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Le Pire Pécheur De La Ville
1
Mon hymne favori... Son contexte historique, si seulement
vous voulez
savoir quoi, comment câest venu... Mon ami, frĂšre Booth-Clibborn, lâa
composé
sur ses genoux, sous lâinspiration, dans un champ de maĂŻs une nuit, des
morceaux de carton au fond de ses chaussures, lui servant de semelles
de
chaussures; il a vendu cela Ă WyCliffe Ă cent dollars, et il a obtenu
le droit
dâauteur sur le cantique. Et câest mon hymne favori. Il exprime la
sup-... la
suprĂȘme DivinitĂ© du Seigneur JĂ©sus, et surtout en un jour comme
celui-ci oĂč on
cherche Ă faire de Lui juste un prophĂšte. Il Ă©tait plus quâun prophĂšte.
Il
était Dieu.
2
Dans la leçon sur les Ecritures ce soir, dans Saint Luc,
chapitre 7, verset
36... Et puis, quand vous retournerez chez vous Ă la maison, terminez
la
lecture de ce chapitre, je vais juste lire ceci, car je sais que
demain, câest
dimanche. Nous nâaimerions pas rester longtemps, mais nous... Demain,
vous avez
lâĂ©cole du dimanche et beaucoup de services.
3
Et pendant quâon est en visite ici, jâai certainement eu
beaucoup de bons
amis auxquels jâaurais vraiment voulu rendre visite, les Stadsklev qui
sont
assis ici, les Petersons, et les autres. Mais ma raison, ce sont les
services
de prĂ©dication, mais on dirait que partout oĂč je vais, on commence les
services
de guérison. Et puis, évidemment, je ne peux pas effectuer des visites
pendant
quâon est en plein dans les services de guĂ©rison. Je dois consacrer mon
temps Ă
jeĂ»ner et Ă mâattendre au Seigneur. Je suis sĂ»r que mes amis
comprennent cela;
alors...
Verset
36, voici ce que nous lisons:
Un pharisien pria Jésus de manger avec lui. Jésus entra dans
la maison du
pharisien, et se mit Ă table.
Nous pouvons prier. PÚre céleste, nous Te prions de bénir
ces Paroles pour
Ta gloire. Au Nom de Jésus, nous le demandons. Amen.
4
Il y a, on dirait, quelque chose qui cloche. Ce nâest pas
tout Ă fait
correct. Pourquoi un pharisien demanderait-il à Jésus de venir manger
chez lui?
Eh bien, ceâce nâest pas tout Ă fait correct. En effet, les pharisiens
nâaimaient pas JĂ©sus; ils Le haĂŻssaient. Ils nâavaient pas du tout de
relations
avec Lui. Et gĂ©nĂ©ralement, quand nous voulons de quelquâun, quand nous
aimons
quelquâun, nous voulons quâil vienne manger chez nous. Mais vous ne
demandez
pas Ă vos ennemis de venir manger chez vous. Il y a donc quelque chose
qui
cloche dans ce tableau, quand ce pharisien voulait que Jésus vienne
manger avec
lui.
Et
gĂ©nĂ©ralement, câest de la communion que nous avons besoin. Et les
pharisiens
nâavaient pas de communion avec JĂ©sus. En effet, ils Ă©taient raides,
empesés,
un groupe sectaire. Et Jésus était le Tendre Fils de Dieu. Et vous
savez, juste
comme les jeunes femmes, elles ont des choses en commun. Elles ont
leurs
propres entretiens. Elles aiment rester ensemble: les jeunes filles. Et
les femmes
avancées en ùge, elles passent leur temps ensemble. Elles aiment
sâassocier. Et
les jeunes hommes, et les vieux hommes... Les petits enfants, ils ont
leur
communion les uns avec les autres. Ils vont dans la rue et jouent. Vous
savez,
la Bible en parle dans EsaĂŻe, les petits enfants jouant dans les rues.
5
Mais quâest-ce que ce pharisien pouvait bien vouloir de
Jésus? Vous savez,
si vous prenez uneâune petite fille, une petite fille, et que vous la
voyez
tournoyer tout le temps autour de la grand-mĂšre, il y a quelque chose
qui
cloche. Le dĂ©calage dâĂąges entre elles est trop grand. Elles nâont pas
de
choses en commun. Vous pouvez compter sur ceci: soit elle est la
chouchou de la
grand-mĂšre, soit la grand-mĂšre a un sachet de bonbons quelque part. Il
y a anguille
sous roche, lorsque vous voyez une fillette suivre une grand-mĂšre.
6
Et vous verrez des gens sâassembler. Comme dans la ville,
les Kiwanis
sâassemblent. Quand ils le font, ils ont des choses en commun. Ils
aiment
parler des affaires de la ville, de lâassistance aux pauvres, et
chaque... et
tout le monde...
Ma mĂšre
utilisait un vieux proverbe quâelle rĂ©pĂ©tait: «Ceux qui se ressemblent
sâassemblent.» Il y a beaucoup de vĂ©ritĂ© lĂ . En effet, nous avons des
choses en
commun. Câest pourquoi nous sommes ici ce soir. Nous avons des choses
en
commun. Nous sommes... La raison pour laquelle vous nâĂȘtes pas parti au
bioscope ou Ă une activitĂ© de ce genre-lĂ , câest parce que
vousâvous.... Nous
avions des choses en commun comme chrétiens; nous sommes venus
communier autour
de la Parole de Dieu et parler du Seigneur Jésus.
7
Mais quâest-ce que ce pharisien pouvait vouloir de JĂ©sus?
Câest ça la chose
suivante. Il se faisait tard. Le soleil était sur le point de se
coucher. Et
alors quâil commençait Ă baisser Ă lâhorizon Ă lâoccident, je peux le
voir lĂ
debout, ce coursier, qui avait été un coureur. Il avait effectué un
voyage de
deux jours, parcourant la Palestine, cherchant Ă âĂ trouver une chose
quâil
venait de découvrir. Il entrait dans une ville: «Eh bien, Il était ici
il y a
une semaine, mais Il est parti.»
Ainsi
donc, nous le voyons debout, juste en dehors de lâimmense foule qui
sâĂ©tait
assemblĂ©e, Ă©coutant les Paroles dâun Homme qui parlait comme jamais
personne
nâavait parlĂ©. Il parlait avec autoritĂ©. Et Il parlait. Alors, ce
coursier, les
jambes couvertes de poussiĂšres pour avoir couru sur des routes en dur
de
Palestine, de ville en ville, cherchant, essayant de trouver oĂč Ă©tait
ce Jésus
de Nazareth; en effet, Il effectuait une course pour son riche maĂźtre,
le
pharisien.
8
Et aprĂšs que JĂ©sus eut fini de parler, peut-ĂȘtre, Il a
commencé la réunion
de priĂšre pour les malades. Je peux Le voir alors quâIl Ă©tend Ses mains
sacrées
pour toucher les boiteux, les faibles et les aveugles. Et ce petit
coursier,
qui courait pour le pharisien, je peux le voir se frayer un passage
dans la
foule en jouant des coudes, sâapprochant de lĂ oĂč il pouvait entrer en
contact
avec Jésus; beaucoup de gens cherchaient à le repousser. Mais peu
aprĂšs, il a
atteint la derniĂšre rangĂ©e, lĂ oĂč il y avait les douze apĂŽtres qui se
tenaient
en forme de ligne tracée, afin que personne ne les dépasse pour aller
vers le
Seigneur JĂ©sus. Et il sâest butĂ© Ă quelquâun, peut-ĂȘtre que câĂ©tait
Philippe,
ou peut-ĂȘtre Pierre. Et il a dit: «Puis-je voir votre MaĂźtre? Jâai un
message
Lui adressé par mon maßtre.»
«Eh
bien, a dit lâapĂŽtre, Il est en train de parler maintenant. Je vais Lui
demander quand Il aura fini le service de guérison.»
Et comme
le service de guérison continuait longtemps, peu aprÚs, ils ont pensé
quâil
Ă©tait pratiquement temps de Lâamener Ă âĂ arrĂȘter de prier pour les
malades. Et
quelques-uns parmi eux ont dit: «MaĂźtre, je pense quâil nous faudrait
arrĂȘter
la ligne maintenant, parce que câest assez pour aujourdâhui. Nous avons
dâautres
places oĂč aller.»
Et
alors, Pierre a parlé à haute voix, disant: «Maintenant, je vais Lui
demander
donc sâIl a un mot pour toi.»
Alors,
il a dit: «Maßtre, il y a ici dans notre assistance un jeune homme qui
est venu
du sud de la Palestine, il a effectué un déplacement de deux jours. Il
dit
avoir un message pour Toi de la part de son maĂźtre. Pourras-Tu lui
parler
maintenant mĂȘme?» Et jamais vous ne demandez de parler Ă JĂ©sus sans
quâIl vous
accorde toujours lâoccasion. Ce quâIl Ă©tait jadis, Il lâest
aujourdâhui. En
effet, Il a le vif dĂ©sir et Il attend dâavoir un entretien avec chaque
personne. Peu importe lâobjet de votre course, ou ce quâest votre
problĂšme,
notre TendreâTendre Seigneur JĂ©sus attend toujours et cherche
lâoccasion de
parler Ă tout le monde.
Ainsi
donc, certainement, Il a dit quâIl serait content de voir ce quâil
avait.
9
Ce jeune homme sâest avancĂ© et a dit: «Câest Toi JĂ©sus de
Nazareth. Et mon
maĂźtre, le pharisien de telle ville, un docteur, il va organiser un
grand
banquet. Et il aimerait que Tu viennes et que Tu sois son HĂŽte Ă ce
banquet.»
Je peux
voir tous les yeux des apĂŽtres qui regardaient. Que va-t-Il dire? Il a
dit: «Je
vais... Dis à ton maßtre que Je serai là à telle et telle date.»
Demandez et
vous recevrez, toujours auprĂšs de JĂ©sus. Et Il a dit: «Je serai lĂ Ă
telle et
telle date.»
Je peux
entendre Pierre dire: «Oh ! Non, Seigneur. Tu nâaimerais pas aller lĂ .
Eh bien,
ce pharisien a une idĂ©e derriĂšre la tĂȘte. Ilâil ne veut pas de Toi pour
quelque
chose de bien. Eh bien, il y a ici trop de malades Ă assister et des
gens qui
Tâaiment, une foule qui Tâenvironne. Ils cherchent Ă passer juste un
instant
avec Toi. Eh bien, Tu nâas pas besoin dâaller voir ce pharisien-lĂ .»
Mais
jamais personne ne demande Ă JĂ©sus sans quâIl satisfasse chaque fois Ă
sonâson
désir. Il a dit: «Nous irons.»
10 Et ce coureur, un jeune homme, le laquais venu de la maison
de ce pharisien
riche, eh bien, la course pour laquelle il avait été envoyée était
terminée, il
a tourné le dos à Jésus, et il a repris son chemin de retour vers chez
lui,
satisfait dâavoir tout accompli; en effet, il avait exĂ©cutĂ© les
souhaits de son
maĂźtre. Quelle erreur ! Cet homme sâĂ©tait tenu dans la PrĂ©sence de la
Vie
Eternelle, il sâĂ©tait tenu devant le Dieu mĂȘme du Ciel; et pourtant,
aprĂšs
avoir fait toute sa religion, les devoirs de son Ă©glise, il sâen est
allé sans
mĂȘme demander le pardon de ses pĂ©chĂ©s.
11 Jâaurais bien voulu ĂȘtre lĂ oĂč il Ă©tait. Jâaurais bien voulu
ĂȘtre Ă sa
place. Savez-vous ce que jâaurais fait? Oh ! Je ne me serais pas
tellement
intĂ©ressĂ© aux affaires de lâĂ©glise; je me serais prosternĂ© sur mon
visage et
jâaurais dit: «Bien-AimĂ© Seigneur JĂ©sus, MaĂźtre de la Vie, accorde-moi
la grĂące
de Ton pardon», si jâavais lâoccasion de me tenir devant Lui.
Je pense
que câest pratiquement le sentiment de tout le monde ici ce soir. Nous
ferions
la mĂȘme chose. Je... Mais aujourdâhui, câest tout comme autrefois. Nous
sommes
trop occupĂ©s Ă beaucoup de choses que nous devons faire dans lâĂ©glise;
lâĂ©glise
nous exige tellement, et tellement dâendroits oĂč aller quâen rĂ©alitĂ©,
nous
manquons souvent de saisir lâoccasion. Et peut-ĂȘtre quâun soir, il nous
faut
aller répéter les chansons. Il nous faut aller faire autre chose. Une
activité,
peut-ĂȘtre, Ă caractĂšre religieux, mais quand le Saint-Esprit parle Ă
votre
coeur, la meilleure chose Ă faire pour vous, câest toujours rĂ©pondre,
peu
importe ce que câest, peu importe le moment de la nuit, ou le genre de
course
que vous effectuez. En effet, Il peut ne plus parler pendant longtemps,
et
peut-ĂȘtre jamais.
12 Mais ce jeune homme était si prÚs de la Vie Eternelle, et il
nâavait mĂȘme
jamais réclamé Cela... Eh bien, nous condamnons cet homme-là , mais vous
savez
quoi, peut-ĂȘtre, vous et moi, nous avons Ă©tĂ© peut-ĂȘtre coupables de la
mĂȘme
chose, nous nous sommes tenus à la bouche, ou plutÎt à la portée de la
Voix de
la Vie Eternelle, La regardant, Lâobservant, et nous nous En sommes
éloignés,
tout aussi vides que lui lâavait fait. Câest vrai. Nous sommes trop
occupĂ©s Ă
autres choses.
Beaucoup
de gens aujourdâhui, vous avez trop de choses Ă faire. Il vous faut
faire vos
achats. Vous ĂȘtes trĂšs pressĂ©, leâle... ceci, cela. On est simplement
pressé,
pressĂ©, pressĂ©, pressĂ©, et on aboutit nulle part, on sâĂ©loigne tout le
temps
davantage de Dieu. Eh bien, câest vrai. Et... Mais il pensait avoir
parfaitement fait ce quâil Ă©tait censĂ© faire et câĂ©tait tout.
Souvent,
nous venons Ă lâĂ©glise, nous inscrivons notre nom sur un papier, nous
serrons
la main au pasteur, nous sommes baptisĂ© dâeau, et nous nous disons:
«Nous avons
fait notre religion maintenant.» Et vous oubliez lâessentiel: parler
avec le
Seigneur JĂ©sus. Souvent, vous en avez lâoccasion et vous ne le faites.
