L’Ange De L’Alliance

Date: 54-0301 | La durée est de: 1 heure et 23 minutes | La traduction: Shp
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1          Bonsoir, mes amis. Cela me fait plaisir d’être de nouveau ici ce soir au Nom de notre Seigneur Jésus pour Le servir de tout notre coeur. Et c’est avec grand plaisir que nous venons de cette façon pour Le servir.

            Je suis très reconnaissant de voir cette belle assistance ici ce soir, un lundi soir. Hier soir, je me disais que, peut-être, comme on n’a pas de places assises, cela découragerait beaucoup de gens, après qu’on a dit que beaucoup avaient été renvoyés depuis l’extérieur. Mais ce soir, vous êtes revenus. Et je vous suis reconnaissant. Que Dieu vous bénisse et qu’Il vous accorde le désir de votre coeur. Et j’espère que nous avons le réveil à l’ancienne mode que nous attendions depuis si longtemps ici à Phoenix. Que Dieu soit loué.

            Et maintenant, les réunions sont un peu... m’ont un peu épuisé, comme vous le comprenez. La vision affecte l’être humain ; ça a été le cas au cours des âges. Et c’est le cas encore ce soir. Et cela sera peut-être toujours le cas jusqu’à ce que nous ayons un corps glorifié. Alors, nous pourrons comprendre. Mais étant un être humain, c’est... nous n’arrivons pas des fois à comprendre ces choses, comment le Seigneur opère en fait de cette manière-là.

2          Or, un soir, au courant de cette semaine, le Seigneur voulant, j’aimerais apporter un message d’évangélisation sur l’alliance inconditionnelle de Dieu. Et ça peut être, demain soir peut-être, le Seigneur le voulant. C’est juste pour édifier la foi des gens, les amener à se débarrasser de toute peur. Et nous essayons de notre mieux d’y arriver.

            Les chrétiens ne s’inquiètent de rien dans le monde. Ils devraient être les gens les plus libres et les plus heureux dans le monde entier. En effet, il n’y a rien... Vous ne pouvez pas perdre. Et toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment Dieu. Comment donc pouvons-nous perdre? Il n’y a donc rien à perdre, n’est-ce pas? Nous sommes bien ancrés en Jésus-Christ, nous retournons à la Maison dans la Gloire, passant de merveilleux moments chemin faisant, Dieu pourvoyant à tout pour nous. Merveilleux !

3          Est-ce Joe, ce jeune frère assis ici? Je... C’est la première fois que je le vois après des années. Frère Joe, vous avez été à l’église espagnole. Je me souviens de vous.

            Oh ! la la ! Je–je me demande simplement ce qu’il en sera quand nous arriverons dans la Gloire et que nous regarderons tout autour comme cela et que nous verrons un visage, vous savez, qu’on reconnaîtra. Mes anticipations, c’est de penser...

            Après le voyage dans le monde, ayant vu beaucoup de gens affamés et des choses à travers le monde, et beaucoup de chrétiens très pieux à travers le monde entier, je pense à un moment où nous nous–nous nous assiérons tous à une longue table, toute la race humaine qui a été rachetée. Et cela... Je pense donc à ce temps-là où nous arriverons là, à une très longue table accueillante. Et juste sur un millier de kilomètres, on ne verra que les saints assis à cette table.

4          On se regardera l’un l’autre, de part et d’autre de la table, ces anciens vétérans, vous savez, couverts de cicatrices de la bataille. La première chose que nous allons faire à notre arrivée dans le Pays de Gloire, c’est prendre le Souper des Noces. Jésus a dit: «J’en boirai du nouveau avec vous dans le Royaume de Mon Père.» C’est la première chose.

            Quel beau tableau de Rebecca allant à la rencontre d’Isaac et le rencontrant dans le champ ! Et elle fut amenée dans la tente du père et fut mariée. Et comment la nourriture fut servie et tout. C’est exactement ce qui arrivera cette fois-ci, le Souper des Noces, quand nous arriverons à la Maison.

            Quand je regarderai de l’autre côté de la table et que je verrai beaucoup d’anciens vétérans de Phoenix, et de diverses villes, nous aurons bien à verser une ou deux larmes, n’est-ce pas, et juste tendre la main par-dessus la table et dire: «Oh !...» Quel merveilleux moment ! Se regarder simplement là les uns les autres, tendre la main par-dessus, avec des coeurs pleins d’amour, des vétérans du champ de travail.

5          Ensuite, voir entrer le Roi dans Sa gloire, venir en marchant, vêtu de Sa robe blanche, parcourir la ligne, faisant passer Son bras autour de chacun, nous serrant un peu sur Son coeur, nous essuyant les larmes des yeux de Ses mains farcies de cicatrices de clous en disant: «Ne pleurez pas. Tout est terminé. Nous sommes tous ici maintenant. Entrez dans les joies du Seigneur qui ont été préparées pour vous dès la fondation du monde.» C’est le jour que nous attendons. C’est pour cela que nous combattons.

            Je suivais récemment une émission à la radio, on disait que la majorité de grands hommes de science du monde accordent au monde dix ans avant un anéantissement total. Encore dix ans, eh bien, c’est juste de l’estimation.

            Mais là, l’hydrogène ou l’oxygène, si jamais ils s’engagent dans une bataille avec cela, une explosion ici, et là, et ici, je ne sais pas ce qui arrivera. Cela va probablement balayer le monde entier, et cela–cela se fera. Il ne restera même pas une montagne, un arbre, la verdure, ni rien sur la terre. Tout exactement ce que la Bible dit.

6          Mais en ce temps-là, nous serons déjà partis. Oui, oui. Il y a en nous une partie immortelle. Ça n’a besoin ni d’atome, ni d’hydrogène, ni de rien. C’est l’esprit. Nous serons enlevés en un instant, en un clin d’oeil, à la rencontre du Seigneur dans les airs.

            Il y a trois Venues du Seigneur, vous le savez. Dans les Ecritures, tout va par trois. Trois, c’est le nombre parfait de Dieu: Trois, sept, douze, vingt-quatre, quarante, cinquante. Mais Il est venu trois fois: Une fois pour racheter Son Epouse. Il vient la fois suivante (Nous Le rencontrons dans les airs) pour recevoir Son Epouse. Il vient la fois suivante dans le Millénium avec Son Epouse. C’est après que le Souper des Noces sera terminé. Nous retournons pour le Millénium. J’aimerais Le voir, pas vous?

            Il y a quelque temps, j’étais... j’ai entendu un vieil homme qui parlait, et il parlait d’un vieil esclave. Je ne sais pas si je vous l’ai raconté ou pas. Il disait qu’il avait été sauvé, le Seigneur l’avait sauvé et on l’avait libéré. Et quand il se mourrait, il a dit qu’il avait franchi les portes, mais il a dit qu’il se tenait juste derrière la porte. Alors quelqu’un est venu et a dit: «Sam, viens recevoir maintenant ta couronne et ta récompense.»

            Il a dit: «Couronne? Récompense?» Il a dit: «Ne m’en parlez pas. Laissez-moi simplement me tenir là et Le regarder pendant mille ans. C’est tout ce que j’aimerais faire.»

7          C’est ce que nous pensons. Ne pensez-vous pas que c’est pratiquement le sentiment de tous les chrétiens? «Je ne veux pas de couronne. Je ne veux juste pas de récompense. Je veux juste Le voir. Je veux juste Le regarder. Me tenir simplement là et Le regarder, cela me suffira.»

            S’Il me condamne au bout du chemin et dit que je dois prendre l’autre voie, si l’amour existe en enfer, je continuerai à L’aimer. Il sera toujours juste. Je n’étais rien en venant ici. Je ne serai rien en partant. Si jamais je suis accepté là-bas, ça sera uniquement Sa grâce qui aura fait cela.

            C’est pourquoi, ce soir, je combats de tout mon coeur, avec de l’amour pour tout le monde, partout. Vous pouvez être en désaccord avec moi sur les Ecritures. Je n’ai pas beaucoup de doctrines en dehors des Ecritures. J’aime simplement le Seigneur. C’est tout. Voyez, c’est tout.

            Ainsi donc, vous pourrez dire: «Eh bien, Frère Branham, je–je crois ceci.» Eh bien, peut-être que je ne verrais pas exactement cela. Mais cela ne m’empêchera pas d’avoir–d’avoir la même considération pour vous. Voyez? Nous nous aimons simplement les uns les autres malgré tout.

8          Et dans Exode, chapitre 23, verset 20, nous commençons à lire ce soir, pour juste un peu... oh ! juste quelques paroles jusqu’à ce que cette horloge avance un peu plus loin et que nous puissions percevoir l’atmosphère qui règne dans la réunion.

            Il y a quelque chose quand vous percevez l’atmosphère qui règne dans des réunions. J’ai donc constaté, au mieux de mes souvenirs, quand on me parle et quand l’onction de l’Ange du Seigneur vient, cela–cela... Eh bien, je ne m’en souviens plus, ce qui se passe, à moins qu’on me le rapporte, et je... on dirait que j’ai vu ça en songe.

            Au mieux de mes souvenirs, il y avait quelques civières et autres déposés ici hier soir. Ils ne sont plus ici ce soir. J’espère qu’il n’y aura plus de fauteuils roulants demain soir ; les gens seront dans des rues en train de marcher, normaux et bien portants. Vous le pouvez, si seulement vous croyez.

            Jésus veut le faire. Il veut libérer chacun de vous. Papa, Il veut vous faire sortir de ce fauteuil-là. Il veut guérir cette femme, en venant ici, cette jeune fille assise ici, juste dans la fleur de l’âge. Il ne veut pas que vous soyez là. Il veut que vous soyez debout, marchant comme vous le faisiez autrefois. Il veut que vous soyez bien portant.

9          S’il vous plaît, croyez en Lui. S’il y a quelque chose que je peux faire pour vous aider, je le ferai. S’il y a une seule chose que je peux faire pour aider n’importe qui et que je ne le faisais pas, je serais une brute pour ne l’avoir pas fait.

            Mais la raison pour laquelle j’essaie ici de représenter notre Seigneur, c’est que je crois, par Sa miséricorde s’Il me permet de faire cela, je crois que je peux vous aider à Le voir, à croire en Lui et à être guéri. N’ayez pas peur. C’est la raison pour laquelle vous–vous–vous n’arrivez pas à recevoir, c’est que vous avez peur que cela n’arrive pas. Tout comme... Dans votre esprit, c’est déjà arrivé. Voyez? «La foi est une ferme assurance des choses qu’on espère, une démonstration de celles qu’on ne voit pas.»

10        Bon, pendant que je pense que vous avez le passage des Ecritures cette fois-ci, j’aimerais lire une portion ici, c’est Dieu commissionnant Moïse.

Voici, j’envoie un ange devant toi, pour te protéger en chemin, ...pour te faire arriver au lieu que j’ai préparé.

Tiens-toi sur tes gardes en sa présence, et écoute sa voix; ne lui résiste point, parce qu’il ne pardonnera pas vos péchés, car mon nom est en lui.

Mais si tu écoutes sa voix, et si tu fais tout ce que je te dirai, je serai l’ennemi de tes ennemis... l’adversaire de–de tes adversaires.

