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Le Rideau Du Temps
1
Bonsoir, les amis. Nous sommes heureux dâĂȘtre Ă Phoenix ce
soir Ă ce culte,
mais nous regrettons que ça soit la derniÚre soirée. Nous espérons donc
que
Dieu nous accordera Ses plus grandes bĂ©nĂ©dictions ce soir, et quâil nây
aura
aucun malade, aucun affligé parmi nous lorsque nous quitterons ce soir.
Jâaimerais
que vous par ici, vous qui ĂȘtes sur les brancards, sur les lits de
camp, et les
fauteuils roulants, jâaimerais que vous fassiez quelque chose pour moi
ce soir.
Jâaimerais que vous croyiez de tout votre coeur. Jâaimerais vous voir
tous
sortir ce soir en marchant, guéris.
Il vous
aime, les amis. Le fait que vos maladies et autres semblent incurables,
ça
câest simplement Satan qui vous le dit. Vous guĂ©rir nâest pas plus
difficile
pour Lui que de guĂ©rir nâimporte qui dâautre. Croyez de tout votre
coeur ce
soir. Croyez simplement cela ; cela ne change rien combien vous... ce
que votre
esprit dit Ă ce sujet ; acceptez simplement ce que Dieu dit Ă ce sujet.
Je sais
que câest la vĂ©ritĂ©. Je ne vous lâaurais pas dit, si je nâĂ©tais pas
réellement
sĂ»r que câest absolument la vĂ©ritĂ©.
2
Bon, nous voulons premiĂšrement remercier, je pense, frĂšre
Moore ;
gĂ©nĂ©ralement câest le manager qui le fait, mais jeâjâaimerais saisir
cette
occasion moi-mĂȘme pour vous remercier tous de votre contribution pour
que cette
série de réunions soit la meilleure, je pense, qui a... que nous ayons
jamais
tenue Ă Phoenix. Câest la sĂ©rie de rĂ©unions la plus spirituelle et la
plus
ordonnĂ©e de toutes les rĂ©unions que jâai dĂ©jĂ tenues Ă Phoenix.
Je
voudrais remercier ce merveilleux groupe de ministres, les ministres
qui ont
collaboré, qui nous ont aidés à tenir cette série de réunions. Tous les
sponsors, beaucoup dâentre eux nâont pas pu sponsoriser, parce quâils
avaient
leurs propres rĂ©unions de rĂ©veil et dâautres choses en cours. Jamais
nous nâessayons
de, oh ! dâorganiser quelque chose de si grand que tout le monde sera
obligé de
fermer son église. Certains frÚres ont de grandes tentes et autres ;
ils
étaient obligés... Tout le monde était obligé de fermer, sinon les gens
ne
pourraient pas venir. Oh ! je nâai jamais tenu mes rĂ©unions de cette
façon-là .
Et je rends les choses simples et modestes, juste pour aller faire le
mieux que
je peux.
JâapprĂ©cie
tous ceux qui sont effectivement venus. Et ceux qui nâont pas pu venir,
eh
bien, je les apprécie autant. Ainsi nos dépenses sont bas, notre budget
nâest
pas trĂšs gonflĂ© ; et par consĂ©quent, nous nâavons pas Ă faire pression
sur les
gens, nous prélevons simplement une offrande ordinaire et nous payons
nos
dettes. Et aussitÎt que le budget est élaboré, tout est réglé.
3
Et jâentends dire que ce soir on a donnĂ© une offrande
dâamour pour moi ;
jâapprĂ©cie certainement cela. Jâaurais souhaitĂ© ne pas devoir prendre
cela.
Jâai une grande obligation ; vous pouvez imaginer ce que câest. Et
comme le
bureau fonctionne tout le temps, il me faut cent dollars par jour, peu
importe
lâendroit oĂč je me trouve. Ăa, ce nâest quâĂ Jeffersonville, que je
tienne des
services ou pas. Vous pouvez vous rendre compte Ă quel point je suis
redevable.
Et, eh
bien, nous envoyons beaucoup de cartes de priĂšre, comme celles quâon a
ici. Et
nous en envoyons partout dans le monde. Parfois nous en envoyons mille
en un
seul jour. Et vous ĂȘtes tous les bienvenus, Ă tout moment que je peux
vous ĂȘtre
dâun quelconque secours, eh bien, Ă©crivez-moi et tenez-moi informĂ©. Je
ne dis
pas que... Voyez, bien des fois les gens disent: «Ecrivez-moi», juste
pour
obtenir votre adresse. Mais je nâai pas dâĂ©mission de radio Ă
sponsoriser. Je
nâai rien, juste... vous... rien du tout juste pour que je puisse vous
aider.
Pour ce qui est de vous envoyer un linge de priĂšre ou quelque chose du
genre,
je serai heureux de le faire. Prier pour vous, ça je serai heureux de
le faire.
4
Et maintenant, jâaimerais remercier chacun de vous pour
votre collaboration
; vous tous pour ĂȘtre venus, pour tout ce que vous avez donnĂ©. Et
lâoffrande
dâamour de ce soir, chaque sou qui ne devra pas exactement aller dans
notre
petite... Quant Ă notre mode de vie, nous menons une existence pauvre
juste
comme les autres. Les gens ne comprennent pas pourquoi ayant été dans
le champ
de mission plus longtemps que tous les autres, je nâaie cependant rien.
Câest
parce que je dĂ©pense le peu que jâai dans les missions Ă lâĂ©tranger,
mes amis,
tout. Dieu est mon Juge solennel pour cela (Vous voyez?), que tout ce
que je
reçois, je...
Quand il
est question des finances, quand nous essayons de mener une vie
ordinaire comme
le reste du monde, alors le peu qui nous reste, je lâĂ©conomise, je
lâĂ©conomise,
jusquâĂ ce que jâaie assez dâargent pour nous permettre dâaller
outre-mer. Nous
partons alors prĂȘcher lâEvangile Ă ceux qui ne Lâont jamais entendu
auparavant,
pour gagner des milliers et des milliers Ă Christ. Lorsque notre argent
sâĂ©puise, nous revenons. Nous revenons en AmĂ©rique et nous allons
visiter nos
amis. Ils nous aident un peu, et aussitÎt que nous avons économisé
assez, nous
voilĂ repartis.
5
Maintenant, je le sais, jâai beaucoup dâamis. Jâai des amis
qui sont assis
juste ici dans cette salle ce soir, qui disent tout simplement: «Tenez,
FrĂšre
Branham, je vais vous Ă©tablir un chĂšque pour vous permettre dâaller
outre-mer.»Mais
cela ne serait pas juste vis-Ă -vis dâautres personnes. Voyez-vous?
Chacun de
nous aimerait avoir sa petite part lĂ -dedans. Câest juste. Chacun y a
sa part
de dix cents, quinze cents, vingt-cinq cents, peu importe ce que câest,
ça
contribue Ă lâavancement du Royaume. Et ainsi, je suis alors sĂ»r que
câest le
Seigneur qui mâenvoie lĂ -bas.
Je pense
quâavant de vous revoir, jâaurai probablement effectuĂ© une autre
tournée outre-mer.
Il y en a une qui est en vue maintenant pour toute lâAfrique, le
Tanganyika, la
Rhodésie, et en Inde une fois de plus. Et ainsi, nous espérons que vous
serez
en train de prier pour nous, pendant que nous ferons notre voyage.
6
Jâai rencontrĂ© aujourdâhui un ami, qui mâa dit de ne pas
citer leurs noms Ă
lâestrade, mais sâil est prĂ©sent, il sait combien nous les apprĂ©cions,
eux
tous. Je les aime de tout mon coeur. Et puis, certaines personnes ont
été...
Ils savent que je suis unâjâaime bien chasser, jâai donc mangĂ© beaucoup
de
gibier. Ils mâont amenĂ©...
Deux ou
trois personnes mâont apportĂ© de la viande de cerf lĂ oĂč je restais.
Ils mâont
apportĂ© de lâĂ©lan, mĂȘme du bison, du pĂ©cari, ainsi jâaiâjâai vraiment
passé un
temps merveilleux.
Câest ma
premiĂšre fois de manger certains de ces gibiers. CâĂ©tait vraiment bon.
Que le
Seigneur vous bĂ©nisse. Vous ne savez pas combien jâai aimĂ© cela. Je
vous
adresse tous mes remerciements. Et câest la premiĂšre fois que jâai
goûté du
sanglier ouâou du bison, câĂ©tait vraiment bon. Et jâapprĂ©cie beaucoup
cela. Et
la viande de lâĂ©lan et du cerf Ă©tait dĂ©licieuse. Jâaime vraiment ce
genre de
nourriture. Je ne sais pas ce qui me fait raffoler cela, mais jeâjâaime
ça de
toute façon. Jâaime le bois et le plein air. Jâaime donc tout ce qui
sây
rattache. Ainsi je vous apprĂ©cie trĂšsâtrĂšs infiniment.
7
Et maintenant, vous tous qui vous ĂȘtes assemblĂ©s, quelle foi
merveilleuse,
ça a Ă©tĂ© merveilleux ! Pour moi, ça a Ă©tĂ© un peu dur, les amis. Ăa a
été la
premiĂšre fois dans mes rĂ©unions oĂč jâai essayĂ© de faire mon propre
appel Ă
lâautel, de prĂȘcher, de faire mon appel Ă lâautel, dâamener les gens Ă
Christ,
et puis de prier pour les malades. Ăa a Ă©tĂ© vraiment dur. Pour les
quelques
derniers jours, jâĂ©tais presque extĂ©nuĂ©. En effet, ceci ce nâest pas
lâunique
réunion à laquelle je participe.
Je vais
immĂ©diatement me rendre en Californie. Nous avons dĂ©jĂ apprĂȘtĂ©
maintenant la
plupart de nos bagages, nous sommes prĂȘts Ă partir pour la Californie.
Et nous
serons lĂ -bas, et puis nous reviendrons directement Ă Macon, en
Géorgie. De là ,
on ira directement Ă ... dans le Colorado, et nous continuerons sans
arrĂȘt. Et
ça devient certainement un peu fatiguant.
8
Eh bien, une fois... les plus grands transports de joie que
jâai eus dans
mes rĂ©unions, surtout rĂ©cemment... je remets toujours lâappel Ă lâautel
au
manager, Ă quelquâun. Mais moi je... Combien cela me fait tressaillir
de joie
de voir les gens se lever et accepter le Seigneur Jésus comme leur
Sauveur
personnel ! Et jâen suis si heureux.
Et
jâaimerais faire... jâaimerais que les ministres comprennent, mes
sponsors et
mes proches, que jâaimerais revenir un jour Ă Phoenix, si Dieu le veut,
juste
pour tenir des services de prĂ©dication de lâEvangile et appeler les
gens Ă
lâautel et leur imposer les mains pour quâils reçoivent le
Saint-Esprit.
Avec... Câest le discernement, les visions qui mâĂ©puisent tant.
9
Combien parmi vous aimeraient que nous revenions pour tenir
une réunion de
ce genre? Aimeriez-vous cela? Eh bien, que Dieu vous bénisse. Merci
beaucoup.
Peut-ĂȘtre prier pour les malades, mais pas sous le discernement, de
sorte que
je puisse rester longtemps (Vous voyez?), au lieu de rester seulement
quelques
soirées et devoir ensuite repartir ; eh bien, nous pourrions rester
plus
longtemps. Tous mes remerciements.
Alors
que jâeffectue ma tournĂ©e Ă travers la nation pour le moment, avant
dâaller
outre-mer, câest ce que je demande. A Los Angeles, chez les Hommes
dâAffaires
ChrĂ©tiens, les cinq premiĂšres soirĂ©es de rĂ©unions consisteront Ă
prĂȘcher et Ă
imposer les mains aux malades, et Ă prier pour eux Ă mesure quâils
passeront
dans la ligne. Nous prendrons chacun dâeux Ă ce moment-lĂ .
10 Et maintenant, ce nâest pas exactement de cette façon-lĂ que
je me sers de
mon ministĂšre, mais câest de cette façon que les gens ont Ă©tĂ©
enseignés, et
câest ce quâils croient, jâaimerais donc procĂ©der de cette maniĂšre
pendant un
temps. Vous ne pouvez pas mélanger les choses ; en effet, lorsque les
visions
commencent au dĂ©but, alors vous nâen avez pas le contrĂŽle ; elles
continuent
tout simplement. Et maintenant, ce soir jâaurais aimĂ© pouvoir vous
expliquer et
vous dire comment ça se passe, mais je ne le saurais pas. Ăa reste un
mystĂšre
pour moi autant que ça lâest pour vous.
Maintenant,
je pense que cela couvre tout, Ă lâexception des gardiens, des
huissiers et
ainsi de suite. Nous sommes reconnaissants à cette fraternité du Temple
Shriner
de nous avoir permis dâobtenir cet amphithéùtre. JâespĂšre que les
gardiens, les
managers et les autres sont prĂ©sents. Sâils ne sont pas lĂ , nous vous
prions de
leur transmettre notre apprĂ©ciation la plus profonde. Câest pour la
deuxiĂšme
fois quâils nous lâaccordent, et nous apprĂ©cions cela. Que le Seigneur
les
bénisse tous.
11 Et nous remercions aussi les huissiers qui ont été si
gentils pour nous
aider Ă apprĂȘter la ligne de priĂšre. Et surtout un petit huissier qui
accompagne Billy, qui mâaide par ici, un petit homme. Câest un
merveilleux
petit gars, jâai dĂ» lui serrer la main il y a quelques instants. Et
lorsquâils
me conduisent pour me faire entrer, ils ne parlent pas, comme tout le
monde le
sait. Ainsi nous passons Ă lâestrade aprĂšs ĂȘtre sorti de la priĂšre.
Et nous
remercions certainement ce frĂšre. Et les autres aussi, frĂšre Ballard et
tout ce
merveilleux groupe de frĂšres qui sont assis ici derriĂšre, frĂšre
WalkâFuller, oh
! ils sont trĂšs nombreux. Je reconnais leurs visages, mais parfois
leurs noms
mâĂ©chappent. Je pense que ce sont des hommes merveilleux. Et je crois,
lâun
dâeux, je crois que câest frĂšre Fuller, commence un rĂ©veil juste aprĂšs
ceci,
nâest-ce pas? Ce sera demain soir, nous en faisons certainement
lâannonce. Ce
frÚre Fuller ici présent, du... est-ce du Fuller Tabernacle? Faith
Temple
[Temple de la Foi]. Avez-vous déjà annoncé cela ici? Je pense que de
toute façon...
12 Et nous sommes vraiment heureux dâannoncer nâimporte quel
réveil, à tout
moment, et le lieu oĂč ils vont tenir... DĂ©pĂȘchez-vous, hĂątez-vous, que
tout le
monde assiste à ces réveils qui sont maintenant annoncés, et allez
directement
de lâavant et servez le Seigneur. Ne laissez pas la lumiĂšre de votre
maison
sâĂ©teindre. Continuez simplement Ă avancer avec ces rĂ©veils.
Oh !
câest si merveilleux de savoir que le Seigneur JĂ©sus est vivant
aujourdâhui,
nâest-ce pas? Il vit et Il rĂšgne au-dedans de nos coeurs... Et
maintenant ce
soir je nâaimerais pas prendre beaucoup de temps. Jâaimerais parler
juste un
petit peu sur la Parole, et ensuite entrer directement dans la ligne de
priĂšre
pour les malades.
Jâavais
plutĂŽt annoncĂ© que je ferais peut-ĂȘtre juste un appel...?... Et puis,
jâai
plutĂŽt ressenti que nous devrions laisser peut-ĂȘtre simplement cela au
Seigneur, pour voir ce quâIl va faire Ă ce sujet, jusquâĂ la fin de
laâla
route, lorsque nous en arriverons Ă ce moment-lĂ . Parfois Il nous
laisse simplement
aller jusquâau dernier moment, alors Il nous dit ce quâil faut faire.
Mais nous
Lâaimons pour cela, nâest-ce pas?
13 Eh bien, que le Seigneur vous bénisse. Priez pour moi.
Combien parmi vous
promettent quâils vont prier pour moi? Je... vraiment je... Que Dieu
vous
bénisse (Oh ! la la !), les enfants par ici... Je pense simplement
entrer pour
serrer les mains aux gens. Et combien jâaimerais traverser cette
allée-ci ce
soir. Je... Câest vraiment la vĂ©ritĂ©, jâaimerais aller Ă la maison avec
chacun
dâentre vous, passer toute la nuit, mâasseoir et causer un peu, me
lever le
matin et bavarder. Jâaimerais faire cela ; mon coeur dĂ©sire ardemment
rencontrer les gens comme cela. Mais je suis presque obligé de me tenir
isolĂ© Ă
cause du genre de ministĂšre que jâai, parce que câest... Je ne peux
tout
simplement pas le faire, et tenir les réunions. Mais Dieu sait que je
vous
aime.
Je
prends donc rendez-vous avec chacun de vous. Ceci... Lorsque je vous
verrai
dans le Pays de gloire, si Dieu me permet dâĂȘtre lĂ avec vous,
jâaimerais venir
lĂ et mâasseoir pendant mille ans avec chacun de vous et causer. Et
nous allons
simplementâsimplement... Nous aurons infiniment du temps pour en
parler. Nous
allons nous dire tout Ă ce moment-lĂ , nâest-ce pas? Ne sera-ce pas
merveilleux
de nous asseoir lĂ , prĂšs de lâArbre de la Vie?
14 Et vous savez que nous serons agrémentés par les... tous les
grands
chanteurs. Il y aura Sankey, Beverly Shea, et tous les autres, lĂ -bas
sur la
colline, juste chantant les louanges de Dieu. Nous nous assiérons prÚs
de
lâArbre de la Vie, oĂč les eaux sortent du dessous du TrĂŽne. Ne sera-ce
pas
merveilleux? Oh ! je soupire aprĂšs ce jour. Quâest-ce que ça fait pour
un
chrétien qui est réellement ancré en Christ? Car dÚs que ce vieux
tabernacle
terrestre est Îté, nous entrons directement dans un autre, qui se
trouve juste
lĂ . Oh ! la la ! Nâest-ce pas merveilleux?
