L’Amour

Date: 57-0519E | La durée est de: 2 heures et 4 minutes | La traduction: Shp
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1          Transmettez-lui mes salutations, allez-vous le faire? Nous terminons demain soir et il me faudra conduire sur une centaine de kilomètres pour aller dans une autre ville alors, et–et je ne pourrais pas avoir l’occasion d’atteindre Moosejaw pour le voir. Mais si vous savez là où est l’église, saluez-le, s’il y en a parmi vous ici qui viennent de Moosejaw.

            Que des fois nous avons traversé cette ville-ci, et je le voyais pleurer. On était assis là, dans ce grand hôtel, là au bord de la rivière, là-bas avec lui, il posait sa grosse tête sur mon épaule et pleurait, disant: «Billy, que des fois j’ai vu... Je vois quand j’étais un petit garçon aux cheveux roux, parcourant ces rues, transportant des journaux.» Ern en a vu de toutes les couleurs et c’est un très bon gentleman chrétien.

2          Si quelqu’un connaît mon vieil ami frère Dawson, là vers Moosejaw, là, transmettez-lui aussi mes salutations. J’espérais qu’il viendrait aux réunions, mais je suppose qu’il n’est pas venu. J’aimerais le voir.

            Mon fils venait de me dire qu’on avait prélevé une offrande d’amour pour moi il y a quelques instants. Eh bien, on n’avait vraiment pas à le faire. Mais je sais que certains parmi vous ont donné une petite portion de leur subsistance. Et j’apprécie cela. Et, frère, soeur, au mieux de ma connaissance, j’en dépenserai chaque sou, autant que possible, pour la gloire de Dieu.

            Eh bien, je suis... J’envoie des milliers de mouchoirs par semaine à travers le monde. J’ai un bureau avec trois ou quatre agents qui y travaillent, en permanence, une sténographe et autres, comme ils sont très bien payés ! J’ai une femme et trois enfants. Je–je–je prêche tout le temps, ainsi je... C’est ainsi qu’il me faut vivre de cela. Je vais certainement vous promettre que cela ne sera pas dépensé pour le tabac, le whisky, pour une vie déréglée. Ça sera, au mieux de ma connaissance, pour la gloire de Dieu, car je sais que c’est une partie de votre subsistance.

3          Je suis désolé, je n’ai jamais prélevé une offrande de ma vie. J’ai prêché dans l’Eglise baptiste pendant douze ans et je n’avais jamais prélevé une offrande. Un soir, j’étais à court, comme cela arrive à tous les hommes. Beaucoup parmi vous savent quand on en arrive à ce point-là, on ne peut pas nouer–nouer les deux bouts. Eh bien, n’est-ce pas? Soyez sincères, assurément, vous êtes bien comme moi. Nous sommes donc tous de pauvres gens, comme nous disons là dans le Sud.

            Je n’arrivais donc pas à nouer les deux bouts. J’ai dit à ma femme: «Je vais aller prélever une offrande là.»

            Elle a dit: «Je vais y aller te voir le faire.»

            Nous n’avions même pas un plateau d’offrande. Eh bien, ce n’est pas que les gens ne l’auraient pas fait, oh ! ces bien-aimés auraient donné tout ce que... Tout ce qu’ils avaient pour... à moi. Mais je–je ne voulais pas le faire. Je pouvais travailler. Et j’étais garde-chasse, et je–j’ai travaillé et je n’avais jamais fait... J’ai fait sept ans dans la police de garde-chasse sans jamais arrêter une seule personne. Je croyais que je pouvais leur parler et faire d’eux de meilleurs conservateurs de la nature plutôt que de leur infliger des amendes et leur faire payer pour cela ; alors, on s’en prenait même à moi.

4          Ils ne m’ont point licencié ; seulement je ne recevais pas... le... je ratais des réunions, et ces évangélisations, c’est la raison pour laquelle j’avais arrêté. Et ils étaient très gentils envers moi. S’il m’arrivait d’attraper un homme, je m’asseyais et je lui parlais comme à un frère. Je disais: «Promettez-moi que vous ne ferez plus jamais cela.» Il promettait, et je le croyais aussi sur parole, c’était de loin mieux que de lui faire payer une amende.

            Alors, j’ai dit: «Ma femme, je vais là prélever une offrande.»

            Elle a dit: «J’aimerais t’observer.»

            Alors, j’ai dit: «Mes amis, ce soir, j’ai un–un petit besoin. Je–j’ai besoin d’un peu d’argent seulement, à peu près cinq dollars. Je dois payer de petites factures, et je n’arrive pas à nouer les deux bouts. Je vais faire passer un chapeau et que certains d’entre vous, donnez donc une pièce de cinq cents ou deux, ai-je dit, cela va–cela va m’aider à m’en tirer. Je sais que cela ne vous dérangera pas.» J’ai dit: «Oncle Jim, voudriez-vous aller prendre mon chapeau?»

            Et il a dit: «Oui, Billy.»

5          Il est allé prendre le chapeau. Tout le monde... Cette petite vieille femme assise là, elle priait pour moi tout le temps, c’était une vieille petite femme pieuse. Est-ce que vous–vous donc, certaines parmi vous les femmes, vous vous rappelez donc quand les femmes avaient l’habitude de porter des tabliers, ces longs tabliers à carreaux, avec une poche à l’intérieur? Eh bien, c’est ce genre de tablier qu’elle portait. Et elle a mis la main dans la poche intérieure, et je l’observais. Elle a fait sortir l’un de ces petits portemonnaies, avec un bouton pressoir dessus. Elle allait y plonger la main pour prendre ces pièces de cinq cents ; je ne pouvais plus supporter cela. J’ai dit: «Je vous taquinais tous simplement. Je n’en avais pas l’intention, là.» Oncle Jim tenait mon chapeau, et il–il ne savait que faire. J’ai dit: «Oh ! Oncle Jim, raccrochez mon chapeau. Je vous taquinais simplement. Je n’en avais pas l’intention.»

            Vous savez, il y avait un vieux qui venait chez moi, il venait de Benton Harbor, il portait une longue barbe, de longs cheveux ; son nom était John Ryan. Il a laissé une vieille bicyclette là et il me l’a donnée. Alors, je suis allé dans un bazar me procurer une boîte de peinture, et je l’ai peinte, et j’ai vendu la bicyclette à cinq dollars. Je n’avais plus eu à prélever l’offrande après tout. Mais c’est aussi près que j’étais donc arrivé pour en prélever une.

6          L’argent a donc été une très... une chose dont j’ai cherché de me garder. La raison pour laquelle je ne pouvais pas faire cela, laisser mon ministère, je vais là dans de très grands champs. En effet, il vous faut solliciter beaucoup pour l’argent. Je n’aime pas ça. Je préférerais être juste comme ceci.

            Merci donc, mes amis. Que Dieu bénisse chacun de vous. Et je suis sûr que Dieu vous récompensera. J’espère qu’Il le fera.

            Maintenant, juste avant d’ouvrir la Parole, là, inclinons la tête pour nous... parler à l’Auteur juste un instant.

7          Maintenant, Bien-Aimé Jésus, nous allons tourner les pages de cette Sainte Parole bénie. Ne voudras-Tu pas nous parler juste un petit instant pour nous encourager à avoir la foi pour le service de prière pour les malades que nous allons essayer de tenir ce soir, en Ton Saint et Béni Nom.

            Sans doute qu’il y a beaucoup d’églises ici à Saskatchewan qui ont congédié leur service ce soir afin que Tes bien-aimés enfants qui regagnent leur domicile puissent venir à la réunion pour qu’on prie pour eux. Nous Te remercions pour ces vaillants soldats. Il y en a beaucoup qui n’ont pas, peut-être, reçu le message à temps pour le congédier. Nous Te prions pour eux, ô Dieu, de leur accorder un grand service ce soir, partout, à travers toutes les provinces et à travers le monde, afin que beaucoup puissent trouver Christ ce soir.

            Et partout où on tient un service de guérison, nous Te prions d’étendre Ta main puissante des bénédictions sur ces réunions, de guérir chaque malade qui vient, Seigneur. Oins Tes serviteurs. Donne-leur les paroles à prononcer qui glorifieront bien–bien Christ et amèneront les gens à croire en Lui. Fais de même pour nous, Père, car nous nous attendons à Toi, alors que nous lisons Ta Parole. Nous le demandons, au Nom de Jésus-Christ. Amen.

8          Demain soir donc, à dix-neuf heures trente ou dix-neuf heures, les cartes de prière. Et nous terminons ces services, essayant avec ces deux autres soirées de prier pour chaque personne qui veut qu’on prie pour elle.

            Maintenant, par la grâce de Dieu, je vais juste parler un peu. Je ne souhaiterais pas prendre trop de temps, car j’ai déjà prêché cet après-midi. Et maintenant, je parle juste pendant un petit instant ce soir, simplement pour saisir l’atmosphère qui règne parmi les gens et la Présence du Saint-Esprit dans la réunion. Et ensuite, nous allons commencer à prier pour les malades.

            Maintenant, je vais lire ce soir dans les Ecritures un verset, très familier aux tout petits enfants ici qui ont déjà fréquenté l’école du dimanche, cela est appelé le–le texte d’or de la Bible ; Jean 3.16:

Car Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu’il ait la vie éternelle.

9          Vous dites: «Frère Branham, allez-vous lire un si court passage pour un grand service?» Vous voyez, ça ne change pas grand-chose, que cela soit petit, c’est ce que cela dit qui compte. C’est son contenu. Le contexte, c’est ce qui le rend très précieux. Il y a assez d’Ecritures pour convertir le monde entier à Dieu et à Christ ce soir. Si cela est reçu dans une bonne attitude mentale, ça le fera, ça amènera chaque pécheur sur ses genoux.

            Et la raison pour laquelle j’ai choisi ceci ce soir, c’est que mon thème a toujours été l’Amour. Je pense que l’amour est la force la plus puissante que le monde a, car Dieu est Amour. Il n’y a pas de puissance plus... de force plus puissante que Dieu. Et l’amour est l’une des grandes choses dont je peux parler. Il est donc écrit en petits, petits caractères peut-être d’un pouce carré, cela pourrait plus que couvrir un sujet. Mais comme je l’ai dit, ce n’est pas la quantité qui compte, c’est la qualité.

10        Il y a quelque temps, je lisais qu’un petit garçon était monté dans une vieille mansarde (grenier), il fouillait çà et là, là-haut, dans certains vieux vestiges. Et il est tombé sur un petit timbre de poste, peut-être d’un demi-pouce carré. Eh bien, le petit enfant s’est dit que cela devait avoir une certaine valeur. Alors, il a couru dans la rue vers un homme qu’il connaissait être un philatéliste.

            Il a dit: «Combien me donnerez-vous pour ce timbre?» Il a dit: «Il paraît un vieux timbre.»

            Et l’homme a dit: «Eh bien, je n’en connais pas la valeur, fiston, mais je te donnerai un dollar pour cela.»

            Il a dit: «D’accord. Je vais te le vendre.»

            Il l’a donc acheté à un dollar. Quelques semaines plus tard, il l’a revendu à cinquante dollars. Quelques semaines après cela, il a été vendu à cinq cents dollars. Et dernièrement, j’ai appris que ce timbre-là valait le quart d’un million.

11        Or, ce n’est pas la taille, ni non plus le papier. C’est ce qui est dessus qui compte. Ce texte, ce n’est pas sa petite taille, c’est le message qu’il adresse aux gens qui compte. C’est la Parole de Dieu, sur le pardon et la grâce à la race mourante d’Adam. C’est une lettre d’amour que Dieu a adressée à chaque homme et à chaque femme déchus de la race d’Adam.

            Or, c’est un pardon pour ceux qui recevront cela comme un pardon. Mais si vous ne voulez pas recevoir cela, ça ne représente rien pour vous. Il y a eu un procès en justice, il y a quelques années, aux Etats-Unis, d’un homme qui avait commis un crime. Et c’était une–une infraction militaire. Il allait être fusillé au lever du soleil. Un ami à lui a imploré les autorités jusqu’à les convaincre de... que cet homme soit gracié et qu’il lui soit accordé une autre chance. Et quand la grâce fut rédigée et envoyée à cet homme qui était en prison, ce fut juste quelques lignes de la part du gouverneur, ou d’une autorité, disant: «Cet homme est gracié.» Et il a juste écrit son nom. «Gracié. Untel.»

12        Et quand cela fut remis à l’homme, il refusa de l’accepter. Il dit: «Il n’y a pas assez d’écrits dessus pour me gracier.» Et il rejeta cela. Et le lendemain matin, l’homme fut fusillé au lever du soleil. Alors, quand cette grâce fut officiellement renvoyée au gouvernement, il y avait donc là un homme qui avait été gracié par le gouverneur, et cet homme qui avait été gracié était fusillé. Eh bien, qu’en est-il? Et on a eu un procès à ce sujet devant les tribunaux fédéraux. Et le jugement fut rendu par le juge fédéral, qu’une grâce n’est grâce que si elle est acceptée comme grâce. Jean 3.16 est un pardon si vous l’acceptez comme un pardon. Jacques 5.14 est un remède divin contre votre maladie si vous acceptez cela comme un remède de Dieu. Jean 3.16 est un pardon pour votre péché. Mais si vous ne l’acceptez pas, alors cela retourne auprès de Dieu et ce n’est pas un pardon pour vous. Si vous ne pouvez pas accepter votre guérison, alors ce n’est pas la guérison pour vous.

13        Quelqu’un m’a dit il n’y a pas longtemps, il a dit: «Monsieur Branham, peu m’importe combien d’yeux aveugles peuvent s’ouvrir, combien de sourds voient, a-t-il dit, je ne crois pas que c’est vrai.»

            J’ai dit: «Cela n’était pas écrit pour vous. La promesse de la guérison divine a été uniquement écrite pour les croyants et vous, vous êtes un incroyant. C’est uniquement pour ceux qui croient.» Le salut est pour ceux qui croient.

            Et quand Dieu a baissé le regard sur la race déchue d’Adam, Il a tellement aimé la race d’Adam, Il a vu sa condition, et cela l’a tellement contraint d’aimer. Et quand l’amour commence à se manifester, et quand l’amour divin est projeté et qu’il atteint le bout, la grâce souveraine projettera l’objet que cet amour divin réclame. C’est la raison pour laquelle Dieu a dû faire quelque chose au sujet de l’affaire du péché, car Il a tant aimé la race d’Adam, et Son amour divin a été projeté, la grâce souveraine a envoyé un Sauveur.

14        Et quand un homme est étendu, malade, affligé, et dans l’état où il est, l’amour de Dieu a dû produire quelque chose pour Lui. Dieu ne veut pas que vous soyez malade. Et quand quelqu’un vous enseigne que c’est la volonté de Dieu pour vous d’être malade, alors, si c’est la volonté de Dieu pour vous d’être malade, Jésus a défié chaque loi de Dieu en guérissant les malades qui Lui étaient amenés. Il a fait le contraire de ce que le Père Lui avait ordonné. Je ferais tout aussi bien d’aborder la question, c’est un manque de foi, c’est ça notre problème. «Tout est possible à ceux qui croient.» Et ceci est le pardon de Dieu.

            Maintenant, il y a quelque chose au sujet d’un homme qui est une partie de Dieu. Il est une race déchue. Il est un fils déchu. Et maintenant, et dans un sens du mot, un homme en soi est un créateur, un créateur en miniature. Eh bien, il ne peut pas en fait créer, car c’est Dieu qui le fait. Mais il peut prendre les choses que Dieu a déjà créées et le–le bois que Dieu a fait pousser, et construire une maison avec cela. Il peut prendre ce... l’acier que Dieu a créé et faire autre chose avec cela. Il peut prendre l’électricité que Dieu fait passer en l’air et éclairer le bâtiment avec cela. Ça, c’est un homme.

15        Maintenant, j’aimerais vous poser une question. Rabattons nos cols juste une minute. Avez-vous déjà vu une personne qui soit une bonne personne? Vous pensez que c’est une brave personne, mais il y a juste quelque chose chez cette personne qui fait que vous n’aimez pas vous retrouver à ses côtés? Certainement. Et aussi, vous en avez vu d’autres auprès de qui vous aimez bien vous retrouver. Qu’est-ce? C’est cette puissance créatrice qui est sur des gens qui crée une atmosphère là où ils sont. S’ils sont pleins d’amour, pas de semblant d’amour, mais le vrai amour, vous pouvez sentir cela. Vous savez qu’ils sont chrétiens. Ils vous serrent la main, disant: «Je suis votre ami, John.» Vous pouvez ressentir cela.

            Vous pourrez ne pas être d’accord avec moi. Mais je pense à mon ami Paul Rader. Eh bien, je crois dans la religion qui touche le coeur.