Mon ange marchera devant toi, et te conduira chez les Amoréens, les Hétiens, les Phérésiens, les Cananéens, les Héviens, les Jébusiens, et je les exterminerai.

Tu ne te prosterneras point devant leurs dieux, et tu ne les serviras point ; tu n’imiteras point ces peuples dans leur conduite, mais tu les détruiras, et tu briseras leurs statues.

Vous servirez l’Eternel, votre Dieu, et il bénira votre pain et vos eaux, et j’éloignerai la maladie du milieu de toi.

11                    Maintenant, inclinons la tête pendant que nous parlons à l’Auteur de cette Parole.

            Notre Tendre et Bienveillant Père, c’est avec des coeurs reconnaissants que nous nous approchons de Toi ce soir au Nom de Ton aimable Fils Jésus, sachant ceci, qu’Il nous a promis: «Tout ce que vous demanderez au Père en Mon Nom, Je le ferai.» Nous savons donc que si nous venons en Son Nom, nous recevons ce que nous demandons. Car nous suivons la voie à laquelle Dieu a pourvu, au travers de Jésus-Christ.

            C’est donc avec une parfaite assurance que nous croyons que nous recevrons. Et maintenant, Seigneur, nous Te demandons de nous accorder une onction spéciale, et pour l’orateur et pour l’auditeur en ce moment-ci, de Ta Parole. Et que l’auditeur reçoive, et puisse-t-Il frayer une voie et arracher, pour ainsi dire, les racines et les branches de l’incrédulité. Et que la couche de la Semence de Dieu soit ensemencée directement dans son coeur et que cela produise de grands résultats ce soir même. Fais miséricorde, Seigneur.

            Cette petite assistance à laquelle Tu m’as accordé ce soir de m’adresser, ce sont les rachetés par Ton Sang. Et je les aime. Et je Te prie de me permettre de les aider d’une façon ou d’une autre, en leur parlant en Ton Nom. Car nous le demandons au Nom de Jésus-Christ, Ton Fils. Amen.

12        Ici, Dieu donne une commission à Moïse. La plupart parmi vous connaissent cette histoire, comment Dieu avait conduit les enfants d’Israël de l’Egypte à la Terre promise ; comment, à cause de la famine, ils ont été amenés en Egypte dans les temps anciens. Dieu avait rencontré Abraham, Il lui avait fait une promesse et une alliance, Il avait dit que Sa postérité séjournerait dans un pays étranger, qu’ils seraient des étrangers pendant quatre cents ans, et qu’ensuite Il les ferait sortir par une main puissante. Quelle merveilleuse pensée ! Il a donc dit qu’Il les ferait entrer dans le pays qu’Il avait donné à Abraham et à Sa postérité comme une promesse, un héritage éternel.

13        Et puis, nous savons que les patriarches avaient vendu Joseph, qui était un type parfait de Christ. Il était aimé du père, haï des frères, juste un type... Eh bien, c’était Christ en Joseph. Ils l’avaient haï sans cause, parce qu’il était spirituel. Il était né un voyant. Il avait des visions, il avait des songes, et il les interprétait. Il était plus spirituel que ses autres frères. Alors, ils l’ont haï sans cause.

            Ils auraient dû l’aimer davantage car, pour commencer, Dieu était avec lui. Faites juste une faveur aux gens qui sont avec Dieu, et observez combien vous prospérez. Et Dieu est toujours avec Son Fils Jésus-Christ. Vous le savez. Faites-Lui donc une faveur et voyez combien vous prospérez.

14        Alors, au lieu de cela, eux l’ont haï, ils étaient jaloux de lui. C’est un très beau type d’aujourd’hui. L’Eglise spirituelle est haïe par son demi-frère, sans raison du tout, alors qu’ils devraient être épris d’amour, de ce que nous avons un grand réveil. Tout le monde devrait aimer Dieu pour cela. Mais au contraire, sans cause...

            Et vous remarquez, il lui a été donné une tunique de plusieurs couleurs. Or, il n’existe que sept couleurs parfaites. Et ces couleurs parfaites sont les sept couleurs de l’arc-en-ciel. Et peut-être, c’était l’arc-en-ciel, un type de Christ.

            En effet, après la résurrection, Jean L’a vu assis, Il avait l’aspect de la pierre de Jaspe et de Sardoine, c’est-à-dire, Benjamin et Ruben, le Premier et le Dernier, Celui qui était, qui est et qui vient, la Racine et le Rejeton de David, l’Etoile du matin, la Rose de Sharon, le Lis de la vallée, l’Alpha, l’Oméga. Il était assis là avec un arc-en-ciel au-dessus de Sa tête: une alliance.

            Un arc-en-ciel représente une alliance. Dieu a donné le signe de l’arc-en-ciel à Noé comme une alliance. Et Il a fait une alliance avec Jésus-Christ pour le monde, «afin que quiconque croit en Lui ne périsse point, mais qu’il ait la Vie Eternelle.»

15        Eh bien, Joseph avait une tunique de plusieurs couleurs, peut-être un arc-en-ciel. Il était donc haï de ses frères. Il était supposé être tué et jeté dans une fosse par les siens, ses frères, de même que Jésus avait été tué par les Siens, jeté dans une fosse. Mais Joseph a été–a été retiré et... il a été placé à la droite de Pharaon, le pays numéro un au monde en matière de commerce et dans le domaine militaire. Aucun homme ne pouvait aller vers Pharaon sans passer par Joseph.

            Et Jésus a été retiré de la fosse, de la tombe, et s’est assis à la droite de la Majesté Divine en Haut, et «Aucun homme ne peut venir au Père si ce n’est par le Fils.» Aucun homme ne peut venir si ce n’est par le Fils.

            Observez lors de sa tentation, quand il était en prison. Sa barbe avait poussé. Et il y avait un échanson et un panetier. Ils eurent un songe et Joseph interpréta le songe. Et l’un d’eux fut perdu et l’autre fut sauvé.

16        Jésus, quand Il a été amené à la croix, dans Sa prison de la mort, un voleur fut perdu et un autre fut sauvé. Un type parfait, comment Il livra Son corps en guise de témoignage ou de signe.

            Il a dit: «Eh bien, un jour, Dieu vous visitera, certainement», quand il mourait. Et il a laissé ses os dans un vieux cercueil.

            Je suis censé avoir posé ma main sur ce cercueil-là, récemment dans un musée, dans lequel ils avaient emporté les os de Joseph qui étaient en Egypte. C’était en cuir, d’à peu près cette épaisseur, en cuir battu. Et la célèbre Pierre de Scone me paraissait comme un morceau de pierre de Bedford ; pour moi, c’est juste une petite chose placée en dessous d’un ancien fauteuil antique.

            Et de toute façon, en allant en Egypte... Et Joseph, en mourant, a laissé un mémorial: ses os. Il leur a fait savoir qu’un jour ils sortiraient, avant que ses os périssent, qu’ils sortiraient.

17        J’aimerais m’arrêter ici juste un moment. Vous savez, les Ecritures sont données par inspiration. Vous–vous ne les apprenez pas dans des écoles tout bonnement. Cela doit venir par la révélation du Saint-Esprit. Peu importe combien vous êtes intelligent et perspicace, c’est le Saint-Esprit qui révèle la Parole de Dieu.

            Considérez ces pharisiens du temps de Jésus, les sadducéens, les docteurs, les saints hommes sans reproche, des érudits ; il leur fallait naître dans une certaine lignée: de Lévite. Ils devaient être formés dans les Ecritures depuis la jeunesse et connaître chaque signification ; et pourtant, ils ont manqué de voir Jésus et de Le reconnaître, alors que toutes les Ecritures étaient là, pleines de ça, sur Sa Venue. Comprenez-vous ce que je veux dire?

18        Ne vous attendez donc pas à connaître Dieu par l’instruction ou la théologie. On connaît Dieu en naissant de nouveau, par la nouvelle naissance. Le Saint-Esprit a écrit la Parole de Dieu. Et Il l’a si enchevêtrée Là-dedans ; Il a dit: «J’ai caché cela aux yeux des sages et des intelligents et Je le révélerai aux enfants qui veulent apprendre.» Si donc vous voulez connaître quelque chose, vous devez devenir un enfant. Ne soyez pas trop intelligent.

            Le chemin pour monter va vers le bas. «Celui qui s’abaisse sera élevé. Celui qui s’élève sera abaissé.» Et je pense au fait d’écrire les Ecritures, comment le Saint-Esprit a caché ces mystères Là-dedans. Et tous les instituts bibliques et les séminaires ne pourront jamais découvrir cela. Dieu seul fait cela et Il le révèlera à qui Il veut. Est-ce vrai?

19        Quand je vais outre-mer, madame Branham (Dieu sait combien je l’aime) et elle peut m’écrire une lettre et dira: «Cher Bill, je suis assise ici ce soir pensant à toi, priant pour toi. Les enfants viennent d’aller au lit. Tu nous manques beaucoup.» Eh bien, je lis ce qu’elle dit, mais je lis aussi entre les lignes, car je l’aime. Et elle m’aime. Et c’est une affaire d’amour. Elle écrit cela, ça ne ressort pas tellement à la ligne, mais je sais ce qu’il y a entre les lignes.

            Eh bien, quand vous êtes épris d’amour pour Christ, c’est ainsi que vous lisez la Bible. C’est entre les lignes. Vous saisissez ce dont Il parle, le vrai sens spirituel. Par exemple, prenons-en un petit exemple maintenant, cela me vient juste à l’esprit, comme nous en parlons.

20        Quand Job, l’ancien... et Dieu l’avait fait prospérer et le diable a dit qu’il... ce qu’il allait lui faire ; et il l’a fait: il lui a pris toutes ses richesses, il l’a rendu pauvre, il a tué ses enfants, il a consumé son bétail, il a fait éclater les ulcères sur lui, de la tête aux pieds. Et il était assis dehors... Il ne pouvait même pas rester dans la maison, peut-être que ses ulcères dégageaient une très mauvaise odeur. Et il se grattait avec un morceau de tesson, pendant qu’il était assis sur un–un tas de cendre.

            Et là, pendant qu’il était assis là, les membres de son église, de sa fraternité, sont venus vers lui et lui ont tourné le dos pendant sept jours (Quelle consolation est-ce?), ils ont dit: «Job, tu as péché.» Beaucoup de gens pensent que le fait que les gens tombent malades, c’est qu’ils ont péché. Dieu traite certainement avec la maladie, le péché par la maladie, mais ce n’est pas dans chaque cas. Dans ce cas ici, Il corrigeait, ou Il ne corrigeait pas, mais Il révélait les qualités d’un croyant.

21        Et Job était assis là, se grattant les ulcères. Alors, sa femme est venue et a dit: «Job, tu as l’air misérable. Pourquoi ne maudis-tu pas Dieu et ne meurt? Eh bien, tu as prié ; tu as tout fait, tu es assis là à te gratter ces ulcères. Et tout celui qui passe se moque de toi. Tu es devenu l’objet de risée. Dieu n’exauce certainement plus la prière», quelque chose comme cela.

            Je peux voir le vieux patriarche, alors qu’il levait les yeux vers elle, et il a dit: «Tu parles comme une femme insensée.» C’est merveilleux. Eh bien, il n’a jamais dit qu’elle était insensée. Il a dit qu’elle parlait comme quelqu’un d’insensé. Il a dit: «L’Eternel a donné, l’Eternel a repris, que le Nom de l’Eternel soit béni.» C’est ça: déterminé.

