La Foi Qui A Eté Transmise Aux Saints Une Fois Pour Toutes

Date: 57-0610 | La durée est de: 1 heure et 52 minutes | La traduction: Shp
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1          [Frère Joseph présente frère Branham.–N.D.E.] Merci, Frère. Merci. Merci, Frère Joseph. Merci, Frère Joseph. Bonsoir, mes amis. Vous pouvez vous asseoir. Avec un tel accueil, n’importe qui devrait prêcher. C’est vraiment un grand privilège d’être ici ce soir et à ce merveilleux carrefour de l’Amérique, en ce grand lieu saint ici dédié en mémoire d’un–un homme qui a aimé Jésus-Christ, feu E. Howard Cadle.

            Et le... Il y a toujours quelque chose, chaque fois que je pense à monsieur Cadle, qui vient à l’esprit, quelque chose qu’il avait l’habitude de dire: «Nous venons pour faire de ceci un lieu où il fait beau vivre, un lieu où il serait plus difficile de faire ce qui est correct, ou plutôt plus difficile de faire ce qui est mauvais et plus facile de faire ce qui est correct.» Quelque chose de ce genre. [Espace vide sur la bande–N.D.E.] Il avait l’habitude de dire cela dans ses émissions. Combien j’appréciais le ministère de frère Cadle.

2          J’ai chez moi son livre Quand j’ai fait demi-tour, je pense que c’est cela son titre. Comment je suis revenu? Comment dans le sous-sol ici, il a vu la photo de sa mère déposée là, par terre, alors qu’il avait pratiquement perdu ce tabernacle et comment il fut encouragé à revenir.

            J’ai beaucoup de respect pour un homme qui, une fois qu’il a commis une faute, a assez de courage de se relever et d’essayer encore. Nous allons tous commettre des fautes. Les meilleurs commettent des fautes.

            Mais un soldat n’est pas celui qui reste étendu après qu’il a été terrassé, mais celui qui se relève. Nous chantions autrefois un petit cantique: Laisse-moi me relever et essayer encore. Et j’aime ça. En effet, j’ai commis beaucoup de fautes dans ma vie, comme nous tous. Mais je suis toujours reconnaissant à Dieu pour la grâce qu’Il m’accorde de me relever pour essayer encore. Je pense que le cantique est intitulé, Pardonne-moi, Seigneur, et éprouve-moi une fois de plus. Je pense que c’est ça. Je serai Tien, si Tu es mien. Que je tombe ou que je pèche, laisse-moi me relever et essayer encore. Ramène-moi et éprouve-moi une fois de plus. C’est...?... J’aime ça.

3          C’est pourquoi je fais confiance que Dieu fera pour ce grand Corps de Christ ici sur terre ce soir, qui a... Nous sommes tous coupables de–d’avoir fait de mauvaises choses, mais puissions-nous, nous qui nous sommes assemblés ici ce soir, avec le reste du grand Corps visible de Christ ici sur terre, puisions-nous nous relever et essayer encore.

            J’espère que cette convention sera l’une des vents... conventions les plus remarquables que ce groupe ait tenues à n’importe quel moment. Non pas parce que moi, je suis encore avec vous cette fois-ci, mais parce que, je pense, c’est le temps où la grande Eglise du Dieu vivant s’est mise debout, s’est secouée et s’est apprêtée.

            Nous sommes... Ce soir, nous sommes dans une ville qui est appelée le carrefour de l’Amérique. Non seulement cela, mais l’église est à un carrefour. Et nous nous approchons du temps où Jésus viendra, je crois. J’attends ce temps-là, essayant de vivre et de me préparer pour cette heure-là.

4          Maintenant, il me revient, par la grâce de Dieu et par votre courtoisie et votre accueil, de vous prêcher le Seigneur Jésus, Lui le crucifié, et de prier pour les enfants de Dieu qui sont malades. Comme je l’ai dit sur les marches du monument hier soir, je ne suis pas venu prendre la place du médecin, mais je suis venu prier pour les enfants de Dieu, les patients du médecin et mes amis.

            Je crois que la prière change des choses. J’ai vu la mort être repoussée par la prière et la vie prendre sa place. Et si vous êtes témoin oculaire de ces choses, et que vous savez de quoi vous parlez, je vous assure, cela vous fera apprécier la prière. Je n’ai rien en moi-même pour guérir les gens. Je reçois beaucoup de critiques pour avoir dit cela. Disait... Quelqu’un disait l’autre jour, il disait: «Frère Branham, il y a des prédicateurs qui disent tous: ‘Je chasse les démons’, et vous, vous demandez toujours à Jésus de le faire.» Jésus a dit: «Tout ce que vous demanderez au Père en Mon Nom, Je le ferai.» J’aime ça. Je ne peux pas le faire, mais Lui le peut si je le Lui demande. C’est là mon devoir. C’est notre devoir de croire cela.

5          Eh bien, les quelques dernières semaines, il y a eu un changement, que je... le Seigneur m’a donné dans le ministère. C’est la première fois que j’aie jamais essayé de prier pour les malades comme je vais commencer ici au tabernacle, le Seigneur voulant, c’était il y a quelques jours à Saskatoon, Saskatchewan, dans l’arène de glace.

            Quand j’étais à Maine, avec mes jeunes gens chargés de l’enregistrement ici, il y a de cela moins d’un mois, le Seigneur m’a révélé là dans les bois du nord comment je peux conserver ma force tout en ayant néanmoins des visions et en priant pour les malades. Et j’ai essayé cela à Saskatoon, et c’était merveilleux. Je crois que c’est la meilleure réunion que j’aie eue en Amérique pendant les sept ou les huit dernières années.

6          Ce soir, comme nous faisons connaissance et nous nous familiarisons un peu, je me suis dit que nous avons donc le... Peut-être, si le Seigneur conduit le... ce genre de ligne de prière ou l’ordinaire, ou quoi que ce soit.

            Mais ce n’est pas ça l’essentiel de notre présence ici. Nous sommes ici pour essayer d’amener chaque pécheur à être sauvé, celui qui est à Indianapolis ou ici aux alentours, autant que possible.

            Je pense qu’on accorde trop d’importance à la guérison divine. Je pense que le corps le plus malade, à ma connaissance, c’est le Corps du Seigneur Jésus-Christ. Il a besoin de guérison. Et il faut de telles conventions où les hommes de différentes dénominations s’assemblent comme des frères. C’est ce qui opère la guérison. La grande Eglise rachetée de Dieu devrait être d’un même coeur et d’un commun accord. Dieu vivra en elle.

7          Et maintenant, si... Il m’a été demandé de parler aux réunions de l’après-midi. Demain, j’ai tellement de rendez-vous que je ne pense pas pouvoir faire cela, peut-être demain après-midi, je ne suis pas sûr. Mais, le Seigneur voulant, le lendemain dans l’après-midi, j’aimerais me retrouver un peu seul tard l’après-midi pendant qu’il y aura le service ici afin de pouvoir prier, me concentrer, attendre le service de demain soir. J’aimerais qu’il soit le meilleur. Je–je–j’aimerais faire de mon mieux. J’aimerais être trouvé faisant de mon mieux. Le temps qui me reste, je–je veux que cela, chaque heure, compte pour Christ.

            Je suis déterminé dans mon coeur, par la grâce de Dieu, à faire tout ce que je sais faire pour le Royaume de Dieu et la Venue de Christ. Priez aussi pour moi. Je dois prendre une décision maintenant même. De grands services sont programmés pour outre-mer. Des milliers et des milliers attendent. Je fais une pause dans mon coeur au sujet du départ. Priez pour moi. Dieu me conduira correctement.

8          Maintenant, juste avant d’ouvrir cette vieille Bible bénie, inclinons la tête devant l’Auteur un moment.

            Ô notre Seigneur béni, nous entrons dans Ta Présence le plus humblement possible, au Nom de Ton Fils bien-aimé, le Seigneur Jésus. Nous prions, sollicitant la conduite divine ce soir, et que Tes miséricordes reposent sur nous. Beaucoup de Tes enfants sont peut-être assis ici malades et nécessiteux. Peut-être que certains d’entre eux sont malades dans leur âme.

            Je prie que le Saint-Esprit pourvoie à tout ce dont nous avons besoin ce soir, alors que nous nous abandonnons à Toi comme des vases avec lesquels travailler. Nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.

9          Juste pour un–un court texte ce soir... Je suis sûr que cette horloge ne fonctionne pas bien. Elle marque quatorze heures. Je ne suis pas allé aussi loin, assurément pas. Mais je ne cherche pas à vous retenir longtemps. Mais j’aimerais consacrer la plus grande, la grande partie du temps à la ligne de prière.

            Et maintenant, dans l’Epître de Jude, au verset 3, je voudrais lire ceci comme texte:

Bien-aimés, comme je désirais vivement vous écrire au sujet de notre salut commun, je me suis senti obligé de le faire afin de vous exhorter à combattre ardemment pour la foi... transmise aux saints une fois pour toutes.

10        Que le Seigneur ajoute Ses bénédictions à cette lecture. Ceci est plutôt un texte inhabituel. C’est une déclaration inhabituelle. En effet, il nous est demandé de combattre, et pourtant la Bible dit qu’il ne devrait pas y avoir de disputes parmi nous.

            Mais nous remarquons que ce n’est pas seulement combattre, mais combattre ardemment. La dispute est bonne si elle porte sur une bonne chose. Et Il a dit: «Combattre ardemment pour la foi qui a été transmise aux saints une fois pour toutes.»

            Maintenant, vous entendez beaucoup de gens dire aujourd’hui: «Oh! la guérison divine, c’est contraire à ma foi. Le baptême du Saint-Esprit, c’est contraire à ma foi.» Il n’y a qu’une seule foi. Et cette foi-là ne vient pas par l’adhésion à l’église. Cette foi vient de ce qu’on entend, et ce qu’on entend de la Parole de Dieu.

            S’il nous est donc demandé de combattre ardemment pour la foi qui a été transmise aux saints une fois pour toutes, cette foi-là ne devrait pas provenir d’un manuel de credo, mais elle devrait provenir de la Bible de Dieu. Car la foi ne peut pas reposer sur les sables mouvants de la théologie de l’homme. Mais elle peut reposer uniquement sur le Rocher éternel de la Parole immuable de Dieu. C’est l’unique endroit où la foi peut suffisamment se reposer.

11        Peu importe combien une autre chose paraît réelle, combien cela paraît pieux, cela doit provenir de la Parole du Dieu vivant. En effet, la foi vient uniquement de ce qu’on entend, et ce qu’on entend de la Parole.

            Il y a donc beaucoup de choses qui semblent attirer l’oeil. J’ai souvent pensé en voyant de grands temples de–de diverses religions, et combien ils peuvent paraître beaux. Je pense au–au temple de Diane dans la Bible, et on affirme que c’était plus beau que le temple de Salomon, c’était en marbre incrusté d’or, c’était dédié à la déesse Diane d’Ephèse.

            Mais ce n’est pas l’apparence qui compte. C’est ce que la Parole de Dieu dit qui compte: «Telle voie paraît droite à un homme.» Ainsi donc, la foi ne peut pas se reposer sur des apparences. La foi ne trouve son lieu de repos que dans la Parole. Et il nous est demandé de combattre ardemment pour la foi qui a été transmise aux saints une fois pour toutes.

12        Et le mot saints vient du mot être sanctifié. Et sanctifier, c’est un mot composé qui veut dire être nettoyé et mis à l’écart. Et les vases qui étaient mis sur l’autel sanctifiaient les vases; l’autel sanctifiait les vases, et ils étaient mis à l’écart pour le service au temple.

            Un vase de Dieu, ce que nous sommes, est sanctifié par le Sang du Seigneur Jésus et mis à l’écart pour le service de Dieu.

            Il y a quelques semaines là au Mexique, il y a quelques mois plutôt, à Mexico, je tenais un réveil. Et, oh! comme ces pauvres gens restaient là debout depuis neuf heures du matin jusqu’à neuf heures du soir!

            Avant que j’arrive là, chaque jour, ils restaient debout comme des brebis, appuyées les uns contre les autres sous les rayons directs du soleil du Sud, très affamés.

            La raison pour laquelle aujourd’hui cette grande et prodigieuse nation qui est la nôtre, l’Amérique, ne reçoit pas ce que nous devrions recevoir, c’est que nous ne sommes pas suffisamment affamés. Quand nous nous mettrons réellement au travail, alors Dieu se mettra à agir.

13        Alors, ils restaient debout, appuyés les uns contre les autres, les mères avec leurs petits enfants malades, soulevant leurs bien-aimés, se tenant sous le soleil, rien que pour garder une place toute la journée durant. Et alors qu’on devait me faire passer par-dessus un grand et haut mur, pour descendre dans un lieu du genre d’arène, le genre de lieu où les réunions étaient tenues, on me faisait monter à l’aide d’une échelle à corde et on me faisait descendre. Et quand j’ai regardé...

            Et après la soirée, une soirée là, un vieux Mexicain est venu. Et il n’avait pas de chaussures, sa barbe était grise, c’est à peine s’il avait des habits pour se couvrir. Il était aveugle. Et pendant qu’il s’avançait vers moi, il a fait sortir le petit chapelet et s’est mis à répéter une prière. J’ai demandé qu’il les dépose. J’ai dit: «Ce n’est pas nécessaire, frère.» J’ai regardé le vieil homme, ses pieds étaient ridés, couverts de poussière, et je me suis dit que peut-être cet homme n’avait jamais eu un bon repas de toute sa vie. Et ils travaillent dur pour gagner un maigre petit salaire.

14        Alors, j’ai regardé ses pieds, j’ai mis mon pied à côté du sien. Je me disais que peut-être je pouvais simplement, sans que l’assistance voie, enlever mes chaussures et les lui donner. Mais ses pieds étaient plus larges, et j’ai mis mes épaules contre les siennes, pour voir si je pouvais lui donner mon veston. Et je me suis dit que ce pauvre homme, avec toutes ces difficultés, subit un sort si mauvais cependant qu’il titube dans les ténèbres. Un ennemi cruel que nous avons, le diable.