16        J’ai vu ce soir que nous avons des amis de couleur parmi nous. Et un homme de couleur disait une fois là dans le sud, son patron disait: «La religion qui touche le coeur, ça n’existe pas.»

            Il a dit: «Patron, une seule chose vous a fait défaut, c’est dire: ‘A ma connaissance, la religion qui touche le coeur, ça n’existe pas .’»

            Il était mieux avisé. Et je crois dans la religion qui touche le coeur. Je crois qu’on sent cela, que Dieu vous donne quelque chose au-dedans de vous, qui vous change. Cela change l’atmosphère autour de vous. J’ai expérimenté cela. Je sais que c’est la vérité, que l’homme crée lui-même l’atmosphère dans laquelle il vit. Et il est oint d’un esprit qui l’entoure.

            J’ai vu des gens dont on ne pouvait pas se détacher, tellement on les aimait. Ils ont quelque chose d’attrayant. C’est qu’ils vivent dans cette atmosphère-là, ils vivent sous la–la puissance du Saint-Esprit.

17        Ma pauvre vieille mère, une mi-Indienne, me disait ceci: «Ceux qui se ressemblent s’assemblent.» Et c’est vrai. Vous ne voyez pas les corbeaux et les colombes communier ensemble, parce qu’ils sont des espèces différentes. Ils ne se ressemblent pas, leurs régimes alimentaires ne sont pas identiques. Un corbeau peut se poser sur une charogne et s’en nourrir toute la journée. Mais la colombe ne peut pas se nourrir de la charogne, parce qu’elle n’a pas de bile. Si elle se remplissait la bile de cette charogne, là, cela la tuerait. Elle n’a pas de bile pour digérer cela. C’est un oiseau différent. Par conséquent, elle ne s’associe pas au corbeau.

            C’est pareil quand un homme est né de nouveau. Il se passe en lui quelque chose qui fait qu’il en a marre du monde. Et il y a un esprit pieux autour de lui.

            Mais ma vie, ça a été de m’occuper des choses spirituelles, comme vous le comprenez au cours des réunions. Vous vous approchez des fois des gens qui essaient d’imiter quelque chose. «Oh ! Frère Branham, j’ai assurément foi en vous.» Et vous savez qu’il ment. Voyez? Il y a là un esprit qui parle de loin plus fort que ses lèvres. C’est l’atmosphère.

18        Et si vous apprenez à aimer et à être bienveillant envers tout le monde et à être gentil, avoir patience, cela changera même votre vie au foyer. Cela changera vos associés. Dieu vous honorera. Eh bien, j’ai expérimenté cela.

            Il y a quelque temps chez moi, vous pouvez vous imaginer quel genre d’agitation il y a tout le temps. Vous pensez donc: «Eh bien, les gens, disons, comme ici, cette petite ville.» Que dire des gens qui viennent de partout dans le monde? Voyez? Et ils affluent par avion, ils arrivent, ils appellent, tout le temps. Des hôtels, des motels, c’est plein de gens ; ils pleurent, ils implorent. Vous ne pouvez pas avoir une minute de repos.

            Un jour, notre maison était complètement sens dessus dessous, toute la journée durant. Le sous-sol était plein, chaque pièce était pleine, le bureau, plein. Et quand il commençait à faire sombre, je les ai un peu calmés, tout le monde était parti, je pensais. Alors, je suis entré dans la cuisine. Là était ma pauvre petite femme, à trente-sept ans, sa tête complètement grisonnante, elle avait les mains levées, en train de pleurer.

            Elle a dit: «Billy, je suis bien sur le point de perdre la tête.» Elle a dit: «Ces enfants n’ont rien eu à mettre sous la dent toute la journée durant.»

19        On avait eu des gens nerveux là, et des maladies mentales et d’autres parmi eux parcouraient la pièce, me disant que le Seigneur allait me frapper de mort si je n’allais pas à telle ville ; en effet, c’est ce qu’ils disaient. Et c’est le genre... Vous devez coordonner tout cela.

            Un autre dans une autre pièce disait: «Oh ! Il ne sait pas de quoi il parle. J’ai l’AINSI DIT LE SEIGNEUR.»

            Si le Seigneur voulait que je sache quelque chose, Il me le dirait. Il n’a pas peur de me parler. Et puis... Mais il vous faut supporter cela parfois. Alors, elle a dit: «Je ne sais que faire.»

            Eh bien, regardez. Sara et Becky étaient assises là par terre, se disputant de petits cubes, de tout petits cubes, Sara criait à tue-tête: «Papa, Sara... Becky a pris mes cubes. Papa, elle a pris mon porte-monnaie il y a quelque temps.» Très bien. Joseph était assis par terre, frappant de toutes ses forces sur quelque chose, un petit garçon, criant à tue-tête. Eh bien, vous parlez d’une demeure, d’une douce demeure.

20        Eh bien, j’ai regardé tout autour. Je me suis dit: «Eh bien, il y a juste une seule chose à faire. Nous devons changer cette situation.» Eh bien, ces gens avaient passé toute la journée là. Beaucoup, et toute la nuit, ça dérange effectivement les enfants. Mais j’aimerais rester avec eux un petit moment. Alors, je me suis dit: «Seigneur, aide-moi maintenant (dans mon coeur), et laisse-moi...»

            Je me détends simplement pour vous parler du fond de mon coeur ce soir donc de certaines des choses qu’on n’a pas à dire à tout le monde. Alors, j’ai dit: «Seigneur, viens-moi en aide maintenant, pour avoir sur moi le Saint-Esprit de telle manière que Cela changera cette situation.» Je priais donc en moi-même, j’ai fait passer mon bras autour de ma petite femme, et j’ai dit: «Oh ! Chérie, je suis vraiment désolé pour toi.»

            Elle a dit: «Billy, je–je ne pense pas que je puisse tenir davantage le coup.» Elle a dit: «Oh ! Je vais simplement éclater en pièces. Regarde donc cette maison.»

            J’ai dit: «Oui, c’est vrai, chérie. C’est tout à fait vrai.» Et j’ai fait passer ma main autour, vous savez. J’ai dit: «Je le sais, chérie.» Et je me suis dit: «Seigneur, calme-la.» Et j’ai dit: «Eh bien, c’est vrai. Mais, tu sais, chérie, l’autre jour, quand j’étais à Louisville, j’ai vu l’une de ces petites jolies, une...» C’est quoi ces histoires que les femmes portent, vous savez, c’est une petite, comme une petite jupe là le... Comment appelez-vous cela? Quoi? [Quelqu’un dit: «Blouse.»–N.D.E.] Blou-... blouse. Et j’ai dit: «Je–j’ai vu l’une des plus jolies à un endroit. Voyons. Où était-ce?»

21        Elle a dit: «Mais, Billy, on n’a pas le temps de parler des blouses.» Je gardais ma main sur elle. «Eh bien, chérie, je t’assure, tu n’as jamais vu une blouse aussi jolie.»

            Elle a dit: «Eh bien...»

            J’ai dit: «Regarde. Je vais te dire ce que nous allons faire. Apprêtons très vite le souper, et alors, je t’amènerai pour te montrer cela. Je vais te l’acheter.»

            «Oh ! a-t-elle dit, c’est gentil de ta part, Billy, mais, oh ! je–je ne peux pas voir une blouse ce soir. Oh ! Regarde-moi seulement.»

            J’ai dit: «Mais, regarde, chérie. Oh ! Si jamais tu voyais cela, je pense que tu–tu–tu aimerais l’acheter.» «Seigneur, calme-la.» Voyez? Tout en maintenant ma main sur elle. Et j’ai dit: «Je vais te dire quoi. Fais-moi porter ton tablier ; et laisse-moi t’aider à apprêter le souper.»

22        Et alors, j’ai porté ce tablier, vous savez, et je me suis mis à découper les carottes et tout, vous savez, et allant de l’avant. Et de temps en temps, j’avais...?... son... elle a commencé à arrêter de pleurer. Je me suis dit: «Merci, Seigneur.» Et j’ai dit: «Ô chérie, le Seigneur est merveilleux, n’est-ce pas? Il est vraiment très bon.» Voyez? Je continuais à lui parler, changeant cette atmosphère-là, ayant ma main sur elle.

            Aussitôt que je l’avais calmée, peu après, elle était toute souriante, elle a dit: «Eh bien, Billy, est-ce–est-ce–est-ce que tu penses que les magasins sont ouverts?»

            J’ai dit: «Je suis très sûr qu’ils le seront.» Et j’ai dit: «Je–je–je pense qu’ils le seront.» Je me disais: «Merci, Seigneur, ça marche.» J’ai donc continué et tout d’un coup, vous savez, Sara et Becky s’étaient partagé leurs cubes à jouer, et Joseph s’était trouvé un petit crotale ; il y eut paix dans la demeure. Voyez?

23        Eh bien, c’est tout ce qu’il vous faut faire, changer la situation. Si cela peut se faire à la maison, cela peut se faire dans une église ; cela peut se faire dans une nation, cela peut se faire dans le monde entier. C’est l’atmosphère qui compte.

            Le moyen naturel de faire éclore l’oeuf, c’est de le placer sous une poule, car elle le réchauffe. Mais placez-le sous le même genre de chaleur, cela le fera éclore de toute façon. C’est l’atmosphère qui compte. C’est vrai.

            C’est donc l’atmosphère. Et vous créez cette atmosphère-là avec ce qui est en vous.

24        Développons un peu plus. Combien ont déjà lu mon livre? Je pense qu’il a été écrit par Gordon Lindsay, c’est intitulé: Un Homme envoyé de Dieu. Beaucoup parmi vous. Avez-vous déjà lu ce cas-là, quand j’étais à Portland, en Oregon, et qu’un fou avait couru à l’estrade ce soir-là pour me tuer? Avez-vous lu cela? Il y a environ un tiers parmi vous. Je vais donc vous raconter l’histoire. Quelque chose se passe. J’aurais voulu que cela arrive toujours. Mais ce n’est pas le cas.

            Je prêchais, il y avait six mille personnes à l’intérieur, et je ne sais combien étaient dehors, il pleuvait averse. Oral Roberts, personne d’autre n’était encore entré en scène à l’époque. Et j’étais... Les réunions avaient de l’éclat, certainement. Et pendant que je parlais, disant que la foi est une ferme assurance des choses qu’on espère, une démonstration de celles qu’on ne voit pas, il y avait à peu près quelques centaines de prédicateurs assis derrière moi. Et tout d’un coup, un homme très grand traversait la salle, costaud, d’environ six pieds [1,82 m] deux... pesant environ deux cents quarante [80 kg], deux cents cinquante [100 kg], en costume gris, marchant comme ceci, vraiment très vite. Je me suis dit qu’il devait apporter un message pour quelqu’un.

25        Et quand il s’est approché de l’estrade, tous ces prédicateurs ont réalisé qui il était, ils ont fui à toute vitesse. C’était un fou qui avait échappé d’une institution psychiatrique. Alors, il a couru à l’estrade. Il s’est mis à se diriger vers moi. Et il a dit... Je pesais cent vingt-huit livres [58 kg] à l’époque. Et il a dit: «Toi serpent dans l’herbe, toi hypocrite, tu te fais passer ici pour un serviteur de Dieu. Je vais te briser chaque os du corps ce soir. Et je montrerai à ces gens que tu n’es qu’un gros menteur.»

            Je me suis retourné et je l’ai regardé. Normalement, j’aurais eu peur à mort. Mais au lieu de cela, il s’est passé quelque chose. Oh ! J’aurais bien voulu que cela arrive toujours. Au lieu de mépriser cet homme-là, je l’ai aimé. Quelque Chose a dû faire cela. J’ai imploré Dieu de me laisser entrer dans cet état et y rester pour toujours.

26        Mais j’ai aimé l’homme. Je me suis dit: «Pauvre homme. Il n’aimerait pas me faire du mal. Il a perdu la tête. Eh bien, probablement qu’il a une famille quelque part.» Et alors qu’il s’avançait vers moi... Juste avant d’entrer dans la réunion, j’avais conduit deux jeunes policiers à Christ derrière, dans le vestiaire. Ils se sont précipités pour le saisir. Eh bien, demandez à la police. Beaucoup de gens ont appelé. C’est authentique. Il nous faut l’être avant que cela soit publié dans le magazine.

            Alors, il... la police s’est précipitée pour l’attraper. J’ai dit: «Non, ne le faites pas. Laissez-le tranquille. C’est une chai-... ce n’est pas une affaire de chair et de sang ; c’est une affaire spirituelle.» Ils ont simplement ramassé leurs chapeaux et ils ont reculé. Cet homme s’est avancé vers moi, il a dit: «Ce soir, je vais te casser chaque os du corps.» Je devais lever les yeux pour le voir. Je me suis dit: «Pauvre homme !» Je n’avais point dit un mot. Il a fait... [Frère Branham produit le bruit de quelqu’un qui crache.–N.D.E.] Il m’a craché en plein visage ; cela m’a couvert. Je me suis dit: «Pauvre homme ! Il ne veut pas faire cela. Il a perdu la tête.»

27        Et il a dit: «Ce soir, je vais te projeter en plein dans cette assistance-là.» Il en était capable. Il avait de très gros bras. Et je n’avais point dit un mot. J’étais mieux avisé que cela pour dire quoi que ce soit. Je suis simplement resté tranquille. Et l’assistance était très calme. Je l’ai simplement regardé. Il s’est avancé vers moi, il a tiré son très gros bras en arrière, il allait le soulever vers l’arrière, et je me suis entendu lui parler. Et Cela a dit: «Parce que tu as défié l’Esprit de Dieu, ce soir, tu tomberas sur mes pieds.»

            Il a dit: «Tomber sur tes pieds? Toi vil hypocrite.» Il a dit: «Je vais te montrer sur les pieds de qui je vais tomber.» Alors, il a tiré son gros poing en arrière pour me frapper.

            J’ai dit: «Satan, sors de cet homme.»

            Alors, il a levé les mains en l’air, ça l’a paralysé. Il a fait: «Ah ! Ah !» Il a tournoyé à deux ou trois reprises et il est tombé sur mes pieds, au point qu’il a fallu que les policiers le roulent loin de mes pieds. Qu’était-ce? La force? C’était l’amour qui avait fait cela.

28        L’été dernier, là au Mexique, où quelque vingt mille étaient venus à Christ en une seule nuit, j’étais à une estrade qui était plusieurs fois plus large que celle-ci, et des gens arrivaient à neuf heures du matin pour rester debout là dans une arène des taureaux, attendant jusqu’à vingt heures le soir, que j’arrive là. Il n’y avait pas de place où s’asseoir, ils s’appuyaient simplement les uns contre les autres. Ils tenaient à aller à l’église.

            Et quand nous sommes entrés cette nuit-là, la veille, le Seigneur avait accompli plusieurs miracles. Il y avait un petit enfant qui était... qui avait été amené. Et Billy Paul avec environ trente huissiers, ils n’arrivaient pas à retenir cette petite femme hors de la ligne, avec cet enfant-là. Elle affirmait qu’il était mort cet après-midi-là. Et cela sera donc publié bientôt, car c’est authentique. Frère Espinosa a vérifié cela pour moi et il l’a confirmé. Cela devait être confirmé par le médecin et tout, sinon nous ne pouvons pas le publier.

29        Ainsi donc, la petite femme criait, et Billy est venu vers moi, il a dit: «Papa, tu vas devoir faire quelque chose. Cette femme-là n’a pas de carte de prière. Et j’ai donné des ordres à tous les huissiers de ne faire entrer personne dans la ligne de prière sans carte de prière.» Et il a dit: «Elle est là en bas ; elle a dépassé chaque huissier là en bas.» Juste une toute petite femme, elle montait par-dessus et tout, sous son bras, il y avait une couverture enroulée.

            J’ai dit à frère Moore, frère Jack Moore (Beaucoup parmi vous se souviennent de lui, il était ici avec moi auparavant), j’ai dit: «Frère Moore, descends prier pour le petit enfant, ou console-la d’une façon ou d’une autre, car il ne serait pas correct que je descende là si la femme n’a pas une carte de prière.

30        Quand je tournais le regard vers mon assistance, j’ai vu ce petit enfant-là devant moi. L’amour de cette mère-là, voyez-vous ce que cela a fait? Cela avait agi devant Dieu. Son amour pour l’enfant...

            Alors, j’ai dit: «Juste une minute, Frère Moore. Je vais descendre là.»

            Et je me suis avancé là, j’ai dit aux huissiers: «Laissez-la passer.»

            Et elle est venue, elle s’est prosternée. Elle a dit: «Padre.» (Ce qui veut dire père. C’est une catholique.)

            J’ai dit: «Levez-vous. Levez-vous.»

