Puis Jésus Vint À L’Heure La Plus Sombre

Date: 55-1114 | La durée est de: 1 heure et 38 minutes | La traduction: Shp
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1          Oh! la la! Je sais ce que vous ressentez, c’est ce que je ressens aussi. Disons donc: «Gloire au Seigneur!» Tout le monde: «Gloire au Seigneur!» Avec ça, si vous étiez mourant, on dirait que vous pourriez effectuer une bonne traversée, n’est-ce pas? Donc, cela... On dirait que ce serait vraiment bien. Que Dieu bénisse nos frères.

            Je–je peux bien m’en abreuver sans me rassasier. C’est vraiment–vraiment un merveilleux cantique à l’ancienne mode. Quand j’écouterai Waermo, Einar et Sankey, tous ces gens-là, chanter là-bas, je vous assure, ce sera merveilleux, n’est-ce pas? Quand–quand... Oui, oui. Assurément.

            Pensez-y donc! Nous aurons une occasion de les entendre éternellement une fois arrivés là. Ce sera merveilleux, n’est-ce pas? J’aime vraiment les chants. Je me dis que de bons chants à l’ancienne mode comme celui-là, c’est la–c’est la colonne vertébrale de la réunion. J’aime vraiment ça.

2          Eh bien, nous sommes heureux d’être de nouveau ce soir sous une tente pour l’Evangile, pour–pour prêcher encore et prier pour les–les enfants de Dieu malades. Et nous nous attendons à Dieu pour un–un grand service ce soir. Vous êtes... Vous connaissez par ici un de ces temps de l’Indiana maintenant même. Je suis sûr que cela fait obstacle à beaucoup. Et nous tâcherons chaque soir, autant que possible, avec l’aide de Dieu, de vous laisser sortir de la réunion aussi vite que possible. Et dans une heure, le temps pour moi d’arriver, si je le peux.

            J’aime vraiment beaucoup parler du Seigneur, au point que je ne sais pas quand m’arrêter. Et aussi, je suis–je suis gourmand des choses spirituelles dans ma... Je ne me rassasie pas très vite. Ainsi, j’aime vraiment vous parler parce que vous êtes des gens très aimables.

3          Et parfois, je crible de balles à outrance ma cible, comme nous le disons. Je n’en ai donc pas l’intention. Et ce soir, j’ai vu des gens couchés ici sur des brancards et des civières, des gens commencent à venir dans leurs fauteuils roulants et sur des civières. J’aime... je n’aime pas voir des gens cloués comme cela. Mais je–j’aime les voir venir recevoir le remède de Dieu, afin de se rétablir.

            Et notre Père céleste est plus que disposé. Et à mes bien-aimés cloués ici ce soir, j’espère que celle-ci sera la dernière heure où vous aurez à vous retrouver comme cela, que Jésus vous rétablira. S’il y avait quelque chose que je pouvais faire à ce sujet, je serais content de le faire. Je ne peux rien. Je suis juste–je suis juste votre frère. Mais je suis ici pour vous aider. Et avec l’aide du Seigneur Jésus, alors, si seulement vous croyez en Lui, c’est la foi qui est en vous qui compte.

4          Evidemment, ma foi vous aidera, assurément. J’utilise tout ce que je peux pour vous aider. Et puis, nous tous, tous ensemble, et tous ces autres aussi, pas seulement moi, mais tous les autres ici s’intéressent à vous. Et ils–ils veulent que vous soyez rétablis. Et c’est vrai, n’est-ce pas, assistance? Assurément que nous le voulons. Et c’est pour cela que nous sommes ici. C’est ainsi que je suis venu depuis tout là-bas, en Indiana, pour–pour prier pour vous, vous aider, vous parler du Seigneur.

            Maintenant, je ne peux que faire ce qu’Il m’a ordonné. Je ne peux que dire ce qu’Il dit. En effet, si je vous disais autre chose, ce serait... Vous verriez que c’est faux. Cela doit donc provenir de Dieu. Et c’est ce que vous voulez, en direct de Dieu. Et croyez simplement donc de tout votre coeur.

5          Et maintenant, abordons directement notre texte, très vite. Comme le temps s’améliore un peu, nous traînerons plus tard dans la semaine. Inclinons donc la tête juste un instant, pendant que nous parlons au Roi, s’il vous plaît.

            Notre Père céleste, quel privilège pour nous des mortels d’avoir cette grande possibilité de parler au Roi des rois. Et par Son unique Fils qui était ici sur terre, qui est mort pour dégager cette voie pour nous, ôter tous les câbles souterrains et nous permettre de parler. Il a dit: «Tout ce que vous demanderez au Père en Mon Nom, Je le ferai.» Oh! Quel privilège!

6          Aussi, Père, nous Te demandons d’abord de nous exaucer au Nom de Jésus, et nous savons donc que Tu le feras, car nous l’avons demandé en Son Nom. Et Ses Paroles ne peuvent pas faillir. Je sais donc que Tu es ici en train d’écouter. Et Tu connais les besoins de cette petite assistance ce soir. Tu connais mes besoins. Tu connais leurs besoins. Et ensemble, Père, nos besoins... Que cela soit Ta volonté, Ton désir, de nous l’accorder ce soir.

            Et mon désir ce soir, c’est de voir chaque pécheur être sauvé, chaque rétrograde être réclamé, chaque personne qui n’est pas remplie être remplie du Saint-Esprit, chaque personne qui n’a pas d’amour être baptisée dans l’amour, chaque malade être rétabli, de voir ces civières et–et ces fauteuils roulants rester vides et les gens marcher, louant Dieu, voilà mon désir, Seigneur. C’est notre désir à tous. Accorde-le-nous donc ce soir.

            Eh bien, veux-Tu bien nous ouvrir Ta Parole et nous parler quelques instants pour nous accorder un petit fondement pour ce que nous sommes venus recevoir ici ce soir. Car nous le demandons au Nom de Jésus, comme Il nous l’a ordonné. Amen.

7          Maintenant, dans le–l’Evangile de saint Luc, chapitre 11, j’aimerais lire juste un passage des Ecritures là. Oh! Un verset suffirait pour servir de petite toile de fond! Et ensuite, nous nous mettrons directement à parler et ce ne sera pas long. Je tâcherai de veiller, et aidez-moi plutôt, s’il vous plaît, vous là derrière, frère. Ne me laissez pas parler trop longtemps, afin que je puisse sortir les gens tôt. Et maintenant, au verset 28 du chapitre 11 de Saint Jean, voici ce que nous lisons:

Ayant ainsi parlé, elle s’en alla. Puis elle appela secrètement Marie, sa soeur, et lui dit: Le maître est ici, et il te demande.

            Maintenant, puisse le Seigneur ajouter Ses bénédictions à la lecture de Sa Parole. Maintenant, mon sujet de ce soir, pour quelque temps, sera: Puis Jésus vint à l’heure la plus sombre.

8          Et sans aucun doute du tout, ce soir, dans ce petit groupe de gens, il se peut que vous connaissiez votre heure la plus sombre. Peut-être que vous n’en connaissez pas pendant que vous êtes assis ici. Peut-être que vous n’êtes pas sauvé pendant que vous êtes assis ici, ayant un caillot de sang se faufilant droit au coeur. Et la chose suivante, vous savez, peut-être qu’avant la fin de la réunion, ou avant l’aube, vous pourrez rencontrer notre Maître.

            Il se peut que vous vous sentiez en parfaite santé et que ce caillot de sang reste juste tout près de votre coeur. Vous ne le savez pas. Parfois, ce sont des gens en très bonne santé, des gens forts, qui tombent tout bonnement à l’envers.

            Peut-être que vous êtes assis ici souffrant du coeur. Vous ne savez pas la minute où cela vous emportera. Peut-être que vous souffrez du cancer. Le médecin a dit qu’il n’y avait plus de chance. Et je ne connais pas vos maladies. Mais il y a une seule chose dont je suis sûr: Dieu le sait.

9          Et Il a préparé un remède contre cela, si nous pouvons l’accepter! Ainsi, croyons donc que Jésus nous rencontrera. Maintenant, notre leçon de ce soir porte sur notre Seigneur Jésus, au début de Son ministère.

            Hier soir, nous examinions, nous parlions de considérer le surnaturel sous forme de vision. Hier soir, Jésus disait: «Je ne fais que ce que Je vois d’abord faire au Père. Ainsi, ce qu’Il Me montre, ce qu’Il Me dit donc, Je vais le faire», en d’autres termes. Mais, voici la citation des Ecritures dans Saint Jean 5.19. Il a dit: «En vérité, en vérité, Je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-même, Il ne fait que ce qu’Il voit faire au Père; ce que le Père fait, Il le montre au Fils.»

            Eh bien, Il a dit: «Mon Père agit; Moi aussi, J’agis jusqu’à présent.» En d’autres termes, Il a dit: «Je ne fais que ce que Je vois d’abord faire au Père.»

10        Il y a quelque temps, j’étais dans une–une ville, il y a de cela plusieurs années, environ trois ou quatre ans, avec un homme bien, très célèbre, et un–un érudit et un homme cultivé. Un journal venait de me critiquer, disant que j’étais... Oh! Je ne... tout sauf un chrétien, je pense... Mais... Et le frère, lorsque je suis rentré chez moi, a dit: «Frère Branham, savez-vous ce que j’aurais fait si j’avais trouvé une telle grâce aux yeux de Dieu? J’aurais maudit ce journal et j’aurais demandé à Dieu de le consumer.»

            J’ai dit: «Oh! Vous ne feriez pas ça.» J’ai dit: «Je ne pense pas que cela soit même dans votre coeur.» J’ai dit: «Je ne pense pas que vous...»

            «Oh! a-t-il dit, si, si.»

            J’ai dit: «Eh bien, frère, pour commencer, nous n’aimerions pas faire cela, parce que cela ne ressemblerait pas à ce que Jésus aurait voulu faire. Vous voyez, Il n’aimerait pas que nous fassions cela.»

            Il a dit: «Eh bien, Frère Branham, c’est qu’en ces jours-ci, les prophètes ont changé.» Il a dit: «Nous avons besoin d’autres prophètes comme Elie qui était monté là, avait manifesté Dieu, et avait fait descendre le feu du ciel.»

            J’ai dit: «Il avait fait cela uniquement après avoir eu une vision.»

            «Oh! non, a-t-il dit, il les avait simplement défiés et il avait dit...»

            J’ai dit: «C’était après avoir eu la vision, frère.»

            Il a dit: «Non.»

            J’ai dit: «Eh bien, observez après qu’il eut tout arrangé. Il a dit: ’Seigneur, j’ai fait tout ceci sur Ta Parole.’» C’est vrai. Après qu’il... tout sur Sa Parole...

11        Donc, aucun homme, à aucun moment, n’a fait pareille chose avant que Dieu le lui ait montré. Eh bien, je veux dire par là des actes de la foi pour aller faire certaines choses. Mais je veux parler de quelque chose de précis que vous savez que ça va avoir lieu.

            Maintenant, puis-je... Voudriez-vous me supporter encore cinq minutes, afin que je vous parle un peu de la vision? Voudriez-vous le faire? Ce que sont les visions, et ce que sont les dons, ce n’est que... c’est Dieu qui se manifeste aux gens de cet âge comme Il l’avait fait dans l’âge passé.

12        Eh bien, tout le monde sait que les prophètes d’autrefois comme Joseph... Nous savons qu’il était né voyant, il était haï de ses frères, aimé de son père, et–et il était le type de Jésus-Christ à tout point de vue. Vous le croyez, n’est-ce pas?

            Pensez-y donc. Il a été vendu pratiquement à trente sicles. On l’a fait sortir de la fosse où il était (il y était censé être mort), et il a été jeté en prison. Et là, une personne a été perdue et l’autre, sauvée, tout comme à la croix.

            Et de même, Christ fut emprisonné comme un homme terrestre, avec des clous aux mains. Et après, Joseph a été placé à la droite de la plus grande ville du monde, à droite de Pharaon. Et tous s’agenouillaient. Nul ne pouvait venir à Pharaon sans passer par Joseph. Jésus s’est assis à la droite de Dieu. Nul ne peut venir au Père sans passer par Christ.

13        Le type apparaît aussi quand Joseph mourut, laissant un signe en Egypte ou un vieux cercueil. Et je suis censé avoir posé mes mains dessus, dans un musée, il n’y a pas longtemps ; un vieux cercueil en cuir bâti où on avait déposé les os de Joseph. Et Joseph avait dit: «N’emportez pas mes os d’ici, ou plutôt qu’on ne m’ensevelisse pas ici. Mais un jour, Dieu vous fera sortir d’ici, vous ferez remonter mes os devant vous vers la Terre promise.»

            Et il est parti. Et chaque Israélite abattu qui passait par là et voyait ces os pouvait regarder par là et dire: «Un jour, nous partirons. Un jour, nous partirons. En effet, là gît le prophète. Et il avait dit que ses os seraient remontés devant l’assemblée. Ainsi, un jour, nous partirons. C’est là un signe.»

14        Et aujourd’hui, lorsque nous allons à la tombe avec nos bien-aimés et que nous entendons le prédicateur dire: «Tu es poussière, tu retourneras à la poussière», et que nous entendons les mottes de terre tomber sur le cercueil... Mais nous pouvons regarder cela avec les yeux de la foi, nous pouvons regarder outre-mer et voir une tombe vide. «Et lorsque–lorsque Je M’en serai allé, Je reviendrai et Je vous prendrai.» Un jour, nous partirons.

            Jésus était l’Anti-type de Joseph. David. Beaucoup d’autres. Quand David fut détrôné dans... son... à Jérusalem, et qu’il fut chassé de la ville par les siens, alors qu’il gravissait la colline, il regarda en arrière en pleurant... Huit cents ans plus tard, le Fils de David fut rejeté par la ville, Il se tint sur la même colline en train de pleurer sur la ville.

15        Voyez-vous comment Christ était en David, pleurant là? Oh! Tout l’Ancien Testament, ce sont juste–ce sont juste des vies qui représentaient Jésus. Eh bien, aujourd’hui, après que Jésus eut été ici et qu’Il se fut manifesté sur la terre comme Dieu... Il était la manifestation de Dieu à l’humanité, Il est venu prendre la place de l’humanité pour la ramener à Dieu.

            Eh bien, dans le... Maintenant, dans Son Eglise, dans les derniers jours, Il manifeste Sa volonté divine par l’opération des dons spirituels et autres, dans Son Eglise, par le don de la prédication, de l’enseignement et autres, la prophétie et les autres dons divins qu’Il a.

