L’Expectative

Date: 54-0220 | La durée est de: 1 heure et 32 minutes | La traduction: Shp
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1          ... en faisant ainsi, cela nous détend tous un peu. Et certains, face au ministère de ce genre, se mettent à penser peut-être qu’on devrait être une espèce de super personne ou quelque chose comme cela. J’aimerais vous faire savoir: je suis juste votre frère (Voyez?), juste un homme (Voyez?), juste votre frère. Juste... Rien qu’un humain comme nous tous. Et Dieu me donne juste un petit ministère pour aider quelqu’un, je me mets juste à faire de tout mon mieux avec cela, et c’est au mieux de ma connaissance.

            Ainsi donc, hier soir, je me disais, en parlant de...?... avec des chevaux et autres, chevauchant ; eh bien, vous vous rendez compte que nous sommes juste–juste des êtres mortels ensemble, essayant de notre mieux de faire ce que nous pouvons pour le Royaume de Dieu et pour la gloire de Son Bien-Aimé Fils, Jésus-Christ.

2          Et une telle réaction, cependant, oh! la la! c’était merveilleux. Je pensais que je... En réalité, les réunions ont été organisées pour... c’était pour la prédication de l’Evangile uniquement. Je suis... Et puis, quand on se retrouve là où le... et qu’on mentionne la venue... Le Seigneur a béni si grandement la prière pour les malades que les gens ont simplement... En fait, quand ils arrivent, ils s’attendent à une réunion de prière pour les malades.

            Vous pouvez... Parfois, je descends d’un avion quelque part, ou je vais quelque part en voyage, et il y a probablement quelqu’un là-bas qui fait signe, qui a une ambulance parquée là avec un malade pour qui prier, à l’aéroport. Ils savent que l’avion va atterrir ou quelque chose comme cela. C’est donc très gentil, je... C’est... J’apprécie cela. Si les gens ont une si grande foi en Dieu pour croire cela, c’est très, très bien. Ainsi donc, je–je suis reconnaissant pour cela, et je prie que Dieu bénisse.

3          J’ai serré tout à l’heure la main à un jeune homme, à mon arrivée, un jeune garçon (S’il est ici, je n’ai pas l’intention de le mettre en vedette.), un très bon jeune homme ; il a dit: «Frère Branham, j’ai grandi dans un foyer chrétien.» Il a dit: «J’ai contracté l’habitude de fumer, et–et j’utilise des mots grossiers.» Il a dit: «Frère Branham, j’aimerais me mettre en ordre avec Dieu. Voudriez-vous prier que...»

            Voyez, élever un enfant selon la voie qu’il doit suivre. Ils fréquentent ces enfants qui n’ont pas ce genre d’enseignement, ils s’égarent, mais ne vous en faites pas, Dieu les ramènera. Je le crois.

4          Il y a un frère assis ici qui a dit: «Frère Branham, ne vous souvenez-vous plus là à Phoenix, dans le sous-sol de l’auditorium, une fois, vous avez prié pour ma femme qui était devenue folle?» (Je m’en suis bien souvenu.) Il a dit: «Elle est ici avec nous ce soir.»

            Il a dit: «Elle jouit de toutes ses facultés.»

            Oh! Je me demande si cette femme est près ; qu’elle veuille bien se lever. Est-ce le ministre, je pense, ou quelque part ici? C’est un... Oui, sa–sa femme, celle qui a été guérie à Phoenix.

            Cela me rappelle une fois à–à Little Rock, dans l’Arkansas. Je pense que c’était l’un des pires cas de la folie que j’aie jamais vu de ma vie. Et quelqu’un en a rendu témoignage dans la réunion.

5          J’étais juste... (Si vous en voulez la confirmation, vous pourrez écrire au président du comité, c’était Révérend G.H. Brown, de Little Rock, dans l’Arkansas, 505, rue Victor ; Révérend G.H. Brown.) Et nous étions en train de prier. C’était vers... C’était tard et j’étais très fatigué ; c’était juste avant que je prenne mon temps, on me laissait le prendre, on me laissait juste faire une pause jusqu’à ce que... failli me tuer.

            J’étais donc très étonné cette nuit-là. Il y avait là dehors un vieil homme, là à la réunion. Il était... il avait des béquilles à peu près comme le frère ici qui est...?... ses pieds placés dessus. Ça faisait longtemps qu’il était estropié. Et pendant le service, le Seigneur Jésus l’avait guéri. Et le jour suivant, il parcourait la rue, tenant ses béquilles devant lui, il disait: «Le Seigneur m’en a débarrassé hier soir.» Alors...?...

            Oh! la la! Les journaux m’ont vraiment fait une description, disant: «Un prédicateur baptiste prétentieux a fait bloquer les rues avec des ambulances et des véhicules: quel fanatisme!»

6          Ce vieux frère... J’étais là en train de parler comme ceci, alors il s’est levé et a dit: «Dites donc, Frère Branham ; j’aimerais vous poser une question.» Tout en désordre...

            Néanmoins, j’ai dit: «D’accord, frère ; c’est quoi?»

            Il a dit: «Je suis vraiment très heureux, je ne sais que faire.»

            J’ai dit: «Eh bien, c’est bien.»

            Il a dit: «Vous savez, la chose étrange cependant, a-t-il dit, quand je vous ai entendu prêcher, j’étais sûr que vous étiez nazaréen.» En effet, lui-même était nazaréen, vous savez. Il a dit: «Je–j’étais sûr que vous étiez nazaréen. Et puis, a-t-il dit, j’ai vu tous ces pentecôtistes par ici, et quelqu’un m’a dit que vous étiez pentecôtiste.» Et il a ajouté: «Maintenant, je vous ai entendu dire il y a quelques instants que vous étiez baptiste.» Il a dit: «Je–je n’arrive pas à comprendre cela.»

           

            J’ai dit: «C’est très facile.» J’ai dit: «Je suis un baptiste pentecôtiste nazaréen.» Et j’ai dit... [Frère Branham et l’assemblée rient.–N.D.E.] Nous sommes tous un en Jésus-Christ. Amen...?...

7          Ce soir-là, Mr Brown m’a parlé, disant: «Frère Branham, aussitôt que... attendez une petite pause pour vous reposer encore.» On me laissait me reposer quelques minutes. Je devenais vraiment engourdi, partout, alors on me mettait à l’écart et on me laissait me reposer quelques minutes, juste pendant qu’on chantait des cantiques, et peut-être un prédicateur prêchait un petit sermon. Je me reposais un peu et je revenais. Alors, cela... Je n’étais pas alors sorti prier pour les malades, mais juste, oh! deux ou trois mois.

            On m’a donc amené à l’écart et il a dit: «J’aimerais vous montrer une scène comme vous n’en avez jamais vue.»

            J’ai dit: «C’est quoi?»

            Il a dit: «Une folle.»

8          Je suis descendu, et je me suis tenu sur les marches en descendant, au fond de l’auditorium. On ne pouvait pas entendre là en bas, sinon par la sonorisation ; c’était très bondé. Mais il n’y avait personne en ce lieu-là, dans cette salle, parce qu’on ne pouvait pas y entrer à cause de cette femme. Elle était étendue par terre, ses jambes dressées droit en haut comme ceci, les bras et les jambes à la fois, et elle saignait partout. Son mari se tenait sur les marches, un très bon frère, un très brave, du genre Arkansas, il se tenait là en salopette tout délavée. Il a dit...

            Je vais vous dire quoi, ami, vous parlez des salopettes et des chemises bleues, certains de meilleurs vieux coeurs du monde battent derrière cela. C’est vrai. C’est vrai. Et il–il m’a serré la main. Il a dit: «Oh!»

            J’ai dit: «Quel est votre problème?»

            Il a dit: «Frère Branham, c’est ma femme.»

            Et j’ai regardé là, elle était couchée comme cela. J’ai dit: «Oh! la la!» J’ai dit: «Pourquoi saigne-t-elle?»

9          Il a dit: «Eh bien, Frère Branham, a-t-il dit, nous avons suivi ce témoignage-là, depuis là à Pinewood, de la guérison de cette femme qui avait été amenée de l’hôpital psychiatrique.» Il a dit: «Nous avons pensé que peut-être si nous pouvons amener ma femme...» Il a dit: «Nous avons obtenu qu’on la libère ce soir et, a-t-il dit, ils...» Une distance d’une centaine de kilomètres. Il a dit: «L’ambulance ne voulait pas toucher cela.» Il a dit: «J’ai pris deux ou trois frères pour m’accompagner. Nous l’avons embarquée à bord d’une Chevrolet et, a-t-il dit, elle a pris le dessus sur ces hommes, elle a donné des coups de pied à la vitre et a cassé toutes les vitres, et c’est cela qui l’a blessée (Voyez?), à partir de la vitre.»

            J’ai dit: «Oh! la la! C’est vraiment dommage.» Et j’ai dit: «Comment cela est-il arrivé, frère?»

            Il a dit: «Eh bien, Frère Branham, a-t-il dit, c’est juste la période de ménopause. Le médecin lui a donné des piqûres qui l’ont mise dans cet état-là.»

            J’ai dit: «Eh bien, c’est certainement dommage.» Et j’ai dit: «Eh bien, évidemment qu’il n’avait pas l’intention de faire cela ; il a fait au mieux de sa connaissance.»

10        Et il a dit: «Eh bien, ça fait deux ans qu’elle est là à l’hôpital psychiatrique.» Il a dit: «Frère Branham, c’est une bonne femme.» Il a dit: «J’ai cinq petits enfants.» Il a dit: «Juste après ceci, a-t-il dit, c’était... son bébé est né pendant le temps de la ménopause.» Il a dit: «Elle s’est retrouvée dans une situation très difficile.» Il a dit: «Nous... J’ai vendu ma ferme et tout le reste.» Il a dit: «Et vraiment, a-t-il dit, il me restait un attelage de boeufs... Je travaillais.» Il a dit: «J’ai vendu ces mulets afin d’avoir de l’argent pour aider à l’amener ici ce soir. Ses deux mulets, ce qu’il avait...»

            J’ai dit: «Ô frère, c’est certainement dommage.» J’ai dit: «Je vais m’avancer pour lui parler.»

            Il a dit: «Oh! Ne le faites pas, Frère Branham, a-t-il dit ; elle vous tuera.»

            J’ai dit–j’ai dit: «Eh bien, je vais lui parler.»

            Il a dit: «Eh bien, elle ne connait même pas son propre nom ; ça fait deux ans qu’elle n’a pas prononcé un mot.»

11        «Oh! ai-je dit, je pense que je peux lui parler.» (J’étais juste un enfant dans le ministère. Je–je ne savais pas alors ce que... Je me rends compte maintenant que le mieux est d’attendre et laisser Dieu le dire.) Je me suis donc avancé dans la pièce. Elle était juste...?... couchée sur le dos. Il a dit qu’elle ne s’était pas relevée du dos ça faisait deux ans, elle était juste couchée comme cela. Elle avait les mains en l’air comme cela, et je me suis directement avancé là, j’ai dit: «Bonsoir, soeur.» Elle est simplement restée couchée là, les yeux enfoncés et... J’ai tendu la main, j’ai dit: «Bonsoir.» Et j’ai saisi sa main. Oh! la la! Heureusement, Dieu était avec moi.

            Aurait... Tout celui qui est possédé de démon, sa force augmente beaucoup, vous savez. Elle m’a saisi par la main, comme ça, très vite. Et j’ai été un boxeur. J’ai détenu le titre de champion poids coq non vaincu, pour trois Etats, alors... Je savais ce que c’est une prise.

            Mais elle m’a saisi comme ça, elle a saisi comme ça, et alors, n’eût été le fait que j’ai très vite lancé mon pied et que je l’ai tapée aux seins avec mon pied pour me ressaisir, elle aurait... Eh bien, elle m’aurait probablement brisé les os là même par terre, là où elle me tirait brusquement comme cela. Cela a fait dégager sa main, comme cela, et elle a soufflé très fort comme un–comme un–un crocodile, ou quelque chose comme cela, produisant un très grand soufflement, un bruit étrange [Frère Branham souffle dans le micro.–N.D.E.], comme ça.

            Eh bien, oh! la la! Et alors, elle s’est mise à tournoyer. Eh bien, je–je me suis éloigné d’elle. Et alors, elle a commencé à me pourchasser, on dirait comme un serpent rampant par terre. On pouvait entendre cela, juste–juste comme–comme quelque chose qui rampe, là où elle... Elle m’a pourchassé sur le dos, sur les marches comme cela. Et là, elle rampait sur le pavement. Et j’ai dit: «Oh! la la!»