22        Et parfois, ce sont des membres de votre propre famille qui vous décourageront les premiers, quand vous réclamez la promesse de Dieu pour vous-même.

            Mais alors, si tout homme qui est profondément sincère, comme vous, vous, ou n’importe qui parmi vous ici ce soir, venait ici, pour cette réunion-ci, avec une profonde sincérité, Dieu est tenu vis-à-vis de lui. Si vous avez fourni des efforts, Dieu est tenu de fournir Son effort.

            Alors, de là loin de l’est vint un petit prince, Elihu. J’aurais voulu avoir le temps d’analyser ce mot-là: Elah, Elah, lah, Dieu, Yahwe, analyser cela et vous montrer un représentant de Dieu. En fait, cela représentait Christ, venu vers Job au plus profond de sa détresse. Il n’a pas accusé Job d’avoir été un pécheur en secret. Il s’est mis à lui parler, pas au sujet de... Il a dit: «Maintenant, regarde, Job (Nous allons décrire cela de sorte que les enfants comprennent ça.), tu as considéré», au chapitre 14, ici, vous avez dit de Job là, quand il écrivait...

            Il a dit: «Regarde l’arbre. Il tombe. Le vent l’abat. Eh bien, il repousse.» Il a dit: «Une petite semence tombe de la fleur et les pluies tombent, on tient un cortège funèbre, on l’ensevelit et... les racines dans la terre. Une drôle de petite semence s’ouvre, la pulpe en sort. Et peu après, il n’y a plus de semence ; il n’y a plus de pulpe, il n’y a plus de fleur, il n’y a plus de tige.» Mais ce n’est pas sa fin. Il y a là un germe de vie qui revivra.

23        Il y a quelque temps, j’étais assis avec un vieux prédicateur méthodiste du nom de Spurgeon. Nous prenions ensemble de la crème glacée, et une émission passait, L’heure de l’agriculture, le petit club 4-H. Beaucoup parmi vous en sont membres. Et ils avaient... Ou peut-être vous l’êtes.

            Ils avaient obtenu un maïs, un appareil qui produisait des grains de maïs si parfaits qu’on pouvait prendre une poignée d’un sac qui contenait le produit d’un appareil, et une poignée d’un sac qui contenait le produit du champ, et les mélanger, vous ne pourrez point les distinguer les uns des autres. Amenez-les au laboratoire, ouvrez-les, probablement que la pelure paraîtra si épaisse, sous ces loupes grossissantes.

24        Ils avaient la quantité convenable d’humidité, la même quantité de calcium, ainsi que–ainsi que tout composant de cela. Le trognon était au bon endroit. Cela ferait un tout aussi bon maïs feuilleté. Cela ferait du pop-corn tout aussi bon, qui se mange aussi bien que cette autre.

            «L’unique moyen par lequel on les a distingués, a-t-il dit, c’était de les planter.» Alors, celui fabriqué par l’homme a pourri, et c’était sa fin. Mais celui que Dieu a créé a en lui un germe de vie. Il a repoussé.

            J’ai dit: «Frère Spurgeon, vous feriez mieux de me tenir la main. Je risque de vous embarrasser.» Eh bien, cela ferait n’importe... Cela amènerait un baptiste, un méthodiste ou n’importe qui, à crier, n’est-ce pas?

            Voyez, deux hommes peuvent être membres d’une église, l’un... tous les deux ont le même aspect et ils peuvent l’un donner à l’autre une transfusion sanguine, mais l’un a la Vie Eternelle, l’autre n’En a pas. Tous les deux fréquentent l’église, paient des dîmes, tous les deux sont religieux. Mais l’un a la Vie et l’autre n’En a pas. Comprenez-vous ce que je veux dire?

25        Job avait constaté cela, que le germe repoussait. Il a dit: «Mais un homme va à sa tombe. Ses fils viennent le pleurer. Il ne s’en aperçoit pas. Ils lui accordent des hommages et il ne le comprend pas.» Il a dit: «Oh ! Si Tu pouvais me cacher dans la tombe jusqu’à ce que Ta colère soit passée !»

            Elihu, par cette voie, l’a eu. Il a dit: «Maintenant, Job...» Suivez, voilà, ça y est, il a dit: «Job, cette fleur-là n’a jamais péché. C’est pourquoi elle meurt et repousse ; meurt et repousse. Mais l’homme gît là-bas, il ne revient jamais. Mais, a-t-il dit, un jour, un Juste viendra, qui pourra se tenir à la brèche, mettre Sa main sur un homme pécheur, et un Dieu Saint, et faire le pont. Et il sera le point de connexion avec la vie. Alors, l’homme ressuscitera.» Oh ! la la !

26        Cela ne représentait plus alors grand-chose pour Job. Il n’avait plus besoin d’encouragement. Il était un prophète. L’Esprit de Dieu vint sur le prophète. Il se releva de son tas de cendres, se secoua. Les éclairs se mirent à jaillir, et les tonnerres à gronder. Le prophète entra en Esprit. Il dit: «Je sais que Mon Rédempteur est vivant. Et Il se lèvera le dernier sur la terre. Quand bien même les vers qui sont en moi auront détruit ce corps, cependant je verrai Dieu, je Le verrai personnellement. Mes yeux Le verront, pas ceux d’un autre. Car nous n’avons rien apporté en venant dans ce monde et il est certain que nous n’en emporterons rien. L’Eternel a donné, l’Eternel a ôté. Que le Nom de l’Eternel soit béni.» Qu’est-ce qui nous décourage?

            «Je Le verrai au dernier jour», alors qu’il était encore couvert d’ulcères au possible. «Je Le verrai de toutes façons dans mon propre corps.» Amen ! Oh ! la la ! Regardez-Le.

27        Alors, Job... Nous allons nous dépêcher. Job, quand il se mourait, il a indiqué le lieu de son ensevelissement. Maintenant, observez entre les lignes ici maintenant. Il a indiqué le lieu où l’ensevelir, là en Palestine. Abraham a suivi, et quand Sara est morte, sa chérie... Les cieux seraient à peine les cieux sans Sara et Abraham, n’est-ce pas? Ces chéris de la Bible, voir combien loyaux et aimables...

            Remarquez, quand Sara mourut, Abraham acheta un lopin de terre près de la tombe où Job avait été enseveli. Je me demande pourquoi. On lui a dit: «Oh ! Nous allons te donner cela.» Il a dit: «Non. Je vais vous verser autant de sicles d’argent en contrepartie. Et je vais donner un témoignage ici en ce jour-ci, pour vous faire savoir que j’ai acheté ceci comme lieu sépulcral.» Je me demande pourquoi. Il était un prophète. Il a enseveli Sara. Et puis, quand Abraham mourut, il fut enseveli à côté de Sara. Est-ce vrai? Et Abraham engendra Isaac. Quand Isaac mourut, il fut amené et enseveli à côté d’Abraham. Est-ce vrai? Isaac engendra Jacob, et Jacob mourut en Egypte.

28        Mais avant sa mort, comme il était un prophète et qu’il savait que son fils était un prophète... Et l’Ange du Seigneur l’avait frappé à la hanche une nuit. D’un côté de la rivière, il était un homme du monde très fort, puissant, un fugitif. De l’autre côté de la rivière, il était un prince qui boitillait. Je préférerais être un prince qui boitille, pas vous? Dieu l’avait frappé à la hanche ; et la chair s’était attachée à l’os. Et il a boitillé tous les jours de sa vie.

            Il a dit: «Joseph, avant ma mort, mets ta main sur ma hanche boitillante. Jure par le Dieu de nos pères que tu n’enseveliras pas mes os ici en Egypte.» Je me demande pourquoi. Cela n’est pas écrit dans les Ecritures ; c’est entre les lignes. D’accord.

            Joseph l’a fait. Et lui, quand il est mort, il l’a amené et il l’a enseveli en Palestine, à côté de son père Isaac et Abraham. Quand Joseph se mourait, il a dit: «N’ensevelissez pas mes os en Egypte.» Vous demandez-vous pourquoi? «Mais quand vous sortirez, ensevelissez mes os en Palestine, là à côté de ceux de mon père.» Vous demandez-vous pourquoi?

29        Ils étaient des prophètes. Ils avaient vu par-dessus des choses. Ils savaient que Job avait dit que le Rédempteur se tiendrait sur la terre dans les derniers jours. Ils attendaient la Venue du Messie.

            Et ils savaient qu’il n’y aurait pas de résurrection là en Egypte. La résurrection aurait lieu en Palestine. Et au chapitre 27 de Matthieu, la Bible nous dit que quand Jésus sortit de la tombe, plusieurs saints qui dormaient dans la poussière de la terre ressuscitèrent avec Lui, ils sortirent de la tombe et entrèrent dans la ville, et ils apparurent à plusieurs parmi eux: Abraham, Isaac, Jacob, Job.

            Eh bien, je peux donc voir... après Sa résurrection, les voir apparaître dans le pays en train de parler, et ils savaient, ils sont entrés. C’est la raison pour laquelle je dis aujourd’hui, amis, que je suis aussi taxé de saint exalté. C’est vrai. J’en suis content. Je considère cela comme un grand privilège.

            Peu m’importe de quel nom vous me taxez, ensevelissez-moi seulement en Jésus-Christ. Car ceux qui sont en Christ, Dieu les ramènera avec Lui à la résurrection. Je ne considère pas cela au travers de la théologie du séminaire. Je le considère au travers de l’Esprit de Dieu pour voir la résurrection.

            Il n’y a que ceux qui sont en Jésus-Christ que Dieu ramènera avec Lui. Et comment entrons-nous en Jésus-Christ? Ce n’est pas en adhérant à l’église, ce n’est pas en serrant les mains, ce n’est pas en trimbalant une lettre de recommandation: «Mais nous avons tous été baptisés dans un même Esprit pour former un seul corps (1 Corinthiens 12), nous devenons alors membres de ce Corps-là.» Amen ! Oh ! Que c’est merveilleux !

30        Il est ici. Voyez-Le. Les années s’écoulèrent: Abraham, Isaac, Jacob, Job. Et puis, quand Moïse... les enfants d’Israël quittaient l’Egypte, Moïse prit le corps de Joseph et l’ensevelit. Pensez à ces pauvres Hébreux, aux dos flagellés, qui passaient par là (Oh !) si tourmentés par les persécuteurs égyptiens. Mais chaque fois qu’ils regardaient là et voyaient dans ce petit cercueil en cuir les os de Joseph, ils disaient: «Un glorieux jour, nous sortirons d’ici. Car le prophète nous avait promis qu’avant que ces os-là soient détériorés, nous partirons en Palestine et nous retournerons à la maison.» Quel parfait type de Jésus Joseph était, là !

31        Il y a quelque temps, Billy et moi, nous allions à la tombe de sa mère. Elle est morte alors que lui n’avait que dix-huit mois. Nous déposions une petite fleur le matin de Pâques sur la tombe. Et le petit enfant pleurait. Je l’entourais de mon bras ; j’ai dit: «Ne pleure pas, mon chou.»