16        Maintenant, mes chers amis, nous devons avouer que beaucoup de ces dons sont des imitations. Eh bien, nous–nous savons que ce sont juste des prétentions. Mais cependant, il existe un don réel. Beaucoup de prédicateurs montent en chaire, juste pour l’argent qu’ils en retirent. Je déteste le dire, mais c’est vrai. Ils reconnaissent cela. C’est vrai.

            «Eh bien, je n’aimerais pas aller là. Eh bien, regardez l’argent que je gagne ici.» Voyez? Eh bien, ils ne devraient pas faire cela. Assurément. Et c’est à cause de l’argent. Mais il y a un véritable et authentique prédicateur du Seigneur Jésus qui se coucherait sur son ventre, boirait l’eau du robinet, mangerait des biscuits secs plutôt que manger chaque jour des poulets frits, pour prêcher l’Evangile et demeurer dans la volonté de Dieu. C’est vrai. Le vrai prédicateur...

            Eh bien, quand vous voyez le–le–le négatif, il doit absolument y avoir un positif quelque part.

17        Et maintenant, si vous remarquez bien, et c’est avec humilité que je le dis... Eh bien, les dons et les appels ont été placés dans l’Eglise par Dieu, par Dieu seul. Aucun séminaire n’a jamais produit un prédicateur. C’est Dieu qui doit appeler Son prédicateur. Vous le croyez, n’est-ce pas? Eh bien, assurément.

            Il peut apprendre... Oh! Il peut décrocher une–une licence en lettres, ou il peut devenir un docteur en théologie, mais cela ne fait pas de lui un prédicateur autant qu’il le serait si Dieu avait parlé à son coeur. C’est vrai. C’est vrai. C’est donc ce que je crois.

            Mais Dieu place dans l’Eglise premièrement les apôtres, ensuite, les prophètes et les autres. C’est Dieu qui place dans l’Eglise. Eh bien, ces dons divins dans l’Eglise sont pour l’Eglise, le perfectionnement de l’Eglise, pour rassembler l’Eglise en un grand Corps. Et tout véritable ministre n’érigera jamais des barrières: «Juste parce que vous n’avez pas la même foi que moi, vous n’êtes pas dedans.» Nous nous reconnaîtrons tous les uns les autres comme des frères, parce que Jésus est mort pour nous tous. Et Dieu nous aime tous. C’est aussi votre avis, n’est-ce pas? C’est vrai.

18        Eh bien, des groupes de gens érigent des barrières. Eh bien, c’est bien d’avoir des dénominations, mais reconnaissez aussi l’autre personne. C’est votre frère. Voyez, c’est comme ça. Il est question d’avoir de l’amour dans votre coeur, alors vous le ferez.

            Remarquez donc. Dans ce... Eh bien, si je peux comparer cela pour vous à quelque chose... Je sais que vous vous poserez des questions, alors que d’autres poseront des questions après que ce sera fini. Les visions, ce n’est pas un phénomène très extraordinaire. C’est juste quelque chose que Dieu a fait.

            Eh bien, nous allons donner une petite illustration ici juste un instant. Par exemple, si nous étions tous des petits garçons et des petites filles et que, ce soir, nous étions là et qu’il y avait dans la ville un grand cirque. Et il se fait que–que certains parmi vous, frères, sont plus forts, ils ont des épaules plus larges et ils peuvent soulever un poids plus pesant que celui que moi, je peux soulever. Eh bien, alors, s’il y a un poids à soulever, vous feriez mieux de le soulever.

19        Mais peut-être que Dieu m’a créé un tout petit peu plus élancé que vous. Cela ne fait pas de moi plus humain que vous, cela ne me rend pas plus enfant de Dieu que vous. Cela fait simplement quelque chose... «Qui, par ses inquiétudes, peut ajouter une coudée à la durée de sa vie?» Voyez? Il ne s’agit pas de ce que vous faites, il s’agit de ce que Dieu a fait...

            Voyez, je ne suis pas tellement un légaliste. Je–je crois que cela relève de la grâce souveraine de Dieu. Ce que Dieu fait...

            Eh bien, alors, il y a peut-être un carnaval ou un cirque, et nous aimerions tous voir ce cirque. Eh bien, nous n’avons pas d’argent pour y entrer. Nous ne pouvons pas voir cela. Peut-être qu’en me tenant sur la pointe des pieds, je peux regarder par un petit trou laissé par un noeud dans un bois, ici en haut, et vous dire tout ce qui se passe. Eh bien, rappelez-vous, je donne une illustration.

20        «Eh bien, direz-vous, Frère Branham, que se passe-t-il là-bas? Qu’avez-vous donc vu?» Eh bien, je place mes doigts aussi haut que possible, je me tiens sur la pointe de mes pieds aussi haut que possible. Je dis: «Je–je vois un éléphant.» Je redescends, je suis bien essoufflé. Vous demandez: «Que voyez-vous encore, Frère Branham?» Eh bien, je me relève encore. Je tends haut les mains. «Je–je–je–je vois une girafe.» Cela m’affaiblit vraiment.

            Eh bien, c’est pour illustrer ce qu’est un don. Eh bien, le don de voyant, ou d’avoir des visions, cela vient de Dieu seul.

            Les visions, la première chose que je me rappelle, comme un petit enfant, c’était une vision. Je n’avais pas dix-huit mois lorsque j’avais dit à ma mère où nous habiterions... et tout le reste. Voyez? C’est bien. J’ai passé ma vie près de New Albanie. Et nous étions à quelques centaines de kilomètres de là ; c’est là que j’ai habité pendant environ quarante ans. Voyez?

21        Voyez, cela vient aussi naturellement que ça, comme il vous arrive de faire ce que vous faites. Ainsi donc, c’est une illustration que je vous donne. Lorsque Jésus était ici sur terre, tout le pouvoir qui était en Dieu était en Lui, car Il était Dieu manifesté en chair, Dieu fait homme dans le corps de Son Fils, Christ Jésus, Il a habité là. En effet, la Bible dit que Dieu était en Christ. Le Père était dans Son Fils, manifestant Son amour aux gens ici sur terre. Voyez? Eh bien, c’est très simple. Remarquez donc. Or, ce don qui était en Jésus, c’était comme tout l’océan là, toutes les eaux qu’il y a dans le monde, par rapport à ce petit don qui n’est qu’une cuillerée de l’océan.

22        Eh bien, Dieu Lui avait donné l’Esprit sans mesure. Il Le donne à vous et à moi avec mesure. Il m’a donné la portion d’une cuillerée. Mais lorsqu’Il a donné cela à Son Fils, Il Lui a donné la mesure de tous les océans. Voyez-vous ce que je veux dire?

            Mais, remarquez, les mêmes composants chimiques qui se retrouvent dans cette cuillère sont dans tout l’océan. Et tous les composants chimiques qui sont dans l’océan sont dans la... ou–ou une portion de cela se retrouve dans cette cuillère. C’est la même nature. Voyez, cela fera la même chose. Cela accomplira les mêmes oeuvres. Cela manifestera la même Vie. Vous le croyez, n’est-ce pas? C’est ce qui fait de nous des chrétiens.

            Eh bien, quand Jésus était ici sur terre, Il a dit: «Je ne fais que ce que Je vois faire au Père.» Il devait premièrement avoir une vision. Et Jésus voyait une chose en vision, ensuite, Il allait l’accomplir. Considérez le cas de l’aveugle qui Le suivait ce jour-là. Il est venu en criant: «Aie pitié de moi.» Il n’a même pas fait cas de lui, Il a poursuivi Son chemin.

23        Et ils sont allés, je ne sais trop pourquoi, et il a suivi, ou on est entré dans la maison. Il... On–on le lui a amené. Jésus lui a demandé: «Que... Que veux-tu?» Ou, en d’autres termes: «Que veux-tu que Je fasse pour toi?»

            Il a dit: «Seigneur, que je recouvre la vue.»

            Il a dit: «Si tu peux croire.»

            Il a dit: «Je crois.»

            Alors, Il a touché ses yeux. Eh bien, observez. Il n’a jamais dit: «Tu as recouvré la vue.» Il a dit: «Qu’il te soit fait selon ta foi.» Voyez?

            Eh bien, la femme qui avait touché Son vêtement, celle dont je parlais hier soir, cette femme-là, Jésus ne la connaissait point. Eh bien, en effet, Il avait posé la question: «Qui M’a touché?» Eh bien, tout le monde disait: «Bon!» Pierre a dit: «Tout le monde Te touche.»

            Il a dit: «Mais J’ai connu que J’ai...» Quoi? «La vertu était sortie de Moi.» Et la vertu, c’est quoi? La force. «Je me sens faible.» Qu’est-ce qui L’avait affaibli? Cette femme avait touché Son vêtement, car elle croyait qu’Il était le Fils de Dieu, et elle a tiré de Lui la vertu.

24        C’est juste comme l’Ange dans l’eau. Le premier à y entrer tirait en sa faveur toute la vertu de l’Ange. Le premier qui y entrait avec foi, toute la vertu allait à cette personne et elle était guérie. Et puis, l’Ange s’en allait pour revenir. Mais toute la vertu qui était dans l’eau allait à cette personne et revenait. La première personne à y entrer... Est-ce ce que dit la Bible? Exact. Voyez?

            Maintenant, les Ecritures sont tout aussi claires que ça. Peut-être qu’Elles sont un peu différentes de ce qu’enseignaient nos écoles, mais rappelez-vous, lorsque Jésus était venu, c’était de loin différent de ce que les écoles enseignaient. Voyez? Ainsi, vous devez donc... Il était absolument conforme aux Ecritures, cependant, on ne pensait pas qu’Il l’était, mais Il l’était.

25        Remarquez donc. Alors, quand le... Cette femme, qu’avait-elle fait? Qu’avait-elle fait? Elle avait tiré de Jésus. C’est pourquoi Jésus s’était senti faible. Elle avait tiré de Lui la vertu par Son corps humain. En effet, Il était juste un Homme, né d’une femme, mais Son Père était Dieu. Mais dans Son corps, Il était un Homme. Dans Son Esprit, Il était Dieu. Dieu était donc en Christ, et la femme avait tiré cette vertu, en croyant cela, par Lui; alors, Il s’est retourné et, par la foi de la femme en Lui, la vertu avait été tirée de Lui, au point qu’Il a regardé tout autour et a demandé: «Qui M’a touché? Qui M’a touché?» Eux tous ont nié.

            Il a dit: «Non, pas moi. Personne.»

            Pierre a dit: «Eh bien, tout le monde Te touche.»

            Il a dit: «Oui, mais Je me suis senti faible.»

26        Il a regardé tout autour. Il a vu la femme. Comment s’y était-Il pris? C’est un secret. Mais Il l’avait repérée. Il a dit: «Petite femme à la perte de sang, a-t-Il dit, ta foi t’a sauvée.» Ta foi t’a sauvée.

            Maintenant, examinez ce même mot-là, c’est le mot grec Sozo. Sozo s’applique au salut de l’âme ou du corps. La foi... «Ta foi t’a sauvée», dans le corps, de même que ta foi te sauve dans l’esprit, c’est le même mot grec, sozo. Est-ce vrai? Très bien. Voyez, le–le même mot. «Ta foi t’a sauvée», dans le corps.

            Eh bien, que faisait-elle? Elle tirait de Lui. Eh bien, lorsque le Père Lui donnait une vision, là, c’était différent.

27        Eh bien, voici ce qui se passe. Eh bien, chez moi, ici, n’importe où que ça peut être... Ma femme, je suppose, est assise présentement ici, elle sait cela, chez moi, ailleurs, les gens qui me connaissent, qui m’accompagnent, il y a des visions tout le temps. Non pas ici... Oh! la la! Parfois, je sais même ce qui se passe avant que nous arrivions ici. Eh bien, c’est vrai. Et beaucoup... Vous en avez entendu parler. Ça a été prédit, annoncé d’avance, deux ans ou plus. Et j’ai demandé si jamais quelqu’un a déjà entendu quelque chose être annoncé qui ne soit pas accompli absolument à la lettre.

            Eh bien, cela ne m’affaiblit pas. Eh bien, voici ce qui se passe. Les visions qui arrivent ici, la plupart des fois, c’est par votre propre foi. C’est vous, ce n’est pas quelque chose en moi. Eh bien, rappelez-vous, je ne suis rien que... Je suis le moindre parmi vous. Je suis né hors saison, pour vous les gens de la Pentecôte. Voyez? Je suis vraiment reconnaissant que Dieu m’ait accordé une faveur telle que vous venez m’écouter.

28        Eh bien, lorsque j’en ai parlé à mon pasteur baptiste, il a dit... Je lui ai parlé de cet Ange qui était venu vers moi cette nuit-là et qui m’avait parlé, ce pasteur a dit: «Qu’as-tu pris comme souper, Billy?»

            J’ai dit: «Je n’apprécie pas cela, docteur Davis.» J’ai dit: «Voici ma carte de membre.»

            Il a dit: «Oh! n’affiche pas cet air-là.» Et il a dit: «Qui, à ton avis, écouterait donc ça?»

            J’ai dit: «Si c’est Dieu qui m’envoie, Dieu trouvera quelqu’un pour écouter cela.» C’est vrai. Voyez? C’est ce qu’Il a fait.

            Il a dit: «Vas-tu prier pour les rois et les potentats avec ton instruction de primaire?»

            J’ai dit: «Je ne sais pas comment je vais m’y prendre, mais Dieu va le faire, car Il l’a dit.» Et c’est ce qu’Il a fait. Ainsi donc, c’est ce qu’Il fera toujours.

29        Eh bien, c’est tout aussi parfait, ne vous alarmez pas. Soyez donc fermes. Venez à Dieu juste comme s’il n’y avait aucun doute nulle part, et ne–et ne cherchez pas à bluffer là-dessus. Vous ne pouvez pas bluffer à ce sujet. Le diable ne reçoit pas votre bluff. Mais il sait si c’est la foi véritable ou pas. Voyez? Si c’est de l’émotion, il va–il va vous rire au nez. Mais si c’est réel, il va fuir de votre présence.

