Mais Au Commencement, Il N’En Était Pas Ainsi

Date: 58-1002 | La durée est de: 1 heure et 26 minutes | La traduction: Shp
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1          Bonsoir, amis. Je suis très content d’être de retour ce soir au service du Seigneur Dieu, et j’espère que Ses bénédictions reposeront sur les services de ce soir. J’étais content de voir ce soir frère Robert Daugherty derrière dans une pièce là. C’était chez frère Daugherty que je... parrainé ma première campagne. Et je me rappelle m’être rendu chez lui... Il y a encore des gens assis ici qui m’avaient aidé à y aller ; frère Creech ici, je pense, est l’un d’eux.

2          Les visions venaient de commencer à avoir lieu. Et l’Ange du Seigneur venait de me rencontrer là à Green’s Mill. Il m’avait dit ce qui se passerait. Et il ne s’était guère passé deux semaines que lui m’a téléphoné pour que j’aille à Saint Louis. Sa fille souffrait d’une espèce de... la danse de Saint-Guy. Nous sommes allés là et nous avons prié, nous avons fait toutes sortes de voeux, et on dirait que rien n’arrivait simplement. J’allais rester (En effet, je n’avais pas de campagnes auparavant.), jusqu’à ce que ça allait se terminer, jusqu’à découvrir ce que le Seigneur ferait.

3          Vous savez, Frère Robert, je pense que ça aura été mieux si j’avais simplement gardé cela comme ça. En effet, il n’y aurait probablement pas eu beaucoup de gens de sauvés, mais rester juste avec un seul cas jusqu’à ce que ça soit terminé, jusqu’à ce qu’on sache. Et le lendemain, je pense que c’était vers quatorze ou quinze heures (ou ce même jour, je ne me rappelle plus maintenant), j’étais assis dans un véhicule dehors chez le pasteur, et son père était là, et j’étais seul. J’ai senti l’Esprit du Seigneur venir, je suis sorti de la maison du pasteur, et j’étais aussi là. Et la petite Betty était juste comme une personne sauvage, en train simplement de crier. Les médecins ne pouvaient rien faire pour elle. Maman et papa, tous deux, avaient une très mauvaise mine ; ils avaient veillé des jours et des semaines avec elle. Et il y eut une vision juste devant le véhicule, en face du véhicule. J’ai eu une vision et je suis entré en courant, j’en ai parlé à frère Robert et les autres, juste quoi faire et que la jeune fille serait guérie.

4          Je suppose, vous avez dit qu’elle serait ici demain soir, n’est-ce pas, Frère Robert, pour témoigner? Ça fait donc maintenant quatorze ans, je pense, douze, quatorze ans, treize ans, et elle est en bonne santé, c’est une bonne jeune dame, elle sera ici demain soir, le Seigneur voulant... La guérison divine dure autant que la foi (C’est vrai.), tout autant que la foi.

5          Et je pense que c’est frère Fred Sothmann et mes amis du Canada que je vois assis ici derrière aussi. Je suis content de vous voir tous à l’intérieur ce soir. Beaucoup d’autres amis ici, j’aurais bien voulu avoir le temps d’identifier tout un chacun parmi vous. Je pense que je ne le pourrais pas depuis ici même, mais j’aimerais que vous sachiez que nous vous souhaitons certainement la bienvenue. Frère Boyd ici, je pense me souvenir de lui, et un–un frère mennonite. Nous avons donc été heureux de vous avoir ici pour ce petit moment de communion autour de la Parole.

6          Ainsi donc, demain, le... Nous aimerions annoncer aussi ceci, que les derniers livres... Eh bien, nous ne sommes pas ici... Je n’arrive pas à me souvenir de ce frère qui est assis, le frère mennonite, à côté de lui, je n’arrive pas... Carson, oui.

            Les–les livres sont derrière sur la table, là derrière. Ce sont les derniers messages. Ils n’ont pas encore été dans des campagnes, jamais. Ils se trouvent là derrière avec les bandes de derniers messages et tout. Les jeunes gens les ont fait imprimer, ils sont disponibles derrière le bâtiment quand vous sortirez ce soir.

7          Et je pense que le... le matin, je pense, les entretiens commencent vers huit heures ou huit heures trente, le matin. Et, oh ! la la ! je lui ai dit de planifier des entretiens pour ceux qui aimeraient me voir en privé pour des problèmes spirituels. Oh ! la la ! Je ne savais pas que le petit tabernacle ici pouvait, il serait ainsi, mais cela a été certainement bondé. Oh ! la ! la ! Alors, eh bien, c’est bon. Parfois, le Seigneur en tire des bénédictions, ce que nous essayons de faire, faire quelque chose pour aider les frères et soeurs le long du chemin.

8          Maintenant, nous essayons chaque soir de trouver quelque chose que je recherche. Et c’est ce que Dieu m’a annoncé en vision, que mon ministère connaît son troisième changement. Et je désire ardemment que cela commence ici au tabernacle. Je ne sais pas si ça sera le cas ou non, mais j’ai un ardent désir de voir cela se faire. Et j’espère que ça se fera d’une façon telle que ça fera... Je pourrais prêcher l’Evangile de telle manière ou faire quelque chose qui aidera l’humanité souffrante à avoir un mode de vie plus heureux et un mode de vie plus sain. C’est mon sincère désir.

            Il peut donc se faire que ce soir, je pose la question à ma belle-fille au sujet de cartes de prière. Elle n’en a pas ici, c’est généralement Billy qui les garde, Gene et Léo n’en ont pas. Ainsi, nous allons devoir tenir le service sans cela, je suppose, au mieux de nos possibilités. Si nous le faisons ce soir, nous verrons comment cela se terminera.

            Puis, après ces réunions, mes prochaines réunions seront en Nouvelle-Zélande, et puis aussi en Australie, et dans ces parties du pays.

9          Ce soir, j’ai choisi de lire des passages des Ecritures dans l’Evangile de saint Marc, chapitre 7. Si vous voulez prendre cela pour méditer sur le message. Et avant de le faire, inclinons simplement la tête juste un instant et parlons-Lui.

            Seigneur, nous Te sommes reconnaissants ce soir du privilège de nous assembler encore une fois. Tu as été si bon envers nous tout au long de cette journée. Tu nous as accordé la vie et la force de telle sorte que nous avons eu l’opportunité de revenir à Ton service et de T’adorer. Nous sommes reconnaissants pour notre pays, de ce qu’il y a encore une opportunité et une porte ouverte telle que les hommes et les femmes peuvent adorer Dieu selon la voix de leur propre conscience. Que cela dure longtemps, Seigneur. Mais nous voyons, d’après la prophétie de la Bible, que bientôt les portes se fermeront à travers le monde.

            Accorde-nous donc ce soir de recevoir la bonté de Dieu et la bénédiction, et toute la lumière que nous pouvons sur les Ecritures, Seigneur, afin que nous soyons préparés pour cette heure quand elle viendra. Que le Saint-Esprit qui sera emmagasiné dans nos âmes éclaircisse ces choses à nos esprits.

            Nous présentons aussi une requête spéciale ce soir, Seigneur, pour ceux qui sont malades, nécessiteux et affligés. Que Ta grande puissance de guérison et Ta miséricorde reposent sur chacun d’eux. Bénis Ta Parole qui sera proclamée, Seigneur. Et nous Te louerons ; au Nom de Jésus, nous le demandons. Amen.

10        Dans Saint Marc, chapitre 7, voici quelques versets que nous lisons :

Les pharisiens et quelques scribes, venus de Jérusalem, s’assemblèrent auprès de Jésus.

Ils virent quelques-uns de ses disciples prendre leurs repas avec des mains impures, c’est-à-dire, non lavées.

Or, les pharisiens et tous les Juifs ne mangent rien... ne mangent pas sans s’être lavé soigneusement les mains, conformément à la tradition des anciens ;

Et, quand ils reviennent de la place publique, ils ne mangent qu’après s’être purifiés. Ils ont encore beaucoup d’autres observances traditionnelles, comme le lavage des coupes, des cruches et des vases... des ustensiles de table.

Et les pharisiens et les scribes lui demandèrent : Pourquoi tes disciples ne suivent-ils pas la tradition des anciens, mais prennent-ils leurs repas avec des mains impures?

Jésus leur répondit : Hypocrites, Esaïe a bien prophétisé sur vous, ainsi qu’il est écrit : Ce peuple m’honore des lèvres, mais son coeur est éloigné de moi.

C’est en vain qu’ils m’honorent, en donnant des préceptes qui sont des commandements d’hommes.

Vous abandonnez les commandements de Dieu, et vous observez la tradition des hommes, du genre laver les cruches et les coupes et beaucoup d’autres choses semblables que vous faites.

Il leur dit encore : Vous anéantissez fort bien les commandements de Dieu, pour garder votre tradition.

