La Foi D’Abraham

Date: 59-0415E | La durée est de: 1 heure et 29 minutes | La traduction: Shp
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1          ... Pendant qu’on est debout juste un instant pour un mot de prière... Inclinons la tête.

            Ô Seigneur, nous Te sommes reconnaissant pour cette nouvelle visite à Angelus Temple où beaucoup d’âmes ont été sauvées dans le passé. Et nous nous attendons, si Jésus tarde, à ce qu’il y ait encore beaucoup d’autres de sauvées. Nous attendons impatiemment chaque soir ceux qui se frayent la voie vers le Calvaire pour venir dans cette direction-ci.

            Nous Te remercions pour tous ceux qui ont fait cela même et nous Te prions de les bénir et de garder... Tu as dit que Tu garderais dans une paix parfaite celui dont l’esprit s’appuie sur Toi.

            Maintenant, nous Te prions de guérir les malades ce soir comme nous allons prier pour eux. Que Ton Esprit repose sur eux pour leur donner du courage et la foi. Quand nous lirons les Paroles ce soir et que nous enseignerons Ta Parole, qu’Elle donne la foi à celui qui écoute, et que les semences tombent dans une bonne terre et produisent au centuple, car nous le demandons au Nom de Jésus. Amen. Vous pouvez vous asseoir.

2          J’aimerais dire que j’apprécie cette petite chorale qui a chanté juste avant mon entrée, comme j’apprécie d’habitude tous les chants. Je pense que ce sont ceux qui sont à ma gauche. En venant, j’écoutais leurs chants; c’était vraiment émouvant. Je les apprécie certainement beaucoup, beaucoup. Que le Seigneur bénisse ces enfants.

3          Je viens de rentrer de Pisgah Church, ou plutôt–ou plutôt, je pense que c’est peut-être Home. C’est là quelque part... Je–je ne sais pas. Je ne peux pas me rappeler tous ces noms ici. Mais nous avons passé un moment glorieux là cet après-midi. Et à mon départ, les autels étaient pleins de gens qui se repentaient, en venant au Seigneur Jésus.

            J’ai prêché sur l’imminente apparition du Seigneur et les conditions dans lesquelles nous devrions nous retrouver, la condition dans laquelle Son Eglise devrait se retrouver pour Le rencontrer à Sa Venue. Et le Seigneur nous a vraiment bénis.

4          Et maintenant, n’oubliez pas le petit-déjeuner des Hommes d’Affaires Chrétiens le samedi matin. Et si vous–si vous n’êtes donc pas là, allumez votre radio, nous avons une émission radiophonique.

            C’est un temps où on est très occupé, des appels affluent de partout, d’outre-mer, de tous les coins du monde, et vous savez comment ça se passe.

            Je pense que ce matin, là où je reste, il y a eu vingt-deux appels de l’extérieur de la ville avant 10 h. Ainsi, beaucoup de ces appels, c’est pour des réunions, mais comme vous le savez, le temps est pris et je... d’ici le printemps prochain, je n’aurai pas du tout de temps disponible. Ainsi donc, nous... J’aurais souhaité me retrouver à chaque endroit, mais nous ne le pouvons pas. Et Dieu a d’autres serviteurs partout ailleurs, qui conviennent bien pour ces endroits-là.

5          Il y a quelque temps, quelqu’un allait me donner une offrande importante. Il a dit que c’était la dîme, mais c’était trop pour moi; et je lui ai dit que je ne pouvais pas recevoir une telle offrande. Il a dit: «Mais, Frère Branham, je dois vous la donner.» Il a dit: «Ce sont des dîmes.»

            J’ai dit: «Eh bien, alors, si ce sont des dîmes, c’est destiné à l’Eglise de Dieu.»

            Il a dit: «D’accord.»

            J’ai dit: «Eh bien, si le Seigneur vous a donné de telles dîmes là, c’est qu’Il a déjà quelque part des gens à qui les donner. Ils sont tous là dans le champ missionnaire partout.» Et comme je sais qu’il y a des missionnaires qui prêchent dans des champs missionnaires sans chaussures, prenant deux repas par semaine, je peux me passer de quelque chose moi-même. Et je pense que nous tous, nous le pouvons pour aider ces pauvres frères qui combattent pour la cause de Christ.

6          Maintenant, nous avons de merveilleux témoignages qui affluent. Pendant que j’étais là à l’église cet après-midi, je pense que nous avons eu environ (fait venir) trente ou quarante requêtes de prière, et des témoignages ont afflué. Ils ont reçu des lettres venant d’outre-mer, là où nous avons été, à la Jamaïque et ailleurs. Oh! comme le Seigneur guérit!

7          Maintenant, amis, comme tout le monde le sait, je ne suis pas un guérisseur. Je ne peux guérir personne, et je–je ne pense pas que, du point de vue scripturaire, il y ait un homme qui puisse le faire. Je ne crois absolument pas cela. Tout ce qu’il y a, c’est que je prie pour les malades et le Seigneur m’a très souvent exaucé. Et c’est pratiquement tout ce que je sais à ce sujet. Je prie simplement, et le Seigneur exauce la prière. Et c’est... Je suis très reconnaissant de ce qu’Il a fait, sachant que j’ai moi-même souffert de maladies, et j’en ai beaucoup souffert, et je sais combien j’ai apprécié cela quand le Seigneur Jésus était venu me guérir. Et je sais que Ses enfants qui souffrent apprécient cela, lorsqu’Il exauce la prière.

8          Et c’est tout ce que nous savons faire: prier pour les malades, car nous ne pouvons pas guérir. Et, à mon avis, c’est quelque chose de déjà accompli. Eh bien, c’est juste comme pour votre salut. Il a été acquis pour vous au Calvaire. Tous les péchés du monde, tous les péchés ont été pardonnés lorsque Jésus avait offert ce Sacrifice suprême au Calvaire, lorsqu’Il mourut pour les péchés du monde. Tous les péchés ont été pardonnés. Maintenant, vous n’avez qu’à accepter votre pardon. C’est votre foi personnelle dans l’oeuvre achevée par le Seigneur Jésus, le Sacrifice tout suffisant au Calvaire pour vous. C’est pourquoi les Ecritures déclarent: «Il a été blessé pour nos péchés, et c’est par Ses meurtrissures que nous avons été guéris.» Avons été, c’est le temps passé. Et si je pouvais pardonner les péchés à quelqu’un...

            Eh bien, si vous péchez contre moi, je peux vous pardonner; mais si vous péchez contre Dieu, cela vous est déjà pardonné, si vous l’acceptez.

9          Mais maintenant, concernant la guérison, c’est exclusivement la miséricorde de Dieu qu’Il... «Et c’est par Ses meurtrissures que vous avez été guéris.» Eh bien, premièrement, c’est la Parole qui le dit. Cela devrait suffire. Mais si vous ne le croyez pas selon la Parole, alors il y a des dons dans l’église, tels que des hommes inspirés qui savent comment enseigner cela, qui vous rendront cela très clair. C’est... et la foi pour croire... La prière pour les malades, c’est juste comme celle pour le pécheur. Et il y a aussi d’autres dons dans l’église comme la prophétie et divers dons.

            Or, il y a cinq offices dans l’église: Les missionnaires (ou les apôtres; les deux, c’est pareil), les prophètes, les docteurs, les pasteurs et les évangélistes. Dieu les place dans l’église, et ils sont tous destinés à l’édification de l’église.