            Et je commençais à sympathiser avec lui, je l’ai entouré de mes bras et j’ai demandé à notre Bienveillant Père céleste de bien vouloir restaurer la vue à ce pauvre homme aveugle. Tout d’un coup, il m’a entouré de ses bras, et il a crié à tue-tête. Il pouvait voir, il pouvait voir. Il a parcouru l’estrade en se réjouissant.

            La soirée suivante, des habits furent déposés là, un tas aussi long que cette estrade ici, avec juste de vieux vestons, des chaussures, des chapeaux et... Comment reconnaissaient-ils donc quoi appartenait à qui, je ne sais pas. Les gens, juste si vous passez donc à côté de cela, ils croient qu’ils seraient guéris. Je me suis dit, oh! je ne trouve pas ce genre de foi en Amérique. En effet, nous obtenons des choses trop facilement.

15        Et autre chose, c’était un territoire vierge. Et ici, il y a une chose et une autre. «Je crois ceci et je crois cela.» Le christianisme, le soi-disant, a trop de relâchements. C’est vrai. Mais en réalité, il n’y a qu’une seule vraie foi.

            Hier soir, au temple ou sur les marches du monument, un vieux frère est passé, il m’a entouré de ses bras et il pleurait. Car... Tout celui qui se tenait là a pu l’entendre. Il a dit: «J’aimerais vous étreindre, Frère Branham.» Il a dit: «Vous avez prié pour moi là à Lima.» Je pense que c’était ça, et il a dit: «Le Seigneur m’a guéri du cancer, et je n’avais jamais eu l’occasion de vous exprimer mes sentiments pour avoir offert cette prière pour moi.»

            Reconnaissant, si seulement nous étions assez reconnaissants! Mais si les méthodistes ne veulent pas de nous, nous irons chez les baptistes. Si les baptistes ne veulent pas de nous, nous irons chez les pentecôtistes. Si les assemblées ne veulent pas de nous, nous irons chez les unitaires. Nous allons sans cesse de l’un à l’autre, et nous devenons des trotteurs de mission en mission, on sait à peine ce que nous croyons en fait.

16        Frère, ce dont cette grande église a besoin, c’est de revenir à la Parole et de revenir à Dieu, aux réunions de prière à l’ancienne mode, et–et aux chants à l’ancienne mode, à l’Evangile à l’ancienne mode, et revenir à la foi en Dieu à l’ancienne mode, et à une expérience du salut par le Fils de Dieu.

            La soirée suivante, à la petite réunion au Mexique, il y avait quelque vingt mille personnes qui avaient accepté Christ, quand ils ont vu un petit enfant... La mère, une petite femme catholique, elle était très affolée. On m’a dit qu’elle était dans l’assistance depuis environ quinze heures. Et son petit enfant, la veille, le médecin avait déclaré qu’il était mourant. Et à un moment de l’après-midi, il avait rendu l’âme. Elle était dans l’assistance et il pleuvait très abondamment. Elle se tenait là dehors, affolée. Frère Espinosa et d’autres frères avaient distribué des cartes de prière, ainsi que Billy, mon fils.

            Et la petite femme n’avait pas reçu une carte de prière parce qu’elle n’avait pas pu s’approcher suffisamment. Cela avait été tout entassé ensemble. Mais elle était déterminée à entrer dans la ligne de prière, et elle poussait des cris.

17        Billy est venu, et il a dit: «Papa, tu vas devoir descendre vers cette femme ou faire quelque chose.» Il a dit: «Il n’y a pas assez d’huissiers pour la retenir hors de la ligne.» Elle a un petit enfant enveloppé sous son bras. Et une petite... Une belle petite dame d’environ vingt-cinq ans, je pense, ou pas plus que cela.

            Elle criait: «Padre!», tout aussi fort que possible, pour qu’on ait pitié de l’enfant. J’ai dit à frère Moore, frère Jack Moore, j’ai dit: «Descends prier pour elle afin que... l’enfant. Cela la satisfera, car, ça ne serait pas correct pour moi de quitter ici maintenant, descendre là auprès des autres.»

            Juste quand j’allais continuer le message, j’ai vu un petit enfant debout devant moi. J’ai dit: «Juste un instant, Frère Moore.» Je suis descendu vers la petite dame et je lui ai demandé d’amener l’enfant là, il était tout enveloppé dans une couverture et c’était vraiment mouillé.

18        Eh bien, je ne peux pas dire que j’ai uniquement le témoignage. J’ai posé mes mains sur la petite couverture et j’ai demandé à Dieu d’être miséricordieux envers la petite femme qui avait une si grande foi pour croire, et le petit corps était calme. Et aussitôt que les paroles avaient été prononcées, un cri, un hurlement a retenti de sous cette couverture-là. Et elle s’est donc tout affolée. Elle s’en est allée en criant et faisant des histoires.

            Le lendemain, j’ai quitté le Mexique. Je n’avais jamais saisi cela exactement jusqu’à ce que frère Espinosa... Nous ne pouvons pas... Nous ne faisons pas de telles déclarations sans que cela soit authentique. Donc, frère Espinosa a fait des recherches sur la femme, il a découvert qui elle était, il a établi la véracité de cela par un médecin, que l’enfant avait péri et qu’il était mort. Et l’enfant est bien portant ce soir. C’est par la foi qui a été transmise aux saints une fois pour toutes...?... par cela, agissant dans une femme catholique qui avait fait...

19        Le lendemain, la presse m’a interrogé pour savoir si je pensais que leurs saints pouvaient faire la même chose. J’ai dit: «S’ils étaient des saints et qu’ils étaient vivants, ils le pourraient.» C’est un vase sanctifié qui nous met à l’écart pour le service de Dieu qui y habite.

            Il y a quelques soirées à Saskatoon, au Saskatchewan, un petit garçon est venu à l’estrade. Et il m’a chuchoté à l’oreille: «Je suis catholique.» Il avait une bosse sur le dos. Il a dit: «Nous croyons dans la guérison divine.» J’ai dit: «Mais, fils, Dieu honore cela. Mais vous recevez cela d’une statue, vous avez pris une statue ou vous priez une personne morte.» J’ai dit: «Mais c’est un peu différent de ce que, je crois, la Bible enseigne.» J’ai dit: «Voici comment nous croyons la guérison divine. Nous croyons que Dieu est éternel. Et tout ce qui a un commencement a une fin. Mais Dieu n’a pas de commencement; par conséquent, Il n’a pas de fin. Et le monde a été créé par Lui parce que c’est Lui le Créateur. Il l’a créé à partir des choses qu’Il n’avait pas pour créer avec, rien que par Sa Parole parlée, cela est venu à l’existence. Et il n’y a qu’un seul type de guérison, c’est la guérison divine.

20        Toute guérison est une guérison divine. Les médecins apportent des secours; c’est Dieu qui est le Guérisseur. Les médecins remettent les os en place, c’est Dieu qui opère la guérison. Le médecin vous donne le médicament pour tuer les rats chez vous, mais c’est Dieu qui bouche les trous que les rats ont faits en rongeant.

            Maintenant, l’unique guérison, c’est la guérison divine. Et j’ai donc dit: «Jésus a dit que nous qui croyons en Lui et qui écoutons Sa Parole, nous avons la Vie Eternelle. Et la Vie Eternelle est la Vie de Dieu. Et quand un homme naît de nouveau, il devient une partie de Dieu et il est absolument impérissable. ‘Celui qui écoute Mes Paroles, et qui croit à Celui qui M’a envoyé, a la Vie Eternelle, Eternelle, et il ne viendra point en jugement, mais il est passé de la mort à la Vie.’»

            Nous devenons une partie de Dieu, parce que nous sommes nés de Lui, et l’Esprit de Dieu qui demeure en nous est immortel. Il n’a pas de commencement ni n’aura de fin. Et cette action en un homme lui donne la foi dans son Créateur, le même Créateur qui s’était tenu un jour sur la terre et qui avait dit à l’arbre: «Que plus personne ne mange de toi.» Et le lendemain, l’arbre avait séché. Et Jésus a dit: «Ayez foi en Dieu, car Je vous le dis, si vous dites à cette montagne: ‘Ôte-toi de là’, et que vous ne doutez pas, mais vous croyez que ce que vous avez dit arrive, vous le verrez s’accomplir.»

21        J’ai dit: «C’est la Parole Eternelle de Dieu proclamée par des gens nés de nouveau, par la prière, implorant Dieu, et Dieu est tenu à Sa Parole. Quand la véritable, pas le soi-disant, pas le semblant, mais une véritable foi établie se trouve dans le coeur d’un homme qui ne s’écarte pas de la Parole de Dieu d’un pouce, c’est la Parole de Dieu qui est prononcée par des lèvres d’un mortel.» C’est ça la foi qui a été transmise aux saints une fois pour toutes. Le petit garçon n’a peut-être pas très bien compris cela. Je lui ai dit de mettre une corde autour de lui. J’ai dit: «Si cette corde ne s’est pas rétrécie de trois pouces [7,50 cm] d’ici demain soir, je suis un faux prophète.»

22        Quelques instants après, un petit bossu est venu, ses petits bras pendant. J’ai dit: «Fils, je vais te demander de faire la même chose que j’ai demandé à l’autre garçon.»

            Et il a dit: «Eh bien, Frère Branham, a-t-il dit, nous sommes une famille pauvre.» Et ils venaient de très loin, du nord de la Colombie-Britannique. Il a dit: «Nous sommes à court d’argent, et il nous faut rentrer demain.» J’ai dit: «Viens ici, fiston, mon garçon.» Et j’ai fait passer les bras autour du petit bossu, une grande bosse sur son épaule, avec les mains posées sur le petit garçon, obéissant simplement à ce que Dieu a dit de faire, de prier pour le petit enfant, et tout d’un coup, je me suis dit que quelque chose était arrivé sous ma main. Et quand j’ai regardé dans ses petits yeux, ils étaient donc brillants et vifs. Et j’ai dit: «Quelque chose est arrivé, n’est-ce pas?» Il a dit: «Oui, oui, cela est arrivé.» J’ai dit: «Lève tes petits bras.» Et il a levé son bras là, et il n’y avait plus de bosse sur son dos, pas plus que rien. Il était parfaitement normal et rétabli.

            Qu’était-ce? La foi qui a été transmise aux saints une fois pour toutes agissant dans un enfant. Certainement.

23        Une femme aveugle est venue. Je ne sais pendant combien d’années elle avait été aveugle. Et pendant que je priais pour elle... Les jeunes gens ici ont son témoignage. Mais ça fait un certain nombre d’années, on l’a conduite à l’estrade tout à fait aveugle. Je lui ai parlé du Seigneur Jésus qui l’avait guérie il y a mille neuf cents ans et j’ai demandé si elle avait foi pour croire cela; elle a dit: «Je crois.»

            Et pendant que je priais pour elle, ses yeux se sont ouverts à l’estrade. Elle a quitté l’estrade, elle a dactylographié son propre témoignage et elle me l’a donné. Qu’était-ce? La foi qui a été transmise aux saints une fois pour toutes agissant dans une femme aveugle.

            Maintenant, si ce qui est plus convenable d’essayer, disons, s’il nous faut combattre pour une telle foi, et la foi a été transmise aux saints une fois pour toutes, ou aux sanctifiés, alors, il nous faut revenir à la Bible pour découvrir ce que ces saints ont fait, et le genre de foi qu’ils avaient.

24        Quand Dieu a ressuscité Christ de la tombe et qu’Il est monté Là-Haut, Jésus a laissé l’ordre à Son Eglise d’aller par tout le monde et de prêcher la Bonne Nouvelle. «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru.» Les miracles doivent suivre l’Eglise (Jusqu’où?) par tout le monde.

            Certaines personnes veulent limiter cette foi-là à un–un credo. D’autres veulent limiter cela à une dénomination. Mais voici ce que je déclare sur base de l’autorité de la Parole de Dieu: Il n’y a pas de limite à la foi de Dieu qu’Il a laissée à Son Eglise; en effet, Il a dit que tout est possible à ceux qui croient. Ce n’est pas limité.

            Et ce n’était pas seulement pour les disciples. Pierre a dit le jour de la Pentecôte, dans Actes chapitre 2, il a dit: «Repentez-vous, et que chacun de vous soit baptisé au Nom de Jésus-Christ, pour le pardon de vos péchés; et vous recevrez le don du Saint-Esprit. Car la promesse est pour vous, pour vos enfants, et pour tous ceux qui sont au loin, en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera.» Et cette foi-là a été transmise aux saints une fois pour toutes. Tant que Dieu appelle, cette foi-là est prête pour le croyant si vous avez... si seulement vous la recevez.

25        Remarquez, maintenant, c’était Jésus, le centre du christianisme. Et quand Il était ici sur terre... J’ai eu cette semaine dans mon bureau et les semaines suivantes... ou précédentes, juste à prier pour les malades. Quelqu’un a dit: «Frère Branham, je pense que vous avez perdu votre puissance auprès de Dieu.» Eh bien, je n’avais pas de puissance pour commencer. Tout ce que j’avais, c’était la grâce de Dieu. Et cela a été donné par Dieu. Je crois que la Bible nous enseigne que la prière change des choses. C’est la prière de la foi qui sauve les malades: la prière.

26        Maintenant, nous voyons à l’époque... Jésus n’a jamais prétendu être un Guérisseur, mais voyons donc ce qu’il disait à ce sujet. Nous savons que Saint Jean 14.7, Jésus a promis que le corps des croyants fera les mêmes oeuvres que Lui faisait. Et quand Il a quitté la terre, Il a laissé le profil ou le modèle que le Corps de Christ devrait suivre. Maintenant...