Pensez-y,
on tombe malade et on est fatigué et brisé, chagriné, rien ne marche,
le monde
est tout agité, pensez-y bien. «Viens, Seigneur Jésus.» Bien vite, ce
vieux
corps tremblant commence à dépérir, et vous ressentez les douleurs le
gagner,
les vagues froides de la mort qui vous envahissent. Puis lorsque vous
vous
tenez lĂ de lâautre cĂŽtĂ© et que vous regardez, il y a un corps tout
nouveau qui
se tient juste lĂ . Juste en sortant de celui-ci, vous entrez dans
celui-lĂ .
15 «Nous savons, en effet, que, si cette tente terrestre est
détruite, nous en
avons déjà une autre qui attend», nous allons simplement entrer dans
cette
tente-lĂ . Une nouvelle tente, qui nâest pas faite de main dâhomme, mais
Dieu
Lui-mĂȘme lâa faite, Dieu lâa façonnĂ©e pour ĂȘtre Ă©ternelle, la gloire de
Dieu.
Dây entrer directement, de redevenir une nouvelle crĂ©ature et jeune,
pour ne
plus jamais tomber malade... Oh ! la la ! Que peut... Eh bien, la mort
nâa pas
deâdâemprise sur un chrĂ©tien, nâest-ce pas? La mort, câest tout
simplement
quelque chose pour amener le chrétien directement dans la Présence de
son
Créateur. Il est merveilleux lorsque vous pouvez penser à Lui dans ce
sens-lĂ ,
nâest-ce pas juste? Le fait que la mort ne peut pas avoir de lâemprise
sur un
chrĂ©tien, elle ne fait que lâemmener directement...
Maintenant,
quel genre de corps ça sera, avant que nous retournions pour prendre ce
corps-ci? Je ne sais pas ; cela nâest pas encore rĂ©vĂ©lĂ© Ă lâhomme. Mais
nous
savons que nous ne serons pas un esprit aprÚs que nous aurons quitté
ici.
Lâesprit quittera cette tente, pour entrer dans une autre que Dieu a
faite. Ce
nâest pas simplement un esprit ; câest un corps. Amen. Ăa a une forme,
ça a une
physionomie, tout. Oh ! Ce sera merveilleux, nâest-ce pas?
16 Maintenant, on va juste lire une petite portion de la
Parole, parce que Ses
Paroles ne vont pas faillir. Mes paroles Ă moi failliront, et la parole
de
nâimporte quel autre homme faillira, mais Sa Parole ne faillira pas.
Ainsi dans
Saint Luc... Je prĂȘche beaucoup sur lâAncien Testament, ce soir je me
suis dit
que je devrais un petit peu changer, et prendre quelque chose dans
leâle
Nouveau Testament. Etant donné que je suis un typologue, je dois faire
plutĂŽt
demi-tour pour prendre une ligne dans lâAncien Testament, pour ĂȘtre sĂ»r
de ce
que le Nouveau Testament est. Ainsi je crois que si jâai lâombre de la
chose,
je saurai exactement ce que câest, lorsque cette chose sera lĂ , si nous
voyons
lâombre de la chose.
Maintenant,
dans le Nouveau Testament, Saint Luc, auâau chapitre 24, Ă partir du
verset 30.
Juste pour avoir une Ecriture qui nous serve de référence. Nous lisons
ceci
dans ces versets:
Pendant quâil Ă©tait Ă table avec eux, il prit le pain ; et,
aprĂšs avoir
rendu grĂąces, il le rompit, et le leur donna.
Alors leurs yeux sâouvrirent, et ils le reconnurent ; mais
il disparut de
devant eux.
Et ils se dirent lâun Ă lâautre: Notre coeur ne brĂ»lait-il
pas au dedans de
nous, lorsquâil nous parlait en chemin et nous expliquait les Ecritures?
17 A présent, demandons-Lui, Lui le Seigneur Jésus ressuscité,
de bien vouloir
nous ouvrir les Ecritures en ce moment, pendant que nous sommes assis
et que
nous nous attendons Ă Lui. Inclinons la tĂȘte, pendant que nous prions.
Notre
Bien-Aimé Sauveur, nous sommes venus à Toi ce soir, avec des coeurs
ouverts, du
mieux que nous les connaissons. Nous venons Ă Toi avec cette assurance
bénie,
qui a Ă©tĂ© placĂ©e tout au fond de notre ĂȘtre, Ă savoir que Tu es le Fils
du Dieu
vivant, que Tu es mort pour nos péchés, que Tu nous sépares donc du
péché, et
que Tu es ressuscitĂ© dâentre les morts, et que maintenant Tu es assis Ă
la
droite de la Majesté Divine dans les lieux célestes et Tu as envoyé sur
terre
le Saint-Esprit.
Et nous
Te rendons grùces pour le témoignage du Saint-Esprit, qui confirme la
Parole
avec des signes qui Lâaccompagnent. Nous Te remercions pour cette
merveilleuse
et glorieuse sĂ©rie de rĂ©unions, car câest seulement par Ta grĂące que
nous avons
pu ĂȘtre en mesure deâde communier ici. Combien nous avons communiĂ©
autour de la
Parole, et autour de lâEsprit de Dieu. Nous sommes tous membres des
différentes
organisations, pour ainsi dire, mais tous ensemble nous sommes dans
ce... assis
dans les lieux célestes en Jésus-Christ, et nous avons ouvert nos
coeurs Ă la
Parole, et nous avons laissé le Saint-Esprit entrer. Nourris-nous.
Des
centaines de gens Tâont reçu comme leur Sauveur ; nous en sommes si
reconnaissants. Et les malades, les infirmes, ceux qui ont été cloués
dans les
fauteuils roulants, paralysés, ceux qui étaient couchés sur les lits de
camp,
les brancards, ont été guéris et sont sortis en marchant. Les aveugles,
les
sourds, les muets, toutes sortes de maladies ont été guéries. Et Toi, Î
Dieu, Tu
es venu au milieu du peuple, et leur foi a attiré des Paroles
surnaturelles,
leur expliquant leur vie, ce quâils ont fait, ce quâils doivent faire,
et ce
qui arrivera. [Espace vide sur la bandeâN.D.E.]...
18 ...Dieu, qui était une partie de Dieu. Dieu a vu ce que
serait la fin
depuis le commencement, et le Logos est venu sur la terre, Lequel était
Christ
la Parole, la Parole parlée de Dieu, une partie de Dieu, Il a été fait
chair et
a habité parmi nous. Et alors, nous sommes sortis de Christ, ce qui
fait que la
mĂȘme Vie qui Ă©tait en Dieu est entrĂ©e en Christ, et puis en vous. Et
tout aussi
sĂ»r que Dieu a ressuscitĂ© Celui-ci, nous devons aboutir Ă la mĂȘme
chose, si le
mĂȘme Esprit est en nous. Parce que câest lâEsprit de Dieu qui fait de
nous des
fils et des filles de Dieu.
Oh !
Nâest-ce pas merveilleux? Comment recevons-nous cela? En croyant au
Seigneur
Jésus-Christ, voilà . Et en acceptant cela, alors Dieu en retour nous
donne le
Saint-Esprit, qui crie dans nos coeurs: «Abba PÚre, mon Dieu, mon
Dieu.» Et
alors nous sommes ressuscitĂ©s dans les derniers jours pour ĂȘtre
enlevés. Et Il
a dit: «En ce jour-là vous connaßtrez que Je suis dans le PÚre, le PÚre
en Moi,
Moi en vous, et vous en Moi.»
19 VoilĂ lâEsprit qui sort de Dieu, manifestĂ© comme Ă©tant le
Logos, Il est
descendu et a Ă©tĂ© fait chair, et a habitĂ© parmi nous, il est reâres-...
mort,
Il a pris sur Lui le salaire du péché, Il est ressuscité, Il est assis
Ă la
Majesté Divine dans les lieux célestes, à la Droite de Dieu. Et le
Saint-Esprit
revient, amenant le mĂȘme Esprit dans les individus maintenant, pour
rétablir la
relation entre eux et leur CrĂ©ateur. Nâest-ce pas merveilleux?
Alors
toutes les bombes atomiques et tous les... Avez-vous vu le journal
aujourdâhui?
On dirait que la guerre est sur le point dâĂ©clater une fois de plus ;
ils sont
en train de se braquer leurs armes. Quâest-ce que cela change pour un
véritable
croyant, le nombre dâarmes quâils braquent? Amen. Dieu tient les rĂȘnes
dans Ses
mains. Amen. Et lorsquâil sera temps pour que nous quittions ici, que
ça soit
par... quelle que soit la maniĂšre par laquelle nous quitterons ; il nây
a rien,
ni la mort, ni rien dâautre qui puisse nous sĂ©parer de Dieu. Nous avons
la Vie
Eternelle. Nous ne pouvons pas venir en jugement, parce que Christ lâa
dit:
Nous sommes déjà passés de la mort à la Vie.
20 Nous sommes maintenant à Jérusalem, le commencement de notre
texte de ce
soir, ça avait été une trÚs merveilleuse période de trois ans et demi.
Ils
avaient eu un réveil. Et les gens avaient été dans une trÚs grande
attente dâun
Homme que le monde et lâĂ©glise avaient rejetĂ©, le Seigneur JĂ©sus. Il
était
considĂ©rĂ© comme un fanatique. Câest comme nous le dirions aujourdâhui,
si nous
devions le dire dans les termes modernes, Il était un saint exalté. Il
était complÚtement
en désaccord avec leur théologie. Et pourtant, Dieu avait confirmé
quâIl Ă©tait
avec Lui.
Pierre a
dit dans Actes 2, il a dit: «Hommes Israélites, vous auriez dû
reconnaĂźtre
ceci. Car ce Jésus de Nazareth était un Homme à qui Dieu a rendu
témoignage
devant vous, par des signes et des prodiges que Dieu a opérés par Lui,
au
milieu de vous tous, et vous en ĂȘtes tous tĂ©moins. Vous auriez dĂ»
reconnaĂźtre
cela, mais, a-t-il dit, vous avez crucifié le Prince de la Vie par la
main des
impies. Dieu Lâa donc ressuscitĂ©, et nous en sommes tĂ©moins.» VoilĂ .
Dieu a
prouvĂ© que câĂ©tait Son Fils bien-aimĂ©, par des signes et des prodiges
quâIl a
opérés, montrant que Dieu était avec Lui.
21 Jâaimerais vous demander quelque chose, vous les croyants,
surtout Ă vous
mes frĂšres ministres qui ĂȘtes ici derriĂšre. Au cours des deux derniers
mille
ans, chaque fois que lâEglise a eu un rĂ©veil, ou chaque fois que
lâEglise a eu
un réveil, des signes et des prodiges accompagnaient ce réveil.
Absolument. Les
signes du Dieu surnaturel vivant dans les gens, qui donne aux gens une
vision.
Quelle espĂ©rance avons-nous, si nous ne sommes pas sĂ»rs quâil y a
quelque chose
de surnaturel?
Tout
homme essaie de regarder au-delĂ du rideau du temps. Vous savez que
vous venez
de quelque part ; vous allez quelque part ; il faut donc jeter un petit
coup
dâoeil au-delĂ du rideau du temps. MoĂŻse voulait voir cela. Dieu lâa
laissé
voir cela. Nous pouvons donc voir cela aussi, Christ le ressuscité.
22 Maintenant, lâEglise qui avait quittĂ© ses affiliations
avecâavec la grande
église juive orthodoxe de ce temps-là , le sanhédrin, elle était sortie,
et
avait suivi le Seigneur Jésus. Peu importe combien les gens avaient
jeté le
discrĂ©dit sur Son Nom en Lâappelant «Enfant illĂ©gitime», eux avaient
reconnu
que Dieu était en Lui.
Il a dit:
«Mes brebis connaissent Ma Voix.» Vous voyez, ils Ă©taient spirituels Ă
lâintĂ©rieur, et lorsquâils Lâont vu, ils ont reconnu quâIl Ă©tait
différent des
sacrificateurs, des docteurs de la loi et des autres. Aussi Lâont-ils
suivi
partout oĂč Il allait. Ils Lâaimaient. Les gens ne pouvaient pas Le
comprendre.
Il Ă©tait un MystĂšre, mĂȘme pour les apĂŽtres. Personne ne pouvait Le
comprendre,
parce quâil y avait deux Personnes qui parlaient tout le temps.
23 La Personne de Jésus-Christ parlait, et Dieu parlait aussi
en Lui. Parfois
câĂ©tait Christ Lui-mĂȘme ; parfois câĂ©tait le PĂšre qui habitait en Lui.
Vous
voyez cela? Il... Les gens ne pouvaient pas comprendre certaines choses
quâIl
disait ; Il leur parlait en énigmes. Finalement Jésus, un jour, pendant
quâIl
leur parlait, a dit: «Je suis venu de Dieu ; Je suis venu dans le monde
; et Je
retourne à Dieu.»
Et alors
les disciples ont dit: «Maintenant Tu parles ouvertement. Maintenant
nous
comprenons, et nous croyons queâque Tu sais toutes choses, et Ă cause
de ceci
nous croyons que Tu es le Fils de Dieu. Nous croyons en Toi,
maintenant, parce
que Tu sais toutes choses ; Dieu Te montre toutes choses, et Tu nâas
pas besoin
que quelquâun Te le dise, parce que Dieu Te le montre tout simplement.
Et voilĂ
pourquoi nous croyons que Tu es sorti de Dieu.» Voyez, aprĂšs quâils...
Juste
avant Sa crucifixion, Saint Jean, je crois, vers le chapitre 15 ou 17,
je ne me
rappelle plus, câest le chapitre 15, je pense.
24 TrĂšs bien, remarquez, maintenant ils Lâaimaient et ils
croyaient en Lui,
parce quâils avaient vu Ses oeuvres, montrant que Dieu Ă©tait avec Lui,
confirmant la Parole quâIl prĂȘchait. Voyez, un homme peut venir et dire
nâimporte quoi. Ăa, ce nâest que la parole dâun homme. Mais lorsque
Dieu vient
lĂ et dit: «Câest la vĂ©rité», quâIl confirme cela, alors vous feriez
mieux de
croire cela, parce que câest Dieu qui lâa dit. Vous voyez?
Ainsi Il
disait que Dieu Ă©tait en Lui. Il a dit: «Ce nâest pas Moi qui fais les
oeuvres
; câest Mon PĂšre qui habite en Moi ; câest Lui qui fait les oeuvres. Je
ne fais
rien de Moi-mĂȘme ; Je ne fais que ce que le PĂšre Me montre, câest ce
que Je
fais.» Eux ils ont dĂ©couvert que ce que le PĂšre Lui montrait, ce quâIl
Lui
disait, câĂ©tait trĂšs exactement la vĂ©ritĂ©.
25 Il se tenait devant lâassistance, et Il discernait les
pensées des gens. Il
a dit: «Pourquoi avez-vous de telles pensées dans vos coeurs?» Et Il
discernait
les choses comme cela ; les gens savaient que cela venait de Dieu. Et
Il a dit
que les choses quâIl avait faites, que le PĂšre les Lui avait montrĂ©es,
Il
voyait que tout ce quâIl disait Ă©tait la VĂ©ritĂ©. Ainsi, câĂ©tait lĂ un
signe
pour les Juifs de toute façon.
«Sâil y
a parmi vous un homme qui est spirituel ou un prophĂšte, Moi lâEternel,
Je Me
ferai connaĂźtre Ă lui par des visions, Je lui parlerai dans des songes.
Et si
ce que ce prophĂšte dit sâaccomplit, alors Ă©coutez-le, car Je suis avec
lui.
Mais si cela ne sâaccomplit pas, alors ne lâĂ©coutez pas, Je ne lui ai
pas
parlĂ©. Câest simplement faux et charnel, Je ne lâai pas entendu, ou
plutĂŽt Je
nâai pas Ă©tĂ© avec lui.»
Mais
câĂ©tait un signe, et ils avaient vu que Dieu effectivement se
manifestait au
travers de Christ. Et câest exactement ce que lâEcriture dit: «Dieu
était en
Christ, rĂ©conciliant le monde avec Lui-mĂȘme.»
26 Maintenant, remarquez, puis vint le temps de déception. Ce
grand Personnage
merveilleux qui pouvait parler aux morts, et ceux-ci ressuscitaient...
Pas tous
les morts, Il nâa parlĂ© quâĂ trois morts, dâaprĂšs les rĂ©cits des
Ecritures. Et
les trois sont ressuscités, parce que trois constituent un témoignage,
unâun
témoignage. «Toute parole sera établie sur la déposition de deux ou
trois
tĂ©moins.» Et chaque fois, Il disait que câest le PĂšre qui faisait cela,
que le
PĂšre Lui montrait ce quâil fallait faire.
Maintenant,
ils voient un Homme qui pouvait ressusciter les morts, mourir Lui-mĂȘme.
Et pas
juste mourir dâune mort ordinaire, tomber malade et mourir, mais on Lâa
exposé
lĂ et on Lâa raillĂ©, un Homme qui pouvait discerner les pensĂ©es des
gens et leur
rĂ©vĂ©ler ce quâils faisaient, et puis quand le test est arrivĂ©,
lâĂ©preuve, on
Lui a mis un bandeau Ă la tĂȘte, et on Lâa frappĂ© sur la tĂȘte avec un
bĂąton, et
on Lui a dit: «Toi qui prophĂ©tises, dis-nous qui Tâa frappĂ© ; et nous
croirons
en Toi maintenant.»
Et
quelquâun a Ă©tendu la main et Lui a arrachĂ© la barbe de Son visage, et
Lui a
craché au visage. Une Personne divine, comment était-ce possible?
Jâimagine que
Ses disciples ont dit: «Eh bien, pourquoi ne fait-Il pas quelque chose
Ă ce
sujet?» Eh bien, sâIl avait fait quelque chose Ă ce sujet, vous et moi,
nous
serions dans une condition horrible ce soir. Il ne pouvait rien faire Ă
ce
sujet, se sauver Lui-mĂȘme et sauver les autres. Il devait se livrer
Lui-mĂȘme.