13 Je me demande ce qui a poussé ce jeune homme à faire cela.
Je peux voir,
peut-ĂȘtre un weekend avant cela, lĂ loin dans une autre ville, une
grande
synagogue grise et un pasteur lĂ , un... Nous allons lâappeler Docteur
Pharisien, juste un nom. Et je peux le voir alors quâil parcourt ses
grandes
salles, avec ces grands tapis sur le plancher, de bons meubles et une
maison.
Il se frottait les petites mains grasses et potelées, et disait: «Eh
bien, vous
savez, je suis un homme respectĂ© dans cette ville. Jâai unâun doctorat,
une
licence en lettres. On mâappelle Docteur. Tout le monde, quand je
descends en
ville, me considĂšre comme Docteur Pharisien. âBonjour, Docteur
Pharisien. Oh !
Je suis le chef de beaucoup de loges et tout. Et à la réunion du club,
on me
donne la parole. Je suis aussi un orateur trĂšs influent. Et la ville
compte sur
moi.» Il y a trop de Je là -dedans: «Je, je, je, je.»
14 Il y a quelque temps, un Ă©minent prĂ©dicateur mâavait Ă©crit
une lettre de
moins dâune demi-page, et jây ai comptĂ© vingt-deux Je. «Je, je, je.
Jâai ceci.
Jâai cela. Jâai...» Et aprĂšs tout, vous nâavez rien que Dieu ne vous
ait donné.
Vous devriez donc voir oĂč JĂ©sus entre.
Je suis
allĂ© dans une ville oĂč on allait tenir une rĂ©union une fois. Et les
photos dâun
prĂ©dicateur Ă©taient partout dans la ville: «Lâhomme du moment. Lâhomme
de Dieu
pour ceci, lâhomme qui a de la compassion pour les gens.» Et je nâai vu
le Nom
de Jésus nulle part.
Je me
suis dit: «Eh bien, peut-ĂȘtre que JĂ©sus ne va pas venir dans la ville.
Peut-ĂȘtre que câest juste cet homme.» Câest pratiquement donc vrai.
Mais
juste: «Je, je, je.» Ce pharisien avait cela, et câestâcâest toujours
flottant.
15 Nous voyons donc quâil parcourait le... sa piĂšce et disait:
«Eh bien, jâai
une grande influence dans cette ville. Et eux tous me considĂšrent comme
un
homme saint. En effet, je suis pasteur, vous savez, de la plus grande
église de
la ville. Et jeâje suis sĂ»r que tout le monde a beaucoup dâestime pour
moi. Je
fais ma religion chaque jour. Et jeâje pense quâil est pratiquement
temps pour
moi de montrer un peuâun peu ma religion, et je pense que je vais
organiser
unâun dĂźner. Je ferai venir docteur Levy Pharisien. Je ferai venir
docteur Ezra
Pharisien. Je ferai venir... Je les aurai tous lĂ . Mais on dirait que
jâai
besoin dâune clĂ© de voĂ»te pour ceâpour ce dĂźner-lĂ quelque part. Si
seulement
jâavais uneâune clĂ© de voĂ»te, une carte maĂźtresse, comme on lâappelle,
si
seulement jâen avais, ça serait juste ce dont jâaurai besoin. Eh bien,
oĂč
pourrais-je trouver pareille chose pour un grand divertissement, pour
vraiment
montrer Ă ces autres pasteurs quel grand homme je suis? Et vous savez,
en
faisant quelque chose comme cela, cela exercera peut-ĂȘtre une plus
grande
influence sur cette ville, Ă ma propre maniĂšre. Et peut-ĂȘtre quâavec
cela,
beaucoup dâentre eux viendront adhĂ©rer Ă mon Ă©glise.»
Câest
vraiment dommage, ce genre dâesprit existe toujours (Câest vrai.) dans
beaucoup
de nos Ă©glises aujourdâhui.
16 Alors, peu aprĂšs, je le vois alors quâil se frotte les
petites mains
potelées tout en parcourant ce grand tapis égyptien dans ce bel
endroit. Ces
pharisiens Ă©taient riches. Ils avaient beaucoup dâargent. Et ils
vivaient dans
de meilleures maisons. Cela ne voulait pas dire quâils Ă©taient en ordre
avec
Dieu, pas du tout. Et ils étaient intelligents, instruits. Cela ne
voulait pas
dire quâils Ă©taient en ordre avec Dieu.
Jâai vu
beaucoup de gens qui avaient des diplÎmes intéressants de... issus de
toutes
sortes de sĂ©minaires et dâuniversitĂ©s, et qui ne connaissaient pas Dieu
au-delĂ
du premier a-b-c de la Bible. Câest vrai. Quand cela atteint le
coeur... Ils
sont instruits, mais ils ne connaissent pas Christ.
17 Comme je le disais lâautre soir, Le connaĂźtre, câest la Vie,
non pas
connaßtre le Livre, non pas connaßtre le catéchisme, mais connaßtre
Christ,
câest la Vie, la Personne de Christ. Et il...
Ils
prélevaient une partie de toutes les offrandes, de tous les sacrifices;
ils
recevaient les dĂźmes de gens. Et ils Ă©taient riches, la plupart dâentre
eux,
ils habitaient de belles maisons, et ils pouvaient se permettre un trĂšs
grand
(comme nous lâappellerions aujourdâhui), un grand dĂźner comme cela. Et
il y
avait beaucoup de pauvres Ă lâĂ©poque.
18 Eh bien, la plupart des renseignements que jâai sur mon
texte de ce soir,
je les ai tirĂ©s de JosĂšphe et de beaucoup dâhistoriens, sur le mode de
vie de
lâĂ©poque. Et jâai aussi Ă©tĂ© lĂ pour voir lâĂ©poque moderne, et les
vieilles et
anciennes coutumes. Et la plupart dâentre elles subsistent encore
aujourdâhui.
Et leurs grandes et belles maisons et tout...
19 Et je peux le voir alors quâil parcourt de part et dâautre
la piĂšce, dans
sa vaste et belle robe qui traĂźne derriĂšre lui, comme cela, avec tous
ses
chapeaux religieux sur lui, et son costume. Je peux le voir dire: «Hé !
ho !
Pourquoi nây ai-je pas pensĂ©? Eh bien, câest exactement ce que je dois
faire.
Eh bien, jâaurais dĂ» y penser il y a une semaine. Câest ce que je vais
faire.
Vous savez, pharisien Jones dĂ©teste bien ce GalilĂ©en aprĂšs tout. Ilâil
se dit
donc que puisquâIl lâavait grondĂ© un jour et lui avait dit quâil Ă©tait
un
serpent dans lâherbe... Et je vous assure, quâest-ce quâil Le dĂ©teste !
Hum !
Alors, je vais Lâinviter. Et jâaurai aussi le pharisien Levy. Je le
ferai
venir, et quâest-ce que lui aussi Le dĂ©teste ! Oh ! la la ! Combien il
Le
dĂ©teste ! Pourquoi nây ai-je donc pas pensĂ©? Câest exactement ça la
chose.» Câest
pourquoi donc le coursier avait été là .
20 Eh bien, il a dit: «Tiens, voici ce que nous ferons. Eh
bien, Il prétend
ĂȘtre un ProphĂšte. Il prĂ©tend voir des choses et connaĂźtre des choses
dâavance,
mais nous savons quâIl est un imposteur. Nous savons quâil nây a rien
en Lui.
Nous les membres dâĂ©glise, nous qui sommes instruits, nous qui sommes
intelligents et qui connaissons, tous les diplĂŽmes, nous savons quâil
nây a
rien dans ce Gars-lĂ . Il nâest rien au monde quâun BĂ©elzĂ©bul. Et,
a-t-Il...
Vous auriez dû entendre le rabbin Jones, quand ce Galiléen lui avait
dit ce
quâil Ă©tait. Oh ! Quâest-ce quâil avait explosĂ© ! Et maintenant, ça
sera pour
lui un plaisir de savoir que je Lâai fait venir ici mĂȘme, et nous
allons bien
Le coincer, ici mĂȘme, et prouver quâIl nâest quâun imposteur. Nous
allons donc
Lâavoir ici. Ainsi, jâenverrai simplement mon coursier favori, mon
laquais,
lĂ -bas. Il Lâinvitera. Oh ! Jâaurais dĂ» y penser depuis longtemps. Eh
bien, je
ferais bien de me mettre au travail maintenant et de distribuer mes
invitations.» En effet, vous ne pouvez pas assister à un banquet des
Palestiniens sans invitation.
21 Alors, je lâentends donc dire: «Tiens, je pense faire ceci.
Vous savez, au
lieu dâavoir cela ici, afin que les gens voient ce que je fais,
jâenverrai
chercher les meilleurs cuisiniers. Je vais me trouver un agneau et je
vaisâje
vais le rÎtir tout entier, le rÎtir dans des épices et, oh ! je ferai
que tout
le monde se lĂšche les lĂšvres etâet jâaurai un trĂšs grand dĂźner pour
tout le
monde. Et... Ce que jâaimerais... Ou pas pour tout le monde, pas les
pauvres,
mais ceux que je choisis. Et puis, aprĂšs que le dĂźner sera complĂštement
terminé, nous allons nous divertir aux dépens de ce Jésus de Nazareth.
Nous
allons prouver quâIl nâest pas un ProphĂšte. Et quâest-ce que Jones et
les
autres vont rire ! Oh ! Ăa sera merveilleux !»
«Vous
savez quoi, je pense que je nâorganiserai pas cela Ă lâintĂ©rieur des
maisons
ici, avec les corridors de la maison. Vous savez, jâai une vaste et
agréable
cour de devant, là , et ces délicieux raisins, des raisins blancs, oh !
ils
mûrissent maintenant. Et ne sera-ce pas merveilleux de placer
simplement ma
table là dehors?»
22 Et ils peuvent, comme on le dit, épater, ils le peuvent
assurément. Et ils
arrangent vraiment les choses de façon grandiose. Vous devriez voir
comment ils
sây prennent. Oh ! la la ! Mais câest pratiquement ainsi que nous
essayons
dâaccueillir JĂ©sus, en prĂ©parant un grand souper de soupe quelque part
et en
vendant cela Ă cinquante cents le plat pour payer le prĂ©dicateur. Câest
vrai.
Nous ne sommes pas tellement diffĂ©rents. Câest vrai.
Je vous
ai annoncĂ© que jâallais vous parler ce soir de: Le pire PĂ©cheur de la
Ville.
Eh bien,
il avait donc tout organisĂ©. Il a dit: «Jâarrangerai cela lĂ dehors, et
quel
moment je passerai ! Et nous serons juste lĂ dehors, juste derriĂšre en
dessous
de... lĂ oĂč ces trĂšs gros raisins sont suspendus. Ăa sera beau. Lâodeur
est
suave. Et je ferai cuire mes agneaux. Et...»
23 Pouvaient-ils réellement... Ils avaient ces serviteurs
indiens lĂ -bas. Et
souvent, ils sont si bien formĂ©s, les Indiens, quâils portent des
clochettes Ă
leurs chaussures et, en marchant, ils peuvent pratiquement jouer une
mélodie
avec cela pendant quâils marchent. Et ils sont si raffinĂ©s sur la
maniĂšre de
tenir le plat, vous savez, juste avec toute laâla dignitĂ© que vous
pouvez
imaginer.
Il a dit:
«Oh ! Jâarrangerai vraiment cela.» Et Ă lâĂ©poque, les pauvres partout
dans le
pays... Eh bien, il allait bien arranger tout cela. Alors, il a tout
fait
arranger et a tout coordonné.
Et peu
aprĂšs, on approche pratiquement du dernier moment. Alors, il entre et
décore sa
salle. Il arrange tout cela, beau, comment ils peuvent aussi faire le
décor
intĂ©rieur. Vous savez comment ils peuvent revĂȘtir cela, trĂšs bien
arranger tout
cela.
24 Vous savez, nous avons encore beaucoup de ces choses
aujourdâhui en
Amérique. Le président peut venir dans une ville; et que fait-on? On
hisse tous
les drapeaux, les couleurs, on les fait flotter. Ils ont des jeunes
filles qui
portent des fleurs pour le rencontrer auâau train, et ils rĂ©pandent des
fleurs
le long de la route, et tout le monde se tient lĂ dans ses tout
meilleurs
habits, lui faisant signe de la main. Câest trĂšs bien. Câest en ordre.
Mais
voici le problĂšme, JĂ©sus peut venir dans une ville, et rien nâest dit Ă
ce
sujet, personne nâen sait rien. Vous ne Lui souhaitez pas la bienvenue
comme
cela. Pourtant, nous prions tout le temps: «à Dieu, donne-nous un
grandâgrand
réveil.» Mais quand Il vient, vous ne Lui souhaitez jamais la
bienvenue. Vous
Lui accordez toujours la troisiĂšme ou la quatriĂšme place.
25 Vous savez, souvent, nous avons trop Ă faire, tellement de
choses Ă faire
qui occupent tellement notre esprit que nous nâarrivons pas Ă Lâadorer
quand Il
vient. Il peut venir Ă une rĂ©union oĂč on tient un rĂ©veil dans une
ville, toute
la ville, lâassociation des prĂ©dicateurs sâassemblera et prendra un
petit-déjeuner, et ils élaboreront des plans, ils vont tenir une grande
rĂ©union. Et puis, quand JĂ©sus vient Ă lâĂ©glise et se met Ă traiter avec
quelquâun, ils diront: «Boutez ce Fanatique dehors.»
Jésus
veut vous bĂ©nir. Il veutâIl veut la premiĂšre place, et nous Lui donnons
la
derniĂšre. Oh ! Oui ! On a le temps pour tout le reste, mais on Le voit
juste
quelques minutes avant de bondir au lit, peut-ĂȘtre la nuit, une fois
par
semaine. Voyez?
«Dieu
bien-aimé, bénis-moi, et mon frÚre, mon pÚre et ma mÚre, monsieur Jones
et...
Amen.» On va au lit. La derniÚre place, mais Il ne vous rejette pas. Il
est bon
envers vous malgrĂ© tout. Câest ce qui Le rend rĂ©el pour moi.
