Jéhovah-Jiré

Date: 56-0429 | La durée est de: 1 heure et 40 minutes | La traduction: Shp
doc pdf
Voir le textes français et anglais simultanement Voir le texte anglais seulement

1          Merci, monsieur. Prions juste un instant avant de nous asseoir. Notre Père céleste, comme le cantique le rappelle: Crois Seulement, nous prions, Père céleste, que celle-ci sera une soirée extraordinaire où plusieurs croiront en Toi. Accorde-le. Que Tes plus riches bénédictions reposent sur nous tous. Nous sommes indignes de ce que nous réclamons, mais nous demandons, car Tu nous l’as ordonné, et Tu nous as promis de nous accorder tout ce que nous demandons. Ainsi, nous Te prions de sauver ce soir toutes les âmes perdues. Ramène tous ceux qui se sont égarés du chemin droit et étroit. Guéris tous les malades et tous les affligés, et réjouis les coeurs des saints. Nous le demandons pour la gloire de Dieu au Nom de Son Fils. Amen.

2          [Frère Branham tousse.–N.D.E.]. Je suis très heureux d’être ici. Je suis désolé de voir un si grand nombre debout, mais nous... c’est quelque chose qui nous dépasse. Demain, on aura le dernier service de ce petit rassemblement; eh bien, nous espérons revenir un jour, Dieu voulant, avec une tente, une grande tente, de façon à rester bien longtemps et demeurer avec vous.

            Ce matin, j’ai passé ici des moments agréables à faire la connaissance avec des hommes d’affaires chrétiens à la Communion organisée par des Hommes d’Affaires Chrétiens du Plein Evangile, nous avons passé des moments agréables dans le Seigneur. Et j’ai rencontré mon brave ami, frère Arganbright; il est peut-être quelque part ici ce soir. Et frère Gardner et–et d’autres amis à nous. Frère Lee Baxton et... je pense que son nom est Braxton, un associé à frère Oral Roberts. Nous avons certainement passé des moments merveilleux à communier à la réunion de la journée avec ces gens merveilleux; j’espère qu’un jour, à un temps glorieux fixé par Dieu, nous nous rencontrerons dans Son Royaume, là nous n’aurons plus jamais à nous séparer.

3          Et maintenant, je vois des mouchoirs posés ici. Je suis très content que vous ayez la foi pour croire cela, l’onction... Ou alors, beaucoup de gens oignent des mouchoirs et on me demande: «Frère Branham, voudriez-vous oindre mon mouchoir?»

            Eh bien, c’est–c’est très bien; c’est bien. Tout ce que le Seigneur fait, eh bien, et bénit, eh bien, je–je suis vraiment pour ça. Mais si vous voulez bien m’en rendre témoignage, je pense que vous êtes... vous vous référez au passage des Ecritures du Livre des Actes, chapitre 19. Eh bien, Paul n’a jamais oint les mouchoirs; on prenait des mouchoirs et des linges qui avaient touché le corps de Paul...

            Maintenant, combien aimeraient penser, ou plutôt aimeraient m’entendre indiquer le passage des Ecritures où, à mon avis, Paul a trouvé cela? Aimeriez-vous voir cela? Bien, je vais vous montrer où je pense qu’il a trouvé cela.

4          Dans la Bible, après qu’Elie eut dit à la femme Sunamite qu’elle aurait un enfant, et qu’elle l’eut eu, alors un jour, quand celui-ci eut environ douze ans, à un moment de la journée, lui et son père étaient là dans le champ à moissonner, il avait peut-être attrapé une insolation, il s’est mis à crier: «Ma tête...»Un serviteur l’a ramené à la maison, l’a placé sur le genou de sa mère et vers midi, il est mort. Et cette femme avait construit une petite maison à côté de la sienne pour recevoir ce prophète. Elle prit donc l’enfant et le plaça sur le lit du prophète, et elle demanda à un serviteur de seller un mulet et d’aller droit au mont Carmel. Et j’aime vraiment la manière dont cette femme a agi, une femme en crise, mais cependant sa foi en Dieu n’était pas ébranlée. Elle savait que si elle pouvait atteindre cet homme de Dieu, elle saurait son problème. Elle y est donc allée, et quand elle a vu Elie, qu’Elie l’a vue venir... Eh bien, Dieu ne révèle pas toujours à Ses serviteurs tout ce qu’Il va faire. Il leur dit juste en partie ce qu’Il veut faire. Ainsi, Elie n’a jamais entendu Dieu lui parler de ce problème. Il a alors dit ici: «Voici venir cette Sunamite, elle est en difficulté; cependant, Dieu me l’a caché.» Il a dit: «Va lui demander.»

5          Et Guéhazi, son serviteur, sortit en courant pour s’enquérir. Il a demandé: «Te portes-tu bien? Ton mari et ton enfant se portent-ils bien?» Maintenant, écoutez. L’enfant, un cadavre, et son mari, affolé, et elle avait chevauché à une folle allure, sa réponse était: «Tout va bien.» J’aime ça. Elle était devant le serviteur du Seigneur. Je pense que c’est ce qui avait inspiré Marie à rencontrer Jésus. Elle a dit: «Seigneur, si Tu eusses été ici, mon frère ne serait pas mort, mais maintenant même, tout ce que Tu demanderas à Dieu, Dieu l’accordera.» Voyez-vous? Elle savait que si Dieu était dans Son prophète, certainement, Il était dans Son Fils. Elle a eu une bonne approche respectueuse et elle a reçu ce qu’elle demandait. C’est pourquoi, aujourd’hui, nous n’obtenons pas ce que nous demandons; nous avons une mauvaise approche. Nous devons nous approcher avec... «Celui qui s’approche de Dieu doit croire que Dieu existe et qu’Il est le Rémunérateur de ceux qui Le cherchent avec zèle.»

6          Maintenant, Elie, après que la femme eut couru... Eh bien, puisque tout allait bien, quel était son problème à elle? Pourquoi était-elle bouleversée? Elle a couru se prosterner à ses pieds et s’est mise à lui raconter ce qui était arrivé. Et maintenant, remarquez ce qu’il a fait. Il a parlé à Guéhazi, son serviteur, disant: «Ceins tes reins, prends mon bâton, ce bâton que j’ai touché, et cours devant elle, si quelqu’un te parle, ne lui réponds pas, entre et dépose ce bâton sur l’enfant.» Comprenez-vous cela? Ce qu’il touchait (Voyez-vous?), il–il savait que ce qu’il touchait était béni, si seulement la femme pouvait croire la même chose. Je pense que c’est de là que Paul a tiré le fait de retirer les mouchoirs qui avaient touché son corps et de les envoyer aux gens. Maintenant, nous savons que saint Paul est déjà parti; il est avec Jésus ce soir. Paul est parti; et nous ne sommes pas saint Paul, mais Il est toujours Jésus, et Il est tout aussi tenu vis-à-vis de votre foi qu’Il l’était vis-à-vis de leur foi. Ainsi, prions sur ces mouchoirs maintenant avant de continuer.

7          [ Frère Branham tousse.–N.D.E.] Oh ! la la ! Si seulement vous voyiez ces choses à vous fendre le coeur. Il y a quelques soirées, je pense que c’était à Spindale, un petit enfant avait déposé son–avait déposé son petit jouet automobile pour être... et une petite fille, ici peut-être, a déposé sa petite montre-bracelet, une petite, on dirait une montre-bracelet achetée dans un bazar... Elle est dans le besoin. Ne vous sentez-vous pas très bizarres avec ça? Prions. Ô Dieu, notre Père céleste, je sais que Tu comprends. Et ce soir, alors que Tu baisses Ton regard sur ces mouchoirs, cette petite montre-bracelet et de petites babioles, cela montre qu’il y a une foi vivante même dans de petits enfants. Et nous T’en remercions. Peut-être qu’un pauvre vieux papa aveugle est assis quelque part dans une ferme, attendant le retour d’un mouchoir, peut-être qu’un petit enfant malade à l’hôpital attend l’un de ces mouchoirs, une mère affolée parcourant le plancher, mais Tu es Dieu. Tu connais toutes choses. Et, Bien-aimé Père, de tout mon coeur, comme si c’est l’un de mes propres enfants, mon père, ou ma mère, je prie sincèrement, au mieux de ma connaissance; et je Te demande de guérir chacun d’eux.

8          Et alors, quand Satan verra ce témoignage de la foi, conformément à la Parole de Dieu, qu’il subisse ce qu’il subissait chaque fois qu’il essayait de barrer la route au peuple de Dieu... Il nous est dit qu’une fois dans les Ecritures, Dieu a donné aux enfants d’Israël la Terre promise, et ils étaient en route. Et la mer Rouge leur barrait la route, cependant le chemin de Dieu passait par là.

            Un écrivain a raconté que Dieu regarda en bas à travers la Colonne de Feu avec des yeux courroucés, car un obstacle barrait le chemin à Ses enfants. Et la mer eut peur en voyant les yeux courroucés de Dieu, elle eut peur, recula et ouvrit un passage au fond de la mer, et ils passèrent sains et saufs vers la Terre promise.

9          Ô Dieu, lorsque ces mouchoirs atteindront leurs destinations respectives, puisses-Tu regarder en bas, non pas à travers la Colonne de Feu, mais à travers le Sang de Jésus. Que chaque maladie... alors que Satan verra ce témoignage de la foi des gens, qu’il ait peur et qu’il recule, et que les gens traversent vers la promesse, la promesse de la bonne santé et nous avons appris que c’est qu’on nous souhaite que nous prospérions à tous égards, et donc en bonne santé. Accorde-le, Seigneur. C’est dans ce but que j’envoie cela, Te remerciant pour la confiance des gens qui croient cela, dans la prière pour les malades. Qu’ils reçoivent leur désir par Jésus-Christ notre Seigneur. Amen.

            Maintenant, immédiatement après ce service, vous pourrez envoyer, monter les récupérer, ou je ne sais comment on les distribuera.

10        Eh bien, si vous en voulez un, nous prions sur... Nous en envoyons par milliers chaque mois à travers le monde. Et si vous en voulez un, écrivez-moi simplement à Jeffersonville, nous vous l’enverrons, sans prix à payer. Eh bien, maintenant, comme je le dis, je n’ai pas d’émission radiophonique, je... rien. Je–je–je n’ai rien qui m’exige de prendre votre adresse; je passe des moments difficiles même pour obtenir qu’on réponde aux lettres que... qu’on vous réponde. Mais vous êtes les bienvenus au possible. Vous ne serez jamais harcelés par de courriers. Nous n’avons rien à parrainer ni rien d’autre. Tout ce que nous désirons, ce sont juste vos prières; et c’est absolument gratuit. Envoyez chercher cela. Vous serez plus que les bienvenus pour avoir... Si vous n’en avez pas besoin, envoyez et recevez cela, gardez-le dans le Livre.

11        J’en ai eu ici tout récemment, un petit enfant. Maintenant, ça, je ne peux pas le confirmer; je n’étais pas là, je ne sais pas. Mais on a dit que le petit garçon s’était fait écraser dans la rue. Et une mère est arrivée, elle avait un mouchoir sur lequel j’avais prié et qui était... Non pas parce que c’est moi qui avais prié dessus, mais à cause de sa foi à elle en Dieu. Le petit garçon était couché à même la pelouse, l’ambulance venait le prendre et il était... Oh ! on disait qu’il était dans un état critique. Et–et on a fait venir la police pour empêcher les gens de s’approcher, et la petite mère affolée criait et s’emballait. Elle est très vite entrée dans la maison prendre un mouchoir qui était dans le Livre des Actes, chapitre 19, elle l’en a fait sortir et l’a posé sur l’enfant, elle a pris son enfant par la main et elle est retournée avec lui à la maison avant l’arrivée de l’ambulance là. Eh bien, c’est...

            Maintenant, là, c’était une foi, pas ma prière, certainement pas. Mais pas que moi, j’avais... j’aie quoi que ce soit... c’était la foi de la petite mère en Dieu qui a accompli cela. C’est ce qui fait ça. Toujours.

12        Vous savez, parfois, nous–nous sous-estimons les personnes ordinaires et leurs prières. Eh bien, après mon départ d’ici, ne–n’arrêtez pas de croire dans la guérison; continuez bien, croyez davantage en cela. N’attendez pas que moi, ou frère Roberts, ou que quelqu’un d’autre vienne. Non, non. Appelez simplement votre pasteur, et si–si votre pasteur n’est pas près, appelez votre voisin, une personne de bien, un chrétien ou quelqu’un d’autre. Priez les uns pour les autres. C’est ce que la Bible dit: «La prière de la foi sauvera le malade.»

            Je viens de me souvenir d’un petit incident, si vous me permettez bien d’apporter ces témoignages, mais cela me vient à l’esprit, et on dirait qu’il me faut le raconter. Je–j’étais à Meridian, dans le Mississippi; et un soir, il y a de cela environ deux ans, je pense, il s’est passé quelque chose qui m’a toujours rappelé combien–combien–combien Dieu, avec le sens d’humour qu’Il a, combien Il peut se rendre simple pour se révéler aux gens.

13        Une petite mère faisait des tours là, portant un petit enfant; et une autre petite mère était assise là, le genre de petite mère du Sud habillée en robe en vichy ou en calicot, ou je ne sais comment vous appelez cela, en robe. Et elle a dit, juste une petite ménagère, le Seigneur continuait cependant à traiter avec elle: «Va prier pour cet enfant.»

            Eh bien, elle a regardé, et l’autre femme détenait une carte de prière: «Oh ! s’est-elle dit, je–j’ai peur d’aller prier pour cet enfant, frère Branham va prier pour lui ce soir.» Elle s’est dit: «Cette femme détient une carte de prière.» Et elle s’est dit: «Il... Eh bien, je ne le ferai pas.» Puis, il s’est retourné... elle s’est retournée; le Seigneur lui a parlé, Il le lui a juste révélé dans son coeur: «Va prier pour cet enfant.»

14        Eh bien, cela continuait bien à beaucoup la hanter, elle a dit: «Eh bien, si cette femme repasse par ici, je vais l’arrêter.» Alors, elle a dit: «Madame, voudriez-vous occuper mon siège, vous asseoir ici; je sais que vous êtes bien épuisée avec cet enfant, il se passera encore quelques heures avant qu’il soit ici, n’est-ce pas?»