            Dans l’Evangile selon saint Matthieu, chapitre 19, verset 8, la dernière partie du verset 8, je désire lire cela comme sujet. Et voici comment cela est écrit :

... mais au commencement, il n’en était pas ainsi. [Darby]

11        Et que le Seigneur bénisse donc la lecture de Sa Parole. Quand notre Seigneur était ici sur terre, Il a rencontré, pendant les jours de Son ministère, des gens qui observaient la tradition des hommes et qui enseignaient des choses contraires aux commandements de Dieu.

            Ce soir, je me demande, s’Il revenait encore ce soir, visiblement, s’Il ne trouverait pas juste exactement la même situation, comment ils observaient ces traditions de façon si sacrée. Après qu’ils eurent reçu les commandements du Seigneur, juste quoi faire, l’homme ne peut pas se contenter de ce que Dieu ordonne. Il doit se confectionner un petit quelque chose à ce sujet.

12        Et quand l’homme s’empare de quelque chose, il pervertit l’essence. Et pervertir quoi que ce soit, c’est changer cela par rapport à l’originel. Par exemple l’injustice, l’injustice n’est rien d’autre que la justice pervertie, ce que l’esprit perverti de l’homme change.

            Dieu a créé les hommes pour vivre heureux les uns avec les autres. La perversion les change et fait d’eux des ennemis les uns des autres. L’homme a fait de nous des ennemis les uns des autres, alors que Dieu a fait de nous des frères les uns des autres. L’homme a fait que l’homme soit immoral. Dieu l’avait créé pour qu’il soit fidèle à sa femme. Mais l’homme vient pervertir cela, et il n’est pas content de sa propre femme, mais il veut vivre avec les autres femmes. Dieu nous a donné une bonne eau claire à boire. L’homme a eu à faire des mélanges, avoir l’alcool ou quelque chose d’autre avant de boire cela. C’est pervertir ce qui était en fait au commencement.

13        Et cette façon de faire, nous la trouvons dans l’église, il se passe ces choses ; en effet, l’homme se met à altérer les choses de Dieu. Et il se représente ce que cela veut dire. Il ne prend pas cela tel que c’est écrit, mais il y mêle sa propre pensée. Et puis, à partir de cela, il fait une tradition. Et il enseigne cela.

            Et Jésus a dit, quand Il était sur terre et qu’Il a trouvé cela, Il a dit : «C’est en vain que vous M’adorez.» Eh bien, il est donc possible, et cela est vrai, qu’il y ait une authentique adoration de Dieu qui soit fausse : «C’est en vain qu’ils M’adorent, en enseignant pour préceptes les commandements des hommes.»

14        Eh bien, dans notre passage des Ecritures de ce soir, si vous continuez à lire, vous trouverez là où Dieu a dit : «Honore ton père et ta mère. Si un homme n’honore pas son père ou sa mère, qu’il meure.» Mais Il a dit : «Par vos traditions, vous avez annulé les commandements de Dieu», et vous dites : «Si c’est... Si un homme fait une offrande, il est donc quitte de l’obligation d’honorer son père ou sa mère.» Voyez-vous comment l’homme embrouille les choses?

15        Mais ils aiment adorer. Et ils pensent adorer correctement, alors qu’ils adorent mal. Et je suis sûr qu’après deux mille ans d’absence de Christ, quelque chose a mal tourné quelque part ; en effet, nous avons trop d’idées. Et ce soir, il y a pratiquement neuf cents différentes dénominations ecclésiastiques dans le monde ; ce sont des dénominations chrétiennes. Différentes idées et chacune observe ses traditions.

            Mais, oh ! combien ils aiment dire que ma tradition est bonne. Et puis, quand une église explique cela d’une façon et dit... eh bien, rend cela pratiquement parfait, que cette église est juste... et nous avons examiné cela pendant les quelques dernières soirées ici, sur pourquoi nous ne sommes pas une dénomination.

16        Et quand une dénomination commence, elle commence sur base de ce que quelqu’un reçoit une révélation sur quelque chose, ce qui peut être tout à fait bien. Mais il en fait une dénomination, et puis, il ne peut pas aller plus loin.

            Mais Dieu veut que nous restions libres. Il nous veut tels que s’Il nous donne une Lumière, nous pouvons La recevoir, et recevoir davantage de Lumière, davantage de Lumière, et continuer simplement à avancer. C’est pourquoi nous aimons rester libres, de sorte que nous puissions simplement prêcher la Bible telle qu’Elle est écrite et croire Cela exactement comme ça.

17        Et aujourd’hui, nous avons des traditions. Eh bien, dans notre passage des Ecritures, nous voyons ce soir qu’ils disaient : «Nous est-il permis de répudier notre femme pour un motif quelconque?» Eh bien, c’est pratiquement ainsi aujourd’hui. S’ils ne veulent donc pas vivre avec leurs femmes ou leurs maris, ils trouvent simplement une raison pour la répudier. Un prédicateur vient ou un magistrat, le marient avec un autre. Voyez, c’est une tradition. Eh bien, ils disent : «Notre église croit cela comme ça.» Eh bien, ça ne change pas grand-chose, ce que notre église dit ; c’est ce que dit la Bible à ce sujet qui fait la différence. Dieu devrait avoir le dernier Mot dans chaque décision que nous prenons.

18        Il y a quelques jours, j’étais poursuivi à un tribunal, ou j’allais l’être. On me posait des questions très difficiles. Et on disait : «Pourquoi avez-vous transféré de l’argent destiné aux campagnes par votre église en tant qu’une fondation?»

            «Eh bien, ai-je dit, c’est parce que l’agent de fisc m’avait dit que je devrais le faire comme cela, étant une fondation.»

            Et cela a continué sans cesse, il a dit : «Cet homme-là ne vous avait pas dit la vérité.»

            J’ai dit : «Eh bien, il représentait le gouvernement. Si j’envoie un organisateur de la campagne me représenter dans une ville pour cinq soirées là dans une campagne, et qu’il me représente pour huit soirées, je suis obligé pour ces huit soirées, car l’ambassadeur a dit huit soirées. Et le gouvernement devrait s’attacher à ce que disent ses représentants.»

            Puis, il a dit : «Eh bien, le... cet homme n’est plus avec le gouvernement.»

            J’ai dit : «Et un jour, vous ne serez plus avec le gouvernement, et ceux qui ont écrit la Constitution ne sont plus avec eux. Je me demande si cela tient encore.» Vous voyez, ils essayent de trouver une faille.

19        Mais au lieu d’être vraiment honnête et de s’attacher aux principes... C’est ainsi que les gens adoptent aujourd’hui toutes sortes de modes de vie. Et c’est ce qui arrive aux églises, cette église, les autres églises. Au lieu de venir faire face aux réalités, sur ce que Dieu a dit, nous essayons de trouver une faille pour nous justifier. Et cela ne plaît pas à Dieu.

20        Quelqu’un a commencé cela, et nous nous demandons juste ce qu’est alors la vérité. J’ai lancé un défi il y a quelques jours à un homme qui était là, répétant le Credo des Apôtres, le soi-disant : «Je crois au Dieu Tout-Puissant, Dieu le Père, Créateur du Ciel et de la terre et tout. Je crois dans la communion des saints...»

            Or, un homme ne peut pas, à juste titre, du fond de son coeur, dire ce credo-là et être en ordre avec Dieu, et connaître la Bible. Tout ce qui communie avec les saints, c’est du spiritisme, tout ce qui communie avec les morts.

            Alors, cet homme a répliqué, disant : «Eh bien, avec quoi communiez-vous?»

            J’ai dit : «Jésus-Christ.»

            Il a dit : «Eh bien, Il est mort.»

            Mais j’ai dit : «Il est ressuscité. Et Il n’est pas mort, mais Il vit. Mais Marie et tous les autres apôtres, et tous les gens avec qui vous prétendez communier, ils sont morts et ils sont partis. Et la Bible dit qu’il n’y a pas de médiateur entre Dieu et l’homme, si ce n’est l’Homme Jésus-Christ.»

21        Par conséquent, avec la tradition de l’homme, vous avez anéanti les commandements de Dieu. Et nous cherchons à plaire à Dieu en construisant une très grande église, en rembourrant les sièges et en embellissant cela. C’est très bien. Il n’y a pas d’objections à cela, mais ce n’est exactement pas ce que Dieu a ordonné.

            Nous essayons de rendre notre église un peu extraordinaire par rapport à l’autre église, en ayant le pasteur le mieux instruit que nous pouvons avoir à notre chaire, celui qui peut prononcer ses mots comme cela, avec une grande éloquence. C’est très bien. Mais ce n’est toujours pas ce que Dieu a dit.

