La Réconciliation Par La Communion Avec Dieu

Date: 56-0120 | La durée est de: 1 heure et 20 minutes | La traduction: Shp
doc pdf
Voir le textes français et anglais simultanement Voir le texte anglais seulement

1          Merci. Que Dieu vous bénisse, frère. Bonsoir, mes amis. Vous pouvez vous asseoir. Je suis très ravi de vous voir, Frère Jack...?... très heureux de voir...?... Merci. [Frère Branham parle à quelqu’un–N.D.E.]

            C’est certainement un privilège pour moi d’être ce soir à Sturgis, dans le Michigan. J’attendais avec impatience depuis un certain temps de venir pour avoir un petit moment de communion avec mon brave frère et ami, frère Jackson. C’est en quelque sorte une surprise pour nous deux, je pense, que j’aie pu venir. Depuis quelque temps, j’avais promis que nous aurions peut-être l’occasion de faire une annonce et de tenir une–une série de réunions par ici pendant huit ou dix jours, peut-être. Et puis, vu que je dois m’arrêter à beaucoup d’endroits sur mon itinéraire, j’ai dû simplement me dépêcher pour une ou deux soirées, pour avoir une petite communion avec frère Jackson. Et je suis certainement ravi d’être ici.

2          On dirait que le temps allait presque nous empêcher de nous réunir pendant un certain moment; mais à ce qu’il paraît, le Seigneur est venu à notre secours, et a fait fondre un peu la neige sur l’autoroute, et ainsi nous avons pu venir aujourd’hui. Et nous croyons que Dieu nous accordera un bon moment de communion avec Sa petite église d’ici.

            Lorsque je l’ai appelé, j’ai dit: «Frère Jackson», ou plutôt lorsqu’il m’a appelé, il... Nous en parlions, et il a dit: «Bien...»

            J’ai dit: «Nous allons avoir cela dans votre église.»

            Il a dit: «Frère Branham, nous avons une toute petite église.»

            Et j’ai dit: «Bien, ce sera très bien.» J’ai dit: «Peu importe combien elle est petite, c’est... Nous pouvons av-... entrer là-dedans–là-dedans pour avoir une petite communion de toute façon.» C’est ce que nous désirons, et c’est ce que tous les chrétiens aiment. Il n’y a rien qui prendra la place d’une véritable communion fraternelle les uns avec les autres. Il y a là-dedans quelque chose de si réel.

3          Lorsque nous aurons traversé cette petite ombre par laquelle nous passons maintenant, appelée le voyage de la terre, et que nous arriverons de l’autre côté, alors il y aura une communion éternelle, lorsque ce petit type que nous avons ici se fondra dans l’éternité, lorsque le temps et l’éternité vont fusionner.

            Maintenant, nous commençons... Voici ma première véritable réunion, après le jour de l’An, c’est la première fois pour nous de rencontrer des gens pour un petit moment de communion. Nous n’appelons pas cela une réunion, je veux dire, un rassemblement, une campagne. Et je savais que je devrais me dépêcher pour arriver ici, parce que nous devons nous arrêter à beaucoup d’endroits sur notre itinéraire. Et nous devrions le faire à un moment donné, avant que je ne puisse arriver ici. Et M. Moore m’a appelé hier soir, et maintenant notre programme est déjà arrêté jusqu’en juin ou à un moment donné. Et peut-être, c’est en septembre prochain que je rentrerai chez moi. Nous avons à peu près une durée de quatre soirées pour alléger l’itinéraire.

4          Nous partirons d’ici pour Owensboro, dans le Kentucky, de là pour la Nouvelle-Orléans, en Louisiane, puis nous retournerons à Minneapolis, dans le Minnesota, puis à Shreveport, et puis de là, à Houston, ensuite à Phoenix, et de Phoenix à l’Ancien Mexique, là dans une grande arène, dans l’Ancien Mexique, et ensuite de là, nous partirons à Anchorage, en Alaska. Et je pense que de là peut-être, une grande tente sera dressée quelque part dans le Sud où les gens s’apprêtent maintenant.

            Nous apprêtons une tente, une belle et grande tente qui peut contenir à peu près douze mille personnes ou plus. Et nous comptons rester là pendant à peu près quatre à six semaines pour notre série de réunions, et la prolonger un peu plus par rapport à ce que nous avons pour le moment, c’est pour cela que nous tenons nos réunions en Amérique.

5          C’était glorieux de voyager en faisant le tour de ce vieux globe et de communier avec les enfants de Dieu partout. Et, vous savez, je suis arrivé à comprendre ceci: qu’ils soient Suédois, Norvégiens, Allemands, Africains, partout où ils se trouvent, les gens sont tous les mêmes lorsqu’ils viennent à Christ. Cela rend tout le monde pareil. Il n’y a aucune différence entre les peuples. Il se pourrait que je ne parle pas leur langue, mais il y a quelque chose en eux, vous savez, qui fait vous fait savoir que c’est un frère. Et c’est ce qui est réel là-dedans après tout.

            Et alors, ce grand Etat du Michigan... C’est un... Je crois que c’est ma deuxième fois d’être ici. J’étais à Benton Har-... non, je m’excuse, c’était là où l’on fabrique tout le Corn-flakes et ces choses, et... [Quelqu’un dit: «Battle Creek.»–N.D.E.] Battle Creek, ce... Battle Creek, quelques soirées... Nous étions là-bas, et nous avions une belle série de réunions avec les frères là-bas. Et j’ai dû arrêter au moment où les réunions étaient le plus en feu à la suite d’une vision qui m’envoyait dans une autre ville, et j’ai toujours pensé que je devrais retourner pour terminer cela, ou bien, que le Seigneur m’accorderait de retourner un jour à Battle Creek pour terminer cette série de réunions.

6          Nous tenions des campagnes de guérison en ce temps-là, et nous passions des moments merveilleux. Mais j’étais au bord d’un petit lac un jour, et je priais, et j’entendais continuellement quelque chose. Je pensais que j’étais toujours au bord du lac. Et puis, Il m’appela à un autre endroit, et–et j’ai dû partir immédiatement. Et Il agit donc de façon mystérieuse pour accomplir Ses prodiges, n’est-ce pas? Il est certainement merveilleux.

            Bon, ce soir nous sommes reconnaissants pour frère Jackson, qui est le parrain de cette réunion. Je pense que ceux-ci sont probablement–probablement les membres de son église, et ainsi de suite, et nous sommes reconnaissants d’être ici pour nous réunir dans la salle de cette école. Nous sommes reconnaissants envers l’école qui nous a permis d’avoir ce gymnase-ci pour tenir cette réunion. Que le Seigneur bénisse l’école, et qu’Il bénisse frère Jackson, tous les membres de son église ainsi que tous ceux qui sont ici ce soir.

7          Et puisse chaque soir, ce soir, demain soir et dimanche après-midi s’avérer être un grand déversement spirituel de Ses bénédictions pour vous. Nous sommes–nous ne représentons aucune église dénominationnelle; nous venons juste en tant que serviteurs du Seigneur Jésus, essayant de Le servir, et de faire le mieux que nous pouvons pour Son peuple et avec Son peuple, alors que nous sommes dans le voyage.

            Et je pensais, lorsque j’étais en route aujourd’hui, alors que frère Collins, là derrière, un prédicateur méthodiste qui est avec nous, et aussi frère Beeler, qui est... Je crois qu’il a tenu des réunions ici, il y a quelque temps, frère Beeler en a tenu dans l’église de frère Jackson. Et nous sommes... Et frère Wood et soeur Wood, qui sont nos agents chargés des livres dans les grandes campagnes... Et nous nous entretenions, j’ai dit: «Bien, vous savez, je... Le Michigan est un–un bel Etat, il y a beaucoup d’arbres verdoyants, de lacs et ainsi de suite. Et étant un pêcheur et un chasseur, d’emblée, je–je suis vraiment chez moi ici dans le Michigan.» Et j’apprécie certainement cette occasion.

8          Bon, pour moi, la lecture et la méditation de la Parole de Dieu sont les choses principales dans toute réunion. Je ne suis pas arrivé à temps ce soir; je me suis juste reposé un peu. Je... le frère est venu me dire qu’il y avait quelques dames, vos jeunes dames ici qui jouent de l’accordéon et qui chantent, et peut-être demain soir, je viendrai à temps pour entendre cela. J’aime donc chanter, pas vous? Oh! il y a quelque chose dans les chants... Je n’ai jamais su chanter, mais j’ai souvent dit aux gens: «Eh bien, lorsque le voyage terrestre sera fini, et que nous serons tous dans la gloire, vous entendrez quelqu’un là-bas tout au fond, derrière les arbres de Vie, de l’autre côté (j’aurai une petite cabane), quelqu’un en train de chanter Rien ne sépare mon âme du Sauveur, ou mieux Grâce étonnante.

            Dites-vous: «Bien, le bon vieux frère Branham y est finalement arrivé, c’est lui qui est là-bas, en train de passer simplement un bon moment.» Je crois que le Seigneur me donnera une voix pour chanter lorsque j’arriverai de l’autre côté. Certainement, je... Cela... C’est la grâce étonnante qui m’a sauvé. Je... C’est la manière dont nous avons tous été sauvés, n’est-ce pas vrai? C’est par la grâce étonnante de notre Seigneur Jésus que nous avons été sauvés. Ainsi, je n’ai jamais su chanter ici; alors je pense que peut-être lorsque j’arriverai de l’autre côté, Il me permettra de chanter cela correctement pour une fois.

9          Et j’ai dit à mes amis à travers le monde, j’ai dit: «Eh bien, lorsque vous vous mettrez à me chercher, je serai en train d’écouter le choeur des anges.» Il y aura de glorieuses voix, les Sankey et d’autres qui chanteront en ce temps-là de l’autre côté. J’aime certainement de bons chants. Mais l’une des choses les plus glorieuses qui a toujours fait ma joie, c’est la méditation de la Parole de Dieu. Pour moi, une seule chose est primordiale, une seule chose est sûre, et une seule chose est infaillible, c’est la Parole de Dieu. Pour moi, tout le christianisme doit être basé sur une seule chose solide, la Parole de Dieu. C’est le–c’est le fondement. Le but pour lequel nous sommes ici ce soir, c’est de communier autour de cette Parole et de méditer sur Dieu.

            Eh bien, ici dans notre nation, nous avons bien des fois des–beaucoup de psychologie et des choses semblables, et nous nous en tirons, et des dénominations, mais sur le champ de bataille, dans le feu du combat, il y a deux choses: «Etes-vous chrétien ou pas?», dans ces pays où vous voyez...

10        Il n’y a pas longtemps, j’ai été reçu là où j’ai eu le plus grand rassemblement que j’aie jamais eu (un demi-million de personnes), à Bombay, en Inde, cinq cent mille personnes assistaient à la réunion. Et là-bas, cet après-midi-là, dix-sept religions différentes m’ont reçu, et chacune d’elles niait le christianisme. Et vous pouvez vous imaginer combien j’étais le bienvenu là-bas. Mais ce soir-là, notre Précieux Seigneur Jésus vint sur la scène; je vous assure, cela–cela montra qui était Dieu, et qui ne l’était pas. Voyez-vous? Lorsque le grand défi... Nous ne devons pas avoir honte du christianisme; nous ne devons pas avoir honte ou peur de n’importe quelle Parole de Dieu; c’est la vérité en tout point. Et Dieu nous a–a souverainement donné une promesse de Sa Parole éternelle. Et n’ayez pas peur d’y croire, car j’ai quarante-six ans, et je n’ai jamais vu une seule fois où j’ai déjà–à n’importe quel moment, où j’ai eu peur d’accrocher mon âme à chaque portion de Sa Parole, parce qu’Elle est la Vérité.

11        Maintenant, avant d’ouvrir Son Livre, parlons à l’Auteur de ce Livre, alors que nous inclinons la tête, juste un instant, s’il vous plaît.