            Elle a répondu: «Merci, soeur.» Elle a dit: «J’apprécie... J’ai du mal à prendre votre siège.» Elle a dit, comme la conversation était alors entamée: «Seriez-vous dérangée si j’offrais un petit mot de prière pour l’enfant? Je vous vois avec une carte de prière. Frère Branham priera peut-être pour l’enfant ce soir.» Elle a dit: «Mais juste pour me soulager, cela vous dérangerait-il si j’offrais une petite prière?»

            Elle a répondu: «Eh bien, bien sûr que non, chère soeur.» Et elle a tendu le petit enfant, la petite mère lui a imposé les mains et elle a offert une petite prière de foi.

15        Et après, cette petite femme n’a pas pu trouver de place pour s’asseoir. Ainsi, elle est donc montée là au balcon du gymnase. Et alors, elle est montée, et quelques heures après, à mon arrivée, on a appelé les cartes de prière et l’autre petite femme était dans la ligne. Alors, la petite femme là au balcon se disait: «Oh ! la la ! Peut-être que je n’aurais pas dû faire cela, mais je me suis mieux sentie après l’avoir fait». Lorsque la petite femme est entrée dans la ligne avec l’enfant, le Saint-Esprit est venu, Il s’est mis à parler à la femme, Il lui a dit qui elle était et ce qui n’allait pas chez son enfant, mais il lui a été dit: «Vous savez, votre enfant est déjà guéri; car une petite dame portant une petite robe en calicot, a prié pour lui, elle se tient juste là au balcon. Dieu a déjà exaucé sa prière, et l’enfant est déjà guéri. Vous n’avez pas à vous inquiéter à ce sujet; tout est en ordre.»

            Maintenant, et si cette petite mère avait manqué de faire ce que Dieu lui avait ordonné? Voyez-vous? Eh bien, voyez, ce n’était pas la place de l’évangéliste. Dieu travaille parmi tous les laïques. Il... Nous avons certaines tâches à accomplir, mais vous avez à prier les uns pour les autres. Ce... Et Dieu prendra soin de vous.

16        Eh bien, juste... Je vais essayer de me dépêcher, très vite, afin que nous n’ayons pas à garder ces précieuses personnes debout très longtemps. Souvenez-vous, demain après-midi, maintenant si... Nous tenons cela les après-midi.

            J’apprécie ça, de la part de frère Jeffries. En effet, cela démontre qu’il y a communion parmi les prédicateurs. Nous voulons que tout le monde aille à son poste de devoir. Allez à votre église demain, et si vous êtes un étranger dans la ville, trouvez-vous une bonne église et allez à l’école du dimanche le matin. Ainsi donc, nous prévoyons cela pour l’après-midi, de la sorte, pasteur, vous pouvez congédier votre église l’après-midi et leur permettre de venir. Evidemment, vous n’avez pas de service les après-midi. Alors, le soir, eh bien, ils pourront alors retourner à leurs églises respectives. Nous aimerions être des frères. Et la prochaine fois que nous reviendrons... La raison pour laquelle nous n’avons pas eu toutes les réunions des prédicateurs et autres, c’est que nous sommes juste ici avec notre bien-aimé frère pour faire connaissance avec vous, de braves personnes qui sont présentes dans cet Etat. Et nous venons d’examiner notre... juste les frères avec lesquels nous sommes entré en contact, et on est directement entré dans ces petits auditoriums, juste dans ce but-là.

17        A notre retour, nous aimerions prendre des dispositions, le Seigneur voulant, environ une année d’avance, tout arranger pour un bon réveil de quatre à six semaines sous une grande tente, le Seigneur voulant. Et nous aimerions que vous tous, les bien-aimés frères, peu importe la marque que vous portez, méthodiste, baptiste ou que sais-je encore (cela importe peu), nous aimerions que vous nous aidiez à gagner les âmes pour Christ.

            Eh bien, hier soir, je parlais un peu, je ne suis point arrivé à terminer mon texte. Je parlais d’Abraham, et c’est un peu de... J’aime l’Ancien Testament, je vais donc lire le même texte pour essayer d’y parvenir ce soir, Dieu voulant. C’est dans Exode, ou excusez-moi, Genèse 22.14. J’aimerais relire le texte.

Abraham donna à ce lieu le Nom de Jéhovah-Jiré. C’est pourquoi l’on dit aujourd’hui: A la montagne de l’Eternel Il sera pourvu.

            Maintenant, que Dieu ajoute Ses bénédictions à Sa Parole.

18        Et maintenant, priez donc pour moi, alors que nous atteignons le point culminant de notre sujet. Hier soir, nous récapitulions pour avoir un contexte sur ce dont l’Ecriture parlait, que cet Abraham était là sur la montagne, avec son fils à offrir en sacrifice. Et nous avons laissé Abraham de côté, et le Saint-Esprit est bien entré dans la Parole, et je me suis perdu et j’ai fini par me rendre compte que l’heure de la ligne de prière était passée.

            Maintenant, remarquez. Hier soir, nous avons laissé Abraham là où Dieu avait confirmé l’alliance avec lui, qu’il ferait... Il lui avait juré par Lui-même (Il n’y avait pas un autre plus grand par qui Il pouvait jurer) qu’Il tiendrait Sa promesse à Abraham et à sa postérité; et la promesse avait été donnée sans condition. Et ce que nous essayons de faire, c’est ôter la peur des coeurs et des esprits des gens. C’est l’une des plus grandes malédictions dans l’Eglise aujourd’hui, la peur qu’ont les gens de s’en tenir à la Parole de Dieu, à la promesse. Comment Dieu peut-Il donc retirer l’Une de Ses Paroles? Eh bien, il serait plus facile, comme nous l’avons dit hier soir, pour toutes les étoiles de disparaître des cieux, ou le soleil, la lune et la terre de passer, mais la Parole de Dieu ne peut jamais passer. Elle est éternelle et Elle est éternellement vraie. Et, oh ! comme j’aime reposer mon âme fatiguée sur Chacune de Ses Paroles ! On dirait que vous pourrez bien L’accrocher là et dire: «La voilà.» Cela doit arriver, car Dieu l’a dit. Et si Dieu l’a promis, Il doit tenir Sa Parole.

19        La nuit, lorsque ces visions se produisent, c’est exactement la... ma requête auprès de Dieu: «Ô Dieu, Tu as promis cela.» C’est pourquoi, je n’ai jamais connu un seul instant de crainte ou de tracas, car je sais que Dieu l’a promis. Et en Afrique, lorsque j’ai été défié par les sorciers, les devins, et en Inde, par toutes sortes d’hypnotiseurs et de charlatans et tout, jamais je n’ai vu un temps où Dieu ait manqué de soutenir Sa Parole et–et de La manifester dans une grande victoire tout le temps. Maintenant, c’est... Quelques reprises comme cela, si vous Le voyez exaucer, vous avez alors confiance dans ce que Dieu dit. C’est pourquoi, si Jésus est ressuscité d’entre les morts ce soir, et qu’Il se manifeste vivant ici parmi nous, nous devons alors avoir une confiance absolue dans chaque Parole qu’Il a prononcée, parce que Ses Paroles sont vraies.

20        Et puis, nous avons vu que Dieu a conclu une alliance avec Abraham, et non seulement avec Abraham, mais aussi avec sa postérité après lui. Et nous savons que nous qui sommes des chrétiens aujourd’hui, qui sommes morts en Christ, nous sommes la postérité d’Abraham et nous sommes héritiers selon la promesse. Donc, la promesse est tout aussi certaine pour nous qu’elle le fut pour Abraham.

            Maintenant, si c’est vrai que nous sommes la postérité d’Abraham, nous devons avoir la foi d’Abraham. Et Abraham crut en Dieu et appela les choses qui ne sont point comme si elles étaient, car Dieu avait fait la promesse. N’est-ce pas merveilleux? Et si vous alliez chez le médecin...? Le meurtrier numéro un, c’est la crise cardiaque... Et si le médecin disait: «Madame, je suis désolé de vous le dire, mais le cardiogramme montre que c’en est fini de votre coeur; ç’en est fini de vous.»

21        C’est... C’est tout ce que l’homme sait faire. Il a examiné cela, le cardiogramme est là, il le prouve, ç’en est donc fini de vous. Ça, c’est d’après la médecine; c’est tout ce qui peut être fait. Mais, cependant, là au fond de ce coeur qui bat d’une manière étrange, il y a bien quelque chose, vous vous mettez à lire la Parole, ou il se passe quelque chose qui fait que vous vous rendez compte que Christ est près, et là au fond de votre coeur, vous sentez que Dieu vous donne cette promesse, que vous serez guérie. Ça ne servirait à rien au médecin de vous dire que vous allez mourir, car vous savez que vous serez rétablie. Tout récemment, j’étais appelé pour un cas semblable, c’était un vieil homme. Et son enfant... Oh ! C’est... J’ai dit: «Récemment.» Il y a de cela environ six ou sept ans. Et le jeune garçon se mourait de la diphtérie noire. Et je suis donc allé prier pour lui. Le vieux papa a dit, un très brave vieil homme, il a dit: «Frère Branham, voudriez-vous venir prier pour mon fils?» J’ai dit: «Eh bien, oui, monsieur, je pense que je pourrais être là.» Il n’y avait donc pas de service en ce moment-là. Ainsi, je–je suis allé prier.

22        Un médecin m’a rencontré à la porte, il a dit: «Eh bien, juste un instant.» Il a dit: «Vous ne pouvez pas y entrer; le.-.le.-.le jeune garçon souffre de la diphtérie, et ça ne servira à rien après tout. Faites votre prière ici dehors, quoi que ce soit, car vous ne pouvez pas...» J’ai dit: «J’aimerais lui imposer les mains.»

            Il a dit: «Eh bien, vous–vous êtes un père; vous avez des enfants.» Il a dit: «Vous–vous allez leur transmettre cette diphtérie; vous–vous ne pouvez pas y entrer.»

            J’ai dit... J’avais appris qu’il était un catholique, j’ai alors dit: «Monsieur, si c’était le prêtre qui était ici pour donner les derniers sacrements, si ce jeune garçon était un catholique, l’auriez-vous laissé entrer?»

            Il a dit: «Là, c’est différent.»

            J’ai dit: «Non, ça ne l’est pas; non, ça ne l’est pas.» J’ai dit...

            Il a dit: «Mais le prêtre n’est pas un homme marié; il n’a pas d’enfants.»

23        J’ai dit: «Je suis disposé à en assumer la responsabilité.» J’ai dit: «Pourquoi irais-je prier pour lui si j’avais peur de transmettre cela à mon enfant? Ça ne me servirait donc à rien d’y entrer prier pour lui.» J’ai dit: «Je... Si seulement vous laissez...» Et finalement, nous l’avons persuadé. Et il m’a fait porter une cagoule et tout le reste, il m’a fait laver les mains, il a mis quelque chose au visage, et jusqu’en bas... Oh ! la la ! J’avais l’air de je ne sais quoi en allant là. Et–et le vieux père et la vieille mère se tenaient au chevet du lit, une petite infirmière nous a fait entrer, le médecin a secoué la tête et il m’a laissé entrer. Nous nous sommes donc penchés là, et–et le vieux père a regardé et a dit: «Fils, me reconnais-tu?»

24        Et la petite infirmière a dit: «Eh bien, monsieur, a-t-elle dit, il ne reconnaît rien depuis hier.» Il a dit: «Il est mourant.»

            J’ai dit: «Eh bien, prions.» Alors, je me suis agenouillé et je me suis mis à prier pour le jeune garçon, sans vision ni rien, j’ai juste prié.

            Et j’ai dit: «Père céleste, Tu as promis que la prière de la foi sauverait le malade, et je–je T’offre cette prière de tout mon coeur, avec sincérité et avec simplicité de coeur; tout ce que je sais faire, c’est réclamer la vie de ce jeune garçon. Pourquoi retirerais-Tu un jeune garçon comme celui-ci? Je–je ne le comprends pas, Père, mais si Tu veux me montrer quelque chose le concernant, afin que je puisse consoler son père, eh bien, voici, Ton serviteur se tient ici. Mais je–je Te prie d’épargner la vie de ce jeune garçon; il a un très bon foyer où il peut être élevé, un père chrétien et une mère chrétienne réclamant la promesse.» Et je n’avais pas de vision, je me suis relevé et j’ai dit: «Eh bien, Seigneur, je–je–je le demande au Nom du Seigneur Jésus.» Je me suis relevé, le vieux père a regardé la mère et a dit: «Oh ! maman, c’est merveilleux, n’est-ce pas?» Pour lui, c’était fait, c’était fait vous savez. Et il a dit: «Oh ! je suis très heureux !» Il a dit: «Frère Branham, gloire au Seigneur; je suis si content de ce que vous avez offert la prière de la foi. Mon jeune garçon est maintenant guéri.»

25        La petite infirmière l’a regardé très bizarrement, et le papa s’est écrié: «Gloire au Seigneur !» Et les larmes leur coulaient sur les joues, lui et la vieille mère; ils se sont embrassés et se sont étreints, en disant: «Ô Seigneur, nous Te remercions d’avoir guéri notre jeune garçon.» Et c’était à peine si son coeur battait. Et alors, la petite infirmière a dit: «Monsieur, comment pouvez-vous agir comme cela alors que votre enfant se meurt?»

            «Eh bien, a-t-il dit, madame, il ne se meurt pas; il est vivant.» Et il a dit: «Eh bien, a-t-il dit, eh bien, madame, a-t-il dit, je suis... Oh ! Je–je–je... Vous ne comprenez pas.»

26        Elle a dit: «Eh bien, regardez, monsieur, a-t-elle dit, ce cardiogramme... tout ce que ça...» Je ne sais pas, mais elle a dit: «Lorsque ça descend tout en bas, on n’a jamais enregistré dans l’histoire de la médecine un cas où le coeur soit redevenu normal.» Elle a dit: «Le jeune garçon se meurt; encore quelques heures, il sera mort.» Elle a dit: «Il est pratiquement... Il est donc inconscient depuis hier. Et comment pouvez-vous agir ainsi et vous réjouir? On dirait que vous... vous ne devriez pas prendre cela à la légère.» Il a dit: «Ecoutez, mon enfant.» Le vieil homme a entouré la petite infirmière de son bras et a dit: «Vous regardez à ce petit appareil, a-t-il dit, car c’est tout ce que vous savez regarder, mais moi, je regarde à une promesse divine.» C’est vrai.

