Sur Ta Parole, Seigneur

Date: 54-0221 | La durée est de: 1 heure et 6 minutes | La traduction: Shp
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1          ... être ici cet après-midi, de vous saluer tous au Nom du Seigneur Jésus-Christ, et pour Son merveilleux amour et Sa miséricorde envers nous. Nous sommes très... [Espace vide sur la bande–N.D.E.] être une bénédiction chacun de vous. C’est ma sincère prière.

            Maintenant, j’aimerais dire que ça a été l’une des séries de petites réunions les plus formidables que j’aie jamais tenues de ma vie. C’est vrai. Et je suis très ravi de l’occasion d’être ici et, j’espère, par la grâce de Dieu et par Sa miséricorde, revenir passer quelque temps avec vous tous. Et jamais de ma vie je n’ai travaillé avec un groupe de gens plus gentils, au service de notre Seigneur Jésus Christ, dans la prédication de l’Evangile, à croire pour des choses qu’Il a promis de nous donner. Et ça a été merveilleux. Votre foi, elle devrait se répandre dans toutes les nations, une si merveilleuse foi. Et je pense que vous venez de commencer, peut-être, ici, peut-être, un grand réveil, une grande réunion.

            Ceci ne devrait jamais s’éteindre, et–et vous êtes juste... Avec toute la–l’unité qui règne parmi vous, vous ne devriez jamais laisser tomber cela. Vous devriez simplement continuer d’aller, continuez simplement d’aller de l’avant. Ne vous fatiguez pas. Si vous sentez un peu de relâchement, continuez simplement d’avancer de toute façon. Allez directement de l’avant de toute façon. Croyez cela. Continuez simplement d’aller de l’avant, croyant Dieu. Et maintenant, je suis sûr que Dieu vous bénira.

2          Maintenant, j’aimerais dire à–à celui qui nous a permis d’avoir la salle ici, cette école, nous sommes certainement très reconnaissants de ce qu’ils... du privilège que nous avons de servir Dieu ici dans cette école. Qu’elle produise beaucoup–beaucoup d’étudiants qui feront de grandes choses pour l’instruction et l’intérêt de la nation et du Royaume de Dieu. J’espère qu’elle le fera.

            Et vous, jeunes gens ici, nous sommes contents de ce que vous avez gagné à votre jeu de balle l’autre soir. Nous en sommes donc très contents.

            Ainsi donc, nous sommes... Je suis reconnaissant pour ce groupe de concierges. Mon fils me disait tout à l’heure, je n’ai pas eu l’occasion de les rencontrer, il dit que c’est l’un des groupes d’hommes les plus gentils, les concierges ici dans le–dans le bâtiment. Et pour ces huissiers, mon jeune garçon disait: «Papa, c’est l’un des groupes de frères les plus gentils que vous ayez jamais rencontrés.» Il a dit: «Vous...» Et je suis très heureux pour cela. Et pour vous tous, chacun de vous, votre foi, vous avez prêté votre foi à temps. A aucun moment, je n’ai connu des interruptions, nulle part ; c’était juste un amas solide de foi, partout. Voyez ? Cela arrive très rarement comme cela. Généralement, on arrive à percevoir, peut-être d’ici, beaucoup de critiques qui viennent, ou entendre quelque chose comme cela, ou quelqu’un d’indifférent. Mais ça n’a pas été le cas ici, ça a été juste un aimable bloc de foi. Et je suis... Je déteste vraiment quitter cet après-midi ; vraiment. Juste au moment où nous commençons à voir l’agréable... tout le monde, prêt, et l’Esprit de Dieu se mouvoir parmi eux, c’est alors qu’on doit quitter. C’est ça le problème d’avoir un itinéraire.

3          Enfin et surtout, c’est pour ce merveilleux groupe de prédicateurs ici. Je vous assure, ils sont vraiment à louer parmi vous, d’avoir de bons pasteurs comme cela. Ce jeune frère Brewer ici, le président de ce comité, il a travaillé fidèlement et durement. Ce petit homme s’est accroché à mon manteau pendant les deux ou trois dernières années. Tout simplement, je... Ça ne sert simplement à rien de dire non, car si je disais non une fois, il était là la fois suivante, pour voir si je dirais oui.

            Ce n’est pas tellement dans ce sens que je veux dire cela, mais il y eut une fois un juge inique, vous savez, il a dit: «Eh bien...» Ça n’a pas été juste pour se débarrasser de lui, car lui a été un très bon jeune frère, toujours patient, peu importe si vous avez eu à dire non.

            C’est–c’est en ordre. Juste un petit tas de nerfs, on dirait, vous savez, il reviendrait carrément la prochaine réunion: «Eh bien, qu’en est-il maintenant, Frère Branham ?» Voyez ? Et il allait jusqu’à... tout à travers le pays, jusque là en Floride, suivant pour assister aux réunions. Que Dieu bénisse donc frère Brewer. Et ces prédicateurs, je n’ai point eu l’occasion de leur serrer la main jusqu’à présent. Je parcourais juste la ligne, serrant la main à un groupe d’hommes qui se sont tenus derrière moi comme cela. Je me sens coupable ; vraiment.

4          Maintenant, j’aimerais, pendant qu’ils tiennent leur grande convention cet été, si je peux venir pour au moins une ou deux soirées parmi ces frères, afin que nous puissions nous asseoir de part et d’autre de la table et parler. J’aime vraiment faire ça.

            Et à mon retour, de–de divers endroits, je trouve des lettres, elles affluent, et certaines des lettres les plus agréables que j’aie jamais reçues de ma vie, des gens qui réclament simplement des bénédictions de Dieu sur moi et tout. Et puis, de très gentilles, venant de cette assemblée ici. Et des prédicateurs aussi. C’est vraiment très gentil.

            Et frères et soeurs, dans... je ne cherche donc pas à être n’importe quoi, être indifférent. Mais avec ce genre de service pour le Seigneur, et je suis sûr, mes frères comprendront que c’est une–c’est une chose qui m’oblige un peu à me tenir à l’écart, seul. Voyez-vous ? Si je ne le fais pas, j’arriverai la nuit, et alors je dirai: «Je–je... Eh bien, je suis juste donc... Je ne sais simplement pas quoi faire.» Et peut-être que je parle un peu et on offre une prière d’ensemble et on sort. Voyez ? Vous devez rester juste sous cette onction-là.

5          Je n’arrive jamais à comprendre pourquoi notre Seigneur, comme le jour touchait à sa fin, au lieu de descendre parler avec un groupe de gens, ou dans des villes, mais Il se retirait toujours seul à l’écart, là dans le désert, là loin des disciples et tout ; se demander pourquoi Il faisait cela. Mais je commence à comprendre maintenant ce qu’Il–ce qu’Il faisait. Il devait... Il y a certains aspects de notre vie qui doivent absolument être gardés secrets avec Dieu. Et alors, je sais que mes frères, et dans les années à venir, dans la grande éternité, j’aimerais prendre un rendez-vous avec chacun de vous cet après-midi.

            Nous irons alors dans le monde nouveau ce jour-là, et nous descendrons au puits de Jacob, vous savez, là où nous pourrons nous asseoir un petit moment. On n’aura pas à se faire des soucis pour des petits enfants là ; il ne va leur arriver aucun mal. Il n’y a rien là qui puisse les déranger. Là à côté de, peut-être de la Rivière de la Vie, je sais que c’est là, et à l’Arbre de la Vie. Et allons nous asseoir là-bas sur la rive, avec chacun de vous, juste pendant environ mille ans avec chaque personne. Voyez-vous ? Cela ne me prendra pas très longtemps à le faire. Ensuite, nous nous lèverons simplement et nous nous promènerons. Nous n’aurons pas eu moins de temps à passer là par rapport au début, quand nous avions commencé...?... tout le temps, nous aurons donc, juste des milliers d’années ne représenteront rien là (Voyez-vous ?), on a donc l’éternité. Ça sera donc merveilleux, n’est-ce pas ?

            Autrefois, j’écoutais un petit chant parmi les–les frères, ils chantaient cela dans les églises, les églises du Plein Evangile, là... «Il y aura une rencontre dans les airs, bientôt, bientôt dans le doux Au-delà.» Oh ! la la !

6          Y a-t-il peut-être un temps pour un tout petit témoignage ici même ? Au début, quand je–je suis allé parmi les pentecôtistes, que j’ai vu ces danses dans la salle, eh bien, c’était vraiment trop pour mes manières de prétendu baptiste, vous savez. Je disais donc: «Regardez ça. Eh bien, la danse, c’est pour les gens du dehors, pour l’autre type de gens, disais-je, pas pour les croyants.» J’entends la musique se mettre à jouer, les gens se mettre à crier, se mettre à pousser des cris, peu après, quelqu’un se met à danser. Je disais: «Dites donc, je–je n’aimerais pas être critiqué, mais assurément, je–je redouterais de dire quelque chose contre Dieu, ça ne serait pas en ordre.» Je n’ai jamais critiqué quoi que ce soit de ce genre. Et je disais: «Eh bien, je... Mais vous savez, je n’arrive pas à comprendre cela.» Je disais: «J’aurais voulu voir cela dans la Bible.»

7          Alors, un soir, j’apportais un enseignement sur un tableau, sur la Seconde Venue de Christ. Un groupe de gens de Louisville, dans le Kentucky, était venu. Il y avait des jeunes filles, elles avaient... l’une d’elles était pianiste, et l’autre avait des cymbales et une planche à laver. Et, oh ! la la ! elles produisaient avec ça autant de musique qu’une fanfare, pratiquement. Et elles étaient...

            J’apportais donc un enseignement sur la Seconde Venue et... Ainsi donc, quelques jours avant cela, j’avais été là à Salem, dans l’Indiana, là où il y avait des pentecôtistes ; je venais de faire leur connaissance, ils dansaient et faisaient des choses. Je me suis mis à parcourir les références. J’ai alors découvert que la danse, la première référence où j’ai vu ça, c’est quand Marie s’est mise à danser. Je me suis dit: «Eh bien, cela doit venir de Dieu et le diable n’a fait que copier cela.» Voyez-vous ? Eh bien, puis la référence suivante, j’ai vu que David avait dansé quand il avait vu l’arche descendre la route. Voyez ?