            Notre Bienveillant et Bien-aimé Père, nous venons à Toi humblement ce soir, au Nom du Seigneur Jésus, Ton Enfant bien-aimé. Nous Te remercions du plus profond de notre coeur pour L’avoir envoyé sur terre, afin–afin de mourir à notre place, afin d’ôter nos péchés et de nous donner cette merveilleuse communion les uns avec les autres, alors que le Sang de Jésus-Christ, le Fils de Dieu, nous purifie de tout péché.

            Et nous Te prions, Cher Père céleste, que ce soir Tu viennes ici à notre rencontre et que Tu nous bénisses ensemble ce soir, car notre effort est de nous rassembler pour avoir ce moment avec Toi.

            Nous Te demandons d’être miséricordieux, de sauver ceux–ceux qui ne sont pas sauvés; et pour ceux qui ont rétrogradé et qui se sont éloignés de Dieu, puissent-ils revenir à la maison auprès de Toi, doucement, humblement, confesser leurs fautes, accepter le Seigneur Jésus et dire: «Père, sois miséricordieux envers moi», comme le fils prodigue qui était retourné auprès du père. Et nous sommes sûrs qu’Il sortira à sa rencontre à mi-chemin et l’embrassera au cou, lui mettra un anneau au doigt, une robe sur lui, le fera entrer, tuera le veau gras et qu’il y aura un grand jubilé dans ce foyer brisé, lorsqu’ils reviendront à Dieu. Accorde-le, Seigneur.

12        Guéris les malades et les affligés. Aide-nous tous à être Tes serviteurs. Et maintenant, accorde-nous ces choses, Père, car nous les demandons humblement selon la Voie appropriée de Dieu. Jésus nous a dit lorsqu’Il était ici sur terre: «Tout ce que vous demanderez au Père en Mon Nom, Je le ferai.» Maintenant, tout ce que nous avons besoin de faire, Seigneur, c’est de croire cela. Nous savons que nous n’avons pas tellement confiance dans les choses de la terre, mais il s’agit ici des choses célestes. Une grande bénédiction nous a été donnée par le Seigneur Jésus pour demander tout ce que nous voulons en Son Nom, et nous serons reconnus au Ciel, et ce que nous demandons nous sera accordé. Et nous faisons ceci au Nom de Jésus. Amen.

            Il y a tellement de bonnes choses et de bons passages dans la Bible à partir d’où commencer la lecture qu’une personne dans une réunion ne sait pratiquement que faire pour trouver par où commencer. Ce soir, ouvrons l’Evangile de Saint... ou plutôt 1 Jean, et lisons le–le premier... le cinq–les versets 5 et 6, je crois que c’est ce que nous allons prendre. Et, oh! prenons les versets 6 et 7, et puis, nous allons–nous allons prêcher un peu sur ce sujet. J’y ai simplement pensé ce soir alors que nous parlions de la communion, ceci parle de la communion.

Si nous disons... (Bien, écoutez attentivement la Parole. Car...) Si nous disons que nous sommes en communion avec lui, et que nous marchions dans les ténèbres, nous mentons, et nous ne pratiquons pas la vérité.

Mais si nous marchons dans la lumière, comme il est lui-même dans la lumière, nous sommes mutuellement en communion, et le sang de Jésus son Fils nous purifie de tout péché.

13        Quelle merveilleuse Ecriture nous avons ici à étudier ce soir! Et ce moment de communion... C’est la raison de notre réunion ici ce soir. J’ai fait la connaissance de frère Jackson, je ne le connaissais pas très bien, mais sa petite église est fidèle presque chaque mois, je crois, en envoyant là à l’église une petite offrande missionnaire afin que j’aille outre-mer vers les gens. Le désir ardent de mon coeur est de faire parvenir les–les réunions, le message aux peuples d’outre-mer. Savez-vous que deux tiers des gens qui sont dans le monde ce soir n’ont jamais entendu une seule fois le Nom de Jésus-Christ? Vous en êtes-vous rendu compte?

            Et il y a quelques semaines, dans une ville, à New Albany, dans l’Indiana, sur une population d’à peu près trente-sept, trente-huit mille personnes, presque une personne sur trois de cette population n’a jamais été à l’église dans sa vie! Pensez-y. Un tiers de la population, pas–pas outre-mer en Afrique, ici aux Etats-Unis. Oh! c’est terrible de penser comment nous nous sommes éloignés et avons considéré ces choses. Quelquefois lorsque vous demandez à une personne: «Etes-vous chrétien?»

            Elle dit: «Bien, je suis Américain. Bien sûr, je suis chrétien.»

14        Cela ne veut pas dire que vous êtes chrétien. Une dame m’a dit il n’y a pas longtemps, elle a dit... M. Bosworth lui a demandé: «Soeur, êtes-vous chrétienne?»

            Elle a dit: «Je brûle un cierge chaque soir.» Cela ne signifie pas que vous êtes chrétienne. Non, non.

            «Etes-vous chrétien?»

            «Je suis membre de telle ou telle église.» Cela ne veut pas dire que vous êtes chrétien. Vous êtes chrétien lorsque vous naissez de nouveau de l’Esprit de Dieu, c’est alors que vous devenez un chrétien.

15        Les gens ont attendu impatiemment cette merveilleuse chose qu’est la communion. Le monde ce soir a soif de la communion; les nations ont soif de la communion, les gens ont soif de la communion, mais nous nous y prenons mal. Eh bien, ce soir nous–nous réfléchissons sur ce qui amène l’homme à avoir un ardent désir pour la communion? Qu’est-ce qui fait cela dans votre coeur, qui vous fait ardemment désirer la communion?

            Vous avez... ma mère utilisait souvent un vieux proverbe. Elle disait: «Ce qui se ressemble s’assemble.» Et c’est entièrement la vérité. «Ce qui se ressemble...» Vous ne voyez pas les colombes et les corbeaux ensemble, parce qu’ils n’ont aucune communion; leur–leur nourriture est différente. Leur constitution est différente. Le corbeau est un charognard, la colombe ne peut pas manger ce genre de nourriture-là. Elle n’a pas de bile; elle n’a pas été constituée de cette manière-là. Et c’est ainsi que le monde et les chrétiens ne peuvent pas communier. Il y a quelque chose de différent; vous ne pouvez simplement pas faire cela. En effet, un homme, une fois qu’il devient un chrétien, un chrétien né de nouveau, alors les choses anciennes meurent, et toutes choses deviennent nouvelles. Il devient une nouvelle créature en Jésus- Christ, les choses anciennes disparaissent.

16        Mais, avec cette grande pression qui fait que l’homme désire ardemment la communion, on a essayé de rassembler les gens tout au long des âges. Bien des fois, les programmes éducatifs ont essayé d’unir les gens par l’instruction. Et en me tenant dans cette salle ce soir, de cette belle école, je ne voudrais certainement pas parler contre l’instruction, mais l’instruction n’est pas la voie appropriée pour la communion. Vous ne pouvez pas par l’instruction amener les gens à s’aimer les uns les autres. Vous pensez que vous le pouvez, mais il faut un ordre divin pour le faire. Il n’y a aucun moyen de faire cela par l’instruction.

            Et bien des fois, nous avons essayé cela par des dénominations ecclésiastiques, en organisant cela. Et chaque dénomination s’accroît. La première qui a commencé fut l’Eglise catholique romaine, vers l’an 600 après J.-C. et–ou plutôt l’an 300, et c’était là le début de l’Eglise catholique romaine. Ils ont commencé une dénomination pour réunir tout le monde dans une seule dénomination. Cela n’a pas marché. Puis vint la Réforme, Martin Luther, il essaya alors d’amener tout le monde chez les luthériens; cela n’a pas marché. Puis vint Wesley, il essaya de faire de tout le monde des méthodistes; cela n’a pas marché. Puis vint John Smith pour essayer de faire de tout le monde des baptistes; cela n’a pas marché. Puis vint Alexandre Campbell pour essayer de faire de tout le monde des chrétiens campbellites; cela n’a pas marché. Puis vinrent les autres: les presbytériens, et les... et jusqu’aux pentecôtistes, les nazaréens, les pèlerins de la sainteté; mais cela ne marche pas.

17        Chaque nation cherche aujourd’hui à obtenir une bombe atomique pour avoir la domination et la puissance et pouvoir dire: «Toutes les nations vont s’incliner à mes...» Cela ne peut pas se faire. Mais Dieu a établi un programme au commencement sur la manière dont les hommes peuvent communier l’un avec l’autre. Et nous devons nous soumettre aux conditions de Dieu sur cela; c’est tout.

            Au commencement, lorsque l’homme marchait avec Dieu dans l’âge primitif, au jardin d’Eden, après que le premier homme fut créé, lui et sa femme venaient dans la grande cathédrale, sous les palmiers, dans la fraîcheur du soir, et ils adoraient Dieu; ils avaient une parfaite communion. Dieu désire ardemment communier. Il languit, Il veut que les gens Lui parlent, s’entretiennent avec Lui. Vous pourriez faire une seule... Vous pourriez trop chanter, ou trop prêcher quelque fois, mais il y a une chose que vous ne serez jamais en mesure de trop faire, c’est prier. La Bible dit: «Je veux que les hommes prient en tout lieu, en élevant des mains pures.»

18        Vous ne pourriez jamais trop communier avec Dieu. Et Dieu attend avec impatience que Sa création qu’Il a créée à Son image communie avec Lui.

            N’auriez-vous pas aimé avoir vécu en ce temps-là où Dieu avait une merveilleuse communion avec Adam et Ève dans le jardin d’Eden, où Il descendait dans la fraîcheur du soir et s’entretenait avec eux et communiait avec eux? N’était-ce pas merveilleux? Nous aurions tous aimé avoir ce temps-là. Maintenant, je crois que je peux, par la Parole de Dieu, vous prouver que nous pouvons retourner carrément à cette relation avec Dieu ce soir, retourner directement à ce genre de communion.

19        Dans cette réunion, j’ai pensé faire ceci. Beaucoup de gens ont observé ma vie dans les campagnes de guérison, comment les choses se produisent, et les dons prophétiques et ainsi de suite; j’aimerais juste vous dire comment cela se fait. Cela se fait au travers de la communion avec Jésus-Christ, c’est le... Il n’y a aucune autre voie, aucun autre plan, aucune astuce pour cela, tout simplement la franche communion: prendre Dieu au Mot, ce qu’Il a dit est la Vérité, croire cela. Cela règle simplement la question. Ensuite adressez-vous à Lui, aimez-Le et remerciez-Le pour cela, et c’est tout.

            Eh bien, un jour le péché est venu, et il sépara l’homme de la communion avec son Créateur. Ce soir, le péché est la raison pour laquelle l’homme ne communie pas avec son Créateur. Le péché l’a séparé de son Créateur. Aussitôt qu’Adam a péché et qu’Ève a péché, le lien de la communion fut brisé, et ils ne pouvaient plus communier. Adam se cacha dans les buissons, lui et Ève, se rendant compte qu’ils étaient nus, ils n’avaient plus le souci de communier, parce que le péché avait tout changé.

20        C’est ce qui fait la différence ce soir, c’est la raison pour laquelle les gens marchent dans les rues pendant que les cloches de l’église sonnent et qu’une dizaine de gens sont assis à l’église sur les bancs de devant, ou plutôt à l’arrière. Aujourd’hui, la raison pour laquelle nous connaissons une déchéance, et les membres de l’église, la raison pour laquelle aujourd’hui même le monde entier connaît une déchéance, c’est parce que le péché nous a séparés de Dieu. C’est vrai.

            Un homme... Les gens ont différents programmes, signent des cartes, jurent fidélité à cette dénomination-ci, à cette église-là, ou ils viendront à l’école du dimanche tant de fois par an, cela ne marchera jamais.

            Dites, l’acoustique semble être très forte. S’il y a un ingénieur qui s’en occupe, qu’il veuille bien diminuer cela juste un petit peu, nous... cette salle a vraiment une–une bonne acoustique, très bien.

