Le Puissant Conquérant

Date: 56-0401M | La durée est de: 1 heure et 40 minutes | La traduction: Shp
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1          Le service de baptêmes... Je pense que le baptistère est rempli, et puis la communion et le lavage des pieds. Combien ici présents ont déjà été à un lavage des pieds? Faites-nous voir les mains. Oh ! la la ! Regardez les baptistes qui sont–qui sont ici présents ce matin. Vous savez, on dit: «Les baptistes qui se lavent les pieds.» Et quand même j’allais chez les baptistes qui se lavent les pieds, on ne se lavait qu’un seul pied ; juste un seul pied, et maintenant ici, nous nous lavons tous les deux pieds. Nous avons donc une double bénédiction. Voyez? Cela a donc deux bénédictions par rapport à un seul. S’il y a une bénédiction à laver un seul pied, vous devriez essayer une fois de vous laver les deux. Les baptistes qui se lavent les pieds...

            [Un frère parle à frère Branham.–N.D.E.] Eh bien, ça dépend du genre de service que nous avons ce matin. C’est vrai. Nous ne savons pas exactement ce qu’il y aura ce soir, car nous... comment se passe le service de ce matin.

2          Je suis un peu fatigué. Nous venons de rentrer du Mexique où j’ai eu l’une des séries de réunions les plus merveilleuses jamais eues, et je sais que beaucoup parmi vous s’intéressent à en entendre le compte rendu. Alors, je... Eh bien, nous avions été là pour trois soirées, nous avons eu trois soirées de réunions, et le... Notre Adorable Rédempteur a certainement fait infiniment au-delà de toute mesure là-bas. La dernière soirée, nous avions vingt mille personnes qui n’étaient jamais, d’aucune manière, venues à Christ, qui ont reçu Jésus comme Sauveur personnel du coup, vingt mille personnes du coup.

            La résurrection d’un petit enfant qui était mort dans les bras de sa mère pendant qu’on se tenait sur le terrain, et le médecin avait déclaré la veille qu’il allait mourir, et elle l’a amené à la réunion pour qu’on prie pour lui, et il y avait là des gens comme il y en a ici.

            Or, vous pensez que c’est vraiment inconfortable ici, pour nous Américains, d’avoir à nous tenir debout pendant une heure, mais eux arrivaient parfois à six heures du matin et restaient debout jusqu’à vingt-trois heures, et ils sont entassés au point qu’on a évalué sur base de la superficie du terrain dont nous disposions pour les personnes debout, et ils se tenaient à six sur chaque 0,91 m², six personnes simplement debout, entassées, s’appuyant les unes contre les autres.

3          Je disais que cela me rappelait les brebis. Vous savez, quand il fait chaud, la journée, toutes les brebis s’assemblent, et elles s’appuient les unes contre les autres. Alors, elles se donnent de l’ombre les unes aux autres, et elles se soutiennent. C’est donc ainsi que les brebis de Dieu devraient faire. Elles devraient plutôt être ensemble, de la sorte, on se met en place et on se supporte les unes les autres par notre foi.

            Eh bien, chaque personne, à sa propre façon de prier... A votre manière de prier dans votre église, priez ce matin, et nous allons lire une portion de la Parole de Dieu et, à cause de ceux qui sont debout. Quand nous sommes arrivés, on renvoyait simplement les gens sans cesse et ils disaient qu’ils étaient renvoyés depuis un bon bout de temps. Ainsi donc, nous allons nous dépêcher et parler de la Parole afin que vous puissiez avoir un fondement pour la foi. Et puis, après cela, nous allons donc prier pour les malades comme le Seigneur le voudra.

4          J’attends d’avoir notre premier service d’ouverture pour prendre les gens selon ce qui a été montré récemment dans la vision. Mais je ne sais pas si je serai capable de le faire ou pas. Les salles sont archicombles là... pour les éloigner du public. [Espace vide sur la bande–N.D.E.] J’espère que vous tâcherez de tenir ferme juste pendant un petit moment et de prier.

            Eh bien, d’abord, je crois que toute doctrine doit provenir de la Parole bénie et éternelle de Dieu, car la foi ne peut pas reposer sur du sable mouvant de la théologie de l’homme. Elle doit reposer sur le Rocher immuable de la Parole de Dieu. Par conséquent, une personne peut se rassurer que si Dieu l’a dit, Dieu accomplira ce qu’Il a dit.

5          Dans le message de ce matin, nous parlions de la façon dont Dieu avant, peut-être dix mille ans avant qu’il y ait donc un monde, Jésus-Christ a été immolé avant la fondation du monde. Dieu a prononcé cela, et c’était réglé. Tant que Dieu prononce cela, c’est confirmé. Et dans l’esprit de Dieu, quand Il prononce la Parole, Elle est déjà confirmée au Ciel. C’est à ce point qu’Elle est parfaite Là-Haut. A quel point donc nous les mortels qui avons été rachetés par Sa grâce devrions-nous faire confiance à Sa Parole. Si Sa Parole le dit, c’est réglé.

6          Maintenant, premièrement la Parole, la Bible déclare: «Au commencement était la Parole, la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu.» Or, avant qu’Elle devienne une Parole, Elle a dû être une pensée, car une parole est une pensée exprimée. Et Dieu, quand Il a vu que l’ennemi de ce monde avait... ferait ce qu’il a fait, Dieu avait conçu comment Il enverrait le grand plan de la rédemption, et quand Il l’a conçu, qu’Il l’a ensuite prononcé ; et c’était tout autant exécuté à ce moment-là même. Et des milliers d’années plus tard, le Seigneur Jésus-Christ vint et mourut pour les péchés, Il ressuscita ça fait quelque mille neuf cents ans, ce matin, pour notre justification. Il est assis à Sa droite maintenant comme Souverain Sacrificateur, intercédant sur base de notre confession. Voyez, cela est déjà fini, et toute Parole qui sort de la Bible de Dieu, vous pouvez Y faire reposer votre âme. Voyez? C’est la raison pour laquelle là à Mexico, la plupart des gens là sont des catholiques, et un catholique m’avait interviewé, disant: «Frère Branham, croyez-vous que–que nos saints peuvent accomplir des miracles?»

            J’ai dit: «S’ils sont vivants, pas morts.»

            Et il a dit: «Eh bien, a-t-il dit, eh bien, vous...»

            J’ai dit: «Je...»

            Il a dit: «De quelle église êtes-vous?»

            J’ai dit: «De l’Eglise du Seigneur Jésus.»

            Et il a dit: «Quelle dénomination est-ce?»

7          Et j’ai dit: «Ce n’est pas une dénomination. C’est le Corps de Christ. Nous sommes tous assemblés par un seul Esprit pour croire, et là-dedans, peu importe ce qu’un homme pense, c’est sa foi personnelle en Christ qui compte.»

            Il a dit: «Evidemment, cette Bible est l’histoire ancienne de l’Eglise catholique.»

            J’ai dit: «Eh bien, je vais vous accorder le bénéfice du doute. J’ai–j’ai beaucoup lu l’histoire, et je ne vois pas là où l’Eglise catholique ait donc existé pendant trois cents ans et quelques après la mort du dernier apôtre ; mais de toutes les façons, je vais–je vais vous accorder le bénéfice du doute et dire que c’était ça. Alors, vous pouvez m’appeler un catholique de l’ancien genre, car je crois la Bible.» C’est vrai. Très bien. Et je crois qu’aucune Parole ne peut jamais être changée si Dieu L’a une fois prononcée, et Elle est pour toujours la vérité. Voyez? Voyez? Vous et moi, nous continuons à acquérir plus de sagesse. Votre connaissance a augmenté aujourd’hui plus qu’il y a quelques années.

8          Il y a une fillette assise ici ; maintenant, elle est juste une enfant. Ses parents doivent la conduire. Après un temps, elle va grandir et probablement qu’à son époque elle fera des progrès, elle peut devenir plus intelligente que sa mère l’est maintenant (Voyez?), car elle continue à faire des progrès, mais Dieu est infini. Il ne peut pas changer. Il doit... il.-.il était... Il était parfait pour commencer. Il le restera jusqu’à la fin. il–il ne peut pas changer. Donc, Son attitude envers n’importe quoi dans la Bible doit rester la même maintenant, sinon Il était en erreur sur la façon dont Il avait agi en ce moment-là. Voyez? Il ne doit donc jamais changer.

            Ainsi, avant d’ouvrir Sa Parole, parlons à Celui qui L’a écrite, le Seigneur Jésus, pendant que nous avons la tête inclinée.

9          Notre Père céleste, aujourd’hui, c’est l’un des plus grands jours de–de l’histoire selon le calendrier chrétien. C’est le jour de la résurrection. Nous prions, Père céleste, que Celui qui est vivant aujourd’hui, qui est vivant aux siècles des siècles, veuille nous visiter pendant ces quelques moments qui vont suivre, où on parle et on prie pour ces pauvres gens qui sont malades et nécessiteux aujourd’hui.

            Je Te demande humblement de nous pardonner tous nos péchés et toutes nos offenses. Nous faisons le mal. Nous le savons, car nous vivons dans un mauvais monde avec de mauvais motifs, de mauvais esprits, de mauvaises émotions. Mais, Père, Tu connais toutes ces choses, alors nous sommes très reconnaissants de ce que nous avons Jésus qui est assis à la droite de la Majesté divine pour intercéder sur base de notre confession, que nous avons tort ; et Il a promis de nous pardonner, et nous croyons cela et nous Lui faisons confiance.

            Tire gloire du service aujourd’hui. Circoncis chaque coeur pour écouter la Parole et les lèvres qui La prononcent, car nous le demandons au Nom de Christ. Amen.

10        Dans l’Epître aux Ephésiens, j’aimerais lire ces Paroles. J’aime vraiment lire la Parole de Dieu.

C’est pourquoi... (L’Epître, chapitre 1, à partir du verset 2... 15)

C’est pourquoi moi aussi, ayant entendu parler de votre foi au Seigneur Jésus et de votre charité pour tous les saints,

Je ne cesse de rendre grâces pour vous, faisant mention de vous dans mes prières,

Afin que le Dieu de notre Seigneur Jésus-Christ, le Père de gloire, vous donne un esprit de sagesse et de révélation, dans sa connaissance,

Et qu’il illumine les yeux de votre coeur, pour que vous sachiez quelle est l’espérance qui s’attache à son appel, quelle est la richesse de la gloire de son héritage qu’il réserve aux saints,

Et quelle est envers nous qui croyons l’infinie grandeur de sa puissance, se manifestant avec efficacité par la vertu de sa force.

Il l’a déployée en Christ, en le ressuscitant des morts, et en le faisant asseoir à sa droite dans les lieux célestes,

Au-dessus de toute domination, de toute autorité, de toute puissance, de toute dignité, et de tout nom qui se peut nommer, non seulement dans le siècle présent, mais encore dans le siècle à venir.

Il a tout mis sous ses pieds, et il l’a donné pour chef suprême à l’Eglise,

Qui est son corps, la plénitude de celui qui remplit tout en tous.

            Et ensuite, dans l’Evangile de Saint Marc, ou plutôt Luc, à partir du verset 25.

Alors Jésus leur dit: Ô hommes sans intelligence, et dont le coeur est lent à croire tout ce qu’ont dit les prophètes !

Ne fallait-il pas que le Christ souffrît ces choses, et qu’il entrât dans sa gloire?

Et, commençant par Moïse et par tous les prophètes, il leur expliqua... toutes les Ecritures ce qui le concernait.

Lorsqu’ils furent près du village où ils allaient, il parut vouloir aller plus loin. (Quoi?)

Mais ils le pressèrent, en disant: Reste avec nous, car le soir approche, le jour est sur son déclin. Et il entra, pour rester avec eux.

Pendant qu’il était à table avec eux, il prit le pain ; et, après avoir rendu grâces, il le rompit, et le leur donna.

Alors leurs yeux s’ouvrirent, et ils le reconnurent ; mais il disparut de devant eux.

            Que le Seigneur ajoute Ses bénédictions à Sa Parole.

11        On a lu assez de passages des Ecritures, qui nous prendraient des semaines et des mois rien que pour aborder la moitié du contexte de ce texte, mais mon sujet ce matin, ou mon thème, c’est: Le Puissant Conquérant. Et maintenant, nous commençons là où nous nous étions arrêtés, sur la résurrection, là où il a été prouvé que c’était Lui.

            Beaucoup d’hommes peuvent faire des déclarations, beaucoup de philosophes dans le monde: Bouddha, Mahomet, Confucius, beaucoup d’autres grands philosophes. Ils ont tous fait des déclarations, qu’ils étaient de grands hommes, mais la mort a réglé pour toujours la question pour eux, mais il n’y a jamais eu un homme, en dehors du Christ, qui ait dit: «J’ai le pouvoir de donner Ma Vie et de La reprendre», et qui ait pu prouver cela.

12        C’est une belle pensée du christianisme même aujourd’hui, quand nous parlons de l’Evangile, nous n’avons pas à prendre un ouï-dire, ou une chose historique à ce sujet, car cela peut être prouvé ici même ce matin, que Jésus-Christ vit et règne, qu’Il est ressuscité d’entre les morts, qu’Il est vivant aux siècles des siècles. Après deux mille ans, Il est tout aussi présent qu’Il l’était quand Il marchait en Galilée avec Ses disciples, accomplissant la même chose, accomplissant les mêmes miracles, manifestant la même miséricorde, prêchant le même Evangile. Il n’est pas mort, mais Il est vivant aux siècles des siècles.

            Quels coeurs heureux devraient être ceux des chrétiens aujourd’hui, de savoir que ce n’est pas une philosophie étrange que nous comprenons, mais c’est la puissance de la résurrection du Seigneur Jésus !

13        Et comme le grand saint Paul l’a dit à son époque, étant le seul instruit parmi les disciples, il a dit: «Je ne suis pas allé chez vous avec une supériorité de parole ou de langage d’homme, afin que votre foi ne puisse pas se fier à de telles choses, mais, a-t-il dit, je suis allé chez vous avec la puissance et les démonstrations du Saint-Esprit afin que votre–afin que votre foi repose en Dieu», quelque chose de ce genre.

            Oh ! Combien nous aimons cela, de savoir que la même chose que Paul prêchait dans les jours qui suivirent la résurrection du Christ, c’est la même chose aujourd’hui, et cela peut être confirmé ici même maintenant, par des preuves irréfutables, que Jésus est vivant aujourd’hui.