            Elle s’est levée. Elle a fait signe vers son enfant. Il pleuvait tout le temps. La petite couverture dont elle l’avait enveloppé était mouillée. Je n’avais jamais vu l’enfant. Mais j’ai simplement dit... J’ai mis ma main sur le petit enfant et j’ai dit: «Ô Dieu (C’était une petite couverture), Tu as montré en vision ce petit enfant mexicain. L’amour de cette mère T’a touché d’une façon ou d’une autre.» Et au moment où j’ai dit cela, le petit enfant a lâché un cri fort et s’est mis à crier à tue-tête. La femme s’est évanouie et tout. Ce petit enfant avait été ramené à la vie par Jéhovah Dieu, Qui avait ressenti l’amour de cette mère-là faire pression pour son enfant. Certainement.

31        La soirée suivante, pendant que les gens étaient en ligne, il y avait de vieilles couvertures, des manteaux au point qu’on les avait entassés pratiquement sur quatre pieds [1,2 m] de hauteur. Comment savaient-ils donc qui portait quoi? Je ne sais pas. Et quand ils montaient à l’estrade, il y eut un vieux Mexicain. Il était aveugle. Et quand il est monté là, il a pris ce petit chapelet et s’est mis à dire: «Je vous salue Marie, mère de Dieu.»

            Je l’ai pris par la main, j’ai dit: «Ça ne sert à rien, papa.» L’interprète, Espinosa, a interprété. Et il était aveugle. J’ai dit: «Je vais prier pour vous.»

            Et aussitôt que j’avais commencé à prier pour lui, j’ai regardé en bas, il était pieds nus. Ses vêtements étaient sales et poussiéreux ; son visage était ridé et ses joues avaient besoin d’être rasées. Les larmes lui coulaient sur ses vieilles joues ridées. Il avait les mains étendues comme ceci, criant: Padre, padre. J’ai regardé ses mains. Je lui ai tenu les mains et je les ai posées sur mon épaule, je l’ai regardé en face. Et d’une façon ou d’une autre, il vous faut sympathiser avec lui.

32        Je me suis dit: «Oh ! Que la vie a été cruelle pour ce vieil homme ! Peut-être qu’il n’a jamais porté une paire de chaussures dans sa vie.» Et j’ai placé mon pied à côté de ses pieds pour voir si mes souliers lui conviendraient. Cela ne lui convenait pas. J’ai placé mes épaules à côté des siennes pour voir si mon manteau lui irait. Et cela ne lui allait pas. Et je me suis dit: «Le voilà, peut-être que jamais de sa vie il ne s’est assis pour prendre un bon repas. Et jamais de sa vie il n’avait porté un bon costume décent. Peut-être qu’il a élevé une ribambelle de petits enfants. Et à part tout cela, le voici maintenant dans de grosses ténèbres, aveugle, titubant çà et là.»

            Je me suis dit que si mon propre papa avait vécu, il aurait probablement cet âge-là. Quelque chose arriva ; mon coeur sympathisa avec lui. Vous y êtes. Vous devez entrer en communion avec ces gens.

            Alors, je l’ai pris, je l’ai entouré de mes bras et j’ai dit: «Père céleste, je T’en supplie, sois miséricordieux envers ce pauvre homme aveugle.»

            Il s’est mis à crier: «Gloria a Dios ! Gloria a Dios !» (Ce qui veut dire: «Gloire à Dieu.») Je l’ai lâché, il est descendu de l’estrade en courant, embrassant tout le monde. Il pouvait voir aussi bien que moi, ou que vous. Qu’était-ce? C’était entrer dans la communion divine avec ses souffrances.

33        Je ne sais comment vous allez recevoir cela. Maintenant, je vais simplement vous ouvrir juste un peu plus, une partie de ma vie intérieure.

            Il y a quelque temps, quand j’étais dans le service de garde-chasse, près d’Henryville, dans l’Indiana, un ami habitait là, et je... Il était malade. Et je relâchais des poissons dans une rivière. Alors, je me suis dit que j’irais là prier pour cet homme. J’avais donc un drôle de petit revolver qu’on devait porter comme garde-chasse. Je l’ai défait, et je l’ai jeté dans la camionnette, et j’ai fermé la portière. Alors, je me suis dit: «Je vais traverser le champ afin de prier pour mon ami.»

            Quand je traversais le champ, j’allais en fredonnant. J’avais oublié qu’il y avait dans la ferme de Burke un très gros taureau Guernsey, il avait tué un homme de couleur là-bas. Il était un concierge. C’était un bon animal. On ne voulait pas le tuer, alors, on l’a vendu là à cet homme. Je savais qu’il y avait des avertissements là tout autour du champ, mais j’avais oublié cela. Je me suis retrouvé en plein milieu du champ, où il n’y avait qu’un petit chêne rabougri (Je ne pense pas que vous en ayez ici dans cette contrée). Et alors que je passais à côté de cela, tout d’un coup ce gros taureau tueur s’est levé. Il a reniflé. Et j’ai reconnu que c’était là le taureau.

34        Je me suis d’abord retourné ; j’ai cherché à tâtons mon fusil. Il n’était pas là. Je suis content qu’il n’ait pas été là. J’aurais probablement tué ce taureau, et puis on aurait payé pour ça. J’ai cherché à tâtons le revolver ; il n’y était pas. J’ai regardé le mur de clôture, c’était trop éloigné de moi. Il n’y avait pas d’arbres autour de moi où monter. Il n’y avait que la mort à affronter.

            J’ai dit: «Eh bien, Seigneur, si c’est le temps pour moi de mourir, j’aimerais affronter cela en homme.» J’ai baissé mes épaules. J’ai dit: «Si c’est cela, si je dois mourir par ce taureau, alors je dois mourir.» Alors, il s’est passé quelque chose. Je sais que ceci a l’air puéril, mais c’est la vérité. D’une façon ou d’une autre, au lieu de mépriser cette bête-là, j’ai éprouvé de l’amour pour lui.

            Et alors, je me suis dit: «Cette pauvre bête était couchée là dans le champ. J’ai foulé son territoire. Je l’ai dérangée. Elle ne sait pas plus que se protéger.» Alors, elle a baissé ses cornes, elle a soulevé la poussière, elle s’est rabattue sur ses genoux. Vous savez comment ils font juste avant de charger.

35        Alors, je me suis dit: «Cet animal-là... Oh ! Je suis vraiment désolé de t’avoir dérangé.» J’ai dit: «Je n’aimerais pas que tu me tues. Je suis serviteur de Dieu. Et je suis en route pour prier pour les malades. Et j’avais oublié ces écriteaux.» Je parlais juste comme je parle maintenant. Mais il y avait l’une ou l’autre chose qui était arrivée. Je n’avais pas peur de lui. Je n’avais pas peur de ce taureau-là, pas plus que j’en aurais de mon frère.

            C’est là qu’en est l’église. Vous avez toujours peur que cela n’arrive pas. C’est la raison pour laquelle ça n’arrive pas. Quand cette peur-là... L’amour bannit la crainte. Une fois que vous avez l’amour, la peur se dissipe. Mais tant que vous avez peur, l’amour ne peut pas opérer.

36        Et quand ce taureau a chargé pour venir vers moi, il s’est approché à environ dix pieds [3 m], il s’est arrêté et il a soulevé ses pattes de devant, et il a regardé, complètement épuisé alors qu’il regardait ici et là. Il s’est retourné, il est directement rentré se coucher là où il s’était levé. Alors, j’ai traversé le champ, j’ai quitté le pâturage. Il est resté couché là, me regardant. C’était l’amour qui avait ôté la crainte, et Dieu a deviné mes intentions.

            Eh bien, après que j’eus quitté le pâturage et que cela m’eut laissé, alors, j’ai vraiment tremblé comme une feuille. Mais pendant que j’étais en sa présence, la peur m’avait quitté.

37        Un jour, j’étais en train de tondre ma cour, avec une tondeuse. Je cherchais à tondre la pelouse de devant, j’effectuais quelques tours et quelqu’un arrivait pour qu’on prie pour lui. Je devais me précipiter, j’échangeais des habits et je priais pour lui. Eh bien, devant, l’herbe poussait avant que je puisse atteindre le derrière. Et c’était un après-midi chaud d’été. Gene, Léo et les autres, les jeunes gens ici étaient chez moi. J’avais enlevé ma chemise. Personne ne pouvait me voir là derrière au fond. Et je faisais passer cette tondeuse électrique. Et j’avais oublié que juste là au bout de la clôture, il y avait un gros nid de frelons accroché là.

            Et je faisais passer cette tondeuse très vite pour couper cela très vite, et je n’avais pas fait attention à cela. Et je... (Je ne suis pas très souvent à la maison.) Et j’ai cogné en plein dans ces frelons. On envisageait de les brûler, les chasser de là. J’ai cogné le nid des frelons. Eh bien, je ne portais pas de chemise, et en un instant, j’étais complètement couvert des frelons. Tout le monde sait qu’une seule piqure peut vous tuer.

38        L’été dernier, un homme avait été piqué à la lèvre par une abeille, et cela avait causé une espèce de problème de sang, il est mort avant que le médecin puisse arriver là. Un frelon peut vous terrasser à plate couture en vous piquant. Et là, il y en avait toute une ruche sur moi. Mais alors, au lieu d’avoir peur... Je ne sais pas ce que vous allez penser de moi après ceci. Cela importe peu, car je dis la vérité. Vous aurez à répondre auprès de Dieu de ce que vous en pensez.

            Je frappe... Ces frelons tout autour de moi, et au lieu de chercher à les combattre, il s’est passé quelque chose. Je n’ai pas eu peur d’elles. Je les ai aimées. Je me suis dit: «Petites créatures de Dieu, piquer, c’est l’unique moyen pour vous de vous protéger. C’est l’arme que Dieu vous a donnée. Et je vous ai dérangées dans votre maison.» J’ai dit: «Eh bien, je dois prier pour les enfants de Dieu malades. Je suis serviteur du Seigneur. Maintenant, au Nom de notre Créateur, Jésus-Christ, retournez dans votre nid. Je ne vous dérangerai plus.»

            Et quand je vous rencontrerai à la barre du Jugement... Ces frelons m’ont contourné, formant un cercle, puis ils ont formé une ligne droite, et chacun d’eux est rentré droit à leur nid. Pourquoi? L’atmosphère avait été changée.

39        Vous avez dit: «Frère Branham, cela paraît insensé.» C’est la raison pour laquelle vous ne connaissez pas la Bible. Les lions n’avaient-ils pas poursuivi Daniel sans pouvoir le toucher? L’atmosphère avait été changée. Le feu avait-il pu brûler Schadrac, Méschac et Abed-Nego? L’atmosphère avait été changée. Et le Dieu de Daniel vit encore ce soir. Il est le même Dieu.

            Vous les hommes d’affaires chrétiens, là, dans votre propre Digest, l’histoire a été publiée. Gene, ici, et Léo, là, ils étaient assis sous la véranda. Je les appelle mes prédicateurs étudiants. L’un d’eux est un converti catholique. Je pense que l’autre a peut-être été méthodiste, ou quelque chose comme cela. Ils étaient venus à mes réunions à Hammond, dans l’Indiana, ils ont formé une petite équipe de FBI. Ils ne croyaient pas que ces choses étaient vraies. Il leur est arrivé d’arriver une fois chez moi à la maison pour voir si ces visions se produisaient là. Ce sont mes étudiants.

40        Ils étaient assis sous la véranda et je les enseignais un matin d’été, vers dix heures. Il m’est arrivé de voir un vieil opossum franchir le portail, venant d’environ deux pâtés de maisons, traversant la rue, vers un bois. Il n’y a que chez moi où il y a une clôture. Il avait dépassé trois maisons, il a franchi mon portail, il s’avançait là. Je suis sorti en courant, et j’ai dit: «Cet opossum a la rage.»

            Nous parlions d’une jeune fille de couleur qui avait donné naissance à un enfant illégitime, l’avait emballé dans une–une couverture et l’avait étouffé à mort ; elle avait demandé à un taxi de l’amener à la rivière, elle s’est arrêtée là et elle a simplement jeté le paquet dans la rivière. Et le taximan a rapporté cela, les policiers de la vie sont sortis (les gendarmes maritimes plutôt), ils ont ramassé ce paquet. C’était un enfant mort. Une très jolie jeune fille, sa photo a été publiée dans le journal.

            Et j’ai dit: «Elle n’était pas une mère. Elle ne méritait pas d’être appelée une mère. Les mères ont quelque chose de sacré. C’était juste une femelle qui avait eu un enfant. Une mère représente l’amour.»

41        De même, il y a beaucoup de femmes aujourd’hui qui enfantent des enfants, qui ne méritent pas de porter le titre de mère. Ainsi donc, elle a pris cet enfant, elle l’a jeté dans la rivière. Et quand j’ai vu cet opossum venir: «Cet opossum a la rage. Je suis vite sorti et je l’ai stoppé.» Monsieur Wood est... Il était témoin de Jéhovah. Son fils, il ne croyait pas non plus aux réunions. Il avait amené son fils dans une réunion, celui-ci avait une jambe estropiée, et le Seigneur a désigné ce garçon et sa jambe est parfaitement normale et redressée. Il est sauvé et rempli du Saint-Esprit. Sa femme est vétérinaire. Ils ont arrêté... Il était un entrepreneur, il a arrêté son activité et il a emménagé près de chez moi, depuis le Kentucky.

42        Et il avait ratissé dans ma cour là dehors. Je suis allé prendre ce râteau et je l’ai jeté sur le vieil opossum. Gene et Léo sont sortis avec moi. J’ai dit (On était vers dix heures de la journée, en cet été chaud.) et j’ai dit: «Le vieil opossum a la rage.» J’ai dit: «Je suppose...» En effet, un opossum ne se déplace pas la journée, s’il y a quelqu’un qui connaît la vie des animaux, l’opossum rôde la nuit. Et j’ai dit: «Le...» Je les ai chassés pendant des années. Et j’ai dit: «Ils ne se déplacent pas avant le coucher du soleil.» Alors, j’ai dit: «Il y a quelque chose qui cloche chez lui. Et quand il m’est arrivé de regarder, son épaule gauche avait été mâchonnée par des chiens, soit il avait été écrasé par un véhicule ; cela avait gonflé, dépassant de plusieurs fois sa taille. Et cela peut, on dirait, faire un peu mal au ventre là, mais des mouches voltigeaient sur lui et il y avait des asticots qui lui grouillaient là tout autour sur l’épaule.

            «Eh bien, ai-je dit, cette pauvre vieille créature se meurt. Et elle est simplement hors d’elle.» Et pendant que je la maintenais couchée avec le râteau, il m’est arrivé de constater, et neuf tout petits opossums, d’environ deux ou trois pouces [5 ou 7,6 cm] de long... un opossum et un kangourou, ce sont les seuls animaux à avoir des pochettes où ils transportent leurs petits.

43        Et pendant que je le maintenais avec ce râteau, il y mordait. C’est très inhabituel pour un opossum. En effet, ils... ce qu’on appelle faire l’opossum, c’est-à-dire rester simplement couché. Mais il y mordait et c’est la raison pour laquelle j’avais pensé qu’il avait la rage. Et quand j’ai vu ces neuf petits opossums, «oh ! ai-je dit, c’est une mère.» J’ai dit: «Gene, toi et Léo, venez ici. J’aimerais vous enseigner une meilleure leçon.» J’ai dit: «Cette vieille mère opossum, elle est de loin plus une mère que la femme qui a noyé son enfant.» J’ai dit: «Ce vieil animal, il n’a pas trente minutes à vivre. Il ne peut pas vivre comme cela. Il se meurt. Mais il passera ces trente minutes à se débattre pour ses petits. Car c’est une mère, une vraie mère. Elle les aime.»

44        Et alors, juste à ce moment-là, madame Wood s’est approchée, avec monsieur Wood. Ils nous ont vus dehors là dans la cour. Et madame Wood a dit: «Eh bien, que savez-vous, Frère Branham?» Elle a dit: «Ces tout petits opossums, a-t-elle dit, qu’allez-vous en faire?»

            J’ai dit: «Je ne sais pas.»

            Elle a dit: «Eh bien, tuez-la.»

            «Oh ! ai-je dit, je ne peux pas la tuer.»

            «Oh ! a-t-elle dit, tuez simplement la mère et prenez les petits, ils ont une bouche ronde.» Elle a dit: «Elles ne peuvent jamais allaiter. Prenez-les simplement, jetez-les par terre et tuez-les très vite et épargnez-leur la misère.» Elle est une vétérinaire, et c’était la chose la plus humaine à faire. Elle a dit: «Jetez-les simplement par terre et tuez-les très vite, et ça sera alors terminé.»

            J’ai dit: «Soeur Wood, je sais que vous avez raison, mais je ne peux simplement pas faire cela.»

            Elle a dit: «Eh bien, laissez Banks le faire.» (C’est son mari.)

            J’ai dit: «Non, je n’aimerais pas qu’il le fasse.»

            Léo et Gene, ici, ils m’ont regardé, ils ont pensé: «Que va-t-il faire?»

