La Guérison De La Fille De Jaïrus

Date: 55-0227E | La durée est de: 2 heures et 1 minute | La traduction: Shp
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1          Bonsoir, les amis. Je suis heureux d’être de retour ici ce soir dans cet auditorium, au service du Seigneur Jésus. Et maintenant, je suis juste un tout petit peu fatigué, j’ai prêché durement à deux reprises aujourd’hui, et je suis un peu exténué. Il y a quelques instants je parlais à certains de mes frères au sujet de la prédication de cet après-midi ; je–je ne suis pas fameux comme prédicateur, mais j’espère que vous avez compris ce que j’ai voulu dire, ce que cela... Je crois vraiment dans le Sang.

2          Je pense que sans effusion de Sang, il n’y a pas de pardon de péché. Et je ne saurais insister assez là-dessus. Et mon–mon objectif cet après-midi en parlant de l’Agneau, c’était de montrer que le–l’agneau, dans l’ancienne loi du sacrifice, je me disais que je ferais plutôt mieux de redresser cela un petit peu, ou plutôt non pas de redresser cela, mais d’apporter cela en sorte que vous puissiez voir cela, afin que peut-être cela ne soit pas mal compris. Dans l’ancienne loi, lorsqu’un agneau, un holocauste était offert, l’agneau mourait, le substitut innocent, pour le pécheur coupable ; la vie qui sortait de la cellule de sang de l’agneau ne pouvait pas revenir sur l’homme, alors celui-ci sortait de la–l’église, du lieu saint, avec le même désir de pécher qu’il avait en y entrant. La seule chose qu’il recevait c’était une réponse d’une bonne conscience faisant qu’il savait qu’une victime innocente était morte pour sa culpabilité, pour ses péchés. Mais la vie de l’agneau, sortie de la cellule de sang de l’agneau, ne pouvait pas revenir dans l’être humain. Vous comprenez maintenant?

3          Mais lorsque Christ est mort, la Vie qui était dans la cellule de Sang de Christ est revenue dans l’être humain sous la forme du baptême du Saint-Esprit, mettant le croyant en relation avec Dieu, après qu’il a été purifié par l’offrande du Sang de Jésus-Christ. Voyez-vous ce que je veux dire? Maintenant, observez, nous allons ramener cela à un petit point tel que vous puissiez voir cela.

            Chaque petite cellule dans le corps humain et dans n’importe quel corps, commence premièrement par un petit germe. Et le germe vient du sexe mâle, peu importe que ça soit une mouche, c’est la même chose ; cela vient du sexe mâle, le petit germe de vie. Et le petit germe de vie qui était dans l’agneau, ça a dû premièrement être un esprit avant de devenir un germe. Et c’est de cela que nous allons traiter, par exemple la maladie.

4          Un cancer, qu’est-ce? Un germe. Qu’est-ce qu’une tumeur? Un germe. Qu’est-ce que la tuberculose? Un germe. Toutes ces maladies sont des germes appelés cancer, tumeur, tuberculose. Ce sont des termes médicaux. Ce qu’ils sont, ce sont des démons, selon les Ecritures. Ce sont des tourmenteurs qui viennent dans votre corps pour écourter vos jours sur la terre.

            Or, l’intention de Dieu, ce n’est pas qu’ils soient là. Il ne veut pas qu’ils soient là. Mais Satan, l’ennemi juré de Dieu et de l’homme, c’est lui qui les place là. Ce sont ses petits dém-... petits diables, démons. Demandez au médecin ce qui cause le cancer. Demandez-lui d’où vient la tumeur.

5          Lorsque j’ai été interviewé chez les frères Mayo, il y a quelques années, je leur ai posé des questions. J’ai dit : «N’est-ce pas là le commencement d’un germe?»

            «Oui.»

            J’ai dit : «N’est-ce pas qu’un germe est une vie?»

            «Oui.»

            J’ai dit : «Docteur, d’où vient cette vie?»

            Il a dit : «Personne ne le sait.»

            C’est un démon. C’est juste. Ce que c’est, c’est une vie. Maintenant, ne l’oubliez pas, le diable ne peut pas créer. Mais le diable peut prendre quelque chose que Dieu a créé et le pervertir. Comprenez-vous? Il pervertit. Eh bien, c’était une vie qui a été pervertie, d’un germe de vie en un germe de mort. C’est ce que le diable fait de votre vie même, de votre vie. Il pourrait la pervertir en l’incrédulité, et vous mourrez dans vos péchés et ne pourrez venir à Christ. Si vous laissez faire Dieu, Il sanctifiera cet esprit, ou plutôt vous donnera un Esprit sanctifié, le Saint-Esprit, qui vous fera passer de la mort à la Vie. Vous voyez?

6          Maintenant, ce petit germe qui était dans l’animal, qui a commencé, un petit germe... rendant cela... Evidemment, il y en a des milliards, ces petites cellules. Mais cette seule petite cellule étant brisée, a laissé échapper la vie de l’animal. Mais la vie ne pouvait pas... Eh bien, cela a été la réponse d’une bonne conscience envers Dieu, mais elle ne pouvait revenir sur le croyant. Sa conscience était la même que quand il était entré, seulement, il savait qu’il avait fait ce que Dieu avait ordonné. Mais la vie qui était dans l’agneau, l’animal agneau, ne pouvait pas revenir sur l’être humain, parce que c’était la vie d’un animal. Mais lorsque la cellule de Sang de Jésus-Christ a été brisée, et dans cette cellule de Sang se trouvait l’Esprit de Dieu, car le Saint-Esprit avait couvert une vierge de Son ombre, sans qu’elle n’ait connu d’homme sur la terre, le Saint-Esprit l’a couverte de Son ombre et s’est créé autour de Lui-même. Le Saint-Esprit est entré dans le sein de cette vierge et s’est créé une cellule de Sang dont Il s’est entouré. Et puis, lorsque cette coquille–cellule de Sang a été brisée au Calvaire, libérant l’Esprit, en plein à travers la cellule de Sang, le don de Lui-même, le croyant revient en passant par le Sang de Jésus-Christ. Et l’Agneau qui était mort, l’Esprit qui était sorti de l’Agneau revient de nouveau sur le croyant, et ce dernier devient un fils de Dieu, au moyen de l’offrande du Sang de Jésus. Saisissez-vous cela maintenant? Amen. Que le Seigneur vous bénisse.

7          Je ne parle pas très bien ; je suis vraiment lent, et–et je–je prêche partout, là où ces prédicateurs du Plein Evangile prêchent si fortement, au point que vous–vous pouvez les entendre sans micro. Et ma toute petite voix, mes vieilles manières lentes des baptistes ne me permettent pas de prêcher aussi vite qu’eux, si bien que... J’essaie vraiment de faire en sorte que cela soit très clair, vous voyez, afin que je–que je... ce que j’essayais de vous apporter.

            Eh bien, ce soir comme c’est un dimanche soir, je vois maintenant donc dans l’auditoire un Indien. Pourrait-il y avoir ici des Indiens qui sont venus de la... de la réserve hier? Veuillez lever vos mains. Tous les Indiens qui étaient à la réserve hier, voudriez-vous lever la main? Oui, il y en a quelques-uns là au fond. Eh bien, gloire soit rendue à Dieu. Oui, je vois qu’ils comprennent l’anglais.

8          J’aimerais vous dire, mon frère et ma soeur Indiens dans le Seigneur Jésus, que ce... Je suis prédicateur depuis vingt-trois ans, et j’ai eu des milliers de réveils, et par la grâce de Dieu, jusqu’à un million d’âmes maintenant qui ont été conduites à Christ au cours de nos réunions, mais je n’ai jamais tenu de réunion en Amérique du Nord qui ait produit des résultats spirituels comme ceux d’hier à cette réunion chez les Indiens. Je n’ai jamais vu cela de ma vie, parmi ces gens pauvres, pratiquement proscrits... C’est là que Dieu... Vous savez, des fois il vous faut avoir des ennuis pour vous rendre vraiment compte qu’il vous faut Dieu. Lorsque vous possédez tout, eh bien, c’est comme si vous n’avez pas besoin de Lui ; seulement, lorsque vous êtes en train de mourir, vous espérez qu’Il vous donnera une demeure au Ciel. Mais ces pauvres Indiens, de véritables et authentiques Américains à cent pour cent, ce sont eux qui étaient dans le besoin hier, et le Seigneur Jésus les a visités avec la plus grande onction du Saint-Esprit que j’aie jamais eue dans une quelconque ligne de prière en Amérique du Nord. Que Dieu vous bénisse tous et vous garde.

            Et écoutez ceci, mon frère et ma soeur Indiens, vous verrez que dans les jours à venir... Déjà, je pense que vous le savez, qu’il y a eu tant de choses qui ont été faites hier, dont vous vous souviendrez toujours tant que vous serez en vie. Voyez si cela n’est pas exact.

9          Certains frères me parlaient de trente ou trente-cinq visions. Cela fait dix fois plus que je ne peux en avoir ici. Et je me suis agenouillé et j’ai prié pour à peu près trois cents personnes en dehors de ceux qui sont venus à la voiture après le service. Je suis très heureux pour cela, et mon coeur est vraiment réchauffé et ému.

            Et je sais que vous les Blancs qui êtes ici à la réunion, ainsi que les Espagnols et les autres, c’est-à-dire des concitoyens du Royaume avec ces Indiens, n’êtes-vous pas heureux que le Seigneur Jésus les visite avec une grande effusion?

10        Et tous ceux qui me connaissent savent combien j’aime faire la chasse. Et Monsieur McAnally, il se peut qu’il soit maintenant dans la salle, un ami, un très cher ami, il aime toujours m’amener à la chasse. Et nous avions programmé d’aller à la chasse samedi, parce que c’est un jour férié, mais Dieu a parlé à mon coeur, et Il a dit : «Va chez les Indiens.» Et je suis très heureux d’y avoir été. Je remercie beaucoup Monsieur McAnally. Et je suis très heureux que le Seigneur m’ait amené à la réserve indienne. Et frère McAnally, que le Seigneur bénisse votre coeur, vous et moi nous irons à la chasse une autre fois. Mais j’ai fait la chasse aux âmes hier pour le Seigneur Jésus.

            Eh bien, ce soir, nous ne prendrons pas beaucoup de temps, nous allons simplement lire une Ecriture, et nous allons entrer tout droit dans la Parole et dans la ligne de prière, et je vais... Peut-être que frère Moore, frère Brown, frère Ballard qui est ici, quelques-uns d’entre eux, vont peut-être m’aider à dire quelque chose maintenant alors que les jours... Nous allons directement de cette série de réunions à une autre série de réunions de cinq jours, directement de celle-là à une autre série de réunions de dix jours, ainsi de suite. Et que Dieu aide...

11        Maintenant, je vois qu’il y a beaucoup de gens qui sont debout dans les couloirs et à l’entrée et ailleurs, de part et d’autre de la salle. Nous sommes désolés que vous soyez obligés de rester debout. Mais nous prions que Dieu fasse quelque chose ce soir de façon que vous soyez récompensés mille fois pour être venus à la réunion. Que Dieu vous bénisse, chacun de vous.

            Maintenant, inclinons la tête juste un instant pour un mot de prière. Combien veulent lever la main et dire : «Frère, souvenez-vous de moi dans la prière pendant que vous priez?» Voulez-vous lever la main afin que le Seigneur Jésus vous voie? Que Dieu vous bénisse partout, C’est bien. Il voit chaque main.

12        Notre Père céleste, pendant que nous venons sur base du Sang versé de Jésus, ô Dieu, donne-nous ce soir la vision, afin que nous voyions ce qui s’est passé lorsque les veines d’Emmanuel ont été brisées et ont fait sortir la cellule de Sang de l’Agneau mourant de Dieu. Par là, par le péché, par le brisement de la cellule de Sang, libérant la Vie qui était à l’intérieur, afin que maintenant l’adorateur, en venant à Dieu, vienne au travers du Sang versé de l’Agneau innocent de Dieu, pour entrer dans Zoe, la Vie de Dieu Lui-même, pour devenir alors un fils ou une fille de Dieu, sur base du Sang versé. Ainsi, nous allons de l’avant pour poursuivre l’oeuvre de réconciliation pour laquelle Christ est mort au Calvaire, enseignant aux pécheurs qu’ils peuvent être réconciliés avec Dieu par l’effusion de Son Sang, et que dans Ses meurtrissures fut incluse cette merveilleuse expiation, qui fait que le Saint-Esprit Lui-même sorti de la cellule de Sang est présent pour témoigner que c’est la vérité, que c’est par Ses meurtrissures que nous sommes guéris. Oh ! combien nous Te remercions, Père.

            Maintenant, Tu as vu les mains de ces gens. Tu sais tout ce dont ils ont besoin, ainsi que le désir même de leurs coeurs. Je Te prie, ô Dieu notre Père, d’accorder à chacun ici présent, spécialement cette bénédiction ce soir : la Vie Eternelle. Guéris tous les malades et tous les affligés, ramène les rétrogrades. Tire gloire pour Toi-même, alors que nous nous présentons comme des vases vides, afin que le Saint-Esprit puisse nous remplir maintenant pour le service de Dieu.

            Nous Te présentons ceci au Nom du Seigneur Jésus, le Fils de Dieu. Amen.

13        Maintenant, juste pour quelques instants, pour nous approcher de Dieu sur base de Sa Parole. Si l’ingénieur le voudrait bien, ce serait peut-être une bonne idée d’augmenter ceci un petit peu, s’il le voudrait, en effet avec beaucoup de gens, cela rend... le volume faiblit.

            Dans le Livre de Saint Luc, au chapitre 8, et à partir du verset 50. C’est bien, Monsieur l’ingénieur, vous qui faites ça. M’entendez-vous très bien tout au fond en arrière maintenant? C’est bon. En haut au balcon, pouvez... C’est bien. Très bien.

            Maintenant, écoutez attentivement pendant quelques instants.

Mais Jésus, ayant entendu cela, dit : Ne crains pas crois seulement... elle sera sauvée.

            Maintenant, que le Seigneur ajoute Ses bénédictions à cette Parole, à la lecture de la Parole.

14        Nous allons parler ce soir d’un miracle qui a eu lieu dans la Bible. Et pendant que je me retourne maintenant en parlant des miracles, je regarde en bas et je vois un petit garçon qui est assis ici, une petite victime de la polio, avec des armatures orthopédiques aux jambes. Que Dieu accorde que ce petit enfant soit en mesure de marcher de nouveau sans ses armatures orthopédiques.

            Voici des lits de camp, et quelques fauteuils roulants qui sont ici ce soir, il y en a deux ou trois. Nous prions que Dieu les vide ce soir. Croyez seulement, mes très chers amis.

            Maintenant, rappelez-vous, je ne pourrais pas vous guérir. Je n’ai rien avec quoi vous guérir. Mais Dieu, peut-être, est le Seul capable de vous guérir. Je ne connais pas vos problèmes. Mais, assurément, si Dieu descend dans la Parole et qu’ensuite Il descende dans l’Esprit, et qu’Il vous confirme qu’Il est ici sous le même principe selon lequel nous prêchons que le Saint-Esprit est ici, et s’Il vient vous montrer la même chose, et vous confirme par la Bible que Jésus est mort afin que vous soyez guéri, acceptez cela. Croyez vraiment cela de tout votre coeur. Ce que vous ressentez ne change rien, quand tout au fond de votre coeur, vous savez que vous allez vous rétablir, n’ayez pas peur, avancez carrément. C’est Dieu qui vous parle.

15        C’est là que la Vie sortie de l’animal, ou plutôt pas de l’animal, mais du Fils de Dieu, revient et témoigne à votre coeur qu’Il a agréé votre foi dans la gloire, vous devez vous rétablir.

            Maintenant, nous allons parler d’un miracle qui a eu lieu dans le Nouveau Testament, la guérison de la fille de Jaïrus, un petit sacrificateur du temple. Une merveilleuse leçon, si seulement nous avions le temps d’en parler un peu.

            Dans le chapitre qui précède, nous voyons là un verset, où le Fils de Dieu a consacré beaucoup de temps à la prière. Et si Jésus a dû consacrer beaucoup de temps à la prière pour rester en communion avec l’Esprit qui était en Lui, combien plus vous et moi devons-nous consacrer du temps à la prière? Beaucoup de temps à la prière. Si seulement vous saviez ce que représentait le temps de la prière. Ce que... Des fois lorsque vous êtes en prière, Dieu change la–la destination totale de différentes choses qui devraient arriver. Croyez-vous cela? Il se pourrait que quelque chose soit sur le point d’arriver, et votre prière pourrait changer toute la situation.

