Nous Voudrions Voir Jésus

Date: 58-0523 | La durée est de: 1 heure et 16 minutes | La traduction: Shp
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1          Merci beaucoup, Frère Vayle. Bonsoir, mes amis. C’est certainement un privilège d’être ici ce soir dans cette capitale de New Hampshire. New Hampshire représente beaucoup pour moi, depuis ma tendre enfance. Je peux bien me souvenir de mes parties de chasse là dans les White Mountains, dans le domaine présidentiel, vers Gorham, et dans les parties de cette contrée-là, de bons amis que j’ai rencontrés il y a des années.

            Ainsi, j’ai toujours désiré venir à New Hampshire pour un–un service de prière pour les malades et pour vous rendre visite. C’est vraiment dommage que nous n’ayons que deux soirées ici, et qu’on reparte aussitôt arrivés comme ça. J’ai dit: «C’est comme dire: ‘Salut!’ ‘Au revoir.’» Ainsi... mais je suis sûr que l’Adorable Seigneur nous aidera à mieux faire connaissance dans les années à venir. Nous attendons impatiemment revenir à un moment ou un autre pour un plus long séjour.

2          Cette fois-ci, nous cherchons juste à faire connaissance les uns avec les autres, et je suis sûr que vous L’aimez. Je venais de franchir la porte, quand je vous ai entendu dire amen à ce que disait monsieur Vayle. Et vous croyez en Dieu, vous croyez qu’Il vit toujours et qu’Il est... Il n’a pas changé par rapport à ce qu’Il a toujours été. Il n’est pas plus intelligent, Il ne peut pas devenir plus intelligent, car Il était infini dès le départ. Ainsi donc, tout ce qu’Il dit, chaque déclaration qu’Il fait, ça doit être parfait, car s’Il pouvait grandir en connaissance comme nous, alors Il deviendrait plus intelligent. Il peut–Il peut arranger les choses et les disposer d’une façon un peu différente. Mais quand Dieu fait une–une déclaration ou dit quelque chose, cela doit toujours demeurer ainsi, car Il est parfait dès le départ.

            Eh bien, nous... nos descendances, nous sommes limités. Et nos descendances deviennent un peu plus intelligentes, un peu plus intelligentes comme le déclarent les Ecritures: «Plus faibles, mais plus intelligentes...» Nous grandissons en connaissance, mais Dieu ne le peut pas. Pour être infini, Il doit simplement demeurer parfait tout le temps.

3          Ainsi donc, si une crise surgissait à un moment et que Dieu était invité en scène pour agir, alors, la manière dont Il a agi en ce moment-là, c’est de même qu’Il devra agir chaque fois pour être Dieu. Voyez-vous? En effet, si la deuxième fois Il n’agit pas de la même manière que la première, alors Il–Il en sait plus à ce sujet. Alors, Il fait... Il avait commis une erreur lorsqu’Il a agi la première fois. Voyez-vous? Il devra agir de la même manière tout le temps. Si–si le monde a eu besoin d’un Sauveur, et qu’Il a donc prés-... Il a présenté un Sauveur, un moyen de salut, dans le jardin d’Eden, une issue, Il doit continuer à faire cela pour être Dieu.

            Si une maladie surgissait dans le camp, et que Dieu faisait une expiation pour la guérison, Il doit maintenir cela, sinon Il avait commis une erreur en guérissant la première personne. Il avait commis une erreur en pardonnant la première personne. Voyez-vous? Il est infini–infini, et il nous faut accepter cela comme ça, et croire cela comme ça; et si vous croyez cela comme ça, cela marchera ainsi. C’est juste...

4          Et ce soir, je suis venu vous rendre visite, pendant ces deux soirées de service, en tant que votre frère. Et je suis très heureux d’être ici avec vous, et je ne viens pas rap... représenter une quelconque église dénominationnelle. Nous ne représentons aucune dénomination. Moi-même, j’étais un baptiste missionnaire. Monsieur Vayle ici présent était un baptiste du nord. Je ne suis plus membre de l’Eglise baptiste; je viens d’entrer dans l’Evangile afin de travailler, et je me suis tenu sur la brèche, disant: «Nous sommes des frères. Que quiconque veut, vienne.» Et la petite influence que le Seigneur Dieu m’a donnée, je ne cherche pas à l’attribuer à une quelconque dénomination, parce que je crois que les dénominations ne sont pas ce que Dieu considère. Il considère les gens qui sont dans les dénominations.

5          Ce qui a le plus marqué ma vie, ou une bonne partie de cela, c’était la ferme. Je me souviens là à la rivière Troublesome, où nous avions l’habitude de paître le bétail, on les entraînait vers la forêt Arapaho, et on avait une clôture démontable. Je ne sais pas ce que, vous de l’est, vous savez d’une clôture démontable, mais celle-ci empêche le bétail de s’éloigner de la forêt. Si vous arrivez à cultiver une tonne de foin, alors... Et la chambre de commerce vous accorde une marque qui vous autorise à placer une vache dans la forêt, si vous arrivez à produire une–une tonne de foin pour prendre soin de la vache en hiver.

            Et maintenant, le fermier, il dénombre toujours le bétail à son entrée, et il le vérifie. Et bien souvent, je me suis tenu là, ma jambe placée sur la corne de la selle, observant le fermier. Il ne faisait pas tellement attention à la marque, combien il y en avait là, car il le savait bien de toute façon. Mais il vérifiait l’étiquette de sang à l’oreille. Voyez? L’étiquette de sang... Il devait... Peu importe la marque portée, on devait être un Hereford pur sang, sinon on ne pouvait pas entrer dans la ferme. Peu importe combien bonne était la marque gravée là-dessus, on devait être un Hereford pur sang, sinon on ne pouvait pas paître dans cette prairie.

            Je pense que c’est ce qui se passera à la grande porte lorsque nous y arriverons. Il ne dira pas: «Portez-vous la marque méthodiste, pentecôtiste, baptiste, luthérienne?» C’est la marque de sang qui compte. Tous ceux qui sont nés de l’Esprit de Dieu, par le Sang de Jésus-Christ, seront les bienvenus, peu importe la marque qu’ils portent.

6          Eh bien, sur base de cela donc, nous allons ouvrir Sa Parole et vous parler de Sa Parole. Je ne suis pas un théologien; à maintes reprises, j’ai affirmé que je n’ai pas eu l’occasion d’être instruit. Je ne suis pas fameux comme prédicateur. Je ne connais pas très bien la Parole, mais j’En connais très bien l’Auteur. Ainsi, c’est... Je L’aime, et Il révèlera la Parole au fur et à mesure que nous avançons.

            Maintenant, inclinons la tête juste un instant pendant que nous Lui parlons, avant d’ouvrir la Parole.

7          Bienveillant Eternel Dieu, alors que nous venons humblement comme des créatures temporelles dans Ta Présence, nous Te demandons de Te souvenir de nous, Seigneur, et de nous pardonner tous nos péchés et toutes nos offenses contre Toi.

            Et maintenant, alors que nous consacrons cette petite salle ce soir à l’Evangile, nous Te demandons de consacrer nos coeurs à Ta Parole et à Ton Esprit, alors que nous consacrons ce bâtiment et nous-mêmes au service du Dieu vivant.

            Et Père, nous prions ce soir que Ton Bienveillant Fils vienne sous la forme du Saint-Esprit et qu’Il nous révèle, Seigneur, Sa Présence. Oh! Puisse-t-Il accomplir pour nous, ce soir, abondamment au-delà de toute mesure.

8          Bénis tous ces bien-aimés qui sont dehors ce soir. Nous prions qu’une bénédiction spéciale repose sur les malades et sur les nécessiteux, car c’est dans ce but qu’ils sont venus, Seigneur, afin d’être guéris. Et le fait qu’ils sont ici prouve qu’il y a une Fontaine qui guérit quelque part. Comme David l’a dit dans les jours passés: «Quand la profondeur appelle la profondeur...» Il doit y avoir une profondeur pour répondre à cet appel.

            Ainsi, Père, ils sont ici ce soir, car ils croient en Toi, et ils s’attendent à voir cette fontaine remplie du Sang tiré des veines d’Emmanuel.

9          Ô Seigneur, accorde-nous cette bénédiction ce soir. Et quand nous partirons d’ici, puissions-nous aller comme ceux qui revenaient d’Emmaüs, après qu’ils eurent marché toute la journée avec Jésus. Il leur avait parlé après Sa résurrection, en ce premier beau matin de Pâques, cependant, ils ne L’avaient pas reconnu. Mais quand Il les a eus à l’intérieur au temps du soir, au crépuscule, peut-être vers ce temps-ci, après que les portes furent fermées, Il a fait quelque chose. Alors, ils ont reconnu qu’aucun autre homme à part Lui ne pouvait faire cela de cette manière-là. Et leurs yeux s’ouvrirent, et ils reconnurent que c’était Lui et qu’Il était ressuscité d’entre les morts. Oh! Leurs coeurs tressaillirent de joie, ils retournèrent en courant à la rencontre des autres de leur groupe, en disant: «Le Seigneur est vraiment ressuscité.»

            Seigneur, veux-Tu accomplir quelque chose pour nous ce soir, juste comme Tu l’avais fait avant Ta crucifixion, afin que cette assemblée sache que Tu demeures toujours Dieu? Et quand nous retournerons à nos maisons respectives, puissions-nous dire comme ceux-là alors qu’ils s’en allaient: «Notre coeur ne brûlait-il pas au-dedans de nous alors qu’Il nous parlait en chemin?» Car nous le demandons en Son Nom. Amen.

10        Eh bien, ce soir, notre assemblée est petite, et c’est juste pour nous familiariser un peu. Et alors, peut-être demain soir, le Seigneur voulant, j’aimerais peut-être vous prêcher un peu, ou vous parler de la Parole.

            Ce soir, c’est juste un petit programme d’inauguration que nous utilisons le long du chemin pour introduire le ministère de notre Seigneur que nous essayons de représenter. C’est juste un petit message d’inauguration. Et notre thème sera, ça se trouve dans Hébreux 13.8: Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Et dans Saint Jean 12.20, nous lisons ceci comme contexte:

Quelques Grecs, du nombre de ceux qui étaient montés pour adorer pendant la fête, s’adressèrent à Philippe, de Bethsaïda, en Galilée, et lui dirent avec instance: Seigneur, nous voudrions voir Jésus.

            Et c’est là-dessus que j’aimerais parler: Nous voudrions voir Jésus. Eh bien, si les Ecritures déclarent qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement...