            «Eh bien, a-t-elle dit, pourquoi n’entrez-vous pas prendre l’un de vos fusils pour leur tirer dessus donc?» Elle a dit: «Vous êtes un chasseur. Pourquoi ne les tuez-vous pas?»

            J’ai dit: «Je suis un chasseur, mais je ne suis pas un tueur.» J’ai dit: «Je ne peux pas la tuer.»

            Elle a dit: «Eh bien, qu’allez-vous faire?»

            J’ai dit: «Je ne sais pas.»

45        Alors, je l’ai vue se brouiller pour ces petits. Et quand j’ai soulevé ce râteau-là, savez-vous ce qu’elle a fait? Tout en traînant cette jambe, elle est allée à toute vitesse, elle s’est affaissée devant mes marches et, là, elle s’est évanouie... Et ces petits opossums, quand elle s’est évanouie, cela... Evidemment, cela a fait relâcher cette corde-là et elle pouvait... Ils sont sortis de la poche, ces neuf petits opossums, cherchant à téter. C’est tout ce qu’ils savent faire.

            Et madame Wood a dit: «Billy, vous voulez dire que vous allez laisser ces petits opossums mourir de cette mort horrible.» Elle a dit: «Elle est morte. Et vous allez laisser ces petits opossums téter d’elle ce vieux lait, comme cela, et mourir de cette mort horrible?» Elle a dit: «Frère Branham, c’est méchant.»

            J’ai dit: «C’est peut-être cela, madame Wood, mais je ne suis pas de coeur à la tuer.»

            J’ai pris le vieil opossum et je l’ai poussé. C’est à peine qu’on pouvait percevoir qu’il était encore vivant. J’ai dit: «Il est encore vivant.»

46        Eh bien, il est resté couché là, sous ce soleil chaud. Quelqu’un est arrivé, Gene et Léo étaient partis. Toute la journée, le vieil opossum était resté couché là. Cette nuit-là, monsieur Wood est venu, il s’est avancé et a dit: «Eh bien, Billy, tu as été occupé toute la journée durant, on doit te faire sortir un peu, afin que tu puisses te détendre.»

            J’ai dit: «D’accord, Frère Wood.»

            Nous sommes sortis cette nuit-là, nous avons fait un tour, roulant sur la route, je me suis très vite arrêté. Un petit chiot était sur la route. J’ai ramassé le petit animal, il était tellement couvert de gales et des poux... qu’ils me parcouraient le bras. Je l’ai ramené dans le véhicule et... Meda a dit, ma femme, elle a dit: «Billy, tu ne vas pas ramasser ce drôle de petit chien galeux...»

            J’ai dit: «Bien sûr, ce n’est qu’un petit. Il a droit à la vie.»

            Elle a dit: «Que vas-tu en faire?»

            J’ai dit: «Eh bien, je vais l’amener à la maison. Quelqu’un l’a laissé tomber. C’est une honte.»

47        J’ai amené le chiot à la maison, je l’ai lavé, j’ai prié pour lui ; c’est un des chiots bergers écossais les plus jolis que vous ayez jamais vus. Voyez? Vous n’avez pas à faire cela, les tuer.

            Et quand nous sommes rentrés à vingt-trois heures, la vieille mère opossum était couchée là, recouverte de rosée, les petits–petits tétaient toujours.

            Monsieur Wood a dit: «Billy, regarde là. Tu sais bel et bien, mon gars, si jamais cet opossum va se déplacer, il bougera quand il fera nuit.»

            J’ai dit: «Je le sais, Frère Wood, mais je–je ne peux pas le tuer.»

48        Et alors, vers minuit, Billy Paul, mon fils (Il était allé à la pêche.), il est donc rentré, et le vieil opossum était toujours couché là. Le lendemain matin, vers six heures, je me suis réveillé, j’ai regardé dehors sur la grille pour voir s’il y avait quelqu’un là dehors. Il n’y avait personne là, alors je me suis dit: «Je pense que je vais sortir voir ce qu’il en est de mon opossum.» J’ai pensé à lui toute la nuit quand nous nous sommes réveillés. Je suis sorti et j’ai regardé. Il était couché là. J’ai dit: «Eh bien, je pense que la pauvre vieille créature est morte.» Alors, une fois dehors, j’ai pris mon pied, je lui ai donné des coups de pieds comme cela, et elle n’a pas bougé, ces petits opossums étaient toujours là.

            Et juste à ce moment-là, j’ai entendu la porte claquer et ma petite Rebecca, une petite fille très spirituelle (Elle a eu sa première vision tout récemment. Et je pense que l’Esprit de Dieu est sur l’enfant), elle est sortie et elle a dit: «Papa, est-ce que cet opossum-là est mort?»

            J’ai dit: «Je ne sais pas, chérie.»

            Elle a dit: «Papa, que vas-tu faire avec cette opossum-là?»

            J’ai dit: «Chérie, je ne sais pas.»

            Elle a dit: «Papa, c’est une vraie mère, n’est-ce pas?»

            J’ai dit: «Elle l’est assurément, chérie. Mais je...»

            Elle a dit: «Tu vas la laisser souffrir, papa?»

            J’ai dit: «Chérie, regarde. Tu ne devras pas t’être levée. Rentre vite dans la maison auprès de maman.» Et alors, j’ai essayé de la faire partir de la véranda. Je donnais des coups au vieil opossum, un tout petit peu. Je l’ai vu bouger un peu sa patte, et je me suis dit: «Eh bien, elle est encore couchée là, sans doute qu’elle souffre.»

49        Eh bien, je suis entré au bureau, sur le côté, et je me suis assis, j’ai un peu levé les mains comme ceci, et je me suis mis à me frotter la tête. Je me suis dit: «Je ne sais quoi faire avec cet opossum. Peut-être, peut-être... Je n’aimerais pas qu’on la tue, car c’est une mère, et je ne sais quoi faire à son sujet.»

            Je me frottais la tête comme ceci, Quelque Chose a dit: «Je pensais que tu avais prêché sur elle hier. Tu disais que c’était une vraie mère. Et tu as tiré un sujet sur elle.»

            J’ai dit: «Je–je l’ai fait certainement.»

            Il a dit: «Eh bien, en tant que mère qui se meurt, en tant qu’une vraie dame, elle est restée couchée à ta porte pendant vingt-quatre heures, attendant son tour pour qu’on prie pour elle.»

            J’ai dit: «Eh bien, je n’ai pas...» Je me suis dit: «Qu’est-ce qui se passe avec moi? Est-ce que je me parle?» Je me suis dit: «A qui est-ce que je parle? Eh bien, ai-je dit, ça doit être Dieu.»

50        Eh bien, j’ai ouvert la porte et je suis sorti. J’ai secoué la tête, et je me suis dit: «Eh bien, je parlais à Quelqu’Un, et Quelqu’Un me parlait, et il n’y a personne ici.»

51        Eh bien, vous pouvez vous imaginer quel sentiment a été éprouvé. Alors, je suis sorti, j’ai vu le petit opossum. J’ai dit: «Père céleste, je sais que Tu conduis les hommes, mais les animaux sont à Toi aussi. Tu as parlé par un âne un jour. Tu connais donc chaque passereau qui tombe dans la rue. Et si Toi, ô Dieu, Tu as envoyé ici ce pauvre opossum ignorant, un animal que les chiens ont mâchonné, afin que je prie pour lui, et que je ne le savais pas, pardonne-moi, Seigneur, le fait que je n’ai pas compris cela.» J’ai dit: «Si c’est une mère pour qui on doit prier, avec ces petits, afin qu’elle puisse élever ses petits, et si Ton amour... son amour, de cet animal, T’a touché et Tu as envoyé cet animal, une bête, qui n’a pas d’âme... Si c’est Toi qui as envoyé cet opossum ici pour qu’on prie pour lui, je Te demande, ô Seigneur Dieu, que Ta volonté soit faite et que Tu guérisses l’opossum.»

            Eh bien, ceci est exaspérant. Mais aussitôt que j’avais arrêté de prier, j’ai levé les yeux, ce vieil opossum s’est tenu là sur ses pattes. Il avait rassemblé tous ses petits opossums là ; sa queue s’agitait de part et d’autre, il marchait sur sa jambe qui boitillait, tout aussi droit qu’il le pouvait, se dirigeant vers le portail. La petite Rebecca se tenait debout là. Je l’ai entourée de mon bras. Le vieil opossum a regardé en arrière comme pour dire: «Merci, monsieur.» Il a descendu la rue avec ses petits, se dirigeant vers le bois.

52        Dieu au Ciel sait que c’est la vérité. Cela a été publié à travers le monde. Et c’est la vérité. Les journaux ont publié cela, les Hommes d’Affaires ont publié cela. Pourquoi? C’était Dieu. Il le sait. Et si ce vieil... Si Dieu a pu conduire ce vieil opossum là pour qu’on prie pour lui, à cause de l’amour qu’il avait pour ses petits, à combien plus forte raison exaucera-t-Il la prière pour vous qui êtes Ses enfants?

            C’est l’amour, frère, l’amour opère le stratagème. C’est l’amour qui fait cela. Il y a quelque chose de noble là. Dieu veut que vous preniez cet amour et qu’avec cela, vous soyez brave, non pas l’amour à conserver pour vous-même. Manifestez votre amour. Prouvez votre amour. Montrez mon... votre amour par vos oeuvres. Vous y êtes. Prouvez que vous aimez Dieu.

53        Pour terminer, je pourrais dire ceci. La grande histoire de... beaucoup parmi vous, hommes et femmes ici de mon âge, s’en souviennent ; c’était repris dans des manuels scolaires ; on a très vite oublié cela. C’était une histoire d’un grand héros en Suisse. Si on mentionne son nom, les Suisses pleureront maintenant même, là dans des montagnes. Arnold Von Winkelried. Beaucoup parmi vous se souviennent de lui, dans vos manuels scolaires.

            Un jour, alors que la Suisse était acculée, sa petite économie était en jeu. Des envahisseurs, il y a de cela environ quatre cents ans, avaient afflué là comme un essaim d’abeilles. Ils ont pris leurs vieilles petites faucilles en main, les lames de leurs faux et des pierres, tout ce qu’ils pouvaient pour descendre là dans la vallée défendre leurs foyers. Et voici s’avancer, en marche, cette armée comme un mur de briques, bien formée, armée de lances, chaque homme en marche, marchant correctement. Et là se trouvaient ces pauvres petits Suisses, acculés. Il n’y avait rien qu’ils pouvaient faire. Ils étaient absolument sans espoir et sans secours. Et ces gens très bien armés, qui les dépassaient en nombre par milliers, juste comme un mur de briques, avançaient directement. Que pouvaient-ils faire?

54        Finalement, un seul homme, par amour pour sa patrie, Arnold Von Winkelried, s’est avancé. Il a dit: «Hommes suisses, aujourd’hui, je vais donner ma vie pour la Suisse. Et aujourd’hui, je vais sauver la Suisse.» Ses camarades lui ont demandé: «Arnold Von Winkelried, que vas-tu faire?»

            Il a dit: «Là de l’autre côté de la colline, il y a une petite maison blanche, avec trois aimables enfants et une femme. Ils m’attendent et ils prient pour mon retour. Mais je ne les reverrai plus jamais sur cette terre.» Il a dit: «Car, aujourd’hui, je dois sauver la Suisse.»

            On a dit: «Que vas-tu faire?»

            Il a dit: «Suivez-moi et combattez avec ce que vous avez et faites de tout votre mieux.» Il a jeté par terre l’arme qu’il tenait en main, il s’est dirigé vers... Il a premièrement promené le regard, il a vu là où il y avait une forte concentration de ces lances. Il a foncé vers cela, les mains en l’air, criant: «Place à la liberté. Place à la liberté.»

55        Et pendant qu’il courait (Beaucoup parmi vous connaissent l’histoire) et qu’il fonçait vers cela, et environ une centaine de lances furent braquées pour l’attraper, au bout de ces lances-là. Et quand il est arrivé juste sur cela, il a saisi une brassée de ces lances, il se les a enfoncées dans le sein, et il est mort. Une telle démonstration de l’héroïsme et d’amour pour sa patrie a mis en déroute une grande armée, et ces Suisses sont venus avec des morceaux de bois et ont battu cette armée-là, l’expulsant de leur territoire, ils n’ont plus jamais connu de guerre depuis lors. Cette démonstration a rarement été égalée, rarement l’a été.

            L’année passée... Je vais m’y retrouver dans les quelques prochaines semaines, le Seigneur voulant, là en Suisse une fois de plus. Prononcez simplement son nom et vous verrez les gens pleurer, là dans les montagnes. Ils savent que leurs beaux foyers et leur sécurité aujourd’hui proviennent de l’amour d’un seul homme pour eux. Et il avait manifesté son amour.

56        C’était un très grand acte héroïque. Mais, oh ! cela n’était rien, ami, par rapport à ce qui est arrivé un jour, quand la race d’Adam était complètement acculée. Les enfants d’Adam, Dieu leur avait envoyé des lois et des prophètes, et ils ne pouvaient pas observer cela ; ils ne les écoutaient pas. Ils étaient complètement acculés par des maladies, des afflictions, des superstitions, des doutes et des peurs. Il y eut Quelqu’Un qui s’avança du Ciel, le Fils de Dieu. Il a dit: «Je vais sur la terre donner Ma Vie pour la race déchue d’Adam.»

            «Dieu a tant aimé le monde qu’Il a donné Son Fils unique.» Et quand Il est arrivé sur la terre, Il a regardé çà et là, Il a vu là où il y avait la plus grande peur pour l’homme... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]... plus grande peur pour lui, c’était la mort. L’homme, tant qu’il est en bonne santé et bien, il peut blasphémer, courir çà et là. Mais qu’il en arrive à cette heure de la mort, là, ça y est pour lui. Alors, il a repéré le lieu où il y avait la grande concentration des lances, Il s’est précipité dans la mort et Il a donné Sa Vie en sacrifice, manifestant l’amour de Dieu pour la race déchue d’Adam.

57        Qu’a-t-Il laissé pour nous prédicateurs? Il a dit: «Descendez là à Jérusalem et attendez là jusqu’à ce que vous soyez revêtus de la puissance d’En Haut. Et quand le Saint-Esprit sera venu sur vous, vous deviendrez Mes témoins, à Jérusalem, à Judée, en Samarie, et à Saskatoon, jusqu’aux extrémités de la terre.» Et avec l’arme qu’Il nous a laissée, Il nous a dit d’écraser la maladie et le péché, et voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru.

            Hommes et femmes, il est temps pour nous de prendre l’arme que notre Héros, de l’amour de Dieu, nous a laissée, et de nous précipiter là, combattre contre l’ignorance, les superstitions, le formalisme, détruire les murs de l’ennemi et de démontrer le véritable amour vaillant dans lequel nous croyons, Dieu et Sa Parole, jusqu’à ce que la maladie soit guérie, et que les démons soient mis en déroute, que les aveugles voient, que les sourds entendent. Que Dieu m’aide à faire cela tant qu’il me reste du souffle dans le corps.

58        Je manifeste l’amour, je crois, pour l’Homme qui est mort pour moi. Puissiez-vous faire de même alors que nous inclinons la tête un moment pour la prière?

            Seigneur Jésus, il n’y a pas d’amour semblable à l’amour de Dieu. Il ne peut rien y avoir de comparable. Quand nous étions sans secours et sans espoir, Tu es mort à notre place. «Dieu a tant aimé le monde qu’Il a donné Son Fils unique, afin que quiconque croit en Lui ne périsse point, mais qu’il ait la Vie Eternelle.»

            Je demande que Ta grâce divine et que Ta Présence, celle de Ton Saint-Esprit... De même qu’Arnold Von Winkelried a dit, le héros de la Suisse: «Combattez avec ce que vous avez.» Maintenant, Seigneur, Tu ne nous as pas donné des bâtons et des pierres pour combattre avec, mais le Saint-Esprit béni. Dans la douceur et la gentillesse de Christ, dans la puissance de Sa résurrection avec Son Etre ici parmi nous maintenant, le même hier, aujourd’hui et éternellement, pour réduire à néant les choses du monde, et que Dieu introduise Son Royaume Eternel... Accorde, Seigneur, ce soir, que ces choses soient manifestées sous nos yeux, dans le Précieux Nom de Jésus, nous prions. Amen.

59        Maintenant, pendant que vous regardez de ce côté-ci. Une chose, c’est parler de quelque chose, et autre chose, c’est accomplir quelque chose. Un homme peut dire tout ce qu’il veut, s’il veut mentir à ce sujet, et aller simplement de l’avant. Mais quand Dieu parle, Dieu confirme ce qu’Il dit. Dieu rend réelles ces choses dont Il parle.

