Voir Jésus

Date: 54-0718E | La durée est de: 1 heure et 30 minutes | La traduction: Shp
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1          Merci. Merci. Prions:

            Notre Père céleste, nous Te sommes reconnaissants ce soir, pour ce privilège que nous avons de nous tenir devant Toi, et de servir Tes enfants bien-aimés que voici au Nom de notre Rédempteur, le Seigneur Jésus-Christ, Ton Fils. Et nous prions ce soir qu’une bénédiction spéciale repose sur chaque personne ici présente. Et nous voudrions nous souvenir de ceux qui auraient aimé être ici ce soir, mais qui n’ont pas pu à cause des afflictions, qui sont dans des hôpitaux, et qui restent confinés. Nous Te prions de les bénir, Père. Que ceci soit aussi le temps de la délivrance. Nous Te prions de sanctifier cet endroit pour Ta gloire. Tire gloire de tout ce que nous ferons ou dirons, et nous Te confions toutes choses, car nous le demandons au Nom de Jésus. Amen. Vous pouvez vous asseoir.

2          [Frère Branham parle à quelqu’un.–N.D.E.]...?... et ils...?... tout le monde...?...

            Bonsoir, les amis. C’est un privilège d’être de retour dans cette belle et grande ville de Chicago ce soir, pour commencer une campagne de huit jours de réunions pour notre Seigneur. Et j’ai confiance en Lui et crois qu’Il va secouer chaque coeur d’une manière particulière, au point que nous aurons un véritable réveil à l’ancienne mode, comme nous appelons cela. Et que beaucoup soient sauvés durant cette série de réunions. Et que beaucoup soient remplis du Saint-Esprit. Et puis, que les malades et les affligés soient secourus de telle manière que cela puisse susciter la foi partout, et que beaucoup de pauvres mortels malades et souffrants soient guéris durant la tenue de cette série de réunions. Et nous sommes certainement heureux d’être de nouveau avec frère Joseph Boze, et avec son équipe d’ouvriers, et vous tous, nos amis, ici à Chicago et dans les environs. Et ma prière est que le Seigneur vous bénisse richement.

3          Ceci, c’est peut-être pour l’année prochaine ou les deux prochaines années, la clôture des–des réunions de ce genre. Je vais outre-mer très bientôt ; je suis très... Je marchais ici il y a quelques instants, en quelque sorte sur la pointe des pieds ; pour aller outre-mer, ils ne vous autoriseront pas à monter à bord de l’avion sans que vous ayez reçu le nombre de vaccins requis. J’ai essayé de les raisonner et de leur dire que je n’en avais pas besoin, mais ils ont refusé de m’écouter. Ils... Ainsi la Bible dit: «Rendez à César ce qui est à César, et à Dieu ce qui est à Dieu.» Et j’ai dû prendre tout un tas de piqûres, et mes bras sont tout gonflés, et je–je–j’aurais souhaité que nous ne soyons pas obligés de les prendre, mais nous devons tous faire cela.

            Je me rappelle la dernière fois que j’ai essayé de partir sans prendre cette piqûre contre la fièvre jaune, alors je suis allé directement à l’aéroport, et ils m’ont retenu pour la prendre de toute façon. Ensuite, ils m’ont dit que je ne pouvais pas aller en Afrique sans avoir totalisé dix jours après la piqûre, mais le Seigneur m’a fait trouver grâce auprès de l’association médicale, et le deuxième matin... Je suis arrivé un soir, et le lendemain matin ils m’ont invité à un petit déjeuner. Alors ils m’ont dit qu’ils pensaient qu’il n’y avait pas de problème, alors je les ai remerciés, et ils ont été très gentils. Je n’ai pas été obligé d’attendre dix jours avant de commencer les services, nous avons commencé le même soir où nous avons atterri. Et le Seigneur a vraiment fait des choses glorieuses.

4          Et j’ai confiance et suis certain qu’en Inde cette fois-ci se tiendront les plus grandes réunions que le Seigneur m’ait jamais accordé de tenir dans toute ma vie, pour cette fois-ci. Et j’ai la vision écrite ici ; je crois que la plupart l’ont écrite dans leur Bible. Et vous pourrez voir si la chose se produira comme telle ou pas, quand elle sera passée. Et s’il n’en est pas ainsi, alors vous pourrez dire que je n’ai pas parlé au Seigneur, ou plutôt qu’Il ne m’a pas parlé. Mais si la chose arrive telle quelle, alors souvenez-vous que–qu’Il m’avait parlé.

            Et je suis très heureux ce soir de savoir que–que Jésus n’a pas abandonné le peuple en ce glorieux jour dans lequel nous vivons, avec cette grande pression sous laquelle nous sommes tous aujourd’hui, cependant notre Seigneur ne nous a pas laissés. Il a dit: «Je ne vous laisserai pas orphelins. Je prierai le Père, et Il vous donnera un autre Consolateur, Lequel est le Saint-Esprit, et Il demeurera éternellement avec vous, l’Esprit de Vérité que le monde ne peut recevoir.»

5          Je suis très reconnaissant du fait que cet Esprit de vérité doit être avec nous jusqu’à la fin. Et cet Esprit de Vérité n’est rien d’autre que le Seigneur Jésus, Lui-même, sous forme spirituelle. Car Il a dit: «Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus. Mais vous, vous Me verrez, car Je serai avec vous, même en vous, jusqu’à la fin du monde.» Et c’est ce que cela signifie ce soir. Et où que nous soyons, nous avons les Paroles de consolation, à savoir que Jésus sera avec nous.

            Beaucoup d’entre vous qui êtes ici, qui fréquentez de petites églises, peu importe combien votre église est petite, Jésus a dit que même si deux ou trois, sont assemblés en Son Nom, Il sera avec eux. Quelles Paroles de consolation que de savoir que peu–peu importe combien notre assemblée est petite, cependant le Seigneur Jésus est avec nous, et nous en sommes heureux.

6          Et maintenant, moi, pour ce qui est d’être un orateur, je ne suis pas fameux comme orateur. C’est frère Joseph qui prêche ici, et je pense que frère Moore sera ici demain à un certain moment, frère Jack Moore. Le Révérend Jack Moore de Shreveport, en Louisiane, sera avec nous. Et demain après midi, le Seigneur voulant, j’aimerais faire un–un exposé ou un entretien ici à (c’est à quatorze heures, Frère Joseph?) quatorze heures trente, demain après-midi, sur la–la cause de la maladie et le remède pour cela. C’est la réunion pour les instructions.

            C’est alors que nous essayons de distribuer des cartes de prière à ceux qui viennent écouter ces services pour les instructions. Et la nuit, nous reportons quelques cartes, afin d’avoir un petit moment pour–pour prier pour les cartes de prière, pour ceux qui viennent comme des cas d’urgence. Pendant la durée de ces services, nous ne pouvons pas servir tout le monde à la fois. Nous distribuons des cartes de prière.

7          Bon, il y aura des visites, et chaque jour nous distribuons à nouveau une autre série de cartes de prière, ce qui donnera à chacun l’occasion de venir afin que l’on prie pour lui. Et nous faisons cela, et nous conduisons les services de cette manière-là.  Après que je serai rentré d’outre-mer, le Seigneur voulant, je vais essayer de trouver un moyen pour éviter de devoir distribuer des cartes de prière, pour garder les gens en ligne, si le Seigneur le veut. Et j’ai donc dit qu’il y aurait un changement dans mes réunions après que je serai rentré d’outre-mer. Et maintenant, je prie que Ses bénédictions reposent sur vous tous.

8          Et maintenant, j’aimerais ouvrir Sa Parole, juste un moment, et lire un passage dans cette Parole. Après tout, Sa Parole est éternelle. Mes paroles sont comme celles de tout autre homme ; elles faillissent, mais ça ce sont les Paroles de Dieu.

            Maintenant, au chapitre 12 de Saint Jean, et aux versets 20, 21 et 22, nous lisons ces paroles:

Quelques Grecs, du nombre de ceux qui étaient montés pour adorer pendant la fête,

S’adressèrent à Philippe, de Bethsaïda en Galilée, et lui dirent avec instance: Seigneur, nous voudrions voir Jésus.

Philippe alla le dire à André, puis André et Philippe le dirent à Jésus.

9          Puisse-t-Il ajouter Ses bénédictions à la lecture de la Parole. Ce soir, j’aimerais utiliser ceci comme sujet, étant donné que c’est la première soirée de ces réunions. Maintenant, demain soir, si Dieu le veut, j’aimerais prendre quelques enseignements contenus dans certains passages des Ecritures pour enseigner sur cela pendant un moment. J’aimerais vous donner, étant donné que c’est le début des réunions, une idée générale de ce que–de ce que seront les réunions, et comment nous essayerons de les conduire, au mieux de notre connaissance, pour la gloire de notre Seigneur Jésus. Et c’est le–mon thème principal, et cela a toujours été le thème de mes campagnes, se trouve dans Hébreux 13.8: «Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement.»

            Je crois de tout mon coeur, que Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Je crois que ce qu’Il était hier, c’est ce qu’Il est aujourd’hui et qu’Il sera éternellement. Et je crois que c’est ce qu’enseigne la Parole.

10        Et maintenant, le sujet de ce soir, c’est Voir Jésus. Je crois que chaque personne est venue ici ce soir, avec un bon désir. Et je crois que votre désir, c’est de savoir quelque chose sur le Seigneur Jésus. Vous ne seriez pas venu ici, si vous aviez un–un esprit du monde, vous seriez probablement par ici, là où les gens se livrent à une sorte de plaisir mondain, ils se baignent sur la plage, ou ils vont au musée, ou dans les parcs, ou quelque part, dans ce genre de choses. Mais vous êtes venus ce soir, tout simplement parce que vous désiriez savoir de quoi il s’agissait. Peut-être que vous êtes un chrétien renommé. Et tout chrétien désire ardemment connaître davantage le Seigneur Jésus. Ne le croyez-vous pas?

            Et je crois que s’il y a une seule chose que chaque personne qui est ici veut ardemment voir ce soir, veut savoir, c’est vraiment de voir le Seigneur Jésus apparaître en Personne ici sur l’estrade ou quelque part. Et notre grande expectative, c’est l’attente de Sa Venue. Il reviendra un jour, et nous Le verrons. En attendant, Il est avec nous sous forme de l’Esprit, et Il n’a des mains que selon que nous Lui consacrons nos mains. Il n’a des yeux que selon que nous Lui consacrons nos yeux. Il n’a de voix que selon que nous Lui consacrons notre voix. Et nous devenons un vase entièrement consacré ; alors le Saint-Esprit parle à travers nous.

11        Ce micro que voici, il–il est muet à moins qu’il y ait une voix ici qui parle dedans. Et il en est de même de nous, de l’Eglise: l’Eglise est parfaitement muette à moins qu’elle soit soumise à l’Esprit de Dieu, pour permettre à l’Esprit de parler à travers l’Eglise selon la volonté de Dieu. Et alors elle devient une voix pour le monde, aussi longtemps qu’elle–elle est une voie de sortie. L’Eglise est la voie de sortie de la voix du Seigneur Jésus-Christ pour les gens du monde.

12        Maintenant, s’il y avait une personne ici, quelqu’un, qui dirait... Combien ici aimeraient voir le Seigneur Jésus? Faites voir la main partout. Tout le monde, tout le monde aimerait Le voir.

            Eh bien, moi aussi j’ai levé la main. J’aimerais bien Le voir, et je crois ce soir... Maintenant, pourquoi ne Le voyons-nous pas? Ça, c’est le point suivant. Eh bien, Il a promis qu’Il ne se cacherait pas de nous, qu’Il se révélerait à nous, et viendrait à nous, et serait avec nous et en nous ; et qu’Il serait le même dans Son Eglise, le même qu’Il était lorsqu’Il était dans Sa chair ; et qu’Il continuerait de cette manière jusqu’à ce qu’Il reviendra dans la chair. Est-ce là Sa promesse? Nous savons tous que c’est la vérité. C’est ce que dit la Bible.

