Abraham

Date: 55-0608 | La durée est de: 1 heure et 35 minutes | La traduction: Shp
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1          Merci, frère. Bonsoir, les amis. Je suis très heureux d’être ici ce soir. On vient de me présenter un certain cadeau. Je pense que c’est un phonographe. Eh bien, je vais–je l’utiliserai un peu plus tard. M’entendez-vous très bien à l’estrade, en haut, au balcon? OK? Non, je pense peut-être qu’il me faudra rapprocher cette chose de moi. (Merci, frère.) Maintenant, est-ce mieux comme ça? M’entendez-vous maintenant là-haut, et sur le côté? Très bien. C’est bien. Ça va, monsieur. Ainsi, nous allons faire reculer celui-ci.

            Eh bien, nous sommes heureux d’être ici ce soir et de vous saluer encore au Nom de notre Merveilleux Seigneur Jésus-Christ, le Fils de Dieu. Et ce soir, je suis heureux de ce que Sa grâce–s’étende même jusqu’à moi. Et par Sa grâce, un jour, je suis venu à Lui et Il m’a sauvé d’une vie de péché. Et Il m’a donné l’opportunité de prêcher l’Evangile au–à Son peuple partout, en appelant les gens à quitter une vie de péché pour une vie de salut. Et en plus de cela, Il m’a donné le grand privilège de prier pour Ses chers et bien-aimés enfants malades. Je suis heureux pour cette occasion d’être ici ce soir à fin de faire cela pour vous.

2          Et je regrette tellement... Billy... Ils sont venus me prendre il y a quelques instants, et notre manager n’est pas encore là. Ainsi, peut-être me faudra-t-il absolument louer le service de quelqu’un. Et en ce moment-ci, notre frère, le docteur, le frère Thoms ici présent, venu de l’Afrique du Sud, va... Demain soir, si frère Moore n’est pas là, voudriez-vous bien nous apporter le message avant qu’on entre? Ce sera très bien. C’est bien.

            Et cela rend la réunion un peu difficile pour moi que d’essayer de me tenir ici pour–pour vous prêcher, et puis continuer avec l’autre service aussi. Je n’y suis pas habitué, et cela me fait basculer dans la ligne de prière pour les malades et ainsi de suite ; en effet, c’est une–c’est une double onction ; c’est quelque chose de différent.

            Et frère Thoms est un très puissant orateur. Je le connais depuis longtemps, et–depuis que nous étions en Afrique. Et si je comprends bien, sa femme est ici. Je ne sais pas si j’ai déjà rencontré la soeur ou pas. J’espère que j’y arriverai. Et soeur Thoms, madame Branham cherche à ce que vous passiez, aussitôt après que le service sera terminé, et que vous veniez tous par là. Et j’aimerais voir ce petit garçon à qui on a donné mon nom, le petit William. Ainsi, nous pouvons probablement, peut-être vous voir avant notre départ pour Zurich. Nous n’avons qu’un seul jour pour quitter ici afin de nous rendre à Zurich, à New York pour nous rendre à Zurich.

3          Bon, demain, n’est-ce pas que... Vous savez, c’est... La moitié de la série de réunions est déjà passée, veuillez y penser. Je crois que jusque là celle-ci a été l’une des plus courtes des longues réunions que j’ai tenues. Il me semble avoir commencé il y a à peine deux jours. Vous êtes vraiment des gens merveilleux, vous venez la nuit, vous vous asseyez en plein air et vous écoutez. Et–et le manager n’est pas ici pour vous prêcher, supportez donc que je bave et que je n’arrête pas...

            Vous savez, je mange beaucoup de nouveaux raisins de Canaan, et cela vous fait beaucoup baver, vous savez. Mais...?... J’essaie donc de prendre sa place, ainsi de suite, et ensuite, je tiens les lignes de prière, cela rend certainement la chose un peu difficile. Ainsi, priez pour nous, et ce soir j’essaierai juste de parler pendant quelques instants afin d’entrer dans l’esprit de la réunion, juste pour avoir la touche de l’Esprit et ce sur quoi tout cela est basé, et ensuite je vais–je vais... Nous formerons ensuite une ligne de prière, et nous commencerons à prier pour les malades.

4          Et je me demande vraiment, pendant que nous parlons comme ceci, ne pensez-vous pas qu’un soir nous devrions simplement venir et–et... Généralement, lorsque–on viendra une soirée, pas pour le discernement, on alignera simplement tous ceux qui ont des cartes de prière et on priera pour eux. Je pense que cela pourrait donner à chacun la possibilité d’entrer dans la ligne de prière, ceux qui veulent avoir... les cartes, ceux qui les détiennent. Et nous sommes obligés de prendre à chaque fois quelques cartes dans ce genre de ligne. Et alors, cela donnera à chacun l’occasion de venir et–et d’entrer–d’entrer dans la ligne de prière. Et bientôt, nous nous attendons à ce que quelque chose arrive, alors je pourrai donc être en mesure d’aller directement prier pour les gens.

            Si seulement vous saviez, mon cher et précieux ami, ce que ça représente que de passer par les choses qu’on a dans une vision ! Je suis moi-même à la base de cela, ce n’est pas–pas... Je n’opère pas cela de moi-même, mais cela vient. Simplement je... Et les gens dépendent de cela, et j’ai continué ; et maintenant je ne suis même plus en mesure de tenir une réunion sans cela. Et si seulement vous saviez ce par quoi on passe. Imaginez simplement que vous entrez dans un autre monde, vous retournez trente, quarante ans en arrière dans la vie de quelqu’un, pendant que vous regardez quelqu’un... Et vous savez que votre voix arrive ici à Macon, en Géorgie, et pourtant vous êtes loin, ailleurs, peut-être dans un autre pays.

5          Vous savez, Daniel a eu une vision, et il eut l’esprit troublé pendant plusieurs jours ; pensez-y tout simplement : une seule vision. Vous voyez? Et vous–vous ne vous rendez pas compte de ce que c’est. Et il n’y a pas moyen d’expliquer cela ; il vous faut simplement le croire ; c’est tout.

            Quelqu’un m’a posé la question, disant : «Comment se fait-il que vous deveniez faible lorsque vous quittez l’estrade?»

            Ce n’est pas pendant que je me tiens ici que je me sens faible ; ce n’est pas après que je suis sorti de cela que je me sens faible ; c’est dans l’intervalle de ces deux moments. Et c’est–c’est juste au moment où vous sortez de cela. Bien sûr, c’est difficile d’expliquer cela, mais si vous lisez la Bible, vous verrez que c’est vrai ; c’est–c’est absolument vrai.

6          Ainsi, maintenant, ce soir, en venant, je me suis dit que si peut-être frère Moore... Billy a dit qu’il n’est pas là. Ainsi, j’ai un petit passage des Ecritures ici que je pourrais lire, si Dieu le veut. Et je vais vous parler seulement pendant quelques instants pour faire en sorte que la foule soit établie sur les doctrines de la Bible.

            Vous voyez, après tout, quoi que je dise, je ne suis qu’un homme. Et maintenant, tout ce que Dieu dit, c’est Dieu. Ma parole va... Ma parole peut faillir parce que je ne suis qu’un homme, mais ce que Lui dit c’est la vérité, et cela ne faillira pas. Et maintenant, par exemple, les visions, qu’est-ce que c’est? Oui, oui, c’est la Parole du Seigneur, mais cela est secondaire. Si c’est contraire à ceci, là, à la Parole, alors c’est faux. Vous voyez? Il faut que ce soit...

            Eh bien, voici la Parole de Dieu pour le monde entier. La fondation, le plan du Salut, tout se trouve dans la Parole. Mais, par exemple, pour quelqu’un qui a fait quelque chose, ou qui a peut-être manqué de faire quelque chose, ou qui aurait dû faire quelque chose, eh bien, une vision ou une Parole venant de Dieu est absolument la Parole de Dieu qui lui est adressée, mais cela doit concorder avec cette Bible. Si ce n’est pas le cas, cela n’est pas de Dieu.

7          Ainsi, j’en suis très reconnaissant. Et dans ces... Depuis que j’étais un petit garçon, je me souviens que j’avais des visions, depuis que j’étais un tout petit garçon.

            La première chose dont je peux me souvenir, c’était une vision : alors que j’étais né dans l’Etat du Kentucky, et il m’a été dit que je vivrais dans l’Indiana près d’une ville appelée New Albany. J’ai habité trois ans–à trois miles [4,8 km] de là toute ma vie. Et je n’avais que dix-huit mois lorsque cette vision m’était apparue. Et au moment même où je suis né, cet Ange que vous voyez sur cette photo s’est tenu au-dessus du petit lit d’enfant, où je suis né.

8          Et ma famille, bien sûr, autrefois, au début, c’étaient des catholiques. Nous... Ils ont émigré de l’Irlande pour venir ici. Et puis... toutefois mon père et ma mère ne fréquentaient pas d’église du tout. Et ils ont été élevés dans les montagnes ; mon père était un bucheron. Et lorsque cette Lumière est entrée ce matin-là à six heures, le cinq avril ou plutôt le six avril mil neuf cent neuf, cette Lumière s’est tenue là au-dessus de ce petit lit d’enfant, un petit lit gigogne... Je ne sais pas si vous tous vous connaissez ce que c’est qu’un lit gigogne, un matelas de paille, un oreiller de paille. Combien ont déjà vu un oreiller de paille ou un matelas de paille? Eh bien, si vous voulez bien regarder. Eh bien, je ne suis pas le seul garçon de campagne ici, n’est-ce pas? Nous sommes nombreux. Eh bien, oh ! La la ! C’est très bien. Je me sens comme si je pourrais venir sans cravate maintenant. C’est vraiment–c’est vraiment bien.

            Eh bien, c’est... Ma mère a failli mourir de peur. Mon père... Ma mère avait quinze ans ; mon père en avait dix-huit, c’était juste des gosses.

            Et ainsi, depuis lors cela vient, ce n’est pas du tout–pas du tout quelque chose que j’avais, ce n’est pas du tout quelque chose que j’ai mérité, c’est... Eh bien, ce n’est qu’un petit don que Dieu m’a donné, qu’il m’a donné souverainement. L’unique façon dont ces dons sont donnés, c’est par la grâce souveraine de Dieu.

9          Et maintenant, tournons-nous vers Sa Parole et lisons-La pendant quelques instants. Soyez respectueux, et nous sommes sûrs que Dieu ajoutera Ses bénédictions à Sa Parole.

            Maintenant, dans l’Ancien Testament... j’aime lire l’Ancien Testament parce que c’est le type du Nouveau, une ombre des choses à venir.

            Et maintenant, si je prêche un peu longtemps, veuillez me pincer à la jambe ou faire quelque chose du genre, par ici, mon frère, et faites-moi savoir que j’ai prêché trop longtemps ; parce que j’aimerais essayer de prier pour tous ceux que je pourrais avant de quitter la Géorgie. C’est la première fois que je me trouve dans votre Etat, et c’est certain, je suis tombé amoureux de vous, à la première soirée où vous vous êtes retrouvés ici.

            Vous êtes vraiment... Je me sens vraiment le bienvenu. Je ne le dis pas parce que vous êtes ici. Et si je disais cela juste parce que je suis devant vous, je serais un hypocrite. Et je–et je ne–je ne suis pas obligé de le dire. Je le dis parce que c’est ce que je pense du fond de mon coeur. Vous êtes très gentils.

10        Et maintenant, dans Genèse 22.7 nous lisons une portion des Ecritures, et puis, on lira le 14e verset aussi ; le 6e, le 8e et le 14e verset, ça ira.

Alors Isaac, parlant à Abraham, son père, dit : Mon père! Et il répondit : Me voici, mon fils ! Isaac reprit : Voici le feu et le bois; mais où est l’agneau pour l’holocauste?

Abraham répondit : Mon fils, Dieu se pourvoira lui-même de l’agneau pour l’holocauste. Et ils marchèrent tous deux ensemble.

            Maintenant au 14e verset nous lisons :

Abraham donna à ce lieu le nom de Jehova Jiré. C’est pourquoi l’on dit aujourd’hui : A la montagne de l’Eternel il sera pourvu.

            Maintenant, inclinons la tête un instant pendant que nous parlons à l’Auteur de cette Parole.

            Notre Père céleste, nous venons pour nous approcher de Toi au Nom tout suffisant du Seigneur Jésus, sachant premièrement ceci, qu’il a promis de nous écouter et de nous prêter l’oreille, lorsque nous demanderions quelque chose en Son Nom.

            Or, Tu as dit que là où deux ou trois seront assemblés en Ton Nom (le Nom du Seigneur Jésus), Tu serais au milieu de nous. Ainsi, nous savons sans le moindre doute que Tu es ici ce soir. Et maintenant, nous Te prions de nous accorder quelques Paroles, Seigneur, et de nous encourager ce soir, Seigneur, avec Ta Parole.

11        Et nous prions, maintenant, ne sachant pas pourquoi frère Moore ne s’est pas présenté pendant toutes ces soirées, je Te prie, Père, de l’aider et de le bénir, où qu’il soit.

            Et je demande que Tes bénédictions reposent sur tous ceux qui ne sont pas sauvés ce soir. Que quelque chose soit dit ou fait ici ce soir qui amènera ceux qui ne sont pas sauvés à Te croire et à Te recevoir, qui amènera les rétrogrades à revenir, ceux qui sont hors de Christ à être baptisés et à entrer dans le corps de croyants. Et que toute personne malade qui est ici ce soir, Seigneur, que toute personne rongée par le cancer, par la tuberculose, quelle que soit la maladie, soit parfaitement guérie ce soir ; et qu’il ne reste aucune personne faible parmi nous. Que toute personne infirme sorte sans béquilles ni support. Que ceux qui sont sur les petits lits se lèvent et marchent.

            Et que le Seigneur Jésus étende Ses bras puissants et saisisse chaque coeur de telle façon que les gens sauront qu’il est ici, et qu’il leur accorde ces bénédictions. Et lorsque nous quitterons ce soir, puissions-nous dire comme ceux qui revenaient d’Emmaüs : «Nos coeurs ne brulaient-ils pas au-dedans de nous à cause de Sa Présence?» Car nous le demandons en Son Nom. Amen.

12        Maintenant, au cours de la prédication, en rapport avec ce que nous avons lu, en présentant les Ecritures ce soir, nous allons parler sur Abraham. Et dans le Livre de la Genèse, Dieu a donné ou est apparu à Abraham sous cinq, ou plutôt sept Noms composés liés à la Rédemption. L’un de ces Noms était Jéhovah-Jiré, celui sur lequel porte notre étude de ce soir. Il était donc Jéhovah-Jiré : «L’Eternel pourvoira à un sacrifice», Jéhovah-Rapha–«l’Eternel qui guérit» et le Bouclier, la Cuirasse, et ainsi de suite, tout au long, le Nom composé lié à la Rédemption.

13        Ce soir-là, dans cette discussion à Houston, au Texas, lorsque la photo de cet Ange a été prise... Beaucoup d’entre vous ont entendu parler de cette histoire peut-être, comment cela est arrivé. Nous tenions une belle réunion à Houston, et on était parrainé là par beaucoup d’églises. Et un certain prédicateur a dit, il a écrit un article dans un journal et a dit–il a dit que j’étais un imposteur religieux, et que je m’imposais comme serviteur de Dieu, et qu’on devait me chasser de la ville. Et il voulait s’en charger. Ainsi, il m’a défié à tenir un débat sur les Ecritures. Il a dit que je ne pouvais pas soutenir la guérison divine avec les Ecritures.