14        Quel merveilleux jour ça a dû être pour Cléopas et son ami ! C’était un beau matin de Pâques, le premier matin de Pâques. Ils avaient le coeur attristé alors qu’ils parcouraient le chemin... La Bible dit que c’étaient des hommes du peuple sans instruction, Ses apôtres l’étaient. Il est possible qu’ils n’aient pas acquis beaucoup de connaissance en botanique. Il est possible qu’ils n’aient pas acquis beaucoup de connaissance en mathématique, ou–ou en algèbre, ou dans n’importe quel domaine de ce genre, de notre instruction moderne. Il est possible qu’ils n’aient pas acquis une grande connaissance en cela, mais ils Le connaissaient, et c’est ça l’essentiel.

            Le connaître, c’est la Vie. N’oubliez pas cela, ami chrétien et ami pécheur. Connaître Christ, c’est la Vie. Beaucoup se mettent à apprendre un catéchisme. Ils pensent que c’est ça la Vie. Beaucoup de gens apprennent la Bible. Ils pensent que c’est ça la Vie. Beaucoup de gens connaissent la doctrine de leur église. Ils pensent que c’est ça la Vie. Toutes ces choses sont bonnes, mais Le connaître, personnellement, comme votre Sauveur personnel, individuel, c’est ça la Vie et rien que cela, Le connaître.

15        C’est bien de connaître votre catéchisme. C’est bien de connaître vos manuels. C’est bien de connaître la doctrine de votre église, mais tout cela est une activité secondaire ; mais Le connaître, Lui, c’est connaître la Vie, et avoir la Vie, c’est Le connaître.

            «Car celui qui écoute Mes Paroles, et qui croit à Celui qui M’a envoyé, a la Vie Eternelle, et ne vient point en Jugement, mais il est passé de la mort à la Vie.»

            C’est Jésus qui a fait ces Déclarations, et Elles sont les Paroles qui, après qu’il n’y aura plus de lune ni d’étoiles, ces Paroles toujours... ces Paroles seront toujours valables et Elles seront toujours tout aussi puissantes qu’Elles l’étaient le jour où Il Les avait prononcées. Ses Paroles ne peuvent pas faillir.

16        Maintenant, si vous suivez attentivement... En ce matin de Pâques, alors qu’ils évoluaient, ils étaient attristés. L’Homme en qui ils avaient fait confiance, Celui qui, pensaient-ils, deviendrait le Sauveur d’Israël, Celui qui, espéraient-ils, deviendrait le prochain Roi, avait été traité misérablement. Il était mort, crucifié et enseveli, et Sa tombe avait été scellée, avec interdiction d’y toucher de la garnison romaine, d’y toucher sous peine d’être frappé par toute la Rome. Et si un homme brisait ce sceau-là, il était aussitôt puni de mort.

            Marie, Sa bien-aimée mère, se tenait toutefois là, et elle L’avait vu être déshabillé devant les gens, passé à tabac, les os de Ses mains avaient été séparés par de cruels clous des Romains, et toutes ces choses, on L’avait déshonoré, elle L’avait entendu implorer en criant la miséricorde alors qu’Il mourait ; on pensait certainement qu’un Homme de ce calibre ne pouvait donc pas mourir d’une telle mort...

17        Mais Dieu fait concourir toutes choses pour le bien. Il devait L’amener à cela. Comme je l’ai dit ce matin, comment auriez-vous eu confiance que vos bien-aimés ressusciteraient jamais d’entre les morts, si–si nous avions seulement eu un Enoch qui avait été enlevé, un Elie qui est rentré au Ciel à bord d’un char? Si nous n’avions que ceux-là, nous serions misérables, mais cet Homme était mort. Il mourut au point que le soleil reconnut qu’Il était mort. Il mourut au point que la lune et les étoiles reconnurent qu’Il était mort. Il mourut au point que tout sur la terre et dans le ciel reconnut qu’Il était mort, car Il a pu mourir de la mort pour chaque mortel qui ait jamais vécu. En effet, Il est mort pour que nous vivions. Il est mort. Il a été maltraité. Il est entré dans le monde par une crèche. Il n’avait pas de place où reposer Sa tête quand Il était venu sur la terre.

18        Et Il a été tellement rejeté par les gens, Il n’avait pas de place où mourir. La terre L’avait rejeté, et les cieux ne pouvaient pas Le recevoir, car Il y allait en pécheur, non pas à cause de Son propre péché, mais à cause de nos péchés qui étaient sur Lui. Il portait sur Lui les péchés du monde, Il a donc été rejeté du Ciel. Et la terre ne voulait pas de Lui, et on a dû L’élever entre les cieux et la terre, on L’a laissé mourir en dehors du Ciel et en dehors de la terre. Quel Sauveur !

            Comment pouvez-vous rejeter une telle Personne à cause de la théologie moderne, ou à cause des gens, alors que vous savez que vous aurez à vous tenir dans Sa Présence au jour du Jugement pour rendre compte de votre vie? Dieu ne vous tiendra pas responsable d’avoir été un pécheur. Il vous tiendra responsable d’avoir rejeté l’issue. Vous ne pouvez rien au fait d’être un pécheur. Vous êtes né... Votre nature est celle d’un pécheur, mais vous pouvez vous en sortir. Jésus a frayé une voie pour vous.

19        Alors, Il était là, après avoir vu tout cela: «Assurément, comment une personne peut, pensait Marie, ne connaissant pas d’homme... Je transportais de l’eau un jour, revenant d’un puits, et le Saint-Esprit m’a parlé dans une grande Lumière, Il a donc dit: ‘Ce Saint Enfant qui naîtra de toi sera appelé le Fils de Dieu’ ; et comment Dieu a-t-Il donc pu permettre de voir Son propre Enfant être suspendu là, souffrant, saignant, se tordant et mourant? Comment est-ce possible?»

            Ils s’attendaient à ce qu’Il se détache de la croix à tout moment, qu’Il détache Ses mains dans une victoire sur l’ennemi... Mais ils ne se rendaient pas compte que s’Il avait fait cela, alors nous serions restés des pécheurs ce matin. Il devait faire cela.

20        Ils Lui ont adressé le plus grand compliment, ces pharisiens qui–qui L’ont crucifié. Ils Lui ont adressé le plus grand compliment qu’on Lui ait jamais adressé quand ils ont dit: «Il a sauvé les autres, mais Il ne peut pas se sauver Lui-même.» Ils ne se rendaient pas compte que s’Il se sauvait, Il ne pouvait pas sauver les autres. Il devait se livrer Lui-même pour sauver les autres, et c’était pour Lui un compliment sans qu’ils le sachent.

            Ils étaient coupables de L’avoir mis à mort, mais le matin de Pâques, c’est alors que Dieu a prouvé sans l’ombre d’un doute que Quelqu’Un de plus qu’un philosophe était mort, Quelqu’Un de plus qu’un prophète était mort. Aujourd’hui, l’homme, par la théologie moderne, a essayé de Lui faire prêcher un Evangile social juste comme un philosophe, ou un homme de bien, ou un bon érudit, ou un enseignant. Il était plus que cela. Il était Dieu Lui-même fait chair parmi nous. Il était Dieu. Son Sang ne venait d’aucun mortel, mais Cela venait de la puissance de création de Jéhovah Dieu, Son Père, et Il était Dieu, Il l’a prouvé quand Il a brisé les sceaux de la mort et qu’Il est ressuscité le troisième jour.

21        Beaucoup de disciples étaient tout découragés. Beaucoup de choses étaient arrivées dans la vie juste comme ça nous arrive, à nous-mêmes. Tout au long de ce parcours, ils étaient sur leur chemin vers la maison, ils allaient à Emmaüs, Cléopas et son compagnon, ils longeaient la route. Et peu savaient-ils qu’en ce beau et premier matin de Pâques, Jésus-Christ était vivant parmi les gens. Ils pensaient qu’Il était mort.

            Et ce qu’ils pensaient jadis, c’est ce qu’on pense aujourd’hui. Beaucoup de gens qui aiment réellement Jésus n’arrivent pas à comprendre qu’Il est juste parmi nous, vivant, ressuscité ici parmi nous. Ils enseignent cela comme une affaire historique, de quelque chose, et c’est une histoire. La Bible n’est pas seulement une histoire, mais Elle est aussi un Prophète. Il n’est pas seulement mort, mais Il est ressuscité. Il est mort, certes, mais Il est ressuscité d’entre les morts.

22        Il y a ce matin beaucoup de braves chrétiens qui sont membres de bonnes églises, qui ne se rendent pas compte que Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement et qu’Il est vivant parmi nous aujourd’hui avec les mêmes puissances, les mêmes principes, les mêmes actes qu’Il accomplissait quand Il était ici sur terre. Les gens ne savent guère cela.

            Et pendant qu’ils cheminaient vers Emmaüs, environ une journée de sabbat, quelques stades environ, je pense, sur leur chemin vers là, ils longeaient la route, parlant de Sa mort.

            J’aimerais vous faire remarquer que c’était juste au moment où ils parlaient, disant: «Oh ! Pourquoi cela est-il donc arrivé? Comment cela nous est-il donc arrivé? Nous avons donc quitté notre église maintenant pour suivre cet Homme que nous pensions assurément devenir le... Eh bien, nous L’avons vu ressusciter Lazare de la tombe après que ce dernier était mort depuis quatre jours. Et comment un Homme qui a pu ressusciter un mort de la tombe est-Il donc mort?»

            Mais Dieu opère à Sa propre manière. Il était juste... C’est juste comme une semence qui tombe en terre, meurt et reproduit... «Si le grain de blé qui est tombé en terre ne meurt, il reste seul», déclare la Bible.

23        Ils se posaient donc des questions. Mais pendant qu’ils pensaient à Lui, Il leur apparut, et c’est généralement ainsi qu’Il nous apparaît. Quand trouvez-vous généralement votre plus grande bénédiction, vous les ménagères? C’est quand tous les enfants sont partis à l’école, que vous êtes restées seules, en train de faire la vaisselle ou quelque chose comme cela, quand vous faites passer l’aspirateur sur le plancher ou quelque chose comme cela.

            Pour vous les hommes, c’est quand? C’est quand vous êtes assis, prenant votre repas, peut-être seul, et lisant la Bible, à l’écart, quelque part où vous êtes sur la route, retournant à la maison à bord de votre voiture, et vous méditez sur... Si nous laissions les pensées de notre coeur et les méditations de notre esprit se porter sur Lui, Il nous apparaîtrait souvent.

            Mais le problème en est que nous pensons à l’endroit où nous allons trouver le prochain dollar, et à ce que nous allons faire ici, et comment cela va se faire. Jésus a dit: «Ne vous souciez pas de toutes ces choses, mais cherchez premièrement le Royaume de Dieu.»

24        Mais pendant qu’ils marchaient sur la route ce matin-là, je peux bien les voir... Oh ! la la ! Le plus grand coup qui leur soit jamais arrivé... Ils étaient là en route. Ils avaient quitté leur église, ils avaient été excommuniés parce qu’ils Le suivaient. Ils pensaient qu’Il ferait à coup sûr quelque chose qui triompherait là à la tombe. Alors, ils avaient été retirés de leur église. Ils ne pouvaient plus retourner à l’église, ils seraient marqués, ridiculisés, raillés, l’objet de risée. C’est ce que fait un homme quand il se livre réellement à Christ. Il doit couper les ponts avec le rivage pour marcher seul avec Christ, Lui seul.

            Les hommes et les femmes de ce monde qui ont jamais abouti à quoi que ce soit, ce sont les hommes et les femmes qui avaient reçu Christ de façon prédominante comme leur Sauveur et qui se sont tenus seuls dans leurs décisions. Ça sera pareil pour chaque homme ici ce matin, ou chaque femme, jeune garçon ou jeune fille. Si jamais vous avez souhaité aboutir à quelque chose, allez de l’avant avec Dieu. Ne vous fiez pas à votre église. Ne vous fiez pas à votre prédicateur, à votre rabbin, à votre prêtre, mais tenez-vous seul en Jésus-Christ. C’est l’unique moyen pour vous de pouvoir y arriver. Ne...

25        Si vous êtes ici ce matin pour qu’on prie pour vous afin d’être guéri, ne dites pas: «Oh ! Si je peux arriver à... là à l’estrade pour qu’on prie pour moi. Frère Branham peut prier pour moi. Quelqu’un d’autre fait ceci, cela ou autre.» Placez votre confiance uniquement en Lui, et alors, reconnaissez qu’Il est ressuscité d’entre les morts, et Il a fait une promesse infaillible, et elle ne peut jamais faillir, la Parole de Dieu. Voyez-vous cela?

            Remarquez. Et pendant qu’ils cheminaient en train de penser, Il leur est apparu et Il a marché avec eux, et eux ne Le reconnaissaient pas. Eh bien, il est souvent arrivé que Dieu a marché avec vous, et vous ne L’avez pas reconnu. Qui vous avait préservé de ce naufrage l’autre jour? Qui avait fait cela? Qui–qui était là à l’hôpital alors que le médecin avait dit: «Eh bien, il n’y a guère plus rien que je puisse faire», et vous vous êtes rétabli? Qui avait fait cela? D’où cela venait-il? Vous n’avez pas reconnu cela, mais c’était Sa grâce. C’était Lui qui avait fait cette chose pour vous.

26        Une petite dame, peut-être qu’elle est présente maintenant, je ne sais pas. Elle habite juste de l’autre côté de la rue là (Elle devrait être présente, si elle a pu entrer, à moins qu’elle ait cédé sa place à quelqu’un de l’extérieur.): Madame Reese. Je me rappelle une fois quand je suis descendu là au coin, quand monsieur Andrews habitait près de chez moi, de l’autre côté de la rue...

            Et cet homme s’était moqué de moi au coin, quand j’étais allé cette nuit-là alors qu’elle était couchée là, juste de l’autre côté de la rue, ici au coin. C’est là qu’elle habitait quand elle était malade, on l’avait amenée là à Silvercrest pour mourir de tuberculose, et ses poumons étaient tout congestionnés. Quand mademoiselle Grâce Weber, juste la deuxième porte ici, la première porte en amont de l’église, elle avait été guérie de la tuberculose, juste au même moment...

            Je pense que c’est la soeur que je vois assise ici, celle qui a été guérie de cancer, elle n’était qu’un squelette alors que les médecins l’avaient abandonnée, une demoiselle... assise ici avec une fleur rose sur elle, ce que... Weaver, est-ce vrai? Oui. Il y a plusieurs années. Le cancer s’était répandu partout en elle, la rongeant. Elle a été guérie de cancer ; en effet, le Seigneur avait montré une vision là chez elle et avait dit: «AINSI DIT LE SEIGNEUR, vous ne mourrez point.»

27        Je l’ai baptisée ici dans ce baptistère, alors que je devais la tenir, ses bras n’étaient pas plus gros que ça. Elle est ici vivante encore aujourd’hui, et il y a de cela des années. Combien plus puis-je dire ici à ce sujet: les sourds, les muets, les aveugles, des gens rongés par le cancer, et tout, que Dieu a guéris, parce que Dieu avait fait la promesse.