            Et je me suis dit: «Oh ! la la ! C’est merveilleux !» Et j’ai constaté que le roi avait une fois fait un voeu risqué. Et il s’était engagé par un voeu, d’offrir la première chose qui sortira de sa maison. Et voici venir sa fille Mir... Et la fille se réjouissait en dansant. Et je–j’ai vu que la danse, c’était la victoire. Et je me suis dit: «Eh bien, peut-être que je n’ai pas emporté assez de victoires. Peut-être que c’est ce qu’il y a. Peut-être qu’un peu de moi-même doit encore mourir.»

8          Ça n’avait pas fait longtemps après ça, j’étais assis là et je venais de terminer l’enseignement sur la Seconde Venue de Christ. Et, (Oh !) l’Esprit de Dieu, on prenait bien notre temps, allant de l’avant. Et c’était la veille de Nouvel An. J’avais donc enseigné environ deux heures. Alors, nous...Ils étaient tous assis là, un grand groupe de gens, dans–dans mon tabernacle. On allait donc avoir un cantique spécial et alors, ce... J’ai dit: «Je pense que nous avons les gens de Louisville là derrière.» Certains d’entre eux avaient écrit une petite note et l’avaient placée là. Et ils avaient un cantique spécial à chanter.

            «Eh bien, ai-je dit, allez de l’avant.» Et alors, ces trois ou quatre jeunes filles se sont levées et se sont avancées. L’une est allée au piano, elle s’est mise à jouer Il y aura une rencontre dans les airs. Et dès qu’elle a commencé, l’autre s’est simplement levée, elle a commencé avec ces cymbales sur une certaine gamme, tapant alors la boîte en fer blanc là, comme ça. Oh ! la la ! c’était très bien, vous savez. Alors, je–je...

9          Je–j’ai constaté qu’il y avait un... Puis, peu après, il y eut une jeune fille qui sauta là sur le plancher et se mit à danser çà et là, bondissant. Je me suis dit: «Oh ! oh ! En plein dans ma propre église, ça y est. Eh bien, eh bien, assurément que je vais...» Cela m’a ruiné. J’ai donc continué à l’observer et, vous savez, je continuais à entendre cela, ici vraiment, cette dame qui jouait de ce piano-là au point que, je pense, s’il y avait eu trois ou quatre gammes, elle les jouerait. Elle jouait ceci: «Le Fils de Dieu Lui-même sera en tête à cette rencontre dans les airs.»

            Et à peine en avait-elle terminé la moitié qu’elle reprenait. Je me suis dit: «Hmmm.» Et elle avait vraiment le visage pâle. Et elle... Elle avait les yeux fermés pendant qu’elle jouait comme cela.

            Je me suis dit: «Dites donc.» J’ai commencé à très bien me sentir. Je me suis mis à taper du pied au rythme de cette jeune fille. Vous savez, je me suis dit: «Eh bien, peut-être que c’est juste mon pied, à la méthodiste, de toutes façons.» Je me suis donc mis à taper un petit peu, vous savez. Alors, vous savez, ça n’a pas fait très longtemps que j’étais là avec cette jeune fille-là, en train de danser. J’avais remporté une victoire.

            Eh bien, c’est ce qu’il faut, n’est-ce pas, la victoire. Se détacher de soi, laisser simplement le Saint-Esprit avoir le droit de passage. Dites: «Eh bien, il est dit avec bienséance et avec ordre.» Ce sera avec bienséance et avec ordre, laissez simplement faire (Voyez ?) le Saint-Esprit.

10        Maintenant, nous sommes... J’aimerais vous remercier tous une fois de plus pour votre gentillesse. Et nous allons essayer, le Seigneur voulant... J’ai envoyé Billy il y a quelques instants, et–et je lui ai parlé, disant: «S’il y a déjà des gens rassemblés, eh bien, vas-y et donne aux gens des cartes de prière. Peut-être que nous pourrons former une petite ligne afin de prier pour quelques malades cet après-midi.» Généralement, mon service de l’après-midi, c’est pour prêcher, mais je me suis donc proposé de peut-être prier pour quelques-uns qui sont malades.

            Il nous faut conduire cependant sur un long trajet cet après-midi et ce soir, arriver à la maison vers minuit. Et puis, me coucher assez suffisamment pour avoir un peu de repos, me réveiller, et le mardi soir, je dois commencer à Hot Springs, en Arkansas. Et puis, le mercredi, à Shreveport, en Louisiane. Dimanche, on commence à Phoenix, en Arizona. Et cette semaine-là, jusque dimanche prochain. Et puis, le lundi après-midi, je commence à la Réserve des Apaches, là où l’une des réunions les plus puissantes que j’aie jamais tenues dans les premiers jours avait eu lieu, à la Réserve des Apaches. Des milliers d’Indiens étaient assis là. Vous parlez de la guérison, oh ! je n’oublierai jamais une soirée. (J’espère que je ne prends pas trop de temps.) Mais, un soir, j’avais terminé... j’étais là et je leur parlais.

11        Eh bien, s’il y a au monde des gens qui ont été maltraités comme le font les Américains, ce sont des Indiens. C’est vrai. Après tout, nous sommes des étrangers. C’est à lui que Dieu a donné le privilège d’être Américain. C’est vrai. Nous l’avons simplement tabassé. Nous avons tué son bison. Nous l’avons repoussé là, et nous l’avons installé sur un terrain où des milliers d’entre eux crèvent de faim chaque année. Si jamais il y a eu une tache sur le drapeau américain, c’est celle du traitement infligé aux Indiens. C’est cela. Ce n’est pas correct d’envoyer des milliards de dollars à l’Allemagne, à l’Angleterre, au Japon, pour leur développement afin qu’ils nous fassent exploser cela en retour. La charité bien ordonnée commence par soi-même. C’est vrai. Et nos propres concitoyens crèvent de faim.

            Et une nuit, j’ai dit à Dieu là au Bird Auditorium, à Phoenix, que s’Il guérissait... La première fois que j’aie jamais prié pour les Indiens, trois Indiennes, et Dieu les a guéries toutes. Je suis donc allé là à la Réserve. Vous rappelez-vous cette nuit-là ? Je n’arrivais pas... Je parlais seulement par un interprète. Et, oh ! la la ! vous parlez d’une langue ! Vous devriez entendre cela. Il n’y a pas de phrase, ni rien d’autre, ils commencent vraiment très bas, se mettent à crier et retombent. Vous savez, c’est bien terrible. Il n’y avait donc qu’un seul interprète, et c’était une–une femme, et elle était une métisse, elle pouvait donc parler un anglais assez bon, elle pouvait parler l’apache.

12        J’ai donc constaté, c’était le tableau le plus beau. Il y avait une petite église de l’Assemblée de Dieu là. Je me tenais à l’estrade, et les Indiens étaient simplement assis par milliers, dans l’assistance là. Le tableau le plus beau, ils chevauchaient leurs poneys, vous savez, et ils avaient allumé de petits feux. Et je leur parlais.

            Et j’ai dit: «Maintenant...» Je leur ai parlé, disant: «Je pense qu’on vous a très mal traités, mais ce n’est pas moi qui dirige le gouvernement ; je suis juste quelqu’un de l’Etat comme vous. Si je m’y prenais à ma manière, ce serait différent.»

            Ils étaient étendus là dans de vieilles petites tentes, la moitié d’entre eux se mouraient de tuberculose, de glaucome, et tout. J’ai dit: «C’est une–c’est une disgrâce, mais je n’y peux rien.» Mais j’ai dit: «Ce que j’essaie de vous apporter ce soir, c’est Quelqu’Un qui vous traitera correctement, c’est Jésus-Christ.» C’est exact. J’ai dit: «Il ne vous rejettera jamais. Il ne fera jamais de discrimination raciale à votre détriment, quoi que ce soit. Il sera juste le même envers vous qu’Il l’est envers tous.» J’ai dit: «Maintenant, évidemment, je ne peux que dire ces choses et Dieu les confirmera, confirmera ce que je dis à ce sujet ; alors, croyez le Seigneur.» Ainsi donc, j’ai dit: «Y a-t-il quelqu’un ici qui aimerait qu’on prie pour lui maintenant ?» J’ai dit: «Nous avons une ligne.» Je... c’était avant que nous ayons assez d’ordre pour distribuer des cartes de prière. Alors, nous–nous devions simplement les faire passer le mieux que nous pouvions. J’ai donc dit: «Levez-vous.» Et généralement, oh ! la la ! ce serait partout, mais eh bien, personne ne s’est levé. Un Indien, c’est quelqu’un de très étrange. Vous devez le surveiller.

13        Billy Paul distribuait des cartes de prière ici il y a quelque temps, là, chez les Indiens. Je lui avais parlé, disant: «Billy, ne donne pas ces cartes de prière à quelqu’un qui a mal à la tête. Ecoute, nous avons encore une soirée.» Et j’ai dit: «Donne-les aux gens qui se meurent de cancer, l’une ou l’autre chose. Ils peuvent les amener là, on priera pour eux.» J’ai dit: «Leur foi doit s’élever tout de suite.»

14        Alors, ils l’ont annoncé à l’estrade, ils ont donc commencé à parcourir la tente. Et les Indiens étaient tous assis en cercle, dehors, comme ceci. Billy parcourt donc l’assemblée en distribuant les cartes. Et un homme tournoyait, un Indien, il lui a donné un coup dans le dos et a dit: «...?...»

            Et il a dit, Billy a dit: «Eh bien alors, papa m’a dit de distribuer ceci aux gens qui sont vraiment malades.» Il a dit: «Quel est votre problème, chef ?»

            Il a dit: «Moi malade.»

            Il a dit: «De quoi êtes-vous malade ? Quelle est la vôtre ? De quoi êtes-vous malade, chef ?»

            Il a dit: «Moi malade.» C’est tout.

            Mais il a dit: «Allez vous asseoir, chef, je vais vous donner une carte d’ici quelques minutes si je le peux.» Peu après donc, le chef continuait à surveiller le niveau de ces cartes qui diminuait de plus en plus. Alors, le chef s’est avancé, il l’a tapoté dans le dos une fois de plus et a dit: «Hmm.»

            Il a dit: «Quel est votre problème, chef ?»

            Il a dit: «Moi malade.»

            Il a dit: «De quoi êtes-vous malade, chef ?»