27        Le garçon est aujourd’hui marié et il a un enfant. Cela montre donc que ça dépend de ce à quoi vous regardez. Ainsi, vous voyez, vous devez regarder à la promesse de Dieu. Voyez-vous? Advienne que pourra, regardez à la promesse de Dieu, pas à ce que vous ressentez, mais à ce que Dieu a dit. Maintenant, c’est ça la foi d’Abraham. Quand il était ici, Abraham avait alors pratiquement soixante-quinze ans et Sara en avait soixante-cinq, et Dieu a dit qu’ils auraient un enfant. Et Abraham fut fortifié par la foi, donnant gloire à Dieu, car il savait que Dieu était capable de tenir Sa promesse. Amen. Oh ! comme Dieu l’a formé comme enfant pendant vingt-cinq ans ! Vous savez, Dieu forme chaque enfant qui vient à Lui. Et la Bible dit: «Chaque fils qui vient à Dieu doit être éprouvé par Dieu.» Et si nous ne pouvons pas supporter l’épreuve, alors, nous ne sommes pas les enfants de Dieu; nous devenons des enfants illégitimes. Un véritable enfant de Dieu ne fait pas de la verge qui frappe, du châtiment, un problème; il ne fait pas de la déception un problème; il continue malgré tout à avancer. Dieu l’a dit. C’est dans son coeur, et rien ne peut ébranler cela, il reste simplement là. Et c’est comme ça qu’Abraham avait agi sur base de la promesse de Dieu, et c’est comme ça que chaque enfant d’Abraham agit ce soir. Croyez-vous cela ici dans cette fosse d’orchestre, ce soir?

28        Croyez cela. Advienne que pourra, croyez cela de toute façon. Vous voyez, les chrétiens ne regardent pas à ce qui est visible; les chrétiens regardent à ce qui est invisible. Et ce qui est invisible est plus réel que ce qui est visible. Vous voyez ce microphone. Ça périra. Je regarde la foi qui ne périra point. Voyez-vous? Je vois l’amour–l’amour, la joie, la paix, la longanimité, la bonté, la douceur, la gentillesse, la patience. Toutes les armes du croyant sont surnaturelles. Tout ce qui relève du domaine du christianisme opère de façon surnaturelle. Un athée m’a une fois dit, il a dit: «Tout ce qui ne peut pas être prouvé scientifiquement n’est pas réel.»

            J’ai dit: «Tout ce qui peut être prouvé scientifiquement n’est pas réel.» C’est vice versa. Il a dit: «Il y a quelque chose qui cloche en vous.»

            Je... «Oui, je suis sauvé; c’est ça qui cloche.»

            Et il a dit: «Oh ! regardez.» Il a dit...

            J’ai dit: «Eh bien, vous êtes... vous voici regardant cette télévision que vous vouliez me vendre.»

29        Il a dit... J’ai dit: «C’est merveilleux.» J’ai dit: «Vous voyez, il y a quelque chose de surnaturel. Ces images nous traversent avant d’atteindre cet écran.»

            Il a dit: «Oh ! oui, mais, a-t-il dit, c’est facile.» Il a dit: «Nous avons une station émettrice et une station réceptrice.»   J’ai dit: «Nous aussi.» Amen. C’est vrai. Nous avons une station émettrice et une station réceptrice. Certainement. Débarrassez-vous simplement de tous les parasites, de l’incrédulité, et observez ce qui se passe. Observez les images s’éclaircir; alors, vous direz: «Oh ! Oui, Seigneur, maintenant, je vois.»

            C’est ce qui fait la différence; ça dépend du nombre de parasites que vous laissez entrer. Voyez-vous? Et ne laissez entrer aucun parasite... Accrochez-vous à Dieu et à la Parole, et chaque fois, Dieu La fera s’accomplir tout de suite.

30        Eh bien, c’est ainsi qu’Abraham s’y était pris. Il s’est bien accroché au positif. Même si les gens disaient: «Dites donc, vous connaissez ce vieil homme qui séjourne ici chez nous, il est pratiquement à moitié fou. Eh bien, son épouse, c’est une vieille femme faible, et il... Regardez combien il est vieux, avec des moustaches grisonnantes, les cheveux lui tombant pratiquement à la taille, et il dit ensuite qu’ils vont avoir un enfant. Avez-vous déjà entendu pareille chose? Eh bien, le vieil homme est fou.»

            Cependant, il prenait Dieu au Mot. Et chaque homme... Ça y est. Vous pouvez donc noter ça. Tous les hommes qui aient jamais abouti à quelque chose de valable, dans ce monde, ont été des hommes qui ont pris Dieu au Mot, même s’ils ont dû se tenir seuls sur base de leur conviction. Considérez George Washington, dans la vallée Forge; Abraham Lincoln, les grands hommes de cette nation: ils étaient tous des hommes qui se confiaient en Dieu. Oui.

            Et maintenant, j’aimerais vous poser une question. Si nous sommes la postérité d’Abraham, il nous faut donc croire comme Abraham.

            Eh bien, hier soir, nous l’avons laissé là où il... Dieu lui est apparu après avoir confirmé l’alliance. Et Abraham se faisait alors vieux, très vieux, c’était environ vingt-cinq ans après que Dieu lui eut donné la promesse, et Abraham n’était pas du tout devenu faible. Certains parmi nous qui nous disons la postérité d’Abraham ne peuvent pas tenir bon pendant vingt-cinq minutes; et cependant, nous disons: «Nous sommes la postérité d’Abraham; notre nom est inscrit dans le registre de l’église.» Mais cela ne fait pas de vous la postérité d’Abraham.

31        Vous devenez la postérité d’Abraham après que vous êtes mort en Christ, que tous les conflits, tous les parasites ont disparu. Vos motifs sont un, vos coeurs sont un, et vous êtes un avec Christ. Amen. Ce qu’Il a dit passe en premier, et le reste, c’est du non-sens. C’est tout. Vous Le croyez sur Parole. Eh bien, il y a donc là un vieil homme... Dieu l’a rencontré sous le Nom du Dieu Tout-Puissant. C’est là que nous l’avons laissé hier soir, dans Genèse chapitre 17. Nous avons vu qu’en hébreu les termes Dieu Tout-Puissant, c’est El-Shaddaï, et cela signifie «le–le sein», ou plutôt «les seins de la femme.» Et Dieu est apparu à Abraham comme le Dieu porteur des seins, le Dieu porteur des seins. Et Il lui a dit: «Abraham, tu es vieux; tu as cent ans. Sara a pratiquement cent ans, quatre-vingt-dix ans. Mais cependant, tu M’as cru sur Parole, et te voici faible, le corps usé.»

            La Bible dit: «Abraham ne considéra point donc que son corps était usé.

32        Oh ! J’aime ça. Il ne considéra même pas cela. Oh ! la la ! Ne considérez pas les fauteuils roulants; ne considérez rien. Mais considérez ce que Dieu a dit. Ne considérez que ce que Dieu a dit. «Il ne considéra point son propre corps, ni même le sein desséché de Sara: il ne douta point par incrédulité au sujet de la promesse de Dieu; mais il fut fortifié, donnant gloire à Dieu.»

            Si ça ne s’accomplit pas cette année, ça s’accomplira l’année prochaine. L’année prochaine, ça sera plus glorieux, car ce sera une année différente. Il accusait une faiblesse d’une année de plus, il était plus avancé d’un an. Mais il savait que Dieu tiendrait Sa Promesse. Amen. J’aime ça. Tenir Sa Promesse... Il doit le faire pour être Dieu. Abraham continua carrément à glorifier Dieu. «Sara, comment te sens-tu maintenant? Ça fait vingt-cinq ans que Dieu a donné la promesse.»

            «Pas de changement, Abraham.»

            «Gloire à Dieu ! nous l’aurons de toute façon.»

33        C’est ça. «L’enfant naîtra tout de même. Garde de côté toutes les couches, les épingles et tout; nous l’aurons.»

            «Abraham, que veux-tu dire?»

            «Dieu l’a dit. C’est réglé. Dieu l’a dit.» Oh ! J’aime ça. Frère, cela fera partir le diable la queue entre les pattes. «Dieu l’a dit.» C’est là que Jésus avait prouvé que Christ avait en Lui toutes les qualités, car le Père était dans le Fils. Le Père était dans le Fils, réconciliant Son mon... se réconciliant avec le monde, ou plutôt réconciliant le monde avec Lui-même. Et lorsque Jésus a rencontré Satan, Il n’a point utilisé Sa puissance. Il avait prouvé que le chrétien le plus faible pourrait vaincre Satan. Lorsque Satan L’a rencontré, il Lui a dit: «Eh bien, si Tu es le Fils de Dieu, si Tu es un plus grand faiseur de miracles, si Tu es... Si Tu l’es, j’aimerais Te voir accomplir un miracle ici pour moi: ordonne que ces pierres deviennent des pains, et mange. Eh bien, Tu as faim...»

34        Suivez donc, Jésus pouvait utiliser Sa puissance, mais Il ne l’a pas fait; Il a utilisé la Parole. Il a dit: «Il est écrit: L’homme ne vivra pas de pain seulement, mais de toute Parole qui sort de la bouche de Dieu.»Il a résisté à trois reprises et a vaincu Satan toutes les trois fois. Et «trois», c’est la confirmation du témoignage. Amen.

            Il a vaincu Satan sur son propre terrain avec la Parole de Dieu. Le chrétien le plus faible ici ce soir peut vaincre Satan n’importe où, à n’importe quel endroit, à n’importe quel moment, dans n’importes quelles conditions, avec l’AINSI DIT LE SEIGNEUR. C’est vrai. Croyez simplement cela. Dieu l’a dit.«Comment le savez-vous?»

            «Dieu l’a dit.»

            «Et si...»

            «C’est par Ses meurtrissures que je suis guéri.»

35        Que signifie confesser? Confesser signifie dire la même chose. C’est ce que vous... c’est ça une confession. Confesser, c’est dire la même chose, dire la même chose qu’Il a dite. Dire ce qu’Il a dit; ne dites pas ce que disent vos sensations; ne dites pas ce que dit votre voisin; dites ce que Dieu a dit. Confessez cela et croyez-le. Ne regardez pas à vos symptômes; les symptômes, c’est la pire des choses que l’ennemi... contre lesquelles Dieu doit combattre. Les symptômes. Tout le monde dit: «Eh bien, on a prié pour moi; cependant, ma main ne va pas mieux.»

            Ça ne sera jamais comme cela. Jamais. Vous regardez à votre main. Ne regardez pas à votre main; regardez à ce que Dieu a dit. Et si Abraham avait dit: «Maintenant, Sara... Le premier mois... Eh bien, il avait vécu avec elle pendant.-.pendant des années, et depuis qu’elle avait environ dix-sept, dix-huit ans, et la voici maintenant à soixante-cinq ans, ménopausée depuis plusieurs années. Voyez-vous? Si elle devait avoir des enfants, elle les aurait eus en ce moment-là. Ils étaient tous deux stériles. Et si Abraham avait dit: «Eh bien, comment pourrait-elle avoir l’enfant...» Et s’il avait dit cela? «Eh bien (le premier mois s’était écoulé), a-t-il dit, Sara, comment te sens-tu?»

            Elle a dit: «Pas de changement.»

            «Eh bien, je pense que peut-être, je... ce n’était pas Dieu qui m’avait parlé.»

            Oh ! la la ! Dieu ne pouvait pas faire–ne ne pouvait pas faire confiance en Abraham.

36        Mais peu importait l’état de Sara, Abraham ne considérait pas l’état de Sara; il considérait la promesse que Dieu avait faite. Vous ne considérez pas l’état de votre main, de votre oreille, de votre cancer; ou de je ne sais quoi, mais la Parole de Dieu. Dieu l’a dit. Eh bien, n’osez pas bluffer là-dessus. Ça ne réussira pas; mais si vous avez de bons produits, ça se recommandera. C’est vrai. Il vous faut avoir de bons produits.

            Donc, ne considérez pas vos symptômes, vous savez. Permettez-moi de vous parler d’un homme qui a eu une fois des symptômes: le cas le pire que j’aie jamais vu de ma vie. C’était un homme du nom de Jonas. Dieu l’avait envoyé à Ninive et il était plutôt embarrassé parce que l’association ministérielle était contre lui là-bas. Ainsi, il–il est allé à Tarsis, les choses étant très faciles par là, comme il y avait beaucoup de saints, voyez-vous. Mais alors qu’il était en route, il y a eu des ennuis. Vous savez, c’est généralement ce qui vous arrive lorsque vous faites ce que Dieu vous a dit de ne pas faire.

37        La mer s’est déchaînée, les vagues se sont déferlées dans la barque et, finalement, Jonas a confessé être à la base de cela. Et on lui a lié les mains et les pieds, on l’a jeté dans l’océan. Ecoutez donc. Dieu avait préparé un vieux et gros poisson là-bas, et ce dernier est venu et a avalé Jonas. Et puis, tout le monde sait qu’après avoir mangé, un poisson descend au fond et repose ses nageoires au fond des eaux. Nourrissez votre poisson rouge et observez ce qui se passe.

            Ce poisson était donc en train de rôder dans les eaux en quête de proie. Et Dieu l’a dirigé vers là où se trouvait un prédicateur rétrograde. Il s’est lancé là et a avalé ce prédicateur. Le voila là, dans le ventre du gros poisson, rétrograde, avec des algues tout autour de son cou, gisant dans ce gros ventre plein de matières visqueuses, dans une mer houleuse, peut-être, à plusieurs brasses de profondeur sous l’océan, là où ce gros poisson était descendu après avoir avalé Jonas, il s’est retrouvé là en bas. Et s’il regardait dans telle direction, c’était le ventre du gros poisson; s’il regardait dans telle autre direction, c’était le ventre du gros poisson; partout où il regardait, c’était le ventre du gros poisson. Il était rétrograde, sur une mer agitée, les pieds et les mains liés derrière lui. Personne ici n’est dans une si mauvaise situation.

38        Mais savez-vous ce qu’il a dit? Il a dit: «Ce sont des vanités mensongères. Dans l’état où je suis, je ne regarderai pas au ventre de ce poisson.» Mais il a dit: «Seigneur, je tournerai encore une fois mon regard vers Ton saint temple. En effet, lorsque Salomon consacrait ce temple, il avait prié, disant: «Seigneur, si Ton peuple se retrouve quelque part dans la détresse et qu’il tourne le regard vers ce saint lieu en priant, exauce des cieux.»