            Mais aussitôt que la première génération d’apôtres était passée, alors, ils se sont mis à dévier par de petites routes, ajoutant quelque chose, retranchant quelque chose, ajoutant ceci, retranchant cela. Ils ont brisé cela en morceaux, ils en ont fait une dénomination. Oh! Ils ont tout fait à cela. C’est devenu... C’est à peine s’il en reste assez pour que vous puissiez dire que c’est le Corps de Christ. Ça ressemble plus à une loge. C’est déboussolé, non pas à cause de la volonté de Dieu, mais à cause de la tradition de l’homme.

            Et Jésus a dit: «C’est en vain que vous M’adorez, en enseignant pour doctrine les commandements des hommes.» Eh bien, il y a une foi qui a été transmise aux saints et il nous faut combattre ardemment pour cette foi. Voyons ce qu’était cette foi. C’est Jésus qui l’a introduite.

27        Quand Il est d’abord venu, Il allait de lieu en lieu faisant du bien. Si je vous disais ce soir que l’esprit de quelqu’un était en moi, vous vous attendriez à ce que j’imite cette personne-là, parce que la vie même qui est en moi serait cette vie-là. Si je vous disais que l’esprit d’un certain grand criminel était en moi, eh bien, vous vous attendriez à ce que je sois un criminel. Si je vous disais que l’esprit d’un peintre était en moi, vous vous attendriez à ce que je tienne correctement le pinceau.

            Quand l’Esprit d‘Elie était venu sur Elisée, Elisée était exactement comme Elie. Et quand ce même Esprit est venu sur Jean-Baptiste à neuf ans, cela l’a même entraîné dans le désert.

            L’esprit qui est en vous, vous contrôle. Et si l’Esprit de Christ est en nous, le Corps de Christ sera comme Christ dans ses sentiments, dans ses actions. Quoi que ce soit, ça sera comme Christ. Cela fera les oeuvres de Christ. Dieu veut travailler dans le Corps de Christ comme Il a travaillé dans le Corps physique, corporel du Seigneur Jésus. Il veut travailler dans ce Corps de Christ, si seulement Il peut les amener au point où ils se tiendront tranquilles assez longtemps afin qu’Il puisse les placer sur le fondement de Sa Parole, pour qu’Il puisse travailler. Dieu ne peut pas travailler contrairement à Sa Parole.

28        C’est le niveau que l’église doit atteindre, revenir à la Bible, revenir à la foi. Maintenant, examinons cela une minute. Quand Jésus, tout au début de Son ministère, nous voyons un homme du nom de Nathanaël qui a été sauvé et qui est allé appeler un autre du nom de... ou plutôt Philippe est allé appeler Nathanaël, il a dit: «Viens voir Qui nous avons trouvé. C’est Jésus de Nazareth, le Fils de Joseph.» Et il l’avait trouvé sous un arbre en train de prier. Et quand il l’a trouvé, il a dit: «Viens et vois.»

            Je vous assure, quand cet Hébreu s’est relevé, il a dit: «Eh bien, peut-il venir de Nazareth quelque chose de bon?»

            Il a dit: «Viens et vois.» C’est la meilleure réponse que quelqu’un puisse donner. Viens voir toi-même. Ne viens pas pour critiquer. Viens, assieds-toi et écoute. Suis cela, si ce n’est pas conforme à la Parole, n’aie rien à faire avec cela. Si c’est conforme, Dieu doit agir par Sa Parole, car Sa Parole est une Semence. Chaque promesse est une Semence. Cela produira exactement ce que Dieu a dit que ça devrait produire, si cela est placé dans une bonne terre.

29        Et puis, en route vers là, probablement que Philippe l’a instruit et lui a dit: «Eh bien, quand tu arriveras, avance en croyant. Va là et tiens-toi dans la ligne. Observe et vois ce qui arrive.» Oh! Je peux entendre Nathanaël dire: «Je ne sais pas si je peux croire cela ou pas.» Eh bien, va simplement et découvre. Allons, accompagne-moi.

            Ils ont contourné la montagne, et ils ont trouvé Jésus en train de prier pour les malades, ou je ne sais quoi qu’Il devait faire ce jour-là. Et quand ils L’ont trouvé, Jésus a vu Nathanaël venir, et Il a dit: «Voici un Israélite dans lequel il n’y a point de fraude.»

            Et cet Hébreu fut étonné. Comment m’a-t-Il connu? Il ne m’a jamais vu de Sa vie. Il a dit: «Rabbi, d’où me connais-Tu?» Jésus a dit: «Avant que Philippe t’appelât, quand tu étais sous l’arbre, Je t’ai vu.» Je t’ai vu. Quels yeux! A trente miles [48 miles] de l’autre côté de la montagne. «Et Je t’ai vu quand tu étais sous l’arbre.»

            «Eh bien, a-t-il dit, Rabbi, Tu es le Fils de Dieu, Tu es le Roi d’Israël.»

30        Plus tard, les Juifs ont dit: «C’est Béelzébul. Il est un diseur de bonne aventure.»

            Jésus a dit: «Maintenant, vous dites cela contre le Fils de l’homme, Je vais vous pardonner; mais quand le Saint-Esprit sera venu, parler en mal contre cela, ne vous sera jamais pardonné ni dans ce siècle ni dans le siècle à venir.» Oh!...

            J’ai fêté un autre anniversaire l’autre jour. Je leur ai dit que j’avais vingt-cinq ans. Quelqu’un m’a regardé. J’ai dit, je ne compte que les années de ma conversion. Les autres années ne comptent pas de toute façon. C’est vrai.

            Mais sur le plan naturel, j’ai quarante-huit ans. Et tel que je vois ça, si jamais je vais faire quelque chose pour Dieu, je dois le faire maintenant. Car je vois les signes et l’écriture sur la muraille. Je vois l’église entrer dans la condition des laodicéens. Je vois de petits ismes, des modes, de petites sensations dispersant l’église, la séparant, la rendant pire que jamais. Je sais alors qu’il est temps. Je n’y peux rien. Quelque chose en moi me fait crier: «Retournez à la Parole.» C’est vrai.

31        Ô Eglise du Dieu vivant, comment cela est-il possible? Les quelques derniers jours, j’ai été déchiré et je suis resté éveillé tôt le matin en train de prier. Et j’ai dit à Dieu l’autre matin, j’ai dit: «Ô Dieu, je ne sais quoi de plus Tu peux faire. J’ai fait ce que Tu m’as ordonné, à ce que je sache, les gens vont sans cesse à la dérive, à la dérive.» J’ai dit: «La prochaine chose, Tu auras à agir Toi-même. Tu dois placer la foi et la confiance dans les coeurs de gens pour croire cela sinon tout ce que je pourrais faire ne changera jamais cela.»

            Alors, je me demande ceci si, dans notre grande nation et avec la grande richesse de notre pays, nous nous sommes étouffés sous de petits credos et dénominations au point que Dieu en est arrivé à placer cela devant les gens pour attirer seulement le jugement. C’est vrai.

32        Christ parcourait le pays, Il a dit: «Si Je ne fais pas les oeuvres de Celui qui M’a envoyé, alors ne Me croyez pas. Mais si Je fais les oeuvres de Dieu, même si vous ne Me croyez pas, croyez les oeuvres.» Et si ce grand Corps de Christ avait accompli ce genre d’oeuvres en ce jour-là, Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement, Son Corps produira les mêmes oeuvres.

            Il a dit: «Esaïe a bien dit: ‘Nous avons des yeux qui ne peuvent pas voir et des oreilles qui ne peuvent pas entendre.» Il a dit: «Même s’Il avait accompli beaucoup d’oeuvres devant eux, ils ne pouvaient néanmoins pas croire.» Et je me demande si ces grandes campagnes qui secouent, qui ont parcouru le pays, non seulement la nation, mais les nations, avec de grands signes et de grands prodiges, et les gens rejettent toujours cela, je me demande si ce n’est pas pour accomplir l’Ecriture: «Ce qui arriva du temps de Noé arrivera de même à la Venue du Fils de l’Homme.»

33        Pensez-y durant cette campagne; restez calme une minute, regardez vers le Ciel. Remerciez Dieu. Quoi de plus pouvez-vous faire? Alors, que le Saint-Esprit secoue votre conscience, vous secoue de l’intérieur jusqu’à ce que vous puissiez vous rendre compte que nous sommes à la fin. Ces choses doivent accompagner la Venue du Fils de Dieu. Ces choses sont le précurseur de la grande fin où nous sommes.

            Et la foi qui a été transmise aux saints une fois pour toutes, parole sur parole, signe sur signe, est exercée par le Saint-Esprit et les gens qui ont des dons, et l’église continue à fulminer et à exploser: «Vous n’êtes pas membre de mon organisation. Je n’aurai rien à faire avec cela.» Oh! Vous ne faites que grossir l’enfer en faisant cela. C’est vrai.

34        Remarquez, Il remontait la route vers Jéricho. Il a fait un détour en Samarie. C’était un détour. Mais Il s’est assis, ayant renvoyé Ses disciples. Une femme est sortie puiser de l’eau. Il a dit: «Apporte-Moi à boire.»

            Elle a regardé et elle a vu ce Juif-là. Ce n’était pas la coutume pour un Juif à cause de la ségrégation qu’il y avait dans le pays. Elle a dit: «Ce n’est pas la coutume que vous les Juifs, vous demandiez pareille chose aux Samaritains. Nous n’avons pas de relation.»

            Il a dit: «Mais, femme, si tu connaissais Celui à qui tu parles, c’est Toi qui M’aurais demandé à boire.» Oh! la la! Il n’y avait qu’Un seul qui pouvait dire cela. «Tu m’aurais demandé à boire. Je t’aurais donné des eaux que tu ne viendras point puiser ici dans ce puits de Jacob.»

            «Oh! a-t-elle dit, le puits est profond et Tu n’as rien pour puiser.» Que faisait-Il? Il contactait son esprit. Après avoir trouvé son problème, Il a dit: «Va chercher ton mari, et viens ici.»

            Elle a dit: «Je n’ai point de mari.»

            Il a dit: «Je sais que tu n’as point de mari. Tu en as eu cinq, et celui avec qui tu vis maintenant n’est pas ton mari; tu as donc dit vrai.»

            Considérez ce que la femme a dit. Qu’avait dit le Juif quand cela avait été accompli sur le Juif?

            «Eh bien, a dit le Juif, mais Tu es le Fils de Dieu.»

            Mais le Juif critiqueur a dit qu’Il était Béelzébul.

35        Voyez, ils ont dû faire cela pour recevoir la condamnation. Beaucoup parmi vous les historiens savent ce qui leur est arrivé plus tard. Quand Titus a assiégé les murs de... à Jérusalem, ils ont mangé leurs propres enfants, ils ont mangé l’herbe du champ, les écorces des arbres, on les a tués, on les a massacrés au point que le sang a coulé dans des rues. Certainement.

            Et le jugement, chaque fois que vous rejetez la miséricorde, il ne reste qu’une seule chose, et c’est le jugement. Quand la miséricorde de Dieu a été offerte et que les gens la rejettent, il ne reste que le jugement divin.

36        Et maintenant, remarquez ce qui est arrivé. Cette femme a dit: «Seigneur, je vois que Tu es Prophète.» Elle a dit: «Nous savons que quand le Messie sera venu, Celui qu’on appelle le Christ, Il nous annoncera ces choses.» Mais elle n’arrivait pas à comprendre Qui Il était. Considérez ce signe qu’elle attendait: Un homme, un homme qui pouvait connaître ces choses, qui pouvait discerner les pensées du coeur.

            La Bible dit, Daniel dit: «Sache, ô roi, qu’il y a un Dieu au Ciel qui connaît les pensées des hommes. Il connaît les secrets du coeur.» Certainement qu’Il les connaît.

            Ils connaissaient ce Dieu, ce qu’Il serait, et ils savaient qu’Il serait Jésus ou qu’Il serait le Messie. Et quand le... elle a vu cet acte être accompli, elle a dit: «Tu dois être un Prophète, car un prophète est une portion de Dieu.» Elle a dit: «Je... Tu dois être un Prophète. En effet, nous savons que quand le Messie sera venu, c’est ce qu’Il fera. Il nous annoncera toutes choses.»

            Il a dit: «Je Le suis, Moi qui te parle.» Oh! la la!

            Elle est entrée dans la ville en courant et a dit: «Venez voir un Homme qui a même connu les pensées mêmes de mon coeur et qui m’a dit ce que j’ai fait. Ne serait-ce point le Messie même?»

37        Remarquez encore, Il ne prétendait pas être un Guérisseur. Il ne disait pas: «Je vais vous guérir, venez ici.» Quand Il est passé au milieu d’une grande multitude de gens, Il n’a guéri qu’un seul qui était couché sur un grabat; Il le cherchait jusqu’à ce qu’Il l’a trouvé, puis Il l’a guéri et Il est parti. Dans Saint Jean 5 verset 19, quand les Juifs L’ont interrogé, Il a dit: «En vérité, en vérité, Je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-même.»

            «Le Fils ne peut rien faire de Lui-même, mais Il ne fait que ce qu’Il voit faire au Père.» Cela ne relève pas d’un homme de faire ces choses. Cela relève de Dieu seul, de faire cela et non, ce qu’un homme fait. Oh! Vous pouvez être travaillé mentalement; vous pouvez être sous émotions. Mais ce n’est pas ce dont je parle. Je parle de la foi qui a été transmise aux saints une fois pour toutes, ça a réglé la chose. Peu importe ce que vous avez senti, ou quelle sensation vous éprouvez, que vous ayez n’importe quoi, ou que vous n’ayez rien, cela est établi sur la Parole éternelle de Dieu. Voilà la foi qui a été transmise aux saints une fois pour toutes.

38        Non pas: «Tel frère a prié pour moi, et celui-ci a chassé un démon, celui-là a fait ça, l’autre»; les émotions mentales peuvent faire cela. Mais quand cette véritable foi authentique par laquelle Dieu a proclamé la vérité, cela s’établit dans le coeur de quelqu’un, c’est éternel.