            J’ai dit: «Maman n’est pas ici, ici en bas, ni ta petite soeur non plus. Mais leurs corps, leurs os gisent là. Mais de l’autre côté de la mer, il y a une tombe vide. Et en Lui qui est ressuscité de la tombe–la tombe, Lui qui ne connaît pas de mort ni d’aiguillons, elles étaient en Lui. Un glorieux jour, nous partirons d’ici, nous rentrerons à la maison», un type parfait.

32        Remarquez. Alors, quand la Parole de Dieu... Après avoir fait là quatre cents ans, le temps où la Parole de Dieu devait s’accomplir... Il tiendra Sa Parole. Et quand le temps de la promesse approcha, il s’éleva un pharaon qui n’avait pas connu Joseph et qui se mit à persécuter les enfants d’Israël.

            Dieu descendit dans une Colonne de Feu, appela un homme qui était appelé et qui L’avait fui. La Colonne de Feu, C’était l’Ange de l’alliance. Nous le savons tous. Tout lecteur de la Bible sait cela, que C’était le Logos, qui était Christ. La Bible déclare: «Moïse considéra les richesses de Christ comme beaucoup plus grandes que tous les trésors d’Egypte, il abandonna l’Egypte alors qu’il avait un pied sur le trône.» Mais il... «Je préférerais souffrir avec le peuple de Dieu plutôt que de jouir du plaisir du péché pendant un temps.»

33        Remarquez. Toutes les grandes personnes, les grands hommes, et chaque personne a un temps de décision. Vous avez à dire oui ou non. Pour beaucoup ici, c’est peut-être ce soir. Vous avez à dire: «J’accepterai Christ comme mon Guérisseur, ou je ne L’accepterai pas.» Voyez?

            Remarquez. Nous allons rapidement nous dépêcher, car on a environ douze minutes. Pensez-y donc. Le temps de la promesse approcha et Dieu appela Moïse par une Colonne de Feu dans un buisson ardent. Dieu Le commissionna alors.

            Maintenant, je... «Voici, j’envoie l’Ange devant toi, pour te protéger en chemin, et pour te faire arriver au lieu que J’ai préparé» ; qu’Il leur donne. «Tiens-toi sur tes gardes en Sa Présence. Ne Lui résiste point, parce qu’Il ne pardonnera pas tes péchés, car Mon Nom est en Lui. Mais si tu écoutes Sa voix, et si tu fais tout ce que Je te dirai, Je serai alors l’adversaire de tes adversaires.»

            Remarquez. Il a dit: «Je vais L’envoyer maintenant, et Je vous ai déjà donné...» Voici, ça y est, saisissez-le: «Je vous ai donné la Palestine. Cela vous appartient donc. Eh bien, cela est tout entouré des murs avec des Héviens, des Jébusiens, des Phérésiens, des Amoréens. C’est tout emmuré. Mais Je vous ai donné cela. C’est à vous.»

34        Maintenant, examinons cela juste un instant. Eh bien, le pays lui appartenait. Or, Dieu n’avait pas dit: «Je vais y entrer et vider le pays, et puis vous y installer.» Il a dit: «Je te l’ai donné ; maintenant, va combattre pour le leur arracher.» Vous y êtes.

            Dieu vous a donné la guérison ce soir, madame, vous, chacun de vous. Il vous a donné la guérison. C’est votre possession. Tout cela est retenu par les Amoréens, les Cananéens, et tout le reste dans l’incrédulité. Mais entrez-y, emparez-vous-en, c’est à vous. Ça vous appartient. C’est vrai. «Je dois combattre s’il me faut régner ; augmente mon courage, Seigneur.» Ceci n’est pas un terrain de pique-nique, c’est un champ de bataille (Voyez?), ce n’est pas un lieu où vous vous couchez sur le dos et vous dites: «Maintenant, Seigneur, viens seulement, inculque-le-moi par la force et alors, je le ferai.» Non, non. Vous ne le faites pas comme cela. Dieu ne l’a jamais fait comme cela. Il a une base...

35        C’est comme je le disais hier soir, comme la loi de l’électricité, la loi de l’eau, la loi de la gravitation, toute chose, vous devez travailler en conséquence.

            Eh bien, il a dit: «Voilà le pays.» Et pourtant, certains Israélites, quand ils ont regardé cela, ils ont dit: «Eh bien, nous ne pouvons pas nous en emparer. Eh bien, nous paraissons comme des sauterelles à côté de ces grandes personnes», au retour des espions.

36        Mais il y eut Josué et Caleb. Ils savaient ce que Dieu avait dit. Ils ont dit: «Nous pouvons nous en emparer. C’est à nous.»

            Eh bien, Jéricho était si vaste qu’on pouvait faire passer deux chars dessus, une compétition des chevaux. «Comment pouvons-nous y entrer avec nos petites lances et autres? Les portails sont barricadés.» Il y avait à l’intérieur de grands hommes, qui paraissaient comme des géants, les Cananéens, probablement les descendants de Cham. «Et comment pouvons-nous donc y entrer et nous en emparer?»

            Voyez, ils ont regardé le côté naturel. Comment cette femme-ci peut-elle marcher? Comment celui-là le peut-il? Comment cet homme peut-il donc sortir du... Comment cet homme avec un... sur le point d’être... mourir dans les quelques prochains jours, de la maladie du coeur, comment peut-il être rétabli maintenant même? C’est irréfléchi. Vous ne pouvez pas raisonner là-dessus. On ne connaît pas Dieu par les raisonnements.

37        Aucun homme ne comprend cela. Vous devez accepter cela par la foi et dire: «C’est ça.» C’est contraire à la science. C’est contraire à la connaissance. La connaissance de ce monde, c’est de la folie aux yeux de Dieu. C’est contraire à toute la recherche scientifique qu’une vierge enfante un enfant, mais elle l’a fait. D’où est venu le monde? Dieu a simplement prononcé la Parole et Il a dit: «Qu’il y ait.» Et cela fut.

            Maintenant, Il vous a donné cette promesse. C’est à vous. Chacun de vous a été guéri il y a mille neuf cents ans, quand Jésus mourut au Calvaire. Je sais que beaucoup de ronces ont poussé là-dedans. Il y a beaucoup de Cananéens qui se tiennent là et disent: «Les jours des miracles sont passés.» Il y a beaucoup de Phérésiens qui disent: «Je ne crois pas dans ces saints exaltés.»

38        Mais entrez-y et emparez-vous-en. C’est à vous. Dieu vous l’a donné. C’est une promesse. Allez de l’avant, emparez-vous-en de toute façon. Si Dieu l’a dit, pourquoi se soucier des Cananéens? Ces gens au long visage qui disent que les jours des miracles sont passés, ça, c’est pour eux. Ce n’est pas pour les croyants.

            Un homme disait: «Frère Branham, je ne crois pas cela.»

            J’ai dit: «Ce n’était pas pour vous.» C’est seulement pour les croyants. C’est tout. Ce n’est pas pour les incroyants.

            Eh bien, Il a dit: «Allez vous en emparer.» Remarquez. Il a dit: «J’enverrai Ma peur devant vous, Mon Ange. Il préparera la voie.» Et si vous remarquez bien, quand ils sont arrivés là-bas, l’un regardait les choses matérielles. L’autre regardait la chose spirituelle, la promesse de Dieu.

            Il n’y a pas longtemps (Oh !), cinq ou six ans, j’ai été appelé à un hôpital où un enfant se mourait de la diphtérie. Le médecin ne voulait pas me laisser entrer à cause de mon jeune garçon, de ma fillette. Il a dit: «Prédicateur, vous ne pouvez pas y entrer.» Un peu plus tard, j’ai appris que cet homme était catholique. Il a dit: «Vous ne pouvez pas y entrer.» Il a dit: «Vous avez vos propres enfants.» Cet homme cherchait à être sincère.

39        Il a dit: «Le jeune homme se meurt. Il n’y a rien que vous puissiez faire pour lui.» Il a dit: «Ça fait deux jours qu’il est inconscient maintenant. Le cardiogramme, je ne sais quoi, le cardiogramme électrique montrait que cela était directement descendu au... presque à zéro.» Et il a dit: «Cela ne remontera jamais. Le jeune homme se meurt.»

            Le vieux papa et la vieille mère se tenaient là, ils ont dit: «Nous voulons de toute façon qu’il entre.» Eh bien, j’ai dit: «Regardez, monsieur, si un prêtre se tenait ici et qu’il voulait administrer à ce jeune garçon le dernier sacrement, le laisseriez-vous entrer?»

            Il a dit: «Certainement, mais le prêtre n’est pas marié, il n’a pas d’enfants comme vous.»

            J’ai dit: «J’en répondrai.»

            Eh bien, il m’a fait entrer là, après m’avoir fait habiller en Ku Klux Klan, avec toute une histoire qui me couvrait comme cela, et m’avoir fait laver les mains ; il m’a envoyé là devant le jeune garçon. Et celui-ci était inconscient. La maman était inclinée d’un côté et le papa, de l’autre. Une petite infirmière se tenait au bout.

40        Je n’avais fait que demander à Dieu de permettre au jeune garçon de vivre. Je ne crois pas que ce fut la volonté de Dieu de retirer ce petit garçon comme cela. Il avait environ quinze ans. Je lui ai imposé les mains et j’ai dit: «Ô Dieu, Ceci est Ta Parole, et je crois en Toi. Et je lui impose mes mains en commémoration de ce que Tu as dit.» Je me suis relevé et j’ai dit: «Amen.»

            Le papa a contourné de l’autre côté, il a saisi la maman et l’a embrassée, il a dit: «Maman, c’est merveilleux, n’est-ce pas?» Le jeune garçon était couché là, mourant. «Eh bien, a-t-il dit, maman, a-t-il dit, oh ! c’est vraiment merveilleux, chérie, de penser que le Seigneur a guéri notre garçon», alors qu’il était couché là, mourant.

41        La petite infirmière a dit: «Monsieur, je pense que vous ne comprenez pas ce que le médecin a dit.» Elle a dit: «Eh bien, c’est bien d’avoir foi. Mais comment pouvez-vous agir comme cela, être si content, alors que votre jeune garçon deviendra un cadavre d’ici les quelques prochaines–prochaines heures?» Elle a dit: «Une fois ce cardiogramme-là descendu (Je ne sais quoi ça, d’électrique), cela n’est jamais remonté, dans toute l’histoire du monde.» Elle a dit: «Le jeune garçon se meurt.»

            Ce vieux saint s’est essuyé les larmes aux yeux, il a mis ses mains sur l’épaule de la petite infirmière et a dit: «Ma tendre chère enfant, a-t-il dit, tu regardes ce cardiogramme électrique, parce que c’est tout ce que tu sais regarder. Mais je regarde une promesse divine qui a été faite par Dieu. Mon jeune garçon vit.» Alléluia !

42        Le jeune homme est maintenant marié et il a un enfant. Très bien. Cela dépend de ce que vous pensez de la promesse de Dieu. Il vous la donne, pourvu que vous y entriez en prendre possession. C’est à vous ; allez vous en emparer.

            Ils ont dit: «Eh bien, nous ne le pouvons pas.» Mais Josué et Caleb savaient ce que Dieu avait dit, ils ont donc cru cela.