            Et dans la plupart des églises, si... nos églises aujourd’hui, si un homme n’a pas une expérience du séminaire, l’assemblée ne le fera en aucun cas entrer. Il doit avoir une instruction du séminaire. Mais ce n’est pas ce que dit la Bible. Ce n’est pas ce que Jésus avait fait. Jésus avait pris les hommes qui ne connaissaient même pas leur ABC et Il les a oints du Saint-Esprit. Ce que Dieu exigeait, ce n’était pas recevoir une instruction, mais recevoir le Saint-Esprit. Aucun homme ne devrait prêcher l’Evangile avant d’avoir reçu le Saint-Esprit.

22        Voyez-vous comment nous avons adopté les commandements des hommes? On a perverti cela. Jésus de Nazareth, avant de permettre aux disciples d’aller prêcher, dans Luc 24.49, Il a dit : «Voici, j’envoie sur vous ce que Mon Père a promis. Mais attendez... Attendez juste une minute avant de partir. Ne bondissez pas quand je dis cela. «Mais, a-t-il dit, attendez dans la ville de Jérusalem jusqu’à ce que vous soyez revêtus de la puissance d’En Haut. Alors, vous deviendrez Mes témoins à Jérusalem, en Judée, en Samarie, jusqu’aux extrémités de la terre.»

            Mais aujourd’hui, nous avons changé cela. Et nous avons rendu la chose telle qu’il nous faut aller à l’école, et il faut une certaine grammaire, la psychologie, une certaine façon de nous conduire à la–à la chaire. Et beaucoup d’autres petites traditions, et nous ne pouvons pas être étroits d’esprit, et puis avoir la doctrine de l’église, apprendre le catéchisme, ce que le catéchisme dit. Vous n’êtes pas sauvé par la connaissance du catéchisme. Vous n’êtes pas sauvé par l’adhésion à l’église. Vous n’êtes pas sauvé par la connaissance de la Bible. Vous êtes sauvé en Le connaissant, Lui, Christ. Car Le connaître, Lui, c’est la Vie.

23        Donc, nous adoptons les traditions des hommes et nous anéantissons les commandements de Dieu. Nos séminaires font cela. Nos églises exigent cela. Nos églises n’exigeraient pas cela si les gens ne l’exigent pas. Les gens doivent sanctionner cela, sinon ils peuvent simplement se tenir loin de ça, et prier Dieu de leur susciter quelqu’un. Ils le font. Les gens le font. On ne vous force pas à faire cela.

24        Et puis, à l’époque des pharisiens, des sadducéens et des religieux de ce temps-là, ils croyaient que l’église leur donnait le salut. Tout ce que l’église disait devait être exactement comme cela, car l’église l’avait dit. Eh bien, c’est bien pareil aujourd’hui. Les gens comptent que l’église leur donne le salut. Vous ne recevez pas le salut par une église. Vous recevez le salut par Christ. Ce n’est pas par la connaissance de l’ordre de l’église, un credo, ou une certaine forme de baptême, ou–ou certaines actions ou émotions que vous subissez. Vous connaissez et vous êtes sauvé par Christ, et cela par la grâce. C’est par la foi que vous êtes sauvés, par un appel du Saint-Esprit. C’est ainsi que vous Le connaissez. Mais c’est ce qu’ils avaient à l’époque. Et à combien plus forte raison auront-ils cela aujourd’hui !

25        Et alors, les gens se sont mis à se poser des questions. Après, cela prendrait des heures à examiner ce... Pourquoi sommes-nous dans la condition où nous sommes? Ça y est. Si un entrepreneur élaborait un plan pour que ses agents construisent une maison d’une certaine façon, et que chaque agent ignorait le plan, et qu’ils construisaient la maison selon que chacun d’eux pensait que ça devrait être construit, quel genre de maison ce serait? Pensez-vous qu’elle serait reçue? S’il arrive donc qu’un homme veuille la construire de telle façon, un autre de telle autre façon, chaque homme irait et construirait selon sa propre pensée. L’unique moyen pour vous de construire une maison correctement, c’est de suivre le plan. L’unique moyen pour nous de revenir à Dieu et d’avoir Dieu parmi nous, c’est de revenir au fondement biblique. Il doit en être absolument ainsi.

            Jésus en a parlé quand Il était ici sur terre, et Il a dit : «Pourquoi ignorez-vous, ou évitez-vous les commandements de Dieu et les anéantissez-vous au profit de vos traditions?» Mais c’est ce qu’ils faisaient. Et combien plus le feront-ils aujourd’hui.

26        C’est donc la raison pour laquelle l’occupant de la maison n’y entrera pas. S’il avait indiqué avec précision un type de maison dans laquelle il voulait habiter, et qu’il avait donné ces règles et ces spécifications pour que cela soit construit comme ça... Eh bien, alors il a don... les donne, le constructeur les donne à l’entrepreneur. Et l’entrepreneur donne aux contremaîtres et aux autres. Et s’il revient à cette maison pour emménager, et que cela est construit de travers et suivant l’opinion de chaque homme, il n’y entrera pas.

            Et quand le Saint-Esprit vient à la maison de Dieu, Il ne peut pas emménager si elle est construite sur base de la théorie élaborée par l’homme. Elle doit être conforme à la Bible. Et Ceci doit être le Plan, car il est écrit : «Que toute parole d’homme soit un mensonge et la Mienne, la Vérité.» Nous aimons tous penser que c’est nous qui avons la vérité.

            Mais comment lisez-vous les Ecritures? Avec une interprétation particulière? Les Ecritures déclarent qu’aucune Ecriture n’est donnée pour faire l’objet d’une interprétation particulière. Elle a été donnée par un seul Interprète : C’est le Saint-Esprit qui L’a écrite.

27        Cela me rappelle une histoire que je venais de lire cet après-midi. C’était au début de la Vie de notre Seigneur, quand Il est né à Bethléhem, et Il a grandi là en Judée. A l’âge de douze ans, il y avait une–une certaine coutume que les gens observaient. C’était une fête, je pense, la fête de Pâque. Et les membres de Sa famille, Marie, Sa mère, et Joseph, Son père nourricier, étaient tous montés à Jérusalem pour observer cette tradition, tout aussi fidèles que possible. Et pendant qu’ils étaient là, ils se sont engagés dans une forte conversation avec les membres de leur famille et autres. Et depuis qu’ils étaient partis, ils avaient effectué un voyage d’une journée. Et puis, ils ont commencé à chercher Jésus tout autour. Ils L’ont cherché parmi les membres de leurs familles et des connaissances. Ils ne L’ont pas trouvé.

28        Je me demande si ce n’est pas pratiquement le cas de l’église maintenant, quand on en arrive à se rendre compte qu’Il n’est pas avec eux. Je me demande s’il y a des méthodistes, des baptistes, des pentecôtistes, et que sais-je encore ici ce soir, qui ne sont pas arrivés à se rendre compte qu’Il n’est pas avec vous, peu importe ce que vous avez fait. Il peut y avoir eu certaines voies, certaines choses que vous avez connues, mais cependant, vous savez au fin fond de votre coeur qu’Il n’est pas là. Je me demande s’il n’y a pas ce soir dans le bâtiment un pécheur ou un rétrograde, qui se rend compte qu’Il n’est pas avec lui ce soir.

29        Maintenant, s’il vous plaît, ne faites pas comme Marie avait fait. Et vous qui adorez Marie, qu’en est-il? Elle s’est mise à Le chercher. Elle est allée auprès des membres de sa famille et de ses connaissances, pensant Le trouver là.

            Et c’est ce qu’ils font aujourd’hui. Ils fréquentent l’église, pensant Le trouver peut-être. L’un courra à l’église méthodiste pour voir ce qu’ils croient. Et ils courront à l’église baptiste, et à une église, à une autre, cherchant parmi les églises. Et quand tout est dit, il trouve un grand tas de credo et Christ n’est pas là.

30        L’un des hommes les plus importants que je connaisse en matière de théologie était chez moi récemment. Et il était dans la pièce. Et je me suis dit : «Qu’est-ce qu’un grand homme comme celui-ci fait, en venant me voir, me rendre visite?»

            Il a dit : «J’aimerais juste vous dire quelques mots, Frère Branham.»

            J’ai dit : «D’accord. Voulez-vous vous asseoir?» Et il s’est assis. J’ai dit : «Je me sens trop petit pour parler à un homme de votre calibre.» Et il était le président des Grandes Missions Soudanaises. C’est la plus grande mission fondamentaliste qui existe au monde.

            Et il était accompagné d’un ami, un ami personnel à Hyman Appleman. C’était monsieur Reidhead, c’est de lui qu’il s’agissait, Docteur Reidhead. Et il a dit : «Frère Branham, quand j’étais un petit garçon, a-t-il dit, j’étais un jour là dans un champ en train d’observer les nuages survoler.» Et j’ai dit : «Oh ! Existe-t-il un Dieu quelque part au-dessus de cela?»