            Il a dit: «Moi malade.» Alors, il s’est retourné, et il est reparti et le chef l’a suivi. Il l’a tapoté dans le dos et il a dit: «Moi malade.»

            Billy lui a donné une carte de prière et il a dit: «S’il vous plaît, écrivez là-dessus: ‘Moi malade’, s’il vous plaît. ‘Moi malade.’» C’est étrange.

            Cette nuit-là, peu après, quand on en avait fait sortir quelques-uns de... fait entrer à l’intérieur de la petite église de l’Assemblée de Dieu, il y avait donc une femme là, c’était le pasteur de cette église. J’oublie son nom. Mais de toute façon, ils... Votre Evangile a publié l’article là-dessus. Il y a de cela environ six ans ou sept. Quand cela est arrivé... La première personne à passer, c’était une dame, c’était une femme très costaude.

15        Je me suis tenu à côté d’elle juste un petit moment jusqu’à ce que j’eusse senti l’onction de l’Esprit. J’ai dit: «Maintenant, votre problème, c’est que vous souffrez d’une maladie vénérienne», non pas qu’elle était immorale, c’est parce qu’elle était forcée de vivre de façon si souillée. C’est tout. J’ai dit: «Une maladie vénérienne.» Elle s’est retournée et m’a regardé, quand l’interprète a dit cela. Comment avais-je su cela ? Voyez ? Alors, cela l’a un peu eue. Eh bien, une bonne femme, juste la façon dont elle avait eu à vivre dans l’impureté.

            Et alors, et, peu après, le suivant est passé. C’était un homme qui souffrait de glaucome à l’oeil. Et puis alors, plusieurs Indiens continuaient à se regarder les uns les autres comme ça. Et le suivant à passer, c’était un petit garçon, il ne relevait pas sa tête comme cela. J’ai dit: «Dites-lui de lever les yeux vers moi, j’aimerais lui parler.» Et la maman, elle a été très brutale. Elle a tenu le petit garçon juste par le dessus la tête, comme ça, il elle basculé sa petite tête vers l’arrière, et ses pauvres petits yeux étaient louches au possible. Je me suis dit: «Eh bien, c’est–c’est en ordre.»

16        Alors, j’ai pris le petit garçon dans mes bras comme ceci. J’ai prié: «Ô Père céleste, accorde maintenant la grâce et la puissance, afin que je puisse trouver grâce aux yeux de ces gens.» Et pendant que je priais, j’ai vu le petit garçon se tenir devant moi. Tout simplement, je... Il a appuyé sa tête sur mon épaule, ses yeux s’étaient redressés.

            Alors, j’ai dit: «Maintenant, vous tous, relevez la tête.» Ils l’ont fait. J’ai dit: «Avant que je le dégage de mes épaules maintenant, j’aimerais le retourner et vous permettre tous de le regarder comme cela.» Et ses petits yeux droits, il se frottait les yeux et regardait comme cela. Alors, j’ai commencé à les voir, ils fumaient ces grosses et longues pipes et tout, ils ont commencé à cracher, vous savez, et à se parler les uns aux autres.

            La suivante à passer, c’était une petite fille. Ainsi donc, elle était sourde et muette, une fièvre l’avait rendue sourde et muette. Après avoir prié pour elle, je me suis agenouillé et j’ai fait... [Frère Branham tape ses mains.–N.D.E.], comme ça, elle s’est retournée et m’a regardé. J’ai dit: «Peux-tu m’entendre, chérie ?» Elle a regardé tout autour comme cela. J’ai dit: «M’entends-tu ?» J’ai dit: «Dis: ‘Maman, papa.’» Et elle a babillé quelque chose là. J’ai dit: «Eh bien, elle parlera mieux.»

            Et l’interprète a dit: «Hmm, son parler s’améliore maintenant même.» Je n’arrivais simplement pas... Je n’arrivais simplement pas à comprendre cela.

17        Eh bien, alors, cela a vraiment déclenché une agitation. Vous... On dirait une débandade, je vous assure, la poussière s’envolant de partout. Tout le monde était alors dans la ligne de prière. Et je n’oublierai jamais ce soir-là. Je... Il y avait tellement... le–l’homme blanc n’arrivait pas à les tenir à distance, comme cela. Il y eut juste un murage si compact. Et ils ont rempli une petite ligne là, frère Moore et un groupe d’entre eux là retenaient la–la ligne comme cela. Et puis, j’ai dit: «Qu’ils sortent d’abord de cette salle.» Ils ont commencé les premiers.

            Et le suivant à passer, c’était une pauvre vieille mère indienne, avec deux manches à balai coupées avec...?... servant de béquilles, avec des lambeaux enroulés au bout. Et elle cherchait à m’atteindre. Alors, un petit garçon indien voulait la devancer. Frère Jack n’arrivait donc pas à lui faire comprendre. Alors, il l’a simplement soulevé et l’a mis derrière, dans la ligne. Un petit garçon d’environ dix sept, dix-huit ans. Frère Moore est un peu fort, c’est le genre d’Irlandais fort, il l’a simplement renvoyé derrière dans la ligne.

18        Alors, la pauvre vieille créature s’avançait. Je l’observais. Elle portait des tresses qui lui pendaient, vous savez, avec du cuir mis dans ses cheveux, elle avait disposé cela comme ceci. L’arthrite, vous savez, elle avançait son pied, jusqu’à ce qu’elle se soit approchée de moi. Elle, juste à peu près cette hauteur...?... et tout recroquevillée, et elle, son petit dos était courbé. Elle s’est arrêtée comme ceci, elle a relevé la tête, elle a levé les yeux, et il y avait de grosses et profondes rides, vous savez, et de petits filets de larmes qui coulaient là sur ce vieux visage ridé. Et je me suis dit: «C’est la mère de quelqu’un.» Assurément, la mère de quelqu’un. Je me suis dit: «Dieu seul sait ce que cette vieille créature a enduré.»

            Elle a levé les yeux vers moi comme ça, tout aussi pathétique, elle a roulé ses petits yeux noirs en me regardant, comme ça. Elle a un peu souri. Elle a effectué un pas, elle a mis...?... la main et elle s’est redressée, elle s’est mise à marcher à l’estrade comme cela, sans prière ni rien. Elle s’en est allée en marchant. Et tout le monde s’est mis à crier.

19        Vers l’aube, ce matin-là, j’avais prié toute la nuit alors. Et vers l’aube, le lendemain matin, j’ai constaté, je les faisais simplement passer. On n’avait pas à leur dire quoi que ce soit de plus, juste–juste leur imposer les mains, c’est tout ce qu’ils voulaient que vous fassiez. Alors, le lendemain matin, quand ils... vers l’aube, frère Brown s’est avancé et a dit: «Frère Branham, vous êtes sur le point de vous évanouir maintenant, a-t-il dit, je dois vous faire partir.»

            J’ai dit: «Eh bien, essaie d’en faire passer le plus.» J’ai dit: «Qu’est-ce...» J’ai dit à l’interprète: «Qu’est-ce qui vous inquiète ? Pourquoi ces gens sont-ils si mouillés ?» Ils étaient mouillés jusqu’à la taille, ici. Elle a dit: «Eh bien, au départ, ils pensaient que c’était faux, mais, a-t-elle dit, maintenant, a-t-elle dit, ils–ils vont dans le désert et amènent leurs bien-aimés et, a-t-elle dit, ils ne vont pas effectuer vingt miles [32 km] jusqu’ici, au gué, ils traversent en pataugeant directement la rivière Gila Bend, là même, traversant de ce côté-là, pataugeant dans l’eau.

20        Et il y avait un–un patient, le suivant, c’était un vieil homme. On le transportait sur une planche, pas un brancard comme celui sur lequel on transporte les patients ici. C’était une planche, avec deux barres transversales. Et on avait étendu un vieil homme là, grisonnant, les jambes de travers sur une branche, les bras sur l’autre, comme ça. Et il tremblotait comme ça. Et un gaillard se tenait là, celui qui l’avait transporté comme cela. C’était lui le suivant dans la ligne. Il le transportait donc, tremblant, comme cela, et ses lèvres étaient très bleues. Et j’ai dit: «Parlez-vous anglais ?»

            Il a dit: «Un peu.»

            Et j’ai dit: «Ne craignez-vous pas de contracter la pneumonie, en étant mouillé comme cela ?»

            Il a dit: «Jésus-Christ prendra soin de moi ; j’ai amené mon papa.»

            J’ai dit: «Eh bien, c’est très gentil.» J’ai dit: «C’est votre papa ?»

            «Oui.»

            Et j’ai dit: «Croyez-vous que si je demande à Jésus de le guérir...»

            «Oui.»

            J’ai dit: «Eh bien, passez.» L’autre homme derrière lui est passé. Non, je pense que c’était une femme qui portait, peut-être sa soeur derrière lui, un homme et une femme. Quand il est donc passé, j’ai dit: «Comprenez-vous l’anglais, chef ?» Il n’a même pas fait un geste.

21        Je lui ai imposé les mains. J’ai dit: «Dieu bien-aimé, Tu sais ce que ce pauvre vieil homme a enduré dans la vie, je Te demande maintenant de le guérir.» J’ai dit: «Puisse-t-il guérir de ceci, se rétablir et être normal, un homme bien portant pour Te louer, et il se souviendra toujours que c’est Toi qui l’as fait.» J’ai dit: «Maintenant, amenez-le, ayez foi.»

            Et j’ai fait venir le suivant. Directement, j’ai entendu un grand bruit en bas de là où j’étais. Le vieil homme portait la planche sur ses propres épaules, il marchait, faisant signe à tout le monde comme cela...?... faisant signe de la main, vous savez, juste une simple foi.

            Quand ils ont appris que j’étais un chasseur, ils–ils voulaient... Ils ont une réserve. Tout le monde voulait seller son poney et m’amener aussitôt chasser les dindons. Je vais donc rentrer maintenant. Je leur avais dit que je retournerais. Et pour tenir ma promesse, je retourne. Ça sera une semaine après le lundi prochain. Soyez en prière pour moi, et Dieu... que Dieu nous aide là à gagner des milliers pour Lui.

