La Profondeur Appelant La Profondeur

Date: 56-0415 | La durée est de: 1 heure et 51 minutes | La traduction: Shp
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1          Merci, frère. Prions. Notre Père céleste, nous entrons dans Ta Présence avec des actions de grâce dans nos coeurs, car Tu nous as rachetés par Ton amour immuable. Et nous en sommes très contents aujourd’hui, de savoir que nous ne sommes pas abandonnés à nous-mêmes, mais alors que nous étions étrangers à Dieu, nous étions dans le monde, retranchés sans miséricorde... Nous pouvons nous rappeler ces jours-là, comment nous avions passé notre jeunesse dans les plaisirs. Nous regrettons beaucoup cela, Seigneur. Nous avons honte de notre passé. Nous Te prions de nous accorder un vif désir pour servir davantage d’exemple pour Toi et faire Ta volonté dans l’avenir.

            Nous sommes ici aujourd’hui par Ta grâce, sachant ceci que beaucoup parmi ceux qui sont assis ici maintenant, si Tu me permets de revenir l’année prochaine, quelques-uns parmi ceux-ci seront partis. Ils auront à Te rencontrer. Peut-être beaucoup d’entre eux sont jeunes. D’autres peuvent être vieux, mais nous ne savons pas quand Tu vas nous appeler à répondre là. Sois miséricordieux envers nous, ô Dieu. Et que ce jour-ci soit un temps de décision pour plusieurs, qu’ils prennent la décision aujourd’hui de Te servir.

            Nous le demandons pour la gloire de Dieu, au Nom de Son Fils, le Seigneur Jésus. Amen.

2          Notre bref séjour parmi vous ici à Columbia a certainement été une grande bénédiction pour Billy et moi, ainsi que Gene et Léo, les jeunes gens chargés des enregistrements. Nous regrettons seulement de n’avoir que ces quelques jours que–que nous pouvons passer avec vous. Vous avez été très gentils envers nous. Et je vous suis très reconnaissant ainsi qu’à notre cher pasteur. Je prie que Dieu bénisse cette petite église, ainsi que chaque église qui collabore ici, tous ces frères, et non seulement ceux-là, mais toutes les églises qu’il y a ici à travers le pays aujourd’hui.

            Et j’espère qu’avec l’aide de Dieu, en avril prochain, je pense, frère Bigby m’a dit qu’il aimerait que je revienne, comme on a la pleine collaboration et la communion avec toutes les autres églises, toutes étant ensemble, elles collaborent dans la réunion. Nous aimerions apporter une grande tente qui offre quinze mille places assises, et la dresser ici dehors pendant environ quatre à six semaines, afin que nous puissions enseigner.

            Et souvent, les gens, pour leur guérison, disons, dans quelques jours, ils ne savent simplement pas comment résister à l’ennemi. Ils pourront toujours avoir une occasion de revenir alors, et puis on traitera encore avec eux pour voir là où a été leur erreur et ce qui est arrivé le long du chemin.

            Et nous projetons cela, si c’est la volonté de Dieu, pour l’année prochaine. Merci à vous tous.

3          Billy venait de me dire il y a quelques instants, je pense, ou plutôt frère Léo et les autres, quand nous sommes entrés dans la salle, qu’on a prélevé une offrande d’amour pour moi. Eh bien, il n’est pas nécessaire que vous le fassiez obligatoirement. J’apprécie néanmoins cela de tout mon coeur. Je ne suis jamais venu dans ce but-là. Je suis venu vous rendre service au Nom du Seigneur. Et jamais de ma vie je n’ai prélevé une offrande. J’ai été pasteur du tabernacle baptiste pendant dix-sept ans à Jeffersonville, sans même un salaire. Je n’avais jamais prélevé une offrande. Je travaillais comme... J’étais garde-chasse, de l’Etat d’Indiana. Et jamais de ma vie je n’avais prélevé une offrande.

4          Je me rappelle une fois que... Vous savez, comme il vous arrive parfois, vous n’arrivez pas à joindre les deux bouts. Nous avons tous connu ces situations-là. Je me rappelle, avoir dit à ma femme: «Je vais prélever une offrande ce soir.»

            Elle a dit: «J’aimerais voir la mine que tu afficheras pendant que tu seras en train de le faire.»

            Alors, j’ai dit à l’un des diacres... Eh bien, non pas qu’ils ne feraient pas quoi que ce soit pour moi, mais je–je pouvais donc travailler, j’étais jeune, je ne voyageais pas; alors, pourquoi donc dépendre de l’église? Et c’étaient des temps durs. Alors, j’ai demandé au diacre d’aller prendre mon chapeau. On n’avait même pas de plateau d’offrande. Et il a commencé. J’ai dit: «Maintenant, je viens de connaître l’une de ces situations-là où il me faut donc vous demander, peut-être, une contribution avec une pièce de cinq cents, ou dix cents, l’une ou l’autre chose pour aider un peu à nous en tirer, je connais une situation que j’arrive à peine à traverser.» Et j’ai dit: «Voudriez... Si vous voulez être assez gentils pour faire cela, je l’apprécierais.» Le diacre est allé prendre le chapeau. Il y avait une vieille petite mère là que j’avais toujours appréciée, une petite femme très pieuse, une mère à l’ancienne mode. Elle portait un petit tablier, comme les femmes en portaient autrefois. Alors, elle a fait sortir un petit portemonnaie, juste à peu près long comme ça, elle l’a ouvert, elle s’est mise à fouiller là pour faire sortir ces pièces de cinq cents.

5          Je vous assure, on dirait que j’aurais passé pour Juda Iscariot si j’avais pris cela. Je–je ne pouvais pas le faire pour me tirer d’affaire. J’ai dit: «Je vous taquinais simplement. Ce n’était pas mon intention.» Et le diacre avec le chapeau ne savait que faire.

            Puis, il y avait un vieil homme qui avait l’habitude de passer à la maison, son nom est John Ryan. Il portait une longue barbe. Il était membre de la Maison de David, ou il en avait l’allure, mais je ne pense pas qu’Il en était membre. Il portait une longue barbe et de longs cheveux, un homme très gentil. Non pas le John Rhyn qui a été guéri, au sujet de qui on m’avait amené à la synagogue juive pour m’interroger là-dessus. Celui-ci, c’était John Ryan. Alors, il est venu là chez moi une fois sur une vieille bicyclette. Et il l’a simplement laissée là et me l’a donnée.

            Et j’ai eu dix cents, je suis donc allé dans un bazar acheter de la peinture, j’ai peint cette vieille bicyclette et je l’ai vendue à cinq dollars; je n’ai pas eu à prélever l’offrande après tout. Ainsi, jamais de ma vie je n’ai prélevé l’offrande.

6          Alors... Mais ce que vous avez fait est apprécié. Mes dépenses sont élevées. Les dépenses à la maison s’élèvent à cent dollars par jour, que je prêche ou pas. Et vous pouvez vous imaginer ce que représente envoyer des milliers de rubans et tout à travers le monde, partout. Et j’ai un petit bureau, bien pratiquement de quatre travailleurs. Et nous envoyons des tissus oints et nous répondons au courrier, et puis, à d’autres endroits où cela va par les Hommes d’Affaires Chrétiens, et par divers moyens. Et puis, nous avons environ dix différents bureaux à travers le monde. Et ils prennent cela, le traduisent, l’analysent et nous l’envoient, et puis nous leur envoyons simplement des tas de rubans et tout, à envoyer aux–aux malades et aux affligés. Autrefois, j’envoyais des mouchoirs, mais je–je n’ai pas de fonds pour faire cela. Je fonctionne avec peu de moyens. Je prends donc des centaines, des centaines et des centaines des mètres de rubans blancs, j’amène cela quand je vais à la maison, et je me retire seul à un endroit, et je ne fais que prier, je découpe cela comme cela et je les envoie aux malades et aux nécessiteux. Et le Seigneur Jésus a merveilleusement béni ces efforts.

            Et si à n’importe quel moment, vous avez besoin d’un, écrivez-moi simplement à la boîte postale 325, Jeffersonville, ou simplement Jeffersonville, Indiana. Cela me parviendra.

7          Et nous serons contents de vous en envoyer un pour vous aider d’une façon ou d’une autre. Si vous en avez besoin, mettez-le dans votre Bible, placez-le dans Actes 19, et laissez-le simplement là. Alors, quand un petit enfant attrape la pneumonie ou quelque chose comme cela, eh bien, envoyez simplement prendre les mouchoirs, allez retirer cela de votre Bible, et déposez-le sur l’enfant et ayez cela là. C’est juste un signe (C’est ce que c’est,) de votre foi en Dieu; c’est tout ce qu’il en est. Nous avons donc vu de grandes choses s’accomplir grâce à cela, de grandes choses.

            Il y a quelques semaines, j’ai reçu une lettre de l’Allemagne, comme quoi une dame est restée estropiée des années suite à l’arthrite. Quand elle a donc reçu le mouchoir, elle ne pouvait pas entrer dans des lignes de prière là-bas, elle a donc reçu le mouchoir, elle l’a épinglé dessus. Cela était accompagné des instructions sur comment procéder. Et elle a dit: «Maintenant, démon, sors de mon corps.» Alors, elle s’est simplement levée et s’est mise à marcher; aussi simplement que ça ! Elle a été guérie.

8          Les gens cherchent la guérison de leur corps de façon très compliquée. C’est très simple, prenez simplement Dieu au Mot, juste–juste dire la même chose que Lui. C’est tout. «Et c’est par Ses meurtrissures que je suis guéri.» Et c’est réglé.

            Eh bien, dans le... Et j’ai souvent dit ceci: «La nuit ne sera jamais trop sombre, ni la pluie ne tombera jamais trop abondamment pour m’empêcher de vous aider au mieux de mes possibilités.» Autrefois, je pouvais venir vers vous, mais, oh ! la la, vous pouvez vous imaginer combien... J’ai remarqué... J’ai quatre téléphones par lesquels je réponds. J’ai eu en moyenne soixante appels de loin par heure, jour et nuit, vingt-quatre heures sur vingt-quatre. Soixante par heure, si seulement vous le pouvez, des appels de loin, pas d’appels locaux. Voyez? Vous pouvez vous imaginer combien d’appels affluent de partout à travers le monde. Ainsi donc, je ne peux plus venir, mais n’importe quand que je suis au téléphone, je prierai pour vous. Et je prierai tout le temps.

            Et maintenant, peut-être, je serai en Afrique, en Inde, et dans beaucoup de pays étrangers avant de vous revoir. Et quand les sorciers se tiendront là, lançant des défis, ce qu’ils font avec plaisir, tous les diseurs de bonne aventure et les autres, ils se tiennent là, cherchant à lancer des défis, les vents soufflent fort, et le...?... sont terribles, puis-je compter sur... me souvenir qu’ici en Columbia, on est en train de prier pour moi? Allez-vous le faire? Merci. Je prierai pour vous. Que Dieu veille sur nous jusqu’à ce que nous nous rencontrions.

            Je vois de vieilles personnes, des gens vraiment affligés, avancés en âge, et une foule de cette ampleur, peut-être, dans une autre année, beaucoup parmi vous seront rentrés à la Maison, dans la Gloire. Mon témoignage, je dois vous rencontrer là-haut en ce temps-là. J’aurai pris position. Et quand j’arriverai là, par la grâce de Dieu, j’aurai gardé le même témoignage que j’ai aujourd’hui. Et je suis très content qu’il n’y ait rien à retirer; c’est l’Evangile du Seigneur Jésus.

9          Maintenant, nous allons lire juste une portion de Sa Parole. Nous devons nous dépêcher, tout de suite. Nous devons conduire pratiquement toute la nuit ce soir pour arriver à la maison demain. Et puis, nous retournerons dans l’une de vos belles cités, en Caroline du Nord, à Spindale, pour commencer mercredi soir. Et nous prêcherons jusque dimanche. Je pense que ça sera dans une église de la place. La grande partie de cela, ça devra être le service de prédication. Et puis, de là, nous irons à Charlotte, en Caroline du Nord. Et puis, je pense qu’il y a là un auditorium. On commencera le mercredi prochain jusque dimanche. Et ça sera probablement tout, chaque soir, la guérison des malades, si le Seigneur le permet.

            Il y aura donc beaucoup de places assises, les gens n’auront pas à rester debout là et tout. Je comprends qu’ils ont un grand auditorium là dans la ville. Et nous prêcherons à ces deux endroits dans votre bel Etat.

10        C’est la première fois de ma vie de poser donc les pieds sur ce sol, ici; j’ai parcouru le monde et je suis revenu. Et donc... Mais c’est la première fois de jamais être en Caroline du Nord, ou en Caroline du Sud. Ce sont les seuls deux Etats où je n’avais jamais été de ma vie, jusqu’à présent. Je ne dis pas cela pour blesser (à l’intention des autres ici venus d’autres Etats), mais vous savez, comme je le disais, le Seigneur a dit une fois, quand Il avait changé l’eau en vin, Il avait gardé le meilleur pour la fin. Je ne dis pas cela pour blesser, au détriment des autres endroits; en effet, les gens ont été très gentils, mais vous êtes un peuple gentil, car vous aimez le Seigneur Jésus.

            Maintenant, en lisant Sa Parole aujourd’hui, juste pour un court message, et consacrer bien beaucoup de temps... J’ai instruit les jeunes gens de me laisser ici debout aussi longtemps que je pourrai subsister aujourd’hui pour prier pour les malades.

            Vous pouvez vous demander pourquoi ça. On a tellement posé des questions là-dessus que je ferais mieux de parler à ces braves frères prédicateurs. J’aurais bien voulu avoir le temps d’aller à la maison avec chacun de vous, parler avec vous; vous êtes un groupe de gentils frères. Je ne dis pas cela juste parce que vous êtes assis ici. Chaque soir, quand l’onction du Saint-Esprit vient, je sens votre esprit, et je sais que vous êtes... C’est alors qu’Il vous connaît. Et je vous apprécie. Je pense que grâce à votre petite collaboration ensemble, au Nom du Seigneur, je crois que Dieu ajoutera au nombre de la bergerie ici à Columbia plusieurs milliers de gens lors du prochain réveil.

