Expectative

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Date: 58-0508 | La durée est de: 1 heure et 27 minutes | La traduction: Shp
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1          Restons debout juste un instant, s’il vous plaît, pendant que nous inclinons la tête pour la prière.

            Eternel et Adorable Dieu, nous Te sommes reconnaissants pour ce que nos yeux ont vu et ce que nos oreilles ont entendu. Et nous pouvons nous joindre au poète qui a écrit ce cantique là-dessus. Et nous sommes très contents de savoir que la religion chrétienne n’est absolument pas un code de lois, mais une expérience avec un Dieu vivant et toujours présent.

            Nous confions ces enfants entre Tes mains, Seigneur. Et nous prions qu’ils grandissent en grâce et que leurs églises d’origine soient bénies, et qu’il y ait un réveil dans le pays. Et ceux qui ont si vaillamment pris position et qui T’ont accepté comme leur Sauveur personnel, nous Te demandons d’accorder, Seigneur, que Tes riches bénédictions reposent sur eux. Et pour ceux qui T’ont accepté comme leur Guérisseur, puisses-Tu les bénir et que leur témoignage, alors que les médecins les avaient abandonnés, soit merveilleux. Et que cela amène les médecins à prier pour leurs patients et à se rendre compte, ô Dieu, qu’il n’y a que Toi seul qui peux nous guérir. Nous Te demandons de continuer avec nous ce soir, que Tes miséricordes reposent sur nous.

2          Et nous savons que nous combattons un ennemi fort. Et notre combat n’est pas charnel, mais il est dur, et cela démantèle les bastions de l’ennemi.

            Aide-nous à unir nos coeurs ce soir, alors que nous nous attendons à Toi maintenant pour communier avec Toi autour de Ta Parole écrite. Et puis, Seigneur, que les pécheurs retrouvent leur place à l’autel de Dieu dans leur coeur, qu’ils se repentent et deviennent Tes enfants. Et aussi, que les malades soient guéris. Et que la gloire couvre cette ville à cause de Ta visitation parmi nous. Nous le demandons au Nom de Ton Fils, Jésus. Amen. Vous pouvez vous asseoir.

3          Je dis ceci avec sincérité, du fond de mon coeur: Je suis désolé ce soir que je... ceci soit la dernière soirée de notre petite série de réunions. Je commençais à m’habituer à vous, à sentir juste que vous êtes–vous êtes une partie de nous; c’est ce que vous êtes dès le départ. Mais c’est ainsi donc que ça se passe, lorsque je suis ici chez nous, et si... à l’étranger aussi. C’est juste: «Bonjour. Je suis content de faire votre connaissance. Que le Seigneur vous bénisse. Au revoir.» Mais il y a une chose importante que j’ai à l’esprit alors que je rencontre ces merveilleux enfants de Dieu dans mes déplacements, c’est qu’un jour, nous nous rencontrerons là où nous n’aurons plus à nous séparer. Il n’y aura pas de divisions au Ciel pour que certains enfants de Dieu vivent à un endroit et d’autres à un autre. Je crois que Ses enfants seront tous réunis ensemble. J’attends impatiemment ce moment-là.

4          Nous ne savons pas exactement ce que c’est, mais les Ecritures nous apprennent que ce sont des choses que l’oeil n’a point vues, que l’oreille n’a point entendues, et qui ne sont point montées au coeur de l’homme, ce que Dieu a en réserve pour ceux qui L’aiment. Ainsi, par-dessus tout pour vous, aimez le Seigneur Jésus et honorez Dieu le Père. Et croyez Ses serviteurs, les ministres, vos pasteurs. Et enseignez la Parole en toute occasion, favorable ou non. Et priez que Dieu sauve les perdus et guérisse les malades.

            Rappelez-vous, la guérison divine n’a pas lieu uniquement quand un évangéliste arrive. Dieu est dans vos églises. Il est dans vos membres. Il est en vous. Il vous guérira quand vous croyez en Lui. Vous n’avez pas à attendre le passage d’un quelconque évangéliste. Dieu n’a pas à avoir un évangéliste, quand bien même Il l’utilise. Mais c’est uniquement pour éveiller; les dons sont destinés à éveiller... le Guérisseur est toujours là, Dieu.

5          Ce soir, c’est la dernière réunion, je peux annoncer que mon bon ami ici, frère Léo Mercier, qui vient d’un foyer catholique, français canadien et catholique, lui et monsieur Goad... Je ne sais pas quelle était l’ancienne confession de monsieur Goad. Quand la réunion se tenait dans une certaine ville, ils y assistaient. Et ils ont pensé que ces visions... (Ils se sont demandé si cela arrivait chez moi.) Alors, ils ont formé une petite équipe «d’agents FBI» et sont venus découvrir si c’était vrai ou pas. Vous devriez suivre le témoignage. Ils sont devenus mes amis.

            Ce qui se passe ici est bien moindre. Ils sont avec moi maintenant comme des jeunes gens chargés des livres et des bandes. Les bandes des réunions, si vous avez des enregistreurs et que vous appréciez les messages que Dieu nous a donnés, ils les ont sur bandes. Et je pense qu’ils peuvent vous vendre la bande avec le message dessus, à un prix inférieur à celui de la bande, car ils ont un moyen spécial...

6          J’ai acheté une bande d’un certain évangéliste tout récemment à neuf dollars. Eux vendent les leurs à pas plus de trois dollars et demi ou trois dollars. Combien? [Quelqu’un parle à frère Branham.–N.D.E.] Trois dollars, le tiers du prix. Je ne sais comment ils s’y prennent, mais ils ont dit qu’ils le feront juste pour apporter le Message aux gens. Ce n’est pas que ces jeunes gens ont besoin d’argent. C’est afin de diffuser le Message quelque part ailleurs. La foi vient de ce qu’on entend.

            Ils sont donc au kiosque des livres, et les livres et la photo... La photo, à vrai dire, n’est pas à moi. C’est... Vous ne l’achetez pas à cause de moi, car c’est... cela change même mon aspect et tout. Quelqu’un a dit: «Frère Branham, on ne dirait pas vous.» Que Cela s’approche de vous et voyez quel aspect différent ça vous donne. Certainement.

7          Maintenant, si vous remarquez bien, ce n’est pas juste une photo que nous aimerions garder pour nous faire de l’argent. Nous achetons cette photo et nous la revendons telle que nous l’avons eue; environ quatre ou cinq cents par photo des frais administratifs, c’est tout ce que nous recevons. Elle est sous droit d’auteur et elle est à Washington, D.C., comme l’unique être surnaturel qui ait jamais été photographié avec des preuves à l’appui. Eh bien, le... George J. Lacy, le responsable du FBI chargé des empreintes digitales et des documents douteux, a examiné le cas. Et il m’a dit: «Monsieur Branham, j’avais entendu parler de vos réunions, j’avais assisté à l’une ou deux. Et je disais que c’était de la psychologie, que cette Lumière ne se trouvait pas là. Mais, a-t-il dit, monsieur Branham, cet oeil mécanique de l’appareil photo ne captera pas de la psychologie. La lumière a frappé l’objectif.» Il a signé le document et l’a transmis au studio Douglas, un membre de l’Association Américaine des photographes, à Houston, au Texas.

            Eh bien, je dis ceci avec humilité et respect envers Lui qui est présent, que c’est la Lumière que j’avais vue. C’est la Lumière qui était au-dessus de mon berceau à ma naissance. C’est la Lumière qui... De là a retenti une Voix qui m’a parlé au cours de ma vie, qui a annoncé des choses par centaines. Et demandez à qui vous voulez, de l’Afrique à travers le monde, dans ma propre ville, aux médecins, aux avocats, ou n’importe quoi que vous désirez, et voyez si jamais une seule fois cela a manqué d’être exactement ce qu’Il avait dit que c’était. C’est ce qui parle ici à l’estrade, ce n’est pas votre frère.

8          Maintenant, je crois de tout mon coeur... Combien savent qu’il y avait une Colonne de Feu qui suivait les enfants d’Israël, qui les guidait dans le désert? Et combien savent que c’était Jésus-Christ, le Christ, l’Ange de l’Alliance, vous les enseignants? Et quand Il était ici sur terre, Il était... c’était le même Dieu.

            Il n’y a pas trois Dieux. Il n’y a qu’un seul Dieu, trois offices du même Dieu. Père, Fils et Saint-Esprit, cela ne veut pas dire trois Dieux. Si nous avons trois Dieux, nous sommes des païens. Voyez-vous? C’est comme disent les Juifs: «Lequel d’entre eux est votre Dieu?» Il n’y a pas trois Dieux. Il y a un seul Dieu dans trois offices, du même Dieu: La dispensation du Père, la dispensation du Fils. Celle-ci est la dispensation du Saint-Esprit. Voyez? C’est un seul Dieu. «Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec Lui-même», déclarent les Ecritures.

9          Et quand Il était ici sur terre, les gens disaient: «Tu dis avoir vu Abraham, Toi un Homme de pas plus de cinquante ans?»

            Il a dit: «Avant qu’Abraham fût, JE SUIS.» JE SUIS était Celui-là, la Colonne de Feu qui avait parlé à Moïse dans le buisson ardent. Nous savons tous cela.

            Il a dit: «Je viens de Dieu et Je retourne à Dieu.» Est-ce que quelqu’un parmi vous les enseignants connaît cette Ecriture? C’est ce que Jésus a dit.

            Et si donc Il est venu de la Colonne de Feu, à quoi est-Il retourné? A la même Chose d’où Il est venu.