            Eh bien, monsieur Bosworth était le manager de cette série de réunions. Et voilà qu’il entre dans la pièce, vous savez, très excité et il a dit : «Regardez ça, Frère Branham. Regardez ça.» Il a dit...

            J’ai pris–je l’ai pris par la main et j’ai dit : «Eh bien, écoutez, Frère Bosworth, malgré toutes les discussions que vous pourriez avoir avec cet homme, il s’en ira avec la même croyance qu’il avait en entrant.»

            Vous n’obtenez rien en vous disputant. Jésus n’était pas venu pour se disputer ; Il ne faisait que ce que le Père Lui disait de faire. Si les gens croyaient, c’était très bien ; s’ils ne croyaient pas, ça ne faisait aucun problème, de toute façon. Ainsi, après tout, si Dieu confirme la Parole... Jésus a dit : «Si vous ne pouvez pas Me croire, eh bien, croyez les oeuvres que Je fais, elles témoignent que c’est le Père qui M’a envoyé.»

14        Et il a dit... Mais frère Bosworth a dit : «Mais, Frère Branham, a-t-il dit, je vais vous dire quoi, a-t-il dit, je–je–je pense que vous devriez relever ce défi.»

            Et j’ai dit : «Oh ! Non, Frère Bosworth, laissez simplement tomber.» j’ai dit : «Ecoutez. Nous allons avoir environ huit mille personnes maintenant, et environ sept mille d’entre eux veulent qu’on prie pour elles, et on va consacrer une des soirées pour discuter avec ce prédicateur? Et l’unique chose à faire, c’est de vous en aller...» j’ai dit : «s’il est né un incrédule, Dieu a fait de lui un incrédule, et comment va-t-il devenir autre chose qu’un incrédule.»

            J’ai dit : «Dieu a prédestiné un homme... Cette condamnation de certains hommes a été écrite longtemps à l’avance.» j’ai dit : «c’est ce que dit la Bible.»

            Et quand les gens ne peuvent pas croire, c’est tout simplement comme déverser de l’eau sur le dos d’un canard ; ils ne peuvent pas croire, ils n’ont rien pour croire.

            Et j’ai dit : «Et puis, vous n’avez jamais entendu un homme qui est né de nouveau de l’Esprit de Dieu faire une telle remarque.» j’ai dit : «Parce qu’il a Dieu en lui ; il croit toutes choses. Ce que Dieu a écrit, il le croit tout simplement.» Mais j’ai dit : «Or, cet homme ne croit pas, laissez-le donc tranquille.»

15        Et il a dit... Le lendemain, il a publié cela dans le journal, il a dit : «Cela montre ce dont ils sont faits, puisqu’ils ont peur de prêcher la guérison divine à la lumière de la Parole de Dieu.» c’en était trop pour frère Bosworth.

            Il a dit : «Frère Branham, si vous ne voulez pas le faire, laissez-moi le faire.» A quatre-vingts ans !

            Et je me suis dit... Oh ! La la ! Je l’ai regardé, et j’ai pensé à Caleb, vous savez, qui disait : «Laissez-moi m’emparer de cette ville.» Vous voyez?

            Et j‘ai dit : «Frère Bosworth, cet homme sort tout juste du cimetière, ou plutôt du séminaire.» (Excusez-moi–c’est presque la même chose.) Ainsi j’ai dit : «Frère Bosworth, ai-je dit, Frère Bosworth, cela–cela... Vous avez près de quatre-vingts ans, et cet homme n’a qu’environ trente-cinq ans.»

            Il a dit : «Cela n’a rien à voir avec la Parole de Dieu.» Il a dit : «Voulez-vous me laisser le faire?»

            Et j’ai dit : «Non, Frère Bosworth. Non. Ne discutez pas avec lui. Laissez-le tout simplement claironner ou corner, et que sais-je encore.»

            Il a dit : «Eh bien, Frère Branham, a-t-il dit, vous savez, à cause du public j’ai envie de–de lui montrer qu’il est dans l’erreur.» Il a dit : «Si vous me le permettez, je vous promets que je ne vais pas du tout me disputer.»

            Alors, j’ai dit : «Eh bien, ça va. Allez-y.»

16        Il a descendu les marches pour aller voir le reporter, vous savez, et ainsi il lui a dit... Et puis, le jour suivant, en gros titres il était mentionné : «Ça va barder chez les ecclésiastiques.» Vous pouvez–vous pouvez vous imaginer comment les journaux publient cela, vous savez. Ainsi, il était assis là. Et cela montre... Ce soir-là, j’ai vu quelque chose qui me fait croire qu’un jour tous les chrétiens nés de nouveau seront un.

            Peu m’importe s’ils se disputent là-bas, comme ils le font partout ailleurs. L’un est trinitaire, l’autre est unitaire, l’autre est un unitaire, un binitaire, un quinquetaire et tous ces hauts et ces bas, la confusion, leurs baptêmes et ainsi de suite, toutes ces choses...

            Mais ce soir-là, lorsqu’ils sont venus, vingt ou trente mille personnes étaient entassées dans cet amphithéâtre. Ils ne se souciaient pas de savoir s’ils étaient unitaires ou trinitaires, ou s’ils buvaient à une même fontaine, à deux fontaines, ou s’ils montaient un chameau à une bosse, à deux, à trois ou quatre ou cinq bosses ; une seule chose était en jeu, et c’était la guérison divine. Tous y croyaient. Et les voici venir par train, par avion et tout, et ils ont rempli le grand Stade Sam Houston qui était plein à craquer. Ainsi, moi, je n’avais pas l’intention de m’y rendre, parce que je n’aime vraiment pas entendre les gens se disputer autour de la Parole de Dieu.

17        Ainsi, ce soir-là, Quelque Chose ne cessait de me dire de m’y rendre. Ainsi, deux policiers sont venus me prendre, et je suis allé. Je suis monté tout en haut au balcon, à la loge trente. Ainsi, lorsqu’ils ont donc commencé, eh bien, ils se sont présentés là, ainsi après, il... Il voulait que monsieur Bosworth y aille le premier.

            Ainsi, monsieur Bosworth a dit : «Eh bien, j’ai écrit ici six cents questions, six cents passages des Ecritures qui prouvent que l’attitude actuelle de Christ envers les malades demeure la même qu’aux jours où Il était ici sur terre. Et Dieu n’a jamais changé Son attitude vis-à-vis des malades. Et si monsieur Best ici présent peut prendre une seule de ces Ecritures et contredire cela avec la Bible, il n’y aura pas de débat. Je vais tout simplement m’asseoir.»

            Alors monsieur Best est intervenu, disant : «Je m’en occuperai lorsque je monterai là.»

            Il a dit : «Je voudrais vous poser une question. Si vous répondez par «oui» ou par «non», je vais m’asseoir et abandonner la partie.» Il a dit : «Les Noms rédempteurs de Jéhovah s’appliquaient-ils à Jésus, oui ou non?» Cela a réglé la question ; c’était tout.

18        Si ce n’était pas le cas, alors Il n’était pas un Sauveur, Il n’était pas Jéhovah-Jiré. Et s’Il l’était, Il est Jéhovah-Rapha, le même hier, aujourd’hui et éternellement. Ainsi, l’homme ne savait qu’y répondre. Ainsi, lorsqu’il s’est levé, il a prêché un très bon sermon campbellite (c’est ça.), il n’a fait que parler de la résurrection, lorsque ce corps mortel revêtira l’immortalité, disant que c’est dans le Millénium qu’il y aura la guérison divine ; lorsque nous serons immortels. Je ne comprends pas cela. Ainsi il a donc dit que c’était un sermon baptiste. J’ai été bercé dans un berceau baptiste, je sais ce que les baptistes croient.

            Mais cela n’avait aucun–n’avait aucun rapport avec la doctrine baptiste. Et puis, après, il a poursuivi en disant : «Amenez-moi ce guérisseur divin. Laissez-moi le voir guérir quelqu’un. Laissez-moi donc le voir... Il a réussi à emballer les gens psychologiquement, et ainsi de suite, laissez-moi voir ces gens d’ici une année et je vous dirai s’ils sont guéris ou pas. Amenez ce guérisseur divin.»

            Monsieur Bosworth a dit : «n’avez-vous pas honte de dire cela?»

            Il savait donc que j’étais là-haut. Il a donc dit : «Eh bien, si le débat est clos, a-t-il dit, ça va.» Il a dit : «Maintenant, je prie frère Branham de bien vouloir descendre pour congédier l’assistance, a-t-il dit, je sais qu’il est ici, mais il n’est pas obligé de le faire.»

19        Mon frère se tenait donc près de moi, et il a dit–il a dit : «Eh bien, tiens-toi tranquille.»

            J’ai dit : «Eh bien, ne suis-je pas tranquille?»

            Et ma femme se tenait donc là, vous savez. Et il a dit : «Eh bien, tu ne vas pas descendre là.»

            J’ai dit : «Je n’ai rien dit à ce sujet.»

            Ainsi, j’étais assis tout en haut. Et il a donc dit : «Eh bien, s’il veut venir...» Et à ce moment-là, j’ai entendu Quelque Chose faire... [Frère Branham siffle.–N.D.E.] Ce cercle de Lumière est descendu. Peu m’importe qui dit quoi que ce soit à ce moment-là, cela règle la question.

            J’ai dit... Je me suis levé.

            Et Howard a dit : «Assieds-toi.»

            Ma femme a dit : «Regarde là, Howard.» Alors mon frère s’est assis.

20        Environ cinq cents huissiers ont joint leurs mains et ont formé une ligne, qui allait jusqu’à l’estrade. J’ai dit : «j’aimerais échanger une poignée de main avec monsieur Best.»

            J’ai dit : «Je ne connais rien de mal à son sujet.»

            J’ai dit : «Nous avons des jeunes gens là en Corée, qui se battent pour que nous puissions avoir la liberté de religion, la liberté...» j’ai dit : «Je ne crois pas ce que lui croit.» Mais j’ai dit : «Je ne suis pas d’accord avec lui sur la théologie, mais après tout, ceci c’est l’Amérique. Il a le droit de croire ce qu’il veut.» j’ai dit : «Que personne d’entre vous ne pense du mal de lui, parce que sa mère l’aime tout comme la mienne m’aime.» j’ai dit : «Eh bien, cela m’a cependant rappelé, lorsqu’il ne cessait de dire : ‘Amenez ce guérisseur’, que c’est le même esprit qui a dit : ‘Descends de la croix, et nous croirons en Toi.’»

            Christ voyait des visions, et un jour on Lui a mis un bandeau autour de la tête, et on L’a frappé à la tête, et on Lui a demandé : «Eh bien, si Tu es un prophète, dis-nous qui T’a frappé, et nous croirons en Toi.» j’ai dit : «c’est le même esprit, mais, ai-je dit, je regrette que nos frères soient oints du même esprit.» j’ai dit cependant : «Eh bien, quant à guérir quelqu’un, ai-je dit, je ne prétends pas guérir quelqu’un.»

21        J’ai dit : «Si le fait de prêcher la guérison divine fait de moi un guérisseur divin, alors le fait de prêcher le salut fait de vous un sauveur divin.» Ainsi, j’ai dit : «Je ne fais que prêcher cela par la Parole ; c’est tout.»

            Et j’ai dit : «Eh bien, en ce qui concerne les visions, c’est Dieu qui défend Ses dons.» j’ai dit : «Cela est–cela est mis en doute.» Et juste à ce moment-là, quand il a dit cela, l’Ange du Seigneur est venu et s’est tenu au-dessus, Il est allé derrière en tourbillonnant et a décrit un très grand cercle en tourbillonnant, Le voici descendre dans la salle comme ça, Il est descendu. Les gens se sont mis à crier. J’ai dit : «Il parle maintenant.» j’ai dit : «Si je dis la vérité, Dieu est obligé de me défendre. Et si je ne dis pas la vérité, Dieu n’aura rien à faire avec un mensonge ; vous le savez.»

            Et juste à ce moment-là, Le voilà venir. Et ils ont pris une photo de Lui là, et on a amené cela au–au studio Douglas ; on a pris une photo de Lui, on l’a amenée... c’était un garçon catholique qui avait pris cette photo, et un Juif. Ainsi ils sont allés au studio pour examiner cela. Et il a dit : «Je ne crois pas que cela va paraître. Je crois que c’est simplement... Nous aussi, c’est ce que nous avons cru, parce que tout le monde montrait cela du doigt, et ainsi de suite.»

22        Mais lorsqu’il l’a plongée dans l’acide, et qu’il l’en a fait sortir, et... Il avait été là pour photographier monsieur Bosworth. Et lorsque monsieur Best était en débat avec lui, il le tenait comme ceci et il avait mis son doigt sous le nez de frère Bosworth, et il a dit : «Prenez la photo de ceci.» Il a dit : «j’aimerais qu’on suspende cela dans mon... j’aimerais prendre ce vieil homme et lui arracher la peau, et prendre sa peau et la coller à la porte de mon bureau pour que ça serve de mémorial pour la guérison divine.» Pouvez-vous imaginer un frère parler d’un autre de cette manière-là?

            Alors il a dit... Et ce soir-là, lorsqu’il a mis son doigt sous son nez, et qu’il a relevé son poing, et il avait demandé au studio d’installer ce grand appareil photo... Oh ! Il y avait là plusieurs appareils photo et ainsi de suite pour prendre la photo. Eh bien, alors, savez-vous ce qui est arrivé? Dieu ne voulait pas que l’on tire de Ses serviteurs une photo de ce genre-là, et chacune de ces photos était vierge. Aucune d’elle n’a réussi.

            Mais lorsqu’ils ont sorti cette autre photo, il y avait l’image de l’Ange du Seigneur dessus. Et ils l’ont envoyée à George J. Lacy, celui qui s’occupe des empreintes digitales et des documents au FBI, il l’a gardée à cet endroit pendant plusieurs jours, et puis ça a été mis sous copyright à Washington DC comme étant l’unique Etre surnaturel qui ait jamais été scientifiquement confirmé. Et c’est vrai, ça se trouve à Washington DC ; maintenant, c’est sous copyright.

23        Et alors, ils sont venus et ont dit : «Nous allons vous faire une analyse de la chose.» Monsieur Lacy a dit : «Qui s’appelle révérend Branham?»

            J’ai dit : «Moi.»

            Il a dit : «Levez-vous.»

            Je me suis levé. C’était un homme aux cheveux plutôt roux, et à voir son regard, c’est plutôt un dur à cuire. J’espère qu’il n’est pas assis ici pour entendre ceci. Ainsi il... Ses cheveux pendaient jusqu’aux yeux. Lorsqu’il a vu cela, il s’est d’abord montré très hostile à ce sujet.

            Il a dit : «Révérend Branham, approchez.» Il a dit : «Vous mourrez comme tous les hommes meurent.» Vous voyez?

            J’ai dit : «j’en suis sûr, mais je m’y suis préparé.»

            Il a dit : «Mais tant qu’il y aura une civilisation ici, un prédicateur ne manquera jamais à prêcher.» Il a dit : «c’est l’unique fois où un Etre surnaturel ait jamais été photographié.» Il a dit : «La lumière a frappé l’objectif. C’est la vérité», comme cela.

            Et il me l’a remise, et je l’ai donnée au Studio Douglas d’Houston, au Texas ; ce sont eux qui en sont les propriétaires. Il m’a dit une petite chose là, quelque chose, il a dit : «Le testament destiné au testateur...», quelque chose comme ça. Il a dit : «Eh bien, de votre vivant cette photo n’aura pas sa valeur, mais après, a-t-il dit, attendez après votre départ, elle sera dans les bazars, et d’autres lieux de ce genre.»