11        Ce qui cause la faiblesse... Voyons si je peux aborder cela à la manière des enfants, afin que vous compreniez. Puis-je dire cela comme ceci: Presque tous les poètes, ou prophètes, ou des hommes conduits par l’Esprit, sont considérés comme des névrosés. Savez-vous cela? Voyons. Laissez-moi... L’un de vos grands compositeurs du Sud, Stephen Foster, était un homme merveilleux. Beaucoup parmi vous ont appris son histoire et ont lu sur Stephen Foster. Il était un homme merveilleux. Et il a donné à l’Amérique certaines de ses meilleures chansons populaires: Old Folks at Home, Swanee River. Old Black Joe, et beaucoup de ces célèbres vieilles chansons: Old Kentucky Home. C’est juste au-delà d’un petit endroit où il a composé cela, que je suis né. Et dans l’Etat du Kentucky...

12        Mais avez-vous remarqué, monsieur Stephen Foster, il entrait dans l’inspiration. Et pendant qu’Il était sous l’inspiration, il composait une chanson. Puis, quand l’inspiration quittait, il se saoulait. Voyez? Il se perdait simplement. Il y a quelque chose quand on est là-haut, ce n’est pas mauvais pendant que vous êtes là, ni non plus pendant que vous êtes ici, c’est pendant que vous êtes entre les deux endroits que ça vous prend.

            Et finalement, après que monsieur Foster, vous connaissez son histoire, après avoir composé toutes ces chansons, il était emporté par l’inspiration, quand il en est sorti, il a appelé son serviteur, a pris une lame de rasoir et s’est suicidé.

            Vous connaissez probablement William Cowper. Je me suis tenu à sa tombe à Londres, en Angleterre, quand j’y étais afin de prier pour le roi George. Et je... là à sa tombe, j’ai pensé à monsieur Cowper. C’est lui le compositeur de ce célèbre cantique: Il y a une fontaine remplie du Sang tiré des veines d’Emmanuel, une fois les pécheurs plongés dans le flot, ils perdent toutes les taches de leur culpabilité. Vous avez chanté ça plusieurs fois. Après avoir composé ce cantique-là... En avez-vous déjà lu l’histoire? Il a cherché à trouver une rivière où se suicider. Voyez? L’inspiration l’avait quitté. Je me suis tenu à sa tombe et j’ai pleuré. J’ai eu de la compassion pour lui. Il était considéré comme un névrosé, nerveux, ou un détraqué mental.

13        Considérons les prophètes. Le prophète Elie, après qu’il eut fait descendre le feu du ciel, qu’il eut fait pleuvoir la pluie du ciel le même jour, et les cieux avaient été fermés pendant trois ans et six mois... Après cela, il a erré dans le désert, après que l’inspiration l’eut quitté, il a erré quarante jours et quarante nuits, sans même savoir où il était. Et savez-vous là où Dieu l’a trouvé? Il s’était retiré dans une caverne. Il lui a demandé: «Que fais-tu ici?» L’inspiration l’avait quitté. Pendant qu’il était sous l’inspiration, ça allait bien. Mais regardez ça. Il avait tué quarante prêtres sur la colline, il est redescendu, fuyant la menace d’une femme, Jézabel; en effet, elle menaçait sa vie. Après qu’il s’était tenu là... En effet, l’onction était sur lui, mais après que l’onction l’eut quitté, c’était différent.

            Avez-vous considéré Jonas? Après que Dieu eut accompli un miracle en le gardant dans le poisson, il est entré dans une ville de la dimension de Saint Louis, dans le Missouri, il a donné une prophétie alors qu’il parcourait les rues: «Encore quarante jours et cette ville périra.» Il a donné sa prophétie avec une si grande force que les gens ont même fait porter des sacs à leurs animaux. Et avez-vous remarqué quand l’inspiration l’avait quitté? Il s’est assis sous ce petit ricin, priant Dieu de lui ôter la vie. Voyez?

14        La question est la suivante: De quoi cela parle-t-il? En effet, quand on est là-haut, on est sous l’inspiration, c’est au-delà de ce qu’il y a ici. Pendant que vous êtes là, vous vous sentez bien. Pendant que vous êtes ici, vous êtes bien. Mais quand on est entre les deux endroits, c’est cela qui cause la faiblesse, quand vous quittez cette sphère de l’inspiration et que vous redescendez sur la terre.

            Cela me rappelle quand je... il y a plusieurs années quand j’ai enseveli mon enfant. Quand nous aspergions la poussière de la terre sur la tombe, des fleurs: tu es cendre, tu retourneras à la cendre, tu es poussière de la terre, tu retourneras à la poussière de la terre, un murmure traversa les pins cet après-midi-là, on dirait que je pouvais entendre une Voix dire:

Il y a un pays au-delà de la rivière,
Que nous appelons la terre de joie sans fin,
Nous atteignons ce rivage-là par décision de la foi,
Un à un nous rejoignons les portails,
Pour demeurer là avec des immortels,
Un jour, les cloches d’or sonneront pour toi et moi.

            Et c’est vrai. Gardez cela à l’esprit. Et cela ne vous ennuiera pas. Eh bien, pendant que nous sommes ici... Mon jeune homme, les jeunes gens ici m’accompagnent depuis un temps, ils veillent attentivement sur moi, et quand l’inspiration semble simplement soutirer le meilleur de moi... Voyez? Si cela l’a fait au Seigneur Jésus, rien qu’avec une seule vision, Il a dit: «J’ai connu que Je suis devenu faible», si cela a épuisé le prophète Daniel pendant plusieurs jours, il a eu mal à la tête, et il a eu des troubles à la tête pour avoir eu une seule vision, qu’est-ce que cela nous ferait? Comprenez-vous maintenant?

15        Dans l’Evangile selon Luc, chapitre 2, verset 25, voici ce que nous lisons comme texte et nous prions que Dieu nous accorde le contexte juste pendant quelques instants, car nous allons vous laisser sortir, vous pourrez retourner à vos églises respectives ce soir.

            Et merci à tous vos pasteurs, à chacun ici, et soyez... Je suis désolé pour vous, mes chers amis, qui êtes debout là dehors aujourd’hui. Je suis désolé que vous ayez à rester debout, mais... et rester debout là derrière. Mais c’est parce que cette salle est petite. La prochaine fois, peut-être, nous aurons de la place. Maintenant, le verset 25:

Et voici, il y avait à Jérusalem un homme appelé Siméon. Cet homme était juste et pieux, il attendait la consolation d’Israël, et l’Esprit Saint était sur lui.

Il avait été divinement averti par le Saint-Esprit qu’il ne mourrait point avant d’avoir vu le Christ du Seigneur.

Il vint au temple, poussé par l’Esprit. Et, comme les parents apportaient le petit enfant Jésus pour accomplir à son égard ce qu’ordonnait la loi,

Il le reçut dans ses bras, bénit Dieu, et dit:

Maintenant, Seigneur, tu laisses ton serviteur s’en aller en paix, selon ta Parole.

Car mes yeux ont vu ton salut,

Salut que tu as préparé devant tous les peuples,

Lumière... éclairer les nations, et gloire d’Israël, ton peuple.

Et que le Seigneur ajoute Ses bénédictions à la lecture de Sa plus sacrée Parole.

16        Au moment de la naissance du Seigneur Jésus, comme nous venons de lire tout à l’heure, les nouvelles ne se répandaient pas alors comme aujourd’hui. Ils n’avaient pas de presse, ni de radio, ni de télévision, comme nous en avons aujourd’hui. Mais l’unique moyen qu’ils avaient de répandre des nouvelles, c’était de bouche à oreille. Jésus est né à Bethléhem de Judée, huit jours avant ceci. Mais cela n’était connu dans le pays que de peu de gens: Les mages qui étaient venus L’adorer, c’étaient des astrologues; les bergers aussi qui étaient sur les collines, là où les anges étaient venus et avaient chanté à ces bergers et leur avaient annoncé que dans la ville de David était né Christ le Sauveur; Siméon, un homme avancé en âge, un vieux sage, avec une longue barbe qui flottait, des cheveux grisonnants, et il était dans la quatre-vingtaine, jouissant d’un très grand privilège parmi tous comme un érudit et un docteur de son époque. Il occupait une bonne position dans le sanhédrin, mais un jour, pendant qu’il était là à prier, il était l’un des élus, ceux qui étaient choisis.

            Et maintenant, j’aimerais vous faire voir cela. Dieu, toujours, tout le temps, depuis que la terre existe, Il a quelqu’un sur qui Il peut mettre la main et dire: «Celui-ci est Mon serviteur.»

17        Parfois, le nombre se réduit à une seule personne, comme du temps de Noé, ou du temps d’Elie et des autres. Parfois, c’est juste à une seule personne. Mais Il n’a jamais manqué de témoin, tant que la terre existe. Et Il ne manquera jamais de témoin tant que la terre existera. Il y a toujours quelqu’un sur qui Il peut mettre la main, à qui Il peut faire confiance, et dire: «Voici Mon serviteur qui accomplira Ma volonté.»

            Ne serait-ce pas bien aujourd’hui s’Il le disait de nous? «Voici Mes serviteurs, en qui Je peux placer Ma confiance; ils accompliront Ma volonté.»

            Eh bien, quel temps ! Eh bien, de façon générale en ce temps-là, Israël s’était éloigné de Dieu. Ils avaient rétrogradé. Ils s’étaient embrouillés, et ils avaient relâché au point que tout le côté surnaturel de Dieu avait disparu des préceptes, ils avaient pris la doctrine de Dieu et ils en avaient fait–en avaient fait une doctrine des hommes plutôt que la doctrine de Dieu, et ils avaient ôté tout le côté surnaturel de la Parole de Dieu, niant tout cela par des explications: Les jours des miracles sont passés, et on en était arrivé à n’avoir qu’un très faible reste qui croyait réellement en Dieu, ou avaient...

18        Alors, ce vieux sacrificateur, ce jour-ci, il était allé prier, il devait avoir été inspiré. Croyez-vous dans l’inspiration? Que les fils de Dieu sont conduits par l’Esprit de Dieu? La Bible déclare qu’ils sont conduits par l’Esprit. Et David a dit qu’il y a quelque chose lorsque vous êtes sous l’inspiration, ou que vous avez un ardent désir, et que vous atteignez cela... J’ai constaté ce matin en parlant... Et je regrette de vous avoir gardés si longtemps dans le message.

            J’ai donc constaté, en parlant, que quand on avait atteint un certain point, les gens avaient rougi; d’autres se sont mis à pleurer avec des larmes. Qu’est-ce? C’est nourrir le troupeau du Saint-Esprit. Voyez? L’inspiration. Les hommes de Dieu, les serviteurs de Dieu sont conduits par l’Esprit de Dieu, divinement conduits.

            Eh bien, beaucoup de gens disent que c’est de la psychologie. Récemment, je parlais avec un médecin qui me disait, il a dit: «Oh ! Ces gens-là sont excités.»

            J’ai dit: «Eh bien, docteur, vous savez qu’avant que quelqu’un soit excité, il doit y avoir quelque chose qui l’excite.» Et dans ce cas ici, s’il n’y a rien... Vous ne pouvez pas parcourir l’allée et rencontrer une ombre noire, ou quelque chose comme cela, ou quelque chose là qui vous amène à être tout agité: «Qu’est-ce qui se tient là?» Dans ce cas-ci, lorsque vous ne voyez rien et qu’il y a de l’excitation, ce n’est pas simplement de l’excitation, mais c’est une sensation glorieuse, qui amène les gens à se lever...

19        C’est comme j’ai entendu, il y a quelque temps, les petites dames chanter un cantique, et les gens disaient: «Gloire au Seigneur !» Qu’est-ce qui fait cela? Ce n’est pas... C’est céder à une émotion émotionnelle qui est en vous. Puis-je le dire comme ceci? Comme David a dit: «Quand la profondeur appelle la profondeur au bruit de Tes ondées.» La profondeur appelant la profondeur...

20        Maintenant, suivez attentivement. Avant qu’il y ait une profondeur à l’intérieur qui appelle, il a dû y avoir une profondeur à l’extérieur pour répondre à cet appel-là. En d’autres termes, avant qu’il y ait une nageoire sur le dos d’un poisson, il a dû y avoir de l’eau où il nagerait, sinon il n’aurait jamais eu de nageoire. Avant qu’il y ait un arbre qui pousse dans la terre, il a dû premièrement y avoir une terre où l’arbre pousserait, sinon il n’y aurait pas eu d’arbre pour pousser dans la terre. Voyez-vous ce que je veux dire?

21        Récemment, je lisais, ou il y a quelque temps, sur un petit garçon. Il mangeait les gommes des crayons à l’école. Et sa mère l’a attrapé en train de manger le caoutchouc d’une pédale de bicyclette. On ne savait donc pas ce qui clochait chez le petit garçon. On l’a amené à une clinique, et le médecin a examiné son sang et tout. On a découvert que son corps avait besoin de soufre. Et le caoutchouc contient du soufre.

            Maintenant, regardez. Il a dû y avoir du soufre pour répondre à cet appel-là, sinon il n’y aurait pas eu d’appel là-bas. S’il n’y avait pas de soufre pour répondre à cet appel-là, cet appel n’aurait jamais été là. Et alors, aussi certainement qu’il y a une–une foi qui croit en Dieu, et qui veut plus de Dieu, il doit y avoir un Dieu quelque part pour répondre à cet appel qui est dans le coeur.

22        Vous ici aujourd’hui, vous croyez à la guérison divine, n’est-ce pas? Qu’est-ce qui fait cela? Voyez? Il doit y avoir quelque part une fontaine ouverte de la guérison divine, sinon vous n’auriez jamais éprouvé ce désir-là dans votre coeur. Voyez? Il doit y avoir une profondeur pour répondre à la profondeur qui appelle l’autre profondeur. En d’autres termes, s’il y a dans votre coeur une faim d’être guéri par Dieu, il doit y avoir un Dieu qui a suscité cette faim-là. Autrement dit, laissez-moi présenter cela comme ceci: Avant qu’il y ait une création, il doit y avoir un Créateur pour créer cette création-là. Comprenez-vous cela? Amen.