26 Vous savez, au Pùques dernier, vous avez porté votre belle
robe et ce beau
chapeau. Oh ! vous ĂȘtes parti Ă lâĂ©glise au PĂąques dernier, et le
pasteur vous
reverra au prochain PĂąques. Câest pratiquement ce qui se passe. Mais
vous Lui
accordez juste quelques minutes. Et si le pasteur parle plus de vingt
minutes: «Oh
! la la ! De quoi pense-t-il tant parler?» Nâest-ce pas Ă peu prĂšs
vrai?
Oh ! Il
vous faut sortir et exhiber cette belle robe. Mais Il ne vous a jamais
condamnĂ©e pour cela. Il a acceptĂ© cela. Câest ce qui Le rend si rĂ©el
pour moi.
Peu importe combien minime...
«Seigneur,
veux-Tu occuper la seconde place?»
«Oui,
Jâoccuperai la seconde place.» Le Dieu du Ciel devant une crĂ©ature...
«Veux-Tu
occuper la seconde place?»
«Oui,
Jâoccuperai la seconde.»
«Veux-Tu
occuper la troisiÚme place?»
«Oui,
Jâoccuperai la troisiĂšme.»
«Veux-Tu
occuper la quatriÚme place?»
«Oui,
Jâoccuperai nâimporte quelle place que vous Me donnez.»
Il ne
vous rejette jamais. Il viendra en tout temps. Toute place que vous Lui
accordez, mĂȘme si câest au grenier. Vous ne voulez pas de Lui au salon,
quand
vos amis arrivent, vous pouvez tous y entrer et parler de Jésus et vous
agenouiller sur le plancher, et faire de Lui le sujet principal de
votre conversation,
etâet vous parlez de Lui, vous priez, vous Le remerciez pour ce quâIl a
fait,
et vous témoignez les uns aux autres.
Oh !
Non, cela revient au... un tas de plaisanteries et tout un tas
dâhistoires. Et
alors, quand vous parlez de Jésus, vous devez monter au grenier, ou
quelque
part, ou en bas dans le sous-sol, de temps Ă autre Lui parler. Vous
pouvez
commencer Ă aller Ă ... Vous... votre...
27 Dieu fait simplement brĂ»ler votre coeur du dĂ©sirâdu dĂ©sir de
Lâadorer, vous
Lâaimez un peu, et vousâvous vous dites simplement: «Eh bien, je ferai
cela
aprĂšs que jâaurai fait la vaisselle.»
Et
madame Jones peut appeler et dire: «Lydie, nous allons en ville faire
des
achats aujourdâhui, chĂ©rie. Veux-tu aller?»
«Oh !
Oui, jâirai avec toi.»
Puis, la
nuit, lorsque vous sautez au lit, vous dites: «à Dieu, sois bon envers
moi, et
bĂ©nis mon pĂšre et ma mĂšre et eux tous», et vous sautez au lit. Câest Ă
peu prĂšs
ainsi que nous agissons envers Jésus, nous Lui accordons la derniÚre
place.
28 Eh bien, quand Jésus vient dans la ville, il devrait y avoir
des drapeaux
hissés et des gens dans la rue parlant de Lui, Le glorifiant, les
malades et
les affligés acceptant Ses bénédictions de la guérison; et là dans des
rues, on
témoigne à tout le monde.
Mais
nous Lui accordons la derniÚre place. Et néanmoins, Il revient
continuellement.
Il est disposĂ©, ne voulant quâaucun pĂ©risse, mais que tous arrivent Ă
la
repentance.
Eh bien,
le jour approche. Peu aprĂšs, il a tous ses laquais lĂ . Ils ont beaucoup
de
laquais, juste des gars qui sont lĂ Ă la maison. Il les occupe donc
tous Ă
leurs tĂąches. Et tout dâun coup, un char accourt, arrive. La plupart
des
dĂ©placements Ă lâĂ©poque, en Palestine, câĂ©tait Ă pied. Et câĂ©tait
lâunique
moyen de transport quâils avaient, Ă part les animaux. Et la plupart,
câĂ©taient
des bĂȘtes de somme qui portaient lesâles fardeaux.
29 Mais le grand char arrive, et le docteur, révérend Untel en
sort. Et il
arrive, il lâembrasse, il lâintroduit dans la maison. Et le laquais
amenait
lesâles chevaux de cĂŽtĂ©, il les pansait, les introduisait dans
lâĂ©table, etâet
il apprĂȘtait tout, il nettoyait son char pendant quâil Ă©tait au
banquet. Tout
était tout raffiné, juste comme un festin du jour moderne, comme nous
lâappelons (Câest vrai.), en des termes religieux aussi.
30 Et la plupart des gens marchaient. Et pendant quâils
marchaient le long des
routes, les animaux y marchaient aussi. Et ils nâavaient pas de routes
en béton
et en asphalte comme nous en avons aujourdâhui. CâĂ©tait juste un petit
sentier
en terre là dans les collines et au travers du désert.
Et en
empruntant ce mĂȘme sentier que les bĂȘtes, il y avait la poussiĂšre avec
les
odeurs des animaux, avec les fientes et tout. Et cela se mĂȘlait Ă la
poussiĂšre,
et ça dĂ©gageait une odeur horrible le long de la route. Et Ă lâĂ©poque,
les
Palestiniens portaient une robe. Ils avaient un habit en dessous, qui
arrivait
au genou, et ils portaient des sandales. Et pendant quâils marchaient,
cette
robe ramassait la poussiÚre, et cela se mélangeait à la sueur aux
jambes, au visage
et aux mains, et ça dĂ©gageait une odeur horrible. Lâodeur des animaux
sur...
qui passaient par la route collait sur la personne quand elle passait.
Alors,
quand on arrivait Ă la porte, on nâĂ©tait pas du tout en Ă©tat dâĂȘtre
accueilli
en ce moment-là , à cause des odeurs ramassées sur une telle route. Et
les
rayons chauds du soleil de la Palestine brûlaient le visage.
31 Et alors, ce quâon faisait, quand on Ă©tait... un invitĂ©
arrivait, eh bien,
ils avaient toujours un laquais Ă la porte. Le premier homme quâon
rencontrait,
câĂ©tait le laquais laveur des pieds. Le travail le pire, parmi tous les
autres
laquais, câĂ©tait celui du laveur des pieds.
Et de
penser Ă cela, notre BĂ©ni Seigneur JĂ©sus sâest fait laveur des pieds,
Il est
descendu de la position la plus élevée dans le Ciel pour exécuter le
travail de
laquais le plus bas sur terre. Et puis, nous pensons ĂȘtre quelquâun
parce que
nous portons de bons habits et que nous conduisons une belle voiture.
Honte Ă
vous ! Câest dommage que nous nous soyons tant Ă©loignĂ©s de Dieu. Oh !
Nous
sommes trĂšs religieux. Mais je veux parler de sâapprocher de Dieu.
32 TrĂšs peu... Ăa me gĂšne de dire ceci. Mais trĂšs peu parmi
ceux qui se disent
chrĂ©tiens aujourdâhui dans notre pays connaissent trĂšs peu au sujet de
Dieu. Oh
! Ils connaissent toutes leurs religions, sauf connaĂźtre Dieu.
Il sâest
humiliĂ©, et câest ce qui Le rend grand pour moi. Câest ce qui Le rend
réel pour
moi, câest de penser quâIl Ă©tait disposĂ© Ă descendre ici et Ă ne pas
ĂȘtre
QuelquâUn de grand, porter un grand nom, ou quelque chose comme cela.
Il sâest
rendu humble, et Il est devenu leur serviteur Ă tous. Câest mon
Seigneur Jésus.
Câest Celui que jâaime. Câest Lui, je suis... Jâaimerais consacrer
toute ma vie
Ă Le servir, Ă travailler pour Lui, Ă faire tout ce que je peux pour
amener les
gens Ă Le voir, Ă croire en Lui et Ă Lâaimer. Il est tendre. Il est
précieux.
33 Il sâest fait laveur des pieds, Il a pris la serviette, Il
sâen est ceint
et Il a lavé les pieds des disciples; Il a dit: «Que celui qui est
grand parmi
vous se fasse serviteur de tous.» CâĂ©tait Son exemple. Mais nous
aujourdâhui,
oh ! hostiles: «Oui, oui. Je ne mâabaisserais pas devant cet homme de
toute
façon; ce vieil ivrogne, vous savez, je nâaurais rien Ă faire avec lui.
Oh ! Je
suis docteur Jones.» Voyez? Câest pourquoi nous nâaboutissons nulle
part. Câest
pourquoi nos chaires sont faibles. Câest la raison pour laquelle
aujourdâhui
nous nâavons pas de signes et de prodiges dans nos Ă©glises. Câest la
raison
pour laquelle aujourdâhui nous nâavons pas de rĂ©veil Ă lâancienne mode.
Nous
pensons ĂȘtre quelquâun alors que nous ne sommes rien.
La Bible
dĂ©clare que lorsquâun homme pense ĂȘtre quelque chose alors quâil nâest
rien, il
se sĂ©duit. Il ne sait rien de ce quâil devrait savoir. Il devrait
savoir quâil
est un pécheur.
34 Et alors, le premier laquais qui rencontrait lâhomme, il le
faisait asseoir
sur une chaise; et au dĂ©part, câĂ©tait un petit, ce que nous appelons un
vestibule, dans le sud. Il le faisait asseoir sur une chaise, quelque
chose
comme ceci. Et il lui soulevait le pied. Il le déchaussait, il prenait
une
bonne eau propre et lui lavait les jambes comme cela avait de la sueur
et de la
puanteur, avec de la saleté et des histoires de la route, et la
poussiĂšre qui
sâĂ©levait, alors ça sentait mauvais. Il lui lavait les pieds, ensuite
il les
lui séchait trÚs bien avec une serviette, les essuyaient bien, ensuite
il
prenait lâautre pied et faisait de mĂȘme. Et puis, sâil Ă©tait invitĂ© Ă
un
banquet comme cela, alors en tant que convive, on lui trouvait toujours
des
souliers pour marcher sur ce beau tapis. Il avait un petit tapis ou des
pantoufles en satin. Il étendait la main là et en prenait une paire
jusquâĂ ce
quâil trouve celle qui sâajustait Ă ses pieds, alors il les lui mettait
aux
pieds.
35 Eh bien, il se sentait trĂšs bien. Ses pieds et ses jambes
sont lavés et les
odeurs enlevées. Ainsi donc, il se dirige vers la porte suivante. Et
quand il
arrive lĂ , Ă la porte suivante, un autre laquais le rencontre. Et ce
laquais
qui le rencontre ici tient une cruche dâhuile en main.
36 Eh bien, cette huile est faite Ă base dâolives, et ça a une
trĂšs bonne
odeur de nard. Et ce nard, câest une pomme trĂšs cĂ©lĂšbre, du genre de
pomme du
rosier. Vous savez, quand les roses cessent de fleurir et que lâhiver
arrive,
il y a une petite pomme. Eh bien, lĂ en Egypte, ou certains de ces pays
par lĂ ,
on prend cette petite chose. Jâai vu cela une fois. Câest comme une
petite
pomme. Et vous pouvez vous la frotter aux mains juste une ou deux fois,
et ça
imprĂšgne tellement vos mains que des semaines plus tard vous pouvez
continuer Ă
en sentir lâodeur. Et ça coĂ»te trĂšs cher de fabriquer cette huile de
nard. Et
on Ă©crase cela, on met cela dans lâhuile; en effet, quelques jours
aprĂšs, ou
quelques semaines, ou des mois, lâhuile a en fait une odeur vĂ©tuste.
Cela la
garde donc trĂšs fraĂźche tout le temps. TrĂšs couteux... CâĂ©tait lâun des
trésors
que la reine deâdeâde Seba avait apportĂ©s et donnĂ©s Ă Salomon, câĂ©tait
lâune de
ces choses. On devait monter bien haut dans ces... haut dans des
montagnes pour
cueillir ces pommes afin de faire cette huile.
37 Et alors, avec cette cruche dâhuile, la courtoisie de
lâhĂŽte, il tend ses
mains, et ses mains sont poussiĂ©reuses etâet moites aussi. Alors, de
ses mains,
il prend de cette bonne huile, il se la frotte partout sur ses mains.
Ensuite,
il lui donne une serviette et il sâessuie trĂšs bien les mains. Puis, il
lui en
donne encore. Il se la frotte partout sur le visage et Ă la nuque.
Câest plutĂŽt
doux. Si jamais on vous la frotte... Si quelquâun parmi vous a dĂ©jĂ
visité la
Palestine, il sait de quoi je parle; câest doux.
38 Et les rayons directs du soleil de la Palestine brûlent fort
la chair. Et
les hommes et les femmes utilisent cela. Ils se le frottent au visage,
et
ensuite ils essuient cela avec une autre serviette propre. Et alors,
leurs
pieds sont propres, ils portent une bonne paire propre de mocassins,
comme nous
les appelons. Et leurs mains sont propres, leur visage est propre, la
sueur et
lâodeur ont Ă©tĂ© enlevĂ©es de leur visage. Et maintenant, ils se sentent
frais et
prĂȘts alors Ă entrer pour rencontrer lâhĂŽte.
Et
alors, ils entrent au salon. Et quand ils y entrent, lâhĂŽte se lĂšve
pour le
saluer. PremiĂšrement, avant quâil fasse quoi que ce soit, il tend sa
main
droite et puis, il touche la main droite, ils mettent leur main gauche
lâun sur
lâĂ©paule de lâautre, et lâhĂŽte attire son invitĂ© vers lui, il lui donne
un
baiser dâun cĂŽtĂ©, et ensuite, il le baise aussi de lâautre cĂŽtĂ©. Et
alors, il
est un frĂšre Ă part entiĂšre. Oh ! Il est donc Ă lâaise. Il est lavĂ©, il
est
rafraĂźchi; et maintenant, on lui souhaite la bienvenue par un baiser.
39 Or, le baiser, câest le baiser de bienvenue. AprĂšs que
leâlâhĂŽte a donnĂ© le
baiser Ă lâinvitĂ©, alors lâinvitĂ© peut aller au rĂ©frigĂ©rateur ou
nâimporte oĂč
il veut aller. Il est bien Ă lâaise. Mais avant quâil fasse cela, eh
bien, il
nâest pas prĂ©sentable pour ĂȘtre embrassĂ©. Il ne peut pas ĂȘtre embrassĂ©;
en
effet, il nâest pas prĂ©sentable. Il sent mauvais, et une sueur puante
est sur
lui. Et alors...