27 Ainsi Il ne faisait pas le clown avec Ses dons et Sa
puissance. Ils Lâont
frappĂ© sur la tĂȘte et ils ont dit: «Eh bien, dis-nous quiâqui Tâa
frappé.» Et
puis, lorsquâIl Ă©tait sur la croix, Lui qui avait pu sauver les autres
et
calmer la mer en furie, Le voici qui avait une forte fiĂšvre, et Il se
mourait,
le sang sortait de Ses veines, et les Juifs disaient: «Maintenant, si
Tu es le
Fils de Dieu, montre-nous un miracle. Fais quelque chose devant nous.
Descends
de la croix, et nous croirons que Tu es le Fils de Dieu. Nous croirons
en Toi
si Tu descends de la croix.» Voyez, cet esprit de critique, et Dieu a
simplement laissé ces choses arriver de la sorte, «afin que cela
confonde les
sages et les intelligents et soit révélé aux enfants qui veulent
apprendre». Il
vous faut oublier tout ce que vous connaissez, et vous soumettre Ă
lâEsprit de
Dieu, alors Dieu peut se mettre Ă vous enseigner.
28 Nâessayez pas de vous en aller et dâacquĂ©rir toutes ces
grandes
instructions et éruditions pour connaßtre Dieu. Vous ne connaßtrez pas
Dieu par
lâĂ©rudition ; on connaĂźt Dieu par la foi. Vous croyez en Lui, et Dieu
se révÚle
Ă vous. Jâaime cela, pas vous? Il a rendu cela si simple, si humble.
Maintenant,
câest si modeste, et câest si simple que les sages ne peuvent pas
comprendre
cela. Cela a été tellement simplifié que les sages ne comprennent pas
cela. Ils
essaient de rendre cela compliquĂ© pour lâĂ©glise.
Ils
essaient de faire de cela tout un tas de choses que vous devez faire
pour vous
sanctifier, arrĂȘter de faire ceci, de faire cela, et tout, ceci, cela,
et... Eh
bien, ce nâest pas ça du tout ; croyez tout simplement cela, et
acceptez cela,
et cela rĂšgle la question. Dieu entrera dans votre coeur, et Il prendra
soin du
reste. Si jamais Il peut gagner leâle... dans votre coeur, gagner une
place
dans votre coeur, alors le reste ira de soi. Jâaime cela.
29 Remarquez, comment donc un Homme divin, que les gens
pensaient ĂȘtre le Roi
qui devait venir, le LibĂ©rateur dâIsraĂ«l, comment cet Homme pouvait-Il
sâhumilier, laisser les Gentils impies Le frapper Ă la tĂȘte sans leur
dire un
mot? Pourquoi nâa-t-Il pas montrĂ© Sa puissance? Dieu a des temps et des
voies
pour faire les choses. Ils Lui ont arraché la barbe, ils Lui ont craché
au
visage, quelle insulte ! «Fais quelque chose ; Tu es le Roi.»
Il a dit:
«Je pourrais demander Ă Mon PĂšre, et Il Mâenverrait douze lĂ©gions
dâanges, mais
Mon Royaume nâest pas de ce monde.» Voyez-vous? Il a dit: «Vous ne
comprenez
pas cela.»
Oh ! Ils
ont dit: «Ătez cet hĂ©rĂ©tique !» Et ils Lâont fait monter lĂ -haut et
Lâont
crucifiĂ©, et Il est mort, et ils Lâont enterrĂ©, et ils se sont
débarrassés de
Lui, et ils Lâont scellĂ© dans la tombe. Maintenant, vous parlez dâun
peuple
déçu qui devait aller affronter une fois de plus le monde, aprĂšs quâils
étaient
sortis de leurs Ă©glises, quâils avaient cru dans ce type de religion...
Et ils
étaient sortis de leurs églises, ensuite ils devaient retourner et
affronter
encore leurs Ă©glises, aprĂšs que la chose mĂȘme quâils avaient crue,
apparemment,
avait failli. Ils avaient... Ils... Apparemment il nây avait plus aucun
espoir.
30 La Personne mĂȘme quâils avaient pensĂ© ĂȘtre le Dieu ProphĂšte,
ou leâle
Messie, on Lâavait tellement maltraitĂ© devant les gens quâIl Ă©tait
vraiment
impuissant et sans secours. LorsquâIl Ă©tait lĂ parmi les gens, Il avait
accompli toutes sortes de signes, mais quand Il se tenait lĂ au
tribunal, Il
nâa mĂȘme pas essayĂ© de se dĂ©fendre, Il a simplement laissĂ© les gens Le
frapper
ici et lĂ , Lâattacher contre un poteau pour y ĂȘtre flagellĂ©, Il les a
laissés
prendre ces martinets, munis de grosses boules de plomb au bout du
cuir, et Lui
lacĂ©rer le dos avec, et pendant quâils Lui flagellaient le dos, Il nâa
point
ouvert la bouche.
Ils
Lâont amenĂ© au sommet de la colline, ils Lâont clouĂ© sur une croix, ils
Lâont
soulevĂ© et ils Lâont placĂ© lĂ , et la chair de Ses mains sâarrachait. Et
Il
criait mĂȘme, implorant misĂ©ricorde. Câest vrai. Maintenant, dans la
pensée des
gens, comment pouvait-Il ĂȘtre le Fils de Dieu, Lui qui pouvait laisser
les gens
Le traiter ainsi, Le meurtrir et Le traiter de la sorte? Vous voyez,
leur
ignorance des Ecritures, câest ce qui a fait quâils agissent,
quâilsâquâils
fassent cela. Maintenant, nous verrons cela dans quelques minutes.
31 TrĂšs bien, ils Lâont enseveli...?... le sabbat Ă©tait passĂ©,
le premier jour
de la semaine était venu, ainsi ils avaient donc veillé à cause du
sabbat.
Pierre a pris ses filets de pĂȘche, et il voulait retourner pour
reprendre ses
activitĂ©s commerciales, la pĂȘche. «Eh bien, je pense que jâĂ©tais dans
lâerreur
aprĂšs tout. Peut-ĂȘtre que cet Homme Ă©tait un fanatique.»
Je peux
le voir, ClĂ©opas et ses amis dire: «Eh bien, retournons Ă EmmaĂŒs ;
câest
terminĂ©. LâHomme en qui nous avions tant confiance comme Ă©tant un
véritable et
authentique Homme divin envoyé de Dieu, une véritable Personne divine,
qui pourtant
aurait dĂ» Ă coup sĂ»r ĂȘtre... Peut-ĂȘtre que la grande Ă©glise avait
raison:
câĂ©tait de la tĂ©lĂ©pathie ; Il lisait les pensĂ©es des gens.» Vous voyez?
Les
hommes se disaient: «Peut-ĂȘtre, Il... Il Ă©tait rĂ©ellement un spirite.
Peut-ĂȘtre
quâIl nâĂ©tait quâun spirite, voilĂ pourquoi la terre a tremblĂ© et tout,
lorsquâIl est mort lĂ -haut. Peut-ĂȘtre quâIl nâĂ©tait que ce que les
prĂȘtres
disaient de Lui, un BĂ©elzĂ©bul. Ce que toute lâĂ©glise... Peut-ĂȘtre que
câĂ©tait
juste.»
Ainsi il
a pris son ami, et il a dit: «Allons maintenant, retournonsâretournons
Ă
EmmaĂŒs, chez nous, et nous allons reprendre notre mĂ©tier de charpentier
(ou peu
importe ce que câĂ©tait), recommencer la construction», ou peu importe
ce quâils
voulaient faire. Ils Ă©taient tous dĂ©couragĂ©s, alors quâils marchaient
sur le
chemin, tristes, ignorant que le Seigneur béni était ressuscité le
matin de
PĂąques, et quâIl Ă©tait vivant parmi le peuple.
32 FrĂšre, la botanique ne signifie pas seulement des fleurs et
ces autres
choses, ça signifie aussi la résurrection, dans ce cas-là . Amen. Juste
comme au
printemps, lorsque les fleurs de PĂąques sâĂ©panouissent, tout est si
beau, un
type mĂȘme de la nature ; la rĂ©surrection doit avoir lieu au printemps.
Câest la
raison pour laquelle la résurrection se fait au printemps ; la
résurrection de
tout, et certainement que le Roi de la nature est ressuscité, le
Créateur de la
nature est ressuscité avec le reste de la nature qui est ressuscité.
Et les
voici, en route vers chez eux, marchant sur la route. Vraiment
jâauraisâjâaurais
aimé les écouter, pas vous, juste une minute, me tenir là et voir ce
quâils
disaient? Jâentends lâun dâeux dire: «Eh bien, ClĂ©opas, quâen
penses-tu? Je
suis déçu, moi. Eh bien, jâimagine que nous allons devoir encore
affronter ce
prĂ©dicateur, lui dire: âJe pense que nous avions tort concernant cet
Homme.â Oh
! la la ! Je dĂ©teste faire cela ; jâavais vraiment fondĂ© ma confiance
en Lui.»
33 Et remarquez, pendant quâils parlaient de Lui, quâils
sâentretenaient Ă Son
sujet, Il est apparu. Câest une bonne façon de Lâamener Ă venir auprĂšs
de vous:
parlez de Lui tout le temps. Amen. Gardez votre conversation centrée
non pas
sur qui est... ou sur quelle chaßne de télévision sera diffusée la
prochaine
piÚce de théùtre, ou le prochain film qui va paraßtre, ou qui sera élu
président ; parlez de Jésus.
En ces
jours-ci les chrétiens parlent de tout, sauf de Christ. Sortez, ils ont
toujours un tas de non-sens et tout dont ils veulent parler ou quelque
chose du
genre, mais jamais ils ne parlent de Christ. Parlez de Lui. Chantez Ses
cantiques. Aimez-Le ; gardez-Le sur votre coeur et dans votre esprit
tout le
long du jour et toute la nuit.
David
disait au sujet de... quâil aimerait attacher les lois Ă ses doigts et
aux
colonnes de son lit, ainsi il serait constamment devant Lui. VoilĂ ;
gardez-Le
devant vous dans votre mémoire, dans vos pensées, dans vos louanges,
dans vos
propos. Tout ce quâil vous faut faire, câest garder Christ devant vous.
VoilĂ
la maniĂšre de Le garder prĂšs de vous.
34 Pendant quâils Ă©taient en train de parler de Lui, Il est
apparu sur la
scĂšne, Il leur Ă©tait inconnu. Beaucoup de gens qui Lâaimaient
réellement ne
savaient pas quâIl Ă©tait ressuscitĂ© des morts. Et câest... et si ce
nâest pas
le vrai sens du mot ce soir, je ne sais pas ce que câest. Beaucoup de
gens qui
aiment rĂ©ellement le Seigneur JĂ©sus ne peuvent pas comprendre quâIl est
ici.
Il est
dans cette salle en ce moment mĂȘme. Il agit parmi les gens, le Seigneur
Jésus
ressuscitĂ©. Câest si difficile pour les gens de voir cela. Ecoutez,
vous qui
ĂȘtes assis tout le long ici dans ces fauteuils, dans ces lits de camp
et
autres, si vous pouviez voir cela, vous alliez... si vous croyez cela
de tout
votre coeur, et acceptez Sa Parole, vous sortirez dâici ce soir en
parfaite
santé, bien portant. Oui, car Il est ressuscité des morts.
Remarquez,
Il marchait avec eux, ils Lâaimaient, mais eux ne le savaient pas ; eux
ne
savaient pas quâIl Ă©tait ressuscitĂ©. Bien des fois Il est restĂ© Ă cĂŽtĂ©
de vous,
et mĂȘme lĂ peut-ĂȘtre, lorsque vous avez failli connaĂźtre un accident.
Il sâest
passĂ© quelque chose ; vous ne savez pas ce qui sâest passĂ©. Il sâest
passé
quelque chose ; câĂ©tait Lui. Lorsque le mĂ©decin est venu et quâil a
dit: «Le
bébé, je ne vois pas comment il peut survivre.» Et peu aprÚs, le bébé
sâest
rĂ©tabli ; câĂ©tait JĂ©sus. Il est avec vous. Oh ! Comme câest merveilleux
!
35 Il y a longtemps, une petite femme qui était... Je me
rappelle quâelle est
allĂ©e vivre lĂ en bas, non loin de mon Ă©glise ; câest lĂ quâelle habite
maintenant, à Jeffersonville. Elle était dans un sanatorium à Waverly
Hills, et
on lâa amenĂ©e, et ils ont dit: «Le mĂ©decin a dit quâelle va
certainement mourir
dans peu de temps.» Ils estimaient quâil ne lui restait que, je pense,
dix
jours, deux semaines à vivre ; un cas de tuberculose. Et je suis allé
lĂ pour
la voir.
Ils
mâont appelĂ© ça fait environâça fait environ huit ou dix ans, câĂ©tait
juste
avant que je ne vienne Ă Phoenix pour la premiĂšre fois. Je me suis
rendu lĂ et
je me suis mis Ă prier pour la femme. Elle avait environ cinq gosses.
Et jâai
prié avec elle ce soir-là ; et pendant que je priais, je me suis
relevé, et je
lâai mĂȘme vue avec des cheveux teints en gris. Et elle Ă©tait... ses
cheveux
Ă©taient brun sombre. Et je lâai vue avec des cheveux teints en gris.
Ses
enfants sont entrés, et lui ont serré la main, quelques années plus
tard. Et
jâai dit: «Soeur, AINSI DIT LE SEIGNEUR, vous allez vivre.»
Elle a
commencĂ© Ă pleurer. Elle a dit: «RĂ©vĂ©rend Branham, il sâest passĂ©
quelque chose
dans mon coeur.» Elle a dit: «Jeâjeâje sens vraiment que je vais vivre.
Quelque
Chose vient de me convaincre que je vais ĂȘtre guĂ©rie.»
Jâai dit:
«Vous ĂȘtes guĂ©rie, car câest AINSI DIT LE SEIGNEUR.»
Je suis
remontĂ©, je le leur ai dit Ă lâĂ©glise. Il y avait un homme qui habitait
la
porte qui suivait la mienne, un précieux ami, et il avait comme
occupation de
fabriquer des objets en cuir. A propos, il mâavait fabriquĂ© ce
portefeuille que
jâai... que je porte depuis dix ans. Il lâavait fait en peau de daim
que
jâavais moi-mĂȘme attrapĂ©: jâai lâimage de mon tabernacle dessus ; et Ă
lâintĂ©rieur il y a un poisson par ici et une tĂȘte de cerf ici. Il mâa
donc fait
ce vieux portefeuille, et je le porte comme souvenir de cela, depuis si
longtemps.
36 CâĂ©tait un homme de science qui Ă©tait totalement et
parfaitement infidĂšle.
Il travaillait au dĂ©pĂŽt du gouvernement. Il ne croyait pas Ă
lâexistence de
Dieu. Il disait: «Quiconque croit une telle chose est fou.» Il disait:
«Ces
gens sont...»
Jeâje
nâarrive pas Ă comprendre facilement comment les gens peuvent avoir
cela dans
leur esprit. Ce matin, pendant que jâĂ©tais dans le bureau dâun homme
dâaffaires, ici dans cette ville, avec quelques ministres, ils
parlaient de la
façon dont lâislam est en train de gagner du terrain lĂ en Afrique.
Ecoutez,
vingt-cinq musulmans contre un chrĂ©tien, câest la pression. Pourquoi?
Dans
lâislam on est uni, il y a lâunitĂ©. Ils croient que le Coran est
inspiré.
37 Nous les chrétiens, au départ, nous sommes séparés entre
catholiques et
protestants. Les catholiques disent: «La Bible est inspirée, mais
lâEglise
catholique est au-dessus de la Bible.»
Les
protestants eux disent: «Eh bien, Elle est inspirée pour autant que je
la
crois. Le reste nâest pas inspirĂ©.»
Des
disputes, des luttes, des discussions, des sĂ©parations, oh ! câest
pitoyable.
Je suis certainement heureux que Dieu se soit emparé de moi avant que
lâĂ©glise
ne le fasse (Câest juste. Oui, oui.), que Dieu mâait enseignĂ© le
premier, parce
que probablement je serais un incroyant. Lorsque je vois les gens qui
se disent
chrĂ©tiens etâet lâĂ©glise et toutes ces choses, chacun veut chercher la
petite
bĂȘte et tout chez lâautre, et ils se sĂ©parent, apparemment, nâayant pas
la foi.
Certainement.
38 Maintenant cet homme Ă©tait un parfait infidĂšle. Et quelquâun
a répandu la
nouvelle le jour suivant que jâavais dit cela de cette femme. Je
nâĂ©tais pas
encore parti pour tenir des services. JâĂ©tais en train de faire la
patrouille
sur une ligne de haute tension et mes habits étaient en lambeaux. Je
suis monté
sur ma vieille bicyclette, et je suis allé me procurer quelques
provisions au
magasin, et je devais tourner au coin oĂč cette femme habitait, juste
deux pùtés
de maisons en bas de lĂ oĂč je me trouvais. Et voici venir cet infidĂšle
qui
descendait la rue. Et il mâa parlĂ©.
Jâai dit:
«Bonjour, monsieur.»
Et il a
dit: «Salut, prĂ©dicateur.» Il a dit: «Juste une minute, jâaimerais vous
parler.»
Il a dit: «Nâavez-vous pas honte de vous-mĂȘme?»
Et jâai
dit: «Quoi?»
Il a dit:
«Vous avez dit Ă cette pauvre petite mĂšre mourante lĂ -bas quâelle
allait vivre,
nourrissant ces gens dâun faux espoir comme cela.»
Jâai dit:
«Eh bien, je ne les ai jamais nourris dâun faux espoir.»
Il a dit:
«Eh bien, elle est mourante.» Il a dit: «Son mari travaille avec moi lĂ
au
gouvernement.» Et il a dit: «Il mâa dit que vous vous ĂȘtes rendu lĂ
hier soir,
et, ou plutĂŽt câĂ©tait donc avant-hier soir, et que vous avez priĂ© pour
elle. Et
elle... vous lui avez dit quâelle allait se rĂ©tablir et quâelle vivrait
jusquâĂ
la vieillesse.»