31        Il a dit : «Je me suis précipité vers ma mère. Et c’était une bonne mère chrétienne. Elle m’a pris dans ses bras, elle m’aimait, et elle s’est mise à me parler de Jésus, et c’était Lui qui m’appelait.» Et il a dit : «Comme elle était loyale à son église, elle s’est mise à m’enseigner Jésus à l’âge de sept ans. Mais, a-t-il dit, ayant cela à coeur, je suis allé à chaque école que je pouvais fréquenter» Et il a dit : «Finalement, j’ai décroché ma licence en lettres. Je pensais que comme j’avais décroché mon diplôme, Christ serait certainement là même.» Et il a dit : «Quand le diplôme de licence en lettres m’a été décerné, a-t-il dit, je n’avais pas... Et rien n’avait changé.» Il a dit : «Quand j’ai décroché mon doctorat, je pensais qu’Il serait là. Et, a-t-il dit, il n’y eut aucun changement. Juste un groupe d’hommes qui s’étaient rassemblés et avaient dit certaines choses, et ils m’ont décerné un diplôme.» Et il a dit : «Frère Branham, j’ai assez de diplômes pour tapisser votre mur. Mais où est Christ?» C’est ça.

32        Il a dit : «Les enseignants étaient-ils en erreur?»

            J’ai dit : «Frère Reidhead, je n’aimerais pas dire que les enseignants étaient en erreur, car je suis mal placé pour le dire. Mais laissez-moi dire ceci : Christ ne vient pas au travers de la licence en lettres ou du doctorat en théologie, mais Il vient au travers du renouvellement de votre esprit, par le Saint-Esprit qui vient du Ciel.»

            Il a dit : «Pensez-vous que c’est pour moi?»

            J’ai dit : «D’après cette vieille Sainte Bible, c’est pour celui qui veut, qu’il vienne.»

            Il a dit : «On m’a enseigné que c’était pour une époque passée.»

            J’ai dit : «Alors, l’enseignant qui vous a enseigné cela était en erreur.»

            Il a dit : «Comment savez-vous qu’il était en erreur?»

            J’ai dit : «Je L’ai reçu. Et la Bible L’a promis. Là... Voici là où Il avait promis cela. Eh bien, dites-moi et montrez-moi là où Il ait jamais retiré cette promesse-là. Il a donné à l’église la puissance de faire cela. Maintenant, où a-t-Il donc retiré cela? Si l’église vous dit que ces choses sont passées, alors ils vous enseignent pour doctrine les commandements des hommes et non pas de Dieu. Ils prennent les commandements de Dieu et les anéantissent par leurs traditions.» C’est exact.

33        Vous ne pouvez pas Le trouver parmi les membres de votre famille. Vous ne pouvez pas Le trouver si vous allez et que vous disiez : «Je deviendrai un méthodiste pendant un temps et je verrai ce qui arrive. Je deviendrai un baptiste pendant un temps et je verrai ce qui arrive.» Vous ne Le trouverez jamais là ni dans aucune autre église dénominationnelle. Mais dans n’importe quelle église où vous souhaitez entrer, pas la dénomination, mais entrez dans la communion, pas du tout dans celle de l’église, mais la communion du Saint-Esprit, alors vous Le trouverez.

            Il y aura une foi établie, que vous soyez méthodiste, baptiste, catholique, presbytérien, quoi que vous soyez, si vous trouvez Jésus comme votre Sauveur personnel. Non pas par la poignée des mains avec le prédicateur ni les doctrines et des credos, mais en trouvant le Seigneur Jésus.

34        Aujourd’hui, dans les églises, on élabore ainsi les credos. Ils volent Dieu. Ils prennent leurs doctrines et anéantissent les commandements de Dieu. Cela n’a pas d’effets sur les gens. Pourquoi? Parce que notre théologie élaborée par les hommes, nos doctrines et nos credos ont privé aux gens des bénédictions, et ils n’ont pas l’occasion de recevoir cela. Ils ne connaissent rien à ce sujet. Tout ce qu’ils savent, c’est qu’ils sont membres d’église. C’est pourquoi nous n’avons pas de communion, les églises, les unes avec les autres. C’est pourquoi quand ils ont un réveil, les autres églises ne collaborent pas avec eux, une certaine dénomination, parce qu’ils disent : «Ce n’est pas ma foi.»

            Il n’y a qu’une seule foi ; c’est ce que dit la Bible. Ce n’est pas la foi dans un credo, pas la foi dans une dénomination, mais la foi en Dieu, c’est l’unique foi qu’il y a. Une seule foi, un seul Seigneur, un seul baptême, c’est ce que déclarent les Ecritures.

35        Et maintenant, après être partis, avoir effectué un voyage de toute une journée, à chercher parmi les membres de leurs familles, et ils n’avaient pas pu Le trouver... Je me demande ce soir combien de gens ici sont allés à l’église baptiste, ils se sont alliés aux baptistes... Eh bien, il n’y a rien... Je ne suis pas en train de m’en prendre aux églises. Je suis pour chacune d’elles. Mais ce pour quoi je suis pour, c’est... contre, c’est qu’ils élaborent leurs credos et tracent des lignes de démarcation et des frontières. Si chaque église se conformait fidèlement à la Bible, et La lisait simplement comme Telle et ne La falsifiait pas, et La laissait Telle que Dieu L’a écrite... Mais ils avancent un et disent : «Oh ! C’était pour un autre âge.» Ce n’est pas pour un autre âge. Dieu reste le même hier, aujourd’hui et éternellement.

36        Maintenant, vous effectuerez le voyage d’une journée, vous regarderez tout autour, et vous verrez un certain credo, et puis, vous penserez : «Eh bien, peut-être que c’est ça.» Vous allez y entrer et vous regarderez tout autour. Il y aura là quelqu’un qui fera quelque chose. Vous direz : «Ce n’est pas ça.» Vous retirerez votre lettre de recommandation de telle église pour aller avec vers une autre église. Et puis, vous ferez là quelques jours, ou peut-être quelques semaines, ou des mois, ou même des années. Quelqu’un va vous chambouler, et vous vous en allez avec votre lettre de recommandation ailleurs. Et de là à ailleurs... Vous n’êtes jamais stable.

            La Bible dit que vous êtes comme des étoiles errantes, des navires sans voiles, ballottés à chaque vent de doctrine, alors que la Bible nous interdit de faire cela. Soyez stable. Sachez où vous vous tenez. Ne reposez pas cela sur... eh bien, vous pouvez être vraiment sincère là-dessus, être stables. Vous pouvez être un méthodiste, un baptiste, un presbytérien, un catholique stable, ou un je ne sais quoi, tout aussi stable, mais ne soyez pas stable dans la doctrine de votre église ; soyez stable dans la doctrine de la Bible. Examinez donc vos doctrines par la Bible. Demandez ce que Jésus était. S’Il n’est pas le même aujourd’hui, alors votre doctrine est fausse.

37        Vous avez un exemple. Il a dit : «Je suis votre Exemple. Je vous ai donné un exemple afin que vous vous fassiez les uns aux autres comme je vous ai fait», Saint Jean 13.

            Eh bien, mais vous voyez que c’est ce qui arrive. Eh bien, il n’y a qu’une seule voie pour Le trouver donc. Puisqu’elle n’a pas pu Le trouver parmi les membres de la famille, elle est rentrée là où elle L’avait laissé.

            C’est ce que l’église devrait faire. Rentrez là où vous L’avez laissé, et là, vous Le trouverez. Vous les méthodistes, les baptistes, les pentecôtistes, les assemblées de Dieu, et vous tous, les Branham Tabernacles, et les autres, rentrez là où vous L’avez laissé.

38        Cela me rappelle un aumônier il y a quelque temps lors de la Deuxième Guerre mondiale. Il me racontait qu’il avait été usiné... il est allé auprès d’un–un homme qui avait été mitraillé. On lui avait dit qu’il se mourait. Il avait été fusillé à la poitrine avec une mitrailleuse, plusieurs balles. Et on lui a dit : «Cet homme se meurt.» Alors, l’aumônier est allé le voir. C’était un capitaine. Il est entré dans la tente ; il a dit : «Capitaine, êtes-vous chrétien?»

            Il a dit : «Eh bien, j’ai une fois été chrétien.»

            Il a donc dit : «Qu’est-il arrivé?»

            Il a dit : «Je ne me rappelle simplement pas comment cela avait commencé.» Il a regardé son diagramme de température, il a vu qu’il lui restait juste environ deux ou trois minutes à vivre. Et une bonne partie de ce temps-là était déjà passée. Nous ne savons guère que beaucoup de notre temps est déjà passé aussi.

            Et l’aumônier a dit au capitaine, il a dit : «Capitaine, où L’avez-vous laissé?»