Et aprĂšs
quâil a Ă©tĂ© lavĂ© et rafraĂźchi, alors il peut rencontrer son hĂŽte; alors
ils se
serrent les mains, ils sâembrassent sur une joue puis sur une autre, et
alors
il est un vrai frÚre. Il peut simplement aller çà et là et faire tout
ce quâil
veut. Et câest comme ça que ça se passait.
Et câest
ainsi que ce riche pharisien accueillait ses invités. Beaucoup étaient
entrés,
ils buvaient du vin, ils trinquaient leurs verres les uns avec les
autres. Et
comme le... GĂ©nĂ©ralement, Ă une fĂȘte comme celle-lĂ , il y a des
blagues, il y a
des bousculades, tout un tas de choses, on plaisante plutĂŽt, juste
comme on le
fait aujourdâhui, la mĂȘme chose...
40 Mais il mâarrive de regarder. Et jâentends quelquâun dire:
«Qui est Celui
qui est assis lĂ -bas?» Et lĂ est assis QuelquâUn dans un coin, la tĂȘte
inclinĂ©e, les mains pendantes, la tĂȘte inclinĂ©e, Ses disciples Le
regardent
depuis lâextĂ©rieur. Et Il est assis lĂ , en sueur, sale, sentant; on ne
Lui a
pas donnĂ© un baiser de bienvenue, et Il a Ă©tĂ© invitĂ© Ă laâĂ la fĂȘte.
Quand
jây pense, JĂ©sus assis lĂ avec des pieds sales. Comment ce laquais
a-t-il donc
laissĂ© passer cela? Comment a-t-il donc laissĂ© JĂ©sus passer? Ăa doit
ĂȘtre ceci.
Jésus
portait des habits ordinaires. Il sâhabillait comme un paysan. Il
marchait
comme un paysan. Et on doit avoir pensĂ© que câĂ©tait juste un paysan qui
était
venu.
41 Et souvent, aujourdâhui, les gens considĂšrent les autres Ă
partir de leur
habillement et les jugent comme cela. FrĂšre, permettez-moi de vous dire
quelque
chose maintenant. Certains de vieux coeurs les plus fidĂšles que jâaie
jamais
connus battent derriĂšre une vieille chemise bleue. Câest vrai. Il ne
faut pas
nécessairement un smoking ou un col retourné. Non, non. Dieu peut
parfois
battre dans un vieux coeur derriĂšre une chemise bleue.
Jâai
tenu beaucoup de réunions de réveil et un grand gaillard, avec des
cheveux qui
lui pendaient aux yeux, qui ne connaissait pas son abc, en chemise
bleue,
rapiécée, tendait la main, me prenait par la main et disait:
«Prédicateur, je
suis sincĂšre lĂ -dessus.» FrĂšre, vous pouvez croire cela. Câest vrai. Je
prĂ©fĂ©rerais lâavoir avec moi tout le temps plutĂŽt quâun roublard au col
retourné, ou quelque chose comme cela, qui va çà et là , en redingote
avec une
queue, et appelé docteur, révérend, pÚre, ou quelque chose comme cela.
Et vous
ne pouvez pas lui faire confiance au-delĂ de la main que vous pouvez
lui
tendre. Câest bien dur, mais câest vrai. Ils ont manquĂ© de Le
reconnaĂźtre.
42 Oh ! Comment sây est-il pris? Comment a-t-il pu faire cela?
Jâaurais voulu
ĂȘtre un laquais dans cette maison ce jour-lĂ . Oh ! Je Lui aurais lavĂ©
les
pieds. Amen ! Je me serais tenu lĂ Ă Lâattendre. Jâaurais surveillĂ© si
je
reconnaĂźtrais. Mais ce qui arriva Ă lâĂ©poque, Il passait pour un
fanatique. Il
passait simplement pour un fanatique.
Et câest
pourquoi aujourdâhui nous manquons de Le voir. Vous taxez cela de
fanatisme
alors que câest la puissance de Dieu, alors que câest le Christ
ressuscité
dâentre les morts, et les gens manquent de reconnaĂźtre cela. Vous taxez
cela de
mort, vous lâinclinez de cĂŽtĂ©, et vous dites: «Je nâai pas Ă perdre mon
temps
avec cette bande de saints exaltĂ©s. Je frĂ©quente lâĂ©glise. Je suis
aussi bon
que lâautre.» Et vous ne vous rendez pas compte de ce que vous faites Ă
mon
Jésus.
43 Il était assis là , les pieds sales. Et cela me fait plutÎt
quelque chose.
On Lâappelle lĂ : JĂ©sus. Au lieu de JĂ©sus, eux disent: JĂ©sus. Et je
pense Ă
Jésus aux pieds sales. Pouvez-vous vous imaginer cela, le Roi du Ciel
avec les
pieds sales?
Eh bien,
câest ce qui se passe aujourdâhui. Vous ne faites rien Ă ce sujet
aujourdâhui.
On parle de Lui, on dit tout à Son sujet. Quoi? Au sujet de Jésus quand
Il
entre dans la rĂ©union et les choses quâIl fait. On parle de cela, on
dit tout: «Oh
! Câest BĂ©elzĂ©bul. Câest un spirite. Câest un dĂ©mon. Câest... Il nây a
rien Ă
cela. Docteur Untel connaßt tout à ce sujet.» Exact. Voyez-vous qui
docteur
Untel Ă©tait dans la Bible? Il nâa pas beaucoup changĂ© Ă ce sujet
aujourdâhui.
44 Jésus était assis là avec les pieds sales, non accueilli, et
personne ne
faisait cas de Lui. Câest pareil aujourdâhui. Nous prions pour avoir
une grande
réunion. Et Jésus peut venir, et puis, personne ne fera cas de Lui.
Dieu vient
sur le lieu: «Eh bien, nos programmes nous prennent tout notre temps.
Nous
avons trop de choses à faire, trop dont il nous faut nous occuper.» Et
tout
cela va... Absorbé comme cela...
Et
JĂ©sus, souvent, nâest pas accueilli comme un InvitĂ© quand Il vient Ă
lâĂ©glise.
Que Dieu nous aide Ă reconnaĂźtre cela. JĂ©sus veut ĂȘtre accueilli.
Alors, quand
le Saint-Esprit entre dans lâĂ©glise et veut bĂ©nir lâĂ©glise, les gens
restent
assis tout aussi froids et empesĂ©s. Câest la mĂȘme chose que ce
pharisien avait
fait: Trop occupĂ© Ă dâautres choses. Nous avons trop Ă faire. Nous
redoutons
dâinterrompre quelque chose. Ne vous en faites pas. Vous nâinterromprez
rien en
accueillant Jésus. Vous serez en plein dans le programme de Dieu. Vous
pouvez
sortir du programme dâun homme, mais vous serez dans le programme de
Dieu en
accueillant Jésus.
45 Il était là , les pieds sales. Je peux voir les disciples.
Ils nâavaient pas
pu entrer. Ils nâĂ©taient pas invitĂ©s. CâĂ©tait Lui seul qui avait Ă©tĂ©
invité. Il
est passĂ© Ă cĂŽtĂ© des laquais. Il est allĂ© dans un coin, Il sâest assis,
Il
faisait tapisserie comme nous le dirons aujourdâhui. «Oh ! dites-vous,
FrĂšre
Branham...» Eh bien, câest ainsi quâIl fait... est encore traitĂ© dans
les
églises. Il fait tapisserie, ou il est une photo accrochée au mur, ou
quelque
chose quâIl Ă©tait autrefois.
Mais je
vous le déclare ce soir, si demain soir est ma derniÚre soirée,
peut-ĂȘtre pour
toujours, pour ici, je ne sais pas, peut-ĂȘtre pour un temps, mais je
vous le
dĂ©clare que ce mĂȘme JĂ©sus est ressuscitĂ© dâentre les morts et quâIl est
ici Ă
Minneapolis ce soir avec la mĂȘme puissance quâIl avait. Et les gens
tournent le
dos Ă cela, ils taxent cela de fanatisme et Le traitent ce soir comme
les
autres Lâavaient traitĂ© autrefois.
46 Oh ! Vous avez vos grandes Ă©glises, vous ĂȘtes orthodoxe et
raide comme une
planche, droit comme un canon de fusil. Cela ne signifie rien. Oh !
Vous voulez
avoir vos loisirs, vos fĂȘtes en sociĂ©tĂ©, vous asseoir lĂ , faire des
choses, et
glousser, faire des plaisanteries et tout. Ce nâest pas en cela que
consiste la
religion. Câest une adoration, non pas sâasseoir avec votre tĂȘte
inclinée et
crier: «Amen», comme un veau qui mugit. Mais on a besoin dâentrer dans
lâEsprit
de Dieu et dâadorer Dieu avec puissance et en Esprit. Câest vrai. Mais
(Oh !)
nous sommes trop raides et empesĂ©s aujourdâhui. Nous ne pouvons pas
faire cela,
vous savez. Ils lâĂ©taient aussi. Câest pourquoi JĂ©sus, aprĂšs quâIl eut
été
invitĂ©, câest ça lâaccueil qui Lui a Ă©tĂ© rĂ©servĂ©.
47 Que des fois à Minneapolis et à travers cette Amérique et
partout, les gens
ont jeûné, prié, crié, disant: «à Dieu, descends. à Jésus, nous avons
besoin de
Toi pour un réveil.» Il peut apparaßtre quelque part, on Le jettera en
prison.
Ils ne Lâaccepteront pas. On les taxera dâune bande de fanatiques et de
saints
exaltĂ©s. Câest parce que vous nâattendez pas la Personne correcte. Il
est
directement passé à cÎté de ce laquais. Et Il était assis là , pauvre
Jésus,
avec Ses pieds sales.
Je
déteste le dire; cela me fait bien quelque chose quand je pense à mon
Seigneur
assis lĂ avec les pieds sales alors quâIl avait Ă©tĂ© invitĂ©, et Il
nâĂ©tait pas
le bienvenu. Et câest pourquoi ça me dĂ©range aujourdâhui de voir des
gens qui
se disent croyants et tout comme ça et qui disent: «Oh ! Les jours des
miracles
sont passés. Du non-sens, FrÚre Branham. Ne croyez rien de pareil. Oh !
Vous
ĂȘtes simplement mentalement travaillĂ©. Il nây a rien Ă ce genre
dâhistoire.»
48 Je Le connais dans la puissance de Sa résurrection. Et je
sais quâIl est
réel. Il est ma vie. Il est Tout en tout. Et quand je vois ces gens qui
se
disent chrétiens réserver pareil accueil à Jésus, un rassemblement
politique,
ou quâils se tiennent lĂ et organisent un drĂŽle de souper de
bienveillance,
cette ancienne chambre haute ayant disparu. Ils nâont plus de chambres
hautes.
Vous ĂȘtes trop occupĂ©s, trop absorbĂ©s par de petites choses
fantastiques autour
de lâĂ©glise, vous avez trop Ă faire plutĂŽt que dâavoir une rĂ©union de
priĂšre Ă
lâancienne mode comme vous en aviez autrefois. Vous avez des soupers,
vous
organisez des rĂ©ceptions en plein air etâet des promenades en voiture,
etâet toutes
ces autres sortes de loisirs et autres.
Christ
nâest pas un loisir. Christ, câest Dieu qui doit ĂȘtre adorĂ©. Vous
mettez
trop... Cela peut brĂ»ler et Ă©corcher un peu, mais câest ce qui va vous
faire du
bien.
Ce dont
nous avons besoin aujourdâhui, câest dâĂȘtre Ă©corchĂ© un peu plus, un peu
plus
par le Saint-Esprit de Dieu pour vous débarrasser du monde en
écorchant, et
vous dégourdir.
LĂ ,
Jésus est assis là , non accueilli, personne ne Le regarde ni rien aprÚs
avoir
Ă©tĂ© invitĂ©. Et Il Ă©tait... IlâIlâIlâIl nâĂ©tait pasâIl nâĂ©tait pas...
Les
fientes sur Ses pieds et sur Ses mains, etâet Il Ă©tait tout en sueur,
cette
mauvaise odeur, et IlâIlâIlâIl Ă©tait dans un Ă©tat terrible. Et ils
Lâont laissĂ©
assis comme cela.
49 Et je pense aujourdâhui que vous qui vous dites
prédicateurs, beaucoup
parmi vous... Eh bien, ceci peut faire mal; mais vous vous dites
prédicateurs,
et vous vous tenez lĂ , laissant le monde critiqueur, hypocrite et
infidĂšle dire:
«Oh ! Cette Bible nâest quâune fiction. Il nây a rien LĂ .» Vous les
unitaires,
et vous qui ne connaissez pas Dieu, laissez-moi vous le dire: Vous avez
seulement lâapparence de la piĂ©tĂ© et vous reniez ce qui en fait la
force.
Pourquoi
ne vous purifiez-vous pas Ă fond? Pourquoi ne prĂȘchez-vous pas
lâEvangile? Il
est JĂ©sus rĂ©el ce soir, le mĂȘme quâIl Ă©tait autrefois. Ne Le laissez
pas sale
comme cela. Vous prĂ©tendez Lâinviter chez vous. Vous Lâinvitez Ă votre
église.
Et puis, quand Il vient, câest ainsi que vous Le traitez. Câest comme
ça
aujourdâhui, pharisiens. Vous allez çà et lĂ et vous condamnez les
pharisiens.
Jésus a
dit: «Vous embellissez les tombes des prophĂštes, et câest vous qui les
y avez
mis.» Câest vrai.
50 Ce dont nous avons besoin aujourdâhui, câest dâaccueillir le
Saint-Esprit,
Christ. Il Ă©tait lĂ , assis lĂ avec les pieds sales. Il nâĂ©tait pas le
Bienvenu
parmi une foule comme celle-lĂ . Il ne Lâest toujours pas aujourdâhui.
Une trĂšs
grande foule empesée, racontant des plaisanteries, toutes sortes
dâapparences
religieuses, et tout comme cela, Il estâIl est simplement restĂ© assis.
Il ne se
sent vraiment pas le bienvenu. Il se sentirait mieux accueilli ce soir
juste
dans une petite vieille mission quelque part sur la rue, plutĂŽt que
dans
certaines de ces grandes Ă©glises empesĂ©es quâon a par ici. Câest vrai.