            Eh bien, vous direz : «Si Dieu sait que la chose va arriver, que pourrait alors faire ma prière?»

16        Vous vous rappelez quand Il s’est tenu là, contemplant la moisson, Il a dit... Il était le Maître de la moisson. Il a dit : «La moisson est mûre, mais peu nombreux sont les ouvriers ; priez le Maître de la moisson afin qu’Il envoie des ouvriers dans Sa moisson.» En d’autres termes : «Priez-Moi afin que J’envoie des ouvriers dans Ma moisson, et Je vous dis que c’est une chose très importante.»

            Mais une partie de cela est dans les êtres humains. Croyez-vous cela? Le Royaume de Dieu est dans l’être humain. Eh bien, Jésus a dit dans un verset : «Je suis le Cep, vous êtes les sarments.» Le cep ne peut pas porter du fruit ; ce sont les sarments qui portent du fruit. Dieu ne peut pas de Lui-même porter du fruit, il faut que ce soit l’Eglise. Est-ce juste? Il faut qu’Il vous prenne vous les sarments, pour porter du fruit. Et lorsque vous les sarments, vous vous abandonnez au cep, alors les fruits apparaissent. Voyez-vous ce que je veux dire? Dieu a besoin de vos mains ; Il a besoin de vos yeux ; Il a besoin de votre langue, Il a besoin de vos lèvres, Il a besoin de vos oreilles, Il a besoin de vos mains et de vos pieds afin qu’Il puisse porter du fruit par vous.

17        Eh bien, Jésus a consacré beaucoup de temps à la prière. Un jour, là, Il a parlé à Ses disciples, disant : «Maintenant, traversez de l’autre côté.» Il les a envoyés au loin pendant que Lui est monté à la montagne pour prier. Pendant qu’Il se trouvait là-haut seul, effectivement... une tempête a surgi. Je crois, je ne suis pas sûr, mais je crois que si j’étais à la place des disciples, j’aurais dit : «Je sais qu’Il nous a dit d’aller de l’autre côté, mais je–je crois que je vais attendre jusqu’à ce qu’Il vienne pour que nous partions ensemble.» J’aimerais qu’Il soit avec nous dans des cas comme ceux-là, pas vous?

            Ainsi, nous Le voyons maintenant monter à la montagne pour prier. Les disciples se sont précipités à la mer, ils ont pris leurs rames, et ils ont hissé la voile de leur petite barque, et ils se sont mis en route, ramant pour traverser de l’autre côté où Jésus devait les rencontrer, de l’autre côté. Alors qu’ils partaient sans le Saint-Esprit, ou plutôt sans Christ qui était à ce moment-là sous une forme visible, en route il y eut des ennuis. Et, généralement, si vous vous mettez en route quelque part sans Christ, il y aura des ennuis sur la route. Et aussitôt que le diable vous verra sans la communion avec Christ, immédiatement Il se mettra à votre poursuite aussi vite que possible. Et dès qu’il vous verra loin de la prière, loin de la consécration, Satan vous attrapera immédiatement, s’il le peut.

18        Vous savez, c’est... Une nuit, alors que Billy Paul, mon fils que voici, il était tout petit, et nous vivions dans une petite cabane à deux pièces, ma femme avait mis de cette cire de parquet sur du linoléum, sur le parquet, et le parquet était très glissant, et nous avions un vieux seau dans l’autre pièce, dans la cuisine ; nous avions deux pièces. Et nous dormions dans la pièce du devant, et la pièce d’à côté était la cuisine. Et le seau d’eau se trouvait là, avec la louche. Et il s’est donc réveillé, et il a dit : «Papa?»

            Et j’ai dit : «Quoi?» Un tout petit enfant.

            Il a dit : «J’ai soif.»

            Et j’ai dit : «Eh bien,» oh ! j’étais tellement fatigué, et, oh ! la la ! j’avais marché pendant la patrouille.

            J’ai dit : «Chéri, peux-tu aller boire là-bas? C’est juste–juste derrière la porte.»

            Il a dit : «Papa, viens m’accompagner.»

            Et j’ai dit : «Oh ! rien ne va te nuire, chéri ; va simplement derrière la porte.»

            Il a dit : «Papa, j’ai peur d’y aller à moins que tu m’accompagnes.»

19        Je me suis dit : «Pauvre petite créature.» C’est juste. «Ô Dieu, j’ai aussi peur d’y aller, à moins que Tu m’accompagnes. Père, je sais que tout va très bien. Tu as ordonné aux ministres d’aller prêcher l’Evangile, mais si Tu ne m’accompagnes pas, j’ai peur. Viens m’accompagner.»

            Alors, je me suis levé et je l’ai cherché à tâtons, et je l’ai pris par la main. Nous avons commencé à traverser la pièce. Et juste au moment où nous avons commencé à traverser la pièce, elle avait posé un de ces petits tapis là, et le petit garçon a glissé, et il allait carrément tomber juste sur son visage, si je ne lui tenais pas la main. Et je l’ai retenu, comme ceci, pour l’empêcher de s’écraser carrément le visage. Je me suis dit : «En réalité, ô Dieu, c’est juste. Tiens simplement ma main à ces endroits ténébreux et glissants et tout, pendant que je cherche l’Eau de la Vie. Tiens-moi simplement par la main alors que j’avance.»

20        Jésus et eux sont allés... Je veux dire, les disciples sont partis sans Christ. Jésus est monté seul à la montagne pour prier. Il y avait une bataille à livrer juste en traversant de l’autre côté. Lui qui était le–le Roi de tous les prophètes, le Fils de Dieu, né d’une vierge, sachant ce que le Père Lui avait demandé de faire, Il le savait, Il a senti venir la pression de cette bataille. Alors, Il est monté seul à la montagne pour prier. C’est ça.

            Et pendant qu’Il était en prière, Il a regardé en bas, sur la mer, alors que le soleil se couchait, les vents étant contraires, la vieille petite barque zigzaguait et dérapait, prête à sombrer. Ils eurent peur et la vieille petite barque se remplissait d’eau. Ils ramaient de toutes leurs forces. Et quand ils ont regardé dans le noir, voici venir un Homme, marchant sur les eaux, qui allait les dépasser. Il pouvait très bien passer de l’autre côté. Le voici donc venir pour les dépasser, et ils eurent peur, et ils pensaient qu’ils voyaient quelque chose, un–un esprit, ce que nous appellerions aujourd’hui un fantôme. Voici venir un Homme marchant sur les eaux, marchant à côté d’eux, et ils ont eu peur et ont été troublés. Voici le problème : la seule chose qui pouvait les aider, ils en avaient peur.

21        Et c’est ce qu’il en est aujourd’hui. Lorsque Dieu descend dans un réveil envoyé de Dieu, du Saint-Esprit, à l’ancienne mode, les gens sont nés de nouveau de l’Esprit de Dieu, et les gens sont guéris, avec des signes et des prodiges ; le Saint-Esprit vient et se meut au-dessus de l’auditoire, Il accomplit des signes surnaturels, les gens sortent et disent : «Ah, ce n’est pas pour moi. C’est de la télépathie mentale ; c’est le diable. Je–j’en ai peur.» La seule chose qui peut vous aider, on en a peur.

            Alors Jésus a dit : «N’ayez pas peur. C’est Moi ; c’est Moi.»

            Ouvrez simplement votre coeur ce soir alors qu’Il commence à se mouvoir au-dessus de l’auditoire, et voyez s’Il ne vous dit pas : «N’ayez pas peur, c’est Moi. Je suis votre Sauveur ; Je viens vous guérir. Croyez tout simplement cela ; et Je vous parlerai même.» Amen. Voyez-vous cela? Croyez simplement cela. La seule chose que vous ayez à faire, c’est de croire tout simplement.

            Maintenant, nous Le voyons traverser les eaux, Il venait de quitter l’autre rive, là où un grand réveil aurait pu avoir eu lieu, à Gadara. Mais au lieu que le réveil ait lieu, les gens n’ont pas voulu d’un réveil. Voyez-vous, si vous ne voulez pas de Christ, Il ne fera pas pression sur vous. Certainement pas. C’est ainsi... Vous devez d’abord Le désirer.

Heureux ceux qui ont faim et soif de la Justice, car ils seront rassasiés !

            C’est ça. Lorsque vous avez faim, c’est même une bénédiction que d’avoir faim et soif de la Justice.

22        Maintenant, observez ce qu’Il a fait. Il a traversé toute cette mer pour aller de l’autre côté sauver un homme qui désirait ardemment Le voir venir, et c’était le fou de Gadara. Le fou est sorti en courant, possédé de démons. Voici venir tous ces prédicateurs qui, l’ont regardé et ils ont dit : «Nous ne voulons rien de tel ici, rien de cette affaire de chasser les démons. Eh bien, cela nous a coûté tout un troupeau de cochons. Nous ne devons pas avoir de réveil.»

            Eh bien, ils étaient plus à l’aise avec le démon et les cochons qu’avec Jésus. C’est juste. Eh bien, ils–ils voulaient leurs cochons. Ils n’appréciaient pas que cet homme soit délivré de cette puissance maléfique.

            Vous savez, cet homme, lorsqu’il a recouvré son bon sens et qu’il a voulu suivre Jésus, Jésus lui a dit de rentrer dans la ville rendre témoignage. Quand j’arriverai dans la gloire, j’aimerais voir quel impact ce témoignage a eu sur l’élevage des cochons à Gadara à partir de ce moment-là.

23        Il était là, le fou L’a aussitôt reconnu, lui qui était possédé d’un démon. Et ces démons qui étaient en lui criaient et disaient : «Nous savons qui Tu es, le saint Fils de Dieu. Pourquoi viens-Tu nous tourmenter?»

            Jésus a dit : «Taisez-vous et sortez de lui.»

            Et ils ont dit : «Si nous sortons, nous permettras-Tu d’aller là dans ces cochons?»

            Il a dit : «Ne vous faites pas prier, allez-y.»

            Et les cochons se sont précipités dans le fleuve et se sont noyés, il y en avait environ deux mille. Et les gens sont sortis et ont dit : «Oh ! la la ! si c’est ce que ça va nous coûter, nous ne devons simplement pas avoir ces réunions.»

24        Alors tous les prédicateurs et les autres qui se tenaient là ont dit : «Eh bien, retire-toi simplement de notre contrée, de partout. Nous ne voulons rien de tel par ici, c’est trop mystérieux ; ça effraie. Nous n’en voulons pas. Nous préférons rester ici et que nos sacrificateurs nous enseignent et ainsi de suite ; nous ne voulons pas de cela. Ce–ce n’est pas ce que nous voulions. Nous pensions que ce serait différent de cela.»

            Vous savez, les choses ne changent pas tellement au fur et à mesure que le temps passe, surtout dans ce–ce domaine. Les gens ne veulent pas de la chose. Comme beaucoup de réveils ont été prêchés à travers la contrée, ceci devrait être un grand alléluia de l’est à l’ouest, et du nord au sud. C’est juste. Mais les gens n’en veulent pas. Vous, vous en voulez. Vous êtes sincères dans vos coeurs, enfants de Dieu. Vous en voulez. Mais regardez quel petit nombre vous êtes par rapport à ces millions. Voyez-vous? Saisissez-vous cela? Légion voulait très bien avoir le réveil. Il était prêt, mais les autres n’en voulaient pas.

25        Jésus, lorsqu’Il a traversé, qu’Il est arrivé dans les brousses de l’autre côté, il y avait là une femme qui avait une perte de sang. Elle avait vendu tout ce qu’elle avait, elle avait dépensé tout son bien chez les médecins. Les médecins l’avaient sans doute soignée pendant un certain nombre d’années. Mais elle avait dépensé tout son avoir, et elle n’allait pas mieux. Son état ne cessait d’empirer.

            Or, ce n’était pas un bon témoignage pour ces médecins-là, n’est-ce pas? Mais, de toute façon, les médecins font leur part. Ils sont importants, mais ils ne guérissent pas. C’est Dieu le Guérisseur.

            Ainsi donc, lorsque la... la... Jésus, elle a entendu parler de Lui ; sans aucun doute du tout, sinon elle n’aurait pas pu avoir une telle foi, en effet, «la foi vient de ce qu’on entend.»

26        Et je peux me représenter un petit garçon, là à la rivière ce matin-là, ou plutôt au lac, avec ses lignes de pêche, en train d’attraper un tas de poissons. Et immédiatement, vous savez, il a vu venir de la mer ce petit groupe de disciples fatigués, dans la barque, en train de ramer avec Jésus qui dodelinait de la tête, à l’arrière. Il était très fatigué et très épuisé, mais le Père Lui avait dit : «Traverse, J’ai un besoin que Tu dois accomplir de l’autre côté.»

            Les hommes de Dieu sont conduits par l’Esprit de Dieu. Jésus a dit : «Je ne peux rien faire de Moi-même, mais ce que Je vois faire au Père, le Fils le fait pareillement.» C’était là Sa déclaration.

            Ainsi donc, dans ce cas-ci, qu’est-il arrivé? Dieu devait Lui avoir montré de traverser la mer, car Il avait là-bas ce petit prédicateur frontalier qu’Il voulait qu’il soit redressé. Alors Jésus en traversant...

27        Eh bien, Sa vision était fixée sur Jaïrus, et cette femme a dit : «Je crois que cet Homme est un Homme de bien. Je crois qu’Il est absolument le Fils du Dieu Très Haut. Et je crois qu’en Lui habite... l’Esprit de Dieu habite dans cet Homme. Ainsi, s’Il a pu aider les autres, faire quelque chose pour les autres, je crois que si je peux seulement m’approcher suffisamment de Lui... Or, je n’ai pas d’argent, je suis pauvre. Je ne connais pas Son attitude. Il se pourrait qu’Il exige certaines choses. Ainsi, j’ai dépensé tout mon argent chez les médecins, mais je crois que si seulement je pouvais me frayer une voie à travers toutes ces célébrités et tout le reste, jusqu’à toucher Son vêtement, je serai guérie.»

            C’est ainsi qu’il faut croire la chose. Jésus n’avait pas eu de vision d’elle. Il ne savait pas qu’elle était là.

            Ainsi, Il est sorti de la barque, et les gens sont venus, disant : «Dites donc est-ce là ce prophète qui vient là, de l’autre côté et dont nous avons appris qu’Il a fait tant de miracles? Voyons ce qu’Il va faire.»

28        Et j’imagine quelqu’un courir le dire au sacrificateur, et voilà qu’ils sont tous venus là et ont dit : «Eh bien, nous allons voir ce dont Il est capable maintenant ; nous allons simplement regarder. Eprouvons Sa religion. Voyons ce qu’Il croit. S’Il ne croit pas conformément à notre doctrine, nous n’aurons rien à voir avec Lui.»

            Toujours est-il que les temps ne changent pas beaucoup, ainsi... «De toute façon, nous allons découvrir ce qu’Il croit. Et s’Il ne s’adapte pas à notre standard, nous ne Le recevrons pas dans nos synagogues. Il n’y aura aucun de ces réveils fanatiques sur la guérison des malades et autres par ici. Nous n’allons pas du tout collaborer avec Lui. J’ai connu Pierre, le pêcheur ; c’est un brave ami. Et j’ai connu Matthieu le publicain, et ainsi de suite, de même que Lévi ; je l’ai connu, lui, le percepteur d’impôts. Il...?... un brave garçon honnête. Je l’ai très bien connu, mais il est venu maintenant par ici pour commencer un réveil. Et tout d’abord, nous allons tester Sa doctrine pour savoir ce qu’Il croit. Puis nous allons voir si nous pouvons collaborer avec Lui ou pas.»

            Jésus n’a prêté aucune attention à cela. Il n’avait qu’une seule chose à faire, c’était la volonté de Dieu. Il a continué Son chemin.

29        Cette petite femme se tenait là, la voici venir, regardant ça et là, une pauvre petite créature faible et frêle, souffrant d’une perte de sang depuis plusieurs années, faisant une grande hémorragie. Et elle est venue, son petit visage pâle regardant ça et là. Je peux voir le sacrificateur dire : «Dis donc, que fais-tu ici?»