            Notre Seigneur Jésus, avant de partir, a dit: «Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus.» Eh bien, ça c’est le monde. Le monde, là, signifie le–pas le monde–c’est l’ordre du monde, pas le–le monde, la terre, c’est l’ordre du monde, les gens. «Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus, mais vous...» Or, Il s’adressait à un «vous,» pas uniquement à ces individus-là ; parce que, suivez, voyez-vous: «Mais vous, vous Me verrez. Vous verrez.» Car Il a promis qu’Il serait avec nous, même en nous, jusqu’à la fin du monde. Est-ce juste?

13        Maintenant, il y aura quelqu’un qui sera sur le signe–du côté de «vous». «Vous Me verrez, car Je serai avec vous.» Il y aura un camp du monde qui ne désirera pas Le voir. Ils–bien, à moins que par curiosité ils cherchent à Le voir. Mais autrement, juste de payer le prix, et de devenir un chrétien, eh bien, c’est une autre affaire.

            Or, les «vous» qui sont ici ce soir pourraient avoir le privilège de voir le Seigneur Jésus-Christ, les gens qui sont les «vous». Et je prie que chacun de vous soit le «vous» ce soir.

14        Or, ces Grecs qui sont venus auprès de Jésus, c’était un groupe des gens qui avaient un désir, et peut-être qu’il y a ici beaucoup de Grecs à Chicago. Il y a probablement beaucoup–beaucoup de Grecs ici présents maintenant. Eh bien, ceux-là, c’étaient vos pères qui étaient venus, et la Bible dit: «Les Grecs cherchent la sagesse, et les Juifs cherchent les miracles.»

            Bien, les Grecs continuent donc de chercher la sagesse, et les Juifs des miracles. Mais Paul a dit: «Nous, nous prêchons Christ crucifié, folie pour les païens, scandale pour les Juifs, mais pour ceux qui croient, c’est la Vie Eternelle.»

15        Maintenant, nous allons essayer d’apporter ceci sous forme–du mieux que nous pouvons. Et alors, j’aimerais que vous prêtiez attention, pendant que nous essayons d’apporter ceci.

            Or, les Grecs, en ce temps-là, ne voulaient pas voir la sagesse de Jésus, ils voulaient seulement voir Jésus. Ils ont dit: «Monsieur, nous voudrions voir Jésus.» Pas connaître Sa sagesse, bien qu’ils savaient qu’Il possédait la sagesse, mais ils voulaient voir Jésus. Eh bien, c’était la chose principale: leur désir était de voir le Seigneur Jésus. Et alors, ils ont dit à Philippe. Philippe est allé en parler à André, et ils sont allés en parler à Jésus, Lui dire que ces Juifs désiraient Le voir.

            Eh bien, c’est le désir des coeurs qui sont ici ce soir, c’est comme je vous ai demandé combien aimeraient voir Jésus. Tout le monde a levé la main, aussi loin que je pouvais voir, pour montrer qu’ils aimeraient voir Jésus. Eh bien, ça c’est seulement le côté humain. Tout le monde, dans tous les âges, désire voir Dieu.

16        Job, le plus ancien livre de la Bible, a dit: «Si je...» En d’autres mots, si nous disons cela dans–dans des termes qui permettraient aux enfants de comprendre: «Si seulement je savais là où Il habite et pouvais m’avancer et frapper à Sa porte, ou quelque chose de ce genre-là, et m’entretenir avec Lui !»

            Et Dieu a dit à Job: «Maintenant, ceins-toi. Ceins tes reins, car Je vais te parler.» Et Dieu descendit sous la forme d’un tourbillon, et dit: «Où étais-tu, Job, quand je fondais le monde?» et ainsi de suite. Il a directement parlé à Job, parce qu’Il–Il croyait en Job, et Job croyait en Dieu. Et Dieu a dit que Son serviteur était un homme parfait. Il n’y avait rien de mal en Job, parce qu’il croyait en son Dieu.

17        Et il en est de même ce soir: ceux qui désirent voir Dieu doivent venir avec un coeur sincère, ayant mis de côté tous les sentiments étranges, ayant mis de côté toute malice envers leur voisin, toute malice envers les autres églises, et les autres personnes, et les autres formes d’adoration. Vous devez venir avec ce coeur sincère. «Puis-je Te voir, Seigneur Jésus? Maintenant, je suis...?... ôte toutes mes superstitions, et ce soir je vais chercher à voir le Seigneur Jésus.» Maintenant, j’espère que c’est là votre désir à tous.

            Et je crois que, si vous venez avec ce genre de désir, Dieu est dans l’obligation de se révéler à vous. Ne le croyez-vous pas? Dieu est dans l’obligation de se révéler à vous ici ce soir.

18        Eh bien, les gens ne trouveraient pas du tout étrange que nous parlions du Seigneur Jésus, étant donné qu’Il a fait la promesse de se révéler à nous. Ne pourrions-nous pas Le voir?

            Il n’y a pas longtemps quelqu’un a demandé, c’était un petit garçon qui était dans une école, il a demandé à sa maîtresse ; il a dit: «Quelqu’un peut-il voir Dieu?» Et le petit...

            La maîtresse a dit: «Eh bien, personne ne peut voir Dieu.» Elle a dit: «La Bible dit que personne ne peut voir Dieu et vivre.»

            Et ensuite un autre... Il est allé voir sa monitrice de l’école du dimanche ; et sa monitrice de l’école du dimanche a dit: «Eh bien, certainement pas, fiston, personne ne peut voir Dieu et vivre.» Tout le monde le décourageait en lui disant que personne ne pouvait voir Dieu.

            Un jour, pendant qu’il était sur la rivière, il était en compagnie d’un vieux pêcheur. Et ce vieux pêcheur faisait avancer sa barque à la rame et pleurait en contemplant un arc-en-ciel.

            Il a dit: «Monsieur, quelqu’un peut-il voir Dieu?»

            Le vieux pêcheur devait être tellement rempli de Dieu qu’il a dit: «Fiston, tout ce que j’ai vu durant ces trente-cinq années, c’est Dieu.»

19        Eh bien, quand nous devenons tellement remplis de Dieu, et tellement immunisés contre les choses du monde, nous pouvons voir Dieu dans chaque acte et dans chaque mouvement de la vie. Ne le croyez-vous pas? Si nous mettons de côté toutes les choses du monde... Parfois en venant à l’église, par exemple, dans une réunion comme celle-ci, nous disons: «Eh bien, je vais là-bas. Je ne crois pas dans de pareilles affaires. Je n’y crois pas, et je vais là-bas, parce que je veux me convaincre que ça ne vaut rien.» Eh bien, vous retournerez simplement dans le même état où vous étiez venu, dans le même état. Vous direz: «Eh bien...» Parce que Satan vous montrera bien des choses qui–et il vous dira que ça ne vaut rien. Mais alors, si vous y allez avec le désir de voir Dieu ou de connaître Dieu, Dieu se révélera à vous, parce qu’Il est obligé de le faire. C’est l’exacte vérité, et Il le fera.

20        Maintenant, si vous–si vous venez avec ce désir-là ce soir, voyons qui est Jésus de Nazareth. Et si nous trouvons ce qu’Il était dans les jours d’autrefois, eh bien, nous–nous saurons ce qu’Il est aujourd’hui. Est-ce juste? Si nous–si nous savons ce qu’Il était en ce temps-là, nous saurons ce qu’Il sera aujourd’hui.

            Maintenant, si nous pouvions nous imaginer que nous Le voyons en ce temps-là, et que quelqu’un nous Le décrive, et dise qu’Il était un homme de grande taille, ou un homme mince, ou un homme corpulent, ou quoi que ce soit, nous attendrions un homme de ce genre-là.

            La Bible ne dit pas quelle était Sa stature. Il est dit: «Son aspect n’avait rien pour nous plaire.» Je pense qu’Il n’était pas un homme de forte corpulence, beau et de grande taille, parce que les Ecritures disent: «Son aspect n’avait rien pour nous plaire.»

21        Bien, si donc les Ecritures disent cela, nous ne devrions pas attendre ce genre d’homme-là. Mais les Ecritures ne donnent pas avec précision Sa stature. Mais les Ecritures Le révèlent, ce qu’Il est dans Sa puissance et dans Sa–Sa manifestation, ce qu’Il est.

            Donc, si nous pouvons lire dans les Ecritures et voir ce qu’Il était autrefois, alors, nous saurons ce qu’Il est aujourd’hui. Est-ce juste? Tout ce qu’Il était autrefois, Il l’est encore ce soir, car les Ecritures disent: «Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement.» Est-ce juste?

22        Maintenant, si nous pouvons trouver ce genre de personne, alors nous avons trouvé le Seigneur Jésus-Christ oeuvrant dans cette personne-là. Or, Jésus ne s’est pas présenté devant les gens avec de grandes fanfaronnades et faisant du tapage, et disant: «Apportez-Moi ceci, et apportez-Moi cela, et Je vous montrerai ce que Je peux en faire.»

            Jésus n’était pas ce genre de personne. Il a donné toute la louange au Dieu Tout-Puissant. Il a dit: «Le Fils ne peut rien faire de Lui-même, Il ne fait que ce qu’Il voit faire au Père.» Il n’a jamais fait du tapage sur ce qu’Il pouvait faire. Et franchement, Il est allé jusqu’à dire ceci, à savoir qu’Il ne faisait rien, avant que Dieu Lui montre quoi faire.

23        Maintenant, Il était–Il était humble, un Homme de chagrin, habitué à la souffrance. Et nous L’avons observé dans Son oeuvre. Or, nous L’avons vu lorsque Son ministère a commencé. Il a eu un grand succès en priant pour les malades. Beaucoup d’oeuvres ont commencé à accompagner Son ministère. Nous voyons à ce propos qu’Il accomplissait de temps à autre une chose remarquable qui émerveillait toute la multitude. Et plusieurs fois les gens sont venus vers Lui, mais Il–Il ne s’est pas occupé d’eux. Plusieurs fois les gens sont venus vers Lui, cherchant à satisfaire leur curiosité, et Il leur parlait de leur curiosité, en d’autres termes, Il les confondait et les laissait partir.

            Les Juifs sont venus, et ont dit: «Maintenant, accomplis pour nous un signe.»

            Et Hérode a dit: «Amenez-Le ici, que je Le voie accomplir un signe.»

            Satan L’a affronté. Et tout d’abord, Satan a affronté–lorsqu’il a affronté Jésus (dans Saint Matthieu, chapitre 4), il a dit: «Si Tu es le Fils de Dieu...» «Si Tu es...», le doute sur la Parole de Dieu. «Si Tu es le Fils de Dieu, que je Te voie accomplir un miracle visible ici devant moi. J’ai appris que Tu as fait ces choses par ici, et par ici.»

            C’est le même genre d’esprit qui était dans les gens de Sa patrie, la Galilée. Et beaucoup ont dit: «Nous avons appris que Tu as accompli ces choses à Capernaüm, et nous avons appris que Tu as accompli cela par ici. Maintenant, que nous Te voyions faire cela ici.»

            Et Jésus était étonné, Il n’a pas pu accomplir des miracles à cause de leur incrédulité. Est-ce juste? Il était étonné à cause de cela. Et ensuite Il a dit: «Un prophète n’est méprisé que dans sa patrie.»