Ils
nâont pas honte de Lui. Et vous pensez avoir la meilleure classe en
elles. Je
ne sais pas si vous en avez ou pas; ce nâĂ©tait pas la meilleure classe
alors.
51 LĂ , ils trinquaient leurs verres, buvaient etâet allaient de
lâavant,
disant: «Eh bien, pharisien Joseph, tu sais quoi? Je tâassure. Lâautre
jour,
quand nous avons tenu cette convention par lĂ , au... Ha ! ha ! Te
rappelles-tu
cela?» Oh ! Ce genre de choses ! «Je vais tâen raconter une, au sujet
de Jones,
ce quâil a fait au...» Câest pratiquement ce dont lâassociation parle
aujourdâhui quand ils se rassemblent.
Il nây a
pas longtemps, je suis allé à une réunion dans une trÚs grande église,
un
groupe de gens, deux fois plus nombreux que ceux qui sont assis ici,
qui était
censĂ©e contribuer Ă lâintĂ©rĂȘt spirituel de la ville. Savez-vous ce
quâils ont
fait? JeâjâĂ©tais surpris quâils mâaient invitĂ©. Mais quand jeâje suis
arrivé,
savez-vous ce quâils ont fait? Dans une cĂ©lĂšbre Ă©glise
dénominationnelle, ils
ont dit: «Eh bien, nous nâavons pas lâun des meilleurs, mais nous avons
le
meilleur violoniste et le meilleur guitariste du pays.»
Je me
suis dit: «Eh bien, câest bon. Nous allons voir ce quâils vont jouer.»
Savez-vous
ce quâils ont jouĂ©? Dieu est mon Juge. Ils ont jouĂ©: Le dindon dans la
paille,
derriÚre la chaire, à un rassemblement des prédicateurs. Oh ! la la !
Eh bien,
il a dit: «Nous avons le cĂ©lĂšbre quatuor dâune cĂ©lĂšbre Ă©glise de la
ville juste
au nord. Et ils vont chanter pour nous.» Savez-vous ce quâils ont
chanté? La
maison de la ferme. Sa place nâest pas dans lâĂ©glise. Quâest-ce qui ne
va pas
avec les gens aujourdâhui?
Puis,
jâai pris la parole et ils mâont boutĂ© dehors. Jâai dit: «Honte Ă vous,
vous
les conducteurs spirituels de cette contrée, ici, et vous jouez Le
dindon dans
la paille derriĂšre la chaire. Il nâest pas Ă©tonnant que vous me
haĂŻssiez. Il
nâest pas Ă©tonnant que vous ne croyiez pas dans la guĂ©rison divine.
Vous ne le
pouvez pas. Vous nâavez rien avec quoi croire.» Jâai dit: «Ce dont vous
avez
besoin pour vous purifier Ă fond ici, câest dâun appel Ă lâautel Ă
lâancienne
mode, et que vous, bande de prédicateurs, vous vous mettiez en ordre
avec Dieu
Ă lâautel.»
Il a
frappé sur la chaire comme cela, il a dit: «Asseyez-vous. Asseyez-vous.»
Jâai dit:
«Câest moi qui ai la parole maintenant.» Et ils mâont mis dehors. Je
dois dire
ce qui est correct de toute façon. Cela les accompagnera au Jugement de
toute
façon. Certainement. Oui, oui.
52 Ce dont nous avons besoin aujourdâhui, câest dâun nettoyage
Ă fond, que la
maison de Dieu soit en état de recevoir le Saint-Esprit, la puissance
du
Seigneur Jésus. Nous avons demandé, nous avons imploré, nous avons
supplié, et
ensuite, nous Le chassons quand Il arrive. Amen. Câest vrai. Câest
dommage.
Jésus
était assis là , avec les pieds sales, puant; personne ne faisait cas de
Lui. Et
Il Ă©tait... Il avait quittĂ© Sa place, lĂ oĂč Il servait les gens, Il a
marché
pendant deux jours sous ce soleil-là , Il est arrivé, Il devait
commencer un peu
tĂŽt, car IlâIl ne manque jamais Ă un rendez-vous. Il tient toujours Ses
rendez-vous. Je Lâaime pour cela. Il tient Ses rendez-vous. Câest la
raison
pour laquelle ce soir jâai confiance en Lui. Il tient Ses rendez-vous.
Alléluia
! Il nâa jamais failli, et Il ne faillira jamais.
53 Et rappelez-vous, homme et femme, jeune garçon et jeune
fille, vous avez
aussi un rendez-vous avec Lui. Vous allez soit Le rencontrer en paix
ici, soit
Le rencontrer au Jugement. Mais vous allez tenir ce rendez-vous-lĂ . Ăa,
câest
une chose que vous allez faire. Câest vrai. Il tient Ses rendez-vous.
Et Il
Ă©tait lĂ mĂȘme Ă temps, pas une minute de retard. Il est entrĂ© droit au
banquet.
Et Il était assis là , non accueilli.
Je
regarde au bas de la rue, lĂ , il y a une scĂšne. Je vois une porte
sâouvrir dans
une petite hutte, on dirait, quelquâun descend les marches. Je vois
passer dans
la rue une femme. Elle a un peu honte de regarder. Elle a un voile sur
le
visage. Elle a dit: «Câest calme ce soir. Je ne sais pas ce qui se
passe. On
dirait quâil nây a personne dans la rue.» Elle est une prostituĂ©e. Elle
se
promĂšne dans la ville. «Oh ! dit-elle, câest vrai. Docteur pharisien,
le
pasteur, organise un grand banquet là -bas.» Et alors, elle a dit: «Je
pense que
je vais aller au bout du coin et regarder.» Elle a levé les yeux. Et,
oh ! cet
arĂŽme, tous les pauvres se tenaient dehors, avec lâeau Ă la bouche; ces
pharisiens-lĂ , Ă lâintĂ©rieur, mangeaient ce bel agneau, buvaient du vin
et se
tapaient simplement un bon moment. Et elle pouvait sentir cela. Elle a
dit: «Oh
! Ăa sent trĂšs bon. Je me demande si je pourrais juste mâapprocher un
peu plus.
Personne ne me reconnaĂźtra, peut-ĂȘtre, avec ce voile sur mon visage,
car jâai
une mauvaise réputation dans la ville.»
54 Elle sâavance donc un peu plus, et: «Oh ! Câest merveilleux
!» Alors, elle
se faufile, Ă©vite que quelquâun la repousse. Elle se faufile entre deux
hommes
et dit: «Oh ! Ecoutez-les. Câest la bonne fĂȘte. Ils boivent tous du
vin,
jacassent lĂ Ă lâintĂ©rieur. Câest vraiment la place quâil faut. Alors,
je...
Ici, câest chez un pharisien riche. Voici unâun homme qui peut vraiment
faire
ça. Mais regardez ces pauvres gens. Regardez cette mÚre là avec ce
petit
enfant. Je me demande ce quâelle fait ici. Eh bien, lâenfant semble
malade. Je
me demande pourquoi elle a amené un enfant malade ici. Je ne comprends
pas
pourquoi. Eh bien, eh bien, regardez, il y a ce boiteux-lĂ , il y a cet
aveugle
aussi qui se tenait au bas de la rue, mendiant. Je me demande ce quâil
fait
ici. Quâest-ce quâil fait chez le pharisien? Je ne sais pas pourquoi il
est
ici.»
55 Puis, elle lÚve les yeux, elle dit: «Non. Non. Je...» Elle
se frotte les
yeux. «Ilâil y a quelque chose qui cloche. Jeâje ne vois certainement
pas bien.»
Elle regarde encore. Elle dit: «Câest Lui. Câest Lui. Oh ! a-t-elle
dit,
regardez-Le. Eh bien, ils... Il a dĂ» ĂȘtre invitĂ©, sinon Il ne se
retrouverait
pas Ă lâintĂ©rieur. Mais ils ne font pas cas de Lui. Et regardez quelle
mine
triste Il affiche dans le coin, assis lĂ , humble, la tĂȘte inclinĂ©e.»
56 Alors, Il se lĂšve, et Ses pieds... Son visage est sale de
sueur, Il marche,
essaie dâaller lĂ . Personne ne fait cas de Lui, comme sâIl Ă©tait un
clochard en
circulation. Et elle a dit: «Câestâcâest... suisâsuis... donc je...
jeâje dois
avoir perdu la tĂȘte ce soir.» Elle a dit: «Jeâjeâje... Cela...
assurément, Ce
nâest pas ce ProphĂšte-lĂ . Oui, ça doit ĂȘtre Lui. Oh ! Il... Mais il
nâest pas
Ă©tonnant quâils ne Lâaccueillent pas. IlâIlâIl est... Il est tout
couvert de
saletĂ©. Et on ne Lui a pas lavĂ© les... On ne Lâa pas encore lavĂ©. VoilĂ
la
raison.»
57 Et elle remet son petit voile sur le visage. Elle descend la
rue, elle va
chez elle et monte le petit escalier grinçant. Elle ferme la porte.
Elle
sâavance vers un petit meuble, elle ouvre la porte. Elle fait sortir un
petit
sac Ă peu prĂšs comme ceci, peut-ĂȘtre le bout du bas. Elle sâassoit.
Cela tinte.
Câest de lâargent. Câest tout son avoir. Elle regarde ça. Elle dĂ©verse
ça sur
la table. Et les larmes lui coulent des yeux. Elle a dit: «Vous savez,
il y
avait juste quelque chose en Lui, a-t-elle dit; Il paraissait différent
du reste
de la foule.»
Je vous
assure, peu mâimporte qui vous ĂȘtes, si jamais vous regardez droit Ă
Jésus,
cela vous change. Cela vous change.
Elle a
dit: «Oh ! Je ne sais pas pourquoi je pleure.» Elle a dit: «Mais jeâje
dois
faire quelque chose pour Lui. Ce nâest simplement pas juste quâIl soit
comme
ça. Donc je... Quelque Chose en moi me dit simplement queâquâIl... Ce
nâest pas
juste. Je dois faire quelque chose à ce sujet.»
Alors,
elle prend lâargent, se dirige Ă la porte. Et elle dit: «Oh ! Je ne
peux pas
faire ça. Je ne peux simplement pas faire cela, parce quâIl est le
ProphĂšte. Il
saura dâoĂč est venu cet argent. Il saura comment je lâai gagnĂ©. Il
saura
comment jâai eu ce... Et jeâje... juste... Mais câest tout ce que jâai.
Câest
tout ce que je peux faire. Quelque chose me dit dans le coeur que je
dois le
faire.» Câest comme ça. Câest ça.
58 Les femmes ont quelque chose de différent des hommes, on
dirait. Elles
semblent parfois plus rĂ©ceptives Ă lâEsprit. Câest vrai. Et ellesâelles
semblent saisir Cela plus vite. Alors, elle a dit: «Oh ! Jeâje dois
simplement
faire cela; Quelque Chose me dit simplement que je dois le faire.»
Alors, elle
reprend le petit bat, elle enveloppe lâargent, le met dans son sein,
fait
descendre son voile, elle descend lâescalier grinçant et se dirige Ă
une
parfumerie.
59 Et quand elle est arrivĂ©e lĂ , lâun de ces gars au long nez
crochu était
assis là derriÚre, vous savez... Et ça avait été un jour mauvais,
personne
nâavait achetĂ© du parfum. Et il Ă©tait tout grincheux. Elle franchit la
porte.
Il a regardé et a dit: «Oh ! Maintenant, regardez qui est ma cliente.
Hum. Oh !
la la ! Regardez qui est ma cliente lĂ .» Il ne sây est pas pris avec la
courtoisie dâun gentleman pour dire: «Que puis-je faire pour vous?» Il
a dit: «Eh
bien, que veux-tu?»
Et elle
a dit: «Gentil monsieur.»
Il a
constatĂ© quâelle pleurait. Il sâest dit: «Pourquoi pleure-t-elle?»
60 Elle a dit: «Gentil monsieur, je veux la meilleure boßte
dâalbĂątre que vous
avez au magasin. Je nâai pas besoin dâune quelconque, mais je veux la
meilleure
que vous avez.» Câest comme ça. Donnez-Lui le meilleur que vous avez.
Il mérite
le meilleur que vous avez. Nous Lui donnons les seconds. Nous Lui
donnons le
dernier. Mais Il mĂ©rite le meilleur. Voyez? Quelque chose lâavait
touchée. Elle
avait regardé droit Jésus. Et elle a dit: «Je veux le meilleur que vous
avez.»
Nous Lui donnons le dernier que nous avons.
61 Vous prenez les premiers, vous sortez faire des dépenses,
vous passez vos
grands moments, et puis, quand vous allez Ă lâĂ©glise le dimanche matin,
vous
Lui accordez vingt-cinq cents. Mais vous allez acheter un cadeau de
cinquante
dollars à remettre aux voisins qui habitent à cÎté de vous, ou quelque
chose
comme cela, assez pour vous élever dans votre haute société, et aprÚs
vous donnez
Ă JĂ©sus le dernier. Il mĂ©rite le meilleur que vous avez. Câest tout ce
quâelle
avait. JĂ©sus mĂ©rite tout ce que vous ĂȘtes et tout ce que vous avez.
Câest la
raison pour laquelle nous nâaboutissons nulle part.
Elle a
dit: «Je veux le meilleur que vous avez.»
Il a dit:
«Eh bien, alors premiĂšrement, il me faut voir lâargent.»
62 Elle a donc dĂ©versĂ© cela. Il lâa comptĂ©. Trente piĂšces de
dinar romain,
exactement. Il plonge la main dans le carton, il prend le nard et le
lui tend,
comme cela, dans une boĂźte dâalbĂątre. Elle met cela dans son sein. Elle
sâarrĂȘte un peu. Elle sâessuie les larmes des yeux. Elle regarde Ă la
porte,
elle regarde de ce cÎté-ci et de ce cÎté-là , elle ne voit personne
venir. Elle
fait descendre son voile sur le visage.
Ilâil a
dit: «Je me demande oĂč elle peut ĂȘtre en train dâaller.»
Je
regarde, elle sort et remonte la rue Ă toute vitesse. Deux hommes se
tiennent
au coin. Ils ont dit: «Regardez, regardez, regardez, regardez,
regardez,
quâest-ce qui passe lĂ -bas?» Vous avez toujours dĂ©daignĂ© les indigents.
