Rédempteur, Rédemption

Date: 55-1119 | La durée est de: 2 heures | La traduction: Shp
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1          Plus haut, plus haut,

            C’est ce que je veux qu’Il fasse pour moi. Et je suis sûr que c’est notre souhait à tous. Ça a été très bien chanté, Frère Ekberg. Que le Seigneur vous bénisse.

            Frère Waermo, je suis sûr que vos auditeurs à la radio ont apprécié votre chant de ce matin. Ça a été certainement un moment merveilleux là au petit-déjeuner ce matin, avec les Hommes d’Affaires du Plein Evangile, là où nous avons passé un bon moment de communion avec Son peuple, ces chanteurs qui chantaient.

            Et maintenant, j’espère qu’ils–qu’ils arriveront à Phoenix avec nous, aussi. J’espère... Vous pouvez prier pour cela. Aimeriez-vous le faire? C’est très bien.

            Oh ! Je pense, Frère Arganbright, que nous ferions tout aussi mieux de les amener outre-mer, avec eux. Ils peuvent chanter en suédois, et à divers... Ça–ça serait bien fantastique.

2          Eh bien, nous sommes très reconnaissants d’être ici ce soir, sous cette tente encore une fois, pour rendre des actions de grâces et louer le Seigneur Jésus, notre Sauveur béni, pour toute Sa bonté et toute Sa miséricorde envers nous.

            Aujourd’hui, ça a été plutôt une journée où je me suis senti faible. Ça m’arrive très rarement, mais ce matin, lors de la réunion avec les Hommes d’Affaires Chrétiens, le Seigneur nous a donné des visions à la réunion de ce matin, avec les Hommes d’Affaires Chrétiens, là à la réunion. Et au... Parfois, quand c’est toute la journée comme cela, ça devient plutôt difficile de s’en défaire. Et la nuit, on est encore faible.

            Eh bien, demain, ça sera la fin pour nous de cette–de cette campagne cette fois-ci. Et nous allons tenir cela l’après-midi, notre service de clôture, afin de permettre à tout le monde de venir. Peu importe ce qui se passe dans vos églises, nous essayons de–de tenir nos services de telle manière que cela ne dérange pas, autant que nous le pouvons, les autres églises. Ainsi donc, nous–nous aimerions que tout le monde soit à son poste de devoir.

3          Eh bien, s’il y a des étrangers ici, il y a beaucoup de gens, et beaucoup de bonnes églises dans cette vallée ici. Et je suis sûr que vous... ils seront contents de vous avoir le matin dans leur église. Et je ne les connais pas. Je n’ai pas fait plus que leur serrer la main ici à l’estrade. La vie pour moi... J’aime les gens. Les gens pensent que je suis un isolationniste, mais je ne le suis pas. J’aime les gens, mais je... vous ne pouvez simplement pas être un serviteur des hommes et de Dieu au même moment. Vous... Je dois rester à l’écart, prier, me préparer pour le service du Seigneur le soir, afin que j’essaie d’aider mon prochain.

            Maintenant, il y a... Je pense qu’il y a des gens de Foursquare [Evangile de quatre coins], des assemblées et, oh ! toutes sortes d’églises par ici. Si vous êtes par ici, allez ici. Si vous êtes à Glendale... Je ne connais aucune des églises là, mais nous avons tenu une réunion avec la communauté des Hommes d’Affaires là, et j’ai rencontré de braves frères.

            Ce matin, j’ai fait la connaissance d’un brave frère luthérien, et son nom m’échappe pour l’instant. Il a parlé un moment pour nous ce matin, un très brave homme. Il a rassuré tout le monde que cette grande église luthérienne là-bas avait des sièges en peluche, si quelqu’un voulait dormir, qu’il y aille. C’est–c’est ce qui fait dormir pendant l’église. Il... Vraiment un sens d’humour, un très brave frère.

4          Et j’ai certainement apprécié cette communion ce matin, apparemment, chez les Hommes d’Affaires du Plein Evangile.

            Là à Los Angeles, il y a beaucoup de bonnes églises: frère Jaggers, beaucoup parmi vous le connaissent, frère O.L. Jaggers, The World Church [l’Eglise pour le monde]. Il a une bonne école de dimanche. Puis, il y a le temple McPherson, l’Angelus Temple, je pense qu’il porte le nom de la soeur McPherson, c’est son temple.

            Je n’ai jamais eu l’occasion de rencontrer soeur McPherson dans cette vie-ci. Je m’attends à le faire dans la Vie qui est à venir, une femme merveilleuse. La première fois que je suis allé à Los Angeles, je suis allé à Forest Lawn, là, je me suis incliné à sa tombe et j’ai rendu des actions de grâces à Dieu pour sa vaillante vie pendant qu’elle était ici sur terre, pour notre soeur McPherson.

            Il y a frère Kopp. Beaucoup parmi vous le connaissent. Et je pense que Billy Opey est en train de tenir un réveil maintenant, je pense avoir suivi l’émission à la radio, à–à Angelus Temple. Je n’ai jamais rencontré Billy, à ce que je sache, personnellement. Peut-être que je l’ai rencontré, si je... si quelqu’un... Si c’est le cas, je suis désolé ; je ne me rappelle simplement pas l’avoir rencontré. Je peux l’avoir rencontré une fois dans une réunion de prédicateurs, et je ne me rappelle simplement–simplement pas en ce moment.

5          Mais j’ai rencontré docteur Teeford, et–et Rolf McPherson, et ces braves hommes là, docteur Cummings, et certains braves hommes. J’ai rencontré monsieur Kopp au... Leroy, c’est le nom du jeune garçon. J’oublie. C’était lui le propriétaire du lieu qu’occupe frère Jaggers maintenant, le World Church [l’Eglise pour le monde]. C’est là que mon vieux frère qui a gravi les escaliers, le membre du Congrès Upshaw, Willy Upshaw, a été guéri, à l’église, c’est maintenant le World Church [l’Eglise pour le monde], quand frère Kopp était là, après qu’il eut été invalide, se servant des béquilles, des fauteuils roulants, et des civières pendant soixante-six ans, je pense que c’était ça. Et sa veuve, une très bonne femme chrétienne... Combien ont donc connu frère Upshaw? Faites voir les mains. Eh bien, que votre coeur soit béni. Un merveilleux personnage, il s’en est allé. Et je dirais la même chose s’il était assis devant moi, ou s’il était dans... quelque part à Los Angeles ce soir: il était vraiment un bon frère. Et le Seigneur l’a béni, et il l’a utilisé d’une façon extraordinaire avec son témoignage de guérison, étant un homme de son calibre.

            Cette nuit-là là au temple, quand le Saint-Esprit l’a montré en vision en train de marcher après avoir été invalide pendant soixante-six ans...

6          Sa veuve est en train d’écrire un–un livre, ou je pense que c’est la guérison de frère Willy, et–et ils retracent l’histoire là, je pense, et mon nom doit apparaître dans le livre. Je dois la voir, je pense si... Elle doit voir frère Arganbright ce soir, et j’aimerais la voir un tout petit peu avant de quitter Los Angeles demain.

            Ainsi donc, frère Kopp a été un bon ami à moi. Il y a beaucoup, beaucoup de bonnes églises. J’aurais bien voulu avoir le temps... Et je ne les connais pas toutes pour les mentionner. Mais trouvez-vous une bonne église demain et allez à l’église.

7          Et demain après-midi, à quatorze heures trente (Est-ce exact, frère?), à quatorze heures trente, les services commenceront ici au tabernacle, en fait, sous tente ; c’était ça le tabernacle au début. Saviez-vous cela? Le tabernacle dans le désert était constitué de... C’était une tente, des peaux rassemblées. Venez demain après-midi, et nous terminerons assez tôt ; vous pourrez aller à votre propre église, de votre choix, demain soir encore une fois, servir le Seigneur. Nous espérons que Dieu vous accordera, à vous tous, de grandes réunions.

            Et maintenant, je... Demain après-midi, le Seigneur voulant, j’aimerais essayer de prier pour autant de malades que je pourrais le faire. Nous avons distribué beaucoup de cartes. Nous aimerions prier pour autant que possible, et parler tôt. J’aimerais donc être ici pour commencer le service moi-même au moins à quinze heures moins le quart, ou quinze heures, tout aussi vite que nous le pouvons. Essayez donc d’être là à quatorze heures trente pour suivre le dernier chant de frère Ekberg et frère Waermo qui ont été une bénédiction. Combien ont apprécié les chants de ces frères? Faites voir les mains. Oh ! Merci.

8          J’ai souvent pensé que... Vous savez, Dieu a guéri frère Ekberg. Il souffrait d’un... Vous tous, vous savez cela, je suppose. Les médecins lui avaient accordé juste un peu de temps à vivre, le cancer sarcome. Et le Dieu Tout-Puissant, une nuit dans une réunion à Chicago, pendant que j’étais sous l’onction du Saint-Esprit, je me suis senti conduit, je me suis avancé là et je lui ai imposé les mains alors qu’il était dans une situation critique.

            Frère Waermo avait connu une dépression nerveuse et il était très malade. Dieu l’avait guéri, et je l’ai regardé ce matin alors qu’il chantait ces cantiques. Je–je vous assure, il y a en moi quelque chose qui se met à remuer, en pensant à ce que Dieu avait fait pour lui.

            Et maintenant... Et ils seront ici demain après-midi pour assister–assister au service et chanter pour nous.

9          Eh bien, il y a ici des lettres qui vont aller auprès des malades et des affligés. Et que le Seigneur ajoute Ses bénédictions alors que nous prions pour elles.

            Eh bien, chacun viendra retirer cela. Je pense qu’il y a une autre là même, frère. Ils... Nous aimerions que vous fassiez ceci maintenant: Après que l’appel à l’autel sera terminé ce soir... Je pense que c’est en ordre, n’est-ce pas, frère? Après l’appel à l’autel, quand vous aimeriez qu’ils viennent retirer leur... après l’appel à l’autel? [Un frère dit: «Oui.»–N.D.E.] Après l’appel à l’autel, venez retirer votre–votre mouchoir. Et s’il vous arrive de ne pas l’avoir, et que vous en ayez besoin, écrivez-moi simplement pour en avoir un.

            Maintenant, cela ira... Il y aura un... ça sera un rendez-vous fixé... Quelque chose? Aimeriez-vous annoncer quelque chose? [Un frère dit: «Non. Voyez, on pose encore des questions au sujet de vos livres.»–N.D.E.] Des livres... Ils–ils... Beaucoup ont demandé, et quelqu’un m’a écrit une lettre l’autre jour, disant: «Frère Branham, envoyez-moi un de vos livres.» Et j’en ai quelques-uns.

10        Maintenant, la raison pour laquelle nous ne les avons pas apportés, c’est que, premièrement, je n’ai pas d e place. Et ces livres... Mon... Combien les ont déjà lus? Faites voir vos mains. Eh bien, c’est bon. Je... Vous savez, je–je n’ai pas... j’en ai écrit un petit, une fois, et ça a été intitulé: Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement. J’ai écrit un autre intitulé: La vision céleste. Oh ! Ce sont de tout petits livres, alors, d’environ soixante, soixante-dix pages là, je pense, ça a été vendu à à peu près quinze cents ou quelque chose comme cela. Et cela a dû être réécrit une douzaine de fois à cause de–à cause de sa grammaire. Ainsi donc, ma femme a cela... Non, ce n’était pas sa grammaire à elle, c’était la mienne. Voyez? C’était un... Tous deux ensemble, chérie, nous ne pouvons pas avoir une bonne grammaire, n’est-ce pas?

11        Dites donc, quelqu’un m’a écrit une petite note hier soir, disant: «Frère Branham, demandez à votre femme de monter à l’estrade avec l’enfant.» Vous n’aimeriez pas qu’elle s’évanouisse, n’est-ce pas? Elle est aussi timide que moi, alors... Ainsi donc... Ha–ha–ha. Je vais vous dire quoi: Si–si je peux arriver à lui parler vraiment avec amour après le service de ce soir, nous lui demanderons de monter demain après-midi. Aimeriez-vous cela? [L’assemblée applaudit.–N.D.E.] Maintenant, elle est si... merci.

            S’il y a un quelconque mérite à attribuer à la famille Branham, attribuez-le-lui. C’est elle qui le mérite. Elle est la mère de ces trois petits enfants. Eh bien, ils sont restés à la maison... Vous savez quoi? Ceci est... Cette fois-ci, nous avons peut-être passé ensemble pratiquement le même temps que nous avons donc passé depuis que nous sommes mariés. C’est vrai. Nous ne sommes jamais ensemble, c’est à peine que nous nous voyons l’un l’autre, jamais. Et je suis tout le temps parti. Et quand je suis à la maison, c’est pire que si j’étais ailleurs, il y a sans cesse des va-et-vient de gens, tout le temps. Et j’ai vu une fois où (Oh ! la la !) où c’était juste... Voyez, ce n’est juste pas un petit groupe de gens ; c’est partout à travers le monde. Et des gens viennent de l’Inde, de l’Afrique, de partout, affluant à Jeffersonville.

12        Maintenant, concernant le livre, monsieur Stadsklev (Il est un aumônier militaire), c’est lui qui a écrit celui qui s’intitule: Un Prophète visite l’Afrique. Et révérend Gordon Lindsay a écrit l’autre intitulé: Un Homme envoyé de Dieu. Ils ne sont ni l’un ni l’autre... ils sont juste... ils... Ce sont ces hommes qui les ont écrits ; et la façon dont je les obtiens, je les achète simplement (Voyez?), au–au... je pense, c’est avec une réduction de quarante cents par livre. Et puis, je–je les paie pour le livre, je dois en vendre un à un dollar et demi ; c’est à ce prix là qu’on les vend ; et l’autre à deux dollars. Et c’est ça leur prix. Donc, je les donne avec une réduction de quarante cents par livre. Alors, je dois les amener, en assurer la maintenance, le fret par bateau, l’expédition. Oh ! la la ! La réunion doit soutenir cela.

            Et puis, j’ai chaque fois dit aux gens qui les vendent, s’il y a n’importe quand un vieux papa ou une vieille mère qui arrive, qui plonge la main dans l’un de leurs petits portemonnaies pour prendre de l’argent et n’en a pas assez pour acheter cela, qu’on le leur donne de toute façon. C’est vrai. En effet, ce n’est pas pour se faire de l’argent avec ça. Si vous ne pouvez même pas... J’ai perdu, si on pouvait faire des comptes, des centaines de dollars pour ces livres.

13        Et maintenant même, je–je n’ai pas l’intention de dire ceci (Voyez?), je suis... je–je ne peux simplement pas en avoir un maintenant même. Je vais en avoir très bientôt, et je les aurai. Je n’en ai pas en ce moment-ci. C’est la raison pour laquelle nous n’en avons aucun avec nous. Mais je–j’en aurai encore très bientôt, aussitôt que je pourrais disposer des moyens pour le faire.