10        Maintenant, je prêche chaque soir depuis environ... celle-ci est la deuxième semaine; et hier soir, j’ai annoncé que ce soir nous allions changer de position. Eh bien, nous avons distribué des cartes de prière, nous avons fait venir les malades ici, nous avons parcouru la ligne. Et le Saint-Esprit révèle soirée après soirée chaque cas, faisant sortir les gens des fauteuils roulants, des brancards et des civières. Puis, sans distribuer des cartes de prière, Il les a appelés directement depuis l’assistance, ceux qui n’avaient pas de cartes de prière, leur disant tout: qui ils étaient, même en parlant en d’autres langues, et en disant aux inconnus qui ils étaient, d’où ils venaient et tout sur leur situation. Tout cela n’a jamais guéri quelqu’un parmi eux. C’était leur foi dans la Présence de Christ. C’est leur foi en acceptant ce que Christ a fait.

11        Nous avons aussi essayé de présenter cela en détails, que nous avons eu toutes sortes de réveils, mais celui-ci, nous le voyons dans les Ecritures, c’est le dernier signe que l’Eglise reçoit donc, selon les Ecritures. Voyez?

            On a tenu des campagnes de guérison, on a eu toutes sortes de grandes choses, mais celle-ci demeure toujours le dernier signe. Maintenant, comme on termine le samedi soir ou le vendredi soir cette série d’enseignements de trois soirées sur Abraham, vous verrez que c’est ce signe qui a été donné à Sodome et Gomorrhe juste quelques heures avant qu’elles soient brûlées.

            Ce signe a été donné aux Juifs juste avant que l’Evangile quitte les Juifs pour aller chez les Gentils. Il a été donné aux Samaritains, mais jamais aux Gentils, et Christ a promis qu’il serait donné aux Gentils au temps de la fin, sous menace d’une peine; en effet, un seul mot prononcé contre cela ne sera jamais pardonné ni dans ce siècle ni dans le siècle à venir. Ce sera un blasphème contre le Saint-Esprit.

12        Maintenant, ce soir, j’aimerais lire un passage dans l’Epître aux Romains, juste pour avoir une toile de fond; Romains, chapitre 4, verset 17:

... selon qu’il est écrit: Je t’ai établi père d’un grand nombre de nations. Il est notre Père devant celui auquel Il a cru, Dieu, qui donne la vie aux morts, et qui appelle les choses qui ne sont point comme si elles étaient.

            Je peux lire le verset suivant...

Espérant contre toute espérance, il crut, en sorte qu’il devint père d’un grand nombre de nations, selon ce qui lui avait été dit: Telle sera ta postérité.

            Maintenant, ce que j’en pensais, c’est que... J’ai choisi ceci pour trois soirées, non pas pour prêcher, mais enseigner, afin que l’église saisisse les Ecritures et les promesses.

13        Car, après toutes les grandes choses que Dieu a accomplies, je vois toujours trois fauteuils roulants placés ici et deux civières. Eh bien, je ne sais pas, ça peut être leurs premières soirées; je ne sais pas. Mais il ne devrait pas en être ainsi. Ils devraient être bien portants. Il n’y a aucune raison qu’une personne sorte du fauteuil roulant et qu’un autre y reste. Ça, ce n’est pas le propre de notre Père céleste de faire de telles choses.

14        Il n’est pas correct, comme cette femme a pu nous écrire cette lettre, que ces gros cancers qui pendaient à son flanc aient disparu depuis six ou huit heures... Et un célèbre médecin de cette ville a dit qu’il n’avait jamais de sa vie vu rien de pareil. Et il n’est pas convenable que vos enfants soient affligés alors que le petit Rickey ici, le cas du cancer le plus grave de Los Angeles, était abandonné par tous les bons médecins et a été ramené ici à l’estrade normal et bien portant. Il–il n’y a pas de raison que nous ne soyons pas tous guéris, car Jésus a payé ce prix-là afin que nous tous, nous puissions être guéris.

15        C’est pourquoi, j’ai consacré ces trois soirées pour prendre un peu mon temps à expliquer ces Ecritures, afin que vous saisissiez les Ecritures. Ainsi, vous verrez que ce n’est pas quelque chose qu’un homme peut faire; c’est quelque chose que Dieu fait pour vous lorsque vous croyez ce qu’Il a fait pour–pour vous, lorsque vous acceptez ce qu’Il a déjà fait.

16        Eh bien, la raison pour laquelle j’ai choisi Abraham, c’est que la promesse avait été faite à Abraham. Nous le savons tous. Dieu a conclu des alliances avec l’homme et, chaque fois, l’homme brise son alliance avec Dieu. Alors, dans le cas d’Abraham, Dieu a conclu une alliance entre Lui-même et Abraham, sans condition. Vous savez, Il avait dit à Adam, dans l’alliance adamique: «Si tu ne fais pas ceci et si tu fais ça.» Adam a fait volte-face et a brisé cela. Mais pour Abraham, ce n’était pas: «Si tu fais quoi que ce soit.» C’est: «J’ai déjà fait.» C’est déjà le temps passé. Abraham n’avait rien à faire avec ça. C’était Dieu qui avait fait cela.

17        Et maintenant, j’aimerais vous faire remarquer pendant ces trois soirées, alors que nous évoluons, que ce n’était pas seulement pour Abraham, mais c’était aussi pour la postérité d’Abraham, les enfants d’Abraham. L’alliance avait été conclue pour Abraham et ses enfants.

            Eh bien, vous direz: «C’étaient les Juifs.» Non, en étant en Christ, nous revêtons la postérité d’Abraham, et nous devenons ses cohéritiers selon la promesse. Nous sommes la postérité d’Abraham si nous sommes morts en Christ. Nous devenons la postérité d’Abraham et héritiers selon la promesse.

18        Par conséquent, chaque personne née de nouveau du Saint-Esprit, vraiment née... pas celle qui pense juste être née, pas celle qui a éprouvé une émotion, pas celle qui a éprouvé une sensation, mais celle qui est réellement née... On peut avoir éprouvé toutes les émotions, les sensations en ayant cela, mais on peut aussi éprouver des sensations et des émotions sans naître. Mais ceux qui sont nés de l’Esprit de Dieu sont la postérité d’Abraham; pas les postérités, mais la Postérité, la Postérité promise, car c’est par Christ qui était le Fils d’Abraham.

            Si vous pouvez saisir cela! Alors, puisque nous sommes la postérité d’Abraham, nous devons avoir la foi d’Abraham. Et la Bible dit qu’il était comme Dieu: il appelait les choses qui n’étaient pas comme si elles étaient, parce que Dieu l’avait dit.

            Maintenant, j’aimerais vous faire remarquer, pour commencer... Maintenant, nous allons juste toucher les points saillants, car nous avons environ huit ou dix chapitres ici pour trois soirées, juste les survoler. Mais écoutez attentivement et essayez de saisir le Saint-Esprit.

19        Donc, si vous êtes en Christ, vous êtes la postérité d’Abraham. En effet, la promesse d’Isaac (par Isaac est venu Christ; par Christ sont venues toutes les nations) a fait d’Abraham le père de toutes les nations. Et alors, puisque vous êtes en Christ, vous devenez la postérité d’Abraham. Et vous êtes cohéritiers avec Abraham.

            Et la promesse avait été faite à Abraham, non pas parce qu’il était un grand homme, ni parce qu’il était un–un homme religieux, mais ça l’était par la prescience de Dieu; par élection, Dieu a choisi Abraham; Dieu vous a choisi. Ce n’est point vous qui avez choisi Dieu; c’est Dieu qui vous a choisi. Jésus a dit: «Nul ne peut venir à Moi si Mon Père ne l’attire premièrement.»

            Beaucoup de gens disent: «Oh! j’ai cherché Dieu, j’ai cherché Dieu.» C’est une erreur. Ce n’est pas vous qui avez cherché Dieu; c’est Dieu qui vous cherche.