            Si vous voulez donc être guéri par Dieu, il doit donc y avoir une fontaine ouverte quelque part. Eh bien, il y a des choses que vous pouvez présenter du côté psychique. Par exemple, je–j’aime la nature. Ma mère est mi-Indienne. Il y a assez de cela en moi au point que, quand je suis né, j’ai grandi dans les bois. Je ne connaissais que le plein-air et la chasse. C’est la raison pour laquelle j’ai été garde-chasse, j’ai travaillé dans–dans le service de conservation de la nature, j’ai toujours erré dans les bois. Et souvent, ce n’est pas pour les animaux, mais c’est pour... Il y a quelque chose dans la nature qui fait que quand je vois le coucher du soleil ou le lever du soleil...

            Je me lève tôt dans des montagnes, je monte au sommet de la montagne, rien que pour contempler le lever du soleil. Je me rappelle un jour, pendant que je paissais le bétail dans une ferme, j’ai fait bien un peu d’équitation. Et dans une ferme Tripod, à Denver, dans le Colorado, depuis Denver jusqu’à environ cent-vingt miles [193 km] sur la rivière Troublesome, l’Assosciation Hereford, là où nous faisions paître, là... J’ai fait là un an dans une tournée de chasse. Et le responsable de la ferme et moi, nous connaissions tous très bien la contrée, et nous chassions l’élan. Il a pris un secteur, allant dans ce qu’on appelle la fourche occidentale de la rivière et moi, j’avais pris la fourche orientale. Et environ cinq jours plus tard, nous nous retrouvions. J’étais au moins à soixante-dix miles [112 km] de toute civilisation, là loin, seul avec un cheval de bât.

23        Cette année-là, eh bien, il n’y avait pas eu de neige, il était alors pénible de suivre la piste des animaux. Et–et en fin octobre, il pleut un moment, et puis il neige, puis le soleil brille, et puis tout cela sèche. Et le cli–climat est tout simplement irrégulier. J’étais loin en haut, là vers la lisière cette année-là. Et je me promenais là, et je... Le troupeau d’élans était en haut, la neige ne les ayant pas encore chassés vers le bas. J’ai déposé mon fusil par terre, et je me tenais là. Et une pluie a éclaté là, un orage vraiment fort. Et j’étais près des arbres abattus par le vent. Et je me tenais derrière un arbre attendant que l’orage passe, et quand l’orage était passé, il faisait froid. Il faisait froid durant la pluie. Et le soleil se couchait à l’ouest, regardant au travers de la fissure de la montagne. Et il évoluait discrètement sur le flanc de la colline, il a formé un arc-en-ciel sur les arbres à feuilles persistantes où il avait gelé, la glace s’était formée sur ces arbres à feuilles persistantes là au sommet, à environ dix mille pieds [3 km] de là où j’étais, juste à la lisière. Et les arbres à feuilles résistantes avaient gelé.

24        Et, alors que je me tenais là, la pluie avait cessé partout, l’orage aussi, je me suis retourné. Là loin derrière, j’ai entendu un immense élan se mettre à brailler, j’ai entendu un autre répondre de l’autre côté. L’orage avait dispersé le troupeau. Eh bien, cela peut ne rien représenter pour un homme de la ville, mais pour moi, entendre ces magnifiques grosses bêtes brailler, cela vous donne un frisson tel que vous devez constater cela. Il vous faut avoir–avoir un amour inné pour ça.

            Alors, là loin derrière sur le flanc de la colline, un vieil ours gris était tapi et il a hurlé. Et sa compagne a répondu en bas. La profondeur appelait la profondeur de mon pauvre coeur d’Irlandais. Je me suis dit: «Ô Dieu, pourquoi dois-je donc partir d’ici? C’est pour ici que je suis né. Pourquoi dois-je descendre et peiner parmi les malades et les gens? Laisse-moi vivre ici où je suis libre. Je suis né pour cette contrée.» Mais comme Pierre l’a dit une fois: «Il fait bon être ici. Dressons trois tentes.»

            Mais au pied de la colline, il y avait la maladie dont il fallait s’occuper en ce jour-là. C’est pareil aujourd’hui.

            Pendant que j’écoutais cela, je me suis retourné et j’ai regardé, j’ai remarqué dans cet arc-en-ciel, j’ai vu cet oeil qui voit tout, comme Jéhovah, regardant au travers de cette fissure. Cet arc-en-ciel était une alliance.

            Je vous assure, amis, beaucoup de gens disent: «Frère Branham, j’aurais bien voulu voir Dieu.» C’est tout ce que je vois pendant environ trente ans, c’est Lui. Regardez simplement tout autour. Comment cette fleur arrive-t-elle à manifester sa couleur? D’où vient cela? Voyez? Dieu est partout. Recevez-Le à l’intérieur, vous pourrez Le voir à l’extérieur. Il se manifestera.

25        Un vieux pêcheur m’a dit une fois qu’il était là sur la rivière Ohio, là où j’habite. Il descendait la rivière. Il a dit qu’un petit garçon était avec lui. Et le petit garçon était curieux. Il fréquentait une église, il avait dit à sa maman: «Maman, si Dieu est si grand, puis-je Le voir?»

            Elle a dit: «Demande au pasteur.»

            Le pasteur a dit: «Non, fiston. Personne ne peut voir Dieu et vivre.»

            Et il est allé demander à sa monitrice de l’école du dimanche, celle-ci a dit: «Demande au pasteur.»

            Il a dit: «Je le lui ai demandé.»

            Il a dit: «Eh bien, pourquoi est-Il... Maman, a-t-dit, s’Il est si grand, pourquoi personne ne peut Le voir?»

26        Alors, un jour, il était à la rivière, là loin vers l’île de Six Miles, au nord de Jeffersonville, avec un vieux pêcheur barbu (Il s’en est allé dans la Gloire, c’était un ami personnel à moi.), il était avec ce petit garçon. Et pendant qu’ils descendaient la rivière, la pluie s’est mise à tomber, celle-ci a nettoyé toutes les feuilles; c’était un été sec. Et alors, l’arc-en-ciel traversait le ciel à l’ouest, ou plutôt à l’est, alors que le soleil se couchait à l’ouest. Et le vieux pêcheur était en train de ramer, avec le bout de la rame; seul un rameur ou un marin peut apprécier le rythme produit par la barque.

            Et sa femme était déjà allée dans la Gloire, il y a longtemps, il continuait à regarder par-dessus son épaule vers l’arc-en-ciel. Peu après, le petit garçon, qui était assis à la poupe de la barque, l’a regardé, il a vu des larmes couler sur sa barbe très nacrée, et ses cheveux blancs qui pendaient sous son chapeau.

            Cela a ému le petit garçon, il a alors couru vers la poupe, vers le milieu de la barque, et il est tombé aux pieds du vieil homme. Il a dit: «Monsieur, je vais vous poser une question à laquelle mon pasteur n’a pas pu répondre, ni ma monitrice de l’école du dimanche, ni ma mère non plus.» Il a dit: «J’éprouve une sensation étrange maintenant même, et je suis sûr que vous aussi.» Il a dit: «Quelqu’un peut-il voir Dieu?»

            Le vieux pêcheur a ramené les rames sur ses genoux, il s’est tenu le visage de ses mains, les larmes lui coulaient sur les joues, il a entouré de son bras le petit garçon et il a dit: «Fils, tout ce que j’ai vu pendant cinquante ans, c’était Dieu.» Voyez? Il y avait tellement de Dieu dans le coeur du vieil homme qu’il pouvait voir Dieu. Vous pouvez Le voir si vous regardez.

27        Je me rappelle, dans un cas, je me tenais là, si vous me permettez de quitter mon sujet. Je me rappelle que je me tenais là en train de regarder, voyant cet arc-en-ciel. Alors, j’ai pleuré. Vous pouvez dire que j’ai été travaillé par des émotions. Peut-être oui. Mais je me suis mis à pleurer. Je n’y pouvais rien. Non pas parce que j’étais triste, parce que j’étais heureux d’entendre l’ours hurler. Oh ! Cela m’a ravi. Tout cela m’a amené à voir l’arc-en-ciel. Et je me rappelle que par l’arc-en-ciel, Il a donné une promesse. Il avait l’aspect, selon la Bible, de la pierre de Jaspe et de Sardoine, au bout de tous les arcs-en-ciel, l’Alpha, l’Oméga; ces promesses par Christ ne failliront jamais. Il m’a ancré dans Son Royaume, non pas par mes propres oeuvres, mais c’est par la grâce qu’Il m’a appelé. Par la prescience, Il a élu. Il m’a fait entrer là: «Et tous ceux qui viendront à Moi», Il les recevra, Il les ressuscitera au dernier jour, ces promesses-là.

            Je me suis mis à pleurer; puis je me suis mis à crier. Je ne sais pas si vous croyez cela ou pas, mais je–je l’ai fait de toute façon. Vous dites... Eh bien, un homme a dit l’autre jour, il a dit: «Je ne crois pas à la guérison divine, Frère Branham.»

            J’ai dit: «Vous arrivez juste un peu en retard, frère.» Oui.

            Je me suis mis à tournoyer sans cesse autour de cet arbre-là à toute vitesse, donnant libre cours à mes sentiments. Eh bien, vous pouvez taxer cela d’émotions; mais pour moi, c’était la profondeur appelant la profondeur. Je criais à tue-tête. Franchement, je pense, si... on aurait pensé qu’il y avait l’Armée du Salut là-bas, si certains parmi eux m’avaient entendu. Mais il n’y avait personne en dehors du Seigneur pour m’entendre. C’est Lui que je bénissais de toutes les façons.

            Et j’ai contourné encore et encore l’arbre à maintes et maintes reprises. Et je pense que si quelqu’un était passé par là, on m’aurait mis dans une camisole de force, on aurait pensé que j’étais fou. Mais je ne faisais que crier à tue-tête. Et peu après, un petit écureuil de pin, un petit écureuil insignifiant de pin... Je ne sais pas si vous en avez par ici ou pas: une toute petite créature, et c’est la chose la plus bruyante dans les bois. Il a sauté sur une souche de ce vieil arbre abattu par le vent et s’est mis à me regarder, faisant des jacasseries, jacasseries, jacasseries, jacasseries, jacasseries, jacasseries.

            Et je me suis dit: «De quoi parles-tu?»

28        Alors, le petit animal était tout excité, je me suis dit: «Eh bien, peut-être, je l’ai excité en poussant des cris et en hurlant.» Et il.-.il paraissait drôle, il a jeté de côté ses petits yeux, en me regardant de ce côté-ci. Mais il regardait en bas, vers un tas de buissons on dirait, là où ces vieux sommets étaient abattus par le vent.

            Et peu après, je me suis dit: «Ô Dieu, Tu sais, Tu es simplement partout. Tu es là dans ce–dans ce loup. Tu es par ici dans ce troupeau d’élans. Te voici dans ces pins me chuchotant, me jouant de la musique. Te voici dans l’arc-en-ciel; Te voilà dans le coucher du soleil; partout où je regarde, Tu es là.»

            J’ai dit: «Eh bien, pourquoi m’as-Tu interrompu avec ceci, ce petit écureuil de pin?» Et j’ai vu la petite créature très excitée. Elle continuait à regarder en bas vers le tas de buisson. Et peu après, un immense aigle, qui avait été forcé par l’orage à atterrir, a sauté sur une branche. Eh bien, je me suis dit: «Ô Dieu, Tu es quelque part. Tu–Tu–Tu as arrêté ceci dans un but. Pourquoi donc? Je vais simplement méditer sur Toi.»

29        Alors, j’ai vu ce grand aigle, avec ses énormes yeux gris de velours on dirait, alors qu’il les roulait de part et d’autre, observer cet écureuil de pin et me regarder. Et je me suis dit: «Eh bien, maintenant, Monsieur l’Aigle, tu es une créature de Dieu; alors, pour–pour–pourquoi es-tu apparu ici? Et le petit écureuil de pin a fait comme s’il allait tailler cet aigle-là en pièces. Eh bien, il ne le pouvait pas. Il était seulement gros à peu près comme ça. L’aigle l’aurait simplement pris et il se serait envolé, s’il le voulait. Ainsi, mais, oh ! comme il ne faisait que sautiller ! Et j’observais.

            Alors, le gros aigle m’a regardé, et puis il a regardé l’écureuil de pin. Ensuite, il m’a regardé. Et je me suis dit: «Eh bien, une chose que je peux admirer chez l’aigle, c’est qu’il est brave. Je sais ça. Ça, c’est une chose de divin chez lui.» Les chrétiens ne sont pas des lâches. Ils croient en Dieu. Ils tiennent ferme sur ce qu’Il dit. Et Dieu n’est pas un lâche. Et Il ne peut pas utiliser des lâches dans Son armée. Il vous faut être brave et tenir bien ferme juste à cela, croire en Lui, recevoir et avoir confiance en Sa Parole, sans savoir où vous allez, mais vous savez que vous suivez Son chemin.

            Et puis, j’ai vu cet aigle. Je me suis dit: «Qu’est-ce qui le rend si brave?» Je lui ai dit. J’ai dit: «Sais-tu que je pourrais te tirer dessus?» Et il n’a pas fait cas de moi. Mais on dirait qu’il regardait cet écureuil-là, et ensuite il m’a regardé. Et je me suis dit: «Eh bien, qu’est-ce qui le rend si brave?» Et je continuais à le voir bouger ses ailes, se rassurant que ses ailes étaient en état d’opérer.