Jâai dit:
«Câest juste. Ce nâest pas moi qui ai dit cela ; câest Dieu qui a dit
cela.»
Il a dit:
«Câest du non-sens, a-t-il dit, honte Ă vous. Vous devriez ĂȘtre assez
gentleman
pour ne pas laisser les gens compter sur de telles choses, de telles
faussetés.»
Jâai dit:
«Ce nâest pas faux.»
Il a dit:
«Allez-vous-en avec de telles faussetĂ©s !» Il sâest retournĂ© et sâen
est allé.
39 Je me suis dit: «Eh bien, OK.» Et jâai continuĂ© mon chemin
et je me suis
procuré mes provisions, et je suis revenu. Environ deux ou trois jours
aprĂšs
cela... Il avait une jolie petite femme qui était une croyante, et
ainsi je...
ma femme la connaissait trĂšs bien, elle a dit quâelle Ă©tait une jolie
dame.
Elle Ă©tait membre de lâEglise chrĂ©tienne. Alors ma femme mâa dit,
lorsque
jâentrais, elle a dit: «Eh bien, madame Andrews est trĂšs malade,
Billy.» Elle a
dit: «Tu devrais aller la voir.»
Jâai dit:
«Ăa va.» Jâai dit: «Son mari est cet infidĂšle-lĂ , ai-je dit, jeâje dois
y aller
doucement.»
Jâai
donc dit: «Jâirai lui demander si je peux lui amener le bois dâallumage
et du
charbon, et peut-ĂȘtre quâil demandera... peut-ĂȘtre quâelle me demandera
si
jâaimerais prier pour elle.»
Ainsi je
suis allĂ©, et jâai dit: «Bonsoir, monsieur Andrews.»
Il a dit:
«Salut, pasteur.»
Et jâai
dit: «Jâai appris que votre femme est malade.»
Il a dit:
«Oui, câest ça, mais jâai un bon mĂ©decin qui sâoccupe dâelle.»
Jâai dit:
«Oui, monsieur. Je voulais juste vous demander, Monsieur Andrews, étant
donné
que nous sommes des voisins trĂšs proches, si je pouvais vous aider pour
vous
procurer du charbon ou faire une course Ă lâĂ©picerie, nâimporte quoi,
jeâje le
ferai pour vous.»
Il a dit:
«Oh ! Bon, merci beaucoup.» Mais il a dit: «Nous avons un bon médecin
qui
sâoccupe dâelle ; tout ira trĂšs bien.» Et il mâa dit qui Ă©tait ce
médecin de la
ville.
Et jâai
dit: «Câest un homme bien.» Jâai dit: «Et je lâapprĂ©cie beaucoup.»
«Oui,
nous avons la situation sous contrĂŽle, a-t-il dit, elle a
lâappendicite.» Et il
a dit: «Tout ira bien, a-t-il dit, il insensibilise cela ; ce sera OK.»
Et jâai
dit: «Merci, monsieur Andrews, jâespĂšre certainement quâil en est
ainsi. Si je
peux vous ĂȘtre dâun quelconque secours, jâhabite Ă cĂŽtĂ© de vous ;
appelez-moi
tout simplement.» Il a fermĂ© la porte, il est rentrĂ©, il nâĂ©tait pas
plutĂŽt
intéressé. Eh bien, le lendemain le médecin est venu et a dit: «Il nous
faudra
lâamener Ă lâhĂŽpital ; elle gonfle terriblement.» Il a dit: «Il nous
faudra
lâamener Ă lâhĂŽpital pour lâopĂ©ration.»
40 Ainsi, ils lâont amenĂ©e Ă lâhĂŽpital, et lorsquâils ont
prélevé son sang, le
test a rĂ©vĂ©lĂ© quâelle nâavait pas dâappendicite. Ils ont donc envoyĂ©
chercher
un spécialiste à Louisville.
Et ils
ont fait venir le spĂ©cialiste lĂ , et celui-ci lâa examinĂ©e, et aprĂšs
lâexamen
il a dit: «Elle nâa plus que quatre Ă six heures Ă vivre. Il y a un
caillot de
sang tout prĂšs de son coeur, câest ce qui provoque le gonflement.» Il a
dit: «Elle
va trĂ©passer ; câest tout.»
Alors le
lendemain matin ma femme mâen a parlĂ© et a dit: «Madame Andrews va
mourir,
Billy.» Elle a dit: «Je viens dâapprendre quâelle a un caillot de sang.
LâinfirmiĂšre, lâune de mes amies infirmiĂšre mâa appelĂ©e et a dit: âElle
est sur
le point de mourir.â Elle a dit: âElle est dĂ©jĂ inconsciente.â»
Jâai dit:
«Câest dĂ©plorable, Meda, ça me fait beaucoup de peine dâentendre ça. La
pauvre
!» Jâai dit: «Nous allons tout simplement prier pour elle.» Ainsi nous
avons
priĂ©, et jâai continuĂ© et je suis allĂ© au travail.
41 Et il pleuvinait, et je voulais aller dans les champs.
Quelque Chose ne
cessait de me dire: «Fais demi-tour et rentre. Fais demi-tour et
rentre.»
Je me
suis donc dit: «Eh bien, je vais faire demi-tour et rentrer.» Je suis
donc
rentrĂ©, jâai appelĂ© et jâai tournĂ© dans... Il faisait mauvais temps,
alors je
ne pouvais pas travailler Ă cause de cela, parce que je savais que le
Seigneur
voulait quelque chose. Ainsi, peu aprĂšs, jâĂ©tais assis lĂ , et je
démontais mon
vieux fusil, et je le nettoyais. Et tout Ă coup, voici venir monsieur
Andrews,
faisant le contour de la maison, il marchait lĂ , il avait le bonnet
enfoncé
jusquâaux oreilles, il a frappĂ© Ă la porte et il a dit: «Madame
Branham, a-t-il
dit, est-ce que le pasteur Branham est là ?»
Elle a
dit: «Oui, Monsieur Andrews, veuillez entrer.» Il est donc entré.
Jâai dit:
«Salut, Monsieur Andrews ; prenez place.» Jâai tout simplement continuĂ©
Ă
travailler sur mon fusil, vous savez.
Et il a
dit: «Pasteur.»
Jâai dit:
«Oui, monsieur.»
Il a dit:
«Maâma femme est gravement malade. Avez-vous appris cela?»
Jâai dit:
«Oui, jâai appris quâelle Ă©tait mourante, Monsieur Andrews.» Jâai dit:
«Câest
vraiment dommage.» Jâai dit: «Bien sĂ»r, vous avez un trĂšs bon mĂ©decin
là -bas.»
Et jâai dit: «JeâjâespĂšre vraiment quâelle se porte trĂšs bien.»
Il a
continué... Il a dit: «Eh bien, a-t-il dit, nous avons eu un
spécialiste ;
avez-vous appris cela?»
Jâai dit:
«Oui, on mâa fait savoir que vous en avez eu un, Monsieur Andrews. Jâai
appris
que câĂ©tait un caillot de sang prĂšs du coeur.»
Il a dit:
«Oui, a-t-il dit, câest exact.» Il a continuĂ©: «Oh ! la la ! a-t-il
dit, elle
est en trÚs mauvais état.»
Jâai dit:
«Oui, oui, câest vraiment dommage.»
42 Je me suis dit: «Tu en as pour ton compte. Tu mâen as fait
voir de toutes
les couleurs, maintenant câest alors Ă ton tour de transpirer un peu.»
Ainsi
jâai simplement continuĂ© Ă nettoyer mon fusil, je lâai laissĂ©
transpirer. Jâai
donc continuĂ© Ă nettoyer mon fusil, et je lâexaminais comme cela. Il
Ă©tait dĂ©jĂ
propre, mais je voulais tout simplement quâil transpire encore un peu.
Et jâai
continué à examiner ma carabine comme cela.
Et il a
dit: «Pasteur, a-t-il dit, vous savez quoi?»
Jâai dit:
«Vous dites, Monsieur Andrews?»
Il a dit:
«Pourriez-vous lui venir en aide un petit peu?»
Et jâai
dit: «Que voulez-vous dire?»
Il a dit:
«Vous comprenez.»
Jâai dit:
«Vous voulez dire que je prie pour elle?»
Il a dit:
«Oui.»
Jâai dit:
«Je pensais que vous ne croyez pas dans de telles histoires.» Jâai dit:
«Si je
me rappelle bien, vous mâavez dit il nây a pas une semaine, lĂ -bas au
coin, que
vous ne croyiez mĂȘme pas que Dieu existe.»
Il a dit:
«Eh bien, a-t-il dit, vous comprenez...»
Je me
suis dit: «Oui, lorsque le moment sera venu, tu croiras. Câest juste,
que cela
sâapproche une fois assez de ta propre porte, tu croiras cela.» Et jâai
dit: «Eh
bien, il nây a pas de quoi, Monsieur Andrews.»
Ce
quâil... Il a dit: «Voudr-... voudriez-vous aller prier pour elle?»
Jâai dit:
«Jâaimerais vous demander quelque chose, Monsieur Andrews.» Jâai dit:
«Et je
vous demanderais de vous agenouiller ici avec moi, et que nous priions
pour
elle juste ici.»
Et il a
dit: «Eh bien, a-t-il dit, câest Ă peine si jeâjeâje sais ce quâil faut
faire.»
Jâai dit:
«Agenouillez-vous tout simplement ici ; je vais vous donner des
instructions.»
43 Alors il sâest agenouillĂ© lĂ . Jâai dit: «Maintenant, levez
vos mains, et
dites...» Jâai dit: «La premiĂšre chose: du fond de votre coeur dites:
âĂ Dieu,
sois misĂ©ricordieux envers moi, un pĂ©cheur.â» Je lâai donc amenĂ© Ă
prier, et il
sâest mis Ă pleurer. Mais oh ! oh ! la la ! nous avons eu un...
Il a
ditâil sâest relevĂ© et a essuyĂ© ses yeux ; il a dit: «Eh bien, pasteur,
vousâvousâvous
pensez maintenant quâelle recevra du secours?» Jâai dit... Il a dit:
«Voudriez-vous
aller?»
Et jâai
dit: «Oui, je vais aller la voir.» Alors jâai dit Ă Meda: «Porte ton
manteau.»
Nous sommes allés là , et alors, elle ne nous a pas reconnus: à la voir,
ses
yeux étaient tout gonflés comme ça et ses lÚvres étaient retournées.
Ainsi,
lorsque la petite infirmiÚre est entrée, elle a dit: «Venez, FrÚre
Branham.»
Elle mâa conduit lĂ . Et je me suis agenouillĂ© et jâai priĂ© pour elle,
jâai posĂ©
ma main sur elle, je me suis tenu lĂ un petit peu. Ma femme aussi sâest
tenue
là , et elle a dit: «Tu vois quelque chose?»
Jâai dit:
«Non, chérie, je ne vois rien.»
Nous
sommes sortis et nous avons fait un tour du cĂŽtĂ© oĂč Ă©taient les bĂ©bĂ©s
et nous
avons jetĂ© un coup dâoeil lĂ du cĂŽtĂ© de la maternitĂ©, vous savez, oĂč
tous les
bĂ©bĂ©s Ă©taient couchĂ©s. Elle parlait dâeux. Je suis encore retournĂ© vers
monsieur Andrews ; juste au moment oĂč jâai franchi la porte, jâai vu
cela. Oh !
la la ! jâai dit: «ChĂ©rie, ça va passer. Ne tâen fais pas ; Dieu a
entendu.»
44 Et je suis rentré chez moi. Monsieur Andrews est venu et il
a dit: «Quâen
pensez-vous, pasteur?»
Jâai dit:
«Elle va vivre.»
Il sâest
mis Ă pleurer, oh ! la la ! Et ilâjâai dit: «Elle va vivre.» Jâai dit:
«Ne vous
inquiĂ©tez pas ; Dieu lâa dĂ©jĂ dit par le mĂȘme moyen de la vision, Il a
dit que
cette femme-lĂ allait vivre, et maintenant elle est debout lĂ -bas,
cette femme.»
Jâai dit: «Bon», madame Reece alors...
Et jâai
dit: «Maintenant, elle aussi va vivre.»
Et il a
dit: «Oh ! Je suis si heureux, pasteur.»
Quelques
instants aprÚs le téléphone a sonné, et il est parti. Et on lui a dit:
«Venez
auprÚs de votre femme sans tarder ; elle est mourante.»
Alors il
est venu me le dire, et jâai dit: «Croyez-vous ce que je vous ai dit?»
Il a dit:
«Oh ! Pasteur, je veux bien, a-t-il dit, mais ils me disent quâelle est
mourante.»
Jâai dit:
«Ce quâils disent ne change rien du tout.» Jâai dit: «Lorsque Dieu dit
quelque
chose, cela doit sâaccomplir parfaitement Ă la lettre.»
Alors il
a dit... Ainsi aussitÎt, vous savez, il a dit: «Oh ! je ne peux pas
aller voir
cela.»
Jâai dit:
«Assister Ă quoi?» Jâai dit: «Vous pensez toujours quâelle va mourir,
nâest-ce
pas?»
Il a dit:
«Je suis simplement tout nerveux.»
Jâai
pensĂ©: «Câest bon pour toi maintenant mĂȘme (Vous voyez?), de bien
transpirer.»
45 Jâai donc laissĂ© la chose aller de soi ; peu aprĂšs, il y a
eu un autre
appel tĂ©lĂ©phonique ; on lâa appelĂ© de lâautre cĂŽtĂ© de la rue. Le voilĂ
qui
traverse, puis il est revenu. Et alors il a dit: «Je suis obligé
dâaller Ă
lâhĂŽpital immĂ©diatement.» Alors il sâest rendu Ă lâhĂŽpital.
Et
moiâMeda a dit: «Quâen penses-tu?»
Et jâai
dit: «Eh bien, ne tâinquiĂšte pas lĂ -dessus. Dieu lâa dĂ©jĂ dit ; cela
rĂšgle la
question.» Jâai dit: «Si dâici trois jours cette femme ne me fait pas
une tarte
aux pommes, et que je ne la déguste pas en étant assis sur cette
porche, alors
je suis un faux prophĂšte.» Câest juste. Elle a pu vraiment en faire une
dĂ©licieuse. Ainsi jeâje le savais ; aussi le lui ai-je dit. Je le leur
ai dit
juste lĂ Ă lâhĂŽpital, je lâai dit Ă lâinfirmiĂšre. Jâai dit: «Elle me
fera une
tarte dâici trois jours. Au cas contraire, alors je vaisâje vais
quitter le
ministĂšre.» Câest juste. Jâai dit: «Parce que cela est absolument la
vérité.»
46 Et, vous savez, il est revenu traversant le champ quelques
instants aprĂšs,
la morve coulant de ses narines, et il était en train de sauter, de
bondir
comme cela. Et il a dit: «Pasteur, pasteur, devinez ce qui est arrivé.»
Il a
dit: «Je me suis rendu lĂ pour la voir, et au moment oĂč je suis arrivĂ©,
a-t-il
dit, le... quelque chose sâest dĂ©fait, et toute lâeau est sortie
dâelle, et
elle Ă©tait assise dans un lit et elle a dit quâelle avait faim. Jâai
appelé
lâinfirmiĂšre.» Et il a dit: «On lui a apportĂ© du bouillon, et elle a
dit:
âEnlevez cette histoire ; je veux des saucisses de Francfort et de la
choucroute.â» Il a dit: «Elle est tout Ă fait normale et en bonne
santé...»
Aujourdâhui elle est vivante. Et le Dieu du Ciel qui a baissĂ© Ses
regards...
Et
presquâune semaine aprĂšs cela il mâa fabriquĂ© ce petit portefeuille que
jâai
toujours portĂ© depuis lors dans ma poche, Ă travers le monde. Câest
juste ;
câest la vĂ©ritĂ© ; Dieu dans le Ciel le sait. Elle est vivante ce soir.
Pourquoi?
Parce que Jésus-Christ vit, elle aussi vit. Que Dieu bénisse...?...
Vous voyez?
Câest vrai.
47 Lorsque Jésus leur a parlé, Il a commencé à leur révéler...
Remarquez, la
chose mĂȘme... Ils ont ditâIl a dit: «Pourquoi ĂȘtes-vous tristes?» Les
chrétiens
ne devraient pas ĂȘtre tristes ; ils devraient ĂȘtre heureux, trĂšs
heureux, dans
la joie. Il a dit: «Pourquoi ĂȘtes-vous si tristes?»
Lui...
ils ont répondu: «Es-Tu un étranger, qui ignore que Jésus de Nazareth,
un
ProphĂšte, Lui dont nous nous attendions quâIl prenne le trĂŽne de
David...» Ils
ont dit: «Nous avions tous foi en Lui. Il a accompli de grands miracles
et
prodiges devant nous, et quel grand ProphÚte Il était. Et ensuite ils
Lâont
livrĂ©... Les gens Lâont livrĂ© Ă Pilate, ils Lâont crucifiĂ©, ils Lâont
enseveli.»
Et ils ont dit: «Câest le troisiĂšme jour depuis que ces choses sont
arrivées.»
Ils ont dit: «Certaines femmes dâentre nous se sont rendues Ă la tombe,
probablement pour y déposer quelques fleurs ou on ne sait quoi, et,
ont-ils
dit, elles ont dit que la tombe était vide ; et elles ont vu une vision
oĂč il
leur a Ă©tĂ© dit quâIl Ă©tait ressuscitĂ© dâentre les morts.» Et ils ont
dit: «Eh
bien, alors, Ă©videmment nous croyons que câest une histoire ridicule.»
Et ils
ont dit: «Et puis, ont-ils dit, une autre personne de notre groupe a
dit
quâelle a vu quelque chose Ă ce sujet.»
Et ils
ont continué, et Il a dit... Il a commencé... Suivez attentivement.
Jésus ne
sâest pas mis Ă discuter avec eux ni Ă parler. Il a dit... Observez ce
quâIl a
fait: Il sâest directement rĂ©fĂ©rĂ© Ă la Parole. Câest cela, frĂšre, la
Parole de
Dieu, câest la base et le fondement de tout salut et toute guĂ©rison ;
ça réside
dans la Parole, ce nâest pas dans vos sentiments, ce nâest pas dans ce
que vous
pensez Ă ce sujet, mais câest dans ce que Dieu a dit Ă ce sujet. Amen.