            Et il avait confiance dans la prière de Salomon, le fils de David. Et Dieu a envoyé une tente à oxygène ou quelque chose comme ça, là, et l’a gardé en vie pendant trois jours. Et si Jonas a pu avoir foi, dans pareilles circonstances, dans la prière de Salomon, qui finalement est mort rétrograde, à combien plus forte raison devrions-nous avoir foi ce soir dans le véritable Fils de David qui est assis à la droite de Dieu dans Ses propres habits ensanglantés, intercédant sur la base de notre confession? Amen. Et on voit des gens être guéris chaque soir tout autour de nous. «Oh ! Ce sont des vanités mensongères; quoi que ce soit, c’est une vanité mensongère, je refuse d’avoir encore cela. Je tournerai mon regard vers le saint temple, ô Dieu.»

39        Jésus, le Souverain Sacrificateur, ne peut rien faire pour vous avant que vous le confessiez premièrement et que vous agissiez sur base de votre confession. Hébreux chapitre 3 déclare qu’Il est le Souverain Sacrificateur de notre confession. Le mot, c’est «professer», mais «professer» et «confesser», c’est la même chose. «Souverain Sacrificateur de notre confession.» Il ne peut rien faire avant que vous acceptiez premièrement cela et que vous confessiez qu’Il l’a fait. C’est vrai.

            Avez-vous déjà vu quelqu’un chercher à être sauvé, parcourir l’autel d’un bout à l’autre en criant et en mâchant du chewing-gum: «Seigneur Dieu, je Te le dis, si Tu n’ôtes pas...» Sans assez de foi, si c’était de l’encre, pour mettre un point sur «i», il ne fait que marcher, en disant: «Seigneur, je Te dis, je suis... Je.-.je.-.je Te dis que je...»

40        Oh ! vous le Lui dites, Il sait tout à ce sujet. Vous pouvez faire cela depuis votre jeunesse jusqu’à devenir un vieil homme aux cheveux blancs; vous resterez toujours un pécheur. Mais le moyen simple, c’est accepter que ce que Jésus a dit est la Vérité, et sur base de Son Sang versé et l’invitation de l’Esprit, dire: «Je crois vraiment cela et j’accepte cela maintenant même, comme mon Sauveur personnel.»

            Frère, les cloches du Ciel retentiront de joie dans votre coeur. Pourquoi? Il ne peut rien faire pour vous. Il a dit: «Si vous Me confessez devant les hommes, Je vous confesserai devant le Père et les saints anges.» Croyez cela et confessez-le. [Espace vide sur la bande–N.D.E.] Vous étiez, vous savez, hier soir... [Espace vide sur la bande–N.D.E.] C’est comme ça, peu importent les symptômes; croyez cela de toute façon. Dieu l’a dit, c’est réglé. C’est ce qu’Abraham a dit. Eh bien, la fois suivante que Dieu l’a rencontré, Il lui a dit: «Je suis El-Shaddaï.»

41        Quelques jours avant cela, sans doute, il a demandé: «Sara, chérie, comment te sens-tu? Ton dos est vraiment voûté, tu as environ cent ans. Comment te sens-tu?»

            «Eh bien, chéri, il n’y a–il n’y a aucun changement en moi. Je–je–je suis bien la même.»«Pas de signe?»

            «Aucun signe du tout.»

            «Eh bien, gloire ! Nous l’aurons. Amen. Il est en route. C’est tout. Prépare-toi.» Abraham sortit ce jour-là et alla dans le pâturage surveiller quelques instants les brebis, les chèvres et tous les animaux qu’il avait, il est revenu à côté de l’arbre; le Seigneur lui est apparu et a dit: «Je suis El-Shaddaï. Abraham, tu es vieux, et Sara est vieille, mais tu ne considères pas cela, tu considères Ma promesse, ainsi Je suis Celui qui te donne la force. (Amen.) Appuie-toi simplement sur Mon sein et ressource-toi.»

42        C’est comme un petit bébé agité qui pleure, tourmenté et malade, la maman le ramène simplement à son sein, et il se met juste à téter. Et il se ressource auprès de la mère. Et pendant qu’il absorbe ses vitamines, comme je l’ai dit, absorbe les vitamines de la maman, il se développe, et il est tout le temps satisfait. Et lorsqu’un enfant de Dieu s’empare d’une promesse divine de Dieu, il absorbe les vitamines de la Parole éternelle de Dieu. Il se développe. Amen. Suivez. Je ne dis pas amen à moi-même, mais je crois vraiment cela. Amen signifie ainsi soit-il, et je–je crois vraiment cela. Remarquez. Maintenant, nous le trouvons continuer un peu plus loin. Et plus il avance, nous voyons que Lot s’est séparé de lui, et il est allé occuper les plaines bien arrosées; et il était devenu le maire de la ville, et–et sa femme était devenue, oh ! le leader de toutes les fêtes de grandes dames de la couture, du tricotage et tout. Ils se disaient que tout allait bien pour eux.

43        Et un jour, alors qu’Abraham était assis sous un arbre, il vit trois Hommes s’approcher. Abraham, étant un prophète, a regardé ces trois Hommes et il a reconnu qui Ils étaient. Il s’est faufilé dans la tente, il a dit: «Sara, apprête très vite un peu de farine.» Abraham partit prendre, dans le troupeau, un petit agneau, ou une petite brebis, ou plutôt un veau qu’il a tué, puis il le fit préparer, il l’amena dehors et servit ces Hommes, et Ils... Il a lavé leurs pieds. Ils étaient assis, se reposant, et ensuite, lorsqu’ils étaient sur le point de s’en aller, les deux hommes allèrent à Sodome. Et Abraham s’entretint avec l’Un d’eux. Et la Bible dit que ce n’est rien d’autre que le Dieu Tout-Puissant. Il avait le dos tourné à la tente. Sara n’était pas sortie; les femmes ne se mêlaient pas des affaires des hommes à l’époque comme aujourd’hui. Ainsi, elle est restée à sa place dans la tente. Elle est donc restée là derrière dans la tente. Et un... Dieu a dit à Abraham, Il a dit: «Tu sais quoi?»

44        Je ne voulais pas par là vous blesser, vous les femmes; je ne vous vise pas, vous les chrétiennes. Mais quand on voit bien les femmes entrer dans la politique et tout, c’est une disgrâce; c’est une dépravation des moeurs en Amérique. Et, souvenez-vous, ceci est... l’Amérique... Une.-. une femme... Je.-.je.-.je ferais mieux de laisser cela de côté. Mais souvenez-vous-en bien. Je prédis qu’une femme deviendra présidente avant que nous soyons anéantis. C’est vrai. Je l’avais dit en 1933 sur base d’une vision.

            Assurément, c’est un monde de femme. D’où cela tire-t-il son origine? De Hollywood. Tous vos vêtements sales, souillés, et autres qui se sont infiltrés dans nos foyers et tout comme cela. Et aujourd’hui, ça se transmet par la télévision et tout le reste. C’est une disgrâce. Tous nos réveils ne serviront à rien tant que nous ne serons pas revenus au bon fondement à l’ancienne mode. Oh ! lorsque je... Eh bien, il y en a trop là-dessus; les prédicateurs vous en parleront. Mais maintenant, remarquez, pendant qu’Abraham parlait à Dieu, Sara était derrière dans la tente, quand Dieu a dit à Abraham: «Je te visiterai au temps de la vie le mois prochain. Et tu auras un bébé.»

45        Eh bien, vous savez quoi? Sara a ri. Dieu, le dos tourné à Sara, a dit en retour: «Pourquoi Sara a-t-elle ri?»

            Sara a dit: «Oh ! non, je n’ai point ri.» Dieu a dit: «Oh ! si, certainement, tu as ri.»

            Elle avait une peur bleue. Voyez, ça n’a pas entraîné sa ruine. Eh bien, elle avait commis une faute, mais elle n’était pas perdue; elle avait bien sûr commis une faute. Elle avait peur.

            Remarquez. Et puis, quand... Il s’en est allé, cet Homme a disparu et Abraham a dit que c’était l’Eternel, Celui à qui il avait parlé, l’Eternel Dieu. Et Dieu était là...

            Une fois, je prêchais là-dessus, dans un petit livre que j’allais publier il y a quelques années, et un prédicateur m’a forcé la main dessus, il a dit: «Pasteur Branham, voulez-vous me dire que vous croyez que c’était Dieu?»

            J’ai dit: «C’est ce que dit la Bible.»

            Il a dit: «Où avait-Il eu ce corps?»

            J’ai dit: «Eh bien, écoutez, vous manquez simplement de comprendre combien Dieu est grand.» De quoi ce corps est-il composé? D’un peu de pétrole, de la lumière cosmique et de quelques substances semblables mises ensemble et retenues par les atomes.

46        Tenez, il n’y a pas longtemps j’essayais de me peigner les quelques cheveux qui me restent. Ma femme m’a dit, elle a dit: «Billy, tu deviens chauve, chéri.»

            J’ai dit: «Mais, gloire à Dieu ! Je n’en ai perdu aucun.»

            Elle a dit: «Eh bien, où sont-ils?»

            J’ai dit: «Bien, chérie, je vais te faire une proposition; tu me dis où ils étaient avant que je les aie, je vais te dire où ils m’attendent.» Amen. Je le crois. Gloire ! Sans rien perdre... Ils n’existaient pas; puis, ils ont existé, puis ils n’y sont plus; ils sont là où ils étaient, et un jour, Dieu me les restituera dans un corps physique fort. Amen. Je peux le prouver par la Parole de Dieu.

47        Remarquez. Eh bien, ô Dieu, qu’Il est grand. Je peux Le voir s’avancer là et dire: «Dis donc, viens ici, Gabriel.» [Frère Branham souffle.–N.D.E.] des atomes ensemble. «Entre dans ce corps. Viens ici, Micaël.» [Frère Branham souffle.–N.D.E.] «Entre dans cet autre corps.» Il est Lui-même entré dans Son propre corps. Il est directement allé... Là, c’est Dieu. Celui qui contrôle toute la lumière et tout le reste. Il est arrivé là, les habits couverts de poussière... non seulement cela, mais Il–Il a mangé de la viande de veau, il a bu du lait de vache, et Il a pris du pain de maïs. C’est vrai. Dieu Lui-même a éprouvé la faim dans le corps dans lequel Il avait vécu. N’êtes-vous donc pas content que ce même Dieu vous sauve ce soir du péché, et qu’Il vous ressuscitera un jour, qu’Il rassemblera ces atomes? Oh ! comme c’est inconcevable pour de petits–de petits esprits limités de pouvoir chercher à comprendre la–la pensée infinie de Dieu.

            Observez-Le. Un peu de temps... J’aimerais vous montrer quelque chose qui s’est passé pendant que nous sommes sur ce sujet. Je vais probablement faire l’objet des critiques à cause de cela, mais abordons-le quand même. Etes-vous disposés?

48        Vous savez, je vous ai dit que vous ne lisez pas la Bible juste comme ça; vous lisez entre les lignes. Dieu adresse toujours Sa lettre d’amour... C’est juste comme quand j’écris à ma femme ou qu’elle m’écrit, nous.-.nous savons... Nous exprimons ce que nous disons sur le papier, mais nous nous aimons tellement que nous lisons entre les lignes. C’est ainsi qu’on comprend Dieu; ne cherchez pas à devenir raide et formaliste et à avoir des diplômes collés à votre nom, aimez-Le vraiment, Il vous permettra même de lire entre les lignes.

49        A Fort Wayne, dans l’Indiana, quand un homme fut guéri, il a été envoyé au secrétaire privé du roi, après avoir été guéri de la sclérose en plaques, et puis, comme c’était ce secrétaire, il m’a envoyé chercher pour prier pour ce roi George quand il souffrait de sclérose en plaques... Et au cours de cette réunion, je suis passé derrière; pendant que j’étais là, j’ai entendu cela: Crois Seulement, et je savais que c’est là même dans cette même pièce que Paul Rader avait lu... composé ce cantique, là au Rediger Tabernacle... Je suis entré là et un homme est passé derrière moi. Il a dit: «Révérend Branham.»J’ai dit: «Oui, monsieur.»

            Il a dit: «Votre grammaire est pauvre.» Et j’ai dit: «Oui, oui, je le sais.»

            Et il a dit: «Je vous assure, un homme qui s’adresse aux foules comme vous et qui utilise votre grammaire, a-t-il dit, vous devriez avoir honte de vous-même.»

            J’ai dit: «Certainement, monsieur.» Et alors qu’il était là, il a dit: «Par exemple, ce soir, a-t-il dit, vous avez utilisé la plus pauvre grammaire qui soit.»

50        J’ai dit: «Oui, oui.» J’ai dit: «Vous savez, j’ai grandi dans une grande famille de dix enfants; j’étais l’aîné.» Et j’ai dit: «Mon père était maladif, alors je.-.je.-.je devais travailler, et aller travailler, alors que je n’avais qu’environ dix ans là dans des usines et tout.» J’ai dit: «J’ai passé des moments difficiles.»

            Il a dit: «Il n’y a pas d’excuse aujourd’hui.»

            Et j’ai dit: «Eh bien, c’est en effet vrai, monsieur. Mais, ai-je dit, depuis que le Seigneur m’a envoyé prier pour Ses enfants malades, c’est à peine donc si je peux avoir le temps de me coucher pour dormir; je suis très occupé.»

            Il a dit: «Oh ! vous pourriez suivre des cours par correspondance, quelque chose comme cela.» Il a ajouté: «Votre grammaire est pauvre.» Il a ajouté: «Vous savez, ce soir, j’ai remarqué, vous avez dit: ‘Maintenant, les gens qui passent à côté de ce polepit, ce soir...’»

            Et j’ai dit: «Eh bien, quel mal y a-t-il là?» Je ne voyais pas de mal dans ce que j’avais dit.

            Il a dit: «Les gens vous apprécieront plus si vous dites pulpit [chaire].» Vous savez, il m’a un peu trop tiré les oreilles.

            J’ai dit: «Frère, je n’aimerais pas donner une réponse sèche, mais que je dise ‘pulpit’ ou ‘polepit’, cela importe peu à ces gens, tant que je mène le bon genre de vie et que je manifeste ce dont je parle. C’est ce qu’ils veulent savoir.» Et c’est vrai. Oui.

51        Maintenant, Abraham... Oh ! la la ! Je peux le voir. Lisez entre les lignes. Peut-être que, demain après-midi, je prêcherai sur ce dont nous parlons, entre les lignes. Remarquez. Eh bien, qu’a fait Dieu après avoir donné cette promesse à Abraham? Il a montré en Abraham ce qu’Il ferait à chaque personne qui est la postérité d’Abraham. Savez-vous ce qu’Il a fait? Maintenant, Sara était pratiquement âgée de cent ans, et Abraham était un homme très vieux. Eh bien, pour commencer, nous allons mettre cela de côté. La Bible dit qu’ils étaient tous deux avancés en âge (C’est juste), Genèse, vers le chapitre 18.