12        Eh bien, c’est seulement la grâce de Dieu, sinon–sinon être comme cela...?... vous les femmes, ou les hommes aussi (Voyez?), rien que la grâce de Dieu.

            Et quand elle a mis ses membres très forts contre le–le paroi du mur, comme cela, et qu’elle s’est appuyée au mur comme cela, elle a donné un coup de pied très fort, et alors, elle s’est avancée sur le pavement et a cogné un banc placé là et un côté de sa tête... C’était une belle dame, charmante, d’environ quarante-cinq ans, elle s’est cognée la tête comme ceci, et les cheveux... Et le sang a giclé quand elle a cogné, elle a détaché un morceau du banc. Eh bien, ses jambes étaient très fortes pour lancer des coups de pied comme cela. Et un morceau de banc s’est envolé, elle a tenu cela entre ses mains, comme cela, et elle l’a lancé. Cela a raté son mari de justesse, et ça a détaché le plâtre du mur.

            J’ai dit: «Oh! la la! Elle est dans un état horrible.»

            Il a dit: «Oui.» Il a dit: «Maintenant, Frère Branham, vous faudra-t-il lui imposer les mains?»

            J’ai dit: «Je–j’aurais voulu pouvoir le faire.»

            Et il s’est mis à pleurer. Il a dit: «Maintenant, je ne sais pas ce que...»

13        J’ai dit: «Regardez, frère. Oui, oui, ce n’est pas moi ; c’est Jésus-Christ qui opère la guérison.» J’ai dit: «Si vous croyez de tout votre coeur que Dieu guérira cette femme-là... Et l’histoire que je vous ai racontée, il y a environ deux semaines, de cet Ange qui m’a rencontré là-bas, Il m’avait dit d’aller et d’être sincère en priant, et d’amener les gens à me croire. Et j’avais dit: ‘Ils ne me croiront pas.’ Il avait dit: ‘ Il te sera donné des signes comme il en avait été donné au prophète Moïse, deux signes.’ Vous vous rappelez l’histoire. Et Il a dit: ‘Si tu amènes les gens à te croire, rien ne résistera à la prière.’» J’ai dit: «Monsieur, croyez-vous cela?»

            Il m’a entouré de son vieux bras osseux et a dit: «Frère Branham, je le crois de tout mon coeur.»

14        Je me suis retourné comme ceci, et alors, cette femme a bougé de la même façon. Elle a dit: «William Branham, tu n’as rien à faire avec moi.» Et cet homme a dit: «Eh bien, ce sont les premiers mots qu’elle prononce en deux ans.»

            J’ai dit: «Ce n’est pas elle.»

            Elle a dit... Il a dit: «Comment t’a-t-elle reconnu?»

            J’ai dit: «Ce n’est pas elle ; c’est le démon qui crie.» Voyez? ...?... J’ai dit: «C’est Satan. Elle ne savait pas que j’étais William Branham. Il a dit qu’il reconnaissait que j’avais dit la vérité. Et si seulement vous croyez, vous verrez la gloire de Dieu.»...?... Et il a dit: «Tu n’as rien à faire avec moi. C’est moi qui l’ai amenée ici.»

            J’ai dit: «Tu l’as peut-être amenée ici, mais Jésus-Christ la guérira.»

15        Et elle s’est mise à avancer vers moi en rampant. Et j’ai dit: «Inclinons la tête.» Et quand nous avons incliné la tête, et que j’ai dit: «Père céleste, ce pauvre frère et ce... a amené sa femme ici dans cet état. «Tu es le même Dieu qui... ces démons et les légions que Tu chasses.» J’ai dit: «Tu es le même Dieu, je demande donc au Nom de Jésus-Christ que les mauvais esprits sortent de la femme.» Alors, je me suis simplement retourné vers l’homme et j’ai dit: «Croyez-vous?»

            Il a dit: «Frère Branham, de tout mon coeur.»

            J’ai dit: «Maintenant, voyez, Il m’a dit que si j’amène les gens à croire, que je suis sincère, et frère, ai-je dit, j’ai été tout aussi sincère que je savais comment l’être.»

            Il a dit: «Merci, Frère Branham.» Il a dit: «Que dois-je faire d’elle?»

            J’ai dit: «Ramenez-la à l’hôpital psychiatrique.»

            Il a dit: «D’accord.»

            J’ai alors dit: «Laissez qu’eux la renvoient.»

            Il est donc retourné, et après le service, il l’a ramenée. Et ce qui est arrivé, c’est qu’elle n’a plus dérangé personne, en retournant. Elle était assise calmement.

            Ils sont rentrés, ils l’ont remise à l’hôpital psychiatrique le lendemain matin. Et le matin suivant, quand ils sont entrés dans la cellule, là où elle était, pour la nourrir, elle était assise. Et le troisième jour, on l’a renvoyée du sanatorium, elle est rentrée chez elle à la maison jouissant de toutes ses facultés.

16        Environ deux mois après cela, j’étais à Little Rock, ou pas à Little Rock, mais à Jonesboro. Et là était assis... Je voyais quelqu’un qui me faisait continuellement signe de la main, comme ça, à la réunion. Je me suis dit: «Eh bien, je ne me souviens pas de ces gens», et j’étais en train de prêcher. J’ai encore regardé, et je me suis dit: «Eh bien...» Et alors, la dame s’est levée, ou plutôt l’homme, et il a dit... Il avait des petits enfants là, il a dit: «Frère Branham, est-ce que vous nous reconnaissez?»

            J’ai dit: «Je ne pense pas.»

            Il a dit... La dame a dit... Elle s’est aussi levée ; elle a dit: «Excusez-moi, Frère Branham, mais, a-t-elle dit, on me dit que j’étais couchée sur mon dos la dernière fois que vous m’avez vue.»

            Et j’ai dit: «Avez-vous été guérie quelque part?»

            Elle a dit: «Oui. C’est moi la dame qui était dans le sous-sol dans ce...»

            J’ai dit: «Oh! la la!»

            Elle était là avec ses cinq petits enfants, qui l’étreignaient, normale, bien portante et dans son bon sens.

17        Qu’est-ce? Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement ; Il a fait marcher les boiteux, Il a fait voir les aveugles, Il a fait entendre les sourds, les démons ont été chassés, et la commission se poursuivait. Amen. Et cela se passe peut-être à travers le monde ce soir, parmi les membres fidèles et croyants du Corps de Jésus-Christ ; et la guérison divine, ça ne relève pas de moi. Chacun de ces frères assis ici, votre pasteur, vous n’avez pas à attendre d’avoir un programme de guérison divine pour être guéri. Chacun de ces hommes a la même autorité que moi, ou n’importe qui, pour prier pour les malades. C’est tout ce que nous pouvons faire, c’est prier pour les malades.

            Et non seulement eux, mais s’ils sont ailleurs quelque part et qu’ils ne peuvent pas vous atteindre, une bonne soeur remplie du Saint-Esprit, ou un bon frère, qui habite près de chez vous a la même autorité (C’est exact.), la même chose. Si vous ne pouvez pas atteindre votre pasteur... La Bible déclare: «Quelqu’un parmi vous est-il malade, qu’il appelle les anciens de l’église, et que les anciens l’oignent d’huile et prient pour lui. La prière de la foi sauvera le malade.» Il est dit: «Dieu le relèvera.» Pas le prédicateur, Dieu le relèvera. «Et s’il a commis des péchés, cela lui sera pardonné. Confessez vos péchés les uns aux autres et priez les uns pour les autres.» Est-ce vrai? Priez les uns pour les autres. Voyez? «Afin que vous soyez guéri. Car la prière fervente du juste a une grande efficace.» C’est tout ce dont vous avez besoin. Etre rempli de l’Esprit de Dieu. Et vous seriez surpris si seulement vous reconnaissiez les dons qui sont placés juste dans cette salle ce soir. Oui, oui.

18        Or, si je connaissais la maladie, assurément je connaîtrais les dons. Est-ce vrai? C’est vrai. Alors, je–je sais que dans des réunions, quand je rencontre des chrétiens, ils sont là. La seule chose, c’est que vous devez vous surveiller en parlant aux gens, car ils s’accrochent bien à votre parole ; ils diront quelque chose, et il vous faut être sûr que cela vient directement de Dieu, ce qu’on dit à quelqu’un. C’est pourquoi ne dites pas ces choses-là. Voyez-vous? Mais menez simplement une vie humble devant Dieu, soyez juste ... Ne cherchez pas à vous faire passer pour quelque chose. Soyez simplement humble. Dieu s’occupera du reste. Voyez? Il manifestera cela.

19        Eh bien, demain, à notre regret, j’aurais voulu, du fond de mon coeur, avoir une série de réunions un peu plus longue, si nous pouvions avoir cela, pour au moins une autre semaine. J’ai envie, si je pouvais, de prendre la semaine prochaine, juste à peu près quatre jours pour juste prêcher l’Evangile ordinaire, et faire les appels à l’autel. Il serait difficile de dire ce qui arriverait. Après que les gens se sont déjà fait une idée sur la puissance de Dieu qui délivre, que chacun de vous amène alors son ami pécheur, la semaine prochaine, ce serait peut-être en ce moment-là même que nous–nous pourrons gagner des âmes à Christ. Généralement, dans ce genre de réunions, il n’y a que des chrétiens qui viennent. Des pécheurs viennent de temps à autre, mais généralement, ce ne sont que des chrétiens. Et puis, le–le croyant croit déjà. Voyez?

            J’espère donc que ça sera la volonté de Dieu pour moi de revenir une fois de plus vers vous très bientôt. Vous avez certainement un groupe de braves frères et de braves... Jamais à aucun moment, nulle part, je n’ai trouvé davantage de collaboration de l’Esprit de Dieu plus que ce que j’ai trouvé ici même en ce lieu. C’est vrai. C’est vrai. C’est la vérité.

            Je n’ai jamais vu un lieu, que j’ai déjà fréquenté, où des ministres sont assis derrière moi à l’estrade. Et c’est... La première soirée, cela m’a dérangé un peu, car j’étais conscient de leur présence là, mais c’était juste ce mur de foi là. J’ai dit qu’on les laisse simplement tranquille. Ce–c’est bien ; ce sont mes frères. C’est–c’est merveilleux, et j’en suis ravi. Quand vous trouvez une telle foi là pour croire, tout peut alors arriver.

20        Maintenant, nous vous remercions pour tout, et demain après-midi, si vous le pouvez, je pense que les services commenceront à quatorze heures. Est-ce vrai? Quatorze heures. Cela me permettra d’être ici à quatorze heures trente, peut-être. Et je parlerai un peu, et puis, je prierai pour les malades. Et alors...

            Vous avez été une assistance très gentille, et qu’il pleuve ou qu’il y ait de mauvaises soirées, vous êtes venus de toute façon. Vous nous avez aidés avec de l’argent pour payer des dettes. Je pense qu’on va tout rassembler. Monsieur Brewer va donner cela à mon fils ce soir, et les dépenses à couvrir, s’il n’y en a pas assez pour couvrir toutes les dépenses, cela sera couvert le matin. Sinon, eh bien, après que mon offrande d’amour aura été prélevée demain, cela sera fait, ça les couvrira. Sinon, en effet... Je pense, c’est déjà plus que payé. Et s’il en reste quelque chose, n’importe quoi, je ne le prendrai pas pour moi-même ; je l’affecterai droit aux oeuvres missionnaires à l’étranger, envoyer outre-mer pour faire tout mon possible. S’il en manque un peu, alors je vais prélever sur mon offrande d’amour, je couvrirai avec cela. Voyez?

21        Maintenant, nous aimerions quitter sans aucune dette, laisser tout le monde bien et merveilleux, et glorifiant Dieu. C’est là un principe que nous essayons d’observer partout. Et tous les prédicateurs, et les gens ici...

            Si vous êtes ici et que vous n’êtes pas membre d’une église, pourquoi ne pas adhérer aux églises de ces frères, si vous habitez près d’eux? Vous croyez dans ce genre de ministère, eh bien, adhérez aux églises qui croient en cela. Allez adhérer aux églises qui soutiennent cela, qui croient en cela. Voyez? Et vous êtes venus ici et vous avez été guéris, et rentrer au milieu des gens où il y a cette atmosphère-là, ceux qui ne croient pas dans la guérison divine et tout. Eh bien, votre état sera tout aussi pire qu’avant. Voyez? C’est vrai. Vous vous mettez sous le même joug avec les incroyants. C’est ce que la Bible déclare. Est-ce vrai? Mais frères... Ainsi donc, je souhaite que vous fassiez cela. Et je prie que vous le fassiez.