24        Et nous voyons alors Satan qui Lui dit: «Maintenant, si Tu es le Fils de Dieu, fais pour moi un miracle maintenant. Je vais te donner quelque chose à faire, et si Tu le fais, je croirai que Tu es le Fils de Dieu.» En d’autres termes: «Eh bien, voici que–voici que Tu–Tu as faim maintenant, Tu peux changer ces pierres en pain, il n’y a rien de mal dans cela. Change-les en pain, et mange, assieds-Toi là et mange. Et change ces pierres en pain, et je Te croirai.»

            Eh bien, je crois que Jésus aurait pu le faire. Mais Il a dit: «Il est écrit, l’homme ne vivra pas de pain seulement.» Satan s’est vraiment rendu compte qu’il n’avait pas affaire à Moïse cette fois-là.

            Il a dit: «Il est écrit, l’homme ne vivra pas de pain seulement, mais de toute Parole qui sort de la bouche de Dieu.»

            Alors Satan a dit: «Eh bien, c’est un érudit de la Bible ; Il sait où Il se tient, alors je ferais mieux de Lui donner un passage des Ecritures.» Alors il L’a transporté au sommet du temple, il a dit: «Maintenant, écoute, je vais Te citer correctement une Ecriture. Il est écrit: ‘Il donnera des ordres à Ses Anges à Ton sujet, ils Te porteront sur les mains de peur que Ton pied ne heurte contre une pierre.’» Il a dit: «Eh bien, c’est l’Ecriture.»

            Il a dit: «Maintenant, saute d’ici, et avant que Tu atteignes le sol, juste avant que Tu atteignes le sol, remonte directement comme cela, et je croirai que Tu es le Fils de Dieu.»

            Très bien. Jésus a dit: «Oui, c’est certainement écrit, mais il est aussi écrit: ‘Tu ne tenteras point le Seigneur, ton Dieu.’» Vous voyez?

            Alors il s’est rendu compte qu’il avait rencontré quelqu’un qui avait un peu plus d’érudition que lui. Et alors, finalement, il L’a emmené au sommet du temple, et sur une montagne, et a essayé de Le tenter de toutes les manières à travers la Parole. Mais Jésus n’a pas fait le pitre pour Satan, et Il ne le fait pas maintenant.

25        Jésus ne guérit pas pour satisfaire la curiosité des incrédules. Jésus guérit seulement pour glorifier Son Père. C’est tout. Et nous voyons qu’Il est ce genre de personne-là aujourd’hui. Quand vous amenez quelqu’un pour Le voir, il dit: «Que je Le voie faire marcher cet infirme, et je croirai que Tu es le Fils de Dieu.»

            Il dira: «Arrière de Moi, Satan !» C’est ce qu’Il dira. «Arrière de Moi, Satan !»

            Et alors, lorsque vous entendez une personne, qui a ce genre de curiosité, dire: «Que je Le voie guérir cette personne, et je croirai cela.» Comprenez simplement le genre d’esprit qu’il a. Voyez? C’est le même esprit qui était là autrefois. C’est le même esprit qui était sur ces Juifs, qui disaient: «Maintenant, si Tu es le Fils de Dieu, cloué ici sur cette croix, dégage Tes mains.» En d’autres termes: «Descends, nous croirons que Tu es le Fils de Dieu.» Voyez-vous ce même esprit en action? Voyez-vous cela oeuvrer à travers cette théologie moderne–moderniste aujourd’hui? Le voyez-vous oeuvrer à travers ce qu’on appelle aujourd’hui le christianisme? «Si Tu fais ceci... Que je Le voie ouvrir les yeux de cet aveugle.»

26        Maintenant, si vous remarquez bien, Jésus n’était pas ce genre de personne qui satisfait la curiosité des gens qui venaient L’entendre. Jésus a clairement déclaré un jour, lorsqu’Il est passé à travers la piscine de Béthesda, ou plutôt à côté de la piscine de Béthesda... Je cite Saint Jean, chapitre 5. Il est passé à côté de la piscine de Béthesda où il y avait une grande multitude de gens... Eh bien, je pourrais me tromper dans ma compréhension, mais les érudits m’ont appris qu’il faut deux mille personnes pour faire une multitude, et cela serait... C’étaient des multitudes.

27        Alors pouvez-vous vous imaginer qu’il y avait deux ou trois fois plus de gens qu’il y en a ici ce soir, qui étaient couchés là, des infirmes, des aveugles, des boiteux, des paralytiques, attendant le mouvement de l’eau. Et Jésus, le Fils de Dieu, Dieu Emmanuel, la manifestation de Jéhovah dans la chair humaine, marchant ici sur terre, Dieu en Christ réconciliant le monde avec Lui-même, traversant carrément ce groupe de malades, et ces derniers criaient, et suppliaient...

            Et–et bien des fois les écrivains nous ont rapporté que les gens se donnaient des coups de couteau les uns aux autres pour essayer d’entrer le premier dans la piscine. Et un tel désir douloureux et ardent d’entrer dans cette piscine pour être guéri, car il n’y avait qu’une seule personne qui était guérie à la fois. Peut-être qu’ils devaient attendre un autre mois pour qu’une autre personne soit guérie.

28        Mais pour essayer d’entrer dans cette piscine, avec ce grand tas de souffrances qu’il y avait là, et Jésus traversant carrément cette foule de gens, des infirmes, des boiteux, des aveugles et des paralytiques... C’est notre aimable Seigneur, plein de compassion, qui marchait en plein au milieu de ces aveugles, ces malades, ces gens qui criaient, ces infirmes, ces boiteux, ces estropiés. Tous ces gens aux membres tordus, ces affligés, ces aveugles, souffrants, ce groupe d’hommes couchés là, à moitié morts de faim, à moitié nus, attendant le... Et Lui qui était plein de miséricorde et de compassion, Il est carrément passé à côté d’eux tous et Il s’est dirigé vers un homme qui était couché sur un grabat, qui avait une sorte d’infirmité ; ça faisait trente-huit ans qu’il avait cela, peut-être que c’était le diabète sucré, ou la tuberculose, c’était chronique.

            Il s’est dirigé vers cet homme et a dit... Maintenant suivez, c’est ici que vous devez faire bien attention aux Ecritures. Jésus savait que cet homme se trouvait là, et Il savait qu’il était dans cet état-là depuis trente-huit ans, et Il l’a guéri, et Il est allé s’occuper de Ses affaires, laissant tous ces milliers couchés là, des infirmes, des aveugles, des paralytiques.

29        Maintenant, disons que c’est Chicago ce soir, et disons qu’il y a le long ici tout un tas, peut-être vingt, ou trente, ou quarante fauteuils roulant. Et un critiqueur entre dans la réunion et dit: «Ecoutez, montrez-moi ces gens qui croient que Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Et ils prétendent que ce membre du Congrès, Upshaw, et toutes ces personnes qui ont été guéries... Et nous avons entendu tous ces témoignages des infirmes, des boiteux, des gens dont les jambes courtes ont été allongées, des morts qui sont ressuscités, avec les attestations des médecins sur cela, et ainsi de suite, comme cela... Que je les voie marcher et être guéris.»

            Eh bien, c’est le même esprit qui était sur ces gens en ce temps-là. Ils cherchaient à comprendre la même chose. «Comment cet Homme peut-il passer par là, étant plein d’amour, plein de compassion, et laisser tous ces gens couchés là?»

            Eh bien, Jésus leur a répondu dans Saint Jean, chapitre 5, verset 19. Ecoutez, Il a dit:

«En vérité, en vérité, Je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-même, Il ne fait que ce qu’Il voit faire au Père ; le Fils le fait pareillement.»

            Est-ce juste? Si c’était Jésus hier, c’est Jésus aujourd’hui. Ne faites rien à moins que Dieu vous montre d’abord quoi faire. Eh bien, Jésus a clairement déclaré qu’Il ne faisait rien à moins que le Père le Lui ait montré.

30        Eh bien, il y avait une fois un aveugle assis aux portes de Jéricho, il appelait et implorait miséricorde. Dans la foule de gens, certains Le maudissaient, d’autres se moquaient de Lui, d’autres Le huaient, et d’autres L’acclamaient, pendant qu’Il passait par cette porte. Et ce pauvre mendiant aveugle, alors que les gens essayaient de le faire taire là-bas, ils disaient: «Il ne peut pas t’entendre.» Il passait loin de cet endroit, là sur la route, c’était une–à une bonne distance sur la route, et Jésus se dirigeait vers le Calvaire, son attention fixée sur le Calvaire, Sa crucifixion se trouvait juste devant Lui. Et Le voici qui remonte cette route. Et ce pauvre mendiant aveugle qui était contre le mur, repoussé par les gens, criait cependant: «Jésus, aie pitié de moi. Aie pitié de moi !» Il implorait miséricorde. Eh bien, ce n’est pas la voix du mendiant qui a arrêté Jésus sur Son chemin ; c’est la foi du mendiant qui a arrêté Jésus sur Son chemin. Il s’arrêta, parcourut Son assistance du regard, et dit: «Que puis-Je faire pour... Que veux-tu que Je fasse pour toi?»

            Il a jeté de côté son manteau, et il a dit: «Seigneur, que je recouvre la vue.»

            Il a dit: «Ta foi t’a sauvé.» Non pas, «Je t’ai guéri. Ta foi.» En d’autres termes, il avait suffisamment de foi en Dieu pour tirer de Jésus-Christ, ou plutôt pour L’arrêter, dans Sa marche vers le Calvaire avec sur Lui les fardeaux de toute l’humanité ; chaque mort qui se soit jamais produite dans ce monde ou qui se produira, dépendait de Sa décision au Calvaire. Et ces choses se pressaient dans Son Esprit, et les prêtres qui criaient après Lui, et qui Le querellaient, étaient en tête d’une multitude de gens, et ceux-ci se moquaient de Lui, Le tournaient en dérision et tout, mais Lui continuait carrément Son chemin, sur la même route qu’Elie et Elisée avaient parcourue ensemble bras dessus bras dessous, la même route sur laquelle Josué avait conduit les enfants d’Israël bien des années auparavant, sur ces vieilles pierres datant de l’époque où ils avaient marché autour de Jéricho, avaient crié, faisant effondrer les murailles. Sur cette même route, Jésus-Christ, le Fils de Dieu, se rendait directement au Calvaire pour être crucifié, et la foi d’un mendiant aveugle L’arrêta sur Son chemin. Il se retourna, regarda autour de Lui, et dit: «Que veux-Tu que Je fasse pour toi?»

            «Que je recouvre la vue.»

            Il a dit: «Ta foi suffit.»

            Et je peux voir le mendiant aveugle se tenir debout, dire: «Oh ! Il m’a parlé. Il m’a parlé. Il ne me connaît pas, et ma foi L’a arrêté là sur la route.» Je peux voir la multitude de gens faire des histoires, se moquer, pendant qu’Il descendait la route. Il...?... dire: «Je sais que je vais recouvrer la vue.» Après un moment, il commence à voir. Ses yeux s’ouvrent. Le voilà qui Le suit sur la route, chantant Ses louanges à tue-tête. C’était Jésus hier. C’est Jésus aujourd’hui.

31        Une fois, une femme...?... et s’est dit dans son coeur: «Je ne peux pas Lui parler ; je ne suis pas digne. Mais si je peux seulement toucher Son vêtement, je crois que je serai guérie.» Et elle s’est faufilée dans la foule, et elle a touché le bord de Son vêtement, elle est retournée dans la foule, et elle s’est tenue là, sa foi a touché Jésus.

            Il s’est arrêté, Il a parcouru Son assistance du regard. Elle L’a vu ; elle ne pouvait pas se cacher. Il a dit: «Ma fille, prends courage, ta foi t’a sauvée.» C’était Jésus hier, lorsque Sa multitude... au milieu des multitudes qui pouvaient tirer les bénédictions de Dieu, le témoignage de Dieu, le désir de Dieu, du coeur du Fils de Dieu. Jésus a dit: «Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais.» Est-ce juste?