21        Nous voyons donc que l’homme doit retourner auprès de son Créateur. Ainsi, lorsque Adam s’est rendu compte que le péché l’avait séparé, il était devenu un étranger, un vagabond éloigné de Dieu, sans espoir, errant partout dans le–le jardin, sachant qu’il était séparé de Dieu, il savait qu’il n’avait plus de communion; cela a fait de lui un vagabond.

            Et jusqu’à ce jour, lorsqu’un homme a un problème de péché, il devient toujours un vagabond. Il va fréquenter une église pendant un certain temps; il désire ardemment avoir la communion. Il ira se joindre aux méthodistes, ou aux baptistes ou aux pentecôtistes, ou à une certaine église. Il va–il ira là-bas; il trouvera des défauts au sein de l’église parmi les gens; il quittera cette église, emportera sa lettre d’adhésion et ira à une autre église. Il ira d’église en église; il est toujours un vagabond, éloigné de Dieu.

22        Eh bien, il existe sûrement une voie établie sur une certaine base par laquelle nous pouvons retourner à Dieu. Dieu l’a introduite au commencement par le–non pas par l’adhésion à une église, ni par l’appartenance [à une église], ni par les relations entre les nations, mais par l’effusion du Sang Dieu ramena l’homme à la communion avec Lui-même. Dieu a déroulé le tapis de bienvenue à la maison pour chaque pécheur au commencement dans le jardin d’Eden, par le sang versé d’un animal innocent. Un innocent mourait pour le coupable, ce qui était une ombre de la Venue du Seigneur Jésus aux jours où nous allons de nouveau réellement retourner à la véritable et pure communion divine avec le Père. Quel plan merveilleux! C’était cela le tapis de bienvenue qui était déroulé à la porte.

23        Et lorsqu’Adam et Ève se rendirent compte qu’ils avaient péché et qu’ils ne pouvaient pas se tenir sur leur religion qu’ils s’étaient forgée, ils se firent des tabliers en feuilles de figuier, à ce que nous apprenons. C’est ainsi qu’est l’homme aujourd’hui; lorsqu’il pèche, il se joint à une église. Il fait quelque chose: Il cherche à se couvrir, il se joint à un groupe un peu meilleur, ou cherche à faire partie d’une meilleure classe sociale. Toutes ces choses que l’homme fait ne peuvent pas tenir. Elles ne marcheront jamais. Vous pourriez tout aussi bien oublier cela. Dieu ne reconnaîtra pas cela.

            Et comme Adam et Ève arrivaient au bout de la route, lorsqu’ils durent rencontrer Dieu, ils se rendirent compte qu’ils étaient nus, ainsi en sera-t-il de tout homme, toute femme, tout garçon, ou toute fille qui place son espérance en toute autre chose que le Sang versé de Jésus-Christ. A l’heure de votre mort, vous vous rendrez compte que vous êtes un pécheur, en mourant dans la Présence de Dieu. C’est vrai. C’est très fort, mais je ne crois pas qu’il nous reste beaucoup de temps ici sur terre pour faire ce que nous avons à faire. Combien l’église chrétienne a failli! Et il est temps d’enlever les gants et de prêcher l’Evangile à l’ancienne manière. Je crois cela à l’ancienne manière.

24        Et je me rends compte qu’aujourd’hui, nous vivons au temps où des équipes de surveillance sont placées partout aux Etats-Unis pour surveiller les avions espions qui viennent, parce que nous vivons au temps de la fin. A n’importe quel moment, juste une seule nation fanatique peut déclencher une–une réaction en chaîne de la puissance atomique, ou de la puissance de l’hydrogène, qui anéantirait la terre toute entière en quelques heures. Je sais que si trois bombes au cobalt étaient larguées par ici dans l’océan Pacifique, en moins de vingt-quatre heures (le temps qu’il faut à la terre pour faire un tour complet autour d’elle-même) il ne resterait même pas un insecte vivant sur terre, il serait impossible d’arrêter cela. Ces choses peuvent se produire aujourd’hui, comme nous le savons, dans notre propre bel Etat de l’Indiana, où l’on recherche un tueur qui tire à la nuque et toutes ces différentes choses, et de tels fanatiques qui sont devenus fous, parce que les gens ont été séparés de l’amour de Dieu. Tout peut arriver, et vous savez cela. Et nous vivons dans un temps terrible.

25        Et personnellement, sans prendre des journaux ou que sais-je encore, ce qui est très bien, mais lorsque je vais outre-mer, je traite avec toutes les catégories de gens, et je vois que chaque nation est en train de trembler et de s’agiter, et elles ne savent quoi faire. Toutes ces choses terrestres doivent laisser la place aux choses éternelles.

            Il y a quelques années, bon nombre d’entre vous les hommes qui êtes ici ce soir et qui avez mon âge, vous étiez probablement des hommes robustes, forts et bien portants. Vous jouiez au football et au basketball sur des terrains comme celui-ci, et vous pensiez... oh! la la! combien votre corps était fort! Et ce soir, vos épaules se voûtent, vos cheveux grisonnent. C’est juste quelques années qui ont fait cela. Quel est le problème? Vous êtes fait de la terre et vous retournez à la terre.

26        Il y a quelques années, votre grand-père s’asseyait sous cet énorme et majestueux arbre par ici, aux grandes et fortes branches, et les vents soufflaient dessus, et il se balançait de part et d’autre comme cela, les vents pouvaient à peine le secouer. Aujourd’hui, les branches se cassent et tombent, et il y a un chicot dessus. Pourquoi cela? Le terrestre doit céder la place à ce qui est éternel. C’est juste.

            Regardez partout aujourd’hui. Remontons dans l’histoire et voyons la Grèce et Rome, et les grands empires qui s’étaient levés avec une grande splendeur, et leurs royaumes en ces jours-là, chacun d’eux... J’ai marché sur les ruines de leurs rues, où il fallait creuser jusqu’à trente pieds [9,14 m] pour retrouver un vestige de ces grands empires pour lesquels les hommes ont bombé le torse, et où ils ont roulé dans leurs chars et tout le reste avec des auréoles (pour ainsi dire) autour de leurs têtes, ou plutôt des couronnes, et ils pensaient être importants. Mais aujourd’hui, ils sont pratiquement oubliés, et les villes sont enfouies sous terre, les royaumes ont disparu. Et aussi, notre chère Amérique sera un jour des monceaux de ruines. Et les hommes qui vont là et donnent leurs vies pour essayer de réunir les gens dans une communion comme cela, alors que c’est pratiquement en vain... Aujourd’hui, le fondement même de notre civilisation est pourri. Et vous savez que c’est vrai.

27        Notre grande Amérique, sûrement, nous l’aimons de tout notre coeur; c’est la plus grande nation du monde, mais cependant, elle est sur du sable mouvant qui s’enfonce, et toutes les autres nations aussi. C’est parce que tout ce qui est mortel doit céder la place à ce qui est immortel. Chaque nation doit céder, ou chaque royaume doit s’écrouler, et tout dans le monde doit céder la place à ce qui est immortel, pour montrer qu’un... immortel vient. Combien les hommes luttent et meurent, suent et saignent pour des choses mortelles? C’est parce qu’il y a quelque chose... Pensez-vous que je pourrais descendre, rentrer à la maison, trouver mon prochain et lui serrer la main pendant qu’on est en guerre et ainsi de suite... et retourner commencer une autre guerre? Et, bien vite, cette nation-là tombe et disparaît. Et les ruines, que montrent-elles? Qu’un temps vient, et je crois qu’il est proche, où chaque nation fléchira le genou à la Venue du Seigneur Jésus-Christ, dans Sa puissance et Sa gloire, et ceux qui dorment dans la poussière de la terre ressusciteront et Le rencontreront dans les airs. Quel moment glorieux!

28        L’homme devrait prendre cela en considération. Il pense que les gens... Nous marchons là sur les rues, ici à Sturgis et dans toutes les autres villes du monde, comme si nous allions vivre ici éternellement, alors que nous ignorons à quel moment Dieu redemandera nos âmes dans–dans un laps de temps. Oh! nous devrions faire un inventaire et nous examiner rapidement. Et quand nous voyons le moment approcher...

            Un soir, pendant cette semaine ou le dimanche après-midi, j’aimerais prêcher sur cette jonction du temps et prouver que ces glorieux signes et prodiges que vous voyez se produire maintenant, ce n’est que l’indication de la fin de cet âge, et le commencement du Millénium. C’est juste. La Parole de Dieu confirme cela et rend cela vrai. Amen.

29        Je n’ai pas l’intention de vous crier dessus, ces choses ont pour ainsi dire une grosse voix. Remarquez...

            La communion, Dieu veut communier avec l’homme, cela a toujours été Son désir. L’Ancien Testament était tout plein de sang versé. «Sans effusion de sang il n’y a pas de pardon des péchés.» Et là où il n’y a pas de pardon des péchés–péchés, il n’y a point de communion. Vous devez vous éloigner du péché avant de pouvoir communier avec Dieu, parce que Dieu ne peut pas communier avec le péché. Donc vous êtes né pécheur, vous avez été conçu dans l’iniquité, vous êtes venu au monde en proférant des mensonges, et comment pouvez-vous jamais faire cela? Vous feriez tout aussi bien de cesser immédiatement pour commencer. Vous ne pouvez pas faire cela par vous-même, mais il y a Quelqu’Un qui est mort pour vous ramener à la communion, non seulement à la communion, mais à une relation avec Dieu, pour faire de vous des fils et des filles de Dieu. Il est mort dans ce but-là, Il est venu ici sur terre, Il a prouvé qu’Il est Emmanuel, l’Omnipotent. Et lorsqu’un Omnipotent parle, les miracles se produisent.

30        N’importe quel homme ou femme, n’importe quelle promesse divine, lorsque l’Omnipotent parle en partant de la Bible, les miracles vont se produire, quand la semence s’enracine dans le coeur de cet homme ou de cette femme. Cela produira très exactement ce qu’est la promesse, parce que c’est la Parole de l’Omnipotent; forcément.

            Observez la communion, comment Adam et Ève là-bas s’étaient éloignés de Dieu, parce que le péché les avait séparés de cette magnifique et merveilleuse communion. Il devait se débrouiller; il devint un vagabond, emporté, ballotté à tout vent de doctrine. C’est dans cette position qu’il se tient aujourd’hui, en dehors de la communion, de l’harmonie, loin de Dieu, se débrouillant. Il crée quelque chose dans sa pensée selon quoi il croit que Dieu a existé, ou que c’est quelque chose qui a existé là il y a très longtemps, à un moment donné, ou que c’est quelque chose qui existait. Mais tout homme qui vient dans la Présence de Jésus-Christ sous le Sang versé et qui naît de nouveau, reconnaît que Dieu est aujourd’hui le même Dieu qu’Il était quand Il créait. La même puissance, les mêmes signes, le même... Il est Jésus-Christ, le même hier, aujourd’hui et éternellement.

31        Il y a un endroit où vous pouvez vous tenir, où vous pouvez... un endroit où vous pouvez avoir cette communion, un endroit où vous pouvez savoir ce dont vous parlez. On n’y arrive pas en adhérant à des églises. On n’y arrive pas par une adhésion, ni en brûlant des cierges, ni en récitant des prières, ni en étant très religieux. On y arrive au travers du Sang. Dieu a présenté le sang de l’animal et a dit: «Voici le chemin pour retourner à la maison.»

            Dans l’Ancien Testament, Israël venait toujours sur base du sang versé de l’innocent. Là-bas en Palestine, partout où les–les Palestiniens s’assemblaient ou–ou adoraient, ils se rendaient à un seul endroit, et c’était au temple. Et dans le temple où on offrait les sacrifices, l’agneau du sacrifice était tué chaque année; tout homme venait dans ce temple sur base du sang versé de l’agneau. Il pouvait servir Dieu à différents endroits, mais il communiait et adorait Dieu sous le sang versé. Voyez-vous cela, mes amis? Seulement le sang, rien d’autre.