            Maintenant, mais... Et je vais... Et si vous en voulez, écrivez-moi simplement à Jeffersonville, Indiana, et je... faites mention du livre que vous voulez et lequel: Un Homme envoyé de Dieu, c’est frère Lindsay qui l’a écrit. Un Prophète visite l’Afrique, Julius Stadsklev, il vient de... Il est avec Billy Graham et les autres là dans le... je pense, c’est Wheaten. Est-ce... Non, est-ce là? Wheaten, je pense que c’est ça, et c’est de là qu’il vient. Et il est aumônier militaire. Il est là dans le... là loin à Greenland là, ou quelque part dans le territoire des Esquimaux maintenant. J’ai reçu une carte de sa part l’autre jour, il se tenait dans la neige, il a dit qu’il faisait, j’ai oublié combien c’était en dessous de zéro, et en été, cela ne représentait rien là. Ils sont donc là-haut... en Islande, c’est là que ça se trouve, là loin en haut, en Islande.

            Ainsi donc, je les aurai–je les aurai très bientôt, et écrivez-moi simplement et je serai content de vous les envoyer directement.

14        Et puis, pour un mouchoir, si vous en voulez, un petit ruban, je–je serai content de vous l’envoyer. C’est sans frais du tout. Et juste... Et je... Quand vous recevrez cela, il y aura une lettre circulaire qui vous dira quoi faire, et comment l’utiliser. Mais maintenant, cette circulaire est certainement stéréotypée. C’est vrai. Mais chacun de ces petits mouchoirs, ces petits tissus, j’ai prié dessus.

            Eh bien, je–je... La Bible dit: «Faites aux autres ce que vous aimeriez qu’on fasse pour vous.» Et si j’avais confiance en vous–vous, et que je croyais que Dieu exauçait votre prière, je–je–je n’aimerais pas qu’un secrétaire prie sur un ruban qui a été envoyé pour mon enfant, s’il était malade. Je–j’aimerais que ce soit vous qui priiez sur cela. Et c’est ce que je fais. Je prie sur chacun d’eux, et j’en envoie des milliers par semaine à travers le monde. Et maintenant, nous serons content de vous l’envoyer. C’est sans frais du tout. Envoyez simplement pour demander cela ; c’est à vous.

15        Maintenant, prions pour ce qu’il y a ici, maintenant même, pendant... Maintenant, Père céleste, nous venons à Toi aussi humblement que nous savons le faire, premièrement pour rendre des actions de grâces pour toute Ta bonté, toute Ta bienveillance. Et, ô Dieu, je–je suis très content de ce que Tu as frayé une issue pour nous ; Tu as frayé une issue pour échapper de chaque coin.

            Et maintenant, on a déposé ici devant moi des mouchoirs qui vont être envoyés aux malades et aux affligés. Ils sont ici, où soirée après soirée, quand le Saint-Esprit est ici, Il assiste juste à cette chaire, Il se meut, révèle aux gens quoi faire et Il les aime. Et en commémoration de ceci, ils déposent ces mouchoirs ici pour qu’on prie dessus. Beaucoup d’entre eux, Père, iront aux petits enfants malades, et partout. Et d’autres vont aller auprès des gens sans secours. Mais, Père, nous Te prions, Toi qui es le Réconfort de ceux qui sont sans secours, nous Te prions de guérir chacun d’eux. Tire gloire de cela, alors que moi, en commémoration de Ta Parole, je crois et je pose mes mains, pour ainsi dire, sur eux, juste sous forme d’un signe, pour Te faire savoir, Seigneur, avec la profondeur de mon coeur et la sincérité de mon coeur, je demande avec tout ce qui est en moi, de guérir tout le monde, Seigneur.

16        Je–je demande ceci pour la gloire de Dieu. Et Tu as dit: «La prière fervente du juste a une grande efficace.» Et nous savons que nous ne sommes pas justes, mais la justice du Seigneur Jésus, nous venons dans Sa justice, confessant que nous n’avons rien. Mais par Sa justice, avec la prière, nous demandons que cela profite à ces malades.

            Et, Seigneur, parle-nous ce soir par la Parole. Ensuite, descends parmi nous avec de grands signes et de grands prodiges, accomplis ici ce soir et guéris. Car nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.

17        Merci, frère. N’oubliez donc pas. Dites à vos pasteurs que nous apprécions certainement tout ce qu’ils ont déjà fait pour nous, et demain, nous–nous aimerons le... si vous le pouvez, vous n’avez pas d’église. Congédiez simplement et venez, et communions longtemps. Aimez-vous la communion? [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.]

            Combien ont déjà entendu parler de frère Bosworth? Le vieux frère docteur Bosworth, beaucoup... Je disais: «Frère Bosworth, j’aime la communion.»

            Il disait: «Frère Branham, savez-vous ce que c’est la communion [Fellowship]?»

            Je disais: «Eh bien, je pense que oui, Frère Bos-...»

            Il disait: «Ce sont deux compagnons [fellows] dans une barque [ship].» Et c’est–c’est ce que c’est. Nous sommes plutôt proches ensemble: deux compagnons [fellows] dans une barque [ship].

18        Maintenant, ce soir, pendant quelques instants, abordons aussi vite que possible la Parole écrite. J’aime vraiment la Parole de Dieu, pas vous? Et nous venons de passer un temps très merveilleux cette semaine à communier autour de la Parole.

            Et ce soir, j’ai vu que nous avons quelques civières et un fauteuil roulant de nouveau. Dieu a été merveilleux, en guérissant tout... Je n’ai point eu un rapport sur deux petits garçons que j’avais vus ici un soir, juste un soir seulement. Et je ne sais simplement pas. J’aurais bien voulu que quelqu’un vérifie et voie s’ils ont été guéris. Ils étaient dans la réunion, évidemment, quand l’autre partie sur les visions est arrivée, je ne comprends pas à partir de là, à moins que je saisisse cela sur les bandes ici. Mais alors, ou–ou mon fils, ma femme, ou que quelqu’un me dise ce qui est arrivé. Et je me pose des questions sur ces deux petits garçons.

19        Maintenant, je comprends que beaucoup de gens qui étaient sur des civières et des brancards ont été guéris et emportés, et il y avait un... J’ai reçu un appel par radio aujourd’hui, ou pas... ou plutôt un appel téléphonique de la part d’une femme qui avait été paralysée depuis longtemps... Peut-être que je ne l’ai pas bien saisie. C’était l’une ou l’autre chose. Elle était ici ; j’avais prié pour elle, et elle était ici, l’une ou l’autre chose, elle était paralysée pendant des années et des années et des années. Mais elle peut marcher maintenant, et elle a dit qu’elle avait été chez un médecin, et son médecin a dit qu’elle pouvait marcher bizarrement, pas comme un humain, comme un chien ou quelque chose comme cela. Elle a dit: «Je reprends à marcher comme un être humain.» Juste vraiment... bien marcher, elle titube un peu, mais n’est-ce pas merveilleux? Après avoir été paralysée pendant, je pense, vingt-cinq ans ou quelque chose comme cela. Ainsi donc, nous sommes contents de ce qu’elle a si fort évolué. Que le Seigneur la bénisse.

            Ensuite, une vieille dame était assise ici pendant longtemps, peut-être qu’elle est présente ce soir. Avant-hier soir, elle était un cas d’arthrite. Je me demande si cette femme est ici. Voudra-t-elle lever la main quelque part si elle est ici dans la réunion ce soir? Elle était assise ici dans un fauteuil roulant... L’un des derniers cas de fauteuils roulants, à ce que nous sachions, à être guéri. Très bien. Elle a dit que quelque chose l’a simplement envahie. Elle s’est levée, elle a pris son fauteuil roulant, elle a repoussé cela, et elle est rentrée à la maison. Ainsi donc, nous en sommes bien contents, n’est-ce pas? C’est la mère de quelqu’un, pensez-y donc, comment Dieu, dans Sa bonté, aide les gens.

20        Maintenant, pour la Parole, je–j’aime vraiment Cela, et la communion que nous avons autour de cette Parole, en tant qu’un peuple interdénominationnel dans–dans un... Pendant que nous sommes sous cette tente, de toute façon, nous sommes interdénominationnels. Et nous aimerions que vous soyez de même en étant ici en dessous. D’être en mesure juste de... Ou quand vous sortirez, aussi, aimez simplement tous les chrétiens, et aimez tous les pécheurs pour en faire des chrétiens.

            Et maintenant, dans le Livre de Job... Nous avons fait très longtemps dans Genèse, je me suis dit que, ce soir, on changerait en prenant Job, juste pour quelques instants, chapitre 19, à partir du verset 25, et lire jusqu’au verset 27 inclus, pour un–un passage des Ecritures. C’est très beau, très approprié, et j’aime lire Job.

            Maintenant, Père céleste, viens vers nous, prends la Parole, et que le Saint-Esprit L’apporte à chaque coeur ce soir, selon que nous En avons le besoin. Tire gloire pour Toi-même, car nous le demandons au Nom de Jésus, l’Unique qui peut interpréter la Parole. Amen. Job 19.25, 26 et 27:

Mais je sais... (J’aime cela pour commencer, pas vous? Non pas: «Je devine, je l’espère», mais: «Je sais», l’assurance.)... mon Rédempteur est vivant, et qu’il se lèvera le dernier sur la terre.

Quand ma peau sera détruite, il se lèvera ; quand je n’aurai plus de chair, je verrai Dieu.

Je le verrai, et il me sera favorable ; mes yeux le verront, et non ceux d’un autre ; mon âme languit d’attente au-dedans de moi.

            Maintenant, comme sujet, j’aimerais prendre: «Rédempteur, Rédemption.» Que le Seigneur ajoute Ses bénédictions à la lecture de Sa Parole. Je...

21        Job, c’est le Livre le plus ancien de la Bible. Job a été écrit avant que Genèse ne fût écrite. Avant que Moïse écrivît Genèse, on soutient qu’on avait le Livre de Job, un grand prince.

            Et là, on nous apprend sur les épreuves. Et pratiquement... L’autre jour, j’étais assis là, pas l’autre jour, la dernière fois que j’étais ici au Mont Wilson, on entendait un astronome donner le... environ les différentes étoiles, et les citait, et Job les a mentionnées ici dans la Bible il y a longtemps.

            Vous savez, l’homme n’avait jamais su qu’il y avait des chemins dans l’air, si ce n’est tout récemment. Et Job savait cela dans un passé lointain, il y a longtemps. Vous savez, la science a découvert cela il y a moins de vingt ans, que vous avez une peau sur vos dents. Mais Job savait cela il y a six mille ans. Assurément. Il le savait certainement. Il... beaucoup de choses. Un très beau Livre, et un bon Livre sur la rédemption.

22        J’aime le mot rédemption. Être racheté veut dire être ramené, racheté. Comme je disais ce matin à l’entretien chez les Hommes d’Affaires Chrétiens sur la réconciliation, je disais: «La Rédemption veut dire que le diable vous avait placé dans un magasin de prêt sur gage, puis Jésus est venu vous en faire sortir.» C’est vrai.

            J’aime la nature, et j’ai une fois vu une petite histoire d’un–un homme qui avait attrapé un corbeau au piège, il l’avait lié pour effrayer les autres corbeaux et les éloigner. Il sautillait. Eh bien, le pauvre vieux corbeau, il–il se tenait là et sautillait. Et le fermier ne le nourrissait pas ni rien ; il devint si faible qu’il–il n’arrivait guère à se tenir debout plus longtemps. Il y eut donc un homme de bien qui passa par là un jour, il vit le vieux corbeau qui paraissait si faible et maigre. Il l’a simplement délié. Alors, tous les corbeaux survolaient là en criant: «Allons, Johnny Corbeau. L’hiver arrive. Allons vers le sud. Quitte ce temps froid qui arrive.» Mais vous savez quoi? Le vieux corbeau avait été lié si longtemps qu’il continuait à penser qu’il était lié. Il ne savait pas que quelqu’un l’avait racheté.

23        Et c’est pareil pour beaucoup de gens ce soir, amis. Vous avez été si longtemps dans le péché, servant l’ennemi, que vous pensez que vous êtes toujours lié alors que vous êtes libéré.

            Allons au Calvaire ce soir, débarrassons-nous des choses du monde. Oh ! Il est merveilleux. Sachez que nous sommes libres: celui que le Fils affranchit est réellement libre. Et vous avez été libéré au Calvaire quand Jésus paya le plein prix à Dieu le Père, quand Il souffrit dans la chair et mourut et Il re-... paya tout le prix de votre rédemption, afin que vous soyez racheté et ramené à Dieu.

            Beaucoup parmi vous connaissent l’histoire de la rédemption dans la Bible, beaucoup parmi vous les érudits ici, les étudiants, les prédicateurs, les docteurs. Et souvent, de petites ménagères qui ne sont pas des docteurs lisent en fait la Bible, comment le plan de la rédemption de Dieu...

            J’avais l’habitude de raconter, quand j’étais à mon tabernacle, l’histoire de la rédemption, au sujet d’un... sur la loi de la rédemption... C’est tiré d’Exode, évidemment, et de Lévitique, les lois lévitiques. J’avais donc l’habitude de dire: «Si une vieille mère jument avait mis bas un petit mulet, et si en naissant la petite bête avait des oreilles rabattues... Eh bien, c’était un mulet d’ mauvais aspect pour commencer. Ses yeux louchaient, il avait des genoux cagneux, une queue dressée tout droit en haut. Quel mulet d’apparence horrible. Si la mère pouvait regarder le petit animal et que lui pouvait se voir, il dirait: «Oh ! Oh ! On ne me nourrira pas.» Il dirait: «Aussitôt le maître sorti et qu’il m’aura trouvé, il va probablement me tuer, car je ne mérite pas d’être nourri.»

24        Eh bien, c’est pratiquement pareil avec nous les pécheurs (Saviez-vous cela?) ; nous ne valons simplement pas grand-chose pour le Royaume de Dieu. Mais, vous savez, si cette vieille mère comprenait et pouvait répondre au petit mulet, elle pourrait dire: «Mais attends une minute, fils. Tu as le droit d’aînesse. Tu es mon premier. Tu es né avec le droit d’aînesse. Et le simple fait pour toi d’être né ainsi, tu sais, le sacrificateur ne te verra jamais. Tout ce qui arrivera, c’est qu’on va... Le maître de la maison devra aller au troupeau prendre un agneau parfait et sans tache, il l’examinera, et le sacrificateur ne regardera jamais le mulet ; il examinera l’agneau. En effet, le mulet est né avec le droit d’aînesse, aussi l’agneau sans tache doit mourir à la place du mulet très défiguré. Et le–l’agneau meurt. Un agneau parfait meurt afin qu’un mulet défiguré puisse vivre.»

            Quel beau tableau de la rédemption ! Oh ! la la ! L’Agneau parfait de Dieu est mort afin que nous les pauvres êtres humains étrangers et défigurés, nous puissions vivre encore. Quel tableau de la rédemption ! Eh bien, ce petit mulet pouvait donner des coups de pattes en l’air, sautiller çà et là et se taper un grand moment. Pourquoi? Parce qu’il est racheté.