11        Eh bien, pour moi, cette Bible est soit la Vérité, soit Elle n’est pas la Vérité. Si c’est la Parole de Dieu, alors c’est la Vérité. Si ce n’est pas la Vérité, alors ce n’est pas la Parole de Dieu, car Dieu n’aura rien à faire avec quelque chose qui ne soit absolument pas la pure Vérité. C’est ce que nous croyons. Je suis sûr que vous aussi. Cela doit être la Vérité. Ainsi, examinons donc les Ecritures. Ainsi donc, je crois que Ceci est la Parole. Ma foi repose là-dessus. Plusieurs fois, j’ai tenu le Coran dans une main, la Bible dans l’autre, devant un demi million de musulmans, et j’ai dit: «L’un d’eux doit être vrai, et l’autre faux.»

12        Eh bien, si Mahomet est vivant, qu’il parle. Si c’est Jésus qui est vivant, qu’Il parle, et vous, prenez une décision. N’ayez jamais peur de mettre une promesse divine de Dieu en action. Et, souvenez-vous, n’oubliez jamais cette déclaration: «Une attitude mentale correcte envers chaque promesse divine dans cette Bible l’amènera à s’accomplir.»

            Souvenez-vous-en donc. Une attitude mentale correcte envers chaque promesse divine qui est écrite dans cette Bible amènera cela à s’accomplir. Ainsi donc, gardez bien cela à l’esprit. Si Dieu a fait une promesse, et que vous affichiez une attitude correcte envers cette promesse-là, Dieu accomplira tout ce qu’Il a promis. Je sais que c’est vrai. Et j’ai vu le cancer sarcome être guéri avec cela, car les gens avaient cru que c’était la vérité.

13        Eh bien, quand on se met à parler de la guérison divine, parfois les gens disent: «Frère Branham est un guérisseur divin.» C’est faux. Il n’existe pas d’homme qui soit un guérisseur divin, cela n’a jamais existé et n’existera jamais. Jésus n’était pas un Guérisseur divin; Il a dit qu’Il ne l’était pas. «Ce n’est pas Moi qui fais les oeuvres, c’est Mon Père qui demeure en Moi, c’est Lui qui fait les oeuvres.» Ça a toujours été Dieu.

            Dans Psaume 103.3, il est dit: «Il est l’Eternel qui pardonne toutes nos iniquités et qui guérit toutes nos maladies.»

14        Et alors, comment enseignons-nous la guérison divine aujourd’hui? Que c’est... Il était blessé pour nos péchés, et c’est par Ses meurtrissures que nous avons été guéris. Or, quand vous dites... Si je demande dans ce petit groupe ce soir: «Combien parmi vous ont été sauvés, ont été sauvés l’année passée?» Eh bien, certains d’entre vous lèveraient la main. «Combien ont été sauvés il y a de cela vingt ans?» D’autres lèveraient les mains. Eh bien, potentiellement, c’est la vérité, mais cependant, ce n’est pas toute la vérité. Vous avez été sauvés il y a de cela mille neuf cents ans quand Jésus mourait pour vous. Vous venez d’accepter votre pardon il y a une année, il y a vingt ans et tout. Maintenant, c’est... Voyez-vous? C’est–c’est une bénédiction de la rédemption que Jésus a achevée au Calvaire; là, Il était blessé pour nos péchés, et c’est par Ses meurtrissures que nous avons été guéris. Personne ne peut pardonner vos péchés, sauf si vous avez péché contre lui. Et personne ne peut guérir votre maladie, car cela a déjà été accompli.

15        Si Christ Lui-même se tenait ici ce soir portant ce costume qu’Il m’a donné, Il ne pourrait pas vous guérir; Il l’a déjà accompli. Voyez-vous? Il... Si vous avez été racheté, comment pouvez-vous être racheté une seconde fois? Vous avez déjà été racheté. Si vous aviez quelque chose dans un magasin de prêts sur gage, que vous alliez, et–et que vous donniez une facture, que vous receviez une facture prouvant que vous avez racheté cette chose du magasin de prêts sur gage, comment pourriez-vous la racheter une deuxième fois? Cela a déjà été racheté. Nous sommes donc un produit racheté par la grâce de Dieu. Loué soit Son Saint Nom! Il est un... Nous sommes maintenant rachetés, physiquement et spirituellement.

            Qu’est-il donc arrivé? Nous recevons maintenant le gage de notre salut. Et s’il n’y a pas de gage de la guérison divine, alors il n’y a pas de résurrection. S’il n’y a pas de joie et de nouvelle vie qui produit la nouvelle nature et une nouvelle personne, alors il n’y a pas de Vie Eternelle. Un jour, nous–nous connaîtrons une fin. Mais si nous avons la Vie Eternelle, Elle ne connaît pas de fin, car c’est la Vie de Dieu. Et aussi, si nous En avons la joie dans nos coeurs, et que nous savons que nous sommes passés de la mort à la Vie, nos vies se conforment à ce que Dieu a promis, alors nous avons le gage de notre salut, sachant que nous vivrons éternellement, car les attributs de Son Esprit oeuvrent au travers de nous. Ainsi donc, s’il n’y a pas de guérison divine, il n’y a donc pas de résurrection. Voyez? Ainsi, nous devons avoir les deux témoignages, comme les deux sont... la Vie Eternelle complète, et pour notre corps ressuscité.

16        Eh bien, je crois que la Parole est toute la Parole de Dieu. J’ai... Dieu peut faire quelque chose qui n’est pas écrit dans cette Parole. Je sais qu’Il est assez grand pour faire ce qu’Il veut, mais en ce qui me concerne, je crois que ce qu’Il a écrit ici est bien suffisant. Je ne veux rien de plus que ce qu’Il a écrit, mais je veux tout ce qu’Il a écrit. Voyez-vous? Je n’aimerais pas Y ajouter quelque chose ni En retrancher Quelque Chose; tout ce que je veux, c’est ce qu’Il a dit.

            Eh bien, bien des fois, les gens peuvent dire, eh bien, différentes choses en rapport avec ceci, et avoir de petites théologies, de petits credos, et ainsi de suite. Tout cela est en ordre. Mais pour moi, je n’aimerais dire juste que ce qu’Il a dit, alors je le dis juste tel qu’Il l’a dit. Et alors, on sait qu’on est dans le vrai.

17        Plusieurs parmi vous les hommes ici présents ce soir, vous les docteurs, vous savez que dans l’Ancien Testament, on avait un moyen de savoir si un homme disait la vérité ou pas. Ils–ils amenaient un homme au temple, et on avait ce qu’on appelait l’Urim et le Thummim. Et c’était le pectoral qu’Aaron portait. Cela avait douze pierres, représentant les douze tribus d’Israël. Et quand un prophète prophétisait, qu’un songeur racontait un songe, et que cela... si c’était la vérité et que Dieu était dans ce songe-là, ou dans cette prophétie-là, toutes ces lumières produisaient une Lumière surnaturelle, une conglomération de lumières montrant que Dieu avait répondu. Combien savent que c’est la vérité, parmi vous les lecteurs de la Bible ici présents? C’est bien d’avoir des ministres qui lèvent la main. C’était une conglomération pour représenter le surnaturel. Eh bien alors, si... le sacerdoce d’Aaron et les lois de Moïse sont donc passés, et maintenant, nous avons un nouveau sacerdoce, et un nouvel Urim et Thummim. L’ancien Urim et Thummim est passé avec son sacerdoce, mais nous avons un nouvel Urim et Thummim. C’est la Bible de Dieu. Ainsi donc, si un homme dit la vérité et expose la vérité de la Parole de Dieu, la même Parole, qui était au commencement, se manifestera et se confirmera devant vous par le surnaturel. Si ce n’est pas tout aussi vrai que je sais comment le déclarer, je–je ne sais donc pas cela dans les Ecritures. Voyez-vous? Dieu a fait une promesse, et Il doit la tenir. Voyez?

18        Eh bien, ce soir, la question était, pour ces Grecs, ils avaient posé cette question, et je ne pense pas qu’il en serait autrement pour nous ce soir. Tout homme qui a déjà entendu parler du Nom de Jésus désire ardemment Le voir. Et ces Grecs étaient venus; c’étaient des hommes sages et intelligents. Les Grecs cherchent la sagesse, les Juifs, des signes. Et ces Grecs étaient venus à la fête, ils ont entendu parler de Jésus. Et ils sont venus auprès d’un de Ses serviteurs et ils ont dit: «Seigneur, nous voudrions voir Jésus.»

            Or, je crois que ce serait le désir de chaque coeur ici présent; ne voudriez-vous pas Le voir ce soir? Nous tous.

            Eh bien alors, si–si nous aimons Le voir, et qu’il a été accordé à ces Grecs le privilège de Le voir... Eh bien, s’il leur a été accordé le privilège de Le voir–et, ce soir, nous avons le même désir de Le voir–et que les Ecritures déclarent: «Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement», alors, pourquoi ne pouvons-nous pas Le voir? Est-ce raisonnable comme ça?

            Remarquez. S’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement, et qu’il leur a été accordé le privilège de voir Jésus, qu’on dise donc aujourd’hui qu’Il est le même aujourd’hui qu’à l’époque, si donc nous avons le même désir, pourquoi ne pouvons-nous pas Le voir? Assurément nous le pouvons, car Il l’a promis. Il... Vous devez vous y prendre conformément à Sa Parole, faire agir Sa Parole.

19        Si vous aviez de ce côté-ci un puits artésien qui fait jaillir de l’eau jusqu’à une hauteur de cinquante pieds [15,20m], et que cet autre côté était en train de brûler, vous ne pourriez pas vous tenir là sur cette colline et crier à cette eau: «Viens par ici arroser ma récolte. Viens arroser ma récolte.» Ça ne se fera jamais. Mais si vous agissez conformément aux lois de la gravitation, cela canalisera cette eau droit vers là et arrosera cette récolte.

            Et si vous vous tenez dans le champ, et qu’il fasse sombre, là loin dans les bois, et que vous aviez besoin de la lumière, et que vous disiez: «Ô grande électricité, l’air en est plein. Franklin nous dit qu’il y a assez d’électricité dans chaque pièce pour l’éclairer. Ô grande électricité, tu es ici, les hommes de science ont prouvé que tu es ici, maintenant, produis la lumière afin que je sorte de ces bois.» Cela ne se fera jamais. Mais si vous agissez conformément aux lois de l’électricité, cela éclairera la forêt pour vous. Voyez-vous? Elle est là.