32        Les gens n’adhéraient pas à une église, ils ne faisaient rien d’autre que venir et reconnaître que Dieu les avaient amenés là-bas, lorsqu’Il les avait fait voyager, lors de la sortie de l’Egypte, qu’Il avait amené le–avait introduit de nouveau l’agneau du sacrifice là-bas, après quatre cents ans d’esclavage. Il avait pris des dispositions, je crois que c’est dans Exode, vers le chapitre 16 ou 19, quelque part là, avec la génisse rousse. La génisse rousse devait être tuée. Premièrement, le rouge représentait Christ. Le rouge, c’est aussi le signe du danger; et le rouge est le signe de la rédemption. Dieu amène la rédemption au travers du sang rouge. Rahab, la prostituée, fut rachetée par le cordon écarlate qui pendait de sa maison. Le rouge c’est le signe du danger, et le rouge c’est le signe de la rédemption.

33        Et permettez-moi de vous donner un petit quelque chose de scientifique. Vous pouvez prendre un verre rouge, d’un rouge pur et authentique, et regarder un objet rouge à travers cela; le rouge au travers du rouge paraît blanc. Réfléchissez-y. Dieu, quand Il regarde un pécheur rouge au travers du Sang de Christ, ce pécheur paraît blanc comme la neige. «Si vos péchés sont rouges comme le cramoisi, ils deviendront blancs comme la neige.»

            Dieu savait ce qu’Il faisait lorsqu’Il regardait le coupable qui était rouge de sang au travers du sang de l’Innocent, et Il le voyait blanc. Non pas parce que ce dernier était juste, mais parce qu’il avait accepté la justice de Dieu à travers Christ, et il fut réconcilié et ramené à la communion avec Dieu. Non pas à cause de quelque chose que vous avez fait, de quelques bonnes oeuvres... Ce qui est très bien. Vous faites de bonnes oeuvres parce que vous êtes un croyant, mais ce ne sont pas les bonnes oeuvres qui font que vous le soyez. Adhérer à une église, c’est très bien; mais ce n’est pas ce qui fait que vous le soyez. C’est lorsque vous reconnaissez que vous êtes un pécheur perdu, et la seule manière dont Dieu peut vous voir comme un juste, c’est au travers du Sang de Jésus-Christ. Alors, lorsqu’Il vous voit au travers du Sang de Jésus, Il vous voit aussi innocent que l’était Son propre Fils, Jésus-Christ. Voilà l’histoire de l’Evangile, mon ami. Croyez cela, acceptez cela et adorez au travers de cela, vous pourrez avoir ce que vous demandez. Dieu l’a dit. Oui, monsieur.

34        «Si vous demeurez en Moi, et que Ma Parole demeure en vous, demandez ce que vous voudrez, et cela vous sera accordé.»

            En voilà le secret. Voilà le secret de cette glorieuse Vie qui est cachée en Dieu, qui ne connaît aucune peur, qu’il y ait une tempête, que les nuages couvrent le ciel, que la lune ne brille pas, ou que le soleil ne brille pas, ces gens vivent toujours dans cette gloire de la Shekinah. Amen. Vous y êtes, la communion.

            Et puis, le sang de cette génisse... Premièrement, elle devait être sans tache, sans défaut; cela représentait Christ. Puis, elle devait être tuée le soir, en présence du souverain sacrificateur, Eliézer. Et ça, c’est un type de Christ, Il fut tué le soir, et en présence du souverain sacrificateur, alors qu’il assistait à cette mort.

            Le rouge, comme je l’ai dit, représente la rédemption. Et puis, le souverain sacrificateur devait prendre le sang de cet animal dans ses mains, et il allait à la porte du tabernacle, et il faisait sept raies sur la porte, avec le sang de la génisse morte, représentant les sept jonctions, ou les sept âges de l’Eglise à venir. Nous aborderons cela plus tard dans la semaine, un peu plus tard, la jonction des temps, et nous montrerons que nous vivons maintenant même dans la septième jonction...?... Nous sommes au temps de la fin.

            La Parole de Dieu prouve cela, et l’histoire suit cela de très près. Et le réveil même qui balaye le monde aujourd’hui, c’est le commencement de la fin des temps.

35        Le souverain sacrificateur appliquait cela sur la porte, ensuite la génisse devait être brûlée, avec ses sabots et tout. Et on en faisait ce que l’on appelle l’eau de séparation. Puis, chaque fois qu’un Israélite avait péché, on devait l’asperger de cette eau de séparation. Et cette eau devait être conservée dans un lieu pur, ce qui représente le coeur du ministre. Et l’adorateur, lorsqu’il venait au tabernacle pour communier, s’il avait perdu sa relation avec Dieu, s’il s’était éloigné de Dieu et était devenu un étranger, la seule manière dont il pouvait de nouveau communier, c’était premièrement de revenir au parvis extérieur et être aspergé des eaux de séparation, qui représentent la Parole. Nous sommes lavés par l’eau de la Parole, au travers du lavage du... par l’eau de–par la Parole. Cela nous sépare.

            La première chose que ce pécheur fait, c’est d’abord venir écouter la Parole. «La foi vient de ce qu’on entend, ce qu’on entend vient de la Parole de Dieu.»

36        Il est convaincu qu’il est un pécheur, et qu’il est sans Dieu, peu importe depuis combien de temps il a fréquenté l’église. Cela ne signifie rien. Toutes ces choses avaient un sens spirituel pour eux, plus profond que les choses naturelles. Oh! quelqu’un pourrait aller se faire baptiser, ce qui est très bien. Mais l’eau n’ôtera jamais le péché. Quelqu’un pourrait se lever et se faire asperger un peu d’eau. N’importe qui pourrait le faire. Cela ne fait rien. Quelqu’un pourrait se lever et faire une confession froide aux yeux secs, dire: «Je crois maintenant que Jésus-Christ est le Fils de Dieu.» Chaque démon en enfer croit la même chose. C’est juste. Mais entrer réellement en communion avec Dieu signifie accepter le Sang, et qu’il soit appliqué à votre coeur par le baptême du Saint-Esprit, par une nouvelle naissance. Alors vous devenez un partenaire de Dieu, non pas un partenaire, mais un fils, et vous êtes de nouveau en relation avec Dieu. Oh! la la! cela ferait crier un méthodiste. Pensez-y. Combien le glorieux programme de Dieu...

37        Ensuite, cet homme s’avançait, et les eaux de séparation, ce qui représentait la mort de Christ, la Vie de Christ, Christ est tout, la Bible... Et on l’aspergeait de cette eau de séparation. Ce n’était pas fini. En écoutant la Parole, il acceptait cela, il venait sous l’aspersion. Cela ne faisait pas de lui un homme meilleur.

            Puis, la chose suivante, il se dirigeait vers le parvis. Et lorsqu’il y parvenait, avant d’y enter, il devait reconnaître qu’il y avait du sang sur la porte, et qu’un substitut innocent l’avait précédé afin de lui frayer une voie. Tout homme qui vient à Christ... C’est bien de venir à l’église. C’est bien d’être baptisé, et ainsi de suite, ce qui est en ordre. Mais tout homme qui entre dans cette communion divine de Dieu doit reconnaître que Jésus-Christ l’a précédé avec Son propre Sang, qu’Il en a aspergé le chemin, et qu’Il a fait des raies sur la porte, alors qu’Il entrait. Non pas comme Aaron, avec le sang d’un animal, mais avec Son propre Sang, Il se tient dans la Présence de Dieu ce soir, faisant intercession.

38        C’est pourquoi la guérison divine est possible. C’est pourquoi les prodiges et les miracles sont possibles. C’est pourquoi un réveil est poss-... possible, lorsque l’homme peut reconnaître Celui qui l’a précédé. Lorsque Christ les a précédés, Il est mort, et Il est ressuscité pour notre justification, et Il est assis là ce soir, à la droite de Dieu, faisant intercession sur base de notre confession pour tout ce pour quoi Il est mort dans l’expiation. Il le fera pour notre bien.

            Oh! la la! les démons tremblent, les pécheurs viennent à la Vie lorsqu’ils se rendent compte que c’est la Vérité. Une simple poignée de main ou un simple changement de lettre [d’affiliation] ne fera jamais l’affaire, ni une simple adhésion à une église. Tout cela est bon. Je n’ai rien contre cela, mais ce n’est pas la chose. Dieu n’a jamais dit à Adam: «Viens, je vais inscrire ton nom dans un registre», ou bien: «Reviens et je vais te serrer la main.» Il vint au travers du sang. Et tout homme qui entre en communion avec Dieu vient au travers de la même chose. Dieu n’a pas de substitut, rien que le Sang. Il n’a pas de raccourcis, ni de détours. Suivez la voie de Dieu au travers de la réconciliation par le Sang, et alors vous deviendrez un fils et une fille de Dieu. Alors tout est possible. Alors les miracles sont possibles, alors un réveil est possible.

39        Je pense aujourd’hui à ces grands hommes qui ont parcouru cette nation de long en large, dont Jack Schuller, Billy Graham et tant d’autres qui ont sillonné à maintes et maintes reprises la nation, et qu’en revenant au cours de la même année, trouvaient le même groupe auquel ils avaient prêché tout aussi induit dans le péché qu’auparavant. En effet, l’homme ne peut pas vous sauver; l’homme ne peut faire qu’un appel à l’autel, mais c’est votre foi individuelle ou personnelle et votre confiance en Dieu pour plonger dans le Sang et être rempli de Son Esprit, et en devenant participant de [la nature] divine, non pas un participant de l’église, un participant de la [nature] divine. La nature divine change votre propre nature vile en une nature qui aime Dieu, qui croit chaque Parole qu’Il a dite comme étant la vérité, et qui accepte cela comme un don personnel venant de Dieu.

40        Lorsqu’un croyant vient comme cela, Dieu lui remet un carnet de chèques pour chaque bénédiction rédemptrice pour laquelle Il est mort; et au bas de cela, c’est signé du Nom de Jésus. Avez-vous peur de le remplir? Si vous avez peur de le remplir, vous êtes un poltron. Vous n’êtes jamais entré en contact avec Dieu. Mais une fois que vous entrez en contact avec Dieu et que le Saint-Esprit rend Christ réel à votre coeur, vous n’avez pas peur de prendre Dieu au Mot chaque fois ou de croire, parce que vous avez été en contact avec le surnaturel. Vous êtes retourné dans la communion; vous êtes retourné par la réconciliation au travers du Sang, et vous croyez Dieu, et vous savez que vous–vous avez été dans Sa divine Présence.

41        Remarquez. Ensuite, ce sang, le sang était appliqué sur la porte. Alors, tout homme ou femme, garçon ou fille, avant même d’entrer dans la communion au sein de l’assemblée, devait premièrement venir, être aspergé de la... pour son impureté par l’aspersion des eaux de séparation. Il s’avançait là et reconnaissait par le sang qu’un innocent était mort avant lui, et l’avait précédé pour frayer une voie. Alors il acceptait ce sang et venait sous la protection de celui-ci. Oh! la la! quel tableau! Venir sous la protection du Sang versé...

            Frère, je vous assure, lorsque vous vous trouvez là, vous ne discuterez plus avec les gens pour leur dire qu’ils devraient être membres de votre église. Ils seront vos frères, aussi sûr que je me tiens sur cette estrade. Tout homme qui est en Christ est pour vous un véritable frère. Nous n’aurons pas tant de préjugés et de querelles. Nous n’allons pas engager de discussion contre la guérison divine. Nous n’aurons pas ces discussions contre les réveils à l’ancienne mode. Nous n’aurons pas ces discussions. Mais tous les hommes seront des frères. Les églises, les dénominations ne feront jamais cela. L’instruction ne fera jamais cela. L’enthousiasme pour les choses du monde ne fera jamais cela. Les nations ne feront jamais cela; les bombes atomiques ne feront jamais cela. Seul le Sang de Jésus fera cela. Et c’est entièrement suffisant pour ramener les nations à elles-mêmes.