            J’ai dit: «Je vois ça, Seigneur.» Il se fie à quelque chose qui lui a été donné par Dieu. Dieu lui a donné deux ailes pour s’éloigner du danger. Et tant qu’il peut sentir que ses ailes sont en état de fonctionner, pourquoi se soucierait-il du danger? Je me suis dit: «Si un...?... un aigle peut faire cela avec deux ailes, que devrait faire un homme né de nouveau qui a le Saint-Esprit?» En quoi un mal lui nuirait-il? Tant que vous pouvez sentir qu’Il est là, il n’y a pas de condamnation. Qu’importent les maladies ou n’importe quoi d’autre? Que feront les critiques? Que doivent les gens... Vous vous y attendez. Assurément, c’est ce qui vous a été donné. Pourquoi les aigles sont-ils dotés des ailes? C’est pour s’envoler loin des troubles.

30        Eh bien, finalement, je lui ai dit: «Sais-tu qu’avec ce fusil je suis plus rapide que tu ne l’es avec tes ailes?»

            Il m’a bien regardé comme pour dire: «Essaie-le une fois.» En effet, il savait que tout ce qu’il devait faire, c’était monter dans cet arbre-là et il serait perdu de ma vue. Alors, j’ai pris mon fusil comme ça. Il m’a observé, il a bougé ces ailes. Je me suis dit: «Ô gros oiseau, je ne te tirerais pas dessus. Je t’admire.»

31        J’admire tout ce qui a du courage. Tout ce que je n’aime pas, c’est un chrétien mou, un soi-disant. C’est vrai. J’aime un homme ou une femme qui dit: «C’est la Parole de Dieu. Je crois Cela. J’accepte Cela humblement. Et je crois Cela et je vis Cela.» Ô Dieu, hâte le jour où les hommes et les femmes seront exactement ce qu’ils professent être. Si je n’étais pas pour Christ, je serais ici aujourd’hui contre Lui, mais je crois en Lui. Je suis prêt à mourir pour la–l’espérance qui repose en moi pour Lui.

            Et puis, je l’ai observé un petit moment, et il en a eu marre d’écouter ce drôle de petit écureuil. Alors, il a simplement fait un ou deux grands sauts comme cela, il a battu ses ailes environ deux fois, il était dans les bois. Et alors, il se passe... s’est passé quelque chose que je n’oublierai jamais. Comment ce grand oiseau à l’allure royale n’a plus battu ses ailes, il les a simplement déployées. Il savait bien comment les disposer. Et à chaque coup de vent, il montait simplement, sans cesse, sans cesse. Il a laissé ce drôle de petit tamia lié à terre en train de jacasser, ou cet écureuil de pin, perché sur un rondin. Et il savait bien comment disposer ses ailes. Il ne les a plus battues pour essayer. Il a simplement disposé ses ailes. Et à chaque coup de vent, il s’élevait simplement. Et je l’ai vu monter jusqu’à devenir un petit point. Il ne pouvait plus entendre cette jacasserie.

32        Les larmes ont commencé à me couler sur le visage. J’ai dit: «Ô Dieu, c’est ça.» Si seulement les gens savaient comment, non pas sautiller d’un lieu à un autre, non pas courir d’une campagne à une autre, mais disposer simplement vos ailes de la foi face aux vagues du Saint-Esprit, continuer à vous envoler, dépassant ce vieux jour, ce petit tamia perché là, cette petite créature rattachée à la terre, qui dit: «Les jours des miracles sont passés. La guérison divine n’existe pas. Le Saint-Esprit a été accepté il y a longtemps, Il ne peut pas l’être aujourd’hui.» Disposez simplement vos ailes et éloignez-vous-en...?... La profondeur parlant à la profondeur...

            C’est une chose étrange chez les animaux. Vous ici du Sud, là dans les bois du nord, j’avais j’habitude d’aller chasser. Et observez comment Dieu dote un animal d’un instinct, pendant que nous y sommes. Vous ici, prenez... Allumez votre radio, et le commentateur annonce le bulletin météorologique, disant: «Demain, il fera beau temps.» Si vous voyez cette vieille truie déplacer ses petits du flanc nord vers le flanc sud de la colline, ne faites pas cas de ce que dit le commentateur du bulletin météorologique. Elle est mieux avisée que ça, de loin plus que ce commentateur. Il fera froid.

            Observez quand ces lapins vont directement en dessous de ces joncs, entrent sous le tas de buisson, attendez-vous à la neige et au mauvais temps. Ils sont de loin mieux avisés à ce sujet. Dieu les a dotés d’un instinct pour leur permettre de s’éloigner du danger.

33        Il n’y a pas longtemps, je me tenais lors de mon premier... à l’une de mes occasions, généralement, je vais tôt dans les bois du nord, je chasse beaucoup là-bas. Et là-haut, les canards quittent le sud, ici en Louisiane et au Texas, et montent au nord faire leur nid dans les boues du nord, là-haut, là où les étangs... Il y a un–un grand tas de–de boues, et la vieille mère cane va là et pond des oeufs, et les petits éclosent.

            En automne, vers septembre, ces petits canards ont une assez bonne taille, des chasseurs d’oiseaux alors. Ils peuvent s’envoler. Et sur les cimes enneigées de montagnes, il peut neiger une nuit et, le lendemain, une brise froide parcourra cette montagne-là. Et à la toute première brise froide qui frappe ce lac-là, un petit canard né sur ce lac-là, il n’avait jamais été nulle part ailleurs que là même, va courir au milieu de ce lac, braquer son petit bec en l’air et cacarder à quatre ou cinq reprises. Et chaque canard sur le lac viendra à lui. Ils savent qu’il est né chef, quand bien même il n’a jamais quitté cet étang-là. Il est né là au printemps. Il s’envolera de cet étang-là, ira tout droit en Louisiane, de toutes ses forces. Pourquoi? Chacun d’eux le suivra. C’est l’instinct.

            Et si Dieu a doté un canard d’assez de sens (Oh ! Je ne le dirais pas comme cela.), mais de l’instinct pour échapper au temps froid, à combien plus forte raison donne-t-Il à un homme le baptême du Saint-Esprit pour se protéger et se préserver, mais l’avantage en est que les canards reconnaissent leur conducteur. Mais les hommes ne reconnaissent pas leur Conducteur. Il sera conduit par un homme et non par l’Esprit. L’Esprit conduit l’homme. Jésus est notre Conducteur. C’est le Saint-Esprit qui nous conduit. Mais nous raisonnons là-dessus et nous disons: «Eh bien, c’était possible en ce temps-là.» Si... Il est le même Conducteur aujourd’hui. Il a parcouru les routes. Il sait ce que... comment s’y prendre.

            Oh ! Que c’est merveilleux d’observer la nature !

34        Je peux me représenter ce sage alors qu’il était là, notre personnage de cet après-midi, Siméon, en prière. Et la Bible dit qu’il a été divinement averti par le Saint-Esprit qu’il ne mourrait pas avant d’avoir vu le Christ du Seigneur. Et il a cru cela. C’est le beau côté de cela. Il a cru cela. Et il n’avait pas honte, il n’avait pas non plus considéré son privilège d’un docteur.

            Sans doute que le vieil homme alors, probablement comme nous le dirions aujourd’hui, «avec un pied dans la tombe», à une quatre-vingtaine d’années, il allait chez quelques-uns et disait: «Frères, vous savez, le Saint-Esprit m’a annoncé que je ne mourrais pas avant d’avoir vu le Christ du Seigneur. Cela est proche.»

            Savez-vous ce que les autres sacrificateurs avaient probablement dit, les incroyants? «Vous savez, le vieil homme a tout simplement perdu un peu la tête. Eh bien, regardez-le. Alors que David L’a attendu, tous les prophètes L’ont attendu, et ce vieil homme, pratiquement mort maintenant, alors que nous sommes en un temps comme celui-ci, lui dit donc qu’il verra le Christ. Il y a quelque chose qui cloche chez lui.» C’était là. Il croyait en Dieu. Il n’avait pas honte de témoigner.

            Il a dit: «J’ai été divinement averti par le Saint-Esprit que je ne mourrais pas avant d’avoir vu le Christ du Seigneur, et je crois cela.» Il n’avait pas honte de le dire. Eh bien, il n’y a pas deux Saint-Esprit. Il n’y En a qu’un seul.

35        Eh bien, présentons cela sous forme d’une saynète maintenant. On est lundi matin, et les femmes affluent toutes. Il y avait environ deux millions de Juifs en Palestine à l’époque. Peut-être, peut-être, deux cents enfants naissaient chaque jour, des mâles, peut-être plus. Mais alors, d’après la loi juive, la mère devait venir après huit jours, amener son enfant mâle, elle devait offrir une offrande de purification pour elle-même; et l’enfant devait être circoncis pour être Israélite, conformément à l’alliance d’Abraham. Comme les gens continuaient à attendre la Venue du Messie...

            On est lundi matin. Oh ! Le temple est très fréquenté. Des centaines arrivent et repartent. Et Siméon éprouve un sentiment étrange. Il entre dans une pièce réservée à la prière afin de prier un moment. Vous êtes-vous déjà arrêté pour Lui parler quand vous éprouvez un sentiment étrange comme cela? Il entre là dans une pièce réservée à la prière afin de parler un moment à Dieu.

36        Le long de cette longue ligne de mamans, à droite du temple, juste sous de grands chérubins en bois d’olivier, avec leurs ailes qui se touchaient... Là se tenaient deux cents mères, disons. Et certaines d’entre elles étaient debout avec de jolis petits enfants, dans une belle broderie, avec de petits châles roses et de petits châles bleus, distinguant le... ce qu’on pensait du petit enfant, et la petite broderie merveilleuse, et les choses qu’on avait, les mamans dans de petites choses coquettes.

            Regardons le long de la ligne. Mais l’un des spectacles les plus étranges que j’aie jamais vus se tient là. Là se tient une petite fille d’environ dix-huit ans. Et je veux dire que les gens prenaient leurs distances vis-à-vis d’elle. J’entends une femme dire: «Ne vous tenez pas près d’elle. Cet Enfant-là est né sans–sans père, en dehors des liens sacrés du mariage. Cet Enfant est né avant... Il a dû être ici avant qu’ils soient même mariés.»

            Mais la petite mère tenait l’Enfant dans ses bras, elle avait une offrande de paysans. Vous savez, pour l’enfant d’un riche, on pouvait offrir un agneau. Mais si les parents étaient pauvres, ils pouvaient offrir deux tourterelles. Ainsi, la mère avait peut-être deux tourterelles à offrir comme offrande.

37        J’ai vu la belle petite broderie sur le veston de chaque petit enfant. Mais cette petite jeune fille-là, aux petites joues rougissantes, avec un voile couvrant son visage, berçait son Enfant qui ne portait pas de broderie, mais qui était emmailloté.

            Vous savez ce que c’est être emmailloté? C’est–c’est être revêtu des langes qui couvraient le joug d’un veau, avec lesquels il labourait. On n’avait rien dans quoi L’envelopper. Ainsi donc, on avait simplement pris un lange d’un veau dans une étable, on L’en avait enveloppé. C’était le Roi du Ciel.

            Et Le voici, avec Sa précieuse mère, tandis que l’église persécutait et se moquait: «Ne vous tenez pas près d’elle.» Mais dans son pauvre petit coeur de mère, elle savait à Qui appartenait cet Enfant-là. Et peu importe combien on se moque d’un chrétien né de nouveau aujourd’hui, dans son coeur, il sait ce qu’il a mis là dans le berceau. Ce que le monde dit importe peu. Ils savent.

38        Je peux la voir alors qu’elle tapote Sa petite joue. Quand bien-même Il est emmailloté d’un lange retiré de derrière le joug d’un veau, mais c’est son Bébé après tout. Peu importe ce qu’on dit, elle sait dans son coeur que le Saint-Esprit avait dit cela. Elle Le tient dans ses bras. Elle est simplement fière de Lui, alors qu’elle avance, et que tout le monde garde ses distances. Alors, quelqu’un dit: «Je me demande ce qu’il y a. Ça doit être un Enfant extrêmement pauvre là. Regardez comment Il est habillé.»

            Et alors, nous pensons que l’habillement représente quelque chose alors que le Roi de Gloire était emmailloté. Mais il nous faut avoir les tout meilleurs habits, nos cheveux doivent être bien arrangés avant que nous chantions dans la chorale, et... Honte à vous !

            Elle Le tient contre son sein. Elle gardait la tête baissée. Elle ne faisait pas cas de ce que les gens disaient. Elle s’intéressait à ce que Dieu avait dit. C’est ainsi qu’est chaque croyant: Ce n’est pas ce que les gens disent qui compte, mais ce que Dieu a dit.

            Au fur et à mesure qu’elle avance, que la ligne avance, un plus grand que Salomon est là. Il y a la Pierre angulaire du Temple. Il y a le Seigneur de Gloire dans Son propre Temple. Regardez comment on Le regarde. Pouvez-vous vous attendre à mieux aujourd’hui? Certainement pas. Le monde est plus cruel aujourd’hui qu’il ne l’était alors. Mais elle s’avance là.

39        Eh bien, si Dieu a fait une promesse... Ecoutez, je veux que vous saisissiez cela et que cela s’enfonce profondément du côté gauche, en dessous de la cinquième côte. Si Dieu a fait une promesse, Dieu est tenu d’accomplir cette promesse-là.

            Eh bien, Dieu avait promis à Siméon par le Saint-Esprit qu’il verrait le Christ. Dieu était tenu à cette promesse-là. Dieu fait une promesse, Il la tient.

            Eh bien, voici Siméon là, peut-être qu’il était en train de lire Esaïe: «Nous étions tous égarés comme des brebis. Le Seigneur a fait reposer sur Lui l’iniquité de nous tous. Cependant, ce sont nos souffrances qu’Il a portées, c’est de nos douleurs qu’Il s’est chargé. Et nous L’avons considéré comme puni, frappé par Dieu, Il était blessé pour nos péchés, brisé pour nos iniquités, le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur lui, et c’est par Ses meurtrissures que nous avons été guéris.»

            «Seigneur, qui est cette Personne dont parle le prophète? Cela peut-il être le Messie que Tu m’as dit que je verrais?» Et Il était là au temple, dans les bras de Sa mère.