22        Maintenant, il est pratiquement temps de commencer la ligne de prière. Et je suis... aimerais... Peut-être que je peux trouver un temps, cinq minutes. J’examinais les Ecritures ici il y a quelques instants, et j’ai trouvé un passage des Ecritures que j’aimerais lire, pour parler juste un petit instant avant de lire l’autre passage des Ecritures. C’est Saint Luc, chapitre 5. Ecoutez donc attentivement pendant quelques instants. 

Comme Jésus se trouvait auprès du lac de Génésareth, et que la foule se pressait autour de lui pour entendre la parole de Dieu,

Il vit au bord du lac deux barques, d’où les pêcheurs étaient descendus pour laver leurs filets.

Il monta dans l’une de ces barques, qui était à Simon, et il le pria de s’éloigner un peu de terre. Puis il s’assit, et de la barque il enseignait la foule.

Lorsqu’il eut cessé de parler, il dit à Simon: Avance en pleine eau, et jetez ... pour pêcher.

Simon lui répondit: Maître, nous avons travaillé toute la nuit sans rien prendre ; mais, sur ta parole, je jetterai le filet.

23        Maintenant, prions juste un instant. Maintenant, Père, oins ces Paroles qui ont été lues, et qu’Elles pénètrent profondément dans les coeurs de ces malades et de tous ceux qui sont dans la salle. Nous le demandons au Nom de Christ. Amen.

            J’aimerais aborder ceci juste un–un petit instant ou deux ici, juste un... pour le... un–un petit temps. Vous êtes très gentils par ici. Et vous réagissez tellement au ministère de la prédication qu’il m’est difficile de pouvoir quitter sans dire un mot ou deux, comme cela.

            Ainsi donc, disons que c’était juste le commencement de Son ministère. Il est simplement allé, Il a accompli un miracle, Il avait changé l’eau en vin. Oh ! Comme j’aimerais insister là-dessus juste un instant, pour montrer ce qu’Il fera à la résurrection. Cela allait probablement devenir du vin. Cela allait devenir du vin, sans faute, cela avait poussé dans une vigne, c’était devenu le raisin, c’était devenu aigre, ça avait fermenté, ça avait fini par être du vin. Mais Il a simplement contourné tout cela, Il a changé l’eau en vin. Voyez-vous ?

            C’est ce qu’Il fera à la résurrection. Je n’aurai pas à vivre jusqu’à l’âge de vingt-deux ou vingt-trois ans pour être encore dans ma meilleure forme. Oh ! la la ! etre un vieil homme, tremblotant, courbé, comme ça. Il va simplement changer cela. Amen ! Il va contourner tout cela. Madame Branham et monsieur Branham n’auront pas à être constitués, ni rien ne sera impliqué dans ma naissance. Il m’appellera simplement de la poussière de la terre, et je serai juste ce que j’ai été à ma meilleure forme, vous aussi.

24        Chaque personne ici présente redeviendra une jeune personne une fois de plus. Quand vous atteindrez votre... Prenez par exemple papa et maman assis là, beaucoup parmi vous. Ça n’a pas fait longtemps.

            Je regarde un vieux couple qui est assis ici maintenant, beaucoup parmi vous, les cheveux grisonnent. Il n’y a pas longtemps, vous l’aviez conduite à l’autel. Elle était une belle jeune fille, vous étiez un jeune homme costaud. Il... Vous avez été unis ensemble dans les liens sacrés du mariage, par le Dieu Tout-Puissant.

            Et tout d’un coup, vous savez, c’était... Oh ! Combien fort, comme elle l’appréciait en tant qu’un beau jeune homme, et lui un... elle une belle jeune fille. Mais tout d’un coup, vous savez, vous vous êtes réveillé un matin, vous avez dit: «Maman, vous savez, de petites rides apparaissent sous tes yeux.»

            Elle a dit: «Papa, il m’est juste arrivé de voir les cheveux grisonner.» Qu’arrive-t-il ? La mort s’installe. Exact. Elle va vous avoir. Dieu le lui a ordonné.

25        Je demandais à un médecin l’autre jour, je disais: «J’aimerais vous poser une question, docteur. Chaque fois que je mange, je renouvelle ma vie. Est-ce vrai ?»

            «Oui, monsieur», a-t-il dit.

            J’ai dit: «Quand j’étais un jeune homme, je continuais à manger, manger, et chaque fois, je devenais de plus en plus fort. Tout d’un coup, je mange la même nourriture, je deviens tout le temps de plus en plus vieux. Pourquoi ça ?» J’ai dit: «Comprenez cela. Je mange le même genre de nourriture, je consomme la même nouvelle vie, mais je dépéris tout le temps.» C’est l’une d’elles. Voyez ? J’ai dit: «Pourquoi ?»

            Dieu l’a dit. Peu importe ce que c’est. Voyez, scientifiquement, ce serait incroyable. Voyez ? Scientifiquement, c’est tout contraire à la science, tout à fait. Voyez ? En effet, si je renouvelle ma vie, je me renouvelle tout le temps. Mais je renouvelle ma vie, et je me renouvelle jusqu’à un certain âge. Et puis, j’ai commencé à vieillir, pendant que je consomme tout le temps la même nouvelle vie. Voyez ?

26        Ainsi donc, qu’est-ce ? C’est Dieu qui l’ordonne. La chose suivante, vous savez, nous allons atteindre alors le bord de la rivière un jour, vieux et grisonnant. Peut-être que les miens arriveront aussi, comme cela. Mais tout ce que la mort vous a fait ici, une fois que vous serez mort, ce sera terminé.

            Et puis, dans la résurrection, vous deviendrez le modèle que Dieu a fait de vous, ce jeune homme et cette jeune femme. Vous et la maman, vous serez dans l’éternité, ou dans le glorieux Millénium, des jeunes hommes et des jeunes femmes une fois de plus pour toujours. Je peux prouver cela par la Parole de Dieu.

            Je le ferai prochainement dans une réunion en plein air, le Seigneur voulant. C’est bien. Il a montré au travers de Sara et Abraham, et toutes les promesses, et tout conduit tout droit vers ça... Nous n’avons pas de quoi nous inquiéter, pas une seule chose.

            N’eût été le service de guérison, j’aurais abordé cela cette semaine (Voyez ?), pour–pour voir cela. Nous essayerons cela et nous verrons si vous ne réclamerez pas en criant la guérison...?...

            Pour donc en arriver là où vous voyez, il faut se débarrasser de toute la peur. Oh ! la la ! Vous donc... Il n’y a rien au monde qui puisse vous nuire. Et, oh ! vous êtes en route vers la Terre promise. C’est tout ce qu’il y a là. Dieu ne peut pas se rétracter sur Sa Parole. Il ne le peut pas et être Dieu.

            Moi, je peux me rétracter sur la mienne. En effet, si elle n’est pas vraie, mais la Sienne, la Sienne est vraie, et Il ne peut pas se rétracter Là-dessus. Oh ! Comme c’est beau !

27        Maintenant, de penser à Jésus juste au commencement de Son ministère là et (Oh !) comme c’était merveilleux de Le voir, c’est Son... Oh ! Comme dans Sa puissance, Il est allé accomplir des signes et des prodiges. Et ici, Il est à Génésareth, un lac, là. Je peux m’imaginer l’agitation parmi les gens. Il y avait eu une réunion le soir ou la veille au soir. Ainsi donc, de grands signes avaient été accomplis. Ils disent donc: «Dites donc, vous connaissez ce jeune Evangéliste qui prêche ici, le Guérisseur. Eh bien, Il est en train de tenir un service ici sur le rivage ce matin. J’ai vu toutes les femmes descendre la colline, s’y rendre. Les hommes ont abandonné leur labour dans les champs pour aller L’entendre parler. Il a un petit quelque chose qui parait différent.»

28        Je m’imagine bien qu’il y en a, pas vous, frère ? Oui, oui. Et Il se tenait là. Et tout d’un coup, vous savez, la foule était très serrée, les gens Le bousculaient pour entendre la Parole de Dieu. Oh ! J’aime entendre de bons prédicateurs. J’aime vraiment les entendre.

            Mais, oh ! je sacrifierais tout cela si je pouvais L’entendre, juste en un sermon. Pas vous ? J’aurais voulu L’entendre quand Il se tenait là, disant: «Venez à Moi vous tous qui êtes fatigués et chargés. Je vous donnerai du repos.» J’aurai voulu entendre cela. Nous n’entendrons jamais cela, je pense. Mais nous entendrons ceci: «Ça a été bien fait, mon bon et fidèle serviteur.» C’est l’essentiel. Ce sera alors terminé.

            Et Il se tenait là, Il parlait aux gens. Et je peux m’imaginer voir environ trois pêcheurs fatigués, ou quatre, assis là sur une souche, ou sur un gros morceau de bois, qu’ils avaient installé là.

            Ils ont dit: «Ecoutons ce que cet Homme a à dire. Nous avons écouté le docteur Jones et tous les autres. Ecoutons ce qu’Il a à dire.»

            Je peux m’imaginer Simon, il se gratte la tête et dit: «Dites donc, vous savez ce que...» Juste comme n’importe quel autre pécheur quand il vient à l’église, il occupe le tout dernier siège qu’il peut trouver (Voyez ?), il s’assoit loin derrière. Vous savez cela, frères, dans votre église. Alors, il se met à se gratter la tête, vous savez. Et il a dit: «Vous savez, il y a quelque chose de différent chez cet Homme-là.» Il a simplement pris son gros morceau de bois et s’est approché un peu plus près.

29        Alors, Jésus s’est mis à parler du Royaume et de la Venue de la fin du monde, les puissances de Dieu, et de merveilleuses choses dont Il parlait. Il a dit: «Vous savez, ce Gars parle un peu différemment des autres. Approchons-nous un peu plus près, Jacques, toi et Jean. Ils ont simplement continué à s’approcher et, peu après, ils se tenaient juste à côté de Lui. Et la foule faisait une forte pression au point que Jésus a dit à–à Simon, Il a dit... Il est monté à bord de la barque de Simon, Il la lui a empruntée pendant quelques minutes. Et après qu’Il eut terminé de parler à la foule, Il a dit: «Simon, avance en pleine eau maintenant, jetez vos filets pour pêcher.»