42        Il n’y a pas longtemps, lorsque j’étais en Finlande, et ce petit garçon, comme beaucoup d’entre vous l’ont lu dans les livres, a été ressuscité des morts cet après-midi-là, et on m’a emmené à la... Helsinki, là où ils avaient laissé entrer vingt-cinq mille personnes, ensuite on les a congédiées, et on a fait entrer vingt-cinq mille autres. Et je suis venu là à une distance de six pâtés de maisons avec une escorte de soldats autour de moi comme cela, afin d’écarter les gens à droite et à gauche. Ces soldats russes communistes, grands et forts, se tenaient là-bas avec ce salut russe, ils se tenaient là et les larmes coulaient sur leurs joues. Ils ont dit: «Nous recevrons un tel Dieu, qui peut ressusciter les morts.» Bien sûr.

43        On leur avait présenté une mauvaise image de la chose. Et la vérité fondamentale même selon laquelle Dieu nous a appelés à venir à Lui sur la base de Son Sang versé, et à prêcher l’Evangile, et les signes et miracles suivraient, nous avons failli à cela. Nous avons cessé de faire la chose même qu’Il nous a dit de faire, et nous sommes allés et avons bâti des églises et des organisations, et tout le reste, qui ont échoué, lamentablement échoué, et cela continuera à échouer, et Dieu ne reconnaîtra jamais l’une d’elles. Ce n’est pas que j’aie quelque chose contre elles, mais frère, ce n’est pas ce qui fait la chose.

            Vous pouvez être membre de n’importe quelle organisation que vous voulez. Si vous êtes un enfant de Dieu, né de nouveau de l’Esprit de Dieu, ayant accepté le Sang du Seigneur Jésus et étant réconcilié avec Dieu au travers du Sang versé, alors vous pouvez être membre de n’importe quelle église que vous voulez et être un chrétien. C’est juste. Mais être juste membre d’une église sans avoir cela, vous êtes perdu, et vous ne reconnaîtrez jamais cela. Vous ne reconnaîtrez jamais... Vous pouvez être vraiment fidèle en étant sous cette histoire, et c’est un poison. Amen.

44        Remarquez. La réconciliation, une fois que le croyant vient sous ce Sang, après qu’il a été aspergé... «La foi vient de ce qu’on entend, de ce qu’on entend la Parole.» Il comprend cela. Alors il s’avance vers ce Sang et il reconnaît: «Ô Dieu de justice, je suis un pécheur. Je n’en fais pas partie, mais j’ai été aspergé. La conscience de mon coeur a été purifiée par l’aspersion de la Parole. Et je crois maintenant que Tu es Jésus-Christ, le Fils de Dieu. Je reconnais que Son Sang m’a précédé.» Alors, le Saint-Esprit descend et une puissance miraculeuse transforme votre vie, vous prend, et vous amène derrière le voile, et là vous avez une communion avec Dieu et vous communiez avec Lui comme Adam le faisait au commencement dans le jardin d’Eden.

45        La mort de Jésus seulement... Si cela avait seulement ôté une partie du péché, si jamais cela avait ôté... Certaines personnes disent: «Bien, vous devriez mener une vie meilleure, tourner une nouvelle page, voici le nouvel an.» Oh! combien de résolutions avez-vous prises? Et vous tous, vous les avez brisées. Cela ne marchera jamais. Il s’agit de mourir et de renaître, une régénération, une nouvelle–nouvelle créature en Christ Jésus. C’est ce dont le monde a besoin aujourd’hui. Ce dont l’église a besoin aujourd’hui, c’est d’un réveil apostolique du Saint-Esprit, secoué par Dieu, de l’ancien temps. C’est juste. Je ne fais pas allusion à un tas de fanatisme. Je ne crois pas à un tas d’émotions fabriquées, mais je parle du véritable et authentique salut produit par le Sang qui libère les hommes du péché et fait d’eux de nouvelles créatures en Christ. Amen. Vous savez que c’est la vérité.

46        Venez sur cette base. Venez à Dieu comme cela et voyez ce qui arrive. Reconnaissez le Seigneur Jésus-Christ comme votre Supérieur; reconnaissez que vous êtes mort et que votre vie est cachée en Lui à travers Dieu et scellée là-dedans par le Saint-Esprit, puis approchez-vous du Père. Vous devenez une partie de Dieu, la nature même de Dieu est en vous. Vous êtes un fils de Dieu, vous êtes une fille de Dieu. Vous–vous ne voulez plus engager de discussion contre la guérison divine; vous ne voulez plus engager de discussion contre quelque miracle que Dieu a accompli.

            Dieu a créé le monde sans partir même de quoi que ce soit pour le créer. Que fit-Il? Il n’y avait pas de monde, pas de firmament, ni rien. Dieu parla et dit: «Que ceci soit», et la terre même sur laquelle vous êtes assis ce soir est la création de la Parole de Dieu, qui est venue à l’existence. Amen. Dites cela au fond de votre coeur, et cette dame se lèvera de ce fauteuil roulant et s’en ira. Que ce... En disant cela, nous allons abandonner nos béquilles là sur les sièges ce soir. Que l’Omnipotent parle, voyez les miracles se produire.

47        Observez cet homme-là, peut-être... C’est loin au-delà de leur portée. Il se peut que ces gens soient des chrétiens solides et affermis en Christ. Je ne sais pas. Que celui qui est un étranger, que celui qui est dans l’église depuis quarante ans, qui pourtant ne connaît pas Jésus-Christ dans la nouvelle naissance, qu’il reconnaisse cela et observez quel changement cela produit dans sa vie. Regardez comment une nouvelle créature se lève ici au milieu de vous. Lorsqu’il reconnaît qu’il est mort, et que sa vie est cachée en Dieu à travers Christ, et scellée par le Saint-Esprit, observez ce qui se produit. Nous devons sûrement reconnaître cela.

            Lorsqu’un homme fait cela, et en reconnaissant cela, alors... Quelqu’un m’a écrit il n’y a pas longtemps, et vous savez tous que je suis un baptiste. Très bien. Et l’homme m’a écrit et a dit: «Frère Branham, vous qui êtes un baptiste, et vous enseignez quelque chose en dehors de la foi!» Il a dit: «Que peut faire un homme si ce n’est de croire?» Il a dit: «Abraham crut Dieu et cela lui fut imputé à justice; et qu’est-ce qu’un homme pourrait faire de plus?»

48        J’ai dit: «C’est juste. Le père Abraham crut Dieu, et cela lui fut imputé à justice, mais–mais Dieu lui donna la circoncision comme signe qu’Il avait reconnu sa foi.» C’est vrai. Et si Dieu n’a jamais circoncis votre coeur des choses du monde, et qu’Il n’a jamais reconnu votre foi en Lui que vous avez confessé peut-être depuis quarante ans, qu’Il n’a jamais retranché les choses du monde, et ne vous a jamais circoncis de toutes les choses de la terre, et de vos doutes et de vos scrupules, quelque chose s’est produit. Votre foi n’a pas été reconnue devant Dieu, car Il aurait retranché le surplus. Le mot circoncision veut dire: «Retrancher le surplus de chair».

            C’est ce que Dieu fait lorsqu’un homme vient à Lui sur base du Sang versé de Christ, lorsqu’il se tient devant le Calvaire, reconnaît qu’il est condamné et se tient là avec la Parole dans son coeur, disant: «Ô Dieu, je crois cela.» Dieu lui manifeste Sa puissance et Son amour, et Il ôte les choses du monde, et vous n’êtes plus une créature du monde; vous êtes un fils et une fille de Dieu qui va au Ciel sur l’échelle qui mène à la gloire. Amen. Je ne suis pas en train de dire amen à moi-même, mais «amen» signifie «ainsi soit-il», et je sais que c’est la vérité.

49        Cela marchera avec un pauvre pécheur irlandais comme moi, et cela marchera avec vous ou avec tout celui qui viendra. J’ai vu cela marcher avec quarante ou cinquante nations du monde, et je sais que cela marchera avec toute créature qui viendra sur base du Sang versé. Certainement. Vous reconnaissez que vous êtes mort, vous reconnaissez que vous n’êtes qu’un étranger; «il ne s’agit pas de mon église, ni de ce que j’ai fait, ni de ce que je ferai, ni du fait que je suis un brave type, ni de ma position dans ma communauté», mais «ce que je suis, je suis un pécheur, et il n’y a rien de bon en moi. Et je reconnais que le Fils de Dieu est la propitiation pour mon péché, et j’ai accepté cela.» Alors Dieu, par le Saint-Esprit, vous fait entrer dans la communion avec Lui, et alors vous vous entretenez de nouveau avec le Père, comme le père Adam le faisait au commencement.

50        Bien sûr, vous croirez alors à la guérison divine. La guérison divine n’est rien qu’un attribut du péché. Avant que nous ayons un quelconque péché, nous n’avions aucune maladie. La maladie est le résultat du péché. Et vous ne pouvez pas traiter du péché sans traiter de la maladie.

            Un excellent érudit m’a dit, il n’y a pas longtemps, il a dit: «Frère Branham, croyez-vous que la guérison se trouvait dans l’expiation?»

            J’ai dit: «Je ne pourrais pas prêcher cela si ce n’était pas le cas.»

            Il a dit: «Alors, si la guérison divine se trouvait dans l’expiation, il n’y aurait plus de souffrance.»

            J’ai dit: «Mon frère, croyez-vous que la tentation existe?»

            «Bien sûr, la tentation existe.»

            «Si donc la tentation existe, la souffrance existe.» Certainement qu’elle existe, certainement. Cela dépend de vous, si c’est votre foi personnelle en Dieu qui fait cela.

51        Eh bien, ces gars qui vont partout, se disant des guérisseurs divins, et qui déclarent qu’ils ont le pouvoir de faire ces choses, je ne crois pas cela. Certainement pas. Il n’y a aucune Ecriture du tout pour cela. «Seuls les douze apôtres avaient cela.» Mais nous avons été ordonnés ministres de Dieu afin de prêcher la justice de Jésus-Christ et Son expiation. «Car Il était blessé pour nos péchés; et c’est par Ses meurtrissures que nous avons été guéris.»

            Il s’agit de votre foi personnelle dans le Seigneur Jésus ressuscité, qui se tient ce soir tout aussi vivant qu’Il l’a toujours été.

            «Encore un peu de temps et le monde ne Me verra plus; mais vous, vous Me verrez: Car Je serai avec vous («Je» c’est un pronom personnel), Je serai avec vous, même en vous jusqu’à la fin du monde», Jésus-Christ, le même hier, aujourd’hui et éternellement.

52        Exaltez seulement la croix et le Seigneur Jésus-Christ, et votre foi personnelle dans cette oeuvre achevée là-bas au Calvaire fera trembler chaque démon. Je sais que c’est la vérité, mon ami. Je ne me tiens pas ici comme un imposteur; je ne me tiens pas ici comme un séducteur, je me tiens ici, sachant de quoi je parle. Et vous connaissez la vérité, chacun de vous, qui est né de nouveau de l’Esprit de Dieu. C’est au travers du Sang versé seulement, rien que le Sang de Jésus.

            L’Armée du Salut d’autrefois avait coutume de chanter ce cantique:

Oh! précieux est le flot!
Qui me rend blanc comme neige;
Je ne connais pas d’autre fontaine,
Rien que le Sang de Jésus.

53        Il s’agit de Lui, il s’agit de Lui, il ne s’agit pas de mon église, ni de mes amis, ni de mes voisins. Ils sont tous bons, mais je ne connais rien que le Sang de Jésus. J’étais autrefois aveugle. On me conduisait en me tenant par la main, et maintenant je vois. Oh! les Mayo m’avaient abandonné; ils ont dit: «Juste quelques heures et tu vas mourir.» Et ce soir, je suis en meilleure santé que je ne l’ai jamais été de ma vie, cinq années après cela; rien que le Sang de Jésus. Amen.

            Je me souviens de mon église, lorsque j’avais raconté au surveillant général que l’Ange de l’Eternel était apparu, il a dit: «Toi, avec ton instruction du niveau primaire, tu vas prier pour des rois?»