24        Ainsi, ce qu’il y a, c’est... Ce que ça représente pour moi, si je... Si ceci est ma dernière soirée sur terre, si ceci c’est la dernière soirée où je suis sur la terre, mon témoignage est la vérité. L’église le sait, des millions de personnes à travers le monde le savent ; je suis entré en contact personnel avec plus de dix millions de personnes, dans le monde entier. Ça a été vu par des milliers et des milliers de gens, partout. Je compte sur Dieu pour que Cela devienne visible ici à Macon avant mon départ, devant l’assistance. Et les gens envoient les oeuvres et les signes, c’est la Vérité. Et le monde scientifique ne peut plus dire qu’il n’existe pas d’Etre surnaturel, parce que ça a été scientifiquement prouvé, c’est sans excuse, Dieu est ici en ce moment.

            Nous sommes donc reconnaissants au Seigneur ce soir de savoir que notre Grand Dieu Jéhovah, qui était avec notre père Abraham, est encore ici ce soir avec Son église, en train d’agir, exactement comme autrefois. A mon avis, la même Colonne de Feu qui a conduit les enfants d’Israël, Jésus-Christ, l’Ange de l’Alliance, le même hier, aujourd’hui et éternellement a été scientifiquement confirmée.

25        Maintenant, Abraham... pour parler pendant–de lui pendant environ dix minutes, ou quelque chose comme ça. Abraham était venu avec son père de la terre de Chaldée et de la vallée de Schinear, et ils ont habité dans la ville d’Ur. Ils sont sortis de Babylone, le peuple, après le... Babylone était d’abord appelée la Porte du paradis ; plus tard on l’a appelée confusion, parce que c’est là que les langues se sont multipliées.

            Abraham, après être descendu dans ce pays de la Chaldée, dans la ville d’Ur, Abraham n’était pas du tout différent de tout autre homme. J’aimerais que vous remarquiez ceci ce soir, vous les chrétiens, et que vous compreniez ceci très bien et profondément, que Dieu appelle Son peuple par Son élection souveraine. Dieu n’appelle que par élection.

            «Cela ne dépend ni de celui qui veut ni de celui qui court, cela dépend de Dieu qui fait miséricorde.» Et tout homme et toute femme ici présents, qui ont déjà senti Dieu tirer dans leur coeur, devraient avoir honte s’ils n’ont jamais prêté attention à l’appel. Il y a dans le monde aujourd’hui beaucoup de gens qui–qui sont partis et qui sont devenus complètement insensibles et qui ne reviendront jamais–jamais à Dieu.

26        Mais Dieu a appelé Abraham, non pas parce qu’il était bon, mais parce que Dieu avait choisi Abraham.

            Jésus a dit : «Ce n’est pas vous qui m’avez choisi, mais c’est Moi qui vous ai choisis.» Jésus a dit : «Nul ne peut venir au Père, ou ne peut venir à Moi, si le Père ne l’attire premièrement.»

            Pourquoi êtes-vous ici ce soir? C’est parce que vous êtes intéressé. Pourquoi n’êtes-vous pas allé au match de baseball? C’est parce que vous aimez Dieu plus que le baseball. Voilà pourquoi vous êtes ici. Dieu vous a appelé et Il a mis un désir différent dans votre coeur.

            Maintenant, l’élection de Dieu–Dieu appelle l’homme par Son élection souveraine. Est-ce que vous remarquez cela? J’aurais voulu que nous ayons du temps pour entrer dans les détails. Lorsque vous vous mettez à parler de la Parole, le Saint-Esprit commence tout simplement à redresser la chose... vraiment merveilleux.

27        Abraham, c’était l’élection. Isaac, c’était la justification. Jacob, c’était la grâce, mais Joseph, c’était la perfection. Vous voyez? A mesure que vous les voyez avancer, Abraham étant appelé... Dieu a vu Abraham et l’a appelé par la grâce souveraine et par l’élection, et Il lui a dit : «Sépare-toi de ta famille et de ta patrie, et Je te bénirai.»

            Remarquez aujourd’hui que Dieu exige toujours une séparation. Aujourd’hui les gens, lorsque vous choisissez vos pasteurs... généralement, les gens ici aujourd’hui veulent avoir des gens sociables. Je ne sais pas comment ça se passe ici chez vous, mais là dans le nord, les gens veulent avoir des gens sociables. Oh ! Nous voulons quelqu’un qui est un type chic. Nous voulons quelqu’un qui peut, oh ! Qui se tiendra à la chaire et qui peut... Oh ! Qui ne blesserait pas les gens si ceux-ci faisaient de petites choses en coulisse, vous savez, de sorte qu’ils puissent se mêler à tout le monde. Les gens veulent des gens sociables, mais Dieu veut des séparateurs. Le Saint-Esprit a dit : «Mettez-moi à part Paul et Barnabas.»

            Il y a des gens, lorsqu’ils choisissent leur pasteur aujourd’hui, ils prennent un homme qui mesure six pieds [environ 2 m], aux épaules larges, à peu près comme ça, aux cheveux noirs onduleux pour la présentation, se faisant lui-même... habillé en smoking, et tout, ayant un complet à porter après le dîner, ou l’une ou l’autre chose à l’estrade, parce que cela a un effet psychologique. Dieu ne se soucie pas le moins du monde de cela.

28        Ecoutez. Ecoutez les Ecritures. Une fois Dieu dit à Samuel, Il lui a dit : «Va oindre l’un des fils d’Isaï pour qu’il devienne roi.»

            Isaï a eu la même pensée que nos penseurs modernes ont comme croyance aujourd’hui. Il a envoyé son fils, costaud et grand là, mesurant six pieds vous savez, et aux cheveux noirs et brillants. Il a dit : «Oh ! La la ! Quel... Il aura vraiment l’allure d’un roi», un homme très grand et costaud, très beau. Et il a dit : «Regardez comment il sera lorsqu’il portera sa robe, avec une grande couronne en or posée de côté sur sa tête.»

            Et Samuel prit l’huile, et l’Eternel a dit : «Mais Moi, Je l’ai rejeté.» c’est juste. Il avait beau mesurer six pieds et beau avoir un aspect frappant, Dieu a dit : «Je l’ai rejeté.»

            Ainsi, il a amené là le suivant pour ce qui était de la taille et il l’a présenté. Dieu a dit : «Je l’ai aussi rejeté.» Et il a continué jusqu’à ce qu’il a présenté le sixième. Alors il a dit : «Tu... n’en as-tu pas un autre?»

            Il a dit : «Si. J’ai un petit gars maigre et rougeaud là-bas dans le parc de moutons, là-bas quelque part, il prend soin des brebis, mais je suis sûr qu’il ne ferait jamais un bon roi.»

            «Eh bien, va le chercher.»

            Et dès que David s’est présenté, un petit rougeaud, voûté, peut-être, vêtu d’un petit manteau de peau de brebis, Samuel a couru et a versé de l’huile sur lui, et a dit : «Voici le roi.» Voilà le choix de Dieu. Amen. L’homme regarde à l’apparence extérieure, mais Dieu regarde au coeur.

            Vous avez peut-être une très grande église ayant un tas de croix et de statues tout autour, et des sièges en peluche, et une orgue de dix mille dollars dedans, cela n’attire pas Dieu. Il y a peut-être plus de gens sauvés dans une petite mission là au coin que vous ne pouvez en mettre dans ce bâtiment-ci. C’est juste. L’homme regarde à l’apparence extérieure, mais Dieu regarde au coeur. Souvenez-vous toujours de cela.

29        Maintenant, Abraham, ayant été appelé à quitter le pays de Chaldée, Dieu l’a rencontré là. Il était probablement un petit homme, âgé de soixante-quinze ans lorsque Dieu l’a appelé. Probablement un bout d’homme portant une longue barbe, chauve, aux épaules voûtées, mais Dieu lui avait fait grâce. Abraham a trouvé grâce aux yeux de Dieu, et Dieu l’a appelé par élection. Amen.

            En vertu de quoi? Quelqu’un qui Le suivrait, qui l’écouterait. Et il avait une femme de soixante-cinq ans. Il a parlé à Abraham, Il lui a dit : «Maintenant, sépare-toi de ton peuple.» c’est la meilleure chose à faire : sortir de leur milieu, s’en éloigner.

            Quelqu’un a dit : «Eh bien, je continue à aller à la salle de billard. Je pense que peut-être je pourrais gagner quelques jeunes gens.» Restez loin de la salle de billard. Restez loin du terrain du diable. C’est juste.

            Vous n’y arriverez jamais de cette façon-là. Séparez-vous et montrez vos couleurs. Soyez un chrétien. Agissez comme un chrétien. Vivez comme un chrétien. Parlez comme un chrétien. Les gens croiront cela.

            Remarquez. Jésus a dit : «Quand j’aurai été élevé, j’attirerai tous les hommes à Moi.» Elevez-Le dans votre vie, dans votre manière de vivre, dans ce que vous faites.

30        Dieu appela donc Abraham et ce dernier se sépara de son peuple pour aller dans une terre étrangère. N’est-ce pas étrange que lorsque Dieu appelle un homme, Il l’appelle d’entre ses associés pour habiter parmi un peuple étranger, parlant des langues étrangères? C’est plutôt étrange que Dieu fasse cela, n’est-ce pas? Mais, Il le fait encore.

            Sortez. N’ayez plus le même langage que la vieille populace. Vous entrez dans un groupe... Sortez de là où vous avez ce boucan, ces hurlements et ces extravagances pour le diable ; vous serez là à pousser des cris et à louer Dieu dans l’autre groupe. Vous devez aller parmi un peuple étranger, séparez-vous du groupe auquel vous étiez associé autrefois.

31        Dieu, dans Sa grâce, l’a appelé et lui a dit : «Abraham, Je sais que tu es un vieil homme maintenant, tu as–tu as soixante-quinze ans, Sara en a soixante-cinq, mais Je vais te bénir et te donner un enfant. Et à travers cet enfant le monde entier sera béni, toutes les nations seront bénies à travers cet enfant.»

            Eh bien, Abraham ne s’était jamais posé des questions à ce sujet ; il a simplement pris Dieu au Mot. J’aime cela : prenez simplement Dieu au Mot. Et il–il a carrément continué à témoigner que le bébé allait naître. Je peux l’imaginer apprêtant toute chose, achetant toutes les couches, les épingles, et tout, se préparant pour l’enfant. Rien ne clochait.

            «Sara, a-t-il dit, comment te sens-tu?» La première semaine.

            «Aucun changement.»

            Le premier mois passa. «Comment te sens-tu, Sara?»

            «Aucun changement.»

            «Eh bien, gloire à Dieu ! Nous allons l’avoir de toute façon.»

            La première année passa. «Comment te sens-tu, Sara?»

            «Aucun changement.»

            «Eh bien, gloire à Dieu, nous allons l’avoir de toute façon.»

32        Il prit Dieu au Mot sans tenir compte des circonstances. Il a dit : «Dieu l’a dit. Et peu importe comment tu te sens, ou ce qu’il en est, nous allons l’avoir de toute façon. C’est Dieu qui l’a dit.» Amen.

            Et si nous sommes les enfants d’Abraham, nous devons avoir ce genre de foi, peu importe ce que déclarent les symptômes. La Parole de Dieu... Nous, nous regardons à l’Invisible, à ce que Dieu dit à ce sujet.

            Tant de gens se fient aux symptômes. «Oh ! Si je pouvais regarder...» «Si ma main était un peu plus droite.» «Si je me sentais juste un petit peu mieux avec ma gastrite.» «Si ma tête cessait de me faire mal.» Cela n’a rien à voir avec la chose. Continuez carrément, glorifiant Dieu, témoignant de cela, des choses que vous ne sentez même pas, ni ne voyez, ni ne goûtez, ni ne sentez par l’odorat, ni n’entendez. Croyez cela de toute façon.

33        Eh bien, si vous parlez de... Il y avait un homme du nom de Jonas, qui avait les pires symptômes que j’aie jamais vus. Il était rétrograde, pour commencer. C’est juste. Il a fait quelque chose que Dieu lui avait dit de ne pas faire. Il se trouvait sur une mer houleuse, ce qui lui a causé beaucoup d’ennuis, il avait les mains et les pieds liés, on l’avait jeté par-dessus bord ; et une grande baleine l’a avalé puis elle est descendue au fond de la mer.

            Eh bien, vous parlez des symptômes–rétrograde dans son coeur, et il se retrouvait dans le ventre d’une baleine, avec des algues enroulées autour de son cou. Et tout le monde le sait, lorsqu’un poisson se nourrit, il mange–il mange jusqu’à se remplir le ventre, et il descend droit au fond et fait reposer ses nageoires sur le fond. Donnez à manger à votre poisson rouge, et voyez si ce n’est pas ce qu’il fait. Il descend droit au fond, et c’était probablement là-bas, à une profondeur de quarante brasses [73 mètres]. Et ce prédicateur était là, rétrograde, les mains liées dans le dos, dans le ventre d’une baleine, au fond de la mer, avec cette–cette tempête qui faisait rage au-dessus.

            Vous parlez des symptômes, qu’il regarde de ce côté-ci, c’était le ventre de la baleine ; qu’il regarde dans l’autre direction, c’était le ventre de la baleine, où qu’il se retourne, c’était le ventre de la baleine. Et il en avait, des symptômes. Mais savez-vous ce qu’il a dit? «Ce sont des vanités mensongères. Je ne crois à aucune d’elles.» Il a dit : «Une fois encore je regarderai vers Ton saint temple», non pas au ventre de la baleine, mais vers Ton saint temple. Vous ne pouvez dérober à un saint sa prière. C’est juste. J’aimerais... Il n’y a personne ici qui soit dans une aussi mauvaise situation ce soir. C’est vrai.

34        Mais il a dit : «Une fois encore je regarderai vers Ton saint temple, Seigneur.» Car il savait que lorsque Salomon avait fait la dédicace de ce temple, il avait prié et avait dit : «Seigneur, si Ton peuple est dans la détresse quelque part et qu’il regarde en direction de ce saint lieu et prie, alors exauce-le des cieux.» Et il croyait à la prière de Salomon.

            Et si Jonas, dans ces conditions, a pu croire à la prière de Salomon, dans un temple qui a été consacré ici sur terre, à combien plus forte raison devrions-nous croire ce soir en un Seigneur Jésus ressuscité, assis à la droite de Dieu, quand Il nous dit qu’il fait intercession sur base de notre confession. Refusez de regarder aux symptômes, et dites : «Ce sont des vanités mensongères», et éloignez-vous-en. Amen. Ne faites aucune attention aux circonstances. Ce que Dieu dit est la vérité, et non pas ce que vous voyez, c’est ce que vous croyez qui compte.

            Jésus n’a jamais dit : «Avez-vous vu cela?» Il n’a jamais dit : «Avez-vous cru cela?» (Ou plutôt, je vous demande pardon) Il n’a jamais dit : «Avez-vous senti cela?» Il a dit : «Avez-vous cru cela?» c’est cela.

            Agissez donc sur base de ce que vous croyez, et non sur base de ce que vous voyez. Ce n’est pas ce que... juste ce que vous croyez. Et si vous croyez que Dieu tiendra Sa Parole, agissez alors en conséquence. Prenez-Le au Mot et allez de l’avant. Alors vous arriverez quelque part. Je sais que c’est la vérité. Je me suis confié à Cela, frère, dans les heures de la mort ; et je sais que c’est la vérité. Si cela a marché pour moi, si cela a marché pour Abraham, si cela a marché pour Jonas, cela marchera pour vous. Prenez-Le simplement au Mot et croyez cela.