Oh !
Jâaurais souhaitĂ© avoir une punaise pour attacher cela dans votre
coeur, lĂ oĂč
cela ne pourra jamais quitter.
48 Juste aujourdâhui, jâĂ©tais en train de lire un petit passage
des Ecritures,
JoĂ«l... Amos 8.11, lĂ oĂč il est dit quâil y aurait une famine, non pas
du pain,
ou non pas du pain et de lâeau, mais dâentendre la Parole de Dieu ; que
les
gens iraient dâune mer Ă lâautre, de lâest Ă lâouest, çà et lĂ ,
partout, pour
chercher laâla Parole de Dieu et ils ne La trouveraient pas. Si cela ne
correspond pas Ă la situation de cette nation en ce temps-ci, je ne
sais pas Ă
quoi cela correspond. Câest juste. Nous nâavons pas besoin de pain ;
nous en
avons beaucoup. Nous avons beaucoup Ă manger, beaucoup dâhabits Ă
porter, de
belles maisons oĂč habiter, et tout ; mais il y a une famine dâentendre
la
Parole de Dieu. Lâhomme ne sait que croire. Câest vrai.
On est
dans la confusion totale ; lâun dit ceci, et lâautre dit cela ; et lâun
dit
ceci, et lâautre dit autre chose. Fondez vos pensĂ©es sur lâAINSI DIT LE
SEIGNEUR ; Dieu confirmera cela.
49 JĂ©sus sâest directement rĂ©fĂ©rĂ© aux Ecritures et a commencĂ© Ă
déverser la
Parole ; Il a dit: «Hommes sans intelligence et dont le coeur est lent
Ă
comprendre.» Il est retournĂ© dans lâAncien Testament et Il a commencĂ© Ă
prouver
que Christ devrait souffrir et ressusciter le troisiĂšme jour.
Alors
ils sont arrivĂ©s au petit village oĂč ils se rendaient, ainsi ils sont
entrés
dans le restaurant. Alors Il a fait comme sâIl continuait son chemin.
Vous
est-il dĂ©jĂ arrivĂ© une fois... Peut-ĂȘtre ce pauvre homme souffrant qui
est
couchĂ© lĂ sur ce lit de camp, Il a fait comme sâIl allait vous passer ;
Il ne
va pas vous passer. Vous voyez? Invitez-Le Ă entrer.
Peut-ĂȘtre
ce pauvre homme qui est assis lĂ avec uneâune bĂ©quille, cet homme assis
ici
dans un fauteuil roulant, JĂ©sus pourrait faire comme sâIl va vous
passer ce
soir, mais Il ne le fera pas. Invitez-Le tout simplement Ă venir vers
vous pour
voir ce qui se passe. Invitez-Le tout simplement Ă entrer.
Ils ont
dit: «Oh ! Entre ; nous aimons vraiment Tâentendre enseigner la Parole.
Nous
avons entendu tous les pharisiens et les autres ; mais il y a dans Ton
enseignement quelque chose de différent. Entre, enseigne-nous encore un
tout
petit peu.» Alors ils sont entrĂ©s. Et une fois Ă lâintĂ©rieur, câĂ©tait
peut-ĂȘtre
une modeste petite hutte, peu importe combien elle était modeste, mais
ce nâest
jamais trop modeste pour quâIl ne puisse pas y entrer.
50 Peu importe combien vous ĂȘtes pauvre, combien vous ĂȘtes
démuni, vous ne
serez jamais trop démuni pour que Jésus ne réponde pas à votre
invitation. Peu
importe à quel point vous avez péché, ce que vous avez fait,
adressez-Lui une
invitation, Il viendra directement chez vous et Il y fera Sa demeure.
Nâest-ce
pas merveilleux?
TrĂšs
bien, ils Lâont invitĂ© Ă entrer, et une fois Ă lâintĂ©rieur, les portes
fermées
derriĂšre Lui, Il enfermera le reste du monde Ă lâextĂ©rieur. Maintenant,
si ce
soir vous ĂȘtes un peu superstitieux, concernant la PrĂ©sence du
Seigneur,
pendant que la réunion va se poursuivre, invitez-Le à entrer dans votre
coeur,
et ensuite fermez la porte, laissant toute votre incrédulité dehors.
Voyez sâIl
ne se fera pas connaĂźtre Ă vous.
51 Une fois lĂ Ă lâintĂ©rieur, ils se sont assis Ă table ; et la
servante sâest
probablement présentée, et ils ont commandé leur souper. Et pendant
quâon
servait le souper Ă table, sans doute que Son coeur battait pendant
quâIl les
regardait et quâeux Le regardaient, Il... Ils ne savaient pas qui
câĂ©tait. Eh
bien, la Bible dit que leurs yeux Ă©taient empĂȘchĂ©s de Le reconnaĂźtre ;
ils
neâils ne comprenaient pas. Ils Ă©taient bel et bien assis avec Lui, ils
avaient
bel et bien marchĂ© en Sa compagnie, ils sâentretenaient bel et bien
avec Lui ;
ils étaient en train de manger avec Lui, mais ils ne savaient pas qui
Il était.
Et mon
ami, cela est vrai au possible aujourdâhui. Cela est tout aussi vrai
que le
fait que je me tiens debout à cette estrade, le Ressuscité Jésus-Christ
est
juste dans cette salle, parlant aux individus juste en ce moment. Si
seulement
vous pouviez reconnaĂźtre que câest Sa voix Ă Lui. Je prie quâIl se
manifeste
aprĂšs un moment, et quâIl vous confirme quâIl est ici dans cette salle.
Jésus
nâest pas mort, Il est ressuscitĂ© des morts. Et Il est ici sur terre,
continuant le ministĂšre quâIl avait lorsquâIl Ă©tait ici sur terre dans
un corps
physique. Il continue Ă lâexercer au travers des ĂȘtres humains comme Il
lâavait
promis. «Vous ferez aussi les mĂȘmes choses que Je fais.» Chaque jour Il
accomplissait la volontĂ© du PĂšre, câest ce pour quoi Il Ă©tait venu. Et
Il est
ici ce soir.
52 Et lorsquâIl Ă©tait avec Ses disciples lĂ Ă lâintĂ©rieur,
assis Ă table, Il
les a regardĂ©s, Il a pensĂ©: «Eh bien, vous Mâavez donc entendu
enseigner
lâEvangile. Vous Mâavez entendu prĂȘcher lâEvangile aujourdâhui, Je
crois donc
que Je vais simplement vous faire savoir que câest bien Moi.» Alors Il
a pris
du pain, et Il a simplement fait la chose un peu différemment des
autres hommes
; ils se sont alors rendu compte que câĂ©tait Lui. Et leurs yeux
sâouvrirent, et
ils Le reconnurent, et Il disparut de devant eux.
Oh ! la
la ! Ils avaient effectuĂ© une distance dâun chemin de sabbat, pour se
rendre
lĂ -bas, mais ils sont certainement retournĂ©s dâun pas lĂ©ger, le coeur
déchargé,
sautant et bondissant, louant le Seigneur. Ils ont su quâIl Ă©tait
ressuscité
des morts. Ils sont retournĂ©s... Il nâest donc pas retournĂ© pour
discuter de
leur religion ; ils sont retournés avec une seule chose dans le coeur:
Jésus-Christ était ressuscité des morts.
53 VoilĂ la chose essentielle ce soir. Cessez de discuter sur
vos religions,
de discuter sur vos différentes doctrines, de discuter sur les
différentes
églises dénominationnelles, de discuter sur les différentes nations ;
ce dont
le monde a besoin de savoir ce soir, câest que JĂ©sus-Christ est
ressuscité des
morts, et quâIl vit parmi les hommes. Amen. Il nâest pas question de
discuter
sur le fait de mettre le doigt sur ceci, et de retrancher ceci, de
retirer
ceci, de dire que ceci est inspiré ; oubliez tout simplement cela, et
regardez
Ă Lui, et croyez quâIl est ressuscitĂ© des morts, et Il se manifestera Ă
vous.
Amen. Câest si simple...
Vous
direz: «Eh bien, si un Ange prĂȘchait cela», Dieu nâa pas ordonnĂ© des
Anges pour
prĂȘcher lâEvangile. Il a ordonnĂ© des hommes pour prĂȘcher lâEvangile. Il
nâa
jamais dit aux Anges: «Je serai avec vous et en vous.» Câest aux hommes
quâIl a
dit: «Je serai avec vous et en vous.» Il nâa jamais dit aux Anges:
«Vous ferez
aussi les choses que Je fais.» Câest aux hommes quâIl a dit: «Vous
ferez aussi
les choses que Je fais.»
LâEvangile
vient par la prédication de la Parole. Dieu se manifeste au travers des
ĂȘtres
humains. Amen. Les seuls yeux que Dieu a sur terre ce soir sont les
miens et
les vĂŽtres. Les seules mains quâIl a sont nos mains Ă nous ; Dieu
travaille
dans Son peuple ; Dieu dans lâunivers, Dieu dans Sa Parole, Dieu est
dans Son
Fils, Dieu est dans Son peuple.
54 Dieu est ici en ce moment, ressuscité des morts, soirée
aprÚs soirée, Il
confirme quâIl est vivant parmi nous, amenant les pĂ©cheurs, les
pécheurs morts,
étrangers, séparés de Dieu, Il les amÚne à reconnaßtre Dieu ; Il sauve
leurs
ùmes, Il les remplit du Saint-Esprit, Il guérit les malades, Il rend la
vue aux
aveugles.
Réveillez-vous,
oh ! les amis. Ne soyez pas emportés à tout vent de doctrine, disant:
«Le temps
des miracles est passé ; ces choses sont pour un autre ùge.» Ne soyez
pas
ballotĂ©s, croyez au Seigneur JĂ©sus ressuscitĂ©. CâĂ©tait lĂ leur
enseignement Ă
cette Ă©poque-lĂ lorsquâIl est ressuscitĂ© etâen ce matin de PĂąques lĂ .
Mais Il
Ă©tait vivant, et Il est ici ce soir. Il est ici ; nâoubliez jamais
cela.
Si
jamais vous ne vous souvenez pas dâune chose que je vous ai dĂ©jĂ dite,
souvenez-vous de moi par ceci: Jésus-Christ le Fils de Dieu est
ressuscité des
morts et Il est vivant aujourdâhui parmi les hommes, Ă la recherche des
pécheurs, guérissant les malades et les affligés. Il est en tout le
mĂȘme quâIl
a toujours Ă©tĂ© et quâIl sera toujours, le mĂȘme hier, aujourdâhui et
éternellement, le Seigneur Jésus, qui cherche les pécheurs perdus.
55 Etes-vous perdu? Si vous ĂȘtes sauvĂ©, câest merveilleux. Mais
si vous ĂȘtes
perdu, Dieu a préparé une voie pour vous sauver. La pire des choses que
je
puisse imaginer, câest quelquâun de perdu. Etant unâun chasseur, je
vais dans
les montagnes... Juste une minute avant de terminer donc, et puis nous
allons
commencer Ă prier pour les malades, juste dans un instant. Je sens que
le
Saint-Esprit voudrait que jâinvite les gens Ă monter ici et que je prie
pour
eux.
Maintenant,
une fois jâĂ©tais perdu dans les bois. Je suis montĂ© jusque prĂšs de la
frontiĂšre
canadienne oĂč jâĂ©tais. Je me disais que je mây connaissais trop bien
comme
homme des bois pour me perdre. Et câest lorsque vous vous fiez Ă
vous-mĂȘme que
vous vous perdez ; câest Ă ce moment-lĂ que vous vous perdez. Câest Ă
ce
moment-lĂ quâAdam sâest perdu, lorsquâil sâest fiĂ© Ă lui-mĂȘme, en se
faisant
des feuilles de figuier pour sâen couvrir. Vous voyez? Il devait venir
sur base
des mérites du Sang versé.
56 Et quand vous vous dites: «Oh ! je vais Ă lâĂ©glise ; je suis
aussi bon que
vous, pasteur.» Vous lâĂȘtes certainement, mais ĂȘtes-vous bon autant que
Dieu
veut que vous soyez? Pour commencer vous nâĂȘtes pas bon, et moi non
plus je ne
suis pas bon pour commencer. La seule bontĂ© qui est en nous, câest ce
que Dieu
a fait pour nous Ă travers JĂ©sus-Christ. Câest juste. Oui, oui. Nous
sommes
tous des pĂ©cheurs, mais lâunique façon pour que nous soyons sauvĂ©s,
câest en
acceptant le Seigneur Jésus et Son pardon gratuit.
Eh bien,
je mâĂ©tais totalement Ă©garĂ©. Jâai dit Ă ma femme que jâallais
retourner. Je
lâavais amenĂ©e ; Billy nâĂ©tait quâun petit enfant, un tout petit gars
dâenviron
trois, quatre ans. Je crois quâil avait cinq ans. Et nous Ă©tions trĂšs
loin au
sommet des Adirondacks, prĂšs de la frontiĂšre canadienne. Et nous avions
parcouru en voiture environ vingt-cinq, trente miles [40 km, 48 km] en
montant
une vieille route en rondins comme cela, oĂč on avait coupĂ© du bois,
coupé du
bois Ă pĂąte. Et nous sommes arrivĂ©s au camp du garde forestier. Jâavais
fait la
chasse là depuis des années.
57 Jâai dit Ă ma femme que jâallais faire la chasse Ă lâours,
et jâai dit: «Je
me rends lĂ pour chasser le cerf, et je vais attraper un cerf, puis je
vais
revenir ; je serai de retour dâici midi.»
Elle a
dit: «Je tâattendrai.» Il avait fait froid cette nuit-lĂ ; nous avions
dĂ»
prendre le petit Billy et le placer entre nous deux, pour quâil ne
meure pas de
froid ; par ce temps froid de novembre les branches dâarbres gelaient
et
tombaient de ces derniers. Il y avait un petit abri pour se reposer, et
la
cabane était fermée.
Le mont
Hurricane, la tour le surplombait lĂ , et nous voulions aller tout au
fond dans
lâautre partie de la contrĂ©e pour chasser.
Ainsi il
allait ouvrir la cabane, et elle pourrait y entrer, et elle et Billy
pourraient
y rester pendant que nous effectuerions une petite randonnée et que
nous
serions partis. Ainsi, elle Ă©tait presque une enfant elle-mĂȘme, dans
les vingt
et un, vingt-deux ans. Et ainsi, cette nuit-lĂ âcette nuit-lĂ nous avons
failli
geler. Alors on a fait un petit feu et un petit appentis, et puis alors
le
lendemain matin, je suis sorti pour aller attraper un cerf, parce quâil
était
censé venir ce jour-là .
Et
ainsi, je lui ai dit que je serais de retour à midi. Et je suis allé de
lâautre
cÎté de la colline pour relever les traces du gibier. Je suis revenu en
longeant la crĂȘte, et jeâjâai vu un lynx roux traverser, et je ne
pouvais pas
mâapprocher assez de lui pour lâabattre, alors jâai gravi une colline.
Et jâai
longé la piste le long du flanc et je suis entré dans une grosse
taniĂšre
dâours. Et il nây avait rien dedans ; je suis revenu, je suis descendu
vers les
gĂ©ants, ce quâon appelle les gĂ©ants. Câest une grande forĂȘt dense qui
sâĂ©tend
lĂ sur des kilomĂštres et des kilomĂštres, qui ressemble complĂštement Ă
une forĂȘt
des rĂ©gions basses par lĂ et dont les arbres sont couverts comme dâune
sorte de
bitume.
58 Alors je suis descendu trĂšs loin lĂ sur le cĂŽtĂ©, et jâai vu
lĂ un cerf, un
gros cerf, et je lâai abattu. Lorsque jâai terminĂ© lĂ , jâai dit: «Eh
bien
maintenant, écoutez, il est quatorze heures passées, il faut donc que
je me
dĂ©pĂȘche.» Et je suis retournĂ©, jâai repris le chemin du retour dans
cette
direction. Je... un... est survenu... lâorage venait, il y avait du
brouillard.
Lorsquâil y a du brouillard dans la forĂȘt, nâimporte quel chasseur sait
que
câest un temps dangereux. Câest Ă peine si vous pouvez voir vos mains
devant
vous.
Eh bien,
je me suis mis Ă marcher. Jâai dit: «Il faut que je me dĂ©pĂȘche.» Et
jâai fait
un contour ; jâai continuĂ© Ă marcher, Ă marcher, Ă marcher, Ă marcher.
Je me
suis dit: «Eh bien, oh ! la la ! Ă quel endroit est-ce que jâavais pris
le
tournant?» Et bien vite, je me suis arrĂȘtĂ© par hasard, jâai regardĂ©, et
je me
suis dit: «Eh bien, jâai vu cet endroit quelque part.» Jâai levĂ© les
yeux, et
mon cerf Ă©tait suspendu lĂ . Jâai compris que jâavais tournĂ© en rond
quelque
part. Ainsi jâai dit: «Maintenant, je dois aller dans une certaine
direction.»
Et jâai encore marchĂ©, je suis retournĂ© au mĂȘme endroit Ă trois
reprises,
directement.
Eh bien,
les Indiens appellent cela la marche de la mort, vous savez. Ainsi
câest ce que
vous faites ; vous tournez en rond. Et je mâen suis rendu compte, mais
comment
allais-je en sortir? Et alors, lâorage Ă©tait pratiquement descendu,
soufflant
dans les sommets des arbres, le brouillard tournoyait. Et je me suis
dit: «Maintenant,
la chose raisonnable Ă faire...» Je pourrais entrer quelque part, etâet
aller
quelque part et me retirer lĂ jusquâĂ ce que lâorage soit terminĂ©, et
ensuite
monter jusquâĂ un endroit Ă©levĂ© pour voir oĂč je me trouvais, et
continuer. Mais
jâavais une femme et un enfant lĂ -bas, qui gĂšleraient Ă mort et qui
mourraient
ce soir-lĂ . Ils nâavaient jamais Ă©tĂ© dans les bois dans leur vie. Ils
ne
savaient pas comment se débrouiller, et cela leur donnait une peur
bleue de
toute façon. En effet, je savais que tous les deux mourraient ce
soir-lĂ ; et
il fallait que je les rejoigne. Et quel sentiment ! Oh ! la la !