            Et juste à ce moment-là, le Saint-Esprit dit: «Siméon.»

            «Oui, Seigneur.»

            «Lève-toi, et mets-toi en marche.» Amen. Dieu tient Sa promesse. «C’est le temps d’avancer, Siméon. Le temps est arrivé. Tu as eu un vif désir, la profondeur appelant la profondeur. Maintenant, la profondeur est dans le bâtiment pour répondre à cet appel-là.»

40        C’est pareil aujourd’hui. Vous qui croyez dans la guérison divine, vous à qui cela a été enseigné, vous avez senti que c’est Dieu qui peut guérir (En effet, vous L’avez vu guérir les autres), Il vous a conduit ici aujourd’hui comme Il avait conduit Siméon. Les hommes sont conduits par le Saint-Esprit aujourd’hui, tout comme ils étaient conduits à l’époque. Et quand la profondeur appelle, il doit y avoir une profondeur pour y répondre. Et en réponse, Il est entré dans la salle. Il est du devoir de Dieu de pousser quelqu’un dans la Présence de la profondeur pour répondre à l’appel qui est dans la profondeur. Amen. Car le Créateur Lui-même avait créé cela dans son coeur, et Il doit y avoir le Créateur pour répondre à Sa création. Amen. Le Créateur était donc dans la salle. Il était dans le monde. Le monde a été créé par Lui, mais le monde ne L’a pas reconnu. Il était le Créateur, et Il est toujours le Créateur. Il était là dans la salle.

41        Siméon se lève sous la conduite du Saint-Esprit, il se met en marche. «Par où, Seigneur?»

            «Ce n’est pas ton problème, Siméon. Continue simplement à marcher.» C’est ainsi que Dieu s’y prend. «Continue simplement à marcher.»

            «Comment vais-je sortir de ce fauteuil? Comment vais-je sortir de cette civière? Comment vais-je faire ceci?» Ce n’est pas ton affaire. Continue simplement à marcher. Continue à avancer. «Comment vais-je me rétablir?» Je ne sais pas. «Le médecin a dit que je vais mourir.» Continue seulement à marcher. La promesse est pour vous.

            «Comment puis-je mener la vie chrétienne?» Continue simplement à marcher. Garde le Calvaire devant toi et continue à marcher. Elle continue à avancer.

            Et quelques instants après, nous le voyons sortir par la porte, sous la conduite du Saint-Esprit. Il se fraye un chemin dans la foule, sans savoir où il va. Mais Dieu est tenu à Sa Parole. Il doit le mener, le conduire droit à la Fontaine de Sa promesse. Et vous qui croyez en Dieu, et qui êtes venus comme vous êtes venus aujourd’hui, si vous croyez à la guérison divine, c’est que le même Saint-Esprit vous a conduits à cette réunion. Il vous a fait la promesse, qu’allez-vous faire à ce sujet?

42        Siméon continue à marcher. Il...?... cette rangée de femmes. Le Saint-Esprit dit: «Tourne-toi de ce côté-ci, Siméon.» Le voici aller, il longe la rangée de femmes.

            «Qu’est-ce qui est sur le point d’arriver?»

            «Ce n’est pas ton affaire, Siméon, continue simplement à marcher.» Et il descend. Et à quinze pieds [4,5 m] de toutes les autres, tout le monde évitait cette petite jeune fille timide avec son Enfant dans ses bras, emmailloté. Et elle s’essuyait les larmes...?... contre sa joue.

            Le Saint-Esprit a dit: «Siméon, Je t’ai fait la promesse, ne cherche pas de grandes choses. Tu te tiens près de Cela. C’est Ça.»

            Siméon étendit les bras, et quand il fit un geste, quelque chose se passa dans son coeur. Il étend les bras vers la petite mère, il prend l’Enfant et dit: «Seigneur, laisse Ton serviteur s’en aller en paix, selon Ta Parole, car mes yeux ont vu Ton salut, salut que Tu as envoyé pour servir de Lumière pour les nations...?... d’Israël», sous la conduite du Saint-Esprit.

            Voyez, les gens ne faisaient pas attention à cela. Ils disaient: «Le vieil homme est fou.» Ils diront la même chose de vous, mais choisissez qui vous allez croire. Suivez la conduite du Saint-Esprit.

43        Juste un instant avant de clôturer... Là loin derrière au coin, il y avait une vieille femme assise là. Elle était aveugle, une prophétesse. L’Esprit de prophétie était sur elle. Elle prophétisait. Elle attendait aussi la consolation d’Israël. Pourquoi? Elle était une prophétesse. Vous ne pouvez pas être en contact spirituel avec Dieu et douter donc de quelque chose qu’Il a annoncé dans Sa Parole. Elle attendait. Elle était aveugle. Et le Saint-Esprit a dit: «Anne, tiens-toi debout. Celui que tu attendais est ici.»

            Et la voici arriver là, sous la conduite du Saint-Esprit, se frayant le chemin dans la foule. Aveugle, elle ne savait pas où elle allait, mais elle était conduite par le Saint-Esprit. Elle est venue se tenir là où était Siméon et elle a dit: «Laisse-moi L’avoir.»

            Si le Saint-Esprit a pu conduire une femme aveugle à travers une foule débordante, à combien plus forte raison peut-Il vous conduire vers la Fontaine de la Vie? Le même Saint-Esprit qui l’avait conduite, qui avait conduit Siméon, parce qu’il attendait la promesse de Dieu, vous a conduit cet après-midi, car Jésus a dit, quand Il était ici sur terre: «Je ne fais rien de Moi-même, Je ne fais que ce que Je vois faire au Père, en vision, ensuite, Je le fais pareillement.»

44        Et Il a dit: «Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus, mais vous, vous Me verrez, car Je serai avec vous, même en vous, jusqu’à la fin du monde.»

            C’est vous donc le vous. Le monde est dans les réjouissances... Le monde est dans les débits de boisson. Mais Il a dit: «Vous, vous Me verrez; le monde ne Me verra plus, mais vous, vous Me verrez jusqu’à la fin du monde.» C’est pourquoi vous êtes conduits ici cet après-midi par le même Saint-Esprit. Et Il est ici. Et puissiez-vous prendre votre décision de L’embrasser dans votre coeur comme Siméon autrefois. Puissiez-vous, avec des bras forts de la foi, Le bercer dans votre sein aujourd’hui, Le recevoir comme votre Sauveur et Guérisseur, voilà ma prière.

45        Prions. Notre Bien-Aimé Père céleste, des pages sont maintenant tournées dans la Bible. Cette réunion va bientôt devenir de l’histoire, peut-être pas du monde, car pourquoi garder l’histoire maintenant? Tu viens bientôt. Mais l’histoire de la réunion figurera sur les pages du Livre de Vie, les décisions des gens, et comment ils ont agi à Ton sujet.

            Que tout le monde cet après-midi soit comme Siméon autrefois, qu’ils soient calmes, qu’ils comptent sur Toi et disent: «Père, c’est Toi qui m’as conduit. Et je suis ici sous la conduite de Ton Esprit. Et je crois maintenant en Toi.»

            Et, Père, je Te prie d’amener tout le monde à se décider à venir à Toi maintenant.

            Et pendant que nous avons nos têtes inclinées, y a-t-il ici quelqu’un qui dit: «Frère Branham, je lève les mains vers Dieu aujourd’hui pour dire: Je n’ai pas vécu le bon genre de vie, mais j’aimerais maintenant accepter Jésus comme mon Sauveur. J’aimerais que vous vous souveniez de moi dans un mot de prière.»? Voudriez-vous lever la main, à l’intérieur ou à l’extérieur? N’importe où, levez la main, très haut. Très bien. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse. Quelqu’un d’autre? Que Dieu vous bénisse, là-haut aux balcons. Je vous vois.

            Quelqu’un ici qui a été rétrograde, qui dit: «Ô Dieu, je...»

            Toi la petite douce créature, je viens de remarquer tout à l’heure la petite fille, que son petit coeur soit béni.

            Voudriez-vous lever la main pour dire: «Ô Dieu, sois miséricordieux envers moi. Je–j’aimerais mener une vie plus intime avec Christ à partir d’aujourd’hui? Voudriez-vous lever la main vers Lui? Juste dans Sa Présence? Que Dieu vous bénisse. Beaucoup de mains sont levées. Et à l’extérieur, je vois vos mains depuis l’extérieur. Très bien.

46        Jésus a dit dans Sa propre Parole, Saint Jean 5.24: «Celui qui écoute Mes Paroles, et qui croit à Celui qui M’a envoyé, a la Vie Eternelle, et ne vient point en jugement, mais il est passé de la mort à la Vie. Mais nul ne peut venir à Moi, M’accepter, en levant les mains, ou par quelque moyen que ce soit, si le Père ne l’attire premièrement.»

            Père céleste, je confie cette assistance entre Tes mains, et que la Parole de Dieu pénètre profondément dans leurs âmes, que chaque pécheur soit sauvé, que le rétrograde revienne à l’église et à Dieu. Accorde-le, Père, ou à Dieu, et puis à l’église. Accorde-le, Seigneur. Que les malades soient guéris aujourd’hui. Et puisses-Tu envoyer Jésus accomplir Ta Parole, Tes Ecritures. Et puisse-t-Il aujourd’hui, pendant que ce petit groupe de gens sincères sont assemblés, alors que des milliers sont là dehors en train de s’amuser dans les plaisirs de ce monde... Assurément, Seigneur, Moïse avait été envoyé uniquement à Israël. Le Message, c’est pour les croyants. Et je Te prie, Père céleste, de bénir ces mouchoirs qui sont déposés aussi ici pour les malades et les nécessiteux.

47        Maintenant, apparais sur la scène pour nous, Père, et manifeste-Toi le Seigneur ressuscité. Bénis ces gens, Père. Que tout le monde reçoive maintenant les Paroles qui ont été proclamées aujourd’hui, bien qu’Elles eussent été entremêlées telles qu’Elles l’ont été, puisses-Tu Les distinguer et Les placer comme il faut dans leur coeur. Puissent-ils partir d’ici en disant comme Cléopas et l’autre, son ami: «Notre coeur ne brûlait-il pas au-dedans de nous lorsqu’Il nous parlait en chemin?» Car nous le demandons au Nom de Ton Tendre Fils, le Seigneur Jésus. Amen.

48        A tout celui qui a levé la main, et à ceux qui n’ont pas levé la main, je vais vous demander de bien vouloir faire quelque chose pour moi, pas pour moi seul, mais pour vous-mêmes et pour Dieu surtout. Aussitôt le service terminé, la prière pour les malades, voudriez-vous venir ici à l’autel? Et vous êtes un chrétien dès que vous avez levé la main, et dès que, dans votre coeur, vous acceptez Christ, vous devenez une personne vivante. La Parole de Dieu est vraie: «Celui qui écoute Ma Parole, et qui croit à Celui qui M’a envoyé, a (C’est au présent) la Vie Eternelle.»

49        Maintenant, mais ce dont vous avez besoin, vous avez besoin du baptême du Saint-Esprit pour vous introduire dans le corps des croyants. Vous avez cru à la Vie, mais maintenant, Dieu vous baptise du Saint-Esprit dans l’Eglise pour le service. Eh bien, ça peut paraître juste un peu contraire, si c’est le cas, ce n’est pas mon intention en le disant. C’est... Parfois, je...?... Ne dites pas ça...?... Eh bien, d’une façon ou d’une autre, vous êtes venu à Christ. Croyez simplement au Seigneur Jésus-Christ de tout votre coeur. Et croyez de toute votre âme. Et le pasteur de là où vous êtes donc membre, si vous n’êtes membre d’aucune église, regardez, il y en a qui sont assis ici derrière moi. Si j’habitais cette ville-ci, et que j’étais comme vous, près de là où sont ces prédicateurs, ils croient dans ce genre de ministère, sinon ils ne se retrouveraient pas ici pour représenter cela. Ils y croient. Eh bien, allez vers eux, serrez la main au pasteur et dites: «Pasteur, j’aimerais que vous me baptisiez. Et j’aimerais que vous m’instruisiez, comment je dois recevoir le Saint-Esprit. J’aimerais devenir un véritable et authentique saint de Dieu baptisé. Je...»

            Et ils vous instruiront. Ils savent comment s’y prendre. Allez auprès d’eux. N’aimeriez-vous pas faire cela pour moi maintenant? Et quand je reviendrai, j’aimerais vous serrer la main et vous direz: «Oh ! Frère Branham, je suis très heureux. Autrefois, j’étais chargé de fardeaux et j’étais là dans le monde, et beaucoup de choses allaient très mal pour moi, mais maintenant, j’ai complètement surmonté cela. Je suis heureux et libre. Je suis membre de telle belle église par ici, et on–on m’enseigne la guérison divine, les puissances de Dieu, et je me réjouis donc beaucoup.» J’aimerais que vous fassiez cela, un pèlerin, en route avec moi maintenant vers la Gloire. Nous sommes frères et soeurs en Christ. Nous ne sommes pas ici pour nous faire du mal les uns aux autres. Nous sommes ici pour nous entre-aider. Nous sommes ici pour aller ensemble.

50        Maintenant, il y a assis ici dans le fauteuil un jeune homme, un petit garçon assis ici. Oh ! la la ! Je me demande là dans l’assistance, il y a peut-être des gens là derrière qui souffrent des maladies plus graves que ça, peut-être, de la maladie du coeur, qui vont mourir dans les quelques prochains jours. Peut-être quelqu’un qui souffre du cancer, qui est parti, qui s’en va. Oh ! la la ! Si rien ne se fait, il va en mourir. Les médecins l’ont examiné et ont dit: «Je n’en peux plus, c’est entre Dieu et vous maintenant.» Après que le médecin a fait tout son possible, alors je viens essayer, essayer de vous aider à atteindre Dieu (Voyez?), non pas de vous éloigner de votre médecin, non pas de vous éloigner de votre église, mais d’aider à vous amener à Christ (Voyez?), afin que vous puissiez croire. Et Il a fait beaucoup de choses, chrétiens; je–je crois simplement qu’Il fait tout bien. C’est pourquoi je suis ici pour vous aider.