            «Eh bien, a-t-il dit, Seigneur, Tu sais, nous sommes–nous sommes des pêcheurs, ici, nous–nous connaissons tout le calendrier. Nous savons quand les eaux coulent bien. Nous sommes des pêcheurs, nous sommes nés ici sur ce lac. Nous avons pêché à la seine, avec cette histoire toute la nuit durant, nous n’avons même pas attrapé un–un poisson. Eh bien, les eaux ne sont pas bonnes. Les poissons sont de l’autre côté du lac, il n’y a rien là.» Eh bien, Il savait cela dans son coeur. Voyez-vous ?

30        Eh bien, c’étaient des pêcheurs ; ils connaissaient tous les signes, ils vivaient de la pêche. C’étaient des pêcheurs professionnels. C’était cela leur métier. Ils savent donc tout au sujet du lac, quand les eaux sont bien. Aussi, ils avaient pêché à la seine toute la nuit durant, ils n’avaient même pas attrapé un poisson, ils n’avaient rien attrapé. Et ils avaient lavé leurs filets là. Vous tous, vous savez quel découragement est-ce, vous qui habitez si près de la rivière, vous pêchez toute la nuit et vous n’attrapez rien.

            Mais Jésus a dit: «Maintenant, retournez au lac, là même où vous avez été, et jetez les filets pour la pêche. Lancez et prenez tout un filet plein de poissons.»

            Or, Pierre savait qu’il n’y avait pas de poissons là-bas. En effet, il avait pêché à la seine dans les mêmes eaux toute la nuit, à une grande profondeur, de beaucoup de brasses, et contre le vent, sous le vent, et sous la poussée du vent et tout, pas de poisson du tout. Ils avaient lancé leurs filets toute la nuit durant, ils avaient pêché à la seine, là. Il a dit: «Maintenant, allez jeter le filet pour toute une prise, la grande pêche.»

            Regardez. Pierre a dit: «Seigneur, nous avons pêché à la seine toute la nuit et nous n’avons rien pris ; mais néanmoins, sur Ta Parole, je lancerai le filet.» Ça y est. Si Dieu l’a dit, la foi mettra des poissons là s’il n’y en avait pas. C’est vrai. «Sur Ta Parole, Seigneur, nous allons jeter le filet.» C’est vrai. Je souhaiterais pouvoir m’attarder dessus un tout petit peu, mais je ne le peux pas.

31        Eh bien, regardez, vous pouvez avoir pêché à la seine dans tous les cabinets de médecins qu’il y a dans la contrée. Vous pouvez avoir été dans chaque hôpital et chaque clinique qu’il y a par ici. Vous pouvez être passé par une ligne de prière après l’autre où on prie pour les malades. Mais, considérons ceci cet après-midi: «Sur Ta Parole, Seigneur, je vais jeter ce filet maintenant même. Je vais croire maintenant même. Je vais régler cela. Je vais régler cela une fois pour toutes. Maintenant, Il... Je sais, Jésus, que Tu es assis à la droite du Père, comme un Souverain Sacrificateur.» Un Souverain Sacrificateur, c’est pour intercéder sur base des confessions. Et c’est ce qu’Hébreux 3 dit: «Il est le Souverain Sacrificateur de notre...» La profession et la confession, cela veut dire la même chose. Et Il est assis là à la droite du Père, intercédant sur base de notre confession.

32        Or, Il ne peut pas vous guérir, ou Il ne peut pas non plus vous sauver, ou Il ne peut rien faire pour vous avant que vous acceptiez premièrement cela, que vous croyiez cela et que vous confessiez cela. C’est vrai. Vous devez le confesser. Non pas que vous devez sentir cela, vous devez confesser cela. Il n’est pas le Souverain Sacrificateur de vos sensations. Il est le Souverain Sacrificateur de votre confession (C’est exact.), ce que vous confessez.

            Or, si on prie pour vous, ou que vous êtes assis dans cette salle cet après-midi, le Saint-Esprit entrera ici et vous sentirez Sa Présence bénie, vous entendrez Sa Parole être proclamée, disant qu’Il vous tous a guéris et autres, comme cela ; vous verrez la puissance de Dieu. La voici être proclamée et on sait que c’est pour tout le monde, vous sortirez d’ici en disant: «Eh bien, je me sens tout aussi mal qu’avant d’entrer.» Il ne pourra rien faire pour vous.

            Et vous direz: «Eh bien, je suis... Je–j’accepte cela maintenant.» Et puis, le matin, vous vous levez et vous dites: «Eh bien, j’ai toujours ces maux de tête ; je me sens toujours aussi mal qu’auparavant.» Vous avez alors directement rechuté. Vous ne vivrez jamais au-dessus de votre confession. Que la personne la plus sainte dans cette salle maintenant même prenne une résolution dans son esprit qu’elle n’est plus un chrétien, c’est alors qu’elle ne sera plus un chrétien. Voyez-vous ?

            Quand vous sortez et qu’on vous demande: «Etes-vous un chrétien ?»

            «Non, je l’étais autrefois, mais je–je ne le suis plus.» Vous êtes déchu de la grâce là même. Voyez-vous ? C’est la foi. Voyez-vous ? C’est soit la foi, soit l’incrédulité. Vous êtes possédé par ces deux puissances: Soit la foi, soit l’incrédulité. Si vous avez la foi, vous êtes sauvé parce que vous êtes un croyant. Si vous n’avez pas de foi, cela... vous êtes un pêcheur.

33        Je disais il y a quelque temps, je prêchais dans une église méthodiste ; je disais: «Boire du whisky, ce n’est pas un péché. Fumer la cigarette, commettre adultère, ce n’est pas un péché.»

            Une vieille petite mère méthodiste, sanctifiée, assise là, a dit: «Alors, prédicateur, le péché, c’est quoi ?»

            J’ai dit: «L’incrédulité. C’est ça le péché. Fumer, boire, jouer à l’argent, commettre adultère, voler, mentir, et autres, ce n’est pas le péché ; ce sont les attributs du péché. Vous faites cela parce que vous êtes un incroyant, et vous ne...»

            Vous direz: «Eh bien, je suis un chrétien ; je ne fume pas, et je ne bois pas.» Vous pourrez ne pas commettre adultère, ne pas voler, ne pas proférer des mensonges, observer tous les commandements, et néanmoins être un pécheur. Voyez ? Ce sont juste des attributs. Il est question du changement de coeur, ce que le Saint-Esprit fait ici dedans amène l’arbre à porter son fruit. Est-ce vrai ? «C’est à leurs fruits que vous les reconnaîtrez.» Vous êtes un pécheur parce que vous êtes un incroyant. Vous êtes un chrétien parce que vous êtes un croyant.

34        Jésus-Christ a dit ceci dans Saint Jean 5.24. Pensez au petit nombre et deux douzaines d’oeufs, si vous voulez lire cela, une fois rentrés chez vous. Voyez ? 5.24: «Celui (pas les méthodistes, les baptistes, les pentecôtistes), celui (pronom personnel) qui écoute Ma Parole et qui croit en Celui qui M’a envoyé a la Vie Eternelle (au présent, voyez-vous ?), il ne vient point en jugement, mais il est (au passé) passé de la mort à la Vie.» C’est ce qu’Il a dit. «Celui qui mange Ma chair et boit Mon Sang a la Vie Eternelle, et Je le ressusciterai au dernier jour.» Croyez-vous cela ? C’est ce que Christ a dit. Vous voyez donc, c’est la foi, votre foi. «Eh bien, dites-vous, eh bien, gloire à Dieu, prédicateur, je ne crois pas dans toute cette histoire, et néanmoins je...» Non, si vous avez une vraie foi, cela manifestera vos oeuvres. Voyez-vous ? Vos–vos oeuvres manifesteront ce qu’est votre foi.

            Un jeune homme m’a dit il n’y a pas longtemps, il a dit: «Si Dieu me juge d’après ma–ma foi, je suis sauvé.» Il a dit: «S’Il me juge d’après ma moralité, je suis perdu.»

            J’ai dit: «Votre moralité témoigne de votre foi.» Vous ne pouvez jamais obtenir d’un grain de blé autre chose qu’un grain de blé. Vous ne pourrez jamais faire de cela un grateron, cela restera toujours un grain de blé. En effet, il a été semé un grain de blé ; il poussera un grain de blé ; il restera un grain de blé. Il peut être défiguré et paraître comme n’importe quoi d’autre, mais il restera toujours un grain de blé. Et si c’est un grateron, cela restera en fait un grateron. Vous n’en ferez jamais un grain de blé. Est-ce vrai ?

35        Eh bien, le chrétien, le croyant, il est semé avec la Parole incorruptible de Dieu. Comment cela peut-il produire autre chose ? Voyez ? C’est ça. Quand cela entre là-dedans, cela... Le Saint-Esprit entre dans la Parole de Dieu qui pénètre dans votre coeur ; Cela L’arrosera, et Cela poussera, et vous allez juste... Automatiquement, vous ne désirerez pas... Comme je disais hier soir, vous n’aurez pas à enlever les feuilles de l’arbre. La nouvelle vie se manifeste et ôte les vieilles feuilles. Cela vous amène à vivre comme une personne différente.

            Maintenant: «Sur Ta Parole, Seigneur, je jetterai le filet.» Et quand il a tiré les filets, il fut étonné. Et Jésus lui a dit, Il a dit: «N’aie pas peur, désormais tu attraperas des hommes.» Oh ! «Sur Ta Parole, Seigneur.»

36        Je pense à Pierre, quand le Seigneur lui avait parlé, disant: «Viens», pendant qu’Il marchait sur les eaux. Eh bien, Pierre n’avait jamais marché sur l’eau, il n’avait jamais entendu parler de quelqu’un d’autre qui avait déjà marché sur l’eau. «Je ne sais comment marcher sur l’eau, Seigneur, mais sur Ta Parole, me voici venir.» Et il l’a fait. C’est vrai.

            La femme qui... Oh ! Souvent, nous nous arrêtons bien sur différentes choses dans les Ecritures, pourvu que nous en ayons le temps, des gens qui ont eu des choses... Marie n’avait jamais su comment un enfant pouvait naître d’une vierge, mais elle a pris Dieu au Mot. «Sur Ta Parole, Seigneur.» Elle est allée témoigner avant que n’importe quoi arrivât ; elle a témoigné que cela arriverait, parce qu’elle avait pris Dieu au Mot.

