «En Mon Nom, ils chasseront... ils imposeront les mains aux
malades...»
Est-ce vrai?
Je vois
une longue table blanche. Il y a quelquâun... Il y a des mĂ©decins ; il
y a
quelque chose au sujet du dos, câest un... câest votre... Oh! Ce sont
des
calculs rénaux, au dos, et ils veulent opérer cela immédiatement.
Est-ce vrai?
Eh bien, Christ peut opĂ©rer maintenant mĂȘme. Si vous croyez, Il vous en
débarrassera maintenant. Venez ici juste un instant.
Bienveillant
PĂšre cĂ©leste...?... Fils de Dieu [LâassemblĂ©e prie Ă haute
voix.âN.D.E.]... la
femme soit guĂ©rie. Que ces calculs la quittent et quâelle puisse
rentrer Ă la
maison, guérie. Je la bénis, et que...?... au Nom de Jésus. Amen.
Gloire
au Dieu vivant.! Ayez foi. Ne doutez pas.
77 Venez, madame. Aimeriez-vous guérir de cette sinusite,
madame, vous assise
là derriÚre? Croyez-vous que Christ peut vous guérir? De tout votre
coeur? Si
vous voulez accepter votre guérison, tenez-vous debout. Dites:
«Jâaccepte cela.»
Que Dieu vous bénisse. Allez et soyez guérie.
Il est
là . Gloire au Dieu vivant! Aimeriez-vous guérir de cette prostatite,
vous assis
là au bout de la rangée, monsieur? Croyez-vous que Jésus-Christ vous
guérira?
Pouvez-vous mâentendre? Vous Ă©tiez lĂ debout en train de prier,
nâest-ce pas?
Tenez-vous debout. Jésus-Christ vous guérit de cette prostatite.
Rentrez chez
vous, guéri.
Il y
avait deux hommes lĂ debout, lâun en costume gris, lâautre en brun. Un
homme
assis ici, quelque part, comme cela, avec la mĂȘme chose. Vous ĂȘtes
guéri.
Rentrez chez vous. Christ vous guérit.
78 Croyez-vous, soeur? De tout votre coeur? Croyez-vous que je
suis Son
serviteur? Je suis... Ce nâest pas Ă moi de faire quoi que ce soit,
soeur. Il
mâa dit: «Si tu amĂšnes les gens Ă te croire.»
Jâai dit:
«Ils ne me croiront pas.»
Il a dit:
«Tiens-leur la main et dis-leur ce qui cloche.» Il a dit... Jâai dit:
«Eh bien,
alors, ils...»
Il a dit:
«Il te sera donnĂ© deux signes, de mĂȘme quâil en a Ă©tĂ© donnĂ© Ă MoĂŻse,
pour
accomplir un miracle, deux miracles.» Et Il a dit: «Par cela, ils
croiront.» Et
jâai dit... Il a dit: «Tu connaĂźtras ce qui cloche chez eux. Tu
connaĂźtras le
secret mĂȘme de leur coeur.»
Jâai dit:
«Comment cela arrivera-t-il?»
Il a dit:
«Ne connais-tu pas lâEcriture? JĂ©sus de Nazareth nâa-t-Il pas promis
cela?»
Croyez-vous
cela? Câest pourquoi jâai demandĂ© si vous me croyez. Non pas me croire
comme
Lui, mais croire quâIl mâa envoyĂ© vous aider. Croyez-vous? Allez donc
prendre
votre souper. Votre trouble dâestomac vous a quittĂ©.
79 Croyez-vous de tout votre coeur? Ayez foi en Dieu.
Aimeriez-vous guérir du
diabĂšte et ĂȘtre rĂ©tabli? Lâaimeriez-vous? Acceptez-vous votre guĂ©rison?
Rentrez
à la maison, au Nom de Jésus-Christ, et soyez guéri.
Bonsoir,
soeur. Croyez-vous que Dieu vous a guérie de cette maladie
gynécologique?
Croyez-vous? Dâaccord. Que Dieu vous bĂ©nisse. Allez et croyez.