32        Maintenant, nous voyons un homme venir une fois, un peu curieux, et il s’appelait Philippe, ou plutôt c’était Nathanaël. Philippe est allé le trouver sous un arbre en train de prier. Et il s’est avancé, il s’est tenu dans l’assistance. Jésus l’a vu venir, Il l’a regardé comme il s’avançait ; Il a dit: «Voici un Israélite, dans lequel il n’y a point de fraude.»

            Les pharisiens, qui se tenaient là d’un côté, ont dit: «C’est donc un Béelzébul. C’est un diseur de bonne aventure.» Voyez? «C’est le prince des démons. Voyez, c’est un diseur de bonne aventure.»

            Il a dit: «Voici un Israélite, dans lequel il n’y a point de fraude.»

            Et cet Israélite, un homme honnête, s’est retourné et a dit: «Comment m’as-Tu connu, Rabbi?»

            Il a dit: «Avant que Philippe t’appelât, quand tu étais sous l’arbre, Je t’ai vu.»

            Cet homme, Nathanaël, n’a pas eu comme–comme attitude de Le traiter de Béelzébul. Il est tombé à Ses pieds et a dit: «Tu es le Fils de Dieu, Tu es le Roi d’Israël.»

33        Il y avait un jour une femme au puits, pendant que Jésus avait envoyé Ses disciples acheter des vivres. Et pendant qu’ils étaient partis acheter des vivres, c’était assez étrange, mais Jésus se rendait à Jéricho, et Il avait fait un détour. Il est passé par la Samarie, car il fallait qu’Il passât par la Samarie. Je me demande pourquoi.

            Je me demande pourquoi Il est monté en Samarie? Il a envoyé Ses disciples, et Il était assis là, lorsqu’une femme est apparue ; Jésus a dit: «Je ne fais rien à moins que le Père Me le montre.» Je crois que Dieu Lui avait montré d’aller là-bas. Ne le croyez-vous pas?

            Et Il s’est assis là. La femme s’est approchée. Or, Jésus savait, côté position, là où le Père voulait qu’Il soit. Mais qu’en était-il alors de cette femme? Maintenant, nous allons voir le Jésus d’hier.

            Elle s’approche pour puiser de l’eau, et l’Esprit a témoigné à Jésus que c’était la femme en question. Alors Il a dit: «Apporte-Moi à boire»

            Et elle a dit: «Eh bien, il n’est pas de coutume que vous les Juifs ayez quelque chose à faire avec nous, les Samaritains.»

            Il a dit: «Mais si tu savais à qui tu parles, c’est toi qui M’aurais demandé à boire.»

            Et elle a dit: «Le puits est profond.» Et la conversation s’est poursuivie jusqu’à ce que Jésus a saisi son esprit.

            Et Il a dit: «Va chercher ton mari.»

            Elle a dit: «Je n’ai pas de mari.»

            Il a dit: «C’est juste. Tu en as eu cinq, et celui que tu as maintenant n’est pas ton mari.»

            «Oh ! a-t-elle dit, je vois que Tu es Prophète.» Elle entre dans la ville et dit aux hommes: «Venez voir un Homme, qui m’a dit tout ce que j’ai fait. Ne serait-ce point le Christ?» C’était le Jésus d’hier. C’est le Jésus d’aujourd’hui. C’est le même Jésus. Jésus a dit: «Vous ferez aussi les choses que Je fais.»

34        Voici venir un homme une fois, un pêcheur à l’aspect rude, qui avait probablement beaucoup de cran. On pouvait le savoir par ses écrits, ou plutôt il ne savait même pas écrire son propre nom. C’était un illettré. Il s’appelait Simon Pierre. Il est venu à la réunion, plus tard Jésus a été–a emprunté sa barque et tout, il est venu, et Jésus a dit: «Tu–tu t’appelles Simon, mais dès à présent tu seras appelé ‘Pierre’, ce qui signifie ‘petit caillou’.» Comment a-t-Il su son nom? C’était le Jésus d’hier. Et c’est le Jésus d’aujourd’hui.

35        Quelle différence entre le Jésus qui était dans l’église de ce jour-là, et ce qu’Il est dans l’église d’aujourd’hui ! Il leur a enseigné avec–comme Quelqu’Un qui avait l’autorité, qui savait de quoi Il parlait. Et aujourd’hui, c’est comme si nous disons: «Eh bien, je ne sais pas s’il en est ainsi ou pas. J’ai lu ici qu’ils guérissaient les malades, mais je ne sais pas si c’est vrai ou pas.»

            Pas Jésus, Il savait où Il se tenait. Il savait de quelle autorité Il était investi. Il savait que Dieu allait tenir Sa Parole. Il leur a dit: «Détruisez ce tabernacle, ou ce... Détruisez ce temple, et Je le relèverai en trois jours.» Il parlait de Son corps, sachant qu’une Ecriture, une Ecriture se rapportait à cela, et c’est ce que David, un prophète, avait dit.

            David avait dit: «Je devrai–vois constamment l’Eternel devant moi ; je ne chancelle pas. Aussi mon corps repose en sécurité, car Il n’abandonnera pas mon âme au séjour des morts, Il ne permettra pas que Son bien-aimé voie la corruption.»

36        Jésus, sachant que le corps de l’homme commence à se corrompre dans l’espace de soixante-douze heures... Et maintenant, vous les chrétiens, c’est là que vous vous demandez parfois comment Lui qui est mort le vendredi après-midi, Il est alors resté trois jours et trois nuits. Il est mort le vendredi après-midi, et Il est ressuscité le samedi [dimanche] matin. Jésus savait que dans l’intervalle de trois jours et trois nuits, les cellules de Son corps commenceraient à se décomposer. Il allait commencer à enfler.

            Mais David... Oh ! la la ! je–j’aurais souhaité... je... de toute façon pouvoir mettre ceci dans le coeur des gens, juste au début. Jésus savait que la Parole de Dieu ne pouvait pas faillir. Elle ne peut pas faillir. Jésus a dit: «Détruisez ce corps, en trois jours, Je le relèverai.» Car un passage des Ecritures dans la Bible avait dit que: «Je n’abandonnerai pas Son âme au séjour des morts (en effet, à Sa mort Il est descendu en enfer avec nos péchés), et Je ne permettrai pas que Mon Bien-Aimé voie la corruption.» Et Jésus savait que dans l’intervalle de ces trois jours et trois nuits, Dieu allait Le ressusciter. Et Il est mort, et Il n’avait pas peur de prendre Dieu au mot, quand Il a dit: «Dans l’intervalle de trois jours et trois nuits, Je ressusciterai.»

37        Oh ! si nous ce soir... Alors qu’il y a plus de six cents promesses de guérison divine dans la Bible, nous avons peur de croire dans ces six cents et quelques promesses pour notre guérison. C’était le Jésus d’hier. C’est le Jésus d’aujourd’hui, qui prend Dieu au mot.

            Il s’est tenu dans Son assistance, Il savait... connaissait les pensées des gens. Est-ce juste? Il connaissait les pensées des gens.

38        Maintenant, vous les chrétiens, bien des fois, et particulièrement en Amérique, mon ministère a été mal jugé. C’est pourquoi, le Saint-Esprit me dit, après dix ans à travers le monde... Je limite mon ministère à la prédication et ensuite à demander la prière pour les malades en Amérique. Outre-mer, ça sera différent.

            Lorsque j’étais outre-mer, pendant que le Saint-Esprit se manifestait et qu’un sermon–ou que des paroles comme celles-ci étaient prêchées aux gens, trente milles personnes sont venues à Jésus au cours d’un seul appel à l’autel. Et beaucoup d’entre eux amènent des milliers de personnes à Christ par semaine en Afrique maintenant, des gens qui ne savent même pas distinguer leur main droite de leur main gauche. C’est comme ça que l’Evangile va dans le monde entier. L’Evangile est la démonstration et la puissance du Saint-Esprit, ou plutôt est la démonstration de la puissance du Saint-Esprit.

39        Maintenant, si Jésus qui était hier est le même aujourd’hui, alors s’Il est ressuscité des morts, croyez-vous, en tant que des croyants chrétiens, que ceci est un petit récit mythique écrit ici ou que c’est la vérité? Eh bien, soit c’est la vérité, soit c’est un mensonge. Maintenant, vous ne pouvez simplement pas jouer avec cela. Alors, acceptez cela comme étant la vérité ou jetez cela et dites que c’est un mensonge. Pour moi, chaque Mot est la vérité, chaque Mot de Cela. Et je n’ai pas peur de défier n’importe quelle déclaration, ou tout ce qui est contraire à Cela, car c’est la Parole du Dieu vivant, et Cela ne faillira ni ne passera jamais. Chaque Parole s’accomplira.

            Si c’est la vérité, si donc Jésus est ressuscité d’entre les morts, en disant que: «Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus ; mais vous, vous Me verrez. Je serai avec vous, même en vous, jusqu’à la fin du monde»...

            Le rédacteur se retourne et dit: «Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement.» Si donc le Seigneur Jésus-Christ, dans ce dernier jour, vient se manifester de la même manière que lorsqu’Il était ici dans ce Livre, le même Seigneur Jésus, et fait les mêmes choses, par la même puissance, par la même manifestation, allez-vous L’accepter comme votre Messie et votre Sauveur? Que le Seigneur vous l’accorde, mon ami chrétien.

40        Oh ! Chicago, Chicago, combien de fois un réveil vous a été offert ! Vous n’avez jamais reçu un réveil depuis que Moody était ici, un réveil qui a balayé la ville. Je prie, ô Dieu, pour que ceci soit le début d’un autre réveil de Moody, seulement bien plus puissant, qui balayera Chicago. Et vous les gens qui êtes ici ce soir, si notre Cher Seigneur Jésus venait et se manifestait, comme je crois qu’Il le fera, alors la responsabilité pour Chicago reposera sur vous à partir de ce soir, en tant qu’individu, après que vous avez vu, connu et examiné Ses Paroles, pas par de belles paroles, mais au travers de la simplicité de la Parole pleinement révélée, Elle-même, apportée devant vous.

            Maintenant, pour démolir les superstitions, battre l’ennemi sur-le-champ, lorsque vous voyez les manifestations de Sa puissance être révélées, alors là certains d’entre vous s’en vont et disent: «Eh bien, c’est un–du diable.» Vous rendez-vous compte que vous blasphémez contre le Saint-Esprit? Vous rendez- vous compte que cela ne sera pardonné ni dans ce siècle ni dans le siècle à venir?

            Et la Bible dit dans Hébreux, chapitre 10: «Celui qui pèche volontairement, après avoir reçu la connaissance de la vérité, il ne reste plus de sacrifice pour le péché.» Hébreux 10.47, je crois que c’est ça. «Il reste... celui qui pèche volontairement.» Qu’est-ce que le péché? Le péché, c’est l’incrédulité. Il n’y a aucune autre réponse pour le péché.

41        Boire, fumer, parier, faire de mauvaises choses, ce n’est pas là le péché ; ce sont les attributs de l’incrédulité. Vous faites cela parce que vous êtes un incroyant. Si vous étiez un croyant, vous ne feriez pas ces choses. Cela produit les fruits de la joie, la paix, la longanimité, la bonté, la patience, la sainteté. Voilà les fruits de l’Esprit. Mais les fruits de l’esprit du diable, c’est le doute. «Celui qui ne croit pas est déjà condamné.» Si donc la vérité vient à vous de telle sorte que vous la reconnaissez comme telle, et qu’ensuite vous refusez de la recevoir, il ne reste plus de sacrifice pour votre péché, mais une attente terrible du jugement. Ma prière est que Dieu ait pitié et fasse qu’il n’y ait pas une telle personne dans cette assistance ce soir, ni ailleurs au monde.