            Maintenant, comme je venais de le dire il y a quelques instants, Jésus-Christ, le Fils de Dieu... Certains parmi vous sont méthodistes, baptistes, presbytériens, pentecôtistes, nazaréens, pèlerins de la sainteté, catholiques. Vous êtes tous différents, mélangés, ici dans cette petite poignée de gens ce soir. Peu importe combien vous êtes petit, vous avez droit à l’Evangile. Vous Y avez droit. Je ne condamne aucune église, aucune dénomination. Je les aime toutes. Mais, frère, quelqu’un est dans le vrai et un autre, dans le faux. C’est à Dieu de parler.

60        Nous sommes au temps de la fin. Vous le savez. Il y a une bombe atomique suspendue là en Russie avec vos noms dessus, ici même à Saskatoon, et vous le savez. Le reste du monde le sait aussi. Il y aura une destruction l’un de ces jours. Vous savez que cela n’est pas pour longtemps. C’est juste la main de Dieu qui la retient. Qu’est-ce qui va arriver? Qu’a dit notre président l’autre soir? Nous aimerions continuer à devenir forts, que notre agresseur sache que n’importe quand qu’il larguera une bombe, il se détruira lui aussi. Assurément, les avions et de grands chars, de grands silos là, avec des armes performantes braquées juste sur le monde entier, partout. Juste... Tout ce qu’il y a, c’est qu’on en largue une ; c’est tout ce qu’il faut. Alors, quelque chose va arriver.

            Il n’est pas étonnant... Laissez-moi vous poser une question. Juste avant chaque jonction de temps... Regardez le monde antédiluvien. Tout au commencement, tout était Dieu. Cela s’est propagé au travers de l’adoration religieuse. Caïn était tout aussi religieux qu’Abel. C’est arrivé au bout, tout est devenu froid et formaliste depuis longtemps. Les hommes de science, les constructions et tout. Tout d’un coup, qu’est-ce qui est arrivé? Un prophète a surgi, le surnaturel a commencé, un Message a été proclamé, et le monde a été détruit.

61        Examinez cela au cours du temps... Vous dites: «Un prophète, avant...?...» Oui, oui. Enoch, Noé, l’arche, les signes, les anges apparurent. C’est ce que Dieu fait toujours. Maintenant, écoutez.

            Et juste quand Il a fait sortir Israël, quatre cents ans, un temps qui dépasse de loin le temps pendant lequel nous sommes une nation. Quatre cents ans, l’ignorance, là en–en Egypte. Qu’arriva-t-il? Tout était devenu froid et formaliste.

            «Les jours des miracles sont passés» et tout, c’est ce que l’église croit. Tout d’un coup, un prophète s’est levé, un Ange est apparu dans un buisson ardent, des signes et des prodiges ont été produits, et Dieu a fait sortir Israël et a détruit l’Egypte.

62        Puis, il s’est encore refroidi pendant des années. Peu après, c’était à peu près le temps où Jésus est né. Qu’arriva-t-il? Un prophète s’est levé, Jean-Baptiste. Des signes et des prodiges ont commencé à paraître. Le Fils de Dieu fut crucifié. Il s’est refroidi.

            Nous avons connu une période de temps maintenant. Qu’est-ce? On est de nouveau au temps de la fin. Qu’est-il arrivé? Des prophètes apparaissent. Des signes et des prodiges sont accomplis, on n’a jamais connu cela dans le monde. Cela n’a jamais existé pendant deux mille ans, des choses qui se passent maintenant en plein Saskatoon. C’est vrai. Deux mille ans depuis que cela était arrivé. Des signes et des prodiges, des messages sont proclamés ; Billy Graham, Oral Roberts, de grands hommes, ils martèlent cela partout.

63        Et l’Amérique reste les bras croisés, le reste du monde aussi, disant: «Vous, bande de fanatiques.» Des journaux publient des articles les plus sales qu’on puisse avoir, pendant que Dieu accomplit des signes et des prodiges, tout parfaitement. Il a dit: «Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Il fera la même... Celui qui croit en Moi fera aussi les oeuvres que Je fais. Je serai toujours avec vous, même jusqu’à la fin du monde. Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus, mais vous, vous Me verrez, car Je serai avec vous, même en vous, jusqu’à la fin du monde. Les oeuvres, cette vie que Je vis, les oeuvres que Je fais, faites de même.» Ces signes sont manifestés, et les gens restent assis, disant: «Je suis presbytérien. Je suis pentecôtiste.» Mais, frère, êtes-vous chrétien? Etes-vous prêt à affronter cela? C’est ça la chose.

64        Je suis votre frère et je vous aime. Une partie de vos subsides m’a été donnée il y a quelques instants, pour me servir de moyens de subsistances. Et je serais vraiment un–un rat si je me tenais à cette chaire et que j’évitais de vous déclarer le conseil de Dieu ou que je vous disais quelque chose de faux. Mais en tant que quelqu’un qui aime votre âme et qui aime votre être, je vous dis que Jésus-Christ est absolument le même hier, aujourd’hui et éternellement. Il est ressuscité d’entre les morts, Il est vivant ce soir, ici même dans cette salle maintenant.

            Eh bien, vous dites: «Je ne Le vois pas.» Nous parlons de cette Lumière-ci. Quand Elle est apparue, beaucoup parmi vous L’ont vue. Elle est à Washington, D.C., sous droit d’auteur, l’unique Lumière, l’unique Etre surnaturel qui ait jamais été photographié. Vous En connaissez l’histoire. Cela a été publié par les journaux à travers le monde. Qu’était-ce? C’est le même Ange de Dieu qui avait conduit les enfants d’Israël.

            «Oh ! dites-vous, Jésus...» Oui, oui. Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Maintenant, observez juste un instant, avant de commencer.

65        Qui était-ce, lecteurs, érudits de la Bible? Qu’est-ce qui avait conduit les enfants d’Israël hors de l’Egypte? C’était l’Ange de l’alliance. Est-ce vrai? Qui est l’Ange de l’alliance? Jésus-Christ. Il était la Colonne de Feu. Il s’est tenu ici sur terre, Il a dit: «Je viens de Dieu, je vais à Dieu.» Il était ici, Il a été manifesté dans la chair. Quand Il est rentré... Vous dites: «Il est redevenu une Lumière?» Absolument. C’est ce que dit la Bible. Est-ce vrai? Lisez là où Paul était sur le chemin de Damas et qu’une Lumière était devant lui, Elle lui a même crevé les yeux. Ceux qui se tenaient là à côté ne L’ont point vue. Paul L’a vue. Croyez-vous que Paul L’avait vue? Ceux qui se tenaient à côté ne L’avaient point vue. Mais Paul L’a vue. Elle lui a même aveuglé les yeux. Il est resté aveugle pendant plusieurs jours.

            Il a dit: «Qui es-Tu, Seigneur?»

            Il a dit: «Je suis Jésus.»

            Est-ce la Bible? Si donc Il est ressuscité d’entre les morts, voici Sa photo, c’est scientifique qu’Il est le même. Voici Ses oeuvres qui continuent, montrant qu’Il est le même. Mais ce qui vous fait considérer Cela, c’est que le Message vous st apporté par quelqu’un de mon instruction. Ne regardez pas au messager ; regardez au Message dont je parle.

66        Maintenant, Christ est ici. Et je vous déclare qu’Il est ressuscité d’entre les morts. Il vous aime. Il veut votre âme. Il veut vous guérir. Il veut vous rendre heureux. Il veut vous amener dans la Gloire. Il peut faire cela uniquement quand vous Lui permettez de le faire. Il ne peut pas le faire contrairement à votre volonté.

            Ainsi donc, s’Il est ressuscité d’entre les morts... Et une femme qui... Généralement, je fais monter les gens à l’estrade un à un. Vous m’avez vu faire cela. Le Seigneur a changé cela, ici même à Saskatoon. Ceci a marché ; cela marchera ce soir. Il n’y a personne dans cette salle que je connais, que je connais comme... Oui, je vous demande pardon, j’ai vu la... soeur Sothmann, et soeur Norman, frère Norman assis juste ici. Ce sont tous ceux que je connais. Combien ici présents savent que je ne les connais pas? Levez la main, comme ceci, pour montrer que vous savez que je ne vous connais pas. Levez la main, qui que vous soyez, partout.

67        Maintenant, si Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement, et qu’Il se tenait ici dans ce costume qu’Il m’a donné, et que vous disiez: «Seigneur, la Bible déclare que Tu es le Souverain Sacrificateur qui peut être touché par le sentiment de mes infirmités», croyez-vous que vous pouvez toucher Son vêtement, comme la femme l’avait fait, et qu’Il se retournerait pour vous dire ce que vous avez fait? Croyez-vous qu’Il peut faire cela s’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement? Certainement qu’Il le peut, s’Il est le même.

            L’aveugle Bartimée qui cria à l’entrée, Jésus n’a pas pu entendre son cri, mais Il a senti son cri, Il s’est retourné pour voir ce que c’était. Examinez donc la Bible et voyez si ce n’est pas ça. Considérez la femme au puits, comment Il lui a parlé de ses maris ; et ils ont dit que c’est le signe du Messie. Combien savent que les Samaritains avaient reconnu que c’était là le signe du Messie? Levez les mains, le fait que Jésus ait su ce qui clochait chez la femme.

68        Combien savent que les Juifs avaient reconnu que c’était le signe du Messie? Assurément, ils avaient reconnu. Quand Nathanaël est venu et qu’il a pris... Philippe avait amené Nathanaël et Nathanaël est venu. Et Jésus a dit: «Voici un Israélite dans lequel il n’y a point de fraude.»

            Il a dit: «Rabbi, quand M’as-Tu connu?»

            Il a dit: «Avant que Philippe t’appelât, quand tu étais sous l’arbre, Je t’ai vu.»

            Il a dit: «Tu es le Fils de Dieu. Tu es le Roi d’Israël.» Un témoin, là même à côté des Juifs. Mais, évidemment, les orthodoxes guindés, les membres de ces grandes églises, eux ont dit: «C’est Béelzébul. C’est un diseur de bonne aventure.»

            Jésus a dit: «Vous parlez en mal contre Moi, cela vous sera pardonné. Mais quand le Saint-Esprit sera venu faire la même chose, un seul mot contre Cela ne sera jamais pardonné ni dans ce siècle ni dans le siècle à venir.»

            Voyez-vous comment les gens sont devenus? Dieu les a dotés du libre arbitre. Ils peuvent se lever et sortir. Ils peuvent faire tout ce qu’ils veulent. Mais le jugement est suspendu devant nous tous. Eh bien, c’est vrai.

69        Eh bien, si Christ est ressuscité d’entre les morts, s’Il vient ici ce soir et que par un don divin, Il peut atteindre cette assistance-là, avec votre prière... Priez Dieu. Dites: «Ô Jésus, le Souverain Sacrificateur de ma confession, qui peut être touché par le sentiment de mes infirmités...»

            Hier soir, nous vous avons demandé de prier pour quelqu’un d’autre. L’a-t-Il fait? Dites-moi pour qui vous avez prié. Si vous avez prié, levez la main, partout dans la salle, vous les nouveaux venus. Combien étaient ici hier soir et ont vu cela arriver? Levez la main. Très bien.

            Maintenant, ce soir, faites tout ce que vous voulez. Priez pour vous-même ou priez pour quelqu’un d’autre. Levez simplement les yeux vers Dieu et dites: «Ta Bible dit que Tu ferais ces choses. Cet homme nous le dit et c’est dans la Bible, les mêmes oeuvres que Tu avais accomplies. Il a dit que Tu serais avec nous, en nous. Et Tu as placé les uns dans l’église pour faire certaines choses ; les prophètes, les docteurs, les évangélistes, les pasteurs.»

70        Maintenant, regardez. «Il me montre une photo et m’a dit que c’était Toi. Quand il était ici auparavant, il a dit que ces choses arriveraient, qu’elles s’accompliraient. Il n’a pas... Il ne pouvait alors pas faire cela, mais il connaissait les secrets mêmes des coeurs de gens.»

            Il y a dix ans quand j’étais ici, combien ici ce soir se rappellent encore que j’avais dit que cela arriverait? Levez la main. Voyez? Vous y êtes. Eh bien, si ce–c’est... si c’était de Dieu, c’est la vérité. Si ce n’était pas de Dieu, ce n’est pas la vérité. Comment avais-je donc su que je vivrais jusqu’à voir cela? C’est parce que Dieu l’avait dit. C’est réglé. Et ça y est.

            Eh bien, s’Il accomplit cela... Dieu avait donné à Moïse deux signes. L’un d’eux était dans sa main ; l’un, c’était un autre signe à aller accomplir devant Israël, et ils avaient tous cru en lui une fois qu’Il avait confié ce signe-là, une fois. Est-ce vrai? Ils l’ont directement suivi au désert.

71        Or, Christ m’a envoyé vous prouver que Jésus-Christ est ressuscité d’entre les morts. Et je ne veux pas que vous me suiviez ; je veux que vous suiviez le Saint-Esprit. C’est Lui le Conducteur qui vous amènera à la Terre promise, tout aussi certainement que je suis ici. Il le fera. Maintenant, croyez. Regardez de ce côté-ci. Commençons par ici. Que quelqu’un de ce côté-ci, ici derrière, prie et dise: «Ô Dieu, je suis dans le besoin. Et j’aimerais...» Maintenant, quelqu’un qui n’a pas de carte de prière, car ceux qui ont des cartes de prière, nous allons les appeler à monter afin de prier pour eux ici à l’estrade. Quelqu’un sans carte de prière, qu’il dise: «Seigneur, je suis dans le besoin. Je–je vais Te demander quelque chose, Seigneur. J’ai entendu frère Branham prêcher ceci plusieurs fois. Je vais Te demander, accorde-le ; accorde-moi ce soir, si je le peux, de Te toucher simplement. Je ne regarde pas à ce prédicateur-là. C’est à Toi que je regarde. Et je vais Te demander, Père, de m’accorder de Te toucher. Et si Tu permets à frère Branham de se retourner directement vers moi et de me dire cela, ce que j’ai demandé dans la prière, alors je saurai que c’est Toi.»

72        Vous y êtes. C’est un défi lancé à la Bible. Comment... Quelqu’un parmi vous aimerait-il venir prendre ma place? Si vous en doutez, montez ici. Que je vous voie le faire. L’estrade est disponible. Montez faire cela. Certainement. J’ai lancé le défi aux musulmans ; j’ai lancé le défi aux sorciers. Je n’ai jamais vu une seule fois où Dieu ait manqué d’agir. Il en sera de même ce soir. Je crois en Lui. Je L’aime. La peur de–d’échouer m’a quitté, car je L’aime ; j’ai confiance en Lui ; je crois en Lui, et je sais qu’Il le fera. Maintenant, priez.

            J’aimerais vous poser une question. Si Dieu fait cela, au moins pour deux ou trois personnes dans la salle ici, quelque part, allez-vous tous dire: «Je crois que Dieu L’a absolument ressuscité d’entre les morts et qu’Il est ici pour me donner, juste dans cette salle ce soir, ce que je veux»? Allez-vous le faire? Levez la main si vous allez le faire. Merveilleux ! Que Dieu bénisse vos coeurs.

73        Je dois me tenir dans l’Eternité sans fin avec vous. Maintenant, priez. Soyez simplement en prière. Il n’y a rien... Je ne peux pas contrôler cela. Vous dites: «Frère Branham, qu’en est-il de moi?» Je ne sais pas. C’est ce que Dieu doit me dire. Mais c’est ça le signe, et Il avait dit que cela serait ici dans les derniers jours. Pendant que je regarde simplement et surveille, et tout le monde, soyez tout aussi respectueux que possible maintenant ; nous sommes dans la Présence de Christ.

            Vous dites: «Qu’allez-vous faire, Frère Branham?» Je fais exactement la même chose que fit notre Seigneur quand Il se tenait là, cherchant qui L’avait touché. Les gens Le touchent. Eh bien, Il doit me parler.

            Maintenant, relevez la tête juste un instant. Maintenant, cette Lumière qui est sur la photo se tient juste ici, et un homme assis dans un fauteuil roulant, avec cela, quelque chose, juste ici au bout. Avez-vous une carte de prière, monsieur, au bout? En avez-vous une? Eh bien, gardez-la simplement dans votre poche. C’est en ordre.

            Vous étiez en train de prier, de toute façon. Vous étiez en train de prier pour que je vous dise quelque chose. Vous priiez Dieu. Je ne vous connais pas. Je ne vous ai jamais vu. Mais si Dieu me révèle, tout comme Il l’avait fait à Nathanaël, où il avait été, ou ce qu’il avait fait, ou d’où il venait, ou quelque chose à ce sujet, que vous savez que moi, je ne connais pas, allez-vous croire en Lui de tout votre coeur? Allez-vous croire? Est-ce que les autres parmi vous croiront de tout leur coeur?