20        Dans le jardin d’Eden, l’homme a prouvé ce qu’il était quand il a fui Dieu. Plutôt que de chercher à trouver Dieu pour confesser son erreur, il s’enfuyait loin de Dieu tout le temps, il s’est caché, il s’est confectionné un tablier en feuilles de figuier et s’est caché dans les buissons. C’est la condition de l’homme ce soir. Au lieu de confesser ses manquements (Même beaucoup parmi vous membres d’église) au lieu de venir directement dire: «Non, je n’ai vraiment pas la foi. J’ai besoin d’une marche plus intime avec Dieu», vous dites: «Oh! je suis membre de telle et telle église. Je suis baptiste. Je suis pentecôtiste. Je suis presbytérien.»

            Cela ne veut rien dire. Il vous faut être un enfant de Dieu par une nouvelle naissance, par Jésus-Christ. Et alors, lorsque vous le devenez, vous avez la foi qu’avait le père Abraham. Et Abraham appelait tout ce qui était contraire à la promesse de Dieu comme n’existant pas. Comment ça? Si Dieu fait une promesse, Abraham dit: «Tout ce qui est contraire à ça est un mensonge; je n’y crois pas.»

            Et alors, nous nous disons la postérité d’Abraham, nous qui doutons de tout ce que Dieu a dit: «Je ne crois pas aux miracles, je ne crois pas dans la guérison divine, je ne crois pas aux dons de l’Esprit.» Et puis dire: «Nous sommes la postérité d’Abraham.»

21        J’aimerais plutôt durcir ceci; je ne cherche pas à réprimander les gens, mais je suis... Je... vous–vous... Lorsqu’on enfonce un clou dans une planche, on doit le river pour qu’il tienne ferme. Et vous devez faire tenir la chose fermement, car l’heure vient où on doit être soit dans le vrai, soit dans le faux. Et au cours de ces quelques prochaines soirées, vous pouvez avoir ici à Angelus Temple une percée qui pourrait déclencher un réveil dans tout ce pays. Mais nous ne pouvons pas y parvenir avec une demi-foi émotive, montée de toutes pièces; il faut quelque chose de réel. Je pense que c’est Abraham Lincoln qui, une fois, avait dit: «Vous pouvez tromper une partie du peuple pendant un temps, mais vous ne pouvez pas tromper tout le peuple tout le temps.» Et vos émotions le prouvent; vos actes montrent ce que vous êtes et ce que vous croyez.

22        Dans la Bible, Jacques a justifié Abraham par ce qu’il faisait. Paul l’a justifié par la foi. Mais Paul parlait de ce que Dieu voyait et Jacques parlait de ce que l’homme voyait. Mais vos actes prouvent ce que vous croyez. Si vous dites que vous croyez en Dieu, alors, agissez en conséquence. Mettez cela en pratique. Levez-vous et attelez-vous à la tâche.

            C’est vraiment rude, n’est-ce pas? Mais c’est la vérité. Vos–vos actes prouvent ce que vous êtes. Comme ma femme a l’habitude de le dire: «Les actes parlent plus fort que les paroles.» Vous pouvez sautiller et crier toute la nuit, et après, grommeler contre l’une des promesses de Dieu; cela prouve ce que vous croyez.

23        Eh bien, la promesse de Dieu à Abraham et à la postérité d’Abraham. Tout cela était, quant aux promesses, tout aussi valable pour la postérité que pour Abraham, elle a été donnée sans condition. Oh! j’aime ça! Cela s’étend un peu vers le calvinisme; mais écoutez: je crois au calvinisme tant que le calvinisme se trouve dans la Bible. Mais dès qu’il En sort, alors je n’y crois pas.

            Rappelez-vous, la promesse était à Abraham, tant qu’il restait dans son pays) la promesse était sans condition pour lui. Mais une fois qu’il sortait du pays, la promesse n’était plus valable. Et la promesse est pour vous tant que vous restez dans votre alliance avec Christ. Mais si vous en sortez, vous êtes... Tant pis pour vous. Mais tant que vous y êtes, Dieu vous gardera.

24        Eh bien, étant un baptiste, ou plutôt l’ayant été (Je–je suis toujours un baptiste tant que les baptistes restent dans la Bible), mais je crois dans la sécurité éternelle tant qu’on est en sécurité en Christ. Je pense que ce bâtiment-ci a été construit pour nous abriter contre la pluie; et tant que je reste dans le bâtiment, je suis à l’abri de la pluie. Mais une fois que j’en sors délibérément, tant pis pour moi.

            Et tant que vous êtes en Christ, vous êtes en sécurité en Christ. Mais si vous voulez sortir pour aller dans le monde, vous êtes rétrograde. C’est un grand mot à prononcer pour un baptiste, n’est-ce pas? Mais je crois certainement que vous pouvez rétrograder. Nous le savons.

25        Mais les enfants d’Abraham ont la promesse. Maintenant, écoutez, Abraham n’était qu’un homme ordinaire, peut-être qu’il était issu d’une–d’une famille d’idolâtres. En effet, ils étaient originaires de Babylone, du pays de Schinear où on adorait toutes sortes de choses, des racines et autres, et on avait toutes sortes d’ismes. Ces esprits qui remontent dans la Genèse vivent encore aujourd’hui. C’est ce qui est à la base de ces cultes et autres. Si vous remontez dans la Genèse, si jamais quelqu’un a lu Les Deux Babylones d’Hislop, ou un des anciens historiens, vous verrez la nature de beaucoup de ces cultes qu’on a aujourd’hui dans le pays. Leur nature remonte là loin au début, dans la Genèse.

            Et la nature de Dieu est toujours en action aujourd’hui, juste comme les fausses choses et les vraies; observez leur nature. Alors, si vous avez la nature de l’Esprit de Dieu qui était sur Abraham, vous croirez donc les promesses de Dieu. Mais si vous n’avez pas cet Esprit-là sur vous, vous douterez donc de Dieu. Mais Abraham ne considéra point que son propre corps était déjà usé et que Sara n’était plus en état d’avoir des enfants. Il ne douta point par incrédulité au sujet de la promesse de Dieu, mais il fut fortifié, donnant gloire à Dieu. Eh bien, lorsque... Et puisque vous êtes la postérité d’Abraham, vous pensez de même. Le même genre de... vous avez la nature de votre père.

26        Suivez donc. Lorsqu’Abraham, juste... Considérons sa vie quelques instants. Le voici venir, c’est juste un homme ordinaire. Il habitait la ville de... Ur, le pays de... en plein milieu des Chaldéens; c’était juste un homme ordinaire. Mais Dieu, par prescience, connaissait le coeur d’Abraham. C’est pourquoi il a appelé Abraham.

            C’est puisque vous êtes chrétien qu’Il vous a appelé. Il vous connaissait d’avance. C’est ce que déclarent les Ecritures, Ephésiens 1-1.5: «Dieu nous a connus et nous a prédestinés avant la fondation du monde.» Il connaissait chaque esprit, Il est infini. Il connaissait qui voudrait et qui ne voudrait pas. Et s’Il vous a appelé, et que vous savez qu’Il vous a appelé, pourquoi laissez-vous le diable vous mener par le bout du nez? Tout cela vous empêche d’avoir une victoire parfaite.

            C’est ça le problème de l’église ce soir. Elle est appelée de Dieu. Je crois qu’elle l’est. Mais le diable en fait simplement une marionnette à mener par le bout du nez de lieu en lieu. Affrontez-le.

27        Jésus a donné le remède pour que le chrétien le plus faible vainque le diable. Lorsque le diable avait affronté Jésus, eh bien, ce Dernier était Dieu. «Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec Lui-même.» Et Il avait toutes les puissances de Dieu en Lui. En Lui habitait corporellement la plénitude de la Divinité.