            Maintenant, c’est... Il comprend cela. Il sait cela. Rappelez-vous, le diable est aussi un esprit. Et regardez. Eh bien, qu’est-ce qui était arrivé à Jésus? Cette femme avait tiré de Lui de la force. Eh bien, c’est ce qui se passe et qui fait... Certains se poseront des questions d’ici peu: «Pourquoi, Frère Branham, en sortant de la salle, vous paraissez pratiquement mourant?» Cela n’arrive pas pendant que les visions sont en cours. Non. Cela n’arrive pas comme maintenant. Non. C’est dans l’intervalle des deux. Voyez? Et je ne m’en rends pas compte avant de quitter l’estrade. C’est ce que... On dirait bien qu’on quitte le monde.

            Plus tard, nous examinerons cela tout au long des Ecritures et nous vous le montrerons, on en abordera juste un peu chaque soir à cause du temps.

30        Eh bien, veuillez bien remarquer. Voyez? Eh bien, Jésus s’est senti faible après une seule vision. Cette femme est passée devant Lui, L’a touché et s’en est allée. Eh bien, le... c’est pareil si je me tenais sur la pointe de mes pieds. Je suis devant... pendant des heures, avant de venir à cette réunion, c’est le jeûne et la prière. C’est pourquoi, pendant ce temps, je me cache loin des gens, je ne permets à personne de savoir où je suis. Je me cache maintenant même dans une pièce.

            Je reste chez frère Arganbright qui est là derrière. Mais je ne suis même pas... ma femme n’est même pas avec moi, pas du tout. Je reste seul. Je prie constamment et je sais qu’Il est près. Parfois, je vois dans une pièce cette Lumière descendre et se tenir là. Il me dira: «Fais attention à telle chose. Cela est sur le point d’arriver.» Et Dieu sait que souvent, juste des milliers de...

31        Eh bien, quand Il me dit quelque chose comme cela, ça ne me dérange pas. Mais lorsque j’arrive à l’estrade et que la–la... votre foi à vous suscite cette vision... Ou vous êtes assis là dans l’assistance, vous regardez et vous dites: «Vous savez, il y a quelque chose, je crois que cet homme dit la vérité.» Moi et... Eh bien, vous pouvez dire cela juste dans votre tête. Mais si vous êtes... Que cela descende effectivement une fois dans le coeur, vous verrez quelque chose tirer. Je dirai peut-être un petit quelque chose, j’essaie d’expliquer cela. En effet, je ne devrais pas essayer de le faire, parce que je ne le sais pas moi-même et je ne le comprends pas. Ainsi, je sais que je ne pourrais pas l’expliquer, parce que je ne le comprends pas. Mais, par amour pour vous, j’essaie de dire quelque chose à ce sujet.

32        Et votre foi tirera. Alors, je regarderai, je verrai peut-être quelqu’un qui vient de l’hôpital, ou qui fait quelque chose, et je dirai cela. Qu’est-ce qui a fait cela? Eh bien, là, je m’affaiblis, je m’effondre. Qu’est-ce? C’est vous qui tirez, pas de moi, mais vous tirez de Dieu, au travers d’un canal terrestre, vous tirez les bénédictions de Dieu en votre faveur. Comprenez-vous maintenant cela? C’est ce qui m’affaiblit.

            Mais maintenant, c’est ce que... la raison pour laquelle je me tiens sur la pointe de mes pieds. Voyez? «Eh bien, Seigneur, aide-moi ce soir. Me voici. Je... Aide-moi maintenant. Je–je prie. Bénis les gens, et là, c’est là ce que, oh!... Peut-être qu’il y a quelqu’un qui se tient ici devant moi. Je ne l’ai jamais vu de ma vie. Qu’en est-il de cela? Et s’Il s’éloigne de moi? Je quitterai l’estrade. Mais, et s’Il parle? Quelque chose doit être dit.»

33        Il y a des critiqueurs dans chaque réunion. On peut le sentir. Lorsque l’onction parle, vous pouvez sentir cette indifférence froide. Et vous savez que ce n’est pas vrai. Vous savez qu’ils doutent. Mais cela se passe, vous sentez cet accueil chaleureux, alors ça marche à merveille. Mais alors, lorsque vous...

            Quelqu’un se tient là. Qu’est-ce? Je monte sur la pointe de mes pieds donc, comme dans la parabole. Ce que... Voici une femme. Oh! si une chose, Seigneur, si seulement Tu lui dis, comme Tu avais dit à la femme au puits, lui dire une chose qui cloche en elle, peut-être que cela l’aidera. Là, on monte. Elle se tient là. Je dis: «Croyez-vous?»

            «Oh! Gloire à Dieu, Frère Branham, j’ai toute la foi.» Oui. Je le sais. Si vous en aviez, vous ne vous tiendriez pas ici. Voyez? Mais c’est un... Vous êtes ici, vous êtes censé être ici en haut. Mais vous êtes ici en bas, parce que vous avez l’espérance plutôt que la foi. La foi est sûre. Voyez? La foi est une ferme assurance des choses qu’on espère (Voyez?), une démonstration de celles qu’on ne voit pas.

            Eh bien, quand vous êtes ici en haut, moi, je suis ici en bas avec vous, quand cela n’est pas sur moi. Mais alors, lorsque cela est là, Il m’utilise alors tout simplement. Alors, je suis–je suis oint. Et il y a ici un esprit qui cherche à vous travailler pour amener votre esprit à accepter ce que cet Esprit est en train de dire, élever votre foi pour accepter Jésus comme votre Guérisseur (C’est vrai), non pas accepter cela dans votre esprit, accepter cela dans votre coeur.

34        Et alors, après que je suis redescendu, comme sur la pointe de mes pieds, eh bien: «Vous souffrez du cancer.»

            «Oui, c’est vrai.» Mais vous êtes toujours ici en bas. Voyez? Cela ne vous a pas du tout dérangé. Je me retourne vers l’assistance. Cela ne les a point affectés. Voyez? Eh bien, je vais encore essayer. C’est reparti. Peut-être, une fois de plus. «Eh bien, vous souffrez... Vous avez souffert de la tuberculose et vous étiez...» C’est là loin dans le passé, il y a vingt ans, là au cours de la vie, pratiquement. On voit quelque chose se passer. Vous ne savez pas... Vous–vous ne savez pas où vous êtes. Vous savez que vous êtes... vous parlez quelque part, mais vous remontez dans le passé lointain, dans la vie de quelqu’un, observant une vision ici même à l’estrade. Vous reconnaissez que vous êtes quelque part. Mais laissez cela arriver très souvent, vous vous demanderez qu’est-ce qui est une vision et qu’est-ce qui ne l’est pas, quand... Voyez? Et alors... Et donc, vous...

35        Voyez, c’est vous, c’est vous-même qui faites agir cela. C’est ce qui affaiblit. Alors, quand Dieu veut... Eh bien, nous retournons à la parabole. C’est alors que je me tiens sur la pointe de mes pieds.

            Eh bien, par exemple, maintenant, c’est ce que vous aimeriez voir. Mais, et si le Responsable du cirque veut me faire voir quelque chose. Savez-vous ce qu’Il fera? Il va simplement tendre la main, me prendre par la nuque, me soulever et dire: «Maintenant, tu vois, une femme va venir, elle sera habillée comme ça, elle sera ici. Et toi, tu franchiras la porte comme ceci et tu verras cet enfant assis ici, et telle occupera telle place. Tel homme va occuper telle place, ici, et tout, comme ceci.» Il vous en montre tout le tableau et vous fait descendre, et vous avez envie de crier les louanges de Dieu. Voyez?

            Là, c’est Dieu qui utilise Ses dons ; ou, ce sont les gens qui utilisent les dons de Dieu. Comprenez-vous maintenant? Eh bien, c’était pareil avec notre Seigneur, c’est pourquoi Il se sentait faible.

36        Maintenant, nous devons nous dépêcher, parce qu’il ne nous reste maintenant que huit minutes environ, et nous allons devoir commencer la ligne de prière.

            Remarquez, vite. Jésus avait quitté la maison de Lazare, Marthe et Marie. Et alors, une fois Jésus parti, la maladie survint. Et quand Jésus quitte votre maison, les ennuis surviennent. Souvenez-vous-en bien, une fois que Jésus quitte votre maison, attendez-vous aux ennuis.

             Vous feriez mieux de Le traiter correctement, de prier, de L’aimer, de Le garder là, parce qu’Il est le meilleur Compagnon et Ami que vous ayez jamais eu et que vous aurez jamais. Gardez-Le donc là. Réservez-Lui un bon accueil. Menez le genre de vie qui ferait qu’Il aimerait être associé à vous.

37        Et alors, mais dans ce cas-ci, ce n’était pas qu’ils eussent fait quelque chose. Mais Dieu avait donné à Son Fils une vision lui montrant que Lazare allait mourir et qu’Il allait le ressusciter. «Oh! direz-vous, Frère Branham!» D’accord. Examinez bien cela quelques minutes et vous verrez.

            Voyez, la Bible est écrite en Mots, mais la Bible est une histoire d’amour adressée à l’Eglise. Il n’y a pas longtemps, je prêchais ici, il y a de cela quelques années, sur Abraham et Sara qui étaient redevenus un jeune homme et une jeune fille, à partir de cent ans. Un prédicateur s’est moqué de moi, il m’a envoyé un mot, et ce même prédicateur avait écrit un livre là-dessus il n’y a pas longtemps et l’avait répandu dans le pays. Dieu avait changé Abraham et Sara en un jeune garçon et en une jeune fille. Je peux le prouver par la Bible.

38        Mais, vous voyez, la Bible, vous ne L’apprendrez jamais dans un séminaire. Peu m’importe... Ça peut paraître horrible, mais la Bible dit, Dieu dit: «Il L’a cachée aux sages et aux intelligents, et Il La révélera aux enfants qui veulent apprendre.» Est-ce vrai? Il La révélera aux enfants. Vous n’avez pas à être intelligent pour comprendre la Bible. Il vous faut avoir un coeur humble.

            La Bible est une histoire d’amour de Dieu adressée à Son Eglise. Elle est cachée à toutes les sciences du monde. Elle est connue par une seule science, c’est la genoulogie. Si jamais vous avez eu l’un de ces... Savez-vous ce que je veux dire? S’agenouiller.

            Eh bien, la–la Bible ici est la... Vous devez lire entre les lignes pour La comprendre. Eh bien, ma femme assise là derrière, quand elle–quand elle m’écrit une lettre, vous... Voyez, j’aime beaucoup ma femme. Et alors, quand elle m’écrit une lettre, alors que je suis absent outre-mer ou quelque chose comme cela, elle dira: «Cher Billy, je suis assise ici ce soir. Je viens de mettre les enfants au lit et le téléphone a sonné toutes les cinq minutes, à peu près, en moyenne. Je suis très fatiguée. Mais alors...» Voyez?

39        Eh bien, ce qu’elle dit dans la lettre, c’est une chose. Mais comme je l’aime, je sais donc ce qu’elle veut réellement dire. Voyez? C’est parce que je l’aime. Je la comprends.

            Eh bien, la Bible dit une chose, mais si vraiment vous aimez Son Auteur, vous comprendrez ce qu’Il veut dire. Vous voyez, Il La révèle à Sa chérie. N’aimeriez-vous pas être Sa chérie? Assurément. Donc, vous... Vous L’avez aimé, et alors, Il... Le Saint-Esprit est là même, Il dit: «Eh bien, les–les sages et les intelligents vont penser comme ceci, mais lis jusqu’au bout. Je vais te montrer ce que Je veux dire.» Voyez? Et tout d’un coup, vous savez, tout le tableau se dessine. Vous lisez simplement cela un instant et puis, vous vous asseyez, vous pleurez, vous vous levez, vous arpentez le pavé, et vous pleurez. C’est alors que vous recevez vraiment quelque chose de Dieu. Amen.

40        Eh bien, quand Jésus avait déclaré qu’Il ne faisait que ce que le Père Lui montrait, cela veut donc dire qu’Il le voyait en vision. Maintenant, Lazare. Jésus savait que Lazare tomberait malade. Et alors, Il a quitté la maison de Lazare.

            Eh bien, un ou deux jours après Son départ, soudain, vous savez, Lazare était tombé malade. Ils ont aussitôt envoyé chercher Jésus. Et Jésus, l’Aimable Seigneur, plutôt que de revenir, savez-vous ce qu’Il a fait? Il a poursuivi Son chemin, sans simplement faire cas de cela. Ils L’ont encore envoyé chercher. Il ne voulait toujours pas partir. Et Il a attendu le moment opportun où Il savait que le Père Lui avait indiqué ce qui allait se passer.

41        Et alors, un jour, Il s’est tourné vers Ses disciples et leur a dit: «Notre ami Lazare dort.» Et tout le monde a dit: «S’il dort, il fait bien.» Alors, Il le leur a dit dans leur propre langage, Il a dit: «Il est mort, et Je suis content à cause de vous, de ce que Je n’étais pas là, mais Je vais le réveiller.» Amen. Voyez-vous cela?

            Regardez-Le à la tombe. Il a dit: «Je Te loue, Père, de ce que Tu m’exauces toujours. Mais J’ai dit cela à cause de ceux qui se tiennent ici.» Comprenez-vous donc cela? Il savait déjà ce qui se passerait, Il savait donc qu’Il serait absent, que Lazare devait mourir. En effet, s’Il était présent là, on L’aurait supplié et tout pour guérir Lazare, et autres.

42        Eh bien, Il n’a point guéri tout mourant. Il ne les a point ressuscités. Il n’a ressuscité que trois personnes. Trois, c’est une confirmation chez les Juifs. Il a ressuscité trois personnes, et chacune d’elles, si vous remarquez bien ce qu’Il avait fait. Pour Lazare, Il s’était absenté pour que cela reste arriver. Pour la fille de Jaïrus, Il... Regardez ce qu’Il a fait. Il a nuitamment traversé la mer houleuse, affrontant les vagues et tout, traversant pour ressusciter la fille de Jaïrus.

            Regardez la femme. Pour le fils de la veuve, Il avait marché toute la journée et Ses pieds étaient fatigués, Il s’est assis là au virage, attendant que la pompe funèbre passe par là. Assurément. C’est facile.

            Eh bien, c’est ce que le Père fait. Et c’était l’heure la plus sombre que cette petite famille ait jamais connue. Jésus, on dirait, les avait oubliés et s’en était allé. Lazare était mort, il avait été enseveli, et quatre jours s’étaient écoulés. Et, tout d’un coup, un–un messager est arrivé et a dit que Jésus entrait dans la ville.

43        Eh bien, Marthe n’avait pas montré de l’empressement pour des choses spirituelles, mais, que son coeur soit béni; cette fois-ci, elle fut assurément enflammée. Elle est partie. On dirait qu’elle aurait pu réprimander le Seigneur. Mais lorsqu’elle L’a rencontré, observez ce qu’elle a fait. Observez donc son approche. Observez l’approche de cette femme.