            Maintenant, remarquez, au verset 29. Il a dit: «Je ne les chasserai pas en une seule année loin de ta face, de peur que le pays ne devienne un désert et que les bêtes des champs ne se multiplient contre toi. Je les chasserai peu à peu loin de ta face, jusqu’à ce que tu puisses prendre possession du pays.» Vous y êtes.

            Acceptez cela maintenant, peu importe la sensation que vous éprouvez. N’attendez pas le début de la prière, acceptez cela maintenant. Si vous ne pouvez pas bouger votre pied, mais que vous découvrez que vous pouvez bouger votre doigt, c’est tout ce dont vous avez besoin maintenant même. C’est vrai. «Peu à peu, je chasserai chaque ennemi.» Chaque incrédulité, chaque... Avant la fin de la réunion, vous pourrez crier et parcourir la pièce. «Tout aussi capable d’accepter cela, c’est ainsi que Je chasserai cela. J’enverrai Mon Ange devant toi, pour te protéger en chemin.» Ce grand...

43        Oh ! Je vous assure, la chose... Les chrétiens ne se rendent pas compte du privilège que nous avons. Nous sommes comme des gens qui vont ici dans une grande galerie marchande, ils entrent dans un immense... un–un bazar. Alors, vous entrez dans un bazar, vous visitez, il y a telle chose ici, vous aimez ça.

            Or, quand j’entre dans un bazar, j’aime un peu visiter (C’est le cas pour vous tous, n’est-ce pas?), surtout si cela m’appartenait. Et si je vois quelque chose là-haut, je vais chercher une échelle, je monte, je regarde cela, je l’examine, je vois à quoi ça ressemble.

            C’est comme ça que ça se passe en Jésus-Christ. Nous avons tous été baptisés dans un même Esprit pour former un bazar de Dieu, Jésus-Christ. Là, nous avons la paix, la joie, le bonheur, la longanimité, la bonté, la gentillesse, la douceur, le Saint-Esprit, les puissances de Dieu, le parler en langues, l’interprétation des langues, la guérison divine, la gloire, les cris, la sagesse. Alléluia ! Toutes ces choses nous appartiennent, à chaque croyant, ça vous appartient.

44        «Je suis l’Eternel qui pardonne toutes tes iniquités et qui guéris toutes tes maladies.» Tout est à moi. Si la guérison divine semble être un peu plus élevée, c’est dans mon bazar. En effet, cela est là même. Et ceci est notre bazar. Amen ! Alors, quand je suis là-dedans, je vais monter prendre ceci. C’est à moi. Il se peut que j’aie à étendre la main un peu plus haut, il se peut que j’aie à tendre un peu fortement, mais je l’aurai. Ça m’appartient. Je suis déterminé à l’avoir.

            C’était pareil avec les Israélites. Ils sont directement entrés derrière ces grandes murailles. Des témoins... Josué avait vu Dieu séparer la rivière. C’était facile pour lui de croire que si les gens se mettaient à crier, les murailles s’écrouleraient.

45        Eh bien, vous qui avez reçu le baptême du Saint-Esprit, vous qui avez un témoignage que Jésus-Christ vit et règne, il devrait être facile pour vous de croire dans la guérison divine.

            Eh bien, Josué a su, aussitôt qu’ils se sont mis à crier, que les murs allaient s’écrouler. La victoire était sienne, car Dieu l’avait dit. C’est ça. Il avait dit...

            L’Ange de l’Eternel les précédait, une Colonne de Feu, la nuit ; une Nuée, la journée ; l’Ange de l’alliance, le Christ, le Logos avant qu’Il soit fait chair pour habiter parmi nous.

            Maintenant, j’aimerais vous poser une question. C’était le signe dans l’Ancien Testament. Ils suivaient cette Colonne de Feu-là. Partout où Elle allait, ils allaient. Quand Elle s’arrêtait, ils s’arrêtaient. Ils construisaient leurs camps en dessous de la Colonne de Feu, une Colonne de Feu. Et alors...

46        Il n’est pas parlé là d’un cumulo-nimbus de feu. C’était une Colonne de Feu. Et là où Elle s’arrêtait, ils s’arrêtaient. Et leurs sacrificateurs voyaient cela. Et chaque fois qu’Elle se déplaçait, ils sonnaient les trompettes. Que ça soit à minuit, à trois heures du matin, à douze heures, ils pliaient tous bagages et s’en allaient. Ils suivaient la Colonne de Feu. Ils restaient dans la volonté du Seigneur en faisant cela. Oh ! Comme c’est beau ! Si jamais ils perdaient cette Colonne de Feu-là dans le Nouveau Testament... je veux dire dans notre âge.

            Pendant les mille cinq cents ans des âges de ténèbres, ils ont manqué de voir Cela. Mais il y eut, un jour, un homme du nom de Martin Luther, il vit la Colonne de Feu et s’engagea dans la première réforme.

47        Mais vous savez quoi? Il organisa si hermétiquement son église que, dès le départ, elle était seulement une église luthérienne. Soit on était luthérien, soit on n’était pas dans la chose. La Colonne de Feu ne restera au-dessus de rien de semblable. Elle s’en est donc allée.

            Luther n’a pas pu La suivre parce qu’il avait tout... Luther était mort depuis des années et une autre génération de–de serviteurs, ou d’apôtres de l’église, et une autre génération, puis une autre génération s’était affaiblie, juste comme pour les disciples. Et la Colonne de Feu a quitté l’église luthérienne.

            Luther ne pouvait pas suivre parce qu’il avait tous ses rites et tout bien mis par écrit. Il y eut ensuite un petit homme du nom de John Wesley en Angleterre. Il vit cela et s’en alla. Et il a eu un réveil qui a sauvé l’Angleterre, les Etats-Unis, et le–et le monde anglais connu de l’époque: le réveil wesleyen.

48        Wesley, George Whitefield (Oh !), Asbury, beaucoup d’autres, ils ont eu ce grand réveil. Et puis, la chose suivante, vous savez, ils se sont tellement organisés qu’ils ont commencé à devenir, après quelques générations, tout aussi froids et empesés que possible. C’est vrai. La Colonne de Feu ne se tiendra pas au-dessus de cela. Elle s’en est donc allée.

            Et un groupe de gens appelés des pentecôtistes a vu Cela. Ils ont suivi Cela. Ils se sont construit une église en dessous de Cela. Mais vous savez, ce qu’il y a de triste, c’est que les pentecôtistes se sont tellement organisés que la Colonne de Feu est de nouveau en train de se déplacer et ils ne peuvent pas suivre. C’est vrai. Mais la Colonne de Feu avance de toute façon. Dieu a dit qu’Elle avancerait. C’est vrai.

            Ils avaient le signe du Feu la nuit et une Nuée la journée, qui les conduisaient.

49        Maintenant, ici ce soir dans la maison de Dieu où cette même Colonne de Feu se trouve, ici dans la maison, ici même maintenant... En effet, C’était l’Ange de l’alliance, le Seigneur Jésus-Christ. Quand Il mourut, Il ressuscita, et Il vit à jamais. Il a promis que nous ferions aussi les oeuvres qu’Il faisait, et nous en ferions de plus grandes, car Il est allé au Père. Est-ce vrai?

            Il n’a jamais soutenu être un Guérisseur. Il a dit: «Je ne fais que ce que Je vois faire au Père ; c’est ce que Je fais pareillement.» Est-ce exact? Nous avons vu cela hier soir et... méditer là-dessus. Saint Jean 5.19: «Je ne fais rien de Moi-même...» Alors qu’ils Le critiquaient probablement de n’avoir pas guéri tous ceux qui étaient là à la piscine de Béthesda... Il avait seulement guéri un seul homme sur un grabat.

            Dieu Lui avait montré où était l’homme ; Il est allé et a accompli ce que Dieu Lui avait dit de faire, et Il a continué Son chemin. Voyez? Et Il a dit: «Je ne peux rien faire de moi-même. Mais ce que Je vois faire au Père, Je le fais aussi. Le Père agit jusqu’à présent, et Moi aussi.» Très bien.

50        Or, c’était la Colonne de Feu qui a été rendue manifeste ici sur terre, suivant la volonté de Dieu. Maintenant, ce soir, après mille neuf cents ans, nous avons cette même Colonne de Feu parmi nous. Vous avez acheté Sa photo il y a quelques instants. Je le dis avec respect.

            Preuve scientifique à l’appui... Si je mourrais cette nuit même... Or, cette Colonne de Feu n’a rien à faire avec moi. Je suis juste un homme. Cette Colonne de Feu est dans l’Eglise, non seulement avec moi. Elle est avec chacun de vous. C’est nous tous.

            C’était juste une confirmation divine. Vous connaissez l’histoire. Le prédicateur baptiste m’avait défié sur la guérison divine. Il était allé là et disait que je n’étais qu’un prosélyte religieux, qu’on devait me chasser de la ville, et que c’était lui, l’homme qui ferait faire cela.

            Beaucoup parmi vous étaient probablement là. Combien étaient à la réunion de Houston? Faites voir les mains. Assurément, ils sont partout.

51        Eh bien, ils avaient publié un long article dans le journal. Frère, je ne voulais pas me disputer avec qui que ce soit. Mais frère Bosworth a dit: «Laisse-moi relever cela.» Et cela m’a rappelé Caleb d’autrefois, quand je l’ai vu, ce vieil homme là debout, à une soixante-dizaine d’années, pour passer à l’épreuve de poings contre un nouvel érudit, récemment sorti d’un cimetière, ou d’un séminaire, c’est pareil.

            Ainsi donc, il... pendant qu’il était là avec ce jeune docteur en théologie, frère Bosworth a dit: «C’est en ordre, Frère Branham. Je ne me disputerai pas.» Ce soir-là, vous tous, vous savez combien le vieux patriarche était là, détendu, devant ces milliers et milliers de gens.

            Il a dit: «Frère Best, je vais juste vous poser une question. Veuillez me répondre par oui ou non. Nous allons donc... Ça sera réglé.» Il a dit: «Les titres rédempteurs de Jéhovah s’appliquaient-ils à Jésus, oui ou non?» C’était réglé.

            Il a dit: «J’y répondrai une fois monté là.»

            Il a dit: «Je vous demande de me répondre maintenant. Et vous n’aurez pas à monter.» C’est exact. Eh bien, il n’y avait rien qui pouvait être dit. Il a dit: «Je regrette, Frère Best, que vous ne puissiez pas y répondre. Et j’ai dans le Nouveau Testament six cents questions ici qui établissent que Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement.»

52        Il a dit: «Celle-là est la plus facile que j’ai.» Et il a démontré qu’elle était sa plus facile. Mais s’il disait: «Non», alors Il n’était pas Jéhovah-Jiré, l’Eternel qui s’est pourvu d’un Sacrifice. Il n’était pas Jésus-Christ. Et s’Il était Jéhovah-Jiré, Il devait s’attribuer les autres titres rédempteurs ; donc, Il était Jéhovah-Rapha, le Guérisseur, le même hier, aujourd’hui et éternellement. C’était réglé. C’était donc tout.

            Et cette nuit-là, quand monsieur Best est monté et qu’il a giflé ce prédicateur qui se tenait là, il a donc dit: «Faites venir ce guérisseur divin. Laissez-moi le voir accomplir les oeuvres et je croirai cela. Laissez-moi voir cela.» Frère Bosworth lui a fait honte là-dessus.