51        Maintenant, je ne peux pas vous guérir...?... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]... ce garçon ici, n’importe qui parmi vous là dans l’assistance qui souffrez ou qui êtes malade, j’aurais bien voulu le faire. Si je pouvais le faire, je le ferais certainement. Vous croyez cela, n’est-ce pas? Mais je ne le peux pas. Je ne suis qu’un homme. Mais par la grâce de Dieu, Il m’a donné un don d’avoir des visions. Et cela s’est uniquement fait, non pas parce que je l’ai mérité, cela... J’aurais bien voulu échanger cela pour être un bon prédicateur, sortir et prêcher, et juste sortir maintenant même et faire un appel à l’autel. Vous ne connaissez pas les chagrins qui accompagnent cela. Vous ne comprenez simplement pas.

52        Il y a cinq ans, il y a six ans, j’étais fort, avec des épaules droites. J’ai une fois mené des combats de poids coq dans trois Etats, ma tête était couverte de cheveux, je n’avais pas de rides au visage. Regardez ce que cinq ans m’ont fait. Voyez? Que feront cinq autres années? Mais voici ce qu’il y a: «A la fin, après que j’aurai combattu mon dernier combat, que j’aurai prêché mon dernier sermon, et que je me tiendrai là où les vagues s’abattront contre mon âme, sachant que je m’en vais, j’aimerais remettre la vieille flèche dans le bouclier, enlever mon armure et dire: ‘Ô Dieu, envoie le bateau de sauvetage, je rentre à la maison ce matin.’» Il sera là. Ne vous en faites pas.

53        Et j’aimerais vous rencontrer, m’asseoir à côté des arbres aux feuilles persistantes, là où le choeur angélique chante tout le temps, car il n’y a pas de nuit, tout est jour. J’aimerais vous rencontrer là et vous entendre: «Oh ! Frère Branham, vous avez peut-être enduré beaucoup de durs labeurs et autres, mais je vous ai suivi une fois. J’ai vu Christ travailler par vous, et j’avais cru. Et me voici. Je suis très heureux.» Oh ! Combien ça sera alors agréable !

            Vous direz: «Venez chez moi, par ici sur la colline, rendez-moi une visite de mille ans.» Voyez-vous? Ça ne sera pas très long, juste mille ans, c’est rien.

            C’est ce que j’aimerais faire. C’est la raison pour laquelle je meurs petit à petit tel que je me meurs. Mais c’est pour Sa gloire. Et j’aime faire ça. Et j’aurais bien voulu avoir mille vies afin que je puisse les vivre pour Lui. Eh bien, Billy, j’ai oublié de demander... Où est-il? Est-ce que... les cartes de prière? Combien? Cent, 1 à 100?

            [Espace vide sur la bande–N.D.E.]...?... Eh bien, Il a dit: «Encore un peu de temps, et je serai le Cep, et vous serez les sarments.» Eh bien, le–le cep ne fait que donner la vie aux sarments. Ce n’est pas le–le cep qui porte les fruits. Ce sont les sarments qui portent les fruits. Combien savent cela? Vous ne cueillez pas cela au cep. Vous les cueillez au sarment. Et qui est le sarment? L’Eglise, le sarment.

54        Eh bien, maintenant, si la ligne, si le cep a une certaine vie, n’est-ce pas cette même vie qui est dans le sarment? Est-ce vrai? Absolument. J’aurais bien voulu que nous ayons le temps de vous prêcher cette alliance inconditionnelle pendant quelques jours, et vous montrer bien comment Dieu entre dans ce sarment-là, et quel genre de fruit est-ce.

            Remarquez. Mais quand Il était ici sur terre, Il était le Cep. Et quand Il est parti, Il est toujours le Cep et Il a porté des sarments. Maintenant, Il n’a pas d’yeux sur terre en dehors des vôtres et des miens, pas de mains en dehors des miennes et des vôtres. Nous sommes Son porte-parole, Ses oreilles, Ses yeux, et tout le reste sur terre. Est-ce vrai? En effet, Son corps physique, littéral, est à la droite de Dieu le Père, sur le Trône de Dieu, au Ciel, comme un–un Médiateur, ou une offrande, un sacrifice. Et il n’y a pas d’autre médiateur entre Dieu et l’homme, si ce n’est cet Homme-là, Jésus-Christ. Comprenez-vous cela? Aucun autre médiateur, aucun saint, ni rien d’autre, aucun homme, non, personne à part Jésus-Christ Lui-même. Il est le Médiateur entre Dieu et les hommes. C’est ce que déclare la Bible.

55        Maintenant, suivez. Quel genre d’oeuvres avait-Il accomplies ici sur terre? Suivons-Le, voyons ce qu’Il avait fait alors. L’un de Ses premiers miracles accomplis, après l’imposition des mains aux malades... L’un de Ses disciples (Maintenant, ceci est pour les nouveaux venus.) est allé et... du nom de Philippe, il a trouvé Nathanaël qui était en train de prier sous un arbre, à plusieurs kilomètres de là où il était; il a ramené cet homme. Et l’homme a dit, quand Philippe l’a vu, il lui a dit: «Viens voir Qui nous avons trouvé, Jésus de Nazareth.»

            Et cet homme qui venait de l’église orthodoxe s’est levé et a dit: «Peut-il venir de Nazareth quelque chose de bon?»

            Il a dit: «Viens, et vois.» C’est la meilleure réponse, à ma connaissance, à donner à quelqu’un. «Viens, et vois. Découvre toi-même.» Si vous ne croyez pas que Jésus est ressuscité d’entre les morts, venez, et voyez. J’ai lancé ce défi devant des centaines de milliers de païens, des sorciers, des adorateurs du diable...?... des conducteurs; Il n’a jamais fait défaut, et Il ne le fera jamais. Il ne le peut pas. Il est Dieu.

56        Il a donc dit: «Viens, et vois.» Alors, il... ils ont fait route ensemble en causant. Il a dit: «Je vais te dire quoi (Chemin faisant). Tu sais que le Messie est censé accomplir des signes et des prodiges.»

            «Oui, c’est Lui qui est censé le faire.»

            «Quoi? Attends que j’arrive là et que je voie.»

            Il a donc traversé directement la foule, il se tenait comme vous là. Jésus était en train de prier pour les malades, Jésus a regardé tout autour et a dit: «Voici un Israélite dans lequel il n’y a point de fraude.» Eh bien, comment avait-Il su qu’il était un croyant? Cela l’a étonné.

            Il a dit: «Rabbi, quand m’as-Tu connu?»

            «Oh ! a-t-Il dit, quand Philippe... avant que Philippe t’appelât, quand tu étais sous l’arbre en train de prier, Je t’ai vu.» Et les Juifs se tenaient là, les sacrificateurs, les orthodoxes issus de la grande église, de vrais érudits et des gens instruits au séminaire. Ils ont dit: «C’est le diable. C’est Béelzébul. Il est le chef de tous les diseurs de bonne aventure. Et c’est ce qui fait ça.»

            Jésus a dit: «Vous pouvez le dire contre Moi, cela vous sera pardonné. Mais quand le Saint-Esprit sera venu faire la même chose, dire un seul mot contre Cela ne vous sera jamais pardonné ni dans ce siècle ni dans le siècle à venir.»

57        Mais qu’a fait l’homme... Nathanaël, quand Il a entendu cela? Il a dit: «Rabbi, Tu es le Roi d’Israël. Tu es le Fils de Dieu.» Il a reconnu que c’était le Fils de Dieu, à partir de ce signe-là.

            Si c’était là le signe du Fils de Dieu à l’époque, et qu’Il est ressuscité d’entre les morts, ne serait-ce pas là le signe du Fils de Dieu aujourd’hui, après qu’Il eut promis qu’Il ferait la même chose?

            Quand il fut dit à la femme au puits ses péchés, elle était juste une femme. Jésus s’est mis à lui parler. Il lui a parlé longtemps. Et Il a dit: «Va chercher ton mari.» Il avait découvert son problème.

            Elle a dit: «Je n’ai point de mari.»

            Il a dit: «Tu en as eu cinq.»

            Elle a dit (Maintenant, suivez): «Seigneur, je vois que Tu es Prophète.» Elle a dit: «Or, nous savons que quand le Messie sera venu, c’est ce qu’Il fera. Il nous annoncera toutes choses. Mais Toi, qui es-Tu?»

            Jésus a dit: «Je Le suis, Moi qui te parle.»

            Regardez: Si c’était là le signe du Messie pour les Juifs, c’était aussi le signe du Messie pour les Samaritains, quand Il était ici sur terre, il ne reste qu’un seul pour qui ça doit être le signe, ce sont les Gentils. Jésus a été tué devant... le Sacrifice a été immolé devant les Gentils. Paul, Pierre, et les autres sont venus après confirmer le même signe du Seigneur Jésus ressuscité. Si c’était là le signe du Messie à l’époque, c’est le signe du Messie aujourd’hui.

58        Maintenant, combien y a-t-il de nouveaux venus, ceux qui sont ici pour la première fois? Si Jésus vient à cette estrade faire la même chose qu’Il avait faite dans le passé... Et écoutez.

            Maintenant, vous direz: «Jésus guérissait tout le monde.» Vous êtes en erreur. Il ne guérissait pas tout le monde. Certainement pas. Il est passé à côté d’une piscine où il y avait des gens. La Bible dit, dans Saint Jean 5, un grand nombre: Des milliers de boiteux, d’estropiés, d’aveugles, de paralytiques, des gens aux membres tordus, qui attendaient le mouvement de l’eau. Et Jésus est passé droit dans cette foule-là. Il a eu une vision dans laquelle Dieu Lui avait montré quelqu’un couché sur un grabat, Il est allé là et Il l’a guéri, Il a fait demi-tour et s’en est allé. Est-ce l’Ecriture? Certainement.

            Et les Juifs L’ont interrogé. Ils L’interrogeraient aujourd’hui. Mais suivez ce qu’Il a dit, Saint Jean 5.19 maintenant. Il a dit: «En vérité, en vérité, Je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-même, mais ce qu’Il voit faire au Père, le Fils aussi le fait pareillement.» Est-ce vrai? Saint Jean 5.19.

59        Maintenant, Il agira de même aujourd’hui. Eh bien, permettez-moi de dire ceci. S’il n’y avait pas d’opportunité... Je parle au Nom de Jésus-Christ. Vous qui ne comprenez pas, vous aurez à me croire sur parole. Mais si le Saint-Esprit vient aujourd’hui et accomplit l’oeuvre qu’Il avait accomplie, vous rendez-vous compte que les esprits impurs et autres quitteront les gens? Savez-vous que vous êtes un sépulcre ouvert pour eux? Savez-vous que les maladies vont d’une personne à l’autre? Vous rappelez-vous l’autre nuit quand nous disions, ce que c’était? C’est spirituel. Le cancer est un...?... De la matière vivante. C’est une vie. Certainement, ça l’est. Cela a un maître derrière lui, le diable. Jésus l’a dit. Toutes sortes de maladies, les démons... Et si vous ne croyez pas, ou si vous êtes un critiqueur, je vous demande, en tant qu’ami de Christ, de ne pas rester longtemps dans la réunion. A votre place, je sortirais, car vous êtes... Je n’ai pas le temps de vous expliquer cela. Mais il y a des centaines de gens aujourd’hui qui étaient dans des réunions, qui ont été frappés par le cancer et sont paralysés; d’autres sont fous et dans des institutions psychiatriques et autres. En effet, les esprits peuvent sauter de l’un à l’autre. Les gens célèbres, j’ai leurs noms avec des sceaux dessus, scellés par des notaires publics et tout, que c’est vrai.

            Ainsi donc, ne–ne soyez pas critiqueur. Croyez. Et si vous ne pouvez pas croire, alors, je pense qu’après que vous avez entendu le message, que le Seigneur vous bénisse à un moment donné et vous amène à une autre réunion. Maintenant, prions.

60        Et maintenant, Bien-Aimé Père, toutes les paroles que je pourrais dire ce soir ne vaudront pas une seule Parole que Tu dirais. Ma parole est celle d’un serviteur. Ta Parole est la Parole du Maître. Et, Bien-Aimé Père, j’ai essayé de dire à Ton héritage que voici que Tu es mort pour eux, pour les sauver et pour les guérir. Et si seulement ils croient en Toi et croient que Tu es vivant aujourd’hui et que Tu n’es pas mort, et que Tu es ici, ressuscité d’entre les morts, accomplissant les mêmes oeuvres que Tu accomplissais, personne ne peut jamais s’élever au-dessus de cela, faire ce que Dieu oint et montre à faire. Alors, Père, je prie que cette ville, ainsi que ces gens que Tu m’as donnés aujourd’hui pour les enseigner, qu’il n’y ait plus jamais un doute de plus dans leurs coeurs, mais qu’ils croient en Toi aujourd’hui, de tout leur coeur.

61        Et ces enfants nouveau-nés, qui sont venus tout à l’heure à Toi, ô Dieu, parle vraiment à leurs coeurs maintenant, pour leur faire savoir que le Jésus qu’ils viennent d’accepter est vivant, Celui qui ne mourra plus jamais et qui viendra un jour prendre tous ceux dont les noms sont inscrits dans Son Livre vers un monde meilleur, où nous vivrons, nous mangerons, nous boirons, nous construirons des maisons et les habiterons, et nous nous réjouirons ensemble avec Lui aux siècles des siècles.

            Maintenant, Père, veux-Tu oindre Ton serviteur inutile? Alors que je m’abandonne à Ton Esprit, puisses-Tu utiliser ces mains indignes, ces lèvres indignes, ces yeux indignes pour Ton service. Mais, ô Dieu, je suis très indigne. Mais si Tu cherches la dignité, où la trouveras-Tu? Il n’y en a pas sur terre, Seigneur. Il n’y a aucun qui soit digne. Mais c’est la grâce de Jésus, le Fils de Dieu, qui a accordé ceci aux gens, sachant que les Ecritures doivent s’accomplir. Je confie ceux-ci entre Tes mains, Père. Puisses-Tu récolter les résultats. Et aide-moi, au Nom de Jésus-Christ. Amen. [Espace vide sur bande–N.D.E.]