            C’est ainsi que vous recevez les choses de la part de Dieu, suivant l’approche que vous adoptez vis-à-vis de cela. C’est vous qui devez vous en approcher.

            Observez ce que l’Ange avait dit: «Si tu peux amener les gens à te croire et que tu es sincère pendant que tu pries, alors rien ne résistera à la prière. Amène les gens à croire.»

            «Comment puis-je le faire, Seigneur?»

            Il a dit: «C’est par ces choses. Mais alors, les gens croiront.» Voyez? Cela sera...

            J’ai dit: «Ils ne croiront jamais que je... que Tu m’as dit d’aller prier pour les malades.»

            Mais Il a dit: «Avec ça, ils croiront.» Voyez? «Si tu peux amener les gens à croire.» C’est seulement un signe pour vous amener à croire que Jésus-Christ est mort pour vos maladies et pour vos péchés. Et en acceptant sur base du Sang qu’Il a versé, vous pouvez en tirer ce soir les attributs. Tout ce dont vous avez besoin, Dieu vous l’accordera, si seulement vous croyez cela.

44        Remarquez donc. Eh bien, quand elle est allée là, elle a dit: «Seigneur...» C’est ce qu’Il était, Seigneur. Il... Pourtant, Il avait...

            Eh bien, pour beaucoup de gens, si c’était les gens d’aujourd’hui et qu’un prédicateur ait été dans une assemblée de gens, qu’il ait accompli des miracles, qu’il soit parti, et qu’ensuite certains de ses proches amis ne soient pas venus, qu’il ne soit pas allé auprès d’eux, eh bien, ils auraient dit: «Dis donc, espèce d’hypocrite, je sais pour commencer que je n’aurais pas dû quitter telle église. Pourquoi n’es-tu pas venu?» Voyez, ça aurait été différent.

            Mais elle s’est avancée vers Lui et a dit: «Seigneur, si Tu eusses été ici, mon frère ne serait pas mort. Mais maintenant même, tout ce que Tu demandes à Dieu, Dieu Te l’accordera.» Oh! la la! Quelque chose doit se passer. Elle est allée chercher Marthe, ou plutôt Marie, parce qu’Il savait... Elle a dit: «Le Maître est ici, Il te demande.»

45        Puis Jésus vint à l’heure la plus sombre que cette petite famille ait jamais connue. Peut-être que vous êtes allé consulter chaque médecin de la ville. Celle-ci peut être votre heure la plus sombre. Mais Jésus est venu. Peut-être que c’est l’heure la plus sombre que vous ayez jamais connue ou que vous ayez jamais vue, vous, ou vous. Peut-être que le médecin vous a abandonné. Mais Jésus vient juste à l’heure la plus sombre. Ce fut l’heure la plus sombre que les enfants hébreux, Schadrac, Méschac et Abed-Nego, aient jamais connue. Ils entraient droit dans la fournaise ardente. Et puis Jésus vint juste à l’heure la plus sombre. C’est bien Son genre, n’est-ce pas? A l’heure la plus sombre... Ce fut l’heure la plus sombre que la petite dame ait jamais connue, celle qui avait la perte de sang... Il n’y avait aucun moyen pour elle d’entrer dans la ligne de prière ni rien d’autre. Elle avait dépensé tout son argent chez les médecins et aucun d’eux n’avait pu l’aider. Et elle souffrait de cette perte de sang depuis des années et des années, elle était faible. Probablement qu’elle avait vendu tous les outils de la ferme et tout, la pauvre petite créature était assise là, peut-être, tricotant pour avoir de quoi manger, ou quelque chose comme cela. Puis Jésus vint à l’heure la plus sombre qu’elle ait jamais connue.

46        Un jour, là dans un hôpital, alors qu’un célèbre spécialiste me regardait en face, je n’étais qu’un jeune garçon pécheur, il a parlé à mon papa qui se tenait à mes côtés, disant: «Il lui reste trois minutes à vivre, monsieur Branham.» C’était l’heure la plus sombre que j’aie jamais connue. Puis Jésus vint. Il me sauva.

            Je portais de grosses lunettes, je devenais pratiquement aveugle, on devait me conduire par les bras. Puis Jésus vint.

            Il est toujours Jésus ce soir. Juste une petite histoire, je vais me dépêcher... Il y a longtemps, bien avant que ce ministère me soit donc connu. Un soir, j’étais parti chez ma mère pour prier. J’avais un fardeau sur le coeur. Je suis entré dans la maison pour prier. Et j’ai dit: «Maman, puis-je entrer dans la pièce de devant?» Nous sommes des gens très pauvres et–et alors, nous... J’ai fermé la porte.

            Elle a dit: «Oui.»

            Et j’ai dit: «Ne laisse personne me déranger. J’aimerais prier.»

47        Je suis entré et je me suis mis à prier. J’ai prié environ deux heures. Et alors, maman était l’une de ces femmes à l’ancienne mode qui faisaient la lessive, prenaient les habits et les déposaient sur une chaise. Je ne sais pas si vous avez déjà fait cela ou pas. Le lendemain, elle se tient pieds nus en train de les repasser, vous savez.

            Ainsi donc, elle déposait ses habits là dans la chambre à coucher. Et alors, j’ai prié. Puis, j’ai ouvert les yeux, je me suis dit que c’était la–la chaise qui avait des habits, qui était placée là. Mais il y avait Quelque Chose de blanc. Et Cela avançait vers moi. J’ai vu que c’était cette Lumière-là. Et quand Cela s’est approché de moi, je... a entouré, je parcourais un désert, dégageant le chemin en ôtant les morceaux de bois et les broussailles.

48        Et je pouvais entendre... Je suivais un petit agneau qui bêlait, faisant: «Bêê, bêê.» Et j’essayais... J’ai dit: «Pauvre petite bête.» Et je me débattais beaucoup. C’était une vision (Voyez?), je cherchais à atteindre le petit agneau. Et je continuais à m’en approcher. Et j’ai encore prêté l’oreille et je l’ai entendu bêler et, oh! j’étais très fatigué et je–je me suis encore approché. J’ai dit: «Pauvre petite bête, je vais l’atteindre d’ici peu.»

            Et plus je m’en approchais, ça devenait la voix d’un homme. Et au lieu que ça soit «bêê», cela disait: «Milltown, Milltown, Milltown.» Et juste à ce moment-là, j’ai demandé: «Milltown? Où est-ce?» Et je suis revenu à moi-même. Je me tenais juste au bord du lit, les mains levées, criant: «Où se trouve Milltown?»

49        Et lorsque je suis sorti de la vision, je me suis dit: «Qu’est-ce que cela signifie?» J’ai annoncé cela. Il y avait eu deux autres visions, celle d’un petit garçon d’Utica qui se mourait. Le médecin l’avait abandonné. Et il avait été guéri. Celle d’une jeune fille méthodiste. Il y a de cela quinze... oh! vingt ans pratiquement, quinze à dix-huit ans de toute façon. Une jeune fille estropiée, une méthodiste, avait les bras et les jambes recroquevillés. Elle les a simplement déployés comme cela. Et un réveil méthodiste a balayé le pays à partir de cela, après que cette jeune fille eut...

            Je ne savais même pas ce que c’était. Et des prédicateurs me disaient: «C’est du diable. Ne perds pas ton temps avec ça.» J’avais en partie cru cela. Ainsi donc, je ne savais pas parce que ce n’était pas... Il disait que cela... «Eh bien, ça–ça ne se passe pas, c’est du diable.» Je ne savais que faire jusqu’à ce que le Seigneur me l’a fait savoir.

50        Et alors, j’ai demandé à mon église, je leur ai annoncé la vision. J’ai dit: «Je ne sais pas ce que c’était.» J’ai dit: «L’une ou l’autre de ces choses que j’ai vues, quelque chose criait: ‘Milltown.’»

            Eh bien, un vieil homme fréquentait mon église là, chaque fois que nous avions réunion à l’église, il roulait sur une distance de trente-cinq miles [56 km]. Il venait là. Sa femme, ses enfants et lui venaient depuis longtemps. Il a dit... Son nom, c’est George Wright, il habite De Pauw, dans l’Indiana. Alors, il a dit: «Eh bien, Frère Billy, a-t-il dit, Milltown est juste à environ trente-cinq miles [56 km], vers le sud.» Juste un peu en dessous de là où habite frère Arganbright ici. Il connaît cette ville et tout à ce sujet.

51        Alors, j’ai dit: «Le Seigneur veut que j’aille à Milltown.» Evidemment, je travaillais. Je travaillais tout le temps. Je n’ai jamais prélevé des offrandes dans mon église. Je travaillais donc pour gagner ma vie. Alors, je... Le samedi, je suis allé voir frère Wright et il m’a amené à Milltown. C’est une toute petite ville d’environ huit cents ou mille personnes, située juste le long de la rivière Blue River.

            J’y suis donc allé. Et il a demandé: «Qu’allez-vous faire?»

            J’ai dit: «Je ne sais pas. Il m’a simplement dit d’aller à Milltown, je pense. J’ai simplement entendu ce petit agneau dire Milltown.»

            Et il a dit: «Eh bien, j’irai faire un peu d’achats.»

            Et j’ai dit: «D’accord.» Et je suis entré remettre une pièce de dix cents à un gars pour acheter une vieille petite caisse là. Je me disais: «Quand tous ces campagnards rouleront leurs wagons par là, je me tiendrai sur cette petite caisse et je leur prêcherai. Peut-être que le Seigneur a un agneau bloqué quelque part ici, Il veut que je le délie.»

52        Alors, je me suis procuré une caisse, je suis ressorti et me suis tenu dessus. Le frère Wright est revenu de ses visites auprès des gens. Il a dit: «Dis donc, je dois aller faire un peu d’achats là sur la colline.»

            J’ai dit: «Eh bien, pendant que nous attendons la foule, je vais simplement laisser ma caisse ici et gravir cette colline avec toi.» Eh bien, nous avons gravi et, en passant, nous sommes passés à côté d’une très grande vieille et belle église qui se dressait là. J’ai dit...

            Quelque Chose m’a simplement dit: «Arrête-toi à cette église.»

            Je me suis dit: «Bon, d’accord.» J’ai dit: «Frère George, vas-tu revenir par ici?»

            Il a dit: «Oui.»

            J’ai dit: «Eh bien, je vais bien t’attendre ici.»

            Et il a dit: «D’accord.»

            J’ai dit: «Quelle église est-ce?»

53        Il a dit: «C’est une église baptiste.» Il a dit: «Mais le pasteur a eu des ennuis il y a longtemps et ça a entraîné une grande débandade. Les gens sont partis pendant... Les baptistes ont simplement fermé et la plupart d’entre eux sont partis à l’église méthodiste, ou ici chez les nazaréens, ou ailleurs.»

            J’ai dit: «Ah! ah!» J’ai dit: «Bon!» Je suis allé là, j’ai saisi la poignée, c’était fermé, c’était fermé à clé. Eh bien, tout le monde était... Personne n’était là. Je me suis agenouillé et j’ai dit: «Père céleste, veux-Tu que je tienne une réunion dans cette église? Si c’est le cas, ouvre-moi cette porte.»

54        Je me suis assis là. A peine m’étais-je assis là, cinq minutes environ, j’ai entendu quelqu’un passer à côté du bâtiment. Il a contourné, il a dit: «Oh! Salut.»

            J’ai dit: «Bonjour, monsieur.»

            Il a dit: «Voulez-vous entrer dans l’église?»

            J’ai demandé: «Pourquoi?»

            Il a dit: «J’ai la clé.»

            Et j’ai dit: «Merci.» Et il a ouvert la porte. J’ai dit: «Merci, monsieur.» Et il a dit... J’ai visité partout.

            Il a dit: «C’est une... ba-... Elle appartient aux baptistes. Elle appartenait. Mais, a-t-il dit, ils sont simplement partis et, a-t-il dit, elle revient maintenant à la ville.»

            J’ai dit: «Ah! ah! Eh bien, y tient-on des réunions?»

            Il a dit: «Non. Juste des services funèbres, les funérailles officielles et tout.»

            J’ai dit: «Ah ah!» J’ai dit: «Merci.» J’ai dit: «Qui la gère?»

            Il a dit: «La carrière.» J’ai dit: «Merci.»

55        Frère George était redescendu. Je lui ai demandé: «Voudrais-tu m’amener à la carrière?» Il a dit: «Oui.» Et j’y suis allé. Et cet homme m’a dit: «Eh bien, assurément, si vous êtes un prédicateur baptiste, allez-y donc.» Il a dit: «Mettez-y un compteur.» Eh bien, je travaillais pour le service public, c’était donc facile. J’y ai donc installé un compteur. On a commencé... On a fait là des annonces dans des journaux que je tiendrais une réunion.

            Et alors, j’ai donc fait un tour, j’ai demandé à quelqu’un, quand je suis arrivé cet après-midi-là, il n’y avait personne. Et alors, je suis monté là, j’ai grimpé et quelqu’un qui devait être dans le besoin de ramener une vache chez lui, ou quelque chose comme cela, avait emporté une partie de la cloche. Alors, je me suis procuré une grosse ficelle, j’ai réparé cela et je me suis mis à sonner la vieille cloche comme cela. Et il n’y avait personne là à part moi.

56        Et alors, j’ai vu un homme longer le flanc de la colline, je me suis donc approché. J’ai dit: «Dites donc, frère, je commence un réveil par ici.» J’ai dit: «Je suis prédicateur baptiste. Je–j’aimerais que vous veniez.»

            Il a dit: «Ecoutez, monsieur. Ressaisissez-vous.» Il a dit: «Nous n’avons pas de temps ici pour la religion. Nous élevons des poules.»

            J’ai dit: «D’accord. C’est en ordre.»

            Mais vous savez quoi? Environ cinq jours plus tard, vous savez, on a dû prendre du temps pour ensevelir cet homme. Il était mort. Environ cinq jours plus tard. Ainsi donc, vous devez avoir du temps pour Jésus. Vous devez vous en souvenir. Peu importe combien vous êtes occupé, le genre de vie que vous menez, vous feriez mieux d’avoir du temps pour Christ.

            Et puis, nous avons commencé la réunion. Et ce soir-là, je me rappelle, oh! j’avais un sermon qui me brûlait bien le coeur. Vous savez comment ça se passe, frère, lorsque vous en avez un, vous vous dites: «Oh! la la! Tout le monde va être sauvé.»