10        Vous direz: «Frère Branham, est-ce authentique?» Oui. Actes, vers le chapitre 8 ou 9, vous verrez que Paul, après la résurrection de Jésus, sur le chemin de Damas pour jeter en prison des gens qui faisaient trop des bruits, et qui causaient du trouble. Et il... Ils étaient contre–ils étaient contre leur enseignement orthodoxe, et lui, il était un grand enseignant qui s’était mis aux pieds de Gamaliel, le grand enseignant orthodoxe.

            Et sur son chemin, il y eut une–une Lumière qui le frappa et le terrassa, l’aveuglant. Tous les enseignants le savent. Tous les lecteurs de la Bible le savent. Il était devenu aveugle, et il... Quand Il s’est relevé, il a dit, il y a eu une Voix qui s’est fait entendre, disant: «Saul... (Cela se trouve dans Actes, chapitre 8.) Saul, Saul, pourquoi Me persécutes-Tu? Il te sera dur de regimber contre les aiguillons.»

            Et il a dit: «Qui es-Tu, Seigneur, que je persécute?»

            La Voix répliqua en ces termes: «Je suis Jésus que tu persécutes.»

11        Nous voyons donc dans les Ecritures que Dieu, après avoir demeuré en Christ, était retourné, sous le Nom de Jésus, à la même Lumière dans laquelle Il était au commencement.

            Quand saint Pierre, l’apôtre, était en prison, et que chez les saint Marc, on priait Dieu pour sa délivrance, les Ecritures nous apprennent qu’une Lumière est entrée dans la prison où était l’apôtre. Et pendant que la Lumière le conduisait, les portes s’ouvraient devant lui, les portes intérieures et le portail, jusque dans la rue. Et il pensait rêver, parce que la Lumière était si réelle qu’Elle ouvrait des portes devant lui.

12        Si Dieu demeure dans l’immortalité, Il ne peut donc pas mourir. Il est immortel. Et c’est Lui que nous adorons ce soir. C’est Lui qui a fait la promesse: «Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais.» Il a promis à Son Eglise qu’Il accomplirait en Elle, parmi Ses membres, Son corps mystique, spirituellement parlant, jusqu’à Son retour, les mêmes oeuvres qu’Il avait accomplies. Cela serait confirmé dans Son Eglise par les croyants.

            Les dernières Paroles que notre Seigneur a prononcées, alors qu’Il quittait la terre, c’était: «Allez par tout le monde et prêchez la Bonne Nouvelle à toute la création. Celui qui croira et qui sera baptisé sera sauvé. Celui qui ne croira pas sera condamné. Et voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru.»... Nous ne pouvons pas ajouter à Cela ni retrancher de Cela. Nous devons croire ce que Dieu a dit. La photo, vous pouvez l’obtenir. Les bandes sont au kiosque, ainsi que les livres.

13        Ça a été un–un plaisir d’être parmi vous ces quelques soirées. J’apprécie certainement, s’il y a des journalistes ici, pour toute leur bonté et leur gentillesse, en cherchant à faire prospérer la cause. Ils ont été des gentlemen, ceux qui sont venus et qui ont fait un reportage fidèle des réunions. J’apprécie certainement cela. Et je suis sûr que les gens apprécient cela.

            Parfois les gens sont critiques. C’est parce qu’ils ne savent pas. S’ils ne savent pas mieux, alors nous sommes désolés pour eux de ce qu’ils ne savent pas mieux. Et ça serait une chose horrible à penser, ami... Et si vous étiez l’un de ces gens qui critiquaient Christ et qui n’avaient pas cru? Et si vous avez suivi la réunion et que vous avez vu ce qui est arrivé, des gens qui sont devenus fous, qui sont morts de cancer, qui ont été paralysés, après des réunions... Ce n’est pas juste ma parole; c’est authentique, c’est enregistré, ce sont des déclarations et des documents signés.

14        J’ai vu des gens dans des réunions être paralysés et quitter la réunion, transportés; ils étaient venus railler et critiquer violement. J’ai vu des gens perdre la tête et, deux jours plus tard, on les retrouvait dans des rues, des fonctionnaires de la ville à Phoenix, en Arizona, complètement fous, et ils sont morts dans cet état, implorant la miséricorde, demandant que quelqu’un vienne prier pour eux. Nous ne faisons pas de religion. Ce jour-là est passé. Nous vivons dans l’Eglise du Dieu vivant. Soyons donc respectueux, ayons de la révérence pour le Dieu que nous adorons.

15        Et maintenant, j’aimerais remercier ceux qui nous ont permis d’avoir l’auditorium. Nous sommes reconnaissant pour ce privilège. Et que le Seigneur vous bénisse. Et quant aux policiers qui ont été ici chaque soir et qui ont été très respectueux et gentils, j’apprécie; je suis sûr que la ville devrait apprécier des autorités de ce genre et des officiels.

            Et les émissions à la radio et à la télévision, vous avez été très gentils. Et je suis sûr que cette petite ville sera bénie pour ses efforts. Quand bien même beaucoup parmi vous peuvent être en désaccord avec moi sur la–sur la théologie... Il y a beaucoup de catholiques, beaucoup de différentes dénominations. Je ne parle en mal d’aucune dénomination. J’essaie simplement d’aider les gens à connaître Christ et aider ceux qui sont malades. Je ne suis pas venu pour de l’argent. Je ne suis venu que pour vous aider. Et j’ai fait de mon mieux, et je suis reconnaissant pour vos prières offertes pour moi. Que Dieu vous bénisse à jamais. J’espère, un jour, Dieu voulant, vous revoir ici, pouvoir rester plus longtemps, rencontrer vos ministres, les membres du clergé et les autres.

            J’aimerais aussi remercier ces ministres pour nous avoir réunis, nous avoir accordé cette opportunité. Et comme je l’ai dit aux journalistes cet après-midi pour l’émission télévisée de ce soir, nous essayons tous de faire tout notre possible pour nous entraider.

16        Vous savez, vous pouvez entendre souvent... A l’époque primitive, du temps biblique, quand un miracle était accompli, on ne disait rien là-dessus, mais on remerciait simplement le Seigneur, c’est tout. Aujourd’hui, il faut que ça soit scientifiquement prouvé. Je me demande s’il n’y a pas quelque chose qui cloche aujourd’hui dans cette façon-là. Je pense à des professions, comme celle de médecin. Si vous remarquez bien, le médecin est souvent en désaccord avec le chirurgien. «Vous n’avez pas besoin d’une intervention chirurgicale. Vous avez besoin de médicament.» Et le chirurgien dira: «Vous avez besoin de l’intervention chirurgicale, pas de médicament.» Et pratiquement eux... Tous les deux seront en désaccord avec le chiropraticien ou l’ostéopathe, et souvent eux tous sont en désaccord avec le prédicateur. Quand vous voyez de telles choses, ami, à mon avis, juste comme entre les membres d’église, il y a des motifs égoïstes. Si nous nous intéressions les uns aux autres, le médecin, le chiropraticien, l’ostéopathe, en fait nous savons qu’eux tous font du bien, associons-nous et hâtons-nous pour essayer de rendre la vie un peu meilleure pour les gens avec qui nous séjournons. S’il n’y a pas de motif égoïste, ça serait là l’attitude, j’en suis sûr, que nous devrions adopter.

17        Eh bien, je vais lire un passage des Ecritures dans la Parole du Dieu Eternel. Et ensuite, peu après, nous allons prier pour les malades, le Seigneur voulant.

            Eh bien, demain soir, nous commencerons au... C’est quoi le nom? [Quelqu’un dit: «Pittsfield, Mass–N.D.E.] Pittsfield, Massachusetts. De là, on ira à Boston, je pense [Quelqu’un dit: «Everett.»–N.D.E.], Everett, et puis, à Maine, on va revenir au Texas, puis on va outre-mer.

            Maintenant, je souhaiterais lire ce soir dans Saint Luc, chapitre 2, verset 25.

Et voici, il y avait à Jérusalem un homme appelé Siméon. Cet homme était juste et pieux, il attendait la consolation d’Israël, et l’Esprit Saint était sur lui.

Il avait été divinement averti par le Saint-Esprit qu’il ne mourrait point avant d’avoir vu le Christ du Seigneur.

Il vint au temple, poussé par l’Esprit. Et, comme les parents apportaient le petit enfant Jésus pour accomplir à son égard ce qu’ordonnait la loi,

Il le reçut dans ses bras, bénit Dieu, et dit:

Maintenant, Seigneur, tu laisses ton serviteur s’en aller en paix, selon ta parole.

Car mes yeux ont vu ton salut.

18        Puisse-t-Il ajouter Ses bénédictions à la lecture de Sa Parole. Dans tous les âges, Dieu n’a jamais manqué de témoin quelque part, en tout temps. Parfois le nombre diminue jusqu’à peut-être un seul témoin, comme du temps d’Elie, ou du temps de Noé, mais Il a toujours eu un témoin quelque part, quelqu’un sur tous les millions de gens, de qui Il peut dire: «Celui-ci est Mon serviteur.» Et Il peut utiliser une telle personne.

            Et le temps au sujet duquel nous venons de lire dans les Ecritures, l’Eglise orthodoxe juive, Israël était assujetti par Rome. En effet, ils avaient manqué de croire leurs prophètes, qui les avaient avertis que leurs péchés finiraient par les conduire à la destruction. Et ils n’ont pas fait attention à leurs prophètes. Ils voulaient leur propre voie. Ils voulaient bien vivre comme bon leur semblait et croire simplement ce qu’ils voulaient, et les prophètes les avait prévenus concernant pareille condition, qu’ils recevaient absolument un châtiment.