            Alors qu’aujourd’hui les gens cherchent à s’en éloigner et en arrivent aujourd’hui à oser faire du Christ juste un philosophe ou une espèce de prophète, Il était plus qu’un prophète. S’Il était juste un prophète, nous sommes dans le péché. Il était soit Dieu, soit le plus grand séducteur que le monde ait jamais eu. Il est Dieu.

28        Il n’y a pas longtemps, une femme m’a dit, elle a dit: «Frère Branham, j’aime vous entendre prêcher, mais vous faites de Jésus Dieu.»

            J’ai dit: «Il était Dieu.»

            Elle a dit: «Je vais vous le prouver, par votre propre Bible, qu’Il n’était pas Dieu.»

            J’ai dit: «J’aimerais vous voir le faire.»

            Elle a dit: «Dans Saint Jean, chapitre 11, lorsqu’Il se dirigeait vers la tombe de Lazare, la Bible dit qu’Il pleura. Et Il ne pouvait pas être Dieu et pleurer.»

            J’ai dit: «Votre argument est plus mince que le bouillon fait à base de l’ombre d’une poule morte de faim.» J’ai dit: «Vous êtes mieux avisée que ça.» J’ai dit: «Il était un Homme lorsqu’Il se dirigeait vers la tombe de Lazare en pleurant. Mais lorsqu’Il a ramassé Son petit corps frêle et qu’Il s’est écrié: ‘Lazare, sors’, et qu’un homme mort depuis quatre jours s’est mis debout, là, c’était plus qu’un homme.»

29        Il était un Homme lorsqu’Il descendait de la montagne cette nuit-là, affamé, cherchant quelque chose à manger. C’était un Homme qui était affamé. Mais lorsqu’Il a pris cinq petits pains et deux petits poissons et qu’Il a nourri cinq mille personnes, là, c’était plus qu’un homme. C’était Dieu dans l’homme.

            Lorsqu’Il était couché sur cet oreiller, à la poupe de cette barque, cette nuit-là, alors que dix mille démons de la mer juraient de Le noyer, que cette petite vieille barque tanguait comme un bouchon de liège là, et à chaque...?... vent, le diable disait: «Je vais L’avoir au prochain saut.» C’était un Homme qui était endormi là, mais lorsqu’Il s’est réveillé et qu’Il a mis Son pied sur le bastingage de la barque, qu’Il a levé les yeux et a dit: «Silence, tais-toi», et que les vents et les vagues Lui ont obéi, là, c’était plus qu’un homme. C’était Dieu qui parlait par Son Fils. «Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec Lui-même.» C’est vrai.

            Il l’a prouvé à la croix; lorsqu’Il criait au secours, là, c’était un Homme. Mais le matin de Pâques, lorsqu’Il a brisé les sceaux et qu’Il a vaincu le diable, la mort, le séjour des morts, la tombe et qu’Il est ressuscité, Il a prouvé qu’Il était Dieu. Il n’est pas étonnant que le poète ait dit:

Vivant, Il m’aima; Mourant, Il me sauva;

Enseveli, Il emporta mes péchés au loin;

Ressuscitant, Il me justifia gratuitement pour toujours;

Un jour, Il va venir; oh! quel jour glorieux!

            Dieu était en Christ réconciliant le monde avec Lui-même.

30        Dieu a appelé Abraham, juste parce que c’était un homme en qui Il pouvait avoir confiance et qui croyait en Lui, et Il lui a fait confiance. Il lui a dit... Il l’avait appelé à l’âge de soixante-quinze ans. Et Il avait épousé sa demi-soeur Sara. Et elle avait soixante-cinq ans. Il y avait un écart de dix ans. Et Dieu a dit à Abraham qu’Il ferait de lui le père des nations. Il avait vécu avec sa femme depuis qu’elle avait environ dix-huit ans et, ici, elle en a soixante-cinq, et lui, soixante-quinze ans, environ vingt ans depuis la ménopause. Et Il a dit: «Je vais faire de toi un père des nations.»

            Comment va-t-il le faire? Que peut-il arriver? Mais Abraham ne douta point–point de cela; il crut simplement Dieu.

31        Remarquez, je peux voir ce vieux couple, je peux... sortir faire des préparatifs, Abraham allant en ville acheter les épingles, les couches, tous les chaussons et tout, s’apprêtant pour cela...

            Alors, vous vous dites enfants d’Abraham, vous qui vous résignez: «Je vais essayer à la prochaine ligne de prière. Lorsque quelqu’un d’autre passera dans la ville prêcher la guérison divine, je verrai si je peux entrer dans sa ligne.» Là, ce ne sont pas les enfants d’Abraham. Les enfants d’Abraham croient la promesse de Dieu et se tiennent là-dessus.

32        Remarquez. Que pensez-vous si un vieux couple (si cela arrivait ici à Los Angeles)... si un vieil homme de soixante-quinze ans, le dos voûté, et une vieille femme de soixante-cinq ans se rendaient chez un médecin pour dire: «Docteur, nous aimerions prendre des dispositions avec l’hôpital, nous allons avoir un enfant.» Savez-vous ce qui arriverait? On dirait: «Gardez l’oeil sur le pauvre vieil homme; il a un peu perdu la tête.» Et de tous ceux qui vivent pieusement en Jésus-Christ, on dira la même chose. Si vous êtes frappé d’un cancer ou d’une autre maladie et que vous dites: «Dieu est mon Guérisseur», ce sont là les enfants d’Abraham. Oh! ils se tiennent sur la promesse de Dieu. Dieu l’a dit, c’est réglé.

33        «Eh bien, vous êtes trop vieux. Votre femme a la ménopause depuis vingt ans, mon brave.»

            «Peu m’importe qu’elle ait la ménopause depuis cent ans, nous allons avoir cet enfant.»

            «Comment le savez-vous?»

            «Dieu l’a dit.» C’est réglé. «Dieu l’a dit.» Peu importe combien ça paraît ridicule, si Dieu l’a dit, c’est en ordre. Dieu rend cela ridicule. Toute la foi est ridicule pour l’incroyant. La foi est réelle uniquement pour Dieu et pour celui qui l’a. L’incrédulité n’arrête pas Dieu. Elle ne dérange pas les plans de Dieu; elle ne dérange pas la Parole de Dieu; elle ne La dérange pas; ça ne Lui nuit pas. Ça nuit uniquement à l’incroyant. Elle nuit uniquement à l’incroyant, pas à Dieu. Les promesses de Dieu seront parfaitement accomplies. Vous vous faites juste sauter la cervelle en cherchant à vous en éloigner. Elle n’arrête pas Dieu. Absolument pas. Sa promesse est faite. Ses Paroles sont là.

            Toute l’incrédulité que vous pourrez accumuler n’arrêtera pas cela. Essayez de vous servir de votre incrédulité pour empêcher le soleil de se lever. Essayez d’empêcher la pluie de tomber par votre incrédulité. Dieu le fera de toute façon, parce que c’est dans Son plan. C’est le programme de Dieu. Il guérira chaque malade qui prendra Sa Parole comme telle. C’est Son programme. Il l’a dit: «Je suis l’Eternel qui guérit toutes tes maladies.»

34        Maintenant, Abraham, à soixante-quinze ans, après que la promesse eut été faite, vivait avec sa femme depuis toutes ces années, depuis qu’elle avait environ dix-sept ou dix-huit ans... En effet, c’était sa demi-soeur. Ils étaient mariés toutes ces années. Et je peux les voir après le premier mois, Abraham demande: «Sara, comment te sens-tu?»

            «Pas de changement.»

            «Gloire à Dieu, nous l’aurons de toute façon. Cet enfant viendra de toutes façons.» Le deuxième mois passe: «Sara, comment te sens-tu?»

            «Pas de changement.»