57        Et puis, je me suis levé là, et vous savez qui constituaient mon assemblée? Monsieur Wright, madame Wright et leur fille. «Eh bien, ai-je dit, c’est bien assez.» J’ai donc remis à chacun d’eux un livre de cantiques et nous nous sommes mis à chanter: A genoux à la croix où mourut Jésus. Et j’ai entendu quelque chose faire [Frère Branham illustre en frappant sur la chaire.–N.D.E.]. J’ai regardé dehors par la porte: l’un des gars les plus horribles s’avançait là, tenant en main une grosse pipe en épi de maïs, il l’a secouée au mur latéral du bâtiment; il avait une dent qui lui ressortait par devant, des cheveux grisonnants lui tombaient sur le visage; il a regardé par la porte et a demandé: «Où est ce petit Billy Sunday?» Il s’est mis à regarder tout autour comme cela.

58        Et alors, frère Wright est allé derrière, il lui a demandé d’entrer. Il s’est approché et m’a dit: «C’est le gars le plus difficile de la contrée.» Mmmm, oh! la! la! C’est Will Hall. Aujourd’hui, il est pasteur de l’église baptiste là. Il a été sauvé ce soir-là.

            Alors, je me suis dit: «C’est donc ça, Seigneur.» Eh bien, le soir suivant, il n’y avait que Bill Hall, monsieur Wright et sa–sa famille. Eh bien, cela a donc continué ainsi environ cinq jours. Mais à la fin de la semaine, Dieu a guéri une femme, une petite fille là, qui souffrait de la tuberculose. C’était le début dans cette ville. C’est... Je me suis dit: «Eh bien, c’est tout ce qu’il en est.»

            Alors, monsieur Hall est venu vers moi et a dit: «Eh bien, a-t-il dit, Frère Billy, il y a une petite fille du nom de Georgie Carter qui habite ici sur la colline. Elle est alitée là depuis neuf ans et huit mois.» (J’aimerais que vous preniez son adresse et que vous lui écriviez, chacun de vous, individuellement, une lettre. Qu’elle vous écrive.)

59        Il a dit: «Elle est alitée là depuis neuf ans et huit mois.» Il a dit: «Elle pèse environ trente-cinq livres [15,8 kg], des os humains.» Et il a dit: «Elle mesure à peu près cinq pieds [1,52 m]. Elle a environ vingt-deux ou vingt-six ans, quelque chose comme ça.» Il a dit: «Elle est alitée là donc, depuis neuf ans et huit mois, de suite d’une chose infâme qui lui était arrivée.»

            Mais il a dit: «Les siens sont membres de telle église par ici.» C’est une certaine église (Je ne voudrais pas mentionner le nom de cette dénomination), mais ils ne croient pas que–que Jésus guérit et ils ne croient même pas dans l’Esprit ni rien d’autre. Mais ils–ils disaient à leurs membres: «Si quelqu’un va écouter cet idiot de prédicateur baptiste qui prie pour les malades, il retirera sa lettre de membre ici, de l’église, à son retour.»

60        Son papa était donc diacre de l’église. Il ne pouvait donc pas venir. Ainsi, il m’a demandé, frère Hall me l’a demandé, d’y aller. J’ai dit: «Assurément.» La maman et le papa ont dit: «Si ce... (Pour faire plaisir à notre fille), c’est en ordre, mais je ne voudrais même pas me retrouver à la maison pendant que cet hypocrite y sera.»

            J’y suis donc allé, j’ai regardé dans la maison. Si jamais vous y passez, regardez le lit. Son petit lit là, un petit lit métallique, tout délavé (elle a gardé, elle le garde là.), là où, au cours des années, elle tenait avec ses mains et pleurait.

            Eh bien, elle... Son petit bras... Ses jambes, à ce niveau, étaient à peu près grosses comme ceci. Et ses bras, elle n’arrivait pas à soulever le crachoir pendant qu’elle toussait. Elle faisait... [Frère Branham émet des sons pour imiter quelqu’un qui tousse.–N.D.E.] et on soulevait le crachoir, et elle faisait... [Frère Branham émet encore un son pour imiter.–N.D.E.] Et vous pouvez... on devait vraiment se pencher tout près pour suivre les mouvements de ses lèvres creuses un peu roses, avec ses yeux enfoncés. Elle n’arrivait même plus à lever les mains...

61        Et j’ai vu mon petit livre posé sur le lit: Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement. J’ai dit: «Petite soeur, ai-je dit, je souhaiterais pouvoir t’aider, d’une façon ou d’une autre, mais es-tu chrétienne?»

            Elle a dit: «Oui.» Et alors, je... Sa mère n’était pas là. Et on ne pouvait même pas... On ne pouvait même pas la placer sur un bassin hygiénique. On était obligé de placer une alaise. Elle ne pouvait même pas se lever comme ça. Elle était simplement–simplement couchée là, juste des os. Elle n’avait même pas vu l’extérieur depuis des années et des années. Et alors, c’était une bonne famille. Et sa maman, encore pratiquement une jeune femme, grisonnait. Elle avait attrapé une paralysie tremblante à force de rester jour et nuit avec cet enfant, assise là jusqu’à ce qu’elle meurt.

62        Et on l’avait abandonnée ça faisait des années et des années. Elle souffrait de la tuberculose, c’était descendu dans les organes féminins et s’était répandu dans tout son corps. Elle était dans une situation vraiment horrible. Alors, je–j’ai dit: «Je vais prier pour toi.» Je me suis donc agenouillé, j’ai prié et je me suis relevé. Elle voulait savoir si quelque chose... Pourquoi rien ne s’était passé?

            Et elle avait lu dans un journal sur la jeune fille Nail qui était estropiée. Les journaux avaient publié cela partout dans le pays. Et j’ai dit: «Eh bien, là, écoute, soeur bien-aimée, c’était une vision. Tu vois?» J’ai dit: «Je–je ne peux que faire cela. Je peux–je peux prier pour toi, mais cette fois-là, c’était une vision, et je ne connaissais même pas cette jeune fille.» Alors, les larmes... Je ne sais où elle avait trouvé assez d’humidité pour avoir ces larmes. Mais les larmes lui coulaient sur le... son visage paraissait comme... Vous savez comment c’est, quand le visage est tout décharné; la mâchoire était ressortie. Et la pauvre petite...

            J’ai dit: «Je continuerai à prier pour toi; en effet, je sais que ton père et ta mère ne veulent pas de moi ici.»

63        [Espace vide sur la bande–N.D.E.] ... mais elle s’est mise à pleurer et elle a chuchoté, disant: «Mais moi, je veux.» Alors, je me suis relevé. Et puis, à la fin de la semaine, j’ai eu un grand groupe de gens à baptiser là, quand le... et... à un endroit appelé Totton’s Ford, si jamais quelqu’un parmi vous y a été.

            Et frère Arganbright, je sais qu’il apprécie cela, parce qu’il connaît chaque coin du pays.

            Ainsi donc, quand j’étais... Comme j’allais là baptiser, un certain prédicateur, là, avait dit à son assemblée que–que le baptême par immersion, c’était vraiment de l’ignorance, qu’il n’y avait que des gens non instruits qui immergeaient. Il est donc arrivé que pendant que je baptisais cet après-midi-là, il avait une très grande tente là et il avait eu... oh! trente ou quarante convertis cette semaine-là.

64        Et lorsque je suis descendu... Evidemment, eux tous étaient sortis, c’était tard l’après-midi, vers 16 h. Ils étaient... Le service du soir était terminé, de l’après-midi plutôt. Ils étaient tous sortis et ils se tenaient là sur les rivages, plusieurs centaines de gens. Je me suis avancé là et j’ai commencé à baptiser du baptême chrétien.

            Et j’ai dit: «Vous savez quelque chose, ai-je dit, on dirait que tous les cieux se tiennent ici, qu’il y a un ange sur chaque branche de ces arbres.» Et toute son assemblée bien habillée et tout, ils sont entrés dans cette eau boueuse et ont été baptisés cet après-midi-là, chacun d’eux. Cet homme, cela l’avait tellement rendu furieux qu’il a même rétrogradé et a mis fin au ministère.

65        Ainsi donc, je suis monté souper avec frère George Wright. Et il a dit... Eh bien, il a un parler, on dirait, des gens de campagne. Il a dit: «Bon, Frère Bill, a-t-il dit, aussitôt que maman sonne la cloche, tu arrives.» Et j’ai dit: «D’accord.» Je suis allé dans les bois, je voulais m’agenouiller, les ronces me piquaient.

            Vous savez comment le diable vous tente lorsqu’une bénédiction est juste devant vous. Je cherchais à m’agenouiller comme ceci, les ronces me piquaient. Je me relevais et je me déplaçais, le soleil brillait sur moi. Je suis allé à divers endroits. J’étais tellement lassé que, du coup, je me suis effondré et je me suis mis à crier au Seigneur à tue-tête dans la prière.

66        Eh bien, on dirait qu’à distance, je pouvais entendre sonner cette cloche, mais j’étais tellement... vous savez. Avez-vous déjà été emporté dans la prière comme cela? Je ne faisais simplement pas cas de ça. Et peu après, je suis revenu à moi-même ; c’était poussiéreux, le soleil se couchait au-dessus de la colline, il descendait dans la vallée. Et moi, j’étais sur le flanc de la colline, dans cette direction...

            Et j’étais sous les cornouillers. J’ai levé les yeux. Je me suis dit qu’il y avait là un drôle de sensation. J’ai levé les yeux, cette Lumière que vous voyez sur la photo brillait juste là comme ça et Elle tournoyait au sommet du cornouiller. Et Il m’a dit: «Va chez les Carter.» C’était le nom de cette jeune fille, Georgie Carter.

67        Eh bien, je me suis relevé, je suis parti alors que des équipes de patrouille cherchaient à me retrouver. J’ai descendu la colline à toute vitesse et je suis tombé juste dans les bras de frère Wright. Il a dit: «Maman a apprêté des biscuits depuis deux heures, Frère Billy.»

            J’ai dit: «Mais, Frère George, quelque chose va se passer.» J’ai dit: «Tu connais cette Lumière qui était apparue là où je baptisais?»

            Il a dit: «Oui.»

            J’ai dit: «Elle était là dans les bois et Elle m’a dit d’aller chez les Carter. Je crois que cette petite fille va être rétablie.»

68        Ainsi donc, il y avait des gens venus de Texas qui voulaient voir cela arriver. Nous y sommes allés. Et pendant... Vous savez, Dieu travaille de deux côtés. Cette femme-là s’était mise à prier. Sa petite fille s’était mise à pleurer parce qu’elle voulait... Elle avait voulu... Elle avait vu la publicité, ou plutôt l’annonce du service des baptêmes dans le journal. Et elle tenait à y aller. Evidemment, elle ne pouvait pas se déplacer, elle ne s’était pas déplacée depuis neuf ans et huit mois.

            Elle–elle était donc couchée là, pleurant. Et, oh! cela avait rendu sa mère furieuse. Eh bien, c’est l’histoire de sa mère. Demandez-lui et vérifiez si c’est le même récit.

69        Elle est donc entrée dans la chambre (ils habitaient dans une belle et grande maison, et sa fille qui était mariée habitait tout près d’eux.) Alors, elle s’est agenouillée et a dit: «Bien-aimé Père céleste, nous T’avons servi dans Ton église depuis des années. Et voici ma pauvre fillette couchée là mourante, et cet–cet imposteur de William Branham est venu par ici et il a complètement embrouillé les gens. Et cette pauvre petite créature est couchée là.» Elle a dit: «Dieu, fais retomber sur cet hypocrite son iniquité.» Et elle a simplement continué à prier comme cela. Et elle s’est relevée, elle a vu une–une ombre se former sur le mur. Elle a pensé que c’était sa fille qui venait.

            Eh bien, voici son histoire. Je ne peux que dire ce qu’elle a dit. Voyez? Elle a dit que c’était–c’était une image du Seigneur Jésus. Elle a vu Sa barbe. Il lui a demandé: «Pourquoi pleures-tu? Qui vient là?» Et elle a regardé, elle m’a vu, la Bible sur le coeur, venir en compagnie de deux hommes.

70        Et elle a dit: «Oh! Je... Comment... Je–je me suis endormie.» Elle n’avait jamais eu de visions auparavant. Alors, elle a dit: «Je–je–je me suis endormie. Oh! Il y a quelque chose qui ne va pas.» Elle a dit: «Qu’est-il arrivé? Ai-je–ai-je perdu la tête?» Elle est entrée dans la chambre. Elle a dit: «Georgie, tu sais, je...» Et juste à ce moment-là, elle a entendu la porte claquer. Et j’étais là, je venais en compagnie de deux hommes, exactement comme elle avait vu. Elle a dit: «Oh!...» Et elle s’est évanouie. Lorsque je suis arrivé à la porte, je ne sais pas ce que–ce que... qui a ouvert la porte, mais je suis entré. Et ça me semble... Je sais que ça a l’air enfantin, mais on dirait que je me tenais dans un coin de la chambre, comme cela. Je m’observais moi-même me diriger vers cette jeune fille. Elle était couchée là, son petit visage était pâle.

71        Et j’ai dit: «Soeur Georgie, Jésus-Christ que tu aimes et en Qui tu as placé ta confiance, m’a rencontré là sous un cornouiller.» Oh! Je peux encore m’en souvenir et quelque chose était arrivé. J’ai dit: «Il m’a rencontré. Il m’a envoyé afin que tu sois guérie. Ainsi, au Nom de Jésus-Christ, lève-toi de ton lit.» Comment allait-elle s’y prendre? Elle n’avait jamais bougé depuis huit... ou plutôt depuis neuf ans et huit mois. Ses jambes n’étaient pas plus grosses qu’une manche à balai. Elle qui n’avait pas de force pour soulever le crachoir, comment allait-elle se tenir debout?

            Comment? Je ne sais pas. Mais le Dieu qui a créé les cieux et la terre, et Celle-ci est Sa Parole, et moi, Son serviteur, ici, cette jeune fille a sauté d’un bond sur le pavé, par la puissance du Saint-Esprit, les mains en l’air.

72        Les deux hommes qui m’accompagnaient ont vu ce squelette se tenir debout. Ses jambes, à ce niveau, là où sa courte robe arrivait, comme cela, étaient à peu près grosses comme ça, ses petits bras comme cela, en l’air. Cela les a effrayés, ils se sont mis à crier. Sa maman s’est relevée et elle n’a fait que sortir d’une crise d’évanouissement pour en piquer une autre. Et ils... Elle a lâché un cri très fort. Et je me suis retourné ; et alors, sa–sa fille est venue en courant. Les gens ont accouru de partout à Milltown.