20        Eh bien, Dieu a fait une promesse. Et si nous travaillons conformément aux lois de cette promesse, Dieu, Ses lois de l’Esprit, nous... Il accomplira juste exactement ce qu’Il a dit qu’Il ferait. Or, vous ne pouvez pas vous tenir là, imaginer quelque chose, vociférer pour ceci, hurler pour cela, ou faire pénitence, réciter le chapelet, courir à genoux sur des pierres, et–et–et aller à l’église et être... Ce–ce n’est pas ce qu’il faut. Il faut une loi, et la foi, c’est la loi de Dieu pour vous. Il vous faut avoir la foi. Pour avoir la foi, vous ne pouvez pas faire reposer la foi juste sur du sable mouvant de la théologie humaine. La foi trouve son fondement éternel sur le Rocher inébranlable de la Parole éternelle de Dieu et s’y repose.

            C’est juste comme la maman de Moïse, après qu’elle eut placé celui-ci dans la–la petite arche et qu’elle l’eut poussé dans les joncs de marais. Elle s’est tenue là, ayant placé son bébé dans la gueule même des alligators, et–et de la mort, mais vous voyez, la foi peut s’appuyer sur le Rocher des âges, juste au-delà de la tombe, et regarder au-delà vers Celui qui a dit: «Je suis la Résurrection et la Vie.» Voyez-vous? La foi ne connaît pas de défaite. Non, non. On ne peut pas vaincre la foi.

            Ainsi, pour voir Jésus, il nous faut avoir la foi de croire qu’Il est ici et qu’Il tient Sa promesse.

21        Maintenant, examinons les Ecritures juste un moment donc. Eh bien, la Bible dit: «Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement.» Maintenant, si nous pouvons examiner les Ecritures et découvrir ce qu’Il était hier, alors nous pouvons nous attendre à ce qu’Il soit le même aujourd’hui (Est-ce vrai?), si nous découvrons ce qu’Il était.

            Eh bien, premièrement, nous voyons qu’Il ne prétendait pas être un Guérisseur, Il déclarait que c’était Son Père qui demeurait en Lui qui accomplissait l’oeuvre. Nous le savons. Et ensuite, nous–nous voyons qu’Il ne soutenait pas qu’Il pouvait guérir au hasard. Maintenant, Saint Jean, vous qui notez les Ecritures, Saint Jean 5.19, Jésus a dit: «En vérité, en vérité, Je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-même, Il ne fait que ce qu’Il voit faire au Père.» Y a-t-il quelqu’un qui a déjà lu cela? Très bien. Eh bien, a-t-Il dit... Est-ce la Vérité ou une erreur? C’est la Vérité. «En vérité, en vérité», ce qui veut dire: «Absolument, absolument, Je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-même, mais Il ne fait que ce qu’Il voit faire au Père. Le Père agit jusqu’à présent, et Moi aussi J’agis.»

22        Maintenant, Il est passé à côté d’une grande piscine où étaient couchés des milliers de gens, des infirmes, des boiteux, des aveugles, des paralytiques, et Il est passé par cette piscine, regardant çà et là. Il y avait des mères avec des enfants hydrocéphales; il y avait des gens complètement infirmes et déformés, qui cherchaient à entrer dans l’eau. Il a traversé la foule sans jamais toucher aucun d’eux, cherchant jusqu’à trouver un homme couché sur un grabat. (Eh bien, je pense que vous les Yankees, vous savez ce que c’est un grabat. J’ai grandi sur un là dans le Sud, juste une couverture matelassée qu’on plaçait à la porte.) Ainsi donc, ils... Voyez, cet homme était couché sur un petit grabat. Et Jésus... La Bible dit qu’Il savait qu’il était dans cette condition depuis plusieurs années, trente-huit ans, je pense. Eh bien, voyez, Il le savait. Le Père le Lui avait montré.

            Et Il a dit à cet homme: «Prends ton lit, et va dans ta maison.» Puis, Il s’est retourné et a laissé toute cette multitude, des milliers de boiteux, d’infirmes, d’aveugles et de paralytiques couchés là.

            Alors, Il fut interrogé, et Il a dit: «En vérité, Je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-même, mais ce qu’Il voit faire au Père, le Fils aussi le fait pareillement.» En d’autres termes (Voyez-vous?), ça se répète, le Père Lui avait montré où était couché cet homme, son état. Il est allé vers lui, l’a guéri, et Il s’en est allé. Il a donné gloire à Dieu. Il ne pouvait rien faire d’autre, car le Père ne Lui avait montré rien d’autre. Si c’était là Jésus hier, c’est Jésus aujourd’hui.

23        Remarquez donc ce qu’Il a dit: «Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus.» A-t-Il dit cela? «Mais vous, vous Me verrez.» Eh bien, le monde, ce sont les incroyants. Nous le savons toujours, c’est le cosmos en grec, ce qui veut dire l’ordre du monde. Très bien. «Le monde ne Me verra plus, mais vous, vous Me verrez (Vous, l’église), car Je (Je est un pronom personnel) Je serai avec vous, même en vous jusqu’à la fin du monde.» Est-ce ce que déclarent les Ecritures? Nous savons tous qu’Il l’a dit. Eh bien, comment peut-Il se manifester aujourd’hui? Il a dit: «Je suis le–le Cep, vous êtes les sarments.» Eh bien, ce n’est pas le cep qui porte les fruits. Il–il donne la vie au sarment, et c’est le sarment qui porte les fruits. Vous qui êtes ici à Concord, vous devriez le savoir avec vos raisins et autres, que vous... et vos fruits. Si vous allez donc à un arbre portant des raisins, ou plutôt à une vigne, vous vous attendrez à trouver des raisins, si c’est une vigne. La vigne ne porte pas de fruits, mais ce sont les sarments qui portent des raisins. C’est vrai. Si vous allez à un pommier, si c’est un bon arbre fertile, il produira des pommes. Un pêcher produira des pêches. Une pastèque produira des pastèques. Un potiron produira des potirons. On reconnaît tout. Tout se reconnaît par ses traits. Alors, l’Esprit de Dieu dans Son Eglise reproduira la Vie de Christ, puisqu’Il est le Cep, et nous sommes les sarments. Assurément, voyez-vous?

24        Nous avons changé cela. Nous en avons fait l’adhésion à une église, l’enseignement théologique, l’établissement des écoles; je n’ai rien contre cela, mais vous voyez, ce n’est pas ce qu’Il a dit. «Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais. Vous en ferez davantage, car Je m’en vais au Père. Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus, mais vous, vous Me verrez. Car Je serai avec vous, même en vous, jusqu’à la fin du monde»; Jésus-Christ, le même hier, aujourd’hui et éternellement.

            Mes amis, voici cette photo; je pense qu’on la montrait ici il y a quelques instants, cette photo ici. Ils ont cela en Allemagne et partout dans le monde. J’ai vu cela depuis ma tendre enfance.

            Eh bien, pour moi, si vous me le permettrez, je... Ce n’est pas ma photo; je n’avais rien à faire dans ce rôle-là. C’est l’Ange du Seigneur. Maintenant, combien d’enseignants de la Bible ici présents savent que l’Ange du Seigneur qui avait conduit les enfants d’Israël dans le désert était Christ? Est-ce vrai? Quand Il était sur la terre, Il a dit... On L’interrogeait (Saint Jean 6), disant: «Eh bien, toi, maintenant, nous savons que Tu as un démon, puisque Tu dis que Tu existes avant Abraham, avant Moïse, et avant ceci, cela.»

            Il a dit: «Avant qu’Abraham fût, JE SUIS.» Est-ce vrai? Qui était le JE SUIS? C’est l’Ange qui avait parlé à Moïse sous la forme de la Colonne de Feu, dans le buisson ardent. Il a conduit les enfants d’Israël dans le désert. Ensuite, Il s’est fait chair et a habité parmi nous, Dieu fait chair. La Bible déclare qu’Il l’était. Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec Lui-même. Il était le Tabernacle dans lequel Dieu vivait, né d’une naissance virginale, Il était dans ce tabernacle de Son Fils, se manifestant, se montrant, s’exprimant au monde Lui-même comme étant le Fils de Dieu, afin qu’Il fasse entrer d’autres fils adoptés dans le Royaume.

25        Eh bien, quand cette Colonne de Feu était en Lui, à la fin de Son voyage, Il a dit: «Je suis venu de Dieu, et Je retourne à Dieu.» Il est donc venu de la Colonne de Feu et Il est retourné à la même Colonne de Feu, s’Il a dit la Vérité, s’Il était le JE SUIS, qui était dans le buisson ardent.

            Eh bien, voyons si c’est scripturaire. Un... Peu après cela, il y eut un homme appelé Saul, qui plus tard fut appelé Paul. Il était en route vers Damas et, tout à coup, une Lumière éclatante resplendit sur son visage, c’était plus éclatant que le soleil, et cela a même aveuglé Paul au point qu’il est tombé. Et Il a dit: «Saül, Saül, pourquoi Me persécutes-tu?»

            Il a demandé: «Qui es-Tu, Seigneur?»

            Il a répondu: «Je suis Jésus.» Est-ce vrai? Il était de nouveau retourné à la Colonne de Feu, la même qui avait libéré Pierre de la prison, peu après cela.

            Ensuite, dans ces derniers jours, s’Il est venu à l’Eglise des Gentils, si celle-ci est Sa photo... George J. Lacy, le responsable du département de la Police Fédérale Américaine, a examiné cela, les examinateurs allemands, en Suisse, partout au monde, c’est une...?... Vous verrez cela ce soir s’Il vient. Vous verrez cela. Maintenant, si c’est l’Esprit de Christ, Cela aura à rendre le même témoignage, Cela aura à porter le même fruit, Cela aura à accomplir la même chose, Cela aura à manifester le même Dieu; ça sera exactement le fruit du Cep, si nous sommes Ses sarments. Est-ce vrai?

26        Maintenant, cela ne peut pas oeuvrer seulement au travers d’une seule personne; cela aura à oeuvrer au travers de nous tous. Nous formons tous Son Eglise. Vous méthodistes, baptistes, presbytériens, luthériens, pentecôtistes, Assemblées de Dieu, quoi que vous soyez, nous sommes Ses sarments, et si nous sommes dans ce Cep, nous porterons Sa Vie, nous ne pouvons pas nous en empêcher. Et si cette Colonne de Feu est la même Colonne de Feu, Elle agira de la même manière qu’Elle avait agi quand Elle était ici, qu’Elle avait été faite chair et qu’Elle avait habité parmi nous. Elle sera dans notre chair ce soir, se manifestant Elle même. Est-ce vrai? Nous voudrions donc voir Jésus, le même hier, aujourd’hui et éternellement.