19        Eh bien, Dieu ne change pas. Dieu ne peut pas acquérir plus de sagesse. Les premières Paroles qu’Il prononce doivent être aussi les dernières. Vous et moi, et dans notre race humaine, chaque génération devient un peu plus intelligente que la génération précédente. En effet, la Parole de Dieu nous l’apprend, que nous deviendrons plus faibles et plus intelligents. Les hommes ne vivent plus longtemps comme autrefois, l’espérance de la vie.

            Premièrement, c’étaient cent vingt ans. Ensuite, soixante-dix, soixante-dix, c’était le temps imparti. Nous, dans la... notre génération, c’est réduit à cela. L’espérance moyenne de vie, c’est quelque part... trente-cinq ou quarante ans, d’après l’assurance. Je pense que c’est correct, à peu près.

20        Et pendant cette vie, si nous avons l’occasion de choisir entre le bien et le mal, on revient à la même chose qu’en Eden: un homme et une femme avaient eu à choisir entre faire le bien et faire le mal. Deux arbres étaient placés devant eux. Les Ecritures nous apprennent que l’un d’eux, c’était l’Arbre de la Vie, et l’autre, l’arbre de la connaissance. L’homme a choisi de manger de l’arbre de la connaissance. Et la première fois qu’il a mangé de cet arbre-là, il a rompu son amitié avec Dieu, et il est devenu un être mortel.

            Depuis lors, l’homme désire vivre de cet arbre de la connaissance. Et il a accompli de grandes choses, mais la connaissance seulement peut atteindre un certain point. La connaissance est bonne, mais lorsque vous arrivez au bout de votre connaissance, alors croyez à partir de là.

21        Et quand ils ont quitté l’arbre de la foi, ils ont perdu Dieu. L’homme ne connaît pas Dieu par la connaissance. L’homme connaît Dieu par la foi, c’est l’unique moyen par lequel l’homme peut rencontrer Dieu, c’est sur base de la foi. «Si tu crois», a dit notre Seigneur Jésus. Non pas si tu dis un décret ou si tu es baptisé de telle et telle manière, mais «Si tu crois...»

            Le seul péché qu’il y a, c’est celui d’incrédulité. Chaque personne ici présente ce soir est contrôlée soit par la foi, soit par l’incrédulité. Votre vie prouve ce que vous êtes, de par la vie que vous menez et les actes que vous posez.

22        Vous ne pouvez pas vous attendre à ce qu’une colombe mange avec un charognard. Un charognard, c’est celui qui se nourrit de la vieille charogne de la terre. Il se contente de tout. Mais la colombe n’a pas de bile; elle ne peut pas digérer ces choses dont le charognard, le vautour se nourrit. Par conséquent, vous pouvez observer la vie d’un homme ou la vie d’une femme, voir ce qu’ils font, de par leurs actes, leur désir, et dire quelle est la nature de la personne. Un chrétien ne peut pas tolérer les choses du monde. Jésus a dit: «Si un homme aime le monde ou les choses du monde, l’amour de Dieu n’est même pas en lui.» Et cela a été solennellement dit par notre Seigneur. Et nous devons le croire.

            Si donc Dieu a dû amener un jugement sur Sodome et Gomorrhe à cause de leurs péchés, et qu’Il a dû prendre Son peuple, Israël, et le punir pendant des années dans la captivité, sous les maîtres de corvée cruels, pour n’avoir pas cru à la Parole du Seigneur, qui venait par inspiration, par leurs scribes et leurs prophètes, et qu’ils ont continué à vivre comme le reste du monde... Si Dieu leur a fait payer pour leur péché, nous, nous n’échapperons pas à cela. Nous devons payer pour nos péchés, notre incrédulité.

            L’incrédulité est une chose misérable. C’est terrible. C’est la mort, l’ombre de la mort, l’incrédulité.

23        Et alors, Israël, en ce temps-là, avait beaucoup d’hommes distingués. Et Siméon en était un. C’était un homme qui jouissait d’une bonne réputation parmi les gens. C’était un docteur, un maître en Israël. Et Dieu a choisi d’utiliser cet homme. Et un jour, pendant qu’il était en prière, le Saint-Esprit est allé auprès de lui et a dit: «Siméon, tu ne mourras pas avant de voir le Christ.»

            Pouvez-vous vous imaginer l’attitude des gens, quand cet homme d’une quatre-vingtaine d’années, un vieux docteur sage, sacrificateur d’Israël, est venu dire: «J’ai eu une vision. Le Saint-Esprit m’a dit que je ne mourrai pas avant de voir le Christ.»

            Et si jamais il y a eu un temps où on n’attendait pas le Christ, c’était à cette époque-là. Ils avaient attendu le Christ depuis l’Eden, depuis que la promesse avait été donnée: «La Semence de la femme écrasera la tête du serpent.»

24        David, Samuel, tous les prophètes avaient attendu, ils avaient prophétisé, ils avaient attendu le Messie. Et voici un homme de quatre-vingts ans, juste au moment même où on attendait le moins, faire une telle déclaration: «J’ai vu l’Ange du Seigneur. Et il m’a dit que je ne mourrai pas avant de voir le Christ.»

            Oh! Je peux m’imaginer ses collègues sacrificateurs dire: «Ce vieil homme a perdu le nord.» Ou peut-être: «Il a perdu la tête.» Et ils ont dit aux autres sacrificateurs: «Ne suivez pas ce vieil homme, car il est devenu fou. Laissez-le tranquille, sa folie sera rendue manifeste devant tous les hommes. Nous savons que les anges n’apparaissent pas aux gens en ces jours-ci. Nous savons que ces choses n’arrivent pas. Ça fait des années qu’elles n’ont plus eu lieu, depuis le temps des prophètes et de Moïse.»

25        Mais le vieux sacrificateur savait de quoi il parlait. Cela lui avait été révélé par le Saint-Esprit et il s’est accroché à son témoignage. Il n’avait pas honte de dire aux autres: «Je ne mourrai pas avant de voir le Christ.» Il avait une bonne raison, car cela lui avait été révélé par le Saint-Esprit.

            Eh bien, il n’y a pas deux Saints-Esprits. Il n’y a qu’un seul Saint-Esprit. Et si le Saint-Esprit est dans les églises, conduisant les gens, Il les conduira tout pareillement. Et alors, vous saurez si votre église est dans le vrai ou pas; cela ressemblera à la conduite du Saint-Esprit au commencement, celle qu’Il avait eue au départ.

26        Eh bien, nous voyons cet homme avec pareille déclaration. Et les gens se moquaient tous de lui. Et il n’y avait jamais eu un âge, sondez les histoires, sondez les Ecritures, il n’y a jamais eu un âge, ou une personne que Dieu ait jamais appelée dont le monde ne se soit pas moqué. Voyez les Ecritures. Considérez le Seigneur Jésus, considérez les prophètes; considérez les saints; et voyez si jamais pareille chose s’est passée: jamais dans toute l’histoire du monde.

27        Le monde a montré ce qu’il était quand il a dit: «Donnez-nous Barrabas et ôtez Jésus.» Et qui étaient ceux qui avaient dit cela? L’église, pas le monde extérieur, c’est l’église qui avait dit cela: «Nous ne voulons pas de Jésus; nous préférerions un meurtrier.» Cela parlait donc de soi. Et cela continue toujours.

            Mais le vrai croyant dit: «Je veux Jésus. Nous désirons L’avoir.» Eh bien, nous voyons que... Présentons cela sous forme d’une saynète, il y a de petits enfants ici. Rendons cela simple de sorte que les petits comprennent. C’est la génération de demain, s’il y en aura une.

            Remarquons... Disons que Siméon, c’était un lundi matin. Il y avait eu un grand jour, le sabbat. Et puis, le lundi matin, Siméon était dans son bureau, en train de méditer la Parole de Dieu. Disons qu’il examinait le rouleau d’Esaïe. Et il tombe sur le chapitre 9, verset 6. Et voici ce qui y est écrit: «Un Enfant nous est né, un Fils nous est donné. Et la domination reposera sur Ses épaules, et on L’appellera Conseiller, Prince de paix, Dieu puissant, Père éternel.»

            Et alors qu’il lisait les Ecritures, au même moment, Marie et Joseph entraient au temple, portant l’Enfant Christ. Car c’était une loi, que tous les huit jours après la naissance d’un enfant, la mère devait venir au temple offrir une offrande pour sa purification à elle et pour la circoncision de l’enfant, si c’était un mâle. Et Marie entre avec l’Enfant.

28        Il y avait trois millions de gens en Israël à l’époque, en Palestine. Combien d’enfants naîtraient dans l’espace de vingt-quatre heures avec autant de gens? Des centaines de petits enfants naissaient. Et les mères s’alignaient pour faire circoncire leurs enfants et offrir une offrande pour leur purification à elles. Et l’offrande était soit un–un petit agneau (pour les riches qui pouvaient se le permettre), soit deux tourterelles, que les pauvres paysans offraient.

29        Et voici donc le Christ. Le Christ est ici au temple pour la première fois de toute l’histoire, dans la chair, comme un petit Enfant dans les bras de Marie. Et pendant que les mères se tenaient en ligne, attendant leur tour d’entrer auprès du sacrificateur, elles attendaient. Or, si Dieu avait dit à Siméon qu’il ne mourrait pas avant d’avoir vu le Christ, il incombait donc à Dieu de faire savoir à Siméon que Christ était au temple, car c’est le Saint-Esprit qui donne les promesses qui a la responsabilité de confirmer cette promesse. Et Il était là pour la première fois.