            Eh bien, il a dit : «Je n’arrive simplement pas à me rappeler maintenant même.»

            Il a dit : «Vous feriez mieux de vous dépêcher, car vous n’avez pas beaucoup de temps pour remonter là où vous L’avez laissé.» Il a dit : «Où que vous L’ayez laissé donc, rentrez là même et commencez, et vous Le retrouverez.

39        Et l’aumônier a dit qu’il a attendu quelques instants avec la Bible en main pour écouter ce que le capitaine dirait. Et il continuait à réfléchir et à réfléchir, et ses combats, alors que le sang remplissait ses poumons. Et peu après, un grand sourire s’est dessiné sur son visage, et les larmes lui ont coulé sur les joues, il a dit : «Oh ! Je me rappelle.»

            Il lui a dit : «Commencez à partir de là, capitaine, vite.»

            Et le capitaine a dit : «Maintenant, je me couche pour m’endormir. Je prie le Seigneur de garder mon âme. Et s’il me faut mourir avant que je me réveille, je prie que le Seigneur prenne mon âme.» Il a tourné la tête et il s’en est allé.

            Où L’avait-il trouvé? Dans son expérience de l’école secondaire, dans sa formation en psychologie et l’homme, dans son credo, dans son église? Non. Où L’avait-Il trouvé? Au berceau. C’est là qu’il L’avait laissé, et c’est là que Jésus l’attend.

40        Nous ne trouverons jamais Jésus en retournant au début du baptistisme, en retournant au début du méthodisme, et du catholicisme. Nous ne trouverons Christ qu’en retournant à la Pentecôte, au commencement, pas à la dénomination donc, mais à la véritable expérience de la Pentecôte.

            Quand les cent vingt étaient assemblés dans la chambre haute, Jésus les avait envoyés là... Et Il leur avait dit : «Attendez dans la ville de Jérusalem jusqu’à ce que vous soyez revêtus de la puissance d’En Haut.» Nous n’attendrons jamais assez longtemps pour avoir assez d’instruction, non pas pour décrocher des doctorats, ou une expérience théologique, mais il nous faudra attendre que le Saint-Esprit de la Pentecôte descende sur l’individu, le revêtant de la puissance pour qu’il détourne son visage, à lui ou à elle, du péché et des choses du monde, et qu’il vive comme un chrétien. Alors, vous pourrez adhérer à n’importe quelle église que vous voulez.

41        Mais nous L’avons laissé à la Pentecôte. Les méthodistes L’ont laissé à la Pentecôte. Les baptistes L’ont laissé à la Pentecôte. Les catholiques L’ont laissé à la Pentecôte. Les amish L’ont laissé à la Pentecôte. Les frères L’ont laissé à la Pentecôte. Les assemblées de Dieu L’ont laissé à la Pentecôte. L’Eglise Unie L’a laissé à la Pentecôte. C’est là qu’Il avait commencé. Oh ! Que Dieu aide à faire pénétrer profondément ceci dans chaque coeur.

            C’est pourquoi Il ne peut pas demeurer dans ce bâtiment. C’est pourquoi Il ne peut pas venir à nos credos et nos dénominations. Nous avons abandonné les principes. Ecoutez. Jésus a dit : «Je suis le Cep, vous êtes les sarments.» Et une fois l’Eglise ensevelie en Jésus, Elle a produit un sarment de la Pentecôte. Et si le premier sarment a été produit par le Cep de la Pentecôte, chaque sarment devra être identique au premier. Il nous faut revenir à l’expérience de la Pentecôte une fois de plus.

42        Et si un cep porte un sarment de raisins ici, le sarment suivant devra être un sarment de raisins, et le sarment suivant sera un sarment de raisins, le sarment suivant sera un sarment de raisins. Et Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Et Il ne peut avoir qu’un seul type de sarments, et ce sont les serments de la Pentecôte dans Son Eglise, avec des expériences de la Pentecôte. Oh ! Vous direz : «Frère Branham, juste une minute. Je suis loyal à mon credo.»

            Si votre credo vous enseigne que tout ce qu’il vous faut faire, c’est serrer la main au prédicateur, Jésus a dit : «Au commencement, il n’en était pas ainsi.»

            Vous dites : «Frère Branham, je suis membre d’une grande dénomination. Et mon église dit que le temps des miracles est passé.»

            Jésus a dit : «Au commencement, il n’en était pas ainsi.» Au commencement, c’était quand? La Pentecôte, là où la puissance du Dieu vivant était descendue sur les cent-vingt et les avait baptisés du Saint-Esprit et où la puissance pour le service était venue. Cela avait changé le monde connu.

43        Vous dites : «Frère Branham, mon église croit...» Nous voyons les femmes dans des rues aujourd’hui, fumant la cigarette, portant des shorts. Vous dites : «Eh bien, mon pasteur ne dit rien contre cela. Notre église dit que c’est en ordre.»

            Mais Jésus a dit : «Il n’en était pas ainsi. Au commencement, il n’en était pas ainsi.» En effet, une femme qui porte un habit d’homme est une abomination aux yeux de Dieu. Vous me dites : «Frère Branham, il y a quelques soirées, vous avez condamné le fait d’asperger.» Mais vous dites : «Mon église enseigne qu’on peut être aspergé et que c’est en ordre.»

            Mais Jésus a dit : «Au commencement, il n’en était pas ainsi.»

            Vous dites : «Mais, Frère Branham, mon église croit au fait de déverser ; et je suis sincère, et c’est une grande église.» Mais Jésus a dit qu’au commencement, il n’en était pas ainsi.

44        Vous dites : «Frère Branham, j’ai été immergé au Nom du Père, au Nom du Fils, au Nom du Saint-Esprit.»

            La Bible dit : «Au commencement, il n’en était pas ainsi.» Cela n’a jamais existé. Vous suivez des dogmes et des credos fait des mains d’homme...

            Le jour de la Pentecôte, Pierre a dit à la première église : «Repentez-vous, et que chacun de vous soit baptisé au Nom de Jésus-Christ pour le pardon de vos péchés, et vous recevrez le don du Saint-Esprit. Car la promesse est pour vous, pour vos enfants et pour tous ceux qui sont au loin, en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera.» Tout ce qui est contraire à cela, au commencement, il n’en était pas ainsi.

45        Vous dites : «Je suis membre d’une grande dénomination qui dit que nous parlons quand la Bible parle et nous gardons silence quand Elle garde silence. Et notre église dit que le temps des miracles est passé.» Au commencement, il n’en était pas ainsi, car Jésus a dit qu’Il serait le même hier, aujourd’hui et éternellement. Tous les cieux passeront, mais Sa Parole ne passera point.

            Nous vivons en un jour où ils ont adopté les commandements de Dieu et les ont pervertis en traditions des hommes. Mais au commencement, il n’en était pas ainsi. C’est une tradition d’homme que nous adorons et non les commandements de Dieu.

46        Nous nous tenions ici hier soir, de nos propres yeux, nous avons vu un prédicateur aveugle recouvrer la vue, il était ici à l’estrade. Je L’ai vu guérir les ombres mêmes de la mort, je L’ai vu ressusciter trois personnes après qu’elles eurent été déclarées mortes par le médecin. Vous dites que vous ne croyez pas cela : «Mon église ne croit pas cela.» Mais c’était vrai au commencement. Tout ce qui est contraire n’était pas comme cela au commencement. En effet, Dieu est le Dieu de la Vie, le Dieu Tout-Puissant. Il ne peut pas faillir. Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement.

47        Nous ne pouvons pas Le trouver dans nos credos. Nous ne pouvons pas Le trouver dans nos dénominations. Il nous faut Le retrouver là où nous L’avions laissé. Vous dites : «Eh bien, je... Frère Branham, je vais vous dire ce que j’ai fait. J’ai dansé dans l’Esprit ; je sais que j’ai reçu la chose.» Au commencement, il n’en était pas ainsi. «J’ai parlé en langues, je sais donc que j’ai reçu la chose.» Au commencement, il n’en était pas ainsi. C’est vrai. Vous dites : «J’ai crié, j’ai reçu la Chose.» Au commencement, il n’en était pas ainsi. C’est vrai.

            Connaître Christ, c’est connaître la Personne de Christ par le pardon des péchés, et cela change votre vie. J’ai vu des gens danser, crier, parler en langues, et tout, et mener toute sorte de vie. Cela ne pouvait donc pas être correct. J’en ai vus adhérer à des églises, serrer des mains, se faire baptiser, avoir toutes sortes de credos, et vivre toujours comme le démon. Au commencement, il n’en était pas ainsi. Le rencontrer, Lui, la Personne, le Seigneur Jésus, Le connaître comme votre Sauveur personnel, Le connaître comme Celui qui vous aime, Le connaître, Lui, c’est la Vie. Mais ces autres credos et tout, jamais au commencement cela n’a été confirmé par notre Seigneur.