            Voyons comment Elle s’est manifestée en Son jour. Prenons maintenant... Nous lisons dans Saint Jean, le... je crois, le chapitre 12, oui. Retournons au premier chapitre. Vous le lirez une fois rentrés chez vous. Suivez-moi maintenant dans les Ecritures, si vous le voulez, juste pendant quelques instants. Excusez-moi.

27        Eh bien, remarquez, quand Jésus avait commencé Son ministère terrestre, immédiatement, un homme qui s’était converti alla vite chercher son frère. Et quand–quand Il a... Est-ce que je parle trop fort? Est-ce que cela vous assourdit pratiquement? Je suis habitué à parler en plein air, dans des stades et autres, et ce n’est pas mon intention de crier sur vous.

            Mais quand il alla auprès de son... prit son frère et l’amena... Et nous savons que son frère était Simon Pierre. En ce moment-là, il ne portait pas ce nom-là. Il entra donc dans la Présence de Jésus. Observons-le juste une minute maintenant, et voyons ce que Jésus était hier. Et si nous pouvons découvrir ce qu’Il était hier, alors Il devra agir dans Son Eglise de la même manière aujourd’hui, pour être le même. Eh bien, gardez cela à l’esprit.

28        Quand Philippe alla trouver... je veux dire André, alla trouver son frère, il l’amena auprès de Lui, et la première chose quand Jésus vit cet homme, la Bible dit qu’il était un homme du peuple sans instruction, il ne–il ne pouvait même pas signer de son propre nom, un homme du peuple sans instruction, qui devint le chef de l’Eglise. Qu’est-ce que notre système pédagogique a à faire avec cela? Voyez? Un homme qui ne pouvait pas signer de son propre nom a reçu les clés des cieux, et le Royaume de Dieu pendait à son côté, Saint Pierre. C’est vrai. Un vieux pêcheur, qui ne connaissait pas son ABC, qui ne pouvait probablement pas compter plus loin, qui ne pouvait même pas signer de son nom. La Bible dit qu’il était un homme du peuple sans instruction. Les Ecritures sont vraies, Saint... C’est dans Actes 4. Très bien.

29        Remarquez. Jean, aussi. Mais aussitôt que ce vieux pêcheur est entré dans la Présence du Seigneur Jésus, Jésus l’a regardé et a dit: «Ton nom est Simon, et le nom de ton père est Jonas.» Est-ce vrai?

            Que pensez-vous que ce pêcheur a dû penser? «Comment m’as-Tu connu? Eh bien, Tu dois être le Messie. Comment m’as-Tu connu... connu cela... mon nom, et qui est mon père?»

            Et rapidement alors, quelqu’un du nom de Philippe contourna la montagne à toute vitesse, à quinze miles [24 km], à un lieu où il trouva un très brave presbytérien, ou plutôt un très brave croyant orthodoxe, qui était là dans la vigne, là dans le verger, en train de prier. Et aussitôt que...

30        Présentons cela sous forme de saynète afin que les petits enfants le comprennent. Quand il entra dans le verger, peut-être que sa femme, quand il était arrivé et qu’il avait demandé: «Où est Nathanaël?»«Oh! Philippe, nous sommes très contents de te voir. Nathanaël, il est derrière, dans le verger.»

            Et voici Philippe ressortir, traverser le verger, regardant quoi il pouvait trouver. Peu après, il entendit quelqu’un prier. Il regarda sous un arbre, et là se tenait Nathanaël sous l’arbre, ou plutôt à genoux, en train de prier; Philippe a attendu jusqu’à la fin, et quand Il a dit: «Amen», il a regardé tout autour, il a dit: «Eh bien, Philippe, je suis content de te voir.»

            Il a dit: «Viens voir Qui nous avons trouvé.»

31        Oh! Si ce groupe des gens de Concord ici présents ce soir, dans cette grande capitale de l’un des plus beaux Etats de l’Union, si vous pouviez avoir cet enthousiasme au sujet de Christ! Il n’a pas attendu, pour dire: «Je suis content de te voir»; rien de tout cela. Il a dit: «Viens voir Qui nous avons trouvé, Jésus de Nazareth, le Fils de Joseph.»

            Cet enthousiasme, l’église l’a perdu aujourd’hui. Pourquoi? Parce qu’elle est sortie du Cep. Elle n’est plus alimentée par l’Esprit, des sources d’eau jaillissant jusque dans la Vie Eternelle. Ils ont perdu ce zèle. Quelque chose manque. Dieu reste le même; Christ reste le même; mais Son Eglise s’est déconnectée de Lui, le Cep, l’Esprit.

32        Et ensuite, lorsqu’ils ont vu cela arriver, que pensez-vous qu’il s’est passé lorsqu’il a dit: «Viens voir Qui nous avons trouvé, Jésus de Nazareth, le Fils de Joseph»? Et cet orthodoxe, ce très brave homme, un chef et tout le reste, a dit: «Eh bien, juste une minute, Philippe; tu dois avoir perdu le nord quelque part. Peut-il venir de Nazareth quelque chose de bon? Puisque tu penses que c’est le Messie, si le Messie venait, Il viendrait au temple.» C’est ce que vous pensez, vous les catholiques: Il irait à Rome...?... Vous les presbytériens, vous pensez qu’Il irait chez votre évêque. Vous les pentecôtistes, vous pensez qu’Il irait chez le surveillant général. Mais Il va où Il veut; c’est Son affaire.

33        «Oh! S’Il venait, Il devrait venir à ma dénomination.» C’est ce que pensait Philippe, ou plutôt ce que pensait Nathanaël. «Peut-il venir de Nazareth quelque chose de bon, une petite ville comme cela? Si le Messie venait, Il viendrait à Son grand temple à Jérusalem. Il viendrait... Caïphe, le souverain sacrificateur, sonnerait l’alarme partout.»

            Vous voyez? La manière dont Il s’est manifesté à cette époque-là ne convenait pas à cette catégorie de gens, et c’est pareil aujourd’hui. Il reste le même, Son attitude. L’Esprit ne change pas. L’esprit passe d’une personne à l’autre, mais il demeure le même. Ces docteurs orthodoxes raides subsistent aujourd’hui. Ces personnes humbles et flexibles, qui étaient disposées à s’incliner dans la Présence de Dieu, sont encore là aujourd’hui, et le Saint-Esprit est ici, et l’esprit du diable est ici. Vous êtes possédé de l’un ou de l’autre, pas de tous les deux à la fois, de l’un ou de l’autre. Vous ne pouvez pas servir deux maîtres à la fois; c’est ce que déclarent les Ecritures.

34        Maintenant, remarquez, qu’a-t-il dit? «Peut-il venir de Nazareth quelque chose de bon?»

            Je pense qu’il lui a donné la meilleure réponse qu’un homme puisse lui donner. Il a dit: «Viens, et vois.» Ne restez pas à la maison à critiquer, ne dites pas simplement: «Eh bien, peut-être que c’est vrai.» Venez découvrir de vous-même. C’est ainsi qu’il faut s’y prendre. Venez, assoyez-vous, écoutez vous-mêmes. Sondez les Ecritures.

35        Chemin faisant, alors qu’ils évoluaient, suivons-les juste un petit instant. Je peux entendre Philippe dire à Nathanaël: «Connais-tu ce vieux pêcheur auprès de qui tu as acheté du poisson ce jour-là, et tu voulais qu’il signe la facture, et il ne le pouvait pas?»

            «Oui.»

            «Il est entré dans la Présence de ce Jésus de Nazareth, ce Dernier lui a dit qui il était, Il lui a dit le nom de son père, Jonas. Et tu sais, je ne serai pas surpris qu’Il te dise qui tu es, à ton arrivée.»

            «Oh! Eh bien, juste un instant. Je ne crois pas dans de telles choses. Il me faudra voir cela de mes propres yeux.»

            Il a dit: «Viens.»

36        Et quand ils sont entrés dans la Présence de Jésus, après un voyage de quinze miles [24 km] de l’autre côté de la montagne, quand ils sont entrés dans la Présence de Jésus, peut-être dans la ligne de prière, où que ce fût, je ne sais pas, cela n’est pas mentionné. Mais lorsqu’il est entré dans la Présence de Jésus pour la première fois, observez ce que Jésus a fait hier. Il a dit: «Voici un Israélite dans lequel il n’y a point de fraude.» Eh bien, Il a dit...Assurément, il était habillé comme cela. Eux tous s’habillaient de la même manière. Il aurait pu être un Arabe; il aurait pu être un Grec; eux tous portaient une robe dessus, un vêtement avec un turban. Il a dit: «Voici un Israélite dans lequel il n’y a point de fraude.» Il aurait pu être un escroc, un assassin, ou un voleur. Et cela l’a tellement étonné qu’il a dit: «Rabbi (ce qui signifie Docteur), quand m’as-Tu donc connu?» Suivez la réponse.

            «Avant que Philippe t’appelât, quand tu étais sous l’arbre, Je t’ai vu.» Quels yeux! A quinze miles [24 km] de l’autre côté de la montagne, la veille... Là, c’était Jésus hier. S’Il est le même aujourd’hui, Il doit demeurer le même dans Son peuple aujourd’hui, comme Il était à l’époque.

37        Qu’a-t-Il dit? «Je ne fais que ce que Mon Père Me montre.» Le Père Lui avait montré qu’il était sous l’arbre avant de venir. Il Lui avait montré Simon, qui il était, avant qu’il vienne. Il lui a dit qui était son père. Voyez-vous? Eh bien, c’est comme ça que Jésus a commencé à se manifester.

            Eh bien, combien savent qu’il n’y a que... races de gens? Ce sont les descendants de Cham, de Sem et de Japhet. Assurément. Ils descendent des fils de Noé, si les Ecritures sont correctes. Très bien. Ce sont les Juifs, les Gentils et les Samaritains. Les Samaritains sont mi-Juifs et mi-Gentils.

38        Pour vous qui lisez vos Ecritures, Pierre avait les clés du Royaume. Dans Actes 2, il a ouvert aux Juifs à Jérusalem, et il a poursuivi son chemin. Philippe est allé prêcher aux Samaritains. Le... Quelqu’un du nom d’Etienne y avait été avant lui (ou plutôt pas Etienne, mais voyons si je peux me rappeler son nom, juste dans une minute, cela m’a échappé maintenant même) Philippe, il est allé leur prêcher, et ils avaient reçu la Parole, mais pas le Saint-Esprit, car c’est Pierre qui avait les clés. Ce dernier est descendu leur imposer les mains; le Saint-Esprit est venu sur eux.