53        Ainsi donc, il savait que j’étais là au balcon trente. Il a dit... Je vais... Personne ne savait cela. En effet, ma femme était assise là-haut, et un policier, je pense. Mon frère et les autres m’avaient amené là-haut. Et j’étais assis là-haut avec mon manteau relevé. Et ils... Alors, mon frère... Frère Bosworth a dit: «Maintenant, je sais que frère Branham est dans la réunion. S’il veut descendre congédier la foule, c’est en ordre. Sinon, eh bien, ça dépend de lui.» Et mon frère Howard a dit: «Reste calme.»

            J’ai dit: «Bon, je suis assis, calme, n’est-ce pas?» Ils étaient donc... Juste à ce moment-là, j’ai entendu quelque chose faire: Whoouush. Il était là. Exact. Je ne pouvais plus rester assis, calme. Je me suis levé. Et ma femme lui a parlé, disant: «Non.» Voyez?

54        Alors, les gens se sont mis à pleurer. Ils... Une longue ligne d’huissiers, plusieurs centaines avaient joint leurs mains. Je suis allé à l’estrade. J’ai dit, juste pour congédier l’assistance, j’ai dit: «Je–je... Monsieur Best, n’ayez pas de ressentiment envers lui. Il a le droit de croire ce qu’il croit en tant qu’Américain en Amérique. Il a un droit scripturaire de croire cela. Mais il a le droit, en tant qu’Américain, de croire cela comme... de ne pas croire cela, autant que j’en ai de le croire. C’est pourquoi nous combattons en Corée maintenant et ailleurs», ai-je dit. [Espace vide sur la bande–N.D.E.] «... Jamais à aucun moment je n’ai dit que j’étais un guérisseur divin.» J’ai dit: «Ce même vieux démon, qui avait rencontré Jésus-Christ la première fois, avait dit: ‘Si Tu es le Fils de Dieu, fais un miracle ici devant moi et laisse-moi Te voir faire cela.’»

55        Un homme m’avait défié à la radio il n’y a pas longtemps. Il disait qu’il donnerait mille dollars à quiconque prouverait un cas de guérison divine. Environ une heure plus tard, il y avait environ vingt cas devant ma porte, avec des médecins, des déclarations et tout. J’ai dit: «Allons prendre ces mille dollars-là.»

            Je suis allé chez lui. Il a dit: «Je vais vous amener à Abilene, au Texas, dans notre quartier général. Et nous prendrons une fillette là-bas, nous lui couperons le bras et vous guérirez cela. Et nous vous remettrons cela et vous laisserons... nous... tous nos frères vous donneront mille dollars.»

            J’ai dit: «Vous souffrez gravement de déficience mentale, n’importe quel homme qui penserait pareille chose.»

            Eh bien, le même vieux démon qui avait rencontré Jésus et qui avait dit: «Maintenant, si Tu es Fils de Dieu, accomplis un miracle ici devant moi et fais-moi voir cela, et je croirai en Toi. Change ces pierres en pain maintenant et mange. Bon, fais-moi voir cela.»

56        Il L’a amené sur le temple et a dit: «Eh bien, si Tu es Fils de Dieu, jette-toi en bas ; car il est écrit dans les Ecritures: ‘Il donnera des ordres à Ses anges à Ton sujet, de peur que Ton pied ne heurte contre une pierre, ils Te porteront.’» Il Lui citait les Ecritures.

            Le même vieux démon avait dit à Jésus sur la croix: «Maintenant, si Tu es le Fils de Dieu, détache Tes mains et descends, nous croirons en Toi.» On Lui a lié un lambeau autour du visage et on L’a frappé à la tête avec un roseau, et ils ont dit: «Tu sais qui le faisait. Tu es Prophète. Tu comprends toutes choses. Dis-nous qui T’a frappé.» Ce même vieux démon vit toujours, extrêmement pareil.

            Ils veulent un miracle qui est accompli comme cela. Ils ne sont pas assez intelligents pour regarder tout autour et voir ce que Dieu est en train de faire, ou je dirais ceci, avec une bonne attitude spirituelle pour voir ce que Dieu est en train de faire.

            Or, Jésus a dit: «Laissez-les tranquilles. Si un aveugle conduit un aveugle, ne tomberont-ils pas tous dans une fosse?» Ne perdez donc pas le temps avec eux. Et j’ai dit à frère Bosworth: «Vous ne devriez pas faire ça.» Et j’ai dit: «Je n’ai jamais prétendu être un guérisseur divin.» Mes livres étaient publiés dans dix-sept différentes langues à l’époque. Et j’ai dit: «Jamais à aucun moment je n’ai fait une déclaration comme quoi j’étais un guérisseur divin. J’ai toujours affirmé que c’est Dieu qui est le Guérisseur. Je ne fais que montrer Jésus-Christ aux gens.»

57        J’ai dit: «Maintenant, en ce qui concerne la vision, c’est la vérité. C’est un don divin.» J’ai dit: «Tout le monde sait que Dieu n’a jamais eu quoi que ce soit à faire avec une erreur. Dieu ne confirmera jamais un mensonge. Vous le savez.» Et j’ai dit: «Si c’est la vérité, Dieu témoignera de la vérité. Si ce n’est pas la vérité, Dieu ne confirmera jamais cela.»

            A peine ai-je dit cela qu’Il est venu là. On a pris Sa photo. Et puis, ils sont rentrés à la maison cette nuit-là, un Juif et un catholique, des Studios Douglas. Et ils ont développé les photos.

            Et on–on avait loué ses services pour qu’il vienne là. Il a pris son poing, l’a placé sous le nez de ce vieux saint et pieux frère Bosworth, et il a dit: «Prenez-moi une photo comme ceci.» Il a dit: «J’aimerais publier cela dans mon magazine, une photo où j’écorche ce vieil homme. Et nous prendrons sa peau et nous la collerons à la porte... de mon–mon bureau comme un mémorial de la guérison divine», un prédicateur baptiste. Or, tous les baptistes ne sont pas comme cela.

58        Ainsi donc, il a pris... son doigt comme ceci. Et il s’est fait prendre six photos comme cela. Et quand ils ont développé les photos et les ont fait sortir, Dieu n’a pas permis que cet appareil photo prenne une seule des photos. Toutes étaient des négatifs. Puis, quand on a fait sortir une autre, il y a eu l’Ange du Seigneur. On a envoyé chercher George J. Lacy, le responsable du département du FBI chargé des empreintes digitales et autres. Il a gardé cela là-bas pendant plusieurs jours et il a examiné cela. Il a tout examiné et il est revenu, il nous a appelés au bâtiment Shell là-bas et pour le... ce soir là, il a dit: «Qui s’appelle Révérend Branham?»

            J’ai dit: «C’est moi.»

            Et il a dit: «Levez-vous.» Il a dit: «Vous mourrez comme tous les mortels, mais, a-t-il dit, tant que la civilisation chrétienne subsistera, votre photo ne mourra jamais.» Il a dit: «C’est absolument...» Il a dit: «Les vieux hypocrites disaient toujours qu’il ne pouvait pas y avoir de preuve scientifique d’un Etre immortel, mais, a-t-il dit, ils ne peuvent plus le dire. Voici le... L’oeil mécanique de cet appareil photo-là ne prendra pas de la psychologie.» Il a dit: «C’est un véritable Etre surnaturel.» Et Cela était là.

            Et Cela est là ce soir. Qu’est-ce? Ce n’est pas à cause de moi, mais à cause de la vérité que je soutenais que C’était là. Maintenant, Cela a été vu dans des réunions partout à travers le monde.

59        Cela a été vu à la rivière, là-bas, alors que j’étais juste un garçon, baptisant mon premier groupe dans l’Eglise baptiste: Cinq cents, un après-midi, au bas de la rue Spring, à Jeffersonville. Les journaux ont publié un article là-dessus: «Une Lumière mystique apparaît au-dessus d’un prédicateur baptiste local pendant qu’il baptisait à la rivière.»

            Cela a été à plusieurs endroits. Vous voyez Cela dans l’autre livre, là où on a photographié Cela une nuit. Cela était descendu au-dessus de la tête. Or, ce n’est pas à cause de moi. Mais c’est parce que Jésus-Christ est ressuscité d’entre les morts. La même Colonne de Feu qui suivait les enfants d’Israël suit l’Eglise du Saint-Esprit ce soir.

            Moïse était juste un des prophètes parmi les enfants d’Israël. Il n’était pas les enfants d’Israël, il était juste un d’eux. Voyez? La Colonne de Feu ne suivait jamais Moïse seul, même s’Il a dit: «J’enverrai Mon Ange devant toi pour te protéger en chemin.» Ce n’était pas pour Moïse seul ; c’était pour tout Israël.

60        Il nous faut tous travailler ensemble comme un bloc uni. Il nous faut ôter nos divergences, nos... mettre de côté nos doctrines et tout, nous unir, aller de l’avant, prendre la promesse que le Dieu Tout-Puissant nous a faite. Puisse-t-Il vous bénir, voilà ma prière.

            Notre Père céleste, nous Te remercions ce soir. J’ai été décousu... j’ai cherché à–à prononcer quelques paroles ici à l’intention de ces gens, ça a pris beaucoup de leur temps. Ils sont une si aimable assistance.

            Maintenant, Dieu Tout-Puissant, Toi qui as ressuscité Jésus-Christ d’entre les morts, et Il est assis sur le Trône de Dieu ce soir, attendant que l’Eglise fasse l’oeuvre missionnaire dans le monde, afin qu’Il puisse revenir s’asseoir sur le Trône de David, Son propre Trône, dont Il est un héritier légitime. Accorde-le, Seigneur, que Sa Présence, le grand Logos, l’Ange de Dieu qui était dans le désert avec les enfants d’Israël, alors qu’Il re... les conduisait dans le naturel en ces jours-là et les nourrissait de la manne du ciel, de même Il conduit l’Eglise aujourd’hui, nous nourrissant de la manne spirituelle du Ciel: La puissance, les signes et les prodiges. Nous Te remercions pour Lui.

61        Et nous Te prions maintenant de L’envoyer à Ton serviteur inutile et que celle-ci soit la soirée dont nous nous souviendrons longtemps. Et quand nous quitterons la salle, retournant à nos foyers respectifs, puissions-nous dire comme ceux qui revenaient d’Emmaüs: «Notre coeur ne brûlait-il pas au-dedans de nous à cause de Sa Présence?» Car nous le demandons en Son Nom. Amen.

            J’ai essayé de sortir chaque soir à vingt et une heures trente, mais je... Oui... Ceci est nouveau pour moi. Et les réunions, ce n’est pas aussi puissant que ça, parce que je me mets à parler, puis je me mets à prêcher et je... C’est une onction différente. Mais nous allons... Pas d’organisateurs, nous avons donc souffert un petit moment. Que Dieu soit avec vous.

            Maintenant... Quelle carte as-tu distribuée, Billy? M-1 à 100? Il a distribué cet après-midi et ce soir une centaine de cartes, je pense, de la lettre M. D’accord.

62        Quiconque veut une carte, qu’il vienne soit l’après-midi, soit tôt le soir. Il arrive, prend les cartes et les distribue aux gens et–et juste donc... Quand il sort précipitamment, il est ici, mais il sort précipitamment sans cartes.