            «Alléluia! Nous l’aurons de toute façon.»

            Pourquoi? Dieu l’a dit. C’est réglé. La première année passa: «Et alors, Sara?»

            «Pas de changement.»

            «Eh bien, gloire! Nous l’aurons de toute façon.»

35        Eh bien, si nous... si nous, nous ne sommes pas guéris à la toute première minute où Dieu prie... où quelqu’un prie pour nous, nous prenons la promesse: «Eh bien, vous savez, je ne sais pas si je crois dans la guérison divine ou pas.» Vous, piètre substitut d’enfant d’Abraham! C’est vrai. La postérité d’Abraham... Si vous êtes en Christ, vous êtes la postérité d’Abraham. Et vous croyez que chaque promesse que Dieu a faite est la vérité: La postérité d’Abraham. Dix ans s’écoulèrent: «Sara, comment te sens-tu?»

            «Pas de changement.»

            «Eh bien, gloire! Ce sera plus glorieux que jamais; vous avez dix ans de plus. Plus on attend, plus glorieux sera le miracle. «Gloire au Seigneur, a-t-il dit, nous l’aurons de toute façon. Garde bien les chaussons, bien cirés; garde les épingles débarrassées de toute rouille, car nous nous en servirons. Dieu l’a dit.»

            Eh bien, c’est contre nature; c’est contraire à toute éthique; c’est contraire à la–la médecine; c’est contraire à tout; mais tout... Ce n’est pas contraire à la Parole de Dieu, parce que Dieu l’a dit. C’est tout ce qui compte.

36        Vous direz: «Eh bien, Frère Branham, j’ai été à la Clinique Mayo.» Peu m’importe à combien de cliniques vous avez été. Si vous arrivez à croire que cette promesse est pour vous, elle est pour vous. Pourquoi? Dieu l’a dit: «Que celui qui veut vienne.» Elle est vôtre, votre promesse, si vous êtes des enfants d’Abraham. Croyez-le ainsi.

            Je pense que ce dont le monde pentecôtiste a besoin aujourd’hui, c’est d’un appel à l’autel. C’est vrai. Venir à Dieu et confesser que c’est vrai. Peu importe ce que la science dit et ce que quelqu’un d’autre dit, ça ne change rien si cela est contraire à la promesse de Dieu; Dieu accomplira Sa promesse. Il a dit qu’Il le ferait.

37        Abraham s’est mis à tout apprêter. Assurément: «Garde ça en état, Sara.» «Eh bien, chéri, nous avons attendu dix ans.»

            «Cela importe peu.» Vingt-cinq ans. «Comment ça a évolué, Sara? Y a-t-il un changement?»

            «Aucun changement.» Eh bien, c’est une vieille grand-mère.

            «Qu’en est-il alors?»

            «Aucun changement.»

            «Eh bien, alléluia! Nous l’aurons de toute façon. Dieu l’a dit.» C’est réglé. Dieu l’a dit. Et nous, les enfants d’Abraham, nous ne pouvons pas croire pour un mal de ventre ordinaire. Eh bien, c’est la vérité, et nous appelons notre... Excusez-moi pour cette expression, s’il vous plaît, mais nous... C’est vrai, pour un mal de dent. «Oh! la guérison divine, c’est du passé. Oh! je sais que Dieu l’a promis, mais, vous savez, c’est pour un autre jour.» Ce n’est pas pour un autre jour. Tant que Dieu a des enfants qui entrent dans le Royaume, la promesse est pour quiconque veut. Abraham était le père des nations: des Gentils, des Juifs, des Chinois, des Japonais, de qui que ça puisse être.

38        Tout celui qui est né de l’Esprit de Dieu est de Dieu, et vous y entrez par la promesse, par l’alliance que Dieu avait conclue avec Abraham, Sa promesse d’envoyer Christ. Et si vous êtes en Christ, vous faites partie de cette alliance-là. Et les promesses... Vous direz: «Je n’en suis pas digne.» Abraham non plus. Personne n’en est digne. Ça ne dépend pas de combien vous êtes digne. Ce qui compte, c’est ce que Dieu vous a promis.

            Je ne suis pas digne de me tenir ici, mais Il m’a appelé à le faire. Vous n’êtes pas digne d’être chrétien, mais Dieu en a fait de vous un. Ce temple ne mérite pas d’être érigé sur ce terrain, mais Dieu l’a érigé ici. C’est ça. Il ne s’agit pas de ce que vous êtes; il s’agit de ce que Lui est. Tout le monde se regarde toujours. Eh bien, vous ne pouvez pas vous regarder et aboutir à quelque part. Pour commencer, ça en est fini de vous. Vous êtes un échec pour commencer. Il n’y a rien en vous pour commencer. Ce qui compte, c’est ce que Dieu a fait de vous, c’est ce que vous êtes.

39        Sous l’ancienne alliance... Et si un petit mulet naissait une nuit dans un pâturage, et qu’à sa naissance, il se retourne, sa maman le regarde: il a des oreilles rabattues. Savez-vous ce que c’est un mulet aux oreilles rabattues? Pour un fermier, ce n’est pas un bon mulet. Et il louche. Et ses genoux sont cagneux. Sa queue est dressée droit en l’air. Eh bien, c’est l’animal le plus horrible que vous ayez jamais vu. Ce petit animal peut se tourner vers sa mère et dire: «Eh bien, je ne pourrais pas vivre. Absolument pas. En effet, aussitôt que le maître viendra ici, il m’assénera un coup à la tête, car je ne vaux rien.»

            C’est pratiquement pareil avec chacun de nous. Mais sa mère, si elle est bien instruite dans la Parole de Dieu, dirait: «Un instant, chéri. Non, non. Tu as le droit d’aînesse. Lorsque le maître de la maison sortira, il ira au pâturage chercher l’agneau le plus parfait qu’il a. Le souverain sacrificateur ne te verra jamais; il verra l’agneau. Il ne t’examinera pas; il examinera l’agneau, parce que toi, tu as le droit d’aînesse. C’est l’agneau qui doit mourir pour toi.»

40        Eh bien, regardez à Jésus et trouvez un quelconque défaut en Lui. Ne vous regardez pas vous-même; regardez-Le. Ne considérez pas qui vous êtes; considérez qui Il est. Alors, vous vous serez rapprochés de la guérison divine. Examinez votre sacrifice. Si vous arrivez à trouver un quelconque défaut là, eh bien, c’est–c’est différent; alors, vous avez le droit de ne pas croire. Mais Il est sans défaut en Lui, Dieu ne vous regarde pas, vous, Il regarde le Sacrifice.

            Il y eut Quelqu’Un de parfait qui mourut pour nous les coupables, nous qui sommes défigurés, immoraux, laids et tout. Mais Il a pris le Parfait et L’a examiné à fond: «Celui-ci est Mon Fils bien-aimé en qui J’ai mis Mon affection.» Il était le Sacrifice. Dieu L’a agréé. Nous sommes donc quittes. Tout ce qu’il nous faut faire, c’est marcher par la grâce.

41        Eh bien, ce petit mulet pouvait donner quelques coups de sabots, entrechoquer ces petits genoux cagneux, renifler, parcourir tout le champ, parce qu’il était libre. Il n’avait pas à mourir. Un agneau était mort pour lui. Lui est en parfaite sécurité. Il n’avait pas à craindre la mort. L’agneau était mort loin de lui... pour lui. Vous n’avez pas à craindre au sujet de ce que vous êtes, c’est ce que Lui était qui compte. C’est Lui qui était mort pour vous.

            Trouvez donc des défauts en Lui, je vous dirais alors pourquoi vous ne pouvez pas être guéri. Mais lorsque votre Sacrifice est à vos yeux sans défaut, c’est qu’Il a été agréé par Dieu. Et puisque Il agrée le Sacrifice, Il accepte votre confession dans ce Sacrifice, et vous En devenez une partie. Amen.