42        Comprenez-vous que, dans les derniers jours, lorsque ce duel des esprits arrive... Je n’allais pas dire ceci, mais le Saint-Esprit m’y pousse maintenant. Vous rendez-vous compte que la Bible enseigne que dans les derniers jours, lorsque les esprits en arriveront à la confrontation, que ça ne sera pas à travers une certaine doctrine des églises ou de quelque chose de ce genre? La Bible dit: «Les deux esprits seraient tellement proches que cela séduirait même les élus, si cela était possible.»

            Comprenez-vous que s’il a été enseigné que de même que Jannès et Jambrès se sont opposés à Moïse, ces hommes font de même, ces hommes réprouvés en ce qui concerne la foi essaient de s’opposer à l’Esprit de Dieu dans les derniers jours? Nous vivons en ce jour-là.

43        Maintenant, voici un signe. Dieu avait dit à Moïse de pratiquer la guérison en Egypte. Les magiciens pouvaient faire toute sorte d’enchantements. Ils prenaient leur... Moïse pouvait appeler des mouches, ils pouvaient aussi appeler des mouches. Quand Moïse a fait venir des poux, ils ont fait venir des poux. Quand Moïse faisait venir une certaine chose, ils faisaient venir la même chose. Mais eux ils ne pouvaient pas ôter cela. Ils pouvaient prononcer une malédiction, mais ils ne pouvaient pas ôter la malédiction. Lorsqu’il a fait venir des ulcères, ils en ont eu des éruptions, et ils ne pouvaient pas se guérir. Comprenez-vous que la marque de Dieu c’est la guérison divine?

            Le premier Nom–la première Parole–dans lequel Dieu est apparu, c’était: «Je suis l’Eternel qui te guérit», les débarrassant de toute maladie et tout–Jéhovah-Jiré ou plutôt Jéhovah-Rapha. Jéhovah-Jiré, c’était qui a pourvu au sacrifice ; et Rapha, c’était l’Eternel qui te guérit. C’est Dieu qui guérit. Satan ne peut pas guérir.

            Et lorsqu’on voit des miracles et des prodiges, et quelque chose d’autre accompagner dans le domaine spirituel, comme le discernement des pensées des gens, immédiatement les coeurs non régénérés déclarent: «C’est du spiritisme.» Pourtant lorsque vous voyez le signe qui accompagne l’Esprit de la guérison, et les bénédictions de Dieu, vous comprenez que cela vient de Dieu. Il ne faut pas mal juger cela. Jugez Dieu correctement.

            Et puisse le Seigneur Jésus apparaître ce soir dans cette salle dans la puissance de la résurrection de Son Etre. Et si j’ai trouvé grâce à Ses yeux, c’est seulement par la miséricorde, par la grâce ; il n’y a rien en moi qui soit digne, je suis vraiment indigne, je me soumets à Lui ce soir, pour ce service maintenant, et pour le service qui va suivre ; et s’Il peut tirer une gloire de cette personne indigne, alors que je m’abandonne à Lui pour Son service, puisse-t-Il le faire ce soir.

44        Et je prie que chaque coeur ici Lui soit tellement soumis qu’Il tirera gloire de vous. Et qu’il soit connu... que chaque personne, partout où c’est possible, aille chercher les malades et les affligés et les amène pour ce service de guérison de clôture à Chicago. J’en ai un autre en Californie, et un autre à New York, qui marqueront la fin de cette série de réunions jusqu’à ce que le Seigneur révèlera quelque chose d’autre.

            Maintenant, pendant que l’eau est agitée, entrons-y. Maintenant, je vous ai demandé, au début de cet entretien, que si vous voulez voir Jésus... J’ai essayé d’expliquer ce qu’Il était en ce jour-là. Et je vous ai dit, et les Ecritures soutiennent la même chose, qu’Il est ressuscité des morts.

45        Maintenant, s’Il est le même et qu’Il est ressuscité des morts, qu’Il vit dans Son Eglise, et qu’Il a dit: «Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais.» Est-ce juste? Parce qu’Il retournait au Père. En d’autres termes, Il a dit: «Je viens de Dieu ; Je retourne à Dieu.» Jésus n’était personne d’autre que Jéhovah Dieu. Il était Dieu, le Père, révélé dans la chair humaine comme le Fils de Dieu qui devait ôter le péché du monde. Il était le Dieu Tout-Puissant. Dieu habitait en Lui, comme le Saint-Esprit habite en nous aujourd’hui. Et le Fils de Dieu était soumis au Père, et aujourd’hui un serviteur de Dieu est soumis au Père. Est-ce juste?

            Et puis, maintenant si Jésus Lui-même a dit qu’Il ne faisait rien... Maintenant, encore Saint Jean 5, verset 19: «En vérité, en vérité, Je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-même, Il ne fait que ce que le Père Lui montre.» Alors Jésus ne faisait pas des miracles à moins que le Père Lui ait montré d’abord en vision ce qu’Il devait faire. Est-ce vrai? Et une fois que le Père Lui montrait...

46        Maintenant écoutez. Lorsqu’Il s’est éloigné de la maison de Lazare, Lazare tomba malade. Jésus savait cela, Il a continué, Il a quitté la maison, Ses amis, juste avant que Lazare tombe malade. Pourquoi? Le Père Lui avait dit de partir. Il est parti pendant deux ou trois jours, Lazare est tombé gravement malade. On L’a envoyé chercher. Il n’est pas revenu. Il a continué Son chemin. Vous vous demandez pourquoi? On L’a de nouveau envoyé chercher, et Il a continué Son chemin. Ensuite Il est retourné ; Il savait que le moment était venu pour que la vision s’accomplisse. Il a dit: «Notre ami, Lazare, est mort. Et à cause de vous, Je me réjouis de ce que Je n’étais pas là.»

            En effet, les gens allaient dire: «Oh ! Seigneur, viens le guérir. Viens le guérir.» Mais Jésus n’a pas voulu aller. Il s’est simplement éloigné.

            Il a dit: «A cause de vous, Je me réjouis de ce que Je n’étais pas là.» (Mais écoutez.) Mais Je vais le réveiller.»

47        Remarquez, Il est allé à la tombe, quand Il s’est tenu là, cet homme était mort et enterré depuis quatre jours. Il a dit: «Père, Je Te rends grâces de ce que Tu M’as déjà exaucé.» Il savait ce qui allait se produire. Dieu Lui avait déjà montré: «Eloigne-Toi de ce lieu. Et après trois jours donc, il va mourir, laisse-le reposer dans la tombe pendant quatre jours, et ensuite on Te demandera de revenir en ce lieu.» En effet, Il a dit: «Je ne fais rien à moins que le Père me Le montre.» Et ensuite Il a dit: «Père, Je Te rends grâces de ce que Tu as déjà exaucé. Tu sais. Mais à cause de ceux qui M’entourent...», pour que cela serve d’exemple.

48        C’est comme Son baptême, Il n’avait pas besoin d’être baptisé. Il était le Fils de Dieu, mais Il a fait cela comme un exemple. Il n’était pas obligé de laver les pieds des disciples, Il était le Dieu du Ciel. Mais Il a fait cela pour donner l’exemple. Il a dit: «C’est à cause de ceux qui M’entourent que J’ai dit cela.» Et Il a dit: «Lazare, sors !» Et un homme, qui était mort depuis quatre jours, s’est tenu debout et est revenu à la vie. Voyez?

            Pourquoi n’a-t-Il–pourquoi n’a-t-Il pas ressuscité tous ceux qui étaient morts à Jérusalem en ce temps-là? Il en avait ressuscité trois. Trois, c’est un témoignage ou une confirmation. «Que toute affaire se règle sur la déposition des deux ou trois témoins.»

            Il a ressuscité Lazare de la tombe. Il a ressuscité de la tombe le fils de la veuve, et Il a ressuscité des morts la fille de Jaïrus. Il a ressuscité des morts trois personnes, comme témoignage montrant qu’Il était le Fils de Dieu.

            Eh bien, les critiqueurs disent: «Pourquoi ne ressuscite-t-Il pas... Pourquoi ne va-t-Il pas au cimetière, s’Il est le Fils de Dieu, et dit: ‘Tous ceux qui sont dans la tombe, sortez’»? Il aurait pu le faire, si le Père Lui avait dit de le faire. Mais le Père Lui montrait seulement, et Il était soumis au Père.

49        Et les mêmes miracles qui accompagnaient Jésus, les visions qui Lui montraient ce qu’Il devait faire, et comment le faire, c’est ce que Jésus faisait, et le monde huait, et faisait tout ce qu’il voulait, Lui continuait à s’occuper des affaires du Père. Ce même Jésus est ici ce soir. Le croyez-vous? S’Il se manifeste de cette manière-là, allez-vous ôter tout doute de votre esprit, et sortir d’ici ce soir, et faire tout ce que vous pourrez pour amener le pécheur à venir pour être sauvé, et les malades pour être guéris, s’Il vient, Lui qui écoute en ce moment, s’Il vient se manifester? Faites voir la main comme cela.

            Levez-vous et dites: «Je vais le faire, je ferai tout ce que je peux, frère, pour aller dire aux gens que Jésus est ressuscité des morts, et nous–vous–nous L’avons vu, nous L’avons vu dans la manifestation de Son Etre.»

50        Eh bien, les gens ne peuvent voir Jésus qu’en vous. C’est par votre manière de faire, votre manière d’agir, votre manière de vivre que les gens connaissent Jésus-Christ. Que le Seigneur vous bénisse. Maintenant, à Lui qui est capable de nous garder, de nous fortifier, de garder nos nerfs tranquilles, pendant ce service, puisse-t-Il ce soir étendre Ses grandes ailes protectrices sur vous tous.

            Parfois les esprits s’échappent. Parfois ils font des histoires sur l’estrade quand ils viennent ici. Observez l’expression du visage des gens pendant qu’ils s’avancent en venant ici, après que le Saint-Esprit a pris le contrôle. Observez comment ils se comportent. Et puis, parfois dans leur esprit, parfois les gens tombent, et se comportent de toutes les manières, je veux dire, surtout par exemple l’épilepsie. Et ainsi, parfois ils font la pire crise qu’ils aient jamais faite, lorsqu’ils viennent. Ce n’est pas contraire aux Ecritures. C’est scripturaire. C’est ce que disent les Ecritures. Et puis, lisez-vous les Ecritures comme ceci? Est-ce que vous les lisez comme cela? Si vous le faites, dites: «Amen.» [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.] C’est juste.

            Lorsque cet épileptique fut amené à Jésus, il a eu la pire des crises qu’il eût jamais eues. Mais Jésus l’a relevé alors qu’il était comme mort, Il lui a dit qu’il se porterait bien, et il se portait bien. Sa Parole devait s’accomplir ; Il était Dieu. Maintenant, que le Seigneur vous bénisse. Bon, je ne peux pas...

51        Combien ici veulent que l’on prie pour eux? Faites voir la main, partout dans la salle, ceux qui veulent que l’on prie pour eux, au balcon ou n’importe où. Que Dieu vous bénisse. Je pense qu’il y a deux mille personnes, juste pour cela, pour qui il faut prier.

            Si je disais ce soir: «Très bien, nous allons prier pour deux mille personnes», d’habitude j’arrive à quinze ou vingt personnes, ou quelque chose comme cela. Maintenant qui seront ces quinze ou vingt personnes ce soir? Comprenez-vous pourquoi nous devons distribuer des cartes de prière? Nous n’avons pas d’autre choix que de distribuer des cartes de prière et aligner les gens. Mais maintenant, écoutez, si j’ai dit la vérité au sujet de Jésus-Christ, Il vous témoignera ce soir que j’ai dit la vérité.