22        Bon. Eh bien, si votre église croit dans la guérison divine, croit aux bénédictions de Dieu... Voyez, ce n’est pas votre église qui vous sauve. C’est Jésus qui est votre Sauveur. Mais si... Vous feriez mieux de fréquenter les gens... Et si vous croyez dans la guérison divine et que vous restez avec ceux qui ne croient pas dans la guérison divine, vous serez une charge pour eux. C’est vrai. J’ai toujours dit... Vous savez, les gens disent: «Dois-je arrêter ceci, Frère Branham, si je vais me joindre aux églises du Plein Evangile? Dois-je abandonner les spectacles, les soirées dansantes et autres?» Non. Il ne vous faut rien abandonner. Rien.

            Nous sommes pratiquement tous des gens du nord ici. Nous avons de petits chênes rabougris par ici ; ils conservent leurs feuilles durant tout l’hiver. Dès que le printemps arrive, vous n’avez pas tous à sortir arracher les anciennes feuilles pour permettre aux nouvelles de pousser. Laissez simplement la nouvelle vie monter, et les anciennes feuilles tombent de toute façon. Donc, vous ne... Il ne vous faut donc pas avoir une unité de mesure ; laissez simplement la nouvelle vie entrer ; elle prendra soin d’elle-même. C’est vrai. Les anciennes choses vont simplement dépérir et la nouvelle vie apparaîtra.

23        Dans l’Evangile de Luc, chapitre 2, verset 25, j’aimerais lire juste une portion des Ecritures. Vous êtes si aimables que ça me dérange vraiment de passer une soirée sans vous parler pendant quelques instants. Quand je reviendrai, nous allons essayer d’en ajouter, nous pourrions ainsi tenir des services l’après-midi et juste prêcher l’Evangile et passer un merveilleux moment.

Et voici, il y avait à Jérusalem un homme appelé Siméon. Cet homme était juste et pieux, il attendait la consolation d’Israël, et l’Esprit Saint était sur lui.

Il avait été divinement averti par le Saint-Esprit qu’il ne mourrait point avant d’avoir vu le Christ du Seigneur. Il vint au temple, poussé par l’Esprit. Et, comme les parents apportaient le petit enfant Jésus pour accomplir à son égard ce qu’ordonnait la loi,

Il le reçut dans ses bras, bénit Dieu et dit:  Maintenant, Seigneur, tu laisses ton serviteur s’en aller en paix, selon ta parole.

Car mes yeux ont vu ton salut.

24        Maintenant, pouvons-nous incliner la tête juste un instant. Bienveillant Père céleste, nous Te sommes reconnaissants ce soir de ce que nous avons cette approche vers Toi au Nom de Ton Fils bien-aimé, Jésus-Christ, Celui qui nous a rachetés du péché.

            Oh! Nous pensons à... Autrefois, nous étions étrangers à Dieu, des Gentils retranchés de Dieu, de la communauté d’Israël, errant dans l’adoration des idoles. Et au temps convenable, Christ est venu, et Il est mort, Lui l’Innocent pour les coupables. Et par l’effusion de Son saint Sang et le droit à l’Arbre de la Vie, nous les Gentils, nous avons été rapprochés au point que nous sommes appelés fils et filles de Dieu. «Et ce que nous serons tout à la fin n’apparaît pas encore, mais nous savons que nous aurons un corps semblable à Son propre corps glorieux, car nous Le verrons tel qu’Il est.» Sans péché, sans maladie, sans inquiétude, sans ennuis, sans vieillesse, tout sera alors terminé.

            Oh! Viens, Seigneur Jésus, aide-moi ce soir à presser... à répandre l’Evangile à travers le monde pour Te permettre de venir. Tu ne peux pas venir, d’après Ta Parole, avant que le monde entier ait entendu l’Evangile. Je Te prie de hâter le jour, Seigneur, où le monde entier entendra l’Evangile ; le péché et le chagrin, la douleur et la mort de ce monde de ténèbres cesseront. D’ici là, accorde-nous la grâce. Donne-nous la vision. Donne-nous la puissance d’apporter l’Evangile aux gens.

25        Il y a devant moi ce soir, Seigneur, une boîte contenant des mouchoirs. Et alors que je pose mes mains dessus, il n’y a rien en Ton serviteur pour faire cela, sinon comme un mémorial, ou un signe pour la Parole de Jésus-Christ, qui a dit: «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru: Ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris.»

            Et le grand saint Paul, on retirait des mouchoirs et des linges qui avaient touché son corps, et la maladie quittait les gens, les démons les quittaient. Et je Te prie de guérir tout le monde. Veille sur eux, Seigneur. Que l’Ange de Dieu veille sur ces mouchoirs jusqu’à leur arrivée au bon endroit. Et quand ils seront placés sur les malades, que tout le monde, sans exception aucune, que tout le monde soit parfaitement normal. Accorde-le, Père, car nous envoyons cela au Nom de Jésus-Christ. Amen.

26        J’ai demandé que Dieu vous bénisse tous. Et j’aimerais parler juste un moment, et puis, nous allons–nous allons commencer la prière pour les malades.

            Eh bien, nous aimerions d’abord ce soir méditer sur ce texte, si nous pouvons l’appeler un texte, juste pendant quelques instants. Et j’aimerais me servir du mot: Expectative. Comme je l’ai mentionné ici l’autre soir, on reçoit généralement ce à quoi on s’attend, n’est-ce pas? Si vous êtes venu ce soir à la réunion, vous attendant juste à voir quelque chose que vous pouvez critiquer au sujet de la réunion, le diable vous en montrera beaucoup. Vous retournerez avec beaucoup de critiques juste comme vous vous y attendez.

            Mais si vous êtes venu ce soir dans l’expectative, disant simplement: «Seigneur, je suis venu Te voir. Je suis venu dans l’intérêt de... pour être guéri. Je suis venu pour le bénéfice de mon âme. Eh bien, je m’attends à ce que Tu me donnes cela, car je suis ici à cet endroit qui a été consacré à Ta–à Ta gloire», alors vous recevrez exactement ce à quoi vous vous attendez. C’est vrai. Chaque fois, vous... Et vous ne pouvez jamais aller au-delà de vos attentes. Vous aurez toujours à faire cela.

27        Maintenant, l’expectative... Nous voyons ici que quand Jésus naquit à Bethléhem de Judée, il n’y avait pas de presse comme nous avons la radio, la télévision et autres, comme nous en avons aujourd’hui. Les nouvelles se répandaient donc de bouche à oreille. Et puis... (M’entendez-vous là au fond, au balcon, en haut? Ça va très bien? Entendez-vous par ici? ) L’expectative...

            Et alors, quand Jésus naquit... Généralement, à la naissance d’un roi, on chante. Il n’y avait donc pas de salutation ici sur terre, des gens pour Le saluer, aussi les anges étaient-ils descendus et avaient-ils chanté, se réjouissant: Aujourd’hui, dans la ville de David, est né Christ le Sauveur. Le choeur angélique de Dieu, qui ne pouvait pas comprendre le mystère de cette naissance par la vierge, mais cependant, ils ont chanté: «Gloire à Dieu dans les lieux très hauts, paix sur la terre aux hommes de bonne volonté», alors qu’ils chantaient à Sa naissance. Oh! Que c’est merveilleux!

28        Ensuite, nous remarquons encore que, là loin en Orient, des mages ou des astrologues... Je pense qu’ils observaient la prophétie de Balaam, qu’une étoile se lèverait de Jacob. Et ils pouvaient... ils attendaient que cette étoile se lève. Les historiens nous racontent que les trois mages... Ils étaient venus de trois régions différentes, ils n’avaient pas suivi une seule étoile, comme la tradition chrétienne le rapporte, mais qu’ils avaient suivi trois étoiles différentes.

            Et quand ils se sont rencontrés à Bethléhem de Judée, tous les trois venant de l’Orient, se déplaçant à partir de trois endroits différents, ils ne s’étaient jamais connus l’un l’autre avant leur rencontre. Et ils ont consoli-... ils se sont plutôt concertés. Et l’un d’eux était un descendant de Cham ; l’autre, de Sem ; et de Japhet: les trois fils de Noé. Et ces trois étoiles qu’ils avaient suivies se sont unies et ont formé une grande étoile qui s’est suspendue au-dessus de Christ. Jésus a dit que quand cet Evangile sera prêché aux descendants de Cham, de Sem et de Japhet, alors viendra la fin.

29        Très bien. Quand elles se sont regroupées et se sont rassemblées... Eh bien, tous les observatoires de l’époque, aucun d’eux n’a vu l’étoile. Et pourtant, dans chaque ville, il y avait une tour, un observatoire, qui observait les étoiles. On déterminait le temps à partir des étoiles. Les montres et autres n’existaient pas à l’époque. L’unique chose qu’ils avaient donc, c’était un cadran solaire pendant la journée, et des étoiles, la nuit. Ils déterminaient donc le temps, la première heure, ou la troisième heure, et ainsi de suite, à partir des étoiles.

            Remarquez, cette étoile est apparue, passant juste au-dessus de chaque observatoire, sans qu’aucun d’eux ne l’ait vu. (Eh bien, les gens vont aux réunions et disent: «Je–je ne vois rien.» Vous ne vous attendiez à rien, en voilà la raison. Voyez?) Ces gens dans l’observatoire, peut-être, là-haut sur la tour de l’observatoire, ils ne s’attendaient pas à voir quelque chose. Mais il y avait quelqu’un qui attendait cette étoile-là de Jacob qui devait se lever. C’est vrai.

30        Il sera ici l’un de ces quatre matins, et il n’y aura que ceux qui attendent qui recevront cela. C’est vrai, uniquement ceux qui veillent. Autrefois, nous chantions un ancien cantique: «Veille et attends de voir ce spectacle-là, Il revient.» C’est vrai. Soyez donc dans l’attente, veillant. Vous ne savez pas le moment exact où Il pourra apparaître.

            Alors, ce soir, veillez et attendez-vous à vous lever des civières, des brancards, des fauteuils roulants, de n’importe quel support où vous êtes. Attendez-vous à sentir l’onction du Fils de Dieu quand Il entrera en vous pour vous donner une nouvelle foi et une nouvelle Vie, à bondir sur vos pieds. «C’est moi. J’attends, Seigneur. Dès que Tu touches mon coeur, je sors de ce fauteuil. Dès que Tu touches mon corps, je sors d’ici.» Voyez? Veillez, attendez-vous à ce que quelque chose se produise.

31        Eh bien, les anges étaient venus, ils avaient chanté aux bergers. Les bergers sont descendus en ville pour voir ce qui était arrivé.

            Huit jours plus tard, selon la coutume de la tradition juive, on amenait un enfant au temple, tous les enfants mâles. Et ils devaient être circoncis, on devait offrir soit deux tourterelles (C’était l’offrande des paysans), soit un agneau (C’était l’offrande pour l’enfant d’un riche) pour la purification de la maman et pour l’enfant.

            Ainsi donc, si... Quand vous étudiez l’Ancien Testament et que vous voyez ces lois de rachat, la loi de la rédemption, oh! c’est une belle chose. J’aime vraiment l’Ancien Testament, car Il est juste l’ombre du Nouveau. Si vous vous mettez en ligne avec l’Ancien Testament, vous aurez une bonne conception de ce que le Nouveau représente. Eh bien... En effet, c’est l’ombre de cela.

            Et juste comme Apocalypse 12, là, la femme apparaît avec la lune sous ses pieds, la loi, et le soleil sur sa tête, l’Evangile. Voyez? Douze étoiles, les douze apôtres et tout...

32        Remarquez donc attentivement. Ils–ils attendaient, ces gens-là, de voir Dieu. Ils étaient dans l’expectative, dans leur coeur, de voir ces choses arriver, et Dieu le leur a accordé. Eh bien, il vous faut désirer cela. David a dit dans les Ecritures: «Quand la profondeur appelle la profondeur... Au bruit de tes ondées.» Or, avant qu’il y ait une–une profondeur ici à l’intérieur pour appeler, il doit y avoir premièrement une profondeur là dehors pour répondre à l’appel de cette profondeur qu’il y a ici à l’intérieur pour cela. Voyez? La profondeur appelant la profondeur...