            Que le Seigneur soit avec vous. Généralement, les réunions me mettent dans un état tel que je sais à peine où je suis. J’ai apprécié d’être ici. Que Dieu soit avec vous jusqu’à ce que nous nous rencontrions. Priez pour moi.

            Maintenant, nous allons prier pour les malades.

62        Faites venir la personne...?... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]...?... Dans cette ligne de prière, m’êtes-vous tous inconnus? Combien ici me sont inconnus? Faites voir les mains, tout le monde. Vous êtes tous inconnus. Il n’y a qu’une seule personne dans cette salle que je connais, c’est ce jeune garçon assis ici, et celui qui est debout ici, et mon fils est ici quelque part. Il est ici quelque part, mon fils. Et je sais que c’est le pasteur qui se tient ici, frère Bigby. En dehors de cela, ce sont des inconnus. Je ne vous connais pas. Mais Dieu vous connaît.

            Maintenant, j’aurais bien voulu faire quelque chose pour vous qui êtes assis ici. Je vois, peut-être, si vous n’avez pas de cartes de prière, ou si votre numéro n’est pas appelé, vous n’avez pas à avoir de cartes de prière. Laissez-moi vous le montrer. Combien ici n’ont pas de cartes de prière et aimeraient qu’on prie pour eux? Levez la main. Voyez? Voyez, vous n’avez pas à avoir des cartes de prière. Il vous faut avoir la foi. Maintenant, Jésus est le même. Tout ce que je fais, c’est simplement m’abandonner à Lui, à Son Esprit. [Espace vide sur la bande–N.D.E.]...?...

            Ce n’est pas mon Evangile. C’est le Sien. Ce n’est pas ma parole qui est en jeu, c’est la Sienne. Ainsi, je n’aurai pas peur. Il accomplira toutes choses.

63        Eh bien, voici une dame debout ici. S’il vous plaît, vous pouvez vous approcher un peu plus près, madame. Vous et moi, nous sommes de parfaits inconnus l’un à l’autre. Je suppose que c’est notre première rencontre donc, ou d’être si proches ensemble dans la vie. Si c’est le cas, levez la main. Eh bien, la femme se tient ici dans un but. Je ne sais pas. Dieu sait que je ne sais pas. Mais Il connaît cette femme. Et maintenant, et si c’était exactement la même chose? Si cette femme était juste comme la femme qui était venue au puits, là où Jésus était assis, adossé au mur, que ferait-Il à cette femme-ci?

            Eh bien, et si cette femme est malade? Peut-être qu’elle ne l’est pas. Mais, et si elle était malade? Son... Si Jésus était ici dans ce costume qu’Il m’a donné, pourrait-Il guérir la femme? Faites attention. Non, Il ne le pourrait pas. Il ne pourrait pas le faire deux fois. Il l’a déjà fait une fois quand Il est mort au Calvaire. Croyez-vous cela? Voyez? Vous n’avez pas été sauvé la semaine passée. Vous n’avez pas été sauvé il y a cinq minutes. Vous avez été sauvé il y a mille neuf cents ans quand Jésus avait payé le prix pour cela. Vous avez accepté cela il y a cinq minutes (Voyez?), c’est pareil pour la guérison.

            Maintenant, mais s’Il est le Fils de Dieu ressuscité, qu’Il se tenait ici dans un corps corporel comme le mien, Il parlerait à la femme. Et si la femme disait: «Ô Jésus, j’aimerais que Tu me guérisses», savez-vous ce qu’Il dirait? «Je l’ai fait quand Je suis mort pour toi. Ne crois-tu pas à Ma souffrance à ta place et à Ma mort à ta place au Calvaire, que J’étais blessé pour tes péchés, et que c’est par Mes meurtrissures que tu as été guérie?» C’est tout ce qu’Il pourrait dire. S’Il faisait quelque chose de plus, Il briserait l’Evangile. Est-ce vrai, prédicateurs? Il briserait l’Evangile. Il ne le pourrait pas. C’est déjà terminé.

64        Tout ce qu’un chrétien a, c’est sa foi qui repose dans les oeuvres accomplies au Calvaire. Tout a été achevé et accompli, et nous reposons notre foi sur l’oeuvre accomplie. Tout don qui dit autre chose que cela, ne le croyez pas, ça ne vient pas de Dieu. En effet, c’est là que le prix a été payé. C’est là que tout a été accompli, là même.

            Mais maintenant, Il a placé des dons dans l’Eglise. Eh bien, si cette femme... je lui parle juste pour engager une conversation comme Jésus... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

            L’Ange du Seigneur...?... J’ai vu cela ici ce matin sur quelque chose. En avez-vous une ici, monsieur? Cela est dans l’une des photos? En avez-vous une, Gene? C’est juste une partie de Cela là-dessus, fiston. Cela a été pris. C’est juste le bout de Cela; l’une, c’est ce que nous avons sur Ses photos; nous ne vendrons pas le dimanche, c’est tout. Mais nous avons Cela ici. Cela est accroché à Washington, D.C., et C’est sous droit d’auteur, Ça a été photographié à Houston, au Texas. Ça a été aussi photographié en Allemagne, Ça a été encore photographié à Little Rock, dans l’Arkansas. Et Cela a été photographié à plusieurs reprises.

65        Et ce même Ange de Dieu n’est pas à cinq pieds [1,5 m] de là où je me tiens maintenant même. C’est vrai. C’est la raison pour laquelle je suis convaincu qu’Il m’écoute. Voyez? Je ne ferais pas pareil défi si je ne savais pas qu’Il était ici. Mais en lançant pareil défi, avec les rachetés par le Sang de Christ devant moi, vous devez savoir de quoi vous parlez.

            Maintenant, s’Il parle, c’est donc Lui. Vous pouvez douter de moi. C’est en ordre. Mais si vous doutez de Lui, vous allez vous repentir pour cela, sinon vous ne Le verrez jamais. C’est vrai. Et si vous vous êtes moqué de Cela ou vous avez critiqué Cela, il n’y aura jamais de pardon dans ce siècle ni dans le siècle à venir, a dit Jésus. Eh bien, c’est une chose sérieuse à quoi penser.

66        Maintenant, soeur, moi, je ne vous connais pas. La raison pour laquelle je vous ai appelée soeur, c’est que vous êtes une croyante. Votre esprit, comme je vous le témoigne, se sent le bienvenu. Ainsi donc, vous n’êtes pas une critiqueuse. Vous êtes ici pour avoir de l’assistance. Et je ne vous connais pas. Mais si Jésus-Christ me dit ce pour quoi vous êtes ici, allez-vous accepter cela juste comme la femme au puits qui avait dit: «Eh bien, Tu dois être un Prophète. Et nous savons que quand Jésus sera venu, ou plutôt le Christ, c’est ce qu’Il fera»? S’Il est donc ressuscité d’entre les morts, comme je l’ai dit dans mon sermon, Il est donc ici. Or la Bible dit plutôt qu’Il est ressuscité d’entre les morts pour accomplir les mêmes oeuvres. Vous savez alors que le Jésus ressuscité est ici. Le reste d’entre vous, croira-t-il de tout son coeur? Allez-vous croire, vous qui êtes sur le brancard, madame? Allez-vous croire, vous monsieur sur le fauteuil roulant? Allez-vous croire, vous par ici, vous tous? La femme maintenant, c’est une parfaite inconnue, nous ne nous connaissons pas l’un l’autre. Et je Lui fais confiance.

            Maintenant, je vais la rencontrer par la foi, au Nom de Jésus-Christ.

            Que le technicien veuille bien veiller au microphone, je ne sais à quel point ma voix porte haut quand je parle des fois, si l’assistance entend cela ou pas. C’est à Dieu.

            La femme sait qu’il se passe quelque chose. Elle sait qu’elle est dans la Présence de Quelque Chose d’autre qu’un homme, de son frère. C’est la Présence de Dieu. En effet, entre elle et moi maintenant se tient ce Feu tourbillonnant. La femme En est très consciente. Si elle peut lever la main en ce moment-ci, si vous en êtes consciente. La dame souffre, je la vois, elle souffre d’une–d’une maladie de nerfs. Elle est toute bouleversée au sujet de quelque chose. Je la vois recevoir quelque chose sur son bras. Oh ! C’est–c’est un examen de sang. Elle souffre de l’hypertension. Et elle a... Je les vois examiner le coeur, avec un habit, examinant le coeur ici. C’est une maladie du coeur, elle souffre aussi du coeur. Et puis, il y a quelque chose, on examine la gorge. Il y a–il y a une grosseur à l’intérieur de votre gorge. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR.

            Maintenant, vous savez si c’est vrai ou pas. Vous en êtes témoin. Est-ce vrai? Maintenant, croyez-vous que Jésus... Or, vous savez que Quelque Chose doit venir ici pour me dire cela. Est-ce vrai? Croyez-vous que c’est le Fils de Dieu dans Sa puissance de la résurrection pour accomplir Ses Paroles? Croyez-vous cela? L’acceptez-vous donc maintenant comme votre Guérisseur?

            Alors, Seigneur Dieu du Ciel et de la terre, je condamne maintenant la maladie dans le corps de cette croyante et je réclame sa guérison au Nom de Jésus-Christ. Rentrez chez vous et réjouissez-vous, soeur, et soyez heureuse, soyez guérie de votre maladie. Amen.

67        Croyez-vous maintenant? Eh bien, cela règle simplement la question. Vous savez, on pouvait bien s’arrêter à cette seule femme. Vous direz: «Peut-être qu’elle est venue avec moi.» Je ne connais pas la femme, mais... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

            Maintenant, l’homme devant moi est un inconnu. Je ne le connais pas. Je ne l’ai jamais vu. Est-ce vrai, monsieur? Si c’est vrai, levez la main. Cet homme est un inconnu, il n’est pas inconnu à Dieu.

            Maintenant, monsieur, vous êtes ici pour quelque chose... [Espace vide sur la bande–N.D.E.], c’est dans votre coeur. Et je ne sais pas, mais si Dieu révèle cela, allez-vous l’accepter? Vous êtes très gravement malade. Il y a une ombre noire sur vous. Il y en a deux. L’une d’elles, c’est l’esprit d’épilepsie. Et l’autre, c’est la maladie d’estomac, cela déclenche des hémorragies. Je vois un médecin vous examiner, consulter l’estomac, et il dit que c’est même aussi grave que le cancer dans votre estomac. C’est ce qu’il vous a dit. C’est exact. Etes-vous un croyant? Allez-vous accepter cela? Allez donc au Nom de Jésus-Christ...?... Que Dieu vous bénisse, mon frère.

            Ayez foi en Dieu. Ne doutez pas. Tout est possible.

68        Maintenant, je ne peux pas guérir. C’est votre foi en Dieu qui opère la guérison. La femme devant moi est une inconnue que je n’ai jamais vue, je suppose. Sommes-nous inconnus? De parfaits inconnus. Ayez foi en Dieu. Ne doutez pas. Maintenant, il y a des gens là dans l’assistance. Voyez? Leur foi opère Cela tout comme la vôtre. Je vous isole si je le peux (Voyez-vous?) pour vous parler. Mais c’est leur foi qui fait cela, tout comme la vôtre le fera. Ce n’est pas moi. Je–je ne suis pas Lui. Je ne vous connais pas. Voyez? Il faut votre foi en moi pour croire cela. Voyez? Tout comme leur foi croit, et elle ne fait que tirer de partout. Mais, peut-être, si seulement je peux garder votre esprit en ligne...

            Vous êtes très faible. Et vous avez été quelque part dans un bâtiment où on vous a alitée. C’est un hôpital. Vous venez de sortir d’un hôpital, une bursite. C’est vrai. Cela vous a laissée dans un état terrible de faiblesse. C’est AINSI DIT LE SAINT-ESPRIT. Croyez-vous maintenant? Croyez-vous que Dieu... Vous êtes censée rentrer, mais vous n’aurez pas à le faire si vous croyez de tout votre coeur. Croyez-vous cela? Venez ici.

            Seigneur Jésus, je bénis cette fille de Dieu et je condamne l’ennemi, au Nom de Jésus. Qu’elle reçoive sa guérison. Amen. Ayez bon courage, soeur. Croyez en Lui maintenant pendant que...?... Adorez-Le donc dans l’Esprit. Amen.

            Maintenant, vous croyez simplement partout. Voudriez-vous faire venir le...?... ou qui que ce soit?

69        Nerveux, n’est-ce pas? Vous regardez tout droit vers moi. Votre bras est replié. Mais vous souffrez des nerfs. Vous étiez en train de prier, n’est-ce pas, que Dieu m’amène à vous parler? Vous avez promis à Dieu que si je vous parlais, vous croiriez en Lui. Est-ce vrai? Est-ce là votre prière? Si c’est vrai, levez la main. Comment ai-je alors su vos prières? Oui, oui. Très bien. Vous êtes guéri.

            Je me demande maintenant si vous me feriez une faveur. Croyez-vous maintenant que la nervosité vous a quitté? Il y a une dame assise juste à côté de vous, elle souffre du cancer. C’est vrai. Est-ce vrai, madame? Maintenant, imposez-lui la main.

70        Bien-Aimé Père céleste, au Nom de Ton Saint Fils Jésus, étends Ses mains aujourd’hui, Seigneur, fortifie la foi, condamne cette obscurité au-dessus d’elle. Et qu’elle soit guérie, par le Nom de Jésus-Christ. Amen.

            «Si tu peux croire.» Oh ! Je défie votre foi.

            Maintenant, maintenant, je prends chaque esprit sous mon contrôle, au Nom de Jésus-Christ. Croyez-vous en Lui? Ne doutez pas. Débarrassez-vous de tout ce sentiment bizarre. C’est l’unique chose qui vous empêche d’être guéri.