52        Maintenant, vous me connaissez, comme n’ayant qu’une instruction de l’école primaire. Je ne connais rien de la psychologie. Je ne connais rien de la médecine. Je ne connais rien de l’anatomie. Je–la seule chose que je connaisse, j’aime le Seigneur Jésus-Christ de tout mon coeur. C’est tout ce que je connais. Je ne suis pas instruit, je suis illettré, et je n’ai aucune capacité qui me soit propre, pas même une–une personnalité normale. C’est juste. Mais je sais une seule chose, et j’en suis reconnaissant: je sais comment me soumettre à Jésus-Christ, afin qu’Il opère à travers moi. C’est le... Je préfère avoir cela que toute l’instruction du monde. Je préfère savoir comment me soumettre à l’Esprit de Dieu, et dire: «Seigneur, me voici.»

            Je préfère avoir ce secret dans mon coeur, que d’avoir le secret de chaque bombe à hydrogène et de chaque bombe atomique qui existe au monde, ou qu’on pourrait fabriquer. Car c’est plus puissant que toutes les bombes atomiques qu’on pourrait concevoir. Je trouve donc refuge ce soir sous Ses ailes éternelles, et au Nom de Jésus-Christ, je m’occupe des malades. Que le Seigneur vous bénisse.

53        Maintenant, prenons environ les dix ou quinze premières cartes de prière. Qui a la carte de prière numéro 1? Commençons à partir du numéro 1. La carte de prière numéro 1? Je ne sais même pas quelle lettre est inscrite dessus. Cela porte une lettre et un numéro. La carte de prière numéro 1, levez la main. Où que vous soyez. La carte de prière numéro 1? Venez carrément ici, madame. Numéro 1.

            Numéro 2, qui a la carte de prière numéro 2? Très bien. Numéro 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13, 14, 15–[Espace vide sur la bande.–N.D.E.]

54        Représentons-nous maintenant un tableau dans notre esprit. Je vois un Homme d’âge moyen qui descend la colline, sa barbe commence à grisonner un peu, ses cheveux commencent à grisonner sur le côté, trois hommes L’accompagnent, un homme âgé, et deux jeunes. Ils ont été... Seuls les–eux seuls savent ce qui est arrivé: Pierre, Jacques, et Jean. Il a été transfiguré là-bas, Il a été transformé devant eux. Ils ont entendu la voix de Dieu dire: «Celui-ci est Mon Fils bien-aimé, écoutez-Le.»

            La joie avait rendu leurs coeurs légers. Ils avaient tenu une campagne de guérison là quelque part. Ils avaient eu un garçon qui avait l’épilepsie, et ils n’avaient rien pu faire pour ce cas, et le père a vu Jésus venir. Il a pris le garçon par la main, et il a couru vers Lui, et a dit: «Seigneur, aie pitié de mon fils. Il est tourmenté de différentes manières par le démon.» Il a dit: «Parfois il tombe dans l’eau, parfois dans le feu, le diable cherche à le tuer.» C’était l’épilepsie. Il a dit...

            Jésus a dit: «Je le peux, si tu crois. Car tout est possible à ceux qui croient.»

            Le père a dit: «Seigneur, je crois. Viens au secours de mon incrédulité.» C’était là le Jésus d’hier. C’est le Jésus d’aujourd’hui.

55        Maintenant, pendant que nous sommes humblement et silencieusement dans la prière... Et je–je sais que vous les chrétiens vous pouvez apprécier la position de se tenir ici devant, il y a peut-être trois mille personnes ou plus. Et ici, bien sûr, nous avons des critiqueurs dans chaque réunion. Mais en tant qu’homme, je–je ne connais personne dans cette salle aujourd’hui. J’ai parcouru l’assistance des yeux pendant la journée, et j’ai vu un vieil homme du nom de frère Ryan. Nous l’appelons John Ryan, de Dowagiac, dans le Michigan. Je–je l’ai vu assis là, et j’ai vu, assis ici, un homme du nom de monsieur Sims, d’ici, des environs de Zion, dans l’Illinois. Ces deux personnes sont les seules que je reconnais en dehors de mes amis ministres qui sont assis juste ici, frère Beeler de Jeffersonville. Ce sont les seules personnes que je–je–je connais ici en dehors de frère Boze.

            Ce soir, je ne vois même pas frère Sims ou frère Ryan. Cependant la seule personne que je vois maintenant et que je connais, c’est frère Beeler qui est assis ici, ainsi que frère Madison.

56        Maintenant, le Seigneur vous connaît tous. Pas vrai? Le Seigneur Jésus vous connaît tous. Il sait ce que vous avez fait dans votre vie. Il sait tout ce qui vous concerne, alors que moi, je l’ignore. Allez-vous prier avec moi, et demander à Dieu de m’aider, pendant que moi, en tant que votre frère, j’essaie de vous servir au Nom du Seigneur Jésus-Christ?

            Maintenant, dans la mesure où je le fais et que je prie, et que Dieu m’aide, je serai en mesure de vous aider. Je peux–je ne peux pas vous aider moi-même ; je n’ai aucun moyen de vous aider. Je suis un homme. Mais si Dieu veut parler, et qu’Il utilise ma voix, bien, à ce moment-là, ce sera une aide pour vous. Est-ce vrai? Cela vous aidera. Et s’Il vous révèle ce qui a été, quelque part dans votre vie passée, sachant que c’est un secret pour moi, s’Il vous révèle quelque chose qui s’est accompli autrefois dans votre vie, que vous savez être vrai, comme Il l’a fait à la femme au puits, ou quelque chose d’autre, comme Philippe, alors s’Il dit quelque chose d’autre qui va arriver, ça devra être vrai. Est-ce vrai? S’Il sait ce qui a été, Il sait certainement ce qui sera.

57        Maintenant, si vous partez et que vous en doutiez, bien sûr, vous n’allez pas seulement–vous vous ferez du mal. Il a dit: «Va et ne pèche plus, sinon il t’arrivera quelque chose de pire. Va, et ne doute plus, sinon il t’arrivera quelque chose de pire.» Soyez tous en prière, s’il vous plaît.

58        Cette lumière qui m’empêche de voir–où est... Est-ce que la ligne de prière est prête? Très bien. Etes-vous là-bas, frères? Tout est prêt, Frère Usher? Oh ! O.K. Très bien, faites-les monter. Maintenant, que tout le monde soit respectueux, et soyez tout simplement en prière pendant que nous nous humilions devant l’Esprit de Dieu.

            Et maintenant, la dame va s’avancer. Si elle veut bien s’avancer ici, la dame dont on doit s’occuper. Maintenant, cette–cette dame, bien sûr, elle m’est inconnue. Je–je ne la connais pas. Il se pourrait qu’elle me connaisse ; je ne saurais le dire. Mais Dieu la connaît.

59        Mais maintenant, quelque part dans cette salle tout près de cette estrade (comme je devrai rendre des comptes le jour du Jugement) se tient l’Ange du Seigneur. Et jusqu’à ce que cet Etre, que je sente Sa Présence, qu’Il prenne le contrôle de mon corps, je ne sais toujours rien au sujet de cette femme, ni de personne d’autre ici. Mais quand Il se déplace dans cette direction, quitte ma droite où Il se tient, et qu’Il vient prendre le contrôle de mon esprit, de ma vie, à ce moment-là je connaitrai chacun de vous, car Il va me révéler ce qu’Il veut.

            Combien là dans l’assistance n’ont pas de cartes de prière et désirent que l’on prie pour eux? Faites voir la main. Maintenant, je vous demande ceci au Nom de Jésus-Christ, que vous regardiez dans cette direction, et croyiez de tout votre coeur que les choses que j’ai dites sont la vérité, et acceptiez votre frère comme étant Son serviteur, et voyez s’Il ne vous appellera pas là dans l’assistance, et vous guérira juste là.

60        Que votre foi soit comme celle de l’aveugle, que votre foi soit comme celle de la femme qui toucha Son vêtement, qui s’est retirée là doucement... Elle avait une consolation ; elle était dans la réunion. Elle–elle savait que sa foi L’avait touché d’une manière ou d’une autre. Il s’est retourné, Il a parcouru l’assistance du regard, et a dit: «Ta foi t’a guérie.»

            En d’autres termes: «Ta perte de sang s’est arrêtée», et elle était guérie. C’est le Jésus d’aujourd’hui. C’est Lui aujourd’hui.

            Maintenant, chantons tous doucement ce cantique Crois seulement, encore une fois, si les organistes veulent bien nous donner l’accord. Très bien. Oh ! très doucement maintenant.

Crois seulement, crois seulement,
Tout est possible, crois seulement,
Crois seulement, crois seulement,
Tout est possible...

            Il est ici maintenant. Au Nom du Seigneur Jésus-Christ, je prends chaque esprit sous mon contrôle pour la gloire de Dieu, pour une manifestation de la résurrection de Son Fils. Le Saint-Esprit est ici. Soyez respectueux et connaissez-Le, Lui qui vous connaît. Et priez.

61        Maintenant, soeur, j’aimerais que vous vous approchiez un peu plus de moi. J’aimerais vous parler. J’aimerais que vous me répondiez. Au mieux de votre connaissance, du fonds de votre coeur ; je pense que vous et moi nous sommes de parfaits inconnus l’un pour l’autre. Je ne vous ai jamais vue de ma vie. Vous êtes simplement une personne qui êtes montée ici sur l’estrade. Vous avez reçu une petite carte qui porte un–un numéro et une lettre dessus. Et vous... Ce numéro a été appelé. C’est tout.

            Mais, que se passerait-il si peut-être le Seigneur Jésus-Christ était ici? Il–Il–Il ne pourrait pas vous guérir, car Il l’a déjà fait. Lorsqu’Il mourut au Calvaire, Il acquit votre guérison. C’est votre foi qui devra faire cela. Mais s’Il se tenait ici, ce serait comme lorsqu’Il parlait à la femme au puits. Il saurait quelque chose à votre sujet. Si vous êtes une chrétienne, Il le saurait. Si vous êtes une incroyante, Il le saurait. S’il y a quelque chose dans votre vie, que vous n’auriez pas dû faire, Il vous le dirait. Ne le croyez-vous pas?

62        Eh bien, s’Il est ressuscité des morts, et vit ici sous forme de l’Esprit, alors Il pourrait parler par Son serviteur. Est-ce juste? S’Il me révèle quelque chose à votre sujet, peut-être ce qui cloche en vous, ou quelque chose dans votre vie que vous savez que j’ignore, allez-vous alors accepter votre guérison, croire que j’ai dit la vérité à ce sujet, si c’est la guérison que vous désirez? Quoi que ce soit, vous–vous accepteriez tout ce pour quoi vous êtes ici. Est-ce juste? Eh bien, puisse-t-Il accorder cela.

            Vous êtes consciente que quelque chose est en train de se passer, n’est-ce pas? Vous êtes–vous êtes consciente que vous êtes dans la Présence de Quelque Chose d’autre que votre frère. Si c’est vrai, levez la main. Vous êtes dans Sa Présence.

63        Maintenant, si l’assistance... Le Saint-Esprit... Demain soir, ces photos de–de cet Ange seront ici. Il se tient ici même maintenant, ici même maintenant.

            Elle sent la Présence de Son Etre qui va vers elle. C’est une chrétienne, une croyante, une chrétienne remplie de l’Esprit, et elle croit. C’est pourquoi elle sent l’action de cet Etre qui se tient près d’elle. Pas vrai, madame? Vous–êtes-vous une croyante? C’est juste. Parce que votre esprit est le bienvenu. L’Ange du Seigneur, qui est maintenant entre nous deux, me fait voir que votre esprit est le bienvenu.