            J’ai dit: «C’est ce qu’Il a dit.»

            Il a dit: «Rentre chez toi; tu as fait un cauchemar, Billy.»

54        Mais je n’avais pas fait un cauchemar; j’avais rencontré Christ. Alléluia! Il a changé ma vie; Il m’a changé. Je suis devenu... Et j’ai prié. J’ai reçu une lettre venant du roi de Suèd-... Danemark l’autre jour. Il disait: «Frère Branham, venez prier pour notre peuple cet été.» Oh! la la! de grands hommes...

            Vous savez quoi? Les grands hommes paraissent comme de simples hommes lorsque vous les rencontrez. Ils vous font croire que c’est vous qui êtes important. Ce sont ces gars qui sont petits, qui veulent se montrer grands, c’est le genre que vous trouvez tout embrouillés par ici (C’est juste.), pensant être quelque chose, alors qu’ils ne sont rien. Frère, que vaut chacun de nous avec ces six pieds [1,82 m] de poussière là-bas? Un jour, notre âme devra rencontrer Dieu; et si elle n’est pas couverte par le Sang versé, elle sera condamnée et envoyée en enfer, un enfer du diable, dans une séparation éternelle d’avec Dieu. Réveillez-vous et comprenez que ceci pourrait être votre dernière occasion de recevoir Christ. Pensez-y.

55        D’autres choses se produiront lorsque vous aurez d’abord la chose correcte. Vous ne pouvez pas construire au sommet de l’échelle pour la première étape, vous commencez en bas pour monter jusqu’à ce niveau-là. C’est de cette façon que les réveils doivent commencer. C’est de cette façon que les campagnes de guérison doivent commencer. C’est de cette façon que tout doit commencer: commencez par le bas et construisez en montant. Car tout le reste n’est que de l’émotion mentale fabriquée. Nous en avons tellement aujourd’hui. Même les psychologues viennent pour que je prie pour eux, ils ont des dépressions mentales. Voilà. Qu’est-ce qui ne va pas? Rien que le Sang de Jésus prendra soin de la chose. Amen.

            Remarquez. Ecoutez attentivement maintenant, oh! Job, le plus ancien Livre de la Bible, il avait reconnu et accepté le sang versé et s’y était accroché, une fondation ferme, solide. Même si toutes les chaînes de l’enfer s’agitaient autour de lui et tout le reste, mais il n’eut jamais peur, il marcha droit jusque dans la gueule de la mort, croyant dans le sang versé.

56        Lorsque les membres de son église vinrent vers lui et dirent qu’il avait péché en secret et qu’il péchait en secret, Job savait qu’il avait offert un sacrifice et avait confessé ses péchés, et il se tenait fermement sur le programme du sang versé auquel Dieu avait pourvu. Il savait qu’il n’avait pas péché. Et après qu’il eut tenu si fermement au point qu’il perdit ses enfants, qu’il perdit tout ce qu’il avait, ses chameaux, ses brebis, tous ses biens, il avait tout perdu, et il savait que malgré tout il n’était pas un pécheur, il était un juste aux yeux de Dieu.

            Lorsqu’Elihu, le petit prince venu de l’Est, se mit à lui dire qu’il ne devait pas accuser Dieu de ces choses, et se mit à lui dire non pas qu’il péchait en secret, mais lui parla d’un Juste qui viendrait... Job avait observé les fleurs, il les voyait mourir, aller en terre. Au printemps, elles réapparaissaient. Il a dit: «L’homme se couche, et il expire, il disparaît; où est-il? Au printemps, il ne ressuscite pas.» Il observait la nature. C’est comme cela que nous gagnons les Indiens, c’est ainsi que nous gagnons les–les païens, c’est en observant la nature. Toutes ces affaires que l’on prêche, ce sont des fables.

            Alors nous découvrons que Job observait cela. Et Dieu envoya Elihu là-bas qui lui dit simplement ce qui allait arriver. Remarquez. Regardez ce qui s’est produit.

57        Il a dit: «Tu as observé cette fleur.» En d’autres termes, la fleur n’a pas péché; par conséquent elle réapparaît au printemps. «L’arbre tombe renversé par le vent, un nouvel arbre apparaît à sa place. Mais l’homme se couche, il expire, il disparaît, où est-il? Oh! si Tu voulais me cacher dans le séjour des morts jusqu’à ce que Ta colère fût passée.»

            Lorsqu’Elihu se mit à lui expliquer cela, il a dit: «Je sais que tu as péché; l’homme a péché. Tous les hommes ont péché et ainsi de suite, mais il y en a Un qui vient, un Juste, qui peut se tenir à la brèche entre l’homme pécheur et le Dieu saint, mettre Ses mains sur les deux et jeter un pont. A ce moment-là, ça sera différent.

58        Job, étant un prophète, saisit la vision. Lorsque le lavage d’eau par l’aspersion du sang, ou l’aspersion de l’eau de séparation vint sur lui... Lorsqu’il entendit la Parole sortir de la bouche d’Elihu, son coeur saisit cela parce qu’il était un prophète. Il se tint debout. Les tonnerres grondèrent; les éclairs se mirent à jaillir dans les cieux; le prophète entra dans l’Esprit. C’est la seule façon dont l’église va saisir la vision de ce qu’elle doit faire, c’est en entrant dans l’Esprit de la chose.

            Ce dont nous avons besoin aujourd’hui, c’est d’avoir de nouveau de bons moments de réveil à l’ancienne mode. Vous vous rendez aux parties de danse, vous tapez du pied et faites toutes sortes de choses impies, vous faites tournoyer les filles sur leurs têtes, et–à la télévision et tout, cela devrait être censuré et retiré des programmes de la télévision... C’est juste. Et vous faites toutes sortes d’absurdités au nom de la civilisation. C’est reculer et aller même au-delà de ce que feraient les païens. Vous savez que c’est la vérité. C’est juste. Mais vous pensez que c’est la civilisation. C’est la marque du–du–du manque de civilisation; c’est une marque de–de la dégradation, plutôt que de la civilisation. Assurément. Les pensées des hommes se sont dégradées. Il y a des choses qui se produisent.

59        Mais comme Job était un–dans l’Esprit, il saisit la vision de la Venue du Juste. Et il se remua, et se tint debout et dit: «Je sais que mon Rédempteur est vivant, et au dernier jour Il se lèvera sur cette terre; même si les vers détruisent ce corps, dans ma chair je verrai Dieu; je Le verrai moi-même, mes yeux Le verront, et non ceux d’un autre. Nous n’avons rien amené dans le monde, et c’est certain que nous n’emporterons rien.» Combien Dieu a arrosé cet homme!

            Alors, il vit la Venue du Seigneur Jésus et reconnut cela. Par... Pourquoi? Il se tint ferme et sans broncher sur le sang versé du sacrifice innocent, sachant qu’il n’y avait rien de bon en lui, mais il savait en Qui il avait cru. Comme Paul l’a dit: «Je sais en Qui j’ai cru, et je suis persuadé qu’Il a la puissance de garder mon dépôt jusqu’à ce jour-là.»

60        Là-bas devant chacun de nous se trouve un grand canal. C’est un grand canal sombre qui se tient là-bas. Chaque fois que notre coeur bat, nous nous rapprochons tout le temps de cela. Au bout d’un moment, il va battre pour la dernière fois, et nous devons y entrer. C’est un endroit appelé la mort; c’est placé devant chaque mortel. Je dois y aller aussi. Je ne sais pas quand sera le dernier battement. Mais quand ce moment viendra, j’aimerais faire ceci. J’aimerais y entrer, sachant ceci, que je Le connais dans la puissance de Sa résurrection, que lorsqu’Il appellera d’entre les morts, je serai appelé hors de là.

61        Il n’y a pas longtemps, un agent d’assurances était chez moi. Je n’ai rien contre les assurances. Mais il a dit: «Billy, j’aimerais te vendre une police.»

            J’ai dit: «Je possède une assurance.» Il savait que je n’avais aucune assurance terrestre. J’ai dit: «Je possède une assurance.» Ma femme m’a regardé comme pour dire: «Que–qu’est-ce que c’est?»

            J’ai dit: «J’ai une assurance.»

            Il a dit: «Billy, quelle genre d’assurance possèdes-tu?»

Assurance bénie, Jésus est mien!
Oh! quel avant-goût de la gloire divine!
Héritier du salut, acquis de Dieu.
Né de Son Esprit, lavé dans Son Sang.

            Il a dit: «Billy, c’est très bien. Je reconnais cela, et c’est bon. Je–je ne... Cela–c’est très bien», mais il a dit: «Billy, cela ne t’amènera pas au cimetière par ici.»

            J’ai dit: «Mais cela m’en fera sortir, frère.» Je ne me préoccupe pas d’y entrer. Je me préoccupe d’en sortir, c’est l’essentiel. J’y entrerai de toute façon, et j’en sortirai à cause de cette assurance bénie. Jésus a fait la promesse. Je crois cela de tout mon coeur.

62        Tournons notre caméra pour terminer maintenant, dans un instant. Retournons de nouveau en Eden. Je peux voir la petite Ève qui se tient là. Il n’y a pas longtemps, je me tenais là... je quittais la colline de Mars là-bas, à Athènes, et j’observais là un–un tableau qu’un artiste grec avait peint sur la création; c’était une honte pour le christianisme. Là se tenait Ève, la bête la plus horrible que vous ayez jamais vue. Oh! la la! je n’ai jamais vu une personne d’un aspect comme–comme celui qu’avait Ève. Et il y avait là Adam avec des poils lui sortant du nez, comme cela, et il paraissait comme une espèce de géant préhistorique. Ce n’était pas quelque chose comme cela. Toute personne qui ferait cela a un esprit pollué, un esprit perverti. Ils ne connaissent pas Dieu.

63        Ève était la plus belle femme qui ait jamais existé sur terre. Elle était la pensée parfaite qu’avait Dieu pour une femme. Et Adam était l’homme le plus parfait qui ait vécu. Cela fut prouvé lorsqu’Il fut manifesté en Christ. Il se tenait là... Je peux voir Adam, un homme grand, costaud, des épaules viriles, les gros muscles dans ses jambes, sa chevelure touffue descendant jusqu’au cou. Je peux voir Ève, ravissante, sa chevelure blonde descendant jusqu’au dos, et ses yeux aussi bleus que les cieux et brillants comme les étoiles. Elle n’avait nullement besoin d’utiliser les produits de Max Factor pour se faire belle. Non, non. Non, non. C’est le péché qui a fait cela. Mais, frère, écoutez, elle était faite à l’image de Dieu; elle était faite à l’image de l’homme, après que Dieu l’eut créée ravissante, pour ne jamais mourir, ne jamais vieillir, ne jamais avoir des rides, ses yeux ne devaient jamais perdre leur éclat. Elle devait être éternellement ravissante.

64        Les épaules d’Adam non plus n’allaient jamais se voûter, ni ses cheveux grisonner, ni aucune dégénérescence l’affecter; il marchait dans la perfection, en intimité et en communion avec le Père. Quel beau tableau!

            Alors, lorsque le péché entra et que Dieu vit qu’ils avaient péché, Il... Avant même de prononcer le jugement, Il dut aller tuer un agneau innocent, ou une bête innocente, et Il jeta les peaux là-bas pour couvrir, pour avoir une mort de substitution, prévue pour que l’adorateur revienne à Lui. Et Adam et Ève se tenaient dans Sa Présence...

            Je peux voir la petite Ève, avec ses beaux yeux maintenant, après que le péché s’est introduit, ils sont remplis de larmes et celles-ci coulaient sur ses joues. Je peux voir Adam, avec ses yeux vifs, alors qu’il regardait le coucher du jour, et que les doux vents soufflaient là où il devait amener les animaux à lui obéir, et les vents et les vagues à lui obéir, tout le reste devait lui obéir. Il avait la pleine domination sur tout ici sur terre. Il se rendit compte qu’il avait perdu sa communion avec Dieu. Les larmes, pour lui montrer qu’il était maintenant un mortel, tombaient goutte à goutte de son visage et ruisselaient sur sa poitrine, et tombaient sur la tête d’Ève. Je peux la voir lever les yeux et dire: «Adam, c’est moi qui ai causé ceci, chéri.»