            Actes 10.49, les Gentils... Là-haut, quand Pierre ouvrit l’Evangile aux Gentils, dès ce moment-là, toutes les nations ont reçu cela. On n’en a plus parlé. Qu’était-ce? Les Juifs, les Gentils et les Samaritains.

39        Eh bien, lorsque Jésus s’est manifesté aux Juifs, voyez-vous comment Il le fit, tout au début de Son ministère?

            Eh bien, remarquez ce que Philippe a dit: «Tu es le Fils de Dieu, Tu es le Roi d’Israël.» C’est ce qu’a dit ce très fervent Juif, quand Il a dit: «Je t’ai vu avant que tu... quand tu étais sous cet arbre-là, Je t’ai vu.»

            Et Philippe, ou plutôt Nathanaël a dit: «Tu es le Fils de Dieu, le Roi d’Israël.»

            Jésus a dit: «Parce que Je t’ai dit que Je t’ai vu sous cet arbre, tu crois en Moi?»

            Il a dit: «Oui.»

            «Eh bien, alors tu verras de plus grandes choses que celles-ci.» Voyez-vous? Il était sur le point de savoir quelque chose, d’aller plus loin avec Dieu.

40        Mais il y en avait qui se tenaient là, les Juifs, de véritables érudits, des docteurs en philosophie, des docteurs en divinité, des docteurs en droit, très instruits. Savez-vous ce qu’ils ont dit? Ils ont dit: «Cet Homme est un diseur de bonne aventure. Il a un esprit démoniaque, Béelzébul.» Combien savent cela? «Il accomplit cela par la puissance de Béelzébul, c’est un diseur de bonne aventure.» Tout le monde sait que dire la bonne aventure, c’est du diable. On a donc dit: «Ce–c’est un diseur de bonne aventure, Béelzébul, le prince des démons. Il est le plus grand de tous les diseurs de bonne aventure.» Et qu’a dit Jésus? «Vous dites cela contre Moi, Je vous pardonnerai. Mais quand le Saint-Esprit viendra accomplir les mêmes choses, un seul mot contre Lui ne sera point pardonné ni dans ce siècle ni dans le siècle à venir.» Est-ce ce que déclarent les Ecritures? Il y en a donc qui sont nés pour des destinations éternelles. Il y en a qui n’y peuvent rien. Ils sont aveugles, et le diable leur a aveuglé les yeux; ils ne verront jamais cela. Ils ne peuvent pas le voir.

41        Ainsi donc, rappelez-vous, ensuite nous verrons... C’est ainsi qu’Il connaissait... s’est fait connaître aux Juifs.

            Eh bien, un jour, Il est allé, dans Saint Jean... Tournez les pages de vos Ecritures jusqu’au chapitre 4. Eh bien, nous étions au chapitre 1; allez au quatrième. Je reviens au troisième juste dans une minute. Puis, nous allons terminer.

            Remarquez, alors quand Il est allé chez les–les Samaritains, Il allait... Il est passé à travers... par la Samarie, et Il est allé dans une certaine ville, et ce puits est toujours là en dehors de la ville, une vue panoramique, quelque chose comme ceci ici, des vignes poussaient tout autour du puits. Toutes les femmes y allaient puiser de l’eau le matin. Elles... Et elles pouvaient causer, juste comme les femmes le font, vous savez; elles faisaient descendre leurs cruches, puiser de l’eau, et mettre cela sur la tête. Je les ai vues placer sur la tête une grosse cruche, d’environ cinq gallons (22,7 litres), une autre à chaque hanche, marcher droit dans la rue en causant, se faisant signe de la tête l’une à l’autre, sans déverser une goutte. C’était vraiment parfait, car c’est depuis leur enfance qu’elles font ça.

42        Et ils... les disciples étaient partis chercher du pain, des provisions. Jésus était seul. Pourquoi? La Bible dit: «Il fallait qu’Il passât par la Samarie.»

            Il était assis là, et apparut... Disons que c’était une belle femme. Evidemment, nous comprenons ici dans cette contrée qu’elle était une prostituée. Elle était mariée plusieurs fois, elle vivait donc dans l’adultère. Elle est passée juste à côté de Jésus, elle a fait descendre la cruche pour puiser de l’eau. Jésus a dit: «Femme, donne-Moi à boire.»

            Elle a dit: «Monsieur, il n’est pas de coutume que vous les Juifs, vous demandiez pareille chose à nous les Samaritains.» Elle a dit: «Nous n’avons pas de communion les uns avec les autres. Nous n’avons pas de telles habitudes, car il y a la ségrégation. Vous êtes un Juif, et moi, une Samaritaine. Nous n’avons pas de telles habitudes, pas de relations les uns avec les autres.»

            Jésus a dit: «Si tu connaissais Celui à qui tu parles, c’est toi qui M’aurais demandé à boire. Et Je T’apporterais de l’eau... Je te donnerais de l’eau que tu ne viendras point puiser ici.» Que faisait-Il? Il contactait son esprit.

            Et elle a dit: «Eh bien, Tu dis que Tu es plus grand que notre père Jacob qui a creusé ce puits, et qui–qui en a bu lui-même, ainsi que ses enfants, son bétail, et tout?» Ils ont parlé de l’adoration sur la montagne à Jérusalem.

43        La conversation s’est poursuivie jusqu’à ce que Jésus a découvert son problème. Y a-t-il quelqu’un qui sait ce qu’était son problème? Assurément. Elle avait cinq maris. Jésus a dit: «Femme, va, appelle ton mari, et viens ici.» Elle a dit: «Je n’ai point de mari, Monsieur.»

            Il a dit: «C’est vrai. Tu as eu cinq maris, et celui avec qui tu vis maintenant n’est pas ton mari. En cela Tu as dit vrai.» Qu’a-t-elle dit: «Cet Homme est un diseur de bonne aventure»? Non. Elle a dit: «Seigneur, je vois que Tu es Prophète.» Eh bien, si vous examinez ce Prophète, c’est Celui dont Moïse avait annoncé la venue. Voyez? Voyez? «Je vois que Tu es Prophète. Eh bien, nous (les Samaritains), nous savons que quand le Messie sera venu, Il nous annoncera ces choses. Mais Toi, qui es-Tu?»

            Jésus a dit: «Je Le suis, Moi qui te parle.»

            Elle est entrée dans la ville en courant, et elle a dit: «Venez voir un Homme qui m’a dit ce que j’ai fait. Ne serait-ce point le Messie même?»

44        Cette femme en savait plus au sujet de Dieu, cette prostituée, que la moitié des prédicateurs de la Nouvelle-Angleterre. C’est vrai. Non seulement de la Nouvelle-Angleterre, mais du monde entier. Voyez? Ils sont tellement liés par la théologie, c’est tout ce qu’ils savent. Mais cette femme avait appris des choses spirituelles, et elle savait que quand ce Prophète des prophètes, le Roi des prophètes, viendrait, ce serait Celui qui révélerait le secret du coeur. Oh! la la! Pourquoi ne pouvons-nous pas nous réveiller? Maintenant, écoutez, à aucune fois Jésus n’a fait cela devant un homme des nations, pas une seule fois. Pourquoi? L’Evangile n’était pas encore allé chez les Gentils. Quelqu’un le sait-il? Quand Il était ici, Il a dit... Il–Il n’est pas allé vers les Gentils et Il a interdit à Ses disciples d’aller vers les Gentils. Est-ce vrai? Il a dit: «N’allez pas vers les Gentils, mais allez plutôt vers les brebis perdues d’Israël.» Il a interdit cela. Pourquoi? Les Gentils ont eu deux mille ans dans leur église. C’étaient des païens à l’époque, nos aïeux étaient des païens. Ils ont donc eu deux mille ans de théologie.

45        Eh bien, si à la fin de l’âge des Juifs, quand Il a tourné le dos aux Juifs, tel qu’Il s’est révélé aux Juifs, c’est ainsi qu’Il doit le faire à la fin de l’âge des Gentils, sinon Il avait mal agi en se manifestant aux Juifs de cette façon-là.

            Si nous allons terminer cette dispensation des Gentils rien qu’avec de la théologie: «Je suis presbytérien; je suis pentecôtiste; je suis méthodiste; je suis–je suis catholique», s’Il la termine comme cela, alors Il ne pourrait pas être juste. Il doit se manifester Tel qu’Il le fit aux Juifs et aux Samaritains. Pas une seule fois dans toute l’histoire Il a fait cela; en effet, ceci est la fin de la dispensation des Gentils.

            L’écriture est sur la muraille, et vous le savez tous. Ils ont un spoutnik par ici, tel que nous pourrions devenir un satellite d’ici le matin, et les nations tremblent et sont ébranlées. Mais Il avait promis qu’Il tirerait des Gentils, un peuple à cause de Son Nom. Mais Dieu n’appellera que ceux qu’Il a connus d’avance par élection.

46        Si votre coeur est endurci, que Dieu soit miséricordieux. Si vos yeux sont ouverts pour voir, que Dieu vous bénisse. Voyez-vous? C’est vrai. Car «nul ne peut venir à Moi, si Mon Père ne l’attire premièrement.» Ils ne L’ont pas vu; ils ne L’ont pas compris; à leur époque, ils pensaient qu’Il était un fanatique, ou un spirite, ou un démon, parce que leurs yeux étaient aveuglés. Le prophète avait dit qu’ils seraient aveuglés.

            Il avait accompli beaucoup de miracles auparavant, cependant ils ne pouvaient pas croire (Saint Matthieu, chapitre 12). En effet, Esaïe a dit: «Ils ont des yeux, mais ils ne voient pas; ils ont des oreilles, mais ils n’entendent pas.» Voyez? Malgré les miracles qu’Il avait accomplis, cependant ils ne pouvaient pas comprendre cela. Ils disaient... La grande église disait: «C’est un démon.» Ainsi, c’est ce qu’ils croyaient aussi.

47        Ne l’oubliez donc pas, Dieu retire Son homme, mais jamais Son Esprit. Le diable retire son homme, mais jamais son esprit. Le même Esprit qui était sur Elie est venu sur Elisée. Le même Esprit qui était sur Elisée est venu sur Jean-Baptiste, huit cents ans plus tard. Le Saint-Esprit qui était sur Christ est venu sur l’Eglise, et Il demeurera jusqu’à la Venue de Jésus.

            Eh bien, que s’est-il passé? Qu’en est-il de... Est-ce différent aujourd’hui par rapport au commencement? Le prophète a dit que ce serait un jour qui ne serait ni jour ni nuit, un temps brumeux et sombre.