74        Maintenant, je vois l’homme au... Son problème, c’est dans son dos et dans sa colonne vertébrale. C’est tout à fait vrai. Et il n’est pas de cette ville-ci. Il vient de loin. Il vient de l’ouest, se dirigeant vers l’est. Il est arrivé dans une ville où il y a une très grande place où les chevaux ont beaucoup... il y a une débandade... à Calgary, c’est de là que vous venez. Et le nom de cet homme est Earl. C’est vrai. Croyez-vous maintenant de tout votre coeur que Jésus-Christ, le Fils de Dieu, vous guérira et vous rétablira? Acceptez-vous cela et croyez-vous qu’Il vous guérira? Très bien. Vous pouvez alors rentrer chez vous et être rétabli.

            Maintenant, je demande à vous autres de demander la même chose. Allez-vous croire dans cette rangée-ci? Que quelqu’un ici présent croie de tout son coeur. Que Dieu l’accorde. Dieu sait que je ne suis pas... Ceci n’est pas un spectacle de cabaret. Ce n’est pas non plus une espèce de divertissement. C’est Jésus-Christ qui vous calme, afin qu’Il puisse manifester Sa puissance, afin de vous faire savoir que je vous ai dit la vérité. Ne vous déplacez pas. Restez bien tranquilles si vous le pouvez.

75        Ça y est. Une petite femme assise juste derrière, de ce côté-ci, ici. Elle porte un chapeau noir. Elle prie pour quelqu’un, c’est son frère. Et ce frère est un alcoolique. C’est vrai, n’est-ce pas, madame? Là au fond, en petit chapeau noir. Oui, oui. Il lui faut prendre des somnifères la nuit. C’est vrai. Et il est... Autre chose, il était autrefois un chrétien, et il a rétrogradé ; en effet, je vois une ombre noire au-dessus de l’homme. C’est vrai. Maintenant, croyez-vous? Croyez-vous que Dieu exaucera votre prière? Qu’Il l’accorde, c’est mon sincère désir. Je ne vous connais pas, n’est-ce pas, madame? Je ne vous connais pas, n’est-ce pas? Je ne vous ai jamais vue de ma vie. Si c’est vrai, agitez vos mains, comme ceci. Tout à ce sujet était-il la vérité? Vous y êtes. Maintenant, croyez.

76        Qu’en est-il dans cette rangée, ici? Que pensez-vous, vous tous? Que quelqu’un là prie. Et soyez sincère. Regardez à Christ. Croyez qu’Il est ressuscité d’entre les morts. Je suis venu avec révérence. Vous devez vous approcher d’un don. La femme qui toucha Son vêtement fut guérie. Mais le Romain qui plaça un lambeau autour de Sa tête, Le frappa sur la tête et dit: «Maintenant, si Tu peux prophétiser, dis-nous qui T’a frappé.», il n’a rien senti. Vous devez venir avec révérence, croire en Lui, non pas juste essayer de tester cela, mais il vous faut croire.

            Cette petite dame, assise là au–au bout. Elle est en train de prier pour son mari. Le mari a une tumeur, une affection rénale, quelque chose qui cloche à ses intestins. Les médecins l’ont abandonné. C’est vrai. Croyez-vous que Dieu vous rétablira? Accepterez-vous cela? Si vous acceptez, levez la main, comme cela: «Je vais L’accepter.» D’accord. Que Dieu vous l’accorde, soeur.

77        Qu’en est-il par ici au balcon? Vous tous, vous n’en êtes pas privés. Que chacun de vous prie et demande à Dieu quelque chose ici au balcon. Combien y en a-t-il? Y en a déjà trois? D’accord. Prenons encore un autre du balcon. Priez, croyez.

            Que le Seigneur soit béni. Il y a une petite dame là, avec la tête inclinée. Vous pouvez redresser la tête maintenant, s’il vous plaît. Vous étiez en train de prier pour quelqu’un. Une petite dame en lunettes, portant un chapeau rose. Vous étiez en train de prier pour quelqu’un, un bien-aimé qui est un malade mental. La femme qui a levé la main au niveau de son visage, là. C’est vrai, n’est-ce pas, madame? N’est-ce pas que vous étiez en train de prier pour ça? Si c’est vrai, levez la main. Si vous croyez, votre frère peut se rétablir. Croyez-vous cela de tout votre coeur?

            Maintenant, comment sais-je ce pour quoi vous étiez en train de prier? Le Dieu qui peut entendre une prière peut exaucer la prière. Eh bien, croyez-vous, vous tous? De tout votre coeur?

78        Où est le...? Qu’en est-il de l’enfant? Je ne vois rien au-dessus de l’enfant. Mais qui sont les parents de l’enfant, ou qui a l’enfant? Vous, madame? Avez-vous une carte pour lui? D’accord. Comme c’est juste un enfant, faisons donc... là. Vous avez amené l’enfant, peut-être, vous l’avez mis là. Si Dieu me révèle ce qui cloche chez cet enfant-là, allez-vous accepter cela? Croyez-vous que Christ sera alors bienveillant envers l’enfant? Or, je ne sais pas, c’est peut-être la polio ; c’est peut-être une fièvre ; je–je ne sais rien à ce sujet. Vous le savez, je ne sais pas. Mais si Dieu me révèle ce qui cloche chez l’enfant, je ne peux pas le guérir, car je ne suis pas un guérisseur. Mais Dieu connaît l’enfant.

            Si Jésus se tenait ici même, dans ce costume, Il ne pourrait pas guérir l’enfant. Il l’a déjà fait. C’est votre foi. Il essaie de faire ceci pour élever votre foi à croire qu’Il l’a déjà fait. Croirez-vous cela, papa et maman?

79        Je vois l’enfant chez un médecin. Le médecin secoue la tête. Il a dit que l’enfant souffrait du cancer, et cela s’est répandu partout sur lui, les jambes et tout. Et il a déjà... Il a donné à l’enfant un certain temps à vivre, et l’enfant a déjà dépassé ce temps-là, mais il dit que l’enfant doit mourir. Vous... Je l’ai su d’une façon ou d’une autre, je vois frère Sothmann là, debout. Soit vous le connaissez, soit vous habitez près de lui, quelque chose d’autre. Je le vois près, debout près de cette civière maintenant même, en vision. C’est vrai.

            Je défie votre foi en Jésus-Christ. Où que ce soit dans la salle, je défie cela. Oui, oui. Croyez en Dieu. Faites-vous cela? Ne vous rendez-vous pas compte, ami, que Celui devant qui vous êtes juste ici maintenant, c’est Jésus-Christ, le Fils de Dieu? Comment pouvons-nous rester tranquilles? Comment pouvons-nous faillir? Comment pouvons-nous rester engourdis, pour ainsi dire, par les soucis de la vie, ou par la peur? Cela devrait amener chaque estropié à se tenir sur ses pieds. Cela devrait amener chaque pécheur à la repentance. Quoi de plus Dieu peut-Il faire? Rien, sinon apparaître dans un corps corporel. Et alors, vos prières viendront trop tard. Ne le savez-vous pas? Inclinons la tête juste un instant.

80        Je vais vous poser une question. Si vous étiez un pécheur, et que vous ne connaissiez pas Christ, et que vous vouliez que Christ pardonne vos péchés maintenant pendant qu’Il est présent ici même, levez la main et dites: «Frère Branham, souvenez-vous de moi maintenant même dans la prière. J’aimerais ici accepter Christ.» Que Dieu vous bénisse, madame. C’est bien. C’est pour cela que Christ apparaît, c’est pour sauver les âmes. Que quelqu’un d’autre veuille lever la main ; allez-vous le faire? Dites: «Je veux maintenant accepter Christ.» Que Dieu vous bénisse, monsieur.

            Quelqu’un d’autre qui dit: «Frère Branham, je suis à l’église, mais je n’ai jamais vu la Bible devenir réelle comme cela.» Il doit y avoir quelque chose. Vous savez que quelque chose fait cela. Maintenant, ça dépend de ce que vous pensez que cela est. Si vous voulez dire que c’est Béelzébul, allez de l’avant. Ça sera entre vous et Dieu. Si vous croyez que c’est Jésus-Christ, alors Dieu vous récompensera pour cela. Mais c’est l’unique moyen pour vous de jamais... Vous serez soit maudit par cela, soit béni par cela. Tout ce que vous aimeriez être, ça dépend de vous.

81        Mais si vous n’êtes qu’un membre d’église et que vous n’êtes pas né de nouveau, pourquoi ne levez-vous pas les mains vers Christ maintenant même pour dire: «Souviens-Toi de moi, Seigneur. Je veux maintenant que Tu te souviennes de moi. J’ai besoin de Toi dans ma vie, et je veux que Tu te souviennes de moi.» Y en a-t-il un autre à part ceux qui ont levé les mains? Je sais que j’ai fini l’appel à l’autel. Que Dieu vous bénisse, mon frère de couleur, assis ici même au bout. Que Dieu soit avec vous, frère.

            Ecoutez. Un jour, une vieille croix était traînée vers Golgotha, elle se traînait sur les empreintes des pas ensanglantés de Celui qui la portait. Et Celui-ci tombait sous le poids. Alors, Simon, un homme de couleur, est venu et a ramassé la croix, L’aidant à la porter. Il sait, mon frère, que vous titubez dans les ténèbres, sans Dieu. Il est venu vers vous ce soir. Il se souvient que vous L’aviez aidé à porter la croix. Il l’a portée pour vous. Que Dieu vous bénisse, et puissiez-vous aller en paix, mon frère.

82        Quelqu’un d’autre qui lèvera la main pour dire: «Frère Branham, souvenez-vous de moi devant Dieu. Pendant que je sais qu’il y a Quelque Chose sur vous, homme, vous êtes juste un homme. Et il y a quelque chose là. Je sais que ce n’est pas vous. Vous n’êtes même pas–même pas intelligent. Eh bien, vous ne connaissez même pas... Vous n’avez même pas l’instruction de l’école primaire. Mais quelque chose est arrivé, et je sais que cela est arrivé, et je crois que c’est Dieu accomplissant Sa Parole.

            Voici, c’est scientifique. Voici cela au milieu de vous. La Bible dit que cela serait ici. Le monde scientifique dit que c’est la vérité. Et le Saint-Esprit est ici, disant: «Je suis ici. Je suis avec vous.» Maintenant, qu’allez-vous faire à ce sujet? Cela dépend de vous. J’ai encore une soirée. Voudriez-vous lever la main pour dire: «Souvenez-vous de moi»? Que Dieu vous bénisse, madame. Que Dieu vous bénisse, soeur. Que Dieu vous bénisse. C’est bien. Que Dieu vous bénisse là derrière, mon frère.

            Quelqu’un d’autre qui dit: «Ô Dieu, souviens-Toi de moi»? Vous ne levez pas la main vers moi maintenant. Que Dieu vous bénisse, frère. Vous ne levez pas la main vers moi ; vous la levez vers Christ. Levez-la vers Christ. «Ô Dieu, souviens-Toi de moi.» Que Dieu vous bénisse. Qu’Il vous bénisse, mon frère de couleur ici. Que Dieu te bénisse, petit garçon, assis ici, chéri. Quelqu’un d’autre maintenant? Levez la main très vite ou dites: «Souviens-Toi de moi.»

83        Vous dites: «Frère Branham, cela change-t-il quelque chose pour moi si je lève la main? Absolument. Cela constitue une décision. Comme je l’ai souvent dit, vous ne pouvez pas lever la main sans défier chaque loi de la nature. La gravitation maintient votre main vers le bas. Il y a quelque chose en vous. Que Dieu te bénisse, cette petite fille chérie. Elle vient d’entendre dire: «Levez la main.» Elle a levé la sienne. Que Dieu bénisse cette jeune fille par ici.

            Assurément, vous avez le surnaturel en vous. Que Dieu vous bénisse, frère. Voyez, cela défie la loi de la nature, de la gravitation, cela l’élève haut et il prend une décision. Que Dieu vous bénisse, vous là derrière, ma soeur. Elle dit: «Oui, je crois en Dieu. Le Dieu qui est en moi dit: ‘Lève les mains’, je l’ai fait.» Qu’est-ce que cela fait? Vous êtes passé de la mort à la Vie en faisant cela, si vous êtes sérieux en le faisant.

84        Ici même dans la Présence de Jésus-Christ, ici même où Il est en train de se mouvoir, Il agit, avec des preuves infaillibles de Sa Présence ici. Ça y est, Il peut être prouvé par tous les moyens qu’Il est ici. La prochaine chose que vous verrez de Lui, ça sera Son corps corporel venant dans la Gloire. Alors, que celui qui est souillé se souille encore ; que celui qui est juste pratique davantage la justice ; que celui qui est saint se sanctifie davantage. Il n’y aura plus de temps.

            Y en a-t-il un autre avant la prière? Que Dieu bénisse ces deux petits garçons ici, avec leurs mains levées. Que Dieu vous bénisse, chéris. Dieu vous voit certainement. Ce petit garçon assis ici en bas, que le Seigneur te bénisse, chéri. Qu’Il t’accorde le désir de ton coeur et qu’Il fasse de toi une petite créature de demain, s’il y a un lendemain.

85        Y aurait-il quelqu’un d’autre? Que Dieu vous bénisse, mon frère, assis ici alors que vous levez vos mains vers Christ. Qu’Il vous bénisse, qu’Il vous débarrasse de toute culpabilité, qu’Il fasse de vous Son véritable serviteur.

            Maintenant, prions. Adorable Père céleste, ce soir, nous avons longtemps traîné, nous avons prêché dur, racontant ces petites choses qui sont arrivées le long du chemin. Il y en a tellement des centaines que nous pouvons nous tenir ici jusqu’au matin, et puis jusqu’au soir encore, à raconter ce que Tu as fait, et alors la moitié n’aurait pas été racontée, ce que moi-même je T’ai vu accomplir. Oh ! Tu es si réel, Tu es plus que la vie.

            Et maintenant, ces gens ont levé la main, Seigneur, montrant qu’ils croient que Tu es le Fils de Dieu, que Tu es ici dans ces derniers jours, alors que le soleil se couche. Et la Bible dit qu’au temps du soir, la Lumière paraîtra. La Lumière de l’Evangile a paru.

86        Et je Te prie, Père, de les bénir. Il y a des jeunes hommes, des hommes avancés en âge, tant Indiens, hommes de couleur, Anglo-Saxons, que des petits enfants, tous, garde-les tous dans Ta Présence bénie, Seigneur. Remplis leur coeur d’un grand amour pour Toi. Que le monde ne soit plus en mesure de les éloigner de Toi par séduction. Accorde-le, Seigneur.

            Prends-les à Ta charge, et baptise-les du Saint-Esprit. Aligne leurs âmes avec amour et puissent-ils aller gagner d’autres à Christ, même les petits enfants dans leurs écoles, le vieil homme à son travail, où que ça soit, ou en tondant la pelouse dans sa cour à côté de son voisin. Ô Dieu, je Te prie de les aider tous. Ce sont les dons d’amour que Tu as offerts à Christ. «Nul ne peut les arracher de la main de Mon Père.» Et ils ont été donnés par la main du Père entre les mains de Christ. «Et nul ne peut venir si Mon Père ne l’attire. Et à tous ceux qui viendront, je leur donnerai la Vie Eternelle.» Accorde, Seigneur, qu’ils reçoivent la Vie Eternelle dès cette heure, car je les confie entre Tes mains, comme les fruits du Message, au Nom de Jésus-Christ. Amen.

87        Maintenant, ils ont levé la main, vous qui êtes assis à côté d’eux, tendez la main... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]... et je devais prier pour les malades et être sincère, et que Dieu les guérira. Combien savent que cela est écrit dans mon livre il y a dix ans, et vous m’avez entendu dire cela? Il a dit: «Si tu es sincère, cela s’accomplira. Tu tiendras les gens par la main, et tu connaîtras la maladie dont ils souffrent.» Combien s’en souviennent?

            Ensuite, Il a dit: «Si tu es sincère, tu connaîtras les secrets mêmes de leur coeur. Et tu pourras les leur dire, le discernement même de leur coeur.» Combien savent qu’Il avait dit cela? A l’époque, je ne pouvais pas le faire. Mais cela est arrivé.

            Il a dit: «Dans ton ministère que voici, va... Cela t’a été donné, cela déclenchera un réveil à travers le monde.» Cela l’a-t-il fait? Certainement que cela l’a fait. Oral Roberts, tous ces autres descendent droit de là. C’est exact. A. A. Allen, tout leur groupe, ils descendent directement de cela. Et, regardez, dans chaque nation pratiquement ; en Afrique, en Inde, en Palestine, partout, de grands services de guérison sont en cours en cette heure même, partout à travers le monde. Jésus vient. C’est vrai.