Lâenfant et ma
femme mourir dans les bois ce soir-lĂ !
59 Et... mais je pensais que je mây connaissais trop pour me
perdre dans les
bois. Ainsi donc jâai fait un contour ; je me suis ditâje me suis dit:
«Eh bien
maintenant, voici que je dois aller dans une direction.» Je me suis
dit: «Quand
jâai gravi la montagne, le vent me frappait au visage. Je suis descendu
dans
cette direction, ainsi cela devrait ĂȘtre dans cette direction.» Je me
suis
demandĂ©: «Maintenant, quand lâorage approchait, il venait dans quelle
direction?»
Et le
vent avait changé de direction, et dans ces poches et ces circuits le
vent va
souffler dans nâimporte quelle direction, ça va souffler dans cette
direction
pendant un moment, et ensuite ça va souffler dans lâautre direction
pendant un
moment. Et oh ! le ciel était nuageux, une bourrasque soufflait, il y
avait de
la mousse des deux cÎtés des arbres là dans ce lieu encaissé, au point
quâil
nây avait rien que je pouvais trouver pour me servir de repĂšre. Mais lĂ
au
fond, Ă©videmment le vent ne descend pas jusque lĂ comme lors dâun
blizzard, et
puis les deux cÎtés étaient épais. Je ne pouvais rien trouver du tout
pour
mâaider Ă sortir des bois.
60 Alors je me suis dit: «Eh bien...» Jeâjâai commencĂ© Ă
devenir nerveux. Et
nâimporte qui sait ce qui arrive, Ă ce moment-lĂ vous attrapez la
fiĂšvre ; soit
vous vous suicidez, soit vous mourez. Alors jâai dit: «Oh ! la la !»
Jâai pensĂ©:
«Il faut que je sorte dâici ; il faut que...» Jâai dit... Je me suis
assis une
minute. Jâai dit... Je me suis frappĂ© dâun cĂŽtĂ© du visage, jâai dit:
«Ecoute,
William Branham, tu ne tâes pas perdu. Quâest-ce qui te prend, mon
garçon? Tu
sais comment sortir dâici.» JâĂ©tais en train de me leurrer.
JâĂ©tais
perdu, certainement jâĂ©tais perdu. Jâai dit: «Eh bien, tu tây connais
trop dans
les bois, et tu ne peux jamais te perdre. Mon Dieu, quâaurait pensĂ© ton
grand-pÚre à ton sujet, de te voir assis ici agir comme ça? Eh bien,
lĂšve-toi
dâici.» Je me suis levĂ© et jâai avancĂ© encore un peu, et jâĂ©tais
néanmoins
perdu ; câest tout. Et jâai dit: «Eh bien, il faut que je fasse un...
Il faut
que je sorte dâici dâune maniĂšre ou dâune autre.» Alors jâai dit: «Je
vais
aller droit dans ce sens en ligne droite.» Et jâai dit: «Je ne vais pas
me
tourner du tout. Je vais aller tout droit dans cette direction, et je
suis sûr
que je vais bien atteindre directement la montagne Hurricane. Si
seulement je
vois le mont Hurricane, je saurai oĂč est la tour, et je pourrai
descendre Ă
partir de lĂ . Je ne sais pas si je suis Ă lâest ou si je suis Ă lâouest
de la
tour, ni lâendroit oĂč je me trouve.»
61 Le brouillard sâest mis donc Ă souffler, les arbres ont
commencé à craquer,
ainsi jâai dit: «VoilĂ , je vais droit dans cette direction.» Et je
commençais Ă
me mettre dans tous mes Ă©tats. Quelque chose me parlait Ă lâoreille,
disant: «Je
suis un secours qui ne manque jamais en temps de détresse.» [Espace
vide sur la
bandeâN.D.E.]...?... «Je suis lâEternel ; Je suis un secours qui ne
manque
jamais en temps de détresse.»
Je me
suis dit: «Ecoute, jeâje suis certain que je vais sortir maintenant. Il
y a
quelque chose qui ne marche pas en moi.» Vous voyez? Jâai dit:
«Jâentends des
voix. Jeâilâil y a quelque chose qui cloche en moi.» Jâai dit: «Ecoute,
ressaisis-toi, mon garçon, quâest-ce qui te prend? Il faut que tu
continues. Tu
nâes pas perdu. Tu connais exactement oĂč tu te trouves, maintenant
continue.»
Et jâai pensĂ©âjâai baissĂ© les yeux par lĂ ; il Ă©tait dĂ©jĂ seize heures
trente.
Et jâai
pensĂ©: «Oh ! la la ! JâĂ©tais supposĂ© ĂȘtre lĂ Ă midi. Elle est en train
de
pousser des cris maintenant.» En effet, elle savait... Cette gosse dans
le
bois, elle nâa jamais Ă©tĂ© dans les bois dans sa vie, et avec ce petit
enfant
lĂ -haut. Elle ne savait mĂȘme pas comment faire un feu, ni rien.
62 Ainsi ils auraient peur de sortir comme cela, il y aâil y a
certainement
des animaux sauvages et... Rien ne pouvait leur nuire, naturellement,
mais ils
avaientâils avaient peur. Ainsi, jâai simplement continuĂ© Ă marcher et
jâentendais sans cesse quelque chose dire: «Je suis unâun secours qui
ne manque
jamais en temps de détresse. Un... jamais... Je suis le Seigneur. Je
suis un
secours qui ne manque jamais en temps de détresse.»
Je me
suis arrĂȘtĂ© et je me suis dit: «Je me demande si ça pourrait ĂȘtre Lui
qui est
en train de me parler?» Jâai dit: «Suis-je assez homme pour admettre
que je
suis perdu? Suis-je assez homme pour admettre que je suis perdu?» Jâai
Îté mon
chapeau, je lâai dĂ©posĂ© par terre, et jâai dit: «Dieu bien-aimĂ©, je
suis perdu.
Je suis perdu ; je ne sais pas oĂč je suis. Je ne sais pas comment
sortir dâici.»
Je me suis agenouillĂ© sur mon chapeau, et jâai posĂ© mon fusil contre
lâarbre.
Jâai dit:
«PÚre, je suis totalement perdu, je suis... en ayant en moi ce
sentiment que je
peux mâen tirer tout seul, jeâje mĂ©rite de mourir ; mais, Seigneur, aie
pitié
de ma pauvre petite femme et de mon enfant qui sont lĂ -bas. Ils vont
aussi
mourir. Eux ils sont dignes de vivre ; mais moi, je ne le suis pas.
Mais je
suis... Seigneur, je suis perdu, et veux-Tu mâaider Ă cause dâeux?»
Jâai dit:
«Je ne sais pas ce quâil faut faire. Si câest Toi qui parles, disant
que Tu es
un secours qui ne manque jamais dans la détresse, sois ma boussole
maintenant.
Fais-moi sortir. Il nây a aucun signe naturel autour de moi. Mais je
suis
perdu. Veux-Tu mâaider?»
63 Je me suis relevĂ©, jâai essuyĂ© mes yeux et jâai pensĂ©: «Eh
bien, ĂŽ Dieu,
dirige-moi. Jây vais, je ne sais quelle direction prendre, mais je vais
marcher. Je crois que je suis venu par ici.» Jâai dit: «Je vais...
maintenant,
ça câest mon avis. Je vais prendre cette direction.» Et jâai portĂ© mon
chapeau,
jâai pris mon fusil, et jâai commencĂ© Ă aller dans cette direction.
Eh bien,
tout aussi vrai que je me tiens ici sur cette estrade ce soir, avec
cette
Bible, jâai senti QuelquâUn poser Sa main sur mon Ă©paule. Et je me suis
retournĂ© pour voir qui câĂ©tait, et juste au moment oĂč je me suis
retourné, le
brouillard sâest dissipĂ©, il sâest Ă©cartĂ© dans cette direction. Et jâai
vu la
tour sur le mont Hurricane, derriĂšre dans cette direction.
Je me
suis tournĂ© aussitĂŽt dans cette direction et jâai fait face Ă la tour,
jâai ĂŽtĂ©
mon chapeau, jâai dĂ©posĂ© mon fusil Ă terre, et jâai levĂ© les mains.
Jâai dit: «Ă
Dieu, oh ! combien jâapprĂ©cie ceci ! Seigneur, je me dirigeais droit
vers le
Canada. Je me retrouverais Ă ... je nâallais jamais mâen sortir.» Jâai
dit: «Seigneur...»
CâĂ©tait ma propre opinion. Et parfois en suivant votre propre opinion,
chaque
fois vous irez Ă cĂŽtĂ©. Priez et demandez Ă Dieu ce quâil faut faire.
64 Et jâai regardĂ© en direction de cela ; jâai pensĂ©: «Il faut
que je garde
mon visage dirigé droit dans cette direction.» Maintenant, le
brouillard a
encore couvert les lieux. Il sâĂ©tait dissipĂ© assez pour que je voie que
le...
Je savais que si je pouvais monter jusquâĂ cette tour ou traverser
cette ligne
jusque de lâautre cĂŽtĂ© de la montagne...
Jâavais
aidé le garde-forestier à placer cette ligne téléphonique qui
descendait
jusquâau camp oĂč sa femme restait en Ă©tĂ©. Et je savais que si jamais je
pouvais
arriver jusque lĂ , je tiendrais cette ligne. Peu importe combien
lâorage
faisait rage, je pouvais retrouver mon chemin vers ma famille. Et je...
pendant
que je me tenais lĂ , en train de regarder dans cette direction-lĂ ,
Quelque
Chose est venu vers moi et mâa dit: «Oui, tu Ă©tais aussi perdu et dans
une
situation pire que ça. Mais garde tout simplement tes yeux fixés sur le
Calvaire.»
Je me
suis mis Ă marcher, Ă marcher, comme cela. Je ne pouvais pas faire un
détour ;
je ne pouvais pas faire un contour ; cela me dĂ©tournerait de monâmon
chemin.
JâĂ©tais presque, au moins Ă cinq miles [8 km] de lĂ . Et Ă ce moment-lĂ
il
commençait à faire sombre. Je suis entré dans les buissons, et des
cerfs
sautaient devant moi. Jâai failli tomber et mâĂ©corcher complĂštement les
jambes.
Il faisait sombre et jâĂ©tais en train alors dâaccĂ©lĂ©rer Ă ce moment-lĂ ,
essayant de monter ces falaises et tout, essayant de garder mon
itinéraire le
mieux possible.
65 Et je me suis dit: «Maintenant je suis au sommet, on
dirait.» Maintenant,
je ne voyais pas cette ligne, alors jâai simplement gardĂ© mes mains
levées
comme ceci. Jâai mis ma carabine sur lâĂ©paule en bandouliĂšre, jâai levĂ©
mes
mains et jâai continuĂ© Ă marcher. Jâai dit: «Jâai les mains levĂ©es,
Seigneur.
Fais que je touche cette ligne lorsque jây arriverai.» La neige me
frappait au
visage, elle mâeffleurait. Jâai continuĂ© Ă marcher ; et tout Ă coup ma
main a
touchĂ© quelque chose. Jâai senti cela ; câĂ©tait ce fil. Oh ! la la !
Vous ne
savez pas le sentiment que jâai Ă©prouvĂ©. Je savais que si je suivais ce
fil-lĂ ,
sans le lĂącher, que si je suivais ce fil en descendant cette colline
sur
environ deux miles et demi [4 km] ou trois [4,8 km], je retrouverais
bien ma
femme et mon enfant lĂ au bas de la colline.
Et lĂ ,
ceci mâest venu Ă lâesprit: Oui, tout homme est Ă©tranger Ă Dieu, il est
séparé
de Lui dans ce monde, il ne sait pas oĂč il va, il est emportĂ© çà et lĂ .
Mais si
vous regardez au Calvaire et que vous gardiez vos mains levées vers
Dieu, et
acceptiez Christ comme votre Sauveur jusquâĂ ce que quelque chose
frappe votre
main, câest ça le chemin du retour Ă la Maison. Suivez alors la
conduite du
Saint-Esprit. De votre main tenez Sa main immuable ; elle vous conduira
droit
jusque vers votre Seigneur Jésus, Celui qui vous aime. Croyez-vous
cela?
66 Inclinons la tĂȘte juste un moment et prions. Notre PĂšre
cĂ©leste, je pense Ă
ce vieux chant, qui dit: «Autrefois jâĂ©tais perdu, mais maintenant je
suis
retrouvĂ© ; jâĂ©tais aveugle, mais maintenant je vois.» Et je pense Ă cet
orage
aveuglant ce soir-lĂ , et mon coeur bondissait, alors que la fiĂšvre
attaquait
mon corps, jâai eu une peur bleue, comprenant que jâallais pĂ©rir cette
nuit-lĂ ,
et ma femme et mon enfant aussi...
Ă Dieu,
il y a peut-ĂȘtre des hommes et des femmes assis ici ce soir, qui sont
aussi,
spirituellement parlant, dans la mĂȘme situation malencontreuse. Leurs
familles
périront si papa ne vient pas, ou si maman ne vient pas rapidement. Les
enfants
seront emportés ici dans le monde. Puissent-ils ce soir regarder au
travers de
ce brouillard qui est suspendu au-dessus de la terre et voir le
Calvaire,
quâils lĂšvent leurs mains vers le Seigneur JĂ©sus et touchent la ligne
de
sauvetage qui conduit jusquâĂ la maison.
Accorde-le,
Seigneur, dans notre derniÚre soirée de cette série de réunions. Bénis
toute
femme et tout homme qui est perdu et rĂ©tif. Peut-ĂȘtre quâils se sont
confiés
dans le bras de chair. Peut-ĂȘtre quâils se sont confiĂ©s dans un credo
dâĂ©glise,
mais ils nâont jamais touchĂ© cette ligne. Ils nâont jamais eu cette
assurance
bénie dans leur coeur, comme quoi ceci est la ligne qui mÚne au
bonheur, Ă la
libertĂ© et au Seigneur JĂ©sus, la ligne qui va du Calvaire jusquâĂ la
Gloire.
Puisse
toute personne Ă©trangĂšre titubant et qui est dans lâobscuritĂ© dans
cette salle
ce soir étendre sa main, Î PÚre, et chercher juste un moment. Ils
toucheront
quelque chose qui ancrera la foi dans leur coeur, qui les conduira
jusque dans
la Gloire.
67 Pendant que nous avons nos tĂȘtes inclinĂ©es, que tout le
monde soit en
priĂšre. Si je dois retourner dâici une annĂ©e, beaucoup dâentre vous ici
ne
seront plus de ce monde. Il y a deux mille personnes, je pense, ici ce
soir ;
quelquâun peut sortir discrĂštement. Etes-vous en train de tituber dans
lâobscuritĂ©? Et vous venez aux rĂ©unions, vous regardez, et vous voyez
les
signes du Seigneur Jésus ressuscité ; vous écoutez la Parole ; Il vous
parle lĂ
au fond, et vous titubez tout le long du chemin dans lâobscuritĂ©,
veuillez
lever la main vers Lui ce soir, et dites: «Seigneur Jésus,
jeâjâaimerais
toucher la ligne de sauvetage en ce moment. Je lÚve mes mains, je...»
Que Dieu
vous bénisse, frÚre. Que Dieu vous bénisse, soeur. Que Dieu vous
bénisse, oui,
vous. Câest bien, partout. Que Dieu vous bĂ©nisse, maman, avec... Que
Dieu te
bénisse, jeune homme. Que Dieu te bénisse, petit garçon. Là tout au
fond, y
a-t-il quelquâun parmi ceux qui sont debout lĂ au fond, qui aimerait
dire...
Levez la
main, pas vers moi, mais vers Dieu. Que Dieu vous bénisse, le frÚre
espagnol.
Que Dieu vous bénisse, la demoiselle. Que Dieu vous bénisse, la dame
blanche
qui est assise lĂ . LĂ au balcon, Ă ma gauche, oui, vous tous regardez
lĂ
au-dessus les mains par lĂ . Touchez simplement cela juste une minute et
dites: «Ă
Dieu, sois miséricordieux envers moi, un pécheur.»
68 Que Dieu vous bénisse, la dame espagnole par ici. Au balcon
Ă droite, levez
vos mains et dites: «Oui, je crois en Lui maintenant mĂȘme. Jâai errĂ©
dans
toutes sortes dâobscuritĂ©. En rĂ©alitĂ©, je ne le savais mĂȘme pas ; je
suis allé
Ă lâĂ©glise. Oh ! Oui, jâai fait inscrire mon nom dans le registre. Mais
en
rĂ©alitĂ©, quant Ă avoir cette espĂ©rance de maniĂšre Ă lâavoir dans ma
main juste
en ce moment, en rĂ©alitĂ© je nâai jamais eu cette assurance. Mais
maintenant, je
viens fermement sur base du Sang versé de Jésus et de Sa puissance de
résurrection. Et cet Esprit du Ressuscité parle à mon coeur, et je lÚve
mes
mains juste en ce moment, pour dire: âĂ Dieu, voici jâai levĂ© ma main
pour
saisir la ligne de sauvetage.â»
Plusieurs
dizaines de personnes ont levĂ© leurs mains. Quelquâun dâautre
aimerait-il lever
la main maintenant, quelquâun qui nâa pas levĂ© sa main il y a quelques
instants, quelque part? Que Dieu vous bénisse là -haut, frÚre. Que Dieu
vous bénisse.
Que Dieu vous bénisse là , soeur. Que Dieu vous bénisse là au fond,
frĂšre. Que
Dieu vous bĂ©nisse, soeur ; je vois votre main. Quelquâun dâautre? Que
Dieu vous
bĂ©nisse, frĂšre, lĂ au fond ; je vois votre main. Quelquâun dâautre? Que
Dieu
vous bénisse, vous, vous par ici, la petite dame qui a les deux mains
levées.
Quelquâun dâautre? Lâhomme qui est assis ici, que Dieu vous bĂ©nisse,
monsieur.