63 Permettez-moi de vous le dire. Avant quâil y ait une
mauvaise femme, il a
dĂ» y avoir un mauvais homme aussi. Câest vrai. Rappelez-vous, câest la
chérie
dâune maman. Et aujourdâhui, la raison pour laquelle lâĂ©glise est dans
cette
condition, câest que vous voulez de la haute classe dans votre Ă©glise.
Et vous
avez failli, lâĂ©glise manque dâaller chercher la prostituĂ©e, une fille
de
trottoir, le contrebandier de lâalcool, ce quâil y a dans la ville.
Câest lĂ
que JĂ©sus veut que nous allions. Câest lĂ quâIl veut que nous soyons,
pour les
faire entrer. Mais, oh ! nous voulons le gars qui a de lâargent, qui
peut payer
le mieux, payer les dettes de lâĂ©glise et tout comme cela. Vous
lâappelez
lâaristo [la haute croĂ»te]. Il y a beaucoup de croĂ»te Ă cela. Câest
vrai. Je ne
sais pas Ă quel point câest haut, mais il y a beaucoup de croĂ»te. Nous
devons
aller dans les haies et dans des routes, des sentiers, et les forcer Ă
venir Ă
Christ: les rejetés.
64 Elle remonte. Je la vois aller son chemin. Elle regarde Ă
lâintĂ©rieur. Elle
lĂšve les yeux par-dessus la tĂȘte des gens. Eh bien, elle dit: «Un
instant. Je
ne devrais pas faire cela. Jeâje... Il doit y avoir quelque chose qui
cloche
avec moi. Jeâjeâje suis hors de moi ce soir. Et jeâje ne peux pas
accĂ©der Ă
lâintĂ©rieur. Ils me jetteraient dehors.» Mais elle regarde encore. Il
est assis
lĂ , humblement, regardant Ses mains sales. Et les gens passaient, tous
les
autres mangeaient lâagneau, ils ne Lui en avaient point donnĂ©. Il
nâavait
jamais rien eu, on Lâa simplement laissĂ© assis lĂ . Et Il Ă©tait assis
lĂ , Ă la
fĂȘte. Et, eux tous Ă©taient Ă table, comme ils sâĂ©tendaient et
mangeaient lĂ ...
Câest bien pour vos garçons, voyez donc. En Palestine, on mange couchĂ©,
comme
ceci, on se couche sur un divan. Ainsi donc, eux tous mangeaient
couchés, et le
pauvre Jésus restait simplement assis là , regardant...
65 Elle a dit: «Oh ! Si jâentre, le pharisien me chassera.
Câest tout.» Elle a
dit: «Mais jeâje ne peux pas supporter cela. Jeâje ne peux simplement
pas supporter
cela. Regardez lâair quâIl a. Regardez ces yeux tristes, alors quâIl
regarde de
cÎté.» Elle a regardé là , elle a vu Pierre, Jacques et les autres,
debout lĂ ,
en train simplement de se pavaner. Il regarde Pierre et les autres, Il
regarde
encore lĂ , attendant simplement.
66 Elle a dit: «Je ne peux simplement pas supporter cela
davantage.» Alors,
elle a dit: «Je dois y entrer. Mais moi, si jây entre, moi, une femme
de mon
genre, passer devant Lui, eh bien, je ne peux pas le faire.» Peu aprÚs,
elle a
dit: «Mais je me rappelle en GalilĂ©e, je Lâavais entendu dire ceci:
âVenez Ă
Moi vous tous qui ĂȘtes chargĂ©s et fatiguĂ©s, Je vous donnerai du repos.
Que
celui qui veut vienne.â» Elle a dit: «AssurĂ©ment que cela me concerne
donc. Si
quelquâun veut, câest moi. Et je suis certainement chargĂ©e, chargĂ©e de
fardeaux. Il mâa dit de venir. Alors, me voici aller.» Jâaurais bien
voulu que
vous ayez ce genre de pensée ce soir.
Elle
sâest directement frayĂ© une voie dans la foule de pharisiens, sur son
chemin
vers Jésus, en jouant des coudes.
Que Dieu
nous aide ce soir. Disons: «Je me fraye un chemin en jouant des coudes
au
travers de toutes ces pensĂ©es raides et du dĂ©gourdissement de lâĂ©glise
aujourdâhui pour arriver Ă Christ.» Amen. Oui, oui.
67 Elle a directement dépassé les pharisiens, les poussant de
part et dâautre.
Elle est directement allĂ©e lĂ oĂč Il Ă©tait. Elle a cassĂ© la boĂźte
dâalbĂątre,
elle a dĂ©versĂ© cela sur Lui, elle sâest prosternĂ©e par terre, Ă Ses
pieds, et
elle sâest mise Ă pleurer. Et elle tapotait Ses pieds. Et on dirait
donc
quâelle... elle Ă©tait un peu hors dâelle. Elleâelle pleurait, elle
sâest mise Ă
frotter Ses pieds et [FrĂšre Branham produit le bruit dâun
baiser.âN.D.E.] Lui
baisait les pieds, et... Eh bien, elle était à la Fontaine de la Vie.
Elle
Ă©tait Ă lâunique endroit oĂč elle pouvait donc trouver de lâassistance.
Il nâest
pas Ă©tonnant quâelle soit devenue hystĂ©rique. Il nâest pas Ă©tonnant
quâelle fĂ»t
hors dâelle. Que Dieu nous aide Ă ĂȘtre assez longtemps hors de
nous-mĂȘmes pour
ĂȘtre aprĂšs tout sauvĂ©s.
68 Je me rappelle quand je fus sauvĂ©. JâĂ©tais hors de moi. Je
ne faisais pas
cas du vieux programme empesĂ© et rituel, pas plus quâelle nâen faisait
cas.
Elle est entrĂ©e en trombe dans la fĂȘte. Elle est allĂ©e de lâavant, car
elle
tenait Ă ĂȘtre sauvĂ©e. Nous avons des gens comme cela, avec une telle
dĂ©termination, vous allez ĂȘtre sauvĂ©. Oui, oui.
69 Elle interrompait la fĂȘte, mais qui se prĂ©occupe de la fĂȘte?
Elle était en
voie dâĂȘtre sauvĂ©e. Elle allait auprĂšs de JĂ©sus. Et voici, elle se
tient lĂ -bas,
Lui baisant les pieds, Lui frottant les pieds, les larmes lui coulant
sur les
joues, baignant simplement, elle ne pouvait simplement pas supporter
cela. Elle
Lui frottait les pieds, juste auprĂšs de la Fontaine de la Vie. Il nâest
pas
Ă©tonnant quâelle se soit sentie comme elle sâĂ©tait sentie. Il nâest pas
Ă©tonnant quâelle ne se soit jamais tenue devant un homme auparavant et
ne se
soit jamais sentie ainsi. Les larmes ne faisaient que couler sur les
joues.
Elle Lui frottait les pieds, elle devint hystérique. Elle Lui frottait
les
pieds et [FrĂšre Branham reproduit le bruit dâun baiser.âN.D.E.] Lui
baisant les
pieds, et... Vous savez, Jésus...
70 La Bible déclare: «Embrasse le Fils.» Est-ce exact? Et ils
étaient là , ils
ne Lui avaient pas donné le baiser de bienvenu, ils ne Lui avaient pas
lavé les
pieds. Mais elle les Lui lavait avec ses larmes. Quelle belle eau
câĂ©tait, qui
lavait les pieds sales de JĂ©sus, les larmes de cristal dâune pĂ©cheresse
qui se
repentait, lavant les pieds du Seigneur JĂ©sus. AllĂ©luia ! Quelquâun va
Lâaccueillir. Quelquâun va venir auprĂšs de Lui. Gloire Ă Dieu ! Mon
coeur brûle
lorsque jây pense, les larmes de repentance coulant des yeux dâune
pécheresse,
lavant les pieds sales de JĂ©sus. Oh ! la la ! Laver quoi? Il nâest pas
Ă©tonnant. Et il nây a pas meilleur, il nây a pas meilleur, pas meilleur
endroit
au monde... Je crois que JĂ©sus sâest senti un peu plus Ă lâaise alors.
Il se
sent toujours plus Ă lâaise prĂšs de quelquâun quiâqui Lâaime. Vous
aussi,
chaque fois.
71 Et Il était là , elle Lui lavait les pieds. Et elle baisait
Ses pieds. Et
elleâelle fut tellement hors dâelle quâelle eut les cheveux
complĂštement
défaits, comme cela, vous savez, et elle Lui lavait les pieds comme
cela et les
Lui baisait. Et peu aprĂšs, ses cheveux se sont dĂ©faits. Elle sâest
servi de ses
cheveux et sâest mise Ă âĂ Lui essuyer les pieds, Ă les baiser, et Ă Lui
essuyer
les pieds. Et ses cheveux sâĂ©taient dĂ©faits.
72 Eh bien, câest lâunique chose dĂ©cente quâil y avait chez
elle: sa
chevelure. La Bible déclare: «La chevelure a été donnée à la femme pour
sa
gloire.» Câest vraiment dommage que vous coupiez votre gloire. Câest
vrai. Je
suis toujours assez Ă lâancienne mode pour croire que câest la Bible,
et câest
vrai. Vous agissez mal en faisant cela. Cela peut écorcher un peu,
beaucoup de
prĂ©dicateurs... Sâils me jettent dehors, je prĂȘcherai dans la rue. Et
Dieu,
Lui, ne va pas faire cela de toute façon.
73 Mais permettez-moi de vous dire quelque chose. Beaucoup
parmi vous les
femmes ce soir passeraient un temps horrible Ă faire cela; vous vous
tiendriez
sur votre tĂȘte pour le faire. Honte Ă vous ! La Bible dĂ©clare: «La
chevelure a
été donnée à la femme pour sa gloire.» Et les droits de la Bible, on
reconnaĂźt
Ă tout homme le droit de divorcer et de quitter sa femme si elle se
coupe les
cheveux. Câest la Bible. Câest AINSI DIT LE SEIGNEUR. Câest vraiment
dommage
que vous vous Ă©loigniez de la formation Ă lâancienne mode, nâest-ce pas?
On
chantait un cantique autrefois: «Nous avons laissé tomber les
barriĂšres, nous
avons fait des compromis avec le péché. Nous avons laissé tomber les
barriĂšres,
et les brebis sont sorties, mais comment les chĂšvres sont-elles
entrées?» Vous
avez simplement laissĂ© tomber les barriĂšres; câĂ©tait tout.
Et elle
Ă©tait lĂ avec sa gloire. Quâavait-elle? Tout ce quâelle avait Ă©tait aux
pieds
de Jésus. Et chaque fois que vous en arrivez à déposer tout ce que vous
avez Ă
Ses pieds, toute votre gloire...
[Espace
vide sur la bandeâN.D.E.]... tout lâargent, tout ce quâelle avait, le
nard et
lâhuile Ă©taient dĂ©versĂ©s, toute la bouteille pleine sur Lui. Elle
nâavait rien
Ă©pargnĂ©. Elle avait tout dĂ©versĂ© sur Lui. Câest ainsi quâil vous faut
venir
vers Lui. Rendez-Lui toute la gloire. Déversez toute la gloire sur Lui.
Déposez
toutes choses. AllĂ©luia ! Câest pourquoi nous nâarrivons pas Ă avoir un
réveil,
câest parce que nous sommes avares avec ça. Amen. Il vous faut partager
une
partie de votre gloire avec quelque chose dâautre. Sortir...
Mademoiselle
Jones, vous savez, elle porte ce genre dâhabit. Elle fait ceci. Oh !
Vous
pharisien ! Vous marchez, vous voulez imiter quelquâun dâautre. Il
nâest pas
Ă©tonnant que JĂ©sus nâarrive pas Ă parcourir cette nation avec un
réveil.
74 Je ne sais pas ce qui cloche avec moi ce soir. Mais câest la
vérité. Trop
empesé, trop raide, trop froid, trop indifférent, vous partagez avec
les
autres. Vous partagez avec le diable. Câest la raison pour laquelle
vous ne le
pouvez pas. Câest la vĂ©ritĂ©. Si jamais je ne vous revois, je vous
rencontrerai
au Jugement avec un coeur pur. Je sais que câest la vĂ©ritĂ©. Vous y
ĂȘtes.
Mais
cette pauvre mortelle, elle Lui lavait les pieds et les essuyait avec
sa
gloire. Quelle place ! Quel temps ! Jâaurais bien voulu ĂȘtre lĂ . Jâaime
rester
lĂ oĂč elle se tenait. Oh ! la la ! Quel temps elle a passĂ© Ă Lui laver
les
pieds, se servant de sa gloire pour essuyer Ses pieds, et les larmes
coulaient,
les larmes de cristal de la repentance pour laver ! Et elle les
frottait, Lui
baisait les pieds, vraiment hors dâelle.
75 Vous direz: «Quâest-il arrivĂ© Ă la fĂȘte?» Qui se prĂ©occupe
de ce qui était
arrivĂ© Ă la fĂȘte? Une pĂ©cheresse est venue Ă Dieu. Amen. Le problĂšme
aujourdâhui, câest que nous avons trop de routines formalistes. Les
pécheurs
nâarrivent pas Ă atteindre Dieu sur ce genre de fondements. AllĂ©luia !
Oh !
Cette pauvre pécheresse avec des larmes de repentance lui coulant sur
les
joues, tombant sur Ses pieds, elle les lavait avec ses mains et les
baisait
avec ses lĂšvres, se servant de sa gloire pour Lui essuyer les pieds.
Quel beau
tableau ! JĂ©sus sâest alors senti bien Ă lâaise.
76 Oh ! Quâen est-il du pharisien? Oh ! La fĂȘte sâest arrĂȘtĂ©e.
Assurément.
Lâembarras. Oh ! Je peux voir ce pharisien-lĂ . VoilĂ le pĂ©cheur, pas la
femme,
le pharisien. Le pĂ©chĂ©, câest lâincrĂ©dulitĂ©. Cette femme Ă©tait une
croyante. Le
pharisien était tout religieux, mais il était le pire pécheur du pays.
Et câest
toujours le pire pĂ©cheur que le monde ait eu... Câest lâĂ©glise raide,
empesée
et rĂ©trograde; le pasteur, de mĂȘme. AllĂ©luia !
77 Vous allez me haĂŻr aprĂšs cela, mais câest Dieu qui me dit de
le dire; ça y
est donc. Amen. Ăa y est. Câest lui le pĂ©cheur, cette personne empesĂ©e.