48        Le soleil s’est levé à l’est. C’est ce qu’était Jésus sur les Orientaux, les Samaritains, et aussi sur les Juifs. Il a fait briller Sa lumière, et ce... quand Il s’est manifesté là. Nous avons traversé tout ce long jour, rien que la brume, avec assez pour former des églises, acquérir de la théologie, serrer les mains, inscrire son nom dans le registre, former des dénominations et tout. Mais le prophète a dit: «Vers le soir, la Lumière paraîtra.» A-t-il dit cela? Très bien.

            Comment a évolué la civilisation? De l’est à l’ouest. L’est et l’ouest se sont maintenant rencontrés. Nous sommes sur la côte pacifique. A la prochaine étape, on retournera à l’est.

            Maintenant quoi? Le même soleil qui se lève donc à l’est se couche à l’ouest. Le même Saint-Esprit qui est venu et qui a manifesté Christ aux Orientaux s’est manifesté durant toutes ces années de théologie et autres; maintenant, Il a dissipé les nuages. Et la Lumière brille sur les Occidentaux juste avant le coucher du soleil.

49        Nous sommes au temps de la fin, mon frère. Nous sommes au temps de la fin, soeur. Pas moi, je n’ai rien à faire avec cela; je suis juste votre frère. Je n’ai rien à faire avec cela. Je suis juste votre frère et votre serviteur en Christ, ou le concitoyen du Royaume. Mais Christ demeure le même, et il est temps que ces choses se produisent.

            Les coeurs défaillent de peur, des spoutniks dans les cieux. Un verre de vodka de trop, on peut tirer une petite manette, et nous serions réduits en poussière dans deux minutes. Et le monde volerait en éclats droit jusqu’au soleil là-bas. Tout à fait ce que les Ecritures prédisent qu’il arrivera. Mais, souvenez-vous, l’Eglise sera rentrée à la Maison avant que cela se produise. Et si cela pouvait se produire avant le matin, que pourrait-il arriver à l’Eglise quand Elle s’en ira premièrement? Dieu doit se manifester, qu’Il demeure toujours Christ, le même hier, aujourd’hui et éternellement.

50        Avez-vous du temps pour une autre petite déclaration avant que nous priions? Ecoutez ceci. Un jour, Jésus passait, Il traversait... par un...?... Il y avait un petit homme dont la fille était morte. Et Il a dit: «Je–J’irai la réveiller.» Et il y avait une femme qui avait vu qu’elle ne pouvait pas entrer dans la ligne, les hommes se bousculaient partout et Le tapotaient sur le dos, et tout. Et Il marchait, c’était un petit Homme du genre humble. La Bible dit: «Il n’avait pas de beauté pour attirer nos regards», probablement un bout d’Homme.

            Alors qu’Il passait, cette petite femme qui souffrait d’une perte de sang depuis plusieurs années (Elle venait de connaître la ménopause, si vous le comprenez) a dit dans son coeur, pas dans sa tête, dans son coeur: «Si je touche le vêtement de cet Homme, je serai guérie.»

51        [Espace vide sur la bande–N.D.E.]... comme cela. La Bible dit qu’il L’a réprimandé. Et Pierre a dit: «Eh bien, c’est toute la foule qui Te touche.»

            Il a dit: «Oui, mais Je–Je suis devenu faible.» C’est une espèce différente de toucher. Oh! Concord, faites ce toucher-là, un toucher. Il a dit: «Je suis devenu faible; la vertu est sortie de Moi, la force. Je suis devenu faible.» Et Il a promené le regard, la crainte...

            Tout le monde a secoué la tête: «Pas moi, pas moi, pas moi.» Voyez? «Jamais je ne... Pas moi.» Voyez? Il a regardé tout autour, Il a parcouru l’assistance du regard, Il a repéré la petite femme. Il a dit, Il lui a dit son problème, et que sa foi l’avait guérie. Est-ce vrai? Etait-ce là Jésus hier? Eh bien, s’Il est le même aujourd’hui...? La seule différence, c’est Son corps physique. Comme Il l’a promis, le Cep oeuvre à travers l’Eglise. Est-ce vrai? C’est Sa promesse. Il avait...

52        Eh bien, combien parmi vous, étudiants de la Bible... Maintenant, écoutez attentivement. Les Ecritures déclarent-Elles dans l’Epître aux Hébreux que Jésus-Christ est aujourd’hui le Souverain Sacrificateur qui peut être touché par les sentiments de nos infirmités? L’a-t-Il dit? Oui.

            S’Il est donc le Souverain Sacrificateur qui peut être touché par le sentiment de nos infirmités, comment agira-t-Il s’Il est le Souverain Sacrificateur et qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement? Comment agira-t-Il? Il devra agir comme Il avait agi, s’Il est le même. Est-ce vrai?

53        Ce n’est donc pas nécessaire pour vous de monter ici à l’estrade. Croyez simplement ce que je vous ai dit à partir de la Bible de Dieu. Et dites: «Seigneur Jésus, j’ai un besoin ce soir. Je n’ai pas de carte de prière. Je ne serai pas dans la ligne. Mais ce prédicateur m’a dit que–que Tu es le même. Alors, cette petite femme a touché Ton vêtement, Tu T’es tourné vers elle, et Tu lui as parlé de son état et que sa foi l’avait sauvée. Seigneur Dieu, fais-le pour moi ce soir.»

            Ne–ne... Ce n’est pas moi. Voyez-vous? J’ai assez de... Voyez, ce n’est qu’un don, qui fait que je me soumets à l’Esprit. C’est donc l’Esprit oeuvrant au travers de nous tous (Voyez-vous?) qui accomplit cela. C’est ce qui s’est passé avec elle. Il ne savait pas qui avait fait cela. Mais sa foi en Dieu avait accompli cela.

54        Eh bien, s’Il est le même, vous pouvez Le toucher ce soir par le sentiment de vos infirmités. Est-ce encore vrai? «Messieurs, nous voudrions voir Jésus.» Combien savent que j’ai cité, page après page, ce que Jésus était hier selon les Ecritures? Croyez-vous tous que c’est dans la Bible? Maintenant, s’Il veut bien, avec nous... Maintenant...?... Pas moi, nous tous ensemble, collaborant ensemble avec le Saint-Esprit, Il accomplira la même chose, Il guérira les malades et fera la même chose qu’Il avait faite à l’époque, combien diront: «Je L’aime plus, si je suis un chrétien, et si je ne le suis pas, je voudrais devenir un chrétien. Et si j’ai–et si j’ai commis une faute, j’aimerais Lui demander de me pardonner. Si je suis malade, j’accepterai ma guérison.» Combien le feront? Levez la main, dites: «Je le ferai.»

55        Je suis un parfait inconnu à chaque personne ici présente, hormis le docteur Vayle ici présent et mon fils quelque part. Peut-être qu’il n’est même pas ici maintenant; il est quelque part. Ce sont les seuls que je connais dans la réunion. Oh! Je crois que ce... votre garçon ici chargé de l’enregistrement, je–je ne connais pas qui tu es, fils, mais tu as été dans des réunions, chantant ou quelque chose comme cela. C’est la seule personne que je connais. Combien là dans l’assistance savent que je leur suis inconnu? Levez la main, que je ne connais rien sur vous? Christ vous connaît certes.

            Est-ce que Billy a distribué des cartes de prière? L’a-t-il fait? [Espace vide sur la bande–N.D.E.]... rien que les Ecritures. C’est tout. D’accord. Il vous en manque combien, Billy? Tout, tout le monde est donc là. Eh bien, alors c’est bon. C’est bien. Nous allons commencer de toute façon là même. Très bien. J’aimerais maintenant que vous soyez vraiment respectueux.

56        C’est maintenant le moment où Dieu doit répondre de Sa Parole, sinon Sa Parole est fausse, et je serai trouvé un faux témoin. Est-ce vrai? J’ai cité les Ecritures, j’ai cité Sa Promesse, je vous ai parlé du jour dans lequel nous vivons, tout ce que Sa Promesse était. La voici. Tout cela se trouve ici. Je vous ai montré Sa photo, et le FBI l’a accroché à Washington, D.C., comme l’unique Etre surnaturel jamais photographié, preuves scientifiques à l’appui. Et qu’est-ce que cela a... est arrivé? Le même Seigneur Jésus. Peu importe à quoi ressemblerait cette photo, si cela ne portait pas le même fruit, ce serait faux, ça pourrait bien être n’importe quelle espèce de lumière. Mais si cette Lumière porte le fruit du Seigneur Jésus, alors c’est Lui, le même. A quoi les reconnaîtrez-vous? [L’assemblée répond: «A leur fruit.»–N.D.E] Vous y êtes. Si c’est...

57        Vous dites: «Frère Branham, vous êtes peut-être autre chose. Ceci peut être, ceci peut ne pas être.» Mais si cela porte le fruit du Saint-Esprit, ça se fera exactement comme le Seigneur Jésus l’avait fait. Est-ce vrai? Sinon, alors ce n’est pas Lui. C’est tout. Je ne veux rien avoir à faire avec cela, si ce n’est pas le cas. Ça doit être Lui, sinon je ne veux... Je veux la chose correcte, pas vous? Je n’ai pas besoin de l’enseignement d’un homme. Je veux ce que Dieu a dit dans Sa Bible. Maintenant, prions:

58        Seigneur, c’est maintenant que quelque chose doit arriver. C’est ma première fois d’être dans ce bel Etat. Oh! comme je peux me souvenir de mon vieil ami, Burt Caul! Comme je peux me souvenir de Grampy Lowe et d’eux tous là dans la partie nord de cet Etat, comment nous nous asseyions là dans ces vieux hangars et causions, et là sur les flancs de montagnes, de ces glorieux moments que nous avons passés ensemble... Ô Dieu, peut-être que certains de ces hommes sont assis ici ce soir, à ce que je sache. C’est ma première fois de Te représenter dans ce grand Etat, ici même dans leur capitale. Ô Dieu, sois miséricordieux. Cache-nous, Seigneur. Nous sommes des croyants. Nous T’aimons. Nous croyons que nous sommes au bout de la route, Seigneur. Nous croyons que Tu viens bientôt, nous croyons que Tu prépares maintenant le coeur de Ton peuple à recevoir cela.

59        Ô Seigneur, puissions-nous ce soir faire comme ceux qui étaient à Emmaüs, alors que je l’ai déjà dit. Puissions-nous regarder et Le voir accomplir quelque chose juste comme Il l’avait fait avant Sa crucifixion; alors, nous saurons qu’Il n’est pas dans la tombe; que les Juifs ne L’ont point dérobé, les soldats non plus. Il est vivant.