Câest une bonne façon dâobtenir la guĂ©rison, il est juste question
dâaccepter
le Seigneur comme cela. Quelquâun dâautre? Un petit garçon ici a levĂ©
les deux
mains, que Dieu te bĂ©nisse, chĂ©ri. Quelquâun dâautre? Une dame par ici,
une
dame ĂągĂ©e, qui a levĂ© les mains, oui. «Jâai perdu beaucoup dâannĂ©es,
mais je
reviens à la maison maintenant.»
69 Que Dieu vous bénisse, jeune homme. Que Dieu vous bénisse,
frĂšre, par ici.
Quelquâun dâautre? Souvenez-vous, lorsque vous levez la main, et que
vous ĂȘtes
sincĂšre dans votre coeur, Dieu est obligĂ© de faire cela Ă lâinstant.
Que Dieu
bénisse, la soeur de couleur qui est assise ici. Le frÚre par ici qui a
la main
levée, en petit pull-over brun, que Dieu vous bénisse. Que Dieu bénisse
la dame
qui est assise par ici ; câest juste, soeur.
Jésus a
dit: «Celui qui Ă©coute Mes Paroles, et qui croit Ă Celui qui Mâa
envoyé, a la
Vie Eternelle», maintenant mĂȘme. Que Dieu vous bĂ©nisse, frĂšre lĂ au
fond, qui
avez les deux mains levĂ©es et qui juste en ce moment mĂȘme ĂȘtes en train
de
recevoir Jésus. Que Dieu vous bénisse, monsieur. Que Dieu vous bénisse,
madame.
Que Dieu vous bénisse, monsieur. Que Dieu vous bénisse, monsieur. Le
jeune
homme lĂ -bas, juste dans le...
70 Quâa dit JĂ©sus? «Vous avez, maintenant mĂȘme, la Vie
Eternelle. Celui qui
Ă©coute Mes Paroles,» (jâai fait de mon mieux pour vous les apporter),
«maintenant,
et qui croit Ă Celui qui Mâa envoyĂ©, a la Vie Eternelle et ne vient
point en
jugement.»
Que Dieu
vous bénisse, soeur, là -bas à cÎté du poteau, la jeune fille espagnole.
«Il a
la Vie Eternelle, il ne mourra jamais, il ne mourra jamais...» Si vous
avez
pris la résolution de tout votre coeur. Que Dieu vous bénisse, maman,
la femme
ĂągĂ©e. Il faut que quelquâun lâaide Ă tenir sa main levĂ©e, mais vous
venez
auprÚs du Seigneur Jésus.
Vous
dites: «FrĂšre Branham, est-ce queâquâest-ce que cela veut dire?» Cela
veut dire
que vous ĂȘtes passĂ© de la mort Ă la Vie, juste lĂ . Dieu prendra soin du
reste,
pour ce qui est de vous donner le Saint-Esprit. Prenez une fois la
résolution
dans votre coeur ; laissez Christ venir dans votre coeur, alors vous
croĂźtrez
dans la grùce de Dieu. Dieu va simplement vous dévoiler la chose.
PremiĂšrement
commencez correctement. Agenouillez-vous. «La foiâcâest par la foi que
vous
ĂȘtes sauvĂ©, par le moyen de la grĂące, non pas des oeuvres, afin que
personne ne
se glorifie.» Il nây a rien que vous puissiez faire, cesser de faire
ceci ou
cesser de faire cela. Croyez simplement ; Dieu vous sauve par la grĂące.
71 Que Dieu vous bénisse, soeur, vous là au-dessus, qui avez la
main levée.
Que Dieu vous bénisse, la demoiselle, là au fond ; et vous, vous, vous,
oh ! la
la ! câest juste. Ce sont les nouveaux qui sont en train de lever la
main
partout, acceptant le Seigneur Jésus. Oh ! la la ! Je pense que nous
sommes
environ soixante ou soixante-dix maintenant. Que quelquâun dâautre qui
nâa pas
levé la main lÚve la main et dise: «à Dieu, souviens-toi de moi.»
Que Dieu
te bénisse, la petite, la petite dame là -bas, qui a levé le mouchoir.
Partout
ailleurs avant que nous commencions à prier. Que Dieu vous bénisse, je
vois cet
homme lĂ au fond, oui lĂ au fond, le frĂšre espagnol, lĂ au fond, vous
qui tenez
la main dâune autre personne levĂ©e, oui, je vous vois. Que Dieu vous
bénisse ;
Dieu vous voit. Que Dieu bénisse, la petite fille là -bas qui a levé la
main.
Câest juste une enfant, mais elle vient au Seigneur. TrĂšs bien, que
Dieu vous
bĂ©nisse par ici, soeur. Oh ! Câest merveilleux.
72 Attendons juste quelques instants, pour donner au
Saint-Esprit juste le
temps de parler aux coeurs. Peut-ĂȘtre quâIl est en train de se mouvoir
au-dessus de lâassistance, frappant Ă chaque porte. Qui vous a dit de
lever la
main? Qui vous a dit cela? Jésus a dit: «Nul ne peut venir à Moi, si
Mon PĂšre
ne lâattire. Et tout celui qui vient Ă Moi», aprĂšs que Mon PĂšre a
frappé à son
coeur, tout celui qui vient, qui lĂšve les mains pour saisir la ligne de
sauvetage:
«Je lui donnerai la Vie Eternelle, et Je le ressusciterai au dernier
jour.»
Un jour,
lorsque la vie vous quittera en glougloutant dans votre gorge,
peut-ĂȘtre dans
un accident dâautomobile, peut-ĂȘtre par une fiĂšvre, par la maladie, ou
simplement lorsque la mort viendra vous prendre, lorsque vous sentirez
les
vagues froides de douleurs vous envahir, et que vos amis seront en
train de
pleurer, vous verrez ce Rédempteur béni se tenant là , les bras étendus
pour
prendre votre Ăąme et lâintroduire dans un nouveau corps, un nouvel
homme, un
jeune homme ou une jeune fille, qui ne vieillira plus jamais, et qui
vivra dans
Sa PrĂ©sence Ă©ternellement. En effet, ce que vous aurez fait, câĂ©tait de
croire
simplement et de lever la main.
73 Que Dieu te bénisse, la plus douce petite fille aux cheveux
blonds bouclés,
qui est assise par ici, la main levée, et dont les petits yeux sont
remplis de
larmes, regardant dans cette direction. Vous direz: «Dieu nâest pas en
train de
parler Ă cette enfant.» Bien sĂ»r quâIl est en train de lui parler. Elle
nâa pas
encore rendu son coeur insensible avec les choses du monde. Elle est
innocente,
ce nâest quâune petite enfant dâenviron six, sept ans. Que Dieu te
bénisse, ma
soeur lĂ -bas, la demoiselle. Maintenant, sâil y a quelquâun dâautre,
avant que
nous terminions.
Que Dieu
vous bénisse, il y a toute une rangée de gens, apparemment, qui
sâavancent lĂ
au fond. Je suis désolé de devoir terminer, et vous levez encore la
main pour
le salut. Combien ici dans la salle en ce moment aimeraient recevoir le
Saint-Esprit? Voulez-vous levez la main? Partout dans la salle,
partout. Oh !
la la ! Regardez simplement ces mains partout. Que Dieu soit
miséricordieux.
Prions maintenant. Que tout le monde ait la tĂȘte baissĂ©e, et les yeux
fermés.
74 Jésus est ressuscité des morts. Oh ! la la ! De penser que
celle-ci est la
soirĂ©e oĂč nous allons donc nous sĂ©parer... Toutefois vous avez acceptĂ©
Christ.
Nous nous reverrons dans un endroit oĂč nous ne nous sĂ©parerons plus
jamais,
simplement parce que vous Lâavez acceptĂ© ce soir, voilĂ qui change
tout.
PĂšre
céleste, la grande série des réunions de Phoenix tire maintenant à sa
fin. Et Ă
la fin, beaucoup, beaucoup de pécheurs ont levé la main vers Toi, sur
base de
lâenseignement de la Parole selon laquelle Tu as dit: «Celui qui Ă©coute
Mes
Paroles, et qui croit Ă Celui qui Mâa envoyĂ©, a la Vie Eternelle, il ne
mourra
point ou ne viendra point en jugement», il ne sera pas condamné. Il ne
sera
plus condamné devant Dieu, mais il a accepté Jésus-Christ et les
souffrances
quâIl a endurĂ©es Ă sa place.
75 Maintenant, ĂŽ PĂšre, continue Ă les conduire humblement et
doucement alors
quâils gardent leurs mains agrippĂ©es Ă la ligne de sauvetage, marchant
vers la
Gloire. Ne veux-Tu pas les bĂ©nir en ce moment? Sauve chacun dâeux,
PĂšre. Que
dans Ton Royaume, je puisse les voir et leur serrer la main. Et si cela
est
possible, puisses-Tu nous faire revivre le service de ce soir Ă ce
moment-lĂ .
Ils diront: «Oui, câĂ©tait Ă cette rĂ©union-lĂ , câest lĂ ... Câest moi qui
avais
levé la main.»
Et Dieu
dira: «Oui, Je tâavais vu. Jâai tirĂ© ton coeur, tu as levĂ© la main ; et
Je tâai
agréé. Et maintenant tu es Mon enfant bien-aimé ; entre dans les joies
de la
Vie qui ont été préparées pour toi depuis la fondation du monde. Entre
dans la
joie.»
76 Nous Te remercions, PÚre. Ceux qui sont déjà venus à Toi et
qui veulent
ĂȘtre remplis du Saint-Esprit, et se mettre Ă part pour le service,
accorde-le-leur aussi, Seigneur. Finalement, Ă la fin de la route,
lorsque la
vie sera complÚtement terminée et que le grand souper des noces sera
offert, lĂ
à cette table longue de milliers de kilomÚtres, ceux qui ont été lavés
par le
Sang de tous les Ăąges seront assis lĂ tout autour. Le Roi fera son
entrée, Il
essuiera les larmes de leurs yeux, et dira: «Il nây a plus de
souffrance
maintenant. Il nây a plus de raison de pleurer maintenant ; nous sommes
tous
ici. Venez, vous les bénis de Mon PÚre.»
En
attendant ce temps-lĂ , PĂšre, garde-les heureux dans leurs Ăąmes,
purifie-les de
toute impureté et de toute injustice. Puissent-ils marcher chaque jour
en
naviguant vers la Gloire, amenant dâautres Ă Toi. Car nous le demandons
au Nom
de Jésus, Ton Fils bien-aimé, qui les a appelés maintenant à la Vie
Eternelle.
Amen. [Espace vide sur la bandeâN.D.E.]
77 Croyez de tout votre coeur, de toute votre force. Ătez
simplement tous les
sentiments que vous pouvez vous imaginer, ou toutes les superstitions
que vous
ressentez, jetez-les tout simplement de cÎté. Alors regardez tout droit
Ă Dieu
et dites: «Je crois cela de tout mon coeur, solennellement.» Et
observez et
voyez ce que le Saint-Esprit fera.
Maintenant,
tout le monde est-il prĂȘt? Maintenant, pour la gloire de Dieu, et pour
le
témoignage de la résurrection de Jésus-Christ, je prends tout esprit
qui est
dans la salle sous mon contrĂŽle. Maintenant, soyez respectueux ; ne
vous
dĂ©placez pas, tenez-vous tranquilles, sâil vous plaĂźt. Maintenant, en
cette
soirée de clÎture, faites-moi cette faveur, au Nom de Jésus, je vous
prie.
Soyez trĂšs respectueux, tenez-vous tranquilles. Les gens vont
mâobserver. Ils
ne voudront pas me laisser trop longtemps avec cette ligne. Et alors...
En
effet, je suis trÚs faible et trÚs fatigué.
78 Et je vous aime tous avec la chaleur de lâamour chrĂ©tien.
Que Dieu vous
bĂ©nisse. Quand lâonction vient sur moi, bien sĂ»r je ne sais pas quand
on me
retire de la chaire, ou ce qui se passe. Et jâespĂšre vous revoir, dans
peu de
temps. En attendant, je serai en train de prier pour vous. Que Dieu
vous
bénisse. TrÚs bien, madame. Maintenant, veuillez vous approcher ici
juste un
instant, soeur. Maintenant, nous sommes en principe, je suppose que
nous sommes
des inconnus lâun pour lâautre. Câest ça. Vous mâavez dĂ©jĂ vu, mais je
ne veux
pas dire que je ne vous connais pas. Je... si je vous connais, je ne
vous
reconnais pas. Je ne vous reconnais pas.
Et nous
nous sommes simplement vus lâun lâautre, câest juste comme si vous
étiez dans
lâauditoire et quâen vous retournant vous me voyiez.
Mais
quant Ă savoir qui vous ĂȘtes, oĂč vous ĂȘtes, ce qui est arrivĂ©,
câestâcâest
impossible, nâest-ce pas? A moins que ça soit rĂ©vĂ©lĂ© au moyen dâune
révélation
spirituelle, ou dâune vision, ou de lâun des moyens pour connaĂźtre les
choses.
Je nâai aucune idĂ©e du motif de votre prĂ©sence ici, pas plus que je ne
connais
le motif, eh bien, de la prĂ©sence de qui que ce soit dâautre ici. Je ne
le
connais pas ; mais Lui, Il connait le motif de votre présence ici. Et
Il peut
me révéler le motif de votre présence ici, me montrer ce pour quoi vous
ĂȘtes
ici. Je pourrais vous le dire, si câest pour la guĂ©rison de votre corps
donc,
eh bien, Dieu pourrait, Il pourrait faire cela par votre foi, quand
vous
croyez.
79 Je vois que vous servez le Seigneur en indépendant. Ainsi,
mais sâIlâsâIl
me révÚle le motif de votre présence ici... Maintenant, je suis en
train de
vous parler juste comme un homme qui parle Ă une femme, juste comme
Jésus
parlait Ă la femme Ă Samarie.
Maintenant,
Ă lâassistance, voici une femme que je ne connais pas. Il se pourrait
que vous
la connaissiez. Etes-vous dâici, de Phoenix, nâest-ce pas? Vous ĂȘtes de
Phoenix?
Les gens lĂ dans lâassistance la connaissent, nâest-ce pas? Eh bien,
moi je ne
la connais pas. Je ne lâai jamais vue de ma vie. Mais vous savez si
ceci est la
vérité ou pas. Et vous savez si je connais quelque chose à son sujet ou
pas. Je
nâen ai aucun moyen ; je ne connais pas cette femme, sans parler de
connaĂźtre
quelque chose Ă son sujet.
80 Maintenant, lâunique façon dont cela pourrait se faire... Si
cela était
fait conformément aux Ecritures, eh bien, détournez-vous de la vieille
sorte de
credo que vous avez appris et regardons à la Bible. Jésus a dit: «Vous
ferez
aussi les choses que Je fais.» Maintenant, lorsquâIl a rencontrĂ© une
femme
comme ceci, Il a commencé à lui parler. Et aussitÎt, vous savez, Il a
trouvé
exactement oĂč rĂ©sidait son problĂšme. Et dans ce cas-lĂ , elle Ă©tait une
femme
qui avait cinq maris. Il a dit: «Vaâva chercher ton mari.»
Elle a
dit: «Je nâen ai pas.»
Il a dit:
«Tu en as eu cinq.»
Elle a
dit: «Je vois que Tu es ProphÚte.» Elle a dit: «Je sais que lorsque le
Messie
viendra, ce sera là Son signe.» Voyez, le signe du Messie, de faire
cela... Les
gens aujourdâhui disent que câest de la tĂ©lĂ©pathie, que câest le
diable. Il
nâest pas Ă©tonnant que nous soyons dans lâĂ©tat dans lequel nous sommes.
Câest
le Seigneur Jésus ressuscité, le signe du Messie.
Mais
cette femme a dit: «Qui es-Tu, Toi?»
Il a dit:
«Je Le suis.»
Elle est
entrée dans la ville en courant, et elle a dit: «Venez, voir...» Un
réveil a
commencĂ© dans cette ville, simplement Ă cause du tĂ©moignage dâune seule
femme,
aprĂšs quâIl lui a ditâaprĂšs quâIl lui a dit une chose. Si ceci nâest
parfaitement pas un cas similaire, Ă part le fait de connaĂźtre ce
quâelle a
comme problĂšme, ce soir. Est-ce juste? Est-ce que tout le monde
reconnaĂźt cela?
81 Maintenant, vous... câest une femme de Phoenix, a-t-elle
dit. Et vous la
connaissez tous. Beaucoup dâentre vous ont levĂ© la main ; vous la
connaissez.
Maintenant le Seigneur peut me rĂ©vĂ©ler ce quâelle a comme problĂšme.
Mais si
elle estâsi elle est ici pour un problĂšme de mĂ©nage, un problĂšme
financier, ou
pour la guĂ©rison, parce quâelle est malade, ou quoi que ce soit, ou
sâil sâagit
de son Ăąme, quoi que cela puisse ĂȘtre, Dieu peut le rĂ©vĂ©ler. Et elle
saura si
cela est vrai ou pas. Alors sâIl connaĂźt ce qui Ă©tait, certainement
quâIl
connaĂźt ce qui sera.
Maintenant,
que tout le monde soit respectueux. Maintenant, pendant que je parle Ă
cette
femme, juste pour capter son esprit...
Eh bien,
jâattends plutĂŽt que vous vous calmiez, sâil vous plaĂźt. Ne vous
déplacez pas.
Il y a toute sorte dâesprits ici ce soir (Vous voyez?), qui se
déplacent, je
veux dire la maladie. Et maintenant voyez, surtout chez les enfants.
Les
enfants, ça attrape les enfants si facilement. Ainsi neâne... juste au
moment
oĂč jâai dit cela, lâĂ©pilepsie commence Ă tirer. Câest juste. Câest la
chose
que... AussitĂŽt que ces... Vous...
Je vous
assure, connaĂźtre les choses spirituelles, mes amis, voyez juste
comment les
paroles changent les attitudes spirituelles, et tout. Vous voyez? DĂšs
quâil mâa
entendu dire cela, alors lâĂ©pilepsie a commencĂ© Ă agir.