Cette
pauvre femme, aprÚs Lui avoir lavé les pieds... Le pharisien se tenait
lĂ avec
un... [FrĂšre Branham produit un bruit pour imiter le pharisien.âN.D.E.]
... Oh
! la la ! Je peux voir son visage rougir et ensuite pĂąlir autour des
lĂšvres. Oh
! la la ! Il était furieux.
Il a dit:
«Eh bien, voyez-vous, Jones, vous tous?» Il a dit: «Voyez-vous? Si cet
Homme
était un ProphÚte ou un voyant, comme Il le prétend, Il aurait su quel
genre de
femme est-ce.» Ha, comme Il ne le savait pas ! Il a dit: «Il aurait su
quel
genre de femme câĂ©tait.» Il a dit: «Eh bien, elle va ruiner sa
réputation.» Eh
bien, la réputation de Jésus se fait parmi les pécheurs. Assurément, ce
sont
eux qui Le recevront. Sa réputation ne peut pas se faire devant vous
qui ĂȘtes
empesés, raides et indifférents, et qui lisez un vieux rite comme cela,
et vous
appelez cela la prĂ©dication de lâEvangile. Comment diantre va-t-Il
avoir une
rĂ©putation auprĂšs de vous? Vous avez votre rĂ©putation dans lâĂ©glise.
Amen.
78 Le voilĂ . Il a dit: «Vous voyez, sâIl Ă©tait un Voyant, sâIl
était un grand
Homme, Il aurait su que cette femme qui Le touche était une pécheresse,
voyez?
Câest prĂšs de Lui.»
Quâarriva-t-il?
Regardons. Oh ! la la ! Elle est simplement hors dâelle. Si JĂ©sus avait
bougé
un pied? Elle se serait relevĂ©e dâun bond. Non, Il est restĂ©
parfaitement calme
et lâa observĂ©e. Je pense quâIl se sentait trĂšs bien avec ça. Il
observait
cette pécheresse qui se repentait.
Peu
aprÚs, il a dit: «Vous voyez, vous voyez.»
Maintenant,
suivez. PremiĂšrement, Il bouge de cĂŽtĂ©, Il redresse la tĂȘte. Il lĂšve
les yeux.
La femme sâarrĂȘte, Ă moitiĂ© relevĂ©e. Regardez sa chevelure qui pendait
de cÎté
sur son visage, avec les saletés enlevées des pieds de Jésus, avec de
lâhuile
sur toutes ses lĂšvres et son visage. Elle Le baisait, Lui baisait les
pieds.
Elle se tient là , le regard fixe là . Jésus est sur le point de parler.
Elle Le
regarde droit en face. Il baisse le regard vers elle. Puis, Il tourne
le regard
vers le pharisien. Et Il a dit: «Simon, jâai quelque chose Ă te dire.»
Oh ! la
la ! Suivez ça, ce qui arrivera aussi au Jugement.
79 «Simon, jâai quelque chose Ă te dire. Docteur Simon, tu Mâas
invité par
ici. Et quand Je suis arrivĂ© sur ton invitation, tu ne Mâas point donnĂ©
de
lâeau pour me laver les pieds. Tu ne Mâas point oint le visage et les
mains
avec lâhuile. Tu ne Mâas point donnĂ© de baiser, Simon. Tu ne Mâas pas
aimé,
Simon. Si tu Mâavais aimĂ©, tu Mâaurais lavĂ© les pieds. Si tu Mâavais
aimé, tu
Mâaurais oint. Si tu Mâavais oint, si tu Mâavais aimĂ©, Tu Mâaurais
donné un
baiser, mais tu ne Mâas point souhaitĂ© la bienvenue.»
Oh ! Ce
pharisien, trĂšs potelĂ©, cette crĂ©ature rondelette... Câest pareil
aujourdâhui. «Oh
! Avec tous les diplÎmes?» Oui.
Il a dit:
«Tu ne Mâas pas donnĂ© de baiser.»
Oh !
Jâaurais bien voulu Le baiser. «Baisez le Fils, dit la Bible, de peur
quâIl ne
sâirrite.» Baisez-Le.
Il a dit:
«Tu ne Mâas pas donnĂ© de baiser. Mais cette pauvre femme, depuis
quâelle est
entrée, elle ne cesse de Me baiser les pieds, elle les a lavés avec ses
larmes,
elle les a essuyĂ©s avec les cheveux de sa tĂȘte.» Ă Dieu ! «Et cette
petite
femme, elle Mâa lavĂ© les pieds avec ses larmes. Elle les a essuyĂ©s avec
ses mains,
avec ses cheveux. Et elle ne Mâa pas baisĂ© le...?... Mes pieds.»
80 Elle se tient lĂ . Elle ne sait quoi faire. Elle a les yeux
fixes. Puis, Il
se retourne et la regarde. Oh ! la la ! Il a dit: «Et Je lui dis: âSes
nombreux
pĂ©chĂ©s lui sont tous pardonnĂ©s.â» [FrĂšre Branham pleure.âN.D.E.] Câest
ce que
je veux quâIl me dise. «Ses nombreux pĂ©chĂ©s lui sont tous pardonnĂ©s.»
...?...
Je ne peux plus prĂȘcher.
81 Inclinons la tĂȘte une minute. [Un frĂšre parle en
langues.âN.D.E.]
Lâaimez-vous? Lâaimez-vous? Que va-t-Il faire de vous, frĂšre, au
Jugement? Vous
pouvez donc ĂȘtre trĂšs religieux. Je prĂ©fĂ©rerais Lâentendre dire cela
plutĂŽt
que...?... le monde. Jâaimerais me tenir lĂ . Jâaurais bien voulu me
tenir lĂ .
Un jour, jâaimerais me tenir Ă Ses cĂŽtĂ©s. Il dira: «Eh bien... Câest
bien, Mon
bon et fidĂšle serviteur. Tu as Ă©tĂ© fidĂšle. Tu tâĂ©tais tenu au poste du
devoir.
Tu nâas pas Ă©vitĂ© cela. Tu as dit la vĂ©ritĂ©. Peu importe ce que cela
coûtait,
tu as dit la vĂ©ritĂ©. Câest donc bien.» Câest ce que jâattends, non pas
une meilleure
voiture, une meilleure position; jâai besoin de Lui. Tout ce que
quelquâun peut
dire Ă votre sujet, cela importe peu.
82 Je me demande, avec nos tĂȘtes inclinĂ©es juste une minute...
Lâorganiste,
voudriez-vous nous donner un petit accord lĂ , sâil vous plaĂźt? Je me
demande ce
soir sâil y a quelquâun ici comme cette femme-lĂ . Vous nâavez pas Ă
ĂȘtre... Il
se peut que vous ne soyez pas une prostituĂ©e, mais vous pouvez ĂȘtre une
prostituée à un niveau plus élevé... La prostitution ne veut toujours
pas dire
que câest par le sexe. Vous pouvez prostituer votre temps. Vous pouvez
prostituer votre foi, sortir et adhérer à un culte, ou ... une église
vendue...
froide et formaliste. Vous ĂȘtes une prostituĂ©e. Vous lâĂȘtes. Vous ĂȘtes
tout
aussi coupable quâelle. Mais le mĂȘme Seigneur JĂ©sus qui lui avait
pardonné a la
mĂȘme misĂ©ricorde qui plaide pour vous ce soir.
83 Voudriez-vous venir ici vous tenir Ă lâautel avec moi juste
une minute?
Quelquâun peut-ĂȘtre qui descendra ici Ă lâautel pour dire...?... «Je
veux
accepter Christ comme mon Sauveur?» Voudriez-vous lever la main
premiĂšrement
pour dire: «Priez pour moi, FrÚre Branham»?
84 Voulez-vous dire quâil nây a pas un pĂ©cheur dans la salle?
Que Dieu vous
bénisse, monsieur. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse, frÚre.
Vous
aimez la guĂ©rison divine, nâest-ce pas? AssurĂ©ment, le poisson, les
pains et
les poissons. Mais quand on en arrive Ă venir Ă Lui, vous rentrez dans
votre
carapace. Il vous faut ressortir.
Oh ! Ils
disent: «Eh bien, je ne connais pas cette affaire.» Vous feriez mieux
de faire
attention. Jâentends la sirĂšne de cette ambulance tout le temps la
nuit. Chaque
fois que vous passez Ă cĂŽtĂ© dâun cimetiĂšre, rappelez-vous, votre numĂ©ro
est lĂ .
Et lâĂ©ternitĂ© est lĂ , et vous allez vous tenir devant Lui un jour. Vous
ne
pourrez pas vous repentir alors. Câest maintenant votre temps de le
faire.
Allez-vous lever la main pour dire: «à Dieu, sois miséricordieux envers
moi.
Jâaccepte maintenant JĂ©sus, maintenant mĂȘme comme mon Sauveur»?
Que Dieu
te bénisse, mon garçon. Que Dieu vous bénisse, frÚre. Que Dieu vous
bénisse,
soeur.
Quelquâun
dâautre qui lĂšve la main pour dire: «à Dieu, sois misĂ©ricordieux envers
moi.
Jâai besoin de JĂ©sus aujourdâhui.» Que Dieu vous bĂ©nisse. Que Dieu te
bénisse,
fils. Que Dieu vous bĂ©nisse, maman. Quelquâun dâautre? Que Dieu vous
bénisse,
là -haut au balcon. Oui, je vous vois, frÚre. Que Dieu vous bénisse. Que
Dieu
vous bénisse, jeune fille. Que Dieu vous bénisse, monsieur.
85 Oh ! Je sais que vous pouvez avoir commis des fautes, mais
Il vous aime. Il
se tient avec un bras ouvert. Il veut que vous veniez. Venez simplement
tel que
vous ĂȘtes.
Je vous
vois là -haut au balcon, soeur. Je vous vois. Que Dieu vous bénisse.
Nâoubliez
jamais cela. Vous avez levĂ© la main vers ce mĂȘme JĂ©sus Qui avait les
pieds
sales.
Il y a
plusieurs annĂ©es que cela sâĂ©tait passĂ©. Et, ma bien-aimĂ©e soeur, mon
bien-aimé
frĂšre, cela arrive ici mĂȘme dans cette ville, ici mĂȘme ce soir, oh ! il
y
a...?... Ils ne veulent pas penser quâIl a dit cela. Je sais que si
jâĂ©tais Ă
votre place, jâirais droit vers Lui et je dirais: «Seigneur JĂ©sus,
pardonne-moi
mes pĂ©chĂ©s. JâenlĂšverai la saletĂ©. Je suivrai le chemin avec les
quelques
méprisés qui suivent le Seigneur. Je le ferai.»
86 Quelquâun dâautre qui nâa pas levĂ© la main, qui aimerait
lever la main pour
dire: «JĂ©sus, câest moi. Je viens maintenant»? Que Dieu vous bĂ©nisse
lĂ ,
monsieur. Vous ici, que Dieu vous bénisse, petite fille.
87 Y a-t-il quelquâun dâautre qui lĂšve la main? Je me demande
pendant que nous
sommes... Que Dieu vous bénisse, mon frÚre. Si vous croyez et que vous
voyez
ici dans la salle, lors du service de guérison, comment Dieu a guéri
les
malades, comment Il connaĂźt les secrets de votre coeur... Je sais quâil
y a une
douzaine ou plus ici qui devraient lever la main. Je le sais.
Oh !
Vousâvous prĂ©tendez ĂȘtre un chrĂ©tien, oui, mais ce nâest pas ce dont je
parle.
Le pharisien aussi le prétendait. Je vous lance une invitation.
Avec vos
tĂȘtes inclinĂ©es, pendant que le piano, ou lâorgue est en train de
jouer, que
chacun de vous qui a levĂ© la main, et vous qui ne lâavez pas fait, ne
voudriez-vous pas descendre et vous tenir ici juste une minute pour un
mot de
priĂšre? Ne voudriez-vous pas sortir directement de votre siĂšge? Venez
directement ici et tenez-vous ici. Si Dieu exauce ma priĂšre pour ouvrir
les
yeux des aveugles, faire recouvrer la vue Ă ceux qui nâavaient jamais
vu, les
oreilles des sourds, et les affligĂ©s, et sâIl fait cela, certainement
quâIl
guérira votre ùme. Mon ùme est émue ce soir. Oh ! Il est ici.
88 Que Dieu vous bénisse, frÚre. Que Dieu vous bénisse, soeur.
Quelquâun
dâautre, levez-vous directement: «Jâabandonne tout. Tout Ă Toi mon
Sauveur
bĂ©ni, jâabandonne tout.»
Voudriez-vous
venir directement ici, vous tenir juste de ce cĂŽtĂ©-ci? Ăa peut ĂȘtre la
derniĂšre
fois pour vous de jamais avoir une invitation. Peut-ĂȘtre que vous nâen
aurez
plus jamais, vous ne serez plus jamais capable de le faire. Ăa peut
ĂȘtre le
bout du chemin pour vous trĂšs bientĂŽt. Pourquoi ne venez-vous pas
maintenant
vous tenir ici?
89 Que Dieu vous bénisse. Que Dieu te bénisse, fils. Tenez-vous
simplement ici
mĂȘme, sâil vous plaĂźt. Quelquâun dâautre? Que Dieu te bĂ©nisse, petit
garçon.
Regardez le petit garçon descendre, dâenviron douze ans. Honte Ă
certains parmi
vous les vieux, au coeur endurci, sali et noir. Les statistiques
démontrent que
quatre-vingt-dix-huit pour cent de gens sont sauvĂ©sâsont sauvĂ©s avant
dâatteindre vingt et un ans. Vous devenez tellement Ă©tabli dans vos
voies, et
vous pensez ĂȘtre dans le vrai. «Telle voie paraĂźt juste.»
Voudriez-vous
venir? Ne voudriez-vous pas vous frayer le chemin ici Ă lâautel?
Regardez-les
sâagenouiller ici ! Venez ici. Que Dieu vous bĂ©nisse, jeune fille.
LĂ -haut au
balcon, vous qui avez levé la main, voudriez-vous descendre?
Je vous
donne une invitation Ă venir au mĂȘme JĂ©sus-Christ, devant qui vous
allez un
jour de toute façon vous incliner. Vous allez soit mourir comme un
pécheur,
sans misĂ©ricorde, sans misĂ©ricorde alors... Câest aujourdâhui le jour
de la
miséricorde. Rappelez-vous, quand un jour rencontrera un autre, le jour
oĂč...?... Et quand ce jour de grĂące rencontrera JĂ©sus-Christ, ce sera
le jour
de Jugement aprĂšs cela. Câest vrai.