30        Eh bien, d’une façon imaginaire, pendant que Siméon lisait les Ecritures, tout d’un coup, le Saint-Esprit lui a parlé, disant: «Siméon, lève-toi.» Il a déposé le rouleau. Il ne savait pas exactement quelle direction prendre, mais la Bible déclare que les fils de Dieu sont conduits par l’Esprit de Dieu. Il n’est pas nécessaire de savoir où vous allez, tant que vous êtes conduit par Son Esprit. Et voici le Christ au temple. Siméon franchit la porte, ne sachant exactement quelle direction prendre, mais il y a en lui Quelque Chose qui le conduit, c’est le Saint-Esprit qui lui avait donné la promesse. «Quand la profondeur appelle la profondeur...» Siméon croyait le Saint-Esprit, peu importe ce que les gens disaient; il croyait cela.

31        Et s’il y a ici la faim de quelque chose, il doit y avoir premièrement quelque chose pour satisfaire cette faim sinon vous n’auriez pas eu de faim. Puissé-je dire ceci: «Avant qu’il y ait une nageoire sur le dos d’un poisson, il y a premièrement eu de l’eau pour que le poisson puisse y nager, sinon il n’aurait pas eu de nageoire. Tout a un but. Avant qu’il y ait un arbre qui pousse sous terre, il doit premièrement y avoir une terre où il doit pousser, sinon il n’y aurait pas eu d’arbre. En d’autres termes, voici ce que je dis: Avant qu’il y ait une création, il doit y avoir un Créateur.

32        Eh bien, il y a quelque temps, je lisais dans un journal qu’un petit garçon mangeait les gommes de ses crayons à l’école. Et sa mère en a été alarmée. Et puis, un après-midi, à sa surprise, elle trouve le petit garçon assis sous la véranda de derrière en train de manger la pédale d’une bicyclette. Elle fut étrangement alarmée.

            Elle a très vite apprêté le petit garçon et l’a amené à une clinique. Pendant que les médecins examinaient son sang, lui faisaient passer des examens médicaux approfondis, ils ont découvert que le sang du petit garçon avait une carence en soufre. Eh bien, le soufre, on le retrouve dans le caoutchouc. Vous voyez, avant qu’il puisse désirer ardemment le soufre, il a dû y avoir premièrement du soufre pour satisfaire ce désir ardent, sinon il n’aurait pas eu ce désir ardent.

33        Tant que les hommes et les femmes, protestants, catholiques, Juifs, ou je ne sais quoi ils peuvent être, tant qu’il y a dans leur coeur quelque chose qui réclame la guérison auprès de Dieu, il doit y avoir un endroit où ils peuvent aller trouver cette guérison-là, ou il doit y avoir un Créateur qui crée ce désir avant que ce désir soit éprouvé.

            Beaucoup de catholiques vont au tombeau de saint... (J’oublie son nom; j’y ai été) à Paris. J’ai été à Notre Dame, là où la–la soeur a été ensevelie, où on frotte la pierre, à sa tête, pour avoir la guérison, lui adressant des prières pour qu’elle leur accorde la guérison. Et les gens de toutes les religions semblent avoir en eux quelque chose qui réclame Quelqu’Un qui les a créés, pour les aider en temps de trouble.

34        Quand nous sommes venus en Amérique, quand... au Plymouth Rock, nos ancêtres ont trouvé les Indiens qui adoraient le soleil ou quelque chose d’autre. Il y a dans l’homme quelque chose qui lui dit qu’il existe un Dieu quelque part. Là loin dans les jungles d’Afrique, chez les Hottentots, on les trouve avec des idoles aspergées de sang, des bêtes hideuses. Ils savent que quelque chose existe quelque part. Tant qu’il y a dans le coeur de l’homme quelque chose qui réclame Dieu, il doit y avoir un Dieu pour répondre à cet appel-là. Si on a faim de la guérison divine... La raison même pour laquelle vous êtes assis ici ce soir, peut-être que les médecins vous ont abandonnés... Si je n’avais jamais lu les Ecritures, quelque chose m’aurait dit qu’il existe une Fontaine ouverte quelque part. Et si vous venez juste pour venir, et que vous vous attendiez, une fois arrivé ici, à trouver quelque chose à critiquer, Satan vous le montrera. Vous trouverez toujours ce que vous attendez. C’est ce que Dieu a promis. Si vous êtes venu trouver du bien, si vous êtes venu pour connaître Christ et Le voir, parler avec Lui de votre maladie ou de votre âme, Dieu veillera à ce que vous Le trouviez. Vous recevez ce que vous attendez, chaque fois. Cela dépend de ce que vous vous attendez à trouver.

35        Eh bien, Siméon s’attendait à trouver l’Enfant Christ, car la promesse avait été faite. Et à la toute première petite secousse qu’il a sentie dans son coeur, c’était comme la même Personne qui lui avait parlé au départ. Il se leva, déclarent les Ecritures, et fut conduit par l’Esprit, le même Esprit qui avait donné la promesse.

            Eh bien, si le Saint-Esprit ne change pas, et qu’Il a donné la promesse de la guérison divine pour tous les âges dans Sa Parole, qu’est-ce qui vous a amené ici ce soir? Dieu est tenu vis-à-vis de Sa Parole. Et s’Il est tenu vis-à-vis Sa Parole, et que vous croyez qu’Il est le Guérisseur, Il est tenu de vous amener à cette Fontaine où il y a la guérison. Si vous avez soif d’eau, il doit y avoir de l’eau à boire quelque part, sinon vous n’auriez jamais eu soif. C’est pourquoi vous êtes ici ce soir.

36        Suivons ce que Siméon a fait. Eh bien, vous n’avez pas à être ici. Vous pouvez être à votre autel, dans votre propre église, dans votre propre maison. Vous pouvez être à votre autel ou quelque part que vous transformez en votre autel. Dieu vous rencontrera là où vous voulez Le rencontrer. Mais vous avez appris que les autres ont été guéris. C’est pourquoi donc vous êtes venu voir... J’espère que vous avez vu cela. Si ce n’est pas le cas, que Dieu ait pitié de votre âme pécheresse, car vous ne faites qu’occuper le siège que quelqu’un de sincère serait venu occuper.

            Remarquez, si vous avez donc été conduit par le Saint-Esprit, c’est le même Saint-Esprit qui a fait la promesse dans la Bible qui vous a amené ici. Observez ce qu’Il a fait. Quand le Saint-Esprit a parlé à son coeur, il s’est levé, ne sachant pas ce qu’il allait faire. C’est par la foi. Il s’est dirigé vers le temple, il est entré dans le parvis extérieur, il a vu des femmes en ligne. Puis, l’Esprit a commencé à le conduire. Il s’est dirigé vers les femmes, il s’est mis à parcourir les femmes...

37        Suivez, il y avait une petit fille de pas plus de dix-huit ans, elle se tenait là avec un Enfant dans les bras, et les autres femmes gardaient leurs distances vis-à-vis d’elle, parce qu’elle avait une mauvaise réputation: l’Enfant était né hors des liens sacrés de mariage, c’est ce que disait le monde, c’est ce que disait l’église.

            Marie devint enceinte avant de s’être mariée avec Joseph. Et l’Enfant, les femmes là, les femmes riches, leurs petits enfants, portaient des broderies avec fantaisie, en rose, en bleu, elles avaient de petits agneaux à offrir pour leur purification, mais cette petite dame, habillée pauvrement, venant d’un foyer des paysans, se tenait avec un petit Enfant dans son bras, emmailloté...

            Si je comprends emmailloté... C’est ce qu’on m’a dit donc, là... C’était le... qu’on avait retiré du joug d’un boeuf qui labourait, cela pendait dans l’étable où Christ était né. Ils ont pris ces langes, ils L’ont emmailloté, déclarent les Ecritures.

38        Et les femmes se tenaient toutes à distance, parce qu’elles disaient: «Une telle personne, cet Enfant illégitime, alors nous n’aurons rien à faire avec Lui. Nous n’allons pas garder notre... Gardons nos distances vis-à-vis d’une telle personne.»

            Ô Dieu, aie pitié de nos âmes et de nos esprits pécheurs et impies, lorsque nous cherchons à garder la distance entre Dieu et nous, la Vérité, l’amour, et la puissance. Quelle chose impie et pécheresse est-ce! Elles ont gardé leurs distances.

            Et puis, voici venir ce vieux sacrificateur considéré comme un fanatique, parce qu’il disait avoir vu un Ange Qui lui avait dit qu’il ne mourrait pas avant de voir le Christ.

39        Que pensez-vous que cette église orthodoxe, se tenant là par dizaines de milliers, la plus grande église du monde, avec tous leurs érudits, leurs sacrificateurs et autres, se tenant là, et voici venir ce vieux fanatique, comme on voulait le qualifier, s’avançant, sans savoir où il allait, conduit par l’Esprit, jusqu’au bout de cette ligne-là, allant directement auprès de cette petite vierge et il s’arrêta, il prit ce petit Enfant habillé en lambeaux, qu’on pensait être illégitime, il Le prit dans ses bras, avec des larmes lui coulant sur les joues, et il dit: «Seigneur, laisse Ton serviteur s’en aller en paix, selon Tes Paroles, car mes yeux ont vu Ton salut.»