            Cet après-midi, prenons Dieu au Mot maintenant. Et voici ce qu’Il a dit dans Sa Parole: «Tout (Marc 11.24), tout ce que vous demanderez en priant, croyez que vous l’avez reçu, et vous le verrez s’accomplir.» Vous l’aurez. Eh bien, n’est-ce pas simple ?

           

            Maintenant, je vous aime, je n’aimerais pas qu’il y ait ici une seule personne dans cette salle, cet après-midi, qui ne sera pas guérie. Voyez-vous ? Et je crois de tout mon coeur, en brandissant ma foi, comme je priais dans la pièce il y a quelques instants, avant de quitter: «Ô Dieu, s’Il Te plaît, guéris tout le monde, ou secoue-les si durement qu’ils sauront au jugement que je leur ai dit la vérité à ce sujet (Voyez ?), qu’il ne restera aucune personne faible au milieu d’eux.» C’est vrai.

            Maintenant, je vois des visions au-dessus des gens, mais je ne peux pas dire qu’ils sont guéris avant qu’Il me dise qu’ils sont guéris. Et Il ne peut pas le dire avant que votre foi agisse réellement. Et en agissant, votre foi amène la Parole de Dieu à s’accomplir. Vous devez croire cela, accepter cela, témoigner cela. Dites: «Je reçois cela maintenant, Seigneur, et c’est réglé une fois pour toutes. Peu importe l’impression que j’ai, rien à ce sujet ; je vais croire cela de toute façon.»

37        Vous vous rappelez quand je souffrais de l’estomac, la régurgitation, eh bien, les frères Mayo m’ont parlé, disant que je n’avais même pas une chance sur terre, pas une chance sur dix millions, pour vivre, et que mon estomac n’était qu’un sensible ulcère saignant. Je suis allé à table, je suis assis ; j’ai demandé la bénédiction... On me donnait un sirop d’orgeat et du jus de pruneau, et un biscuit cracker, un biscuit graham cracker, à peu près deux de cela au souper, deux au petit-déjeuner, et on me laissait prendre cela deux fois par jour. J’ai simplement lu là ce que Dieu a dit. J’ai donc demandé la bénédiction. Mon pauvre vieux père, je me rappelle la mine qu’il avait affichée quand j’ai demandé la bénédiction. Je pense que c’était la première fois que la bénédiction soit jamais sollicitée à notre table. J’ai dit: «Juste une minute, papa, j’aimerais prier.» Et maman s’est mise à pleurer.

            Et nous avions des haricots, du pain de maïs, des oignons comme dîner. Vous savez ce que c’est, cela gonfle très bien les côtes. Alors, je–j’ai dit, après qu’elle eut dit, maman, qu’elle eut dit: «Je vais verser ton sirop d’orgeat.»

            J’ai dit: «Donne-moi les haricots.»

            Et elle a dit: «Ô chéri, le médecin a dit: ‘Non.’»

            J’ai dit: «Mais Dieu a dit: ‘Oui.’» Voyez ?

38        Et je... elle a dit: «Maintenant, chéri, c’est donc en ordre. Que tu sois croyant, ça ne me dérange pas, mais, a-t-il dit, tu ne peux pas faire cela.» Elle a dit: «En effet, regarde donc, il y a une raison à tout.»

            J’ai dit: «On ne raisonne pas sur la Parole de Dieu. Dites-La simplement Telle qu’Il L’a dite. Et si je meurs, je m’en vais vers Lui en croyant Sa Parole.» Voyez ? C’est exact. J’ai dit: «J’en ai marre de ceci.» C’est exact. Ça faisait deux ans ou plus que je souffrais comme cela, je n’arrivais guère à me tenir debout, je pesais quatre-vingt livres [36,28 kg]. J’ai dit: «J’en ai marre ; je vais prendre Dieu au Mot.»

            Elle a dit: «Eh bien, chéri, je ne vais pas te les donner.»

            J’ai dit: «Je vais alors tendre la main pour les prendre.» Je me suis donc mis à me servir les haricots là, j’en ai pris tout un plat plein. C’était la première fois que je prenais de la nourriture solide, un gros morceau de pain de maïs cuit, du pain de maïs. Vous savez tous quand vous avez eu à faire cela. J’en ai coupé le bout, comme cela, et je me suis mis à manger. Hmm, oh ! la la ! C’est ce qui m’a fait grandir. Quelqu’un d’autre a aussi eu cela. Ainsi donc, je...?... oui, oui.

            J’en ai pris une grosse bouchée et je me suis mis à mâcher cela, vous savez. Ça avait un bon goût, et dès que j’ai avalé cela, aussitôt que je l’avais avalé, c’était juste comme si une grosse boule de feu avait touché mon estomac. Et cela est remonté. J’ai tenu la main sur ma bouche. J’ai dit: «Oh ! Non, hein-hein, hein-hein. Vous allez rester là même.» J’ai ravalé cela. C’est remonté. J’ai ravalé. C’est remonté. J’ai ravalé cela. J’ai dit: «Eh bien, restez là, car voici une autre qui vient.» J’ai pris une autre comme cela, j’ai pris une autre bouchée. J’ai continué comme cela, l’acide bouillonnait, oh ! la la ! jamais je... mon estomac était comme un charbon de feu ardent... Je mâchais, vous savez, mes yeux brillaient...?...

39        Et papa a dit: «Comment te sens-tu ?»

            J’ai dit: «Merveilleux.» Je continuais à mâcher. J’ai ravalé cela, voilà cela revenir. J’ai tenu ma main dessus. J’ai dit: «...?... Excusez-moi, je faisais un renvoi.» C’était dégueulasse. C’étaient ces haricots qui remontaient. J’ai simplement continué à manger comme cela. Et quand j’ai quitté la table, maman est allée appeler le médecin. Elle a dit: «Eh bien, il mange des haricots et du pain de maïs.» Il a dit: «Il lisait la Bible.» Il a dit: «Il dit que Dieu l’a guéri.»

            «Eh bien, a-t-il dit, cela tuera ce jeune garçon.» Il a dit: «Il aura une indigestion aiguë et il mourra.» Il a dit: «Nous allons devoir lui vider cela dans l’heure qui suit.»

            Je me suis dit: «Oh ! C’est ce que vous pensez.» Je suis donc entré dans la maison, je traversais la maison en me tenant l’estomac comme ceci, vous savez ?

            Et maman a dit: «Tu es malade au possible.»

            J’ai dit: «Maman, je me sens bien.» J’ai dit: «Oui, vraiment bien.» Je suis entré, et quand je suis entré dans la pièce, j’ai dit:

Je peux, je vais, je crois vraiment ;
Je peux, je vais, je crois vraiment ;
Je peux, je vais, je crois vraiment,
Que Jésus me guérit maintenant.
Je Le prendrai au Mot.

            C’est vrai. «Sur Ta Parole, Seigneur, je crois cela.» Je suis entré, j’étais très faible, et tout commençait à bouger devant moi. Je continuais simplement à parcourir la pièce, disant:

Je peux, je vais.

            Maman disait: «Billy, tu es malade.»

            Je disais: «Non, maman ; je suis très heureux, je ne peux guère me tenir calme.»

            J’ai dit: «Oh ! Je peux, je vais.»

Je crois vraiment.

            Je suis entré dans ma chambre. J’ai dit: «Je vais lire ma Bible un moment.» Je suis entré là, je me suis couché de travers sur le lit et, oh ! la la ! nous avons commencé là. Et moi: «Hein-hein ; non, non.» Je me suis levé, je suis allé vers le chemin de fer, je continuais à marcher jour après... Quand le temps de souper arrivait, eh bien, nous étions pauvres, il nous fallait prendre des haricots et du pain de maïs encore au souper. Mais quand je me suis mis à table, j’ai encore demandé la bénédiction. On m’a encore passé les haricots et du pain de maïs. J’ai encore donné du bon travail à l’estomac. Et je... Toute cette nuit, je n’ai pas dormi dix minutes. Oh ! la la ! Je me couchais, et mon coeur palpitait et bondissait comme cela. Je me levais et je disais: «Je peux, je vais, je crois vraiment.»

            Cela reprenait. Le lendemain matin, cela était là même. Et alors, je–je leur donnais autre chose. Et j’ai continué, j’ai continué, j’ai continué et je descendais la rue.

40        Et j’ai repris le travail, je me tenais dans un fossé, dans mes vieux pantalons comme cela, damant le fossé comme ceci. Et, oh ! très malade. Quelqu’un s’approchait et demandait: «Salut, Billy ; comment vas-tu ?»

            Je disais: «Vraiment bien. Gloire au Seigneur. Je me sens vraiment bien.» Déblayant à la pelle encore un tas de sable et damant comme cela. Il me fallait parcourir la rue, et quelqu’un demandait: «Comment allez-vous, monsieur Branham ?»

            Je disais: «Vraiment merveilleux. Le Seigneur m’a guéri.» J’étais tout aussi malade que possible.

            Quelqu’un a dit: «Eh bien, vous mentez.»

            J’ai dit: «Oh ! Non.» Je confessais ce qu’Il avait fait: «C’est par Ses meurtrissures que j’ai été guéri.» Alléluia ! Ne m’invitez pas à un steak d’aloyau, car je vous consommerai tout. C’est vrai.

            Jamais de ma vie je n’avais pesé plus de cent dix-huit ou cent vingt livres [53,52 kg ou 54,4 kg]. Et je pèse cent soixante [72,57 kg] cet après-midi. Gloire à Dieu ! Grâce étonnante, oh ! quel doux son, qui sauva un vil comme moi !

41        Je suis allé dans des coins et recoins du monde, dans des jungles tropicales, au sud, dans des régions gelées d’Islande, apporter l’Evangile de Jésus-Christ. Je lancerai un défi à n’importe qui, dans n’importe quelle condition, de prendre Dieu au Mot, et de voir si c’est vrai ou pas. Exact. Dieu est tenu à Sa Parole.