90 Descendez directement. Câest bien. Que Dieu vous bĂ©nisse.
Quatre jeunes
gens viennent au Seigneur. Amen. Peu importe ce que sont vos péchés,
frĂšre,
soeur, Jésus est ici pour vous pardonner.
La
petiteâla petite dame vient, elle se dĂ©pĂȘche, elle vient Ă lâautel.
Câest ainsi
quâil faut venir. Câest ainsi quâil faut venir directement. Que Dieu
vous
bĂ©nisse, câest bien. Beaucoup parmi vous autres, vous avez besoin de
votre
place ici mĂȘme. Ne voudriez-vous pas venir?
Quâen
est-il du frÚre qui avait levé la main? Vous étiez réellement sérieux
lĂ -dessus, nâest-ce pas, frĂšre? Nâest-ce pas, soeur? NâĂ©tiez-vous pas
réellement sérieux là -dessus? Descendez maintenant et agenouillez-vous
ici Ă
lâautel avec nous. Allez-vous le faire? Venez pendant que je vous
confie au
Seigneur JĂ©sus, vous promettant ceci, quâIl vous pardonnera chaque
péché.
Voudriez-vous venir? Que Dieu vous bénisse.
91 Plusieurs viennent, ils descendent du balcon. Câest bien.
Descendez
directement. Nous vous attendons. Descendez directement. Descendez
maintenant
mĂȘme, autour de lâautel, il y a beaucoup de places. Il y a de la place
Ă la Fontaine
pour moi, beaucoup de places. Venez directement maintenant. Que Dieu
vous
bĂ©nisse, frĂšre qui avait levĂ© la main. Ils lâont aidĂ© lĂ derriĂšre. Que
Dieu
soit misĂ©ricordieux. Câest comme ça. Venez directement. Ne laissez pas
Satan
vous dĂ©rober. Ne laissez pas la foule Ă lâextĂ©rieur, ne laissez pas
leâle monde
aujourdâhui vous dĂ©rober. Venez. Que Dieu vous bĂ©nisse, frĂšre,
descendez
directement Le rencontrer.
92 Maintenant, chantez doucement: Jeâjâabandonne tout.
Voulez-vous mâaider
ici, FrĂšre Gordon, sâil vous plaĂźt? [FrĂšre Branham parle pendant que le
conducteur des chants chante.âN.D.E.] Ne voudriez-vous pas venir...?...
Tout à Toi, mon Sauveur béni,
Jâabandonne tout.
Etes-vous
rĂ©ellement sĂ©rieux lĂ -dessus? Etes-vous prĂȘt Ă abandonner votre Ă©glise
pour
Jésus? Voudriez-vous abandonner votre qualité de membre pour devenir un
ami?
Voudriez-vous abandonner votre lettre de recommandation pour avoir
votre lettre
écrite dans les cieux? Voudriez-vous le faire? Que Dieu bénisse cet
homme et
sa... la femme, ils viennent ici ce soir. Le geste le plus glorieux
quâils
aient jamais posĂ© dans toute leur vie, câest de venir maintenant mĂȘme
accepter
le Seigneur JĂ©sus. Oh ! Que câest magnifique ! Que câest merveilleux !
93 Jésus a dit: «Je ne rejetterai pas celui qui vient à Moi.
Celui qui écoute
Mes Paroles et qui croit en Celui qui Mâa envoyĂ© a la Vie Eternelle.» Y
en
a-t-il encore quelques-uns...?... Venez.
Venez.
Oui, câest vous. Câest bien. Câest vous. Venez directement. Amen.
Beaucoup
parmi vous aussi, venez. Voulez-vous venir maintenant mĂȘme pendant que
nous
attendons?
Jâabandonne tout,
Tout à Toi, mon Sauveur béni,
Jâabandonne tout
94 «Je Te donnerai tout ce que je suis, tout ce que jâai, tout
mon orgueil,
tout ce que jâai, je Te lâabandonne ici Ă lâautel. Sois seulement
miséricordieux envers moi, Dieu bien-aimé. Je veux que mes larmes
enlĂšvent les
taches. Je veux que Ton Sang ĂŽte ma tache.» Quâest-ce qui fera cela?
Rien que
le Sang de Jésus. Ne voudriez-vous pas venir pendant que nous attendons
juste
un peu plus longtemps? En effet, je me sens contraint. Vous savez que
je ne
suis pas un fanatique. Vous le savez. Mais je trouve effectivement
quâil y en a
beaucoup ici qui devraient ĂȘtre ici Ă cet autel maintenant mĂȘme.
95 RĂ©trograde, quâen est-il de vous? Vous ĂȘtes loin de Dieu. Si
vous mourez,
vous ĂȘtes perdu. Venez. Câest maintenant votre temps. Venez. Il y a de
la place
pour vous. Ne voulez-vous pas venir?
Nous
chantons encore une fois maintenant. Pendant que nous chantons Jâabandonne Tout, quelquâun dâautre
voudra-t-il venir en ce moment-ci? TrĂšs bien.
Jâabandonne tout,
Jâabandonne tout,
Tout à Toi, mon Sauveur béni,
Jâabandonne tout.
Jâabandonne tout.
Jâabandonne tout.
Tout à Toi, mon Sauveur béni,
Jâabandonne tout.
Je... (Allez-vous
le faire?)
[FrĂšre
Branham demande aux gens de venir Ă lâautel pendant que lâassemblĂ©e
chante.âN.D.E.] ...?... Venez...?... la bĂ©nĂ©diction du Saint-Esprit,
venez.
Tout à Toi, mon Sauveur béni,
Jâabandonne tout.
Est-ce
fini avec vous? Etes-vous sĂ»r? Y en a-t-il dâautres ici maintenant
mĂȘme?
Chantons Tel que je suis, soeur.
Donnez-nous lâaccord lĂ .
Tel que je suis, peu importe ce que vous
avez fait.
Tel que je suis, sans aucune défense,
Sinon Ton Sang qui a été versé pour moi,
Et Tu mâinvites Ă venir Ă Toi,
Ă Agneau de Dieu, je viens ! je viens !
Tenons-nous
debout pendant que nous chantons cela. Descendez maintenant lâallĂ©e.
... Tel que je
suis, sans aucune défense,
Sinon Ton Sang...
(Voulez-vous directement venir maintenant?)
Fut versé...
(Descendez directement Ă lâautel...?... Descendez directement. Oh !
Venez.)
Tu mâinvites Ă venir Ă Toi,
Ă Agneau de Dieu, je viens ! je viens !
Tel que je suis, sans attendre (Ecoutez !)
De dĂ©barrasser mon Ăąme... (Combien?) dâune seule tache noire,
A Toi, dont le Sang peut purifier chaque tache,
Ă Agneau de Dieu, je viens ! je viens !
96 Doucement maintenant, soeur. Inclinons la tĂȘte maintenant
alors que nous
fredonnons ceci. [FrĂšre Branham se met Ă fredonner.âN.D.E.] Notre PĂšre
céleste,
autour de cet autel maintenant mĂȘme il y a beaucoup de pĂ©cheurs. Ils se
prosternent aux pieds du Seigneur Jésus. Tu as dit: «Nul ne peut venir
Ă Moi si
Mon PĂšre ne lâattire. Et tous ceux qui viendront, Je leur donnerai la
Vie
Eternelle, et Je les ressusciterai aux derniers jours.»
Tu lâas
promis, Seigneur. Beaucoup dâentre eux se tiennent ici, juste comme
cette
pauvre prostituée qui se tenait à Tes pieds, Te rendant un service,
Seigneur.
Et puis,
Toi, Tu Tâes retournĂ©, Tu lâas regardĂ©e et Tu as dit: «Tes nombreux
péchés te
sont tous pardonnés.» Tu ne fais acception de personne. Tu feras de
mĂȘme pour
eux, Seigneur. Je Te prie dâaccorder cela ce soir.
97 Beaucoup dâautres lĂ dans lâassistance, dans le... en dehors
de lâautel,
Seigneur, qui devraient ĂȘtre ici ce soir, donnant leur Ăąme ici, ils se
sont
éloignés de Dieu. Ils sont devenus empesés et indifférents. Ils sont
simplement
devenus formalistes et ils se sont Ă©loignĂ©s de Toi. Ils Tâont vu cette
semaine
entrer dans cette ville, accomplir des signes, des prodiges et des
miracles
pour prouver que Tu es ressuscitĂ© dâentre les morts. Tu te tiens ici ce
soir
avec des bras étendus. Tu es... Tu me brises le coeur, Î Dieu, quand je
pense Ă
Toi. Tu te tiens ici, suppliant et implorant les gens.
98 Ă Dieu, je ne sais pas ce qui cloche avec moi ce soir. Mais
je prie, ĂŽ
Dieu, que nâimporte qui que Tu appelles aussi ici, quâil ne sorte pas
dâici
sans Tâavoir trouvĂ© ce soir. Mon coeur est profondĂ©ment chargĂ© pour une
raison
quelconque. Je ne sais pas. Je prie, bien-aimé Jésus, encore une fois,
jâappelle.
Que cette personne, si elle nâest pas dĂ©jĂ ici Ă lâautel, vienne vite,
Seigneur. Accorde-le. Câest peut-ĂȘtre son dernier appel. Tu as vraiment
attristĂ© mon coeur pour une raison. Je Te prie dâaccorder cela au Nom
de Jésus.
99 Que tout le monde soit en priĂšre, sâil vous plaĂźt. JâĂ©prouve
juste un
sentiment étrange ce soir, il y a quelque chose qui cloche. Quelque
chose
cloche quelque part. Quâest-ce qui cloche? Venez. Que tout le monde
sonde son
coeur. Voyez donc ce qui cloche, alors que nous chantons encore une
fois.
Pendant que nous chantons, venez donc. Dieu parle Ă quelquâun, je le
sais...?... Que Dieu vous bénisse.
... sans attendre,
De dĂ©barrasser mon Ăąme dâune seule tache noire,
A Toi, dont le Sang peut purifier chaque tache,
Ă Agneau de Dieu, je viens ! je viens !
Tel que je suis, Tu me recevras,
Mâaccueilleras, me pardonneras, me purifieras, me soulageras
Parce que je crois Ta promesse,
O Agneau de Dieu, je viens ! je viens !
Pendant
que nous chantons ce couplet suivant comme le dernier couplet,
jâaimerais que
les prĂ©dicateurs viennent ici et prient avec nous, sâil vous plaĂźt. Les
membres
du clergĂ© ici dans lâĂ©glise, qui croient Ă lâappel Ă lâautel Ă
lâancienne mode,
il y en a vingt ici qui sont venus, trente qui se sont agenouillés, des
pécheurs qui se repentent de leurs péchés. Si vous voulez bien venir,
vous
tenir Ă lâautel et prier avec eux; allez-vous le faire? Voulez-vous
venir
maintenant pendant que nous chantons ce couplet suivant? Tout
travailleur
chrétien qui sait... qui a le fardeau des ùmes sur son coeur. Si vous
nâen avez
pas, vous devriez en avoir. Dieu sait que vous devriez en avoir.
100 Je charge...
je vous demande de venir ce soir et dâobtenir une vĂ©ritable PentecĂŽte Ă
lâancienne mode; ensuite, observez ce que Dieu fera demain soir dans le
service
de guérison. Vous avez redressé cette chose et...?... ici. Vous avez
arrangé
cette chose et observez ce que Dieu fera. Faites simplement cela. Je
vous
défie.
Câest
trÚs rare que je sois emporté comme ceci, mais il y a quelque chose qui
fait
ça, quelque chose qui me secoue. Et je me sens trÚs contraint. Et je
mâintĂ©resse beaucoup Ă cet appel, je sens quâil y en a dâautres ici qui
devraient se répandre à cet autel ici; mon coeur est toujours
surchargé.
Et si je
suis serviteur de Dieu, et sachant que je sais que ceci vient de Dieu,
je le
dis au Nom de JĂ©sus, vous savez que je ne le dirais pas Ă moins dâĂȘtre
sincĂšre
lĂ -dessus. Il y a quelque chose qui cloche. Et jâaimerais que vous
veniez
pendant que nous chantons encore une fois. Les travailleurs et les
autres, les
pĂ©cheurs et tous, rassemblez-vous Ă lâautel, ceux qui veulent prier
maintenant.
Aidez-moi Ă chanter encore une fois.
Tel que je suis, Tu me recevras,
Mâaccueilleras, me pardonneras, me purifieras, me soulageras
Parce que je crois Ta promesse.
Ă Agneau de Dieu, je viens ! je viens !
101 Bien-Aimé
PĂšre cĂ©leste, voici beaucoup...?... Jâai fait au mieux de ma
connaissance,
Seigneur. Jâai annoncĂ© tout le conseil de Dieu, sans en rien cacher, je
pense,
Seigneur, sachant que si je revenais dâici une annĂ©e, aprĂšs ce soir,
beaucoup
de ceux qui sont assis ici seraient dĂ©jĂ dans lâĂ©ternitĂ©. Et je le
sais, car je
Te vois, Seigneur. Je leur ai dit que Tu les aimes, et Tu as la mĂȘme
considération pour eux que Tu en avais eue pour la femme ce soir-là , il
y a
plusieurs annĂ©es. Beaucoup dâentre eux sont ici Ă lâautel, ici
maintenant,
Seigneur, baignant cet autel de leurs larmes.
Je prie,
ĂŽ Dieu, que dâune façon ou dâune autre, le Saint-Esprit entre ce soir
dans
cette salle et quâIl rĂ©pande simplement la puissance du Dieu
Tout-Puissant, et
quâIl sauve chaque personne ici, Dieu bien-aimĂ©. Accorde-le. Oh ! Que
leurs
coeurs de pierre soient touchĂ©s, quâils descendent et quâils soient
sauvés, au
Nom de Jésus-Christ.
Levons
nosânos mains. Levons nos mains vers Dieu. Tout le monde, offrez une
priĂšre
maintenant Ă Dieu.
FrĂšre
Gordon, venez ici et conduisez-nous dans la priĂšre. Recevez Christ
maintenant
mĂȘme, pendant que frĂšre Gordon est en train de conduire.
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