88        Je vous regarde, vous là, qui êtes dans la ligne. Croyez-vous? Maintenant, vous prendre l’un après l’autre, connaître et vous dire, aller en profondeur et examiner cela comme j’avais l’habitude de le faire avant d’essayer de chasser un mauvais esprit, je pourrais... Premièrement, j’examinais le cas à fond pour voir s’il y avait un péché dans sa vie, premièrement, avant que je fasse cela ; en effet, il peut avoir fait quelque chose de mal. Et Dieu me tiendrait responsable d’avoir fait cela.

            Mais maintenant, Il est... Et les gens se sont plaints. Ils ont dit: «Vous ne priez pas pour assez de gens.» Regardez cette ligne qui se tient là maintenant. Jamais dans une réunion Oral Roberts ne prend plus que ça. Vous qui avez été dans ses réunions, ou dans celles des autres, ou de frère Allen. Certainement pas. Vous ne pouvez pas le faire. Mais je peux exercer le discernement et avoir encore autant de gens. C’est la grâce de Dieu.

89        Très bien. Soyez donc respectueux maintenant. Tout ce que je peux faire, c’est prier et vous imposer les mains. Maintenant, je vais demander à tout le monde d’être tout aussi calmes que possible et d’être en prière. Avant que cette femme monte à cette estrade, celle qui est assise ici même, laissez-moi vous montrer quelque chose. Cette femme vient pour qu’on prie pour elle à cause de la surdité. Elle est sourde. Je peux sentir cela ; il y a un esprit de surdité sur la femme. Ici même, pendant qu’elle est assise devant moi maintenant. Et cela sait que la femme a aussi la foi, cela va peut-être devoir quitter juste dans un instant. Je vais vous demander d’incliner la tête juste un instant. Prions.

90        Redressez la tête juste un instant. Regardez ici. Voyez? Elle dit: «Le tympan déchiré.» Eh bien, que tout le monde soit respectueux juste un instant.

            Dieu bien-aimé, avec un tympan déchiré, comment la femme peut-elle entendre l’Evangile? «La foi vient de ce qu’on entend», mais qu’en sera-t-il si on ne peut pas entendre? Je prie donc, afin que l’assistance sache que Tu es le Fils de Dieu, je Te prie de guérir cette bien-aimée femme, de la rétablir et de la débarrasser de la surdité. Que cela commence en cette heure même et qu’elle soit rétablie. Accorde-le, Seigneur. Je demande, au Nom de Jésus, que l’esprit de surdité quitte la femme.

            Et maintenant, que tout le monde garde la tête inclinée une minute. C’est une belle petite semence que vous portez, le grain de sénevé. C’est tout ce qu’il faut, une foi, comme ce grain de sénevé, n’est-ce pas? N’est-ce pas vrai? Oui. Très bien, vous pouvez redresser la tête. Depuis combien de temps portez-vous cette petite semence? Bien longtemps. Eh bien, c’est une chose merveilleuse. Il y en a qui ont la foi pour les miracles. D’autres ont une foi comme un petit grain de sénevé, mais si c’est tout... Vous savez, le grain de sénevé, elle ne peut s’hybrider avec aucune autre semence. Un grain de sénevé fera donc l’affaire. Amen.

            J’ai enfoncé mon doigt dans son oreille qui est en bon état, et elle m’entend normalement parler à partir de cette autre oreille. Que Dieu la bénisse.

            Vous aimez le Seigneur, Sofia, et alors vous êtes... C’est votre nom, vous venez d’une ville appelée Beechy, Saskatchewan. C’est vrai. Rentrez chez vous maintenant, vous êtes bien portante. Jésus vous guérit.

91        Croyez-vous en Dieu? Comment a-t-Il su qui elle était, d’où elle venait, ce qui clochait chez elle? Comment cela se peut-il? Je ne le savais pas. C’est Dieu qui sait. Maintenant, essayons de nous tenir loin de cela si nous le pouvons. En effet, nous ne pourrons pas en prendre un tiers parmi ces gens et terminer ; nous ne prendrons qu’un petit nombre. Soyons tous en prière maintenant.

            Quelle est votre maladie, frère? La vôtre? Trouble d’estomac. Dites ce qui cloche chez vous aussitôt arrivé, ainsi je ne saisirai pas cela. Très bien.

            Bien-Aimé Père céleste, je Te prie de guérir cet homme du trouble d’estomac, puisse-t-il rentrer chez lui à la maison ce soir, rétabli, alors que j’offre cette prière de la foi pour mon frère que voici. Je demande que cela arrive, au Nom de Jésus-Christ. Amen. Je le crois, pas vous, frère? Absolument. Un... Que Dieu vous bénisse. Gloire au Seigneur...?...

92        Votre maladie, soeur? Croyez-vous que le Seigneur vous guérira? Très bien. Laissez-moi vous tenir la main juste un instant. Maintenant, regardez. Là... Vous savez qu’il y a ici Quelque Chose qui sait ce qui cloche chez vous. Vous savez que vous vous tenez dans la Présence de Quelque Chose d’autre qu’un homme, qui fait que vous vous sentez comme cela. Maintenant, si c’est vrai, levez la main vers l’assistance. Certainement, c’est cette onction-là. C’est pourquoi j’En parle. Voyez? C’est ce qui se passe, dans la Présence. C’est ce qui avait fait arrêter ce gros animal. C’est ce qui avait ramené ces abeilles à leur nid. Voyez? C’est le Saint-Esprit. Il sait ; Il sait tout à votre sujet. Croyez-vous que c’est le Saint-Esprit? Vous pouvez alors Lui demander tout et Il vous l’accordera. Et votre nervosité et tout vous quitteront. Croyez-vous cela?

            Je bénis cette bien-aimée femme, Père céleste, au Nom de Jésus-Christ, pour sa guérison. Amen. Que Dieu vous bénisse, soeur. Recevez ce que vous demandez.

93        Et que veut-il? Crois-tu que Jésus te guérira du diabète, petit garçon? Crois-tu qu’Il te guérira? Eh bien, je crois qu’Il le fera aussi, chéri.

            Bien-Aimé Père céleste, je prends ce petit garçon par la foi, et nous savons que quand les enfants attrapent le diabète, si Tu ne leur viens pas en aide, c’est horrible. Mais je prie maintenant, alors que je l’amène par la foi à l’ombre de la croix, je demande que Jésus-Christ, le Fils de Dieu, bénisse ce petit garçon, le débarrasse du diabète, au Nom de Jésus-Christ. Amen.

            Fiston, le puissant Ange de Dieu, qui s’est tenu près de frère Branham, est ici maintenant même ; tu peux ne pas Le voir, mais Il est ici, Tu reconnais cela. Tu es béni. Dieu t’a fait entrer dans Sa Présence. Maintenant, pars en croyant que tu guériras du diabète. Ecris-moi et parle-moi de cela. Vas-tu le faire? Que Dieu vous bénisse aussi, soeur. Très bien.

94        Le petit garçon, crois-tu que Jésus guérit tes yeux? Incline la tête avec moi.

            Jésus de Nazareth, alors que ce petit garçon lève les yeux ici et que ses petits yeux sont dans cet état, je Te prie de le guérir, de le rétablir, de le débarrasser de cette chose horrible, et que ses petits yeux deviennent normaux et en bon état, au Nom de Jésus-Christ, je demande qu’il en soit ainsi, alors que j’impose les mains à ce petit innocent, qui est trop petit pour distinguer le bien du mal. Je Te prie de l’accorder, au Nom de Christ. Amen.

            Maintenant, ça va maintenant? Tes petits yeux sont tout aussi droits que possible. Regarde l’assistance là, afin que certains te voient. Regarde de ce côté-ci. Regarde en arrière de ce côté ici. Maintenant, tu peux quitter l’estrade, bien portant. Disons: «Grâces soient rendues à Dieu !»

95        Croyez-vous que Dieu vous guérira, femme? Maintenant, regardez, soeur. C’est plus comme une oppression. Laissez-moi vous poser une question. Généralement, ça fait mal...?... Surtout quand le soleil commence à se coucher, vous éprouvez une forte sensation de lassitude. Parfois, vous pensez que vous allez perdre la tête. Vous faites tomber des choses et vous...?... C’est vrai. Je ne suis pas en train de lire vos pensées, mais c’est vrai, n’est-ce pas? Très bien. Maintenant, voyez, Quelque Chose ici vous connaît.

            Avant que vous veniez à cette réunion ici, vous étiez en train de prier, disant que si vous pouviez entrer dans la ligne, vous alliez accepter. Vous vouliez un endroit où placer votre pied, avez-vous dit, où mettre votre pied. Est-ce exactement ce que vous disiez? C’est ce que vous croyez, que vous réclamiez et ce pour quoi vous priiez, n’est-ce pas? Eh bien, comment ai-je su l’objet de votre prière et ce que vous disiez ici en bas? Comment ai-je su, avant que vous veniez, ce que vous disiez à la maison? Quelque Chose ici me le dit, est-ce vrai? C’est Dieu. Il veut vous guérir. Il le fera maintenant même. Croyez-vous cela? Cela vous quittera maintenant même. Cela ne peut pas rester dans Sa Présence. Non. Cela ne peut pas supporter là. Cela vous quittera. Mais maintenant, si vous continuez à croire, cela restera loin de vous. Sinon... Voyez?

96        Je... Comprenez-vous ce qui se passe, soeur? Quel âge avez-vous? Eh bien, savez-vous ce que je veux dire? Voyez? C’est la ménopause, soeur. C’est le changement de vie. Voyez? Vous attrapez donc toutes sortes de sensations. A vrai dire, il n’y a rien qui cloche. Les hormones cessent dans votre corps, et il n’en secrète plus. Ne laissez pas un médecin vous administrer des hormones. C’est le premier cas pour attraper le cancer, ce sont des cellules qu’on vous injectera. Abstenez-vous-en. Allez directement de l’avant ; croyez en Dieu. Un cancer, ce n’est qu’une multiplication de cellules. Une hormone est juste comme... ce que vous faites, juste comme si vous prenez de la drogue ; et puis, vous vous en abstenez. Oh ! la la ! Vous ne savez que faire. Votre corps secrète en fait des hormones, et maintenant, il n’en secrète plus. Voyez? Et cela... C’est une chose naturelle. Peu après, ça sera terminé. Mais maintenant, le diable vous affolera, s’il le peut. Mais ne le laissez pas faire. Comptez sur Christ maintenant même et soyez guérie.

            Ô Dieu, cette pauvre petite créature nerveuse se tient ici, ses pauvres petits bras se balançant, sachant que le diable cherche à la soumettre à son emprise. Toi, démon, je t’ordonne, au Nom de Jésus, de sortir de la femme. Quitte-la. Et alors que je lui impose de nouveau la main en tant que croyant en Jésus-Christ, laisse cette femme tranquille, au Nom de Jésus-Christ.

97        Maintenant, levez les yeux de ce côté-ci maintenant. Ça a quitté maintenant. Vous êtes calme maintenant. Vous vous sentez très bien, n’est-ce pas? Levez la main, si c’est vrai. Oui, vous êtes guérie. Voyez? Amen. Maintenant, poursuivez votre chemin en vous réjouissant. Disons: «Gloire au Seigneur !» Et si je...?... guérison...?... pour vous, frère, mais si c’était vous qui étiez dans cet état, cela représenterait quelque chose pour vous. Cela ne peut pas résister dans la Présence de Dieu. Dieu l’a dit. C’est réglé. Tout aussi vrai qu’Il connaît votre coeur. Il a prononcé ces paroles. Il a même dit qu’Il prendrait la Bible ici, et...?... prouver cela. Il confirme cela partout.

            Que voulez-vous qu’Il fasse pour vous, frère? Quoi? Le coeur. Croyez-vous qu’Il le fera?

            Père divin, au Nom de Jésus-Christ, touche le corps de cet homme ce soir et débarrasse-le de la maladie du coeur, et rétablis-le complètement. Je le demande au Nom de Jésus-Christ. Amen. Que Dieu vous bénisse, frère.

98        Croyez-vous que Christ peut vous guérir, soeur? Quelle est votre maladie pour laquelle vous voulez la guérison? Croyez-vous qu’Il le fera?

            Ô Seigneur béni, alors que je tiens cette précieuse femme par la main, offrant autant que je sais la prière de la foi, Père, je le demande avec amour dans mon coeur pour Toi et avec amour pour cette femme bien-aimée, oh ! peu s’en est fallu qu’elle ait eu une canne blanche dans sa main, et qu’elle soit en train de battre cela dans la rue. Accorde, Seigneur, que cela ne se fasse jamais. Qu’elle soit guérie. Je la bénis au Nom de Jésus-Christ, dans la Présence Duquel nous sommes maintenant. Amen.

            Que Dieu vous bénisse, soeur. Croyez-vous que vous serez rétablie? Moi aussi. Que le Seigneur soit avec vous et qu’Il vous bénisse.

99        Bonsoir, madame. Juste un instant. Il se passe quelque chose dans l’assistance. Quelque chose est arrivé. S’il vous plaît, soyez donc respectueux...?... chacun de vous, avançant, votre–votre–votre âme (Voyez-vous?), votre esprit. Et chaque esprit est soumis à ce Saint-Esprit ici. Certainement. Et quand vous dérangez ou même lorsque vous pensez en mal ou quelque chose comme cela, ça arrive. Quelque chose arrive. Vous dites: «Frère Branham, est-ce ça?»

            Eh bien, certainement, c’est l’Ecriture. Tenez, Il n’est pas parti. Cette dame-ci, ici, me croyez-vous, madame? Croyez-vous que je suis serviteur de Dieu? Je ne vous ai jamais vue de ma vie, n’est-ce pas? Nous sommes de parfaits inconnus. Si Dieu au Ciel me révèle ce pour quoi vous êtes ici, afin que les gens voient que vous êtes juste une femme qui s’est avancée ici dans la ligne, allez-vous croire de tout votre coeur? Soyez-en juge. S’Il sait... Maintenant, je ne peux pas vous guérir si vous êtes malade. J’ai très peu d’argent. Si c’est un problème d’argent, je vous le donnerai. Je ne sais pas. Vous savez que je ne sais pas. Je ne vous ai jamais vue de ma vie. Et c’est notre première rencontre, est-ce vrai? Levez la main. Maintenant...?... maintenant, si Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement, qu’en est-il de ceci? Va-t-Il le faire? Je crois en Lui.

100      La femme est couverte de l’ombre de la mort. La femme souffre du cancer. C’est vrai. Il y a une ombre noire qui est suspendue juste à côté d’elle. Et ce cancer est dans le colon, les intestins. C’est vrai. Me croyez-vous maintenant? Eh bien, plus je vous parlerai, plus il en sera dit. Est-ce le même Seigneur qui avait su quel était le problème de la femme? Le même Jésus qui avait parlé à la femme juste une minute pour découvrir son problème? Laissez-moi vous dire ceci, comme Il avait dit à Philippe d’où il venait. Vous n’êtes pas de cette ville-ci. Vous venez d’une ville appelée Edmonton, en Alberta. Vous venez d’Alberta. Et votre nom, c’est madame Parker. C’est vrai, n’est-ce pas? Maintenant, poursuivez votre chemin, réjouissez-vous et soyez rétablie, au Nom de Jésus-Christ.

101      Croyez-vous? Dites: «Amen.» C’est vrai. Priez. Gardez vos têtes inclinées. Priez pour ces gens. Venez, monsieur. S’il vous plaît, dites-moi, dites à haute voix ce que sont vos maladies.

            Seigneur, je Te prie de guérir ce bien-aimé frère et de le rétablir complètement, de le débarrasser complètement de la maladie, au Nom de Jésus-Christ. Amen.

            Que Dieu vous bénisse, mon bien-aimé frère, cela prendra...?... Croyez cela maintenant, de tout votre coeur et vous pourrez...?...

            Ta... évidemment, tu as une petite bosse... ici. Crois-tu que Dieu te guérira? Seigneur Dieu, je Te prie de guérir ce petit garçon et de le rétablir, au Nom de Jésus-Christ. Que cette petite bosse sur son dos commence à diminuer et qu’il se rétablisse, au Nom de Christ. Amen.

            Regarde ici, fils. Ton cas est impossible pour le médecin. Tu le sais. Il ne peut rien faire pour toi. Mais vas-tu croire que je suis serviteur de Dieu? Je vais te prouver quelque chose. Quand tu rentreras ce soir, prends une corde et mesure la taille de ta petite hanche, comme ceci, ici, et rassemble cela ensuite, découpe-le. Et demain soir, avant la réunion, va prendre la même corde et mesure-toi tout autour, et découpe pour voir combien ça se sera rétréci de ce côté-ci, demain soir, et dépose cela sur la chaire. Vas-tu le faire? Très bien. Va maintenant.

102      Croyez-vous que Dieu vous guérira, mon frère? Ô Dieu, je Te prie, au Nom de Christ, de guérir cet homme et de le rétablir, par le Nom de Jésus. Amen. Que Dieu vous bénisse, mon frère. Croyez-vous cela?