            Ce soir-là, pendant que je priais pour la dame dans le coin, le Saint-Esprit était descendu. Elle avait rassemblé ses petits enfants autour d’elle, et son mari était assis là ; et le Saint-Esprit a dit: «AINSI DIT LE SEIGNEUR, elle va se rétablir.»

            Le lendemain matin, monsieur Andrews, ce parfait incroyant, m’a rencontré au coin et il m’a fait honte, disant: «Prédicateur, n’avez-vous pas honte de vous-même?» Je portais une vieille salopette en lambeau je revenais d’un magasin où j’avais été acheter de petits pains au lait pour le petit-déjeuner, et lui allait là. Alors, il a dit: «Honte à vous. Devriez-vous séduire cette famille-là comme ça, cette pauvre petite mère étendue là, avec ces enfants, mourante, et vous lui dites un mensonge, qu’elle va vivre?»

            J’ai dit: «Monsieur, ce n’est pas moi qui lui ai dit ça, jamais. C’est Dieu qui l’a dit, et Ses Paroles sont vraies.»

            «Oh ! a-t-il dit, honte à vous. Dieu n’existe pas, ce n’est que de l’excitation et de l’émotion de votre part.» Oh ! la la !

28        Quelques jours plus tard, quand sa femme fut frappée à l’hôpital, ici, vous connaissez l’histoire, la plupart d’entre vous. Il a dû venir vers moi pour que j’aille prier pour elle, c’est une chrétienne de genre renommée. J’ai dit: «Soeur...» Elle était étendue... Ma femme était juste ici quelque part, si elle est entrée dans le bâtiment ce matin, nous sommes allés la voir, et elle était là enflée, et elle ne reconnaissait donc rien. Les médecins de Louisville avaient dit qu’un grand caillot de sang atteindrait son coeur, et qu’elle mourrait en un instant, à n’importe quelle minute.

            Il est venu avec son chapeau rabattu, pleurant. Il a dit: «Prédicateur, j’ai été un incroyant, mais si Dieu peut aider ma femme...» Il a dit: «Cette femme dont vous avez dit cela, elle est debout...?... faisant son ménage.»

            J’ai dit: «Certainement.» Elle vit encore aujourd’hui, et il y a de cela huit ou dix ans, elle est toujours vivante. Et la femme, a-t-il dit, en traversant ce restaurant, en pleurant, il a dit: «Voudriez-vous aller prier pour elle?»

29        J’ai dit: «Oui, monsieur, mais j’aimerais que vous priiez ici premièrement, et que vous Le laissiez voir.» Alors, nous sommes allés à l’hôpital, et elle était étendue là, mourante, toute gonflée, les lèvres retournées, l’intérieur dehors comme cela, et ma femme l’aimait, et nous nous sommes agenouillés. Elle était une chré... membre de l’église de Christ à Virginie. Nous sommes allés, nous nous sommes agenouillés et nous avons prié pour elle ; et pendant que nous priions, une vision est apparue au-dessus d’elle. Je me suis vu moi-même assis le dos appuyé à ce porche, là même, en train de manger une grosse tarte à la pomme comme ceci, dans ma main. En effet, c’était une célèbre cuisinière. Je me suis relevé et j’ai dit: «Chérie, AINSI DIT LE SEIGNEUR, elle va vivre.»

            Et quand elle a fait... et deux heures plus tard donc, ils ont dû appeler le spécialiste de Louisville ; et elle s’était débarrassée de toute l’eau et tout le reste. Et le spécialiste a dit: «Quelqu’un en dehors d’un médecin a été ici.» Qu’était-ce? Christ vit.

            Deux semaines plus tard, j’ai croisé cet homme au même coin. (Je regarde cet arbre maintenant même.) Il s’est arrêté là. J’ai dit: «Monsieur Andrews, nous nous sommes rencontrés ici auparavant.»

            Il a dit: «Oui, nous nous sommes rencontrés ici, prédicateur.» C’était un homme de science, un botaniste.

            Et j’ai dit: «Qu’en pensez-vous maintenant?»

            Il a regardé ce gros arbre que je regarde. Il a dit: «Prédicateur, construisez-moi un arbre.» Oh ! Cela ne peut pas se faire, mais parce que Dieu... parce que Christ est ressuscité d’entre les morts... C’est ça. Il est avec nous.

30        Madame Reeves, si elle est présente, elle me parlait ici. Récemment, sa fille et elle avaient traversé la rivière, et il y avait cette pauvre vieille femme qui mendiait au coin. Elle avait une pièce de dix cents, de quoi payer le retour. Elle a donc dépassé la femme et le Saint-Esprit lui a dit: «Rentre donner cette pièce de dix cents à cette pauvre vieille femme.»

            «Eh bien, a-t-elle dit, c’est tout ce que j’ai pour traverser la rivière.»

            Il a dit: «Je suis le Seigneur.» Amen !

            Elle est rentrée et elle a dit: «Soeur, pardonnez-moi.» Elle l’a entourée de ses bras et a dit: «Le Seigneur m’a dit de revenir lui donner... vous donner cette pièce de dix cents.»

            A sa mère, elle a dit: «Maman, comment allons-nous rentrer chez nous à la maison?»

            Elle a dit: «C’est l’affaire de Dieu. Nous pouvons passer le pont à la marche peut-être.»

            Et quand elle a fait demi-tour et qu’elle a parcouru environ un demi–pâté de maisons depuis cet endroit-là, juste avant d’arriver à la station où elles devaient aller, sa fille a dit: «Regarde ça, maman.» Et là dans la rue, il y avait une pièce de dix cents.

31        Qu’était-ce? Christ. Il est souvent avec vous et vous ne le savez pas. C’est Lui. Suivez simplement la façon dont Il vous conduit.

Là où Il me conduit, j’irai.
J’irai avec Lui sur tout le trajet.
Même si c’est au travers des vallées sombres et ombreuses,
Il sera avec moi chaque jour.

            C’est vrai. Et quand Il est arrivé là, Cléopas et l’autre... Suivez. Quand Christ commence à parler, Il ne s’est point écarté sur une espèce d’affolement. Il ne s’est jamais écarté avec une espèce de théologie. Il a ouvert les Ecritures. C’est ce qu’Il fait jusqu’aujourd’hui. Et Il commence, Il a dit: «Ô hommes sans intelligence.» Il a demandé: «Pourquoi êtes-vous si tristes?»

32        Ils ont dit, ils ont dit: «Es-tu le seul Etranger, Monsieur?» Tous les hommes se ressemblaient. Il ne s’habillait pas comme un rabbin ou un sacrificateur. Il s’habillait comme un homme ordinaire. Et quand Il... Il marchait parmi eux. Ils avaient été avec Lui pendant trois ans et demi et ils ne L’ont néanmoins pas reconnu.

            Il a dit: «Eh bien, a-t-Il dit, pourquoi votre coeur est-il si lent?»

            Ils ont dit: «Eh bien, es-tu un Etranger?» Ils ont dit: «Ne sais-Tu pas que Jésus de Nazareth, que nous espérions voir devenir le Roi, a été tué et enseveli, et ça fait maintenant trois jours?» Il a dit: «Et maintenant, nous avions même eu quelques femmes qui sont venues vers nous ce matin, elles ont dit avoir vu quelques anges en vision, et nous n’avons simplement pas considéré cela et, ont-ils dit, toutes ces choses qui se passent à Jérusalem comme cela.»

33        Il a dit: «Pourquoi votre coeur est-il si lent? Pourquoi êtes-vous sans intelligence? N’avez-vous pas cru les prophètes? Oh ! la la ! Ne pouvez-vous pas croire la Parole?» Il a dit: «Ne savez-vous pas que tous les prophètes ont dit que Christ devait souffrir premièrement et, ensuite, entrer dans Sa Gloire?» Et commençant par Moïse (C’est Genèse.), Il leur a expliqué, alors qu’Il longeait la route, tous les préceptes de l’Ancien Testament, ce qui devait arriver.

            N’auriez-vous pas aimé être là en cette compagnie ce matin-là? Mais vous y êtes ce matin-ci. Il est tout aussi vivant aujourd’hui qu’Il l’était en ce moment-là. Il a dit: «Je suis Celui qui était mort et qui est vivant aux siècles des siècles, et puisque Je vis, vous vivrez aussi.»

34        Vous êtes... Non seulement Il est ici vivant, mais vous êtes vivants avec Lui. La grande espérance que vous avez dans votre coeur vous fait vivre. Eh bien, même la mort elle-même n’a rien qui puisse faire ombrage à cette belle espérance qui repose là en Jésus-Christ pour chaque croyant. «Quand bien même il serait mort, il vivrait cependant, et celui qui vit et croit en Moi ne mourra jamais», a-t-Il dit.

            Oh ! Quand Il se dirigeait vers la tombe de Lazare, ces Paroles ont été prononcées dans Saint Jean 11.

            Eh bien, pendant qu’Il cheminait, et peu après, Il parut vouloir dépasser la petite maison. Vous savez, parfois c’est ce qu’Il fait. Y avez-vous déjà pensé, maman, vous dans le fauteuil roulant, on dirait qu’Il allait simplement vous dépasser? Y avez-vous déjà pensé, frère, soeur, vous là-bas qui avez été abandonné aujourd’hui à cause du cancer? Les médecins vous ont abandonné ; il n’y a rien qu’ils puissent faire.

35        Vous qui dites: «Eh bien, si cette femme assise-là a été juste une ombre, et que les meilleurs médecins... Le cancer était dans l’utérus, premièrement (N’est-ce pas, soeur?), il s’est répandu dans la colonne vertébrale et cela a même perforé les intestins et tout.»

            «Comment a-t-elle pu vivre?» C’est ce que son médecin m’a demandé: «Comment peut-elle vivre?»

            J’ai dit: «Parce que Lui vit.» Voilà la raison. Ce n’est pas à moi de douter. Il m’appartient de croire cela. C’est vrai.

            J’ai dit: «AINSI DIT LE SEIGNEUR, soeur, je n’ai jamais été chez vous, mais il y a un petit poulailler là derrière. Dans trois jours, vous visiterez cela.» Elle l’a fait. C’est vrai. Elle est encore ici ce matin parce que Lui vit. Il a fait comme s’Il allait la laisser mourir.

            Quand je suis arrivé chez elle, elle a dit: «Prédicateur, je ne suis pas digne qu’un prédicateur entre chez moi.» Elle a dit: «Je suis une pécheresse.»

36        J’ai dit: «C’est ce pour quoi Jésus est mort, pour vous les pécheurs.» Sa réputation se fait là où il y a les pécheurs. C’est vrai. Les pécheurs ne portent pas atteinte à Sa réputation, mais ce sont les pécheurs qui la font. C’est la justice propre qui Lui fait mal (C’est vrai), si vous ne voulez pas vous humilier devant Lui.

            Remarquez. Et Il parut vouloir aller plus loin. Papa, vous qui souffrez du coeur ; maman, vous qui souffrez du cancer et qui allez mourir ; vous savez que vous devez mourir. Peut-être... Vous dites: «Eh bien, j’ai été chrétien toute ma vie, Frère Branham. Pourquoi cela est-il arrivé? Je Lui ai demandé.» Mais peut-être qu’Il paraît vouloir aller plus loin.

            C’est ce qu’Il a fait à Cléopas et l’autre. Il a dit... Il parut vouloir... Il savait tout le temps qu’Il allait entrer. Il savait tout le temps qu’Il marchait avec eux. Il a donc dit... Il a agi comme s’Il dépassait, et ils L’ont pressé: «Entre. Nous T’aimons.» C’est comme ça. «Entre et reste avec nous.»

37        Pouvez-vous faire cela aujourd’hui? Les méthodistes peuvent-ils faire cela? Les baptistes? Les presbytériens? Les nazaréens? Les pèlerins de la sainteté? Les catholiques? Les luthériens? Pouvez-vous faire cela? Peu importe ce que dit l’église. «Entre, et reste avec moi.» Demandez juste le matin de la résurrection... «Viens et reste avec nous.» Jamais on ne Lui a demandé sans recevoir.

            Il a dit: «Demandez, et vous recevrez. Frappez, et l’on vous ouvrira. Cherchez, et vous trouverez, car quiconque cherche trouve. On ouvre à celui qui frappe.» C’est vrai. «Demandez, et vous recevrez.» Pas peut-être que vous allez recevoir. Vous recevrez.

            Et ils Lui ont demandé: «Entre avec nous.» Il s’est retourné et Il est revenu, Il est entré dans la petite hutte. Peut-être que c’était une petite hutte en pisé, au bord de la route, comme beaucoup de contrées de l’Assyrie là-bas ont ces petites huttes en pisé, faites avec de la boue et tout, des bâtons, des modestes. Pourquoi le Roi de Gloire s’est-Il donc abaissé pour entrer dans une pareille maison? Mais il n’y a jamais eu de maison trop–trop modeste. Il n’y a jamais eu d’église trop petite. Il n’y a jamais eu quelqu’un de trop rejeté par le monde. Il n’y a jamais eu de femme trop déchue. Il n’y a jamais eu un homme trop ivre, auprès de qui Il ne puisse aller quand cela Lui est demandé. Certainement. Demandez-Lui et voyez.

38        Puis-je dire ceci, pour finalement confirmer cela? Il n’y a jamais eu quelqu’un de trop malade, jamais quelqu’un de trop perdu. Mais demandez, et vous recevrez. «Laissez-Moi entrer et établir Ma demeure chez vous. J’aimerais vous parler quelques minutes.» Et ils L’ont invité. Il est entré, et une fois à l’intérieur, et les portes du monde fermées, seuls avec Jésus... Vous y êtes.

            Si seulement Il peut vous avoir seul une fois, si seulement Il peut vous avoir à l’écart, loin de la foule, de la foule qui cherche le plaisir ; si seulement Il peut vous avoir loin des sceptiques qui disent: «Les jours des miracles sont passés» ; si jamais Il peut vous avoir loin des gens qui disent: «La religion avec émotion n’existe plus. La religion qui touche le coeur, celle de nos pères, qui ont saigné sur le champ de bataille pour cela, il n’y a rien à cela.» Si jamais Il peut une fois vous avoir seul et vos... toutes vos idées enfermées dehors...

            Si jamais Il peut avoir un groupe de gens ensemble comme cela, il y aura une répétition de la Pentecôte. Si jamais Il peut avoir une église comme cela, il y aura un réveil qui balayera la nation. Etre seul avec Lui.