            Dites simplement: «C’est à moi maintenant même.» C’est ça. Peu importe ce que le médecin dit. Les médecins pourraient se fâcher. Je n’ai rien contre les médecins. Absolument pas. Evidemment, maintenant, nous avons beaucoup de médecins. La chose étrange, je vais vous dire quelque chose de vrai. Dans mes voyages, j’ai découvert qu’il y a plus de médecins que des prédicateurs qui croient (C’est exact.), il y a plus de médecins que des prédicateurs qui croient. Et je suis... J’ai trouvé des prédicateurs qui ne croient pas dans la guérison divine. Oh ! Non. Mais un médecin, il vous dira: «Oui, oui, monsieur.» J’ai vu des patients, sur qui était faite la toilette mortuaire revenir à la vie une fois de plus. Et d’autres choses. J’ai rencontré beaucoup, beaucoup de médecins qui croient, de braves hommes. Ils sont un don de Dieu pour le monde. Ils nous donnent cela. Que ferions-nous sans le service de santé, sans installations sanitaires et autres aujourd’hui ? C’est très bien. C’est la voie à laquelle Dieu a pourvu.

            Oh ! Je sais, vous dites: «Je n’y crois pas.» Eh bien, c’est en ordre. C’est en ordre. Vous... Votre grand-père allait voir votre grand-mère à bord d’un char tiré par le boeuf, mais votre fils va pratiquement à bord d’un avion à réaction, n’est-ce pas ? Voyez, la science a évolué. C’est en ordre. Nous acceptons tout cela. Tout est assez vrai, et j’aime ça. Mais, après tout, c’est Dieu dans tout, au travers de tout, sur tout, exact. Dieu est le Guérisseur. Il n’y a jamais eu une goutte de médicament qui ait déjà guéri quelqu’un, et cela ne le fera jamais.

42        Psaume 103.3, il est dit: «Je suis l’Eternel qui guérit toutes tes maladies.» Regardez ça. Si je me blessais à la main (Je me suis servi de cette illustration.), me blessais à la main avec un couteau... Nous avons les meilleurs médecins jamais eus dans tous les âges. Nous avons les meilleurs hôpitaux, les meilleurs médicaments jamais eus, et il y a plus de péchés et d’incrédulité que nous n’avons jamais connu. C’est vrai.

            Remarquez. Si je me blessais à la main, nous n’avons aucun médicament qui puisse guérir cette main-là. Il n’y a aucun médecin raisonnable, logique, qui jouit du bon sens qui vous le dirait. Les Mayo, c’est la meilleure clinique au monde, à ce que je sache. Et lors d’une interview là, ils ont dit: «Nous ne prétendons pas être des guérisseurs, Frère Branham. Nous soutenons uniquement assister la nature. Il n’y a qu’un seul Guérisseur, c’est Dieu.» Exact.

43        Or, si je me blessais à la main ici avec ce couteau-là, eh bien, il n’y a pas assez de médicament au monde qui puisse guérir cette main-là. Il n’y a rien qui guérira cette blessure au couteau. Non, non. Eh bien, s’il y avait quelque chose qui guérirait une blessure au couteau, cela guérirait une entaille que ce couteau ferait à cette chaire. Cela guérirait l’entaille que ce couteau ferait à mon manteau. Eh bien, si cela guérissait une entaille faite par un couteau, cela la guérirait sur n’importe quoi. Est-ce vrai ? L’eau, si elle mouille dans cette salle, elle mouillera dehors. Voyez ? Si cela guérissait une entaille faite par le couteau...

            «Oh ! direz-vous, Frère Branham, le médicament a été fait pour le corps humain, pas pour votre manteau ni pour cette chaire-là.»

            Très bien. Un exemple, alors. Je me blesse à la main, et je tombe mort. On m’amène chez l’entrepreneur des pompes funèbres, on embaume mon corps avec un–un fluide qui me donnera un aspect naturel pendant cinquante ans. On enverra chercher à la Clinique Mayo les meilleurs médecins. On enverra chercher John Hopkins. Ils viendront examiner cette main-là, ils vont la suturer, me donner des piqûres de pénicilline chaque jour, mettre le sulfamide dedans, ainsi que tous les baumes et tout ce qu’on peut avoir. Et dans cinquante ans, cette blessure sera exactement comme c’était. Eh bien, si donc le médicament guérit le corps humain, pourquoi ne guérit-il pas cela ?

            «Oh ! direz-vous, Frère Branham, la vie n’est plus là.» Eh bien, c’est exact. C’est exact. Qu’est-ce qui est donc le guérisseur, le médicament ou la vie ? C’est la vie qui guérit. Si vous me dites ce qu’est la vie, je vous dirai Qui est Dieu. C’est exact. Dieu. La vie ne... Le médicament ne reconstitue pas le tissu. C’est Dieu qui crée le tissu. Le médicament ne reconstitue pas le tissu. S’ils pouvaient le faire, ils pourraient reproduire un homme. C’est vrai. Mais ils ne peuvent pas le faire.

44        Dieu a donc dit: «Je suis l’Eternel qui guérit toutes tes maladies.» Cela n’écarte pas le médicament. Celui-ci ne fait qu’assainir la place pendant que Dieu guérit cela. Un médecin peut mettre votre bras en place, s’il a été fracturé. Mais si Dieu ne guérit pas ce bras-là, il va–il va rester fracturé le reste de votre vie. Il peut mettre les os en place, mais c’est Dieu qui doit produire du calcium, la vie là-dedans pour rattacher ces os. Est-ce vrai ? Ce n’est donc pas le médecin qui a guéri votre bras. Le médecin a mis votre bras en place ; c’est Dieu qui a guéri votre bras. Le dentiste peut arracher une dent, mais qu’en est-il de la cavité d’où elle a été arrachée? Laissez-moi le voir guérir cela. Il ne le peut pas. Il n’y a rien pour guérir avec. Il doit laisser Dieu faire cela. Est-ce vrai ? C’est donc Dieu qui est le Guérisseur. Amen.

            Que Dieu vous bénisse. Je peux me tenir ici et vous parler tout l’après-midi. Et–et que Dieu soit avec vous. Je vous aime d’un amour éternel, d’un amour chrétien. L’amour chrétien le plus chaleureux, je l’exprime à chacun de vous, au Nom de Jésus-Christ.

45        J’ai commencé à...?... peut-être, je ferais peut-être mieux de ne pas le faire. Eh bien, je vais le faire. Regardez. Souvent, vous entendez ces émissions à la radio: «Ecrivez-nous une carte, donnez-nous une carte.» C’est simplement pour avoir votre adresse afin de faire de la sollicitation. Mais, chers amis chrétiens, ce n’est pas ce que je dis. Je dis cela parce que je vous aime. Si vous avez besoin d’un tissu sur lequel on a prié ou de n’importe quoi, envoyez le chercher chez moi. C’est absolument gratuit. Ou n’importe quand que je peux faire n’importe quoi pour vous, dans ce sens, ce n’est pas pour avoir votre adresse de courrier. Je n’ai pas d’émissions à la radio. Je n’ai rien à vendre, pas de journaux, ni rien d’autres. Je vous prêche simplement l’Evangile. Et il ne s’agit pas de mes frères ici et autres comme cela, ils ont leurs programmes et tout comme cela. Supportez-les dans cela. Mais quant à moi, si je peux vous accorder une faveur, eh bien, vous savez où j’habite, à Jeffersonville, dans l’Indiana.

            J’avais l’habitude de dire aux gens: la pluie ne tombera jamais trop abondamment, ni la nuit ne sera jamais trop sombre, pour m’empêcher de venir auprès de vous. Mais je... il y en a tellement que je ne peux plus dire cela maintenant. Voyez ? En effet, il y a peut-être, il y a une demi douzaine de billets d’avion déposés là maintenant, à mon retour ce soir, pour que j’aille quelque part prier pour les malades. A côté de ça, il y aura une moyenne de soixante ou soixante-dix appels par jour, peut-être plus que cela, rien que des appels urgents pour aller. On ne peut donc pas en venir au bout. Voyez-vous ? Il n’y a pas moyen. Mais j’amène vraiment chacun d’eux sincèrement devant Dieu et je prie. C’est vrai. Que le Seigneur vous bénisse pendant que nous inclinons la tête.

46        Bienveillant Père céleste, que Ta grâce et Ta miséricorde reposent toujours sur ces gens. Bénis ces gens, Seigneur, qui ont donné une partie de leur subsistance cette semaine, et cet après-midi, Père, comme offrande d’amour pour Ton serviteur inutile, partageant avec moi leur subsistance. Ô Dieu, je ne suis pas digne de recevoir cela. Je–je–je demande, ô Dieu, si les besoins ne m’obligeaient pas à recevoir cela, je le refuserais. Tu sais toutes choses. Et je prie de bénir chacun d’eux de centaines de fois. En effet, c’est ce qui est dit dans les Ecritures: «Toutes les fois que vous avez fait cela à l’un de Mes plus petits, c’est à Moi... de Mes enfants, c’est à Moi que vous l’avez fait.» Et puissent-ils recevoir ce genre de récompense, Seigneur, une double portion de la bénédiction.

47        Bénis ces bien-aimés frères, Tes serviteurs, ces prédicateurs, loyaux dans la foi. Ô Dieu, puisse chacune de leurs églises croître vraiment jusqu’à ce qu’ils aient à construire de nouvelles églises. Envoie-leur des milliers de convertis bénis, Père, des pécheurs qui croisent leur voie et qui sont sauvés. Bénis leur ministère, que leurs prières pour les malades, quand ils... [Espace vide sur la bande–N.D.E.] des malades, que chacun d’eux soit guéri, Seigneur. Que chacun... accorde à mes frères cet après-midi la puissance de prier pour les malades. Accorde-le, Seigneur.

            Et pour ces mouchoirs, je demande, Bienveillant Père, comme il y en a beaucoup ici qui représentaient les malades. Je Te prie de guérir tous ceux que ces mouchoirs représentent. Et quand ils seront posés sur les malades et les affligés, que la puissance de Dieu vienne sur eux et qu’ils partent libres. Aie pitié, Père. Pardonne-nous nos péchés.

            Merci pour la série de grandes réunions que nous venons de tenir. Je Te prie, Bienveillant Père céleste, de nous accorder infiniment au-delà de toute mesure cet après-midi. Que Ton Saint-Esprit vienne maintenant se tenir ici, guérir les malades et sauver les perdus, et nous Te rendrons louange, au Nom de Jésus. Amen.

48        Je n’avais jamais pensé qu’il était si tard. Très bien. Nous allons former une ligne de prière. [Frère Branham parle en aparté avec quelqu’un.–N.D.E.] Un garçon difficile à élever. Eh bien, quelle est... je ne t’ai point demandé quelle carte. Eh bien, qu’avons-nous donc, la série J ?