35        Et Abraham a refusé de voir des symptômes de Sara qui n’avait pas ce bébé. Oh ! On lui a dit qu’il avait un peu perdu la tête.

            Maintenant, vous pouvez vous imaginer ce qu’un médecin dirait aujourd’hui si un vieil homme de soixante-quinze ans ou de quatre-vingts ans s’amenait disant : «Eh bien, voici ma femme. Elle a soixante-dix ans et moi j’ai quatre-vingts ans, et nous allons avoir un bébé.»

            Eh bien, il dirait : «Ce vieil homme est un peu toqué.»

            Certainement, c’est ce qu’ils ont dit à l’époque ; c’est ce qu’ils diraient aujourd’hui. Mais Abraham n’était pas toqué ; il avait pris Dieu au Mot. C’est ce qui faisait la différence, et Dieu l’a aussi honoré pour cela.

36        Je peux le voir continuer, disant : «Seigneur, veux-Tu me donner un... Comment vas-Tu me confirmer ceci?» Et Il l’a fait sortir là ce jour-là... j’aurais souhaité que nous ayons du temps pour aborder cela ; il est temps de terminer maintenant. Mais j’aurais souhaité avoir le temps d’aborder toutes ces choses pour nous faire parvenir jusqu’à ce petit point ; mais nous allons sauter, juste pour toucher quelques points importants.

            Regardez là ce jour-là, lorsqu’il lui a dit qu’il confirmerait cela. Et observez comment cela s’est passé pour Abraham.

            Il a tué cette petite génisse de trois ans, et la brebis de trois ans, ainsi que la chèvre de trois ans, puis il les a coupées en deux. Et il a placé une tourterelle et un jeune pigeon là, et il a chassé d’eux les oiseaux.

            Et le soir, ou lorsque le soleil se couchait, observez ce qui est arrivé premièrement : un très profond sommeil tomba sur Abraham, montrant ceci : «Abraham, eh bien, j’avais fait une alliance ave Adam. ‘Adam, si toi tu fais ceci, Je te prendrai comme partenaire. Si tu fais telles choses, Moi Je ferai telles choses.’ Et Adam a brisé sa promesse.»

            L’homme brise toujours sa promesse. «Mais Abraham, cette fois-ci, ce n’est pas ‘si toi tu fais, voici ce que Moi, Je vais faire’. Ceci, c’est Mon alliance avec toi (Amen.) Inconditionnellement.’»

            Oh ! Frère, si jamais vous voyez cela, vos yeux s’ouvriront directement. C’est vrai. Ce n’est pas ce que vous avez fait qui compte ; c’est ce que Dieu a fait pour vous en Christ. C’est vrai. Il ne s’agit pas de ce que vous, vous faites, c’est ce que Lui a fait.

37        Et là, Il a dit : «Abraham...» Il a plongé Abraham dans un sommeil pour montrer que celui-ci–celui-ci n’avait rien à voir là-dedans. «Maintenant, Abraham, tu n’as rien à voir là-dedans.»

            Et alors, avant qu’il ne parte, il y eut une obscurité effroyable représentant la mort, montrant que tout homme doit passer par la vallée de l’ombre de la mort. Après tout cela, il y eut une fournaise fumante : tout homme mérite d’aller en enfer. Mais après tout cela, une petite Lumière blanche est passée. Et cette petite Lumière est passée juste entre chacune de ces alliances–chacune de ces bêtes, comme cela, chacune de ces bêtes qui étaient coupées et mises ensemble. Chacune d’elles était une bête de sacrifice, excepté la tourterelle et le pigeon.

            Maintenant, si vous remarquez bien, la tourterelle et le pigeon, la raison pour laquelle on ne les a pas coupés, c’est parce que la tourterelle et le pigeon représentent la guérison divine. L’alliance était brisée pour passer de la grâce–de la loi à la grâce, mais l’alliance de la guérison demeure toujours. Toujours de... Cela n’a pas été coupé du tout. C’est vrai.

38        Maintenant, Il a fait l’alliance. Et remarquez, Il est passé entre ces bêtes, prouvant, montrant à Abraham ce qu’il ferait au travers de sa semence, Jésus-Christ, dans les années à venir. Il établirait une alliance par Christ pour les Gentils, pour tout homme dans le monde. Tout celui qui viendrait, cette alliance serait... Elle s’applique à vous ce soir, c’est inconditionnel.

            Quand vous devenez un chrétien, chaque bénédiction rédemptrice de Dieu vous appartient. C’est votre propriété personnelle. Vous avez le droit de réclamer cela. Si vous laissez Satan vous repousser dans un coin, eh bien, ça vous regarde. Mais, frère, tenez-vous là sur le qui-vive, avec cette Ecriture et dites : «Il est écrit.» c’est vrai. C’est ce que votre Seigneur a fait.

39        Tout homme, peu m’importe, vous pourriez être un chrétien faible ; vous n’avez pas besoin que des gens ayant des dons de guérison passent ; vous n’avez pas besoin de ces choses. L’unique chose qu’il vous faut faire, c’est prendre Dieu au Mot, et affronter Satan ; vous le vaincrez sur ce terrain-là.

            Jésus a démontré cela quand Il... Satan a dit : «Si Tu es le Fils de Dieu, fais ceci.»

            Jésus a dit : «Il est écrit : ‘l’homme ne vivra pas de pain seulement.’»

            Il L’a amené ailleurs, il a dit : «Si Tu es le Fils de Dieu, jette-Toi en bas. Accomplis un miracle ici devant moi.» Cet esprit-là vit encore, vous savez. «Laisse-moi Te voir le faire ; alors je croirai cela. Saute du haut de ce bâtiment-ci et montre-moi que Tu peux le faire, et je croirai que Tu es le Fils de Dieu.»

            Il a dit : «Satan, il est écrit.» Il s’en est tenu juste à la Parole.

            Il L’a transporté sur une montagne, il Lui a montré tous les royaumes du monde en un instant, et il a dit : «Ils m’appartiennent.» Ainsi, voyez-vous à qui les royaumes de ce monde appartiennent? Il a dit : «Je... Ces royaumes m’appartiennent. J’en fais ce que je veux. Si Tu m’adores, je–je vais–je vais Te les donner tous.»

            Il a répondu : «Il est écrit : ‘l’homme ne vivra pas de pain seulement.’ Il est écrit : ‘tu ne tenteras pas le Seigneur ton Dieu.’» Et Il a continué à lui montrer l’Ecriture, et Il a vaincu Satan avec la Parole du Père.

            Et tout homme ou toute femme ce soir, si vous êtes ici malade et dans le besoin, affrontez Satan, et dites : «Il est écrit : ‘c’est par Ses meurtrissures que je suis guéri.’» Tenez-vous-en à cela et observez ce qui va arriver.

            Il y aura un changement par ici, dans la ville de Macon, chez les malades. Prenez Dieu au Mot. Il le fera.

40        Maintenant, dans cette alliance... Lorsqu’Il a fait l’alliance avec Abraham là... Maintenant remarquez, dans l’Ancien Testament... Maintenant, lorsque nous faisons une alliance les uns avec les autres ici en Amérique, comment nous y prenons-nous? Nous nous avançons là et nous nous serrons la main en disant : «Tope là.» c’est ainsi que nous faisons une alliance.

            Là au Japon, lorsque les gens font une alliance, ils prennent un peu de sel et se le jettent l’un sur l’autre, comme cela, pour faire une alliance.

            Mais en Orient, voici comment ils font une alliance : ils tuent une bête. Et ils se tiennent au milieu de cette bête, entre les morceaux du corps mort, et ils concluent leur alliance, peu importe ce qu’ils font, et ils signent cela de leur nom. Ils déchirent cela en deux, l’un en reçoit une partie, et l’autre garde l’autre moitié. Et alors, ils font un serment sur le corps de cette bête morte. Si l’un d’eux brise cette alliance, qu’il soit comme cette bête morte.

41        Et c’est ce que Dieu montrait qu’il allait faire dans les jours à venir. Lorsque Dieu est descendu ici sur terre sous la forme du Seigneur Jésus-Christ, Il a marché parmi les hommes, Il a été amené au Calvaire, et Il a été déchiré. Et Dieu a pris le Corps et L’a élevé à Sa droite, et Il a envoyé le Saint-Esprit sur terre sur l’Eglise. Et lorsque nous nous rassemblons encore, ces morceaux, juste comme l’ancienne alliance, ils doivent concorder parfaitement l’un avec l’autre. Et si jamais vous allez dans l’Enlèvement, il vous faudra avoir en vous le même Esprit qui était en Jésus-Christ. C’est cela l’alliance de Dieu avec Son Eglise. Amen.

            N’acceptez pas une poignée de mains froide et formaliste. Acceptez une expérience venant de Dieu, qui réchauffe le coeur, l’expérience de la nouvelle naissance. Peu importe l’église dont vous êtes membre. Oui, oui. En effet, Dieu...

            Souvenez-vous, lorsque ces deux parties étaient mises ensemble, si elles ne concordaient pas, elles étaient rejetées. Cela devait être la même chose. Et le même Esprit qui était sur Christ doit être sur l’Eglise.

            Dieu a pris le corps de Christ et l’a fait asseoir à la droite de Sa puissance au Ciel, et Il a envoyé le Saint-Esprit sur terre. Et Il va de lieu en lieu, veillant sur l’Eglise. Et lorsqu’ils seront réunis, ça devra être le même corps, les mêmes signes, les mêmes prodiges, le même baptême, les mêmes signes et prodiges, le même Evangile. Amen. C’est juste.

42        Remarquez, lorsqu’il a fait l’alliance et qu’il l’a confirmée là, plus tard, Abraham a continué. Gloire à Dieu ! Et après cette expérience, alors il a réellement eu la victoire. Il devait avoir quatre-vingt-dix ans, presque cent. Dieu lui est apparu sous le Nom du «Dieu Tout-Puissant».

            Ce mot vient du mot, du mot hébreu El Shaddaï, qui veut dire le sein, la poitrine d’une femme. El Shaddaï, le Tout-Puissant, Celui qui donne la force, Celui qui nourrit. C’est comme la mère pour le bébé. Lorsque le petit bébé pleure et qu’il est malade, la mère le ramène à son sein, et lui, en tétant il tire la force et la vie de sa mère. En outre, ça signifie qu’il est Celui qui satisfait. Pendant que le petit bébé est en train de téter, il est satisfait pendant qu’il est en train de téter. Il n’est pas encore guéri, mais il est satisfait tant qu’il tète sa mère. Et Dieu est El Shaddaï, la Poitrine, non pas un seul sein, deux seins.

            Il était blessé pour nos péchés ; c’est par Ses meurtrissures que nous avons été guéris. Il est le Dieu qui nous donne la force spirituelle. Il est le Dieu qui nous donne la force physique. Et peu importe celle dont vous avez besoin, élevez-vous jusqu’à ce sein et saisissez-le, la Parole de Dieu, et commencez à téter, vous allez recouvrer la santé et la force. La force du Saint-Esprit est dans la promesse de Dieu...?... Montez-y une fois et saisissez cela.

            Frère, je vous assure ; observez un petit bébé s’avancer à quatre pattes et se réfugier dans les bras de sa mère, il est vraiment satisfait. Peu m’importe combien son petit ventre lui fait mal ; tout va bien tant qu’il tète maman.

43        Je vous assure, une fois qu’un croyant saisit la promesse de la Parole éternelle de Dieu, quoi qu’il arrive, il est satisfait. Il reste carrément là, tétant sans arrêt, tirant la force directement de Dieu. «c’est par Ses meurtrissures que nous avons été guéris.» Il a été blessé pour nos péchés ; c’est par Ses meurtrissures que nous sommes guéris», tirant les bénédictions de Dieu, étant satisfait pendant qu’il est là.

            On vient lui dire : «Tu n’as pas du tout l’air d’aller mieux.»

            Il dit : «Gloire à Dieu, Il m’a guéri.» Amen. Accrochez-vous à cela.

            On lui dit : «Tu n’as pas le Saint-Esprit.»

            «c’est ce que vous pensez.» Amen.

            Si seulement vous tiriez là où moi je tire, vous penseriez qu’il–que vous aussi vous l’avez. C’est vrai. Amen.

44        «Je suis El Shaddaï, le Tout-Puissant.» Et Il est toujours El Shaddaï, le Dieu Tout-Puissant. Celui qui apaise les saints. Si un saint est malade, s’il peut écouter la Parole de Dieu correctement, s’il est une semence d’Abraham... Nous sommes, étant la semence d’Abraham... lorsque nous sommes morts en Christ, nous devenons la semence d’Abraham et sommes héritiers selon la promesse. Mais d’abord vous devez mourir en Christ, et naître du Saint-Esprit. Le même Saint-Esprit qui a conduit Abraham là-bas, vous conduit alors. Alors, comme Abraham, vous croyez que ce que Dieu dit est la vérité, et rien d’autre ne va marcher.

            Ne vous souciez pas de ce que quelqu’un d’autre dit, de ce que l’évêque dit ou de ce que le pape dit, ou de ce que quiconque d’autre dit ; si la Parole de Dieu le dit, c’est la vérité pour les croyants et les enfants d’Abraham. L’alliance est pour vous. Lorsque vous êtes circoncis... Abraham a été circoncis dans la chair en guise de confirmation. Vous êtes circoncis dans le coeur par le Saint-Esprit en guise de confirmation.

            Oh ! La la ! Je me sens religieux juste en ce moment. J’ai presque envie de pousser des cris. Savez-vous que les baptistes crient aussi? Oui, ils crient. Lorsqu’on en vient carrément à Dieu, ils entrent réellement dans la chose.

            Remarquez, frère, téter le sein du Dieu Tout-Puissant, Celui qui allaite, le–le Donateur de la Vie, notre Mère, notre Père, le Père qui allaite. Oh ! La la ! La la ! Quelle–quelle image nous avons ici. J’aurais voulu que nous puissions nous y attarder un peu plus longtemps, mais il faut nous dépêcher.

45        De toute façon, après la naissance du petit bébé, le petit Isaac, comme Dieu l’avait promis, ils avaient cent ans, lorsque le bébé naquit. Pensez-y.

            Il faut que je touche un autre petit point ici ; cela pourrait me prendre... Veuillez me pardonner de prendre de votre temps. C’est juste un petit encouragement que je vous adresse. Peut-être que vous ne serez pas d’accord avec ceci d’emblée, mais examinez cela complètement. Ceci vous donnera quelque chose à faire demain pendant–pendant votre temps libre. Examinez ceci dans la Bible.

            Maintenant, lorsqu’abraham... Lorsque Lot a fait son choix et qu’il est descendu là-bas dans les plaines de Sodome et de Gomorrhe, nous comprenons qu’il était un croyant tiède, et ce qui est arrivé à Lot. Mais Dieu n’avait jamais béni Abraham avant qu’il ne se soit totalement séparé de Lot. Lot continuait à s’accrocher. C’était un cheveu dans la soupe. Et il–il ne pouvait absolument pas progresser.

46        Et c’est ça le problème aujourd’hui ; nous avons de vieux petits Lot qui s’accrochent, et c’est la raison pour laquelle nous ne pouvons pas progresser avec Dieu. Quelqu’un, un des membres d’église dit : «Eh bien, s’il prêche ça, je sortirai d’ici.»