            Pensez-vous que l’église a cru cela? Absolument pas. D’abord, c’était un fanatique, un sacrificateur qui disait avoir vu un Ange. Ensuite... Considérez d’où il venait, de plus pauvres des pauvres. Eh bien, ils ne pouvaient pas croire cela.

            Et ils ne croient pas cela aujourd’hui. Les humains ne changent pas, et Dieu ne change pas. Dieu retire Son homme, jamais Son Esprit. Le diable retire son homme, jamais son esprit.

40        Et si vous deviez être à la place de ces sacrificateurs en enfer ce soir? Il n’y aurait pas assez de prières dans toute l’éternité pour vous sauver. Vous seriez éternellement perdu, pour avoir refusé.

            Vous direz: «Je souhaiterais avoir vécu à cette époque-là.» Vous auriez affiché la même attitude.

41        Remarquez donc maintenant, pendant qu’il se tenait là, bénissant Dieu pour le petit Enfant et pour avoir permis qu’il soit considéré comme un fanatique... Et sans doute que les moqueurs ont dit: «Eh bien, cela montre... Regardez cette femme-là. La voilà avec cet Enfant illégitime. Et elle vient ici, et là se tient ce vieux toqué que tous les sacrificateurs nous ont dit de ne pas écouter, et voici ce vieux toqué qui vient et... Eh bien, je me demande ce qu’on fera.»

            Oh! Mais Marie, dans son coeur, savait de Qui était ce petit Enfant. Et c’est pareil ce soir avec le vrai croyant, né de l’Esprit de Dieu. Vous pouvez être taxé de fanatique ou de tout nom possible, mais dans votre coeur, vous savez Qui est votre Père, si vous êtes né de l’Esprit de Dieu. Vous vous rappelez quand cette naissance a eu lieu, vous connaissez cette terre sacrée, derrière le désert. Il le faut pour chaque croyant. Et ils étaient là.

42        Et alors, il y en avait une au temple du nom d’Anne. Elle était une prophétesse. Elle était aveugle depuis plusieurs années, nous dit la Bible. Elle avait vécu avec son mari sept ans depuis sa virginité, mais elle avait environ quatre-vingt-quatre ans, disent les Ecritures, environ quatre-vingt-quatre, je pense, ça fait quatre-vingt-quatre. Et elle était assise là dans un coin. Elle ne quittait pas le temple le jour ou la nuit, mais elle restait au temple, servant Dieu dans le jeûne et la prière.

            Et elle attendait aussi la Venue du Christ. Et le Saint-Esprit était sur elle. Eh bien, puisqu’elle attendait cela, cela était là au temple. Alors, elle s’est levée, étant aveugle. Et, voici cette prophétesse qui s’avance, Anne, dans le temple, aveugle, se frayant le chemin parmi les gens, touchant l’un: «Pardonnez-moi. Pardonnez-moi.» On voyait qu’elle était aveugle. Elle, conduite par l’Esprit, aveugle... jusqu’à se tenir devant cette scène critique, comme l’église le considérait, une femme qui avait un Enfant, comme ils le pensaient, né hors du lien sacré de mariage, et un sacrificateur fanatique qui disait avoir vu des anges et avoir eu des visions... Et cette vieille femme aveugle, conduite par l’Esprit, se fraya un chemin parmi ces milliers de gens, se tint à côté de l’Enfant et bénit Dieu, et prophétisa sur Lui.

43        Si Dieu peut conduire une femme aveugle... Etre aveugle spirituellement est de loin pire que l’être physiquement. S’il me fallait perdre l’une des vues, que cela soit la vue physique; laissez-moi garder contact avec Dieu, spirituellement.

            Et le Dieu qui les avait conduits ce jour-là n’a pas changé. Il est le même Dieu ce soir. Mais le problème en est que les gens regardent à ce que quelqu’un d’autre va dire, ce que John va dire.

            Et si le roi George, quand j’ai prié pour lui, pour cette sclérose en plaques, s’il était allé poser des questions aux ministres anglicans, que serait-il arrivé? Il n’aurait pas cru cela.

            Et si Florence Nightingale, qui était devenue l’ombre d’une femme, l’arrière-petite-fille de la grande Florence Nightingale, la fondatrice de la Croix Rouge... Sa photo se trouve dans le livre. Elle pesait environ soixante-quatre livres [29 kg], elle se mourait du cancer... Et quand j’ai pris l’avion jusqu’en Angleterre afin de prier pour elle, pendant que je priais, une petite colombe est venue se percher sur la fenêtre et roucoulait, pendant que nous priions, et puis elle s’est envolée.

            Et cette femme est en parfaite santé, elle pèse environ cent soixante-deux livres [77 kg]. Et si elle avait considéré ce que les gens disaient? Mais elle a été conduite par l’Esprit. Ne considérez pas ce que quelqu’un d’autre dit. Considérez ce que Dieu dit et soyez conduit par Son Esprit.

44        Il y eut une fois un jeune musicien formé dans toute la musique possible, car il voulait en avoir la maîtrise. Et il y avait un grand concert, et ce jeune homme devait jouer. Après qu’il eut terminé son morceau principal... Oh! Il était grand, et tout le monde s’est mis debout et a applaudi le jeune homme, en criant, en sifflant. Mais ils avaient constaté que le jeune homme ne réagissait même pas à cela. Il gardait les yeux levés. Et plus ils cherchaient à attirer son attention par des cris et des applaudissements, plus il gardait fermement les yeux tournés vers le dessus du balcon. Et l’assistance fut frappée de voir qu’il n’acceptait pas ou qu’il ne s’inclinait pas devant leurs–leurs applaudissements. Et ils se sont retournés pour regarder, et là-haut au balcon se trouvait le vieux maître enseignant. Il regardait pour voir ce que le vieux maître disait, il ne se laissait pas attirer par ce que disaient les gens qui étaient tout autour. Si seulement nous agissions de même, si nous levions les yeux pour voir ce que le Maître dit et non pas considérer ce que les gens disent...

45        John Sproule, qui a été guéri de la gorge, il n’arrivait pas parler... ce qui a bouleversé la nation, d’après le magazine... Il y a quelque temps, je parlais avec lui, et il disait: «J’ai été à Paris, et j’ai effectué un tour, contemplant les monuments à caractère religieux et autres, puis je suis arrivé dans un certain jardin.» Et il a dit: «Il y avait une statue de Christ.» Et il a dit: «Je contemplais cela.» Et il a dit: «Ma femme la contemplait. Et nous critiquions cela dans notre coeur, parce que cela n’avait en fait rien, à le voir, qui montrait les souffrances de Christ.»

            Et il a dit: «Le guide s’est avancé vers moi, et il a dit: ‘Monsieur, probablement que vous faites comme tous les autres touristes qui sont venus ici. Vous vous demandez pourquoi le sculpteur a donc fait cette statue comme cela.’»

            Il a dit: «Oui, oui, c’est le cas.»

            Il a dit: «Venez ici, juste un instant.» Il a dit: «Vous voyez là, il y a un endroit où s’agenouiller en dessous de la statue.»

            Il a dit: «Oui, monsieur.»

            Il a dit: «C’est un autel.» Il a dit: «Eh bien, venez ici et agenouillez-vous.» Et il l’a fait. Il a dit: «Maintenant, levez les yeux...»

            Et quand il a levé les yeux, il dit que son coeur a failli lui faire défaut à cause des–des–des souffrances de Christ exprimées dans cette oeuvre du sculpteur. [Espace vide sur la bande–N.D.E.] Et il a dit: «Monsieur, voyez-vous, le sculpteur avait à l’esprit qu’on devait regarder Christ en étant à genoux et en levant les yeux. C’est ainsi qu’il avait conçu cela. Non pas en se tenant à distance... Vous critiquerez. Mais si vous vous agenouillez et que vous levez les yeux vers cela, alors vous verrez tout le dessein.»

46        Et avant que vous critiquiez le Saint-Esprit et la Parole de Dieu, Cela n’était pas destiné à être critiqué; ni le Saint-Esprit non plus. Agenouillez-vous et levez les yeux vers Cela, et vous changerez d’avis. Et Dieu vous bénira. Prions.

            Seigneur divin, Toi qui as ramené le Seigneur Jésus, Ton Fils, d’entre les morts, et Qui nous L’as donné comme mémorial de Ton amour et de Ta grâce envers nous, nous partageons mutuellement ce soir, cette communion autour de Ses bénédictions, nous Te demandons de venir vers nous ce soir, tel que Tu l’avais fait quand Tu étais ici sur terre dans un corps physique, de travailler ce soir dans Ton Corps mystique, l’Eglise, en accomplissant les oeuvres que Tu avais faites quand Tu étais ici sur terre, afin que quand le grand Jugement aura lieu, et que chaque homme et chaque femme, jeune fille et jeune garçon, ici présents, auront à se présenter à ce Jugement-là (et peut-être avant l’aube... nous ne savons pas, Seigneur)... Il peut y avoir un accident ce soir quelque part sur la route, et le sang se déversera et les gens imploreront la miséricorde. Il serait trop tard. Ô Dieu, puissions-nous maintenant nous agenouiller, lever les yeux vers Toi, et dire: «Seigneur Dieu, aie pitié de nous.» Et pardonne-nous notre incrédulité, nos doutes, et accorde-nous de recevoir Ton Fils comme notre Sauveur et notre Guérisseur. Et accorde ce soir, Seigneur, alors que Ton Eglise se soumet à Ton Esprit, et Ton serviteur aussi, accorde, Seigneur, que de grands signes du Christ ressuscité apparaissent, comme notre bien-aimé frère l’a expliqué à l’assistance dans le préliminaire de la réunion, car nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.