39        Et pendant qu’Il était seul, les portes fermées, le monde dehors, Il a pris du pain et Il l’a rompu, exactement comme Il le faisait ; ils ont reconnu que ça devait être Lui. Leurs yeux s’ouvrirent. Ils Lui avaient parlé toute la journée. Ils avaient communié. Ils L’avaient entendu prêcher le long de la route, durant le parcours, sous la chaleur de la journée, mais une fois seuls, Il se fit connaître à eux, et leurs yeux s’ouvrirent.

            Oh ! Si seulement Il peut amener ce groupe de gens en cette heure-ci, si seulement Il peut vous amener seul à un endroit où vous ne verrez pas... Vous dites: «Je suis assis à côté d’un méthodiste ce matin, alors que moi, je suis baptiste.» Voyez, vous ne devriez pas faire cela. Vous devriez enfermer le monde dehors. Enfermez les autres dehors. Vous devez marcher seul avec Christ. Si jamais Il vous a, vous seul, alors vos yeux s’ouvrent, vous dites: «Eh bien, c’était Lui tout le temps.» Alors, Il fera ici ce matin quelque chose tel qu’Il le faisait d’habitude, tel qu’Il le fait aujourd’hui ; car Il doit faire aujourd’hui la même chose qu’Il faisait autrefois, agir sur base des mêmes principes, sinon Il n’est pas le même hier, aujourd’hui et éternellement, et Il avait mal agi quand Il avait agi là-bas. Si Christ dans le...

40        Ça y est. Saisissez cela. Si Christ, à la première résurrection, s’est fait connaître à Ses apôtres par quelque chose qu’Il faisait quand Il était ici sur terre pour leur prouver qu’Il était ressuscité d’entre les morts et que c’était Lui, Il est de même tenu d’agir ce matin dans ce tabernacle: faire des choses ici dans cette église, ce matin, qu’Il faisait quand Il était ici sur terre, de la même manière ; Il est tenu de même d’agir quand la même crise surgit.

            Eh bien, encore quelques instants. Je... Si.-.si vous supportez cela, je–j’aimerais dire... en venir à mon autre passage des Ecritures. Rapidement. Il est ressuscité d’entre les morts. Les cieux les plus élevés étaient devenus la terre la plus basse. Il parcourait une ville, Jéricho, la ville située à la plus basse altitude du monde, et l’homme le plus court de la ville a dû Le regarder d’en haut pour Le voir. C’est vrai. Quel point bas avait-Il atteint? Y avez-vous déjà pensé?

            Il était devenu moi afin que moi, par Sa grâce, je puisse devenir Lui. Il était devenu péché, Lui qui n’avait pas connu de péché, afin que moi, par le péché, je puisse devenir juste aux yeux de Dieu. C’est ce qu’Il a fait pour vous. C’est ce qu’Il a fait pour vous, ami pécheur, ce matin. Comment pouvez-vous Le rejeter?

41        Remarquez donc. Eh bien, c’était Son... Son oeuvre sur terre était terminée. A la résurrection, Il a confirmé tout ce qu’Il disait. Eh bien, Il a une autre oeuvre à accomplir au sujet de laquelle le monde connaît peu. C’est vrai.

            Sa prochaine oeuvre dans Son ascension, nous aimerions en parler pendant quelques instants. Après qu’Il fut ressuscité d’entre les morts, après qu’Il était déjà ici sur terre et qu’Il eut confirmé qu’Il était vivant par des preuves irréfutables, qu’Il accomplit la même chose qu’Il avait accomplie quand Il était ici dans la chair... Et ici, Il marche, Il rompt le pain, Il mange avec eux. Oh ! Le même Jésus, Il a prouvé cela. Maintenant, l’ascension arrive. Maintenant, le temps arrive. Saviez-vous donc que la Bible déclare qu’Il est monté en haut au-dessus de tout, de tout, par-dessus tout au Ciel? Cette terre appartenait au diable. Par la chute, cette terre a été cédée au diable. Chaque royaume de ce monde est dirigé par le diable. Nous détestons penser à cela, mais la Bible déclare que c’est comme ça.

42        Ce–c’est la raison pour laquelle nous avons des guerres, on se tire dessus, on combat, et qu’il y a des ennuis, c’est que les royaumes de ce monde sont les royaumes du diable. La Bible le déclare. Et dans le glorieux Millénium à venir, la Bible déclare: «Réjouissez-vous, tous les cieux et vous les saints prophètes de la terre, car les royaumes de ce monde sont devenus les royaumes de notre Seigneur, et cela... et Il–Il dirigera et régnera aux siècles des siècles.»

            Eh bien, ils le deviendront. Nous ne connaîtrons plus de guerres en ce moment-là, quand Il sera venu: Plus de maladies, plus d’ennuis. Remarquez donc. Quand Il est mort... On parle très peu de cette ascension. C’est l’un des jours les plus glorieux quand Il est monté. En effet, sur toute la terre depuis le jour où le péché avait été commis dans le jardin d’Eden, tous les cieux avaient été fermés à l’humanité. Satan est le prince de la puissance de l’air. C’est vrai. «Pourquoi es-tu tombé du Ciel, ô Lucifer?» Aucun homme ne pouvait voir dans la Gloire. Aucun homme ne pouvait comprendre, car la puissance est juste au-dessus de nous. Les cieux, cela veut dire l’atmosphère au-dessus. Et puis, toutes ces puissances étaient fermées à l’humanité à cause du péché.

43        Mais quand Il est mort, qu’Il est ressuscité et qu’Il est monté, Il... La Bible déclare: «Aucun homme n’est monté si ce n’est Celui qui est premièrement descendu.» Quand Il était au Ciel, Il était le Logos qui était sorti de Dieu au commencement, et Il est descendu sur terre, Il n’a pas été fait un Ange. Il est descendu sur terre et Il a revêtu la forme d’un esclave, pas d’un ange. Il n’est pas descendu dans la grande gloire de Jéhovah, mais Il est descendu comme un Homme pour racheter un homme, pour mourir pour l’homme, pour mourir pour... comme un homme. Il n’est jamais mort comme Dieu. Il est mort comme un homme. Le péché de l’homme était sur le Fils de l’homme, Il a dû devenir un homme pour payer la peine.

            Qu’a-t-Il fait? La Bible déclare qu’Il a été rendu un peu inférieur aux anges en vue de la mort, afin qu’Il puisse ôter et abolir le péché et débarrasser le monde des maladies. Or, quand Il est descendu du lieu le plus élevé, le Logos sorti de Dieu, Il est descendu, passant par les anges, Il est descendu, Il a été fait Homme, et Il a dit: «Je ne suis même pas un homme. Je suis un ver et pas un homme» ; en effet, Il était méprisé et rejeté.

44        Il n’avait pas de beauté pour attirer nos regards. Il était abîmé plus que tout homme. Il était probablement un petit Homme mince, maigrichon, Il n’avait pas l’air du Roi.

            Souvent, les gens jugent les autres par leur habillement et par leur stature. On ne juge pas l’homme par sa grandeur et par la force de ses muscles ; on juge l’homme par le caractère, et le caractère seul. J’ai vu des hommes qui pesaient deux cents livres [90,7 kg] et qui n’avaient pas un brin d’homme en eux. On juge l’homme par le caractère, ce qu’il est dans son coeur. Et Christ n’est pas jugé par la force physique, mais Il est jugé par le caractère.

            Et jamais homme n’a vécu comme Lui, ou jamais homme ne peut donc mourir comme Lui. Jamais homme n’a pu monter en haut comme Lui, car Il était Dieu. «Je ne suis pas un homme.» Il ne s’est pas fait une réputation.

            Y avez-vous déjà pensé? L’homme qui a fabriqué l’oeil artificiel s’est fait une réputation. L’homme qui a fabriqué la dent artificielle s’est fait une réputation. L’homme qui a fabriqué le bras en bois s’est fait une réputation. Mais l’Homme qui a créé l’oeil original, l’Homme qui a créé le bras original ne s’est pas fait une réputation, mais Il est devenu un Serviteur, un Esclave des hommes qui étaient des pécheurs, afin de les gagner et de les ramener.

45        Comment un homme dans son bon sens peut-il connaître la vérité de l’Evangile là-dessus et rejeter l’Homme, rejeter cette offre que Dieu a faite pour sauver l’homme de la vie du péché? Comment peut-Il faire cela? Je n’arrive simplement pas à comprendre cela, comment vous pouvez rejeter une telle Personne, alors qu’Il n’est pas ici pour faire quelque chose que vous avez à faire pour Lui, mais juste vous offrir une issue d’où vous allez. Il est devenu cela pour vous.

            Quand Il a fait... Quand Il mourait là au Calvaire, tout L’avait rejeté. On avait craché sur Lui. On avait... .Son–Son visage était couvert de crachats de moqueurs. On avait mis un lambeau sur Ses yeux, on L’avait frappé sur la tête, et on a dit: «Si Tu es un Prophète, dis-nous qui T’a frappé.»

            Une petite femme a couru au milieu d’eux et a dit: «Qu’a-t-Il fait, sinon guérir vos malades, ressusciter vos morts, et faire du bien?»

            On L’a giflée à la bouche, disant: «Ecouteriez-vous cette femme plutôt que votre sacrificateur? Ôtez un tel Homme !»

46        Et Sa propre chère mère marchait sur Ses empreintes ensanglantées (Ô Dieu, laisse-moi marcher de même), alors qu’Il se dirigeait là vers le Calvaire ; au fond de son coeur, elle se posait des questions. Et quand elle a vu son Fils bien-aimé mourir là, un Homme de trente-trois ans qui paraissait en avoir cinquante, dit la Bible, à cause de la pression sous laquelle Il était, probablement qu’Il grisonnait, et Son visage affichait un air sévère alors qu’Il souffrait, non pas tellement physiquement, mais quand il y avait l’agonie.

            La Bible dit que Son Sang et l’eau se sont séparés l’un de l’autre, et tout médecin ou n’importe qui peut vous le dire, celui qui connaît la chimie du sang, qu’il n’y a que le chagrin qui provoque cela. Il n’est point mort de la lance romaine ; Il n’est point mort d’un clou qui Lui a été enfoncé dans la main ou dans les pieds, mais Il est mort de chagrin, d’avoir été rejeté: «Il est venu chez les Siens, et les Siens ne L’ont pas reçu.»

            Vous avez dit: «Frère Branham, j’aurais voulu me tenir là ce jour-là au Calvaire.» Frère, vous vous tenez à un meilleur endroit aujourd’hui. Vous vous tenez dans la Présence du Seigneur Jésus ressuscité qui a prouvé Sa victoire.

47        Regardez-Le alors qu’Il se tient là. Et après qu’Il fut ressuscité d’entre les morts, nous voyons ici par la suite que quand Il a donc continué, après qu’Il eut parlé avec Ses disciples, la Bible dit: «Il est monté en haut.» Qu’a-t-Il fait? Il a pris le... Il était descendu ici, le Logos venu du Ciel. Quand Il est rentré, Il a pris avec Lui... Le Souverain Sacrificateur, étant un Souverain Sacrificateur oint, avec la lumière des flambeaux de Son propre Sang, alors qu’Il parcourait ces puissances-là accusatrices, qui ne voulaient pas laisser Dieu et l’homme communier. Cela avait été brisé dans le jardin d’Eden.

            C’est le péché qui avait fait cela. Satan avait un... Le domaine de cette terre appartenait à Satan. Cela appartenait au diable. Mais quand Il est venu, le Souverain Sacrificateur oint...

            De même que le souverain sacrificateur Aaron entrait dans le lieu très saint, derrière le voile, oint de la précieuse huile d’onction, marchant d’une certaine façon, faisant retentir: «Saint, saint est l’Eternel» alors qu’il entrait, c’était le type de Christ, avec le sang de l’agneau devant lui, et s’il y allait autrement, il mourrait...

48        Christ, avec Son propre Sang, en tant que Souverain Sacrificateur oint de la puissance de Dieu, ressuscité d’entre les morts, Il a détruit la domination de Satan. Quand Il a détruit le domaine, Il est allé au Ciel, au-delà des cieux, et Il était... Il avait atteint le point le plus bas sur la terre et Il a été reçu au Ciel, et Dieu L’a placé au sommet au point qu’Il doit baisser le regard pour voir les cieux. Amen. Il n’est pas étonnant qu’Il soit le Puissant Conquérant alors qu’Il règne aujourd’hui aux siècles des siècles.

            Esaïe a dit: «Un Fils nous est né, un Enfant nous a été donné ; et on L’appellera Conseiller, Prince de la paix, Dieu puissant, Père Eternel, et Sa domination ne connaîtra pas de fin, ça sera aux siècles des siècles.» Il régnera sur le trône de David, Il est assis dans les cieux des cieux, loin au-dessus de chaque ange, archange. Il a détruit et dépouillé toute principauté et toute puissance à Sa crucifixion et à Sa résurrection. Qu’est-ce que Satan avait...

            Il a déchiré le voile du péché. Il l’a déchiré avec le Sang du Souverain Sacrificateur, de Son propre corps. Il est arrivé au prochain... Qu’était-ce? C’était un voile de maladie qui bloquait les gens. Il l’a déchiré. «Car Il était blessé pour nos péchés ; et c’est par Ses meurtrissures que nous avons été guéris.»

49        Il a traversé le grand voile, là, de la maladie, le grand voile du péché. Il a traversé le grand voile des soucis. Il a traversé le grand voile de la peur. Il a déchiré chacun d’eux et Il est monté très haut et Il a reçu un Nom qui est au-dessus de tout nom qui peut être nommé en haut dans les cieux, ou en bas sur la terre, ou dans le monde à venir.

            Dieu a pris ce Bien-Aimé qui s’était tellement abaissé qu’Il n’avait même pas d’endroit où naître ni d’endroit où mourir. Dieu L’a élevé en haut. Il Lui a donné une couronne de gloire là, et un Nom au-dessus de tout nom. Il est assis là aujourd’hui, le Puissant Conquérant, depuis qu’Il a déchiré chaque voile en deux.

            Le voile du péché a été déchiré en deux. Le voile de la maladie a été déchiré en deux. Et chaque voile qui bloquait l’homme vis-à-vis de Dieu a été déchiré en deux. «Je suis le Chemin, la Vérité et la Lumière.»...?... Il a détruit chaque puissance. Il a dispersé chaque démon. Il a effectué une recherche à la lumière depuis la Gloire...?...

50        Et, oh ! le vieux prophète, alors qu’il était étendu là sur le–sur le lit de pierre cette nuit-là avec son oreiller de pierre, il a vu les anges monter et descendre. Remarquez, d’abord, c’était descendre et monter. Mais cette fois-ci, c’était Dieu et l’homme, monter et descendre sur l’échelle de Jacob, comme nous l’appellerions. Après qu’Il eut détruit chaque puissance, combattu chaque domination, Il s’est assis à la droite de Sa Majesté divine en Haut, loin au-dessus de toute chose...