            Alors, frère Sharrit vient, il me prend, il m’amène ici à la réunion le soir. Et alors, nous commençons bien par là et nous appelons un certain nombre à l’estrade, tous ceux que nous pouvons faire monter ici, et alors–et alors je prie pour eux.

            Eh bien, l’essentiel, mes amis, si Jésus est ressuscité d’entre les morts...

            J’ai eu une merveilleuse vision ce matin. Cela m’est venu à l’esprit trois ou quatre fois pour la raconter. J’attendrai jusqu’un peu plus tard. Je me réveillais. Ma femme est assise ici présentement, quelque part là. Elle était sortie de la chambre et, en son absence, je regardais un carré de lumière. Une vision puissante s’est passée. Quand elle est revenue en chambre, je lui en ai parlé, et nous étions bien secoués par la–la puissance du Saint-Esprit.

63        Je re-... J’en ai parlé à quelques frères aujourd’hui, je ne sais même pas ce que cela voulait dire. Mais c’était certainement glorieux. Peut-être donc que j’aurai du temps plus tard, demain soir ou à un moment donné pour en parler.

            Qu’était-ce? M. Je pense que nous avons appelé les premiers hier soir. Avions-nous appelé de 1 à 15 hier soir? N’était-ce pas ça? (Etait-ce là ce que nous avions appelé? 1 à 15.) Prenons-en la dernière partie ce soir. Ça sera 85 à 100.

            Qui a M-85? Levez la... 85? Très bien. Venez ici, madame, et mettez-vous en ligne...?... 86. Qui a la carte de prière M-86? 86, levez la main. 86? Très bien, monsieur, ici même. Qui a la carte de prière M-87? Levez la main. La carte de prière 87? Très bien, ici même.

88, qui a... 88? 89, qui a 89? Levez la main. La carte de prière 89, M-89? Voudriez-vous regarder votre... les uns les cartes des autres? C’est peut-être quelqu’un de sourd, qui n’entend pas et il est... Ou... Vérifiez chez ces gens dans des fauteuils roulants ici aussi. 89? M-89? Voudriez-vous lever la main, quiconque ici a la carte de prière M-89? Il y a des Espagnols ou des Indiens. Regardez leurs... les uns les cartes des autres, ceux qui peuvent parler anglais ou qui peuvent traduire. Regardez et voyez. Peut-être qu’ils ne me comprennent pas.

64        Maintenant, quelqu’un qui peut traduire cela, parce que c’est probablement éc-... Ils ont... C’est écrit en anglais. M-89? M-89? Est-ce que cela est apparu? Très bien. M-89? Maintenant, rappelez-vous, souvent, quand je les appelle, ils disent: «Personne ne m’en a parlé. Ma–ma carte de prière a été appelée, mais personne ne m’en a parlé. J’étais sourd.» Ou: «Je ne pouvais pas me lever et je n’ai pas pu bouger. Et–et personne ne m’a aidé.» Donc, je ne... Rappelez-vous, j’ai appelé cela. 89, 90?

            Qui a la carte de prière M-90? 91, 92, levez les mains. 92, 93, levez les mains. 94, 95, 96, c’est ça. 97, 98, 99, 100. Maintenant, pendant qu’ils se mettent en ligne, je souhaiterais que l’organiste passe à l’orgue, si elle le veut bien, la musicienne.

65        Maintenant, combien ici présents n’ont pas de cartes de prière et veulent être guéris? Levez la main. Si vous remarquez bien, dans chaque réunion, il y a une personne qui est guérie à l’estrade contre dix personnes de guéries dans l’assistance. Voyez? Tout ce que je vous demande de faire, c’est prier et croire de tout votre coeur que les choses que je vous dis sont la vérité. Que Dieu a–a fait cela. Et je crois cela de tout mon coeur, que chacun de vous sera guéri. Que le Seigneur Dieu vous bénisse et l’accorde.

            Maintenant, je vais demander à tout le monde, s’il vous plaît, surtout les petits enfants, d’être tout aussi... Gardez vos sièges tout aussi calmement que vous le pouvez. En effet, ceci est un service du Seigneur. D’accord. Voudriez-vous nous donner un petit accord, s’il vous plaît?

66        Oh ! Comme les chrétiens... Je suis sûr que vous comprendrez. Je suis votre frère. Et dans ce genre de réunions, on travaille contre tout. On est ici debout à l’estrade et un monticule d’esprits... Quand vous entrez dans un–un canal d’Esprit pour une vision, tout le monde est en train de prier, certains doutent, les uns dans ce sens-ci, les autres dans ce sens-là. Vous ne vous rendez simplement pas compte...

            Un jour, Jésus a rencontré une foule comme cela. Il a simplement tenu un homme par la main et l’a fait sortir de la ville. Il a craché par terre, Il a fait de la boue, Il la lui a appliquée sur les yeux et Il lui a dit d’aller se laver. Et le jour suivant, il est venu en voyant. Voyez?

            Il est entré dans une maison où tous criaient à cause d’une petite fille qui venait de mourir, ils se sont moqués de Lui, pour avoir dit qu’elle n’était pas morte. Il les a tous mis dehors, Il est entré. Voyez? Il vous faut être en unité, en harmonie, d’un commun accord en tout. Alors, le Saint-Esprit n’aura qu’à recevoir une prière ici à l’estrade, tout arrivera. Rien que cela mettra fin à la chose.

67        J’ai confiance que vous croyez que j’ai dit la vérité. Dieu sait que je dis la vérité. J’ai vu des réunions où on a mis en piles de plusieurs hauteurs des fauteuils roulants, des civières et des brancards. Et je me tenais simplement à l’estrade.

            En Afrique, on a offert une seule prière, un après-midi, une seule prière, vingt-cinq mille personnes avaient été guéries à la suite d’une seule prière. Quand ils ont vu quelque chose se passer à l’estrade, c’était réglé. Ils ont dit: «Si Dieu est là à l’estrade, Dieu est ici.»

            Eh bien, on ne pouvait même pas transporter les béquilles, les civières, les brancards, et les appareils dont ils s’étaient débarrassés. Ils avaient de grands camions là pour dégager le terrain, en les ramassant là où ils les avaient abandonnés et tout comme cela, ils entassaient simplement cela: Vingt-cinq mille guérisons, une seule prière.

            Maintenant, pendant qu’on met les gens en ligne pour venir, j’aimerais que chacun de vous soit vraiment en prière. J’aimerais que vous croyiez de tout votre coeur maintenant. Croyez que Dieu va vous rétablir. Dieu le fera.

68        Oh ! la la ! J’aurais voulu que nous ayons tout le temps une telle foi. J’ai vu une dame être guérie tout à l’heure (C’est vrai.) là dans l’assistance. Que le Seigneur Jésus nous bénisse maintenant.

            J’aimerais que vous soyez tout aussi respectueux que je–je le dis. Tout aussi respectueux... Et croyez de tout votre coeur que Jésus-Christ, le Fils de Dieu, est ici pour guérir tous les nécessiteux. Juste ce qu’Il peut faire...

            Maintenant, au jour du Jugement, quand les secrets de tous les coeurs seront révélés, le Tout-Puissant qui est présent, cet Ange que vous voyez sur cette photo-là, se tient à pas plus de deux pieds [60 cm] de là où je suis maintenant même.

            Et maintenant, au Nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu, je prends chaque esprit ici présent sous mon contrôle pour la gloire de Dieu.

69        Maintenant, soyez respectueux. Je dois parler à cette femme juste un instant. Au-delà des étrangers ici dans nos murs... Si Jésus était ici, que dirait-Il à cette femme? Dirait-Il: «Je vais te guérir?» Il ne le pourrait pas, car Il l’a déjà fait.

            Mais Il a une fois parlé d’un sujet à une femme au puits. Il a saisi ce qui clochait chez elle et en a parlé. Et s’Il... Il ne pouvait faire que ce que le Père Lui montrait. Est-ce vrai? C’est ce que déclarent les Ecritures.

            Maintenant qu’Il est ici aujourd’hui, Il a dit... Il n’est pas mort. Il est vivant. Et Il est ici, mais Il est sous forme de l’Esprit. Et C’est Lui que vous voyez sur la photo là. Voyez? C’est Lui, le Seigneur, le Logos, l’Ange de l’alliance. Il est présent.

            Maintenant, je vais parler à notre soeur juste un instant. Je crois que vous m’êtes inconnue, n’est-ce pas, madame? Nous sommes de parfaits inconnus, nous ne nous connaissons pas l’un l’autre? D’accord. Je veux juste votre attention, ce n’est pas que je... dans un autre but. Mais juste comme notre Maître a appelé la femme au puits et a dit: «Apporte-moi à boire.»...

            Elle a dit: «Le puits est profond. Vous n’avez rien pour puiser.»

70        Il a dit: «Mais si tu connaissais Celui à qui tu parles, c’est toi qui m’aurais demandé à boire, et Je t’aurais donné de l’eau que tu ne viendrais pas puiser ici.» Vous connaissez l’histoire, je suppose. Je me demande pourquoi Il faisait cela? Eh bien, à mon sincère avis, après m’être familiarisé avec l’Esprit, Il contactait son esprit, son âme, pour découvrir ce qui clochait.

            Eh bien, s’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement, et je vous parle simplement, et si cette Colonne de Feu est ici, et que nous ne nous connaissons pas l’un l’autre, sans... Et je ne sais rien à votre sujet. Vous le savez. Eh bien alors, si le Saint-Esprit vient et me dit ce qu’est votre maladie ou quelque chose de ce genre...

71        Comme Philippe, quand Philippe est allé vers Lui, il a dit... il est allé chercher Nathanaël, il a dit: «Peut-il venir de Nazareth quelque chose de bon?»

            Il a dit: «Viens, et vois.»

            Et il a dit, quand Il a vu Philippe venir, Il a dit: «Voici un Israélite dans lequel il n’y a point de fraude.»

            Il a dit: «Quand m’as-Tu connu?»

            Il a dit: «Avant que Philippe t’appelât, quand tu étais sous l’arbre, Je t’ai vu.» C’était réglé, n’est-ce pas? Juste quand Il a dit cela, c’était assez.

            Ça serait suffisant pour vous ce soir, n’est-ce pas, pour vous faire croire. Eh bien, j’ai confiance qu’Il le fera. Et juste la même chose, un homme parlant à une femme, comme c’était au puits. C’est ainsi que ça commence de nouveau ce soir, un homme parlant à une femme.

72        Et la femme était une croyante. Elle a dit: «Notre père Jacob a creusé ce puits», et tout. «Son bétail s’est abreuvé ici.» Et vous êtes une croyante. Et je suis votre frère. Et maintenant, le Dieu Tout-Puissant aura à révéler, s’Il le veut, votre maladie.

            Ce n’est pas exactement une maladie. Vous avez en fait mal aux yeux. Vous en avez souffert depuis un temps. C’est l’astigmatisme, évidemment. Mais vous cherchez à représenter quelqu’un qui est dans un autre Etat. C’est dans un Etat où il y a un... C’est un grand Etat vaste, avec beaucoup de lacs. C’est Minnesota. Est-ce vrai?

            Et c’est... Il souffre d’une maladie très rare. Et je vois le médecin, un homme élancé et mince, qui l’assiste. Est-ce vrai? Et elle a quelque chose comme le sang qui ne passe pas par les artères, ou quelque chose comme cela. Je le vois avec quelque chose aux oreilles, touchant cela comme ça, secouant la tête. N’est-ce pas vrai?