            Je me sens religieux maintenant; en effet, je sais que je n’avais aucune possibilité, pour commencer. Mais je ne me suis pas regardé moi-même; j’ai regardé au Sacrifice qui avait été offert pour moi. Il était parfait, et Dieu L’avait déjà agréé. Ainsi donc, tout est en ordre pour moi maintenant, lorsque je vois ce qu’Il a fait, ce qu’Il est. Ce n’est pas moi, c’est Lui. Ce n’est pas vous; c’est Lui.

42        Eh bien, Dieu a alors dit: «Abraham, pour marcher avec Moi, tu dois te séparer des autres.» Dieu exige une totale séparation. Mais vous voulez emporter avec vous beaucoup d’histoires du monde. Lorsque vous venez pour recevoir le Saint-Esprit, vous dites: «Eh bien, on m’a appris à être ceci, on m’a appris que les jours des miracles sont passés.» Vous feriez mieux d’oublier cette histoire-là. Tant que cela s’accrochera à vous, vous serez comme Abraham qui partit avec Lot et son père; il y eut des ennuis dans le camp. Dieu n’avait jamais béni Abraham tant qu’il ne s’était pas séparé et n’avait pas fait ce que Dieu lui avait ordonné. Et vous ne recevrez jamais le Saint-Esprit dans la plénitude; vous ne marcherez jamais dans l’Esprit de Dieu si vous ne vous séparez pas complètement des histoires de l’incrédulité. Séparez-vous du monde; sortez du monde.

            Je sais que vous pensez que je suis fou. Mais si je le suis, laissez-moi simplement tranquille; je suis heureux comme ça. Je préférerais être comme ceci plutôt que tel que j’étais jadis. Voyez? J’ai regardé une fois à mon Sacrifice.

43        Et puis... séparation... le monde veut ceux qui mélangent. Oh! Lorsque vous choisissez votre nouveau pasteur... Vous dites: «Nous voulons ce petit à la chevelure bouclée», vous savez, «et ce petit parfumé à outrance à la Hollywood, cette espèce», qui monte à la chaire et dit: «Aaaamen», très bien, vous savez, et–et qui vous permettra de regarder les émissions télévisées toute la nuit, le mercredi soir aussi; qui vous laissera sortir tôt afin de suivre certaines émissions télévisées que vous ne devriez pas voir, qui ne dira rien lorsque vous lirez les vieux magazines de True Story, et des souillures dans la rue; il entre dans votre bureau et trouve des photos pornographiques de jeunes filles suspendues là: «Eh bien, c’est un bon gars de toute façon, parce qu’il paye bien.»

            Dieu veut que vous vous sépariez. C’est ça le problème de l’église. On entre dans l’église, on a un petit sermon bien arrangé sur un politicien qui est sur le point de briguer un mandat, et: «J’espère que vous tous, vous voterez pour lui»; on a peur d’être bouté dehors par les diacres si jamais on disait quelque chose. Eh bien, frère, ils feraient tout aussi mieux de me bouter dehors, pour commencer. En effet, je crois dans la prédication de l’Evangile. Mettre carrément la cognée à la racine de l’arbre. Dieu veut ceux qui séparent. L’église veut ceux qui mélangent.

44        Oh! Il n’y a pas longtemps, un homme me parlait, disant: «Si notre pasteur ne prend pas un petit verre amical avec moi, nous l’excommunierons de l’église.»

            J’ai dit: «C’est une bonne chose que je ne sois pas votre pasteur.»

            Il n’est pas étonnant que nous ne puissions pas marcher avec Dieu. Il n’est pas étonnant que nous n’aboutissions nulle part. Ces choses taillent notre foi en pièces. Sortez de telle sottise! C’est de la souillure; c’est le monde. Ne touchez pas à ce qui est impur, séparez-vous.

            Si un homme dit: «Je ne crois pas dans la guérison divine. Je ne crois pas aux miracles. Je ne crois pas au baptême du Saint-Esprit.» Eloignez-vous de lui. C’est dur à dire, mais, frère, l’heure est trop avancée maintenant pour perdre du temps. Séparez-vous. Restons seul avec Dieu, comme Abraham. Nous sommes la postérité d’Abraham; manifestons-le, montrons que nous croyons en Dieu.

45        Et tant qu’Abraham s’accrochait à deux petites choses... Son papa était mort, il avait eu des ennuis avec le vieil homme jusqu’à sa mort... Et puis, lorsque Lot... en était arrivé à... eh bien, il y avait eu une dispute. C’est ça le problème des églises aujourd’hui; nous avons trop de disputes au sujet des dénominations. Vous ne vous êtes pas encore complètement séparés des choses du monde. «Eh bien, je suis membre de ceci, je suis membre de cela.» Mais nous sommes membres de Christ. Amen.

            Alors, il a dit, lorsqu’il a eu... Lot avait commencé la dispute, c’étaient ses bergers. Et regardez Abraham, le chrétien, l’homme de Dieu. Il a laissé son frère choisir le premier. Il a dit: «Regarde dans cette direction: Est, nord, ouest et sud. Si tu vas à l’est, moi, j’irai à l’ouest. Si tu vas au nord, moi, j’irai au sud. Toi, choisis bien le premier.» C’est ce qu’un homme devrait faire.

46        Et alors, lorsque Lot a levé les yeux, il s’est mis à regarder les plaines du Jourdain, il a vu qu’elles étaient bien arrosées. Il y avait là une grande ville: Sodome, Gomorrhe, beaucoup de villes, avec beaucoup de verdure; il y avait moyen de se faire quelques dollars. C’est ce qu’il a choisi.

            C’est ce que font beaucoup de Lot: quelques dollars. Lorsqu’il a regardé les plaines bien arrosées, il n’a pas vu sa femme devenir une colonne de sel. Il n’a pas vu le feu qui détruirait la ville ainsi qu’une partie de ses enfants. Il n’a pas vu les actes d’infamie que ses filles commettraient pour avoir été élevées en plein milieu de toute cette mondanité où elles avaient grandi. C’est ce que vous regardez aujourd’hui, amis. Ça dépend de ce que vous regardez, comme je l’enseignais l’autre soir. Nous regardons à l’invisible; nous regardons à la promesse de Dieu et nous considérons tout ce qui est contraire à cela comme n’existant pas. C’est ça la postérité d’Abraham.

47        Alors, Lot est parti seul, il est descendu à Hollywood, ou dans une grande ville, vous savez, où il pouvait... oh! une plus grande église où il y avait des gens un peu plus classiques, vous savez, et juste des prédicateurs un peu–un peu mieux instruits et tout, vous savez. Oh! il pensait que tout irait mieux pour lui, mais il est simplement allé là. Vous voyez?

            Il était en voie de rétrograder là même: «Eh bien, vous savez, si je ne... si je me débarrasse de la guérison divine, du baptême du Saint-Esprit, eh bien, peut-être que les–les gens de meilleure classe de l’église m’accepteront.» Il n’y a pas de meilleure classe que Jésus-Christ. C’est Lui qui a enseigné cela. Je préférerais Le choisir, Lui. Laissez aller le monde. Que toute parole d’homme soit reconnue pour mensonge, et la Sienne pour la Vérité. Choisissez-Le. C’est Lui que j’ai choisi il y a de cela trente et un ans. Je prêche l’Evangile depuis trente ans. Je ne suis pas fatigué. Je souhaiterais avoir dix mille vies à consacrer à cela, parce que je sais que c’est la Vérité. C’est vrai. Je ne me fatigue jamais, ça devient plus doux chaque jour. Il représente pour moi plus aujourd’hui qu’autrefois. En effet, je L’aime plus, je Le connais plus maintenant, par Sa grâce et Sa miséricorde envers moi.