            Le canal du Saint-Esprit dans ce monde obscur est ouvert pour tout celui qui veut, il peut venir et être baptisé dans ce grand canal de Ses bénédictions et recevoir les bénédictions rédemptrices pour lesquelles Il est mort.

            Hommes et femmes, comment pouvez-vous rejeter une telle Personne, alors qu’Il est assis là, revêtu de Sa Majesté? Oh ! Il est assis dans Sa Gloire ce matin. Que faites-vous?

51        Il vint ici dans le monde, sans maison, pour frayer une voie pour des hommes et des femmes qui n’ont pas de maisons, pour des hommes et des femmes qui n’ont pas d’espérance, pour des hommes et des femmes qui n’ont pas de lieu où aller, pour un vagabond sans logis, épris de plaisir, qui vous parcourt les rues aujourd’hui, et des champs de course de chevaux, des jeux d’argent, et autres, cherchant à trouver du réconfort. Il a créé une place pour eux, chaque homme, et c’est tout aussi gratuit que l’eau qui coule. Que celui qui veut vienne.

            Vous ne pouvez pas aller au-delà de ce voile-ci. Vous devez entrer ici pour découvrir. Vous devez arriver ici où il n’y a rien entre vous et Dieu, où les anges de Dieu peuvent descendre et monter, faire des tours, ramener les Messages de Dieu à l’individu et vice-versa.

            «Rien ne sépare mon âme du Sauveur», dit le poète. Il est assis là, le Puissant Conquérant. Il a déchiré chaque voile en deux. Il a déchiré le voile afin que vous soyez sauvé. Il a déchiré le voile, afin que, si vous avez commis adultère, si vous avez blasphémé, si vous avez fait quoi que ce soit de mal, Il a déchiré ce voile-là pour vous. Ce bâton que Satan maintient sur vous, Il l’a cassé si seulement vous Le recevez.

52        Si aujourd’hui vous êtes malade et que le médecin dit que vous ne pouvez pas guérir, Il a déchiré ce voile-là en deux, et tout est brisé devant Dieu. Il a déchiré chaque voile. Il a détruit chaque domination, et Il est assis là aujourd’hui, le Puissant Conquérant, depuis qu’Il a déchiré le voile en deux.

            Ecoutez juste une minute, mon ami. Non seulement qu’Il l’était en ce temps-là, Il est apparu à Cléopas sur le chemin vers Emmaüs, à lui et à son ami... Mais un jour, alors qu’un petit martyr, le premier martyr dans la Bible, le Nouveau Testament, mourait, le petit Etienne, pour avoir pris fermement position là... Frère, Etienne était entré dans ce canal-là où il connaissait Dieu. «Il était rempli du Saint-Esprit», dit la Bible, et quand on l’a accusé, que le sanhédrin siégeait là, l’accusant...

53        Alors, il s’est tenu avec un visage ferme comme un ange, il savait où il était et il a dit: «Vous hommes Israélites», il s’est mis à leur parler, «lequel des prophètes vos pères n’ont pas persécuté?» Puis, il a dit: «Vous hommes au cou raide, incirconcis de coeur et d’oreilles, vous vous opposez toujours au Saint-Esprit: Ce que vos pères ont été, vous l’êtes aussi.»

            Et pour venger le sang de ce juste martyr qui se tenait là, leur disant ce qui était vrai et ce qui était faux, et eux pour venger ce sang-là, ils l’ont traîné comme une meute de loups traînant un agneau, et quand ils l’ont jeté par terre, ils ont pris de grosses pierres, ils se sont mis à le lapider à la tête avec ça comme ça. Le petit Etienne, rempli du Saint-Esprit, dit la Bible, fixa le regard vers le ciel, il leva les mains et dit: «Je vois les cieux ouverts, et je vois Jésus debout à la droite de Dieu.»

54        Quand un souverain sacrificateur... Quand tout homme termine son oeuvre, il descend. Aussitôt que j’aurai fini de prêcher, je m’assiérai, mais pas avant que j’aie cessé de prêcher. Quand vous travaillez, que vous vous assoyez, c’est que votre travail est fini. Jésus s’est assis à la droite de la Gloire. Mais quand Il a vu ce premier martyr mourir pour la cause du Christ, le Seigneur Jésus ressuscité a d’un coup de brosse repoussé les cieux, Il a dû se lever de Son Trône pour réserver un accueil spécial au petit Etienne, le ramener à la Maison.

            Il est là, ressuscité d’entre les morts. Son règne s’étend d’éternité en éternité. Il est au-dessus de chaque ange, de chaque principauté, tout ce qu’il y a au Ciel. Eh bien, Son... Les cieux, Son Trône est loin au-dessus des cieux des cieux, Dieu L’a élevé.

            Saint Paul, alors qu’il était encore Saul de Tarse, était en route avec une lettre dans sa poche pour persécuter tous ceux qui criaient et faisaient tous ces bruits, il était sur–sur son chemin vers Damas... Il était monté sur son cheval ce jour-là, fulminant de menace dans sa propre gorge: «J’enfermerai chacun de ces saints exaltés. Je mettrai fin à toute cette guérison divine et à ce non-sens qui se passe par ici.»

            Mais sur son chemin vers là, il réfléchissait, monté sur son pur-sang, il est tombé du cheval par terre ; et il s’est renversé, il s’est levé, et il y avait une forte Lumière brillante devant lui, qui lui avait même aveuglé les yeux. Elle a dit: «Saul, Saul, pourquoi Me persécutes-tu?»

            «Qui es-Tu, Seigneur?»

            Il a dit–Il a dit: «Je suis Jésus que tu persécutes.» Il L’avait vu dans Son règne éternel sans fin.

55        Quand le voyant avancé en âge, Jean, le bien-aimé, alors qu’il se tenait là sur l’île de Patmos pour avoir prêché la Parole de Dieu, pour avoir prêché la guérison divine, pour avoir guéri les malades, et pour avoir accompli des oeuvres que Christ lui avait dit d’accomplir... On l’avait amené sur l’île de Patmos, une petite île sur la mer Egée, d’environ quinze miles [24 km] de circonférence, pleine de pierres comme Alcatraz aujourd’hui. Des serpents et autres étaient sur l’île, et il y avait été exilé pour avoir prêché l’Evangile.

            Et quand le bien-aimé voyant avancé en âge (Il était dans les quatre-vingt-dix ans) était assis là sur une pierre, un beau matin de résurrection, il L’a vu. Il L’a vu. Il a dit: «J’ai entendu la Voix d’une trompette, et quand je me suis retourné pour regarder derrière moi, j’ai vu Quelqu’Un semblable au Fils de l’homme.» Regardez l’aspect... Il n’avait pas de... Ses yeux n’étaient plus embués de larmes. Il a dit: «Ses yeux brillaient comme le soleil en plein jour.» Le soleil en plein milieu de la Syrie ne pouvait pas briller plus que Ses yeux.

56        Il a regardé d’un regard fixe, Il n’avait plus de larmes aux yeux ; Il est glorifié ce matin. Ses pieds étaient comme des colonnes d’airain ; il n’y sera plus jamais enfoncé des clous. Plus jamais de cheveux ensanglantés, mais c’était aussi blanc que la neige. Il est glorifié. Il vit aux siècles des siècles. Il est le Puissant Conquérant. Son règne va d’éternité en éternité. Ses délégués sont ceux qui L’aiment et qui sont disposés à mourir pour Lui. Il est ressuscité d’entre les morts ce matin et Il vit parmi nous. Croyez-vous cela? Prions.

            [Espace vide sur la bande–N.D.E.]...?... pianiste, veuillez aller au piano.

Descendu de Sa Gloire, l’histoire toujours vivante,
Mon Dieu et mon Sauveur vint, et Jésus fut Son Nom,
Né dans une mangeoire, Etranger pour les Siens,
Homme de douleur, de larmes et d’agonie,

Oh ! Combien je L’aime ! Combien je L’adore !
Ma Vie, mon Soleil, mon Tout en tout !
Le Grand Créateur devint mon Sauveur,
Et toute la plénitude de Dieu habite en Lui.

            Notre Père céleste, après que les moments sacrés auront disparu et se seront écoulés, que les royaumes des hommes seront amoindris et ne seront plus, que tout...

Si toute la mer était remplie d’encre,
Que chaque tige sur terre était une plume,
Et que tout homme était écrivain professionnel,
Décrire l’amour de Dieu en-haut
Dessécherait l’océan ;
Ou les rouleaux pourraient-ils contenir le tout,
Même si on les déployait d’un ciel à un autre.

57        Aujourd’hui, nous sommes un groupe de croyants heureux, Père. Nous sommes Tes serviteurs. Nous sommes très heureux de le savoir. Quoique pauvres, cependant ici dans cette petite église modeste, Tu es entré simplement, ici, tout comme Tu l’avais fait avec Cléopas et l’autre sur leur chemin vers Emmaüs. Un logis ne peut pas être trop modeste, trop petit pour T’empêcher d’y entrer, et cependant, Tu remplis tout l’espace et tout le temps.

            Et je me demande aujourd’hui, Père céleste, après qu’ils ont entendu dire que Tu étais ressuscité d’entre les morts, et sachant que d’ici peu un défi va être lancé... Je prie, Père céleste, que s’il y a des hommes et des femmes ici présents aujourd’hui, des jeunes garçons ou des jeunes filles qui ne T’ont jamais reçu comme Sauveur personnel, qu’ils fassent cela maintenant, disant: «Seigneur, j’oublie maintenant tout mon orgueil terrestre. Je mets tout de côté et je me livre à Toi. Je n’ai rien à donner si ce n’est moi-même. Mais si Tu peux m’utiliser, ô Dieu, me voici. Et utilise-moi, et à partir de ce jour, que le Saint-Esprit me conduise, me guide, et fasse de moi un chrétien.» Ô Dieu, puisse cela être la prière de beaucoup ici aujourd’hui.

58        Et pendant que nous avons nos têtes inclinées et nos yeux fermées, je me demande s’il y a à l’intérieur ou dehors quelqu’un qui aimerait lever la main vers Christ pour dire: «Par cette main levée, je crois maintenant au Seigneur Jésus-Christ, et je L’accepte maintenant comme mon Sauveur personnel. Et aujourd’hui, à partir de ce jour-ci, je Le servirai de tout mon coeur, car Il est ressuscité d’entre les morts et je crois.» Voudriez-vous lever la main, n’importe où à l’intérieur? Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse, et vous, soeur, vous, vous, vous. C’est merveilleux. Que Dieu vous bénisse.

            Décidez-vous, le Saint-Esprit est là. C’est Lui qui accomplit l’oeuvre de Dieu. Quelqu’un là au fond du couloir, à l’extérieur, levez haut la main. Que Dieu vous bénisse. Je vous vois là au fond. Que le Seigneur soit avec vous, mon frère. Que Dieu vous bénisse, ma soeur. Quelqu’un d’autre? Que Dieu vous bénisse, ma soeur, là au fond du couloir. Je vous vois vers l’extérieur. Quelque... Dieu vous voit ; même si je ne vous vois pas, Lui vous voit.

            Jésus, le Tendre, le plus Beau d’entre dix mille, Lui qui est descendu du Ciel et qui a été fait péché, Il est mort, Il est ressuscité, Il est monté, Il est assis à la Majesté divine maintenant, glorifié.

59        Les anges de Dieu prennent place dans la salle aujourd’hui, ils parlent au coeur des gens... Voulez-vous ce jour-ci, après que vingt-cinq ou trente ont levé la main, voulez-vous être un autre à lever la main pour dire à Dieu: «Ô Dieu, en ce jour, j’aimerais être entièrement à Toi alors que je lève la main vers Toi, en guise de confession de mes péchés et de mes torts ; j’aimerais vivre pour Toi qui es mort pour moi»? Que Dieu vous bénisse, mon frère. Y aurait-il quelqu’un d’autre? Pensez-y pendant que vous priez.

Le sang des disciples qui moururent pour la vérité,
Cet Evangile du Saint-Esprit ruisselle de sang.

Le premier à mourir pour ce plan du Saint-Esprit
Fut Jean-Baptiste, il mourut en homme.
Puis vint le Seigneur Jésus, on Le crucifia,
Il prêcha que l’Esprit sauvera les hommes du péché.

Il ruisselle de sang, il ruisselle de sang.
(Voulez-vous occuper la place maintenant?)
Cet Evangile du Saint-Esprit ruisselle de sang,
Le sang des dis-...

60        Quelqu’un d’autre lèvera-t-il la main? J’aimerais occuper ma place ce matin, côté position. Je ne vous demande pas d’adhérer à l’église ; nous n’avons pas de membres ici. Je veux que vous veniez à Christ.

... ruisselle de sang.

            Notre Père céleste, Tu as bien vu les mains des gens. J’offre cette prière de la foi pour eux, afin qu’à partir de ce jour-ci ils mènent une nouvelle vie ; et que Celui qui est présent maintenant, qui a veillé sur eux, qui les a nourris, qui a fait des choses qu’Il a faites pour eux, et qui les a amenés à l’église ce matin... Maintenant, ils L’ont reçu, ils rentrent comme Cléopas et l’autre. Ils étaient retournés juste en quelques minutes alors que c’était un trajet d’un jour de sabbat. Ils étaient retournés d’un coeur léger, non pas pour discuter de leur religion, mais sachant qu’Il vit. Puissent ceux-ci retourner à leurs maisons aujourd’hui d’un coeur léger, sachant qu’Il vit, car nous le demandons en Son Nom. Amen.

61        Maintenant, après le message, et vous qui avez reçu Christ comme votre Sauveur, le glorieux matin de la résurrection... Maintenant, le temps est proche où je dois être soit un faux témoin, soit un vrai témoin de Christ. Si j’ai dit la vérité, comme je crois que cette Bible est la Vérité, et pas un autre livre, et tout ce qui est contraire à Ceci n’est pas la vérité. Je crois que seule cette Bible contient la Vérité de Dieu. Et si cette Bible dit qu’Il est ressuscité d’entre les morts, qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement, Il doit donc être le même quant à la résurrection, Il doit être le même quant à la puissance. Il doit être le même quant à l’essence. Il doit être le même à chaque point de vue sauf en ce qui concerne un corps en substance. Ce corps, Son corps corporel, est assis à la droite du Dieu Tout-Puissant dans la Gloire. Croyez-vous cela? Il est assis à la droite du Dieu Tout-Puissant dans la Gloire, intercédant.