            C’est... Sortez ce cheveu de la soupe, et allez de l’avant ; c’est ce qu’il nous faut faire. Prêchez l’Evangile (Amen.), peu importe s’il vous faut Le prêcher aux quatre poteaux. Je préférerais dormir à plat ventre, et boire de l’eau plate, et manger des biscuits secs, et prêcher la vraie Parole de Dieu, plutôt que de manger du poulet frit chaque jour et de rouler à bord d’une Cadillac. Amen. Je préférerais faire cela, et être sûr qu’on est en ordre vis-à-vis de Dieu. Amen. Je ne dis pas cela pour plaisanter. Ceci n’est pas un endroit pour plaisanter, et je ne crois pas dans le fait de plaisanter, mais c’est la vérité. Amen.

47        Eh bien, j’aimerais que vous puissiez remarquer. Ensuite, lorsque cet Ange est descendu là, Dieu Lui-même... Avez-vous remarqué? Abraham a parlé à Dieu qui était dans un corps, un corps physique, et Il avait de la poussière sur Ses vêtements, Il a mangé la viande de veau, Il a bu du lait de vache, et Il a mangé du pain de maïs que Sara Lui avait fait là–Dieu Lui-même. Qu’a-t-Il fait? Il savait qu’il allait être fait chair un jour, à une époque très reculée ici, pour donner une confirmation à Abraham, Il a simplement pris d’un trait un tas de calcium et un tas de–d’atomes et Il les a rassemblés, et Il a vécu dans ce corps-là. Il est juste descendu là et a eu de l’appétit. Amen.

            Abraham L’a appelé Seigneur. C’est juste. Il l’était bien. Et aussitôt qu’il a dit à Abraham ce qui allait arriver, Il a disparu.

            Sara a ri à l’idée qu’elle, qui avait presque cent ans, allait avoir un enfant. A l’âge de cent ans, et elle allait avoir un bébé, pouvez-vous imaginer cela?

            Eh bien, frère, disons... Tous, nous savons que Sara a donné naissance à cet enfant. Nous admettrons tous cela. Ecoutez ce que Dieu a dit. Maintenant, voici un encouragement pour nous tous qui sommes vieux. Maintenant, j’aimerai que vous puissiez remarquer ceci. Ce que c’est... Et à vous les jeunes qui grandissez, vous qui aurez à vieillir l’un de ces jours, observez ce que Dieu a fait là-bas.

            J’étais là, sur un lac, il y a environ six ans, lorsque j’ai reçu cette révélation. Et je vous assure ; les gens ont pensé qu’ils avaient là-bas l’Armée du Salut. Oh ! La la ! J’étais le gars le plus bruyant qu’ils eussent jamais entendu de leur vie.

48        Maintenant, je vais vous dire ce que–ce que Dieu a fait. Si vous faites très bien attention (Vous voyez?), la Bible, c’est cette... c’est là que les prédicateurs manquent la chose. C’est là que ces grandes écoles manquent la chose. Vous voyez? La Bible, on La lit entre les lignes. La Bible déclare... Jésus... Les Ecritures déclarent : «j’ai caché cela aux yeux des sages et des intelligents, et Je le révélerai aux enfants qui veulent apprendre.» Vous voyez? C’est entre les lignes.

            Ce soir, j’ai une jeune femme que j’ai épousée il y a quelques années ; elle est la mère de mes trois enfants. Et elle peut m’écrire une lettre, elle me dira : «Cher Bill, je suis assise ici ce soir en train de penser à toi et je prie pour toi.» Eh bien, ça c’est ce qu’elle dit dans la lettre. Mais entre les lignes, moi je l’aime et elle m’aime, ainsi je sais de quoi elle parle. Vous voyez? Je lis entre les lignes.

            Et si vous voulez réellement lire la Bible avec un entendement spirituel, tombez amoureux de l’Auteur. Amen. Alors vous pourrez lire entre les lignes, et voir où Dieu a fait ressortir la chose.

49        Remarquez? Je peux voir Sara là, une petite grand-mère, vous savez, une arrière-arrière-arrière-arrière-arrière-grand-mère de près de cent ans, portant un petit bonnet pour se protéger de la poussière, avec un petit châle sur les épaules, marchant à l’aide d’une canne. Et vous savez, il s’était passé quelque chose.

            Eh bien, vous savez qu’il aurait été difficile pour cette femme de donner naissance à un bébé ; n’importe qui le sait. Pour commencer, Abraham avait vécu avec elle depuis qu’elle avait environ dix-sept ans, et elle avait atteint la ménopause depuis environ quarante-cinq ans. Eh bien, l’impossible... Mais remarquez, Abraham, lui, plus la chose durait, plus il fut fortifié.

            Eh bien, aujourd’hui, si l’on prie pour vous ce soir et que le lendemain vous ne soyez pas parfaitement guéri, vous direz : «Eh bien, cette guérison divine, il n’en est rien. Je ne l’ai jamais expérimentée.» Alors vous n’êtes pas un enfant d’Abraham. C’est juste. Car pour Abraham, plus vieux il devenait, plus glorieux allait être le miracle.

            Ainsi, il fut fortifié, donnant gloire à Dieu, dit Romains 4. Plus la chose durait, plus la bénédiction serait grande ; le miracle deviendrait plus grand ; plus la chose durait. Ainsi Abraham continuait à se fortifier davantage, donnant gloire à Dieu. Alors que ses épaules s’affaissaient continuellement, lui continuait à rendre gloire à Dieu.

50        Voici Sara. Eh bien, nous savons que Dieu a dû rendre son sein fécond, ça nous le savons. Eh bien, vous êtes un auditoire mixte. Vous écoutez le médecin ; moi je suis votre frère. Ecoutez. Il a dû rendre son sein fécond, parce qu’elle avait atteint la ménopause depuis quarante-cinq ou cinquante ans. Pensez-y. Lorsqu’elle était une jeune femme, en bonne santé et tout, en ce temps-là elle n’avait pas eu d’enfants. Mais, voici que maintenant ça fait presque 50 ans qu’elle a dépassé la ménopause, et c’est maintenant qu’elle va avoir un bébé.

            Eh bien, Il a dû rendre son sein fécond. Et à part ça, s’Il allait... Elle allait se rendre... les gens ne connaissaient pas la césarienne à cette époque-là, vous savez. Ainsi, ça aurait dû... Pour donner naissance à ce bébé, pour entrer en travail, elle devait recevoir un nouveau coeur en elle, parce qu’une vieille femme de cet âge-là ne pourrait pas supporter les douleurs de l’enfantement, vous le savez. Très bien. Alors, elle devait obligatoirement entrer en travail, elle devait donc avoir un autre coeur. Et pour ce faire... Les veines à lait étaient desséchées, ainsi, elle devait absolument recevoir de nouvelles veines à lait.

            Or, Dieu ne rafistole pas quoi que ce soit comme cela. Voici ce que Dieu a fait à Sara, Il l’a ramenée à l’état de jeune femme. Maintenant, cela vous a en quelque sorte secoués un petit peu, mais tenez bon. Maintenant, ne–ne vous hâtez pas de vous lever pour partir. Vous voyez? Attendons–attendons juste un instant.

51        Il a changé Abraham et Sara, tous les deux, et les a ramenés à l’âge d’environ vingt-cinq ans, comme il va le faire l’un de ces jours à tous ceux qui sont Ses enfants. Il a montré en eux ce qu’il allait faire pour lui et pour sa postérité après lui.

            Remarquez. Sara et Abraham ont aussitôt effectué un voyage et ils se sont rendus directement à Guérar sur des chameaux. Suivez cela... Situez les deux endroits et voyez la distance qui les sépare ; ça fait environ trois cents miles [482,7 km]. C’est vraiment un voyage pour un vieux couple comme le leur, n’est-ce pas? Une vieille petite grand-mère de cent ans, portant son châle, montée sur un chameau comme ça, et Abraham avec une très longue barbe pendante !

52        Oh ! La la ! Ils ont continué ce voyage de trois cents miles... Et en plus de tout cela, il y avait par là un jeune roi du nom d’Abimélec, qui cherchait une chérie. Et malgré toutes ces belles filles qui étaient là dans les parages, il est tombé amoureux de cette vieille grand-mère, et a voulu l’épouser. C’est un non-sens, mes frères. Abraham a dit : «Sara, tu es belle.» Elle était la plus jolie femme du pays.

            Et cet homme, avec toutes ces jeunes femmes comme cela, il n’aurait pas voulu de cette vieille grand-mère tenant un petit bâton dans la main, avec un petit châle sur les épaules, et portant un petit bonnet pour se protéger de la poussière, vous savez ; et il n’aurait pas voulu la prendre pour femme. Mais Dieu l’avait changée et ramenée de nouveau à l’état d’une belle jeune femme, comme Il va le faire pour toute la postérité d’Abraham un de ces jours. Mais que va représenter la vieillesse ou cela de toute façon? Alléluia ! Cela ne veut rien dire pour le croyant. Alléluia. Nous nous moquerons de la mort un glorieux jour.

53        Ma femme m’a regardé l’autre jour ; j’étais en train de peigner les quelques cheveux que j’ai. Elle a dit : «Chéri, tu es presque chauve.»

            J’ai dit : «Oui, mais je n’en ai pas perdu un seul.»

            Elle a dit : «Tu n’en as pas perdu !»

            J’ai dit : «Non.»

            Elle a dit : Eh bien, où sont-ils?»

            J’ai dit : «Où étaient-ils avant que je ne les aie? Si tu me dis où ils étaient avant que je les aie, ils sont là en train de m’attendre dans la résurrection.» Alléluia. Amen.

            Chacun d’eux, tout ce qui, autrefois...?... Attend. J’ai la vieille promesse bénie ici dans le...?... Sur la croix du Calvaire, et le Saint-Esprit confirme chaque Parole...?... Un glorieux jour, lorsqu’il viendra. Faisons...?... Les gens, si cela ne va pas... cela ne change rien pour moi. Amen. Je sais en qui j’ai cru, et je suis persuadé qu’il est capable de garder ce que je Lui ai soumis pour ce jour-là. Amen.

54        Abraham...?... Je peux me représenter Abraham quelques matins après que le Seigneur l’a rencontré là. Je peux l’entendre dire : «Sara, chérie, oh ! Tes cheveux gris redeviennent noirs, et tes petits yeux bruns ridés redeviennent aussi noirs et brillants.»

            La femme a dit à Abraham : «Tes épaules se redressent ; ta barbe redevient noire.»

            Et bien vite, les voilà qui étaient redevenus des chéris. Exactement. J’aurais souhaité avoir du temps pour aller un peu plus loin dans cela. Mais juste avant que vous ne saisissiez cela, j’aimerais vous montrer une fois de plus la grâce, mes frères. Ainsi, ceci pourrait en quelque sorte pincer les orteils de mes frères arméniens un tout petit peu, mais je n’ai pas l’intention de le faire. Vous voyez? Et maintenant écoutez ceci, afin que vous puissiez connaître la vérité.

            Maintenant, vous les baptistes, si vous ne vous accrochez pas à ceci, je dirai : «Vous avez rétrogradé.»

55        Remarquez ce qu’il a fait. Aussitôt qu’ils sont arrivés là à Guérar, Abimélec a regardé et a dit : «Eh bien, la voici, celle que j’ai attendue tout ce temps.» Or, elle était une petite grand-mère. Vous voyez?

            Eh bien, c’était impossible, frère ; c’est–c’est bête de penser à une telle chose. Vous voyez? Mais elle était une belle jeune femme. Et il l’a emmenée là, et lui a mis des boucles d’oreilles et lui a prodigué tous les soins possibles. Ce soir-là...

            Eh bien, il était un très bon frère de la sainteté. Maintenant, il est allé au lit ce soir-là et il a offert ses prières, et il a allongé ses grands pieds comme cela, et s’est mis à dire : «Oh ! Demain je vais épouser cette belle jeune fille que j’ai attendue toute ma vie, et elle est bel et bien là. Son frère est assis là dehors dans la tente, et il–il a dit que c’était sa soeur, et elle, elle a dit : ‘c’est mon frère.’» Ainsi, oh ! On est en train de lui faire la toilette, et demain c’est le mariage.» Oh ! La la ! La la !

56        Il s’est assoupi et s’est endormi, et Dieu lui est apparu, Il lui a dit : «Tu es pratiquement un homme mort.» Frère.

            Il a dit : «Eh bien, qu’ai-je fait? Je suis innocent au–au possible.»

            Il a dit : «Tu as pris la femme d’un autre homme.»

            «Oh ! A-t-il dit, eh bien, Seigneur, Tu connais l’intégrité de mon coeur.» Il a dit : «Cet homme ne m’a-t-il pas dit que c’était sa soeur? Et elle, ne m’a-t-elle pas dit que c’était son frère?»

            Dieu a dit : «Je connais l’intégrité de ton coeur ; c’est pourquoi Je t’ai empêché de pécher contre Moi. Mais si tu ne la rends pas, tu mourras.» Maintenant écoutez, un bon garçon, un homme bien–bien, et cela vous montre la grâce souveraine de Dieu.

            Il a dit : «Son mari est Mon prophète. Eh bien, Je n’écouterai pas tes prières, mais rends-la.»

57        «Mon prophète...» Dieu lui avait dit de ne pas quitter la Palestine, mais il l’avait quittée ; il était rétrograde. Non seulement cela, mais il se tenait là disant un mensonge. Il a dit... Un homme qui ne se souciait plus de sa femme en faisant une chose comme celle-là... Mais Dieu a dit : «c’est Mon prophète. Rends-la et restitue-la, et que lui prie pour toi.» c’est ça l’Ecriture, frère.

            Je sais que c’est... Où en êtes-vous, vous les baptistes? Qu’est-ce qui se passe avec vous? C’est juste. Il était là, lui qui avait rétrogradé, fuyant loin de Dieu, se tenant là en train de mentir... Eh bien, cela ne vous donne pas le droit de mentir, ni de faire quoi que ce soit, souvenez-vous-en. Nous allons corriger cela dans quelques minutes. Très bien. Dieu lui a fait payer cela.

            Mais il était dans cette condition-là, Et Dieu a dit : «c’est Mon prophète. Va, rends-lui sa femme et Je... qu’il prie pour toi et Je te guérirai.» Ainsi, il est parti le faire.

58        Lorsqu’Abraham est devenu vieux, peu après, le petit gars est venu au monde, le petit Isaac, et il a atteint l’âge d’environ douze ans. Le voilà qui sort. Dieu l’a encore rencontré et lui a dit : «Abraham, je sais qu’au travers de cet enfant tu dois–seras le père d’une nation, mais Je vais te dire ce que Je veux que tu fasses. Je veux que tu l’amènes là à une montagne que Je t’indiquerai, Je veux que tu l’amènes là-haut et que tu l’offres en sacrifice.»

            Eh bien, comment va-t-il être le père des nations, alors qu’il a environ cent quinze ans, et voici l’unique fils qu’il avait, qu’il prenne ce jeune garçon et l’amène là-bas pour le tuer? Mais remarquez, Abraham a pris le petit garçon et quelques serviteurs, il n’a pas dit la chose à sa mère. Ainsi, ils ont effectué un voyage d’environ quatre jours dans le désert.