33        J’aime le paysage. Oh! la la! Il y a quelque temps, j’étais à la chasse là-haut dans les montagnes, pas tellement pour le gibier, j’étais là-haut pour me retrouver à l’écart. J’aime vraiment les montagnes. Ma mère est mi-Indienne, il y a donc assez de cela ; j’aime la nature et je ne peux pas m’en dégager. Ainsi donc, je peux contempler le coucher du soleil et pleurer comme un enfant.

            Je me rappelle, là-haut, un jour, je me tenais sur la montagne, les troupeaux d’élans étaient en haut cette année-là, il n’y avait pas eu de neige, et je me promenais là-haut, à la lisière. Et en automne, en octobre, des tempêtes éclatent là. Il peut neiger un peu, puis il pleut un peu, ensuite le soleil apparaît.

34        Je me rappelle en automne, il n’y a pas longtemps, là-haut, j’errais là-bas, et une tempête a éclaté là. Je me suis mis derrière un arbre et je me suis tenu comme ceci, un instant, j’ai déposé mon fusil par terre. La tempête est passée... Il y avait là de vieux arbres qui avaient été abattus par le vent, là, d’une façon ou d’une autre. Et peu après, après la tempête, j’ai écouté. Je me tenais là, je me suis dit: «Eh bien, par où commencer ici maintenant?»

            J’ai commencé... Je me suis adossé. J’étais à environ soixante ou soixante-dix miles [96,56 km ou 112,65 km], à ce que je sache, d’un être humain vivant, avec deux ou trois chevaux de bât, et campant là. J’étais donc assis là, ou plutôt debout là, regardant tout autour et me demandant quelle direction suivre à partir de là. Je ne voyais pas de pistes d’animaux ni rien. Je me suis donc dit: «Que vais-je faire?»

            Et vers ce moment-là, sur l’autre crête, la tempête avait dispersé les élans. Et j’ai entendu de gros mâles bramer (Oh! la la!), j’ai entendu cela faire écho de l’autre côté de la vallée. La profondeur a donc commencé à appeler la profondeur. Là loin derrière, un vieux loup gris s’est mis à hurler, et sa compagne a répondu vers le bas. Humm. Oh! la la! La profondeur appelant la profondeur! Je me suis dit: «Ô Dieu, certainement que Tu es aussi le Dieu des montagnes, ici en haut.» Si vous avez Dieu ici à l’intérieur, vous pouvez voir Dieu partout où vous regardez. C’est vrai. Cela–cela se manifestera dehors.

35        Je me suis donc tenu là un petit instant, et là où le soleil atteint son apogée, à travers les fissures des rochers, alors qu’il se couchait à l’ouest, brillant comme l’oeil de Dieu, regardant, parcourant la terre d’un bout à l’autre, j’ai vu cela briller sur ces arbres-là. Et là-haut, il faisait froid, il y avait du gel sur les arbres toujours verts, formant un petit glaçon. Et alors, un arc-en-ciel s’est formé là dans la vallée. Eh bien, ce loup hurlait ici, et sa compagne répondait en bas. Oh! la la! Et les troupeaux d’élans, et l’arc-en-ciel...

            J’ai déposé mon fusil contre l’arbre. J’ai couru là, j’ai levé les mains et j’ai dit: «Ô Grand Jéhovah Dieu, qui regarde en bas depuis les cieux, le Dieu... vous a donné cette pluie et nous a donné ce signe de l’arc-en-ciel.» J’ai dit: «Je peux voir un autre signe de l’arc-en-ciel dans Apocalypse 2, là où Jésus a l’aspect de la pierre de Jaspe et de Sardoine: Ruben et Benjamin, le Premier et le Dernier, avec l’arc-en-ciel parcourant les sept âges de l’Eglise ; les couleurs ; oh! le même hier, aujourd’hui et éternellement, l’Alpha, l’Oméga ; le Commencement et la Fin ; Celui qui était, qui est et qui vient, la Racine et le Rejeton de David ; l’Etoile du matin.» Cela se trouvait derrière moi, les sept couleurs, l’alliance de Dieu avec l’Eglise, qu’Il a écrite avec Jésus-Christ, Son Fils, une rédemption parfaite...

36        Je me suis mis à crier. Eh bien, si on avait fait venir quelqu’un là pour regarder, il aurait pensé qu’il y avait un fou là. J’ai contourné l’arbre sans cesse à toute vitesse, je sautais en l’air et je poussais des cris. Je–je ne–je ne me souciais pas de qui me voyait. J’adorais Dieu. Je... Ça ne changeait rien pour moi, ce que quelqu’un pensait.

            Et alors, je contournais sans cesse, et je me disais: «Oh! la la! Seigneur, pourquoi dois-je donc quitter ici? C’est beau ici, n’est-ce pas?» C’est comme: «Construisons trois tentes», mais aux pieds de la colline il y avait quelqu’un qui attendait qu’on prie pour lui, évidemment. Je me suis donc dit que je ferais tout aussi mieux de me réjouir un peu plus. Et j’ai encore contourné l’arbre, secouant mes bras et criant à tue-tête: «Alléluia! Alléluia à Dieu! Alléluia à Dieu!» Je me suis dit: «C’est merveilleux, n’est-ce pas?» Oh! la la! Je me tenais là. La profondeur répondant à la profondeur, l’appel, les bruits de Tes ondées.» Je–je me suis dit: «Oh! la la! C’est beau, n’est-ce pas?»

37        Il m’est arrivé d’entendre quelque chose sauter ; cela s’est mis à jacasser, jacasser, jacasser, jacasser, jacasser, un drôle de petit écureuil de pin. Un petit animal, à peu près de cette taille, c’était l’animal le plus bruyant que vous ayez jamais entendu. Il a sauté sur un rondin là et, eh bien, je... A voir comment il agissait, je me suis dit qu’il allait me tailler en pièces ; juste à peu près de cette taille. Voyez? Je l’ai regardé. Je me suis dit: «Maintenant, Seigneur, Tu n’as jamais placé quelque chose devant un homme à moins qu’il y ait... que ce soit quelque chose pour Ta gloire.» Et j’ai dit: «Maintenant, pourquoi as-Tu laissé ce petit écureuil de pin jacasser comme cela?»

            Il m’est arrivé de voir que le petit écureuil regardait vers le bas, comme cela ; il ne me regardait pas. Mais la tempête avait forcé un gros aigle à descendre là. Cet aigle sortait de ce sous-bois, de ce buisson. Et j’ai regardé, j’ai dit: «Oh! L’aigle, c’est ce qui t’a excité.» Et ce petit animal était simplement en train d’agir comme s’il allait tailler cet aigle en pièces. Alors, ce gros aigle, il a sauté sur une branche comme cela.

38        Et je me suis dit: «Maintenant, pourquoi Dieu a-t-Il détourné mon attention de cet arc-en-ciel, de ce loup qui appelle, et autres, vers quelque chose comme ceci?» Je me suis dit: «Eh bien, Seigneur, Tu es dans Ta nature. Et je me tapais donc un moment merveilleux ; pourquoi as-Tu fait cela?» Je me suis dit: «J’observerais cela juste une minute.» Je me suis dit: «Eh bien, maintenant, cet aigle-là, c’est un charognard, il n’y a rien de bon en lui.» Je me suis dit: «Eh bien, que fait-il?» J’ai vu ce gros oiseau me regarder.» Je me suis dit: «Oh! Je comprends. Il est si brave ; il n’a pas peur de moi. Je me suis dit: «Je vais éprouver sa bravoure.»

            J’ai dit: «Hein! Oiseau, sais-tu que je peux te tirer dessus?» Ces gros yeux gris, ils les roulaient de façon dramatique, me regardant ; il a regardé ce petit écureuil. Il n’avait pas peur. Je me suis dit: «Oh! Seigneur, je vois. Tu veux quelqu’un qui n’a pas peur.»

            C’est ça le problème de l’Eglise aujourd’hui. Vous avez peur. Vous avez peur quand vous demandez, que vous n’allez pas recevoir. C’est la raison pour laquelle vous ne recevez pas. N’ayez pas peur. Demandez, et puis croyez que vous allez recevoir cela ; vous le recevrez. Dieu vous l’accordera.

39        Je me suis donc dit: «Oh! Je vois, la bravoure.» Je me suis dit: «Qu’est-ce qui le rend donc brave? Il doit y avoir une raison qui fait qu’il soit brave.» Et j’ai dit... J’ai saisi mon fusil comme ceci ; j’ai dit: «Je vais l’effrayer.» Alors, j’ai saisi mon fusil comme si j’allais le lever comme ceci, et il a battu ces grandes ailes, il m’a encore regardé, il a regardé de nouveau. Je me suis dit: «Eh bien, pourquoi est-il si brave?» Je l’ai observé, il continuait à bouger ses ailes, à battre ses plumes. Je me suis dit: «Oh! Je vois. Dieu t’a donné deux ailes ; c’est la puissance que Dieu t’a donnée. Et tu te fies à cela.»

            Et je me suis dit: «Si–si Dieu a donné à l’aigle deux ailes pour qu’il se tire du danger, et qu’il a une si grande confiance en ses ailes, que devrait faire une église baptisée du Saint-Esprit?» Voyez? Il était là, bougeant ses plumes. Je me suis dit: «Oui, tant qu’il peut sentir ces ailes, c’est en ordre, il n’a peur de rien.» Et j’ai dit: «Gloire à Dieu!» Tant que je peux sentir le Saint-Esprit se mouvoir, les démons ne peuvent m’effrayer en rien (C’est vrai.), quand le Saint-Esprit est là.

            Que c’est merveilleux! Il n’est pas étonnant que vous puissiez vous tenir là, pas comme le rocher de Gibraltar, mais comme le Rocher des âges. Nous subsisterons, après que le rocher de Gibraltar aura disparu.

40        Je me suis donc dit: «C’est merveilleux, n’est-ce pas?» Eh bien, j’ai alors dit... Je me demande pourquoi il... Eh bien, j’ai dit: «Maintenant, ce bois n’est pas très élevé et il sait que c’est son échappatoire. Avant que je puisse épauler ce fusil-là, et surtout regarder au travers de ce petit viseur en V, il se retrouverait dans ce bois-là, et je ne pourrais pas lui tirer dessus, et il sait ça. Eh bien, me suis-je dit, c’est merveilleux, n’est-ce pas?» Et je me suis remis à crier. Je ne sais pas si je l’ai effrayé en ce moment-là ou pas.

            Mais de toute façon, il a regardé tout autour un petit instant. Je me suis dit: «Je t’admire, oiseau. Je ne te tirerais pas dessus. Puisque tu es si brave, je–j’aime la bravoure, et je ne te tirerais certainement pas dessus.» Il est resté perché là un petit moment. Peu après, il s’est tout simplement balancé un peu, comme cela, sur ses pattes. Il en avait marre d’entendre ce drôle de petit écureuil de pin jacasser, jacasser, jacasser, jacasser, jacasser, jacasser. Et je me suis dit: «C’est vrai. Cela rappelle bien certaines de ces personnes par ici: ‘Les jours des miracles sont passés. La guérison divine n’existe pas. Le Saint-Esprit n’est pas pour aujourd’hui.’» Eloignez-vous-en donc d’un bond. C’est vrai. Eloignez-vous-en donc, tenez-vous simplement loin.

            Je l’ai observé. Eh bien, il n’a pas battu, battu, battu, battu, battu ses ailes. Il a simplement effectué un grand bond, il a battu à peu près deux fois, puis il a disposé ses ailes. Et quand ce coup de vent...?... Il n’a point bougé une plume. Il savait donc comment naviguer en l’air, il a simplement continué à aller, sans cesse, jusqu’à disparaître de la vue.

41        Je me suis tenu là. J’ai pleuré comme un enfant. J’ai dit: «C’est ça, Seigneur. Il n’est pas question de courir ici et courir là, battre ici et battre là. Il est juste question de disposer vos ailes de la foi face à la puissance de Dieu, et quand cela vient, vous vous élevez. Vous vous éloignez de... qui disent: ‘Les jours des miracles sont passés ; telle chose n’existe pas.’» Surmontez. Ne cherchez pas à pousser et à bousculer, disposez simplement votre foi face à la puissance de Dieu. Et à chaque coup de vent, surmontez cela comme cela en naviguant. C’est ça. Amen.

            C’est alors que la profondeur appelait réellement la profondeur donc. Merveilleux! La profondeur appelant la profondeur. A moins qu’il y ait une profondeur... Avant qu’il y ait une nageoire sur le dos d’un poisson, il a dû y avoir premièrement de l’eau pour que le poisson y nage, avant qu’il ait donc de nageoire, sinon il n’aurait pas eu de nageoire. Est-ce vrai? Avant qu’il y ait un arbre qui pousse sous terre, il a dû y avoir premièrement une terre où il devait pousser, sinon il n’y aurait pas eu d’arbre. Est-ce vrai? En d’autres termes...