62        Y avez-vous déjà pensé? Quand les enfants d’Israël étaient en Egypte, ils savaient qu’ils retourneraient un jour à la maison. Pourquoi? Parce qu’ils voyaient le corps de Joseph étendu là, les os de Joseph, et ils savaient que c’était un signe qu’ils retourneraient à la maison un jour.

            Et alors, quand nous quitterons cette terre, à notre mort, et que nous entrerons dans un autre genre de corps... Ce n’est pas ce genre de corps. Nous n’avons pas été créés pour les cieux. Nous avons été créés pour la terre. Nous sommes des hommes terrestres, et souvenez-vous de la Bible, des âmes sous l’autel en train de crier: «Jusqu’à quand?» Ils–ils étaient... Ils réclamaient de retourner encore dans le corps, de se serrer la main les uns aux autres, de manger, de communier. C’est comme ça que nous avons été créés. C’est ainsi... pour cela que nous avons été créés.

63        Et puis, ils ont là un signe qu’ils reviendront. Qu’est-ce? Le corps corporel du Seigneur Jésus-Christ assis sur le Trône de Dieu, et quand nous passons à côté de celui-là... Si nous partons aujourd’hui et qu’Il ne vient pas en l’espace de cent ans, je vous rencontrerai là-bas. Je dirai qu’un jour, nous reviendrons. Vous voyez là? Ce corps-là s’élèvera une fois de plus du Trône. Il retournera sur la terre ; et alors, chaque esprit né de nouveau reviendra à un corps corporel, un jeune homme et une jeune femme, pour vivre aux siècles des siècles dans la Présence de Dieu.

            Quel–quel... Comment pouvons-nous rejeter pareilles choses? Je suis reconnaissant que vous ayez accepté Christ.

64        Or, Jésus, quand Il était ici sur terre, avant de s’en aller, dans Saint Jean 14.7, Il a dit: «Encore un peu de temps», ou Il a dit ici, Il a dit: «Les choses que Je fais, les oeuvres que Je... Celui qui croit en moi fera aussi les oeuvres que Je fais. Il en fera davantage, car Je m’en vais au Père.» Maintenant, quelles étaient les oeuvres que Jésus faisait? Il n’a jamais prétendu être un guérisseur. Il a dit: «Ce n’est pas Moi, c’est Mon Père qui demeure en Moi qui fait les oeuvres.»

            Saint-Jean 5.19, Il a dit: «Le Fils ne peut rien faire de Lui-même, Il ne fait que ce qu’Il voit faire au Père.»

            Quand Philippe est allé chercher Nathanaël et qu’il l’a amené auprès de Lui, Il a dit: «Voici un Israélite dans lequel il n’y a point de fraude.»

            Il a dit: «Comment m’as-Tu connu, Rabbi?»

            Il a dit: «Avant que Philippe t’appelât, quand tu étais sous l’arbre, Je t’ai connu.»

65        Une femme au puits ce jour-là, Il lui a parlé jusqu’à découvrir son problème. Un jour, il a connu un problème d’argent, quelques pièces pour payer des dettes, ou le tribut, et Il a dit à Pierre: «Descends attraper un poisson, regarde dans sa bouche, et tu trouveras une pièce d’argent.» Peut-être que si Pierre avait attrapé le poisson autrement, il n’aurait jamais ouvert la bouche du poisson, mais Jésus savait que la pièce d’argent était dans sa bouche. Le Père le Lui avait montré.

            Beaucoup d’autres choses... Il se tenait dans l’assistance, Il s’est retourné et Il a dit: «Ta foi t’a guéri. Tu souffrais de telle chose.»

            Eh bien, si ce Jésus-là est ressuscité d’entre les morts, et en ce beau matin de Pâques, s’Il apparaît ici à l’estrade, alors vous... Pouvez-vous apprécier ce que je dis? Si Jésus, le Fils de Dieu, après tous ces deux mille ans de l’histoire ecclésiastique et tout le reste, toutes les confusions, une église dit: «C’est ceci, et ceci est cela, et cela est cela.»...

66        Regardons cela bien en face. S’Il est Jésus, Il est vivant. S’Il ne l’est pas, Il ne l’est pas ; et s’Il est vivant, Il est le même. Et s’Il n’est pas le même, alors ce n’est pas le même Jésus. Mais s’Il est le même Jésus, Sa promesse est: «Je serai avec vous, même en vous jusqu’à la fin du monde ; et vous ferez aussi les oeuvres que Je fais jusqu’à la fin du monde.»

            Eh bien, comment est-Il ici ce matin? Sous la forme du Saint-Esprit. Nul n’est descendu si ce n’est Celui... Nul n’est monté si ce n’est Celui qui est descendu. «Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus, a-t-Il dit, mais vous, vous Me verrez, car Je serai avec vous, Je serai en vous jusqu’à la fin du monde.» Et Il est ici ce matin.

67        Maintenant, combien à l’intérieur ou dehors aimeraient qu’on prie pour eux? Levez la main. Eh bien, c’est–c’est une centaine ou plus. Eh bien, nous ne pouvons pas amener tous ces gens ici du coup. Nous devons les amener un à un. C’est l’unique procédé pour nous, je crois que frère... ou Billy Paul, je pense, a distribué les cartes de prière. Combien, Billy? Cent? Très bien.

            Maintenant, il nous faut avoir des cartes, afin que les gens soient comptés en montant et qu’ils viennent à leur tour. Sinon, cela causera des troubles.

            Je ne sais pas, mais ce que... Un homme m’a appelé hier soir, de très loin. En fait, il y avait trente ou quarante qui avaient appelés hier après-midi seulement. Mais, regardez. J’aimerais vous poser une question. L’essentiel qu’il vous faut savoir...

            Eh bien, il n’y a rien en moi qui puisse guérir quelqu’un. Il n’y a rien en aucun autre homme. Il n’y a rien en un médecin qui puisse vous guérir. Il vous dira la même chose. Il ne vous guérit pas. Non, non. Si vous vous êtes fracturé le bras, et que vous disiez: «Doc, guéris très vite mon bras. J’aimerais terminer de démarrer à la manivelle mon véhicule», qu’est-ce que c’est insensé ! Voyez?

            Eh bien, vous dites: «Tiens, je me suis fracturé la jambe, doc. Il me faut–il me faut effectuer une longue promenade cet après-midi. Guéris-la-moi très vite.» Eh bien, il dirait que vous êtes fou. Il peut remettre votre jambe en place, mais il faut Dieu pour vous guérir. Voyez? C’est vrai. Voyez? Il le fait à Sa propre manière. Voyez? Donc, ce n’est pas lui qui est le guérisseur. Il ne peut pas guérir.

68        Et si vous vous blessiez à la main et que vous disiez: «Tiens ! Doc, j’aimerais que vous–j’aimerais que vous me suturiez cela très vite et que vous guérissiez cela très vite, car je n’aimerais pas avoir de cicatrice à la main.» Voyez? Très bien. Ça fait mal. «Je dois travailler cet après-midi.» Il ne pourrait pas le faire. Certainement pas. Il pourrait–il pourrait nettoyer cela avec un médicament. Il pourrait nettoyer en ôtant les germes de là, mais c’est Dieu seul qui peut créer la vie et former des tissus. Voyez-vous? Il est l’Unique qui puisse faire cela. Nous le savons. Il ne vous faut pas être un érudit pour connaître cela. Vous n’avez qu’à regarder la Parole de Dieu.

            Et Satan n’a pas de puissance pour guérir. Je donne n’importe quoi à quiconque veut, au mieux de mes possibilités, s’il me montre un seul passage des Ecritures qui dit que Satan peut guérir. Ce n’est pas... «Je suis l’Eternel qui guérit toutes tes maladies», dit Jésus. Eh bien, eh bien, il... Satan ne peut pas guérir. Il faut Dieu. Et c’est sur base de votre foi que Dieu guérit.

69        Maintenant, j’aimerais vous poser une question. Un homme m’a appelé, comme je le disais, hier, il a dit: «Frère Branham, j’aimerais venir à la réunion de Chicago au...», qui commence après demain. Il a dit: «Je–j’aimerais venir à... J’aimerais prendre contact.»

            J’ai dit: «Quel contact voulez-vous dire, monsieur?»

            Il a dit: «J’aimerais que mon frère soit guéri.» Il a dit: «Il a une jambe en mauvais état.» Et il a dit: «Nous habitons la contrée.» Il a dit: «Nous avons été à deux ou trois réunions, et nous n’avons jamais pu vous contacter.»

            J’ai dit: «Eh bien, que voulez-vous dire par contact, frère?»

            Il a dit: «Eh bien, voici ce que je veux dire, que je–je–j’aimerais que vous fassiez quelque chose pour mon frère.»

            J’ai dit: «Eh bien alors, monsieur, vous cherchez à contacter la mauvaise personne.» Voyez? J’ai dit: «Me contacter reviendrait à voir l’organisateur et voir ce que c’est, mais, ai-je dit, cela ne guérit pas votre frère.» Il... J’ai dit: «Voulez-vous dire un contact pour sa guérison?»

            Il a dit: «Oui.»

            J’ai dit: «Eh bien, voici comment on procède. Allez à la réunion. Asseyez-vous là dans l’assistance, et alors, je suis juste Son serviteur. Je m’abandonne simplement à Cela, au Saint-Esprit. Puis, vous établissez le contact avec le Saint-Esprit, Il me parle pour me dire quoi vous dire. Voyez? C’est ça votre contact, pas moi, Lui. Et tant que vous cherchez à établir le contact avec moi, vous êtes tout le temps à côté (Voyez?) ; mais tant que vous cherchez à établir le contact avec Lui, vous établissez le contact avec Lui et Il m’utilisera simplement comme porte-parole pour vous parler.» Voyez? C’est ça.

70        Frère Head, je vous vois assis là derrière, à côté de mon ami, monsieur Lee. Monsieur Head est un homme qui se mourait du cancer. Il était membre de l’Eglise catholique romaine à Louisville, il se mourait du cancer de rectum, je pense que c’était ça, ou quelque chose comme cela ; il est venu me voir un jour alors que j’habitais de l’autre côté de la rue et il a demandé s’il y avait de la miséricorde pour lui afin qu’il soit guéri. J’ai offert la prière de la foi là, et le Seigneur a montré une vision. Et monsieur Head, je pense que cela s’est passé il y a au moins dix ans, n’est-ce pas? Environ neuf ans, et le voici vivant aujourd’hui. La guérison est réelle, n’est-ce pas, monsieur Head? Il Lui importe peu, qui Il guérit. Il guérira les méthodistes, les baptistes, les catholiques, quoi que vous soyez, ça ne change rien ; Il guérit. Voyez? Maintenant, croyez simplement.

            Il m’est simplement arrivé de voir. Je me demande si Margie Morgan est dans la salle ce matin. Si elle y est, qu’elle lève la main. Margie, êtes-vous entrée? Etes-vous ici, soeur? Eh bien, là tout au fond. Oui. Une autre femme, une infirmière ici à l’hôpital, elle figure sur la liste des morts de cancer à Louisville. Elle est là même, guérie, elle n’était qu’un tas d’os entreposés là. La voilà. La pauvre jeune fille ne peut même pas trouver une place pour s’asseoir, elle est là au fond, debout, dans le couloir là derrière, ce matin.

71        Oh ! Comme–comme je me souviens que le médecin avait dit: «Oh ! la la ! Il n’y a rien qui puisse l’aider.» Son cher mari, un ami intime à moi, est directement venu là, j’étais en lambeaux, cela avait été déchiré dans le fourré lors de la patrouille.

            Il a dit: «Est-ce que quelque chose peut aider ma femme?»

            J’ai dit: «Ce n’est pas à moi de penser, monsieur. Qu’en pensez-vous?»

            Il a dit: «Je crois.»

            J’ai dit: «Faites-la venir», et ici même, on a prié pour elle cette nuit-là, et le Seigneur est descendu et Il lui a dit ce qui allait arriver. Et ça fait des années. Elle est ici aujourd’hui, une femme forte et en bonne santé. Et allez à l’institut des recherches sur le cancer à Louisville et voyez si elle n’était pas... si elle n’est pas morte il y a environ dix ou douze ans. Voyez si elle... C’est donc une femme morte qui est ressuscitée, là derrière. Voyez? Certainement. Oh ! Jésus vit. Jésus règne. Jésus est tout.

            Maintenant, voudriez-vous commencer de un à cent? De un à cent? Très bien. Maintenant, qui a la carte de prière numéro 1, voudriez-vous vous lever ici sur le côté? Nous avons plutôt laissé... Vous–vous avez des cartes de prière. Il nous faudra vous aligner tous là, mais nous–nous allons–nous allons aligner ici de ce côté.

72        [Espace vide sur la bande–N.D.E]... femme, je ne connais pas. Je ne l’ai jamais vue. Elle est la mère de quelqu’un, peut-être. Je ne la connais pas. Eh bien, c’est tout pareil au temps où Jésus était assis à côté de ce puits-là ce jour-là et qu’Il avait renvoyé les disciples. Eh bien, Jésus lui a parlé, et quand Il lui a parlé, Il a dit: «Apporte-Moi à boire.»

            Elle a dit: «Le puits est profond et Tu n’as rien pour puiser. Et de coutume, nous n’avons pas de relations les uns avec les autres, les Juifs avec les Samaritains.»

            Il a dit: «Mais si tu connaissais Celui à qui tu parles, c’est toi qui M’aurais demandé à boire.» Et donc, la conversation s’est poursuivie, elle a parlé de l’adoration et tout. Puis, après qu’Il lui eut parlé un peu, Il a découvert son problème. Est-ce vrai? Combien savent cela? Il a découvert ce qui clochait chez elle, son–son mal ; c’était une vie immorale. Est-ce vrai? Il a dit: «Va chercher ton mari.»

            Elle a dit: «Je n’ai point de mari.»

            Il a dit: «C’est vrai. Tu en as eu cinq.»

73        Eh bien, suivez ce qu’Il... elle a dit. Eh bien, écoutez ce qu’elle a dit. Elle a dit: «Seigneur (Attentivement), Seigneur, je vois que Tu es Prophète.» Elle a dit... Eh bien, écoutez. «Mais nous savons que quand le Messie sera venu...» Qui était le Messie? Le Fils de Dieu. Elle a dit: «Nous savons que quand le Messie sera venu, Il nous annoncera ces choses, mais Toi, qui es-Tu?»

            Jésus a dit: «Je Le suis, Moi qui te parle.»