59        Eh bien, un homme ordinaire peut effectuer à pieds un bon... Eh bien, j’ai fait la patrouille pendant environ sept ans, effectuant chaque jour trente miles [48 km] à pieds. Et puis, à cette époque-là, on ne roulait pas à bord des automobiles comme nous aujourd’hui, ainsi, ils pouvaient probablement faire facilement trente miles, ou effectuer une distance de vingt-cinq miles [40 km]. Mais ils... Un voyage de quatre jours, ça correspondrait à une distance de cent miles [160 km], à l’époque. Et alors, il a levé la tête et a vu la montagne au loin. Et alors, lorsqu’il s’est approché de la montagne... Observez, ça c’est la grâce souveraine ici, observez-le. Il a dit à ses serviteurs, il a dit : «Maintenant, vous, restez ici pendant que le jeune garçon et moi nous allons là-bas pour adorer. Et le jeune homme et moi nous reviendrons.» Oh ! La la ! Oh ! La la ! «Le jeune homme et moi...»

            «Comment vas-tu le faire? Tu l’amènes là-haut pour le tuer. Mais comment vas-tu le faire?»

            «Ce n’est pas mon affaire de le comprendre», dirait Abraham. «Dieu a fait la promesse, et moi j’ai reçu cet enfant comme quelqu’un qui vient des morts. Et Dieu est capable de le ressusciter des morts.» Amen. Voilà les enfants d’Abraham. C’est ça l’espérance qu’ils ont en Lui ce soir.

60        Il a donc pris le petit gars, il lui a mis le bois sur le dos, un type même de Christ (nous touchons juste les grandes lignes maintenant), et il a gravi la colline. Et lorsqu’il est arrivé au sommet de la colline, là tout au sommet de la montagne, où il allait faire le sacrifice, le petit Isaac a dit : «Papa?» Il a dit : «Voici le sacri-... Voici le bois, voici l’autel, mais où est l’agneau, le sacrifice pour cet autel?»

            Et Abraham, d’une voix tremblante, le vieil homme a regardé autour de lui et a dit : «Mon fils, Dieu se pourvoira Lui-même d’un sacrifice.»

            Il a pris son propre fils, il lui a lié les mains. Ecoutez, c’est une double preuve de notre salut ce soir. Dieu lui a donné une double... Nous n’avons pas... Dieu l’a prouvé deux fois au travers d’Abraham et a juré pour cela de Ses propres mains (c’est juste.) Qu’il respecte Son alliance.

            Nous n’avons pas à nous inquiéter de quoi que ce soit, si Dieu nous a appelés à bénéficier de Sa bienveillante grâce. Frère, je vous assure, si vous êtes né de nouveau de l’Esprit de Dieu, vous devriez être la personne la plus heureuse au monde, parce que vous avez la Vie Eternelle, la Vie Eternelle, et vous ne pouvez pas périr. Amen. Vous avez été ensemencé avec la semence incorruptible de Dieu.

61        Quand une semence va en terre, un grain de blé, il ne peut produire autre chose qu’un grain de blé. Et si vous vous promenez là en disant : «Eh bien, gloire à Dieu je–j’ai été sauvé. J’ai le Saint-Esprit», et que vous meniez n’importe quel genre de vie, vous feriez mieux de retourner à l’autel de Dieu, parce que la semence incorruptible de Dieu ne peut pas être une chose... Vous ne pouvez pas être du blé et un gratteron en même temps. Vous devez être soit du blé, soit un gratteron. Vous tous, vous avez des gratterons par ici? Très bien, alors des ronces, peu importe comment vous appelez cela, une autre mauvaise herbe. Vous voyez?

            Vous ne pouvez pas être une mauvaise herbe et du blé en même temps. Si vous avez en vous l’esprit de la vie du blé, vous reproduirez le blé. Si vous avez en vous l’esprit de la vie du gratteron, ce sera un gratteron. Et si le Saint-Esprit est en vous, vous croirez en Dieu, vous aimerez Dieu et vous agirez comme un chrétien. C’est juste. Si ce n’est pas le cas, c’est à leurs fruits que vous les reconnaîtrez.

            Oh ! Ce qu’il nous faut aujourd’hui, c’est un bon réveil à l’ancienne mode, du Saint-Esprit. Ce qu’il nous faut aujourd’hui, c’est une nouvelle secousse à l’ancienne mode de la puissance de Dieu, un mouvement des mûriers pour avancer une fois de plus dans la bataille. C’est Dieu qui suscite ce mouvement, si les gens veulent tout simplement écouter cela et y croire.

62        Maintenant, là-haut sur la montagne, il a amené son propre fils, il lui a lié les mains derrière, il l’a mis sur l’autel, il a baissé sa main et a tiré son couteau, il a repoussé la tête du petit garçon en arrière, il a levé la main pour tuer son propre fils d’un coup de poignard. Et à ce moment-là, le Saint-Esprit a saisi sa main et a dit : «Abraham ! Retiens ta main.»

            N’ayez pas peur de vous avancer carrément vers la fin de la vie avec Lui. Dieu entrera en scène. Il est Jéhovah-Jiré : «Le Seigneur pourvoira à un sacrifice.» Il pourvoira.

            Et à ce moment-là, il a entendu quelque chose bêler, et un petit bélier était retenu par ses cornes, dans le désert. D’où est venu ce bélier? Ils étaient à cent miles [106 km] de la civilisation. Et ils étaient là au sommet de la montagne où il n’y a pas d’eau. Comment ce bélier est-il arrivé là? Dieu est toujours Jéhovah-Jiré. Peu importe les circonstances, Il peut pourvoir au sacrifice à tout moment. Amen. Peu importe les circonstances, Il est Jéhovah-Jiré.

63        Eh bien, écoutez, ce n’était pas une vision. Il s’est avancé là et il a attrapé le bélier, il l’a plaqué là, et lui a assené un coup de couteau, et le sang en est sorti. Ce n’était pas une vision qu’il voyait ; c’était effectivement un bélier. C’était Christ, l’Agneau de Dieu, immolé depuis la fondation du monde. Alléluia ! Il était là, Christ. Ce n’était pas une vision. Cet agneau était appelé à l’existence par la Parole en une minute, et il n’a plus existé à la minute suivante, de la même façon que Dieu s’était rendu manifeste dans la chair devant Abraham, et qu’il a disparu à la minute suivante.

            Il est le même Dieu, de sorte qu’un jour nos atomes, lorsqu’ils seront brisés et qu’ils s’en iront, que la vie quittera ce corps, par Sa Parole, Il ramènera cela à l’existence un jour dans la résurrection. Il est Jéhovah-Jiré. Comment le fera-t-Il? Je ne sais pas. C’est Son affaire, mais Il a dit qu’il le ferait et je crois en Lui. Jéhovah-Jiré : «Le Seigneur se pourvoira Lui-même d’un sacrifice.»

64        Peu importe ce que c’est, l’agneau était là. Il a pourvu à un agneau lorsqu’il avait besoin d’un agneau. Lorsque vous êtes malade et que vous avez besoin de la guérison, Il y pourvoira pour vous. Si vous avez besoin du salut, Il vous l’accordera. Si vous avez besoin d’un réveil, Il y pourvoira pour vous. Si le pot de farine est vide, Il pourvoira pour vous. Amen.

            Si vous êtes complètement abattu et découragé, Dieu pourvoira pour vous. «Car Il a été blessé pour nos péchés, brisé pour notre iniquité ; le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur Lui ; c’est par Ses meurtrissures que nous avons été guéris.» Amen. Le sacrifice auquel le Seigneur a pourvu, l’Agneau auquel le Seigneur a pourvu...

65        Il n’y a pas longtemps, je lisais une petite histoire sur le vieil aveugle Bartimée. Elle disait qu’il était aveugle depuis des années et des années. Il... Dans sa vie conjugale, pendant qu’il était aveugle, une fillette lui était née dans son foyer. Et cette petite fille, il ne l’avait jamais vue de sa vie.

            Ainsi, une nuit, il avait l’habitude de... Eh bien, il avait l’habitude de s’asseoir à la porte de Jéricho et à différents endroits. Il avait deux petites tourterelles qui faisaient de petites culbutes, comme cela, de part et d’autre, pour égayer les touristes qui passaient, en sorte qu’on pouvait lui donner quelques pièces de monnaie pour sa survie.

            Et le pauvre vieil homme, un soir, sa femme est tombée malade ; le voilà qui sort et il prie. Il a dit : «Ô Jéhovah, si seulement tu la laisses vivre, je Te promets que demain je t’offrirai ces deux tourterelles en sacrifice.» Et sa femme a été guérie, et il a tenu parole, il est allé et a offert les tourterelles.

66        Peu de temps après, sa fillette est tombée malade. Et elle était à l’article de la mort ; le médecin l’avait abandonnée. Il est sorti là et a dit : «Ô Jéhovah, si seulement Tu guéris ma fillette, demain, l’unique chose que j’ai, je Te la donnerai, et c’est mon agneau.» Et aujourd’hui, les gens ont des chiens qui conduisent les aveugles ; à l’époque ils avaient des agneaux pour conduire les aveugles.

            Ainsi, il a dit : «j’ai ici un agneau qui me conduit, comme je suis un aveugle. C’est tout ce que j’ai. Mais si Tu guéris ma fillette, je Te promets que je Te donnerai cet agneau demain.»

            Il est rentré chez lui, et la fièvre a quitté la fillette. Le lendemain matin, il était en route pour aller offrir l’agneau en sacrifice.

            Lorsqu’il est passé chez Caïphe, le grand souverain sacrificateur, ce dernier se tenait là, et il a dit : «Bartimée l’aveugle, où vas-tu ce matin?» c’était par un beau matin du printemps. Il a dit : «Où vas-tu, Bartimée l’aveugle?»

            Il a dit : «Oh ! Souverain Sacrificateur, a-t-il dit, je vais à–à l’autel pour offrir cet agneau.» Il a dit : «Ma fille était malade et Dieu l’a guérie, et j’ai fait la promesse que j’offrirais–je donnerais aujourd’hui cet agneau.»

            «Oh ! A-t-il dit, Bartimée l’aveugle, a-t-il dit, tu ne peux pas offrir cet agneau, Bartimée l’aveugle.» Il a dit : «Je vais te donner de l’argent et tu iras acheter un agneau.»

            Il a dit : «Oh ! Souverain sacrificateur, j’apprécie tout ça, mais je n’ai jamais offert à Dieu un agneau, je Lui offre cet agneau-ci.» Et c’est de cet agneau-ci qu’il s’agit. Que Dieu ait pitié, l’agneau. Et il a dit : «Je lui ai offert cet agneau-ci. C’est cet agneau-ci que je Lui ai promis.»

            Et il a dit : «Bartimée l’aveugle, tu ne peux offrir cet agneau ; cet agneau, ce sont tes yeux.»

            Il a dit : «c’est juste, oh ! Souverain sacrificateur, mais je tiens ma promesse envers Dieu, Dieu pourvoira à un agneau pour les yeux de Bartimée l’aveugle.»

67        Il a continué son chemin et a tenu sa promesse envers Dieu. Par une journée froide de novembre, alors qu’il se tenait près de la porte de Jéricho, tremblant dans ses haillons, sans tourterelles, seul, une clameur s’est fait entendre. Généralement, là où est Jésus il y a beaucoup de bruit. Les gens demandaient : «Qu’est-ce qui se passe?»

            On a dit : «c’est Jésus de Nazareth qui passe.»

            Bartimée s’est écrié : «Oh ! Jésus, Fils de David, aie pitié de moi.» Dieu avait pourvu à un Agneau pour les yeux de l’aveugle Bartimée. En effet, Il a tenu la promesse qu’il avait faite à l’aveugle Bartimée.

            Laissez-moi dire ceci ce soir, mon bien-aimé frère, ma bien-aimée soeur : ce même Agneau auquel Il avait été pourvu pour les yeux de l’aveugle Bartimée, il y a été pourvu pour les vôtres ce soir. «Car Il a été blessé pour vos péchés, brisé pour votre iniquité.»

            Vous direz : «Ceci peut-il être appliqué à ce temps-ci?» Il est Jéhovah-Jiré. Il pourvoira si vous croyez. Prions.

68        Notre Père céleste, nous Te remercions ce soir pour l’Agneau auquel il a été pourvu. Louez le Seigneur qui a été immolé pour les pécheurs, rendez-Lui gloire vous tous les peuples, car le Sang peut ôter chaque tache.

            Nous sommes si reconnaissants pour cet Agneau de Dieu auquel il a été pourvu là-bas, qui est venu depuis la fondation du monde. Tout au long des âges, les gens tiraient des rémunérations de Ses grands sacrifices suprêmes ; et ce soir, Seigneur, nous Te prions de faire en sorte que chaque aveugle, tout homme qui est aveugle dans le péché et les offenses, qui marche en trébuchant dans les ténèbres, sans savoir où il va, puisse regarder ce soir vers Dieu, vers l’Agneau de Dieu, et qu’il reçoive Sa vue spirituelle en ce moment-ci.

            Accorde-le, Père céleste. Car nous le demandons au Nom de l’Agneau de Dieu, Ton Enfant Bien-aimé, le Seigneur Jésus.

69        Pendant que nous avons la tête inclinée, je me demande s’il y a ici un pécheur ce soir qui dira : «Ô Dieu, ne m’oublie pas, ô Doux Sauveur.» [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

70        Père... le jeune homme a couru vers Lui, et il a dit : «Seigneur, aie pitié de mon enfant.» Il a dit : «Je l’ai amené chez les disciples, et il semble qu’ils n’arrivent pas à faire quelque chose pour lui.» Il a dit : «Il–il a un mauvais esprit qui le jette dans le feu, qui le fait dépérir et il écume, et il tombe dans l’eau, et le diable essaie de le tuer.» On appelle cela l’épilepsie, aujourd’hui, mais à l’époque c’était un démon. C’est toujours un démon.

            Et il a dit : «Je l’ai amené chez les disciples, et ils n’ont pas pu...» Il a dit : «Seigneur, peux-Tu m’aider?»

            Jésus s’est retourné et Il a dit : «Je le peux si tu crois. Car toutes choses sont possibles à celui qui croit.»

            Le père de l’enfant a dit : «Seigneur, je crois. Viens au secours de mon incrédulité.»

            Oh ! Est-ce là notre cri ce soir? «Seigneur, je crois. Seigneur, je crois, viens au secours de mon incrédulité.»

71        Maintenant, dans cette assistance-ci au fond, je me rends compte qu’il y a beaucoup de gens, beaucoup que je ne connais pas. Franchement, il n’y a personne que je connais, excepté mes propres associés qui sont ici avec moi ainsi que ce prédicateur. Son nom m’échappe, mais il était avec moi l’autre jour à l’hôtel. Je–je... c’est l’un des présidents, ou quelque chose du genre, du comité. C’est la seule personne que je connaisse. Il y a un autre prédicateur avec lui, mais je ne pense pas connaître cet homme.

            Eh bien, si Jésus, le Fils de Dieu, est ressuscité d’entre les morts, Il fera les mêmes choses dans Sa résurrection, s’Il est le même, qu’il a faites lorsqu’il était ici sur terre. Est-ce juste?

            Lorsqu’Il était ici sur terre, Il ne prétendait pas être un guérisseur. Il a dit : «Je ne fais rien de Moi-même. Je... Le Père Me montre ce qu’il faut faire, et ensuite Je vais le faire. Je fais ce que le Père me montre.» Est-ce juste? «Je ne fais rien de Moi-même. En vérité, en vérité, Je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-même ; mais ce qu’il voit faire au Père, le Fils le fait pareillement. Le Père agit, et j’agis aussi jusqu’à présent.»

72        Maintenant, pour rendre cela clair pour certains d’entre vous, vous les nouveaux convertis, Jésus a dit : «Je ne peux pas guérir les malades ; Je ne peux rien faire. Premièrement, le Père Me montre une vision, et ensuite, Je vais traduire cela en acte, et Je fais exactement ce qu’il m’a dit de faire.»