65        Eh bien, Adam n’a pas été séduit. Non, monsieur. Adam n’a pas été séduit. Adam savait très exactement ce qu’il faisait; mais Ève a été séduite. Et Adam n’est pas allé parce qu’il avait désobéi, il n’avait pas désobéi. Il a été séd-... Il n’a pas été séduit. Il n’est pas allé parce qu’il a été séduit; il est allé parce qu’il aimait tellement sa femme qu’il est allé avec elle. Un très beau type de Jésus-Christ qui ne connaissait pas de péché, mais qui est allé en enfer et a pris notre place afin de racheter Sa femme, l’Eglise.

            Maintenant, ne vous trompez pas là-dessus, ne soyez pas embrouillés. Voyez-vous? Adam n’a pas été séduit, 1 Timothée 3. Il n’a pas été séduit, mais c’est Ève qui, séduite, s’est rendue coupable de transgression. C’est juste. Adam est allé avec elle pour être avec elle. Et Christ descendit du Ciel, le Dieu immortel, et Il a été fait chair et a habité parmi nous ici, pour être l’un de nous, pour mourir comme un pécheur au Calvaire, afin de nous ramener à la communion avec Dieu, une belle histoire. Il n’avait pas à faire cela, mais il l’a fait à cause de Son amour pour l’Eglise et l’humanité perdue.

66        Je peux les voir alors qu’ils s’éloignent de Dieu, là-bas. Je peux voir Adam comme il commence à s’éloigner, et Ève, son bras autour d’Ève, alors qu’ils traversent le jardin d’Eden, et le Grand Jéhovah Dieu se tenant là. Je peux voir toute cette grande éternité sans fin...

            Il n’y a pas longtemps, j’ai eu le privilège de regarder au travers de ce télescope, là-bas au Mont Palomar; je pouvais... au Mont Wilson, je voyais jusqu’à cent vingt millions d’années-lumière. Et au-delà de cela, c’est toujours l’espace. Et je me suis demandé combien infinie est l’éternité. Et pourtant Dieu, qui couvrait tout l’espace et l’éternité... Je peux Le voir renfermé dans quatre petites lettres: «l-o-v-e» [l’amour en français]. Il ne pouvait simplement pas supporter de voir Ses enfants être chassés et devenir des vagabonds pour commencer à se débrouiller, et sans rien pour prendre soin d’eux. Et maintenant, écoutez. Je Le vois qui, dans Sa grâce souveraine... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

67        Lorsque Dieu fait une alliance avec l’homme, l’homme brise cela chaque fois. Il l’a toujours fait, mais là, Dieu a établi une alliance avec Lui-même. Il n’a jamais dit: «Si tu fais», ou quelque chose d’autre, «Je mettrai inimitié (promettant un Sauveur) entre la postérité de la femme et la postérité de Satan.»

            Et maintenant, écoutez. Quatre mille ans se sont écoulés, et chaque fois [il y avait] une ombre du sang au travers de l’offrande des brebis et des boucs et ainsi de suite, qui ne pouvait pas ôter le péché, mais le couvrait simplement... Maintenant nous sommes quatre mille ans plus loin. Tournons notre caméra de ce côté-ci, quatre mille ans après. Tirons les rideaux ce matin; nous sommes en Palestine; nous sommes à Jérusalem.

            J’entends le vacarme le plus effroyable dehors. Qu’est-ce? Oh! c’est une foule, certains viennent dans un sens, et d’autres dans ce sens, et d’autres dans cet autre sens. Qu’est-ce? Voilà venir le grand souverain sacrificateur, avec son turban sur la tête. Voici venir l’autre sacrificateur: «Faites mourir une telle personne. Faites mourir une telle personne.»

68        J’entends une petite femme qui s’appelle Madeleine courir devant et dire: «Qu’a-t-il fait, si ce n’est que guérir vos malades et faire du bien? De quoi L’accusez-vous? Comment pouvez-vous Le condamner? Il n’a rien fait.»

            Quelqu’un la gifle et dit: «Croirez-vous cette femme plutôt que votre sacrificateur?» Il la jeta hors du chemin.

69        J’entends quelque chose que l’on traîne, et je regarde. Voilà venir une vieille croix rugueuse, traînée sur les pavés. Je vois les é-... Ses épaules écorchées alors qu’Il tirait cela, avec une couronne d’épines sur Sa tête, et le sang, les crachats des railleries pendant sur Son visage, et Ses... Voir les gens rire, ils allaient Le déshabiller, ils allaient Le déshabiller dans quelques minutes, alors ils Lui ont mis Sa robe sans couture, qui Lui avait été tissée par Marthe et Marie. Et Le voici venir traînant la croix, titubant et saignant, laissant des empreintes de pas ensanglantées, au seul endroit où Dieu acceptera qu’un pécheur épuisé vienne, en suivant les empreintes de pas du Seigneur Jésus, au travers du Sang versé.

70        Le voici qui descend la rue, traînant la croix. Il gravit la colline, Il tombe là-bas. Simon de Cyrène, un homme de couleur, vient L’aider à la porter. Observez-Le. Je regarde Son dos. Je regarde cette robe blanche qu’Il a sur Ses épaules. Je vois de petites taches rouges qui parsèment Sa robe. Vous vous demandez ce que c’est. Au fur et à mesure qu’Il gravit la colline, ces taches de sang deviennent plus grandes, plus grandes, plus grandes, plus grandes. De... Après un instant, je les vois toutes fusionner et devenir une très grande tache de sang, et j’entends quelque chose faire [Frère Branham produit le bruit d’un claquement.–N.D.E.] Qu’est-ce? C’est le second Adam, Celui qui est sans péché, qui vient ôter le péché, qui vient nous racheter de ce qu’avait fait le premier Adam, qui vient nous ramener dans la communion en versant Son propre Sang. Et, alors qu’Il gravit la colline, la mort cherche à Le piquer, agitant son aiguillon autour de Son visage.

71        Avez-vous déjà vu une abeille? Une abeille L’a–L’a piqué comme cela, mais... Les insectes de la terre ont des aiguillons, mais il nous est appris que si jamais une abeille vous pique très profondément une fois, ç’en est fini de cette abeille. Lorsqu’elle s’envole, elle laisse son aiguillon là; elle ne peut plus piquer. Et l’abeille de la mort, qui avait tenu l’homme en captivité pendant quatre mille ans, dans la peur, rôdait autour de Lui avec son aiguillon. Il était simplement sur le point d’être piqué. Et après un moment, cette–cette abeille planta son aiguillon là-dedans, mais en se retirant, elle perdit son aiguillon.

            Et aujourd’hui, un croyant peut marcher droit en face de la mort, en disant: «Ô mort, où est ton aiguillon? Et ô mort, où est ta victoire? Mais grâces soient rendues à Dieu qui nous donne la victoire par notre Seigneur Jésus-Christ.»

72        La mort n’a plus d’aiguillon pour le croyant. Non, monsieur. Il entre tout droit dans la Présence de Dieu. Lorsque l’on installait un billot là-bas... Il y a de cela une année, je me trouvais dans cette petite cellule là-bas, où saint Paul a été décapité, on avait jeté sa tête là-bas dans l’égout, mais cela n’a jamais enlevé cette grande puissance de Dieu. Il se tenait là, écrivant ces épîtres... Je n’arrivais pas à empêcher mon coeur de trembler. Et c’est juste là que l’on dit que Pierre a été enterré. Oh! la la! quelle bêtise! Et là, à cet endroit où saint Paul a été décapité, là où je me trouvais, on a dit: «Très bien, Paul, tu as–tu... au bout de la route.»

            Il a dit: «Ô mort, où est ton aiguillon?»

            Elle a dit: «Il y a une tombe qui t’attend.»

            «Mais–mais, tombe où est ta victoire? Mais grâces soient rendues à Dieu qui nous donne la victoire par notre Seigneur Jésus-Christ. J’ai combattu le bon combat; j’ai achevé la course; j’ai gardé la foi: Désormais, une couronne de justice m’est réservée, le Seigneur, le juste Juge me l’accordera ce jour-là: non seulement à moi, mais aussi à tous ceux qui auront aimé Son avènement.»

73        Comment le savait-il–comment le savait-il? Il avait suivi ces empreintes de pas ensanglantées en tant que meurtrier lui-même; en tant que persécuteur de l’Eglise; il s’avança comme un religieux et renonça à tout ce qu’il avait fait. Il jeta toute sa justice de part et d’autre, comme cela, et tomba à la croix, et reconnut le Sang de Jésus-Christ, la seule voie appropriée pour que les pécheurs atteignent Dieu, et fut réconcilié avec Dieu là par la foi. Et Dieu lui donna le Saint-Esprit lorsqu’il fut baptisé là-bas, au fleuve de Damas. Il se rendit en Egypte pour trois ans, puis revint en prêchant la foi qu’il mettait autrefois sous les verrous. Pourquoi cela? Il a suivi la voie à laquelle Dieu a pourvu.

74        Et ce soir, mon ami, il y a une voie à laquelle il a été pourvu pour vous. Il y a une voie à laquelle il a été pourvu pour ces malades qui sont venus et sont assis ici. Il se peut que ce soit les membres de l’église de mon frère qui sont... Il se peut qu’il ait prié pour eux. Je ne sais pas. Je ne peux vous le dire. Mais ils–il a été pourvu à une voie pour vous et pour votre maladie aussi. Il a été pourvu à une voie pour vous ici qui êtes malades et affligés. Il a été pourvu à une voie pour vous les pécheurs, pour vous les rétrogrades. Pour vous qui êtes tièdes, il a été pourvu à une voie. Et c’est le Sang de Jésus-Christ qui nous ramène à la pleine communion avec Dieu. Et vous parlez d’un réveil à l’ancienne mode qui va éclater dans cette ville-ci, vous auriez un véritable réveil, si seulement vous reconnaissiez cela pour ce dont vous avez besoin ce soir. Tout a été accompli au Calvaire.

75        Le salut a été accompli; la réconciliation a été accomplie; la guérison divine a été accomplie. Tout ce dont vous avez besoin dans ce voyage terrestre a été accompli au Calvaire. Avez-vous la foi ce soir pour vous avancer là-bas devant le Calvaire et dire: «Ô Père, je demande maintenant au Nom de Jésus pour mon âme», ou pour quoi que ce soit, et reconnaître que Dieu a promis d’accorder tout ce qu’Il a promis? «Tout ce que vous demanderez au Père en Mon Nom, Je le ferai.» Et le sang de Jésus-Christ, le Fils de Dieu, nous purifie de toute iniquité. Nous avons communion les uns avec les autres.

            Prions. Notre Père céleste, nous arrivons à la fin de ces quelques remarques ce soir, du haut de cette estrade, dans la salle de cette école. Ô Dieu, je peux penser à saint Paul qui prêchait le même genre d’Evangile, le Sang de Jésus-Christ, jusqu’à ce qu’un jeune homme tomba et se tua, et Paul s’étendit sur lui et il revint à la vie.

76        Ô Dieu, Tu es le Dieu des prophètes. Tu n’es pas sourd; ni aveugle, Tu n’es pas non plus sans intelligence. Tu connais chaque coeur. Tu connais chaque mouvement. Tu as dit que Tu connais même les passereaux lorsqu’ils tombent sur la rue; pas un seul d’entre eux ne peut tomber sans que le Père le sache. Et ô Dieu, il se peut qu’il y ait ici ce soir des jeunes gens ou des jeunes filles, peut-être des hommes et des femmes âgés. Je ne les connais pas, Seigneur. Mais s’ils ne viennent pas au travers du Sang versé auquel Dieu a pourvu là au Calvaire, s’ils ne viennent pas et ne reconnaissent pas cela, et ne naissent pas de nouveau de l’Esprit de Dieu, ils sont perdus, Seigneur. Demain pourrait ne jamais venir. Le soleil pourrait ne jamais se lever de nouveau. Ceci pourrait être leur dernière soirée. Ceci pourrait être la dernière fois. Si c’est le cas, Père, Tu le sais, Toi qui connais le coeur de l’homme, je Te prie d’accorder à cette personne ce soir de reconnaître qu’elle se tient en Présence de la Croix du Calvaire et du Sacrifice suspendu là pour elle; Jésus-Christ, le Fils de Dieu. Accorde-le, Père.