            La sensation n’a non plus rien à faire avec cela. Dieu l’a dit. Alors, cette foi-là est stable. Advienne que pourra, comment vous vous sentez, que vous tombiez malade ou que vous fassiez cela ou pas, cela n’a rien à faire avec la chose. C’est cette foi-là qui a été transmise aux saints une fois pour toutes; qu’ils croient. Ils voyaient les oeuvres de Dieu. Ils savaient que c’était Dieu. Cela leur était confirmé. Jésus a dit: «Si Je ne fais pas les oeuvres de Dieu, alors ne Me croyez pas.» Mais Il faisait les oeuvres de Dieu. Et Il a dit: «Je ne fais rien de Moi-même, avant de le voir premièrement faire au Père. Tout ce que Je vois faire au Père, alors le Fils aussi le fait pareillement.» Il a dit: «Celui qui croit en Moi, fera aussi les oeuvres que Je fais.» C’était l’Eglise. Christ a laissé cela afin que Son Eglise ait Son Esprit. Et l’Esprit de Christ accomplira, agira, vivra comme Christ. Amen. Comment pouvons-nous nous diviser alors que Christ nous a enseigné l’amour fraternel? «A ceci, tous reconnaîtront que vous êtes Mon Eglise», quand vous avez l’amour les uns pour les autres.

39        Aujourd’hui, nous avons de petites sensations, de petits ismes qui nous divisent et nous séparent, de petites évidences, de petits tout le reste qui nous sépare. Cela montre que nous ne sommes jamais arrivés au point de nous abandonnés complètement au Dieu Tout-Puissant pour nous tenir sur la Colonne de Sa Parole éternelle et dire: «Je réclame maintenant la foi qui a été transmise aux saints une fois pour toutes.» Non pas du bout de vos lèvres, mais du fond de votre coeur. Non pas une conception intellectuelle, mais une expérience de la nouvelle naissance qui fait de vous une créature changée, c’est cela la foi qui a été transmise aux saints. C’est pourquoi vous voyez des gens, certains d’entre eux sur le toit de la maison tout le temps. D’autres disent: «Eh bien, j’étais guéri hier, mais que Dieu soit béni, j’ai perdu ma guérison.» Vous ne l’aviez jamais eue pour commencer. C’est vrai.

            Une fois que cette Parole est ancrée, tous les démons de l’enfer ne peuvent pas vous L’ôter. «Sur ce roc, Je bâtirai Mon Eglise, et les portes du séjour des morts ne prévaudront point contre Elle.» C’est vrai. Qu’était-ce? La Vérité spirituelle révélée de Jésus-Christ.

            Pierre a dit... «Qui dit-on que Je suis Moi, le Fils de l’homme?» Certains disaient Moïse; d’autres, Elie, et les prophètes et ainsi de suite. Et Il a dit: «Qui dites-vous que Je suis?»

            Pierre a dit: «Tu es le Christ, le Fils du Dieu vivant.»

            Il a dit: «Tu es heureux, Simon, fils de Jonas, car ce ne sont pas la chair et le sang qui t’ont révélé cela, tu n’as jamais appris cela dans un séminaire. Tu ne l’as pas non plus appris dans une quelconque dénomination. Cela n’est pas non plus venu d’un manuel de credo. Mais c’est Mon Père qui est dans le ciel qui t’a révélé cela. Et sur ce roc, Je bâtirai Mon Eglise et les portes du séjour des morts ne prévaudront point contre Elle.» C’était là la foi qui a été transmise aux saints une fois pour toutes. «Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais.»

40        Quand ce grand corps... Nous ne devons pas nous conformer à ce monde, mais être transformés. Le Corps de Christ est une nouvelle créature. Quand les choses anciennes sont passées et que le monde est sorti de nous, alors nous devenons de nouvelles créatures en Christ, toutes nos affections reposent sur des choses d’En Haut. Alors, nous regardons à Christ. Nous ne regardons pas aux choses du monde.

            Tenez, c’est si simple. Il y a la photo de madame Cadle d’un côté, il y a la photo de son fils de l’autre. Quand vous regardez de ce côté-ci, vous vous souvenez de madame Cadle. Quand vous regardez de l’autre côté, vous vous souvenez de la photo, de ce côté-ci, vous vous souvenez de E. Howard Cadle. Si vous regardez monsieur Cadle ou vous regardez l’horloge, vous regardez le drapeau. Quoi que vous regardiez, c’est ce dont vous vous souvenez.

41        Mais dès que vous vous mettez à considérer les symptômes et à dire: «Je me demande ce que mon pasteur dira. Je ne peux pas collaborer avec cela. Je ne sais pas...», ô frère, vous ne pouvez jamais rien avoir de Dieu comme cela. Il faut que votre foi soit établie sur la Parole Eternelle de Dieu et que vous disiez: «C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR.» Cela subsistera.

            «Que dira mon pasteur? Que dira ma dénomination? Vont-ils m’excommunier? Qu’est-ce que ça change?» Fixez votre coeur et votre foi sur Dieu. «Sur ce roc, Je bâtirai Mon Eglise, et les portes du séjour des morts ne prévaudront point contre Elle.» Cela montrait qu’elles essayeront, mais elles ne prévaudront pas.

42        Maintenant, la foi qui a été transmise aux saints une fois pour toutes. Si le corps de Christ, littéral, quand c’était en Jésus-Christ, quand cet Esprit de Dieu était en Christ: «Encore un peu de temps, a-t-Il dit, et le monde ne Me verra plus, mais vous, vous Me verrez; car Je serai avec vous jusqu’à la fin du monde. Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais, vous en ferez même de plus grandes que celles-ci, car Je m’en vais au Père.» Vous y êtes. C’est la foi qui a été transmise aux saints une fois pour toutes.

            Amis chrétiens, ne soyons plus des enfants. Ça ne sert à rien que nous restions des enfants; nous sommes des adultes. Cessez de rechercher ceci, rechercher cela, d’adhérer à ceci et d’adhérer à cela. Attachez votre coeur à la Parole de Dieu et à l’Esprit de Dieu. C’est ça la chose. Tenez-vous là et dites: «Ô Dieu, je crois en Toi.»

43        Je crois aujourd’hui de tout mon coeur que les messages et les choses que Dieu a faites à travers la nation, c’est seulement pour apporter la condamnation. Savez-vous que juste de l’autre côté de la mer, il y a un fou, et que tout ce qu’il aura à faire pour effacer Indianapolis de la terre, dans dix minutes, c’est d’appuyer un bouton? Une roquette s’envolera dans l’air et une bombe à hydrogène, et on a dit qu’on avait cela, ça exploserait tout l’océan. C’est tout ce que cela avait...

            Des gens fous et insensés sont là dans cet état-là, et l’Evangile a été prêché, le véritable, l’authen-... Oh! Je sais que Jambrès et Moïse avec-... Jambrès et Jannès résistèrent à Moïse... Le dieu à deux têtes de l’Egypte... Nous avons cela. Cela révèle seulement qu’il en existe un véritable. Et c’est vrai. Cela révèle seulement qu’il en existe un vraiment authentique.

            Il existe un vrai Dieu Tout-Puissant. Il existe un vrai Saint-Esprit. Il existe une véritable foi qui a été transmise aux saints une fois pour toutes. Cette même foi qui a été transmise aux saints opérera par la Parole sainte de Dieu. C’est ainsi qu’elle avait agi autrefois, c’est ainsi qu’elle agit aujourd’hui.

44        Pourquoi acceptez-vous un substitut alors que tous les cieux sont pleins de bénédictions réelles et authentiques de la Pentecôte? Pourquoi devrions-nous essayer autre chose? Retournons à Christ au cours de cette convention. Ayons nos coeurs pleins de Son amour. Il est là, faisant de Son mieux pour déverser cela en nous. Mais nous ne voulons pas nous tenir tranquilles assez longtemps.

            Nous avons beaucoup de petites jolies choses qu’il nous faut voir, beaucoup de modes. Le diable veut bien que vous fassiez comme Ève, que vous vous arrêtiez une minute. Ne lui accordez pas d’attention. Gardez vos yeux sur Christ, vos oreilles sur la Parole et continuez d’avancer. C’est la foi qui a été transmise aux saints une fois pour toutes.

45        Je vous le déclare ce soir par les Ecritures, que Jésus-Christ est ressuscité d’entre les morts, qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Je crois que nous sommes à la fin du temps. Je crois que le Jugement est proche. Je peux être vieux, je peux être considéré comme fanatique pour avoir dit cela, mais je crois que le temps de la Venue du Seigneur est déjà passé. Je crois que cela est passé de loin, car Dieu, comme Il l’était dans le monde antédiluvien, Il est patient, ne voulant pas qu’aucun périsse, mais voulant que tous arrivent à la repentance.

            Ô mon ami, revenez à Christ. Revenez avec votre coeur, revenez avec tout ce que vous avez et venez à Lui. Dites: «Seigneur Jésus, je crois.»

46        Maintenant, si Jésus-Christ, le Fils de Dieu, a dit: «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru. Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais. Vous ferez aussi les choses que Je fais. Je serai avec vous, même en vous jusqu’à la fin du monde», ensuite les disciples qui sont venus juste après Christ ont fait exactement les mêmes oeuvres qu’Il avait faites. C’est vrai. Exact.

            Ils... Quand ils ont trouvé que Pierre et Jean étaient des hommes du peuple sans instruction... Ils n’étaient pas instruits, ils n’étaient pas non plus intelligents. Mais ils ont dû constater qu’ils avaient été avec Jésus, car l’Esprit qui était en Jésus était en eux, accomplissant les mêmes oeuvres que Jésus avait accomplies, ayant le même genre de motif. Et tout ce que Jésus avait, c’est ce qu’ils avaient.

            Ils... Vous n’avez pas à être intelligent, vous n’avez pas à avoir une instruction. Il vous faut simplement avoir un coeur disposé. Dieu fait descendre Sa foi là, Sa puissance. La foi est une puissance. Et nous combattons ardemment pour cela.

47        Maintenant, si la Bible dit dans Hébreux 13.8: «Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement», soit cela est la vérité, soit ce n’est pas la vérité. Si Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement, Il doit être le même en essence, le même quant à la puissance, le même quant à la compassion, le même Christ, sinon Il n’est pas le même. Exact.

            Et s’Il est le même et qu’Il a promis les mêmes choses qu’Il faisait jadis dans Son corps littéral, Il les fera ici dans Son corps corporel de Ses croyants: «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru. Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais, vous en ferez davantage, car Je m’en vais au Père. Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus, mais vous, vous Me verrez; car Je serai avec vous, même en vous jusqu’à la fin du monde», ce sont les promesses. Ce sont là des promesses: «Encore un peu de temps et le monde ne Me verra plus.» Advienne que pourra, ils ne croiront jamais cela.

48        Regardez simplement ce qui est arrivé. Je suis un tout petit galet sur une grande plage parmi de grosses pierres. Mais rien que dans mon propre ministère, j’ai vu des dizaines de milliers de gens être guéris. Des gens se plaignent toujours: «Nous n’avons jamais vu un miracle, il n’y a pas...» Il n’est pas étonnant que vous ne puissiez pas voir cela. La Bible dit que vous ne pouvez pas voir cela. Vous êtes aveugles, aveugles à volonté. Si la Bible dit que vous ne verrez plus jamais cela, vous ne le verrez pas. Mais Il a dit: «Mais vous, vous Me verrez (le croyant), car Je serai avec vous, même en vous jusqu’à la fin du monde. Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais.» Vous y êtes. C’est devant le monde.

            Christ viendra. Il sera le Juge. Mais avant qu’Il puisse apporter le jugement, Il doit offrir la miséricorde pour être un Dieu juste. Et s’Il offre la miséricorde et que la miséricorde est rejetée, alors il ne reste que le jugement. Et vous vous jugez vous-même en Le rejetant. Ne le rejetez plus.

49        Prions. Alors que les minutes s’écoulent, Seigneur, et que nos coeurs sont en train de battre, chaque fois qu’ils battent, il y a un battement de moins que cela fera donc. Nous affrontons un très grand lieu obscur là appelé la mort. Chacun de nous, nous ne savons pas exactement quand ce coeur s’arrêtera. Nous ne savons à quel moment un missile pourra venir en tourbillonnant dans l’air. Ça sera trop tard.

            Toute petite quantité de pétrole, d’humidité, tout ce qui est en nous sera emporté, mais nous avons une seule assurance bénie. Ils n’ont jamais, ils ne pourront jamais fabriquer une bombe qui peut toucher cette âme. Elle est immortelle; c’est une partie de Dieu. Je suis très heureux ce soir, Seigneur, parce que cela est possible.

50        Je Te prie ce soir, Père Eternel, s’il y en a ici qui n’ont pas cet Esprit reposant en eux, puissent-ils prendre la résolution dans leur coeur, à cette convention, ou à cette heure même, de recevoir Christ maintenant, et qu’ils aient cette expérience. Ils peuvent avoir été des membres d’église pendant des années. Ils peuvent avoir essayé de se hâter, et de mener une bonne vie. Ils ont éprouvé des difficultés, leurs hauts et leurs bas.

            Ô Dieu, des choses pareilles, je Te prie ce soir, Seigneur, de régler cela pour toujours dans leurs coeurs maintenant même. Et voir combien c’est simple, non pas avec les facultés intellectuelles, mais avec leur coeur, croire que Jésus-Christ est ressuscité d’entre les morts et qu’Il est présent maintenant pour leur donner le désir de leur coeur.

51        Pendant que nous avons nos têtes inclinées, quelqu’un comme cela ici présent aimerait-il lever la main pour dire: «Frère Branham, souvenez-vous de moi. Je veux avoir la foi qui a été transmise aux saints une fois pour toutes, qu’elle demeure en moi»? Voudriez-vous faire cela, dire: «Priez pour moi»?