            «Eh bien, je–je–je veux Le voir.»

            «Eh bien, tu ne vas pas te mêler de ce genre de trucs, n’est-ce pas? Tu as été notre meilleur membre, nous ne voulons donc pas du tout que tu sois à cette réunion.» Voyez-vous?

30        Eh bien, elle s’est inclinée puis elle s’est éloignée de cet homme, elle est venue par ici. Le comité général se tenait là. Alors là, elle a encore eu des ennuis. Elle s’est donc faufilée là où se trouvent les pêcheurs, et la voici venir en rampant entre leurs pieds, se déplaçant comme ceci, levant la tête pour voir où–qui est celui-là, puis elle a touché Son vêtement ; elle s’est dit : «C’est tout ce qu’il me faut.»

            Alors, elle s’est quelque peu éloignée de là, et elle a dit : «Oh ! je suis vraiment reconnaissante d’être guérie.»

            En effet, elle l’avait senti dans son corps, quelque chose ici tout au fond qui disait : «Ça suffit, c’est tout ce qu’il te faut.»

            Oh ! Petite femme, rampez de la même façon ce soir à travers tous les démons de doute aux longues robes qui se tiennent là et qui vous disent : «Les jours des miracles sont passés ; vous devez monter sur l’estrade ; on doit vous imposer les mains» ; rampez carrément là-bas jusqu’à ce que vous touchiez Son vêtement.

            Au moment où vous Le toucherez, quelque chose vous arrivera ici au fond qui dira : «Ce n’est pas nécessaire que je monte sur l’estrade, je n’ai besoin de rien maintenant.»

            Observez alors ce qui va arriver. Observez ce qu’Il fera. Jésus s’est retourné, Il a regardé autour de Lui et a dit : «Qui M’a touché?»

31        Les gens ont dit : «Eh bien, qui T’a touché ! Eh bien, ont-ils dit, c’est tout le monde qui Te tapote dans le dos et qui essaie de Te serrer la main et le reste ; c’est tout le monde qui Te touche. Toute cette bande de pêcheurs de part et d’autre de ce rivage, ont-ils dit, ils...»

            Il a dit : «Oui, mais quelqu’un M’a touché d’un toucher différent de celui des autres.» Il a dit : «Une force est sortie de Moi ; Je me suis affaibli.»

32        Alors, Il s’est retourné avec ces grands yeux aimables, tandis qu’Il avançait, et de Son regard pathétique, un Homme de douleur, habitué à la souffrance, Il a parcouru des yeux l’auditoire, probablement plus grand que celui-ci. Il a regardé là dans l’auditoire, Il a vu la petite dame, Il l’a directement fixée du regard. Elle a vu qu’elle ne pouvait pas se tenir cachée. Il a dit : «Ta foi t’a guérie. Pas Moi, mais c’est ta foi dans le programme de Dieu, ta foi t’a guérie.» Et elle est venue tomber à Ses pieds pour L’adorer.

            La principale alternative pour Jésus en traversant la mer ce soir-là... Il y avait un petit homme là de l’autre côté, qui était sacrificateur, du nom de Jaïrus, un gentil petit monsieur. Mais, vous savez, l’association des ministres l’avait sous leur contrôle. Lui croyait vraiment en Jésus, mais il avait peur de le déclarer publiquement. Le pauvre petit Jaïrus, dans quelle situation il se trouvait ! En effet, on lui avait dit : «Tout celui qui croira dans ce fanatique, ce Béelzébul, ce diseur de bonne aventure, si donc quelqu’un croit en Lui, nous allons immédiatement rayer son nom des registres de la synagogue, tout celui qui croira en Lui.»

33        Le petit Jaïrus, tout au fond de son coeur, croyait la chose. Il y croyait. Dieu voyant tout, connaissait toute chose. Il savait que Jaïrus croyait cela, alors Il lui a donné l’occasion d’exprimer sa foi. Des fois, c’est ce que Dieu fait.

            «Eh bien, a-t-il dit, oh ! peut-être [Frère Branham se racle la gorge.–N.D.E.], oui, c’est juste.» Dans cette association, lorsque le conseil de tous les ministres s’est réuni, voyez-vous, ils se sont rencontrés là-bas, et il a dit : «Oui, c’est–c’est probablement juste, frères, oui, oui.» Mais dans son coeur, il avait foi en Christ. Très bien. Remarquez.

            Le temps est passé. Quelque temps après, Dieu est descendu sur Son Fils ; Il Lui a donné la vision de quelque chose qui se passerait ici, de l’autre côté du lac. Et au même moment, Dieu a commencé à préparer le terrain. Il avait donc une fillette d’environ douze ans. C’est donc là le moyen par lequel Dieu entre dans son coeur. Il descend vers sa fillette, et elle tombe malade.

            Eh bien, vous voyez, Jaïrus, étant un croyant frontalier, il croyait simplement jusqu’à ce point-là. Il ne savait pas comment croire le reste de cela. Nous avons beaucoup de Jaïrus aujourd’hui, n’est-ce pas?

34        Et ainsi donc, lorsqu’il... Sa fillette est tombée malade, eh bien, évidemment la seule chose qu’il y a à faire, c’est de faire venir le médecin, parce qu’ils croyaient que les jours des miracles étaient passés, et qu’il n’y avait plus rien de tel, et que cette affaire qui se passait de l’autre côté du lac n’était que du fanatisme, et qu’ainsi cela ne valait rien. Un Gars, là de l’autre côté, possédé de démons Lui-même, allait partout, chassant les démons par Béelzébul, le chef des démons... Et la seule raison pour laquelle ils pouvaient condamner cela, c’était parce que Jésus ne croyait pas leur doctrine. Ainsi... Mais la seule chose que Jaïrus pouvait faire, c’était d’appeler le médecin.

            Peut-être que le médecin est venu, un homme gentil sous tous les rapports, il a posé son cartable, il a fait sortir des plantes médicinales, il a examiné la langue de la fillette, il l’a examinée entièrement, il a tâté son pouls, il lui a donné quelques doses de médicament, puis il est parti ; et l’état de la fillette s’est aggravé. Le médecin est donc revenu tôt dans l’après-midi, il l’a consultée encore, il a dit : «Elle est au plus mal.»

35        Alors, toute la nuit sa petite fièvre a fait rage. Et, en homme sincère, le médecin s’est assis au lit, a pris son pouls, a examiné ses yeux, et a fait tout ce dont il était capable ; il a frotté sur elle tous les médicaments qu’il pouvait frotter, et il lui a fait ingurgiter tout ce qu’il pouvait. Et au même moment, Dieu était déjà en scène. Dieu envoyait le Fils de Dieu de l’autre côté de la mer, de l’autre côté des eaux, Il était en route.

            La barque tanguait et luttait mais avançait ; les vieilles rames se balançaient, et la barque grinçait, elle était presque remplie d’eau, mais Il forçait la traversée, parce qu’Il avait quelque chose à faire de l’autre côté.

            Le petit Jaïrus est resté debout, peut-être toute la nuit, lui et sa femme, préparant des produits qu’ils appliquaient sur elle. Et le lendemain matin, le médecin a dit : «Eh bien, Jaïrus, j’aimerais que tu viennes ici à côté un instant.» Il se met de côté et dit : «Jaïrus, j’ai horreur de te dire ceci, mais l’état de ta fille empire rapidement. Son coeur s’affaiblit maintenant ; alors qu’il est censé être entre soixante-dix et quatre-vingt, il est descendu entre trente et quarante» (ou quelque chose de ce genre), «il empire rapidement. Eh bien, Jaïrus, toi qui es un ecclésiastique, écoute, en tant qu’un cons-... membre du conseil et du sanhédrin, il n’y a qu’une seule chose à faire, à ma connaissance, Jaïrus, c’est de retourner et de prendre ta femme dans tes bras, et de lui dire de se préparer pour le choc, car l’enfant va mourir. Il n’y a rien... Jaïrus, tu sais que je suis ton médecin ; je suis un spécialiste, et ma connaissance médicale me montre que la fille, la respiration est en train de baisser, il ne reste à ta fille que de mourir.»

36        Le coeur du pauvre petit Jaïrus a commencé à battre très fort, comme cela. Et je crois qu’à ce moment-là quelque chose a commencé à se mouvoir. «Ce n’est pas mon dernier espoir, docteur.»

            Alors, je le vois entrer, parler à sa femme et lui dire : «Ma femme, le médecin nous a donné cette nouvelle alors qu’il s’en allait il y a quelques instants à bord de son petit chariot, comme quoi la... notre fillette va mourir. Eh bien, ma femme, j’ai une petite confession que j’aimerais te faire.»

            «Oui, qu’est-ce, père?»

            «Eh bien, tu sais, un de mes amis est venu de l’autre côté là-bas, et il m’a dit que ce Jésus de Nazareth...»

            «Eh bien, un instant, chéri. Tu sais ce poste que tu as à l’église, c’est ça notre pain et notre viande.»

            «Eh bien, mais, chérie, d’une façon ou d’une autre, là, du fin fond de mon coeur, je crois qu’Il est ce qu’Il dit être. En effet, côté position, je vois dans les Ecritures que c’est le moment où Il doit être ici pour faire ces choses, je crois par là qu’Il est le Fils de Dieu.»

37        «Eh bien, Jaïrus, comment es-tu allé à l’extrême? a-t-elle dit. Comment est-ce possible?»

            «Eh bien, écoute, chérie. Je savais qu’Il avait guéri des gens de l’autre côté. Notre enfant est étendue là, mourante.»

            Et je peux entendre sa femme dire : «Tu sais, chéri, j’étais simplement en train de te tester un peu.» Vous savez, votre femme peut faire cela très facilement, ou le mari aussi, vice versa. Voyez-vous?

38        Il a dit : «Je te testais tout simplement, mais en réalité, j’ai fait venir un ami pour me parler, et je crois en Lui. Vraiment dans mon coeur, je crois qu’Il est le Fils de Dieu. Oh ! si seulement nous pouvions traverser le lac et revenir à temps avant qu’elle ne meure.»

            Et à ce moment-là, je vois un petit garçon remonter la rue, en criant : «A vous tous, à vous tous, Jésus de Nazareth a débarqué là-bas.» De nouvelles espérances... Amen. La foi commence à agir. «La foi vient de ce qu’on entend.»

            Une nouvelle espérance commence à venir. Je peux voir le petit sacrificateur dire : «Mère, cela peut me coûter mon poste ici à l’église, mais il s’agit de mon enfant qui se meurt.»

39        Je vous assure, n’attendez pas jusqu’à ce qu’un autre moment... attendre... Il lui fallait aller vers Jésus juste à ce moment-là. Non pas «jusqu’à ce que je sente comme si cela...» C’était le moment de partir. Et si jamais il y avait un moment pour partir, c’est le moment de partir maintenant.

            «Oh !, a-t-il dit, le... Il n’est pas question d’attendre que je me sente mieux, le moment approprié ; c’est maintenant le moment.»

            C’était le moment d’agir. Et maintenant, c’est le moment d’agir. C’est maintenant le moment pour vous qui souffrez du cancer, vous que les médecins ont abandonné. C’est maintenant le moment pour vous qui souffrez du coeur et que le médecin a abandonné. C’est maintenant le moment pour vous qui êtes assis ici, les estropiés que les médecins ont abandonnés. C’est maintenant le moment pour vous tous qui êtes sur les brancards, et que les médecins ont abandonnés. C’est maintenant le moment pour vous de passer à l’action. Quel genre d’action? Libérez votre foi.

            «La foi vient de ce qu’on entend.» Jésus-Christ est ressuscité des morts. Il est ici. «La foi vient de ce qu’on entend.»

            Ils ont dit : «Il est juste là sur la colline.»

            Le petit Jaïrus a cherché à prendre son petit manteau pour le porter, comme cela. Elle a dit : «Où vas-tu, chéri?»

            «Je vais Le chercher.»

40        C’est ce qu’il faut faire. Il prend son chapeau et le porte... Aussitôt, vous savez, voici venir le groupe de ministres ; ils arrivent et disent : «Jaïrus, tiens ! quelle audace ! Tu veux me dire que tu vas... Où vas-tu?»

            «Le médecin vient de me dire que mon enfant ne va plus se rétablir. Mon seul espoir, c’est de devoir me rendre auprès de ce Prophète qui vient de traverser là-bas, le Fils de Dieu.»

            «Tiens ! Nous allons t’excommunier.»

            Je peux le voir se retourner et dire : «Excommuniez comme vous voulez ; ma foi n’est bâtie sur rien d’autre...?... le Sang et la Justice de Jésus. Excommuniez comme vous voulez. Je vais m’excommunier moi-même.» La foi avait déjà tenu à ce moment-là, mais on ne peut plus l’arrêter à ce moment-là, elle est en marche.

            «Eh bien, Jaïrus, un homme instruit comme toi, un érudit, ne sais-tu pas que les jours des miracles sont passés?»

            «Non, non, je ne sais pas. Non, non. Voici je m’en vais.»

            «Eh bien, maintenant Jaïrus, tu vas simplement apporter de l’opprobre, c’est tout. Un homme de ton... Un dignitaire comme toi, avec tous ces gens de classe avec qui tu traites. Tous tes amis vont t’abandonner, si jamais tu adhères à cette bande de fanatiques.»

41        Cela ne change rien, peu importe, quelque chose au fond de son coeur lui disait d’aller vers Jésus. Il avait un besoin. Et tout homme qui sent réellement cette force du Saint-Esprit, mettra de côté toute autre chose pour courir vers Lui. Si réellement vous commencez à sentir un très grand besoin de la chose, si c’est une question de vie ou de mort, vous partirez, peu importe ce que quelqu’un dit. C’est juste. Oui, il doit aller vers Jésus.» C’est une question de vie ou de mort. Il doit Le chercher immédiatement.

            Et il se pourrait qu’il soit plus tard que vous ne le pensez. Allez vite Le chercher. «Le jour où vous Me chercherez de tout votre coeur, c’est ce jour-là que vous allez... Je Me laisserai trouver par vous, quand vous Me chercherez de tout votre coeur.»

42        Il a dit : «Eh bien, un instant, Jaïrus. Ton médecin t’a abandonné, il ne peut rien faire, et tu sais que Lui ne peut rien faire là ; ce n’est qu’un tas d’émotions. Cet homme fait de la télépathie ; c’est ainsi qu’Il appelle ces gens dans l’auditoire. C’est ainsi que ces visions et toutes ces choses ont lieu, ce n’est qu’un arrangement, c’est une supercherie tout ça, c’est monté de toutes pièces. N’y va pas, Jaïrus.»

            Mais quelque chose au fond du coeur de Jaïrus disait : «Ça vient de Dieu, il faut que j’aille là.» Il est allé immédiatement dans l’auditoire, bousculant à gauche et à droite. Bien vite, il a couru vers Jésus. Il a dit : «Seigneur (Oh ! la la !), ma fillette est couchée là, à l’article de la mort. Viens lui imposer les mains ; c’est tout ce que Tu as à faire. Viens simplement lui imposer les mains et elle vivra, si Tu viens le faire. Amen. Le point de contact, les mains de Jésus... «Viens lui imposer les mains.»

43        Eh bien, le centurion, le Gent... Le Gentil n’a pas demandé cela. Il avait dit : «Je ne suis même pas digne que Tu viennes sous mon toit.» Il a dit : «En tant qu’un homme ; en tant qu’une autorité, je dis à celui-ci : ‘Va faire ceci,’ et il le fait. Je dis à celui-là : ‘Viens ici,’ et il vient, parce que j’ai la domination suprême sur cet homme. Et je reconnais que Toi, Tu as la domination suprême. Je suis une autorité, ainsi je sais ce que représente une autorité. Il n’est pas nécessaire que Tu viennes ; parle seulement, et la mort s’en ira.» Vous y êtes ! «Prononce seulement la Parole, et il vivra.» Amen. J’aime plutôt mieux cela, pas vous? «Prononce la Parole, et il vivra, parce que je reconnais que Tu es l’Autorité suprême du Ciel et de la terre. Toute puissance démoniaque est sous Ton contrôle.» Amen. «Tous les démons Te sont soumis. Je crois que Tu es le Fils de Dieu né virginalement. Prononce simplement la Parole.» J’aime cela, pas vous?