25        C’est ce que fait une personne rachetée, qui comprend cela, vous avez des émotions. Vous n’y pouvez rien quand vous êtes... L’histoire raconte qu’il pouvait avoir... il pouvait vivre parce que l’agneau parfait est mort à sa place, le petit animal pouvait se réjouir, sous un... C’est le sentiment que j’avais éprouvé le jour où mon coeur a saisi l’histoire. Je... Sachant que j’étais un pécheur, que je ne pouvais même pas trouver une église qui faisait un appel à l’autel, je suis allé de l’une à l’autre. Aucune ne faisait l’appel à l’autel ; aucune n’invitait. Elles parlaient toutes des fleurs, et du nouveau pont qui allait enjamber la rivière. Et cela ne me–m’intéressait pas. Vous lisez cela dans le journal. Je voulais écouter la Bible, la Parole.

            Savez-vous comment j’ai été sauvé au début? Je ferais mieux de m’arrêter ici pour vous le dire. Pour commencer, j’ai pris un crayon et du papier, je suis sorti, j’allais écrire une lettre à Jésus. Je suis un homme de bois, toute ma vie, j’ai été garde-forestier pendant des années, j’ai vécu dans les bois, j’ai dressé des pièges et j’ai chassé toute ma vie. Et je savais qu’Il était le Dieu de la forêt, car je pouvais Le voir là-bas, Sa nature, la façon dont Il a créé cela. J’allais me rédiger une lettre et la coller à un arbre dans le bois, afin qu’Il puisse la lire lorsqu’Il passera par là. Je ne savais comment être sauvé.

            Nous étions alors des gens très pauvres, et papa était là dans la contrée (C’était au temps de la crise.), il avait un petit sachet plein de pommes de terre que quelqu’un lui avait données, il a déversé cela dans une boîte dans le garde-manger, et il a déposé le sachet par terre. Je suis allé prendre le sachet, je suis sorti vers une petite vieille remise ; il y avait de l’eau, c’était humide, je me suis agenouillé là. J’ai dit: «Maintenant, que vais-je faire? Je n’ai jamais dit une prière de ma vie, je n’en ai jamais entendue une à ce que je sache. Comment vais-je donc Lui parler?»

26        J’ai dit: «Eh bien, je–j’ai entendu les gens dire qu’ils Lui avaient parlé et ils me disent qu’Il était un Homme, si donc Il est un Homme, Il devra comprendre comme un homme.» J’ai donc dit: «Monsieur Jésus, j’aurais bien voulu que Tu viennes ici juste une minute ; j’aimerais Te parler, Te dire combien j’ai été mauvais.» Cela paraît plutôt bizarre, mais je me rongeais les ongles. J’ai dit: «Monsieur Jésus, j’ai été une personne horriblement mauvaise. Je–j’aimerais Te parler. Maintenant, si Tu m’entends, veux-Tu me répondre et dire: ‘Je t’écoute’?» J’ai écouté ; personne ne m’a répondu. Je me suis dit: «Oh ! la la !» J’ai dit: «Peut-être que je ne l’ai pas dit correctement. Je vais encore essayer.»

            J’ai dit: «Monsieur Jésus, voudras-Tu venir ici juste un instant, gentil Monsieur?» J’ai dit: «J’ai fait des choses horribles, et je–je–j’aimerais en parler avec Toi. Je–je Te promets, si Tu me laisses vivre, je–j’aimerais, je–je Te servirai ; et je–j’aimerais parler des choses avec Toi.» J’ai prêté l’oreille; j’ai dit: «Veux-Tu me répondre, Monsieur? Je ne voudrais donc pas parler au vent.» J’ai dit: «Je–j’aimerais que Tu me répondes.» Et j’ai dit: «Vas-Tu le faire?» Et j’ai prêté l’oreille, personne ne m’a parlé.

            Eh bien, j’ai dit: «Je ne suis qu’un... J’avais entendu d’autres personnes dire: ‘Dieu m’a parlé.’» Mais avec mon pauvre coeur d’enfant, je ne comprenais pas. J’ai dit: «Eh bien, je suis si vilain qu’Il ne veut même pas me parler. Je n’ai même pas de chance maintenant.» Alors, je me suis mis à hurler comme un enfant. Alors, Il m’a parlé. Amen. Voyez? Il vous faut premièrement bien procéder. La rédemption...

27        Oh ! Quand je me suis relevé de là, je marchais sur des nuées, j’en avais l’impression. Je ne savais comment crier. Alors, savez-vous comment je me suis soulagé comme cela? Il y avait une grande digue qui passait derrière la maison ; nous habitions on dirait une petite vieille pauvre cabane là. Et maman... J’étais devenu très nerveux, et je regardais la Bible, elle a dit: «Que se passe-t-il...» Je–j’ai pris mon livre de chants, elle a dit: «Que se passe-t-il avec toi?»

            J’ai dit: «Je–je ne sais pas, maman.»

            Je suis sorti et je suis allé sur la voie ferrée, j’ai couru sur la voie ferrée en sautant en l’air, très haut. Je ne savais quoi faire. Je me sentais simplement très bien. Et c’est l’unique chose que je savais faire. Croyez-vous au fait de se retrouver dans cet état-là? Assurément, j’aime ça. C’est ça le problème aujourd’hui. Nous nous sommes éloignés de religion qui touche le coeur.

28        Un vieil homme, là dans le sud autrefois, disait... on disait à un vieil esclave, on lui disait: «Mose, que veux-tu dire par la religion qui touche le coeur?»

            Il a dit: «Eh bien, patron, c’est bon.»

            Il a dit: «Il n’existe pas de religion qui touche le coeur.»

            Mose a dit: «Patron, vous vous êtes trompé sur une seule chose.» Il a dit: «Vous auriez pu dire: ‘A ma connaissance, il n’existe pas de religion qui touche le coeur.’» Mais lui était mieux avisé que ça.

            C’est vrai. Sentait... Je ne veux pas dire qu’il vous faut sentir Cela pour Le recevoir donc. Mais après que vous avez reçu Cela, vous Le sentez alors. Amen !

29        Une fois, un vieil homme avait bâti une grange, un fermier (Oh ! la la !), une belle grange. Et, mais, c’était le fermier le plus paresseux de la région. Il avait des tracteurs et tout, il laissait simplement de mauvaises herbes pousser dans sa ferme. Il y avait un autre fermier, là à côté de lui, qui n’avait pas grand-chose comme grange, mais c’était un fermier habile. Il avait donc cultivé beaucoup de luzerne, il en avait rempli un grand halo. Cette année-là, il naquit dans chaque grange un petit veau, la nouvelle grange, la grande église, là où il y a le... Excusez-moi. Je n’aurais pas dû dire cela. Voyez? Mais de toute façon, j’aime de petites vieilles missions et tout, là où vous pouvez vraiment vous agenouiller et serrer la main et, vous savez, et vous sentir bien. La grande église, c’est bien, s’ils ont Dieu là-dedans. Mais si nous avons notre...

            Vous savez, c’est ça le problème aujourd’hui. Nous avons... Nous attribuons toutes les réponses à la grande église plutôt qu’à Christ. C’est ça le problème.

30        Et vous savez, dans cette très grande et belle grange naquit un petit veau, mais le pauvre petit animal n’avait rien à manger si ce n’était que de mauvaises herbes. Tout ce qu’on pouvait lui donner comme fourrage, c’était de mauvaises herbes. Mais là dans l’autre grange, ce n’était pas quelque chose de très bien, cela avait des fissures à l’intérieur, c’était plutôt vieux et ça semblait usé, mais le petit veau qui était là avait du bon foin durant tout l’hiver. Quand l’été arriva, on les fit sortir tous deux dans le corail, et quand ils sont entrés dans le corail, le petit veau gras, il était tout aussi gras que rondelet, nourri de vitamines, vous savez. Il se sentait vraiment bien. Il a donc commencé à se ruer et à faire des bonds là, et à se taper un très bon temps, pendant que ce vent de printemps soufflait, vous savez, comme un vent impétueux. Vous savez de quoi je parle. Et en descendant, il se tapait simplement un bon temps, il était plein de vitamines. Vous savez, c’est comme ça avec une bonne église, quand elle est bien nourrie de la Parole, et quand le Saint-Esprit se déverse réellement. Vous savez, ils se mettent à sautiller un peu.

31        Et la chose suivante, vous savez, le petit veau de l’autre côté, c’était un petit animal si faible qu’il arrivait à peine à tituber, peu s’en est fallu que le coup de vent l’écroule par terre. Mais il jetait un coup d’oeil dans la fissure de la clôture et regardait là l’autre veau et il disait: «Tsk, tsk, tsk, tsk, tsk, tsk, quel fanatisme !» Voyez? Il devenait aigre, c’était tout.

            C’est ça le problème pour beaucoup de gens, même ici même en Californie (Amen. C’est vrai.), sous alimentés, ils manquent de vitamines. Lisez la Parole. «La foi vient de ce qu’on entend, ce qu’on entend de la Parole.» Ne vous édifiez pas sur des émotions, sur l’excitation, sur de grandes églises. Edifiez-vous sur le Roc solide, Jésus-Christ, et Sa Parole. «Les cieux et la terre passeront, mais Ma Parole ne passera point.» Il est venu racheter.

32        Quand Job parle ici de Lui comme un Rédempteur, tout allait mal pour lui, apparemment... Vous savez, Dieu ne nous a pas promis un lit fleuri d’aisance, mais Il nous a promis beaucoup de montagnes, Il a cependant promis la grâce de surmonter chacune d’elles. J’aime la façon dont Job parle.

            Suivez. Après que Job eut connu ses épreuves et ses tests, comme cela arrive à chaque enfant de Dieu, il doit premièrement être éprouvé, testé. En d’autres termes, il doit être formé comme enfant, subir des fouets, être redressé. Vous savez alors comment agir, comment vous conduire en chrétien. Dieu vous fouette un peu de temps à autre, Il vous retourne quelques fois, vous savez tout ce qu’il en est, Il vous fait vous coucher sur le dos afin que vous arriviez à regarder en haut. Assurément.

33        Nous découvrons donc, après toutes ces épreuves et ces tests, une petite partie que nous aimerions aborder. Aimez-vous lire entre les lignes? Eh bien, la meilleure partie de la Bible est écrite entre les lignes. Assurément qu’Elle l’est. Comme je vous le disais l’autre soir, la Bible est cachée à chaque séminaire. Vous ne connaissez pas Dieu par l’expérience du séminaire ; vous Le connaissez par une expérience de la nouvelle naissance. C’est vrai. Voyez?

            Les séminaires... Rien contre cela, donc, rien du tout, mais ce n’est pas–ce n’est pas ça. Vous accordez trop d’importance à cela. Voyez? «Est-il bien instruit? Combien de diplômes a-t-il?» Voyez? Ce n’est pas ça. C’est plutôt combien de trous il y a dans les genoux de son pantalon suite à la prière, c’est ce que j’aimerais savoir à ce sujet. C’est la meilleure chose. Oui.

34        Alors, pendant qu’il était dans cette situation-là, Job leva les yeux vers Dieu, il savait qu’il tenait ferme sur l’holocauste. Il savait qu’il avait un Rédempteur qui viendrait un jour, et il avait dit: «Je Le verrai au temps de la fin.»

            J’aimerais que vous lisiez juste un peu entre les lignes maintenant. Comme Il a dit: «J’ai caché cela aux sages et aux intelligents, et Je le révélerai aux enfants», vous n’avez pas à être sage ; vous avez... «Celui qui s’humilie sera élevé ; celui qui s’élève sera abaissé (Voyez-vous? Etre rabaissé.) Voyez donc simplement combien petit et combien simple vous pouvez vivre devant Dieu si vous voulez obtenir quelque chose. Assurément.

35        Alors, quand Dieu, en écrivant Sa lettre, Il a donc caché cela, comme je vous le disais, c’est pareil à une–une lettre de la part de ma femme. Elle m’écrit une lettre, mais je lis entre les lignes, car je l’aime ; et je–je peux pratiquement savoir de quoi elle parle. Peu importe ce qu’elle dit sur papier, je sais ce qu’elle veut dire (Voyez?), parce que je l’aime. C’est ce que vous faites lorsque vous aimez le Seigneur Jésus et que vous prenez la Bible. C’est alors un Livre différent. Après votre nouvelle naissance, Dieu s’empare de vous et commence à se révéler à vous par la Parole.

36        Et alors, Job... Remarquez, il a dit: «Je sais que mon Rédempteur est vivant.» Observez sa prophétie. Premièrement, ses consolateurs sont venus et l’ont accusé d’avoir péché en secret, parce qu’il était tombé malade. Mais Dieu a envoyé Elihu, un représentant de Dieu, ce qui veut dire Christ. Eli...?... El représente «le» et tout. En analysant le nom avec un...

            Et à son arrivée, il a dit à Job... Il ne l’a point accusé d’être un pécheur, mais il lui a annoncé qu’il viendrait un Juste qui pourrait se tenir à la brèche et mettre sa main sur un homme pécheur et sur un Dieu saint et faire le pont. Alors, l’Esprit frappa le prophète. Quand il est entré dans la volonté de Dieu, il est retourné dans le canal, et il... l’Esprit le frappa, il se leva, et dit: «Je sais que mon Rédempteur est vivant. [Espace vide sur la bande–N.D.E.] ... les derniers jours, Il se tiendra sur la terre.»

37        Remarquez, quand Job est mort, voici juste une petite insinuation, et puis, nous allons directement aller de l’avant avec la rédemption. Remarquez, quand Job est mort, avant sa mort, il a indiqué le lieu où il serait enseveli... Cela avait quelque chose à faire. Puis, Abraham est venu. Et quand Sara est morte, sa chérie, sa femme, quand elle est morte, c’était étrange, mais Abraham est allé sur le terrain où Job était enseveli, il a enseveli Sara sur le même terrain que Job. Suivez donc, ils étaient des prophètes. Eh bien, cela n’était donc pas écrit dans les Ecritures.

            Et remarquez, quand Abraham mourut, il s’endormit à côté de Sara, au même endroit. Abraham engendra Isaac, et quand Isaac mourut, il fut enseveli à côté d’Abraham. Et quand Isaac engendra Jacob... et Jacob mourut en Egypte. Mais avant sa mort, il fit venir son fils prophète, Joseph, qui descendit là, plaça sa main sur sa hanche que l’Ange avait touchée, et Il avait changé sa démarche, et il lui fit jurer par Dieu qu’il ne l’ensevelirait pas en Egypte. Vous demandez-vous pourquoi? Vous demandez-vous pourquoi?

38        Eh bien, ce n’était pas écrit, mais ils étaient des hommes spirituels. Ils avaient lu entre les lignes. Et il a dit: «Ramène-moi à Canaan. Ensevelis-moi à côté de mon père Abraham, à côté d’Isaac.»

            Et quand... Observez Joseph. Quand il est mort, il a dit: «N’ensevelissez pas mes os ici. Mais un jour, Dieu va vous visiter, amenez alors mes os devant vous et ensevelissez-les à côté de mon père», au même endroit où Job avait été enseveli, au même endroit où Sara et Abraham, Isaac et Jacob, Rebecca, Léa, eux tous avaient été ensevelis dans la Terre promise. Je me demande pourquoi. Dieu...