48        Ainsi, ce que les autres disent importe peu; je dois répondre pour moi-même devant Dieu. Et vous devez répondre pour vous-même devant Dieu: Votre attitude, votre foi, non pas la foi dans votre église. Vous devriez avoir foi dans votre église. C’est bien. Vous devriez vous cramponner à votre dénomination. C’est bien. Mais placez premièrement votre foi et votre confiance en Dieu. Soyez des enfants d’Abraham, pas des enfants de l’église avant de devenir enfants d’Abraham. Et vous serez un modèle et un honneur pour votre église.

49        Lot s’en est donc allé. Et puis, quand il a fait... de faire ce genre de choix, on donne à cet homme le bénéfice de doute. Beaucoup parmi nous, les soi-disant chrétiens, nous y allons juste pour en retirer tout ce que nous pouvons. Et puis, nous nous disons enfants d’Abraham. Abraham n’a jamais agi comme cela. «Oh! Je viendrai tenir un réveil pour vous, une campagne, si vous me promettez cinq cents dollars par soirée.» Si Dieu vous appelle, allez même si vous n’obtenez rien sinon d’être bouté hors de l’église chaque soir. Vous devriez aller de toute façon.

50        Abraham a choisi les terres arides. Mais regardez. Après qu’Abraham eut complètement obéi à Dieu et se fut séparé de Lot, le Seigneur lui a alors parlé. Séparez-vous des choses du monde et voyez si Dieu ne vous parle pas. Obéissez à Dieu. Si vous croyez dans la guérison divine, acceptez-Le comme votre Guérisseur et avancez sur cette base-là. Voyez si Dieu ne vous parle pas: «Je suis l’Eternel qui guérit toutes tes maladies.»

51        Alors, lorsqu’il s’est avancé sur base de la promesse de Dieu, observez ce qui est arrivé. Dieu a dit: «Abraham.» Oh! la la! Ecoutez ça: «Abraham, regarde à l’ouest, jusqu’où peut porter ton regard, à l’est, au nord et au sud. Tout est à toi. Tout est à toi.» «Heureux les débonnaires, a dit Jésus, car ils hériteront la terre.» La postérité d’Abraham. Oh! la la!

            Et alors, «Abraham, a-t-Il dit, ne reste pas juste là à regarder cela, parcours-le; c’est à toi.» C’est pourquoi je n’arrive pas à comprendre les chrétiens; accepter Christ... Lorsque j’ai accepté Christ, je me suis mis à creuser dans la Bible pour voir ce que j’avais. Parcourez cela. Si quelqu’un me donne une maison, j’en examinerai chaque coin. J’examinerai le garde-manger, j’irai dans la cave, je monterai au grenier. Je découvrirai ce que j’ai reçu. Une fois devenu chrétien, j’aimerais savoir ce qui m’appartient, ce dont je suis héritier, ce qui m’a été donné.

52        Certains parmi vous se tiennent juste à la porte et disent: «Euh-euh, c’est vraiment beau. Quelqu’un a habité là derrière, et je parie que ça doit être une jolie place là derrière.» Hein, c’est à vous. Chaque promesse est à vous. J’aimerais savoir ce que j’ai.

            C’est comme une grande galerie marchande. Si quelqu’un m’offrait une grande galerie marchande, j’y perdrais mon temps, je regarderais chaque étagère, je verrais ce qui m’appartient, examiner cela, prendre ça, parcourir tout cela. C’est à moi. J’ai été baptisé là-dedans, je pense donc que ça m’appartient.

53        Je suis baptisé du Saint-Esprit, du même Saint-Esprit qui était sur Abraham, Il m’a fait entrer dans ce même Corps par le baptême. Je suis héritier de chaque promesse. Si quelque chose semble être à un niveau un peu plus élevé, j’irai prendre un escabeau, je monterai dessus, j’examinerai cela pour voir à quoi ça ressemble. C’est comme ça avec la guérison divine; si elle semble être un peu hors de ma portée, je me mettrai à genoux, c’est ça l’échelle de Jacob, et je monterai dans la prière jusqu’à découvrir tout ce qu’il en est, je verrai ce qui m’appartient; c’est à moi. C’est à vous. Tout cela est à vous, si vous le croyez. Vous avez été baptisé par la grâce de Dieu dans cette immense galerie marchande qui a chaque bénédiction de la rédemption. Tout ce pour quoi Jésus est mort est ici même dans le Corps de Christ. La guérison, le salut, la joie, la paix, toutes ces choses vous appartiennent; c’est à vous.

54        Que le diable dise: «Ah! ne fais pas ça; ne fais pas ça.» C’est ce vieux portier désagréable à la porte. Ne croyez pas ça. Entrez-y carrément; c’est à vous. Vous avez le mot de passe. Vous avez le titre incontestable de cet immeuble. Si la maladie s’y trouve, vous avez le titre incontestable. Qu’arriverait-il si, en retournant chez vous ce soir, vous trouviez un ennemi installé dans votre maison et que cet ennemi disait: «Eh bien, un instant, cette maison a été construite pour un être humain. Elle est tout autant à moi qu’à toi. Je suis un être humain au même titre que toi.»

            Vous irez droit au tribunal, vous prendrez votre titre incontestable et vous le lui brandirez: «Celle-ci est ma propriété; ça m’appartient.»

            «Eh bien, dirait-il, oui, mais je suis un être humain au même titre que toi.»

            S’il n’écoute pas, vous pourrez recourir à la police, et la police le déguerpirait. Lorsque vous intimez l’ordre au diable de mettre fin à sa désagréable occupation de la propriété de Dieu (Ouf! Oui), s’il ne veut pas sortir, faites simplement venir les autorités du Ciel, l’Agent de police de Dieu, le Saint-Esprit. Il le déguerpira. Oui, oui. C’est votre propriété. Chaque promesse divine de la Bible appartient à chaque chrétien.

55        Lorsque vous êtes sauvé, Dieu vous donne un carnet de chèques. Au bas de ce carnet figure le Nom de Jésus, signé sur chaque chèque. Chaque bénédiction de la rédemption vous appartient. Avez-vous peur de remplir ce chèque? Et vous êtes enfants d’Abraham? Avez-vous peur qu’Il ne reconnaisse le Nom de Jésus? «Tout ce que vous demanderez au Père en Mon Nom, Je le ferai.» C’est ça la promesse. Vous êtes les enfants d’Abraham; vous n’avez pas peur de remplir cela. La banque du Ciel reconnaîtra le Nom de Jésus pour chaque bénédiction de la rédemption, Son corps est assis à la droite de Dieu, intercédant pour ça. C’est pour cela qu’Il est mort.

56        Eh bien, Abraham était un... Assurément, il était héritier. Puis, peu après, Lot a eu des ennuis. Eh bien, nous allons terminer dans une minute. Lot a connu des ennuis. Et vous connaissez toujours des ennuis chaque fois que vous rétrogradez. Je souhaiterais que nous ayons le temps de nous attarder là-dessus. Mais il a connu des ennuis. Qu’arriva-t-il? Un ennemi vint et l’emporta.

            Eh bien, Abraham a une fois de plus joué le rôle de sauveur. Il s’est lui-même mis en garnison et a pourchassé l’ennemi qui avait emporté son pauvre frère rétrograde et corrompu.

            C’est ce que Jésus a fait. La maladie vous avait lié. Le péché vous avait lié, vous étiez pauvre, rétrograde et corrompu. Puis, Jésus vint et alla à votre recherche. Et il ramena Abr-... ramena Lot; Abraham l’a fait.