44        La petite Marthe, lorsqu’elle est sortie en courant pour rencontrer Jésus, son frère était déjà dans la tombe et il se décomposait, il pourrissait, les vers grouillaient déjà dans son corps, son visage s’était affaissé à cause des vers qui le rongeaient, elle a dit : «Seigneur, si Tu avais été ici, mon frère ne serait pas mort. Mais maintenant même (Amen !), maintenant même tout ce que Tu demanderas à Dieu, Dieu Te l’accordera.»

            Voilà la foi : «Demandez-Lui tout simplement. Tournez simplement vos yeux vers le Ciel et demandez-Lui. Je vais aller serrer la main à mon frère.» Amen.

            Cela a touché Son coeur. Il s’est levé, Il a dit : «Ton frère revivra–ressuscitera.»

            Elle a dit : «Oui, Seigneur, au dernier jour, à la résurrection générale, je sais qu’il ressuscitera.»

45        Jésus a dit : «Je suis la Résurrection et la Vie. Celui qui croit en Moi vivra, quand même il serait mort ; et quiconque vit et croit en Moi ne mourra jamais.» Il a dit : «Crois-tu cela?»

            Elle a dit : «Oui, Seigneur. Je crois que Tu es exactement ce que Tu confesses être. Je crois que Tu es le Fils de Dieu qui devait venir dans le monde.» Vous voyez?

            Il a dit : «Où l’avez-vous enterré?» Quelque chose doit arriver.

46        Elle descend là... C’est comme une dame, membre d’une certaine église, la Science chrétienne, m’a dit il y a quelque temps, elle a dit : «Frère Branham, vous insistez trop sur ce que vous dites.» Elle a dit : «Vous vantez trop Jésus disant qu’Il était Dieu.»

            J’ai dit : «Il était Dieu.»

            Elle a dit : «C’est impossible qu’Il ait été Dieu. Il n’était qu’un homme.»

            J’ai dit : «Il était à la fois homme et Dieu.»

47        Elle a dit : «Eh bien, c’est impossible qu’Il l’ait été. Il devait être l’un ou l’autre.» Elle a dit : «Si je vous prouve par les Ecritures... Vous avez dit que vous étiez un fondamentaliste.» Elle a dit : «Si je vous prouve par les Ecritures qu’Il n’était pas Dieu, direz-vous la même chose?»

            J’ai dit : «Si les Ecritures le déclarent, oui. Si les Ecritures déclarent...»

            Elle a dit : «Je vais le prouver.»

            Et elle est allée dans Saint Jean 11. Elle a dit : «Quand Jésus était en route vers la tombe de Lazare, la Bible dit qu’Il pleura.»

            J’ai dit : «Qu’est-ce que cela à avoir avec cela?»

            Elle a dit : «Eh bien, cela montrait qu’Il était un homme. Il pleurait pendant qu’Il se rendait à la tombe.»

            «Eh bien, ai-je dit, pensez-vous que cela faisait de Lui un homme?»

            «Oui.»

            J’ai dit : «Il était un homme pendant qu’Il pleurait, mais lorsqu’Il a rassemblé Son petit corps frêle, qu’Il l’a redressé, et qu’Il a dit : ‘Lazare, sors,’ et un homme qui était mort depuis quatre jours, s’est tenu debout et est revenu à la vie ; ça, c’était plus qu’un homme. Assurément. C’était Dieu qui parlait en Lui.» Croyez cela. Oui, monsieur.

48        Il était un homme, en vérité. Quand Il était là sur la montagne, qu’Il regardait çà et là pour trouver quelque chose à manger, et qu’Il est redescendu, affamé. Il avait jeûné toute la nuit. Il est descendu, cherchant quelque chose à manger, et il n’y avait pas de pain sur l’arbre, rien à manger, pas de figues plutôt. Il a cherché du regard quelque chose à manger, il n’y avait là rien à manger, c’était un homme, avec un appétit humain. C’était juste un homme affamé. Mais quand Il a pris ces cinq pains, ainsi que deux ou trois petits poissons, qu’Il les a brisés et en a nourri cinq mille personnes, ça, c’était plus qu’un homme. Que je voie un homme faire cela. Oui, oui. C’est juste.

            Il était un homme lorsqu’Il est entré à l’arrière de la barque, là sur cette mer orageuse où dix mille démons de la mer avaient juré de Le noyer. Ils avaient dit : «Nous L’avons maintenant. Il est tellement fatigué à force d’avoir guéri les gens, la force est sortie de Lui, qu’Il est pratiquement mort.» Il était couché là au fond de cette barque, et ces démons disaient : «Nous allons Le noyer pendant que nous L’avons ici.» Alors qu’ils faisaient balloter la barque là comme le bouchon d’une bouteille sur la mer, dix mille démons disaient : «Nous allons Le noyer ce soir.»

49        Un homme était couché là, toute force L’ayant quitté. Un homme était couché là, si fatigué et épuisé à force d’avoir prêché, que mêmes les vagues ne L’ont pas réveillé. C’était un homme. Mais lorsqu’Il a posé Son pied sur le bastingage, qu’Il a levé les yeux et a dit : «Silence,» Il a regardé les vagues et a dit : «Taisez-vous,» c’était plus qu’un homme. C’était Dieu parlant dans... mortel... C’est juste. Oui, Il était Homme Dieu. Il était Divin, le Fils du Dieu vivant divinement né de la vierge.

            Remarquez. En venant vers Lui, Jaïrus a dit : «Eh bien, Maître, ma fillette est étendue là, à l’article de la mort. Je cours depuis deux ou trois heures. Nous avons appris que Tu étais ici. Et je crois en Toi de tout mon coeur. Je Te prie seulement de venir imposer les mains à ma fillette, elle ne mourra pas.» Ça c’est bien.

            Jésus a dit : «Je vais aller.»

50        Ils se sont mis en route. La femme L’a alors touché. Aussitôt, après qu’ils sont passés par cette terrible épreuve là, Il s’est retourné, la force était sortie de Lui, Il s’était affaibli, quelque chose L’avait frappé, Il s’est retourné. Après que tout cela était terminé, et que la femme louait Dieu, Il s’est remis en route. Et voici venir un coursier en courant vers lui, et il dit : «Ne dérange pas le Maître, ta fille est déjà morte. Elle vient de mourir. On est en train de l’embaumer maintenant, de l’étendre sur le lit, on l’entoure de fleurs.»

            Oh ! la la ! je peux voir le petit Jaïrus avancer, son petit coeur a cessé de battre pendant une seconde. Il ne savait vraiment que faire. «Oh ! la la ! que puis-je faire?»

51        Je peux voir Jésus marchant, sans aucune inquiétude. Amen. Vous ne pouvez pas imaginer Jésus en train de prier pour voir donc s’il faut sortir jeûner quelques jours, pour voir s’Il a assez de foi pour faire la chose. Dieu Lui avait déjà parlé, et Il savait ce qui allait arriver. Il avance tout simplement. Il jette un coup d’oeil sur Jaïrus ; Jaïrus jette un coup d’oeil sur Lui. Son petit coeur... Il a dit : «N’aie pas peur ; crois seulement, et tu verras la gloire de Dieu.»

            J’aime cela. Le petit homme a continué, et son coeur battait. Tout d’un coup, je peux voir le sacrificateur debout au bord de la route, disant : «Très bien, saint exalté, attends que nous t’ayons au conseil général. Frère, nous allons assurément Te ratisser. Attends que nous t’ayons là.»

            Jaïrus avait ses yeux sur Jésus ; il ne s’occupait pas de ce que le conseil avait à dire à ce sujet ; il considérait ce que Jésus en disait. Il continuait tout simplement à avancer.

            Arrivé à la maison, tout le monde pleurait et n’arrêtait pas, faisant du vacarme, Jésus s’est avancé là et a dit : «Maintenant, taisez-vous un peu.» Il a dit : «La jeune fille n’est pas morte ; elle dort seulement.» Oh ! la la ! Il a dit : «Elle dort.»

52        Et les gens ont dit : «Vous avez entendu cela? Avec... étendue là-dedans, nous avons enlevé le sang de son corps, elle a été embaumée, étalée sur le lit, elle est étendue là à l’intérieur, et ce fanatique de saint exalté vient ici et essaie de lui dire, de nous dire qu’elle n’est pas morte.» Ils ont dit : «Cela montre ce qu’Il est ; cela montre qu’Il est un homme rusé.»

            Oh, mais Il savait ce qu’eux ne savaient pas. Il a dit : «Vous tous, sortez d’ici.»

            Il a commencé à les disperser de tous côtés. Le petit Jaïrus se tenait là avec ses mains... et il a dit : «Oui, Maître, je crois toujours en Toi. Je crois que Tu es le Fils de Dieu. Je–je crois que si Tu lui imposes les mains, elle sera rétablie.»

            Jésus a dit : «Vous tous, sortez.» Il a dit : «Pierre, Jacques, et Jean, venez ici un instant.» Il a dit : «Papa et maman, fermez la porte.»

53        Maintenant, écoutez. Il se tient là seul. Il y avait de la foi autour de Lui, et la vision de Dieu passait dans Son coeur. Peut-être que Dieu Lui avait montré dans la vision de faire cela. Et Il a fait sortir tout le monde. A l’extérieur, il n’y avait pas du tout de secours, si ce n’est un important groupe de gens qui disaient : «Tiens ! quelle idée ! Rassemblons nos sacrificateurs. Allons chercher les policiers pour qu’ils viennent jeter ce fanatique en prison. Voyons donc, Il ne fait que déranger notre pays. C’est tout ce qu’Il fait. Et Il n’enseigne pas selon ce que les églises disent. Eh bien, nous savons qu’il doit y avoir quelque chose... Et cet Homme est... Vous savez, ce n’est pas correct de dire que cette fille n’est pas morte. Quelle idée !»

            Il y avait toute cette incrédulité autour de Lui, mais Il avait un pouvoir tel qu’Il pouvait s’adresser à un autre monde.

54        La fillette gisait là, froide et raide ; Jésus s’est avancé là, Il a pris ses mains dans Sa main, a levé les yeux vers le pays de l’au-delà, où se trouvait son esprit. Et Il a rappelé à haute voix son esprit dans une langue inconnue en disant : «Tabitha !» Oui. Et quand Il a parlé en cette langue, là de l’autre côté dans le monde surnaturel où se trouvait sa petite âme, celle-ci est revenue. Et son front a commencé à se plisser, le sang a commencé à couler de nouveau dans ses veines, elle s’est tenue debout et est revenue à la vie. Il a dit : «Donnez-lui un peu de nourriture maintenant pour permettre en quelque sorte au sang de circuler.» Amen. Il a dit : «N’en parlez à personne. Il faut que Je sorte par la porte de derrière pour M’en aller.»

55        Qu’est-ce qu’Il est? Frère, le petit Jaïrus était croyant dès ce moment-là. Il avait un besoin. Jésus avait satisfait à tous ses besoins. Jésus-Christ est ici ce soir pour satisfaire à tous vos besoins, si vous pouvez croire qu’Il est l’Agneau de Dieu immolé dès la fondation du monde, que Jésus est ressuscité des morts.

            Croyez-vous vraiment qu’Il est ressuscité des morts? Eh bien, si la Bible enseigne qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement... S’Il est le même, j’aimerais vous demander quelque chose, tout simplement, juste avant que nous ayons la ligne de prière et que nous commencions à prier pour les malades. Si ce même Seigneur Jésus, les Ecritures déclarent qu’Il est le même, qu’Il est le même dans les principes, Il est le même en puissance, Il est le même en attitude ; c’est qu’Il est exactement le même Seigneur Jésus qu’Il était là autrefois. Est-ce vrai?

56        Lorsqu’Il était ici sur terre, Il a marché au milieu des hommes, un Homme pauvre, un Homme humble. Il n’avait pas beaucoup de biens de ce monde. Il n’avait pas du tout d’instruction. Il n’y a aucun–aucun passage où vous pouvez voir qu’Il ait même fréquenté l’école. Il parlait le langage du peuple. Il a habité au milieu du peuple. Il était rejeté par les haut placés. S’Il a été rejeté à l’époque par les érudits et les haut placés, Il est rejeté aujourd’hui par les érudits et les haut placés. Il ne prétendait pas être un grand personnage. Il déclarait qu’Il pouvait simplement faire une chose : c’était simplement ce que le Père Lui montrait de faire.

            D’après le témoignage en notre possession, Il avait ressuscité trois personnes d’entre les morts ; c’est tout ce que la Bible déclare. Probablement plusieurs milliers de personnes étaient mortes, mais Il ne pouvait pas les ressusciter, parce qu’Il a dit qu’Il ne faisait que ce que le Père Lui disait, ou plutôt ce que le Père Lui montrait.

57        Lorsque... J’aimerais juste donner rapidement une petite illustration de Sa vie pour les deux ou trois prochaines minutes. Lorsque Son ministère en était à son début, les gens trouvaient qu’Il avait du succès lorsqu’Il priait pour les malades et qu’Il leur imposait les mains. C’était merveilleux de voir comment ils étaient guéris. Sa renommée commençait à se répandre partout.

            Puis, aussitôt vous savez, il y eut un homme du nom de Philippe qui fut sauvé, et il alla trouver son frère Nathanaël, un de ses amis, dans une autre contrée voisine. Et il a dit : «Viens voir Celui que j’ai trouvé, Jésus de Nazareth, le Fils de Joseph.»

            Il a dit : «Pourrait-il venir quelque chose de bon de Nazareth?»

            Il lui a donné une réponse très simple, disant : «Viens simplement et vois.»

58        Alors, il y est allé. Et lorsqu’il est arrivé là-bas, quelque part dans l’auditoire, ou peut-être dans la ligne de prière où Jésus priait pour les malades... Maintenant, observez ce que Jésus était à l’époque. Peut-être que Jésus... Disons qu’Il se tenait dans l’auditoire. Jésus était en train de prier pour les malades, Il s’est retourné lorsque Nathanaël s’est avan–s’est avancé, et Il a dit : «Voici un Israélite dans lequel il n’y a point de fraude.»

            Il a dit : «Quand m’as-Tu connu? Eh bien, Tu ne me connais pas. Je viens d’arriver ici ; comment me connais-Tu?»

            Il a dit : «Avant que Philippe t’appelât, quand tu étais sous l’arbre, Je t’ai vu.»

            Il a dit : «Tu es le Fils de Dieu, Tu es le Roi d’Israël.»

59        Et si Jésus vient dans l’Eglise et fait la même chose aujourd’hui? Savez-vous ce que ces gens diraient? De la télépathie, un démon. Cela montre que... C’est ce que les gens disaient autrefois là ; les grands qui ne voulaient pas humilier leurs coeurs devant Dieu.

            Un jour, Il est allé vers la Samarie, Il s’est assis à un puits, après avoir envoyé Ses disciples. Une femme est venue puiser de l’eau. Nous, à l’ouest, nous croyons qu’elle était une femme de mauvaise vie. On ne croit pas cela à l’est. Mais peu importe ce qu’elle était, elle est venue puiser de l’eau. Jésus l’a regardée ; Il a dit : «Femme, apporte-Moi à boire.»

60        Elle a dit : «Eh bien, il n’est pas de coutume, Seigneur, que Toi, qui es un Juif, Tu me demandes à moi, une Samaritaine, pareille chose. Eh bien, a-t-elle dit, nous n’avons pas de relations, vous et nous.» C’est comme la condition raciale parmi les nations aujourd’hui, entre les Blancs et les Noirs et ainsi de suite. Elle a dit : «Nous n’avons pas de relations avec vous les Juifs, et vous les Juifs, vous n’avez pas de relations avec nous.»

            Il a dit : «Femme, si tu savais à qui tu parles, c’est toi qui Me demanderais à boire.»

            «Eh bien, a-t-elle dit, le puits est profond, et Tu n’as rien pour puiser avec, alors comment peux-Tu avoir de l’eau?»

            Il a dit : «L’eau que Je donne, c’est l’Eau de la Vie.»

61        Il a donc continué à lui parler, à mon plus humble avis, maintenant (juste avant de terminer), Il était en train de contacter son esprit. Quand Il a découvert ce qui n’allait pas en elle, Il a dit : «Va chercher ton mari.»

            Elle a dit : «Je n’ai point de mari.»

            Il a dit : «C’est juste, tu as eu cinq maris.»

            «Eh bien, a-t-elle dit, je vois que Tu es prophète.» Elle a dit : «Eh bien, c’est ça le signe du Messie.»