            Et alors, elle est entrée dans la ville en courant et a dit: «Venez voir un Homme qui m’a dit ce que j’ai fait. Ne serait-ce point le Christ même?» Voyez? Quand Christ sera venu, ce sont ces choses qu’Il fera. Maintenant, écoutez cette dernière déclaration. Si ce que cette femme-là avait dit: «Nous savons que quand le Messie sera venu, c’est ce qu’Il fera», eh bien, si c’était là le signe du Messie en ce temps-là, qu’Il–Il était le Messie et qu’Il est ressuscité d’entre les morts, n’est-ce pas la même chose aujourd’hui s’Il est le même?

74        Maintenant, voici une femme. Je ne la connais pas. Dieu sait cela. Eh bien, je ne sais rien. Je n’ai jamais vu cette femme de ma vie, à ce que je sache. Elle est une inconnue, mais Dieu la connaît. Maintenant, la femme est ici pour quelque chose. Je ne sais pas. Peut-être qu’elle a un bien-aimé qu’elle représente. Elle a peut-être un problème d’argent. Elle a peut-être une maladie. Elle est peut-être une pécheresse et elle est venue ici pour être sauvée. Je ne sais pas.

            Mais si Jésus-Christ, le Fils de Dieu ressuscité, veut descendre ici et dire à cette femme quelque chose dont elle reconnaît que je ne sais rien, allez-vous, vous l’assistance, croire que ce même Jésus qui était ressuscité en ce jour-là est ici et qu’Il–Il–Il est en train de rompre le pain pour vous comme Il l’avait rompu pour les autres à Emmaüs?

75        Eh bien, maintenant, soeur, j’aimerais vous regarder juste une minute. J’aimerais que vous me parliez. Eh bien, que le Seigneur fasse cela. Eh bien, j’aimerais que vous soyez très respectueux maintenant pendant ce moment-ci, surtout dans cette–cette ligne. Eh bien, je ne dis pas... Ceci est ma ville de résidence. Ça fait deux fois, depuis que je suis dans le ministère, que cela a marché ici au tabernacle. Pourquoi? Jésus a dit qu’un prophète n’est pas honoré dans sa propre patrie, parmi les siens... C’est l’unique endroit où il est méprisé. Est-ce vrai?

            Quand Il est allé dans Son propre territoire, ils ont dit: «Qui est ce Gars après tout? De quelle école est-Il sorti?» Voyez? Et Jésus n’a pas pu accomplir beaucoup de miracles à cause de leur incrédulité.

76        Ils ont dit: «N’est-ce pas là le Fils du charpentier? Sa mère n’est-elle pas ici avec nous? N’est-ce pas Joseph le charpentier? Ses frères et Ses soeurs ne sont-ils pas ici avec nous? Eh bien–eh bien, où a-t-Il obtenu cela? De quelle église est-Il membre?» Il n’était membre d’aucune d’elles. Ils ont dit: «Eh bien, quand a-t-Il acquis cette sagesse?»

            Et Jésus a fait cette déclaration, et ça sera la même chose aujourd’hui, et Il a dit: «Un prophète, depuis lors, n’est pas honoré parmi les siens.» Non pas vous ici, mais c’est l’environnement de Jeffersonville où j’ai grandi. Tout le monde connaît tous mes points forts et mes points faibles, et tout, et la plupart sont faibles. Je regrette. Mais Jésus sait, je ne sais pas cela. Dieu non plus. Jésus a ôté tout cela, Dieu n’en sait donc rien. Il les a jetés dans la Mer de l’Oubli quand je les ai confessés il y a vingt-trois ans, et Il n’en sait plus rien maintenant, n’est-ce pas? Ce–.ce–ce sont donc les bénédictions de Dieu.

77        Maintenant, j’aimerais parler à notre soeur. Maintenant, madame, cette assistance est vaste. Il y a ici deux ou trois cents personnes, ou je ne sais combien ici ce matin. Vous et moi, nous sommes inconnus l’un à l’autre, nous ne nous connaissons pas. Nous ne nous sommes jamais vus, à ce que je sache, mais... Vous–vous m’avez vu? Oui. Où étiez-vous, à la réunion, de toute façon? Là dans le Kentucky. Eh bien, je veux dire que je ne sais pas qui vous êtes. Non, c’est vrai. Non. Eh bien, pouvez-vous tous entendre la dame? Je ne sais rien à son sujet. Elle a été dans l’une de mes réunions dans le Kentucky. Nous sommes donc de parfaits inconnus l’un à l’autre.

            Maintenant, si le Seigneur Jésus... Si je peux m’abandonner au Saint-Esprit, et qu’Il peut me dire quelque chose au sujet de cette femme, ou ce pour quoi elle est ici, n’importe quoi, comme la femme au puits ou les autres, vous tous, vous avez promis de croire.

78        Maintenant, madame, vous dans le fauteuil roulant, croyez-vous cela? Allez-vous croire, soeur Edith? Allez-vous croire, qui que vous soyez, la petite dame, qui ne peut pas se lever ici, allez-vous croire, soeur, de tout votre coeur? Voyez? Maintenant, allez-vous, vous tous ici présents qui souffrez des maladies de toutes sortes, allez-vous croire? Eh bien, si vous faites donc cela, alors vous Le touchez. Voyez? Vous pouvez me toucher toute la journée ; cela ne changera rien du tout. Voyez? Venez, touchez-moi et je ne le saurais pas, mais touchez-Le une fois, et voyez-Le se retourner et vous en parler. Voyez? Touchez-Le simplement une fois par la foi. Ce n’est pas... Ce n’est pas moi qui ressuscite les morts. C’est Lui qui est ressuscité d’entre les morts (Voyez?), et moi, je ne suis que Son serviteur.

79        Maintenant, soyez très respectueux. Regardez dans cette direction-ci. Et dans quelques minutes, cela devrait être établi sans l’ombre d’aucun doute. Maintenant, soeur, comme nous sommes des inconnus, dis-je, l’un à l’autre, parlant... Vous voyez que je mène une bataille pour me livrer moi-même à l’Esprit. C’est tout à fait vrai ; en effet, c’est chez moi. C’est ici au tabernacle. Cela ne marche simplement pas comme ça devrait marcher et... Mais Dieu connaît toutes choses. Il peut faire toutes choses. Si Dieu me révèle ce pour quoi vous êtes ici, allez-vous accepter votre...? Quoi que ce soit, si vous êtes ici à cause de la maladie, accepterez-vous votre guérison? Si vous êtes ici pour de l’argent, pour quoi que ce soit, ça sera un acte surnaturel, n’est-ce pas?

            Eh bien, maintenant, au Nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu, je prends chaque esprit ici présent sous mon contrôle. Cette femme s’éloigne de moi. Oui, elle n’est pas d’ici. Elle vient d’ailleurs, d’un modeste foyer. Et elle–elle souffre, elle est couverte de l’ombre. Elle est couverte de l’ombre de la mort, et c’est un cancer. C’est vrai. Mais uniquement Dieu seul peut vous rétablir, et vous le savez. Cela est sur le sein ou sur votre mamelle, un cancer de sein. Je le vois faire l’examen. C’est vrai, madame.

80        Quand vous étiez sur votre route vers ici, vous étiez en train de prier pour que vous montiez ici où je suis. Avant de quitter, vous avez prié jusqu’au bout afin que vous puissiez monter à cette estrade. C’est vrai. Je ne suis pas en train de lire vos pensées. C’est vrai. Et quand vous vous êtes retournée, alors le soleil a brillé sur vous par la fenêtre ; vous savez que... Quand Dieu vous parlait, Il vous a plutôt accordé la foi de savoir que vous aurez cette carte de prière. Et vous voici ici sur l’estrade ce matin. C’est vrai. Je ne suis pas en train de lire vos pensées, mais c’est vrai. Eh bien, si c’est vrai, levez la main. Maintenant, croyez-vous? Croyez-vous là dans l’assistance? [L’assistance dit: «Amen.»–N.D.E.] Maintenant, ayez foi, soeur.

81        Venez ici, soeur. Maintenant, regardez. Il y a ici Quelque Chose, c’est dans Sa Présence que vous êtes maintenant ; vous savez que ce n’est pas un homme. Ce n’est pas votre frère. Il y a ici Quelque Chose qui vous connaît. N’est-ce pas vrai? Il connaît tout à votre sujet... Maintenant, c’est votre attitude envers Cela qui compte. Croyez-vous que C’était Jésus-Christ qui m’avait permis de faire cela? Vous–vous croyez. Croyez-vous donc que Dieu vous guérira? Inclinez la tête.

            Notre Bienveillant Père céleste, Tu es le Dieu d’Abraham, d’Isaac et de Jacob, et cette pauvre femme ici sous cette ombre noire de la mort, sachant qu’elle doit partir bientôt si Tu ne la touches pas, elle est ici ce matin, marchant ici dans cette salle, avec le Seigneur Jésus-Christ ressuscité, de l’autre côté du monde, marchant au milieu des fleurs, les gens aujourd’hui, vivant aux siècles des siècles et Il parle au travers de Ses serviteurs, essayant par la Parole, puis par la prophétie, de révéler le secret du coeur de la femme, afin qu’elle sache qu’Il l’aime.

            Et, Père, en tant que Son serviteur, je lui impose les mains et je condamne ce démon, qu’il la quitte, au Nom de Jésus-Christ. Amen.

82        Maintenant, allez en croyant, et si vous pouvez croire de tout votre coeur... Cela vous a quittée maintenant. Voyez? Maintenant, si vous pouvez croire... En effet, tout est clair autour de vous (Voyez?), alors que c’était sombre. Maintenant, si vous pouvez croire de tout votre coeur, cela ne reviendra plus jamais sur vous. Allez, rendez-Lui louange, et vous serez comme ces gens, là derrière, qui souffraient du cancer et qui sont vivants aujourd’hui. Vous serez vivante avec eux. Amen.

            Croyez-vous? Que tout le monde soit fidèle, qu’il croie. Ne doutez pas, mais ayez foi. Dieu connaît toutes choses, Il peut faire toutes choses.

            Maintenant, notre soeur ici, évidemment, elle m’est inconnue. Est-ce vrai, madame? Nous sommes inconnus. Vous avez été à deux reprises dans notre tabernacle, pendant que je prêchais ici. Evidemment, je ne vous reconnaîtrais pas, vous savez. Je ne sais pas... Vous m’êtes simplement inconnue. Maintenant, croyez-vous que Jésus-Christ, le Fils de Dieu, est ici pour vous aider? Croyez-vous que le message que j’ai prêché sur Lui vient de la Bible? Et vous croyez que s’Il était ici maintenant, portant ce costume qu’Il m’a donné, qu’Il disait...

83        Ayez foi en Dieu. Maintenant, soyez très respectueux. Tenez-vous tranquilles. Soyez respectueux. Si–s’Il portait ce costume qu’Il m’a donné, et que vous veniez dire que vous étiez malade... Je ne sais pas si vous l’êtes. Mais disons que si vous étiez malade, et que vous disiez–vous disiez: «Seigneur Jésus, veux-Tu me guérir?», savez-vous ce qu’Il vous dirait? Il dirait: «Mon enfant, Je l’ai fait quand J’étais mort pour toi et que J’étais ressuscité pour ta justification.» Croyez-vous cela? Il ne peut plus faire cela. Il l’a déjà fait une fois. Voyez-vous? Maintenant, Il vous a sauvée quand Il est mort. Maintenant, Il est ressuscité et alors, vous... pour votre justification, c’est pareil pour votre maladie.

            Maintenant, mais Il peut vous dire quelque chose à votre sujet comme Il l’a fait pour la femme. C’est l’unique chose qui est restée, qu’Il peut faire. Voyez? Il ne nous a jamais laissé sans témoin. Il a placé le Témoin ici, le Saint-Esprit, pour continuer à témoigner de Lui. Est-ce vrai?

84        Maintenant, vous êtes... vous n’êtes pas d’ici. Vous venez d’ailleurs (C’est vrai.), d’une région montagneuse... C’est vrai. Il y a beaucoup de bois durs et autres, peut-être, Kentucky. Exact? Et vous êtes venue ici dans un but, et je vous vois chez vous. Vous êtes très nerveuse, bouleversée. Oui. Vous êtes nerveuse, vous n’arrivez pas à vous contenir. C’est une chose horrible. Je vous vois faire les cents pas, en faisant quelque chose, on dirait que vous sortez de la cuisine, allant vers une autre pièce tout le temps, vous faites des va-et-vient. Vous devenez très nerveuse. Cela surtout les après-midi quand vous vous sentez très faible. C’est vrai.

            Vous savez, Quelque Chose ici vous connaît, n’est-ce pas? C’est infaillible. C’est vrai. C’est vrai, n’est-ce pas? Voyez? Eh bien, qu’est-ce qui se tient ici qui peut me permettre de savoir ce que vous faites dans votre maison? Il y a Quelqu’Un ici qui est plus qu’un homme. C’est Jésus. C’est vrai. Et je vois que vous avez quelque chose à l’intérieur. C’est une grosseur en vous. C’est vrai. Et vous en avez une à l’extérieur. C’est vrai. Et c’est sous votre bras. C’est une nodosité, et cela est sous votre bras droit. C’est vrai. N’est-ce pas vrai?

85        Croyez-vous? Croyez-vous qu’Il est ressuscité d’entre les morts? Venez ici. Dieu bien-aimé, sur notre bien-aimée soeur que voici, nous condamnons les maladies de son corps ; qu’elle rentre chez elle étant une personne bien portante. Nous faisons ceci au Nom de Jésus-Christ. Amen. Que Dieu vous bénisse, soeur. Maintenant, allez en vous réjouissant. Soyez heureuse. Croyez de tout votre coeur, et Dieu fera pour vous infiniment.

            La petite dame qui me regarde, en petit manteau rose, elle porte des lunettes, elle a des cheveux noirs, elle établit un merveilleux contact avec l’Esprit en ce moment-ci. Elle souffre de sinusite, cela la dérange. C’est vrai, madame, vous en manteau rose là. C’est vrai. Ayez foi. Croyez. Voyez-vous ce que je veux dire? Il ne vous faut pas être ici. Il vous faut être là. Ayez foi.

86        Bonjour, madame. Croyez-vous de tout votre coeur, de toute votre âme, de toute votre pensée? Vous êtes aussi extrêmement nerveuse. Oui, madame. Vous souffrez d’une maladie dont souffre en fait une dame de–de votre âge, c’est cela qui vous rend nerveuse. Mais vous avez également une grosseur, on dirait, et cette grosseur se trouve dans l’estomac. Aussi vous avez une petite affection dans votre flanc. C’est votre foie. Vous souffrez de rein sur l’autre flanc. C’est exact. C’est ce que le médecin a dit. C’est–c’est donc vrai. C’est ce qu’il vous a dit, n’est-ce pas? Eh bien, croyez-vous que vous allez vous rétablir? Quelque chose vous a frappée, n’est-ce pas? C’était Sa puissance de guérison, si vous croyez en Lui. Amen.