73        Ces choses étaient-elles vraies? Maintenant, ce n’était pas moi qui parlais. C’était Quelqu’Un d’autre. Est-ce la vérité? Si donc Il sait ce qui cloche, Il sait ce que... S’Il sait ce qui a été, Il sait ce qui arrivera. Est-ce vrai? Je sais que c’était pour un ami ; était-ce vrai? Donnez-moi votre mouchoir et venez ici.

            Bien-aimé Père céleste, pour celui qui est étendu, un bien-aimé, je Te prie de guérir avec Ta puissance forte. Que le Saint-Esprit de Dieu s’avance maintenant. Et que la personne soit guérie, que cette femme soit guérie, pour la gloire de Dieu. Au Nom de Jésus-Christ, je le demande. Amen. Que Dieu vous bénisse, soeur. Que Dieu vous bénisse. Venez.

74        Combien croient de tout leur coeur? Eh bien, tout le monde ici présent devrait dire maintenant même: «Je crois que le Seigneur Jésus-Christ est présent. Il est ressuscité d’entre les morts. Il n’est pas mort ; Il est vivant.» Et Il est vivant ici ce soir en vous. Voyez? C’est uniquement une confirmation de Sa Présence. Il fait ceci juste pour stimuler votre foi.

            Il prêche la Parole. Puis, Il vient et manifeste la Parole. Il déclare... miracle. Quelle que soit la personne et qui que ce fût, j’ignore.

            Franchement, maintenant même, je–je ne pourrais pas vous dire ce que... avec la personne... clochait, ni qui était passé. C’est absolument l’Esprit de Dieu dans le domaine surnaturel.

            Maintenant, venez. Evidemment, tout le monde peut voir que cet homme porte un cornet acoustique à son oreille. Inclinons la tête un moment jusqu’à ce que nous ayons... Ne relevez pas la tête à moins que je vous le demande.

            Ô Bienveillant Seigneur, Toi qui as ramené Jésus de la tombe, comme David avait dit: «Le Seigneur a dit à mon Seigneur: ‘Assieds-toi à Ma droite jusqu’à ce que tous tes ennemis deviennent ton marchepied’»

75        Je Te prie, Père, d’être miséricordieux envers cet homme, ici debout avec ce gros cornet acoustique collé à son oreille. Satan a fait cette vilaine chose afin qu’il puisse le précipiter devant un véhicule quelque part et le tuer, l’envoyer prématurément à la tombe. Cet ennemi-là, ça en est un horrible. Mais Tu es le glorieux Fils de Dieu qui l’a dépouillé de toutes ses puissances au Calvaire.

            Et, Seigneur, je Te prie de nous accorder ce que Tu as promis en cette nuit même. Car Tu as dit: «Tout ce que vous demanderez en Mon Nom, Je le ferai.» Et je demande que ce mauvais esprit de surdité qui lie l’homme le quitte. Au Nom de Jésus-Christ, le Fils du Dieu vivant, qu’Il le quitte.

            Depuis combien de temps êtes-vous ainsi? [L’homme parle à frère Branham.–N.D.E.] Est-ce que vous–vous croyez que le Seigneur Jésus... D’accord, vous pouvez redresser la tête. Très bien. Vous pouvez entendre ce signal. Croyez-vous donc de tout votre coeur? Et vous savez qu’Il vous aime, n’est-ce pas? Oui, oui. M’entendez-vous?

76        Maintenant, évidemment, vous avez mal à l’oeil, cela vous dérange aussi ; est-ce vrai? Ce sont vos yeux. Et vous souffrez aussi de caillot au niveau de la jambe. Est-ce vrai? Cela vous a quitté. Oui, oui. C’était là depuis longtemps, mais cela vous quitte maintenant.

            Et autre chose, vous êtes sur le point d’effectuer un voyage, un voyage en avion. Oui, oui. Votre beau-père vient de mourir et votre beau-père habitait Idaho ; et c’est de là que vous venez. Il est mort récemment et vous irez le matin. Vous avez reçu le message aujourd’hui ; poursuivez donc votre chemin en vous réjouissant et soyez heureuse. Et le Seigneur... Oui, oui, et que le Seigneur Dieu vous bénisse et vous guérisse.

            Ayez simplement foi en Dieu. Croyez de tout votre coeur et vous aurez ce que vous demandez.

77        Croyez-vous que cette arthrite vous quittera? Vous souffrez également de l’hypertension, n’est-ce pas? Oui, l’hypertension et l’arth-... Et–et–et vous souffrez de l’asthme, une affection d’asthme. Est-ce vrai? Très bien. Levez la main et dites: «J’accepte cela.» Que Dieu vous bénisse. Que le Seigneur Jésus vous rétablisse. Amen !

            Ayez foi. Vous n’avez pas besoin de carte de prière maintenant. Ayez foi en Dieu.

            Vous souffrez d’une hernie, n’est-ce pas, monsieur? Voulez-vous en guérir? Croyez-vous que Dieu vous guérira de cette hernie-là? Croyez-vous? Que Dieu vous bénisse. Puissiez-vous recevoir cela.

            Que pensez-vous, madame, assise là? Croyez-vous de tout votre coeur? Croyez-vous? Aimeriez-vous être rétablie? Oui, oui. L’affection de vésicule biliaire et tout, n’est-ce pas vrai? Eh bien, vous êtes guérie. Que Dieu vous bénisse. Vous pouvez rentrer chez vous, bien portante.

78        Maintenant, ayez foi là dans l’assistance, ici. Voyez? Juste l’onction du Saint-Esprit est partout maintenant. Voyez? Si seulement vous avez foi et que vous croyez, c’est tout ce qu’il vous faut. Ayez foi en Dieu. Ne doutez pas. Croyez de tout votre coeur et Dieu fera s’accomplir cela.

            Très bien, faites venir le patient.

            Vous avez essayé fort, frère. Continuez simplement à croire.

            Venez, madame. Sommes-nous inconnus l’un à l’autre, soeur? Je ne vous ai jamais vue de ma vie? Maintenant, quant à vous guérir, je ne le peux pas, si vous êtes malade. Mais votre vie ne peut pas m’être cachée maintenant. Voyez-vous? En effet, ce n’est pas moi ; c’est la bonté de notre Père céleste, par un don divin. Voyez-vous? Je vois un signe indiquant: «Vingt et une heures.» Il y aura une intervention chirurgicale. C’est soit dimanche ou lundi, l’un ou l’autre, qu’elle aura lieu. C’est à cause d’une tumeur, est-ce vrai?

            Ô Dieu, Toi qui as fait miséricorde, accorde la miséricorde à notre soeur et que cela soit un succès. Qu’elle soit rétablie par le Nom de Jésus-Christ. Amen. Que Dieu vous bénisse. Allez en croyant, vous...?... Que Dieu soit avec vous.

79        Ayez foi en Dieu. Vous essayez d’avoir foi. La dame assise à côté de vous peut être guérie de cette hypertension, si elle le veut. Voulez-vous être guérie de votre hypertension? Croyez-vous qu’Il vous a guérie? Levez la main et dites: «J’accepte cela.» Que Dieu vous bénisse alors. Rentrez chez vous, et que cela baisse, au Nom de Jésus-Christ, et que vous soyez rétablie.

            Vous toutes trois, vous avez besoin de guérison. Croyez de tout votre coeur. Et vous pouvez aller la recevoir. Que Dieu vous bénisse.

80        Bonsoir. Je suppose que nous sommes inconnus. Le Dieu Tout-Puissant, qui a créé les cieux et la terre, en Présence de qui je me tiens maintenant, sait que votre vie ne peut pas être cachée selon Sa volonté. Il peut la révéler. Et maintenant...

            Oh ! la la ! J’aurais bien voulu avoir... J’aurais voulu pouvoir expliquer ce que je–ce que je veux dire maintenant. Ne doutez pas.

            Votre prière est exaucée, madame, vous assise là en manteau rouge, qui souffrez de cette hypertension, ce... Que Dieu vous bénisse. Que Dieu soit avec vous. Rentrez chez vous, et que le Seigneur Dieu vous bénisse.

            Vous souffrez de foie, n’est-ce pas, vous assis là même? Aimeriez-vous que Dieu vous guérisse? Croyez-vous qu’Il le fera? Très bien, acceptez cela.

            Il y a un accident. Je vois un véhicule passer par ici. C’est–c’est un accident. Quelqu’un est impliqué dans un accident. Non, cela... Il s’est fracturé la hanche. Levez-vous, acceptez votre guérison. Que Dieu vous bénisse. Soyez guéri.

81        Venez. Croyez-vous de tout votre coeur? Très bien. Vous êtes ici pour la petite fille. Et la petite fille a... Elle est anémique. Et elle a la leucémie. Les médecins l’ont abandonnée. Vous souffrez vous-même de l’asthme. Vous êtes une infirmière. Vous avez été dans le... malade à l’hôpital. Vous avez été guérie. Et vous avez rétrogradé. Que Dieu vous bénisse. Donnez votre coeur à Dieu, et l’enfant se rétablira, vous deux. Allez, et que Dieu soit avec vous.

            Ayez foi. Croyez de tout votre coeur. Venez. Combien croient? C’est un temps merveilleux... Vous aimeriez guérir de cette arthrite-là, madame? Allez, croyez en Dieu de tout votre coeur et recevez cela.

            Disons: «Gloire au Seigneur !»

82        Très bien. Venez, madame. ... Que Dieu vous bénisse, madame. Vous savez que votre trouble d’estomac a dégénéré en cancer ; croyez-vous donc maintenant de tout votre coeur qu’Il vous guérira? Au Nom de Jésus, allez et soyez guérie, au Nom de Jésus-Christ. Tout ce qu’il vous faut faire, c’est croire. Venez, madame. Croyez-vous? Vous aimeriez... Allez-vous m’obéir en tant que prophète de Dieu? Croyez-vous cela? Tapez de vos pieds, et l’arthrite vous quittera. Allez au Nom de Jésus-Christ. Soyez guérie.

            Venez. Me croyez-vous en tant que prophète de Dieu? Reprenez votre souffle très profondément. Vous ne toussez pas maintenant. L’asthme vous a quitté. Allez au Nom de Jésus, soyez guérie. D’accord. Vous avez été guérie pendant que vous étiez assise là, madame ; continuez simplement à marcher, remerciant Dieu, bénissant.

83        Disons: «Gloire au Seigneur !» [L’assemblée dit: «Gloire au Seigneur !»–N.D.E.] Croyez de tout votre coeur, vous verrez la gloire. Mettez-vous à crier des louanges à Dieu. Je crois que chaque personne ici présente peut être guérie en ce moment-ci. Toute la salle devient laiteuse. Je n’arrive même pas à voir où je regarde, à peine. Croyez-vous, madame? Croyez-vous ici, vous tous? Que chacun de vous qui croit que Jésus-Christ est ici dans la salle maintenant se lève et L’accepte comme son Guérisseur, et il sera guéri.

            Dieu Tout-Puissant, au Nom de Jésus-Christ, je chasse chaque mauvais esprit. Libère les malades et les affligés et rétablis-les. Au...

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