            Croyez-vous que Dieu vous guérira de cette affection de vésicule biliaire, vous assise juste là derrière? Croyez-vous de tout votre coeur? Allez-vous accepter cela? Si vous l’acceptez, vous pouvez l’avoir. Très bien. Que Dieu vous bénisse. Levez la main. C’est bien. Il vous en a guérie. Voyez?

            Vous n’avez pas besoin de votre prière, vous n’avez besoin d’aucune carte de prière. Vous avez besoin de foi. J’ai vu la femme alors qu’elle essayait de manger, et cela lui remontait dans la bouche, juste une–une écorchure et une histoire dans sa gorge. C’est vrai, n’est-ce pas, madame? Levez la main. Tout est parti maintenant. Votre foi...

            Qu’est-ce qui a fait cela? C’est pareil pour la femme qui avait touché le bord de Ses vêtements. Eh bien, vous avez dit: «Elle avait touché Son vêtement.»

            Mais la Bible dit: «Il est le Souverain Sacrificateur qui peut être touché par le sentiment de nos infirmités.» Dites-Lui ce qui cloche chez vous. Murmurez-Lui simplement cela dans la prière et dites: «Seigneur, guéris-moi.» Observez ce qu’Il fera. Cela sera réglé. Il est ressuscité d’entre les morts. Il est le Jésus vivant.

71        Il n’y a aucun doute dans mon esprit qu’il y a beaucoup de gens, des millions dans le monde, de loin plus à la hauteur que moi pour proclamer Jésus-Christ. C’est vrai. Je ne suis rien, le moindre parmi vous. Je suis né hors saison, parmi vous les gens du plein Evangile. J’étais un baptiste. Et vous savez plus sur les Ecritures, peut-être, que moi. Mais j’En connais très bien l’Auteur. Et je sais qu’Il est ici. Et je sais en Qui je crois. Et j’aimerais que vous me croyiez. C’est pourquoi je suis ici, pour vous aider. Miséricorde...

72        Son amour divin pour vous, C’en est Un. Le doigt levé au niveau de votre mâchoire, comme cela, vous assis là, en train de prier, vous souffrez d’estomac, il aimerait que Dieu vous guérisse. Je ne suis pas en train de lire vos pensées, mais c’est la vérité. Vous étiez en train de prier Dieu pour... Vous avez dit: «Seigneur, parle-moi simplement.» Est-ce vrai? Si c’est vrai, faites signe de la main, la dame là qui souffre de l’estomac. Vous êtes guérie. C’est vrai? Votre trouble d’estomac est terminé. Allez manger l’hamburger. C’est en ordre. Votre foi vous a guérie. Je n’ai rien à faire avec cela. Je ne vous connais pas, je ne vous ai jamais vue. Mais votre foi L’a touché, et Il a parlé. J’ai eu une vision sur vous, je vous ai vue essayer de retenir votre nourriture dans la bouche avec la main. Il s’agit de l’ulcère gastroduodénal. Mais c’est fini maintenant. Vous allez vous rétablir. Amen. Merveilleux !

            Monsieur, l’homme qui s’est placé devant vous. Vous souffrez d’une hernie. Mais croyez-vous que Dieu va vous guérir...?... Je n’étais pas en train de lire sa pensée. C’est sa foi qui a fait cela. Que Dieu soit loué.

            «Si tu peux croire, tout est possible.» Mais vous devez croire.

73        Bonsoir, madame. Croyez-vous que je suis Son serviteur? Vous savez que j’ai... Je ne vous connais pas. Mais Christ vous connaît. Maintenant, ça dépendra de votre attitude envers Lui. Et si... Il a dit: «Si tu amènes les gens à te croire», non pas me croire, moi, comme Lui, mais croire que je suis ici sous Ses ordres. Je ne suis point venu de moi-même. C’est Lui qui m’a amené ici. Je ne peux rien faire pour vous. Tout ce que je peux vous dire, c’est ce qui a été déjà fait pour vous. Et si je parle comme un homme, vous pouvez donc encore croire cela par votre prédicateur. En effet, vous êtes une chrétienne et vous avez l’Esprit de Dieu. Mais vous avez besoin d’assistance, juste un petit coup de pousse dans la foi.

            Eh bien, si Dieu m’explique ce pour quoi vous êtes ici, allez-vous accepter cela et croire cela? Allez-vous le faire? Premièrement, alors que la femme me quitte, je la vois à table. Et elle refuse de manger, parce qu’elle souffre de l’estomac. Et elle est à un endroit où il y a quelqu’un qui examine... ou dans ses intestins. C’est un médecin. Et il dit: Elle a un... quelque chose qui cloche dans le côlon. On appelle cela une occlusion, ou un blocage, ou quelque chose comme ça dans le côlon, a dit le médecin. Je vois cela sur le papier où il écrivait. C’est exact. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR. Il y en a deux qui ont consulté cela. C’est vrai. J’en vois deux. Croyez-vous que je suis Son prophète? Maintenant, voici une autre chose. Je vois quelqu’un à côté de vous. C’est un enfant, un petit enfant d’environ dix ans, et il est ici avec vous aujourd’hui. Il souffre de la migraine. C’est vrai. Amen. Maintenant, prenez ce mouchoir qui est dans votre main et posez-le sur lui et cela le quittera. Allez en paix et que le Seigneur Jésus-Christ, le Fils de Dieu, accorde Ses bénédictions. N’ayez pas peur, maman. Croyez. Amen.

            Ayez foi. Ayez foi en Dieu. Ne doutez pas.

74        Bonsoir, monsieur. Nous sommes inconnus l’un à l’autre. Croyez-vous? Oh ! la la ! Il est vivant ce soir.

            Quelque chose est arrivé. Si seulement je peux trouver cela. A vous, une fois de plus, monsieur, évidemment, vous portez des lunettes. Vos yeux vous font mal, sinon vous ne porteriez pas de lunettes. Evidemment, un homme de votre âge doit en fait porter des lunettes de lecture après avoir dépassé quarante ans d’âge, vos globes oculaires s’aplatissent en fait. Vous portez des lunettes de lecture après cela. Mais vos yeux sont en mauvais état.

            Mais je vois quelqu’un qui est ici à côté de vous. C’est une femme. Vous représentez quelqu’un d’autre. C’est votre femme. Elle n’est pas ici, elle souffre de l’arthrite. Ce mouchoir avec lequel vous avez essuyé les larmes de vos yeux, allez le poser sur elle, croyez, et qu’il vous soit accordé selon votre foi, au Nom du Seigneur Jésus. Que Dieu vous bénisse, mon frère.

            N’ayez pas peur. Ayez foi.

            Monsieur, vous priez aussi pour votre femme. Elle est estropiée. Elle n’est pas ici. Mais croyez-vous que Jésus-Christ la guérira? Croyez-vous? Vous pouvez avoir ce que vous réclamez, le gentleman avancé en âge. Ayez foi en Dieu. Croyez-vous? Vous pouvez alors avoir ce que vous réclamez. Que Dieu vous bénisse...?...

            Quelque chose vous est aussi arrivé, n’est-ce pas? Vous m’entendez maintenant. Vos oreilles s’ouvrent. J’espère que vous trouverez votre femme guérie. Que le Seigneur vous bénisse, mon bien-aimé frère.

75        Disons: «Gloire au Seigneur !» [L’assemblée dit: «Gloire au Seigneur !»–N.D.E] L’Alpha, l’Oméga, le Commencement et la Fin, le plus Beau d’entre dix mille, le Lys de la vallée, le Tendre, le Fils de Dieu, le Tout-Suffisant. Celui qui était, qui est et qui vient, la Racine et le Rejeton de David, l’Etoile du matin, Sa Présence est ici. En Lui habite corporellement toute la plénitude de la Divinité. Il n’y a point de déception en Lui; en Lui réside la Vie; en Lui il y a la guérison, il y a tout en Lui. Il est, non pas Il était. Il est et Il sera toujours le même. Que Dieu soit loué. Alléluia !

            Est-ce la femme? Excusez-moi, madame. Je me sens terriblement faible, avez... Croyez-vous? Si vous croyez de tout votre coeur, il arrêtera de boire. Croyez-vous cela? Très bien. Il est alcoolique, mais il arrêtera cela. Prenez votre mouchoir, placez-le sous son oreiller, celui que vous tenez en main, quand le Saint-Esprit vous a frappée.

76        La dame à côté de vous là, souffrant de cette hernie, elle aimerait aussi être guérie, n’est-ce pas, madame? Oui, oui...?... L’homme qui vient de sauter et qui a secoué la tête, il est dérangé par la nervosité, il aimerait aussi guérir. L’homme qui a levé les mains, qui souffrait des yeux depuis longtemps, il aimerait avoir...?... N’est-ce pas, monsieur?

            Vous ne pouvez pas cacher votre vie. Il est ici.

            Madame, il y a...?... Je ne vous connais pas, je ne vous ai jamais vue, mais Dieu vous connaît certes. Regardez-moi et croyez. Vous êtes allée vous faire examiner, ou quelque chose comme cela. On vous a examiné la poitrine. On a trouvé une infection. C’est vrai. Un examen radiologique. Et vous devez rentrer. Eh bien, je vois apparaître un homme. Et cet homme a des relations par alliance avec vous. C’est votre beau-frère. Il souffre de reins et de troubles d’estomac. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR. Maintenant, c’est votre foi. Croyez-vous? Allez donc et recevez ce que vous avez demandé, et posez le mouchoir sur les autres parties du corps, au Nom du Seigneur Jésus.

            Ayez foi.

77        Madame, ce dont vous souffrez tue plus de gens que n’importe quoi: La maladie du coeur. Mais combien de gens là dans l’assistance souffrent du coeur? Faites voir les mains. Vous pouvez être guéris au même moment qu’elle, si vous croyez cela. Croyez-vous cela? Levez donc la main et gardez la main levée.

            Dieu bien-aimé, au Nom du Seigneur Jésus, le Fils de Dieu, je condamne l’ennemi. Tu peux intriguer les médecins, mais tu n’intrigueras jamais Dieu. Sors d’elle au Nom de Jésus-Christ, puisse-t-elle repartir. Que Dieu vous bénisse, madame. Ayez foi maintenant et croyez.

            Croyez-vous en Lui? Allons ! Il y en a donc qui souffrent ici. Le cancer, mais Dieu peut guérir cela. Ce n’est pas un problème pour Dieu que de guérir le cancer si vous croyez. Que tout le monde qui souffre de cancer lève la main maintenant. Vous êtes prêt pour la guérison.

78        Ecoutez, soeur. Je ne vous ai jamais vue de ma vie, Dieu le sait, et ma main est sur la Bible, je n’ai jamais vu quelqu’un se tenir ici sans que quelque chose lui arrive. Il l’a promis. Maintenant, par la grâce de Dieu, je vous dis ceci maintenant, par votre foi en venant ici, le cancer vous a quittée maintenant. Mais maintenant, si seulement vous continuez à croire, cela va...?... J’aimerais vous demander quelque chose. Aussitôt que j’ai parlé, vous êtes venue ici, une sensation étrange vous a envahie. Si c’est vrai, levez la main. C’est à ce moment-là que le cancer vous a quittée. Voyez? Maintenant, cela vous a donc quittée. Mais il ira dans des lieux arides, puis il essayera de revenir. Demandez à votre pasteur, il a été instruit, comme il l’a fait l’autre soirée. Maintenant, allez en croyant de tout votre coeur et restez guérie. Et pour confirmer cela, j’impose les mains à cette maman au Nom de Jésus-Christ, et je demande que la puissance démoniaque la quitte. Amen. Allez en croyant maintenant, en ayant foi. Amen.

            Madame, croyez-vous que je suis prophète de Dieu, ou serviteur de Dieu? Je ne suis pas hors de moi, mais si Dieu me dit ce qu’est votre problème... Je deviens simplement très faible. Je n’arrive pas à regarder beaucoup. Allez-vous croire? Allez donc prendre votre dîner. Votre trouble d’estomac vous a quittée. C’est ce que c’était.

            Ayez foi en Dieu.

            Et si je vous disais que votre mal de dos vous a quitté quand vous vous teniez là même, croiriez-vous cela? Allez donc. Ayez foi et croyez.

            Vous êtes sur le point de subir une intervention chirurgicale, pour ôter cette tumeur-là. Mais Dieu va vous guérir si vous croyez cela. Croyez-vous cela? Recevez donc votre guérison au Nom du Seigneur Jésus appelé le Christ. Accorde-le.

            Allez de l’avant et mangez, votre trouble d’estomac vous a quitté, continuez, c’est vrai. Alléluia ! Oh ! Il est glorieux. Christ, le Fils de Dieu, vit. Amen.

79        Petit garçon, que ton petit coeur soit béni, chéri; juste un petit garçon. Viens ici vers moi. Oh ! Que son petit coeur soit béni. Chéri, garçon, crois-tu en Jésus-Christ, le Fils de Dieu? S’Il était ici, Il t’imposerait les mains, et tu serais guéri, n’est-ce pas? Tu arrêterais cette drôle de toux, n’est-ce pas? Ce drôle d’asthme te quitterait. Cela te quitterait aussi, si tu croyais cela. Tu es venu ici dans une ambulance, une grande Cadillac blanche servant d’ambulance, en souffrant comme cela. Madame, vous croyez, n’est-ce pas? Si vous le voulez, vous pouvez vous lever de cette civière, repousser cette histoire et rentrer à la maison étant bien portante. Pourquoi n’obéissez-vous pas à Dieu?

            Combien parmi vous croient? Tenez-vous donc debout. Je défie chaque personne, au Nom de Jésus-Christ, peu importe ce qui cloche chez lui. Ô Dieu, j’implore la miséricorde.

            Satan, tu es un perdant. Tu es exposé. Tu bluffes. Tu ne peux pas retenir davantage le peuple de Dieu. Je te défie au Nom de Jésus-Christ, toi esprit d’incrédulité, sors de ces gens, et sors d’eux. Je vous adjure tous, au Nom du Dieu vivant, Jésus-Christ, de vous lever et d’être guéris...?...

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