80 TrĂšs bien. Venez, madame. Soyez respectueux. Notre Seigneur
est ici.
Maintenant, deux dĂ©mons se crient lâun Ă lâautre (Soyez respectueux.),
cela
vient de cette direction-ci. Quelque chose qui cloche Ă votre dos,
nâest-ce pas?
Est-ce vrai? Vous aussi, nâest-ce pas? Levez-vous, mesdames. Vous ĂȘtes
toutes
les deux guĂ©ries maintenant ; vous pouvez rentrer chez vous et ĂȘtre
bien
portantes. Jésus-Christ vous guérit toutes les deux. Dites: «Grùces
soient
rendues à Dieu!» TrÚs bien. Aimeriez-vous guérir de cette maladie du
coeur?
Acceptez-vous votre guérison de la part de Jésus-Christ? Que Dieu vous
bénisse,
ma soeur, et puissiez-vous ĂȘtre guĂ©rie au Nom de JĂ©sus-Christ. Amen.
Que Dieu
vous bénisse.
81 Venez, madame. Croyez-vous de tout votre coeur? Etes-vous
une croyante?
Croyez-vous que je suis Son prophĂšte, Son serviteur? Vous avez la chose
la plus
vilaine Ă combattre. Environ quatre-vingt pour cent de cette assistance
souffrent de la mĂȘme chose. Cela vient de partout dans lâassistance.
Laissez-moi vous montrer. Tournez votre visage de ce cÎté-ci. Combien
lĂ dans
lâassistance souffrent de la nervositĂ©? Levez la main. Voyez? Vous
éprouvez des
sentiments trĂšs bizarres: la peur, lâinquiĂ©tude, le bouleversement ;
vous pensez
que vous allez perdre la tĂȘte. Satan vous a dit que vous perdrez la
tĂȘte, mais
il a menti. Vous ĂȘtes guĂ©rie maintenant. Rentrez chez vous et soyez
guérie au
Nom de Jésus.
...?...
vous a bénie, rentrez chez vous maintenant, et faites tout ce que vous
voulez.
Que Dieu vous bénisse. Guérie, rentrez chez vous en criant des louanges
Ă Dieu.
82 Venez, madame. Croyez-vous? Jâaimerais vous parler juste une
minute. [FrĂšre
Branham parle Ă la dame.âN.D.E.] Est-ce la vĂ©ritĂ©? Donc, je...
Maintenant,
lâassistance... Il nây a rien qui cloche chez cette dame, du genre
immoralité
et tout, câest une brave dame. Mais câest quelque chose que je ne peux
pas dire
devant une assistance. Et Dieu seul connaĂźt la dame. Est-ce vrai,
madame?
Est-ce la vérité? Dieu seul était là avec vous (Est-ce vrai?), quand
cela est
arrivé. Est-ce vrai? Maintenant, vous allez vous rétablir. Que Dieu
vous
bénisse. Laissez-moi vous imposer juste les mains, juste une minute. Au
Nom de
Jésus-Christ, je réprimande le démon ; quitte-la. Amen. Que Dieu vous
bénisse.
Vous
avez éprouvé une sensation bizarre il y a quelques instants quand je
parlais de
cette dame ici qui souffrait du dos, nâest-ce pas, monsieur? Oui, oui.
Vous
assis lĂ avec une chemise ouverte lĂ , assis lĂ . Est-ce vrai? Vous assis
lĂ , assis...
Oui. Vous avez Ă©tĂ© aussi guĂ©ri de la mĂȘme chose. Vous souffriez du dos.
Vous
avez été guéri. Je ne pouvais pas vous le dire, parce que je ne pouvais
pas
vous atteindre tout Ă lâheure.
Que
pensez-vous, vous assise lĂ -bas, madame, en train de prier?
Aimeriez-vous vous
débarrasser de cette arthrite? Vous assise juste là en bas, ici,
aimeriez-vous
vous dĂ©barrasser de cette arthrite? Lâaimeriez-vous? Oui. Oui, oui...
Si ce
nâest pas...?...
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