            Que Dieu vous bénisse, monsieur, vous et vous. Oh! la la! Que Dieu vous bénisse. Au moins deux ou trois douzaines de mains, ou plus, dans cette petite assistance ce soir. Y en a-t-il un autre qui aimerait dire... Dieu voit votre main, assurément qu’Il voit. «Frère Branham, souvenez-vous de moi. Je veux cette foi-là en moi. Je–je veux... Que Dieu vous bénisse, madame. Que Dieu vous bénisse, frère, là derrière. Que Dieu vous bénisse ici, ma soeur, et vous. Là à ma droite, que Dieu vous bénisse, soeur. Vous, vous, et vous ici en bas, que Dieu vous bénisse, et vous, soeur. Très bien. Que Dieu vous bénisse là derrière, ma soeur.

            «Je veux... Frère Branham, je sais que nous vivons dans les dernières heures.» Quoi? «Aurai-je une chance après ça?» Non, non. C’est ça. Vous pouvez ne pas avoir une chance après ce soir. Vous pouvez ne pas avoir une chance d’ici cinq minutes. Comment le saurai-je? Je ne sais pas. Mais il y a une seule chose, Dieu est innocent. Il a fait tout ce qu’Il a promis.

52        Pensez-y donc, dans mes propres petites réunions, j’ai vu des aveugles avec le... Beaucoup ont recouvré la vue, des sourds, des muets ont parlé et causé. J’ai vu trois cas précis, si pas quatre maintenant, quatre cas précis des morts ressuscités. J’ai vu le Seigneur Jésus entrer directement en scène parmi des gens, et discerner les pensées même de leur esprit. Juste ce qu’Il était dans l’Ancien Testament, juste ce qu’Il était dans le Nouveau Testament, Il l’est aujourd’hui, le même hier, aujourd’hui et éternellement.

            Le monde scientifique a pris la photo de ce grand Ange qui se tient à pas plus de cinq pieds [1,52 m] de là où je me tiens maintenant. Cette grande Lumière... Vous dites: «Appelez-vous cela Jésus?» C’est Jésus. C’était Jésus qui avait conduit les enfants d’Israël dans le désert. Nous le savons. C’était une Colonne de Feu, une Lumière.

            Et Il a dit: «Je viens de Dieu; Je vais à Dieu.» Et après Sa crucifixion et Sa résurrection, Paul L’a rencontré sur le chemin de Damas. Il était une grande Lumière brillante au point qu’Il a crevé les yeux de Paul. Certainement. Il est ici maintenant. Le monde scientifique l’a prouvé. L’église sait cela. Dieu le sait.

53        Mais qu’ont-ils fait? Ils ont continué sans cesse, de petites indifférences et des ismes; à chaque petite chose fantastique, ils se séparent, ils forment des dénominations, de petits cultes. Oh! Que Dieu soit miséricordieux envers les gens que j’aime de tout mon coeur.

            Que puis-je faire? Que puis-je faire? Il n’y a rien de plus que je puisse faire. Dieu doit vous dire que c’est la vérité. J’aimerais le dire à partir de Sa Parole. Dieu le confirme ici avec ce... Ayez foi en Dieu. Maintenant, Père, Tu as vu ces mains qui se sont levées. Pas moins de cinquante mains se sont levées ce soir pour montrer qu’ils voulaient qu’on se souvienne d’eux, Seigneur, dans la prière.

            Maintenant, je Te prie, Dieu très miséricordieux, de tout mon coeur et de toute mon âme, de bien vouloir ce soir recevoir ceux que Tu as vus lever les mains. Ils sont dans cet état-là. Ils se rendent compte qu’ils doivent affronter l’Eternité sans fin. Et je Te prie, ô Dieu, de ne jamais les laisser périr. Puisse ceci être le temps où le Dieu Eternel placera Son Esprit dans leur coeur, et qu’ils reçoivent la Vie Eternelle, qu’ils naissent de nouveau maintenant même, juste dans leurs sièges où ils sont assis. Ô Dieu, Tu connais leurs coeurs et puisse cela arriver juste en ce moment-ci. Qu’à partir de cette heure-ci, cela fasse d’eux des personnes changées.

54        Que cette convention soit une convention qui ressemblera à un grand voyage vers le Ciel pour eux. Accorde-le, Père. Et maintenant, Bien-Aimé Jésus, alors que nous en arrivons maintenant à l’autre partie du service, j’ai parlé longtemps, disant que les apôtres et la Bible nous ont recommandé de combattre ardemment pour la foi.

            J’ai essayé de présenter à cette petite assemblée ce qu’était la foi, ce qu’ils ont fait par la foi, que Tu es le même hier, aujourd’hui et éternellement. Le Christ qui vivait dans un corps appelé Jésus est le même Logos ce soir, qui vit dans le Corps de l’Eglise, accomplissant les mêmes choses, vivant de la même façon, aimant de la même manière, accomplissant les mêmes choses, le même Esprit produisant les mêmes choses: le même Jésus hier, aujourd’hui et éternellement.

            Ô Dieu, puisses–puisses-Tu vivifier cela dans les coeurs des gens et dans leur esprit, depuis le moins âgé jusqu’au plus âgé, je prie, au Nom de Christ. Amen! [Espace vide sur la bande–N.D.E.] Que le Seigneur vous bénisse. [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

55        Comme je me le dis, un jour, j’aurai à prêcher mon dernier sermon. Un jour, j’aurai à me tenir à la chaire pour la dernière fois. Je pense que c’était frère Cadle, quand il se tenait ici pour sa dernière fois, je pense aux autres hommes qui se sont tenus ici, des hommes qui sont morts. Peut-être B.E. Rediger, beaucoup d’autres qui se sont tenus à cette chaire. Ils se sont tenus pour leur dernière fois. Ils ont donné leur dernier témoignage.

            Un jour, je donnerai mon dernier témoignage. C’est vrai. Les gens ne... pour... Eh bien, pendant que nous sommes moins nombreux, nous parlons comme si nous étions en famille, assis à côté du divan, nous parlant l’un à l’autre. Pouvez-vous comprendre ce que tout cela représente? Pouvez-vous voir le jour dans lequel nous vivons? Pouvez-vous voir les relâchements de l’église, en quête de ceci, de telle dénomination, telle chose fantastique, la sensation?

            Cela n’a rien à faire avec la Parole de Dieu. La foi qui a été transmise aux saints de Dieu, la Parole Eternelle, et eux sont restés là. Christ l’a prouvé. Et je crois qu’Il le fera ce soir.

56        Maintenant, vous qui avez levé les mains pour une marche plus intime ou pour plus...?... qui avez reçu Christ, je prie que Dieu vous l’accorde. Dans une ou deux soirées, je ne leur ai pas demandé, nous aimerions trouver une salle ici. Nous aimerions vous y amener et nous attendre avec vous.

            Si vous n’avez pas reçu le Saint-Esprit, il y a une place préparée pour vous dans le Royaume de Dieu, Dieu veut vous y amener. Et vous pouvez recevoir le Saint-Esprit si seulement vous croyez. C’est pour les croyants. Eh bien, cela ne vient pas comme ceci, comme cela, ne pensez pas à ça. Attendez que quelque chose entre ici dedans qui... Eh bien, vous le saurez quand cela viendra. Restez là, c’est une partie de vous. C’est votre vie.

            Le Seigneur voulant, une soirée, au cours de cette semaine, j’aimerais prêcher sur Quand l’Est et l’Ouest se rencontrent.

57        Ce soir, je prie... Oh! la la! Je ne savais pas qu’il était si tard. Je pense que nous allons simplement tenir une ligne de prière ordinaire ce soir, juste comme nous en avons l’habitude; et demain soir, je viendrai un peu plus tôt et j’en commencerai une autre.

            Avez-vous distribué des cartes de prière? 100? 100. Très bien. Alignons quelques-uns. Par où allons-nous les faire venir? De ce côté-ci? Très bien. Très bien, mettons-en quelques-uns debout.

58        Maintenant, j’aimerais vous poser une question. Allez-vous m’accorder toute votre attention juste pendant quelques instants? Faites-le. Faisons ceci ce soir... Y a-t-il ici un étranger qui n’a jamais été dans ma réunion auparavant? Faites-nous voir la main. Pensez-y donc. Eh bien, que Dieu vous bénisse. C’est bien.

            Maintenant, laissez-moi vous prendre à témoin maintenant. Je ne prétends pas être un guérisseur, ni avoir la puissance pour guérir des gens. Et franchement, dans mon coeur, je ne crois pas qu’il y ait un homme sur la face de la terre qui le fasse. Je ne pense pas qu’il y en a déjà eu un qui l’ait fait. Je crois que cela revient à Dieu seul.

59        Et Dieu se sert de nous pour manifester Sa puissance. Pas nous, mais Dieu se sert de nous par la prière pour guérir les malades. C’est vrai. C’est la prière qui change des choses.

            Mais voici ce que je déclare, ami: Christ est le même hier, aujourd’hui ou... et éternellement, sinon cette Bible est un faux témoignage de Christ. S’Il est ressuscité d’entre les morts, Il doit être le même Christ. S’Il ne l’est pas... Eh bien, Son Esprit est dans l’Eglise. Quel Esprit était en Christ? Combien croient que Dieu était en Christ? Assurément.

            Eh bien, Il s’en est allé et Il a renvoyé le Saint-Esprit ici pour vivre, pour travailler dans l’église, et faire la même chose pour montrer qu’Il est le même. Est-ce vrai? Alors, Il fera la même chose. Maintenant, prétendait-Il être un Guérisseur? Non. Qu’affirmait-Il être? Il affirmait faire juste ce que le Père Lui montrait de faire. Est-ce vrai? Pensez-y donc, Saint Jean 5.19: «En vérité, en vérité, Je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-même, mais Il ne fait que ce qu’Il voit faire au Père.»

60        Observez quand Il se tenait une fois là et qu’une petite femme est venue vers Lui, elle a touché Son vêtement. Elle souffrait d’une perte de sang, elle a fui dans la foule. En effet, elle se disait dans son coeur: «Si je peux Le toucher, je–je serai guérie.» Alors, elle a fui dans la foule, elle est restée là debout, elle s’est assise, ou je ne sais quelle position elle avait.

            Jésus s’est arrêté, Il a dit: «Qui M’a touché?» Il ne savait pas qui L’avait touché. Je ne pense pas qu’Il serait... Il n’y a pas d’hypocrisie en Christ. Il a donc demandé: «Qui M’a touché?» Tout le monde a nié cela. Il a dit: «Mais Je me sens faible. Quelqu’un M’a touché.» Alors, Il a promené le regard sur l’assistance jusqu’à repérer la petite femme. Il a dit: «C’est toi, toi, toi avec la petite... qui souffrait de la perte de sang là; ta foi t’a guérie. Ta foi t’a sauvée.»

            C’était sa foi à elle qui avait cru cela, ce qu’Il affirmait être, qu’Il était le Fils de Dieu. Et Dieu a honoré cela.

61        Eh bien, s’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement, vous pouvez Le toucher de même ce soir. Combien d’étudiants de la Bible savent que c’est la vérité? Levez la main, prédicateur.

            La Bible dit-Elle ceci, qu’Il est le Souverain Sacrificateur qui peut être touché par le sentiment de nos infirmités? Est-ce vrai? Certainement qu’Il est le Souverain Sacrificateur. Vous pouvez donc Le toucher. Comment agit-Il alors? Par nous. Quelles mains...?... Où sont Ses mains ce soir? Vos mains, mes mains. Où sont Ses lèvres? Mes lèvres, vos lèvres. Voyez? Ce sont Ses lèvres une fois que cela Lui est soumis, Il se sert de nous.

            De même que l’on fait de Marie une déesse, une certaine église. Elle était juste une femme, pas une déesse; elle est juste une femme. Mais c’est très bien pour l’Amérique aujourd’hui, de toute façon. Mais elle était juste une femme que Dieu avait utilisée, pas plus qu’une autre femme. Elle n’est pas une déesse. Elle est juste une femme. Elle a dû aller à la Pentecôte recevoir le Saint-Esprit juste comme les autres avaient reçu. Certainement qu’elle a fait ça.

62        Il n’y a qu’un seul Médiateur entre Dieu et les hommes, c’est l’Homme Jésus-Christ (C’est exact.), pas une déesse, ni de saint, Christ.

            Maintenant, s’Il est ressuscité d’entre les morts, Il fera la même chose qu’Il avait faite... Si Son corps se soumet, vous verrez le Saint-Esprit entrer dans Son corps et faire la même chose. Peu importe le don que Dieu me donnerait, si vous n’avez pas la foi pour croire que Dieu a envoyé cela, il ne marchera jamais. Regardez le Romain qui avait mis un lambeau sur Son–Son visage et qui L’a frappé à la tête avec un bâton, et a dit: «Si Tu es Prophète, dis-nous qui T’a frappé.» Voyez? D’un air critique... Jésus n’a jamais ouvert la bouche, Il n’a jamais dit un mot.

63        Mais la femme qui toucha Son vêtement, elle L’avait à peine touché. Un Romain Le frappa, mais la femme Le toucha simplement et s’en alla. En effet, elle croyait en Lui. Il s’est retourné et a dit: «Ta foi t’a guérie.» Vous y êtes. C’est cela la différence. Vous devez vous approcher de Lui correctement.

            Maintenant, s’Il vient au commencement de cette convention et se manifeste vivant... Eh bien, vous dites: «Frère Branham, s’Il se tenait sur l’estrade ce soir, pensez-vous qu’Il me guérirait?» Il ne le pourrait pas. Il l’a déjà fait. Il ne peut pas le faire deux fois. Il l’a déjà fait, et Il vous a laissé le reste. Si vous croyez cela, vous êtes guéri. Si vous ne croyez pas, vous ne l’êtes pas. C’est tout. S’Il se tenait ici, Il ne pourrait pas faire plus à ce sujet. Il ne pourrait pas vous sauver à moins que vous croyiez cela.