48        «Allez par tout le monde et prêchez la Bonne Nouvelle à toute la création.» Jusqu’où? Par tout le monde. A qui? A toute la création. «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru.» C’est ce qu’il y avait au commencement. Tout ce qui est contraire à cela n’est pas correct. Vous ne trouvez pas cela dans les credos, vous trouvez cela en Christ. Et Il est l’Unique.

            Vous dites : «Frère Branham, la Bible dit que...»

            Ce qu’Elle dit : «En Mon Nom, ils chasseront les démons ; ils parleront de nouvelles langages... langues. Ils saisiront les serpents, et s’ils boivent quelque breuvage mortel, cela ne leur fera point de mal. Ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris.» C’est ce que les Ecritures ont dit. Tout ce qui est contraire à Cela...

            Vous dites : «Voici les miracles qui accompagneront ceux...» C’est un bon vieil homme ; il paie ses dîmes ; il travaille bien ; il traite bien son voisin. Si c’est tout ce qu’il fallait, Christ n’aurait pas dû mourir. Il faut une expérience personnelle, passer de la mort à la Vie et devenir une nouvelle créature en Jésus-Christ avec Christ dans le coeur. C’est le Saint-Esprit. C’est là que ça avait commencé.

49        Ces disciples étaient des hommes de bien. Ils étaient des hommes justes. Ils payaient leurs dettes. Ils étaient honnêtes. Ils donneraient dix-sept pouces [43 m] sur un yard et beaucoup de grammes au-dessus d’un livre et ils feront deux kilomètres au lieu d’un. Ils étaient très religieux, et ces pharisiens aussi. Et Jésus a dit : «Si un homme ne naît de nouveau, il n’entrera en aucun cas dans le Royaume.» Vous devez retourner là où vous L’avez laissé. Retournez Le trouver. En effet, ces credos n’étaient pas là au commencement. Les églises dénominationnelles n’étaient pas là au commencement. Laissez donc tout tomber, retournez vite à la Pentecôte et trouvez le véritable Dieu vivant qui guérit les malades, qui purifie les lépreux, qui chasse les démons, qui réclame être dans la Bible le même hier, aujourd’hui et éternellement.

            Il est le Dieu du commencement. Il est Celui qui ne change pas. Il ne peut pas être Dieu et être quelque chose aujourd’hui, et quelque chose d’autre demain, quelque chose d’autre. Il ne peut pas être infini et être cela. Il est absolument le même hier, aujourd’hui et éternellement.

50        Maintenant, ami, en ce jour où nous vivons, où nous voyons que des hommes ont corrompu le monde avec leurs traditions, ils ont corrompu les églises avec leurs traditions, ils ont corrompu les esprits des gens avec leurs traditions... N’avions-nous pas examiné cela l’autre soirée et vu là où la vieille église prostate... ou plutôt l’église prostituée avait des filles et elles ont toutes répandu la doctrine, les fornications de leur souillure? Cela passe par chaque organisation. Elles sont polluées.

            Et maintenant, je ne vous dis pas de quitter votre organisation. Mais détachez-vous de cette organisation-là ; allez à Christ. Ces choses-là sont fausses. Retournons au commencement. Si donc nous pouvons faire cela, vous verrez Christ entrer dans cette maison-là qui est construite sur le Roc solide. Là, les signes, les prodiges et toutes les bénédictions que Dieu a promises se manifesteront au travers de cette église-là. Prions.

51        Juste avant que nous nous mettions à prier, alors que je laisse cet avertissement solennel dans votre coeur... Etes-vous comme au commencement? L’église dans laquelle vous êtes, est-ce uniquement un credo ou une dénomination, ou est-ce une expérience qui vous amène ce qui était au commencement? Si ce n’est donc pas le cas, alors ce n’est pas ça. Ne voudriez-vous donc pas venir au commencement, et commencer à partir d’ici, vous éloigner des credos et des dénominations et servir le Dieu vivant?

            Si vous êtes ici ce soir et que vous désirez qu’on se souvienne de vous dans la prière de la fin, voudriez-vous lever les mains vers Dieu pour dire : «Souvenez-vous de moi, Frère Branham»? Que Dieu vous bénisse partout dans la salle. C’est bien. C’est magnifique. Peu importe de quelle église vous êtes membre, votre dénomination, levez la main pour dire : «Ô Dieu, sois miséricordieux envers moi.» Que Dieu vous bénisse. C’est bien, des douzaines de mains se sont levées partout dans la salle. «Souvenez-vous de moi dans la prière, frère, en cette heure-ci, dites-vous, car je veux retourner au commencement.» Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse, vous, vous là en bas, derrière dans le hall, là dehors, que le Seigneur vous bénisse. Dieu voit vos mains. Il y en a trop pour que je les compte. Il connaît tout le monde. Là au fond, cette dame qui essaie de lever les mains là-haut derrière, que Dieu vous bénisse, soeur.

52        Jésus a dit : «Vous enseignez pour préceptes les traditions des hommes, et vous anéantissez les commandements de Dieu au profit de vos traditions.» S’Il a dit cela en ce jour-là, qu’en est-il de celui-ci? Retournons au commencement maintenant. Quoi ajouter... Qu’en est-il? Si le sarment qui a poussé le jour de la Pentecôte et qui a produit une église de ce genre-là... Ils sont allés dans le monde entier. Les signes et les prodiges les suivaient partout, pas ce que nous appelons aujourd’hui les signes et les prodiges. Mais le jour où ils sont allés, ils prêchaient partout, ils rebaptisaient les gens au Nom du Seigneur Jésus. Ils–ils ont chassé les démons ; ils ont guéri les malades ; ils ont eu la victoire du début à la fin.

53        Et si la tradition de votre église vous a enseigné contrairement à cela, retournons au commencement, là où nous avions laissé cela, et produisons ici ce soir des membres d’église, comme au commencement, qui avaient de l’amour fraternel les uns pour les autres, qui exposaient leur vie les uns pour les autres. Des hommes et des femmes qui s’aiment d’un tel amour divin qu’ils iraient en prison ou à la potence les uns pour les autres, c’est ça l’église originelle. Que le Seigneur vous bénisse pendant que nous prions.

54        Bien-Aimé Père céleste, alors que nous touchons à la fin de ce petit message de ce soir, les gens sont debout tout autour des murs, attendant, penchés contre les colonnes, le long des murs, et même dehors... Ils ont levé les mains pour montrer qu’ils voulaient rencontrer ce Jésus du commencement. Accorde, ô Seigneur, qu’en cette heure même ils Le rencontrent.

            Car il est écrit : «Heureux ceux qui ont faim et soif de la justice, car ils seront rassasiés.» Des mains en grand nombre, Seigneur, il y en a tellement que je n’ai pas pu les compter du coup. Mais Tu les vois toutes et Tu les connais tous. Et il est écrit : «Nul ne peut venir à Moi si Mon Père ne l’attire.»

            Ils en ont eu marre de ces credos, ils se rendent compte qu’ils ne trouvent pas Jésus dans cela. Comme Marie et Joseph, ils doivent retourner au commencement, là où ils L’avaient laissé. Ils souhaitent revenir ce soir à une expérience de la Pentecôte, recevoir le Saint-Esprit et naître de nouveau là dans le Royaume de Dieu. Accorde, Seigneur, que chacun d’eux reçoive cette expérience-là en cette heure même. Car nous le demandons au Nom de Jésus, Ton Fils.

55        Et pendant que nous avons nos têtes inclinées, je ne sais pas si vous le pouvez ou pas, si vous aimeriez vous avancer au milieu de cette allée, il y a de la place par ici où marcher. Descendez directement ici, tenez-vous ici à l’autel et dites : «Frère Branham...» Si vous croyez réellement que... Je peux avoir été mystique pour vous dans le passé. Mais vu que quelque chose est arrivé, des millions à travers le monde ont reçu cela. [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

            Et on dirait que cela rentre directement au commencement, à la Bible. «Je n’ai pas eu cette expérience-là. Mais je–j’aimerais que vous priiez pour moi ce soir, ici même à l’autel, et que vous m’imposiez les mains.» Car c’est ainsi qu’on procédait au commencement.

56        Philippe alla prêcher aux Samaritains. Et il les a tous baptisés au Nom de Jésus. Mais le Saint-Esprit n’était descendu sur aucun d’eux jusqu’à ce qu’ils ont envoyé chercher Pierre. Et il descendit là et leur imposa les mains, et ils reçurent le Saint-Esprit.