42        Tenez, il y a quelque temps, je lisais au sujet d’un petit garçon qui mangeait la gomme d’un crayon. Il avait mangé la... et mangeait la pédale d’une bicyclette, le caoutchouc de la pédale. Et on n’arrivait pas à comprendre pourquoi le petit garçon mangeait le caoutchouc tout le temps. On l’a donc amené à une clinique et on l’a consulté, et le médecin a dit: «Eh bien, son petit corps a besoin de soufre.» Vous y êtes. Voyez? Or, le petit garçon a été tiré de la terre où se trouve le soufre, et tant qu’il y avait un besoin de soufre ici à l’intérieur, il devait y avoir du soufre pour répondre à ce besoin. Voyez?

            Maintenant, combien ici présents croient à la guérison divine? Faites voir les mains. La puissance de Dieu? Merci. Regardez. Avant qu’il puisse y avoir une création, il a dû y avoir un Créateur pour créer cette création-là. Est-ce vrai? Eh bien, tant que vous éprouvez une faim pour la guérison divine et la puissance de Dieu, il doit y avoir une Fontaine ouverte quelque part. Est-ce vrai? S’il n’y avait pas de guérison divine, il n’y aurait pas cela dans votre coeur. Le Dieu Créateur a dû créer cela dans votre coeur avant que vous puissiez même penser à pareille chose. Alléluia! Vous désirez donc davantage de Dieu ; vous avez faim de davantage de Dieu. Et parce que vous avez effectivement faim, c’est l’évidence même, et une bonne, qu’il y a plus de Dieu à recevoir. Et si vous avez un vif désir de la guérison divine, cela montre qu’il y a une Fontaine de la guérison divine quelque part, sinon cette création ne serait pas dans votre coeur. Comprenez-vous ce que je veux dire?

43        Rapidement maintenant, juste encore quelques minutes. Oh! la la! Je L’aime vraiment. C’est tout. Je ne peux pas m’en empêcher. Voyez, j’ai... Pensez-y. Toute voie que vous suivez, tout point de départ que vous voulez adopter, vous verrez Jésus-Christ dans Sa puissance. C’est vrai. Toute voie que vous voulez suivre: Deux natures, deux atmosphères, deux signes, deux tout ce que vous voulez ; il y a Jésus-Christ en plein milieu de cela. Amen! Oui.

44        Maintenant, regardez ceci. Je vois Siméon, un vieil homme, un vieux sage (Comme on les appelait), avec une longue chevelure blanche, une quatre-vingtaine d’années, d’après ce qu’on nous apprend, avec une longue barbe. Il jouissait d’une réputation. Il était docteur d’Israël. Et il travaillait au temple, là, et tout, il jouissait d’une bonne considération. Mais un jour, le vieil homme, peut-être, était là quelque part en train de prier, et le Saint-Esprit est venu vers lui et a dit: «Siméon, tu ne mourras pas. Tu es un vieil homme, mais tu ne mourras pas avant d’avoir vu le Christ de Dieu.» Il s’en est allé çà et là témoignant, le disant aux gens. Eh bien, il n’avait pas peur de porter atteinte à sa réputation.

            Je peux m’imaginer un homme disant: «Regardez ce vieux gars. Eh bien, il est–il est un peu détraqué.» Voyez? «En effet, regardez, il est–il est pratiquement mort maintenant même. Et pourtant, David a attendu Christ, et tous les prophètes dans le passé ont attendu Christ, et c’est plus loin que jamais. Nous voici dans tout ce conglomérat et dans ce que nous sommes maintenant, et pourtant, ce vieil homme dit qu’il ne mourra pas sans voir Christ. Quelque chose cloche chez ce vieil homme. Il a trop étudié.»

            Non, mais c’est le Saint-Esprit qui le lui avait révélé. C’est une bonne raison de témoigner de Cela ; est-ce vrai? Le Saint-Esprit l’avait dit.

45        Eh bien, tout d’un coup donc, vous savez, quand Jésus naquit... Siméon ne savait rien à ce sujet. Eh bien, présentons juste cela sous forme d’une saynète ici vers la fin, si vous le voulez bien.

            Je m’imagine qu’on est lundi matin au temple. Et, oh! la la! les gens affluent, il y avait environ deux millions de Juifs à l’époque ou plus. Je suppose, peut-être, cinquante ou cent enfants naissaient (Il pouvait y en avoir plus que ça.) chaque nuit. Eh bien, alors, chaque matin, il y avait une très longue ligne de mamans, là debout avec leurs enfants, les unes, pauvres, avec des tourterelles, et les autres, avec de petites brebis, pour la purification et la circoncision de l’enfant, et que sais-je encore ; et elles remontaient la rue vers le sacrificateur afin d’exécuter la–l’instruction.

            Alors, disons qu’on est lundi matin, là. Et, oh! il y a un grand conglomérat dans la ville et tout, et tout le monde est occupé et son... tous les temples sont pleins. Et Siméon a passé un petit temps là dans la salle de prière, à prier un moment. Il est allé là...

            Je m’imagine donc qu’il lisait Esaïe, vers le chapitre 40, où il est écrit: «Nous tous comme des brebis, nous étions égarés (ou quelque chose comme cela). L’Eternel a fait retomber sur Lui l’iniquité de nous tous. Oh! Il a été blessé pour nos péchés, brisé pour nos iniquités ; le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur Lui, c’est par Ses meurtrissures que nous avons été guéris.» Je peux entendre Siméon dire: «Maintenant, je me demande qui d’autre que le Messie ça pourrait être.» Et au même moment, le Messie était au temple dans les bras de Sa mère.

46        Voyons avancer la ligne maintenant. Je vois ces braves dames là avec de petites couvertures tricotées, de petites couvertures roses et bleues couvrant leurs petits enfants, et elles leur roucoulaient sur le menton et tout. Et, oh! comme elles avançaient. Et il y avait là une petite fille qui subissait une mauvaise réputation: elle avait eu un Enfant sans avoir été mariée (Hum), elle appartenait à... là quelque part à Nazareth. Oh! la la! Elle est là au temple. Cet Enfant né hors des liens sacrés du mariage était là. Marie savait à Qui appartenait l’Enfant. Elle s’est avancée droit avec cet Enfant. «Gardez votre distance vis-à-vis d’elle. Ne vous tenez pas à côté d’une telle personne.»

            Cela me rappelle certaines de ces églises demi-soeurs aujourd’hui. Nous savons où nous nous tenons. Je sais ce que ce Saint-Esprit représente pour moi ; c’est la Vie. Peu m’importe ce que les autres en pensent. C’est la Vie. Cela peut me faire agir de façon particulière, c’est aux yeux du monde.

47        Mais remarquez, elles gardaient leur distance: «Tenez-vous loin d’elle.» Elles l’évitent. Et chaque fois... Elle tenait son petit Bébé dans ses mains. Les autres étaient couverts de belles petites couvertures, mais Lui était emmailloté.

            Or, j’ai appris que les langes, c’est ce qu’on mettait au dos du joug d’un boeuf pendant qu’on labourait avec. L’Enfant était né dans une mangeoire, on a donc dû enlever le... Il n’y avait pas de vieux habits pour revêtir le petit Enfant. Vous parlez d’être pauvre! Et pas... Et pourtant, le Roi de Gloire... Et on a enlevé cet habit-là et on a emmailloté le petit Enfant.

            Et Il était là, le petit Enfant, porté dans les bras de Sa mère, une jeune fille d’environ dix-huit ans, vingt, qui s’avance, tenant ce petit Enfant, Lui roucoulant et regardant Son visage. Elle ne se faisait pas de soucis. Cela ne la faisait pas rougir quand on la taxait de fanatique et tout, ou de ceci, de cela, qu’elle était sous la disgrâce. Elle ne faisait pas attention à elle ; elle s’avançait simplement. Elle savait où elle en était. Elle savait ce qu’il en était de tout cela. Cela ne changeait rien, ce que le monde extérieur disait. Vous vous rappelez la même chose pour votre témoignage, si vous êtes né de nouveau. Qu’on vous taxe de fanatique, c’est en ordre. Vous savez où vous êtes. Le monde connaît les siens. Dieu aussi connaît les Siens.

48        Elle avance donc là avec son Bébé, progressant. Je peux voir des gens passer et dire: «Je me demande pourquoi elles se tiennent loin de cette drôle de jeune fille. Oh! la la! Regardez-la avec ces langes. Oh! la la! Ça doit être un Enfant pauvre. Eh bien, nous sommes raffinés. Nous fréquentons donc la meilleure église ; et nous n’avons pas à perdre le temps avec quelque chose comme cela.»

            Un vieil homme était assis là derrière. Oh! Il avait un peu de paix en lui, ici derrière. Je peux l’entendre, assis là, lisant les Ecritures. Tout d’un coup, le Saint-Esprit... Maintenant, regardez. Si Dieu a donné à Siméon... le Saint-Esprit a donné à Siméon cette promesse qu’il ne mourrait pas sans avoir vu le Christ de Dieu, le Saint-Esprit est tenu de veiller à ce qu’il voie Christ en ce moment-là. C’est vrai. Il lui a fait la promesse ; Il est tenu. (J’espère que vous lisez entre les lignes ici...?...)

            Le Saint-Esprit est tenu à la Parole. Dieu est tenu à Sa Parole. Il l’est certainement. Je suis tenu à ma parole, vous êtes tenu à votre parole. Et si votre parole n’est pas valable, alors vous ne valez rien. Si la Parole de Dieu n’est pas valable, alors, je–je ne peux pas–je ne peux pas adorer Dieu ; en effet, il... je ne croirais pas qu’Il existe s’Il ne pouvait pas soutenir Sa Parole. C’est vrai.

49        Ainsi donc, je la vois avancer. Voici Siméon ; il est assis là en train de lire. Et tout d’un coup, le Christ au temple. Le Saint-Esprit lui avait fait la promesse. Le Saint-Esprit savait tout à ce sujet. Vous voyez donc Siméon, assis là en train de lire. Alors, Il lui a dit: «Siméon, lève-toi.»

            Siméon a dit: «Oui, Seigneur.» Il a déposé cela. «C’était la Voix du Saint-Esprit» Je peux entendre Siméon dire...

            «Lève-toi. Mets-toi en marche.»

            «Où, Seigneur?»

            «Marche simplement. Je m’occuperai du reste.»

50        «Comment vais-je marcher après être sorti de ce brancard?» Je ne sais pas. Il s’occupera du reste. Voyez? Mettez-vous simplement à marcher (Voyez?) quand Il vous le dit.

            «Comment vais-je sortir de ce fauteuil roulant?» Je ne sais pas, mais continuez simplement à marcher. Il–Il s’occupera du reste.

            «Comment vais-je guérir du cancer, de la maladie du coeur?» Je–je ne sais pas. Recevez simplement Sa Parole et continuez à marcher. Il s’occupera du reste. Voyez ici. Il est tenu à Sa Parole. C’est vrai.

            «Comment vais-je parler à ma mère si je reçois le Saint-Esprit, et à mon papa? Ils sont membres d’une autre église.» Recevez simplement Cela. Il s’occupera du reste. Voyez? Vous n’avez pas à vous en inquiéter. Il s’en occupera.

            «Comment vais-je faire face à mon école, à mes camarades de jeux?» Ne vous en faites pas, continuez simplement d’aller. Il s’occupera de cela. Voyez?

51        Siméon se lève. Le voici partir, sans savoir où il va, marchant simplement. Mais le Saint-Esprit dirige ses pas. Ne croyez-vous pas que les hommes sont conduits par l’Esprit de Dieu? Ceux qui sont fils de Dieu le sont. Est-ce vrai? Le voici venir, sans savoir où il va. Mais il est sous la conduite de l’Esprit de Dieu. Il s’avance vers cette ligne des enfants à circoncire, qui est en train de descendre, Sa mère. Il se met à marcher vers là, sans savoir où il va. Le Saint-Esprit est en train de le conduire. Et le Saint-Esprit l’a amené tout droit devant cette petite mère méprisée, elle était là debout avec cet Enfant emmailloté.

            Je peux entendre le Saint-Esprit dire: «C’est Celui-ci.»

            Il a étendu les mains et a pris l’Enfant dans ses bras, L’a pris des bras de Marie ; les larmes lui coulaient sur sa barbe blanche, il a dit: «Seigneur, laisse Ton serviteur s’en aller en paix, selon Ta Parole, car mes yeux ont vu Ton salut.»