            Voilà, Dieu n’avait pas promis la résurrection là-bas en Egypte, mais ils savaient que la résurrection aurait lieu dans la Terre promise. Et quand finalement Jésus vint, le Rédempteur, ils Lui ont fait comme il était dit qu’ils feraient. Il est mort, Il a été enseveli, et le troisième jour, Il est ressuscité. Et ceux qui avaient été ensevelis là avec Lui, Abraham, Isaac, Jacob et les saints, sortirent de la tombe. Ils savaient que la résurrection aurait lieu en Palestine. En effet, cela leur avait été révélé spirituellement.

            C’est la raison pour laquelle ce soir je dis que vous pouvez avoir le monde entier que vous voulez, toutes vos choses fantaisistes, les fantaisies, toutes vos instructions, tout ce que vous voulez, mais ensevelissez-moi en Jésus-Christ, car ceux qui sont en Christ, Dieu les ramènera avec Lui à la première résurrection. Cela donc... laissez que le Saint-Esprit vous le révèle. Racheté par Son Sang, ceux qui sont en Christ, Dieu les ramènera avec Lui à Sa Venue.

            Qu’est-ce que ça change, ce que le monde veut vous coller comme qualificatif? Fanatique, ou je ne sais quoi ça peut être, restez simplement en Christ.

39        La rédemption, la belle histoire de la rédemption... Je crois, pendant les quelques prochains instants, voyons quelque chose. Une belle petite histoire me vient à l’esprit. Un livre court dans la Bible, et cela retrace les traits mêmes de la rédemption, et c’est le Livre de Ruth. Beaucoup de gens passent simplement par-dessus ce Livre-là. Mais c’est la plus belle histoire sur le Seigneur Jésus, pratiquement, dans l’Ancien Testament.

            Du temps des Juges, il arriva premièrement un temps où Israël s’était éloigné de Dieu. Et alors, l’approvisionnement en eau fut coupé. Et quand les gens s’éloignent de Dieu aujourd’hui, l’approvisionnement en eau est coupé. Toutes les autres bénédictions seront coupées.

40        Remarquez, il y eut un homme du nom d’Elimélec, avec sa femme Naomi, et ils avaient deux fils. Ils quittèrent le pays pour aller résider à Moab, parce qu’ils avaient entendu dire qu’il y avait du pain à Moab.

            Pendant qu’ils étaient là, les deux fils grandirent et épousèrent deux jeunes filles: l’une d’elles s’appelait Orpa et l’autre, Ruth. Deux beaux tableaux des églises, et Naomi, un parfait tableau de l’église orthodoxe. Naomi, un tableau de l’église orthodoxe ; Orpa, un tableau de l’église tiède des Gentils ; et Ruth, un tableau de l’Epouse. Quelle belle présentation, comme Dieu a présenté toute Sa Parole sous inspiration. Croyez-vous cela?

            Remarquez donc, la maladie... Elimélec mourut ; les deux jeunes gens moururent ; et les femmes restèrent seules. Ruth prit ses deux belles-filles, les embrassa et dit: «Maintenant, rentrez dans les maisons de vos mères, et soyez réconfortées, car j’ai appris que là dans ma patrie, il y a eu la pluie, et ils ont de la nourriture.»

41        Maintenant, suivez attentivement et soyez en prière, et nous allons nous dépêcher maintenant pour commencer la ligne de prière d’ici quelques minutes.

            Eh bien, il a dit: «Leur patrie a de la nourriture.» Et quelque chose... «Je dois rentrer chez moi.» Elle a embrassé ses belles-filles et leur a dit au revoir. Et alors, Orpa, un type de l’église normale, l’église formaliste, était disposée à donner le baiser d’au revoir à sa belle-mère, elle avait un vif désir des choses du monde et de cette vieille vie formaliste. Elle est retournée à ses idoles parce que sa belle-mère l’avait un peu découragée en leur disant à toutes les deux, en leur disant: «Maintenant, je suis trop vieille pour avoir des enfants, et même si je me remariais, et que j’avais des enfants, les attendriez-vous? Non. Rentrez auprès de vos mères et soyez consolées.» Eh bien, c’est pareil avec les membres d’église tièdes ; à la toute première chose qui arrive, ils sont découragés et veulent rentrer. Oh ! C’est pitoyable !

42        Mais Ruth, ce n’était pas ça, un type de l’Epouse, quand sa belle-mère a dit: «Maintenant, Ruth rentre.»...

            Elle a dit: «L’Eternel est vivant, je ne te quitterai pas. J’irai avec toi. Ton peuple sera mon peuple. Ton Dieu sera mon Dieu. Et ton... là où tu mourras, je mourrai. Là où tu seras ensevelie, je serai ensevelie», faisant son choix.

            C’est là que tout homme doit un jour en arriver dans sa vie: Prendre une décision. Vous devez faire un choix. Vous avez eu à faire un choix, si vous allez être instruit ou pas. Vous avez eu à faire un choix de qui va être votre femme. Vous avez eu... Il doit y avoir des décisions et des choix qui doivent être faits dans la vie. Et celle-ci peut être la soirée où vous aurez votre dernier appel à faire votre choix, qui vous allez servir. Peut-être que c’est la dernière fois pour vous d’être ici, papa, couché sur le brancard ; vous maman, par là ; jeune fille. C’est peut-être la dernière fois pour vous de faire votre choix.

            Mais Ruth, belle... J’aurais bien voulu que nous ayons le temps de creuser pour déterrer ces vieilles pépites, mais nous n’en avons pas. Nous allons donc devoir toucher les points essentiels.

43        Remarquez, Ruth était disposée à oublier ses idoles, à oublier sa vie passée, à oublier son peuple, à tout oublier et à rentrer avec Naomi. Peu importe les circonstances, elle était disposée à aller de l’avant. C’est comme ça avec chaque homme qui vient à Christ, il doit premièrement être disposé, advienne que pourra. Je n’aime jamais dire aux gens: «Oh ! Vous allez prospérer et devenir donc un homme riche. Et Dieu va vous bénir. Vous n’allez pas tomber malade.» Je ne promets pas cela parce que ce n’est pas ce que Dieu promet. Je dis: Si vous êtes réellement né de nouveau dans votre coeur, peu m’importe combien la route sera difficile, vous vous accrocherez toujours à la main immuable de Dieu. «Peu importe ce qu’il y a devant moi, si Jésus va avec moi, j’irai.» Alléluia ! Cela... tant qu’Il avance, c’est tout ce qui importe.

            Et elle est revenue et, oh ! le tableau maintenant, Ruth (L’Eglise des Gentils) arrive donc ; et Naomi (l’Eglise juive) revient... Et remarquez, quand elles sont allées, elles sont revenues dans la patrie, elles sont arrivées juste à la saison des orges. Eh bien, tout le monde sait ce qu’était la saison des orges, c’était la Pentecôte, les prémices. Comment l’Eglise des Gentils a été amenée sous les ailes du Dieu Tout-Puissant à la Pentecôte, l’Eglise des Gentils, l’Epouse. Et quand elle est rentrée, c’était à la saison des orges.

44        Et maintenant, ils avaient là un–un parent du nom de–de Boaz. C’était un homme riche. Naomi a envoyé Ruth glaner aux champs, dans le champ de Boaz. C’était l’habitude à l’époque, et c’est toujours l’habitude aujourd’hui, juste dans ce même champ-là, glaner derrière les moissonneurs. Pourquoi donc glanait-elle? Elle glanait la nourriture. Et c’est ce que l’Eglise des Gentils a fait: Venir derrière l’Eglise orthodoxe, ramasser tout ce qu’elle avait, ce qui était l’Ancien Testament, glanant ce que Dieu avait donné aux prophètes. L’Eglise des Gentils, la jeune–jeune Eglise, l’Eglise du Saint-Esprit, des premiers nés, glanant.

            Et quand Boaz est venu la voir, voir comment tout se passait, un homme juste, un type de Christ... Boaz était un type de Christ. Quand il est allé voir la moisson dans son champ, c’était lui le maître de la moisson. Christ est le Maître de la moisson. Et il alla inspecter le champ. Et, remarquez, aussitôt que son regard se posa sur la belle Ruth, ce fut un coup de foudre. Il a dit: «Qui est cette jeune fille qui est en train de glaner là dans mon champ?» L’un d’eux a dit: «C’est une femme vertueuse. Elle est rentrée avec Naomi, l’une de tes parentes, elle est ici en train de glaner.»

45        Il est allé vers elle, il a dit: «Maintenant, regarde, ne quitte pas ce champ-ci.» J’aime ça. J’aurais bien voulu que nous ayons le temps de nous arrêter là quelques minutes. «Ne quitte pas ce champ-ci.» C’est comme ça. Reste établie. Alléluia ! Oh ! Je sais que vous pensez que je suis juste un peu déchaîné, mais j’ai fait...

            Regardez, restez là où vous êtes. Chaque homme qui est né de l’Esprit de Dieu, une fois qu’il est établi en Christ, ses yeux sont fixés sur le Calvaire, juste en plein milieu de la route. S’il est juste un tout petit peu émotif, la chose suivante, vous savez, il travaillera par ici, d’un côté et, tout d’un coup, il deviendra un fanatique s’il ne fait pas attention. Et s’il est juste un peu empesé, instruit, il travaillera de ce côté ici et deviendra si froid, raide, empesé, et il sera dépouillé de tout l’Esprit. Si le diable ne peut pas vous empêcher de voir la vérité, il vous poussera à l’extrême avec cela.

            Or, je pense que c’est exactement ce qui est arrivé à l’Eglise pentecôtiste. Eh bien, c’est vrai, exact: elle est allée à l’extrême. Restez établi. Je... Vous pourrez ne pas m’aimer après ceci, mais à la barre du Jugement, vous m’aimerez.

46        Regardez. Oh ! Ne fuyez pas ; restez en Christ. Ne cherchez pas les dons et tout, restez avec le Donateur, Dieu s’occupera des dons. Restez là. Oui, restez dans le champ. Il a dit: «Cueilles-en quelques-uns en glanant derrière eux.» Il a dit: «Ne quitte pas ce champ-ci. Reste ici même.» Maintenant, vous pourrez tirer des conclusions, de ce que je suis... ce que j’étais sur le point de dire là.

            «Ainsi donc, reste ici même maintenant, jus–jusqu’au soir, jusqu’au coucher du soleil.» Et quand Christ vous baptise du Saint-Esprit, restez établi juste en Christ. Que ce premier amour soit dans votre coeur. Que cela ne se refroidisse jamais. Continuez simplement à L’aimer. Allez de l’avant.

            Remarquez donc, Il a dit: «Maintenant, j’ai ordonné à ces jeunes gens de ne pas te déranger.» Oh ! Quel arrière-plan spirituel cela présente !

            Vous savez, certains de ces galopins de ces petites vieilles églises, de demi-soeurs, vous savez: «Hé, toi saint exalté...»

            «Je leur ai ordonné de te laisser tranquille.» Amen. C’est mon héritage. Il avait à l’esprit ce qu’il allait faire. Il a dit: «Je leur ai ordonné de te laisser tranquille. Mais suis de près les moissonneurs.» Il a dit: «Quand il sera midi, et que tu seras fatiguée, va t’asseoir là sous l’arbre, prends un morceau de pain, trempe-le directement avec les autres.» J’aime ça ; c’est la communion. Voyez-vous? Va directement à l’ombre de l’arbre. N’aimez-vous pas vous mettre là en dessous? Trempez directement cela avec les autres. Amen.

47        Puis, il a dit aux moissonneurs, il a dit: «Voyez-vous cette jeune fille qui vient juste derrière vous?»

            «Oui.»

            Il a dit: «Qu’elle glane beaucoup.» Il a dit: «De temps à autre, laissez tomber à dessein des poignées.» J’aime ces poignées, pas vous? Amen. Glaner derrière les moissonneurs... «Laissez tomber une poignée à dessein afin qu’elle puisse avoir cela.» Oh ! Comment Ruth s’est sentie en saisissant toute une poignée ! Le moissonneur s’est retourné et a dit: «C’est en ordre. C’est en ordre.» Oh ! Quand Dieu nous accorde une effusion du Saint-Esprit à l’ancienne mode, une poignée...» «Faites cela à dessein.»

            Et remarquez, alors, après que le jour était passé, elle a battu tout son blé, elle a mis cela dans son petit tablier, elle a ramené cela à sa belle-mère ; et sa belle-mère lui a prodigué des conseils. Si vous voulez trouver un conseil sur comment procéder, Paul a dit, après avoir donné, dans Hébreux 10, le grand chapitre de la foi, il a dit: «Maintenant, puisque nous sommes environnés d’une si grande nuée de témoins, rejetons tout péché et courons avec persévérance dans la carrière qui nous est ouverte ... rejetant tout fardeau, et tout péché plutôt, qui nous enveloppe si facilement et courons avec persévérance.»

48        Eh bien, il nous est conseillé là de lire l’Ancien Testament. Il nous est conseillé là dans le passé, quand un homme faisait quelque chose de mal, Dieu pouvait le punir pour cela. Quand un homme faisait quelque chose de bien, Dieu le bénissait pour cela.

            Ruth a donc reçu des conseils de Naomi, la vieille église, sur ce qu’elle devait faire. Quand le temps arriva donc pour la grande fête, juste après la moisson... Et c’est ce qui se passe maintenant, la grande fête. Et observez ce que Ruth a fait. Elle descend, elle s’arrange, elle se fait jolie et propre, et pendant que Boaz était couché là par terre la nuit, une belle jeune fille de bonne moralité, elle a dû faire confiance à Boaz sans l’avoir connu. Peu importe ce que quelqu’un d’autre avait à dire, elle a fait confiance que c’était un homme juste. Elle était obligée.

            Et tout celui qui vient à Christ doit faire de même. Vous devez vous mettre à la disposition de Christ. Peu importe ce que maman dit, ce que papa dit, ce que quelqu’un d’autre dit, couchez-vous à Ses pieds. Ruth a montré sa confiance en posant sa tête sur ses pieds pendant qu’il dormait.

49        Remarquez donc, je me rappelle une fois quand je fus sauvé. Je me rappelle une fois quand l’Ange du Seigneur est venu et m’a dit: «Va prier pour les malades.» Et un grand ami à moi, dans la dénomination dont j’étais membre, m’a dit: «Billy, tu vas devenir un saint exalté aussi certainement que deux fois deux font quatre.»

            Ma mère a dit: «Eh bien, Billy, as-tu perdu la tête?»

            Mon pauvre vieux papa, qui est mort dans mes bras, a dit: «Billy, tu ne peux pas amener cette histoire dans cette maison ici.» Ils pensaient que j’étais devenu fou. Les gens... Mon... J’étais célibataire. Les amies que je fréquentais ont pensé que j’étais devenu fou. Mais je savais que quelque chose était arrivé. Je savais que je pouvais Lui faire confiance. Peu importe ce qui était arrivé, je croyais en Lui. Et vous devez croire en Lui. Parfois, Il exige une totale séparation d’avec les amis et les associés. Mais séparez-vous des choses du monde et marchez avec Christ.