52        Remarquez: «Avancés en âge.» Dieu était là et Il les a changés en un jeune homme et une jeune femme. J’aimerais bien voir où c’est parti. Il l’a fait; je vais le prouver par les Ecritures. Il les a rajeunis, montrant ce qu’Il ferait pour Abraham et ce qu’Il ferait pour toute sa postérité après lui. Suivez. Vous voyez, rappelez-vous lorsque vous vous êtes marié à la maman... Vous voyez, nous grandissons. L’autre jour, j’ai posé une question à un médecin. J’ai dit: «Docteur, est-ce vrai que chaque fois que je mange, je renouvelle ma vie, j’acquiers de nouvelles cellules de sang?»

            Il a répondu: «C’est exact, révérend.»

            Et j’ai dit: «J’aimerais alors vous poser une question. Je n’arrive pas à comprendre cela du point de vue scientifique. Comment se fait-il qu’à l’âge de seize ans, je mangeais le même genre de nourriture que je mange aujourd’hui, et chaque fois que j’en mangeais, j’acquérais de nouvelles cellules de sang, je devenais plus fort et plus puissant, mais aujourd’hui, je mange une meilleure nourriture; cependant, je deviens plus vieux et plus faible tout le temps? Expliquez-moi cela. Si vous versez de l’eau d’une cruche dans un verre et que celui-ci commence à se remplir, puis tout d’un coup, en continuant à en déverser davantage, ça commence à diminuer; expliquez-moi cela.»

53        Ça ne peut s’expliquer que par la Parole de Dieu. Dieu l’a dit. Vous vous développez depuis environ... depuis l’enfance, lorsque la toute première cellule commence à se développer, jusqu’à l’âge d’environ vingt et un ans ou de vingt-deux ans, peut-être vingt-cinq ans; vous êtes alors en meilleure forme. C’est cela donc le portrait que Dieu a pris. La première chose que vous remarquez, ce sont des cheveux blancs qui apparaissent. Maman, des rides apparaissent en dessous de ces beaux yeux. Regardez où ils sont assis ce soir: Vieux, faibles et grisonnants. Ne vous en faites pas, c’est la mort. La mort s’installe en vous après vingt-cinq ans environ. Vous commencez à devenir plus faible; votre système sanguin commence à s’affaiblir. Peu importe ce que vous faites, peu importe combien vous mangez, peu importe je ne sais quoi de scientifique que vous faites, cela importe peu, vous dépérissez carrément, car Dieu l’a dit.

54        Bon. Sara et Abraham dépérissaient jusqu’à l’âge de cent ans. Et je peux voir Abraham se lever le matin suivant et dire: «Dis donc, chérie...» Vous savez, Sara était une belle femme quand elle était jeune. Et Abraham a dit: «Dis donc, chérie, sais-tu quoi? Ta chevelure redevient noire. Je vois que toutes les rides ont disparu de ton visage depuis hier soir.»

            «Eh bien, a-t-elle dit, papa, je vois que tes épaules se sont redressées.» Oh ! la la ! Quelques heures après, il est allé prendre un seau d’eau ou quelque chose comme cela, peut-être, il est revenu, il a dit: «Sara, tu as l’air jolie.»

            Elle a dit: «Eh bien, Abraham, tu es comme tu étais lors de notre mariage.» Dieu les avait rajeunis.

55        «Oh ! direz-vous, Frère Branham,  c’est insensé.» Eh bien, un instant donc, juste un instant. Voyez-vous? Suivez. La Bible dit qu’ils ont effectué un voyage après ça et ils sont allés jusqu’à Guérar. Mesurez cela sur votre carte; c’était environ trois cents miles [482,8 km]. C’est tout un voyage pour une vieille mère et un vieux père, n’est-ce pas? A travers ces déserts chauds jusqu’à Guérar, non seulement cela, mais lorsqu’ils sont arrivés là, ce roi philistin du nom d’Abimélec cherchait une chérie. Et malgré toutes ces belles filles philistines qu’il y avait là, dès qu’il a vu cette vieille mère, avec un petit chapeau, ses petites épaules affaissées, titubant sur une cane, il a dit: «C’est celle-ci que je cherche, je la veux.» Et il tomba amoureux de Sara. Est–ce scripturaire? Amen. Qu’arriva-t-il? Elle était redevenue une jeune belle femme. Amen.

56        Regardez. Ça se confirme, mes amis. Si Dieu allait lui donner un bébé alors qu’elle avait cent ans, la première chose que Dieu devait faire, c’était de stimuler ce coeur, sinon elle ne pouvait pas avoir l’enfant. Vous les adultes, vous savez de quoi je parle. Elle était trop faible. Eh bien, autre chose qu’Il devait faire, c’était qu’il devait créer des veines lactogènes. On n’avait pas à l’époque des biberons. Les femmes ne fumaient pas à l’époque, et c’est ce qui cause les maladies qu’on a aujourd’hui. La maman élevait son enfant comme il se devait. Et vous savez quoi? Il a dû créer là des veines, car elles étaient desséchées. Et Il a dû accomplir un miracle pour rendre son sein fécond, car celui-ci était desséché. Est–ce vrai? [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.] Dieu ne rafistole pas les histoires; Il a bien créé une nouvelle femme. Amen ! Alléluia ! C’est ce qu’Il fera pour chaque fille et chaque fils d’Abraham qui recevront Sa promesse. Assurément qu’Il le fera. Cela le démontre.

57        Sara mit au monde l’enfant (C’est vrai.) sans avoir du tout de problème, et l’éleva, elle vécut plusieurs années jusqu’à ce que l’enfant eut environ quarante-cinq ans. Et après la mort de Sara, observez Abraham, eh bien, pour montrer qu’Il avait rajeuni, il a épousé une autre femme et il avait eu neuf fils, outre les filles. Gloire ! C’est ça notre Dieu. C’est ce qu’Il a fait. C’est ce qu’Il fera pour chaque croyant. Un jour, lorsque Jésus viendra, toutes les rides, tous les cheveux blancs, tous les bras atrophiés, tout le reste disparaîtra et, un jour, Dieu ramènera cela dans sa beauté, dans sa splendeur, pour vivre avec Lui éternellement.

            Oh ! combien je L’aime. Je suis heureux ce soir de Le connaître dans la puissance de Sa résurrection, et un de ces glorieux jours, Il enverra Jésus. «Les morts en Christ ressusciteront premièrement, et nous les vivants, nous serons enlevés avec eux à la rencontre du Seigneur dans les airs, et nous vivrons éternellement.» Nous régnerons avec Lui dans Sa beauté, dans la splendeur de la santé et de la jeunesse éternelle, car vous avez cru en Son Fils qu’Il a ressuscité d’entre les morts. Amen.

58        Oh ! la la ! Je–je n’ai pas encore abordé mon texte. Peut-être que nous aurons juste à laisser passer cela. Je ne veux pas vous retenir; demain, c’est dimanche. L’aimez-vous? Croyez-vous en Lui? Il est ressuscité d’entre les morts, les prémices de ceux qui se sont endormis. Il est ici ce soir. Il est là en Personne, dans Sa puissance.

            Dans Hébreux 13.8, la Bible dit: «Jésus est le même hier, aujourd’hui et éternellement.» Croyez-vous cela? S’Il a donc dit: «Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais, vous en ferez davantage, car Je m’en vais au Père», Il est tenu vis-à-vis de cette Parole. Est-ce vrai?

59        «Encore un peu de temps, et le monde (le monde ecclésiastique et le reste du monde) ne Me verra plus, mais vous, vous Me verrez, car Je (pronom personnel) serai avec vous jusqu’à la fin du monde. Et vous ferez aussi les oeuvres que Je fais. Je suis le Cep; vous êtes les sarments. Si vous demeurez en Moi et que Ma Parole demeure en vous, demandez ce que vous voudrez et cela vous sera accordé.»

            Comme c’est beau. Il est devenu le Cep, le premier à pousser de la terre. Nous sommes les sarments qui sont sortis de Lui. Et ce n’est pas le cep qui porte des fruits, ce sont les sarments qui portent les fruits. Et si le–le cep a un genre de vie, c’est ce genre de fruit qu’il doit porter. Et si Jésus était alors le Guérisseur, Il était... Tout ce qu’Il était à l’époque, Il doit l’être aujourd’hui, tout à fait ce qu’Il était à l’époque. Je crois donc cela de tout mon coeur. Prions.

60        Notre Père céleste, nous savons, ô Dieu, que les heures s’écoulent très vite lorsque nous parlons de Toi, car nous T’aimons. Tu nous as rachetés. Et nous sommes heureux ce soir de savoir que Jésus vit et règne toujours. Son Saint-Esprit est ici ce soir au milieu des frères et des soeurs, nous consolant par Sa Parole et Sa Présence.

            Dieu Bien-aimé, il peut y en avoir ici qui ne sont pas encore entrés dans le Royaume. Nous ne voulons pas qu’ils soient perdus. Nous savons que lorsque le filet aura été lancé dans la mer pour la dernière fois et que le dernier poisson aura été ramené pour que le Maître s’en serve, la porte sera fermée. Y en a-t-il un ce soir, Père, avec qui Tu traites? S’il y en a, qu’ils reçoivent Ta promesse, qu’ils refusent de voir tout ce qui est autour d’eux, comme le fit Jonas, tout obstacle, toute entrave. Et puissent-ils regarder à Toi maintenant même pour croire. En effet, Tu as dit dans Ta Parole: «Celui qui écoute Mes Paroles et qui croit en Celui qui M’a envoyé, a la Vie Eternelle, il ne viendra point en jugement, mais il est passé de la mort à la Vie.» Accorde-le, Père.

61        Pendant que nous avons nos têtes inclinées, je me demande ce soir si dans cet auditoire visible ici présent, que nous regardons, alors que les chrétiens sont en prière... Mon ami pécheur, je connais quelque chose de grand pour vous, mon frère perdu, ma soeur têtue: vous–vous n’êtes pas censé rester dans l’état où vous vous trouvez. Dieu vous a créé pour Le servir. C’est le péché qui vous a ruiné comme cela. Et si cette soirée était pour vous la dernière? Considérez ces crises cardiaques qui se produisent, toutes sortes de maladies. Des centaines en Amérique iront rencontrer Dieu ce soir. Et si vous êtes compté sur cette liste ce soir? Vous ne savez simplement pas quand vous partirez, mais vous aimeriez qu’on se souvienne de vous maintenant même dans un mot de prière. Dites: «Seigneur, je crois en Toi et je crois en Jésus-Christ.»

62        Maintenant, levez la main, non pas vers moi, votre frère, mais vers le Seigneur; alors je pourrais aussi voir votre main et prier pour vous. Voudriez-vous lever la main, quelque part ici dans la salle? Que Dieu vous bénisse, c’est bien. Que Dieu vous bénisse, que Dieu vous bénisse, que Dieu vous bénisse, vous et vous. C’est merveilleux. Que Dieu vous bénisse, madame. Que Dieu te bénisse, petit ami. Que Dieu vous bénisse, mon frère là derrière. Que Dieu vous bénisse. C’est bien.

            Quelqu’un d’autre, qui lève la main pour dire: «Je... Souvenez-vous de moi?» Que Dieu vous bénisse ici, madame; je vous vois. Quelqu’un d’autre là dans la salle maintenant? Tout au long du mur, je vous ai vu, monsieur, debout là de l’autre côté. Quelqu’un d’autre? Certains parmi vous qui êtes même assis sur le plancher, voudriez-vous lever la main? Vous savez que vous n’êtes pas en ordre avec Dieu; voudriez-vous qu’on se souvienne de vous dans la prière? Que Dieu vous bénisse. Bien, merci, soeur, de l’avoir désignée.

            Là aux balcons, partout là-haut tout autour des sièges en caisse, quelque part là, voudriez-vous lever la main pour dire: «Souvenez-...»?

63        Que Dieu vous bénisse, monsieur; je vous vois là derrière; que Dieu soit avec vous, c’est la plus grande... Que Dieu vous bénisse, monsieur, je vois votre main. Que Dieu–Dieu vous bénisse, madame; je vous vois. Le plus grand geste... Que Dieu vous bénisse, monsieur. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse. Vous là-bas, oui, que Dieu soit avec vous. C’est le plus grand geste que vous ayez jamais posé. Vous direz: «Frère Branham, qu’est-ce que ça a changé quand ils ont levé la main?»

            Eh bien, Jésus a dit: «Celui qui Me confessera, Je le confesserai. Celui qui écoute Mes Paroles (J’ai essayé d’apporter Cela à mon humble manière) et qui croit en Celui qui M’a envoyé a (maintenant même, non pas aura mais a, a, c’est le temps présent) a la Vie Eternelle et ne viendra point en Jugement.»

64        Que vous est-il arrivé à vous, une douzaine ou plus, qui avez levé la main? Vous êtes passés de la mort à la Vie; vous avez échappé au Jugement. Jésus a dit: «Vous ne viendrez point en Jugement, mais vous êtes passés de la mort à la Vie, car vous avez cru au Fils unique de Dieu.»

            Y en a-t-il un autre, juste un autre qui n’a pas levé la main? Que Dieu vous bénisse, petite dame, je vous vois. Oh ! J’ai bien du mal à demander encore, mais, vous savez, un jour, quand je vous rencontrerai là-haut, vous pourriez dire: «Frère Branham, si–si vous aviez supplié une fois de plus, j’étais bien sur le point de lever la main. Satan se tenait à mes côtés, me disant de ne pas le faire, mais je crois que si vous aviez bien supplié une fois de plus... Oh ! Je–je voulais que vous disiez...»

            «Oh ! Frère Branham, j’étais content que vous ayez dit cela, j’avais levé la main, j’avais accepté Christ comme mon Sauveur, et me voici ici aujourd’hui pour avoir fait cela.»

65        Non pas vous voir aller dans les ténèbres... Et si cette petite dame avait simplement manqué cela tout à l’heure? Et rien ne pourra nous séparer de l’amour de Dieu. Vous qui avez levé cette main du plus profond de votre coeur, d’un coeur sincère, vous êtes passés de la mort à la Vie, d’après la Parole de Dieu. C’est tout ce sur quoi je peux compter: Sa Parole. C’est sur Elle que ma foi repose, sur Sa Parole. Y en a-t-il un autre, juste avant de terminer? Eh bien, je commence la ligne de prière. Très bien. Que Dieu vous bénisse, bien; c’est bien. Il y a encore quelqu’un au balcon, quelque part là-haut, peut-être, vous... Que Dieu vous bénisse, mon bien-aimé frère; je vois votre... ma soeur là-haut, je vous vois aussi. C’est bien. Prions maintenant.