            Si vous avez besoin de prière, si votre âme porte le fardeau du péché, et que vous avez cependant essayé des églises, des baptêmes et autres, mais cela n’a pas marché, si vous voulez être... vous voulez que je prie pour vous ce soir, venez directement ici maintenant. Je serais content d’offrir mon service de prière pour n’importe qui parmi vous, en étant sincère. Je crois, si vous venez étant profondément sincère. Le Dieu qui peut ouvrir les yeux aveugles peut purifier un coeur sale. Un Dieu qui peut ressusciter celui qui est mort physiquement peut certainement le ressusciter spirituellement. Celui qui peut donner la vie au corps mortel peut certainement donner la vie à l’âme immortelle. Donner la vie veut dire rendre vivant. Que Dieu fasse pénétrer cela dans vos coeurs, mes chers amis.

57        Vous de cette ville ici, de Jeffersonville, de New Albany et de Louisville, je ne sais comment vous allez vous tenir au jour du Jugement. En effet, Dieu a tout fait ici même, dans ce petit tabernacle modeste, d’apparence abattue. Il a guéri les malades. Il a accompli des signes et des prodiges. Il a–Il a proclamé Sa Parole, sans dévier en rien des Ecritures, et Il a prouvé qu’Il est le Dieu vivant.

            Comment allez-vous faire des cieux votre demeure tout en vous accrochant aux credos et aux dénominations, aux fausses religions, aux faux baptêmes et aux fausses émotions? Comment allez-vous le faire alors que cela est bien dans votre coeur, entre vos mains pour vous décider? A votre place, avant qu’il soit pour toujours trop tard, je viendrais. Car, rappelez-vous, Jésus a parlé d’une femme qui est venue d’une nation, et Il a dit : «La reine du Midi se lèvera au jour du Jugement avec cette génération et la condamnera. Car elle vint des extrémités de la terre pour entendre la sagesse de Salomon.»

58        Que Dieu vous bénisse, ma soeur. Veuillez simplement vous agenouiller, descendre juste ici. Que les petits enfants veuillent reculer autant que possible maintenant, pour ceux qui aimeraient venir s’agenouiller pour la prière.

            Je vais chanter juste un couplet ou deux de ce cantique : «J’ai ancré mon âme.» Et j’aimerais que tout le monde prie, soit dans l’esprit de prière pendant que nous voyons si ceux qui sont... ceux qui cherchent Dieu désirent réellement descendre et prier.

... ancré mon âme dans le havre du repos,
Je ne naviguerai plus sur la mer houleuse.
La tempête peut déferler sur la mer houleuse et déchaînée,
En Jésus je suis en sécurité pour toujours.
J’ai ancré mon âme

            Que le Saint-Esprit me conduise droit à l’autel maintenant pour la prière, comme Il veut.

... naviguerai sur la mer houleuse (Venez, rétrogrades.)
La tempête peut déferler sur la mer houleuse et déchaînée
En Jésus je suis en sécurité pour toujours.
Brille sur moi, Seigneur, brille sur moi.
Que la lumière issue de la lumière (C’est ce que cela est ; C’est la Parole.) brille (Fais-la briller tout autour de moi.)
Oh ! brille sur...

            Ne voudriez-vous pas vous frayer un chemin, sortir de votre siège, descendre, retourner à votre église, d’où que vous veniez, mais venez ici Le trouver tel qu’Il était au commencement.

Que la lumière du phare brille sur moi.
Etre comme Jésus, juste être comme... (Combien aimeraient être comme cela? Levez simplement les mains.)
Mon vif désir sur terre : être comme Lui ;
Tout au long du voyage, de la terre à la Gloire ;
Ma seule demande : être comme Lui.

De la crèche de Bethléhem vint un Etranger,
Sur terre je désire être comme Lui,
Tout au long du voyage de la vie, de la terre à la Gloire,
Ma seule demande : être comme Lui.

Etre simplement comme Jésus, être comme Jésus,
Sur terre je désire être comme Lui
Tout au long du voyage de la vie, de la terre à la Gloire,
Ma seule demande : être comme Lui.

59        Alors que ces bien-aimés sont en train de se repentir, ceux qui ont été convaincus que le Saint-Esprit les a appelés à leur destination finale... Et rappelez-vous, cela peut arriver au plus jeune qu’il y a ici dans cinq minutes. Et d’ici une heure, il se peut qu’il n’y ait aucune personne vivante sur terre. Cela peut arriver. La science disait il y a deux ans qu’il était minuit moins trois. Vous savez ce que nous avons prêché selon les prophéties, c’est prêt à arriver. Et pourquoi Satan vous garde-t-il dans la cage avec le moindre petit doute dans votre esprit?

60        Maintenant, vous ici qui avez été aspergés, sur qui on a déversé, ou–ou qui avez été baptisés autrement que du baptême chrétien, sachez ceci :

Comme Pierre prononçait encore ces mots, le Saint-Esprit descendit sur tous ceux qui écoutaient la Parole.

Tous les fidèles circoncis qui étaient venus avec Pierre furent étonnés de ce que le don du Saint-Esprit était aussi répandu sur les païens.

Car ils les entendaient parler en langues et glorifier Dieu.

Alors Pierre dit : Peut-on refuser l’eau du baptême à ceux qui ont reçu le Saint-Esprit aussi bien que nous?

Et il ordonna qu’ils fussent baptisés au Nom du Seigneur Jésus-Christ.

61        Actes 19, laissez-moi vous citer cela, à vous les baptistes, et écoutez attentivement ceci.

Pendant qu’Apollos était à Corinthe, Paul, après avoir parcouru les hautes provinces de l’Asie, arriva à Ephèse. Ayant rencontré quelques disciples, il leur dit :

Avez-vous reçu le Saint-Esprit depuis que vous avez cru? Ils lui répondirent : Nous n’avons même pas entendu dire qu’il y ait un Saint-Esprit.

Il dit : De quel baptême avez-vous donc été baptisés?

Et ils répondirent : Du baptême de Jean.

Alors Paul dit : Jean a baptisé du baptême de repentance, disant... de croire en Celui qui venait..., c’est-à-dire, en Jésus-Christ.

Sur ces paroles ils furent rebaptisés au Nom du Seigneur Jésus-Christ.

Lorsque Paul leur eut imposé les mains, le Saint-Esprit vint sur eux, et ils parlaient en langues et glorifiaient Dieu.

62        Galates 1.8, c’est encore Paul qui parle :

Mais, quand nous-mêmes, quand un ange du ciel annoncerait un autre Evangile que celui que nous vous avons prêché, qu’il soit anathème !

            Peu importe combien de credo de lumière, combien de dénominations, combien de nombreuses choses. Si vous n’avez pas été baptisés au Nom de Jésus-Christ, vous les croyants, je vous ordonne au Nom de Jésus-Christ de vous avancer vers ce baptistère et d’être baptisés. C’est vrai. C’est tout à fait ce que les Ecritures disent. «Car il n’y a aucun autre nom sous le Ciel qui ait été donné aux hommes, par lequel vous devez être sauvé.» Peu importe combien vous... ce que vous avez fait, combien vous avez reçu le Saint-Esprit, retournons au commencement. Si vous avez été aspergé, on vous a déversé de l’eau, ou quelque chose comme cela, ou baptisé au Nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit, c’est un faux credo. Il n’y a personne dans la Bible qui ait jamais été aspergé, ou à qui on a déversé de l’eau, ou qui s’est fait baptiser au Nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit.

63        Retournons au commencement et vous Le retrouverez. L’autel est ouvert et le baptistère attend. Pendant que nous chantons encore une fois : «Etre seulement comme Jésus»...

Etre comme Jésus, être seulement comme Jésus,
Sur terre je désire...
(Ne voudriez-vous pas vous frayer un chemin ici? Qu’en est-il de vous les croyants? Il y aura une place disponible ici pour vous, juste dans une minute.)
Tout au long du voyage de la vie
(Qu’a-t-Il dit? Au commencement, il n’en était pas ainsi, si vous voulez être comme Lui...)
...à la Gloire,
Je demande seulement à être comme Lui.

64        Prions encore. Venez, soeur, si vous venez ici à l’autel. C’est en ordre. Seigneur, ô Dieu, que cela soit écrit et que cela s’accomplisse, Seigneur. C’est écrit ; ainsi donc, que cela s’accomplisse. Je ne serai pas coupable au jour du Jugement de m’être tenu derrière un credo de l’église, mais j’ai prêché le plein Evangile dans la puissance de la résurrection du Saint-Esprit. Maintenant, Seigneur, veux-Tu honorer ces paroles? Veux-Tu envoyer le Saint-Esprit sur ceux-ci ce soir, Seigneur? Et guéris les malades et les affligés parmi nous. Que les gens sachent que le Dieu qui a écrit la Bible est toujours ici. Et Il ne change pas, quand bien même les hommes essaient de changer la Parole, mais Il est le Dieu immuable qui a dit qu’au commencement, il n’en était pas ainsi.