50        Ruth n’avait pas honte. Elle pouvait lui faire confiance. Je n’ai pas honte. Quelqu’un a dit: «Billy, ne redoutez-vous pas qu’une soirée quelqu’un monte là et que vous commettiez une erreur dans le discernement?» Jamais, non, monsieur, je n’ai jamais peur. «Et n’avez-vous pas peur de faire de telles déclarations là à la chaire, redoutant que rien n’arrive?» Non, Il a promis cela. «Eh bien, vous savez, cela ruinera tout votre ministère.» Ce n’est pas mon ministère pour commencer ; c’est le Sien. C’est à Lui de s’en occuper, pas à moi. Je ne peux pas m’en occuper ; c’est Lui qui s’en occupe.

            Je me suis proposé il y a longtemps, si le travail qui était... toutes choses concourent au bien de ceux qui L’aiment. Je sais, je peux L’aimer ; ça, c’est une chose que je peux faire. Et si le... Je Lui ai confié toute chose. Et si le travail est trop grand pour Lui, à quoi me sert-il d’essayer? Assurément. C’est Lui. C’est Lui qui a envoyé cela ; c’est Sa Parole. Je ne veux pas prêcher ma parole ; je veux prêcher Sa Parole. Je ne veux pas dire quelque chose à mon sujet ; je veux dire quelque chose à Son sujet. Ainsi donc, c’est Sa Parole, Sa puissance.

            C’est pourquoi je ne crois pas qu’un homme peut guérir un autre. Une telle histoire n’existe pas dans les Ecritures. Mais je crois que Jésus-Christ, le Fils de Dieu, a guéri chaque personne malade qui soit jamais tombée malade, si seulement elle peut accepter cela, Il a sauvé chaque pécheur, si seulement il a accepté cela. Mais c’est votre foi personnelle en Lui, que vous acceptez et confessez.

51        Elle s’est couchée aux pieds de Boaz, et quand ce dernier s’est réveillé, il a vu cette marque de confiance. Oh ! la la ! Un de ces jours, Il verra la marque de confiance que Son Eglise Lui témoigne. Quand Il a vu la marque de confiance, Il a pris Sa propre Robe, le Saint-Esprit, Il L’a placée sur elle. Il faisait froid, il a étendu la... sa robe sur elle, et il l’a renvoyée poursuivre son chemin. Et c’est ce qu’ont fait les gens le jour de la Pentecôte, la nouvelle Eglise, quand ils sont allés là et... là, ils n’avaient pas honte, ils se sont tenus sous cela, ils ont attendu dix jours selon Sa Parole. Christ a placé Sa Robe, le Saint-Esprit, sur l’Eglise pour La protéger et La réchauffer, pour garder votre coeur droit, réchauffé dans la communion jusqu’à la plénitude du temps de la rédemption.

            Il a dit: «Maintenant, il y a une seule chose qui doit encore arriver. Avant que tu hérites de tout, toute la moisson et tout, a-t-il dit, je dois faire l’oeuvre de parent, avant que je puisse dire que tu es mienne.»

            Et alors, l’oeuvre de parent, presque chaque érudit sait ce qu’il y avait à faire. La première chose, il devait être un parent, il devait être un membre de la famille, et il devait être un proche parent.

52        Eh bien, Dieu, depuis l’Eden, quand Son peuple était perdu grâce à la loi de la rédemption... Regardez le beau tableau. Si seulement nous avions le temps d’examiner cela ! Je suis terriblement pressé. Supportez-moi donc.

            Mais, regardez, pour que Dieu rachète Sa race humaine, Dieu a dû descendre et devenir aussi un Humain. Jésus-Christ était Dieu manifesté dans la chair. Voyez-vous ce que je veux dire? Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec Lui-même. Dieu a été fait Parent de la race humaine ; en effet, Il a été fait chair et Il a demeuré parmi nous.

53        Ensuite, Il devait être digne. Et Il était digne. Il était le Maître de la moisson. Et autre chose, Il devait être–Il devait être un bon genre d’Homme. Et Jésus l’était. Et alors, ce qu’il a eu à faire après cela, c’était appeler les anciens de la ville hors de la porte, et puis, il a dû dresser une bannière, enlever son soulier et déclarer cela devant tous les anciens de la ville, qu’il avait racheté Naomi. Et pour racheter, ou pour avoir Ruth, il lui fallait racheter Naomi et tout ce qu’elle avait, pour avoir Ruth.

            C’est la raison pour laquelle Jésus était allé chez les Juifs seuls. Il a dû racheter les Juifs pour avoir l’Epouse des Gentils. Voyez-vous ce que je veux dire? Il a dû la racheter, et un témoignage devait être rendu en public, et ce qui était exigé, c’était la mort. Dieu est donc descendu et Il a habité dans Son propre Fils, Il a tabernaclé ici sur terre, Il a été conduit en dehors des portes de Jérusalem, la principale ville du monde à l’époque, sur le plan religieux, et là, Il a été élevé entre les cieux et la terre, devant Caïphe, le souverain sacrificateur, et tous les anciens, pour montrer qu’Il avait racheté l’Eglise par Son propre Sang.

54        Qu’avait-Il racheté? Il a racheté votre âme de l’enfer. Il a racheté et ramené tout ce qu’Adam avait perdu, quand il vous avait mis dans un magasin de prêt sur gage. Jésus-Christ, au Calvaire, était votre Parent Rédempteur qui vous a racheté de chaque malédiction du diable. Il rachète votre âme. Il rachète votre corps malade. Il rachète votre esprit inquiet et las. Il vous a apporté le bonheur. Il vous a apporté la joie. Il vous a apporté... C’est ce que la rédemption vous a apporté, elle vous a apporté la paix, la longanimité, la bonté, la gentillesse, la douceur, la puissance, le Saint-Esprit, elle vous a apporté la guérison divine. Toutes ces choses, Jésus-Christ vous les a apportées, car Il était notre Parent Rédempteur.

            Il est venu sur la terre. Il a souffert comme un homme. Il fut tenté en tout comme nous, pourtant Il ne pécha pas. Il est devenu un parfait Parent Rédempteur. Il a souffert dans Son corps, Il a porté nos infirmités dans Son corps pour les ôter, Il est descendu pour devenir Parent. Qu’est-ce? Dieu condescendant, descendant.

55        Au commencement, quand Dieu parla aux hommes... Lors du pèlerinage dans le désert, Il était une Colonne de Feu. Quand Il s’est posé sur la montagne, même si une bête touchait la montagne, elle devait être tuée.

            Ensuite, Dieu, le même Dieu, s’était révélé sous forme de Son Fils, Jésus-Christ. Et puis, Jésus-Christ, quand Il est mort et qu’Il a fait l’expiation, après être devenu notre Parent, Il est parti, et Il est retourné sous la forme de l’Esprit, et Il est en nous ce soir, agissant avec la même puissance, les mêmes bénédictions, les mêmes oeuvres qu’Il avait faites ici sur terre, Il nous les a promises. Et je suis très reconnaissant de savoir qu’Il est ici ce soir pour confirmer chaque Parole: un parfait Parent Rédempteur.

56        Comment pouvez-vous rejeter une telle Personne? Et si ce soir était la dernière fois où vous avez la chance de L’accepter? Et j’espère, par la Parole de Dieu, que vous verrez ce que Dieu a eu à faire pour vous racheter. Et puis, qui sommes-nous, nous qui allons çà et là et agissons avec indifférence envers Lui? Qu’allons-nous recevoir au bout du chemin? Qu’est-ce qui pourrait... Quel bien cela vous ferait-il si vous gagniez le monde entier et qu’ensuite vous perdiez votre âme?

            Savez-vous que ceci peut être votre dernière nuit sur terre? Et vous êtes debout, vous, sans–sans aucun fondement, sans aucune excuse. Voici premièrement la Parole. Voici l’évidence, les témoignages, les gens qui ont été sauvés. Vous qui êtes étendus ici malades et affligés, n’ayez pas peur. Jésus est ici pour vous guérir. Vous devez faire... Il est votre Rédempteur. Il vous rachète de la maladie. C’est pour vous, si vous pouvez croire cela.

            Et puis, après cela, Il a envoyé Sa Parole. Il a envoyé des ministres. Il a envoyé Son Esprit, accomplissant et faisant les mêmes oeuvres qu’Il faisait quand Il était ici sur terre pour prouver qu’Il est ressuscité d’entre les morts et qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement.

57        Aaron prenait le sang d’un substitut mort et il entrait avec dans le lieu très saint. Mais Jésus a pris Son propre Sang et Il est entré dans le lieu très saint pour vous racheter et détruire le mur de séparation qui est au milieu, afin que vous-même vous puissiez entrer dans la Gloire de la Shekinah avec Lui et que vous viviez sous les bénédictions de Dieu: Rachetés par le Sang de l’Agneau.

            Un jour, quand la vie sera terminée, ami, je me suis souvent demandé ce qui arrivera, quand tous les rachetés de tous les âges se tiendront là, quand nous Le couronnerons Roi des rois et Seigneur des seigneurs, quand les anges se tiendront avec leurs têtes inclinées, ne sachant de quoi nous parlons. Ils ne savent pas ce que c’est le péché. Ils ne sont jamais tombés. Ils ne savent pas ce que c’est être perdu. Ils n’ont jamais été perdus. Mais nous qui avons été perdus et qui avons été retrouvés, rachetés, réclamés et arrachés du magasin de prêt sur gage du diable par la gloire du Seigneur Jésus-Christ, par le sacrifice de Sa mort, je vous assure: Vous parlez des cris, des hurlements et tout, qu’il y aura en ce jour-là quand les rachetés...

Grâce étonnante ! oh ! quel doux son,
Qui sauva un vil comme moi,
Autrefois j’étais perdu, mais maintenant je suis retrouvé,
J’étais aveugle, mais maintenant je vois.

Depuis que par la foi j’ai vu le flot
Que Tes plaies saignantes ont alimenté,
L’amour rédempteur a été mon thème,
Et il le sera jusqu’à ma mort.

58        Etes-vous sauvé ce soir, frère? Etes-vous né de nouveau? Savez-vous réellement ce que cela veut dire que d’accepter le Sang?

            Dans l’Ancien Testament, quand on immolait un agneau, l’homme allait, après que son péché... Je vais terminer maintenant même. Un homme, quand il immolait l’agneau, il avait fait quelque chose de mal, il prenait un agneau. Il posait ses mains sur l’agneau et confessait ses péchés. Le prêtre coupait la gorge à l’agneau, il recueillait cela dans un récipient, comme cela, et l’homme sentait l’agitation, la chair qui tremblait, de ce petit agneau mourant pour le racheter encore... C’est lui qui avait mal fait, et il se rend compte que l’agneau meurt à sa place, tremblant, s’agitant, jusqu’à ce que son dernier souffle s’en aille. Le sang était alors mis sur le feu et était brûlé.

            L’homme rentrait droit avec le même désir dans son coeur de faire la chose qu’il avait faite quand il était arrivé. Car le sang des taureaux et des chèvres ne pouvait pas ôter le péché. Sous ce plan de la rédemption, c’était seulement une ombre. Mais aujourd’hui, une fois l’adorateur purifié, il n’a plus conscience du péché... Une fois que vous placez vos mains par la foi sur la tête du Seigneur Jésus, que vous éprouvez les douleurs de Sa souffrance là au Calvaire à votre place, rappelez-vous, c’étaient vos péchés qui avaient causé cela. C’est pour vous racheter qu’Il a fait cela. Dieu Lui-même a été fait chair, afin qu’Il puisse vous débarrasser de l’aiguillon de la mort.

59        Et quand Il est mort, là, vous sentez que les–les douleurs du Calvaire et ce qu’Il a fait... Frère, la raison pour laquelle l’homme s’en allait avec la même pensée qu’à son arrivée, le même désir de pécher, voici ce que c’était: La vie est dans le sang. Est-ce vrai? Et la vie d’un animal, quand l’esprit sortait de la vie, elle ne pouvait pas revenir et se mêler à l’esprit humain, parce que c’était la vie d’un animal. Par conséquent, le désir restait le même. Il retournait ; la vie d’un animal s’en allait ; la cellule de sang était brisée. Mais quand un homme pose ses mains sur le Sang de Jésus, la tête de Jésus, qu’il confesse son péché, une fois que cette cellule de Sang-là est brisée, c’est le Saint-Esprit de Jésus-Christ qui revient sur l’homme et ôte tout le péché ainsi que le désir de son coeur, et il est parfaitement racheté par le Sang de Jésus-Christ, et toute la question du péché est réglée.

            Ami, si vous dites que vous êtes... que vous avez été enfant de Dieu, que vous avez accepté Christ, et que vous n’ayez jamais eu une expérience, mais que vous ayez toujours le désir du monde dans votre coeur et que vous ayez à vous débattre contre cela chaque jour, laissez-moi vous le dire, il y a un Parent Rédempteur qui se tient avec Ses bras ouverts ce soir pour vous recevoir ; cela vous débarrassera du monde.

60        Prions. Notre Père céleste, voyant que le temps s’écoule, j’ai eu à écourter les bénédictions qui semblaient être dans mon coeur pour être apportées, mais cependant, il fait froid sous la tente ; beaucoup de malades attendent. Mais, Père, il y a peut-être des gens plus malades que ces malades physiques. Il y a peut-être des gens malades du péché, qui jusque-là jamais... Peut-être qu’ils sont membres d’église. Peut-être qu’ils ont inscrit leurs noms dans un registre (la même église où leur chère et vieille mère est morte, dans cette même église), mais ils ne sont jusque-là jamais nés de nouveau, ils n’ont jamais accepté le Véritable et Précieux Saint-Esprit dans leur coeur pour savoir ce que ça représente que d’aimer son ennemi et de faire du bien à ceux qui vous font du mal, et d’avoir le même genre d’attitude que notre Seigneur et Sauveur Jésus avait.

            Celle-ci peut être la soirée, Père, et la dernière fois où Tu frapperas à la porte du magasin de prêt sur gage. Tu T’offres ce soir à quiconque le veut, qu’il vienne. Et je Te prie, Père, alors que nous avons nos têtes inclinées partout dans la salle, de parler maintenant même aux coeurs qui sont loin de Dieu. Dis: «Enfant, ce... C’est à toi que Je parle. C’est toi, Mon enfant. Je–Je veux que tu rentres à la maison. Je–J’ai tout préparé. Je m’attends à ce que tu viennes ce soir.» Et Tu as dit: «Je ne mettrai pas dehors celui qui vient. Nul ne peut venir à Moi si Mon Père ne l’attire.» Et puisses-Tu frapper à chaque coeur maintenant même.