47        Ce soir, je me demande, pendant que nous nous regardons les uns les autres, s’il y aurait ici quelqu’un qui n’est pas chrétien et qui aimerait juste lever la main pour dire: «Prédicateur, priez pour moi. Je ne suis pas chrétien. J’aimerais le devenir.» Voudriez-vous le faire? Que le Seigneur vous bénisse. Que le Seigneur vous bénisse partout dans l’assistance. Que Dieu soit miséricordieux envers vous. Maintenant, j’ai fini de parler du sujet: L’Expectative. A quoi vous attendiez-vous ce soir? Les Ecritures déclarent que Christ est ressuscité d’entre les morts. Et s’Il est ressuscité, Il reste le même hier, aujourd’hui et éternellement.

            Combien étaient ici aux réunions précédentes et ont vu l’oeuvre du Saint-Esprit? Voudriez-vous juste lever la main afin que vous...? Merci. Combien sont ici pour la première fois? Voudriez-vous lever la main pour juste dire: «Je suis ici pour la première fois»? Je suis très content de vous avoir ce soir ici.

48        Maintenant, voici ce que je déclare avant de commencer à prier pour les malades. Si, par hasard, il y a quelqu’un, une personne qui est critiqueuse, je dois dire ceci conformément à la loi: je ne suis pas responsable de ce qui lui arrive dès ce moment. Voyez-vous? Eh bien, si vous êtes ici et que vous ne voulez pas être respectueux, je vous demande maintenant, alors que nous chantons ce cantique et que nous formons la ligne de prière, de pouvoir disposer. Si vous pouvez rester et être révérencieux et respectueux, alors nous en serons responsables dans la suite de la réunion. Que le Seigneur vous bénisse.

            Eh bien, nous appelons les cartes de prière. Je pense que la première soirée, nous avons appelé les gens qui avaient des cartes... On les compte afin que tout le monde n’accoure pas à l’estrade au même moment. Ce n’est pas une arène maintenant. C’est un lieu de réunion des chrétiens, ce qui est appelé l’Eglise, Son Corps mystique, où on se rassemble. Eh bien, si... je pense que la première soirée, nous avions pris la première partie... Mon fils avait distribué une centaine de cartes ici. Et hier soir, nous avons prié juste pour ceux qui n’avaient pas de cartes, là dans l’assistance. Je pense que c’est comme ça. Ainsi donc, ce soir, appelons les dernières cartes. Je dirais... Je pense que c’est la série T, comme une croix. Retournez votre carte, et disons, prenons le dernier groupe, disons, de quatre-vingt-cinq à cent, et laissons-les, s’ils peuvent se tenir debout, sinon, nous allons les transporter jusqu’à l’estrade.

49        Et puis, nous allons maintenant chanter, si le pianiste veut nous donner, doucement...

Ma foi regarde à Toi,
Toi Agneau du Calvaire,
Sauveur divin;
Maintenant, écoute-moi pendant que je prie,
Ôte tout mon péché,
Laisse-moi dès ce jour,
Etre entièrement à Toi.

50        J’aimerais premièrement poser une question: Qui a la carte de prière 85? Voudriez-vous lever la main? La dame. 86, voudriez-vous venir juste ici, madame, si vous pouvez marcher? 86? Le gentleman? Ici même, monsieur. 87? Juste ici, monsieur. 88? Eh bien, si vous ne pouvez pas marcher, agitez les mains comme ceci et les huissiers vous prendront. 85, 86, 87, 88. [Espace vide sur la bande–N.D.E.]... Ces choses ne sont pas faites dans un coin. J’ai...

            Hier soir, combien ici présents sont témoins que j’ai dit que j’étais en prière sur la montagne pratiquement toute la journée, car l’ennemi a tendu un piège? Mais Dieu s’occupera de cet ennemi-là. Voyez, cela a été annoncé d’avance avant que ça s’accomplisse, vous savez donc que c’est vrai.

51        Je suppose, madame, que vous et moi, nous sommes inconnus l’un à l’autre. Nous le sommes. Eh bien, devant vos yeux, c’est une scène semblable à l’Ecriture de Saint Jean 4. Cette dame, je ne l’ai jamais vue. Quelqu’un lui a remis une carte de prière, portant un numéro. Son numéro vient d’être appelé par hasard, et la voici ici. Et pour nous tous deux, devant le Dieu du Ciel, nous ne nous sommes jamais rencontrés auparavant, à ce que je sache. Je ne connais pas cette dame; elle ne me connaît pas. Et puis, c’est comme ce qui s’était passé dans Saint Jean, chapitre 4 de l’Evangile, là où un Homme et une femme s’étaient rencontrés pour la première fois. Et Jésus a révélé à la femme, son problème, et elle a cru qu’Il était le Messie, elle a rapporté aux autres: «N’est-ce pas le signe du Messie?» S’Il reste le même ce soir qu’Il était jadis, cela continuera à être le signe du Messie. C’est... Et Il a promis qu’Il ferait cela juste avant la destruction du monde. Nous vivons en cette heure-là. Nous sommes marqués.

52        Sur la photo qui était présentée ici il y a quelques instants [Quelqu’un demande: «La voulez-vous?»–N.D.E.] Non. Vous y avez vu une Lumière. Et cette Lumière, je soutiens que c’est l’Esprit de Dieu, l’Un des Esprits de Dieu, un Ange, issu de Lui.

            Et c’est devant Lui que nous nous tenons. Vous savez que le fait de vous tenir dans la présence d’un homme ne vous donnerait pas cette sensation que vous éprouvez maintenant. Il y a quelque chose qui se passe. C’est vrai. Et j’aimerais vous poser une question devant l’assistance, soyez-en juge, si–si je devine et dis que vous êtes malade, que quelque chose cloche en vous (Ça, je ne sais pas), mais vous pourrez dire: «Le frère a deviné cela.» Mais s’Il vous dit quelque chose que vous, vous connaissez, quelque chose que... comme Il l’a fait dans la Bible, et comme Il l’a fait avec la femme au puits, ou quelque chose dont vous savez que je ne sais rien, et s’Il le fait, reconnaîtrez-vous alors qu’il y a Quelque Chose ici présent qui vous connaît? Pas moi. Croirez-vous que c’est le–l’Esprit de Dieu? Croirez-vous? Est-ce que l’assistance croira de même? Puisse-t-Il l’accorder.

53        Maintenant, si l’assistance entend toujours ma voix, cette femme souffre de nerfs, c’est très grave. C’est vrai. Si c’est vrai, levez la main.

            Croyez-vous que c’est l’Esprit de Dieu qui a dit cela? Pensez-vous que j’ai juste deviné cela? Si vous le pensez, juste afin que vous changiez d’avis, que le Saint-Esprit parle maintenant. Et allons... Si Dieu est Dieu, Il reste Dieu. Je ne sais pas ce qui vous a été dit, madame. Ce n’était pas moi qui avais parlé. C’était ma voix, mais ce n’était pas moi qui m’en servais. C’est juste comme ceci ici, c’est muet tant que quelque chose ne parle pas au travers. Moi, je suis muet en ce jour-ci, car je ne vous connais pas, mais peut-être qu’Il nous dira autre chose. Mais tout ce qu’Il a dit, c’était vrai. Je vous parle comme, un homme à une femme comme notre Seigneur avait parlé à la femme au puits, simplement pour voir ce que le Père dira, car Il a dit: «Je ne fais que ce que le Père Me montre.»

54        Oui, je vois la dame dans sa maison. Elle est très nerveuse, bouleversée au sujet de quelque chose; elle laisse tomber des choses très souvent, et c’est... Ce qui est à la base de cela, c’est la période de la vie que l’on connaît, elle passe maintenant par le temps de ménopause. Autre chose, je vois qu’elle a le diabète sucré. C’est vrai.

            Vous n’êtes pas de cette ville-ci; vous venez d’une autre ville. Cette ville s’appelle Richford, en Vermont, et votre nom, c’est madame John Jones. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR. Rentrez chez vous, car Dieu vous a guérie par votre foi. Rentrez et soyez bien portante. Que le Seigneur vous bénisse, soeur.

55        Croyez-vous? Savez-vous que vous êtes dans la Présence du Dieu Tout-Puissant, ami? Avec cette Bible, qui est Sa Parole, ne doutez plus; ayez foi.

            Monsieur, nous sommes inconnus l’un à l’autre. Le Dieu du Ciel va... Nous nous rencontrerons et Dieu nous jugera un jour. Je n’ai aucun moyen de vous connaître, monsieur. Vous m’êtes inconnu, mais si le Dieu du Ciel me révèle ce pour quoi vous êtes ici, monsieur... (Je pense que vous êtes venu avec sincérité. Oui.) accepterez-vous cela comme étant ce qu’a promis le Fils de Dieu?

            Jésus reste le même, Lui qui avait rencontré Nathanaël, un autre... Deux hommes s’étaient rencontrés. J’essaie de citer les Ecritures pour chaque cas, afin que les gens voient le parallélisme et sachent que ce n’est pas moi, un homme; je n’ai rien à faire avec cela, monsieur.