66        Père céleste, nous sommes très contents ce soir, les âmes sont nées dans le Royaume. Certainement alors, Seigneur, Tu nous témoigneras Ta grâce en guérissant les malades ce soir. Le Saint-Esprit amène la Parole tout droit dans chaque coeur, Il nourrit chaque âme de la Manne. Et pendant que ces gens sont assis là, et que les anges de Dieu campent autour d’eux, Satan se tient près, disant: «Ne fais pas ça; ne fais pas ça.» L’ange dit: «C’est ton tour.» Père, c’est ce qu’ils ont dû faire, ils ont dû prendre une décision, ils ont dû faire quelque chose à ce sujet, ils ont dû dire: «Oui, Satan, je sortirai avec toi», soit ils ont dit: «Ô Dieu, je Te recevrai.» Et ils ont levé la main, pour dire: «Ô Dieu, je Te recevrai.»

            Et, Père, Tu as dit: «Tous ceux que le Père m’a donnés viendront à Moi. Nul d’entre eux ne sera perdu; nul ne pourra les arracher de Ma main.» Nous en sommes très contents. Je Te prie ce soir, Père, de les baptiser maintenant dans le corps des croyants par le Saint-Esprit, afin qu’ils deviennent des ouvriers dans le Royaume. Nous demandons ceci au Nom de Christ, Ton Fils. Amen.

67        [Frère Branham tousse.–N.D.E.] Je suis très enroué, non pas à cause du rhume, mais pour avoir trop parlé, quatre mois d’affilée. D’ici, nous irons directement en Alaska. [Il tousse encore.–N.D.E.]

            Eh bien, mes chers amis, peut-être que demain, je–je terminerai mon texte, sinon j’en prendrai un autre et je laisserai les prédicateurs terminer cela en mon absence. Mais L’aimez-vous et croyez-vous en Lui? Toute peur est-elle partie maintenant? Ecoutez. Vous êtes des chrétiens. Combien de chrétiens y a-t-il ici ce soir? Vous tous, là, qui êtes chrétiens. Regardez ces mains là, il n’y en avait pas il y a quelques instants, maintenant elles sont levées. Oh ! Gloire à Dieu ! Maintenant, vous êtes chrétiens. Maintenant, vous avez la Vie Eternelle. Maintenant, vous êtes la postérité d’Abraham. Maintenant, vous êtes en sécurité dans l’Eglise. «Ceux qu’Il a appelés, dit la Bible, Il les a justifiés.» Est-ce vrai? Ceux qu’Il a appelés et qui ont répondu, Il les a justifiés. Et ceux qu’Il a justifiés, Il les a déjà glorifiés. Votre position vous attend dans la Gloire quand vous serez là-bas. N’est-ce pas merveilleux? Il n’y a pas de peur à ce sujet. Devant Dieu, il n’y a pas ceci, cela, ou autre chose; vous êtes déjà glorifiés, tout autant que Jésus a été immolé dès avant la fondation du monde, l’Agneau de Dieu. Puisque Dieu l’avait dit, il devait en être ainsi.

68        Ecoutez, pouvez-vous saisir cela? Comme Dieu vous a accepté il y a quelques instants comme pécheur, par Sa Parole, qu’Il a accepté cela, puisque vous avez témoigné, eh bien, Il témoignera de vous. Il ne peut jamais revenir sur Sa Parole. Amen. Maintenant, vous pouvez ruiner votre vie, rétrograder, sortir et aller mourir jeune dans ce monde, et beaucoup de choses peuvent vous arriver, mais que Dieu retire Sa Parole, c’est impossible. «Celui qui écoute Ma Parole et qui croit en Celui qui M’a envoyé a la Vie Eternelle, et il ne viendra point en jugement (jamais), mais il est passé de la mort à la Vie.» C’est ce qu’Il a dit: Saint Jean 5.24. N’est-ce pas merveilleux? Eh bien, ce sont les Paroles de la Bible au même titre que Celles qui déclarent que Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement.

69        J’aimerais vous poser une question maintenant, à vous les jeunes convertis, à vous les nouveaux venus. Si Jésus est ressuscité d’entre les morts, et qu’Il est le même, c’est ce que la Bible dit, qu’Il est le même... Croyez-vous qu’Il est le même? Dites: «Amen.» [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.] C’est ce que dit la Bible. Alors ce que... Comment est-Il le même? Il doit être le même en essence; Il doit être le même en puissance; Il doit être le même en oeuvres; Il doit être le même en attitude; Il doit être le même sous tous les aspects qu’Il avait manifestés à l’époque. Ainsi doit-Il être aujourd’hui. Il doit se manifester de la même manière, et Il le fera; Il a promis de le faire. Eh bien, Jésus disait-Il qu’Il était Guérisseur? Non. Il disait: «Ce n’est pas Moi qui fais les oeuvres; c’est Mon Père qui demeure en Moi.»

70        Saint Jean 19, lorsqu’Il passait près de la–la piscine de Béthesda, Saint Jean 5.19, ou plutôt, Jean, chapitre 5, Il est passé près de la piscine, il y avait tous ces infirmes, ces gens aux membres atrophiés, par milliers, couchés là, Il n’en a guéri aucun, jamais; Il est allé trouver un homme couché sur un grabat. Le Seigneur le Lui avait montré, ou Dieu Lui avait montré où il se trouvait, Il a guéri cet homme; Il s’en est allé, abandonnant les autres.

            Les Juifs L’ont interrogé. Il a dit: «En vérité, en vérité, Je vous le dis; le Fils ne peut rien faire de Lui-même, Il ne fait que ce qu’Il voit faire au Père, et tout ce que le Père fait, le Fils aussi le fait pareillement. Le Père agit; Moi aussi, J’agis.»

71        Il ne faisait que ce que le Père Lui montrait. Sondez les Ecritures. Aucun prophète, aucun homme, à aucun moment, dans une chair humaine, n’est et ne sera jamais capable d’accomplir quelque chose au hasard. C’est toujours révélé à chaque prophète et tous les autres, conformément à la vision que le Seigneur lui accorde. C’est tout à fait vrai. S’il pense vraiment... Jésus a dit: «Je ne fais rien...» Eh bien, Il ne peut pas mentir; Il est Dieu. S’Il a menti là, c’est qu’Il a menti ailleurs. Voyez-vous? Ça... Pour moi, tout est vérité, sinon alors, tout est fausseté. Eh bien, Il a dit: «... les oeuvres que Je fais... Celui qui croit en Moi fera aussi les oeuvres que Je fais.» Le monde Le verra dans la manifestation de Sa résurrection, et je crois que s’Il vient ce soir accomplir cela, ça nous réjouira tous et nous nous réjouirons de Sa bonté.

72        Maintenant, Père céleste, nous nous remettons à Toi et particulièrement, pour ces jeunes convertis. Je Te prie, ô Dieu, de ravir leurs coeurs ce soir, de leur faire savoir que le Sauveur leur a rendu témoignage maintenant même, qu’Il est la résurrection dans leurs coeurs, et qu’Il... ils sont passés de la mort à la Vie. Et maintenant, Père, nous Te prions de Te rendre visible ici et de montrer à cette assemblée que Tu es vivant, le Dieu ressuscité; non pas parce que nous en avons besoin, mais parce que cela peut accomplir Ta Parole. Tu étais venu afin que la Parole de Dieu puisse s’accomplir. Aujourd’hui, Tu envoies le Saint-Esprit afin que la Parole de Dieu puisse s’accomplir. Et Il... Elle fut accomplie par les Juifs en Orient; aujourd’hui, Elle est accomplie par les gens de l’Occident.

73        Maintenant, ô Dieu, Tu as dit, le prophète a dit: «Ce sera un jour qui ne sera ni jour ni nuit, mais vers le soir, la Lumière paraîtra.» Maintenant, les lumières du soir sont venues; la même Lumière qui avait brillé sur les Juifs à la Pentecôte a brillé sur les Gentils en ces derniers jours sous la pluie de la première et de l’arrière-saison tombant ensemble. Bénis Ton peuple ce soir, Père. Maintenant, j’abandonne tout à Toi, et puisse le Saint-Esprit utiliser ces gens et Ton serviteur pour Ta gloire, au Nom de Jésus. Amen. Combien ont été dans des réunions auparavant? Faites-nous voir la main. Combien sont des nouveaux venus? Faites-nous voir la main. Oh ! c’est pitoyable, voyez. On a juste une soirée pour arriver en trombe, vous savez ce que je veux dire, en ce qui nous concerne; on n’arrive pas à traîner. Mais pendant que nous appellerons la ligne de prière, alors, je parlerai alors aux nouveaux venus juste un instant. A-t-on distribué les cartes de prière? Oh ! quoi? Une centaine?

74        Très bien. On a distribué une centaine de cartes de prière. Nous... Où est-ce que nous nous sommes arrêtés? Voyons... Avez-vous... Y a-t-il le numéro 1? Voyons. Quelqu’un a-t-il la carte de prière numéro 1? Voyons. Très bien, c’est bien, nous commencerons alors à partir de là. Venez ici. Numéro 1, numéro 2, numéro 3, numéro 4, numéro 5. Voyons si je les vois. 1, 2, 3... numéro 4. Qui a la carte de prière numéro 4? Voudriez-vous lever la main? C’est peut-être quelqu’un qui ne peut pas se lever. Qu’y a-t-il là en bas? Quelqu’un... Si vous ne pouvez pas vous lever, levez la main, et un huissier viendra vous aider pour vous amener ici. Regardez la carte de votre voisin; c’est peut-être quelqu’un de sourd et qui n’entend pas; il ratera sa place dans la ligne. Très bien. Numéro 3. Numéro 4, quelqu’un a-t-il la carte de prière 4? Vous... Excusez-moi, soeur. Numéro 5, qui a le numéro 5? La carte de prière numéro 5, voudriez-vous lever la main? Est-ce... Est-elle au balcon? Est-ce ... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

75        Eh bien, Je n’ai pas encore suivi les bandes, d’aucune de ces réunions, mais les frères me disent que le Saint-Esprit désigne les gens dans les réunions, et tout ce qu’Il fait. Vous ne pouvez pas connaître tout à ce sujet juste en une soirée, certainement pas. Mais maintenant, mes amis, Jésus de Nazareth, le Fils de Dieu, quand Il était ici sur terre, il y eut une fois une femme qui désirait quelque chose de la part de Dieu. Et elle croyait que–que Dieu était dans Son prophète, et son nom était Elie. Et cette femme sunamite est allée auprès de lui et elle s’est bien accrochée à lui, et Elie a fini par découvrir la cause et la cure, et l’enfant a été guéri. Il y eut une fois une femme qui pensait que si elle touchait le vêtement de Jésus, elle serait guérie. Ainsi, elle a poussé... elle s’est faufilée dans la foule et a touché Son vêtement et s’en est allée... Oh ! Elle est entrée dans la foule, elle s’est assise, ou plutôt elle s’est tenue debout, ou je ne sais quelle position elle avait prise. Je ne sais pas, la Bible ne dit pas précisément ce qu’elle a fait. Mais Jésus a demandé: «Qui M’a touché?»

            Et elle a nié cela. Toute la foule a nié cela. Et l’apôtre Pierre a dit: «Seigneur, Tu demandes qui T’a touché? Eh bien, a-t-il dit, toute la multitude Te touche. Pourquoi poses-Tu pareille question?» Il a dit: «Mais Je me suis senti faible, la vertu (ce qui veut dire la force) est sortie de Moi. Je me suis senti faible.» Il a promené le regard sur l’assistance et a repéré la femme. Elle avait une perte de sang. Il lui a dit: «Ta foi t’a sauvée.» Est-ce vrai? Alors, elle a tout confessé.

76        Or, vous direz: «Eh bien, s’Il était ici, je pourrais Le toucher, mais Il n’est pas ici.»Mais la Bible dit qu’Il est ici, est-ce vrai? Je serai avec vous, même en vous, jusqu’à la fin du monde. Et la Bible dit qu’Il est le Souverain Sacrificateur qui peut être touché par les sentiments de nos infirmités. Est-ce ce que dit la Bible? [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.] Il est le Souverain Sacrificateur pour intercéder ce soir. Touchez-Le. Beaucoup de choses qu’Il a faites... S’Il vient faire la même chose à l’estrade, Le recevrez-vous, vous réjouirez-vous et serez-vous contents de Lui? Dites: «Amen», s’il vous plaît. [«Amen.»–N.D.E.]

77        Maintenant, permettez-moi d’expliquer au mieux de ma connaissance. Les dons et les appels sont sans repentir. Combien savent cela? C’est ce que dit la Bible. Ce n’est pas ce que vous désirez être, c’est ce que Dieu a fait de vous. Voyez-vous? Et Dieu ne fait pas tout le monde identique. Il ne fait pas tout identique. Il n’a pas de maison à articles identiques, Il a... Ce qu’Il a, Il a de grandes montagnes et de petites montagnes; Il a des déserts et des océans. Il a des fleurs blanches, des fleurs roses, des fleurs bleues. Eh bien, Il a des hommes roux et des femmes rousses, aux cheveux noirs, aux cheveux blonds; certains sont élancés et minces, d’autres trapus, et d’autres encore... Il en a de toute espèce, c’est ce qu’Il aime; Il est le Dieu de variété. C’est ainsi qu’Il a créé Sa création. Et Il a divers offices de ministères.

78        Eh bien, vous n’y pouvez rien, car... Vous ne pouvez pas vous rendre un homme de très grande taille alors que vous êtes un homme de petite taille. Vous ne pouvez pas non plus vous rendre un homme de petite taille si vous êtes un homme de grande taille. La Bible dit: «Qui de vous, par ses inquiétudes, peut ajouter une coudée à la durée de sa vie?» Impossible. Dieu a fait de vous ce que vous êtes.

            Eh bien, Il a créé... Il y a ici derrière moi un groupe d’érudits prédicateurs. Je ne suis pas... Je suis un.-.un.-.un pneu de réserve. Un pneu de réserve est utile en cas de... Maintenant, Frère Jeffries, excusez-moi, je ne voulais pas dire que nous connaissons une crevaison. Eh bien, ne–ne le comprenez pas comme cela. Voyez-vous? Non... Mais c’est à cette fin qu’on se sert du pneu de réserve.