61        Et pendant que nous avons nos têtes inclinées, et que tous les chrétiens sont en prière, y a-t-il quelqu’un ici, solennellement, qui lèverait la main vers le Seigneur Jésus pour dire: «Jésus, j’apprécie que Tu sois mort pour moi, et je T’accepte maintenant comme mon Parent Rédempteur»? [Espace vide sur la bande–N.D.E.] «Tu es devenu moi, afin que je devienne Toi. Et maintenant, je livre ma vie de péché. A partir de ce soir, je vais T’accepter comme mon Sauveur personnel, maintenant même. Ma foi regarde droit à Toi.» Voulez-vous lever la main pour dire: «Par ceci...»? Que Dieu vous bénisse, frère. Que Dieu vous bénisse. Un autre, voudriez-vous lever la main pour dire: «Par ceci, je lève la main pour dire: ‘Seigneur Jésus...’» Que Dieu vous bénisse, soeur. «Par ceci...» Que Dieu vous bénisse, soeur. Quelqu’un d’autre? Levez la main pour dire: «Par ceci, je viens maintenant à Jésus.» Que Dieu vous bénisse, frère, là derrière, je vois votre main. Que Dieu vous bénisse, ma soeur. C’est un geste noble, Dieu voit votre main. Que Dieu vous bénisse par là. L’homme et la femme, que Dieu vous bénisse. Si vous êtes mari et femme, que votre foyer ait un nouveau départ. Que Dieu vous bénisse, jeune fille. Je vous vois là derrière, soeur. Que Dieu vous bénisse, mon frère. Que Dieu vous bénisse, frère, et vous. C’est...?... Que Dieu vous bénisse, là derrière.

62        Y a-t-il quelqu’un d’autre qui lève la main vers le Seigneur Jésus pour dire: «Jésus, c’est moi. Tu frappes à mon coeur, et je–je sais que je–je suis fatigué, j’ai peiné, j’ai été ballotté, mais j’en ai marre. Je viens ce soir. Je vais régler cela ici même sous cette tente. Je ne sais pas, demain peut être trop tard. Ce soir donc, pendant qu’il est temps, pendant que beaucoup d’autres viennent, j’aimerais que Tu inclues mon nom là dans le Livre de Vie. Je vais lever la main vers Toi, afin que Tu voies ma main et que Tu m’acceptes.» Que Dieu vous bénisse, certains parmi vous d’âge moyen, les jeunes et les vieux.

            Une petite fille très douce, c’est peut-être l’enfant du parent qui vient d’accepter Christ maintenant même, elle a levé très haut afin que je puisse la voir, et elle a levé sa petite main. Vous dites que c’était faux? Oh ! Non. Non, son petit coeur n’est pas encore endurci. Elle est une enfant.

            Jésus a dit: «Laissez venir à Moi les petits enfants, ne les empêchez pas.»

            Allez-vous lever la main maintenant même? Partout, pendant que les chrétiens prient, quelqu’un d’autre, juste avant que nous terminions, quelqu’un qui n’a pas levé la main vers Christ... Que Dieu vous bénisse. Je vous vois, madame. Que Dieu vous bénisse, ici devant. Je vous vois, mon frère. Que Dieu soit avec vous. S’il m’arrive de ne pas voir votre main, Dieu la voit. Une douzaine ou deux ont levé la main maintenant. Nous allons... Que Dieu vous bénisse, frère. Que Dieu vous bénisse, soeur. C’est–c’est bien.

63        Jouez, mon frère, Ma foi regarde à Toi ; le voulez-vous? Pouvez-vous nous en donner l’accord? Vous connaissez le cantique, n’est-ce pas? Ma foi regarde à Toi.

            Oui, quelqu’un ici même, cette dame espagnole. Que Dieu vous bénisse, ma soeur. Jésus vous connaît. Que Dieu vous bénisse, la petite fille espagnole. Que le Seigneur soit avec toi, chérie. Qu’Il te bénisse toujours. C’est bien.

            Je retiens juste un moment de plus. Je sais que nous sommes en retard, mais demain, c’est dimanche matin. Vous n’avez pas à vous lever trop tôt. Que Dieu soit miséricordieux. Je vous vois là derrière, chéris, des petits enfants qui viennent à Christ. Certains parmi eux sont juste des petites filles et des petits garçons, huit, dix, douze ans. Leurs jeunes petits coeurs... Jésus vous aime, chéris.

            Vous savez, nous devenons trop nombreux ici dans le monde aujourd’hui. Là où je reste, je peux bien entendre l’ambulance heure après heure, passant sur la route, retournant vite à l’hôpital, c’est tout près ; l’hôpital se trouve à côté de là où je reste. Je regarde et je vois des gens qui viennent, et ils sortent en criant, leurs bien-aimés, certains parmi eux, ivres, sortent des véhicules. Ils sont très rapides maintenant. Rappelez-vous, comme l’étude de la nature, la chose est équilibrée. D’ici peu il y aura une maladie qui va balayer, ou une bombe à cobalt, ou quelque chose comme cela. Ça sera vraiment réduit par ici. C’est ainsi que Dieu s’y prend. Je crois que Jésus va venir. Soyez prêts maintenant.

64        Rappelez-vous, pensez-y donc, d’ici cinq mille ans, chaque personne qui est assise ici ce soir sera quelque part. Et ce temps-ci peut être celui où vous déterminerez votre destination éternelle. Pensez-y.

            Réfléchissons donc pendant que nous avons nos têtes inclinées. D’ici cinq mille ans, je pense, le monde sera suspendu quelque part, une grande boule de sable. Les vents siffleront sur la terre, chaud, les sables brûlant et écorchant. Ils iront droit au soleil, soufflant, comme disent les Ecritures. Les atomes éclateront, les cieux brûleront sous une chaleur ardente.

            La première fois, du temps de Noé, cela a été basculé loin du soleil, ce qui a entraîné l’eau. Cette fois-ci, cela sera basculé dans le soleil, la même chose, la puissance atomique, basculera cela dans le soleil, hors de son orbite. Et votre pierre tombale sera là, mais qu’en sera-t-il de votre âme? Où sera-t-elle? Ceci peut être le temps.

            Encore une fois, tout celui qui n’a point levé la main... Que Dieu vous bénisse, soeur. J’avais bien le pressentiment qu’il y avait quelqu’un d’autre. Que Dieu vous bénisse, jeune fille, là derrière. Qu’Il te bénisse, chérie, la petite fille. Petite fille, que Dieu te bénisse. Quelqu’un d’autre? Bien. C’est bien. Que Dieu vous bénisse, soeur. Très bien. Nous allons prier.

Tel que je suis, Père, sans aucune défense,
Sinon Ton Sang qui a été versé pour moi,
Et Ton appel pour que je vienne à Toi,
Ô Agneau de Dieu, je viens !

            Je viens comme un sacrificateur, me tenant entre les vivants et les morts. Je T’offre, Seigneur, ces trophées de cette réunion ce soir, ceux qui sont venus et qui ont entendu la Parole, une prédication formelle, dure, stricte, mais qui est la vérité. Et ils T’ont accepté sur base de Ton Sang versé, sur base de l’oeuvre de réconciliation par le Saint-Esprit, les faisant passer par le Sang à leur Sauveur, le Seigneur Jésus ; c’est Lui qui est venu et qui a frappé à leurs coeurs ce soir. Car Tu as dit ici sur terre: «Nul ne peut venir à Moi si Mon Père ne l’attire.» Et Tu as dit: «Tous ceux qui viendront à Moi, Je leur donnerai la Vie Eternelle.» Et je cite Tes Paroles, Seigneur, mon Tendre Sauveur. Tu as dit: «Celui qui écoute Mes Paroles, et qui croit à Celui qui M’a envoyé, a la Vie Eternelle (maintenant même) et ne vient point en Jugement, mais il est passé de la mort à la Vie.» C’est au passé pour tous ceux-ci donc ce soir, d’après Ta Parole. Si cela vient de leur coeur, ils sont sauvés. «Il ne vient point en Jugement, mais il est passé de la mort à la Vie.»

            Père, guide-les dans la vie. Envoie-les à une bonne église pour qu’on les baptise du baptême chrétien ; et ensuite, remplis-les du Saint-Esprit et place-les à Ton service. Je Te les recommande, Père, au Nom de Jésus, Ton Fils, pour qu’ils effectuent un bon pèlerinage, qu’ils aient une bonne santé et la force, chemin faisant, et la Vie Eternelle dans le monde à venir. Amen.

65        Oh ! Je L’aime vraiment. Pas vous? Maintenant, nous allons commencer la ligne de prière pour les malades. J’aimerais vous dire quelque chose. Je ne sais pas si c’est maintenant même ou pas. (Quelle carte de prière avez-vous distribuée? B?) Nous avons la carte de prière B aujourd’hui, une centaine de la série B ; nous en prendrons le reste demain. Nous en prendrons quelques-unes maintenant. B... Retournez votre petite carte. Il y est mentionné B, et il y a 1 à 100. Et généralement, nous n’en prenons pas beaucoup. On n’est pas obligé ; c’est juste l’oeuvre du Saint-Esprit.

            Combien n’ont jamais été dans l’une de mes réunions auparavant? Faites voir les mains. Combien de gens... Oh ! Regardez donc. Je suis très content que vous soyez ici. Il est difficile de vous le communiquer juste dans un seul message, une seule soirée.

66        Mais, regardez, quand Jésus était ici sur terre, ce n’est pas Lui qui guérissait les gens. Il disait: «Je ne fais que ce que le Père Me montre.» Est-ce vrai? Voyez, le Seigneur montre une vision. Aucun homme, même pas la chair de Christ ne pouvait se glorifier dans la Présence de Dieu, car aucune chair ne peut se glorifier, mais c’est toujours l’Esprit.

            Et l’Esprit Lui révélait où étaient les gens, ce qu’ils avaient fait. Et les oeuvres que le Père voulait qu’Il fasse, Il Lui montrait quoi faire, ensuite Il allait et faisait cela. Est-ce l’Ecriture? Saint Jean 5.19 dit: «En vérité, en vérité, Je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-même, mais ce qu’Il voit faire au Père...» Il avait bien dépassé des milliers d’estropiés, des boiteux et des aveugles, mais le Père Lui avait montré là où il y avait un seul homme couché sur un grabat. Croyez-vous que le Père le Lui avait montré? Eh bien, c’est ce qu’Il a dit. Il est dit: «Il savait qu’il était dans cette condition depuis longtemps.» Et Il est allé vers lui, Il l’a guéri. Peut-être qu’il souffrait de la tuberculose, de la prostatite, ou de quelque chose du genre ; il en avait souffert pendant trente-huit ans, cela n’allait pas le tuer. Mais le Père lui avait montré où aller, dans cette foule, au milieu de tous ces estropiés, ces aveugles, ces boiteux, ces infirmes, et ces paralytiques, et Il a guéri ce seul homme, et Il est parti, laissant la foule couchée là.

67        On L’a interrogé. Il a dit: «En vérité, en vérité, Je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-même, mais ce qu’Il voit faire au Père, le Fils le fait pareillement.» Est-ce Saint Jean 5.19? Il n’a donc jamais rien fait avant que Dieu le Lui montre en vision. Les gens tiraient Dieu au travers de Lui, en touchant Son vêtement, et–et autres, quand ils avaient la foi. Il se tenait là, regardait dans l’assistance et leur disait différentes choses: «Je sais qui tu es, d’où tu viens, ce que tu as fait avant de venir. Tu souffrais d’une perte de sang. Tu es guéri maintenant. Ta foi t’a guéri. Cet homme aveugle ici, il est guéri», et ainsi de suite. C’était là notre Seigneur Jésus à l’époque. Est-ce vrai?

            Maintenant, s’Il est ressuscité d’entre les morts, Il sera le même ce soir, est-ce... S’Il est le même. Hébreux 13.8 déclare: «Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement.» Il est donc le même quant à l’essence, le même quant à la puissance, sur toute la ligne, Il est le même. Est-ce vrai?

            Et maintenant, s’Il vient ici accomplir les mêmes oeuvres qu’Il faisait jadis, allez-vous tous L’accepter comme votre Guérisseur ce soir, comme ces gens ont...? Et maintenant, à vous les jeunes convertis, vous avez accepté le Seigneur Jésus, juste parce que vous croyez la Parole. Maintenant, observez-Le vous montrer qu’Il est réellement le Seigneur Jésus, qu’Il n’est pas mort, Il est vivant, et Il est ici ce soir. Que le Seigneur soit béni.

68        Très bien. Qu’était-ce? V? B? Voyons, prenons-en la dernière partie ce soir. Qui a B... Vous dites quoi? [Un frère dit: «V, V.»–N.D.E.] V, je suis désolé. Très bien, V comme victoire alors, 85 à 100. Ça sera... Qui a la carte de prière 85? Voyons? Très bien, venez ici même, madame.

            [Espace vide sur la bande–N.D.E.]... Dieu, que Tu aideras ce soir. Et maintenant, un très pauvre... représente un homme pour le Saint-Esprit, mais, Père, qui est digne? Personne. Tous ont péché et sont privés de la gloire, mais Tu as ainsi choisi que certains fassent une chose et d’autres assistent les nécessiteux. Et je Te prie, Père, d’accomplir les Paroles de notre Seigneur Jésus, selon lesquelles: «Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais, vous en ferez davantage, car Je m’en vais au Père. Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus (les incroyants), mais vous, vous Me verrez, car Je serai avec vous jusqu’à la fin du monde.» Ensuite, Seigneur, Tu T’es présenté de la même manière, par la même chose, jusqu’à la fin du monde. Et je Te prie, Père, d’être si bienveillant en faisant la même chose pour nous ce soir. Nous le demandons humblement au Nom de Jésus, Ton Fils bien-aimé, notre Sauveur. Amen.

69        Maintenant, que Ses bénédictions... Oui, oui? [Un frère parle à frère Branham.–N.D.E.] Non, non, vous ne pouvez pas entrer dans les lignes de prière sans cartes de prière. Il vous faudra venir demain recevoir une carte de prière. C’est... Il vous faut recevoir les cartes de prière pour entrer dans la ligne. Ça ne serait pas correct vis-à-vis des autres. Regardez ici. Combien aimeraient qu’on prie pour eux? Levez la main, partout dans la salle, ceux qui veulent qu’on prie pour eux. Voyez? C’est la raison pour laquelle il nous faut distribuer des cartes de prière. Voyez?

            Non, venez demain. Vous recevrez une carte de prière si vous ne l’avez pas reçue aujourd’hui. Mais vous n’avez pas besoin d’une carte de prière. Restez simplement assis, regardez de ce côté-ci et croyez de tout votre coeur. Il importe peu de me toucher ; il est question de toucher Christ. Est-ce vrai? Ce n’est pas moi. Il n’y a rien en moi. Je suis juste un pauvre pécheur sauvé par la grâce. Mais Jésus-Christ est le Fils de Dieu. C’est Lui qu’il faut toucher.

70        Très bien. Maintenant, nous allons commencer à prier pour les malades. Eh bien, combien encore aimeraient être guéris et n’ont pas de carte de prière? Levez la main, partout. Que Dieu vous bénisse.

            Maintenant, j’aimerais que vous fassiez quelque chose. Regardez de ce côté-ci et croyez de tout votre coeur que Jésus-Christ est ressuscité d’entre les morts, et croyez qu’Il est ici ce soir pour accomplir abondamment et infiniment au-delà de toute mesure, et voyez s’Il ne guérit pas et ne fait pas exactement ce qu’Il a dit qu’Il ferait. Ne croyez-vous pas cela? Eh bien, certainement qu’Il le fera. Il est aimable. Il est le plus Beau d’entre dix mille. Il est le Lys de la vallée, l’Etoile du matin. Et Sa grâce dure d’éternité en éternité ; Il est Dieu.