            Vous souffrez aussi très gravement des nerfs, et vous devenez très nerveux, au point que cela a affecté votre coeur. Vous souffrez du coeur (C’est vrai. Oui, oui.), il palpite et bondit. Vous n’arrivez pas à dormir. Je vous vois vous lever la nuit, cherchant à reprendre le souffle. C’est vrai, monsieur. Non seulement cela, mais vous croyez que je suis le–le serviteur de Christ. Laissez-moi vous dire, afin que vous me croyiez davantage. Vous avez quelqu’un à coeur pour qui vous voulez qu’on prie, c’est votre mère. Elle a des complications, n’est-ce pas? Vous avez une très bonne foi. C’est vrai. Vous êtes catholique pour commencer. Vous êtes catholique. Je vous vois avec un rosaire, cela ne peut donc pas être caché. Vous êtes catholique. C’est parfaitement vrai. Votre foi vous guérit, monsieur. Croyez-vous cela? Rentrez et rendez gloire au Dieu du Ciel pour votre guérison. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse. Que le Dieu du Ciel vous bénisse, mon frère. [Quelqu’un parle à frère Branham.–N.D.E.] N’importe comment que vous vous en occupez, monsieur.

56        Que quelqu’un veuille venir par ici, s’il vous plaît, et... par ici et surveille l’autre côté.

            Croyez-vous? Ayez simplement foi maintenant, ne doutez pas; ayez foi. Jeune couple, arrêtez ça, sinon sortez du bâtiment. Faites ce que vous voulez. Le Dieu du Ciel vous maudira.

57        Je ne vous connais pas. Un jour, nous nous présenterons au Jugement. Il s’est fait qu’une bénédiction est venue sur cette femme en lunettes, là en manteau brun, qui souffre du coeur là, qui est assise ici même, regardant tout autour... Croyez-vous que le Seigneur Dieu vous rétablira, ma soeur? Vous pouvez avoir ce que vous avez demandé si vous croyez cela. Ne doutez pas. Ayez donc simplement foi. Priez, croyez.

            Vous essayez de croire, vous assise là au bout du siège. Vous marchez à l’aide d’une canne. C’est parce qu’une partie de votre pied a été amputée. C’est vrai. Je ne vous connais pas. Je ne vous ai jamais vue, mais c’est la vérité. Levez la main si c’est vrai. Si vous croyez en Dieu de tout votre coeur, vous pouvez sortir sans votre canne comme support. Qu’a-t-elle touché pendant qu’elle est assise là? Qu’est-il arrivé? Qu’est-ce qui a réprimandé le jeune couple et béni la femme âgée?

58        Maintenant, jeune homme, allez-vous m’obéir? Jeune fille? Vous dérangez le Saint-Esprit. Je vous avertis avant que cela arrive. Soit vous vous comportez bien, soit le huissier viendra et veillera à ce que vous sortiez, ou la police, l’un ou l’autre, là derrière. Maintenant, nous sommes dans un service évangélique, ce qui est possible de deux ans de servitude pénale, pour avoir perturbé un service évangélique. Eh bien, comportez-vous bien. Pas maintenant, officiers.

59        Croyez-vous que Dieu vous guérira de ce trouble d’estomac? Croyez-vous qu’Il le fera? Que pensez-vous du fils? Pensez-vous qu’il guérira de cet état de paralysie? Il est dans un hôpital. C’est vrai, monsieur. Vous avez avec vous une femme pour qui vous priez. Si Dieu me dit quelle est la maladie de votre femme, accepterez-vous la guérison pour elle? Elle souffre de la tête et de l’hypertension. C’est vrai, monsieur. Tout cela est-il vrai? Eh bien, allez et trouvez cela exactement tel que vous l’avez cru, et que Dieu soit avec vous. Vous n’êtes pas ici pour vous-même. Vous êtes ici pour un ami, une dame amie, qui souffre de sclérose en plaques. C’est vrai. Je ne peux pas la guérir, mais croyez-vous que Dieu la guérira? Allez donc, croyez cela de tout votre coeur, vous pouvez recevoir ce que vous avez demandé. Bonsoir. Je déteste faire cela.

60        Croyez-vous que Dieu guérira votre oreille et vous rétablira? Croyez-vous qu’Il connaît les pensées de votre coeur? Vous priez pour quelqu’un d’autre. C’est pour votre mère et votre père. L’un souffre d’arthrite, l’autre souffre du coeur et d’un mal de pied. C’est vrai. Croyez-vous? Allez, trouvez cela tel que vous l’avez cru. Il en sera exactement tel que vous l’avez cru. Que le Dieu du Ciel vous bénisse.

            Un coeur agité... Dieu peut guérir la maladie du coeur. Il y en a beaucoup là dans l’assistance qui souffrent de la même maladie. Il y a là l’Ange de Lumière, l’Esprit de Dieu. L’homme assis ici au bout de la rangée, juste ici derrière, vous souffrez de la sinusite, l’homme avancé en âge, assis à côté de l’homme corpulent, la sinusite. Vous souffrez de l’estomac. C’est vrai, monsieur. Levez la main, monsieur. Je vais vous dire ce qui est à la base de cela. Vous essayez d’arrêter une mauvaise habitude. Le tabac affecte le sinus. Cela a affecté l’estomac. Vous acceptez que Dieu vous en débarrasse, n’est-ce pas? Croyez-vous qu’Il vous guérira? Que le Seigneur Dieu vous bénisse donc. Allez et recevez cela tel que vous l’avez cru. Ayez foi.

61        Un homme, juste derrière vous là, en lunettes, me regarde; il souffre de l’arthrite, et aussi de la tête. Si vous croyez de tout votre coeur, vous pouvez en être guéri. Comme vous en souffrez aussi, il y a une dame assise là, elle a le regard baissé vers un enfant. Elle souffre aussi de la tête. C’est vrai. Ce sont vos petits-fils qui sont de part et d’autre. Exact. Levez la main si c’est vrai. Je ne vous connais pas, n’est-ce pas? Savez-vous que quelque chose se passe? L’un de vos petits-fils veut qu’on prie pour lui parce qu’il est nerveux. L’autre a une infection. C’est vrai, levez la main. Tous deux sont guéris.

62        Vous tous qui souffrez du coeur, mettez-vous debout juste un instant. Que tout celui qui souffre du coeur... Il y en a trop pour qu’on les appelle, on ne peut simplement pas les prendre. Tenez-vous debout ici juste un instant, soeur.

            Venez. Notre soeur souffre de l’estomac, cela est causé par la nervosité. Tous ceux qui souffrent de la nervosité ou de l’estomac, tenez-vous debout, juste un instant, restez bien debout, tout celui qui souffre de la nervosité ou de l’estomac. Tenez-vous ici même. Vous souffriez aussi de l’estomac, tenez-vous donc debout ici même, tout aussi pareil. Croyez-vous, peu importe ce qui cloche en vous?

            Venez, soeur. Vous souffrez du dos. D’accord. Tenez-vous ici même. Que tout celui qui souffre du dos se lève, juste un instant; c’est le rein et autres. Dieu ne peut-Il pas guérir là dans l’assistance? Voyez, il y en a tellement parmi eux que je ne peux simplement pas les appeler. Ils sont hors de ma portée. Vous croyez; c’est pourquoi vous vous êtes levés.

63        Maintenant, la raison pour laquelle je vous ai dit hier soir, avant que cela se passe... Combien étaient ici hier soir et m’ont entendu dire: «Satan a fait une mauvaise chose, il m’a tendu un piège. Et je ne sais comment aborder cela»? Combien s’en souviennent?

            Il s’agissait du jeune homme et de la jeune femme assis là. Les maudire, ils deviendraient aveugles ou paralysés. Si je gardais silence, ils vivraient. Eh bien, avant que cela se passe, je vous épargne.

64        Vous, croyez que Dieu est ici. Maintenant, à vous qui êtes malades, inclinez la tête juste un instant pour la prière. Croyez, vous ici, de tout votre coeur, le Saint-Esprit qui est proche.

            Eternel et Adorable Dieu, Toi qui as rugi sur le mont Sinaï, Toi qui as parlé par l’apôtre Pierre et qui as dit à Ananias et Saphira: «Pourquoi avez-vous fait telle chose au Saint-Esprit?», et rien que sa voix qui s’est fait entendre, l’un est tombé mort, et l’autre a été emporté peu de temps après, Tu es toujours Dieu, mais Tu es plein de miséricorde. Et cela a été annoncé d’avance à ces gens avant que cela arrive, afin qu’ils sachent que Ton serviteur dit la vérité.

            Maintenant, Eternel Dieu, sois miséricordieux et accorde ce soir, alors que l’ennemi a envoyé ce jeune couple ici, que Tu pardonnes leurs péchés, que le mal ne leur arrive pas, mais que Tu leur pardonnes. Tu es venu épargner la vie des hommes, mais le Saint-Esprit a envoyé Ses bénédictions pour guérir les malades malgré tout. Ta grâce a couvert cela.

            Mais maintenant, les gens sauront, et le jeune couple saura que je n’avais rien à faire au fait pour eux de venir ici, mais j’ai dit avant-hier soir qu’ils seraient ici.

65        Maintenant, Seigneur Dieu, je Te prie d’être miséricordieux envers ceux qui se tiennent debout, qui sont malades et affligés. Que le glorieux Saint-Esprit entre dans leurs coeurs maintenant même, dans leurs corps, et qu’ils sachent que le Dieu qui a vécu dans le Nouveau Testament est vivant ce soir. Cela a été prédit, puis cela s’accomplit. Et tout a été parfaitement et fidèlement accompli par le Saint-Esprit. Nous l’avons ainsi trouvé, et nous T’aimons, Seigneur Jésus, parce que Tu nous as aimés, Tu nous as lavés dans Ton Sang, et Tu as fait de nous Tes enfants. Merci, Père, pour ces choses.