62        Remarquez. Cette femme a reconnu cet Homme. N’est-ce pas étrange que les prédicateurs ne puissent pas saisir cela aujourd’hui !

            Elle a dit : «Je sais que quand le Messie viendra, Il nous dira ces choses, toutes choses. Quand le Messie viendra, ce sera là le signe messianique, alors Tu dois être l’un de Ses serviteurs ; Tu dois être un–un prophète. Mais quand le Messie viendra, Il nous dira ces choses.»

            Il a dit : «Je le suis, Moi qui te parle.»

            Alors, elle est entrée dans la ville en courant et a dit : «Venez voir un Homme qui m’a dit tout ce que j’ai fait.»

63        Eh bien, Il ne lui a dit qu’une seule chose qu’elle avait faite : c’était qu’elle menait une mauvaise vie. Mais Il aurait pu lui dire tout le reste si le Père le Lui avait montré. Mais alors, on a demandé à Jésus de venir. Vous savez pourquoi Jésus n’avait pas eu–fait des miracles là-bas? Il savait que Philippe venait, et après Sa mort, Son ensevelissement et Sa résurrection, Il est alors retourné sous une forme spirituelle, et par Philippe, Il a tenu un grand service de guérison là-bas. Ils étaient tous prêts pour cela.

64        Ainsi donc, nous voyons un peu plus tard... Prenons un autre cas. Il est passé par la piscine de Béthesda. Là, les gens étaient étendus sur des lits de camp, sur des civières, et, oh, des gens qui souffraient, des boiteux, des aveugles, des paralytiques, des gens aux membres tordus, attendant le mouvement de l’eau. Et Jésus, rempli de puissance, est passé par là, Il a traversé cette grande foule de gens malades, des gens aux membres tordus et des aveugles.

            Que pensez-vous aujourd’hui de... Ecoutez attentivement maintenant, je vous en prie. Qu’arriverait-il si Jésus venait à Phoenix, et que le même Jésus qui était autrefois là, et que tous les hôpitaux déversaient tous leurs malades le long de la rue, et que tous les infirmes sortaient toutes les béquilles avec tous les malades dans des fauteuils roulants et autres, et si Jésus passait carrément au milieu d’eux tous, des milliers, ici à Phoenix, s’Il passait carrément au milieu d’eux tous, proclamant qu’Il est le Fils de Dieu, et qu’Il se dirigeait vers un homme couché sur un grabat et disait : «Je t’ai vu ici ; Je savais de quoi tu souffres, Je sais que tu es ici depuis toutes ces années ; veux-tu être guéri?»

            Ce dernier dirait : «Oui, Seigneur.» Il dirait : «Je n’ai personne pour me jeter dans l’eau.»

            Jésus dirait : «Prends ton lit et rentre dans ta maison.» Et Il descendrait carrément la rue et laisserait tous ceux qui seraient dans les fauteuils roulants, sur des lits de camp, des civières, les infirmes, les aveugles, les boiteux, les paralytiques, couchés là?

            Savez-vous ce que Phoenix dirait? : «Ça ne peut pas être le Fils de Dieu.» C’est la même chose qu’ils ont dite là.

65        Maintenant, observez. Quand les Juifs ont trouvé Jésus et qu’ils L’ont interrogé, c’est dans Saint Jean 5... Maintenant, lisez le verset 19 ; voici ce que Jésus a dit : «En vérité, en vérité, Je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-même, mais ce qu’Il voit faire au Père, le Fils le fait pareillement. Le Père agit, et Moi aussi J’agis. Ce que le Père veut que Je fasse, Il Me le montre. Je ne fais rien avant qu’Il Me montre par une vision ce qu’il faut faire ; c’est alors que je le fais.»

66        Si c’était là Jésus hier, c’est Jésus aujourd’hui. Maintenant, qu’a-t-Il dit à ce sujet lorsqu’Il est parti? Il a dit : «Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus. Le monde (l’incroyant) ne Me verra plus ; mais vous, vous Me verrez (vous), car Je serai avec vous, même en vous jusqu’à la fin du monde.» Pendant combien de temps? «Jusqu’à la fin du monde,» pas jusqu’à l’âge des apôtres, «jusqu’à la fin du monde.» Est-ce juste?

            L’Ecriture dit : «Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement.» Jésus a dit : «Eh bien, ces choses que Je fais, vous les ferez aussi ; et même davantage car (le mot qui est là c’est «plus grand», mais la vraie traduction c’est ‘plus’), vous en ferez plus, car Je M’en vais au Père.» Est-ce juste?

67        Je M’en irai, puis Je reviendrai, et Je serai avec vous, même en vous, tant que le monde existera, et vous ferez les mêmes choses que Je fais, et le monde ne vous croira pas, car ils ne M’ont pas cru, mais le croyant croira jusqu’à la fin du monde.» Vous y êtes !

            Eh bien, si Jésus est ressuscité... ce que je soutiens c’est... Et, oh ! la la ! Mon ministère, c’est de soutenir que Jésus-Christ, le Fils de Dieu, n’est pas mort. Son corps se trouve sur le trône de Dieu dans la gloire, mais l’Esprit qui était en Lui... [Espace vide sur la bande–N.D.E.] est juste ici maintenant dans l’Eglise, se mouvant au milieu de Son peuple. C’est conforme à Sa Parole.

68        Alors, si c’était là Sa nature et Son attitude en ces jours-là, de faire seulement la volonté de Dieu, mais ça suffit pour montrer aux gens qu’Il a été confirmé par Dieu, assurément vous devriez croire cela si vous voyiez la même chose.

            Pierre a redressé l’Eglise lorsqu’il a dit : «Vous, hommes Juifs, et vous qui séjournez à Jérusalem et en Judée, Jésus de Nazareth, cet Homme que Dieu a confirmé au milieu de vous par des signes, des miracles et des prodiges, que Dieu a accomplis par Lui au milieu de vous tous, comme vous en êtes témoins... Lui qui a été renié selon le dessein arrêté et selon la prescience de Dieu...

69        Et Nicodème a exprimé ce qu’il pensait de ce que... vraiment la–la grande Eglise sévère de ce jour-là pensait de Lui. Les gens disaient... Il a dit : «Maître, nous savons que Tu es un Docteur venu de Dieu. Nous le savons, nous les Pharisiens. Nous le savons. Nous ne pouvons pas l’accepter, mais nous savons que Tu es un Docteur venu de Dieu ; car personne ne peut faire les choses que Tu fais, si Dieu n’est avec lui.»

            Eh bien, mes amis, ne soyez pas empesés, acceptez-Le ce soir, croyez en Lui. Il est ressuscité des morts. Il est ici avec nous. Et j’ai confiance en Dieu que ce soir, le Saint-Esprit vous révélera Jésus-Christ par le pardon gratuit de vos péchés, alors que nous inclinons la tête un instant. Si l’organiste veut bien venir... Que personne ne se déplace, je vous en prie. Ne vous agitez pas, juste pendant un petit instant. Je veux que vous priiez, chacun de vous.

70        Notre Bien-Aimé Sauveur, le Seigneur Jésus ressuscité, ô Père, tout ce que je pourrais prêcher, Tu peux en faire en une seconde plus que je ne pourrais faire en mille vies. Et nous attendons que Tu viennes, Père. Nous avons appris par le ministère et par la Parole, et par le témoignage de la nature que Tu viens bientôt. Que chacun court ce soir pour aller à Ta rencontre comme l’a fait Jaïrus. Peu importe ce que les gens disent : «Oh ! cela ne change rien à présent. Tout est exactement comme cela a toujours été, tous les...» [Espace vide sur la bande–N.D.E.]... des années passées. Nous ne croyons pas cela, Père. Nous attendons Ta venue à tout moment. Et s’il y a ici des coeurs qui ne sont pas préparés pour aller à Ta rencontre, puissent-ils sentir ce que Jaïrus a ressenti, peu importe ce que quelqu’un a dit, les gens viennent maintenant pour Te rencontrer sur base de l’attraction du Saint-Esprit, en T’acceptant comme leur Sauveur par le Sang versé.

71        Pendant que nous avons la tête inclinée, pourrait-il y avoir un homme, une femme, un jeune homme ou une jeune fille dans la Présence divine, qui voudrait bien lever la main et dire ceci à Dieu : «Je veux maintenant venir à Toi, ô Jésus. Peut-être que j’ai été un peu bouleversé, mais j’aimerais venir maintenant même, et T’accepter sur base de Ton Sang versé. Le Saint-Esprit venant de Ta propre Vie parle à mon coeur d’une façon étrangement chaude. Je pense que ce soir devrait être le soir où je T’accepte. Et la seule chose que je peux faire, c’est de venir. Et me voici, Seigneur, levant la main. Je la lève vers Toi.»

            Y a-t-il quelqu’un dans la salle principale? Que Dieu vous bénisse, vous, vous. Oh ! un grand nombre ce soir ! Tout au fond, dans les allées de la salle, tout au fond en arrière, quelqu’un là au fond, vous qui êtes debout, levez simplement votre main, non pas vers moi votre frère, mais vers le Seigneur Jésus. Dites : «Ô Dieu, Tu vois ma main, à l’heure de ma mort, aie pitié de moi. Je veux rentrer à la maison, au Ciel. Je ne veux pas être un proscrit en ce jour-là. Veux-Tu être miséricordieux, Seigneur, alors que je lève ma main? Je viens à Toi.»

72        Voudriez-vous le faire, là derrière, partout? En haut au balcon à ma gauche, partout le long du mur, là haut? Que Dieu vous bénisse, vous, vous. Oh ! c’est merveilleux. Dieu voit chaque main, jeunes filles, hommes et femmes âgés. Au balcon, à ma droite, y a-t-il quelqu’un? Que Dieu vous bénisse, vous tous qui êtes là le long du mur ; c’est merveilleux. Y a-t-il quelqu’un d’autre, n’importe où dans la salle qui aimerait lever la main? Que Dieu vous bénisse, vous. C’est merveilleux. Toute une grande foule au milieu de l’allée. Là à ma droite? Une grande... Que Dieu vous bénisse. Vous savez que vous ne pouvez pas lever la main du fond de votre coeur, en croyant, à moins que Dieu n’ait résolu de vous donner la Vie Eternelle.

            Jésus a dit : «Celui qui écoute Mes Paroles, et qui croit à Celui qui M’a envoyé, a la Vie Eternelle, et ne vient point en jugement, mais il est passé de la mort à la Vie.»

73        Si seulement vous saviez... Mon bien-aimé frère, je vois vos mains se lever par ici à ma gauche, ma soeur et mon frère. Oui, mon... Frères, le Saint-Esprit leur parle tout simplement, ils lèvent la main... Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse là tout au fond en arrière, oui. Partout, là-bas, que Dieu soit avec vous.

            Vous savez, si vous levez votre main vers Dieu d’un coeur sincère, dites : «Seigneur, ceci c’est tout ce que je sais, juste lever la main, c’est ce que le prédicateur m’a demandé de faire, de croire dans mon coeur que Tu es mort à ma place, que l’innocent Fils de Dieu a pris ma place au Calvaire, et me voici, un pécheur coupable. Et je ne veux pas être séparé de Dieu, et de mes bien-aimés ce jour-là.»

74        Cela peut arriver avant la fin de cette semaine ; ça peut arriver ce soir avant minuit. Vous n’avez pas d’assurance. Ce coeur peut arrêter de battre à tout moment. Je ne crois pas que cela va prendre trop de temps pour que cette ville et le reste des nations soient réduits en cendres. On creuse ici, cherchant de l’uranium, le mettant dans une bombe, pour se faire sauter soi-même... Juste entre les mains des hommes méchants, impies, toutes les nations en sont simplement remplies. Vous n’avez pas voulu accepter Christ, la nation ne l’a pas voulu. Vous n’avez pas voulu accepter la croix, alors vous allez recevoir une croix gammée : le communisme respirant–se répandant partout comme des microbes. Ô Dieu, sois miséricordieux. Je suis vraiment heureux ce soir d’être un chrétien.

75        Oh ! je... Ne quittez pas cette salle sans avoir accepté Christ. Et la seule chose que vous avez à faire, c’est de croire du fond de votre coeur que Jésus-Christ a pris votre place, qu’Il était le Fils de Dieu, et qu’Il a été fait péché pour vous. Et vous ne pouvez rien faire pour vous sauver vous-même. Vous devez simplement croire qu’Il vous a sauvé, et accepter dans votre coeur qu’Il est votre Sauveur, accepter qu’Il est mort à votre place. Que pourriez-vous désirer davantage? Levez donc la main vers Dieu. Dites : «Ô Dieu, me voici, je viens maintenant.»

Tel que je suis, sans rien en ...

            Continuez simplement de prier, de lever la main ; Dieu regarde.

... Ton Sang versé pour moi,
Parce que Ta promesse, (Croyez-vous?) je crois maintenant,
Alors, ô–ô Agneau de Dieu, (Voici je viens, ma main levée, je crois maintenant.)
Je viens, (oui, Seigneur), je viens.

76        Y en a-t-il un autre? Un autre quelque part? Que Dieu te bénisse par ici, fiston. On ne saurait le dire, ça pourrait être un John Wesley assis là. Ça pourrait être un Sankey, un Moody, un Finney, qui sait? Que Dieu te bénisse, jeune homme, et toi là derrière. Que Dieu te bénisse, mademoiselle. Que Dieu vous bénisse, monsieur, là-bas. La petite fille de couleur, que Dieu te bénisse, ma chérie. Que Dieu vous bénisse, chacun de vous.

            Maintenant, inclinons la tête et demandons à Dieu de les recevoir. Que Dieu vous bénisse, monsieur, qui êtes assis juste ici. C’est bien. Ne soyez pas mis de côté, levez la main. Si vous croyez que je suis Son serviteur, je vous promets ceci du fond de mon coeur, si vous acceptez le Fils de Dieu dans votre coeur comme votre Sauveur, levez la main maintenant même vers Dieu, et vous ne viendrez pas en jugement, mais vous passez de la mort à la Vie. Si vous croyez qu’Il me traite comme un–comme Son serviteur, comme Son prophète, si vous voulez appeler cela ainsi, levez la main vers Lui et dites : «J’accepte cela ; je crois cela, Frère Branham. Je crois cela, parce que vous ne dites pas vos propres paroles, vous dites la Parole de Dieu. Et le Saint-Esprit me dit dans mon coeur de Le recevoir maintenant même.

77        Prions. Ô Dieu, quelque quarante, cinquante mains se sont levées dans cette salle : des pécheurs sans Christ, sans Dieu, privés du droit de l’Eglise, de l’Eglise de Christ, des nés de nouveau. Quelque chose les a frappés dans leur coeur. C’était Toi, ô Dieu. Tu as dit : «Nul ne peut venir à Moi si Mon Père ne l’attire ; et tous ceux qui viendront à Moi, Je leur donnerai la Vie Eternelle. Je les ressusciterai au dernier jour.»

            Maintenant, Jésus, c’est là Ta Parole. Te tenant là, ce jour-là, devant Tes critiqueurs, Tu as dit : «Celui qui écoute Ma Parole, et qui croit à Celui qui M’a envoyé a la Vie Eternelle, et ne vient point en condamnation (ou en jugement, il n’aura jamais à faire face au jugement), mais il est passé de la mort à la Vie, parce qu’il a cru au Fils unique de Dieu.»

78        Dieu du Ciel, je Te présente ceux-ci devant le trône de grâce, au Nom de Jésus-Christ. J’ai prêché ce que j’ai pensé être juste, conformément à Ta Parole, je sais que c’est juste. Le Saint-Esprit a saisi ces gens, des êtres mortels sincères, qui mangent et boivent pour vivre ici sur terre, des gens privés de Dieu, qui sentent le Saint-Esprit attirer leur coeur, sachant qu’ils ne veulent pas aller dans les ténèbres du dehors, ils ont levé la main comme je le leur ai demandé, et ils T’ont accepté comme leur Sauveur personnel. Christ, Ta Parole déclare qu’ils ne périront pas, mais qu’ils ont la Vie Eternelle, et je crois cela et accepte cela. Et ils ont eux-mêmes accepté cela. Et maintenant, je Te les présente afin que Tu remplisses chaque coeur du Saint-Esprit, et que Tu suscites un réveil à l’ancienne mode dans leur communauté à cause de leur témoignage, et que Tu reçoives la gloire de ces réunions. Car nous le demandons au Nom de Jésus-Christ.