            Deux mille ans se sont écoulés, et Tu es toujours tout aussi vivant maintenant que Tu l’étais avant la fondation du monde, et Tu le seras alors qu’il n’y aura plus de lune, ni d’étoiles, ni de soleil. Tu seras toujours vivant. Et parce que Tu vis, nous aussi nous vivons. Et Tu es la Vie Eternelle qui agit en nous, produisant les mêmes signes que Tu avais produits conformément à Ta promesse. Ô Dieu, ne laisse pas ces gens manquer cela.

            Père, je Te confie tout cela, je me soumets à Toi, et accorde que cet Ange de Dieu, dont la photo a été prise ici... Ô Christ, viens maintenant, que ces gens sachent que je ne leur ai pas dit quelque chose de faux, que c’est la Vérité, et confirme Ta Parole, par Jésus-Christ. Amen.

60        Maintenant, vous qui faites marcher ceci ici, suivez bien cela; car je ne sais à quel point–à quel point je deviens faible, à quel point ma voix baisse. Je n’en ai aucune idée; c’est une vision. Est-ce cette dame? Maintenant, ne bougez pas. Restez juste assis bien tranquilles. Que tout le monde soit en prière. Soyez vraiment respectueux.

61        Eh bien, ce soir, il se fait que c’est une femme, exactement ce dont je parlais. Saint Jean 4, voici un tableau de Saint Jean 4, juste une scène.

            Voici une femme; je ne l’ai jamais vue de ma vie. Je pense que nous sommes des inconnus; le sommes-nous l’un à l’autre? Nous ne nous connaissons pas. Très bien. C’est notre première rencontre dans la vie. Eh bien, et si–si ça se passait juste comme ça s’est passé là à l’époque où notre Seigneur était ici dans un corps physique, que ferait-Il alors? Pourrait-Il dire: «Madame, vous êtes malade; je vais vous guérir»? Non. Ce n’est pas ainsi qu’Il s’y prend. Voyez? Il l’a déjà fait. Voyez? Il lui révélerait son problème ou quelque chose juste comme Il l’avait fait avec la femme au puits, n’est-ce pas, s’Il est le même? Eh bien, accepterez-vous tous cela? [L’assistance dit: «Amen»–N.D.E.] Très bien. Maintenant, je ne connais pas la femme, elle ne me connaît pas non plus. Voici la Bible, voici ma main levée vers Dieu, je ne l’ai jamais vue de ma vie. A ce que je sache, à moins de nous être croisés dans la rue ou ailleurs, je ne la connais pas. Elle a témoigné qu’elle ne me connaissait pas, et je ne la connais pas. Très bien.

62        Eh bien, ils vont... si quelque chose... Si je disais: «Madame, vous êtes malade. Je vais vous imposer les mains; vous allez vous rétablir», eh bien, vous pourriez–vous pourriez croire cela. Ça marcherait. Voyez? Ça serait en ordre, mais cependant, elle pourrait en douter. Mais si le Saint-Esprit, Christ, qui demeure le même, remonte dans sa vie et lui révèle quelque chose dont elle sait que je n’en sais rien, alors s’Il connaît ce qui a été, Il connaîtra certainement ce qui sera. Est-ce vrai? En voilà le miracle.

            Eh bien, que le Seigneur soit béni et juste... Vous direz: «Que faites-vous, Frère Branham?» J’attends Son onction, l’Ange du Seigneur. Maintenant, priez simplement pour moi, en silence, calmement, pendant que j’attends voir ce qu’Il dira. Je dois peut-être parler à la femme, comme elle est la première personne dans la ville ici, et c’est... et ce n’est pas pour faire d’elle une... C’est la personne avec laquelle je traite. Mais il se fait que vous avez reçu cette–cette carte, et vous êtes ici. Et ceux qui n’ont pas de cartes dans l’assistance, ils attendent simplement leur tour.

63        Mais Dieu vous connaît; je ne vous connais pas. Il vous connaissait depuis votre naissance. Tout l’air que vous respirez, c’est Lui qui vous l’a donné. Toute la nourriture que vous avez mangée, les vêtements que vous avez, c’est Dieu qui vous les avait donnés. Vous croyez cela, n’est-ce pas? Certainement. Si, en plus, le Seigneur Dieu s’avère si bienveillant, et qu’Il me fasse donc connaître votre problème, comme vous le dites, si vous avez une maladie ou quelque chose qui cloche, s’Il me le révèle, vous me croirez donc, n’est-ce pas? Croyez-vous que cela vient de Lui et qu’Il s’intéresse à vous? Voyez, je cherche à édifier votre foi jusqu’au point où vous recevrez l’onction sur vous, soeur. Voyez? Voyez? Dites donc, si vous voulez bien–si vous voulez bien–bien regarder dans cette direction et croire simplement. Continuez simplement à méditer dans votre coeur. Regardez simplement dans cette direction, et laissez-Le parler. Voyez? Continuez simplement à croire. Voyez ce qu’Il dit.

64        Eh bien, il y a dans l’assistance quelqu’un d’une plus grande foi que celle qui se tient ici. Voyez? ...?... Oui, c’est ça. La femme n’est pas ici pour elle-même; elle est ici pour quelqu’un d’autre. C’est pour votre petit-fils. Là à l’école... Il souffre de la sclérose en plaques, et vous êtes ici afin qu’on prie pour cet enfant. C’est la vérité. Levez la main si c’est la vérité. Oui, oui. Croyez-vous qu’il reçoit sa guérison? Très bien. Alors, allez et trouvez cela tel que vous l’avez demandé, et il en sera ainsi. Très bien, monsieur, c’est bien alors. Si vous croyez cela, allez donc en vous réjouissant, remerciant le Seigneur, et trouvez-le tel que vous l’avez cru. Voyez? Ayez maintenant foi. Croyez-vous que c’était Lui? Voyez-vous? Je ne peux pas guérir, je n’ai pas de puissance pour guérir. Mais Lui ne peut pas guérir maintenant. Voyez? C’est votre foi dans l’oeuvre qu’Il a accomplie. Voyez? Après avoir achevé Son oeuvre, Il est toujours ici deux mille ans après. Soyez vraiment respectueux.

65        Je ne pense pas vous connaître, vous non plus. Le Seigneur nous connaît tous deux, n’est-ce pas? Croyez-vous que Dieu vous accordera ce que... Quelqu’un dans l’assistance... Maintenant, soyez vraiment respectueux. Les Ecritures déclarent: «Si tu peux croire, tout est possible.» Ayez foi en Dieu. La voici. Il s’agit d’une dame, assise juste derrière, ici juste derrière ce jeune gentleman en chemise à carreaux, à pois. La dame assise juste derrière lui souffre de l’éléphantiasis, elle veut que Dieu l’en guérisse. Croyez-vous que Dieu vous guérira, madame, et vous rétablira? Vous assise là derrière, juste derrière un jeune homme là, croyez-vous de tout votre coeur? Elle a la tête inclinée, en train de prière, c’est une femme du genre corpulente, en petite veste. Si vous croyez de tout votre coeur, vous pouvez recevoir ce que vous avez demandé.

66        Cela quitte la femme. Cela se dirige vers une autre personne pleine de foi, une dame assise ici souffrant de varices, assise ici, regardant droit vers moi. Elle est assise juste ici. Croyez-vous que Dieu vous a guérie, madame? Croyez-vous? Très bien, vous pouvez recevoir votre guérison. Que Dieu vous bénisse. Vous n’avez pas de carte de prière. Vous n’en avez pas besoin. Voyez-vous? C’est votre foi qui a accompli cela. Vous y êtes. Qu’a-t-elle touché?

            Je ne vous connais pas, n’est-ce pas, madame? Je ne vous ai jamais vue de ma vie, à ce que je sache. Vous êtes simplement une inconnue assise là. Vous n’avez pas de carte de prière ni rien, vous êtes simplement entrée, vous vous êtes assise. Qu’avez-vous fait? Vous–vous savez que quelque chose vous est arrivé, n’est-ce pas? Si c’est vrai, agitez la main comme ceci. Certainement. Voyez? C’est votre foi qui a accompli cela. Qu’a-t-elle touché? Me toucher? Elle a touché le Souverain Sacrificateur, Jésus-Christ, et Il lui a accordé le désir de son coeur.

67        Voici une dame assise juste ici souffrant de la même chose, elle porte une petite épingle, ou plutôt une petite fleur, comme cela, elle souffre de varices. C’est vrai, madame, n’est-ce pas? Levez la main, si c’est vrai. De qui s’agit-il? C’est la dame, juste ici avec une petite fleur rose sur son veston, une dame avancée en âge en lunettes. Je ne vous connais pas, n’est-ce pas, madame? Acceptez-vous aussi votre guérison? Que Dieu vous bénisse donc. Rentrez et recevez cela.

            Savez-vous pourquoi Cela a quitté cette femme-ci? Savez-vous pourquoi Cela a quitté et s’est dirigé là? Ce n’est pas parce qu’elle n’a pas la foi; elle en a. Elle ne sait pas de quoi je parle. Elle ne comprend pas très bien l’anglais. C’est une Finlandaise. Vous venez de la Finlande, la Finlande. Kiitos. Maladie du coeur. Tout cela est donc parti, sur votre chemin...?... Jésus, Jésus. Comment ai-je su cela? Elle vient de près de la Laponie. «Si tu peux croire.» Croyez-vous? Ayez simplement foi en Dieu.

68        Nous sommes inconnus l’un à l’autre, monsieur, je pense. Mais le Seigneur Dieu nous connaît tous deux. Ça sera, à ce que je sache, le premier homme à entrer dans la ligne. Très bien. Considérons ceci comme un tableau de la Bible. Quand Philippe est allé prendre Nathanaël, j’en parlais ce soir, et a amené Nathanaël, il lui a parlé, qu’Il avait su qui Pierre était, et ainsi de suite, en route vers là. Croyez-vous que ce même Jésus vit ce soir? Croyez-vous, là dans l’assistance, qu’Il est vivant? Vous souffrez de reins et du coeur. C’est vrai. Si c’est vrai, levez la main. Vous direz: «Vous avez peut-être deviné cela, Frère Branham.» Oh! Non. Ça n’a pas été deviné, mon ami. Tenez, parlons à l’homme juste un peu plus longtemps. Cela provient de quelque part dans l’assistance là-bas; je n’arrivais pas à identifier où c’était.