            Mais, regardez, je suis–je suis ici juste... ne suis pas tellement un orateur, mais Dieu m’a donné un don: c’est d’avoir des visions. Je les ai depuis ma tendre enfance. Voyez? Il ne faut pas... Ces gens ne mettent pas cela en doute. Appelez le maire de ma ville, n’importe qui partout, où vous voulez. Examinez cela une fois, voyez ça; c’est toujours parfait.

79        Maintenant, ce soir, je me rends compte que ça va être difficile. Ces frères ne peuvent pas s’empêcher de s’asseoir là. Mais cela me taille vraiment en pièces, j’aimerais cependant qu’ils s’assoient juste là où ils sont. Hier soir, ce qui m’a poussé... J’ai perdu deux ou trois visions. Voyez, les gens derrière vous, c’est un esprit, partout, voyez-vous. Et chacun de vous a un esprit, sinon vous seriez mort. Et ce sont ces esprits que nous contactons. Voyez, nous ne contactons pas une grosseur appelée cancer, nous contactons la vie qui est dans la grosseur qui est à la base du cancer. C’est un germe, des cellules qui se développent, une multiplication des cellules tout comme vous êtes une multiplication de cellules. Cataracte, tumeur, tout est germe, ou pourquoi y a-t-il de bons germes...

80        Ça va, frère, vous n’êtes pas obligé de faire cela. Assoyez-vous là. Ça ne me dérange pas. Restez là. Très bien. De toute façon, je suis un peu enroué ce soir. C’est ce que j’appelle un groupe d’hommes loyaux, n’est-ce pas? Je pense que nous devrions tous dire: «Gloire au Seigneur !» [L’assemblée dit: «Gloire au Seigneur !»–N.D.E.] Vous ici, vous devriez apprécier de tels pasteurs, qui sont assez sincères pour votre guérison, qu’ils quittent l’estrade, reculant pour le service de guérison. Vous direz: «Frère Branham, c’est de la psychologie.»

            Non, ça ne l’est pas. Si c’est ça, c’est que Jésus en avait fait l’usage. Il est entré dans une maison, Il en a fait sortir tout le monde, Il est resté avec Pierre, Jacques, Jean, la maman et le papa (Est-ce vrai?) pour ressusciter l’enfant. Il a conduit un homme dehors. Qu’est-ce? C’est un contact spirituel. Maintenant, que Dieu vous bénisse. Monsieur... Les huissiers... [Frère Branham tousse.–N.D.E.] Excusez-moi.

81        Voici une dame. Maintenant, à vous les nouveaux venus, ceci offre une bonne occasion de faire application d’une Ecriture. Voyez-vous? Tout ce que nous enseignons doit provenir de cette Bible, sinon ce n’est pas la vérité. Cela doit être une promesse de Dieu, sinon je ne le recevrais pas. Nous ne sortirons jamais de cette Bible. Si nous le faisons, venez me le montrer. Nous ne quittons jamais les pages de la Bible, et ça doit être non seulement l’Ancien Testament, mais le Nouveau Testament aussi: les deux doivent s’accorder ensemble. Pas juste une seule Ecriture et on s’emballe là-dessus; ça doit être toutes les Ecritures ensemble. Cela rend les... C’est le–c’est le Livre de Dieu juste... Il a caché Cela aux yeux des sages et des intelligents. Eh bien, c’est ce qu’Il a dit qu’Il ferait. Vous ne connaissez pas cela par l’instruction; vous ne connaîtrez jamais cela ainsi. Vous connaissez cela en connaissant l’auteur. C’est l’unique moyen pour vous de connaître Son Livre.

82        Maintenant, le tableau de ce soir est le même... Et j’aimerais dire ceci juste avant que je... L’obéissance de ce groupe de loyaux prédicateurs assis derrière moi... Chaque soir, depuis que je suis ici, je suis fatigué, épuisé et je prêche; il me fallait attendre la venue de l’Ange de l’Eternel. Vous le savez tous, n’est-ce pas? Mais en ce moment même, Il est ici maintenant même. C’est vrai.

            Cette femme a déjà établi un contact avec le Saint-Esprit, pendant qu’elle se tient là même, car Il se trouve entre elle et moi maintenant même. N’est-ce pas merveilleux? Combien l’obéissance... C’est ça; c’est le respect. Et si Marthe avait couru vers Jésus, disant: «Eh bien, toi, hypocrite, pourquoi n’es-Tu pas venu quand nous T’avons appelé? Nous retournerons à la synagogue.» Le miracle ne se serait pas produit. Mais elle s’est approchée de Lui avec révérence. Elle a dit: «Seigneur, si Tu eusses été ici, mon frère ne serait pas mort, mais maintenant même, tout ce que Tu demanderas à Dieu, Dieu Te l’accordera.»

83        Voyez-vous? C’est ce qu’elle était censée faire. Elle a contacté avec révérence, non pas comme le soldat qui lui avait mis un lambeau sur le visage et qui L’avait frappé à la tête avec un bâton en disant: «Dis donc, Tu es un Prophète; dis-nous qui T’a frappé.» Voyez-vous? «Dis-moi qui T’a frappé.» Voyez-vous? Il n’avait rien obtenu, de même quiconque vient en critiquant ne recevra rien. Mais ceux qui viennent avec révérence, comme ces frères, il y a quelques instants, vous recevrez quelque chose de Dieu. Non pas de moi, je ne suis que votre frère. Si l’Enlèvement se produisait ce soir, vous tous, peut-être, vous iriez avant moi si ça se faisait suivant l’honneur, car je suis né hors saison pour vous. Mais je L’aime.

            Eh bien, voici une dame que je ne connais pas. Je ne l’ai jamais vue de ma vie. Et nous nous tenons tous deux ici devant Dieu, elle pourrait être frappée de mort, la paralysie pourrait la frapper maintenant même. J’ai vu cela arriver dans des réunions. Combien ont déjà appris que c’est arrivé dans des réunions? Combien ont entendu parler de ce gars qui était venu m’hypnotiser ce soir-là, qui était assis là au balc... Il est descendu là, il allait rendre...m’hypnotiser, me faire aboyer comme un chien. Mais en revanche, le Saint-Esprit a dit: «Toi, fils du diable.» Et depuis lors, il est paralysé. Ça s’est passé il y a environ trois ans. Voyez-vous? On l’a fait sortir de la salle. Vous ne pouvez pas jouer avec Dieu. Vous devez croire cela.

84        Un ministre a amené un groupe. Je leur ai demandé d’incliner la tête, je m’occupais d’un enfant épileptique qui mâchait sa langue. On lui mettait un bâton dans la bouche ou une pince à linge attaché à un chiffon, c’était à Jonesboro, dans l’Arkansas. Et il cherchait à mâcher cette langue comme ça, et cet enfant piquait des crises à l’estrade. Et j’ai dit: «Maintenant, vous tous, inclinez la tête.» Et je me suis mis à prier, mais eux ne voulaient pas incliner la tête. Je continuais à regarder tout autour, j’ai dit: «Inclinez la tête, vous tous qui avez la tête relevée.»

            Et je me suis remis à prier, mais il ne voulait pas incliner la tête. Je me suis retourné; il y avait un homme assis là avec la tête redressée comme ça, il avait avec lui environ huit à dix personnes, ou plus que cela. J’ai dit: «Monsieur, inclinez la tête.»

            Il a dit: «Ceci est une place publique et je n’ai pas à le faire.»

            J’ai dit: «Bien, tant pis pour vous alors.»

            J’ai dit: «Père, ne permets pas que cet enfant innocent souffre à cause de la condition de cet homme.»

85        Et demandez à Richard T. Reed, à Jonesboro Tabernacle, du Old-fashion Bible Hour Tabernacle, à Jonesboro, dans l’Arkansas, si c’est vrai ou pas. Demandez à G.H. Brown, 505, Victor Street, à Little Rock, il était là présent. Alors, l’épilepsie a quitté l’enfant et vingt-huit personnes d’une certaine dénomination, le pasteur et tous les vingt-huit ont attrapé l’épilepsie, ils sont tombés sur le pavement, écumant à la bouche, là même dans l’assistance. A ce que je sache, ils continuent à en souffrir. Plusieurs d’entre eux sont venus, j’ai dit: «Je n’ai rien à faire avec cela; c’est une malédiction de Dieu; tant pis donc pour vous. C’est vous qui aviez désobéi. Je vous avais demandé de quitter l’assistance si vous ne croyiez pas, et vous n’avez pas voulu le faire.» J’ai dit: «Eh bien, tant pis pour vous. Je n’ai rien à faire avec cela. Je ne prierai pas pour ce péché-là. Non, non. Tant pis pour vous.» Donc, voici deux personnes qui se tiennent ici ce soir. Voici une femme que je n’ai jamais vue. Sommes-nous des inconnus, madame? Nous sommes des inconnus. Je voulais juste savoir si je lui suis inconnu autant qu’elle l’est pour moi.

86        Très bien. Maintenant, voici un tableau, pour vous qui n’avez jamais été dans les réunions auparavant. Eh bien, Jésus est ressuscité d’entre les morts. Présentons cela sous forme d’une scène. Il se fait que la première personne à se tenir dans la ligne, c’est une femme. Eh bien, Jésus allait à Jéricho, Il devait donc passer par la Samarie. Pourquoi? Le Père L’avait envoyé là-bas. Il s’est assis à côté d’un puits, et une femme de la Samarie est sortie. Et Jésus lui a dit: «Donne-moi à boire.»

            Et elle a répondu: «Il n’est pas de coutume que vous, les Juifs, vous demandiez à nous les Samaritains pareille chose; nous n’avons pas de relations entre nous.»

            Jésus a dit: «Mais si tu connaissais Celui à qui tu parles, c’est toi qui M’aurais demandé à boire.»

            Et elle a dit: «Le puits est profond et Tu n’as rien pour puiser avec, comment pourras-tu puiser de l’eau?»

            Il a dit: «L’Eau que Je donne, c’est la Vie Eternelle.» «Eh bien, a-t-elle dit, nos pères ont adoré sur cette montagne; vous, vous dites qu’il faut adorer à Jérusalem.»

            Et Jésus a dit: «Le salut vient des Juifs, mais le Père cherche ceux qui L’adoreront en Esprit.» La conversation s’est longtemps poursuivie. Que faisait-Il? Eh bien, il vous faut me croire sur parole là-dessus. Il était en train de contacter son esprit. Aussitôt qu’Il a découvert ce dont cette femme avait besoin, son problème... Il a dit: «Va, appelle ton mari.»

            Elle a dit: «Je n’ai point de mari.»

            Il a dit: «C’est vrai; tu en as eu cinq.»

87        Et elle a dit... Maintenant quoi? Ecoutez. Je m’adresse à vous les nouveaux venus, que Lui a-t-elle dit? Elle a dit: «Eh bien, je vois, Seigneur, que Tu es un Prophète.» Elle a dit: «Nous savons que quand le Messie sera venu (C’est Christ, est-ce vrai?), quand le Messie sera venu, Il fera ces choses, Il nous annoncera toutes ces choses, mais Toi, qui es-Tu?»

            Il a dit: «Je Le suis, Moi qui te parle.»

            Eh bien, c’était là le signe du Messie hier. Et s’Il est ressuscité d’entre les morts, ce sera le signe du Messie aujourd’hui. Il a dit: «Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais.» Est-ce vrai? Maintenant, la même chose s’est répétée dans bien d’autres passages de la Bible. Vous le savez, n’est-ce pas? Dans bien des passages. Quand Philippe est allé chercher Nathanaël et ainsi de suite, dans bien des passages, Il connaissait leurs pensées pendant qu’Il était devant l’assistance. Il a dit: «Pourquoi raisonnez-vous dans votre coeur au sujet de telle et telle chose?»

88        Eh bien, si cette femme, comme elle m’est inconnue et que moi, je lui suis inconnu, alors Dieu devra me dire quelque chose à son sujet, sinon je ne le saurai pas. Maintenant, madame, alors que vous regardez dans cette direction, juste un instant, pour avoir une conversation avec vous afin... Vous savez qu’il se passe quelque chose. C’est vrai. Depuis que vous êtes montée à l’estrade... En effet, je ne suis pas un hypocrite, madame. Je suis–je suis un chrétien. Et cette Lumière est autour de vous, la Lumière que vous avez vue dans la photo. Elle est là. Maintenant, s’Il me dit ce pour quoi vous êtes ici, vous en serez le juge si c’est vrai ou faux, croirez-vous alors dans Sa résurrection? Et tout ce dont vous avez besoin, tout ce que vous voulez, s’Il me dit ce dont vous avez besoin, recevrez-vous alors cela? Vous allez le faire. Est-ce que l’assemblée recevra cela comme elle sait que cette femme est une inconnue?

89        Maintenant, regardez-moi bien, juste... Je ne... Je veux par là dire comme Pierre et Jean qui passaient par la porte, ils ont dit: «Regarde-nous.» Vous savez, c’est juste accorder l’attention (Voyez-vous?), juste un instant. En effet, vous vous tenez là, pleurant (Voyez-vous?), et je–je n’aimerais pas que vous pleuriez, mais vous n’y pouvez rien juste en ce moment même, car vous ressentez une très grande douceur et une profonde humilité. En effet, l’Ange de Dieu se tient ici à côté de moi; Il est au-dessus de vous. Et c’est pourquoi vous ressentez cela. Vous souffrez d’une allergie. Est-ce vrai? Levez la main si c’est vrai. C’est vrai. Oui. J’ai entendu ce qu’Il a dit. C’est vrai. Croyez-vous que je suis Son prophète? Je pense que vous le croyez. Eh bien, vous avez le moral haut, n’est-ce pas? Rien ne semble pouvoir s’opposer à cela. On ne peut rien trouver pour cela. Mais vous vous tenez dans la Présence de Celui qui a le remède. Oui, c’est le ré... Il a la cure. C’est vrai.

90        Croyez-vous qu’Il... qu’il s’agit de Lui? Permettez-moi de vous le prouver: c’est Lui. Vous avez un bon esprit, vous cherchez toutefois des choses profondes de Dieu, une marche plus intime avec Dieu. Vous avez aussi un fardeau sur le coeur. C’est vrai. C’est pour quelqu’un d’autre. C’est vrai. C’est pour votre mari, il connaît une mauvaise situation, c’est une affaire de famille, il est un alcoolique. C’est vrai. Fullerton, mademoiselle Gene Fullerton. Vous restez sur une rue appelée comme, voyez quoi, Sycomore et votre numéro, c’est 120, rue Sycomore. Croyez-vous qu’Il est ressuscité d’entre les morts? C’est la même Personne qui pouvait dire à Simon que son nom était Pierre. Croyez-vous que vous êtes dans Sa Présence? Croyez-vous que vous recevrez ce pour quoi vous êtes venue? Alors, vous recevrez selon votre foi. Que Dieu soit avec vous.