79        Et maintenant, ô Père, viens. Envoie l’Ange de Dieu, dont les rois de la terre, les potentats, les monarques, dans le monde entier, dans un grand réveil, ont vu la glorieuse chose mystique se tenir là, en rapport avec cet Etre surnaturel. Sachant qu’Il se tient juste ici à l’estrade en cet instant, je Te prie, Père, de Lui permettre de venir devant cet auditoire, d’intervenir dans ce service, de pénétrer dans chaque coeur qui est là, et de prendre autorité sur Ton serviteur qui est ici. Et puisse Jésus-Christ, le Fils de Dieu ressuscité, qui n’est pas mort, mais qui est vivant maintenant, puisse-t-Il venir prendre autorité sur Son Eglise, le Corps, et y accomplir ce soir les mêmes choses qu’Il avait faites autrefois là-bas, afin que ces enfants qui croient et qui viennent maintenant de Te recevoir, sortent d’ici avec la foi, convaincus qu’ils n’ont pas été trompés, qu’ils ont été amenés véritablement au Fils de Dieu ressuscité. Guéris les malades et les affligés ce soir, car nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.

80        Voudriez-vous jouer Reste avec moi, s’il vous plaît, les soeurs? Qu’Il reste vraiment avec nous maintenant. Combien parmi vous qui avez levé la main, il y a quelques instants, partout dans la salle, sont heureux maintenant d’avoir levé la main? Levez encore la main, je vous prie, de tout côté, partout en haut, en bas. Que Dieu vous bénisse. Ne vous sentez-vous pas très bien maintenant? Vous avez fait ce qu’Il a dit. Vous L’avez rencontré sur base de Son Sang versé.

            Eh bien, Il est le Fils de Dieu. Je ne suis qu’un homme, rien... Cette chose-ci est tout à fait muette. Ça ne peut pas du tout parler, ces haut-parleurs, là-haut, à moins que quelque chose ayant la vie, ici derrière, parle à travers cela. Et il en est de même d’un homme, il n’est qu’un instrument, juste de l’argile. Mais si Jésus-Christ peut avoir le contrôle total de cet homme, et si vous obéissez à Son appel, Il peut prêcher l’Evangile par cet homme, Il peut parler en langues par lui, Il peut montrer des visions par lui, parce que Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement.

81        Maintenant, j’aimerais demander à tout le monde avant que nous n’appelions la ligne de prière, si le Seigneur Jésus entre en scène ici ce soir, afin que vous voyiez que je vous ai dit la vérité au sujet des Ecritures, que Jésus est vivant ce soir, aussi réel ici même qu’Il l’a été en Galilée. Et s’Il entre en scène ce soir, et confirme au-delà de l’ombre du doute qu’Il est ici en faisant la même chose qu’Il avait faite lorsqu’Il était ici, allez-vous L’accepter comme votre–comme votre Guide et votre Sauveur? Si tel est le cas, levez la main, partout dans la salle. Voulez-vous L’accepter comme votre Guide et votre Sauveur? Partout dans la salle, en haut–en haut au balcon, à droite, à gauche, où que ce soit, pour montrer que vous voulez L’accepter? Que le Seigneur Jésus vous l’accorde.

82        Maintenant, pour la gloire de Dieu, et pour Sa Présence, combien ici n’ont pas de cartes de prière, levez la main, ceux qui n’ont pas de cartes de prière, n’importe où dans la salle? Très bien. C’est pratiquement plein, surtout ici devant. Si vous regardez par ici, lorsque le Saint-Esprit vient... s’Il vient, peu importe où vous êtes dans cette salle, et que vous acceptez cela sur base de la résurrection de Jésus-Christ, si vous êtes malade, ou que vous ayez un besoin spirituel à satisfaire, je vous assure que le Saint-Esprit se tournera et vous appellera comme Il l’avait fait aux jours de Jésus de Nazareth.

            Et à vous qui avez des cartes de prière... Ou plutôt a-t-il... Avez-vous distribué des cartes de prière? Nous nous sommes occupés de toutes les cartes de l’autre jour, nous avons prié pour chacune d’elles, et je ne savais pas si on a distribué d’autres cartes de prière ou pas. Quelle série avez-vous distribuée? La série P. Jusqu’à combien? Carte de prière P jusqu’à 100. Appelons-en quelques-unes. Je ne saurai pas en prendre trop, juste assez selon que le Saint-Esprit opère. Commençons à partir de 50 ce soir, disons à partir de 50... Qui a la carte de prière numéro 50, est-ce qu’elle est ici? Levez la main. Quelqu’un a-t-il le numéro 50? Très bien, approchez ici. 51, levez la main, celui qui a le 51. 52, 53, 54, 55, 56, 57, 58, 59, 60... Que tout le monde soit respectueux maintenant, je vous prie. Voyons comment... S’ils peuvent sortir. Voyez si tous ceux-là viennent.

83        Maintenant, si vous ne pouvez pas vous lever, adressez-vous à quelqu’un qui est à côté de vous, peut-être qu’on peut vous transporter. Et maintenant, s’ils ne sont pas tous là, nous verrons, en effet, il se peut que ce soit quelqu’un qui est sourd-muet. Très bien. Ayons... C’était là la carte de prière [Quelqu’un dit : «50, n’était-ce pas ça?»–N.D.E.] Cartes de prière de 50 à 60. Eh bien, appelons les cartes de prière de 50 à 65, pendant que nous prions sur ces mouchoirs.

            Vous qui avez les cartes de prière de 50 à 65, alignez-vous ici en bas, je vous en prie. Que ceux-là viennent, jusqu’à ce que nous priions. Maintenant, vous autres, inclinez la tête, je vous prie.

            Père céleste, nous venons dans Ta Présence pour les malades et les nécessiteux. Et maintenant, ces mouchoirs, ces linges, ces petites bavettes, ces chaussettes des bébés, tout ce qui est ici, de petits articles destinés aux malades et aux nécessiteux... Sois miséricordieux, ô Père. Ô Dieu, nous T’avons vu faire tant de choses par ce moyen, nous croyons simplement que Tu feras toutes choses. Bénis-les, Père. Que Ton Esprit puisse se mouvoir maintenant au-dessus de chacun de ces petits objets qu’il y a ici, et qu’Il guérisse les affligés, que les malades soient rétablis. Ce pauvre bébé là-bas à l’hôpital, rétablis-le. Cette pauvre femme qui est couchée là, mourante, qu’elle soit guérie. Tous ceux que ceci représente, qu’ils soient tous en bonne santé, Père. Nous envoyons ces choses chez eux pour la gloire de Dieu, au Nom de Jésus-Christ, pour la guérison des malades. Amen.

84        Maintenant, amis chrétiens, je vais vous demander quelque chose ce soir. Si le Saint-Esprit le veut bien, je crois qu’Il le voudra... Je–je veux que vous fassiez ceci pour moi. Voulez-vous le faire, alors que je vous le demande au Nom de notre Seigneur? Il n’est pas nécessaire que je cherche à vous expliquer cette chose mystérieuse. Je ne la connais pas, moi-même, je ne la connaîtrai jamais, jusqu’à ce que j’aurai traversé de l’autre côté. Mais avec ma Bible... Combien En ont déjà vu la photo, là où la science En a pris la photo? Il y en avait une qui se trouvait ici il y a quelques soirées concernant... Le monde scientifique En a pris la photo.

            Maintenant, écoutez attentivement, tout le monde. Même si je ne suis pas en vie jusqu’au matin, ma Bible est ici, si je ne suis pas en vie jusqu’au matin, mon témoignage au sujet de Jésus-Christ reste la vérité.

85        Premièrement, je n’étais qu’un petit garçon de trois minutes quand la Colonne de Feu s’est suspendue au-dessus de l’endroit où je suis né, dans une petite cabane en bois, dans le Kentucky. Toute ma vie, Elle vient vers moi et me donne des visions. Je suis un prédicateur baptiste, venant d’une église missionnaire baptiste, ordonné par le Docteur Roy E. Davis de Dallas, au Texas, et j’ai été ordonné comme un ancien local pour l’église de Jeffersonville. Lors de mon premier réveil, cinq cents personnes sur une assemblée de trois mille personnes sont venues à Jésus-Christ, alors que j’avais vingt–environ vingt-deux ans.

            Je baptisais ces gens au bout de la rue Spring à Jeffersonville, dans l’Indiana, dans la rivière Ohio, lorsque... Presque sept ou huit mille personnes se tenant sur la rive, ont témoigné qu’à quatorze heures, en juin 1933, la Colonne de Feu est descendue du ciel, et est restée suspendue au-dessus de l’endroit où je me tenais.

86        Le journal «Courrier» et le «Times News»... non, c’était le... [Frère Branham claque les doigts–N.D.E.] Oh ! je retrouverai le nom du journal dans un instant, [Frère Branham claque les doigts une fois de plus] si je peux me le rappeler, le journal de Louisville ; avec un grand article : une Lumière mystique apparaît au-dessus d’un évangéliste local baptiste pendant qu’il baptise à la rivière. Une chose très mystique, les gens n’arrivaient pas à comprendre. Beaucoup se sont évanouis dans la Présence de cette Lumière. L’Ange du Seigneur est directement descendu et est resté suspendu au-dessus de l’endroit où j’étais. Le «Héraut de Louisville» c’était ça, le «Héraut de Louisville», le «Poste du Héraut» de Louisville dans le Kentucky.

87        Ensuite, remarquez. Tout au long de ma vie, Elle a continué à apparaître. Un jour, avec l’apparition de cette Lumière, est venu un Ange qui m’a dit que je devais prier pour les malades. Je Lui ai dit que je ne pouvais pas le faire. Il y a de cela bien des années. Il m’a dit que Dieu m’avait appelé à le faire, et qu’Il serait avec moi. Je Lui ai dit que j’étais sans instruction, que je n’avais rien d’un ministre ; que mon parler n’était pas bon, que je n’avais pas de personnalité ; je n’avais rien à présenter aux gens.

            Il a dit : «Je serai avec toi. Et comme J’ai été avec Moïse, ainsi, Je serai avec toi. Il te sera donné deux signes à accomplir devant les gens afin qu’ils croient.» Et Il a dit : «Tu connaîtras les secrets mêmes de leur coeur.»

            Et je me posais des questions à ce sujet. Et Il m’a révélé que c’était exactement la chose même que Jésus de Nazareth, le Fils de Dieu ressuscité, avait faite.

88        Beaucoup de gens viennent et regardent Cela et disent : «C’est de la psychologie.» Les gens... J’ai reçu de grands hommes qui disent : «Oui, Frère Branham, j’ai entendu les gens crier et te pointer du doigt. Je pense L’avoir vu, mais je crois que c’était de la psychologie.»

            A Houston, dans le Texas lors d’un débat où un prédicateur baptiste était venu devant des milliers et des milliers de personnes pour débattre de la guérison divine... Il a perdu le débat dans le domaine... Il n’avait même pas réussi à la première étape. Il y avait sûrement beaucoup de gens là. Y a-t-il quelqu’un qui était là lorsque la photo a été prise? Levez la main, si quelqu’un... Voici des gens, oui, qui sont ici et qui... Et pendant que je me tenais là, en train de parler, comme cela... «Je ne prétends pas être un guérisseur. J’affirme seulement que je prie pour les malades.» J’ai dit : «Mais je vous dis la vérité au sujet... Si les visions sont mises en doute, Dieu les confirmera.» J’ai dit : «Je ne peux dire que ce que Dieu dit comme étant la vérité, et si je dis la vérité, Dieu est tenu de confirmer cela.»

89        Et ce ministre baptiste avait loué un... le... un membre de l’Association Américaine des Photographes pour venir le photographier pendant qu’il vilipenderait monsieur Bosworth, mon associé, et... au cours du débat. Et il a serré son poing et l’a placé sous le nez de frère Bosworth disant : «Maintenant, prenez la photo comme ceci.» Et ils avaient installé un puissant appareil photo juste là. Ils ont pris sa photo. Puis il lui a pointé le doigt à la figure, comme ceci, et il a dit : «Maintenant, prenez-la comme ceci.» Et ils l’ont prise comme cela. Le jeune prédicateur baptiste, Docteur Best, de l’église baptiste du Sud... Et puis, ils ont photographié tout de cette manière-là...

            Et puis frère Bosworth a dit : «Je sais que frère Branham se trouve dans la salle, s’il veut bien venir congédier l’auditoire, ce sera bien.» Je suis descendu. Des centaines de gens ont mis leurs mains ensemble, les gens cherchaient même à toucher mes habits, pendant que je descendais. Nous avons eu une réunion formidable.

90        Et j’ai dit : «Je suis désolé que ces choses aient dû arriver, mais, ai-je dit, je ne suis pas un guérisseur, certainement pas. Je prie seulement pour les malades.» J’ai dit : «Monsieur Best, si quelqu’un... Bon, croyez-vous que les gens peuvent être sauvés?»

            «Absolument.»

            J’ai dit : «Qu’en serait-il donc si quelqu’un vous traitait de Sauveur Divin? Voyez-vous? Si moi, en prêchant l’Evangile de la délivrance en ce qui concerne la guérison divine, cela fait de moi un guérisseur divin, si vous prêchez et que les gens peuvent être sauvés sur la même base, cela fait de vous un Sauveur.» Et j’ai dit : «Vous ne voudrez pas qu’on vous taxe de cela, certainement pas.» J’ai dit : «Vous ne sauvez pas les gens ; vous leur dites seulement que Jésus les a sauvés. Et moi je leur dis que Jésus les a guéris, et c’est la même chose.» Et j’ai dit : «Mais je dis la vérité, et si je dis la vérité, Dieu confirmera cette vérité.»

91        Et à ce moment-là, le tourbillon est descendu du ciel, et voici la Chose descendre juste au-dessus de l’endroit où je me tenais. Et ce puissant appareil photo en a pris la photo. Et c’était un jeune catholique qui avait pris cette photo. Et il est descendu ce soir-là... J’ai dit : «Dieu a déjà parlé, je m’en vais tout simplement maintenant.»

            Et alors, je suis allé–je suis allé à l’hôtel, à l’hôtel Rice. Le jeune catholique et quelques-uns de ses associés sont allés développer les photos de Monsieur Best. Il a demandé : «Qu’en pensez-vous?» Ils m’ont dit : «Imaginez ce que cela aurait pu être.»

            Et le jeune catholique a dit : «Eh bien...» Le Juif a dit : «Je n’en crois rien.»

            Et le jeune catholique a dit : «Mais, vous savez quoi?» Il a dit : «S’il était un catholique, je croirais que c’était vrai, mais, a-t-il dit, pour que...» Il a dit : «Eh bien, il a rétrogradé... Ses parents sont catholiques, sa famille avant lui, a-t-il dit, ça serait possible.»

92        Et ainsi, ils ont amené la photo à... sans savoir ce que cela serait. Ils ont pris la photo de Monsieur Bosworth pour l’amener chez monsieur Best, la photo sur papier glacé. Ils ont plongé cela dans de l’acide, et il était assis là et fumait quelques cigarettes, jusqu’à ce que cela soit passé dans l’acide, on a fait sortir la photo et chacune des photos de monsieur Best, avec son doigt sous le nez de monsieur Bosworth, chacune d’elles était vierge. Dieu n’avait pas permis que cet homme se tienne là et place son doigt sous le nez de ce vieux guerrier saint et pieux. Non, non.

            Et lorsqu’il a fait sortir ma photo, et voilà ! non seulement ma photo était là, mais il y avait l’Ange de l’Eternel sur la photo. Ils ont appelé George J. Lacy. Quiconque connaît suffisamment le FBI pour les empreintes digitales et les documents, sait qui il est. C’est le meilleur au monde. Et ils l’ont appelé. Il a amené cela à Houston, au bâtiment Shell, ils ont placé cela sous la lumière infrarouge. Il a examiné l’appareil photo pour voir s’il y a eu une double exposition. Il a fait tout ce qui pouvait être fait pour cela. Ils ont pris la photo plusieurs fois avant, mais ce n’était pas sous ce... Ce n’était pas authentique. L’appareil photo du journal avait pris cela, et nous avons mis une photo, mais cela ne pouvait pas être confirmé par l’appareil photo d’un journal. Mais celle-ci était absolument authentique.