            Et son père pensait que Georgie était morte. Alors, elle... il traversait le pont, un petit seau plein de lait en main, revenant de la grange, de l’autre côté. Et il était aussi surintendant de la grande carrière là. Et il remontait la route en courant, pensant que sa fille était morte.

73        Et celle-ci était sortie dans la cour, elle s’est assise sur la pelouse, elle a béni la pelouse, elle a béni les feuilles de l’arbre. Et lorsque son père est arrivé là, la maison était pleine de gens... Environ vingt minutes plus tard, elle était assise à un vieil orgue de la campagne à l’ancienne mode en train de jouer Jésus, garde-moi près de la croix. Il y a là une fontaine précieuse, gratuite pour tous, un flot guérissant qui coule du mont Calvaire.

            Elle est pianiste de l’église baptise de Milltown. Depuis ce jour-là, ce soir-là, jusqu’à ce soir-ci, elle n’a jamais été alitée pour quoi que ce soit, si ce n’est pour aller dormir au lit comme nous tous. Mademoiselle Georgie Carter, Milltown, Indiana.

            C’était pour elle l’heure la plus sombre. Puis Jésus vint. Ô Dieu, aie pitié. C’est l’heure la plus sombre que le monde ait jamais connue, le communisme de tout côté, toutes sortes d’ismes partout. Mais grâces soient rendues à Dieu, Jésus est venu avec Sa Bible, avec Sa Vérité, avec Son Saint-Esprit. Et Il est ici ce soir pour faire abondamment au-delà de tout ce que nous pouvons faire ou penser. Amen.

74        Prions. Notre Père céleste, tout... Je sais que j’ai l’air excité, Seigneur, mais je ne peux pas me retenir pour raconter cela comme il faut, peut-être. Mais, oh! combien mon coeur explose dans mon sein, lorsque je pense à la petite Georgie assise là cet après-midi à ce piano-là. Avec ces petits doigts squelettiques et ces petites jambes trop minces, seule l’onction de la puissance de Dieu a pu la soulever.

            Et elle martelait ce vieil orgue là: Jésus, garde-moi près de la croix. Ô Dieu, depuis ce jour-là, à ce que je sache, elle a vécu près de la croix. Il y a quelques jours, je lui parlais, elle jouissait d’une parfaite santé. Oh! Combien nous Te remercions, Seigneur, pour Jésus qui vient à l’heure la plus sombre.

75        Peut-être qu’il y en a ici dans une vallée qui ont fait tout leur possible pour se rétablir et, on dirait, ça s’empire constamment. Père, veux-Tu laisser Jésus venir ce soir et faire exactement ce qu’Il avait fait lorsqu’Il était ici sur terre; faire quelque chose d’un peu différent de ce qui se passe dans une réunion ordinaire?

            C’est ainsi que les... Cléopas et ses amis T’ont reconnu. Le jour du... Le premier matin de la résurrection, Tu as fait ça. Quelque chose là, lorsque Tu les a eus dans une pièce, Tu as fait quelque chose de différent de ce que l’homme ordinaire fait. Alors, ils ont reconnu que c’était Toi.

            Maintenant, Père, ce soir, fais quelque chose d’un peu différent. Et ils reconnaîtront que Tu es ici, ressuscité d’entre les morts, le Dieu du Ciel, le Créateur des cieux et de la terre, dans la Personne du Seigneur Jésus et le Saint-Esprit.

76        Maintenant, je prie, ô Dieu, qu’Il Te fraye une voie dans chaque coeur et qu’Il guérisse tous les malades et tous les affligés, et qu’Il sauve ceux qui ne sont pas sauvés. Accorde-le, Seigneur. C’est peut-être des heures sombres pour certains ici, qui ne le savent même pas. Et s’ils tâtonnent dans les ténèbres et qu’ils ont chassé Ton Esprit loin d’eux à force de Le lasser heure après heure, quelque part dans leur vie, puisse celui-ci être le moment où Tu as touché quelque part dans le coeur. Puisses-Tu venir et pardonner chaque péché. Ramène-les à une véritable Vie spirituelle. Ne veux-Tu pas le faire, Seigneur Jésus?

            Pendant que nous avons nos têtes inclinées... Celle-ci est-elle une heure sombre pour vous qui–qui savez que vous êtes assis dans la Présence de l’Eglise, du Saint-Esprit, du Seigneur Jésus, sans pourtant être un chrétien? Celle-ci est-elle votre heure sombre? Ne voudriez-vous pas que vos yeux soient ouverts, que vous soyez ressuscité à une nouvelle Vie?

77        S’il y a ici un pécheur, un homme ou une femme, qui voudrait dire: «Frère Branham, je sais que ça ne change rien, ce que vous dites ou ce que vous faites, mais je vais lever les mains vers le Seigneur Jésus-Christ maintenant même et Lui demander d’être miséricordieux envers moi, un pécheur. Je vais lever les mains.» Que Dieu vous bénisse, frère. Y en a-t-il un autre? Dites: «Seigneur Jésus, je T’accepte maintenant comme mon Sauveur. J’ai été sceptique. Je ne croyais pas dans la guérison divine.» Que Dieu vous bénisse, monsieur. Que Dieu vous bénisse, mon garçon. C’est bien.

            J’ai douté depuis longtemps. Mais je vois Ton Esprit à l’oeuvre maintenant. Oui, Seigneur. Ne voudras-Tu pas avoir pitié?» Quelqu’un qui a erré loin de Dieu et qui dit: «Maintenant, Père, ce soir, je vais lever la main vers Toi et Te demander d’être miséricordieux envers moi, afin que je revienne à la maison. Mes yeux s’ouvriront une fois de plus à une véritable expérience chrétienne chaleureuse.» Voudriez-vous lever la main pour dire: «Ô Dieu, souviens-Toi de moi»?

78        Quelque part ailleurs? Que Dieu vous bénisse, madame. C’est bien. N’ayez pas honte. Non. Si vous êtes un pécheur, je m’attends à ce que vous soyez sincère. Levez la main. A ma droite, quelqu’un de ce côté-ci? Quatre ou cinq ont levé les mains maintenant. Que Dieu vous bénisse, monsieur, mon frère de couleur assis là. C’est une chose noble de votre part que de faire cela, mon frère.

            Quelqu’un d’autre? Que Dieu vous bénisse, mon frère. Cela... Que Dieu vous bénisse, ma soeur. Que Dieu vous bénisse, vous là-bas, mon frère. C’est bien. Soyez sincère. Nous aurons bien à faire face à cela, comme ça. Dieu veut que vous soyez sincère.

79        Maintenant, je me demande si, alors que tout le monde a la tête inclinée, ceux qui veulent être inclus pour le salut voudraient se lever juste un instant alors que j’offre une prière pour eux. Nous n’avons aucun autre moyen. Voudriez-vous juste vous lever? Vous n’avez pas à quitter votre siège ; levez-vous tout simplement pour dire: «J’accepte cela maintenant même.» Que Dieu vous bénisse, vous les deux dames. Vous... Oui. C’est bien. Que Dieu vous bénisse. Restez bien debout juste un instant, s’il vous plaît.

            Ici à ma droite, quelqu’un qui se lève pour dire: «Dieu, sois miséricordieux envers moi. Je me tiens debout maintenant. Regarde-moi.» Que Dieu vous bénisse, madame, avec votre bébé. Que Dieu vous bénisse. Maintenant, prions.

80        Père céleste, l’Adorable Père céleste est passé par ici, car Jésus a dit: «Nul ne peut venir à Moi si Mon Père ne l’attire premièrement.» Ces gens sont debout, Seigneur. Regarde-les. Et en tant que Ton humble serviteur, je Te les présente. Sauve-les, Seigneur, de la vie du péché. Pardonne chaque péché. Et Tu as dit: «Je ne renverrai point celui qui vient.» Maintenant, Tu ne les renverras pas, parce qu’ils sont venus. Ils se sont levés. Ils se tiennent là, devant cette assistance, et à Tes yeux, ils montrent par là qu’ils sont... qu’ils veulent une Vie meilleure.

            Ne voudras-Tu pas sanctifier ces gens ce soir à Tes côtés, Seigneur? Et accorde-leur une Vie chrétienne, douce et humble à partir de ce soir, désormais. Je le demande au Nom de Jésus-Christ. Amen.

81        Que Dieu vous bénisse, mes amis. Vous assistance, ce sont ceux-là qui sont debout maintenant. Voyez? Priez pour eux. Combien s’engageront à prier pour eux, afin qu’ils persévèrent avec Dieu? Faites voir vos mains comme ça.

            Maintenant, allez à une bonne église, faites-vous baptiser du baptême chrétien, et cherchez que Dieu vous donne le baptême du Saint-Esprit. Que Dieu vous bénisse. Vous pouvez vous asseoir maintenant. Que le Seigneur vous bénisse.

            Maintenant... [Frère Branham parle à quelqu’un.–N.D.E.] Certainement. Aussitôt après le service de guérison, nous aimerions que vous qui avez accepté Christ, vous vous avanciez, après que les lignes de guérison seront passées. Et peut-être que les autres parmi vous qui ne s’étaient pas levés viendront. En effet, après le service, c’est à peine si je–je–je le sais alors. Je ne peux pas faire l’appel à l’autel après cela. Mais vous viendrez, n’est-ce pas, après le service?

82        J’aimerais vous poser une question. Y a-t-il ici quelqu’un qui n’a jamais assisté à l’une de mes réunions auparavant? Faites-nous voir la main. Voyons, vous n’avez jamais été dans une réunion. Que Dieu vous bénisse. Merci.

            Maintenant, si Jésus vient ce soir et fait la même chose aujourd’hui qu’autrefois, comme avec la femme au puits, comme avec Nathanaël, lorsque celui-ci était allé prendre son ami, ou plutôt Philippe, lorsqu’il est allé prendre Nathanaël. Jésus lui a dit ce qu’il faisait avant de venir, d’où il venait et tout. Jésus a dit: «Je ne fais que ce que le Père Me montre.»

83        Si Dieu fait encore cela ce soir, chacun de vous va-t-il L’accepter? Allez-vous le faire et croire cela de tout votre coeur? Alors, acceptez votre guérison là même où vous êtes. Acceptez votre guérison ici même.

            Maintenant, à moins que nous ayons... Je pense que c’est toujours la carte de prière série A que nous appelons. Est-ce toujours la série A? C’est toujours la série A. Très bien. Combien? 1 à 100. 1 à 100. Eh bien, voyons. Combien de soirées avons-nous passées ici? Une, deux, trois, quatre, cinq, celle-ci est la sixième. Commençons par six... Je pense que nous avons pris 4 la dernière soirée. 1... c’est... nous... C’était la dernière soirée, n’est-ce pas? 1, la dernière soirée. Eh bien, avons-nous commencé de 1 à 20? Eh bien, nous avons...

84        Prenons-en la dernière partie donc. Prenons–prenons cela, 6, 8, 86 donc. Qui a la carte de prière 86? Levez la main. Quelqu’un a-t-il la carte de prière 86? Voudriez-vous lever la main? Elle porte la lettre A et 6. 80... A et 6. Voudriez-vous lever la main, celui qui a 80... Est-ce vous qui avez cela, madame? D’accord, venez ici même. 80... 87? 86 et 87? Qui a 87? Voudriez-vous lever la main? Peut-être qu’ils ne peuvent pas lever la main. 87?

            Regardez, c’est une toute petite carte. Je n’en ai pas une ici. Elle a ma photo d’un côté et, au verso, il y a un–un–un numéro et la–la lettre A. Elle porte la lettre A et un numéro. Et ça sera 87. Avez-vous... Quelqu’un l’a-t-il? La carte de prière 87? 88? Très bien. 89? 90? 91, 92, 93, 94, 95, 96, 97, 98, 99 et 100? Levez... Alignez-les donc ici, ici même d’abord. Nous allons essayer ce groupe-là et voir ensuite si nous pouvons en prendre juste quelques-uns. Ne vous en faites pas. On prend juste quelqu’un ici par qui nous pouvons commencer à prier. Et nous faisons cela juste par...

85        Chaque soir... Personne–personne... Nous ne faisons que distribuer les cartes de prière et nous prenons quelqu’un juste quelque part là. Parfois même, nous ne commençons pas du tout, juste commencer... juste quelque chose pour amener le Saint-Esprit à se mouvoir parmi les gens...

            Parfois, là où on a beaucoup de gens et tout... Juste, c’était hier soir...?.... C’était... Maintenant, très bien. Eh bien, c’était... Quelque chose était... Dites-lui, monsieur, c’était une carte d’hier soir. Je... Peut-être qu’il ne parle pas anglais, je ne sais pas s’il... C’était la carte d’hier soir. C’était... Probablement que quelqu’un avait cela, c’était vers 13 d’hier soir. Et je pense que nous avons prié pour cette per... Ecoutez, ces cartes sont inter... ne sont pas interchangeables. Vous devez être ici pour suivre la réunion. Voyez-vous? Vous devez les garder. Voyez? Très bien. Gardez vos propres cartes. Ne...

86        Eh bien, très bien, pendant qu’on les aligne... Combien ici n’ont pas de cartes de prière et aimeraient que Dieu les guérisse? Levez la main. Levez haut la main, très haut donc, ceux qui n’ont pas de cartes de prière et qui aimeraient être guéris, afin que je me fasse une idée générale de là où vous êtes. Très bien. C’est bien.

            Maintenant, soyez en prière. Ayez foi. Eh bien, inclinons la tête juste un instant.

            Notre Père céleste, le moment crucial est maintenant arrivé où quelque chose... J’ai parlé de Toi, Père ; maintenant, c’est–c’est Ton tour, Seigneur. Je Te prie, au Nom de Jésus, de parler, Seigneur, ce soir. Accorde-le.

            Que Ta miséricorde vienne. Et maintenant, de même que j’ai témoigné de Toi, témoigne, Seigneur, devant cette assistance que je leur ai dit la vérité. Je Te prie de le faire secrètement maintenant, au Nom de Jésus. Amen.

87        Maintenant, que tout le monde garde bien son siège. Restez assis. Soyez respectueux. Ne vous déplacez pas. Je suis désolé, j’ai quinze minutes de retard pour commencer la ligne. Mais nous prierons. Maintenant, s’ils ne sont pas là...