82 Maintenant, maintenant jâaimerais simplement vous parler
juste un instant.
Juste pour voir votre esprit humain. Maintenant, si Dieu... Etant donné
que
vous ĂȘtes... vous ĂȘtes un croyant chrĂ©tien. Et si Dieu ĂŽte, ou plutĂŽt
sâIl
intervient et me dit pourquoi vous ĂȘtes ici, alors vous croirez. Vous
savez
bien que croire vient de Dieu.
Avant
tout, vous avez des difficultĂ©s pour manger ; il sâagit dâune maladie
de
lâestomac. Vous avez une maladie de lâestomac, câest la gastrite, dans
lâestomac. En effet, cela fait remonter des choses jusquâĂ la bouche et
tout.
Câest la gastrite dans lâestomac.
Et puis,
vous avez unâun bras qui est mal-en-point. Il sâagit de votre bras
gauche. Et
il a Ă©tĂ© Ă©crasĂ© par une automobile. Câest la vĂ©ritĂ©. Vous croyez
maintenant?
Vous croyez maintenant? Approchez.
PĂšre
céleste, je Te prie de bénir maintenant. Donne-lui le désir de son
coeur. Au
Nom de Jésus-Christ, je le demande. Amen.
83 Ayez la foi, croyez de tout votre coeur. Maintenant, nous
sommes totalement
des inconnus lâun pour lâautre aussi. Maintenant, voici le tableau
parfait du
Seigneur Jésus au puits. Lui était un Juif, et cette femme était une
Samaritaine: il y avait un problĂšme racial, juste comme on en a
aujourdâhui,
moi je suis un Blanc, et vous une femme de couleur. Mais il sâagit
de... Jésus
leur a fait savoir immédiatement que cela ne changeait rien pour Dieu.
Nous
sommes tous issus dâune seule personne. Nous sommes tous les enfants de
Dieu.
Mais que
ça soit les Juifs, les Gentils, les Blancs, les hommes de couleur, les
Jaunes,
les Bruns, cela ne fait aucun problĂšme. Dieu, par un seul Sang, par Son
Fils,
Jésus-Christ, nous a tous rachetés. Et par cela, nous sommes devenus
des frĂšres
et des soeurs. Maintenant, étant donné que je vous suis étranger,
croyez-vous
que Dieu fera quelque chose pour vous, comme Il...
84 Maintenant, vous savez que je ne vous connais pas, nâest-ce
pas, madame?
Jeâje... nous ne nous connaissons pas. Mais vousâvous souffrez
dâuneâdâune
maladie des nerfs. Vous ĂȘtes nerveuse, agitĂ©e. Vous avez beaucoup de
choses
dans votre coeur, le chagrin. Vous ĂȘtes complĂštement brisĂ©e au sujet de
quelque
chose. Je vois quâil commence Ă faire sombre, et Ă faire de plus en
plus
sombre. Il semble y avoir quelquâun qui se tient lĂ au fond, mais câest
un
homme. Il titube en se penchant de cĂŽtĂ© ; il rentre Ă la maison. Câest
votre
mari ; câest un ivrogne. Et vous ĂȘtes ici pour... Aie pitiĂ©, ĂŽ Dieu.
TrĂšs bien.
Câest vrai, soeur. Approchez. PĂšre, je Te prie de lui accorder ce
quâelle
demande au Nom de Jésus-Christ. Amen. Que Dieu vous bénisse.
Bonsoir,
soeur. Je voudrais que vous soyez respectueux, partout. Sâil vous
plaĂźt, ne
vous dĂ©placez pas. Maintenant, madame, nous sommes des inconnus lâun
pour
lâautre. Nous ne nous connaissons pas, nâest-ce pas? Nous sommes de
parfaits
inconnus? Eh bien, Jésus-Christ le Fils de Dieu est mort pour...
sauver.
85 Vous avez un problĂšme au cĂŽtĂ©, nâest-ce pas, soeur, vous qui
ĂȘtes assise
là , juste là devant? Vous avez un problÚme au cÎté. Une chose vraiment
étrange
est arrivĂ©e lorsque cette dame a appris quelque chose au sujet dâun
bien-aimé
il y a quelques instants ; en effet, vous priez aussi pour un
bien-aimĂ©: câest
un papa qui nâest pas sauvĂ©. Je le vois debout, et vous priez pour lui.
Câest
vrai, nâest-ce pas? Que Dieu vous bĂ©nisse, jeune dame.
Maintenant,
lĂ vous... Ces deuxâces deux personnes qui sont assises juste lĂ au
bout, vous
souffrez de lâĂ©pilepsie. Câest juste. Toi, dĂ©mon, au Nom de
Jésus-Christ,
quitte-les, sors dâeux.
Croyez-vous
maintenant, madame, de tout votre coeur? Croyez-vous que Jésus-Christ
le Fils
de Dieu est ici pour vous guérir? Je crois que vous le croyez. Vous
ĂȘtesâvous
vous ĂȘtes rendu compte juste maintenant, que vous ĂȘtes dans la PrĂ©sence
de Quelque
Chose, nâest-ce pas, soeur? Câest Sa PrĂ©sence. Nâest-ce pas que ça vous
donne
une sensation merveilleuse de se tenir dans cette Présence?
86 Maintenant, si câest juste, afin que lâassistance voie,
levez la main.
Cette merveilleuse consolation de lâamour qui, on dirait, se dĂ©verse...
Vousâvous souffrez dâune maladie aux poumons, câest un problĂšme de
poumons. Il
semble que vous avez eu de... Une de vos cĂŽtes sâest dĂ©placĂ©e, nâest-ce
pas? Ou
quelque chose du genre, une sorte de problĂšme de cĂŽte? Câest sous
votre...
dĂ©placement des cĂŽtes, oui. Je vois quâon vous ĂŽte ou quâon vous fait
quelque
chose aux cĂŽtes.
Et vous
ĂȘtes... vous avez uneâune dĂ©viation de la colonne vertĂ©brale. Et ça
provoque
une maladie de lâestomac, parce que lâestomac est poussĂ© dâun cĂŽtĂ©, et
ils ont
dit que lâestomac est repoussĂ© dans une mauvaise position. Et puis,
vous avez
des douleurs dans le dos. Câest la vĂ©ritĂ©. Croyez-vous que JĂ©sus-Christ
est ici
pour vous guĂ©rir? Si câest donc Lui qui parle, alors ce nâest pas moi.
Venez,
permettez que je vous impose les mains. Ă Dieu, au Nom du Seigneur
JĂ©sus-Christ, guĂ©ris notre soeur et donne-lui tout ce quâelle demande.
Au Nom
de Jésus. Amen. Ayez la foi ; ne doutez pas.
87 Maintenant, soeur, vous qui ĂȘtes assise lĂ et qui avez une
maladie de foie,
vous qui ĂȘtes assise juste lĂ , vous Ă©tiez alors en train de prier. Vous
disiez:
«à Dieu, permets quâil me parle, et je croirai.» Nâest-ce pas
exactement ce que
vous avez dit? Levez la main si câest...?... Maintenant, tenez-vous
debout. La
maladie du foie vous a quittée, soeur.
Bonsoir,
monsieur. Croyez-vous? Nous ne nous connaissons pas, frĂšre.
Jésus-Christ nous
connaĂźt tous les deux. Si Dieu me dit exactement le motif de votre
présence
ici, accepterez-vous de recevoir ce pour quoi vous ĂȘtes venu ici par
JĂ©sus-Christ? Lâaccepterez-vous? Il y a une ombre de la mort qui est
suspendue
au-dessus de vous. Et cela est causé par quelque chose dans votre
estomac. Et
il sâagit dâun cancer dans lâestomac. Croyez-vous maintenant, que
Jésus-Christ
va vous guérir? Acceptez-vous cela juste en ce moment sur base de Son
Sang
versé? Alors allez manger. Au Nom de Jésus-Christ, que le démon quitte
mon
frĂšre. Amen.
88 Ayez la foi ; ne doutez pas. Jésus a dit: «Si tu peux
croire...» Câest ça,
petit ami. Amen. Cette femme indienne qui est assise lĂ au bout, elle
avait la
tĂȘte inclinĂ©e et priait tout Ă lâheure ; elle a un peigne dans les
cheveux.
LâAnge du Seigneur, cette LumiĂšre, est suspendue au-dessus de la femme.
Elle
souffre dâun rhume des foins. Câest vrai, la dame indienne.
Jésus-Christ vous
guérit.
Dites
donc, votre amie qui est assise à cÎté de vous, cette autre femme
indienne lĂ ,
elle souffre de maux de tĂȘte. Posez votre main sur elle aussi, afin
quâelle
soit aussi guérie. Levez la main là -bas, madame, et recevez votre
guérison par
JĂ©sus-Christ, le Fils de Dieu. Amen. Ăa y est: elle est guĂ©rie. Le
trait sombre
et obscur est en train de quitter, de sâen aller. Il y a quelque chose
de blanc
qui le repousse. Câest terminĂ©. Ayez la foi.
89 Est-ce la patiente? Croyez-vous, madame, de tout votre coeur
que je suis le
serviteur de Dieu? Je ne vous connais pas, je ne vous ai jamais vue.
Mais votre
vie, vous ne saurez pas la cacher maintenant, parce que jâai contactĂ©
votre
esprit par JĂ©sus-Christ. Vous ĂȘtes ici pour une chose noble. Vous ĂȘtes
une
femme stérile et vous voulez avoir des enfants. Et vous voulez que je
vous
impose les mains, afin que vous receviez un enfant. PÚre céleste, donne
Ă cette
femme le désir de son coeur. Je la bénis, en tant que Ton serviteur, au
Nom de
Ton Fils, le Seigneur Jésus. Amen.
Ayez la
foi. Ne doutez pas. Vous voulez ĂȘtre guĂ©rie de cette arthrite, vous qui
ĂȘtes
assise juste là au fond? Levez-vous ; votre foi vous a guérie, soeur.
Câest
juste, levez-vous, levez les mains et que les gens voient que vous ĂȘtes
guérie.
Absolument, vous en ĂȘtes dĂ©livrĂ©e maintenant. Amen. Votre foi vous
guérit.
Amen. Ayez foi en Dieu ; ne doutez pas.
90 Approchez, madame. Vous croyez? Je suis un inconnu pour
vous. Nous ne nous
connaissons pas, je pense, mais Jésus-Christ nous connaßt tous les
deux. Les
esprits sont en train dâimplorer du secours. Je... Juste un instant,
madame.
Nous sommes des inconnus lâun pour lâautre, nous ne nous sommes jamais
vus, si
je... si le Saint-Esprit, plutĂŽt, par moi rĂ©vĂšle ce quâest votre
maladie,
allez-vous croire? Et allez-vous croire que cela vient de Dieu?
Lâassistance
va-t-elle croire que cela vient de Dieu? Eh bien, naturellement, plus
je vous
parle, plus des choses pourraient ĂȘtre dites, mais vous ĂȘtes tellement
bouleversée.
Je vois quelque chose autour de votre bras. Vous souffrez de la
tension. Et
aussi vous avez un esprit qui vous Ă©touffe. Câest un goitre dans votre
gorge,
qui vous Ă©touffe, câest un goitre interne. Câest la vĂ©ritĂ©. Vous nâĂȘtes
pas de
cette contrĂ©e. Vous venez dâune contrĂ©e lointaine de lâest. Vous venez
de Grand
View, dans le Tennessee. Câest juste. Est-ce que cela vous choque? Vous
vous
appelez Mlle Lily Edwards, aussi. Câest vrai. Maintenant, rentrez chez
vous et
soyez guérie au Nom du Seigneur Jésus-Christ. Ayez la foi.
91 Bonsoir. La premiĂšre chose que je vais vous dire, mon ami,
concerne
votreâvotre vie avec Dieu. Vous nâĂȘtes pasâvous nâĂȘtes pas satisfait
vous-mĂȘme
de votre marche. Vous voulez une marche un peu plus rapprochée avec le
Seigneur. Câest vrai. Je vous vois le Lui demander en priĂšre. Et puis,
je vois
que vous avez une grosseur. Et cette grosseur est en train de se
développer. Et
elle se trouve dans lâestomac. Nâest-ce pas vrai?
Vous
voulez une marche plus rapprochĂ©e avec Dieu? Vous voulez ĂȘtre guĂ©ri?
Alors
croyez que ce qui vous parle, ce nâest pas votre frĂšre, le Seigneur
JĂ©sus-Christ vous lâaccordera. Allez-vous le faire? Alors au Nom de
Jésus-Christ le Fils de Dieu, recevez ce que vous demandez. Amen.
92 Vous ĂȘtes prĂšs du Royaume, soeur. Madame... Cette femme,
est-ce elle la
patiente? Nous sommes des inconnus lâun pour lâautre, je pense. Je ne
vous
connais pas, mais Dieu vous connaĂźt.
Vous
ĂȘtes une croyante. Vous ne vous tenez pas ici pour vous-mĂȘme. Vous vous
tenez
ici pour un ami. Et vous venez de recevoir une sorte de message venant
de cet
ami. On va lâopĂ©rer le matin pour un cas de cancer. Et câest prĂšs dâun
grand
lac ou de quelque chose comme ça, câest prĂšs de Chicago, dans
lâIllinois. Câest
juste. à Dieu, au Nom du Seigneur Jésus, accorde la guérison de tout ce
quâelle
demande, au Nom de Jésus.
Le
Seigneur JĂ©sus peut guĂ©rir la maladie du coeur tout autant quâIl peut
guérir
nâimporte quelle maladie. Croyez-vous cela? Croyez-vous que vous allez
obtenir
cela maintenant? Au Nom de Jésus, allez et recevez cela. Amen.
93 Approchez, madame. Croyez-vous de tout votre coeur? Je dois
vraiment me
dĂ©pĂȘcher un peu. Juste, pour que je ne reste pas longtemps debout ici.
Regardez
encore dans cette direction juste une minute. Croyez-vous?
Aimeriez-vous aller
prendre votre souper? Cette maladie de lâestomac qui vous a dĂ©rangĂ©e,
qui vous
a complÚtement bouleversée, qui vous donne des crampes, qui vous fait
mal,
câest ce qui vous cause aussi une double... des problĂšmes
gynécologiques.
Poursuivez votre chemin, Jésus-Christ vous guérit.
Croyez-vous?
Croyez-vous que Dieu vous guérira de cette anémie? Croyez-vous que vous
pouvez
rentrer chez vous, et ĂȘtre guĂ©rie de cette anĂ©mie? Que Dieu vous
bénisse.
Partez, et recevez ce que vous demandez, au Nom de Jésus.
Ăa va,
approchez, madame. Je vous vois lever cela pendant que vous vous
approchez...?... Non, ce nâest pas ça, vous nâavez pas une hanche
brisée ;
câest lâarthrite qui vous dĂ©range. Croyez-vous que votre... que
Jésus-Christ va
vous guérir? Allez, et soyez guérie au Nom de Jésus.
94 Voulez-vous approcher, madame? Croyez-vous? Voulez-vous ĂȘtre
rétablie de ce
mal de dos, de cette maladie des reins? Croyez-vous que Jésus-Christ
vous
guérit? Alors partez, Jésus-Christ vous guérit et vous rétablit
totalement.
Amen.
Votre
arthrite a été guérie pendant que vous étiez assis juste là -bas,
monsieur, ce
soir. Vous ĂȘtes dĂ©jĂ passĂ© par...?... TrĂšs bien, vous Ă©tiez assis lĂ
dans
lâassistance en train de me regarder ce soir, juste lĂ -bas. Il y a une
grande
fraĂźcheur qui a parcouru votre estomac ; câest Ă ce moment-lĂ que
lâulcĂšre vous
a quittĂ©e. Vous ĂȘtes guĂ©rie.
Bonsoir.
Votre maladie du coeur est terminée, frÚre. Partez, en vous réjouissant
et en
louant Dieu. Croyez de tout votre coeur.
Les yeux
et lâestomac, mais JĂ©sus-Christ vous guĂ©rit. Ayez la foi.
Juste
une minute. Ne craignez pas ; votre maladie des reins et tout vous ont
quittée,
madame. Partez, en croyant.
La
maladie de lâestomac, nâimporte quoi, Dieu peut guĂ©rir tout cela,
nâest-ce pas?
Il peut vous guérir, Il peut vous guérir parfaitement. Au Nom du
Seigneur
JĂ©sus-Christ, jâoffre cette priĂšre pour mon frĂšre. Amen. Tant de...
Ecoutez,
câest vraiment partout. Ecoutez, câest partout.
95 Vous avez une maladie du coeur, madame. Tout celui qui a une
maladie du
coeur, tenez-vous debout juste un instant. Voyez ce que je vous ai dit?
Comment
va-t-on discerner? Cela vient de partout. Tenez-vous ici juste une
minute.
Croyez de tout votre coeur maintenant. Tenez-vous ici ; restez debout
une
minute.
Ecoutez,
madame. Vous avez la tuberculose. Tout celui qui a la tuberculose,
tenez-vous
debout juste une minute. Dâun bond tenez-vous debout sans tarder...?...
Soyezâsoyez loyal ; croyez de tout votre coeur. Les poumons, les
poumons, ça
continue. Ăa va, monsieur. Tenez-vous debout de toute façon. Vous
nâavez pas la
tuberculose, vous ; mais vous avez la pneumonie dans vos poumons. Câest
juste,
vous qui vous tenez juste lĂ . Câest juste, vous. Tenez-vous tranquille.
Cet
homme qui est étendu juste ici a la pneumonie dans ses poumons, celui
qui est
sur ce brancard. Levez-vous, monsieur, Jésus-Christ vous gué...?.. Vous
autres,
tenez-vous debout une minute. Levez-vous. Ă Dieu, au Nom de
Jésus-Christ le
Fils de Dieu, je Tâapporte ces malades et ces affligĂ©s. Je rĂ©primande
chaque
démon qui a lié les gens, la tuberculose, tout, tous ces infirmes, ces
malades,
ces affligés, Î Dieu, au Nom de Jésus, Îte cela. Croyez cela. Sors
de...?...
Tenez-vous debout partout, et soyez guéris.
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