69        Je ne vous connais pas, n’est-ce pas, monsieur? Nous sommes inconnus, mais ce que j’ai dit était la vérité. Ce n’était donc pas ma voix; c’était la Voix de Quelqu’Un d’autre. Croyez-vous que c’était la Voix de Christ parlant comme Il a dit qu’Il parlerait? [L’homme dit: «Je sais que c’était cela.»–N.D.E.] C’est vrai, monsieur. Très bien. Si vous croyez comme cela, alors vous verrez de plus grandes choses. Croyez-vous cela? [L’homme dit: «Oui.»–N.D.E.] Très bien, monsieur. Ensuite, vous avez une femme ici, elle–elle souffre de maux de tête et de nerfs. C’est vrai, n’est-ce pas? [L’homme dit: «C’est vrai.»–N.D.E.] Oui, monsieur. Et votre nom, c’est monsieur Green, n’est-ce pas? [L’homme dit: «C’est vrai.»–N.D.E.] Très bien, poursuivez votre chemin; vous êtes guéri. Vous verrez de plus grandes choses...?... Que Dieu vous bénisse sur votre chemin. «Si tu peux croire.» Croyez-vous? Tout est possible. Soyez vraiment respectueux.

70        La petite dame assise là derrière, juste à côté du gentleman assis là presque au fond là derrière, qui souffre de l’arthrite, croyez-vous que le Seigneur Jésus vous rétablira, madame? Vous assise là derrière, assise là même, après cette rangée du milieu, dans la section là derrière... Dites donc, voyez-vous la Lumière au-dessus de la femme? Eh bien, si seulement elle voit Cela et L’accepte! Ça y est. Elle a la tête inclinée; elle prie. Croyez-vous cela, madame? Vous, en petite robe rose. «Si tu peux croire. Tout est possible à celui qui croit.» Mais vous voyez, Cela l’a quittée. Elle doit réagir; vous devez agir rapidement selon ce qui vous est dit. Soyez en alerte, veillant. La grâce est une chose merveilleuse. Voyez? Soyez en alerte, soyez vigilants.

71        Cela n’a pas encore quitté l’assistance. Ne vous pressez pas; détendez-vous simplement. Dites: «Seigneur Jésus, je crois en Toi.» Eh bien, il vous faut croire, n’est-ce pas? Il n’y a rien d’autre. Voyez, je–je ne guéris pas les gens. Je ne peux pas le faire. Je n’ai même point touché la personne. Voyez? C’est Lui que vous touchez. Combien comprennent cela maintenant? Combien croient cela, de tout leur coeur? Eh bien, cela devrait donc régler la question. on ne devrait pas aller plus loin. Nous avons reçu donc cela. La dame là, souffre de reins. Très bien. Si vous croyez cela, madame, vous pouvez aussi recevoir votre guérison. «Si tu peux croire.» Et le jeune homme aussi, assis au bout. «Si tu peux croire», tout est possible, pour toi, mon frère.

72        Je ne vous connais pas. Dieu vous connaît certes, n’est-ce pas? Vous souffrez du coeur. C’est... Votre coeur vous dérange. Je vois que quelque chose vous est arrivé. Vous êtes tout tourmenté depuis un bon... C’est un genre d’accident, semblable à un accident d’auto, que vous avez connu, qui en est la cause. C’est vrai. Et c’est tout à fait vrai. Poursuivez votre chemin. Votre maladie du coeur est finie. Jésus vous rétablit. Venez, madame. J’ai saisi cet esprit là, qui pense que je lisais leurs pensées. Touchez ma main, madame. Si je vous parle par l’Esprit de Dieu, s’Il me révèle ce qui cloche en vous pendant que je regarde dans cette direction, vous saurez si c’est la vérité ou pas, n’est-ce pas? Très bien, monsieur, alors le diabète ne vous dérangera plus. Vous pouvez vous en aller, rétablie. Que Dieu vous bénisse. Voyez? Ayez foi.

73        Venez madame, touchez ma main, si Dieu vous guérit de ce trouble d’estomac, serez-vous heureuse? Levez la main, s’il vous plaît. Allez prendre votre souper. Très bien, ayons foi en Dieu. Ne doutez pas du tout.

            Venez ici, madame. Si Dieu vous guérit de cette maladie du coeur, en serez-vous heureuse? S’il vous plaît, levez la main. Dites: «Merci, Seigneur.» Poursuivez votre chemin et réjouissez-vous. Soyez donc heureuse.

            Cette arthrite devient parfois très douloureuse, n’est-ce pas? Particulièrement quand vous essayez de vous lever le matin, de quitter le côté latéral du lit; eh bien, allez de l’avant et croyez. Cela–cela–cela ne–cela ne se produira plus, si vous le croyez.

            L’asthme, c’est une maladie horrible; elle vous pousse à tousser et tout. Croyez-vous que Dieu vous en guérira? Continuez simplement à avancer, en disant: «Merci, cher Dieu.» Croyez de tout votre coeur. Avancez... Oui. Allez en croyant cela de tout votre coeur. Ne doutez pas.

74        Votre dos vous dérange; allez donc de l’avant et croyez en Dieu. Il va... Croyez-vous, chacun de vous? Combien croient de tout leur coeur? La Bible dit-Elle: «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru»? A-t-Il tenu Sa promesse? Est-Il le même hier, aujourd’hui et éternellement? Si vous croyez cela, levez la main.

            Eh bien, Jésus... Les dernières Paroles qu’Il avait prononcées: «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru. Ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris.» Combien savent que la Bible dit cela? Ainsi, imposez-vous les mains les uns aux autres. Placez vos mains les uns sur les autres. Imposez-vous donc tous les mains les uns aux autres. Oh! la la! Il est ici, Il n’est pas mort.

75        Croyez-vous, soeur, que cette toux que vous avez, et tout, cessera? Que vous serez rétablie? Poursuivez votre chemin et soyez guérie au Nom du Seigneur Jésus. «Si tu peux croire.» Vous pouvez vous imposer les mains, là même, là même alors que vous partez. Maintenant, nous sommes prêts pour une scène. Quelqu’un impose la main à celui qui est près de lui maintenant. Quelqu’un près de vous, imposez-lui les mains. Si Dieu tient cette promesse, Il tient... Qu’est-ce? C’est le signe montrant qu’Il est ici. C’est qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Dites: «Amen», si c’est... [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.] S’Il tient donc cette Parole, c’est qu’Il tient toute Sa Parole. Il a donc dit... Si vous avez levé la main, montrant que vous étiez des croyants, c’est qu’Il a dit: «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru.» Maintenant, chacun de vous, à sa propre manière, comme vous priez dans votre église, priez pour la personne à qui vous avez imposé la main, et vous... en retour, on priera pour vous, chacun de vous. Je prierai pour votre... pour vous tous, et vous verrez la guérison se produire ici; il n’y aura personne de faible au milieu de vous, si vous croyez que Jésus-Christ est ici, maintenant même. Il n’y aura aucune personne malade dans cette salle, aucune personne faible, si vous croyez qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Et cet Esprit qui est au milieu de nous maintenant, c’est Lui, confirmant qu’Il est ici. Croyez-vous cela maintenant? Inclinons la tête.

76        Eternel Dieu Tout-Puissant, que nous aimons, en qui nous croyons, et dont nous chérissons le Fils Jésus... Satan a lié ces gens par la maladie, les peurs, les doutes, les afflictions. Seigneur Dieu, c’est pratiquement le temps de la fin. Tu peux revenir avant l’aube. Et nous sommes très contents de savoir que nous communions dans la Présence du Seigneur Jésus ressuscité, qui est ici même maintenant, se manifestant le même hier, aujourd’hui et éternellement.

            Seigneur Dieu, accorde à ces gens la foi pour croire, que tous confessent la foi et imposent les mains aux voisins qui sont près d’eux, pour qui ils sont maintenant en train de prier. Et je Te prie, ô Dieu, d’accorder la foi qui n’acceptera pas «non» comme réponse. Accorde-le, Seigneur.

77        Maintenant, aide-moi à avoir la foi pendant que je m’en vais pour... dans la foi défier cet ennemi. Satan, l’ennemi, des afflictions et des maladies, tu n’as aucun droit légal de retenir l’un ces gens. Jésus-Christ est mort pour chacun d’eux, afin qu’ils soient guéris. Son dos a été battu au point d’avoir des zébrures et des meurtrissures, à... et Il a été pendu au Calvaire, Il est mort, et Il est ressuscité pour revenir sous la forme du Saint-Esprit, donner une confirmation à Son peuple, pour qu’ils aient la foi en Lui. Et chaque droit que tu as eu sur le péché t’a été dépouillé en ce moment-là. Tu n’as aucun droit légal; c’est pourquoi tu n’es qu’un bluffeur, et nous dénonçons cela ce soir.

            Par le témoignage du Saint-Esprit, qui est présent maintenant, qui vit en Jésus-Christ, l’Esprit dont la photo ici, a été prise avec nous, qui oeuvre avec nous maintenant, et en nous, toi maladie de... et vous afflictions qui êtes dans le corps de ces gens, je vous adjure, au Nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu, sortez d’eux, et laissez-les s’en aller, au Nom du Seigneur Jésus-Christ.

78        Croyez-vous que vous êtes guéris? Si oui, levez-vous très vite, et rendez gloire à Dieu. Que chacun de vous se lève et remercie le Seigneur Dieu pour sa guérison. C’est bien. C’est bien. C’est bien. C’est merveilleux. Il y a la guérison pour les–pour les malades et les affligés. Levons donc les mains et disons: «Merci, Seigneur.» Et chantons ce bon vieux cantique, avec nos mains en l’air:

Je Le louerai! Je Le louerai!
Louez l’Agneau immolé pour les pécheurs;

            (Donnez-nous l’accord, s’il vous plaît, mon frère. Très bien...?...)

Je Le louerai!
Je Le louerai!
Louez l’Agneau immolé pour les pécheurs;
Rendez-Lui gloire, vous tous,
Car Son Sang a ôté chaque tache.
Je... (Qu’y a-t-il, là, frère? Sortez, de là, croyez en Lui.)... Le louerai.
Je Le louerai!
Louez l’Agneau immolé pour les pécheurs;

79        C’est vrai. Un homme sort du fauteuil roulant, en donnant gloire à Dieu. Croyez cela, frère; votre tour est là. Maintenant, vous savez que vous avez reçu cela, n’est-ce pas? Levez les mains vers Lui. Ça y est. Un homme assis dans un fauteuil roulant s’est directement levé du fauteuil roulant, maintenant même.

... ôté chaque tache.

            Levez donc les mains et louez-Le à votre propre manière. Merci, Seigneur. Louez le Seigneur, pour Sa bonté et Sa miséricorde. Il est au milieu de vous; Il est votre Sauveur; Il est votre Guérisseur. Tout le monde est guéri maintenant. Au Nom de Jésus-Christ, réclamez cela et glorifiez Dieu. Amen.

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