            Est-ce que tout le monde... tous sont là dans la ligne? Très bien. Parfois, il y a des gens qui n’arrivent pas à se lever ; et parfois, il y a des sourds-muets, qui ne peuvent ni entendre ni parler. Regardez la carte de votre voisin afin que, une fois qu’elle sera appelée, il–il vienne.

88        Eh bien, je vous demanderai de m’accorder vraiment une faveur. Allez-vous le faire? Maintenant, écoutez. On ne me laissera pas faire longtemps ici, comme on a d’autres soirées, d’autres soirées à venir. Donc, après cette réunion, je partirai directement d’ici pour une autre ; et puis après, pour une autre, finalement outre-mer. Et, voyez, je dois donc veiller... Ils le font. En effet, juste... Si ce... Si Dieu fait cela une seule fois, ça devrait régler la question.

            Eh bien, voyez, il n’y a rien que je... Rappelez-vous, je vous ai dit qu’il n’y a rien, en moi ou en quelqu’un d’autre, qui puisse vous venir en aide, rien du tout. Et si quelqu’un vous dit qu’il y en a, il est certainement en dehors des Ecritures. C’est vrai. Jésus a déjà accompli cela. Votre guérison... Il a été blessé pour vos péchés ; c’est par Ses meurtrissures que vous avez déjà été guéri. Et pour tout ce qu’Il a déjà fait, il ne vous reste qu’une seule chose à faire: Accepter cela par la foi. Est-ce vrai?

89        Il n’y a donc aucune vertu dans aucun homme. Tout réside au Calvaire. Et tout vrai ministre de l’Evangile témoignera pareillement. Voyez? Ce n’est pas une supercherie. Absolument pas. C’est le Saint-Esprit de Dieu, pur et sans mélange, manifestant Jésus-Christ.

            Maintenant, j’aimerais vous poser une question. Si Jésus est ressuscité d’entre les morts, ne fera-t-Il pas les mêmes oeuvres s’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement? Fera-t-Il les mêmes oeuvres? Il a dit qu’Il les ferait.

            Eh bien, qu’a-t-Il dit quand Il était ici sur terre? Il ne faisait que ce que le Père Lui montrait. Est-ce vrai? Eh bien, alors, tout ce qu’Il faisait, c’était par vision, n’est-ce pas? Il touchait les gens et leur disait qu’il leur soit fait selon leur foi. Leur foi Le touchait et Lui leur parlait en retour, leur disant ce qui clochait chez eux, comme dans le cas de la femme au puits.

90        Voyez-vous comment le Père L’avait envoyé là au puits? Au lieu d’aller à Jéricho, Il a contourné par la Samarie, Il s’est simplement assis là, attendant que la femme arrive. Puis, la femme est arrivée. C’est celle qu’Il avait vue. Il s’est mis à lui parler. Finalement, Il a découvert son problème.

            Elle ne menait pas une bonne vie. Elle avait cinq maris. Il a dit: «Va appeler ton mari.» Elle a dit: «Je n’ai point de mari.» Ecoutez donc ceci, pendant qu’on s’apprête.

91        Il a dit: «Va appeler ton mari», après avoir parlé à la femme, avoir poursuivi la conversation, comme je vais le faire avec cette femme ou n’importe qui d’autre. Il a poursuivi la conversation pendant qu’Il saisissait cet esprit humain... Il a dit: «Va appeler ton mari.»

            Elle a dit: «Je n’ai point de mari.»

            Il a dit: «C’est vrai. Tu en as eu cinq.»

            Eh bien, écoutez ce qu’elle a dit. Ecoutez donc attentivement. Elle a dit: «Seigneur, je vois que Tu es Prophète. Nous savons que quand le Messie sera venu...» C’est Jésus. Elle ne savait pas que c’était Jésus, le Messie, elle ne savait pas qu’Il était le Messie. Elle a dit: «Quand le Messie sera venu, Il nous annoncera toutes choses, Il pourra nous parler comme Tu l’as fait là.»

92        Voyez, la conversation s’est poursuivie: Comment avait-Il su ce qui clochait chez elle? Eh bien, elle a dit: «Tu dois être Prophète. Car je sais que quand le Messie sera venu (nous le savons), quand le Messie sera venu, Il nous annoncera de telles choses. Mais Toi, qui es-Tu?»

            Il a dit: «Je le suis, Moi qui te parle.»

            Elle est rentrée dans la ville en courant et a dit: «Venez voir un Homme qui m’a dit ce que j’ai fait.»

            Elle a dit: «Ne serait-ce pas le Messie même?» C’est ça les Ecritures, n’est-ce pas?

            Eh bien, si c’était donc là Jésus et qu’Il est ressuscité d’entre les morts, ne ferait-Il pas la même chose aujourd’hui? Alors, s’Il le fait, ne serait-ce pas une preuve irréfutable, surnaturelle, non seulement surnaturelle, mais une preuve naturelle, ici même parmi nous, qu’Il est ressuscité d’entre les morts? Et s’Il est ressuscité d’entre les morts, l’attitude qu’Il affiche vis-à-vis de vous sera identique à celle qu’Il avait affichée autrefois. Et vous devriez accepter cela.

93        Maintenant, tout... Etes-vous prêts, frères? Maintenant, encore une fois, doucement: Crois seulement. Ou, chantons-le comme ça: Maintenant, Je Crois. Chantons cela: Maintenant, Je Crois.

Maintenant, je crois ; maintenant, je crois,
Tout est possible, maintenant, je crois ;
Maintenant, je crois ; maintenant, je crois,
Tout est possible, maintenant, je...

            Que croyons-nous maintenant? Que Jésus est ressuscité d’entre les morts, qu’Il est vivant ici parmi nous, accomplissant les Paroles qu’Il avait prononcées: «Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais, vous en ferez même davantage, car Je M’en vais au Père. Encore un peu de temps, et le monde (les incroyants), le monde ne Me verra plus. Cependant, vous, vous Me verrez.»

94        Maintenant, il y en aura dans le monde, peu importe ce que vous... ce qui arrive, ils ne reverront jamais cela. Ils diront: «Moi, je ne crois pas ça. Je ne crois pas ça.» «Mais vous, vous Me verrez,» il y aura toujours le vous, «car Je serai avec vous, même jusqu’à la fin du monde.» Est-ce vrai?

            Le... «Allez par tout le monde et prêchez la Bonne Nouvelle.» Jusque quand? Par tout le monde, jusqu’à la fin de l’âge. «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru.» Jusque quand? Jusqu’à la fin du monde. Là où l’Evangile est prêché... Les deux tiers du monde n’ont pas encore entendu Cela. Voyez-vous ce que je veux dire? Pas nous, en tant que guérisseurs, mais nous en tant que chrétiens, Jésus oeuvrant avec eux, confirmant la Parole, avec des signes qui les accompagnent. Maintenant, s’Il est ressuscité d’entre les morts, Il fera tel qu’Il l’a dit.

95        Eh bien, que la dame veuille bien venir. Maintenant, ces gens qui constituent l’assistance de ce soir, à ce que je sache, me sont inconnus. J’ai jeté un coup d’oeil il y a quelques instants. Il n’y a personne maintenant même que je connais, à ce que je voie. Evidemment, je connais ce frère ici debout, c’est un des prédicateurs. Je ne connais pas le nom du frère, mais je le connais de visage, celui qui est assis à l’orgue ; mon fils est assis là.

             Frère Arganbright est assis là au fond. Je l’ai vu et, je ne suis pas sûr, mais si c’est frère Wilson, je ne suis pas sûr, qui est assis là derrière. Je n’en suis pas sûr. C’est frère Art Wilson, je pense, qui est assis là au fond. Il m’est juste arrivé de le voir passer il y a quelques instants. A part ça, ce sont tous ceux que je connais.

96        Qu’en est-il de ces brancards? Avez-vous tous des cartes ou un numéro qui a été appelé? Non. Non. Eh bien, vous n’avez pas à avoir des cartes. Voyez? Regardez simplement dans cette direction et croyez. Croyez simplement. Est-ce que... C’est–c’est votre foi en Dieu qui compte. Croyez simplement cela de tout votre coeur, voyez si Dieu n’exauce pas votre prière.

            Soyez en prière. Ne soyez pas... Restez simplement–simplement–simplement assis tranquillement et dites: «Maintenant, Seigneur, je crois que cet homme a dit la vérité.» Il m’avait dit: «Si tu amènes les gens à te croire, qu’ensuite tu es sincère pendant que tu pries, rien ne résistera à la prière.»

            J’ai dit: «Ils ne me croiront pas, Seigneur.»

            Il a dit: «De même qu’il a été donné des signes à Moïse, il t’en sera donnés. Et lorsque cela s’accomplira, ils te croiront.»

            C’est ce qui est arrivé jusque là, ça fait maintenant neuf ans environ. Je pense toujours qu’ils croient. Que le Seigneur accorde Ses bénédictions.

97        Maintenant, la petite dame ici debout est une parfaite inconnue pour moi, à ce que je sache. Je ne l’ai jamais vue de ma vie, à ma connaissance. Et, mais certainement que Dieu la connaît. Pas moi, mais Jésus-Christ vous connaît. C’est... Vous le savez. Vous êtes ici pour une raison. Je ne sais pas. Mais certainement que Jésus le sait, n’est-ce pas? Il sait pourquoi vous êtes ici.

            Et vous savez que je ne sais pas pourquoi vous êtes ici. Mais si Jésus me révèle par Son Esprit, comme Il avait parlé à la femme au puits... Vous et moi, nous sommes juste comme c’était le cas pour Lui jadis. Voyez? Il parlait... un Homme parlant à une femme.

            Eh bien, voyez, vous êtes une femme. Et–et vous êtes... Et je–et je suis un homme. Maintenant, tous deux, nous sommes des êtres humains, naturels. Mais cependant, il y a en vous un esprit, il y a en moi un esprit. Et vous êtes une chrétienne, parce qu’il y a... Votre esprit est accueillant, voyez-vous.

98        Mais maintenant, il peut y avoir quelque chose qui cloche en vous. S’il y a quelque chose qui cloche en vous... Maintenant, il y a l’onction de l’Esprit. Moi, en tant que votre frère, je ne le sais pas. Mais l’Esprit descend, et moi, je m’abandonne tout simplement à Cela. Et Il parle par mes lèvres sans que moi, je le sache, mais Il parle par moi, dans une vision, de ce qui ne va pas et votre... tout à votre sujet.

            Alors, vous, vous reconnaîtrez que ce n’est pas votre frère. C’est donc le Saint-Esprit de Dieu qui cherche à vous amener à croire. Voyez-vous ce que je veux dire? Maintenant, vous l’assistance, comprenez-vous cela? Et maintenant, si le Saint-Esprit donne une révélation à cette femme, allez-vous alors croire de tout votre coeur que c’est comme ce qui s’était passé avec la femme au puits?

99        Eh bien, je ne peux pas vous faire croire, comprenez. Vous êtes malade. C’est vous la patiente. Mais il y a... Je dis ceci avec respect. Ça dépendra de votre attitude vis-à-vis de ce que je vous dis, c’est ce qui déterminera ce qui arrivera. C’est vrai. Souvenez-vous-en donc et priez.

            Et, soyez en prière. Ne vous déplacez pas. Restez juste assis avec respect. Soyez vraiment respectueux et croyez de tout votre coeur. Dieu fera le reste.

            Maintenant, je dois vous parler un instant, parce qu’en prêchant... Généralement, dans une grande campagne où il y a l’organisateur et les autres, le prédicateur, je–j’arrive déjà oint et je–je vais de l’avant, je commence la ligne de prière. Tel que ça se fait ici, je prêche, je fais l’appel à l’autel, ça me désarçonne un peu, je vais d’une onction à une autre. Les deux sont le même Esprit, mais c’est... par le même... juste un autre don, voyez-vous ce que je veux dire?

100      Mais maintenant, vous vous tenez là, et moi, je suis ici en tant que votre frère, je vous parle, nous sommes inconnus l’un à l’autre... Mais il semble y avoir quelque chose d’étrange à votre sujet, très étrange. Ce–c’est étrange. Vous–vous–vous avez été guérie. Vous–vous avez été guérie. Oui. Vous avez été guérie. Vous–vous avez été guérie hier soir. C’est vrai. Mais vous vous tenez ici pour quelqu’un d’autre. Et c’est une–une personne qui prend une espèce de... quelque chose comme des piqûres ou, c’est l’insuline. Et c’est–c’est le diabète. Et cet homme est un prédicateur. Et il prend ces piqûres contre le diabète depuis longtemps, longtemps. Il s’agit de l’insuline, c’est ça. Je vois comment il s’administre cela, il s’administre l’insuline. Et puis, il examine lui-même ses urines. C’est lui que vous représentez. Vous vous tenez ici pour lui, n’est-ce pas?

101      Comme vous avez été guérie, vous êtes venue pour l’un de vos amis. Est-ce vrai? Je ne suis pas en train de lire vos pensées, mais c’est la vérité, n’est-ce pas? Maintenant, le mouchoir que vous tenez en main, c’est de Dieu. Envoyez-le-lui. Et que le Seigneur le guérisse au Nom de Jésus-Christ. Amen.

            Au Nom du Seigneur Jésus, que cela quitte cet homme. Remerciez-Le. Remerciez-Le. N’ayez pas peur. Ayez foi.

            Croyez-vous maintenant? Ayez foi. Croyez simplement de tout votre coeur. Dieu vous l’accordera si vous pouvez croire! Mais premièrement, il vous faut croire. C’est vrai, n’est-ce pas? Il vous faut croire.

102      Eh bien, je pense que cette femme est Espagnole. Parlez-vous anglais? Elle ne parle même pas ma langue. Y a-t-il ici quelqu’un qui peut interpréter en espagnol, qui aimerait venir et qui connaît l’espagnol, qui peut interpréter, juste...?... Pouvez-vous interpréter? Quelqu’un. Très bien. Si un interprète espagnol... Très bien, voici venir quelqu’un qui peut interpréter. Bonsoir, monsieur. Voudriez-vous maintenant, monsieur, juste répéter ce que je dis à cette femme? Voudriez-vous le faire? Ainsi donc, afin qu’elle comprenne et... Voyez donc, tenez, je ne peux même pas parler la langue de cette femme. Maintenant, c’est ainsi que ça se passe outre-mer lorsqu’il y a des visions. Voyez?