            Je ne devrais jamais exercer le discernement sur le premier, ça amène tout le monde à désirer cela. Voyez-vous? Et nous... Je ne peux pas le faire et faire passer cette ligne ici.

            Très bien, frère. Croyez-vous que Dieu vous rétablira? Croyez-vous que si je prie pour vous... Quelque Chose qui est ici maintenant, et vous savez que c’est Christ?

            Père céleste, je Te prie de bénir cet homme et de le rétablir. Guéris-le, Dieu bien-aimé. Et je lui impose les mains et je le bénis, au Nom de Jésus. Amen. Que Dieu vous bénisse, frère. Allez en croyant maintenant. Heureux ceux qui ne L’ont jamais vu et qui, néanmoins, croient. Croyez-vous, frère, que Dieu vous rétablira? De tout votre coeur?

            Ô Jésus, Fils de Dieu, je lui impose les mains, et–et je Te prie de le guérir et de le rétablir. Alors que je bénis ce pauvre bien-aimé homme, que Dieu lui accorde une bonne santé pour la gloire de Dieu, je le demande au Nom de Jésus. Très bien, frère. Allez en croyant maintenant. Ne doutez pas. Mais croyez.

103      Bonsoir, soeur. Je crois que c’est vous la dame qui a accepté Christ l’autre jour. De quoi voulez-vous qu’Il vous guérisse? Voulez-vous que Dieu vous guérisse de cela? Maladies, que... oui. Celle-ci, c’est une petite dame catholique, une Canadienne française de confession catholique, qui a donné sa vie à Christ l’autre soir, à ma première réunion à laquelle elle a jamais assisté. Elle est donc nerveuse. Prions.

            Bien-Aimé Père céleste, nous savons que cette petite dame a une grande chose à affronter, là. Elle doit faire face à un mur d’opposition. Elle a laissé deux petits enfants, a-t-elle dit, à la maison. Ils se sont juste réveillés avec la rougeole... Ô Dieu, mais la foi a frappé son petit coeur. Elle fut déterminée. Elle tenait à voir Jésus. Elle est comme la reine de Séba ; elle va voir si c’était vrai. Tu l’as sauvée, Seigneur. Je me tiens ici maintenant, et elle est dans Ta Présence, et je suis dans Ta Présence, elle sent cela, et elle sait que Tu es ici. Je bénis cette femme. Puisse-t-elle rentrer chez elle à la maison, heureuse. Que toutes ses maladies et les enfants soient complètement guéris. Puisse-t-elle mener une vie paisible et heureuse, et conduire tous ses bien-aimés au Seigneur Jésus. Je la bénis au Nom de Christ. Amen.

            Que Dieu vous bénisse, petite dame. Allez et recevez ce que vous avez demandé. J’espère vous voir à Dawson Creek...?... à Edmonton, à Edmonton. Que Dieu vous bénisse.

104      Je pense que c’est vous son mari, votre soeur, je veux dire. C’est ce que vous m’avez dit l’autre... dans le restaurant. Quelle est votre maladie? Oh ! Douleur au flanc et au dos. Vous étiez avant un Canadien français de confession catholique aussi? Dieu est bon, n’est-ce pas?

            Ô Bien-Aimé Jésus, ce petit homme a effectué une longue distance en voiture. Il a enduré beaucoup de dures épreuves. Il est monté à cette estrade ici ce soir avec sa soeur, et il veut être guéri. Il sent une douleur au flanc et quelque chose qui cloche au dos. Et pendant que ce groupe de croyants reprendront leur chemin de retour vers la Colombie-Britannique ou je ne sais d’où ils viennent, que les roues de leur véhicule fredonnent un cantique et que des louanges de Dieu se lèvent dans ce véhicule alors qu’ils seront en chemin, avec la joie de Dieu. Que leurs maladies disparaissent ; que notre frère soit guéri, qu’il donne le témoignage pour la gloire de Dieu. Nous le demandons au Nom de Jésus, alors que je le bénis dans ce but. Amen !

            Que Dieu vous bénisse, mon jeune frère. J’aimerais vous voir là vraiment en feu pour Dieu. Connaissez-vous mon ami Chris Berg? Il est ici quelque part. Je dois le rencontrer demain. C’est bien. C’est magnifique. Très bien. Que Dieu vous bénisse, mon frère.

105      De quoi voulez-vous que Dieu vous guérisse? Oh ! Que Dieu vous bénisse, mon bien-aimé frère. Je prie que le Seigneur Jésus-Christ vienne auprès de cet homme, maintenant, qu’Il le rétablisse complètement, qu’Il le guérisse de toutes ses indispositions et qu’Il le rétablisse entièrement. Je le bénis pour sa guérison, au Nom de Jésus. Amen.

            Que Dieu vous bénisse, frère. Je pense que ça se terminera, pas vous?

            L’asthme? Tu as l’air d’un petit gars très brave. Aimes-tu Jésus? Eh bien, si Jésus était ici, Il t’imposerait les mains, tu serais guéri. Mais Jésus est monté au Ciel, Il a envoyé le Saint-Esprit sur terre. Et c’est Lui que tu vois guérir ce soir dans la salle. Eh bien, frère Branham est venu prier pour toi. Crois-tu que Jésus va te guérir?

            Bien-Aimé Père céleste, je bénis ce beau petit garçon qui se tient ici, souffrant de l’asthme bronchique... Oh ! Satan, tu as dû être cruel pour affliger un petit enfant. Maintenant, quitte l’enfant ; je t’adjure par Christ, le Fils de Dieu, de le quitter. Et que cet asthme quitte et ne revienne plus jamais. Amen.

            Qu’Il te bénisse, chéri. Je crois que tout cela est parti. Tu en souffriras plus. Que Dieu vous bénisse, monsieur. Vous croyez cela aussi, n’est-ce pas? C’est très gentil. Faites-nous entendre de nouvelles du petit garçon.

106      Très bien, soeur. Croyez-vous que Dieu vous guérira maintenant? Dieu béni, alors que cette église du Dieu vivant ici ce soir, des centaines de gens, est en train de prier en ce moment, nous unissons ensemble nos prières pour ces gens malades. Celle-ci est la mère de quelqu’un ; c’est la fille de quelqu’un, c’est quelqu’un qui est dans le besoin. Je Te prie de la guérir, Seigneur, alors que je la bénis avec mes mains sur elle. En effet, la Bible dit ceci: «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru: Ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris.» Nous croyons cela, Père, au Nom de Jésus. Amen. Croyez-vous cela, soeur bien-aimée? Je–Je crois cela de tout mon coeur. Que Dieu soit avec vous.

107      Croyez-vous, mon frère? Croyez-vous que Dieu vous rétablira? Regardez donc les gens ici en train de prier pour vous. Ces gens sont tous en train de prier. Je ne suis que l’un de ceux qui prient pour vous. Eux tous sont en train de prier pour vous. Christ est ici. Vous êtes dans Sa Présence. Il vous connaît. Il vous aime. Il veut que vous soyez rétabli.

            Ô Jésus, alors que ce cher homme vient, on le voit venir, Seigneur, avec un air sincère sur son visage. Il veut être soulagé, Seigneur. Peut-être que le médecin a fait de tout son mieux et, ô Dieu, nous Te remercions pour lui. Mais peut-être qu’il n’a pas pu l’aider, et il vient chez le Grand Docteur des docteurs, le Grand Médecin. Et par la prière de la foi, Il a promis de guérir les malades. Et j’offre celle-ci pour mon frère de tout mon coeur, au Nom de Jésus. Amen. Que Dieu vous bénisse, mon frère. Maintenant, allez et soyez bien portant au Nom de Christ.

108      Maintenant, croyez-vous de tout votre coeur? Alors, Bien-Aimé Père céleste, alors que ce jeune homme se tient ici, et que je lui tiens la main, pour établir un contact avec lui, comme il est dit: «Ils imposeront les mains aux malades», je Te demande par cette prière de la foi de guérir cet homme, et puisse-t-il partir d’ici ce soir en se réjouissant, sachant qu’il a exactement fait ce que Dieu a dit. Que sa foi s’étende et s’empare de cela, pendant qu’il est ici à l’ombre de la croix. Nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.

            Croyez-vous que c’est terminé, frère, et que vous serez bien portant? Que Dieu vous bénisse alors.

109      Très bien, bien-aimée soeur. Croyez-vous qu’Il vous rétablira, bien-aimée soeur? Maintenant, regardez. C’est vous qui êtes malade. Dieu est ici. Il a–Il a déjà acquis votre guérison. Maintenant, regardez simplement et croyez cela et vivez. Cette scoliose quittera et ces ulcères aussi ; vous serez rétablie. Croyez-vous cela?

            Père béni, alors que cette petite femme se tient ici, elle sait qu’il n’y a rien du domaine médical ou de la chirurgie qui puisse aider cette scoliose. Rien ne le peut non plus, contre ces ulcères. Mais Toi, Tu le peux, Seigneur. Je l’amène à l’ombre de la croix, au Nom de Jésus-Christ, avec cette prière de la foi que j’offre pour elle, pour sa guérison. Amen.

            Maintenant, soeur, voici comment accepter cela: «Je suis dans la Présence de Dieu. La prière de la foi a été offerte. Si les autres peuvent être guéris, moi aussi. Merci, Seigneur. C’est terminé.» Maintenant, ne laissez jamais rien d’autre s’interposer là, vous serez guérie. Que Dieu vous bénisse.

110      Très bien, soeur. De quoi voulez-vous qu’Il vous guérisse? Croyez-vous qu’Il le fera?

            Ô Seigneur béni, alors que cette femme s’avance, pendant que cette grande église est en train de prier, les ministres de l’Evangile, des femmes fidèles, tous en prière, nous Te demandons, au Nom de Jésus-Christ, de guérir cette femme. Reçois notre prière de la foi, Seigneur, afin qu’elle soit rétablie, au Nom de Jésus-Christ. Amen.

            Que Dieu vous bénisse, soeur. Est-ce une chose finie pour vous? Croyez-vous que vous allez vous rétablir? Que Dieu vous bénisse alors que vous poursuivez votre chemin.

            Très bien, mon frère. Croyez-vous que Dieu vous rétablira? Ô Seigneur, mon Rédempteur béni, je bénis cet homme au Nom de Christ. Je Te prie de le guérir et de le rétablir. Que ça soit une chose finie dès maintenant même. Qu’il se rende compte que le Dieu même qui a créé les cieux et la terre a envoyé Son Fils mourir à cette fin. Et Il a affirmé, par Sa grande promesse, que «vous ferez aussi les oeuvres que Je fais.» Ces dernières Paroles qui sont sorties de Sa bouche, c’étaient: «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru: Ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris.» Nous croyons cela et nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.

            Que Dieu vous bénisse, frère. Que Dieu soit avec vous.

111      La vôtre, frère? Croyez-vous que Dieu vous guérira, mon frère? Ô Dieu, alors que ce brave homme se tient ici, il a l’air digne et en bonne santé. Mais le diable ne fait pas acception ; il attaque les forts tout comme les faibles. Et maintenant, le diabète est en train de frapper. Ô Père, je prie, d’une façon ou d’une autre, que depuis les ombres de la croix, ici... Quand je l’ai vu, pendant que je prêchais, je l’ai vu absorber ces Paroles, je prie que celle-ci soit la soirée où le diabète commencera à quitter son corps et il sera bientôt déclaré totalement guéri. Accorde-le, Père. Au Nom de Jésus, j’offre cette prière de la foi pour lui. Amen. Qu’Il vous bénisse, mon bien-aimé frère.

            Que Dieu vous bénisse, bien-aimé frère. Croyez-vous qu’Il vous rétablira? Ô Dieu bien-aimé, alors que ce frère me regarde en face, et il a dit: «Je crois absolument que Jésus-Christ me guérira.» Je prie maintenant, et je le bénis dans ce Magnifique et Tout-Suffisant Nom du Seigneur Jésus, je demande que Sa Présence divine, Lui qui est maintenant ici, veillant sur cette ligne de prière au fur et à mesure qu’ils passent... qu’il soit guéri alors que j’offre cette prière de la foi, au Nom de Jésus. Amen. Que Dieu vous bénisse, frère. Considérez cela comme terminé et allez en vous réjouissant.

112      Petite fille? Sourde-muette. Je ne dis pas qu’elle recouvrera son état ici. Est-ce vous son père? Etes-vous chrétien? Croyez-vous qu’Il le fera? Croyez-vous? Est-ce que l’assistance croit que cette petite muette sera guérie?

            Maintenant, rappelez-vous, je ne réclame pas à Dieu des miracles. Non. Mais s’Il désire faire cela, c’est en ordre. S’Il vient dans cette assistance, prend et fait des choses qu’Il a faites, c’est un miracle suffisant pour convaincre qu’Il est ici, ne le croyez-vous pas?

            Mais la raison pour laquelle je demande que ces petits enfants soient...?... ils sont trop petits pour avoir la foi pour eux-mêmes. S’ils peuvent juste dire un petit mot. Quand Elie a envoyé Guéhazi là voir le nuage, celui-ci a dit: «J’en vois un de la taille d’à peu près la main d’un homme.» Il a dit: «J’entends le bruit d’une pluie abondante.» Si seulement Dieu donne à cette fillette... J’ai vu une femme sourde là dans l’assistance secouer la tête à mon intention. Pouvez-vous m’entendre très bien...?... soeur? Si vous le pouvez, faites signe de la main. La voilà, assise ici même, la rangée de devant. Il y a quelques instants, elle était sourde, maintenant elle entend. Voyez? Nous remercions Dieu pour cela.

113      Maintenant, c’est juste–juste demander si nous pouvons trouver grâce aux yeux de Jésus. Je vais vous demander quelque chose, amis. Vous essayez...?... tout autant que mes petites prières. C’est votre Père dans...?... Et nous prions, faisons donc...?... Je vais lui imposer les mains maintenant et demander cette bénédiction.

            Maintenant...?... onction...?... apparaît ici. C’est difficile de ne pas...?... ligne...?... garder ces discernements jusqu’au bout, mais j’essaie de terminer la ligne. Il se fait bien tard. Maintenant, inclinons donc la tête, soyons très respectueux. Et si c’était votre fillette, votre petite soeur. Eh bien, soyez très respectueux.

            Maintenant, frère, je ne sais pas s’Il le fera. Qu’Il le fasse ou pas, nous croirons cela de toute façon, n’est-ce pas? Très bien. Laissez-moi avoir l’enfant.

114      Maintenant, Précieux Seigneur, cette précieuse et douce petite chérie se tient ici avec ses petits yeux bruns levés...?... petite chevelure blonde rousse, une belle petite créature. Peut-être qu’un jour, elle deviendra la femme d’un petit prédicateur si Tu tardes. Mais le diable a fait cette vilaine chose. Il a pris cette maladie et l’a placée sur elle. Je Te prie de la guérir. Ô Dieu, pour encourager le coeur du père et encourager l’enfant, veux-tu juste lui accorder sa guérison d’ici peu, Seigneur, afin qu’ils voient que le signe de la nuée est ici, que c’est Toi qui fais cela? L’enfant dans cet état ne pourra jamais rien entendre, ce–c’est... Nous savons qu’elle ne saura quoi faire avec elle. Mais le père l’instruira.

            Et maintenant, avec mes mains sur les oreilles de cet enfant, ayant été commissionné par un Ange de Dieu, je t’adjure, toi esprit de surdité et de mutité, de quitter l’enfant, au Nom de Jésus-Christ.

115      Maintenant, j’aimerais que toutes les têtes soient inclinées, tous les yeux fermés, et soyez en prière juste un instant. Et j’aimerais examiner l’enfant pour voir ce que notre Seigneur a fait. Maintenant, rassurez-vous. Gardez vos têtes inclinées, car l’Esprit peut venir vers vous.

            [Frère Branham claque ses doigts.–N.D.E.] La glace, glace... Aimes-tu la glace? [Frère Branham claque ses mains.] Entends-tu ça? Dis: «Pa, papa. Papa.» Dis: «Papa, papa.»

            Eh bien, rappelez-vous qu’elle n’avait jamais entendu. Restez très calmes juste une minute. Je crois en fait que la jeune fille peut entendre, et je vais essayer de l’amener à parler juste un instant. Soyez très respectueux, s’il vous plaît.

            Papa. Ouvre la bouche. Pa–pa–papa. Pa... Ouvre la bouche.

            Si je peux l’amener à ouvrir la bouche. Voyez, elle ne sait pas ce que j’essaie de faire. Pa–pa [Frère Branham claque.–N.D.E.] Elle peut entendre cela. Elle peut entendre cela. [Frère Branham claque de nouveau.] Maintenant, qui est-ce? Papa. Ouvre. Pa–papa, papa, papa. Juste dans...?... [Frère Branham claque.]... Dis...?...

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