65        Et si nous voyons ce qu’était le premier sarment du Cep, nous pouvons effectivement faire du Livre des Actes notre exemple en tant qu’église. Et accorde, Seigneur, ce soir, que chaque personne ici qui n’a pas suivi le Seigneur Jésus... Et Jésus confirme qu’Il était avec eux, par des signes et des prodiges selon la doctrine du Nouveau Testament, dans le Livre des Actes, que le premier sarment produisait... Puissent-ils tomber humblement à Ses pieds et aller de l’avant, Seigneur, et Le trouver comme Il était au commencement. Car nous ne pouvons pas Le trouver parmi nos credos et nos dénominations, et parmi nos petites doctrines faibles de ce jour-ci. Nous devons retourner auprès de Dieu et de la Bible.

            Ceux qui sont ici à genoux cherchent Ton Saint-Esprit, et ils croient qu’Il viendra sur eux. Ils ne sont pas en train de suivre un quelconque rite, ou une quelconque voie. Ils veulent simplement que le Saint-Esprit vienne sur eux. Accorde, ô Dieu, que leurs coeurs soient ouverts en ce moment-ci, que la puissance du Dieu vivant descende dans leurs coeurs, qu’Il les remplisse et leur pardonne leurs péchés, qu’Il les remplisse du Saint-Esprit. Accorde ces choses, Père.

66        Maintenant, avec nos têtes inclinées, sans cesse pour encore une minute, je crois que Dieu va agir infiniment d’une façon glorieuse, juste dans quelques minutes.

            S’il y en a ici ce soir qui sont étrangers, qui ne sont pas de la ville, qui ne peuvent pas revenir à un autre service et qui sont dans un état d’urgence, pendant que ceux-ci sont à l’autel en train de chercher, de s’attendre à Dieu... En fait, nous allons nous arranger avec eux dans quelques minutes. Mais s’il y en a ici qui sont dans un état d’urgence, qui ne peuvent pas attendre juste un–un autre service, qui désirent qu’on prie pour eux, voudriez-vous lever la main, quelqu’un qui doit quitter? Un, deux. Très bien. Un, deux, qui sont ici maintenant, trois, qui sont ici qui ne peuvent pas attendre davantage, que... ils doivent donc partir... Quatre, j’en vois un derrière. Il y a quatre personnes. Cinq, une autre ici même. Très bien. Il y en a cinq ici ce soir qui ne peuvent pas attendre davantage. Je me demande si vous pouvez, et vous pouvez vous lever... Si vous ne le pouvez pas, on peut vous transporter. Et pendant que nous gardons ces gens à l’autel, j’aimerais que vous entriez dans cette pièce réservée à la prière, ici à ma droite, de ce côté ici. Ces cinq personnes...

67        Pendant que nous demandons donc aux ministres pour ceci, qui sont dans cette salle ce soir et qui croient que ce Message que j’ai prêché... que ces credos et ces doctrines faits de mains d’homme aujourd’hui ne viennent pas de Dieu, mais qu’ils viennent des hommes, et que nous devrions réellement retourner à la voie biblique, retourner au commencement, j’aimerais que certains parmi ces ministres s’avancent et qu’ils se tiennent ici avec moi pendant que nous imposons les mains et que nous prions pour ces gens ici, ces gens qui cherchent les grandes bénédictions de Dieu pour leur vie. Certains parmi vous les ministres, si vous le voulez bien, ceux qui croient que ceci est la vérité capitale de Dieu... Ne venez pas autrement maintenant. Voyez? Soyez un homme qui croit cela comme étant la vérité absolue.

68        Et ceux-là maintenant, ces cinq qui ont levé la main, contournez vers cet autre côté, si vous le pouvez, ou contournez derrière la chaire. Si vous ne pouvez pas entrer là... Et nous allons voir ce qui arrive d’ici quelques minutes. Passez directement de ce côté-ci, frère. Que les enfants veuillent bien reculer là.

            Et maintenant, que ceux qui viennent maintenant, passent pour la prière, laissez-les venir, si seulement vous le pouvez, directement par ici.

... Devienne le jour le plus clair,
Reprenons donc tous courage.
Car nous ne sommes pas seuls ;
Le bateau de sauvetage vient bientôt
Rassembler les pèlerins à la maison.

Courage donc, mon frère, courage, oh ! Courage,
Nos épreuves seront bientôt finies,
Nous rencontrerons nos bien-aimés, nous les rencontrerons,
Sur le rivage doré.
Nous sommes pèlerins et nous sommes étrangers ici,
Nous cherchons une cité à venir,
Le bateau de sauvetage vient bientôt ;
Rassembler les perles à la maison,

Le bateau de sauvetage vient bientôt
Par les yeux de la foi je vois,
Alors qu’il déferle sur les eaux,
Pour nous secourir, vous et moi,
Et nous amener en sécurité au port
Avec les amis que nous aimons tant,
Soyez prêts, crie le Capitaine,
Oh ! Regardez, il est pratiquement là.

(Observez les bombes atomiques, vous pouvez voir qu’elle est prête ici)... courage,
Nos épreuves seront bientôt finies,
Nous rencontrerons nos bien-aimés, nous les rencontrerons,
Sur le rivage doré.
Nous sommes pèlerins et nous sommes étrangers ici,
Nous cherchons une cité à venir,
Notre bateau de sauvetage arrive bientôt,
Rassembler les perles à la maison.

69        Maintenant, amis, ces prédicateurs vont s’assembler autour maintenant, tout près ici. Je vais m’occuper de ces cas urgents, ceux qui ne peuvent pas revenir. Et la raison pour laquelle nous faisons ceci, comme nous le faisons ce soir, c’est que... Il y aura un service de baptêmes qui se fera dans quelques minutes. Et le prochain service de baptême aura lieu le dimanche matin, après l’école du dimanche. Cela nous laissera le samedi soir, le vendredi soir, le samedi soir et le dimanche soir pour la ligne de guérison. Nous aimerions mettre en premier le salut de Dieu. Voyez? La guérison aura lieu ; nous n’avons pas peur de cela. Ainsi donc, cela aura lieu. Hier soir, Dieu a sauvé huit précieuses âmes ici à l’autel. Oh ! Combien j’étais heureux de voir cela !

70        Je ne sais pas qui sont ceux-ci. Certains d’entre eux peuvent être des pécheurs qui appellent ; d’autres eux peuvent être en train de chercher le Saint-Esprit. Mais maintenant, je vais... Et ma femme, là derrière, ma chérie, il y a des hommes et des femmes là. Je vais simplement entrer pour voir ce qui arrivera. J’espère que le nouveau ministère s’exercera là-dedans. Dieu sait que j’ai proclamé la Parole aussi fidèlement que je sais le faire selon la Bible. Et c’est vrai. Et je vais revenir voir ce que Dieu fera.

71        Eh bien, demain soir, le Seigneur voulant, nous n’aurons pas de service de baptêmes, sauf urgence, quelqu’un qui aimerait être baptisé. Mais tout à l’heure, dans les dix ou quinze prochaines minutes, il y aura service de baptêmes. Et puis, demain soir, il y aura... J’aimerais demander à ma soeu-... ma belle-fille qui est ici (ma belle-soeur, eh bien...) ma belle-fille, si elle a trouvé les cartes de prière aujourd’hui. Loyce, les as-tu trouvées? Elle ne les a point trouvées. Eh bien, nous établirons d’autres. Nous–nous allons en avoir d’autres d’une façon ou d’une autre. Et nous distribuerons les cartes de prière demain soir, le Seigneur voulant, et nous commencerons à faire passer des lignes de prière, des lignes ordinaires de prière, si rien n’arrive d’ici quelques minutes dans la pièce. Et puis, nous verrons demain soir, le Seigneur voulant, nous distribuerons les cartes de prière tôt, demain soir, vers dix-huit heures, je pense, ou quelque chose comme cela, dix-huit heures ou dix-huit heures trente, quelque chose comme cela, demain soir, afin que les gens reçoivent une carte de prière et entrent dans la ligne.

72        Maintenant, maintenant même, j’aimerais que tout celui qui le peut soit intensément dans la prière. J’aimerais que vous les ministres, vous soyez autour de ces gens, mais frère Neville, ici à la chaire. Et je vais entrer prier pour les malades. Que le Seigneur vous bénisse. Et vous les frères, maintenant, mettez-vous là où il y a ces gens maintenant. Avancez, imposez-leur les mains, offrons une prière alors que vous vous mettez autour. Chacun d’eux, restez bien avec eux maintenant alors que vous vous mettez tout autour. Toute l’assemblée, ceux qui savent comment prier, inclinez la tête là derrière, et murmurez une prière à Dieu, que le Saint-Esprit descende sur ces gens-ci, qu’Il les remplisse du Saint-Esprit et qu’Il accomplisse des miracles dans cette pièce-ci pour guérir les malades et les affligés.

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