            Qu’a-t-Il donc promis de faire? «Je me manifesterai vivant dans l’Eglise jusqu’à Mon retour. Vous ferez aussi les oeuvres que J’ai faites ici, jusqu’à Mon retour.» Si donc Il se manifeste vivant, que penserez-vous de Lui? C’est votre foi, il n’y a rien que je puisse faire pour vous, en dehors de ce qu’Il a déjà fait pour vous, et acceptez simplement cela. Oh! Je prie que Dieu fasse pénétrer cela dans ce groupe ce soir.

64        Si cela se passe dans ce groupe ce soir, il n’y aura personne de faible parmi nous d’ici vingt minutes. C’est vrai. Il n’y aura personne de faible parmi nous.

            Pourquoi ceci ne peut-il pas être une autre Pentecôte? Pourquoi cette convention ne peut-elle pas se transformer en quelque chose qui va vraiment secouer la nation? Amen. Il veut faire cela. C’est juste parce que nous ne Lui permettons pas de le faire. Oh! Combien Il aimerait prendre cette convention dans Ses bras et dire: «Enfants, J’aimerais travailler avec vous. J’aimerais travailler au travers de vous.» Il essaie de se frayer la voie en vous.

            Juste comme un... juste comme toute l’eau du monde déversée dans un tonneau de quatre pieds [121,9 cm], de quatre pieds de diamètre, combien de dizaines de milliers de miles de hauteur cela pourrait présenter. Quelle pression cela exercerait-il pour chercher à passer! C’est pareil avec le Saint-Esprit. Il cherche à entrer dans l’église. Il cherche à trouver une petite fissure quelque part pour s’introduire, vous bénir, et vous faire grandir et vivre. Et pourtant, vous restez sec, dur. Je ne sais pas à ce sujet. Oh! la la!

65        Maintenant, que ceux qui ont des cartes de prière... Par où avez-vous commencé, 1? Numéro 1. Qui a la carte de prière numéro 1? Voudriez-vous lever la main? Demain soir, nous allons commencer... Je pense que tout le monde qui est sur place, tout le monde reçoit une carte de prière ou quiconque d’autre pour qui on va prier avant que la convention se termine. Mais maintenant, gardez donc votre carte. Voyez? Gardez votre carte. Nous commençons quelque chose de nouveau demain soir et j’aimerais que vous voyiez cela. Je suis juste un peu en retard. Je le veux bien ce soir, mais je suis juste... Ça dure plus longtemps comme ça.

            Alors, la carte de prière numéro 1, voudriez-vous lever la main? Etes-vous sûr d’avoir dit 1? Oh! Je suis désolé. Très bien, juste ici, madame. Numéro 2. Levez la main. 3? 4, par ici, 4. 4, 5, levez la main, s’il vous plaît, afin que je voie. 5, très bien. 6, 7, 8, 9, 10. Numéro, 10, ai-je vu votre main? [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

66        Alors que je commence un autre ministère, je Te prie d’accorder cela encore une fois ce soir. Accorde-le, Seigneur, à cause de Jésus-Christ et à cause de Sa Parole. Accorde-le, Seigneur, parce que nous sommes dans ce grand temple ici, où des milliers d’âmes ont été sauvées.

            Ton serviteur E. Howard Cadle, Gypsy Smith, B.E. Rediger, beaucoup d’autres grands hommes qui se sont tenus ici, attendant ce jour-ci... Et en partant, ils ont laissé derrière eux des empreintes de pas sur le sable du temps. Je prie, ô Dieu, pour cette église qui vit aujourd’hui, qu’elle voie cette heure-ci. Heureux sont les yeux de ceux qui peuvent voir. Heureux sont les oreilles qui peuvent entendre, de ceux qui vivent en ce jour glorieux, pour voir ces choses que nos ancêtres nous avaient annoncées, que cela s’accomplirait avant la Venue du Juste, le Seigneur Jésus dans un corps corporel. En effet, Son Esprit serait déversé, Son Eglise serait rassemblée.

            Ô Père Divin, parle ce soir d’une façon extraordinaire et fais-Toi connaître à ce peuple. Alors, en tant que des mortels indignes, alors que nous nous soumettons cependant à Toi, que le Glorieux Saint-Esprit qui avait vécu en Jésus-Christ vive de nouveau dans ce corps des gens ce soir. Que tout doute, toute peur, toute superstition, et tout isme soient brisés, Seigneur; que des hommes voient et servent Christ, et qu’ils soient prêts pour Sa Venue. Car, c’est dans cet–cet Esprit que nous sommes venus. C’est dans cet Esprit que nous demandons. C’est par l’Esprit de Dieu que nous le demandons pour la gloire de Dieu, au Nom du Fils de Dieu, Jésus-Christ. Amen.

67        Maintenant, veuillez être tout aussi respectueux que possible, gardez votre esprit fixé sur Christ, regardez de ce côté-ci. Maintenant, regardez ici, amis. Je pense, je ne sais pas, ceci peut... ceci est simplement mon impression, ce n’est pas AINSI DIT LE SEIGNEUR. Ceci est William Branham. Je pense que mon ministère touche à sa fin en Amérique (Voyez?), il est pratiquement fini. J’aimerais que vous vous souveniez de ceci, que Christ est ressuscité d’entre les morts, qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. C’est maintenant votre heure. Souvenez-vous-en.

            Si vous me considérez comme serviteur de Dieu, recevez ma parole. Je ne m’attends pas à ce que l’église de l’Amérique s’améliore tant soit peu. Elle continuera à s’empirer. Je crois qu’il y aura une effusion, des puissances, le Saint-Esprit; du Saint-Esprit qui descendra. Oui, je le crois. Je crois qu’il y aura encore des miracles et des signes qui s’accompliront. Mais je crois, en tant que nation, non, non. Je crois que le jour de la grâce est déjà passé pour nous. Maintenant, Christ vient.

68        Toutes les nations et tous les royaumes doivent s’écrouler. Tout ce qui est mortel doit céder à l’immortalité. Ne méprisez pas ces paroles du fait que ça vient d’une personne non instruite. Ne considérez pas cela à cause de la personne que je suis. Mais considérez cela du fait que... considérez cela à cause de ceci, que C’est la Parole de Dieu, et que Dieu Lui-même, si j’ai dit la vérité, confirmera cela comme étant la vérité. Si je suis en erreur, alors ma prédication est fausse; alors ma doctrine est fausse; alors, je suis en erreur là-dessus.

            Et si le... je prêche une doctrine périssable, un Christ périssable, je périrai avec. Mais si je prêche la Parole impérissable de Dieu, et un Dieu impérissable, je vivrai éternellement avec Lui. C’est vrai. J’ai fait de mon mieux. Je ne peux pas faire plus. C’est à Dieu de secouer vos coeurs pour que vous croyiez. Je Lui demande encore une fois, au Nom de Christ, de laisser ceci arriver de nouveau ce soir pour la gloire de Dieu.

69        Frère Boze, est-ce ici la personne? Maintenant, soyez vraiment respectueux juste pendant un petit instant. Dieu a établi dans l’église premièrement des apôtres, des missionnaires, deuxièmement des prophètes, des docteurs, des évangélistes et des pasteurs. Est-ce vrai? Dieu a établi dans l’église... Oh! Quel enseignement nous avons eu ce matin-là dans cette salle-là, la Salle Bleue, comme on l’appelle là à l’hôtel Washington, ce frère qui a prêché sur Les clefs de l’Eglise. Combien c’était approprié! Combien c’était vrai, l’enseignement de frère Winston de ce matin sur la discipline dans l’église. Comment vous... Nous déformons les choses, comment pouvez-vous ériger une fondation sur quelque chose que vous déformez? Il n’y a rien sur quoi construire.

70        Maintenant, voici une dame, je–je pense que je ne l’ai jamais vue de ma vie. Nous sommes inconnus l’un à l’autre. Je ne la connais pas, et c’est notre première rencontre ici. La femme est peut-être malade. Peut-être que c’est un problème d’argent; peut-être qu’elle a besoin de la prière pour quelqu’un d’autre. Je n’ai aucune idée de ce dont elle a besoin. Elle le sait. Je le sais. Dieu le sait. Vous le savez. Le Saint-Esprit le sait. Les anges le savent. Je ne sais rien sur la femme.

            Maintenant, et si–si Christ se tenait ici dans ce costume que je porte? En fait, Il n’y sera pas, car Son corps corporel est au Ciel, placé sur le Trône de Dieu (C’est vrai.), jusqu’à ce qu’Il fasse de tous Ses ennemis, même la mort, Son marchepied. Cela se fera jusqu’à Son retour.

            Mais Son Esprit, le Saint-Esprit, Dieu, qui était en Christ, est venu sur nous et nous sommes fils et filles de Dieu. Alors, ce même Esprit qui avait fait agir Jésus tel qu’Il avait agi, fait agir l’église de même qu’Il avait agi. Comprenez-vous cela? Certainement. C’est comme de l’essence dans un moteur, l’électricité.

71        Maintenant, soeur, si le Saint-Esprit qui était sur Christ est venu à l’Eglise, et que Dieu a mis l’Eglise en ordre par des docteurs, des évangélistes, des pasteurs, des voyants, et autres, croyez-vous que c’est la vérité?

            Eh bien, alors, nous sommes ici ce soir comme un homme et une femme, comme on a vu dans la Bible, dans Saint Jean 4, un homme et une femme qui ne s’étaient jamais rencontrés dans la vie, qui ne se connaissaient pas l’un l’autre; et nous nous tenons ici pour la première fois. Maintenant... mais Dieu vous connaît; Il me connaît.

            Maintenant, si je vous parlais juste quelques instants, c’est juste comme Jésus avait parlé à la femme au puits, et qu’ensuite Dieu me révélait ce pour quoi vous êtes ici, juste comme Il avait parlé à la femme au puits, croiriez-vous que c’est Sa Parole selon Laquelle: «Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais»? Croiriez-vous cela? Accepteriez-vous que vous vous tenez dans Sa Présence, pas dans la mienne?

            L’église ferait-elle de même? Vous les nouveaux venus qui n’avez jamais été dans ma réunion auparavant, qui n’avez jamais vu cela, j’aimerais que vous leviez la main pour dire: «Si vous faites cela...?»

72        Je dis à la femme ici, je lève mes mains. Je n’ai jamais vu cette femme de ma vie, à ce que je sache. Elle m’a peut-être vu dans l’assistance, mais je ne connais pas la femme. Est-ce vrai, madame? C’est vrai. Levez la main comme ça, juste... Nous ne nous sommes jamais vus l’un l’autre. Et vous n’avez pas à monter ici à l’estrade. Vous, là dans l’assistance, regardez de ce côté-ci et croyez; voyez? Regardez et dites: «Seigneur Jésus, je veux Te toucher. Laisse-moi... Si cet homme me dit la vérité, confirme-la-moi ce soir. J’ai un besoin, telle et telle chose, Seigneur. Veuille Te servir de ses lèvres pour parler. En fait, nous sommes les sarments, Tu es le Cep. Donne-lui la Vie, qu’il se retourne pour me dire ce qu’est mon besoin; je croirai cela de tout mon coeur.» Mettez-Le à l’épreuve.

            «Mettez-Moi à l’épreuve, dit l’Eternel», c’est l’Ecriture.

73        Très bien, soeur. S’Il le fait, alors c’est tout ce qu’Il peut faire. Ça dépend de l’assistance, tout ce qu’ils jugeront que cela est, ça sera assez pour vous. Peu importe comment ils jugent cela, ça dépend d’eux. Cela manifestera Dieu. Dieu est alors innocent, car Il l’a fait pour accomplir Sa Parole. Et que veut-Il... A cause de vous? Non, non. A cause de moi? Non, absolument pas. Mais à cause de Sa Parole qui a dit qu’Il le ferait. Jésus a dit qu’Il est venu et qu’Il a fait ces choses, afin que s’accomplisse ce qui avait été annoncé par le prophète.

            Et c’est ce qui se passe ce soir, c’est afin que cela s’accomplisse. Dieu n’est pas tenu de le faire, mais Il a dit qu’Il le ferait. Alors, Il est tenu à Sa Parole, de le faire.

74        Maintenant, je vous parle, car vous êtes la première personne. J’ai été euh... des réunions de sept, huit, dix jours. J’aimerais simplement voir ce que Dieu me dira. S’Il le fait, vous croirez cela. L’assistance aussi croira. Cela devrait régler la question pour toujours.

            Je vois la femme toute bouleversée au sujet de quelque chose, si l’assistance entend toujours ma voix. Elle est bien consciente que quelque chose lui est arrivé tout à l’heure. Si la dame veut être honnête avec moi, il y a juste une seconde quelque chose de très étrange vous a envahie. Si c’est vrai, levez la main, madame. Avez-vous déjà vu cette photo de cet Ange-là? J’ai vu cette Lumière descendre directement. C’est Ce qui est sur vous maintenant même. C’est ce qui vous donne cette sensation-là. Je regarde droit à Cela exactement. C’est un peu laiteux, brumeux autour de vous.

75        Je vous vois aller quelque part, mais vous êtes toute bouleversée. Quelqu’un vous a dit quelque chose qui vous a bouleversée. C’est–c’est quelque chose, c’est un... Oh! Vous êtes nerveuse parce qu’un médecin vous soigne, et il y a quelque chose au sujet de votre gorge. C’était une... Je le vois regarder derrière vous, secouer la tête à l’intention de quelqu’un d’autre. Cela est malin. Non, ça l’était. Et on enlève le... Et c’était la radiographie et la malignité a disparu. Mais ce pour quoi vous voulez la prière, c’est à cause d’une lésion de glandes salivaires. Vous n’arrivez pas à hydrater votre bouche de la salive. C’est ce pour quoi vous voulez qu’on prie. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR. Est-ce la vérité?