            C’est vrai. Le monde L’avait rejeté, et cet homme L’aimait. C’est pareil aujourd’hui, le monde rejette le baptême de l’Esprit, et les oeuvres du Saint-Esprit, mais il y a des coeurs affamés qui viennent vers Cela, qui s’avancent vers Cela.

52        Maintenant, regardez. Le même Saint-Esprit... Il n’y a pas deux Saint-Esprit, il n’y en a qu’Un seul. Et le même Saint-Esprit qui avait donné à Siméon cette promesse-là, c’est le même Saint-Esprit qui vous a attiré ici ce soir. Est-ce vrai? Il vous a fait venir, soeur, et vous, soeur, et vous, vous, vous, vous, chacun de vous. Il vous a amenés ici. Le diable ne vous amènerait jamais à un tel endroit. Je vais vous le garantir. C’est le Saint-Esprit qui vous a amenés ici. Si vous croyez dans la guérison divine, le Saint-Esprit vous a donc amené là où la Fontaine est ouverte, juste comme Il l’avait fait pour Siméon. Vous avez embrassé la promesse de Dieu comme Siméon l’avait fait.

            Et au même moment, au temple, il y avait une vieille femme du nom d’Anne. Elle était aveugle, d’après ce que nous avons appris. Et elle attendait la consolation d’Israël. Au même moment, le Saint-Esprit l’a frappée. Voici venir une vieille prophétesse aveugle, marchant au milieu des gens, sans savoir où elle allait. Peut-être aveugle ici, mais elle était conduite par le Saint-Esprit. Elle s’est approchée à côté de l’Enfant, elle a levé les mains et a béni Dieu. Et tous ceux qui attendaient la consolation d’Israël...

53        Si le Saint-Esprit a pu conduire cette femme aveugle vers la promesse de Dieu, à combien plus forte raison peut-Il nous conduire, vous et moi, vers Sa promesse?

            Elle était dans l’expectative et elle attendait la consolation d’Israël ; c’était le Christ. Elle s’attendait à Le voir. Siméon s’attendait à Le voir. Et je m’attends à Le voir ce soir. Je m’attends à observer Sa puissance. Je m’attends à voir quelque chose être accompli, car Il m’a promis de le faire. C’est vrai. Tout ce à quoi vous vous attendez, c’est ce que vous recevrez. Pouvons-nous prier.

54        Père céleste, au Nom de Jésus, Ton Fils bien-aimé, de même que Siméon d’autrefois L’avait embrassé dans ses bras, puissions-nous le faire avec des bras forts de la foi ce soir, les tendre et L’embrasser, Le rapprocher de nous qui sommes des nécessiteux. Puisse-t-Il venir vers Ton peuple ce soir. Sauve les perdus, ramène les brebis errantes qui se sont égarées, qui se sont éparpillées à travers le pays, sans église où se sentir chez soi, sans endroit où aller, comme des étoiles filantes, conscientes qu’elles devraient être à la maison de leur Père en train de festoyer et de se nourrir de bonnes choses de Dieu. Ramène-les ce soir, Seigneur.

            Ce pauvre pécheur qui n’a jamais mangé à la table de Dieu les bonnes choses de l’Esprit, puisse-t-il s’en rendre compte ce soir, quitter cette poubelle d’où il mangeait et revenir s’asseoir à la table avec de saintes mains bénies. Accorde-le, Seigneur.

            Que les pauvres malades, les estropiés et les affligés, par les bras de la foi, étendent ceux-ci ce soir et embrassent Jésus-Christ comme leur Guérisseur.

            Et maintenant, Père, quand Il était ici sur terre, Tu L’as envoyé. Tu Lui avais dit qu’Il devait accomplir Ta volonté: «Dans le rouleau du Livre, il est question de Moi, Je viens pour faire Ta volonté, ô Dieu.» Et maintenant, Il est retourné à Toi après avoir accompli le sacrifice que... de Son propre être, afin qu’Il puisse avoir plusieurs fils pour Dieu.

            Et maintenant, ce soir, Seigneur, moi en tant que Ton serviteur, avec ces autres serviteurs, nous sommes ici pour accomplir Ta volonté, ô Dieu, selon qu’il est écrit, par Lui qui a dit: «Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais.» Accorde-le ce soir. Et que cette même puissance qui avait conduit Siméon et Anne, Jean-Baptiste, beaucoup d’autres, tous les autres justes, qu’Il vienne et qu’Il nous conduise dans des pensées plus profondes et dans des hauteurs élevées avec Ton amour et Ta puissance, car nous le demandons en Son Nom. Amen.

55        Je suis désolé d’avoir pris beaucoup de votre temps, mais je sens vraiment... Oh! Quelle gentille assistance avec la foi!

            Maintenant, si vous étiez... veniez ce soir et que vous vouliez voir Jésus... Si vous vouliez voir Jésus, à quel genre d’Homme vous attendriez-vous? Un très bon érudit? Non. Demandez à quelqu’un qui sait ce que les Ecrits originaux de la Bible étaient dans... juste clairement, sans même une bonne grammaire, juste comme ce qu’on utilise dans des rues, les gens ordinaires. Voyez? C’est le genre de Personne que vous retrouveriez.

            Où Le trouveriez-vous? Dans de hautes classes? Oh! Non! A la rivière parmi les pauvres, les rejetés, tous ceux qui voulaient Le recevoir. Ces esprits de haute classe, des religieux au possible, de très belles synagogues... Rappelez-vous, érudits... Eh bien, qui pouvait dépasser ces sacrificateurs en sainteté? S’ils faisaient une seule mauvaise chose, ils étaient lapidés. Ils devaient être saints, sans reproche. Est-ce vrai? Les érudits de la Parole, mais cependant, ils avaient manqué de voir Dieu. C’est ce qui se passe aujourd’hui.

56        Eh bien, quand Dieu a pris... Il retire Son homme, mais jamais Son Esprit. Le même Esprit qui était sur Elie est venu sur Elisée, ensuite sur Jean-Baptiste, et il est encore prédit pour le dernier jour. Est-ce vrai? Dieu a retiré Son homme, mais... Il a retiré Son Fils, mais l’Esprit est revenu. Voyez? Le diable retire son homme, mais jamais l’esprit. Il revient directement, très religieux. Paul n’a-t-il donc pas dit que dans les derniers jours les hommes seraient emportés, enflés d’orgueil, aimant les plaisirs plus que Dieu, ayant l’apparence de la piété, mais reniant ce qui en fait la force ; éloigne-toi de tels hommes?

            Maintenant, nous sommes tous ici. C’est vrai. Le peuple de Dieu est ici, Satan est ici. L’antéchrist, ce n’est pas le communiste. Le communiste, ce n’est pas l’esprit antéchrist. La Bible dit dans Matthieu, chapitre 24, que l’antéchrist sera si proche de la chose réelle qu’il séduirait même les élus si c’était possible. C’est vrai. Il est religieux. Tout cela se trouve dans Apocalypse 17: Assis sur une bête écarlate, elle avait des filles, issues d’elle. Et vous n’êtes pas aveugle. Voyez? D’accord.

            Un jour, j’espère simplement parcourir le pays, en enseignant l’Evangile au mieux de ma connaissance. Mais maintenant, c’est la prière pour les malades.

57        Quand nous voyons Jésus debout là, quel genre d’Homme était-Il alors? Il était un Homme de chagrin, habitué à la souffrance. Mais Il avait une personnalité. Il pouvait leur parler quand il le fallait. Un jour, Il a pris des bâtons, ou plutôt des cordes, et Il a fait sortir du temple, à coups de fouet, tout un groupe d’entre eux. Si cela s’avère donc nécessaire, Il pourrait le faire. S’Il vous regarde donc, votre coeur se fondrait. Voyez?

            Et maintenant, comment les gens ont-ils reçu cela? Ceux qui L’abordaient (Maintenant, suivez), ceux qui L’abordaient comme un tendre Sauveur aimable, ils percevaient la vertu. Il leur était révélé ce qui clochait chez eux, ce qu’ils devaient faire.

58        Mais ceux qui Lui ont mis un lambeau autour du visage un jour, qui L’ont frappé à la tête avec un bâton et qui ont dit: «Maintenant, Tu es un Voyant, Tu–Tu es un prophétiseur. Tu sais ce que les gens font et tout. Dis à ceux qui sont là dans l’assistance ce qu’ils pensent à ce sujet et ce qu’ils font.» Eh bien, ils L’ont frappé à la tête et ils ont dit: «Maintenant, dis-nous qui T’a frappé?» Il n’a point ouvert la bouche, Il n’a point dit un mot. Voyez?

            Vous avez entendu les gens dire: «Laissez-moi voir ce guérisseur divin aller guérir telle personne, nous croirons cela.» Rappelez-vous donc, cet homme-là est possédé d’un démon. Voyez?

            La toute première chose que–que Satan a faite quand il a rencontré Ève, c’était cette chose-là. La première chose qu’il a faite quand il a rencontré Jésus, il a dit: «Si Tu es le Fils de Dieu... Maintenant, Tu as la puissance. Si Tu es le Fils de Dieu, accomplis-moi un miracle ici, que je Te voie faire cela. Change–change ce pain en–en... ces pierres en pains. Fais-moi voir cela maintenant, et je croirai en Toi.» Voyez?

59        Il L’a amené au sommet du temple, il a dit: «Maintenant, lance Ton pied vers le bas, juste... ou saute d’ici, là même. Il est écrit dans les Ecritures. Je vais Te donner le passage des Ecritures en rapport avec cela.»

            Jésus a dit: «Tu ne tenteras pas l’Eternel ton Dieu. Eloigne-toi de moi, Satan.» Est-ce vrai? Il n’a jamais fait le clown pour Satan. Il ne faisait que la volonté du Père.

            Maintenant, regardez. Il ne prétendait pas être un guérisseur, n’est-ce pas? Il disait: «Je ne peux rien faire de Moi-même.» Quand Il a dépassé tous les estropiés et autres, sans jamais guérir un seul parmi eux, Il a guéri un homme qui souffrait d’une maladie, quelque chose du genre, la prostatite ou quelque chose comme cela ; il en avait souffert depuis longtemps. Il a dit: «Veux-tu être guéri?» Il n’a point guéri un des estropiés. Et les Juifs L’ont interrogé. Il a dit: «En vérité, en vérité, Je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-même, mais Il ne fait que ce qu’Il voit faire au Père.» Est-ce vrai? «Le Père Me montre quoi faire et Je dois le faire.»

            Or, s’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement, qu’Il est mort, qu’Il est ressuscité d’entre les morts, Il a dit: «Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais.» Est-ce vrai? C’est une promesse.

60        Evidemment, vous savez, je fais quelque chose. Certainement. Je me dégage de l’onction de la prédication pour rentrer dans celle-ci (Voyez?), pour la guérison (Voyez?), rentrer à... détendre l’assistance. Soyez respectueux.

            Eh bien, Il ne soutenait pas être un Guérisseur, mais Il avait des visions de ce que le... Jésus a dit: «Je ne fais rien.» Cela veut dire qu’Il ne faisait aucune chose sans que Dieu le Lui ait premièrement montré. Eh bien, si vous voulez lire cela, prenez Jean 5.19 et voyez si c’est vrai. Voyez? «En vérité, en vérité, Je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-même, mais ce qu’Il voit faire au Père, Il le fait. (Voyez?) Le Fils le fait aussi pareillement.» Il ne s’est jamais attribué des mérites ; Il les attribuait à Dieu. Voyez? Aucune chair humaine ne peut se glorifier aux yeux de Dieu. Il a donc dit qu’Il faisait ce que le Père Lui montrait. Il savait où était le poisson qui avait une pièce d’argent dans sa bouche.

            Paul était là une fois prêchant, et il a vu un homme qui était estropié, ou qui avait quelque chose qui clochait, couché sur un brancard ou une civière, l’une ou l’autre chose. Il a dit: «Je vois que tu as la foi d’être guéri. Lève-toi. Jésus-Christ te guérit.» Et il s’est levé d’un bond. C’est l’Evangile.

61        Maintenant, si Jésus revient ici ce soir et qu’Il accomplit les oeuvres qu’Il accomplissait quand Il était ici sur terre, qu’Il fait les mêmes manifestations... Il avait appelé une femme au puits et lui avait dit: «Apporte-Moi à boire.»

            Elle avait dit: «La pompe... Le puits est profond ici.»

            Il lui a parlé un peu et Il a dit... Il est allé tout droit à son problème, Il a dit: «Va chercher ton mari.»