            Regardez à la tombe de Lazare. Regardez tous les passages de la Bible. Il faisait exactement ce que le Père Lui montrait. Il est passé à côté des malades, des affligés, des morts, de ceux qui se mouraient de toute part, et tout, mais lorsque le Père Lui montrait ce qu’il fallait faire, Il s’en allait le faire.

            Or, Il a dit : «Vous ferez aussi les choses que Je fais. Et encore un peu de temps, et le monde, l’incroyant, ne Me verra plus. Mais vous vous Me verrez, vous Me verrez.» Il a promis qu’il serait avec nous tout au long de l’âge jusqu’à la fin, à la fin du monde. Le monde n’est pas encore arrivé à sa fin. «Jésus-Christ», dit la Bible dans Hébreux 13.8, «est le même hier, aujourd’hui et éternellement.» Est-ce juste?

            Eh bien, voici ce que je soutiens en Géorgie comme ça a été le cas trois fois à travers le monde maintenant : Jésus-Christ est ressuscité des morts, et ce soir, Il est vivant parmi les hommes. Et Il est ici dans le même principe, la même puissance, les mêmes signes, les mêmes prodiges, oeuvrant dans Son Eglise, continuant l’oeuvre avec Son Eglise pour laquelle Il a payé le prix quand Il était ici sur terre par Son sacrifice suprême. Je crois cela de tout mon coeur. Je le crois parce que la Bible le dit, et parce que Dieu vient et confirme qu’il en est ainsi.

73        Que pensez-vous que Jésus ferait s’Il était ici ce soir? Il serait en train de faire la même chose qu’il a faite autrefois. Il a regardé ; il y eut un homme du nom de Philippe qui fut sauvé. Ceci, c’est pour les nouveaux venus. Un homme appelé Philippe fut sauvé. Il est allé appeler son ami, Nathanaël. Il l’a trouvé sous un arbre, en train de prier. Maintenant, écoutez attentivement. Alors il a dit : «Viens voir qui j’ai trouvé, Jésus de Nazareth, le Fils de Joseph.»

            Eh bien, l’homme était un très bon membre d’église, il était vraiment du genre aristocratique. Il a dit : «Peut-il venir de Nazareth quelque chose de bon?» c’était une vieille petite ville méchante, où vivaient des égorgeurs et autres. Il a dit : «Viens, et vois.» Voilà une très bonne réponse. «Viens, et vois.»

74        Eh bien, il est allé. Et lorsqu’il s’est avancé là, il se peut que de la même manière que beaucoup de gens se tiennent debout ici, les gens se tenaient aussi tout autour de l’endroit où Jésus prêchait. Et lorsqu’il parlait aux gens, bon, bien vite, eh bien, Philippe s’est avancé là, en compagnie de Nathanaël. Nathanaël a regardé là pour voir Jésus, Jésus était debout dans une ligne de prière. Peut-être qu’il était dans la ligne de prière depuis... De toute façon, il était dans la Présence de Jésus. Et Jésus a regardé là et a dit : «Voici un Israélite, dans lequel il n’y a point de fraude.»

            Eh bien, si je le disais dans le langage d’aujourd’hui, je dirais : «Tu es un chrétien, un homme honnête.» c’est vraiment étonnant.

            Il a dit : «Rabbi, quand m’as-Tu connu?»

            Eh bien, Jésus a dit : «Avant que Philippe t’appelât, quand tu étais sous l’arbre, Je t’ai vu.»

            Nathanaël a dit : «Tu es le Fils de Dieu, Tu es le Roi d’Israël.»

            Jésus a dit : «Parce que Je t’ai dit cela, tu crois? Tu verras de plus grandes choses que celle-ci.» Alors à cause de cela, il est devenu un croyant. Vous voyez? Il a vu de plus grandes choses. Certainement, et son nom est immortel ce soir.

            Qu’est-ce que les enseignants, les pharisiens et les religieux de l’époque disaient à Son sujet? Ils disaient : «c’est un diseur de bonne aventure. Il est Béelzébul, le prince des démons. Et Il chasse les démons par le prince des démons.»

            Jésus a dit : «Eh bien, si le diable chasse les démons, alors son royaume est divisé et il ne peut subsister.» Le diable ne peut pas guérir les malades.

75        Quelqu’un m’a apostrophé l’autre jour là-dessus, et m’a appelé au téléphone disant : «Je ne suis pas d’accord avec vous.» Il a dit : «Ecoutez, lorsque Job... Lorsque Moïse et Aaron sont sortis, a-t-il dit, ces magiciens ont fait tout ce que Moïse avait fait.»

            J’ai dit : «Hourra ! Attendez un instant. Les magiciens pouvaient faire venir les malédictions, mais ils ne pouvaient pas les ôter. La guérison relève de Dieu seul.» Amen. C’est juste. Ils pouvaient faire venir les malédictions. Lorsqu’il y a eu une éruption des abcès, eux aussi ont fait venir cela. C’est juste. Ils pouvaient faire venir la malédiction, mais ils ne pouvaient pas l’ôter. En effet, Dieu a dit : «Je suis l’Eternel ton Dieu qui pardonne toutes tes iniquités, qui guérit toutes tes maladies.» Cela vient par Dieu seul.

76        Maintenant, j’aimerais que vous restiez assis. Maintenant, là dans–dans la ligne, la ligne de prière, je pense que je suis un inconnu pour tous. Est-ce juste? Si c’est le cas pour vous aussi, levez la main. Si vous m’êtes inconnu, levez la main. Combien dans cette assistance n’ont pas de carte de prière, et veulent que Dieu les guérisse ce soir? Levez la main, sans tenir compte... Oh ! Ça fait vraiment une grande masse.

            Je dirai ceci : Si je vous ai correctement présenté Jésus-Christ, et je déclare que ceci est un don de guérison divine envoyé de Sa part... Alors si Jésus, pendant qu’il se tenait dans une foule, une femme a touché Ses vêtements, et que Lui, ayant regardé dans la foule l’a retrouvée ; si l’aveugle Bartimée, et toute cette masse de gens qui étaient là-bas ont pu être dans une telle agonie... Jésus ne pouvait l’entendre, bien sûr, c’était à une distance d’ici jusqu’à l’autre bout de cette salle, là-bas ; et des milliers de gens se tenaient tout autour. Mais sa foi a touché Jésus. Il a dit : «Ta foi t’a guéri.» Vous voyez? «Ta foi...»

            Il regardait les gens et Il discernait leurs pensées ; la femme a touché Son vêtement, et elle s’est faufilée dans l’assistance. Il a regardé autour de Lui. Il a dit : «Quelqu’un M’a touché. Je me suis affaibli ; la force est sortie de Moi.»

            Et Il a promené le regard là dans l’auditoire pour voir qui c’était. Directement, Il a vu cette petite femme. Il lui a dit : «Eh bien, ta foi t’a guérie et ta perte de sang s’arrête.» Vous voyez? Parce qu’elle a cru.

77        Maintenant, Jésus est vivant ce soir, se rendant manifeste dans l’esprit de l’homme. Il avait fait cela même avant la croix. Cela semble être une chose difficile à comprendre pour les gens, de toute façon. Avant la croix, Jésus était en Moïse. Jésus était en David. Jésus était en Joseph. Considérez la vie de ce dernier, ce qu’il avait accompli, c’était très exactement un reflet de la vie–de la Vie de Christ, deux mille ans avant même qu’il soit né. Vous voyez? Et Il est ici après la croix ; Il est mort afin de pouvoir revenir et être parmi les hommes. Ainsi, Il est parmi les hommes, vivant ce soir. Combien croient cela? Que Dieu vous bénisse.

            Naturellement, vous savez que je parle, attendant quelque chose. Je vais vous dire exactement ce que c’est. Il s’agit de cette Personne qui est juste ici, l’Ange du Seigneur. C’est exact, la Colonne de Feu du Seigneur. Je suis juste un homme comme vous, un pauvre–né pécheur, sauvé par grâce, juste comme vous.

            Et plusieurs d’entre vous les anciens ici présents ce soir, vous étiez là jadis en train de prêcher, vous les baptistes, les méthodistes, les pentecôtistes et les nazaréens d’antan, vous étiez là jadis en train de prêcher lorsque j’étais un petit garçon. Je vous respecte, mon frère. Vous avez frayé le chemin, vous avez arraché les souches et d’autres choses, de sorte que lorsque ces choses-ci sont venues, elles pouvaient marcher sans problème. Je vous respecte et Dieu aussi. S’il y a un quelconque mérite à accorder à quelqu’un en ce jour-là, j’aimerais me tenir là et vous voir le recevoir. Que Dieu vous bénisse.

78        Bon. Maintenant, Sa Présence est ici. Maintenant, au Nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu, je prends tout esprit ici présent sous mon contrôle. [Espace vide sur la bande–N.D.E.] Maintenant, écoutez. Soyez tranquilles. Ne vous déplacez pas. Tenez-vous tranquilles, priez.

            Vous êtes en prière? Regardez par ici, vous qui n’avez pas de cartes de prière. Vous qui avez les cartes de prière, lorsque vous passerez ici, s’Il se met à vous parler, ne dites pas... Attendez simplement, laissez-Le terminer de parler, et alors vous saurez de quoi Il parle. Voyez ce qu’il vous dit de faire. Parfois lorsque vous faites une interférence, alors vous interrompez la vision (Vous voyez?), et cela–cela m’arrête. Parce que je vous entends parler, et ici en arrière, peut-être que vous êtes en train de parler en tant qu’une petite fille ou un petit garçon, et alors cela me fait sortir de la vision. Laissez-Le simplement terminer de parler, et écoutez-moi vous demander, et alors la vision sera terminée. Vous voyez? Maintenant, soyez respectueux partout.

79        Maintenant, est-ce de cette dame qu’il s’agit? Maintenant, s’il vous plaît, que quelqu’un surveille l’heure. Et frère Wood, surveillez de très près ce soir si c’est possible ; ne me laissez pas rester trop longtemps, et... Mais laissez-moi rester aussi longtemps que possible.

            Maintenant, que tout le monde soit très respectueux et dans la prière. Maintenant, vous pouvez imaginer ma position en me tenant ici devant ces gens, je pense, trois mille personnes, juste devant un tel nombre de gens, voire plus. Et je me tiens ici, devant cette femme, une inconnue... Voudriez-vous vous avancer et vous tenir devant l’auditoire? Voyez? Moi non plus, je ne le ferais pas, mais je compte sur Lui, le Seigneur Jésus. Il a promis, disant : «Je serai avec vous.»

            Et Il a toujours été là jusqu’à présent, et je crois qu’il sera là, et qu’il m’aidera maintenant, parce que je crois en Lui et j’ai confiance en Lui. Et je–je crois qu’il le fera. Jésus-Christ, le Fils de Dieu, nous aidera certainement ce soir.

            Restons simplement en prière. Et s’Il parle, croyons au Seigneur de tout notre coeur. Je crois que le Seigneur Jésus accomplira ces choses, chacune d’elles.

80        Ça va, ma soeur. Maintenant, juste un petit entretien avec vous. Maintenant, la première chose, c’est que je vous vois porter des lunettes. Vous voyez? Ainsi donc, étant donné que vous êtes la première patiente ici, n’est-ce pas que nous sommes des inconnus l’un pour l’autre? Nous ne nous connaissons pas, c’est la première fois que nous nous rencontrons ce soir, n’est-ce pas? Juste afin que les gens sachent, voudriez-vous lever la main, pour qu’ils le sachent. Nous...?... Il n’y a aucun moyen du tout pour moi de pouvoir vous connaître ; vous êtes–vous m’êtes parfaitement inconnue.

            Mais Dieu vous a connue depuis votre naissance et avant votre naissance. Il m’a connu de la même façon. Maintenant si j’étais... Si vous avez besoin de la guérison de votre corps, moi, je ne sais pas. Mais si c’est le cas (Voyez-vous?), si je pouvais vous guérir, je le ferais. Et si je refusais de le faire, je serais une brute (Vous voyez?), si je pouvais le faire, et que je refuse de le faire. Mais je ne peux pas le faire, parce que ce n’est pas à l’homme de le faire ; c’est Dieu qui fait le diagnostic.

            Maintenant, s’Il me fait connaître la chose, exactement comme vous et moi nous sommes en train de parler, la femme au puits de Samarie parlait au Seigneur Jésus... Il lui a parlé suffisamment pour engager une conversation afin de contacter son esprit. Et c’est ce que je suis en train de faire, la même chose. Juste pour connaître. Et s’Il me révèle ce pour quoi vous êtes ici, allez-vous accepter cela comme étant Sa Présence, que c’est Lui qui fait cela, et allez-vous croire alors? Vous allez accepter cela. Si cela est–si ça concerne les finances, croyez-vous que vous recevrez cela? Si c’est pour le salut, croyez que vous l’obtiendrez, et si c’est... Ce que vous Lui demandez, croyez que vous le recevrez. Si Dieu me révèle le motif de votre présence ici, alors cela manifeste donc Sa Présence, ce que vous désirez. Vous tous, les autres, allez-vous faire la même chose, allez-vous croire de tout votre coeur? Très bien, croyez simplement.

81        Maintenant, alors que je vous regarde, c’est comme Pierre et Jean qui étaient à la porte appelée la Belle, qui se sont adressés à l’homme infirme, disant : «Regarde-nous.» Vous voyez? Naturellement, il essayait de voir, peut-être qu’une vision était venue sur lui comme c’est le cas pour toute chose, et lui avait montré que cet homme pouvait marcher. Il l’a juste pris et relevé, parce qu’il savait qu’il pouvait marcher, après qu’il eut vu la vision selon laquelle il pouvait marcher.

            Maintenant, à vous, votre maladie... Vous avez une hernie dans le dos. C’est dans votre dos, c’est là que se trouve votre problème. Et puis, vous avez aussi subi un certain examen, il s’agit d’une grosseur à la colonne vertébrale. Vous avez une grosseur à la colonne vertébrale. Et puis, je vois l’homme regarder à votre poignet. Vous avez une grosseur au–au poignet droit, vous avez un...?... Avec une petite nodosité. Vous ne pouvez pas voir cela ici, mais ça se trouve là, de toute façon. C’est la vérité.

            Et puis vous n’êtes pas d’ici. Je vous vois venir du sud, de cette direction. Et vous passez une rue, en train de marcher ; il y a beaucoup de très grands palmiers, et vous êtes au bord de la mer. Là... Vous habitez une ville où les vagues de la mer roulent comme ceci, et c’est un... On dirait que c’est une ville que je suis censé connaître. Il s’agit de...?... Vous êtes de Miami. C’est de là que vous venez. C’est juste. Voilà. Maintenant, rentrez chez vous et soyez guérie. Jésus-Christ vous guérira, au Nom du Seigneur Jésus. Vous voyez?

82        Ayez foi en Dieu. Ne doutez pas. Croyez. Vous obtiendrez ce que vous demandez, si seulement vous pouvez croire.

            Maintenant, oh ! Si seulement je pouvais... Si mon auditoire pouvait savoir quel sentiment cela vous inspire. Je me sens trembler comme une feuille juste en ce moment. Vous voyez? C’est à cause de la guérison de cette femme.