71        Très bien, que la dame vienne. Sommes-nous inconnus l’un à l’autre, madame? Nous ne nous connaissons pas. Est-ce vrai?

            Maintenant, j’aimerais que vous soyez tous respectueux. S’il vous plaît, soyez donc vraiment respectueux. Restez tranquilles. Regardez simplement de ce côté-ci. Priez de tout votre coeur: «Dieu bien-aimé, sois miséricordieux envers les gens. Et je suis très content...» Si vous êtes chrétien, dites: «Je suis très content d’être un chrétien et de Te servir.» En effet, toutes les autres religions, en dehors de la religion chrétienne, sont fausses. Jésus est l’unique, véritable et seul Dieu. Est... Et Il est le Fils de Dieu, Il L’est. Et Il est l’Unique qui est le Véritable, c’est notre Dieu. Et nous sommes très reconnaissants de savoir cela. Tous les autres, les bouddhistes et tous ces... Il a vécu il y a environ deux mille trois cents ans, il a fait beaucoup de choses, mais il est mort et il est parti dans la tombe. Et tous ces saints...

            «Eh bien, le Vôtre aussi.» Oh ! Non. Le Nôtre est ressuscité de la tombe.

            Ils diront: «Prouvez-le. Prouvez-le.»

            Il a dit: «Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais.» En voici la preuve. C’est la raison pour laquelle mon ministère est pratiquement terminé en Amérique. Je vois cela. Quand je parlais à monsieur Arganbright, certains d’entre eux aujourd’hui dans cette réunion, ma réunion ici a fait contracter une dette de mille dollars. Je lui ai dit de ne pas prélever une offrande d’amour. Affectez cela directement à ça, j’enverrai cela jusqu’à ce que le prix soit payé. C’est vrai. Dès qu’on connaît un temps où ils ne veulent pas, où mes réunions ne peuvent pas s’autofinancer, il est temps pour moi de retourner en Afrique, en Inde ou ailleurs. Voyez? Eh bien, mais aussitôt qu’ils voient la première chose être accomplie, ils–ils croient.

72        Il y a une femme ici debout, une parfaite inconnue. Je ne l’ai jamais vue de ma vie. Dieu le sait. Nous n’avons aucun moyen de nous connaître l’un l’autre, en effet, nous avons... C’est notre première rencontre. Mais Dieu nous connaît tous deux, n’est-ce pas, madame? Vous êtes une chrétienne. Eh bien, si–si ceci est juste comme... juste prendre mon temps avec cette femme une minute. Si cette femme ici... Ceci est exactement le même, une préfiguration, comme c’était pour notre Seigneur au puits. [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

            Je me sens très humble en disant cela. Pensez-y, ici devant les rachetés par Son Sang, je fais une telle déclaration, avec Sa Bible ouverte. C’est une chose noble, n’est-ce pas, madame? Et nous sommes ici, quelque chose doit arriver. Soit j’ai dit la vérité, soit je n’ai pas dit la vérité. Soit Jésus est le Fils de Dieu ressuscité, soit Il n’est pas le Fils de Dieu ressuscité. Maintenant, ça y est, et probablement deux mille cinq cents ou trois mille personnes sont ici, attendant de voir si c’est cela ou pas.

73        Maintenant, si j’ai représenté Cela correctement, je n’ai pas peur, car je L’ai représenté par Sa Parole et par ce que Sa Bible dit. Maintenant, la femme étant, comme je l’ai dit, une inconnue pour moi, je ne la connais pas, je ne l’ai jamais vue, alors, c’est Dieu qui devrait me dire ce pour quoi vous êtes ici, si jamais j’arrivais à le savoir. Est-ce vrai? Et s’Il le fait, allez-vous croire en Lui? Je vous parle pour saisir votre esprit, ou pour amener votre esprit à saisir ici. Voyez? Vous êtes une chrétienne et je suis un chrétien ; et nous sommes ici comme des frères et des soeurs, et nous ne nous sommes jamais rencontrés auparavant. Mais le même Seigneur qui vous a sauvée m’a sauvé.

            Maintenant, il y a quelque chose que vous voulez auprès de Dieu. Et vous êtes venue auprès de moi en tant que Son prophète, ou Son serviteur plutôt, auprès de Son serviteur. Maintenant, par un don divin, j’essaie de vous aider. Et l’unique moyen pour moi de le pouvoir, c’est de m’abandonner moi-même au Saint-Esprit et que votre foi tire quoi que ce soit, et Dieu me montre ce que c’est, et je vous le dis. C’est tout ce que je peux faire. Et alors, si votre foi remplit les conditions, vous obtiendrez ce que vous demandez. Sinon, vous ne l’obtiendrez pas. C’est tout le... Et l’assistance de même...

74        Mais la dame, à présent que le Saint-Esprit... Maintenant, au Nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu, je prends chaque esprit ici sous mon contrôle pour la gloire de Dieu. Maintenant, soyez respectueuse, assistance, si vous écoutez encore.

            La dame est très malade. Elle souffre d’une–une–une maladie gynécologique, une maladie de femme. Elle a été quelque part pour cela. C’est un... Mais ils n’ont pas pu lui faire du bien. Elle a été chez un... elle a eu un traitement à l’hôpital. Ils ont fait tout leur possible, mais les médecins ne savent simplement pas ce que c’est, ce qui est à la base de cela. Et maintenant, vous êtes censée retourner à l’hôpital une fois de plus. Et il y a quelqu’un... C’est votre mari qui est assis là-bas. C’est vrai. J’ai vu un homme aux cheveux grisonnants, debout à côté de vous, et la Lumière a brillé de ce côté-ci, il est aussi malade. Il souffre de rhumatisme. C’est vrai. N’est-ce pas vrai, monsieur? Très bien. Tenez-vous debout. Votre rhumatisme est terminé. N’allez pas à l’hôpital ; allez au Calvaire maintenant, et ça sera terminé au Nom du Seigneur Jésus.

            Croyez-vous? Recevez-Le donc maintenant même. Recevez-Le donc comme votre Guérisseur. Il est à vous. «Si tu peux croire.»

75        La petite dame là avec les mains jointes, assisse au bout du siège, vous êtes gravement malade, n’est-ce pas? Oui, madame. Vous avez posé un acte noble il y a quelques instants. Vous avez levé la main et vous avez accepté Jésus comme votre Sauveur, parce que vous êtes... Vous avez beaucoup de choses pour lesquelles L’accepter. Vous êtes assise là ; vous n’avez pas besoin de carte de prière. Vous avez... Vous n’avez que vos mains nues. Mais vous êtes sur le point d’aller dans un hôpital. Vous devez y retourner parce que tout va mal chez vous. Vous avez beaucoup d’ennuis. Je vois un enfant. Vous avez perdu votre bébé. C’est vrai. Et vous devez retourner à l’hôpital.

            Ô Dieu bien-aimé, mon Père céleste béni, au Nom de Jésus Ton Fils, je bénis cette pauvre femme qui souffre. Puisse-t-elle être rétablie et réconfortée, car elle T’a donné son coeur. Puisse ceci être le début d’une nouvelle vie maintenant même, qu’elle soit rétablie et en bonne santé, au Nom de Jésus, je prie. Amen.

            Tenez-vous debout, petite mère. Que Dieu vous bénisse maintenant. Poursuivez votre chemin et réjouissez-vous. Tout va s’arranger pour vous.

76        Disons: «Gloire au Seigneur !» [L’Assemblée dit: «Gloire au Seigneur !»–N.D.E.] Voyez, ne vous brouillez pas pour les cartes de prière ; recherchez Jésus. C’est Lui. C’est tout ce dont elle a besoin. Sa foi, pendant qu’elle était assise en train de prier, poussée à bout, et le Saint-Esprit s’est mis à se mouvoir vers cette femme, et puis, Il est allé directement vers cette femme là. Et maintenant même, je ne sais pas ce qui clochait chez elle, mais quoi que ce fût, j’ai reconnu qu’elle avait donné son coeur à Christ. Jésus a dit: «Si tu peux croire, tout est possible.»

            Le louez-vous, soeur? L’aimez-vous? La dame en robe grise, assise juste là derrière, avec des cheveux un peu grisonnants, bougeant, on dirait, votre visage ; oui, oui, oui. Vous avez des problèmes spirituels. C’est un peu difficile, n’est-ce pas? Croyez-vous de tout votre coeur? C’est vrai, n’est-ce pas? Oui, oui. Acceptez-vous cela maintenant? Rappelez-vous donc ce que je vous dis: Tout cela est passé. Vos troubles sont terminés. Votre foi vous a récompensée, soeur, pour ce que vous pensez du Seigneur Jésus. Prenez courage ; ne soyez pas découragée, mais croyez que tout est possible à ceux qui croient. «Si tu peux croire...»

77        Madame, votre... Est-ce le patient? Je ne suis pas hors de moi, mais cependant, je m’embrouille parfois, parce qu’il y a l’onction. Mais je ne comprends pas moi-même ce que c’est. Nous sommes inconnus l’un à l’autre, n’est-ce pas, madame? Nous sommes inconnus. Nous ne nous connaissons pas l’un l’autre, mais Jésus-Christ nous connaît, n’est-ce pas?

            Il n’y a rien de trop difficile pour notre Seigneur Jésus, n’est-ce pas? Il peut tout faire. Ne croyez-vous pas cela? Il peut certainement tout faire, et Il fait très bien Son oeuvre. Amen.

            L’épilepsie est une chose difficile, mais Jésus-Christ peut guérir cela si vous le croyez. Croyez-vous cela? De tout votre coeur? Amen.

78        L’arthrite l’est aussi, n’est-ce pas, frère? Vous en souffrez au niveau du cou et des épaules, mais Jésus-Christ peut guérir. Croyez-vous cela, frère? Vous pouvez donc recevoir cela. Votre foi vous a guéri. Amen.

            Et juste au bout de la rangée, là, souffrant de l’affection de vésicule biliaire, soeur. Arrêtez donc de prier. Jésus-Christ a déjà exaucé. Si vous croyez de tout votre coeur, vous n’allez plus jamais en souffrir. Croyez-vous que Jésus vous rétablit? Alors, votre foi vous a guérie. Voyez-vous ce que je veux dire? Christ, le Fils de Dieu, est ressuscité d’entre les morts. Il est ici pour donner des bénédictions à quiconque veut, qu’il vienne.

79        Juste un instant maintenant, vous parler juste un instant. Sommes-nous inconnus l’un à l’autre? Nous sommes ici, et nous ne nous connaissons point, mais Dieu nous connaît, n’est-ce pas? Vous ne croyez pas que je suis en train de lire vos pensées, n’est-ce pas? Non, vous ne croyez pas cela. Je n’ai aucun moyen de le faire. Dieu connaît votre futur. Pas moi. Mais vous souffrez des nerfs. C’est vrai. Et c’est juste le temps de la vie où il vous faut en souffrir. C’est vrai. Il y a une ombre noire sur vous. Cela peut ne pas vous quitter en une nuit, mais ayez foi. Vous avez aussi mal au dos, n’est-ce pas? C’est vrai. N’est-ce pas vrai? Maintenant, tous les doutes sont dissipés maintenant, n’est-ce pas?

            Tenez, permettez-moi de vous dire autre chose afin que vous sachiez que je suis serviteur de Dieu. Vous avez quelque chose qui cloche. Vous avez une tumeur. Est-ce vrai? Puis-je vous dire là où elle se trouve? Sous le sein droit. Est-ce vrai? Voyez? Voyez? Voyez? Maintenant, croyez-vous que je suis Son prophète? Allez donc en vous réjouissant et soyez heureuse, vous vous rétablirez, en croyant au Seigneur Jésus.

            Disons: «Gloire au Seigneur !» [L’Assemblée dit: «Gloire au Seigneur !»–N.D.E.] Ayez foi maintenant.

80        Juste un instant. Un esprit de surdité juste...?... Oh ! Soyez respectueux. Inclinez la tête juste une minute. Il s’agit de la dame qui se tient devant moi. Inclinez tous la tête maintenant. Je ne sais combien cela est grave ni rien. Inclinez simplement la tête juste un petit instant, et ne la relevez pas avant de m’avoir entendu vous dire de la relever. Maintenant, au Nom de Jésus, gardez la tête inclinée.

            Notre Père céleste, Tu connais toutes choses, et je prie pour ma soeur que voici. Je sens les vibrations émaner de ce démon, qui l’amènerait à être tamponnée par un véhicule quelque part et à être tuée, et sa vie serait écourtée. Mais je Te prie d’être miséricordieux envers elle, et non pas que nous ayons à voir des miracles pour croire, car nous croyons effectivement. Et je condamne maintenant ce démon et je demande qu’il la quitte. Sors d’elle, toi démon, au Nom de Jésus-Christ. Toi esprit de surdité, je t’ordonne par le Dieu vivant, tu ne peux pas la retenir davantage...?...

81        M’entendez-vous? Quelle oreille était-ce? Evidemment, vous m’entendez encore maintenant. Voyez, dans celle-ci. M’entendez-vous maintenant? M’entendez-vous maintenant? Dites: «Gloire au Seigneur !» [La soeur dit: «Gloire au Seigneur !»–N.D.E.] Très bien. Vous pouvez relever la tête, non pas pour voir les miracles...?... ces vibrateurs dans ses oreilles. L’aimez-vous maintenant, soeur? Pouvez-vous très bien m’entendre, maintenant? Laissez-moi vous dire une autre chose maintenant, afin que vous sachiez si votre guérison est complète ou pas. Vous avez beaucoup d’ennuis, n’est-ce pas? Vous êtes... vous souffrez d’une affection du colon. C’est dans vos intestins. Les médecins veulent opérer, mais ils ne le peuvent pas, parce que vous avez la péritonite qui ne leur permet pas d’effectuer l’intervention chirurgicale. Ils n’auront désormais plus à faire cela, si seulement vous croyez. Croyez-vous? Maintenant, allez en vous réjouissant, soeur. Amen.

            Soyons reconnaissants à notre Seigneur. Croyez-vous qu’Il est ressuscité d’entre les morts? Ayez foi.

82        Bonsoir. Nous sommes inconnus l’un à l’autre en tant qu’homme et femme, nous le sommes. Mais vous êtes une chrétienne. Et je vous suis inconnu. Je suis votre frère, car vous êtes ma soeur par Jésus-Christ, le Fils de Dieu. Et... Croyez-vous que cette affection au flanc vous a quittée? Allez-vous accepter cela, si Jésus vous guérit, vous parle et rétablit votre flanc? Croyez-vous que Dieu s’en occupera? Si vous le pouvez, vous pouvez avoir ce que vous avez donc demandé. Amen. C’est donc si simple. C’est juste par la foi, en croyant ; c’est tout ce qu’il vous faut faire.