93        Cela est allé à Washington DC, cela a été placé sous copyright, puis ramené. Monsieur Lacy a émis son avis et l’a couché sur le document, attestant que c’était le seul Etre surnaturel qui ait jamais été photographié dans le monde entier, et cela pouvait être attesté comme étant la vérité. Et voici ce qui était dit.

            Il a dit : «Le vieil hypocrite a dit,» il voulait dire l’incroyant, «que ces Lumières au-dessus des saints et de... Jésus, ce n’était que de la psychologie.» Il a dit : «Mais, Révérend Branham, l’oeil mécanique de cet appareil photo ne peut pas capter de la psychologie.» Il a dit : «La Lumière a frappé l’objectif, et La voilà.»

            Qu’est-ce? Le monde scientifique sait que j’ai dit la vérité, voilà qu’Elle est là pour confirmer cela. C’est une meilleure–c’est une meilleure preuve... Et voici ce que je dis, ma Bible étant ici, cette même Lumière est suspendue à moins de deux pieds [environ 60 cm–N.D.T.] de l’endroit où je me tiens. C’est tout à fait exact. C’est un... C’est comme un sixième sens. Elle est juste ici, juste dans cette direction. Je ne suis pas un fanatique ; je suis un ministre chrétien, et c’est la vérité.

94        S’Il vient et donne l’onction, dans quelques minutes, vous verrez si... si c’est la vérité ou pas. Et si vous Le voyez, c’est très bien. Si vous ne Le voyez pas, c’est la meilleure confirmation par rapport à ce que vous pourriez voir. Si vous Le voyiez de vos yeux, il se pourrait que ce soit une illusion optique. Mais cet appareil photo ne peut pas prendre d’illusion optique. C’est une preuve scientifique que la même Colonne de Feu qui a conduit les enfants d’Israël, Laquelle n’est rien d’autre que Jésus-Christ Lui-même, ressuscité des morts, et sous une forme spirituelle, est avec l’Eglise ce soir, continuant à opérer avec les mêmes miracles et prodiges. [Espace vide sur la bande–N.D.E.] Vous n’avez aucune excuse, mon ami. Vous devez croire en Lui et vivre. Ma prière est que Dieu accorde cela.

95        Nous ne sommes pas ici pour vendre des photos. Nous ne... On ne vend rien le dimanche, de toute façon. Mais si vous n’en voulez pas une, j’aimerais que vous veniez regarder cela. Ecrivez même à monsieur Lacy lui-même pour lui demander. Il y a tout un document écrit et tout dans les livres et autres là-bas, qu’il a signés.

            Prions. Seigneur Jésus, je dis ceci pour Ta gloire, afin que les gens sachent, Seigneur. Il y a tellement d’ismes, de fanatismes, et tout le reste dans le monde aujourd’hui, tellement de différentes opinions des choses. Et, Père, nous sommes... Tu sais que nous ne cherchons pas à dire cela ici à l’estrade, nous sommes les seuls à avoir Ton message. Ô Dieu, j’essaie de dire aux gens que chaque croyant, tout celui qui croit, qui est entré en relation avec le Seigneur Jésus... Tu connais le coeur de Ton serviteur, Seigneur. Je ne dis ceci qu’afin que les gens aient la foi parfaite dans le Fils de Dieu, pour qu’ils sachent qu’Il est ressuscité des morts.

96        Père, exauce-moi, s’il Te plaît, je prie. Si j’ai grâce–trouvé grâce à Tes yeux, honore Ton serviteur ce soir. J’ai prononcé Ta Parole ; la photo l’a déclaré au monde scientifique. Maintenant, Père, voudrais-Tu venir prendre autorité sur nos corps que voici, et Te mouvoir dans l’auditoire afin de montrer aux gens que Tu es ici pour faire les mêmes choses que Tu fis quand Tu étais ici en Galilée? Alors au jugement, Seigneur, les gens n’auront pas d’excuses. Je Te prie donc de confirmer Ta Parole ce soir. Je prie au Nom de Jésus. Amen.

            Maintenant, à l’auditoire, à vous qui êtes ici avec des cartes de prière, et qui êtes alignés, eh bien, je ne peux pas affirmer que vous allez être guéris. A vous qui êtes ici sur des brancards, sur des lits de camp et dans des fauteuils roulants, ainsi qu’à vous qui êtes là dans l’auditoire, je ne dis pas que vous allez être guéris. Mais voici ce que je dis : «Si vous le voulez, sur base premièrement de la Parole de Dieu, (c’est ça la première chose et le fondement), sur base de la Parole de Dieu, si vous voulez accepter Jésus-Christ, le Fils de Dieu, comme votre Guérisseur, et croire que je vous ai dit la Vérité, observez alors ce que Dieu fait pour vous. C’est ça.

97        Maintenant, à ceux qui sont dans l’auditoire... A-t-on fait entrer tout le monde dans la ligne de... Combien en ont-ils appelés? C’est ça? Est-ce là tous ceux qu’on a appelés? D’accord, d’accord. Ve... Etes-vous... Est-ce la personne en question?

            Bonsoir, madame. Eh bien, si l’ingénieur veut bien surveiller ce... Des fois, lorsque l’onction frappe, je ne sais pas comment ma voix baisse ; ça se passe dans un autre monde. Et je vais vous demander, s’il vous plaît, de ne pas vous déplacer, d’accord avec moi ce soir? Cela me tue pratiquement lorsque vous vous déplacez. Chaque esprit qui est vraiment dans la ligne exerce une traction. Maintenant, soyez très respectueux. Les frères qui sont ici vont vous dire quand ils me feront partir de l’estrade.

98        Et s’Il m’accorde l’onction ce soir, je ne sais pas quand je quitte la salle, je souhaite que la grâce de Dieu soit avec vous, j’espère vous voir ici demain soir. Jusque là, que Dieu vous couvre de Son ombre maintenant avec Sa Présence.

            Maintenant, pour la gloire de Dieu, et pour la–la confirmation selon laquelle Son Fils Jésus est ressuscité des morts par la puissance de Dieu, et qu’Il est certainement avec nous jusqu’à la fin du monde, je prends chaque esprit qui est ici sous mon contrôle au Nom de Jésus-Christ, pour la gloire de Dieu.

            Maintenant, soeur, je voudrais que vous veniez ici, ou plutôt que vous vous te... c’est très bien. Tenez-vous là, où que vous vouliez. Mais j’aimerais simplement vous parler un instant. Sommes-nous... Nous sommes des inconnus l’un pour l’autre, je pense. Je ne vous ai jamais vue de ma vie, à ma connaissance. Eh bien, j’aimerais que l’auditoire... Un instant. Ici se tient une dame qui m’est totalement inconnue ; je ne l’ai jamais vue. Nous sommes... Nous ne nous connaissons pas, nous ne savons rien l’un au sujet de l’autre, mais Dieu nous connaît tous deux. Maintenant, si Jésus se tenait ici, portant ce même costume, et... Il se peut que cette femme cherche la guérison ; il se peut qu’elle... Je ne sais pas ce qu’elle désire. Dieu le sait. Je ne saurais le dire. Et je n’ai aucun moyen de savoir ce qu’elle désire. Le seul moyen possible de le savoir, c’est qu’il faudrait que ce que cette femme désire me soit révélé d’une certaine façon. Est-ce juste, soeur? Nécessairement.

99        Maintenant, si Jésus était ressuscité des morts, et qu’Il se tenait ici comme moi dans un corps physique, si elle avait besoin de la guérison, pourrait (maintenant soyez attentifs), pourrait-Il la guérir? Non. En effet, Il l’a déjà fait. Voyez-vous? Il l’a fait lorsqu’Il est mort au Calvaire. Et si elle est une pécheresse qui a besoin du salut, pourrait-Il la sauver? Non, Il l’a déjà fait lorsqu’Il est mort pour elle au Calvaire. Elle doit accepter cela. Voyez-vous? Il ne peut pas... Il... Tout ce qui peut être fait pour vous a déjà été fait. La seule chose que vous pouvez faire, c’est d’accepter. Voyez-vous? Non pas... Aucun homme n’est un guérisseur divin. Dieu l’a déjà fait, vous devez accepter cela. Aucun homme ne peut sauver, pardonner les péchés ; Dieu l’a déjà fait. Vous devez accepter votre pardon.

100      Mais si Dieu, par le Saint-Esprit, à travers Jésus-Christ, vient et révèle à cette femme exactement comme à la femme au puits... Elle avait quelque chose sur son coeur. Elle vivait avec... Elle avait cinq maris. Si Dieu vient révéler à cette femme la raison pour laquelle elle est ici, son problème, quoi que ce soit, allez-vous, vous tous qui êtes là, croire donc que Jésus est ressuscité des morts? J’aimerais voir vos mains là derrière dans le fond, s’il vous plaît, partout. C’est juste, que Dieu l’accorde.

            Maintenant, soyons d’un même accord. Maintenant, j’aimerais parler à la femme comme Lui l’avait fait. Juste pour lui dire... simplement pour voir ce qu’Il dira.

101      Maintenant, étant des inconnus l’un à l’autre, ma soeur, sans nous connaître, impossible de nous connaître, nous nous sommes rencontrés juste ici pour la première fois de la vie... Peut-être, à moins que nous nous soyons croisés dans la rue, ceci est l’occasion où nous nous sommes rapprochés le plus dans la vie. Quelqu’un vous a donné une carte de prière ; votre numéro a été appelé, et vous êtes monté ici, avec une petite carte portant un numéro, et on vous a fait monter ici. Maintenant, si quelque chose doit être fait, il faut que ça vienne de Dieu. N’est-ce pas ça?

            Il y a une chose qui... Quelque chose vous est arrivé il n’y a pas longtemps. C’est quelque chose concernant votre hanche. Il s’agit d’un os ; il continue de glisser ou quelque chose comme ça, provoquant une... faisant une douleur à la hanche. C’est la vérité. Et les gens... Vous avez perdu un–un–un sens de votre corps, c’est le sens de l’odorat ; vous ne sentez aucune odeur. C’est la vérité. Et si je vous dis que Jésus-Christ vous a guérie de cela, croirez-vous cela? Vous êtes guérie. Que Dieu vous bénisse, vous êtes...?...

102      Croyez-vous? Ayez simplement la foi maintenant. Que tous ceux qui sont dans la salle maintenant soient calmes. Le Saint-Esprit est ici.

            Bonsoir, madame. Oh ! je pense que vous et moi sommes inconnus l’un à l’autre aussi. Nous ne nous connaissons pas, mais Dieu nous connaît tous deux, n’est-ce pas? Croyez-vous que par le Saint-Esprit, la résurrection du Seigneur Jésus, tel que je l’ai rendue évident ce soir dans la Bible, et les autres soirées, que s’Il est ressuscité des morts, Il fait les mêmes choses qu’Il a faites jadis? Eh bien, si le Seigneur Jésus me révèle la raison pour laquelle vous êtes ici, allez-vous croire en Lui et accepter... accepter cela?

            Eh bien, étant étrangers vous et moi, l’un à l’autre, ne nous connaissant pas, et comme c’est la première fois que nous nous rencontrons dans la vie, alors quelque chose devrait me révéler cela. Est-ce juste? Et accepteriez-vous que c’est le Seigneur Jésus ressuscité? L’auditoire peut-il faire de même? Eh bien, qu’Il l’accorde.

103      Vous êtes consciente, soeur, qu’il se passe quelque chose. Maintenant cette Lumière est descendue juste entre vous et moi. Je ne sais pas si vous La voyez ou pas, mais vous vous éloignez de moi. Et je vois que vous êtes... C’est quelque chose au sujet d’une–une collision, un accident d’auto, une collision. Mais vous avez accepté votre guérison pour cela. Je vous vois passer dans une ligne de prière, c’était ma ligne de prière, une ligne en quelque sorte rapide. Vous avez accepté cela. C’est la vérité.

            Ensuite, je vois quelque chose qui continue de se mouvoir dans votre coeur. Vous êtes ici pour quelque chose d’autre, et il s’agit d’une fille, ou plutôt d’une femme. C’est votre belle-fille. C’est juste, n’est-ce pas? Et elle est une... Elle a une–une maladie qui dégénère dans quelque chose. C’est une tumeur, elle est... une tumeur. Elle a en quelque sorte un sang–un sang rare. Je vois le médecin très embarrassé à ce sujet. C’est une maladie du sang rare. C’est la vérité. Et votre mari a aussi besoin de la guérison pour une hernie. N’est-ce pas ça? Et il est assis juste là. Amen. Maintenant, croyez-vous? Partez et recevez ce à quoi vous avez cru, au Nom du Seigneur Jésus-Christ.

            Ayez foi en Dieu. Maintenant, mes amis, chacun ici devrait croire maintenant même et accepter le Seigneur Jésus-Christ. Car, c’est infaillible ; Dieu vous tiendra responsable au jour du jugement.

            A vous les nouveaux nés qui êtes récemment venus à Christ, n’êtes-vous pas heureux d’avoir accepté le Seigneur Jésus? Sûrement. Il est ici ; Il vous aime. Il vous aime tous.

            Maintenant, ces visions maintenant, c’est ce qui m’affaiblit. Ayez simplement la foi ; ne doutez pas.

104      Madame, vous qui êtes assise là priant pour vous débarrasser de ces maux de tête, croyez-vous que Dieu vous guérira, vous qui êtes assise là avec la main levée comme ceci? Levez la main si ce n’est pas la vérité. Jésus-Christ vous a guérie. Amen. Voyez-vous?

105      La petite dame qui est assise à côté de vous là, elle... cela l’a un peu frappée, la Lumière est suspendue au-dessus d’elle. Vous souffrez de nervosité, n’est-ce pas, madame? Levez la main, ou plutôt tenez-vous debout si ce n’est pas ça? C’est la vérité ; c’est la vérité. Que Dieu vous bénisse. Rentrez chez vous, guérie maintenant. Je vous vois debout fatiguée ou quelque chose comme ça, c’est un démon qui vous tourmente, une espèce d’oppression. Cela vous a quittée maintenant, soeur. Votre foi vous a rétablie. Jésus-Christ, le même hier, aujourd’hui et éternellement. Il est infaillible, Il est le Seigneur Jésus. Ayez la foi, ne doutez pas.

106      Est-ce là la patiente? Bonsoir, madame. Croyez-vous que je suis un serviteur du Seigneur? La raison pour laquelle je le dis, ce n’est pas pour que vous croyiez en moi en tant qu’un homme. Pierre et Jean, lorsqu’ils sont passés par la porte appelée la Belle, ils ont dit : «Regarde-nous.» C’était pour attirer l’attention de ce boiteux (Voyez-vous?), jusqu’à ce qu’ils ont vu ce que le Seigneur allait faire. Et c’est la raison pour laquelle j’ai dit cela. L’Ange a dit : «Amène les gens à te croire, sois donc sincère lorsque tu pries.»

107      Or, nous sommes des inconnus l’un à l’autre, n’est-ce pas, soeur? Je ne vous connais pas. Je ne vous ai jamais vue. Vous ne m’avez probablement jamais vu. Nous sommes probablement nés à des kilomètres de distance et à des années d’intervalle, et c’est la première fois en tant qu’homme et femme... Vous êtes une chrétienne, une croyante. C’est la première fois que nous nous parlons comme frère et soeur ici dans la Présence du Seigneur Jésus. C’est vrai, n’est-ce pas? Observez. Il est tout à fait la vérité. Voyez-vous? Et pour avoir servi le Seigneur aussi longtemps que vous l’avez fait, vous êtes cependant maintenant même témoin de quelque chose qui se passe ici et qui est pratiquement un peu différent, n’est-ce pas? C’est en quelque sorte un sentiment d’amour très sacré... Si c’est la vérité, levez la main, comme ceci, afin que les gens voient. Voyez-vous? Cela est en train de se mouvoir entre nous. Vous avez une... Vous êtes... Vous avez eu des problèmes. C’est avec la tête, c’est juste dans la tête. Il s’agit d’un cancer. Et je vois quelqu’un qui va çà et là... Non, c’est un–c’est un cabinet médical. Le docteur a détruit le cancer, mais le cancer ne veut pas guérir ; ça ne va pas... pas se guérir. Et vous voulez que je prie pour cela pour vous rétablir. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR. C’est vrai. Approchez.