            Maintenant, il–il semble y avoir des courants qui viennent de là, qui tirent simplement de toute part. Qu’est-ce? Vous êtes conscient maintenant que Quelque Chose est ici qui n’est pas un homme. Vous voyez? Et votre esprit... Vous voyez, ce n’est pas moi qui fais ça. C’est vous qui le faites. Vous voyez? La femme... Ce n’était pas Jésus qui avait guéri la femme ; la femme avait saisi ceci, elle avait tiré cela de Jésus. C’est le don de Dieu, mais votre foi tire le don de Dieu. Vous voyez? Dieu peut utiliser Son don ou vous, vous pouvez utiliser cela.

83        Maintenant, voyez cette femme qui se tient ici. Je pense que nous sommes des inconnus l’un pour l’autre, madame? Eh bien, Dieu vous connaît, n’est-ce pas? Moi, je ne vous connais pas. Mais si Dieu me le révèle, juste pour Sa gloire ; en effet, vous savez que c’est Lui qui reçoit toute la gloire, car l’homme ne peut pas faire ces choses... Maintenant, s’Il me révèle ce que–ce que vous êtes–ce pour quoi vous êtes ici, allez-vous le croire, et accepter, allez-vous croire que vous obtiendrez ce que vous avez demandé?

            C’est un contact avec quelqu’un d’autre. Vous êtes... Vous souffrez d’un trouble qui dérange votre estomac, mais ça se trouve sous votre côté droit, il s’agit de la vésicule biliaire. Vous avez un trouble de la vésicule biliaire. Et vous avez, je crois, c’est une maladie du sang, vous avez aussi le diabète. Vous avez le diabète sucré.

            Et je vois quelqu’un debout près de vous. Vous êtes... c’est–c’est un jeune homme, plutôt costaud. C’est–c’est... Votre fils est un prédicateur. Et il est–il est avec quelqu’un qui a, qui porte un chapeau de paille ou quelque chose d’autre, et il a un...?... Non, c’est un Foursquare, un prédicateur Foursquare. Il est un type plutôt costaud, et il a des cheveux roux. C’est vrai. Rentrez chez vous ; vous avez obtenu ce que vous avez demandé. Votre foi vous guérit. Amen.

84        Approchez. Croyez-vous? Que Dieu vous bénisse, madame. Nous sommes des inconnus l’un pour l’autre. Bien sûr que je vois votre problème ; c’est à cet endroit, sur votre nez. Maintenant, regardez-moi juste un moment. Peut-être, comme je vois ce qu’est votre problème, peut-être que Dieu me dira quelque chose d’autre que vous pouvez voir... n’importe qui peut voir cela. Vous voyez? Par exemple, si vous pouvez sortir ici et dire : «Cet homme qui est assis ici dans un fauteuil roulant est infirme.» n’importe qui voit cela. «Cet homme-ci sur le brancard, cet homme-ci» ; certainement, n’importe qui voit cela. Mais le problème c’est quand quelqu’un paraît en bonne santé, c’est donc là le côté mystérieux, qu’en dites-vous? C’est de cela qu’il s’agit.

            Maintenant, pour moi, vous avez l’air... Vous vous rendez compte que Quelque Chose est venu sur vous maintenant. C’est l’Esprit du Seigneur. Maintenant, c’est une tumeur dont vous craignez que ce soit un cancer. Et cela a été causé... Vous avez eu cela à la suite d’une blessure ; vous vous êtes blessé au nez il y a quelque temps, et ça vient comme cela, ça pousse à cet endroit. Et d’une manière ou d’une autre, entre vous et moi, il y a de grandes vagues mugissantes qui viennent, c’est comme de l’eau qui est en train de mugir. Et vous partez... Vous allez à un... c’est une–c’est une mer. Vous êtes une missionnaire. Et vous venez de, je crois, il s’agit des îles Bermudes, ou d’ailleurs. Il s’agit de l’un de ces endroits où... vous êtes partie d’un... [La soeur dit : «Bahamas.»–N.D.E.] Oui. C’est là que vous êtes... Et vous essayez d’y retourner, n’est-ce pas? Que Dieu vous bénisse.

            Ayez foi en Dieu. Croyez.

85        Madame, sommes-nous des inconnus l’un pour l’autre? Nous sommes des inconnus l’un pour l’autre. Je ne vous connais pas, mais Dieu vous connaît. Maintenant, rapidement, je commence à voir comme une petite ombre noire qui se déplace, et c’est un–c’est un esprit de fatigue, qui vous rend nerveuse. Vous devenez très nerveuse, n’est-ce pas? Vous souffrez de la nervosité, surtout... Je vous vois, et c’est plutôt tard dans l’après-midi, comme cela, que vous devenez plus nerveuse, et parfois vous vous asseyez après avoir travaillé. C’est juste.

            Et puis, vous avez quelque chose qui cloche dans votre dos, c’est une maladie des reins, c’est dans votre dos. Et puis, vous avez... Vous portez des lunettes, et c’est à cause d’une vue faible. Et cela a été causé par une certaine chose qui était arrivée, comme un–comme la variole, ou quelque chose comme ça qui a touché vos yeux, il y a longtemps. C’est vrai.

            Croyez-vous que vous êtes dans Sa Présence? Croyez-vous que c’est Lui qui parle au travers de moi? Ce n’était alors pas ma voix. C’était Sa voix à Lui. Maintenant, ceci c’est ma voix. Alors croyez-vous, s’Il est...?... Présent pour vous imposer les mains, ce qu’il dit arrivera? Ils seront guéris. Est-ce juste? Approchez. Je fais ceci par obéissance aux commandements de notre Seigneur et Sauveur Jésus-Christ. Que cette femme soit guérie. Amen. Que Dieu vous bénisse, soeur. Allez en vous réjouissant maintenant, et que Dieu soit miséricordieux et vous bénisse.

86        Bonsoir, madame. Croyez-vous de tout votre coeur? Nous sommes...? Inconnus l’un pour l’autre, je pense. N’est-ce pas? Oh ! C’est...

            Voulez-vous être guérie de cette...?... Maladie. Vous avez été guérie à ce moment-là. Jésus-Christ vous a guérie, madame. Amen. Amen.

            Voyez-vous, vous n’avez pas besoin de vos cartes de prière. Vous n’êtes pas obligés d’en avoir. Il vous faut tout simplement avoir la foi en–en Dieu. Regardez simplement dans cette direction et croyez que je vous ai dit la vérité. Voyez, c’est tout ce que je vous demande de faire.

            Cette dame était assise là en train de prier. Et pendant qu’elle priait elle disait : «Seigneur, fais que cet homme se retourne et m’appelle, et j’accepterai cela.» Si c’est la vérité, madame, agitez votre main, levez votre main et agitez-la. Vous voyez? Je ne fais que vous citer votre prière. Vous voyez?

            Vous êtes dans cette dimension-ci ; vous n’êtes pas–vous n’êtes pas dans ce monde ; vous êtes quelque part ailleurs. Vous voyez? Oh ! N’est-Il pas merveilleux? Il est ressuscité des morts. Oh ! Ne voulez-vous pas dire : «Louez soit le Dieu vivant, le Grand Jéhovah.» Il n’a pas laissé Son peuple sans un témoin. Il est venu à nous en ce jour-ci, et nous l’adorons et Le louons de tout notre coeur. Amen.

87        Maintenant, regardez dans cette direction juste un moment, madame, afin que je sois en mesure de vous dire quelque chose qui pourrait peut-être vous aider. Je l’espère. Cela devrait venir au travers de Dieu ; vous le savez. Je vous vois... Vous avez été chez un médecin ; un médecin était en train d’examiner l’oeil gauche. Et c’était en quelque sorte à un endroit qui ressemble à un... Non, c’est... Oui, maintenant attendez, il y a une autre vision qui se produit dans ma–c’est très loin derrière vous. Vous étiez dans un lieu où on opérait une tumeur ou une autre chose, et on avait retiré une tumeur de votre oeil. Et alors, cela est revenu, et ce médecin vous dit qu’on doit maintenant en faire l’ablation. C’est la vérité. Croyez-vous que Jésus-Christ va vous guérir? Approchez.

            Dieu Tout-Puissant, au Nom de Celui qui voit au milieu de nous, ô Dieu, sois miséricordieux envers cette femme. Puisse-t-elle être guérie et vivre longtemps. Je le demande au Nom de Jésus. Amen. Que Dieu vous bénisse, madame. Partez maintenant, et soyez guérie.

            Ayez la foi. Ne doutez pas.

88        Croyez-vous, madame? Maintenant, nous sommes des inconnus l’un pour l’autre. Mais il y a une chose qui est sûre ; Dieu nous connaît tous les deux, n’est-ce pas? Vous souffrez d’une chose hideuse appelée le cancer, et puis l’esprit de mort est suspendu près de vous. Et puis vous avez besoin d’une seule chose plus que cela, c’est du salut de l’âme. C’est vrai. Voulez-vous accepter Jésus comme votre Sauveur maintenant? Vous êtes un pécheur. Si vous vous repentez maintenant et donnez votre vie à Christ, Christ vous guérira. Est-ce que vous Lui donnez votre vie?

            Dieu Tout-Puissant, que ses péchés lui soient pardonnés. Et je Te prie, ô Dieu, d’ôter tous ses péchés et–et de la guérir ce soir et de lui donner une bonne santé. Je condamne le diable qui a lié cette femme. Sors d’elle au Nom de Jésus-Christ ! Amen.

            Très bien, jeune dame, vous avez crié fort. Vous savez que vous avez été condamnée. Sur votre chemin en venant ici vous étiez en train de prier que Dieu fasse quelque chose pour vous. Vous étiez prête à vous repentir. Est-ce juste? Et vos péchés sont pardonnés maintenant. Continuez votre route en vous réjouissant et servez le Seigneur Jésus. Amen.

89        Maintenant, je n’ai pas lu la pensée de la femme. Et cette femme-ci, posez–posez votre main sur la mienne juste une minute. Je ne vais pas la regarder au visage. Si Dieu me révèle ce qui ne va pas chez vous, pendant que vous vous tenez ici comme ceci, sans que je ne vous regarde, allez-vous croire que Jésus m’a envoyé? Allez-vous croire, madame? Vous avez le diabète. Jésus-Christ vous guérit. Est-ce juste? Continuez votre route en vous réjouissant.

            Vous n’avez pas besoin de faire cela, prenez simplement... Donnez-moi votre main un moment, madame. Ici, je vous vois en train d’essayer de sortir d’un lit, madame. Vous êtes malade et c’est dans votre corps, il s’agit de l’arthrite. Est-ce juste? Descendez de l’estrade ; Jésus-Christ vous guérit et vous rétablit.

            Approchez, s’il vous plaît, madame. Venez. Juste un instant. Où sont les hommes de couleur? Vous qui êtes sur le lit de camp, croyez-vous que je suis le prophète de Dieu? Vous n’avez pas de carte de prière, n’est-ce pas? Croyez-vous que Dieu peut me révéler ce que vous avez? Allez-vous accepter que je suis votre prophète et m’obéir? Alors, levez-vous de ce lit de camp, et rentrez chez vous, et prenez votre souper. Jésus-Christ vous rétablira. Amen.

90        Madame, croyez-vous que Dieu vous guérit de votre diabète? Continuez votre route en vous réjouissant et soyez rétabli. Jésus-Christ vous guérit. Amen.

            Disons : «Gloire au Dieu vivant !» Disons : «Gloire à Dieu !»

            Très bien, soeur. Me croyez-vous? Jésus vous guérit. Croyez de tout votre coeur. Jésus-Christ vous guérit. Continuez votre route en vous réjouissant, disant : «Grâces soient rendues à Dieu !»

            Monsieur, et si je vous disais que vous avez été guéri pendant que vous vous teniez là dans la ligne? Me croirez-vous? Vous l’êtes, mon cher frère. Continuez votre route...?...

            Croyez-vous, madame? Allez prendre votre souper. Jésus-Christ vous guérit de votre problème de l’estomac maintenant. Vous pouvez partir et être guérie.

            Croyez-vous?

91        Venez, madame. Croyez-vous de tout votre coeur? Croyez-vous que je suis serviteur de Dieu? Le trouble des reins vous quitte alors. Continuez votre route en vous réjouissant, et votre dos est guéri. Vous pouvez rentrer chez vous étant guérie au Nom de Jésus.

            Venez. Soyez attentif. Croyez-vous?

            Juste un instant. Me croyez-vous, madame? Regardez ce rai noir et immonde qui traverse par ici ; ne voyez-vous pas cela? La voici. Il s’agit de ces deux femmes qui sont assises juste là derrière dans cette deuxième rangée. Vous deux vous souffrez des problèmes gynécologiques, des maladies gynécologiques. C’est vrai. Vous avez la même chose. Toutes les trois, levez-vous. Jésus-Christ vous guérit toutes les trois. Voilà ce rai qui s’éloigne de vous. Continuez votre route en vous réjouissant et soyez guéries. Ayez foi en Dieu.

92        La dame qui est assise juste là derrière et qui souffre des maux de dos, croyez-vous que Jésus-Christ vous guérit. Me croyez-vous de tout votre coeur? Si vous croyez, vous pouvez recevoir cela. Que Dieu vous bénisse. Rentrez chez vous et soyez guérie, si vous pouvez croire. Amen.

            Voulez-vous être guéri de ce rhume de foin? Croyez-vous que Dieu vous guérira? Croyez-vous? Très bien, alors soyez guéri. Posez votre main sur cette dame qui est là à côté de vous? Elle a une maladie cardiaque. Voyons si elle aussi est guérie. Seigneur Jésus, je Te prie de bénir cette femme aussi et de la guérir. Amen.

            Vous savez pourquoi elle a été guérie... Madame, qui avait le bébé, cette maladie cardiaque que vous aviez, cette dame-ci avait aussi une maladie du coeur ; toutes les deux, vous avez été guéries au même moment. Vous pouvez donc rentrer chez vous et être guéries. Que Dieu vous bénisse.

            Et maintenant, vous aviez la même chose ; ça vous a quittée au même moment où ça l’a quittée. Voilà cette...?... Juste comme cela. Vous êtes guéries, rentrez chez vous en vous réjouissant, et soyez rétablies. Alléluia.

93        Croyez-vous? Ayez foi en Dieu.

            Votre arthrite est partie. Rentrez chez vous. Amen.

            Voulez-vous être guérie de cette phlébite, vous qui êtes assise là-derrière? Croyez-vous que Dieu vous guérit? Votre foi vous a guérie juste à ce moment-là, madame. Tenez-vous debout, Jésus-Christ vous guérit.

            Approchez, madame. Votre anémie est aussi partie. Vous pouvez donc continuer votre route en vous réjouissant.

            Amen. Juste un instant, juste un instant. Voici mon...?...

            Croyez-vous? Très bien, votre problème gynécologique vous a quittée. Ayez la foi.

94        Est-ce l’un des patients? Est-ce vous le patient, monsieur? Croyez-vous? Croyez-vous que je suis le prophète de Dieu? Je crois que vous dites la vérité. Vous avez été blessé. Un morceau d’acier ou de métal vous a heurté, et vous avez subi une opération du cerveau. Je vois quelque chose comme des trains, ou un chemin de fer. Vous étiez... Vous avez subi une opération. Vous êtes aussi un catholique, de par votre foi. Vous êtes un catholique. Et votre–votre nom, c’est Davis ; votre prénom est Walter. Vous habitez au numéro 909 sur la Deuxième Rue. Rentrez chez vous, monsieur. Louez soit le Seigneur Jésus, Il vous guérit. Jésus-Christ vous l’accorde.

            Pourquoi ne vous levez-vous pas, vous souffrez de la vésicule biliaire, vous qui êtes couchée sur ce lit de camp, madame. Levez-vous, au Nom du Seigneur Jésus...?... Amen.

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