64        Vous êtes ici dans la détresse. Vous avez quelque chose–quelque chose qui se produit dans votre vie. Je vois une sorte d’évanouissement, ou des chutes, des faiblesses, des vertiges qui vous affectent, et cela vous frappe et on doit parfois vous éventer ou quelque chose de ce genre. Vous avez... C’est comme un genre d’attaque, des–des évanouissements ; c’est dû à la nervosité, à un coeur nerveux. Vous avez une préoccupation pour un bien-aimé. C’est un garçon d’environ–d’environ neuf ou dix ans. Il souffre sérieusement d’une sorte de maladie cardiaque. N’est-ce pas la vérité? Maintenant, donnez-moi le mouchoir que vous avez apporté ici dans votre main. Maintenant, j’aimerais que vous approchiez.

            Notre Bienveillant Père céleste, Toi qui connais le secret de chaque coeur, il n’y a rien de caché qui ne puisse être révélé, et pour la gloire de la résurrection du Seigneur Jésus-Christ, je maudis maintenant cette maladie qui est sur son corps. Que cela sorte d’elle, et la quitte au Nom du Seigneur Jésus-Christ. Et alors que j’envoie ce mouchoir vers son fils, que cette maladie cardiaque le quitte, et qu’elle soit rétablie, et le fils également, pour la gloire de Dieu. Au Nom de Jésus-Christ. Amen.

            Croyez. Vous savez que ce qui vous a été dit est vrai. Ce qui a été dit se révélera juste. Partez, ne doutez pas ; vous guérirez de ces crises, et votre fils sera guéri. Que Dieu vous bénisse.

65        Ayez foi maintenant en Dieu. Croyez de tout votre coeur ; vous verrez la gloire... Chaque personne qui est ici devrait recevoir le Seigneur Jésus-Christ en ce moment. Maintenant, soyez respectueux. Ne vous déplacez pas. Souvenez-vous, lorsque vous vous déplacez, les mauvais esprits qui sont sortis d’une personne entrent dans une autre. Combien savent que c’est la Bible? C’est ça. Et ils iront droit vers vous, aussi sûr que le monde existe. Si vous ne le faites pas, vous allez vous retrouver avec une maladie cardiaque, un cancer, ou quelque chose comme ça ; soyez respectueux, car je ne peux pas empêcher cela, cela ne dépend que de votre obéissance.

            Souvenez-vous, dans la Bible, lorsque des esprits furent chassés d’un homme, ils ont dit: «Laisse-nous aller entrer dans ces cochons.» Ils sont impuissants à moins qu’ils aient un–un endroit où demeurer. Quelques jeunes gens sont allés, et ils se disaient qu’ils pouvaient chasser les mauvais esprits, et ils ont donné des injonctions au diable, et le diable est sorti de l’homme pour entrer dans ces jeunes gens. Alors soyez respectueux.

66        Maintenant, je suppose, soeur, que vous et moi nous sommes des inconnus l’un pour l’autre. Je ne vous connais pas, je ne vous ai jamais vue de ma vie. Mais vous êtes certaine que vous êtes dans Sa Présence. Le fait d’être juste dans la présence de votre frère ne peut pas vous faire éprouver les sensations que vous éprouvez maintenant. Eh bien, entre vous et moi il y a comme une brume, un brouillard blanc qui me montre que vous recevez de Lui. Car vous venez, demandant quelque chose, et les Ecritures disent: «Demandez, et vous recevrez.»

            Si Dieu me révèle vos problèmes, allez-vous accepter ce que vous demandez? Le ferez-vous? Oh ! puisse-t-Il l’accorder.

67        Croyez-vous que Dieu va vous guérir de cette nervosité, monsieur, vous qui êtes assis là? Croyez-vous qu’Il va vous rétablir? Croyez-vous qu’Il le fera. Le monsieur en chemise blanche, vous souffrez de la nervosité. Pas vrai, monsieur? Celui qui est assis là, portant des lunettes, vous avez une montre ici au bras. Levez la main afin que je... C’est vous. Vous souffrez de la nervosité, pas vrai? Vous êtes un inconnu. Je sais que vous–vous êtes simplement venu ici et vous vous êtes assis, c’est tout. Est-ce vrai? Mais vous souffrez de la nervosité, et vous étiez là juste à l’instant, essayant de croire de tout votre coeur, que je suis le serviteur de Dieu. Pas vrai?

            Et je vois quelqu’un venir... Et puis, les deux autres personnes qui sont assises là juste à côté de vous. Oui, c’est juste. Vous souffrez de–d’une certaine... Vous deux, vous souffrez de l’estomac, vous qui êtes assis là. Si vous croyez que Dieu va vous rétablir... Le croyez-vous, tout–vous deux, de tout votre coeur? Levez la main. Vous trois, tenez-vous debout, un instant.

            Dieu Tout-Puissant, leur foi T’a touché ; en effet, Tu as détourné Ton attention de cette femme sur l’estrade vers leur foi. Que les maladies de leurs corps quittent au Nom de Jésus-Christ, je les chasse. Puissent-ils partir libres ce soir. Amen. Que le Seigneur vous bénisse tous les trois, rentrez chez vous pour être bien portants. Votre foi vous a guéris. Que Dieu vous bénisse. Amen.

68        Excusez-moi, madame. Il y avait quelque chose, le Saint-Esprit en agissant vous a quittée et Cela est allé dans cette direction, mais vous vous tenez ici pour–pour une autre personne. Et cette autre personne venait d’être chez un genre de médecin, et on lui a prélevé du sang, ou... C’est une maladie du sang. C’est une autre personne. Et vous avez reçu un message de cette personne, tout récemment, et cette personne a cacheté l’enveloppe que vous lisez, qui vient de New York. C’est pour une femme de New York, qui souffre d’une maladie du sang que vous vous tenez ici. Pas vrai, très bien, donnez-moi votre mouchoir que vous désirez poser sur elle.

            Père céleste, lorsque ce mouchoir touchera cette femme, puisse-t-elle être complètement guérie, alors que j’envoie cela au Nom de Jésus-Christ. Amen. Que Dieu vous bénisse. Vous obtiendrez ce que vous avez demandé. Que Dieu vous bénisse.

69        Béni soit le Nom du Seigneur Jésus. Le Dieu du Ciel qui a ressuscité Son Fils Jésus, qui ne nous a pas abandonnés dans ces derniers jours sans un témoignage de Son Etre. Que les bénédictions du Seigneur continuent. Très bien, amenez-le... Excusez-moi.

            Je ne suis pas dérangé, réalisez-vous ce que ces visions vous font? Il y avait un–un homme du nom de Daniel qui a eu une seule vision, et il en eut l’esprit troublé pendant plusieurs jours.

70        Bonsoir. Votre enfant... Croyez-vous que je suis le serviteur du Seigneur Jésus? Croyez-vous que vous vous tenez dans Sa Présence, que–pas la mienne, dans Sa Présence maintenant? Si le Dieu Tout-Puissant, par Son Fils, Jésus-Christ, Lequel m’a oint maintenant pour vous parler, pour votre bien... Croyez-vous que si Dieu me révèle ce qui cloche chez cet enfant, et qui est cet enfant, allez-vous accepter la guérison de l’enfant, car il est trop jeune pour l’accepter?

            Le petit garçon souffre d’une sorte de toux. Il est asthmatique, c’est une toux sèche. Est-ce vrai? C’est votre fils, je le vois chez vous. Et dites donc, vous êtes vous-même un ministre. Et vous-même vous souffrez. Vous avez connu récemment une dépression nerveuse, et vous vivez quelque part près d’un fleuve, où coule un grand fleuve. Je crois que c’est le fleuve Mississippi, près de Woodville, ou quelque part comme cela. Est-ce vrai, à proximité de ce fleuve?

            Très bien, je vous renvoie tous les deux chez vous au Nom de Jésus-Christ. Vous avez quitté la chaire depuis un certain temps, n’est-ce pas, à cause d’une dépression nerveuse? Rentrez chez vous, vous rentrez guéri. Prêchez l’Evangile du Seigneur Jésus.

71        Ayez foi en Dieu, croyez de tout votre coeur, et vous recevrez ce que le Saint-Esprit révèle, et vous serez tous guéris. Croyez simplement de tout votre coeur, vous recevrez tout ce que Dieu a dit. Maintenant, croyez donc.

            Très bien. Que la malade vienne. Très bien. Pendant que vous venez, madame, venez en croyant. N’ayez aucun doute dans votre coeur. Car si vous avez un tout petit soupçon, le Saint-Esprit ne pourra et ne va pas... C’est un Etre très timide. Et je–j’aimerais vous parler pendant un instant avant de faire la prière.

            Tout d’abord c’est pour trouver ce qui ne va pas, et ce qu’est votre maladie. Croyez-vous que Dieu vous connaît, et qu’Il vous a connu depuis votre naissance? Croyez-vous qu’Il peut me révéler ce que vous désirez, ce que vous attendez de Lui? Ou si vous êtes venu ici comme une critiqueuse, je le saurai, et vous–vous verrez ce qui va arriver.

72        Mais je sais que vous n’êtes pas une critiqueuse, parce que vous êtes venue avec sincérité. Et vous êtes–vous venez d’une autre ville ; vous n’êtes même pas de cette ville. Et vous souffrez depuis plusieurs années ; ça fait environ six ou sept ans que vous souffrez, et vous avez été opérée. Vous avez été à l’hôpital. Vous avez été deux fois à l’hôpital, et vous avez passé un long moment à l’hôpital, et c’est quelque chose en rapport avec la moelle épinière. C’est une maladie de la moelle épinière. N’est-ce pas la vérité? Et croyez-vous qu’Il est ici pour vous rétablir maintenant? Si je le Lui demande, les souffrances cesseront-elles, et rentrerez-vous chez vous guérie? Le croyez-vous de tout votre coeur?

            Je vois un homme ; c’est votre mari. Il s’appelle Harry ou quelque chose comme cela. Pas vrai? C’est vrai. Je sais ; il est assis juste là, je sens son esprit tirer pendant que je vous parle. Il croit maintenant. Approchez, juste par ici.

73        Bienveillant Père céleste, pendant que cette femme cherche la vie, et à être délivrée de cette souffrance, et qu’elle se tient devant cette assistance ce soir, je prie pour elle, Seigneur, de tout mon coeur. Et Tes serviteurs, les médecins, ont essayé de la soulager de ceci, mais ils ont échoué. Mais Toi, Tu n’échoues pas. Tu es Dieu, et Tu ne peux faillir. Et c’est Toi qui nous as fait cette promesse. Et je Te demande d’agir alors que j’accomplis les Paroles de notre Seigneur Jésus qui disent: «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru: ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris.»

            Et maintenant, Satan, toi qui as lié cette femme, tu t’es caché du médecin ; mais tu ne peux pas te cacher de Dieu. Sors de cette femme ! Au Nom de Jésus-Christ, je t’ordonne de quitter cette femme, et de la quitter ! Amen.

            Maintenant, soeur, retournez auprès de votre mari, le–vous ne souffrez plus maintenant ; la douleur... Est-ce vrai? Les douleurs ont disparu, retournez auprès de votre mari une femme bien portante pour la gloire de Dieu. Ça c’est rendre grâces au Seigneur Jésus. Soyez respectueuse, soyez en prière.

74        Très bien, venez avec la malade. Bonsoir. Je suppose que nous sommes aussi inconnus l’un pour l’autre, vous et moi. Nous ne nous connaissons pas, mais Jésus-Christ nous connaît tous les deux, n’est-ce pas? Eh bien, alors j’ai dit la vérité, madame, au mieux de ma connaissance, conformément à cette Bible. Et maintenant, si j’ai dit la vérité, la Bible a dit que Dieu témoignera de Son don. Est-ce la vérité? C’est ce qui est dit dans Le Livre des Hébreux. Alors Dieu peut me révéler ce qu’est votre maladie. Dieu sait tout à ce sujet. Pas moi. Vous êtes seulement une femme qui se tient devant moi. Mais Dieu vous connaît. S’Il révèle votre problème, allez-vous alors accepter cela, et croire de tout votre coeur? Je–je ne sais pourquoi je vois une jeune dame qui se tient devant vous. C’est un–c’est un étrange...