            N’est-ce pas merveilleux, monsieur? Maintenant, frère, c’est terminé donc. C’est sa foi qui a fait cela. Un mari, quand il a vu sa femme être guérie par une simple foi pure, en croyant, les larmes ont coulé sur ses joues, il a tendu la main, il l’a saisie par la main et s’est mis à l’étreindre. Elle a incliné humblement la tête, elle a rendu grâces à Dieu. Certainement que cela représente quelque chose. Elle priait pendant qu’elle se tenait là ; il y a quelques instants, quelque chose l’a frappée. Je ne me suis point retourné. Je pensais que c’était la dame sur la civière. J’observais pour me rassurer où C’était. Je pensais peut-être qu’elle pouvait être... Quelque chose cloche dans son flanc. J’ai encore regardé pour voir si c’était la dame sur la civière, et cela paraissait... J’ai eu une vision ici devant moi ; la femme continuait à prier. J’ai eu une vision devant moi, et c’était une femme grisonnante. Je continuais à me demander où c’était, et j’ai vu la Lumière venir ici au-dessus et s’établir juste là, Il a dit: «C’est cette dame-là. C’est d’elle qu’il s’agit.» C’est exact. Vous étiez en train de prier, n’est-ce pas, soeur? Et de croire? Si c’est vrai, levez la main afin que les gens voient. C’est vrai. D’accord. C’est vrai. C’est votre foi qui fait cela. Voyez? Ce n’est pas moi, je ne suis que votre frère. Je ne fais que ce qu’Il me dit de dire. C’est votre foi qui tire cela. Et c’est vrai.

83        Maintenant, la dame ici devant moi, comme je l’ai dit, je ne vous connais pas, madame. Si je pouvais vous aider d’une quelconque façon, je le ferais. Et si je ne le faisais pas, je serais une personne cruelle, n’est-ce pas? Mais je peux seulement... Je suis... vous dire ce que Jésus... au sujet de Jésus. Et je–je ne suis pas tellement un prédicateur, mais je–je crois réellement ce que je dis. Vous le savez. Eh bien, vous êtes toute brisée. Une chose, vous souffrez du coeur, vous avez une affection de rectum, vous êtes nerveuse, des complications. Et à propos, vous êtes un ministre. Vous êtes un prédicateur, une femme prédicateur de l’Evangile. Me croyez-vous? Très bien, poursuivez simplement votre chemin en vous réjouissant maintenant et soyez rétablie. Ne laissez simplement pas cette nervosité... C’est ce qui est à la base de la maladie. Allez simplement, soyez heureuse.

            Disons: «Grâces soient rendues à–à Dieu !» Croyez-vous maintenant?

84        Avez-vous foi, papa? Qu’en est-il de cela, soeur? Avez-vous foi? Je désire tant te voir guérie, chérie, je ne sais quoi faire. Il n’y a rien que je puisse faire à ce sujet. Je connais ta maladie, mais je ne peux pas te guérir. Vois-tu? C’est ta foi qui compte. Si tu continues à avancer, Il le fera. Continuez à avoir foi, chacun de vous, et ne doutez pas.

            Qu’en est-il de cela, frère? Croyez-vous cela de tout votre coeur, frère? Croyez-vous que Jésus-Christ fera cela pour vous? «Si tu peux croire, tout est possible.»

            La jeune soeur espagnole, croyez de tout votre coeur. Amen. Cela disparaît de devant moi maintenant. On dirait que tout le bâtiment est... Mon bien-aimé... Voir ces gens, frères et soeurs. J’aurais bien voulu pouvoir expliquer cela. Je ne le peux pas. Mais cela me paraît simplement comme... Peut-être que je ferais mieux de ne même pas essayer cela. Croyez simplement, le voulez-vous? Croyez simplement maintenant de tout votre coeur. Jésus, le Fils de Dieu, le Grand Jéhovah Dieu, Son propre Fils bien-aimé, est ici sous forme de l’Esprit ce soir, accomplissant simplement les mêmes oeuvres par de pauvres gens ignorants: Moi-même et des gens qui sont indignes, nous tous. Et votre foi dans un don divin tire la vertu du Calvaire, ce dont vous avez besoin. Ne pouvez-vous pas voir cela?

85        Oh ! Mes frères et soeurs américains, ne restez pas dans cette accalmie où vous le peuple américain vous êtes. Eh bien, en Inde, qu’il se passe ce qui vient d’arriver maintenant, tout le monde qui est par terre se serait levé et parti. Dix mille seraient guéris à la fois. C’est vrai. Mais nous, eh bien, nous nous posons des questions. Nous sommes très instruits. Nous sommes très intelligents. Voyez? C’est vraiment dommage. Je ne veux pas dire, peut-être, vous ici, mais cet esprit de l’Amérique. Nous tous, nous connaissons cela. Nous connaissons tout à ce sujet. Voyez?

            Oh ! Si seulement vous pouvez sortir de cette coquille et laisser votre coeur s’adoucir et s’attendrir devant Dieu, afin que vous puissiez vous rendre compte que votre pauvre humble frère n’a rien à faire avec ceci. Je m’abandonne simplement au Saint-Esprit suivant les Paroles de Jésus. Il a dit: «Vous ferez aussi les oeuvres que J’ai faites. Je m’identifierai à vous jusqu’à la fin du monde. Et vous ferez aussi les oeuvres que J’ai faites.» Il a dit cela, n’est-ce pas? Eh bien, Il est ici ce soir, accomplissant cela. Croyons en Lui.

86        Oh ! Si seulement nous pouvons nous débarrasser de ce... Si seulement vous pouvez voir ce que je vois. Ce brouillard froid, indifférent qui paraît traîner là, essayant... C’est ce qui vous fait sentir... Vous ne pouvez simplement pas vous lever et accepter Cela du coup, c’est parce que cela est suspendu sur vous. Si jamais je pouvais donc briser cela ! Si je pouvais donc amener les gens à être d’un commun accord, qu’est-ce qui arriverait? Eh bien, j’ai vu cela. Ayez foi maintenant. Nous n’aurions pas à faire venir quelqu’un d’autre.

            Vos souhaits sont satisfaits, soeur, avec votre mouchoir au niveau de la bouche. Levez-vous simplement et acceptez le Seigneur Jésus là, comme ici même, la petite femme espagnole. Que Dieu vous bénisse. Tout cela est terminé maintenant. Vous pouvez rentrer chez vous. Merci.

87        Ummm, la simplicité... Est-ce le patient? Est-ce vous l’homme? Venez ici, mon bien-aimé. Croyez-vous que ces choses que vous voyez viennent de Dieu, monsieur? Croyez-vous? Nous sommes de parfaits inconnus. Voyez, à ce que je sache, nous ne nous connaissons pas. C’est... Nous sommes inconnus, n’est-ce pas? Afin que l’assistance sache que nous sommes inconnus. Mais, cher monsieur, je sais une seule chose, je–je dois vous rencontrer au Jugement un jour. J’aurai à me tenir dans votre présence encore une fois un jour. C’est vrai. Et j’aurai à rendre compte de ma vie ici sur terre devant le Dieu Tout-Puissant dans votre présence (C’est vrai). Et Jésus-Christ est effectivement le Fils de Dieu qui est ressuscité d’entre les morts. Il n’y a rien de bon au sujet... Je ne suis qu’un homme comme vous. Voyez? Il n’y a rien–rien dans la chair. Nous ne sommes rien. Mais c’est le Saint-Esprit qui est ici. Il vient au travers de la Parole, la prédication de la Parole. La Parole Le fait venir. Ensuite, par un don divin de la guérison, qui consiste juste à savoir, ce qui est entre Dieu et moi, s’abandonner pour connaître...

88        Maintenant, vous êtes ici, un homme. Je ne vous ai jamais vu. Mais il y a quelque chose pour lequel vous êtes ici. Sinon, vous le saurez tout de suite. Voyez? Il vous le dira. Voyez? Peut-être que vous... Avez-vous déjà été dans une autre réunion, l’une de mes réunions, et avez-vous vu comment les critiques s’infiltraient parfois, et ce qui arrive? Vous les voyez se tenir là sur l’estrade paralysés, et (Voyez?) nous ne faisons pas la religion. C’était Dieu... Mais si le Saint-Esprit me fait savoir ce qu’est votre problème, allez-vous accepter cela comme Dieu voulant vous accorder ce dont vous avez besoin?

            Maintenant, voici un homme, je pense qu’il est honnête dans son coeur. Je ne l’ai jamais vu. Dieu connaît tout à son sujet. J’aimerais juste lui parler une minute pour voir ce que Dieu ferait. Il est parfois difficile d’isoler directement devant moi. C’est... Au moins deux douzaines de gens prient maintenant même. Voyez? Et leurs esprits sont... C’est un autre monde. Voyez? Et quand la vision commence à apparaître, elle se meut de ce côté-là, et alors, je n’arrive pas à détecter celui dont il est question. Ensuite, je regarde de ce côté-ci, et vous... après tant de gens, on n’arrive pas à distinguer là où on est, à peine. Voyez? Et j’essaie de vous isoler. Et je continue à voir une femme apparaître devant moi. Je ne sais pourquoi. Il y a une femme qui se tient debout devant moi. Et elle est... Eh bien, frère, c’est votre femme. Vous vous tenez ici, priant pour votre femme. Je ne l’ai jamais vue de ma vie avant ce temps-ci. Mais elle souffre d’une espèce de maladie dans ses intestins, on ne sait quoi faire. Ne vous en faites pas. Jésus-Christ va la guérir. Amen.

89        Tout ce que je vous demande de faire, c’est d’avoir foi. Croyez simplement. «Si tu peux croire...» Il y avait un homme debout ici même à côté de moi. Je continuais à voir une femme apparaître devant moi tout le temps. Je n’arrivais pas à distinguer. Cela allait dans l’assistance, ensuite ça venait ici, et j’ai encore regardé, et il se tenait à côté de la femme. Je sais que c’était pour elle.

            Et vous n’êtes pas ici pour vous-même. Vous êtes ici pour quelqu’un d’autre, un petit-fils, je pense. Et il a eu une lésion à la tête, une infection. Et il n’est pas ici. Il n’est même pas dans cet Etat. Il est dans un Etat où on peut ramasser du sable, et c’est du sable noir plutôt que du sable rouge et du sable jaune. C’est l’Illinois. C’est de là qu’il vient. Et mon cher ami, vous avez un bon désir dans votre coeur. Vous êtes venu, vous voulez que je vous impose les mains afin que vous receviez le baptême du Saint-Esprit. C’est la vérité.

            Et, Père, qu’il en soit ainsi, ces désirs. Je demande au Nom de Jésus-Christ. Amen. Allez en croyant, en vous réjouissant.

90        Venez, madame. Un peu d’eau ici dedans. Vous croyez, madame. Si seulement Dieu me dit sans parler trop longtemps, je ne peux guère me tenir debout, allez-vous–allez-vous croire de tout votre coeur? Rentrez donc chez vous et croyez que votre affection rénale vous a quittée ; vous serez rétablie.

            Disons: «Gloire au Seigneur, pour la bonté et la miséricorde de notre Seigneur Jésus.» Merci, soeur.

            Très bien. Voudriez-vous venir? La maladie du coeur, ce n’est pas trop difficile à guérir pour Dieu, n’est-ce pas, monsieur? Croyez-vous qu’Il guérira? Alors, au Nom du Seigneur Jésus, je le bénis. Et qu’il en soit ainsi, pour la gloire de Dieu. Amen.

            N’ayez pas peur. Allez en croyant, mon frère. Vous aurez ce que vous avez demandé.

            Voudriez-vous venir, mon bon ami. Croyez-vous que je suis serviteur de Dieu? Certains peuvent dire: «Eh bien, vous vous faites vieux.» Cela importe peu à Dieu. Il a pu fortifier Abraham pour qu’il ait un enfant avec Sara après qu’il était devenu vieux. Vous croyez cela, n’est-ce pas? Ainsi, Il peut vous donner une nouvelle paroi interne dans votre estomac. Vous pouvez aller prendre votre repas. Croyez-vous cela? Et comme vous avez cru cela, allez donc manger, au Nom du Seigneur Jésus.

            Disons: «Grâces soient rendues à Dieu !»

91        Venez. Monsieur, croyez-vous? Cette vieille toux qui continue à vous garder éveillé et tout le reste, n’est-ce pas? L’asthme est une mauvaise chose. Mais Jésus peut vous guérir. Croyez-vous cela? Acceptez-vous cela? Allez donc. Qu’il vous soit fait selon votre foi. Ayez foi.

            Bonsoir, soeur. Croyez-vous? J’aurais voulu pouvoir vous guérir. Je ne le peux pas. Votre foi le peut. Croyez-vous cela? Allez en croyant, et l’arthrite ne vous rendra jamais estropiée. Vous serez bien portante. Que Dieu vous bénisse.

            Disons: «Gloire soit rendue à Dieu, qui nous donne la victoire !» Il doit être temps pour moi maintenant de partir. Laissez-moi prendre juste encore une personne. Le voulez-vous, juste une minute? Tenez-vous juste là une minute.

            C’est vous la patiente, n’est-ce pas, madame? Je ne vous connais pas, je ne vous ai jamais vue de ma vie, je pense. Mais Dieu vous connaît, n’est-ce pas? Croyez-vous que je suis Son serviteur? L’assistance acceptera-t-elle la même chose? Alors, écoutez ce que je vous dis. L’attitude de Dieu envers chacun de vous est la même. Il est juste question de faire passer ces gens, plus on leur parle, plus on les connaît. Si seulement vous... juste un instant. Que tout le monde soit respectueux.

92        Voici une femme avancée en âge debout devant moi. Peut-être que ma mère aurait eu son âge, peut-être. Je ne la connais pas, je ne l’ai jamais vue, elle m’est inconnue. On s’apprêtait à me retirer de l’estrade, mais quelque chose m’a dit de vous arrêter juste une minute. Oh ! Dieu vous a dit aujourd’hui que j’allais prier pour vous. Il ne ment jamais. Il ne le peut pas. Très bien donc. Voyons ce qu’Il vous dira. Oui, madame. Je vous vois quitter la table. C’est la nourriture que vous rejetez, parce que vous avez un trouble d’estomac. Et ce trouble d’estomac est causé par la vésicule biliaire. C’est vrai, n’est-ce pas? Une vésicule biliaire avec une fuite et cela rend votre bouche amère et acide et tout après votre repas. C’est la vérité. On dirait qu’il y a quelqu’un que je vois en votre compagnie. C’est une soeur, et elle est aveugle. Elle est dans cet état depuis des années. Et vous voulez que je prie pour elle. Si c’est vrai, levez la main. Croyez donc.

            Ô Dieu, sois miséricordieux, je prie ; et donne à cette femme son désir, au Nom de Jésus-Christ. Amen. Allez, recevez ce que vous avez demandé.

            Et à vous, mon frère et ma soeur bien-aimés, croyez-vous que Jésus est ressuscité d’entre les morts? Il est ici maintenant. Ce–c’est Lui. Il est ici. [Espace vide sur la bande–N.D.E.] ... Parole. Le Créateur des cieux et de la terre est parmi nous ce soir, non pas parce que moi, je suis ici. [Espace vide sur la bande–N.D.E.]... vous êtes chrétiens, croyants. N’allez-vous pas L’accepter maintenant?

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