            Notre Père céleste, au Nom de Ton Fils bien-aimé, le Seigneur Jésus, je Te prie de guérir cette femme, de la rétablir. Amen. Que Dieu vous bénisse, madame. Ne doutez pas. Ayez foi et croyez.

87        Tout le monde devrait croire en Lui. C’est vrai, soeur Wood. Je ne vais pas le dire, parce que vous savez que je le sais. Voyez? Ayez foi, mais vous n’avez plus de tumeur. C’est vrai.

            Soeur, vous qui pleurez là, vous priiez pour vos yeux, n’est-ce pas? Vous assise ici même en costume brun... Oui. Vous croyez maintenant, n’est-ce pas? Vous étiez en train de prier Dieu: «Ô Dieu, laisse que ça soit aussi moi.» Est-ce vrai? Si c’est vrai, levez la main. Puis-je vous dire cela? Croyez-vous que Dieu peut me révéler le secret de votre coeur? Croyez-vous cela? Vous voulez aussi quelque chose de la part de Dieu en dehors de la guérison de vos yeux. Vous voulez le baptême du Saint-Esprit. Et c’est vrai. Si c’est vrai, levez la main. Très bien. Vous pouvez recevoir Cela maintenant. Que le Seigneur Jésus vous donne le baptême du Saint-Esprit.

            Non, je ne suis pas en train de lire ses pensées. Non, non. Non, non, non. Ce n’est pas ce que... Ne dites pas cela. Non, non. C’est le Saint-Esprit. Elle n’était pas... Elle s’est simplement adonnée à l’Esprit de Dieu. Ayez foi et croyez.

88        Bonjour, madame. Nous sommes inconnus l’un à l’autre. Dieu ne–n’a pas de secrets. Il peut révéler des secrets. Et comme nous sommes inconnus l’un à l’autre, nous ne nous connaissons pas l’un et l’autre, jamais de la vie nous ne nous sommes vus, je pense, mais Dieu nous connaît tous deux. Il nous a nourris tous deux. Et vous vous tenez ici, une femme, et moi, un homme. Et voici... Vous êtes une croyante chrétienne, et vous–et vous... En effet, votre esprit est le bienvenu. Vous croyez en fait. Et, évidemment, vous portez des lunettes. Je vois ça. Tout le monde saurait qu’il y a quelque chose qui cloche à vos yeux, sinon vous ne porteriez pas de lunettes. Peut-être qu’Il me montrera autre chose qui cloche. Je ne sais pas s’Il le fera. Je dois Lui demander, mais s’Il le fait, accepterez-vous cela? Est-ce que l’assistance L’acceptera?

            Oui, madame. Vous aussi, vous avez une grosseur, et vous êtes sur le point de subir une intervention chirurgicale. Je vois le médecin qui dit que vous devez être opérée. Il vous examinait la langue. Une grosseur est sur votre langue. C’est vrai. C’est vrai, dans votre corps. C’est vrai. Maintenant, croyez-vous qu’Il est ici? Croyez-vous qu’Il peut en ôter la vie et que cela s’en ira? Venez ici.

            Ô Dieu, Auteur de la Vie, Donateur de la Vie Eternelle, accorde Tes bénédictions à cette femme que je bénis en Ton Nom, car je le demande au Nom de Christ. Amen. Que Dieu vous bénisse, madame. Allez en croyant maintenant, ayant foi.

89        J’ai une vision ici devant moi. Il s’agit d’une dame, et elle a une jeune fille avec elle. Cette dame souffre de diabète, et la petite fille s’est fracturé le bras. Elle était tombée du lit, ou quelque chose comme cela, et elle s’est fracturé le bras. Cette personne est présente. Amen. Vous y êtes. Lève ton bras, chérie. Ça y est. Tout est terminé maintenant. Ta foi L’a touché. Amen. Comment pourrais-je lire votre pensée pendant que je regarde dans cette direction-ci, alors qu’elles sont là derrière? Tu vas bien maintenant. Cela ne te fait plus mal maintenant, n’est-ce pas, chérie? Tout est fini maintenant, ça va s’arranger.

            Disons: «Gloire au Seigneur !» [L’assemblée dit: «Gloire au Seigneur !»–N.D.E.] «Si tu peux croire, si tu peux croire, tout est possible.»

            Maintenant, le Seigneur Jésus-Christ, le Fils de Dieu, qui est ressuscité d’entre les morts, fait tout ce qu’Il veut. Il est le Tout-Puissant. Maintenant, je ne peux pas atteindre les gens sur l’estrade. Il y en a dans l’assistance. Maintenant, votre foi agit correctement.

90        Soeur Wood, je pensais que c’était pour vous, mais c’est cet homme assis à côté de vous, là. Croyez-vous de tout votre coeur? Il vient de Michigan pour être guéri, de Sturgis, dans le Michigan, et c’est vrai. Je ne vous ai jamais vu de ma vie. Mais c’est vrai. Très bien. Rentrez chez vous et soyez rétabli maintenant. Votre foi vous guérit.

            Oh ! Que c’est merveilleux ! Pourquoi ne pouvez-vous pas croire en Lui? Vous du tabernacle, vous avez vu ces choses se passer pendant des années. Ne voudriez-vous pas avoir foi?

            C’est votre mari qui est en train de prier pour vous, madame. C’est vrai. Il cherche à entrer en contact avec Dieu. Vous aussi. Vous avez reçu une carte de prière pour entrer dans cette ligne ici. Si vous croyez ce que je vous dis... Vous êtes en train de prier, n’est-ce pas, monsieur? Si vous croyez, vous n’aurez pas à le faire. Vos nerfs ont cédé, vous n’arrivez pas à dormir la nuit, vous êtes dans un état terrible. Vous n’êtes pas d’ici non plus. Vous êtes venu du nord vers le sud. Vous venez d’une grande ville où il y a une rivière qui traverse la ville. C’est vrai.

91        Oh ! Ça fait longtemps que vous êtes ainsi, n’est-ce pas, madame? Vous avez été guérie une fois d’un cancer, ou quelque chose comme cela (C’est vrai), une espèce de maladie dont vous souffriez, et Dieu vous en avait guérie. Maintenant, vous avez... Vous avez appelé des prédicateurs et autres pour prier pour vous, et des choses comme cela, pour que vous vous reposiez la nuit. Vous venez de Fort Wayne. C’est vrai.

            Croyez-vous de tout votre coeur que Jésus-Christ vous guérit? Croyez-vous que Sa puissance vous guérira maintenant? Il vous faut vite vous en emparer, soeur. Si vous le faites de tout votre coeur, Jésus-Christ vous guérira.

            Frère Wood, imposez la main à cette dame assise là. Ô Dieu, Toi qui as ressuscité Jésus d’entre les morts, le diable a lié cette pauvre femme, ennuis après ennuis, le pauvre mari. Ô Père, je prie qu’au Nom de Jésus leur foi entre en contact avec Toi. Ô Dieu, je Te prie de faire disparaître cette maladie de son corps maintenant même, et qu’à partir de cette heure même elle soit guérie et rétablie.

92        Ô Dieu, au Nom de Jésus-Christ, je réprimande ce démon, et donne à la femme la foi de croire au Fils de Dieu et de quitter ce tabernacle ce matin avec ses deux mains en l’air, se réjouissant et louant Dieu par Jésus-Christ, le Fils de Dieu. Amen. Que Dieu vous bénisse, soeur. Tout est terminé. Appelez le chat par son nom. C’est vrai. Amen. Ayez foi en Dieu. «Si tu peux croire...», a dit Jésus.

            Il y a un esprit de ténèbres suspendu dans le coin à ma gauche. L’homme assis là derrière souffre de l’épilepsie, là dans un coin. Levez-vous, monsieur, aux cheveux noirs. Croyez-vous que Jésus-Christ vous rétablit? Très bien. Allez donc. Que Christ vous rétablisse. Votre foi le fera si vous croyez. Ayez foi en Dieu.

            Là, regardez. Veuillez croire. Ayez foi en Dieu. Pouvez-vous croire? N’importe qui parmi vous autres, regardez dans cette direction-ci et croyez. Si vous pouvez croire de tout votre coeur, vous pouvez recevoir ce que vous demandez.

93        L’homme assis ici, assis ici même, dans la rangée du dehors, là tout au fond, souffre des maux de tête. Il–Il n’est pas de cet Etat. Il vient de Montana. C’est un homme excité. Il porte des lunettes, il a la main levée maintenant. C’est vrai, monsieur, des migraines. Vous venez d’une belle contrée. J’ai fait la chasse dans cette contrée-là. Puissiez-vous rentrer chez vous, et que les maux de tête soient dans la Mer de l’Oubli ; que les migraines vous quittent, mon frère. Allez et soyez rétabli par le Nom de Jésus.

            Qu’y a-t-il avec vous de Jeffersonville? Ne pouvez-vous pas avoir foi? Je suis votre frère. Ayez foi en Dieu. Croyez.

            Croyez-vous, madame? Je vous suis inconnu. Croyez-vous, monsieur? Vous n’êtes pas d’ici non plus. Vous venez de l’Ohio. Elle aussi vient de l’Ohio. C’est vrai. Vous venez de Hamilton. C’est vrai. Monsieur Allen, vous pouvez rentrer chez vous et être rétabli. Vous avez recouvré votre ouïe. Amen.

94        Vous dites, comment est-ce que je connais son nom? Le Seigneur Jésus n’a-t-Il pas dit à Pierre son nom, qu’il s’appelait Céphas, et qu’il serait appelé Pierre, un petit caillou? Certainement, Il connaît votre nom. Il sait d’où vous venez, tout à votre sujet. Alléluia !

            Cette bronchite vous quitte. Que le Seigneur Jésus vous rétablisse, vous bénisse et vous guérisse. Croyez-vous qu’Il est ici maintenant pour guérir tout le monde? [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.]

            Quelqu’un est en train de prier pour un enfant. C’est une petite fille qui souffre d’une hernie au nombril. C’est vrai, soeur. Amen. Que voulez-vous de plus? Jésus, le Fils de Dieu, est ici. Il est ressuscité d’entre les morts.

95        Vous, monsieur, debout là derrière, vous souffrez de la prostatite, vous êtes très nerveux. Croyez-vous que Dieu vous rétablira, vous guérira? Très bien, monsieur. Votre foi vous a guéri. Vous pouvez rentrer chez vous maintenant, rétabli. Vous n’avez pas de carte de prière, n’est-ce pas? Pas de carte de prière. Très bien. Vous n’êtes pas obligé d’en avoir. Vous n’avez pas besoin de carte de prière. Vous avez besoin de la foi. Croyez-vous en Lui? Il est ressuscité d’entre les morts. Il est ici. C’est Pâques, la résurrection.

            Combien aimeraient être guéris? Allez-vous faire ce que je vous dis? Si Dieu me fait savoir ce qu’il y a dans votre vie, ce que vous avez fait, qui vous êtes, d’où vous venez, tout à votre sujet, si ce n’est pas là la résurrection de Jésus-Christ, qu’est-ce? Ça l’est certainement.

96        Le diabète, l’arthrite, croyez-vous que Jésus-Christ vous guérit? Si tu peux croire, tu peux recevoir. Ayez foi en Dieu. Maintenant, le Saint-Esprit me dit, l’Ange de Dieu qui est apparu ici à cette estrade, Celui qui a fait Sa première apparition à la rivière, ici parmi vous, Celui qui vous parle, Il est ici maintenant ; Il a prouvé qu’Il est ressuscité d’entre les morts.

            Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Votre guérison est entre les mains de Dieu. Il l’a déjà acquise. Et combien parmi vous croient que Jésus va vous rétablir maintenant, que votre foi est suffisante maintenant pour dire: «Je crois, Seigneur. Frère Branham, si vous priez pour moi, je serai guéri maintenant même, si vous priez pour moi»? Allez-vous le faire? Levez la main. Je vais donc vous montrer la gloire de Dieu. Amen.

97        Croyez-moi, amis. Je suis votre frère. J’ai grandi ici parmi vous. Aucune fois Cela n’a failli et Cela ne faillira jamais. Je vous le dis maintenant: Le Saint-Esprit est en train de se mouvoir dans cette salle comme un feu brumeux, se mouvant au-dessus de l’assistance. Il est ici pour vous guérir. Il est ici pour vous donner la foi si vous voulez accepter cela. Maintenant, imposez-vous les mains les uns aux autres.

            Ô Dieu, notre Bienveillant Père céleste, je prie, au Nom de Jésus-Christ, que Ton Esprit se meuve au-dessus de cette assistance maintenant même et guérisse chaque personne dans la Présence divine. Que le Saint-Esprit ôte toutes ces ténèbres de Jeffersonville qui se suspendent au-dessus de cette assistance, et qu’Il répande Sa gloire dans cette salle et guérisse chaque personne ici, au Nom de Jésus-Christ.

98        Maintenant, avec vos têtes inclinées, avec vos têtes inclinées, dites ceci à Dieu: «Ô Dieu... (Dites-le à haute voix.) Ô Dieu [L’assistance répète après frère Branham alors qu’il prie.–N.D.E.], je crois maintenant. Il n’y a rien de plus que Tu puisses faire, Seigneur. Tu as prouvé par Ta Parole. Tu as prouvé par Tes signes. Tu as prouvé par Ta Bible. Tu as prouvé par Ton serviteur. Tu es ici. Et maintenant, je crois. Maintenant, j’accepte ma guérison. Je crois maintenant même que j’ai la foi, et que Dieu m’a rétabli. Et à partir de cette heure-ci, je vais quitter ce tabernacle en me réjouissant, en Te louant pour ma guérison, au Nom de Jésus.»

            Maintenant, avec vos têtes inclinées, vos yeux fermés, pensez maintenant à ceci: «Ô Dieu, maintenant, Tu entres en moi. J’ai senti Ta Présence. Je sais que Tu entres dans mon âme maintenant même. Tu es ici, Seigneur Jésus. Je suis comme Cléopas. J’ai marché avec Toi depuis longtemps. Je ne m’étais pas rendu compte que c’était ça, Seigneur ; mais ici, Tu as accompli quelque chose ici même, dans cette salle, et cela m’a prouvé que Tu es le même Jésus. Tu es ressuscité d’entre les morts, et je crois en Toi. Je crois en Toi, Seigneur, que Tu es ici même avec moi et je suis guéri maintenant même. Je me sens plus fort. Je me sens mieux. Je me sens mieux. Ma force me revient. Le cancer, les maladies me quittent, et je viens à Christ maintenant même.»

            Avec vos têtes inclinées, les gens se réjouissant, continuez à prier pendant que le pasteur continue à conduire dans la prière.

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