91        Ayez foi en Dieu. Ne doutez pas. Croyez. Ayez simplement la foi. J’aurais seulement souhaité que mon auditoire puisse savoir quel–quel sentiment est-ce ! Oh ! quel merveilleux, merveilleux... Comment savoir que le... Vous les chrétiens, n’êtes-vous pas contents que votre Seigneur... L’unique–l’unique religion au monde qui peut prouver que Son Fondateur vit toujours, le Seul qui avait le pouvoir de donner Sa Vie et de La reprendre. Deux mille ans après, Il est tout aussi vivant, et Il est ici maintenant même, que quand Il marchait sur les rives de Galilée. Combien cela devrait-il vous amener à L’aimer, à aller à l’église et à abandonner les choses que vous faites, et essayer d’amener tout le monde à L’aimer et à Le servir !

92        N’êtes-vous pas heureux, vous les jeunes chrétiens? Vous qui avez levé la main ce soir et qui L’avez accepté comme Sauveur, levez encore la main pour montrer que vous êtes heureux de l’avoir fait. Tout autour, partout, vous qui avez levé la main, mettez votre... C’est merveilleux. Voyez, voyez-vous? Votre Seigneur vit. Il est ici. Ce n’est pas... Maintenant, ça, ce n’est pas votre frère. Je ne suis que votre frère. Lui est votre Seigneur. Mais je ne fais que m’abandonner à Celui qui fait cela. Est-ce lui le patient, ou la dame? Je ne voulais pas dire cela: «Patient.» Je.-.je.-.je... Certains pourraient ne pas être des patients. Mais vous semblez avoir un très bon esprit accueillant, madame. Et je–j’apprécie votre sincérité envers Christ, votre sincérité envers moi pour croire que–que cela n’est pas par mon choix, c’est par l’élection de Dieu, une pauvre personne indigne a été appelée, peut-être, pour séduire les riches, les sages et les intelligents. N’est-Il pas merveilleux, à voir comment Il accomplit ces choses? Regardez, quand Il...

            Nicodème est allé auprès de Lui, un homme âgé allant auprès d’un jeune homme, un–un homme riche allant auprès d’un Pauvre, qui n’avait pas d’endroit où reposer Sa tête. Quelqu’un qui avait un diplôme allant auprès d’un Homme qui ne professait pas en avoir un, pour chercher de l’aide. Voyez-vous comment Dieu fait les choses? N’est-Il pas merveilleux?

93        Maintenant, vous venez auprès de la même Personne, Christ; je suis juste Son représentant. S’Il me dit ce qui cloche chez vous, croirez-vous? Vous devrez croire cela, n’est-ce pas, soeur? Je ne sais pas... Eh bien, vous êtes extrêmement nerveuse, c’est ça qui vous dérange; c’est vrai. Et aussi vous êtes infirme, un peu... Oh ! c’est l’arthrite. Vous souffrez de l’arthrite. Je vois comment vous vous déplacez; il s’agit de l’arthrite; en effet, vous vous sentez parfois un peu bien, et puis vous faites de nouveau une rechute. On dirait que vous piquez des crises, c’est périodique. Il y a de cela un bon bout de temps aussi. Je vous vois essayer de marcher de côté pour descendre le bord de la route; en descendant du bord de la route, vous marchez de côté. Oh ! Il a dit: «Il s’agit de l’automobile.» C’est ça. Je vous vois marcher de côté pour entrer dans la voiture. J’ai vu cela à côté de... Et aussi, vous souffrez de l’oreille. C’est ça le mauvais côté. Une ombre noire apparaît. Vous avez peur. Un cancer du cerveau. N’ayez pas peur. Pouvez-vous donc avoir peur alors que vous vous tenez dans la Présence de Celui qui vous connaît? C’est ce qui a provoqué cela. Cela ne vous dérangera plus donc. Poursuivez votre chemin. Vous allez maintenant vous rétablir. C’est votre foi qui accomplit cela, soeur. Que Dieu soit avec vous et qu’Il vous bénisse. N’ayez pas peur. Ayez la foi.

94        Bonsoir. Vous n’avez pas l’air malade. On ne peut pas le savoir à vous voir. Si je disais à cet homme, ou à cet homme assis ici dans un fauteuil roulant: «Cet homme est infirme», tout le monde le sait. Mais pour une personne en bonne santé, eh bien, suivez... C’est ça le miracle. Vous avez l’air d’être en bonne santé. Maintenant, qu’est-ce qui ne va pas chez vous? Voilà la chose. Tout le monde peut voir que cet homme est infirme. Cet homme est infirme, et peut-être la petite fille dans le fauteuil roulant. Ils sont infirmes. Mais qu’en est-il de vous? Y a-t-il quelque chose qui ne va pas chez vous? Peut-être pas. Il se peut que ce soit quelque chose que vous désirez de la part de Dieu. Il le sait. Croyez-vous cela?

95        D’une part, vous souffrez de dos. Vous souffrez de reins. C’est vrai. Cela cause un agent, du poison toxique et autres. C’est critique. «Cela pourrait vous causer beaucoup d’ennuis», a donc dit le médecin. Ensuite, je vous vois, pendant un moment, aller à un hôpital ou quelque chose comme cela, faisant des va-et-vient. Oh ! Oui. Il s’agit de votre oeil. Vous devez... C’était pour être opéré, et vous continuez bien à reporter cela à plus tard; en effet, vous croyez des fois que Dieu s’en occupera. C’est vrai. Bien, croyez-vous cela maintenant? Allez donc recevoir cela. Puissiez-vous recevoir ce que vous Lui avez demandé au Nom de Jésus-Christ, soeur.

            Certainement, vous ne doutez pas. Croyez-vous? Si vous pouvez croire... Madame, assise là à côté de cette petite fille, vous souffrez de l’hypertension et vous voulez que Dieu vous guérisse, n’est-ce pas? C’est pour ça que vous priez, n’est-ce pas? Très bien, vous avez reçu ce que vous avez demandé; votre foi L’a touché comme cela. Voyez-vous ce que je veux dire? Vous n’avez pas besoin d’une carte de prière. Vous avez besoin de foi. Ayez foi en Dieu. Ne doutez pas.

96        Bonsoir. Il y a quelqu’un là derrière en train de tirer, c’est un homme. Il est debout parmi les prédicateurs, ou plutôt il est assis. Monsieur, vous connaissez des moments très difficiles. Vous souffrez de la tuberculose. Et je vois que vous avez été dans un hôpital ou quelque chose comme cela. On vous a amputé d’un de vos poumons. Vous êtes un homme pauvre. C’est vrai. Croyez-vous? Votre foi L’a touché. Je ne peux pas vous guérir, mais croyez-vous cela? Alors, qu’il vous soit fait selon votre foi. Imposez-lui les mains, frères, en tant que prédicateurs de l’Evangile. Ô Dieu, je sais que quelque chose doit arriver à cet homme qui se meurt, Père, j’unis ma prière à celle de ces hommes. Epargne sa vie, Seigneur. Je prie au Nom de Jésus-Christ. Amen.

97        Très bien, monsieur. Avez-vous une carte de prière? Non, vous n’avez pas... Eh bien, vous n’avez pas besoin d’une carte de prière, voyez-vous. Votre foi a saisi... Vous n’avez pas besoin d’une carte de prière, voyez-vous. C’est votre foi qui a accompli cela. J’allais dire, si vous aviez une carte de prière, de la remettre à l’un des frères. Mais vous n’en avez pas. Voyez, vous n’en avez pas besoin. Vous vous sentez différent maintenant, n’est-ce pas? Venez ici une minute. Dites: «Amen.» Comment vous sentez-vous maintenant? [L’homme dit: «Je me sens mieux. Que Dieu vous bénisse.»–N.D.E.] Amen. Amen. Ô Dieu ! Il est si faible, vous ne pouviez pas marcher, n’est-ce pas? Il avait... Il n’arrivait même pas à reprendre le souffle pour marcher d’un pas chancelant dans la salle, n’est-ce pas? Regardez-le maintenant. Que Dieu vous bénisse, mon frère. Poursuivez votre chemin en vous réjouissant.

98        Disons: «Gloire au Seigneur !» [L’assemblée dit: «Gloire au Seigneur !» N.D.E.] Demandez-lui. Je ne l’ai jamais vu de ma vie. Il est probablement entré par derrière ou quelque chose comme cela. Je ne sais pas ce qu’il faisait là derrière. Peut-être que c’est Dieu qui l’a placé là derrière. C’est ça, pour ces prédicateurs. Amen. Voyez-vous tout ce qu’il en était? Voyez-vous comment Dieu fait concourir toutes choses? Oh ! N’est-Il pas merveilleux? Comment pouvez-vous donc douter de votre Aimable Seigneur Jésus? Si tu peux croire... Croyez-vous maintenant, madame, de tout votre coeur? En effet, je–je ne peux pas vous guérir; je n’ai rien avec quoi vous guérir. Et si Jésus se tenait ici dans ce costume que je porte, Il ne pourrait pas vous guérir, si vous êtes malade, car Il a déjà accompli cela. Et pour tout ce dont vous avez besoin, Il a dit: «Tout ce que vous demanderez au Père en Mon Nom, Je le ferai.» A-t-Il dit cela? Croyez-vous cela? Croyez-vous que Jésus-Christ est le Fils de Dieu? Croyez-vous que je suis Son prophète, ou Son serviteur? Croyez-vous que ce que j’ai dit concernant ce qui est arrivé à ma naissance, que cette Lumière que vous voyez sur la photo, eh bien, est entrée par une petite fenêtre, que toutes ces choses qui ont été dites et le livre pour toujours rendre témoignage... Croyez-vous que c’est la vérité? Croyez-vous que c’est pour confirmer la Parole de Dieu? Croyez-vous que cette Colonne de Feu que vous voyez dans la photo, croyez-vous que c’est la même Colonne de Feu qui avait conduit les enfants d’Israël? Croyez-vous que c’est la même Colonne de Feu qui rencontra Paul ce jour-là, alors que ce dernier ne savait pas Qui c’était, c’était juste une Lumière brillante? Il a demandé: «Qui est-ce que je persécute?» Il lui a répondu: «C’est Moi Jésus.»

99        Jésus a dit: «Je viens de Dieu et Je retourne à Dieu.» Le voici le même, preuve scientifique à l’appui. Il est la même Colonne de Feu aujourd’hui, la même Lumière qui est apparue à Paul, la même qui était avec Moïse, la même qui était avec Paul, et la même qui est avec l’Eglise aujourd’hui. La même hier, aujourd’hui, et éternellement. Est-ce vrai? Donc, Il est le même en puissance. Bien. Je vois une femme avancée en âge. C’est vrai. Cette femme est votre mère, et elle souffre de quelque chose, on dirait une–une maladie de vésicule biliaire, et elle est estropiée; c’est votre mère, et vous la représentez ici. Vous voudrez placer ce mouchoir sur elle. C’est vrai. Je ne suis pas en train de lire votre pensée. Je dis seulement ce que je vois. Vous en êtes le juge, si c’est vrai ou pas. Vous... Est-ce vrai? Bien. Alors, puisque vous croyez ce que vous avez dit et puisque vous êtes sincère, que vous croyez que je suis le serviteur de Dieu, je vais vous dire autre chose que vous désirez. C’est pour quelqu’un d’autre aussi: un frère toxicomane, c’est vrai. Croyez-vous maintenant? Il se tient ici, Celui qui vous connaît, qui vous a nourrie. Maintenant, ça devient clair autour de vous. Si seulement vous croyez cela, vous pourrez le recevoir. Laissez-moi prendre votre mouchoir. Ô Dieu, accorde-le, je prie. Qu’il en soit ainsi au Nom de Jésus-Christ. Ne doutez donc pas. Retournez en croyant et recevez ce que vous avez demandé.

100      Grâces soient rendues à Dieu qui nous donne la victoire par notre Seigneur Jésus-Christ. Amen. Jésus a dit: «Si tu peux croire, tout est possible.» C’est vrai, n’est-ce pas? Mais il vous faut croire. Personne ne peut rien recevoir sans la foi.

            Monsieur, imposez-lui la main, ne pleurez pas; ayez foi. Croyez-vous que Dieu peut vous guérir de la crise cardiaque? Croyez-vous? Vous voulez qu’Il vous en guérisse, n’est-ce pas? Si c’est vrai, levez la main. Je ne vous ai jamais vu de ma vie, mais vous souffrez de coeur. La dame assise à côté de vous veut être guérie de la nervosité, n’est-ce pas, madame? Est-ce vrai. Levez la main. Voyez-vous?

101      Que pensez-vous, jeune homme assis là en train de me regarder? Croyez-vous? Vous voulez vous débarrasser d’une habitude, n’est-ce pas? C’est la cigarette, n’est-ce pas? Croyez-vous que je suis Son prophète? Il y a aussi une relation entre vous et ce garçon dans le fauteuil roulant. Vous êtes des amis. C’est vrai. Vous vous connaissez. Je ne peux pas vous guérir, fils. Cela m’est impossible. Je ne peux pas non plus les guérir. Mais vous vous êtes fracturé. Vous vous êtes fracturé la colonne vertébrale lors d’une construction, cela vous a paralysé au niveau de votre colonne vertébrale. C’est vrai, n’est-ce pas? Je vous vois vous fracturer, mais je ne peux pas vous guérir; croyez simplement, cela disparaîtra bien. Prenez votre fauteuil roulant, repoussez cela et rentrez chez vous, si vous croyez cela, si vous croyez cela. Croyez-vous? Ayez foi en Dieu.

102      Croyez-vous, madame, juste à côté de lui? Vous souffrez aussi de coeur. Croyez-vous que Dieu vous guérira? Que pensez-vous, madame? Croyez-vous que Dieu vous guérira du phlebite? Vous rétablir? Croyez-vous que cet enfant assis là, souffrant de l’épilepsie, pourra aussi être guéri? Imposez-lui la main. Et vous autres, croyez-vous? Imposez-vous les mains les uns aux autres. Ô Dieu, Toi qui as ressuscité Jésus d’entre les morts, je Te prie, au Nom de Jésus-Christ, de réprimander chaque démon ici. Sors, Satan, et que le Royaume de Dieu soit béni...?...

Up