            Elle a dit: «Je n’ai point de mari.»

            Il a dit: «C’est vrai. Tu en as eu cinq.»

            Eh bien, elle est entrée dans la ville en courant et a dit: «Venez voir un Homme qui m’a dit tout ce que j’ai donc fait.» Eh bien, ce n’est pas ce qu’Il avait fait. Il lui avait seulement dit une seule chose. Mais si Dieu peut Lui montrer une seule chose, Il peut Lui montrer toutes choses. Elle a donc dit: «Ne serait-ce point le Christ?»

62        Philippe est allé auprès de Lui, il a été sauvé, il est allé trouver Nathanaël. Il a dit à Nathanaël: «Viens voir Qui j’ai trouvé, Jésus de Nazareth, le Fils de Joseph.»

            Il a dit: «Peut-il venir de Nazareth quelque chose de bon?»

            Il a dit: «Viens, et vois.»

            Quand donc Il se tenait dans la ligne de prière, priant peut-être pour les malades ... Ce qui prenait soixante pour cent de Son temps, ou plus, c’était la prière pour les malades, oui, environ quatre-vingts pour cent, la prière pour les malades.

            Et peut-être que Philippe s’est avancé vers Lui, dans la ligne, ou plutôt Nathanaël. Jésus l’a regardé et a dit: «Voici un Israélite dans lequel il n’y a point de fraude.»

            «Eh bien, a-t-il dit, quand as-Tu... Comment le sais-Tu?»

            En d’autres termes: «Voilà un chrétien honnête.» Il a dit: «Comment as-Tu su que j’étais un chrétien et que j’étais honnête?»

            Il a dit: «Avant que Philippe t’appelât, quand tu étais sous l’arbre, c’est alors que Je t’ai vu.»

            Philippe a dit... ou plutôt Nathanaël a dit: «Tu es le Christ, le Fils de Dieu, le Roi d’Israël.»

            Savez-vous ce que pourrait en être la version 1944? C’est de la télépathie mentale, c’est le diable, c’est un diseur de bonne aventure, quelque chose comme cela. Voyez? «Un aveugle conduit un aveugle, ils tomberont tous dans une fosse.» C’est exact. Ne leur ressemblons pas ce soir. Ayons des coeurs ouverts et recevons notre tendre Seigneur Jésus dans nos coeurs.

63        [Espace vide sur la bande–N.D.E.]... évidemment, je ne saurais pas si vous étiez juste passé, ce que nous avions l’habitude de faire, l’ancienne ligne rapide, vous savez, où les gens passaient simplement, très vite, ils passaient aussi vite que possible. Je suis content que vous ayez mentionné cela, quelque chose, afin que j’aie un point de départ pour vous parler.

            Maintenant, quant à la vie, nous sommes tous deux inconnus l’un à l’autre, je ne vous ai jamais connu, l’un l’autre. Et... Mais Dieu nous connaît tous deux, n’est-ce pas?

            Maintenant, et si notre Seigneur Jésus-Christ, notre Sauveur, était ici ce soir, portant ce costume qu’Il m’a donné, et qu’Il se tenait ici, vous regardant...

            Eh bien, Il saurait ce que–ce qu’est votre problème. Est-ce vrai? Mais maintenant, quant à la guérison, que pensez-vous qu’Il pourrait dire? Eh bien, Il dirait: «Enfant, ne crois-tu pas que Je t’ai guéri quand Je suis mort pour toi il y a mille neuf cents ans? Peux-tu accepter cela?» Vous diriez: «Oui, je le peux, Seigneur.» Eh bien, si vous pouvez accepter cela, il vous sera alors fait selon votre foi. Est-ce exact?

64        Mais maintenant, comme le Roi des prophètes, Dieu, Emmanuel, Il saurait ce qui–ce qui clochait en vous, ce qu’était votre problème et tout. Est-ce vrai? Mais autrement, Il-Il ne pourrait rien faire pour vous. Est-ce vrai? Eh bien alors, s’Il est ressuscité d’entre les morts et qu’Il peut... S’Il peut entrer dans mon corps et se servir de ma voix, peut-Il dire la même chose qu’Il dirait s’Il était ici dans la chair...?... A-t-Il promis de le faire? Il l’a promis. C’est bien. Cela fait de Lui le même hier, aujourd’hui et éternellement. Et alors, nous, les croyants, nous pouvons Le voir. Il sera avec nous, en nous, jusqu’à la fin du monde. C’est dans chaque âge, jusqu’à la fin du monde. Est-ce vrai? Cela fait de Lui le même hier, aujourd’hui et éternellement. Est-ce vrai?

            Maintenant, vous êtes conscient qu’il se passe quelque chose. N’est-ce pas? C’est–c’est... Voyez, maintenant, juste entre vous et moi se tient cette Lumière-là.

65        Maintenant, quant à vous guérir, je ne le peux pas. Quant à cacher votre vie, vous ne le pouvez pas. Voyez? En effet, tout cela est entre les mains de Dieu maintenant. Voyez? C’est exact. Ô Enfant! Beaucoup de tristesse, et dans beaucoup de dangers... Une chose, vous êtes extrêmement nerveuse. Vous en avez assez pour être nerveuse. Cela devient sombre tout autour de là où vous êtes. Oh! C’est... Vous–vous avez... C’est une maladie du coeur. Et c’est... Eh bien, vous avez été abandonnée à la mort par le médecin, il y a de cela environ un mois ou plus. Et il a dit qu’il y avait... vous aviez deux trous, ou des fuites, ou quelque chose comme cela. Un drôle de terme qu’il a donné à cela. Je l’ai entendu tout à l’heure quand il a dit cela. Et cela avait un drôle de nom, c’est au sujet de... Mais ce qu’il y a, cela aboutit à... ce sont deux trous dans votre coeur ; je vois comme du sang qui coule par là. Ces choses sont-elles la vérité?

            Est-ce le même Jésus qui avait su que Philippe était sous l’arbre, qui a pu vous voir dans la... dans la condition où cela... Est-ce vrai? Est-Il ici debout? Est-Il votre Sauveur? Est-Il votre Guérisseur? Venez ici.

66        Maintenant, je sais que je ne suis qu’un homme, soeur. Mais maintenant, pendant que Cela est ici... Je suis votre frère et un serviteur de Dieu. Voyez? Maintenant, la puissance de la guérison (C’est exact) est ici. Voyez? Mais je ne peux qu’agir avec cela, s’Il me le permet. Je vais proclamer la bénédiction, que vous vivrez et que vous ne mourrez pas. Et je suis... Allez-vous louer Dieu?

            Notre Seigneur Jésus, j’impose la main à cette femme et je réclame que sa vie soit épargnée. Et pour ce que les médecins n’ont pas pu faire, que la puissance du Dieu Tout-Puissant le fasse, au Nom de Jésus-Christ. Amen. Je vous bénis, ma soeur, pour votre guérison au Nom de Jésus, le Fils de Dieu. Amen.

            Maintenant, écrivez-moi votre témoignage. Que Dieu vous bénisse.

67        Que le Seigneur soit béni. Maintenant, avant que l’onction m’amène là où je ne saurai pas où je suis, combien croient que Jésus-Christ est ici maintenant? C’est–c’est le même Jésus. Maintenant, c’est Sa puissance. C’est Son prodige qu’Il a dit qu’Il accomplirait.

            Maintenant, soyez respectueux, partout. Attendez-vous à voir Dieu faire pour vous ce qu’Il a fait pour elle. Croyez simplement ; c’est tout ce qu’il vous faut faire.

            Maintenant, continuez à prier là dans l’assistance. Croyez simplement cela et voyez si le Saint-Esprit ne peut pas parcourir l’assistance, vous guérir là où vous êtes, là dans les bancs, ou n’importe où que vous êtes. Croyez simplement, c’est tout ce que je vous demande de faire.

68        Venez, madame. Bonsoir. Evidemment, vous êtes consciente que Quelque Chose est proche. Mais nous sommes inconnus l’un à l’autre. Je ne vous connais pas, je ne vous ai jamais vue de ma vie, à ce que je sache. Je suppose que vous ne m’avez jamais vu auparavant. Non. Nous sommes de parfaits...

            Nous ne nous sommes jamais donc rencontrés l’un l’autre auparavant, c’est la première fois dans la vie de nous rencontrer face-à-face l’un l’autre. Mais le Seigneur vous connaît, et Il me connaît.

            Vous êtes une croyante chrétienne ; en effet, votre esprit est vraiment le bienvenu. Et je sais que ceci ici, c’est le Saint-Esprit. Et je sais qu’Il vous accueille.

            Maintenant, si Jésus est notre Sauveur, comme Il est notre Sauveur à tous deux, et Dieu, le Père de nous tous deux, nous sommes donc devenus les enfants de Dieu. Nous sommes donc ici pour nous entraider. Et si Dieu m’a envoyé vous aider, je dois donc faire ce que Dieu m’ordonne. Je vous demande donc de croire en Lui et de croire qu’Il m’a envoyé pour–pour... avec un don divin, juste pour susciter la foi en vous.

69        Eh bien, puisque nous ne nous sommes jamais vus l’un l’autre auparavant, eh bien, il doit y avoir un moyen par lequel... S’Il me disait quelque chose à votre sujet... Si moi, probablement quand Cela frappe, je continuais à vous parler, cela continuerait simplement à parler. Mais c’est juste quelque chose... Par exemple, si vous êtes malade, ou s’il y a quelque chose qui cloche chez vous, autrement dit, si vous avez fait quelque chose de mal, s’Il le dénonçait ou vous en parlait, vous serez disposé à accepter cela ; n’est-ce pas?

            Je–je peux vous l’assurer, avant que quoi que ce soit arrive, que vous êtes vraiment une croyante. Votre problème, c’est que vous êtes très nerveuse. Et cela est dû au temps de la vie que vous traversez ; vous en arrivez à la ménopause. C’est l’âge d’une dame. Mais... Excusez-moi. Quelque chose est arrivé. Vous–vous–vous avez connu un accident. J’ai vu un bâton, ou quelque chose comme cela vous frapper à la tête, n’est-ce pas? Est-ce vrai? Et cela vous a provoqué une l’hémorragie in–interne dans la tête. Est-ce vrai? Venez ici.

            Ô Jésus, Fils de Dieu, je bénis ma soeur que voici pour sa guérison. Et maintenant, ennemi, quitte-la. Je réprimande cette tumeur. Au Nom de Jésus-Christ, qu’il sorte d’elle et qu’elle soit guérie pour Ta gloire. Je vous bénis, ma soeur, pour la guérison de votre corps. Que Dieu vous bénisse maintenant. Allez en vous réjouissant.

70        Ayez foi. Ne doutez pas. Gardez simplement la foi ; continuez à croire. Soyons respectueux et croyons donc de tout notre coeur maintenant. Maintenant, soyons donc tout aussi respectueux, là. Bonsoir, madame. Je dis: Bonsoir. Nous sommes inconnus, je suppose, l’un à l’autre. [La dame parle à frère Branham.–N.D.E.] Oui, madame. Vous avez été dans ma réunion où? [La dame dit: «A Evansville.»–N.D.E.] Excusez-moi. Je n’entends pas ; difficilement, mais c’est juste... vous pouvez comprendre. Il y a de cela environ cinq ou six ans. Oh! Oui. Vous venez de, je pense, de Saint Louis, là, une soirée. Oui. [La dame dit: «Frère Von Huesen.»–N.D.E.] Oui, Von–Von Huesen, c’est ça. C’était frère Von Huesen. Ils avaient le même endroit, je pense, j’y étais l’autre jour, là-bas, il y a quelques semaines ou... [La dame parle encore.–N.D.E] Je vois.

71        Eh bien alors, vous et moi, nous sommes inconnus l’un à l’autre, nous ne nous connaissons pas. Mais croyez-vous que Jésus-Christ est ressuscité d’entre les morts? Et croyez-vous qu’Il peut, par la grâce souveraine et l’élection souveraine, envoyer des gens ici sur terre, les établir pour prêcher l’Evangile et accomplir diverses oeuvres pour Lui? Vous croyez cela, n’est-ce pas? Si donc nous ne nous sommes jamais rencontrés dans la vie, et si Dieu dit quelque chose qui clochait chez vous, et que vous reconnaissez que je n’ai aucun moyen de savoir cela, eh bien, cela devra venir d’une source surnaturelle. Est-ce vrai? Eh bien alors, accepterez-vous cela comme Dieu? Voyez? Il vous le faut. Merci.