            Commençons donc avec la série J aujourd’hui. Très bien. Commençons et terminons celles que nous avons commencées hier soir. Peut-être que si nous avons une occasion, nous pourrons en faire passer d’autres. Mais maintenant, les cartes de prière, c’est simplement pour faire monter quelqu’un ici. Cela n’a rien à faire avec la guérison. Il y a plus de gens qui sont guéris pendant qu’ils sont assis là dans l’assistance, sans cartes de prière, qu’il y en a ici avec des cartes de prière.

            Qui a J numéro 1 ? Nous avons commencé à partir de 50 la nuit dernière. Qui a J numéro 1 ? Vous, madame ? Très bien. Venez ici même. J-2, qui a cela ? J-2. Peut-être que nous en prendrons quelques-unes. Et puis, nous allons prendre une autre lettre. 2 ? Très bien. [Espace vide sur la bande–N.D.E.]...?... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

49        ... affaire raciale... [Espace vide sur la bande–N.D.E.] Oui, madame. Vous souffrez de nerfs, n’est-ce pas ? C’est exact. Vous êtes très bouleversée au sujet de quelque chose, ça devient noir entre nous. Vous êtes... Vous avez aussi un problème spirituel. C’est vrai, n’est-ce pas ? Vous connaissez certaines difficultés. Cela va s’arranger pour vous. Confiez-les-Lui simplement. Et voici autre chose qui peut vous aider. Vous êtes guérie maintenant. Mais voici une autre chose qui peut vous aider. Vous avez un–un bien-aimé malade. Et c’est un père. Est-ce vrai ? Et il est dérangé par une maladie mentale. Est-ce vrai ? Vous allez le trouver différent à votre retour à la maison, à cause de votre attitude.

            Maintenant, tout le monde ici présent devrait croire au Seigneur Jésus-Christ maintenant même. Est-ce vrai ? Tout le monde devrait avoir foi et croire notre Bien-Aimé et Sauveur. Croyez qu’Il est ici. Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement.

            Je crois que l’homme ici m’est inconnu aussi. Est-ce vrai, monsieur ? Je ne vous connais pas. Je ne vous ai jamais vu. Mais notre Tendre et Bienveillant Père céleste nous connaît tous deux. C’est vrai. Vous êtes désespérément dans le besoin, mon ami. Votre maladie, c’est la nervosité. Vous avez beaucoup d’ennuis. Ce qu’il y a, vous êtes un homme marié ; vous avez perdu votre emploi. Et vous avez des troubles mentaux à cause de ça. Vous avez aussi deux enfants, pas vrai ? N’ayez pas peur. Cela va s’arranger. Venez ici.

50        Bienveillant Père céleste, au Nom de Ton Bien-Aimé Fils Jésus-Christ, bénis ce frère et restaure-le au Nom de Jésus. Il a un besoin, Père, et Tu y pourvoiras. Nous le demandons au Nom de Christ. Amen.

            Regardez, mon frère. Ne vous faites plus de souci à ce sujet. Oubliez cela. Allez, heureux, en vous réjouissant. Dieu vous donnera un autre emploi. Ayez simplement foi. Ne doutez pas. Croyez de tout votre coeur que Jésus-Christ, le Fils de Dieu, est le même hier, aujourd’hui et éternellement.

            Aimeriez-vous guérir de cette maladie de gorge, vous assis là, monsieur ? Oui. Vous avez été guéri tout à l’heure. Levez-vous. Je vois Cela se mouvoir au-dessus de vous. Que Dieu vous bénisse, vous pouvez rentrer chez vous...?...

            Ayez simplement foi en Dieu.

51        Madame, vous aimeriez guérir de cette hernie, vous assise là-bas ? Oui, assise là... Acceptez cela maintenant même, vous pouvez être guérie pendant que vous êtes assise... La grosse dame là, que Dieu vous bénisse. Vous pouvez être guérie. Ayez foi en Dieu. Oh ! la la ! Si seulement vous croyez.

            Voulez-vous guérir de cette sinusite ? Si vous croyez cela de tout votre coeur, vous assis là-bas, vous pouvez guérir de cette sinusite et être bien portant, si vous acceptez cela. Croyez que Jésus-Christ vous guérit. Que Dieu vous bénisse.

            Oh ! Que c’est merveilleux ! Je loue simplement Dieu pour Sa Présence. C’est vous la patiente, n’est-ce pas, madame ? Je ne vous connais pas. Dieu vous connaît. Croyez-vous que je suis Son prophète ? Eh bien, c’est juste Son prédicateur. Voyez ? Croyez-vous que c’est vrai ? L’intervention chirurgicale pratiquée sur vous ne vous a fait aucun bien, n’est-ce pas ? Vous venez de sortir de l’hôpital. Vous avez eu un... Quelque chose qui cloche ici dedans. Ils ont effectué l’intervention chirurgicale dans... C’est une intervention chirurgicale sur les vésicules biliaires, qu’ils ont effectuée, le calcul biliaire. Ils ont enlevé le calcul de la vessie. Vous ne pouvez rien retenir dans votre estomac. Vous êtes très faible. Est-ce vrai ? Jésus-Christ vous guérira. Croyez-vous cela ? Venez ici.

            Bienveillant Père céleste, pour cette pauvre petite dame mourante, debout ici, frêle. Et–et les médecins ont fait tout leur possible pour elle, et nous Te remercions pour ce qu’ils ont fait. Mais, Père, ils n’ont pas–ils n’ont pas encore atteint le but.

            Satan, tu t’es caché au médecin et à son bistouri ; mais tu ne peux pas te cacher à Dieu. Sors d’elle. Au Nom de Jésus-Christ, quitte la femme, afin qu’elle puisse vivre.

            Je ne criais pas sur vous, madame. C’était sur lui. Il cherchait à se maintenir. Vous allez être guérie. Et allez de l’avant, réjouissez-vous simplement et soyez heureuse. Et remerciez Dieu.

52        Excusez-moi, amis, si j’ai crié haut. Ce n’est pas que je criais sur vous. Les démons parfois doivent être forcés. Voyez ? Ils ne veulent pas quitter. Cette femme était... Il était déterminé à lui ôter la vie. Il y a quelque chose qui cloche chez elle. J’oublie ce que c’était ; mais de toute façon, le médecin avait pratiqué une intervention chirurgicale ou quelque chose de ce genre. Je le vois faire cela avec toute la bonne foi. Mais il n’avait pas atteint le but. Mais, observez-la maintenant, voyez ce qui arrive. Voyez ? Vous vous rétablirez.

            Quelqu’un vient d’être guéri, il a des parentés avec vous. N’est-ce pas vrai ? Un jeune homme, il y a quelques instants ou quelque chose... Oh ! Est-ce ça que c’était ? J’ai vu cela se déplacer ici d’un côté. Vous tous, vous venez d’une ville appelée Lincoln, est-ce vrai ? Lincoln, dans l’Illinois...?...

53        Bonsoir, madame. Croyez-vous que je suis serviteur de Dieu, de tout votre coeur ? Si Jésus-Christ se tenait ici, dans ce costume, d’après tout ce qu’Il savait, Il vous dirait qu’Il a déjà fait cela. Mais quant à votre guérison, Il a déjà accompli cela. Mais Il vous dirait ce que–ce qu’était votre maladie. Et grâce à cela, vous pouvez avoir la foi, pendant qu’Il est assis à la droite du Père, mais Il m’a envoyé faire cela. Croyez-vous cela ? Alors, je peux, en procédant ainsi. Vous–vous souffrez d’une espèce de maux de tête, c’est de la migraine. N’est-ce pas vrai ? Vous êtes extrêmement nerveux. Et vous souffrez d’une espèce de maladie dans vos intestins, l’affection de côlons. N’est-ce pas vrai ? Il vous est arrivé quelque chose dans votre maison, il n’y a pas longtemps. Non, c’est un... Vous aviez un enfant aux yeux louches qui a été guéri. Est-ce vrai ? C’était dans cette réunion-ci. C’est vrai. Je le vois à cette même estrade. N’est-ce pas vrai ? Vous avez une merveilleuse foi, madame.

54        Juste une minute. Voici cela revenir. Vous n’êtes pas de cette ville, de toute façon. Vous venez d’un–un Etat où il y a beaucoup de collines. Il y a–il y a des montagnes, Colorado. N’est-ce pas vrai ? Oui, monsieur. Riggley, ou quelque chose comme cela, je vois le nom à l’entrée de la ville, mentionné sur le côté. Est-ce vrai ? Et votre... J’entends quelqu’un vous appeler Kathleen (Est-ce vrai ?) Blanc ? Est-ce vrai ? Rentrez chez vous, Jésus-Christ vous rend... Amen.

            Je vois où Cela est maintenant. Il y avait quelque chose qui clochait chez cette dame dans ses intestins, l’une ou l’autre chose. Cet homme assis là même, en costume bleu, il me regarde, vous n’avez pas de carte de prière, n’est-ce pas, monsieur ? Vous en cravate bleue, assis là ? Vous souffrez des intestins, n’est-ce pas ? Vous allez vous rétablir maintenant. Que Dieu vous bénisse.

            Ne doutez pas, ayez simplement foi. Croyez simplement. Car tout est possible à ceux qui croient. Croyez-vous que c’est exact ? Tout le monde, de commun accord...

55        Bonsoir. Est-ce vous la patiente, madame ? Excusez-moi. Très bien. Nous sommes inconnus l’un à l’autre, madame. A ce que je sache, je ne vous ai jamais vue de ma vie. Je ne sais rien à votre sujet. Dieu le sait. Vous êtes une jeune fille trop jeune pour vous tenir ici malade. J’aimerais vous poser une question. Croyez-vous que je suis le prophète de Dieu ? De tout votre coeur ? Alors, je peux vous aider. Si vous... Il m’a dit, si j’amenais les gens à croire cela. Et ils... et cela... J’ai dit: «Ils ne croiront pas cela.»

            Il a dit: «Tu leur révéleras les secrets de leur coeur ; alors, ils croiront cela.»

            Maintenant, Jésus-Christ est ressuscité d’entre les morts. Oui. Il n’y a rien qui cloche chez vous...

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