            Maintenant, vous savez qu’il y a ici Quelque Chose qui vous connaît donc. Maintenant, vous vous sentez un peu différente, n’est-ce pas? Voyez, cela vous a quittée. Regardez là, c’est juste un parfait... Voyez? Cela vous a quittée. Maintenant, vous recevez ce que vous avez demandé parce que c’est la Vie. Eprouvez-vous cette sensation très confortable, on dirait? Je vous ai vue avaler. Vous êtes guérie maintenant si vous pouvez poursuivre votre chemin, soyez guérie. Que Dieu vous bénisse, alors. Que Dieu soit miséricordieux et vous bénisse, soeur. Ayez foi en Dieu.

76        Bonsoir, madame. Nous sommes inconnus l’un à l’autre, je suppose, c’est notre première rencontre, peut-être, dans la vie. Mais Dieu nous connaît tous deux. Et croyez-vous qu’Il a ressuscité Jésus d’entre les morts? Et alors, s’Il est parti, Il a dit, le Consolateur ne viendrait pas, mais quand le Consolateur sera venu, Il demeurera avec nous pour toujours et accomplira les mêmes oeuvres que Jésus avait accomplies.

            Maintenant, si je vous dis, soeur que vous êtes malade, que je peux vous guérir, vous aurez le droit d’en douter. Voyez? Mais s’Il vient et qu’Il vous dise ce qui a été, vous saurez si c’est vrai ou pas. Vous le savez. Voyez, c’est ce qui a été, ça se confirmera. Si donc Il sait ce qui a été, assurément qu’Il sait ce qui arrivera. Voyez? Eh bien, c’est Sa promesse.

77        Maintenant, si l’assistance entend toujours ma voix, la femme est gravement malade. Elle a quelque chose, on dirait l’arthrite. Je la vois devenir raide et elle n’arrive pas... Oh! Je vois une ombre noire se mouvoir: Le cancer. Et ce cancer est dans le dos, ou la colonne vertébrale; l’ombre de la mort. Vous avez été abandonnée. Cela ne peut pas être guéri. Cela... du moins, c’est ce qu’on vous a dit. C’est la vérité. Si c’est vrai, levez la main.

            Or, le médecin a fait tout ce qu’il sait faire, mais le Grand Médecin est ici, soeur. C’est Lui qui parle, pas moi. Cette voix qui parlait tout à l’heure, ce n’était pas moi, soeur. Franchement, je ne sais pas ce qu’Il vous a dit tout à l’heure. Mais quoi qu’Il ait dit, je sais que c’est la vérité.

            Maintenant, si vous savez que cette Présence de Dieu est si proche... Il a dit: «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru. Ils prieront, ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris.» Croyez-vous cela? Laissez-moi donc prier, s’il vous plaît, soeur.

            J’aimerais que l’assistance, s’il vous plaît... Maintenant, regardez, non seulement moi, soeur, mes prières sont juste les prières d’une seule personne. Regardez là, il y a des centaines de gens assis là. Ils vont aussi prier. Ne voudriez-vous pas le faire, amis? Ne voudriez-vous pas prier pour cette femme?

78        Eh bien, et si c’était votre mère? Votre femme? Inclinons la tête. Maintenant, Seigneur béni, le pouvoir de guérir ne relève pas d’un homme. Cela relève du Père Divin. Mais il y a des dons dans l’église, les dons de la foi, les dons de discernement. Ils sont placés dans l’église: Des apôtres, des prophètes, des docteurs, des évangélistes.

            Et cette chère femme mourante... Ton serviteur, le médecin, a peut-être fait tout son possible pour elle. Et il a échoué de maîtriser cet ennemi-là. Mais il ne peut pas se cacher à Toi, Seigneur. Tu sais juste là où il est. Et avec cette grande et puissante église qui est en train de prier, je réclame sa guérison au Nom de Christ. Avec ces centaines de prières qui montent maintenant même en sa faveur, Tu ne fermeras pas Tes oreilles à la prière. Mais Tu les exauceras, au Nom de Jésus. Amen.

            Maintenant, n’ayez pas peur. Allez simplement, même si–si jamais cela n’est arrivé, marchez avec la force du Seigneur. Je les ai vus vous conduire ici. Mais peu importe ce qui cloche chez vous, ce qui clochait chez vous, cela n’y est plus maintenant. Voyez? La prière a changé cela. C’est un passage de la mort à la vie. Redressez-vous et marchez au Nom du Seigneur et soyez rétablie. Que Dieu vous bénisse donc; poursuivez votre chemin en vous réjouissant.

79        Disons: «Gloire au Seigneur!» ...?... Maintenant, ce sont vos prières qui accomplissent cela. Voyez? Vos prières, votre foi, s’unissant à leur foi. Maintenant, soyez vraiment respectueux. Et ne doutez pas. Je suppose que nous sommes inconnus l’un à l’autre, mais vous me connaissez, je ne vous connais pas, à ce que je sache. Vous m’avez peut-être vu ailleurs, mais je ne vous connais pas, je n’ai aucune idée de ce pour quoi vous êtes ici, mais Christ le sait certainement, n’est-ce pas?

            Madame, assise là, me regardant, vous venez de bouger votre épaule tout à l’heure. Vous avez une affection rénale pour laquelle vous priez. C’est vrai, n’est-ce pas? Vous étiez en train de prier tout à l’heure: «Ô Seigneur, c’est à moi qu’il parlait. Qu’Il me désigne ce soir.» Si c’est vrai, levez la main. Vous aviez... Voyez, vous y êtes. Levez la main. Vous êtes guérie maintenant. Votre foi vous a guérie. Ayez seulement foi.

80        Vous êtes toute bouleversée au sujet de quelque chose. Vous êtes très nerveuse. Mais votre nervosité n’est pas due à une affliction. Votre nervosité, c’est une nervosité mentale. C’est une tension mentale. Et je vois quelqu’un debout près de vous. Vous êtes en train de prier, et pendant vos prières quotidiennes, vous demandez à Dieu quelque chose de noble. Vous demandez à Dieu quelque chose de bien. Si Dieu me révèle ce que c’est, allez-vous croire que vous allez le recevoir? Vous demandez à Dieu un foyer chrétien et vous priez pour un mari qui n’est pas sauvé. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR. Si c’est vrai, levez la main. Père Divin, au Nom de Christ, je Te prie de lui accorder le désir de son coeur. Amen. Que Dieu vous bénisse, ma soeur. Ayez foi; ne doutez pas. Croyez, tout est possible.

81        Bonsoir, madame. Nous sommes censés être inconnus l’un à l’autre, c’est notre première rencontre, peut- être, dans la vie, mais Dieu nous connaît tous deux, n’est-ce pas?

            Je pense que c’était simplement l’Esprit qui suivait la dame là. Je pensais que c’était quelqu’un au fond ici, qui était en train de prier, mais–mais peut-être c’est la dame qui a quitté... Soyez donc respectueux maintenant. Soyez en prière. Croyez-vous que Jésus-Christ, le Fils de Dieu ressuscité d’entre les morts, est le même hier, aujourd’hui et éternellement? Croyez-vous qu’Il a donné Son Esprit à Son Eglise et dans Son corps ici sur terre, Son corps physique, corporel, de l’Eglise, les saints de Dieu qui sont baptisés dans l’église? Et nous présentons maintenant, par le Saint-Esprit, la foi qui a été transmise aux saints une fois pour toutes. Croyez-vous que ceci est la même chose? Juste comme Paul avait regardé et avait perçu en un homme, et–et comment le Seigneur l’avait rencontré, et comment Il a montré à Pierre sur le toit de la maison quoi faire, toutes ces choses, juste exactement...

82        Paul, à bord d’un navire, priait là en bas, puis il est remonté et a dit: «Messieurs, ayez bon courage. L’Ange de Dieu à qui j’appartiens m’est apparu hier soir et a dit: ‘Paul, n’aie pas peur, tu dois comparaître...’» Croyez-vous que c’est la même foi? Croyez-vous que c’est le même Seigneur Jésus qui avait parlé à la femme au puits? Vous êtes ici pour qu’on prie pour vous à cause d’une grosseur. Et cette grosseur se trouve sur votre épaule, votre épaule gauche. C’est vrai. Croyez-vous? Eh bien, voyez, plus on parle à la femme, plus il faudra... Suivez. Parlons encore.

            Qu’était-ce? Quelque chose... Non, attendez, ne me le dites simplement pas. Je... Voyez, je ne comprends pas. C’est juste quand il me faut voir cela.

            Vous n’êtes pas d’Indianapolis. Vous venez d’une autre ville; c’est une grande ville, mais ce n’est pas Indianapolis. Je vois quelque chose, c’est un grand étang d’eau près de la ville ou dans la ville que vous habitez. Et je pense que je vois le... l’extérieur. Chicago. C’est vrai. Vous venez de Chicago. C’est vrai. J’ai vu le building Wrigley là...?... Mais rentrez chez vous et soyez rétablie. Que Dieu soit miséricordieux et qu’Il bénisse cette chère personne, que je bénis au Nom de Jésus. Amen. Que Dieu vous bénisse, soeur. Ayez foi en Dieu. Ne doutez pas.

83        Croyez-vous? Croyez-vous que Dieu vous guérira de cette affection de colon et qu’Il vous rétablira? Eh bien, vous avez été guéri tout à l’heure. Votre foi... Vous avez peur de cela, n’est-ce pas? Vous pensiez que c’était le cancer. Vous aviez peur de cela, n’est-ce pas? Vous êtes guéri.

            Je ne vous avais jamais vu avant ce jour-ci. Je ne vous avais jamais vu. Vous avez touché Quelque Chose, n’est-ce pas? Nous sommes à trente pieds [9 m] pratiquement. Vous ne m’avez point touché, vous savez. Mais vous avez touché le Souverain Sacrificateur et Il a réagi par le sarment. Voyez-vous? C’est pareil. C’est ainsi qu’on le sait.

            Soeur, assise juste au bout là avec votre mouchoir levé comme ceci, vous souffrez des reins et de dos. C’est vrai. Eh bien, vous pouvez donc rentrer chez vous. Vous avez votre guérison. Votre foi vous a guérie. Ayez foi en Dieu. Ne doutez pas. Croyez de tout votre coeur.

84        Nous sommes inconnus l’un à l’autre. Christ vous connaît. Eh bien, dans la Bible, il y avait–il y avait un homme du nom de Nathanaël qui est allé trouver, ou plutôt Philippe qui était allé trouver Nathanaël. Et quand Nathanaël est venu auprès de Jésus, Jésus a su, la première chose, qu’il était un croyant. «Voici un Israélite dans lequel il n’y a point de fraude.» Et Il s’est mis à lui parler et à lui dire d’où il venait. Et cela a fait de Nathanaël un croyant.

            Je ne sais pas pourquoi vous êtes ici. Je n’ai aucune idée. Mais si Dieu me révèle ce pour quoi vous êtes ici ou d’où vous venez, ou qui vous êtes, ou quelque... Oh! Vous, évidemment, vous avez votre nom mentionné sur vous là. Voyez? Très bien. Mais si Dieu me dit ce pour quoi vous êtes ici, allez-vous croire en Lui?

            Je continue à voir une femme apparaître ici, ensuite elle disparaît. Cet homme prie pour une femme, la soeur dans... Elle n’est pas de cet Etat. Elle est dans un autre Etat. Je vois deux villes qui continuent à apparaître devant moi, deux villes. Elle est dans le Kentucky et vous venez d’Ohio. La dame souffre d’une maladie gynécologique et d’un cancer, elle se meurt.

            Ce mouchoir que vous avez dans votre poche, envoyez-le-lui. Ne doutez pas, mais croyez, et elle vivra. Croyez-vous? Allez donc, que Christ vous guérisse et fasse de même...?... Oui, monsieur. Cela a quitté. Que Dieu vous bénisse, frère. Ayez foi.

85        Bonsoir, soeur. Je ne vous ai jamais vue de ma vie, à ce que je sache. Vous souffrez de chevilles, n’est-ce pas? Vous respirez mal. Croyez de tout votre coeur, cela s’arrêtera pour vous. Voyez?

            Votre dos et vos jambes vous dérangent, alors que vous levez la main. Oui, vous avez levé la main; mais c’est l’autre dame par là. Cependant, votre dos et vos jambes vous dérangent. C’est vrai. Ayez foi.

            Votre problème, c’est au niveau de votre bras, votre bras droit. C’est une tumeur, et elle est sous votre bras droit et sur votre épaule, dans votre dos. C’est au point que vous n’arrivez pas à lever votre bras. Christ peut vous guérir. Croyez-vous cela? L’accepterez-vous? Prions.

            Dieu bien-aimé et bienveillant, je Te prie au Nom de Christ de guérir et de rétablir cette femme, que je bénis au Nom du Seigneur Jésus. Amen.

            Maintenant, marchez là à côté de cet endroit. En allant là, allez en croyant maintenant. Rappelez-vous, c’est la mort, ce n’est pas Dieu. Vous guérir... allez là, levez les bras et dites: «Merci, Seigneur.» Poursuivez votre chemin en vous réjouissant et soyez rétablie. Très bien.

            Disons: «Gloire au Seigneur!» Obéissez simplement à ce qu’Il ordonne. Quand Il dit de faire quelque chose, allez le faire. Ne–ne pensez rien à ce sujet, allez simplement faire cela.

86        Je vois l’Esprit ou l’Ange de Dieu tout près d’un homme de couleur là au fin fond de l’assistance. Mais c’est un croyant fidèle. Vous êtes dérangé par une affection de rectum, monsieur, dans le rectum, on dirait les hémorroïdes. Si vous croyez de tout votre coeur, vous pouvez être guéri.

            Vous étiez en train de penser là, la dame assise à côté de vous, votre femme. Elle est dérangée par l’hypertension. Maintenant, vous avez eu cela. Amen. Vous y êtes. Ayez foi.

            La souveraineté du Dieu Tout-Puissant ne fait acception d’aucune race, d’aucune couleur, d’aucun credo. Il honore la foi de ceux qui croient en Lui. Amen. Il est Jésus, le même hier, aujourd’hui et éternellement. Croyez-vous maintenant? Croyez-vous de tout votre coeur? Ceci peut continuer heure apr-... tant que je le peux.