            Voyez, c’est juste... Je cherche à trouver l’approche. Vous voyez ce que je veux dire. En effet, ce–c’est par la façon dont vous considérez Cela. Ce n’est pas moi, mais vous devez respecter ce que je dis à ce sujet, sinon cela n’arrivera simplement–simplement pas. Voyez? C’est votre approche vers Dieu qui compte. Les gens qui... Une femme toucha Son vêtement une fois et elle fut guérie. Mais un autre L’a frappé à la tête et tout le reste, il n’a pu ressentir aucune vertu. Ça dépendait de l’approche qu’ils avaient vis-à-vis de Lui.

72        Oui. Maintenant, la femme est simplement en train d’apparaître... devant moi. Mais elle est... quelque chose... Je vois qu’elle a un... C’est une affection de vésicule biliaire. Cela est dans son... C’est dans son flanc droit. Et elle a... Il y a quelque chose qui cloche à la gorge. Est-ce vrai? Et puis aussi, je vois quand vous êtes debout avec des habits... Vous avez une grosseur, et cette grosseur est sur l’épaule droite. Est-ce vrai? Est-ce... Etait-ce vrai?

            Maintenant, ce qui vous a parlé, ce n’était pas moi. C’était ma–ma voix, mais ce n’est pas moi qui la faisais fonctionner. En effet, je ne savais quoi dire. Non. Mais c’était une autre voix... C’est ma voix, mais Quelque Chose parle en se servant de ma voix. Est-ce vrai? Croyez-vous que c’était Dieu? Venez donc ici.

            Bienveillant Père céleste, au Nom de Jésus, Ton Fils bien-aimé, je réclame la guérison de ma soeur. Et je la bénis maintenant, et je condamne l’ennemi, et guéris-la, au Nom de Jésus, le Fils de Dieu. Amen.

            Je te bénis, ma soeur, au Nom de Jésus pour ta guérison. Amen. Que Dieu te bénisse, ma soeur. Va, heureuse, te réjouissant. Ne doute pas. La Bible déclare: «Va et ne pèche plus (C’est l’incrédulité), de peur qu’une chose pire ne t’arrive.»

73        Maintenant, soyez très respectueux. Continuez simplement à prier, madame. Mais Cela s’est tenu au-dessus de vous deux fois, ce soir. Voyez? Maintenant, ayez foi. Je connais votre problème, mais je ne peux pas dire exactement quoi. Cela était aussi au-dessus de cette autre dame, mais je–j’aimerais vous voir être guérie. Voyez? Je peux alors vous dire que c’est AINSI DIT LE SEIGNEUR.

            Maintenant, soyez respectueux partout, s’il vous plaît. Voyez, chaque personne est un esprit. Quand vous bougez, cela... Je... Croyez-moi donc. Restez simplement tranquilles, vous savez, soyez tout aussi respectueux que possible.

            Très bien. Que le patient vienne.

74        La foi est en train d’agir partout. Maintenant, soyez très respectueux. Très bien. Bonsoir, monsieur. Vous êtes un croyant. Vous êtes déjà oint. Mais nous sommes inconnus l’un à l’autre, personnellement, comme des inconnus, oui, monsieur. Je ne sais rien à votre sujet. A ce que je sache, je ne vous ai jamais vu de ma vie. Mais Dieu seul vous connaît. Pas moi. Y a-t-il quelqu’un ici qui connaît cet homme? Quelqu’un dans la salle qui connaît l’homme, qui le connaît?

            Très bien. Si donc nous sommes inconnus l’un à l’autre, mon frère, et que nous ne nous connaissons pas l’un l’autre, et que Dieu nous connaît tous deux, puisse-t-Il nous aider. Puisse-t-Il m’aider en tant que Son serviteur à vous venir en aide, vous, Son serviteur. En effet, nous aimerions tous deux vivre ; nous aimerions servir Dieu. Nous aimerions faire tout notre possible pour le Royaume de Dieu. Oui, monsieur.

            Maintenant, cet homme me quitte. Vous avez été guéri, et c’était... Mais vous n’étiez pas à l’estrade. Vous étiez assis dans une assistance. Et votre femme a été guérie à l’estrade. Et c’était quelque part... C’était frère Bosworth qui se tenait à ma droite, en train de sourire. C’est... Il y a frère Vibbert. Ce–c’était à Evansville, dans l’Indiana. Etait-ce vrai?

            Cela apparaît encore. Juste un instant maintenant. Vous, oh! vous... C’étaient des ulcères dont vous souffriez. Maintenant, vous représentez un homme avancé en âge ; c’est votre père, et il n’est pas ici, il souffre des reins. Rentrez à la maison, imposez-lui les mains, et...?... au Nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu.

75        Bonsoir. Maintenant, que tout le monde soit respectueux. Je ne suis pas hors de moi. Je dois simplement me repérer. Voyez-vous? Les visions, c’est quelque chose... On est dans un autre monde. Et maintenant, c’est à peine si j’arrive à voir là dans l’assistance, et j’ai une bonne vue. Mais on dirait donc... Je sais que je peux entendre les gens. Je peux entendre les gens. Et cela paraît juste comme si c’est un nuage jaune suspendu ici. Vous ne saurez jamais avant que nous nous rencontrions au Jugement.

76        C’est le patient, n’est-ce pas? Est-ce le patient? Venez ici. Je suppose que nous sommes inconnus, madame ; nous ne nous connaissons pas l’un l’autre, nous sommes de parfaits inconnus. Mais Dieu seul connaît. Et je–je sais que Dieu peut révéler et Il peut me faire connaître ce que votre problème... Je ne peux pas vous guérir, je ne fais que Lui obéir, imposer les mains... Jésus a dit: «En Mon Nom, ils chasseront... ils imposeront les mains aux malades...» Est-ce vrai?

            Je vois une longue table blanche. Il y a quelqu’un... Il y a des médecins ; il y a quelque chose au sujet du dos, c’est un... c’est votre... Oh! Ce sont des calculs rénaux, au dos, et ils veulent opérer cela immédiatement. Est-ce vrai? Eh bien, Christ peut opérer maintenant même. Si vous croyez, Il vous en débarrassera maintenant. Venez ici juste un instant.

            Bienveillant Père céleste...?... Fils de Dieu [L’assemblée prie à haute voix.–N.D.E.]... la femme soit guérie. Que ces calculs la quittent et qu’elle puisse rentrer à la maison, guérie. Je la bénis, et que...?... au Nom de Jésus. Amen.

            Gloire au Dieu vivant.! Ayez foi. Ne doutez pas.

77        Venez, madame. Aimeriez-vous guérir de cette sinusite, madame, vous assise là derrière? Croyez-vous que Christ peut vous guérir? De tout votre coeur? Si vous voulez accepter votre guérison, tenez-vous debout. Dites: «J’accepte cela.» Que Dieu vous bénisse. Allez et soyez guérie.

            Il est là. Gloire au Dieu vivant! Aimeriez-vous guérir de cette prostatite, vous assis là au bout de la rangée, monsieur? Croyez-vous que Jésus-Christ vous guérira? Pouvez-vous m’entendre? Vous étiez là debout en train de prier, n’est-ce pas? Tenez-vous debout. Jésus-Christ vous guérit de cette prostatite. Rentrez chez vous, guéri.

            Il y avait deux hommes là debout, l’un en costume gris, l’autre en brun. Un homme assis ici, quelque part, comme cela, avec la même chose. Vous êtes guéri. Rentrez chez vous. Christ vous guérit.

78        Croyez-vous, soeur? De tout votre coeur? Croyez-vous que je suis Son serviteur? Je suis... Ce n’est pas à moi de faire quoi que ce soit, soeur. Il m’a dit: «Si tu amènes les gens à te croire.»

            J’ai dit: «Ils ne me croiront pas.»

            Il a dit: «Tiens-leur la main et dis-leur ce qui cloche.» Il a dit... J’ai dit: «Eh bien, alors, ils...»

            Il a dit: «Il te sera donné deux signes, de même qu’il en a été donné à Moïse, pour accomplir un miracle, deux miracles.» Et Il a dit: «Par cela, ils croiront.» Et j’ai dit... Il a dit: «Tu connaîtras ce qui cloche chez eux. Tu connaîtras le secret même de leur coeur.»

            J’ai dit: «Comment cela arrivera-t-il?»

            Il a dit: «Ne connais-tu pas l’Ecriture? Jésus de Nazareth n’a-t-Il pas promis cela?»

            Croyez-vous cela? C’est pourquoi j’ai demandé si vous me croyez. Non pas me croire comme Lui, mais croire qu’Il m’a envoyé vous aider. Croyez-vous? Allez donc prendre votre souper. Votre trouble d’estomac vous a quitté.

79        Croyez-vous de tout votre coeur? Ayez foi en Dieu. Aimeriez-vous guérir du diabète et être rétabli? L’aimeriez-vous? Acceptez-vous votre guérison? Rentrez à la maison, au Nom de Jésus-Christ, et soyez guéri.

            Bonsoir, soeur. Croyez-vous que Dieu vous a guérie de cette maladie gynécologique? Croyez-vous? D’accord. Que Dieu vous bénisse. Allez et croyez.

80        Très bien. Venez, madame. Soyez respectueux. Notre Seigneur est ici. Maintenant, deux démons se crient l’un à l’autre (Soyez respectueux.), cela vient de cette direction-ci. Quelque chose qui cloche à votre dos, n’est-ce pas? Est-ce vrai? Vous aussi, n’est-ce pas? Levez-vous, mesdames. Vous êtes toutes les deux guéries maintenant ; vous pouvez rentrer chez vous et être bien portantes. Jésus-Christ vous guérit toutes les deux. Dites: «Grâces soient rendues à Dieu!» Très bien. Aimeriez-vous guérir de cette maladie du coeur? Acceptez-vous votre guérison de la part de Jésus-Christ? Que Dieu vous bénisse, ma soeur, et puissiez-vous être guérie au Nom de Jésus-Christ. Amen. Que Dieu vous bénisse.

81        Venez, madame. Croyez-vous de tout votre coeur? Etes-vous une croyante? Croyez-vous que je suis Son prophète, Son serviteur? Vous avez la chose la plus vilaine à combattre. Environ quatre-vingt pour cent de cette assistance souffrent de la même chose. Cela vient de partout dans l’assistance. Laissez-moi vous montrer. Tournez votre visage de ce côté-ci. Combien là dans l’assistance souffrent de la nervosité? Levez la main. Voyez? Vous éprouvez des sentiments très bizarres: la peur, l’inquiétude, le bouleversement ; vous pensez que vous allez perdre la tête. Satan vous a dit que vous perdrez la tête, mais il a menti. Vous êtes guérie maintenant. Rentrez chez vous et soyez guérie au Nom de Jésus.

            ...?... vous a bénie, rentrez chez vous maintenant, et faites tout ce que vous voulez. Que Dieu vous bénisse. Guérie, rentrez chez vous en criant des louanges à Dieu.

82        Venez, madame. Croyez-vous? J’aimerais vous parler juste une minute. [Frère Branham parle à la dame.–N.D.E.] Est-ce la vérité? Donc, je... Maintenant, l’assistance... Il n’y a rien qui cloche chez cette dame, du genre immoralité et tout, c’est une brave dame. Mais c’est quelque chose que je ne peux pas dire devant une assistance. Et Dieu seul connaît la dame. Est-ce vrai, madame? Est-ce la vérité? Dieu seul était là avec vous (Est-ce vrai?), quand cela est arrivé. Est-ce vrai? Maintenant, vous allez vous rétablir. Que Dieu vous bénisse. Laissez-moi vous imposer juste les mains, juste une minute. Au Nom de Jésus-Christ, je réprimande le démon ; quitte-la. Amen. Que Dieu vous bénisse.

            Vous avez éprouvé une sensation bizarre il y a quelques instants quand je parlais de cette dame ici qui souffrait du dos, n’est-ce pas, monsieur? Oui, oui. Vous assis là avec une chemise ouverte là, assis là. Est-ce vrai? Vous assis là, assis... Oui. Vous avez été aussi guéri de la même chose. Vous souffriez du dos. Vous avez été guéri. Je ne pouvais pas vous le dire, parce que je ne pouvais pas vous atteindre tout à l’heure.

            Que pensez-vous, vous assise là-bas, madame, en train de prier? Aimeriez-vous vous débarrasser de cette arthrite? Vous assise juste là en bas, ici, aimeriez-vous vous débarrasser de cette arthrite? L’aimeriez-vous? Oui. Oui, oui... Si ce n’est pas...?...

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