            Maintenant, croyez-vous au Seigneur Jésus-Christ? Elle croit. Croyez-vous que je suis Son serviteur? Vous savez que je... de tout votre coeur... Vous–vous savez que je ne vous connais pas. Mais, certainement que Jésus vous connaît. S’Il me dit ce qui cloche, ou ce dont vous avez besoin, ou votre problème, allez-vous croire qu’Il est ressuscité d’entre les morts? Et accepterez-vous qu’Il vous donne ce dont vous avez besoin? Le ferez-vous? Est-ce que si veut dire oui, (Si, oui, je vois.)

103      Vous êtes ici pour quelqu’un d’autre. Et cette personne-là n’est même pas dans... ici. Cette personne est à l’est d’ici. Et vous traversez la Californie, vous traversez l’Arizona, vous allez jusqu’à New Mexico. Et il s’agit de votre fille. Et cette fille souffre... des poumons affectés de tuberculose, elle souffre de la tuberculose. Donnez-moi votre mouchoir.

            Seigneur Jésus, que la vie de cette fille soit épargnée. Je prie et je bénis ce mouchoir au Nom de Jésus-Christ, pour sa guérison. Amen. Amen. Envoyez-le-lui. Envoyez le mouchoir à cette fille. Ne doutez pas. Elle se rétablira. Disons: «Gloire au Seigneur!» [L’assemblée dit: «Gloire au Seigneur!»–N.D.E.] Ayez foi en Dieu. Ne doutez pas. Croyez que tout est possible à celui qui croit. Croyez-vous cela? Très bien.

104      Madame, je pense que vous êtes aussi Espagnole. Parlez-vous anglais? Eh bien, c’est bien. Approchez donc un peu plus, s’il vous plaît. Très bien. Nous sommes inconnus l’un à l’autre. Et nous ne nous sommes jamais rencontrés dans la vie. Mais peut-être que nous sommes nés à des milliers de kilomètres de distance et nous avons un grand décalage d’âge, mais cependant, Jésus nous connaît tous deux. Est-ce vrai?

            Maintenant, vous savez que je ne vous ai jamais vue de ma vie. Et... Mais je dis que Jésus vous a connue avant votre naissance. Il vous connaissait avant la fondation du monde. Dans Sa grande connaissance, Il savait que vous vous tiendriez sur cette terre avant que la terre existe. Donc, Il sait tout à notre sujet.

            Maintenant, Il vous aime. Et Il... Vous êtes ici pour une raison. Je ne sais pas ça. Mais je déclare qu’Il est ressuscité d’entre les morts. Eh bien, s’Il se tenait ici, portant ce costume, eh bien, Il ne pourrait pas... Si vous êtes malade, Il ne pourrait pas vous guérir, parce qu’Il l’a déjà fait. Mais Il–Il pourrait faire quelque chose qui vous ferait croire cela (voyez-vous?) et accepter ce qu’Il a déjà fait.

105      Maintenant, s’Il parle par moi comme Il parlait par Son Fils au... La promesse, les mêmes oeuvres qu’Il avait faites par Son Fils seraient faites par Son Eglise. Et s’Il fait la même chose ici, vous accepterez donc Son sacrifice comme... l’expiation, pour ce dont vous avez besoin. Accepterez-vous cela?

            Est-ce que les autres... Tous les Espagnols ici présents devront faire cela si–si Dieu le fait.

            Maintenant, c’est–c’est difficile, mais le Seigneur le sait. Maintenant, cette femme est probablement de loin plus âgée que moi. Et elle est–elle est une croyante. Je vois ça. Son Esprit est accueillant.

            Maintenant, si l’assistance peut encore entendre ma voix, cette femme semble s’éloigner. Et je la vois, elle est dans une quelconque situation, elle est... il y a quelque chose sur elle. Non, on l’opère. Elle sort et revient. Elle a subi deux interventions chirurgicales, et c’est à l’estomac.

106      Et il s’agit de l’ulcère d’estomac. Le médecin a enlevé l’ulcère, mais ça n’a pas bien marché. Cette femme est toujours dérangée par l’ulcère d’estomac. Et c’est AINSI DIT LE SEIGNEUR. Elle souffre des nerfs, c’est ce qui en est à la base. Cette femme, lorsqu’elle était plus jeune, je la vois comme une jeune femme, ou une femme d’âge moyen, elle atteint une période de la vie, comme en connaissent les femmes, un changement de vie, elle devient nerveuse. Elle est dérangée depuis lors. C’est AINSI DIT LE SAINT-ESPRIT. C’était vrai. N’importe quoi qui a été dit, c’était vrai. Est-ce vrai?

            Maintenant, Celui qui... Vous savez qu’il y a ici Quelque Chose qui m’oint, moi, votre frère, pour que je connaisse votre vie. Est-ce vrai? Croyez-vous que c’est ce que la Bible dit, que le Saint-Esprit reviendra faire cela? L’acceptez-vous maintenant? Alors, au Nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu, je condamne la maladie qui est dans le corps de cette femme, et qu’elle vive en bonne santé au Nom de Jésus-Christ. Amen.

            Allez en vous réjouissant, étant heureuse. Maintenant, c’est rare que je–je dise ceci aux gens, mais pendant que je priais... avant que je prie, ça avait changé. C’était vraiment sombre autour de vous. Quelque chose qui était sur vous, qui allait vous tuer. Je ne sais pas ce que c’était. Mais maintenant, cela a quitté. C’est devenu vraiment clair autour de vous. Et vous savez que quelque chose est arrivé, n’est-ce pas? Maintenant, poursuivez votre chemin en vous réjouissant, et soyez heureuse.

107      Disons: «Gloire à Dieu!»

            Et croyez-vous que, pendant que vous êtes assis là même, le Seigneur Jésus vous a guéri? Je... C’est arrivé pendant que vous étiez assis là même. On n’a pas à prier pour vous. Votre foi vous a déjà guéri. Poursuivez votre chemin en vous réjouissant, disant: «Gloire à Dieu!» Disons: «Gloire au Seigneur!» La véritable foi.

108      Ma soeur, vous assise là même, juste derrière cette femme en manteau rose, levez la main, parce que Quelque Chose vous a frappée. Et c’est vrai. Vous souffriez du coeur. Cela vous dérangeait, c’est vrai, n’est-ce pas?

            Maintenant, faites signe de la main comme ceci, afin... C’est vrai. Mais la raison pour laquelle cela vous dérangeait, c’est que vous aviez une maladie de nerfs très grave. Et ce qui est à la base, c’est la maladie du coeur, c’est ce qui vous dérange le plus, surtout après que vous avez mangé et que vous vous êtes couchée ; en effet, ce gaz entre dans l’estomac et va à l’encontre du coeur. Ce n’est pas, à vrai dire, la maladie du coeur, ce sont des nerfs. Et vous faites tomber des choses et tout.

            Eh bien, votre foi vous a guérie. Jésus-Christ vous guérit. Maintenant, vous pouvez rentrer chez vous étant heureuse. Que Dieu vous bénisse. Amen.

109      Si notre Seigneur Jésus peut ôter cette tuberculose, n’importe quoi, c’est tout aussi facile pour Lui. N’est-ce pas vrai? Vous avez été guéri pendant que vous étiez assis dans ce fauteuil, la tuberculose vous a quitté. Poursuivez donc votre chemin en vous réjouissant, disant: «Grâces soient rendues à Dieu.» Amen. Amen. Croyez-vous?

            Maintenant, il y a ici deux esprits qui s’appellent au secours. Je–je souhaiterais seulement que mon aimable auditoire soit dans cette dimension pour voir cela. Cette femme ici debout souffre de la même chose que cette autre femme assise là, avec des mains croisées, juste comme ça. Il y a ici une ligne noire. En effet, l’esprit qui est sur cette femme-ci appelle au secours celui qui est sur cette autre. Et ce sont les mêmes maladies, l’arthrite pour toutes les deux. Et maintenant, vous pouvez poursuivre votre chemin. Levez-vous, madame, avec votre mouchoir. Vous y êtes. Cela vous a quittée. Maintenant, poursuivez votre chemin en vous réjouissant et étant heureuse.

110      Disons: «Gloire au Seigneur!» Le voilà. Voyez, vous n’avez pas besoin de cartes de prière. Vous êtes guéris sans cela. Grâces soient rendues à Dieu!

            Très bien. Venez, madame. Lorsque vous essayez de vous retourner, votre dos vous fait mal comme cela et (voyez?) ça devient un peu difficile, n’est-ce pas? Et en descendant la rue, vous tournez des fois de côté comme ça pour descendre. Vous n’aurez plus à le faire maintenant. Votre foi vous a guérie, pendant que vous étiez debout là dans la ligne de prière. Poursuivez votre chemin en vous réjouissant et demeurez heureuse. Grâces soient rendues à Dieu!

111      Soeur, croyez-vous de tout votre coeur? Et croyez-vous–vous qu’Il vous guérira et vous rétablira de cette maladie du coeur et tout, juste vous rendre bien portante? Il l’a fait. Maintenant, allez, heureuse et en vous réjouissant. Votre foi vous a guérie. Très bien. Maintenant, la dame assise là avec cet–avec cet eczéma, croyez-vous que Jésus vous guérira? Si vous croyez de tout votre coeur, c’est en ordre. Dieu vous guérira si seulement vous croyez. Grâces soient rendues à Dieu! Bonsoir, monsieur. Croyez-vous de tout votre coeur?

            Que pensez-vous, soeur? Croyez-vous en Lui?

            Croyez-vous? Croyez-vous, monsieur? De tout votre coeur? Oui, oui. Je crois ça. Et si je vous disais que vous avez été guéri pendant que vous étiez assis dans ce fauteuil roulant, croiriez-vous cela? Vous croiriez. Laissez-moi vous le dire, afin que vous sachiez que je vous dis la vérité.

            Vous avez une mauvaise habitude que vous aimeriez abandonner (c’est vrai), c’est la cigarette. Allez-vous y renoncer? C’est afin que vous le sachiez aussi. Vous avez ici ce soir une mère qui aimerait être guérie, n’est-ce pas? Si je vous dis ce qui cloche chez elle, elle est assise là dans l’assistance, me croirez-vous? C’est l’affection des vésicules biliaires. Est-ce vrai? Allez donc. Vous serez guéris tous deux. Au Nom du Seigneur Jésus, allez.

112      Disons: «Gloire à Dieu qui nous donne la victoire!» Vous vous débattez beaucoup, madame. C’est pour cette femme-là, n’est-ce pas? Je ne vous ai jamais vue et vous le savez. Mais le Saint-Esprit est ici. Il connaît toutes choses. Vous n’êtes pas loin du Royaume, madame; en effet, vous êtes malade et je le sais.

            Maintenant, il y a quelque chose d’étrange, assistance. Ne pensez pas que je suis hors de moi. Je ne le suis pas. Mais il y a des faisceaux qui vont de cette femme qui est ici vers cet homme qui est assis là, la deuxième personne derrière, dans ce siège-là. Cet homme assis là derrière souffre de foie, n’est-ce pas, monsieur? Et c’est votre femme qui est assise à côté de vous. Elle souffre du cou, n’est-ce pas?

113      Cette dame est dérangée par une affection de foie aussi. C’est vrai. Voyez là. Ce démon appelle, mais il–il va perdre la bataille. Jésus-Christ est ici. C’est vrai. Cette femme se meurt de maladie de foie. Monsieur, c’est terminé. C’est votre foi qui a fait cela, monsieur. Et le démon cherche à faire une supercherie, mais il a perdu le jeu.

            Regardez, madame. Vous souffrez aussi de foie. Me croyez-vous? J’aimerais vous parler juste un instant. Vous allez mourir si vous restez couchée là, vous le savez. Vous ne pouvez pas vivre en restant couchée là parce que vous êtes très malade.

            Et je vois qu’on a fait un examen, vous avez de l’eau à l’intérieur, là en haut, ça ne descendra pas. Vous êtes plus malade qu’on ne vous le dit. C’est vrai. Vous êtes très malade. Assurément. Vous avez des complications partout, vous assise là. Me croyez-vous? C’est vrai, n’est-ce pas?

114      C’est votre fille qui est assise avec vous. C’est vrai, n’est-ce pas? Croyez-vous que je suis prophète de Dieu? Croyez-vous? Qu’en pensez-vous? Croyez-vous que c’est le Seigneur Jésus? Croyez-vous? Vous avez votre porte-monnaie sur vos genoux, n’est-ce pas? Mais vous avez dans ce porte-monnaie une lettre qui vient de mon bureau. C’est vrai. N’est-ce pas qu’on vous appelle Thell, ou quelque chose comme cela? C’est vrai.

            Maintenant, imposez la main à votre mère. Père céleste, celle-ci est l’heure de la foi pour elle. Si elle reste couchée là, elle mourra. Donne-lui la force, Seigneur. Donne-lui la puissance pour croire. Et maintenant, en tant que Ton serviteur, je condamne ce démon. Satan, tu cherches à la retenir, mais tu es exposé. Jésus-Christ est ressuscité d’entre les morts. Et tu n’es qu’un bluffeur. Je t’adjure par le Dieu vivant, sors de cette femme.

115      Madame, croyez-vous de tout votre coeur? Alors, si vous croyez... C’est bien, croyez-vous que Jésus est près de vous maintenant? C’est la vérité, ce qui a été dit, n’est-ce pas? Croyez-vous que je suis Son prophète? Alors, au Nom de Jésus-Christ, levez-vous, prenez votre lit, rentrez chez vous. Sortez. N’ayez pas peur. Sortez du lit et levez-vous au Nom du Seigneur Jésus-Christ. Vous pouvez le faire. Dieu vous donnera la force comme Il en avait donnée à Georgie Carter et aux autres. Il vous en donnera.

            Elle se lève. Sa fille la fait se lever. Et la voilà sortir du lit pour être rétablie. Adorons Dieu. Y a-t-il ici quelqu’un d’autre qui aimerait être guéri? Levez la main vers le Seigneur Jésus pendant que nous prions.

116      Père céleste, au Nom du Seigneur Jésus, nous venons à Toi maintenant même et nous Te demandons de guérir chaque personne qui se trouve dans la Présence Divine. Satan, Tu es vaincu. Sors des gens! Tu es un imposteur. Tu es méchant. Tu es un séducteur. Jésus-Christ est ressuscité d’entre les morts et Il est ici. Quitte les gens au Nom de Jésus-Christ. Sors!

            Que chacun de vous lève la main, rende gloire à Dieu et rentre chez lui, guéri.

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