77        Et alors que nous avons les têtes inclinées, les yeux fermés, je ne sais pas ce soir, alors que nous sommes dans la salle, s’il y a ici ce soir quelqu’un qui s’est éloigné de Dieu, qui voudrait simplement dire, non pas à moi en tant que ministre, mais à Jésus comme son Créateur, si vous voulez lever la main et dire: «Ô Dieu, sois miséricordieux envers moi. Souvenez-vous de moi dans la prière, Frère Branham, dans ce service, afin que Dieu m’accorde cette expérience dont vous parlez ce soir.» Voulez-vous lever votre main? Y a-t-il quelqu’un, n’importe où dans cette salle, qui voudrait lever sa main?

            Que vous soyez méthodiste, presbytérien, pentecôtiste, peu importe ce que vous êtes, si vous êtes en dehors du Sang, cela vous regarde, mon ami. Voulez-vous lever la main et dire: «Priez pour moi, Frère Branham. Je lève ma main ici maintenant vers le Dieu Tout-Puissant pour dire que je désire réellement naître de nouveau, et être en communion avec Dieu. Je me suis toujours demandé pourquoi mes prières ne sont pas exaucées, pourquoi je n’arrive nulle part. J’ai mené une vie à mi-chemin, sens dessus dessous, la tête en bas, tantôt dedans tantôt dehors, et ici et là. Je donne simplement l’air de pouvoir arriver nulle part, Frère Branham. Et je... Il semble que j’ai prié, mais Dieu ne veut pas répondre à ma prière.» Quel est votre problème? Vous êtes en dehors de la communion.

78        Jésus a dit: «Tout ce que vous demanderez au Père en Mon Nom, Je le ferai.» Il a dit: «Si vous demeurez en Moi, et que Ma Parole demeure en vous, demandez tout ce que vous voulez. Celui qui écoute Mes Paroles et croit en Celui qui M’a envoyé a la Vie Eternelle, et ne vient point en jugement, il ne sera plus jamais jugé, mais il est passé de la mort à la Vie.»

            Reconnaissez-vous ce soir que vous aimeriez être en cet endroit, et que vous aimeriez qu’on se souvienne de vous dans un mot de prière, alors que nous terminons. Voulez-vous lever la main très rapidement maintenant? Que Dieu vous bénisse, monsieur. Quelqu’un d’autre? Que Dieu vous bénisse, mon petit ami. Que Dieu vous bénisse. C’est bon. Quelqu’un d’autre. Voulez-vous reconnaître... Que Dieu vous bénisse, monsieur. C’est bon. Gardez simplement les têtes inclinées et levez les mains. Que Dieu vous bénisse. C’est bon.

79        Très bien. Quelqu’un là aux balcons, voulez-vous lever la main et dire: «Frère Branham, sincèrement, je–je ne mène pas une vie correcte, Dieu le sait, et je–je–j’essaie de le faire, c’est mon désir.» Vous êtes sincère, frère. Vous êtes sincère, soeur. Ecoutez, ne mourez cependant pas dans cet état-là, chérie. Si vous mourez dans cet état-là, vous–vous êtes perdue. Maintenant, c’est le jour du salut; voici l’heure.

            Et vous dites: «J’ai adhéré à des églises. J’ai tout fait, Frère Branham, mais pourtant, je n’arrive simplement pas à avoir cette communion que je désire. Il ne me semble simplement pas avoir la conviction, lorsque je m’agenouille, que Jésus se tient là, et que je L’aime, et–et qu’Il me parle, et que si je Lui demande alors quelque chose, je Le verrai se retourner et faire cela pour moi. J’aurais souhaité mener ce genre de vie, j’aurais souhaité vivre si près de Lui. Je le désire, Frère Branham, et je lève la main vers Dieu, et Il me voit. Et puisse-t-Il me faire entrer dans cette communion.»

80        Quelque quatre ou cinq mains se sont levées, quelqu’un d’autre veut-il lever sa main et dire: «Moi aussi, Frère Branham, je voudrais qu’on se souvienne de moi dans cette prière de clôture, que vous... Dieu va me faire entrer dans cette communion.»

            Y a-t-il ici un rétrograde qui dirait: «Ô Dieu, sois miséricordieux envers moi. Je désire retourner à l’église. Je désire retourner à Dieu et mener cette vie que je menais autrefois. Je me suis éloigné de Dieu maintenant.»

            Je parlais à une femme âgée l’autre jour, une pauvre vieille créature, elle me disait qu’elle était membre d’une belle église, et comment... Cette femme ignorait qui j’étais, elle se tenait là, elle s’est mise à proférer des jurons et à faire des histoires. J’ai dit: «Honte à vous!» Et elle m’a regardé, et je portais une vieille salopette. Et lorsque je lui ai dit que j’étais prédicateur, elle m’a regardé et s’est moquée de moi. Et j’ai dit: «Tiens, vous devriez me connaître.» J’ai dit: «Je suis frère Branham.»

81        Et elle s’est mise à pleurer; elle posa ses mains dans les miennes, elle a dit: «Frère Branham, j’ai honte de moi-même. J’étais autrefois une chrétienne, mais je me suis égarée.» Elle a dit: «Oh! priez pour moi afin que Dieu fasse encore de moi une chrétienne.»

            J’ai dit: «Certainement, soeur, maintenant même nous pouvons le faire.»

            Maintenant, voulez-vous juste faire tout autant et dire: «Maintenant, ô Dieu...» Juste ici à l’intérieur de l’église là, où nous l’avons dédicacée pour l’adoration, voulez-vous lever la main et dire: «Ô Dieu, sois miséricordieux envers moi, parce que je me suis éloigné de Dieu.»

            Combien ici ne sont pas nés de nouveau? Vous allez à l’église, mais vous savez que vous n’êtes pas nés de nouveau. Voulez-vous lever la main et dire ici: «Souvenez-vous de moi, Frère Branham, devant Dieu, parce que je ne suis pas né de nouveau. Je n’ai pas le Saint-Esprit. Je vais à l’église, mais quant à cette communion intime avec Dieu, je ne l’ai pas. J’ai besoin de naître de nouveau, mais pourtant, je vais à l’église. Et je veux que vous priiez pour moi.» Voulez-vous lever la main? Quelqu’un dans la salle?

82        Maintenant, souvenez-vous, mes amis, ce... Je ne vous connais pas. Dieu vous connaît. Voyez-vous? Voici une petite foule de gens, deux cents ou plus sont assis ici ce soir. Ce ne sera pas long; il y a des hommes à l’intérieur, des femmes qui sont âgées; vos cheveux sont gris. La nature prouve que vous ne serez pas ici très longtemps. Vous savez cela, en toute sincérité. C’est juste.

            Et écoutez, il y a des jeunes ici qui partiront avant vous. Regardez les petits bébés... on venait de m’en apporter un qui souffre de la leucémie, et un autre (oh! la la!) de la polio et tout le reste. Voyez-vous? Vous ne savez pas quand vous allez partir. La mort ne fait acception de personne. Alors, si vous n’êtes pas en ordre avec Dieu, avant que nous abordions ces deux autres soirées de services, levons les mains et disons: «Ô Dieu, souviens-Toi de moi; j’ai besoin de Toi.»

            Très bien. Maintenant, gardez simplement la tête inclinée. A peu près cinq mains se sont levées.

83        Maintenant, notre Bienveillant Père céleste, nous réalisons que nous sommes juste des mortels, qu’il n’y a pas grand-chose que nous puissions faire à ce sujet, nous sommes des mortels, nous sommes juste des hommes. Mais Tu es Dieu; Tu peux accomplir des oeuvres suprêmes; Tu peux manifester les–les grandes puissances, Seigneur. Tu les as toutes sous Ton contrôle. Et maintenant, ces gens qui sont venus à travers la neige pour s’asseoir ici ce soir, afin d’écouter le récit simple de la croix, et les dispositions que Dieu a prises pour les ramener et faire d’eux des fils et filles de Dieu... Ils sont venus avec des coeurs sincères, et ils se sont rassemblés ici dans cette salle ce soir.

            Je prie, Père, ils ont eu le courage de lever leurs mains. Et je ne sais pas, Seigneur, mais je crois qu’il y en a davantage qui auraient dû le faire. Et, Père, je Te prie, au travers de la miséricorde de Christ, de ne pas laisser un seul de ceux qui sont assis ici ce soir se perdre. Puissent-ils dans ce–à partir de cet instant même, prendre dans leur coeur une décision, maintenant même, et là où le Sang approprié de Jésus a été rendu suffisant pour se charger de tous leurs péchés... Je prie que Tu accordes cela, Seigneur, ce soir même. Et puissent-ils entrer en communion intime avec Toi, au point que Tu les reconnaîtras comme Tes fils et Tes filles, et qu’ils serrent le sceau du Saint-Esprit sur leur coeur, jusqu’à ce que l’amour divin fera sortir leurs coeurs de ce conglomérat de réjouissances et de souillures du monde, et de ces choses possédées du diable que nous avons sur cette terre, pour les diriger vers les choses célestes, qui vont bientôt passer du jour de l’homme à la venue du jour du Seigneur. Accorde-le, Père. Nous prions au Nom de Jésus.

84        Et pendant que nous avons la tête inclinée, je me demande si quelqu’un désire qu’on se souvienne de lui dans la prière ce soir pour la maladie, voulez-vous lever la main, et dire: «Souvenez-vous de moi dans la mala-... je suis malade.»? Une, deux, trois, quatre mains. Très bien. Inclinons la tête.

            Père céleste, nous prions qu’au Nom du Seigneur Jésus, ces personnes qui sont malades et nécessiteuses, ô Dieu, accorde qu’avant la fin de ces trois petites réunions, qu’il n’y ait pas une seule personne faible au milieu de nous. Puissent-ils crier les louanges de Dieu, et descendre les rues, et voir leurs médecins les congédier, en disant: «C’est inutile de revenir, quelque chose s’est passé.» Accorde-le, Seigneur. Ton programme est tout suffisant, Seigneur, Ton Sang est tout suffisant ce soir, pour guérir chacun d’eux, et je Te prie de l’accorder. Que Ta miséricorde repose sur chacun d’eux sans exception, je prie au Nom de Jésus-Christ. Amen.

            Maintenant, alors que nous relevons la tête, si la pianiste veut bien venir au piano... Venez, frère, je vous prie.

85        Combien aiment le Seigneur Jésus? Faites voir votre main en la levant. Avez-vous déjà chanté ce vieux cantique Je L’aime? Avez-vous déjà entendu cela? Très bien, donnez-nous le... Je... Connaissez-vous cela, soeur? Donnez-nous un petit accord de cela. Je ne suis pas un chanteur donc, mais essayons de chanter cela. Je L’aime.

Je L’aime, je L’aime
Parce qu’Il m’aima le premier
Et acquit mon salut
Sur le Calvaire

Je L’aime...

            Maintenant, serrez la main de votre voisin, dites: «Que Dieu vous bénisse.» Quelqu’un qui est assis à côté de vous.

... L’aime
Parce qu’Il m’aima le premier
Et acquit mon salut
Sur le bois du Calvaire

            Maintenant, avec vos mains en l’air.

Je L’aime...

            Maintenant, inclinez la tête, fermez les yeux et soyez en prière. Très bien...?...

            [Frère Branham s’adresse à quelqu’un–N.D.E.]

Up