            Nous réprimandons maintenant le démon de maladie dans ces gens, qu’il le quitte, et qu’ils soient tous guéris, au Nom du Seigneur Jésus-Christ.

66        Que tous ceux qui croient et acceptent leur guérison de la part de Dieu se lèvent maintenant même, alors que vous acceptez, sans l’ombre de doute, sentant dans votre coeur que Dieu vous a guéri. Oh! Comme vous devriez rendre des actions de grâce à Dieu!

            La Bible dit: Quand quelque chose comme cela se produisait, du temps biblique, une crainte se saisissait de tous les habitants de toutes les régions. Que pensez-vous ce soir? Si vous êtes un pécheur, si vous êtes un incroyant, je vous invite ici à cette estrade, à cette chaire, à livrer votre vie à Christ. Venez maintenant. Que tout le monde... Si vous croyez que Dieu exauce ma prière et guérit les malades et les affligés, ce que tout celui qui est debout a accepté cela...

67        Madame, qu’en est-il de vous? Il y a quelque chose qui cloche, avec l’infirmité ou quelque chose comme cela. Croyez-vous que Dieu vous rétablira? Vous n’aurez plus à utiliser vos cannes? N’est-ce pas? Vous pouvez avoir ce que vous avez donc demandé. D’accord, que Dieu vous bénisse. Vous êtes maintenant sur vos pieds pour y rester, si vous croyez cela. Maintenant, vous qui voulez que Jésus-Christ soit miséricordieux envers vous maintenant, à l’heure donc de votre mort, voudriez-vous venir ici à l’estrade pendant que nous chantons ce cantique: Quasi persuadé? D’accord. Que Dieu vous bénisse. Très bien, chanteur...

«Quasi persuadé», maintenant pour croire,
«Quasi persuadé», pour recevoir Christ.
On dirait maintenant qu’une âme dit: «Va, Esprit, va Ton chemin,
Un jour beaucoup plus approprié, je T’appellerai.»
«Quasi persuadé»,

            (Occupez simplement votre place ici pour vous tenir, alors que les pénitents viennent recevoir Christ: «Que quiconque veut vienne, catholique, protestant. Les catholiques et les protestants se tiennent ici. Ça ne change rien. Nous ne vous demandons pas de changer d’églises. Nous vous demandons, dans la Présence de Dieu, en tant que Son serviteur, et vous êtes témoins de ces choses...)

On dirait maintenant qu’une âme dit: (Ne péchez pas jusqu’à rater votre...?... jour de grâce.)
«... va Ton chemin,
Un jour beaucoup plus approprié, je T’appellerai.»

68        Inclinons maintenant la tête avec respect dans la prière. Celui qui a créé la terre, qui a ramené Jésus d’entre les morts et qui a fait la promesse que Son... que l’Esprit de Son Etre vivrait dans Son Eglise jusqu’à Son retour... Il ne devrait pas du tout rester de doute dans vos coeurs. S’il y en a, vous êtes certainement maudit de Dieu. Si vous pouvez vous tenir sous ceci et continuer à douter, que Dieu soit miséricordieux.

            Vous qui êtes debout ici à l’autel, peu importe de quelle église vous êtes membre, protestant ou catholique, cela n’a rien à faire avec la chose. Regardez les gens qui ont été guéris. Je ne crois pas qu’il y en ait un que je connaisse, qui se tient debout, qui n’a pas accepté sa guérison. Vous avez vu ce qui est arrivé à l’estrade, aussi certainement que cela vous a été dit des jours auparavant, des semaines auparavant, des mois auparavant, cela est dit maintenant concernant la guérison. S’Il sait ce qui a été, Il sait ce qui sera. Il connaît le futur et Il peut l’annoncer. Il est Dieu. Vous êtes dans Sa Présence. Que Dieu soit miséricordieux maintenant envers vous. Priez et repentez-vous. Demandez à Dieu de vous pardonner et de vous accorder Sa miséricorde. Je suis sûr qu’Il le fera.

69        Et s’il y a quelqu’un d’autre qui désire venir en ce moment, nous ne vous disons pas d’aller à des églises bien déterminées. Nous aimerions que vous fréquentiez n’importe quelle église de votre choix, mais nous aimerions que vous veniez maintenant. Si vous vous sentez condamné dans votre coeur, soit que vous êtes venu, et que vous étiez en erreur, soit que vous avez péché et que vous avez fait quelque chose qui n’est pas correct, l’autel est disponible pour votre confession à Dieu, pas à moi ou à un autre homme, mais à Dieu. Venez demandez pardon. Il est ici avec une grande miséricorde pour guérir les malades et pardonner les pécheurs. S’il y en a un autre pendant que nous chantons doucement encore une fois un cantique, ce couplet... Quasi persuadé maintenant pour croire; Quasi persuadé pour recevoir Christ. Voulez-vous le chanter? Et si vous désirez venir, priez et demandez simplement le Saint-Esprit... Ça ne sert à rien que je vous dise qu’Il est, Lui, ici. Vous savez qu’Il y est. Chantons maintenant, avec vos têtes inclinées, dans la prière alors que nous chantons le cantique.

«Quasi persuadé», venez, venez aujourd’hui;
«Quasi persuadé» pour recevoir Christ;
«Quasi» ne peut prospérer;
«Quasi» ne peut que faillir!
Triste, triste, ce gémissement amer: «Quasi, mais perdu!»

70        [Frère Branham se met à fredonner.–N.D.E.] Pouvons-nous fredonner cela maintenant? Ô Seigneur Dieu, nous nous tenons dans la crainte. Même moi-même, je me pose la question; je suis étonné de Ta grâce: combien Tu es bon et saint! Comme Tu es patient et Tes tendres miséricordes peuvent durer. Je... Cela m’étonne. Comme un poète a dit: «Grâce étonnante.» Nous T’aimons, Dieu bien-aimé. Pardonne-nous nos offenses comme nous pardonnons à ceux qui nous ont offensés. Et librement du fond du coeur, nous pardonnons tout celui qui nous a offensés, afin que nos péchés soient effacés. Ôte notre iniquité et ensevelis cela dans la mer de l’oubli de Ton Sang. Accorde-le, Seigneur. Bénis ces gens qui attendent. Ô Dieu, accorde-le.

71        Ceux qui sont debout ici, qui se repentent envers Toi, implorant la miséricorde, car ils savent qu’ils sont dans Ta Présence, ô Eternel Dieu, accorde-leur la paix du coeur. Parle-leur. Donne-leur des expériences comme Tu as fait du temps de la Bible, car les jours de la Bible sont effectivement de nouveau ici, à la fin de cet âge des Gentils.

            Nous attendons la Venue de Jésus pour bientôt. Nous ne savons pas exactement quand cela aura lieu, quand le monde entier sera réduit en poussière par une bombe atomique ou une attaque qui a été prophétisée par des prophètes il y a des milliers d’années, que le monde basculerait et brûlerait par–par un feu ardent.

72        Et nous Te demandons, ô Dieu, d’être miséricordieux envers nous et d’accorder, Seigneur, que tout celui qui est debout, qui se repent à cet autel, ses péchés soient ôtés. Je demande cela en tant que Ton serviteur, me tenant entre les vivants et les morts. Je demande que leurs péchés et leurs iniquités soient ôtés. Je pourrais ne jamais leur serrer la main sur cette terre, mais j’attends impatiemment ce temps-là si je vis fidèlement. Ils sont les trophées de Ta Présence ce soir. Tu as dit: «Nul ne peut venir à Moi si le Père ne l’attire. Et tous ceux qui viendront, Je leur donnerai la Vie Eternelle et Je ne les mettrai pas dehors, Je les ressusciterai au dernier jour.» Et nous croyons cela, nous réclamons cela pour Tes enfants qui se repentent à l’autel. Puisse... Il y en a ici qui devraient venir et qui ne l’ont pas fait. Sois miséricordieux envers eux, Dieu bien-aimé. Et je prie que Tu leur accordes la même chose.

73        Maintenant, s’il y a quelqu’un qui reste, n’importe où, qui n’a pas accepté la guérison, qui ne sent pas que Christ l’a guéri, puisse-t-il en ce moment recevoir cela. Et qu’on se souvienne pendant longtemps de cette réunion, même par les petits enfants, si Christ tarde. Nous croyons, Seigneur, que Tu béniras ces gens pour leurs efforts et pour tout ce qu’ils ont fait. Nous Te les confions, au Nom de Ton Fils, le Seigneur Jésus.

74        Et avec nos têtes inclinées, je vais demander à l’un des pasteurs ici, frère Sweet, de s’avancer maintenant, alors que vous restez avec vos têtes inclinées pour la prière de clôture et tout ce qu’il a choisi de faire. J’apprécie toute votre sincérité.

            Combien à l’autel, ici debout avec leurs têtes inclinées, croient que leurs péchés ont été pardonnés et qu’ils sont sous le Sang du Seigneur Jésus? Voudriez-vous lever la main vers Lui pour dire: «Seigneur, je crois cela»? Que le Seigneur vous bénisse, tout un chacun le long de l’autel. Il ne faillit jamais. Il exauce toujours la prière. Je suis si reconnaissant pour vous. Que Dieu vous bénisse maintenant, pendant que nous inclinons la tête, et que nous remettons le service à monsieur Sweet.

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