            Précieux Sauveur, Toi seul peux guérir. Et en vertu de Ta Parole, Seigneur, Laquelle est la Vérité, j’impose les mains à cette femme. Peu importe son besoin, Seigneur, Toi seul le sais. Et je Te prie de le lui accorder. Et puisse-t-elle être guérie de tout ce dont elle souffrait, au Nom de Jésus-Christ. Amen. Que Dieu vous bénisse, soeur. Que Dieu vous bénisse.

108      Bonsoir, madame. Nous supposons que vous et moi som–sommes inconnus l’un de l’autre. Dieu seul nous connaît. Il nous nourrit depuis notre–notre naissance. Et il m’est impossible de savoir quelque chose à votre sujet ; vous m’êtes totalement incon-...

            Voulez-vous vous débarrasser de cette maladie de foie? Le voulez-vous? Votre foi vous a guéri, monsieur. Cette dame qui est assise là à côté de vous, souffre aussi du côlon, n’est-ce pas, madame? Votre foi vous a guérie. Jésus-Christ vous rétablit. Que Dieu vous bénisse maintenant.

109      «Qu’est-ce qui a fait cela?» direz-vous. La même chose que notre Seigneur–notre Seigneur Jésus a fait. Les gens ont exercé une traction sur le don de Dieu par leur propre foi. La femme et l’homme étaient assis là priant dans leur coeur, sans le savoir l’un l’autre. Si c’est la vérité, levez la main, monsieur, vous et cette femme là-bas. C’est la vérité, que j’ai pu tourner le dos et vous dire quelque chose à vous tous, étant donné que vous n’aviez pas la chance de monter à l’estrade. N’est-ce pas là la prière que vous faisiez? Si c’est cela, agitez vos mains comme ceci en haut... Voyez-vous? Vous voyez, frère, soeur, il s’agit de notre aimable Seigneur Jésus. Il est ressuscité des morts. Il est ici ; Il vous aime tous. Ayez la foi ; croyez en Lui.

            Maintenant, un instant, madame. Croyez-vous? Vous souffrez d’un... quelque chose qui me paraît... c’est un drap noir qui est suspendu près de vous, lequel je... Il s’agit de la nervosité. Vous êtes très bouleversée et très nerveuse. Je vois que vous préméditez beaucoup les choses, prenant des choses dans votre propre... pensant que quelque chose va arriver et généralement, il n’en est pas ainsi. Je ne suis pas en train de lire votre pensée, mais c’est la vérité. Votre vie ne pourrait pas être cachée maintenant, pendant que l’onction est entre nous. Vous souffrez aussi de quelque chose qui vous raidit. Des fois vous essayez de bouger... C’est l’arthrite qui vous secoue. Et voici quelque chose afin que vous puissiez aussi comprendre. Vous avez eu un accident en tombant, et vous vous êtes fracturée le poignet. N’est-ce pas vrai? Croyez-vous que vous êtes dans Sa Présence? Acceptez-vous votre guérison? Si le Dieu Tout-Puissant est ici ayant l’onction pour vous connaître et connaître tout de vous, dans une dimension où vous ne pouvez pas voir, mais vous êtes consciente que quelque chose va arriver, qui déclare le surnaturel dans le naturel. Alors Il a dit : «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru ; ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris.» Est-ce là la vérité? Alors, pour votre rétablissement, je demande votre guérison au Nom de Jésus-Christ. Amen. Que Dieu vous bénisse, madame.

            Ayez foi en Dieu. Croyez-vous en Lui?

110      Dieu vous guérit de cette maladie de poumons, vous qui êtes assis là. Ne vous tourmentez pas, Il vous rétablit. Que Dieu vous bénisse. Oui, monsieur. Votre foi vous a sauvé, monsieur. Que Dieu soit avec vous.

            Approchez. Nous sommes des inconnus l’un à l’autre. Nous ne nous connaissons pas, mais Jésus-Christ, le Fils de Dieu, nous connaît tous deux, n’est-ce pas? Si Dieu, par Son Saint-Esprit à ce moment-là, au travers de Son serviteur inutile, veut bien vous dire–dire par moi... C’est votre propre foi qui fait cela, madame. Voyez-vous? Vous dire ce qu’est votre ennui, allez-vous croire que j’ai dit la vérité au sujet de Jésus-Christ ressuscité des morts qui se tient juste ici? Voyez-vous, c’est votre foi qui fait cela, comme la foi de la femme qui a exercé une traction–juste sur le Maître. C’est comme l’aveugle Bartimée, la même chose...

111      Votre problème se situe dans votre–dans votre nez. C’est juste. C’est une tumeur cancéreuse dans votre nez. C’est vrai. Jésus-Christ est ici pour vous rétablir, et vous êtes dans Sa Présence.

            Dieu notre Père, sois miséricordieux. Au Nom de Jésus-Christ je demande qu’elle soit guérie. Amen.

            Ecoutez, madame, je veux vous dire pourquoi c’est très facile. Il y a un homme qui se tient juste derrière moi qui avait un cancer du même genre au nez. A Calgary, au Canada, je lui ai imposé les mains avec la même chose, disant... et c’est parti. C’est arrivé il y a sept ans. Est-ce juste, monsieur? Quand j’ai senti cela, le témoignage de votre esprit agissant de cette façon... Partez, et vous serez comme lui, au Nom du Seigneur Jésus.

            Ayez la foi.

112      Maintenant, madame, vous ne... Oui, vous pouvez garder la tête inclinée, cette patiente-ci, si vous le voulez. Je ne suis pas en train de lire votre pensée ; vous le savez. Voyez-vous? Mais gardez simplement la tête inclinée si vous le voulez. J’aimerais simplement vous parler jusqu’à ce que Dieu me montre votre problème, alors vous accepterez cela, n’est-ce pas?

            Maintenant, ceci peut continuer pendant des heures et des heures, mais cependant, aussitôt... Cela m’affaiblit vraiment, au fur et à mesure que les gens se mettent à croire. Je dis ceci maintenant même, que si cet auditoire, d’un commun accord, acceptait de croire maintenant, il n’y aurait aucune personne de faible dans la salle. Si vous pouvez accepter cela sur les mêmes–mêmes bases sur lesquelles vous croyez cela maintenant...

113      Maintenant, je veux... Madame, à ma connaissance, soeur, vous et moi sommes tout à faits, totalement, inconnus l’un à l’autre, n’est-ce pas? Nous ne nous sommes jamais rencontrés de notre vie. Il n’y a aucun moyen du tout pour moi de savoir quelque chose à votre sujet, à moins que cela me soit révélé d’une certaine façon. Croyez. Vous êtes certainement une vraie croyante. Je peux vous aider ; je ne le peux pas ; Dieu peut le faire, mais c’est par un don divin que votre foi va elle-même opérer.

            Oh ! la la ! je vous assure, cet auditoire est illuminé. C’est le meilleur état que vous ayez depuis que je suis à Phoenix.

            Vous avez une affection dans la poitrine, et vous souffrez du coeur, vous êtes nerveuse. C’est ce qui fait que votre coeur soit dans cet état. Il palpite et fait des problèmes, surtout lorsque vous êtes étendue. Vous êtes extrêmement nerveuse. Vous piquez des crises et cela vous affaiblit, et surtout lorsque vous devez... Vous faites votre travail, vous vous asseyez beaucoup. Je vous vois en mouvement, faire quelque chose, et vous... Des fois vous devenez mélancolique, vous pleurez vraiment. Je vous vois essuyer les bords de vos lunettes, en vous tenant debout dans une pièce près d’une table. Et je vous vois quelque part. Vous êtes dans une espèce de bureau. C’est un médecin ; c’est un... Oh ! il veut vous opérer, et c’est pour une fistule. C’est... AINSI DIT LE SEIGNEUR. Approchez. Tout-Puissant Jéhovah, au Nom du Seigneur Jésus, bénis cette femme avec ces gens qui sont dans l’auditoire, au Nom de Jésus-Christ. Amen.

            Ayez la foi.

114      Soeur, il y a quelqu’un qui pense là-bas [dans l’assistance] que je lisais votre pensée. Je veux que vous mettiez votre main sur la mienne. Je n’ai pas besoin de lire votre pensée ; je ne lis pas votre pensée. Je veux que vous ne pensiez même pas à ce que vous avez comme problème ; je veux que vous pensiez à quelque chose d’autre. Et si le Saint-Esprit révèle dans une vision ici, pendant que je suis en contact avec l’esprit de la femme, le problème de cette femme, allez-vous oublier de–tout de la télépathie mentale, et tout? Que Dieu vous l’accorde.

            Cette dame souffre d’une maladie de femmes ; c’est une maladie gynécologique. Si c’est vrai, madame, ôtez votre main de la mienne et levez-la vers le Seigneur, la dame qui est ici. Vous avez une–une faiblesse due à des troubles féminins. Vous avez aussi une–une sensation lugubre, suite à cela. Et vous avez beaucoup de choses auxquelles vous pensez, dont vous souffrez, en fait la chose principale est due à votre âge et à votre époque. C’est la vérité. N’est-ce pas la vérité? Maintenant, je n’avais pas à vous regarder [Une dame dit : «Je ne sais pas si j’ai des troubles féminins ou pas. J’ai été plusieurs fois à l’hôpital...?... rayons X.–N.D.E.] Voyez-vous? Maintenant, je... Peu importe ce qu’Il a dit, je ne sais pas maintenant ce que c’était. Qu’est-ce que c’était, des troubles féminins? [«Ils ont dit que je n’avais pas de... féminins...?...»] Regardez par ici un instant. [La dame parle à Frère Branham–N.D.E.] La seule chose que je sais, c’est que je vois ces médecins et autres vous examiner dans cet état. C’est la vérité (Voyez-vous?), ce que... C’est juste. Ainsi, croyez-vous maintenant que Christ va vous guérir? Acceptez-vous votre guérison? Croyez-vous là-bas que Dieu va la guérir? [L’assemblée dit : «Amen.»–N.D.E.] Très bien, alors approchez. Dieu notre Père, j’implore miséricorde, afin que Tu la rétablisses. Puisse-t-elle s’en aller d’ici et être en bonne santé, alors que je le demande au Nom de Jésus. Amen. Que Dieu vous bénisse.

115      Très bien. Approche, petite créature. Qu’il est mignon. Voici un enfant. Petit garçon, Dieu sait que je ne te connais pas. Mais si le Saint-Esprit me révèle ici ce qui ne va pas dans ce petit garçon, petit garçon, vas-tu lever la main, si Dieu me révèle ce que tu as comme problème? Maintenant, baisse ta petite main. Le petit garçon a un problème à la gorge ; c’est de l’asthme, il tousse beaucoup la nuit. Si c’est vrai, mon petit monsieur, lève les mains, si c’est vrai. Crois-tu que Jésus va te rétablir, mon chéri? Je le crois aussi.

            Précieux Père céleste, alors que cet aimable petit garçon se tient ici, avec de petits yeux bleus regardant en haut avec une sincérité profonde, je demande au Dieu Tout-Puissant, par la résurrection de Jésus, de rétablir le petit garçon. Au Nom de Jésus, j’ôte du garçon cette malédiction. Amen. Que Dieu te bénisse, mon chéri. Pars maintenant, en croyant de tout ton coeur.

            Très bien. Venez, soeur. J’aimerais vous demander : croyez-vous que Dieu peut vous guérir de cette maladie de reins et vous rétablir? Croyez-vous cela de tout votre coeur?

116      Dieu notre Père, nous Te prions de la guérir et d’ôter d’elle cette malédiction. Et maintenant, au Nom de Jésus-Christ, nous demandons à cela de s’en aller. Amen. Ayez la foi maintenant ; croyez de tout votre coeur. Que Dieu vous bénisse.

            Amenez la jeune soeur. Que Dieu te bénisse, ma chérie. Crois-tu que Jésus va te débarrasser de cet asthme et faire que tu arrêtes de tousser et ainsi de suite, au lieu que maman soit obligée de se lever la nuit pour prendre soin de toi? Crois-tu qu’Il va le faire? Je le crois aussi, ma chérie.

            Dieu du ciel, sois miséricordieux envers cette enfant, et accorde cette bénédiction par Jésus-Christ, le Fils de Dieu. Amen. Que Dieu te bénisse. Très bien.

            Croyez-vous?

117      Chère soeur, que représente l’arthrite pour Dieu? Il peut la guérir exactement comme Il pourrait guérir un mal de dents, n’est-ce pas? Croyez-vous qu’Il le fait maintenant? Alors si vous croyez cela, vous recevrez exactement ce que vous avez demandé. Que Dieu vous bénisse. Partez, et que la paix de Dieu repose sur vous.

            Approchez, madame. Croyez-vous de tout votre coeur? Qu’est-ce que Dieu... Eh bien, c’est facile pour Lui de guérir votre mal d’estomac, n’est-ce pas? Voudriez-vous rentrer chez vous et manger encore un très gros hamburger? Allez le faire, au Nom du Seigneur Jésus.

            Maintenant, c’était étrange quand j’ai dit estomac à son sujet. Vous avez la même chose, et vous avez été guéri pendant que vous étiez assis sur la chaise. Continuez simplement votre route en vous réjouissant...?... Que Dieu vous bénisse.

118      Bonsoir, soeur. Voulez-vous être guérie de votre mal de dos et vous rétablir? Croyez-vous cela de tout votre coeur, que Dieu rétablit votre dos? Alors vous pouvez partir et être rétablie, au Nom du Seigneur Jésus.

            Alléluia ! Disons : «Que le Seigneur soit loué !» [L’assemblée dit : «Que le Seigneur soit loué !»–N.D.E.] Amen.

            Un instant. Ayez la foi.

            Etait-ce cette dame qui était à l’estrade, qui est assise là, pleurant maintenant même? Est-ce vous la dame qui était ici? C’était vous. Vous souffrez, vous êtes très nerveuse aussi, n’est-ce pas? Vous avez quelque chose que vous voulez aussi abandonner, n’est-ce pas? Celui qui est assis là à côté de vous, c’est votre mari, n’est-ce pas? Il souffre du mal d’estomac, n’est-ce pas? Il veut aussi abandonner quelque chose. N’est-ce pas ça? Arrêtez de fumer maintenant, et Jésus vous rétablira complètement, vous deux. Amen.

            Croyez-vous?

119      Est-ce la dame en question? Bonsoir, madame. Croyez-vous au Seigneur Jésus, le Fils de Dieu? Croyez-vous que je suis Son serviteur? Vous souffrez d’un mal de tête. Ensuite, vous avez un fils pour lequel vous voulez que je prie, en effet, le jeune homme est alcoolique. AINSI DIT LE SEIGNEUR. Partez, croyez et recevez ce que vous demandez.

            Croyez-vous? Certains d’entre vous qui êtes dans ces brancards ici, ayez la foi. Certains d’entre vous dans des fauteuils roulants, je ne peux pas vous guérir.

            Qu’en est-il de vous, madame? Croyez-vous de tout votre coeur? Je ne peux pas vous guérir. Vous qui êtes étendu ici dans ce brancard, ou sur ces lits de camp. Je ne peux pas vous guérir, mais si Dieu me révèle votre problème, allez-vous accepter cela? Allez-vous le faire? Si vous pouvez croire. Vous avez fait une dépression nerveuse, et vous êtes étendue là, les nerfs brisés. Si vous voulez croire en Jésus-Christ... Je ne peux pas vous guérir, mais vous ne pouvez pas cacher votre vie maintenant. Mais si vous faites ce que je vous dis, en tant que serviteur de Dieu, vous vous lèverez de là au Nom de Jésus-Christ, et vous rentrerez chez vous. Je sais que vous pensez que vous ne pouvez pas marcher, mais vous le pouvez.

120      Qu’en pensez-vous, madame, qui êtes couchée dans ce brancard à côté? Si Dieu me révèle votre problème, allez-vous accepter cela? Allez-vous m’obéir en tant que Son prophète? Vous êtes étendue là, mourant de la tuberculose, mais Jésus-Christ vous rétablit. Croyez-vous cela? Alors si vous croyez, prenez votre lit et rentrez chez vous et soyez en bonne santé. Agissez sur base de votre foi.

            C’est très bien, madame, recevez... Tout celui qui le veut peut être guéri maintenant même. Croyez-vous en Lui?

            Dieu Tout-Puissant, au Nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu, répands Ta grande puissance de guérison, et que chaque démon dans cette salle soit séparé de ces gens. Je chasse chaque démon, au Nom de Jésus-Christ.

            Levez-vous. Sortez de ces fauteuils roulants, et de ces lits de camp.

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