            Vous qui êtes dans l’assistance, soyez respectueux pendant un moment. Maintenant, regardez-moi. Je–je veux dire par là, juste comme Pierre et Jean qui passaient par la porte, et qui ont dit: «Regarde–regarde-moi.» En d’autres termes, pour attirer l’attention. Et je ne lis pas non plus la pensée de cette femme là-bas. Voyez?

75        Non. C’est...C’est cette fille de couleur assise juste là en bas. Elle a une maladie des muscles. Pas vrai, jeune dame? Tenez-vous debout. Vous ne connaissez pas cette jeune femme, n’est-ce pas? Vous ne l’avez jamais vue de votre vie. Vous ne connaissez pas cette dame, n’est-ce pas? Vous ne l’avez jamais vue. Vous ne savez rien de ce qui vous concerne l’un et l’autre. Vous ne pensiez même pas à elle. Alors vous vous trompez. Je ne lisais pas votre pensée. Et Dieu a voulu exposer cela. Voyez-vous?

            Vous avez une maladie des muscles, n’est-ce pas, madame? Vous n’êtes pas une chrétienne, n’est-ce pas? Mais si–voulez-vous accepter Jésus comme votre Sauveur? Levez la main ; dites: «J’accepte Christ comme mon Sauveur.» Alors je vous guéris au Nom de Jésus-Christ, la maladie des muscles vous a quittée. Partez et ne péchez plus. Que le Seigneur vous bénisse. Amen. Maintenant, que le Seigneur accorde Ses bénédictions.

76        Bon, pourtant vous êtes ici pour une dame. Vous n’êtes pas ici pour vous-même. Il s’agit d’une dame. C’est votre parente. C’est une nièce. Elle est ici à Chicago, et elle souffre d’une sorte de maladie du sang ou quelque chose de ce genre. C’est une maladie du sang qui la dérange. Et je vois qu’il y a une autre dame que vous avez, à laquelle vous pensez, et c’est une autre nièce. Et elle habite près d’une rivière que plusieurs ponts enjambent d’est en ouest, et elle est dans un hôpital. C’est une femme qui a des enfants. Elle n’a pas de mari, et cette femme a le diabète, elle est dans un état grave. Et elle est à l’hôpital, et cet hôpital est à Saint Louis. Est-ce vrai? Au Nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu, j’impose les mains à cette femme, par représentation, alors qu’elle représente les malades, et que celles-ci soient guéries au Nom du Seigneur Jésus-Christ. Amen. Partez et trouvez la chose ainsi, au Nom de Jésus-Christ.

77        Béni soit le Dieu du Ciel, qui a ressuscité Son Fils Jésus-Christ pour montrer à ce monde mourant, adultère et impie, la puissance de la résurrection du Fils de Dieu dans ces derniers et mauvais jours. Lorsque Sa gloire sera révélée, tous les hommes reconnaîtront que Jésus est le Fils du Dieu vivant.

            Très bien, approchez, monsieur. Soyez respectueux. Croyez de tout votre coeur, et Dieu se manifestera à vous d’une manière miraculeuse. J’aimerais vous demander quelque chose. Nous sommes des inconnus l’un pour l’autre, je suppose, n’est-ce pas? Croyez-vous? Et vous croyez en Dieu, et croyez que Christ est Son Fils, et moi Son serviteur. Alors partez prendre votre souper. Votre maladie de l’estomac vous a quitté. Que Dieu vous bénisse. Vous êtes guéri. Que Dieu vous bénisse.

78        Voulez-vous approcher? Croyez-vous de tout votre coeur? Croyez-vous que Jésus-Christ est le Fils de Dieu? Croyez-vous que je suis Son serviteur? Croyez-vous que si Dieu–qu’Il peut me révéler ce qu’est votre maladie? Bien sûr, vous portez des lunettes, mais pouvez-vous croire que s’il y a quelque chose de secret que je ne vois pas, s’Il le révèle, allez-vous accepter ce que je vous ai dit ce soir, que Jésus-Christ est déjà mort pour votre guérison? Allez-vous alors accepter votre guérison? Si Dieu me révèle certains secrets de votre vie, dont je ne sais rien, en dehors de vos yeux, allez-vous croire? Vous avez le diabète. Pas vrai? Avez-vous accepté votre guérison? Dans ce cas vous obtiendrez cela. Que Dieu vous bénisse, au Nom de Jésus-Christ, partez et qu’il vous soit fait selon votre foi.

79        Disons: «Béni soit le Seigneur !» [L’assemblée dit: «Béni soit le Seigneur !»–N.D.E.]

            Bonsoir, jeune dame. Croyez-vous de tout votre coeur? Vous aimeriez manger de nouveau, et aussi être bien portante, n’est-ce pas? C’est la nervosité qui a causé ceci. Vous avez été nerveuse pratiquement toute votre vie ; inquiète, vous anticipez toujours les choses, vous vous tracassez au sujet de certaines choses. Pas vrai? Ce genre de nervosité à provoqué un ulcère dans votre estomac. Et lorsque vous mangez, cela vous donne des aigreurs dans l’estomac et cela vous met mal à l’aise. Vous souffrez d’une nervosité très grave. Cela vous affaiblit en fin d’après-midi. Pas vrai? Vous devenez tellement nerveuse par moment, vous n’arrivez plus à vous maîtriser. Pas vrai? Si je vous disais que vous êtes guérie au Nom de Jésus-Christ, allez-vous accepter cela? Allez-vous accepter cela? Au Nom de Jésus-Christ, je vous impose les mains, et conformément à la Parole de Dieu, vous êtes guérie. Partez et que la paix de Dieu soit avec vous.

80        Ayez la foi ; ne doutez pas. Croyez de tout votre coeur. Oh ! la la ! comme tout le monde devient maintenant d’un commun accord ! C’est ce qu’il faut faire. Maintenant, vous en arrivez à un point où vous pouvez voir la gloire de Dieu se manifester sur l’assistance.

            Je vais vous rendre ce mouchoir, si jamais vous sentez comme si vous avez encore des palpitations cardiaques, posez cela sur votre coeur. Cela vous a quitté maintenant. Jésus-Christ vous guérit. Amen.

            Ayez la foi. Croyez de tout votre coeur ; vous recevrez ce que vous avez demandé. Ayez la foi ; ne doutez pas.

81        Très bien. Approchez, madame. Vous avez ressenti un drôle de sensation lorsque j’ai dit cela à cet homme, n’est-ce pas? C’est ce qui n’allait pas chez vous aussi. Cela vous a donc quittée. Partez, que Dieu soit avec vous. Cela ne vous dérangera plus, ma soeur, au Nom de Jésus-Christ...?... Croyez de tout votre coeur. Soyez respectueux.

            Je ne sais pas, soeur, si vous êtes consciente des ténèbres qui marchent devant vous. C’est la mort qui se trouve sur votre chemin. [Frère Branham s’adresse à cette dame.–N.D.E.] Il l’a fait. Le cancer est mort. Maintenant, vous pouvez partir. Que Dieu vous bénisse, ma soeur. C’est votre foi qui a fait cela pour vous. Et...?...

            Oh ! la la ! Combien vous devriez croire ! La mort peut être changée en vie par la foi en Dieu. Ayez foi en Dieu. Ne doutez pas.

82        Vous étiez un peu déçue il y a un moment, madame, vous qui êtes assise là, tenant votre carte de prière. Elle s’est mise à avancer dans la ligne de prière. Oui, soeur, c’est vous. Elle se disait qu’elle allait entrer dans la ligne de prière, et elle n’y est pas parvenue. Croyez-vous que ce diabète sucré vous a quittée, lorsque–il y a quelques instants? Croyez-vous? Tenez-vous simplement là ; c’est très bien. Vous n’êtes pas obligée de monter ici. Partez et croyez maintenant. Vous pouvez cesser de prendre de l’insuline. Jésus-Christ vous rétablira, et vos yeux aussi se rétabliront. C’est le sucre qui fait que vos yeux soient dans cet état. Que Dieu vous bénisse donc. Rentrez chez vous en paix. Que Dieu soit avec vous. Grâces soient rendues au Seigneur Jésus-Christ.

83        Le jeune homme assis juste ici au bout. Vous avez un problème spirituel, n’est-ce pas? Vous qui êtes assis ici, le jeune homme qui regarde droit vers moi, qui était en train de prier là pendant les quelques dernières minutes, qui est assis juste ici, portant le petit–le manteau blanc. Vous, monsieur. Tenez-vous debout. Juste là, oui. Vous avez une sorte de problème spirituel, vous qui êtes assis là au bout de la rangée. Oui, vous. Vous n’avez pas de carte de prière, n’est-ce pas? Vous n’avez pas de carte de prière? Vous avez un problème spirituel qui vous dérange. Est-ce juste? Cela va vous quitter maintenant. Agitez la main vers Dieu et dites: «Je l’accepte.» Cela vous a quitté. Vous allez recevoir ce que vous avez demandé. Rentrez chez vous, au Nom du Seigneur Jésus, et soyez rétabli.

84        Croyez-vous que Dieu va vous guérir de cette hernie, monsieur, qui êtes assis là au bout de cette rangée, regardant dans cette direction? Vous vous disiez que c’est ce qu’Il a fait tout à l’heure, n’est-ce pas? C’est ce qu’Il a fait. Christ vous guérit. Votre trouble cardiaque vous a quitté, monsieur. Continuez votre chemin, réjouissez-vous et soyez heureux.

            Et le groupe tout entier, ici, peut être guéri en ce moment, si vous faites ce que je vous dis de faire. Allez-vous le faire? Allez-vous accepter cela, ou ce que je vous demande de faire? Tenez-vous debout, un instant. Que tout le monde répète ces mots: «Est-ce que.» J’aimerais que vous fassiez d’abord ceci. Est-ce que vous croyez maintenant que le Seigneur Jésus-Christ est dans cette salle? Est-ce que vous croyez qu’Il est ressuscité des morts? Est-ce que vous croyez que c’est Son Esprit qui se meut en ce lieu? Est-ce que vous croyez que c’est Lui qui parle par moi? Le croyez-vous? Alors voici Sa Parole qui provient à la fois de la Bible et de Son serviteur: «Jésus-Christ vous a tous guéris lorsqu’Il est mort au Calvaire. Il était blessé pour vos péchés, c’est par Ses meurtrissures que vous êtes guéris.» Et chaque personne qui a suffisamment de foi pour croire cela peut être rétabli maintenant même. Est-ce que vous croyez cela? Est-ce que vous L’acceptez? Prions.

85        Dieu Tout-Puissant, bénis ces mouchoirs, qui sont posés ici pour les malades. Et bénis ces malades qui T’acceptent maintenant comme leur Guérisseur. Et que la puissance du Dieu Tout-Puissant soit dans cette assistance, et secoue ces gens et les amène à avoir la foi de la résurrection du Seigneur Jésus-Christ, et qu’ils soient guéris. Maintenant, moi, en tant que Ton serviteur, je prends autorité sur chaque puissance démoniaque qui a lié les gens dans cette salle. Que... J’ordonne: «Satan, sors d’ici ! Au Nom de Jésus-Christ, tu es vaincu.» Que les infirmes marchent, que les aveugles voient, que les sourds entendent, que les malades soient guéris, au Nom de Jésus, le Fils de Dieu. Amen.

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