87        Demain soir, nous allons commencer la prière pour les malades, les faire simplement passer et prier, les autres choses aussi. Attendons ici, à cette femme ici. Arrêtons-la juste un instant. Sommes-nous inconnus l’un à l’autre, soeur? Vous m’avez vu l’année passée–passée, quand j’étais ici, depuis l’assistance, juste ici sur l’estrade. Mais je veux dire que je ne vous connais pas. Très bien. Voici cette dame, que je ne connais pas et que je n’ai jamais vue de ma vie. Elle a dit qu’elle était ici en juin dernier–dernier, elle était assise là dans l’assistance et elle m’a vu. Et c’est l’unique contact que nous ayons donc eu l’un avec l’autre, cette femme et moi.

            Or, si Jésus-Christ, le Fils de Dieu, manifeste Son amour devant l’assistance et si ceci n’est pas la foi qui a été transmise aux saints une fois pour toutes, c’est que vous n’avez jamais lu la Bible. C’est tout. Vous n’avez jamais lu les promesses; vous ne vous rendez pas compte que cela...

88        Voyez, vous dites: «Eh bien, j’ai vu Jésus faire deux ou trois de ces choses dans la Bible.» Mais vous ne... Je ne L’ai jamais vu se tenir avec toute une rangée. Ne savez-vous pas qu’Il a dit: «Vous ferez davantage, de plus grandes»? Pas de plus grandes, cela ne peut pas se faire, comme de plus grandes en qualité, en quantité, mais pas en qualité. Il a ressuscité les morts, Il a arrêté le cours de la nature. Voyez? Vous–vous ne pouvez pas faire plus en qualité, mais en quantité. «Vous ferez davantage, car Je m’en vais au Père.» Ceci accomplit ce qu’Il a dit. Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Ceci est la foi qui a été transmise aux saints une fois pour toutes, seulement dans une mesure plus grande. Le temps de la fin est là.

            Maintenant, avant que l’Esprit me quitte, j’aimerais voir si je peux parler à cette dame juste une minute, juste prendre mon temps et vous parler une minute.

            Vous et moi, nous ne nous connaissons pas l’un l’autre, et c’est notre première rencontre ici sur ce lieu sacré, ce grand et merveilleux tabernacle. Mais Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Et s’Il me révèle ce pour quoi vous êtes ici, allez-vous accepter cela? L’assistance croira-t-elle d’un commun accord qu’Il est ici?

89        J’aimerais que vous voyiez. A ce que je sache, je n’ai jamais vu cette femme de ma vie. Elle sait que je ne sais rien sur ce pour quoi elle est ici. Est-ce vrai, madame? Si c’est vrai, levez simplement la main afin que les gens voient cela par-dessus cette chaire ici? Nous y sommes.

            Vous aurez à accepter, si quelque chose se passe, qu’il y a ici Quelque Chose de surnaturel. Ce n’est pas–ce–ce n’est pas une soi-disant croyance. C’est absolument surnaturel. Eh bien, cela dépend de ce que vous pensez que cela est. Les érudits de l’époque disaient: «C’est Béelzébul, le diseur de bonne aventure, le prince des démons.» En fait, dire la bonne aventure, c’est du diable. Et ils disaient: «C’est un diseur de bonne aventure, un Béelzébul.»

            Jésus a dit: «Cela vous sera pardonné, mais quand le Saint-Esprit sera venu et qu’Il fera ces choses, cela ne sera jamais pardonné à ceux qui parleront contre ça.» Mais après, Il a dit que nous ferions aussi les oeuvres qu’Il avait faites. Ça y est.

90        Les Juifs à l’époque ainsi que les croyants ont dit: «C’est le Fils de Dieu.» Regardez cette femme, la femme au puits. Elle a dit: «Seigneur...» La Samaritaine. Qu’a dit le Juif? «Rabbi, Tu es le Fils de Dieu», quand Il avait fait cela.

            Qu’a dit la Samaritaine? «Seigneur, je vois que Tu es Prophète. Nous savons que quand le Messie sera venu, nous savons, il nous a été enseigné cela, que quand le Messie sera venu, Il nous annoncera ces choses. Il est le Dieu du Ciel. Il connaîtra les secrets du coeur. Mais Toi, qui es-Tu?»

            Jésus a dit: «Je Le suis.»

            Eh bien, s’il y a des Juifs qui avaient pensé cela à ce sujet, des Juifs croyants, des Samaritains ont pensé cela à ce sujet, qu’est-ce que les Gentils en pensent? C’est aujourd’hui votre jour. Croyez cela.

91        Très bien, soeur. Juste... comme Pierre et Jean ont dit: «Regarde-nous (Voyez?), regarde-nous.» Non pas... En d’autres termes, regarde ne veut pas dire... Cela veut juste dire faire attention à quelque chose, juste pour vous parler, voir ce que le Père me dira. Je ne vous connais pas. Cela doit venir donc d’une source surnaturelle.

            Toute cette assistance ici s’est engagée. S’Il me le dit, soyez témoin si c’est vrai ou pas. Cela ne peut jamais faillir. C’est Dieu, c’est Dieu qui permet cela. Cela ne peut pas faillir.

            Une chose est que vous souffrez de sinusite ici au niveau de votre front, cela vous dérange tout le temps, ça vous cause des maux de tête et autres dans votre... Je vous vois vous tenir souvent la tête comme... ou votre tête comme ceci. Vous êtes très nerveuse, toute bouleversée, vous faites tomber des choses. C’est vrai. Vous avez une chose, ça tombe, vous vous achoppez aussi de temps à autre. Je vous vois tituber. C’est vrai. Cela est causé cependant par l’arthrite. Vous souffrez de l’arthrite. Je vous vois essayer de déplacer un fauteuil, ou l’une ou l’autre chose, et contourner comme ceci à côté d’une maison. C’est la vérité. Est-ce la vérité?

92        Et afin que vous le sachiez, vous priez pour quelqu’un d’autre, le mari, qui n’est pas ici. Il est dans un hôpital dans le Tennessee. Et cet homme a... Voyons, on fait quelque chose au sujet de quelque chose autour de ses bras. Je vois le médecin. Non, il s’agit de l’artériosclérose. Et cela affecte son esprit, et ça affecte son coeur. Et il y a juste quelques jours, il était en train de prier et il a donné sa vie à Jésus-Christ. C’est l’exacte vérité. C’est vrai. Amen! Maintenant, allez en croyant et recevez, au Nom de Jésus-Christ.

            Vous aimeriez être guéri de ce trouble d’estomac? Allez donc prendre votre souper. Amen. Voyez? Si–si–si tu peux croire, tout est possible. Croyez-vous?

93        Vous semblez être en très bonne santé, mais vous êtes anémique. Croyez-vous par la foi que nous pouvons aller au Calvaire et avoir une transfusion sanguine? Faisons-le au Nom de Christ, je réclame de nouveau votre sang. Amen. Que Dieu vous bénisse.

            Eh bien, vous souffrez aussi de l’estomac. Vous en avez souffert depuis longtemps. C’est une maladie de nerfs qui s’est manifestée il y a plusieurs années, durant la période de la ménopause, et vous devenez très nerveuse et bouleversée. Depuis lors, vous réfléchissez, vous marchez, vous vous posez des questions, et cela vous a causé une maladie peptique. Vous renvoyez votre nourriture de l’estomac. C’est l’acide. C’est vrai. Allez, prenez votre souper maintenant, c’est terminé. Que Dieu vous bénisse. Ayez foi.

            Je vois du sang couler; oui, c’est de l’eau; c’est l’anémie. Très bien. Vous croyez que Jésus-Christ, le Fils de Dieu, peut vous guérir et vous rétablir. Allez et soyez guéri, au Nom de Jésus-Christ, que ces paroles soient créées.

            Venez, madame; croyez-vous que Dieu vous guérira de la maladie du coeur, vous rétablira? Si vous croyez, poursuivez votre chemin, réjouissez-vous, remerciez Dieu et soyez rétablie. Croyez-vous, chacun de vous?

94        Maintenant, regardez, pas d’agitation, Christ est ici. Et la Parole de Dieu est confirmée. La foi qui a été transmise aux saints opère dans cette salle ce soir. Soyez-en juges. Dieu a fait Sa part. Il n’y a rien d’autre qui puisse être fait, sinon que vous croyiez.

            Maintenant, si j’ai trouvé grâce dans votre coeur, croyez ce que je vous dis en tant que Son serviteur, pendant que l’onction du Saint-Esprit est ici. Si quelqu’un ici présent, peu importe ce qu’il y a dans votre... ce qu’est votre maladie, les afflictions du coeur, quoi que ce soit, l’expiation par Jésus-Christ au Calvaire s’est occupé de cette maladie pour vous, si vous croyez cela. Il y a mille neuf cents ans, par Ses meurtrissures vous avez été guéri. C’est déjà fait, au passé. Il est venu et Il a prêché cela par Sa Parole. Il a envoyé Son Esprit pour confirmer Sa résurrection. Il, pronom personnel, le Saint-Esprit que Christ avait promis d’envoyer après mille neuf cents ans s’est avéré infaillible dans Cadle tabernacle ce soir, accomplissant les mêmes choses dans le Corps de Christ, qu’Il avait accomplies en Jésus-Christ il y a mille neuf cents ans sur le rivage sablonneux de la mer de Galilée.

            Quoi de plus peut-Il faire? Je ne sais rien d’autre qu’Il puisse faire. Cela accomplit chaque Parole qu’Il a promise à l’église. Le même hier, aujourd’hui et éternellement.

95        Maintenant, je vais vous poser une question. Je vais... Combien sont malades? Levez la main. Maintenant, gardez votre main levée. Inclinez la tête. Chrétiens, soyez en prière. Répétez cette prière après moi.

            Ô Dieu notre Père, je crois maintenant avec tout ce qu’il y a dans mon coeur. Je crois en Jésus-Christ, Ton Fils. Et si j’ai commis un quelconque péché, pardonne-moi, alors que je confesse mes torts dans la Présence de Dieu, et du Saint-Esprit, et de cette église. Et, ô Dieu, j’ai besoin de guérison, et je crois que Tu es ici. Je crois que Tu confirmes Ta Parole. Et je crois qu’un jour j’aurai à Te rencontrer.

            Et maintenant, Seigneur, pardonne mon incrédulité, et place en moi cette foi qui a été transmise aux saints une fois pour toutes, et enflamme mon âme de Ton amour au point que je détournerai ma tête de mes symptômes et que je croirai Ta Parole. J’accepte cela maintenant de tout mon coeur, au Nom de Jésus-Christ.

96        Maintenant, restez juste tel que vous êtes. C’est votre prière. Maintenant, je vais prier pour vous, juste comme attendu ici même. Que tout le monde prie l’un pour l’autre. Maintenant, quand vous serez en train de prier, dites: «Oh! La dame assise à côté de moi, l’homme en face de moi, guéris-le, Seigneur.» Priez l’un pour l’autre. Voyez? Regardez simplement et voyez qui a sa main levée à côté de vous. Et choisissez une personne pour qui vous allez prier. Tout le monde, choisissez une personne pour qui vous allez prier. Ne priez pas pour vous-même. Priez pour la personne à côté qui a la main levée. Ne priez pas pour vous-même maintenant. Priez pour la personne à côté, pendant que je prie pour vous tous. Prions.

97        Seigneur béni, me voici encore ici debout au Cadle tabernacle. Et j’ai eu le privilège de me tenir ici dans Ta Présence ointe et de voir le Grand JE SUIS, pas le J’étais, le JE SUIS, qui s’était tenu au buisson ardent ce jour-là et qui avait proclamé devant Moïse: «Voici Mon Nom dans toutes les générations: JE SUIS.»

            Et le Sauveur béni qui était oint de Dieu a dit: «JE SUIS.» Et Tu es ici ce soir parmi des gens confirmant que «JE SUIS le même hier, aujourd’hui et éternellement.»

            Et, ô Dieu, alors que nous confessons nos péchés, nos doutes et nos peurs et que nous réclamons la miséricorde, regarde ces centaines de mains qui se lèvent vers le Ciel. Quelqu’un, incliné dans la prière, est en train de demander que son voisin soit guéri! «Priez les uns pour les autres», dit la Parole de Dieu.

            Et, ô Dieu, je prie ce soir de tout mon coeur que d’une façon ou d’une autre, cette vraie expérience de la nouvelle naissance par la foi à l’ancienne mode s’introduise dans les coeurs des gens, que toute ombre de doute soit ôtée d’eux. Et ils sauront que la personne pour qui ils sont en train de prier maintenant sera guérie. Et je crois de tout mon coeur que Tu guériras tout celui qui est dans la Présence divine. Et nous adjurons le diable, qui nous a fait douter, de quitter le bâtiment, de laisser les gens, et d’aller dans les ténèbres du dehors. Que chaque personne ici présente soit délivrée ce soir au Nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu. Amen.

98        Maintenant, à vous qui aviez les mains levées, et sans l’ombre de doute, croyez que la foi qui a été transmise aux saints une fois pour toutes, de prendre Dieu au Mot et d’appeler ces choses qui n’étaient pas comme si elles étaient...

            Abraham appela des choses qui n’étaient pas comme si elles étaient déjà accomplies en ce moment-là même. Avez-vous cette foi-là, qui fera que vous ne regarderez pas à ce qui cloche chez vous, mais que vous appellerez ce qui est comme si cela n’était pas et que vous regarderez à la promesse de Dieu? Si vous croyez cela, tout celui qui avait la main levée, levez-vous.

            J’ai cru solennellement de tout mon être, que chaque personne qui est debout a reçu sa guérison par l’expiation du Seigneur Jésus-Christ. Que Dieu vous bénisse. Levez les mains et réjouissez-vous. Maintenant, je remets le service à frère Boze.

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