57        Observez-le à son retour. Ils ont eu un très grand jubilé, le moment de retour à la maison. Il y avait là tous les rois qui remerciaient Abraham, et après, il a rencontré un autre Roi, Melchisédek. Il était le Roi de Salem, ce qui était Jérusalem, le Roi de paix, le Roi de justice.

            Qui était ce Grand Roi? J’aimerais vous poser une question: Qui était ce grand Roi? Il n’avait pas de père. Il n’avait pas de mère. Il n’avait pas de commencement de jour ni de fin de vie. Qui était ce Roi qu’Abraham rencontra sur son chemin de retour à la maison après le massacre des rois?

            Et à vous qui ne croyez pas au fait de payer la dîme, considérez ça. Le sacerdoce lévitique avait payé des dîmes. Et la Bible dit que Lévi paya des dîmes pendant qu’il était dans les reins d’Abraham, alors que ce dernier était son arrière–arrière-grand-père. Et pendant que Lévi était dans les reins d’Abraham, lorsqu’Abraham paya la dîme à Melchisédek, la Bible impute le payement de la dîme à Lévi. Quel genre de vie devrait-on mener! Si vos enfants sont punis à cause de vos péchés, qu’en est-il de vos bénédictions?

58        Il n’est pas étonnant, comme je l’ai dit aujourd’hui, que la jeune femme des années ’20 ait enfanté une jeune fille choriste. Qu’enfantera la jeune fille choriste? Que deviendra ce monde? Il n’y a rien... il est bien mûr pour le jugement. C’est un grand tas de corruption, de péché, d’incrédulité. Il ne reste que sa destruction. Vous vous rappelez la jeune fille des années ’20, de l’époque. Regardez sa fille. Eh bien, que deviendra sa fille? Voyez? Je prêcherai l’une de ces soirées sur Semer le vent et récolter la tempête. C’est ce que les nations ont fait: Elles ont semé le vent et elles récoltent la tempête. Nous avons semé le socialisme et nous récoltons le communisme.

59        Observez Abraham. Il était là. Et il a rencontré Melchisédek, qui est le Roi de Salem, le Roi de Jérusalem, le Roi de paix, sans père, ni mère. Et remarquez, Il a béni Abraham après la bataille. A la fin de la bataille, Il a béni Abraham. Et remarquez ce qu’Il a fait: Il a apporté du vin et du pain qu’Il a donnés à Abraham. Le vin et le pain, c’est la communion. Il a pris la communion après la bataille.

            Assurément, l’un de ces jours, nous allons une fois de plus prendre la communion après la bataille. Après que nous aurons ramené les enfants perdus, les brebis perdues de la bergerie, que nous les aurons réconciliés, que la vie sera terminée, alors nous aurons une fois de plus communion avec le Melchisédek du Ciel, Christ. Il apportera du pain et du vin, et nous nous en réjouirons ensemble.

60        Encore une petite déclaration, et puis, nous formerons la ligne de prière. Remarquez, aussitôt après cela, Abraham a dit: «Voyant que je m’en vais sans enfant, il y a plusieurs années...» Maintenant, le chapitre 15 de la Genèse. Nous sommes partis du 11e au 15e chapitre. Maintenant, au chapitre 15, Abraham a dit: «Est-ce celui-ci mon héritier? Cet Eliézer de Damas, est-ce lui mon héritier?»

            Et Dieu lui a dit: «Non. Ce n’est pas lui ton héritier.» Il a dit: «Baisse ton regard sur la terre, vois combien... combien de sable il y a sur le rivage. Ensuite, lève les yeux au ciel et vois combien d’étoiles il y a au ciel; compte-les si tu le peux.» Il a dit: «Ainsi sera ta postérité.» Ta postérité... Sara avait alors quatre-vingts ans; et Abraham, quatre-vingt-dix. Mais «Tes postérités seront comme le sable du rivage ou les étoiles du ciel. Ecoute, de la poussière de la terre aux étoiles.» «Oh! a-t-il dit, je m’en vais...» Il a dit: «Comment cela se fera-t-il?»

61        Maintenant, restez un instant tranquilles, on termine. Vous les malades, vous les nécessiteux, vous qui avez un pas dedans un pas dehors, considérez cette confirmation de l’alliance. Il a dit: «Va Me prendre une génisse de trois ans.» J’espère que vous saisissez «ces trois ans.» Une génisse de trois ans, une chèvre de trois ans, un bélier de trois ans: Adam, la loi, Christ. Trois ans, trois, ce trois parfait, comme Père, Fils et Saint-Esprit (Voyez?), Dieu, dans la dispensation du Père, Dieu, le même Dieu, dans la dispensation du Fils, le même Dieu dans celle du Saint-Esprit; trois offices de Dieu: la dispensation du Père, la dispensation du Fils, la dispensation du Saint-Esprit. De trois ans.

62        Nous... Ma montre là file; j’ai... J’aimerais commencer cette ligne de prière avant que nous cessions d’être sur les ondes, pour les gens. Et je–je dois me dépêcher. Ainsi, je pourrais revenir demain soir et en prendre une partie.

63        Observez ça: la génisse, la chèvre et le bélier. Trois espèces différentes, des sacrifices purs; et une tourterelle et un jeune pigeon. Et Abraham prit ces trois animaux, il les découpa en deux, il les entassa l’un vis-à-vis de l’autre. Mais la tourterelle et le pigeon, il ne les partagea pas.

            Demain soir, le Seigneur voulant, nous verrons cela. C’est la guérison divine qui est toujours là. Les dispensations changent, mais la guérison divine n’a jamais changé. Elle repose toujours sur votre foi. Voyez? Ne découpez pas la tourterelle et le pigeon, l’offrande pour la lèpre, et autres, et la maladie. C’est pareil, ça repose sur la foi, votre propre foi.

64        Eh bien, et lorsqu’Abraham a fait cela... Alors, il a dit, quand il a fait cela, que les oiseaux de proie sont descendus et ont commencé à s’abattre sur le sacrifice, et Abraham les a chassés jusqu’au coucher du soleil. Maintenant, suivez, il y avait trois éléments: une frayeur terrible et une obscurité assaillirent Abraham. Puis, après cela, il a vu une fournaise fumante. Enfin, après cela, il a vu des flammes. Et suivez ce que cela représentait. Cette petite flamme est passée entre chacun de ces morceaux de sacrifice, confirmant l’alliance à Abraham. Il n’y avait rien qu’Abraham avait fait, mais c’est l’alliance de grâce d’Abraham, sans condition. Non pas «si tu veux, Abraham; c’est ce que J’ai fait.» Non pas «si tu fais ça, si tu fais cela; c’est ce que Moi, J’ai déjà fait»; c’est ce qu’Il accomplira en Christ, Il l’accomplit par le sacrifice. Juste un instant, je vais aborder cela.

            Premièrement, l’obscurité, c’est la mort. Chaque homme, il... «Même si je traverse la vallée de l’ombre de la mort.» Deuxièmement: une fournaise fumante, c’est l’enfer; c’est la place de chaque pécheur. Mais après cela est passée une petite lumière. Ô Dieu, grâce, grâce étonnante, éclairant le chemin, concluant une alliance. «Eh bien, direz-vous, Frère Branham, je ne vois pas l’alliance.» Très bien, la voici maintenant.

65        Avant de terminer, écoutez donc attentivement. Si vous voulez voir si c’est par la grâce ou pas. En Amérique, lorsque nous voulons conclure un accord entre nous, généralement, nous sortons prendre un petit dîner; et puis, nous concluons notre accord, nous nous tendons la main et nous nous serrons la main: «Tiens bon ici, dit-on, serre-la-moi.» Cela est une alliance. Nous nous accorderons. C’est vrai, n’est-ce pas? C’est comme ça qu’on conclut un accord à l’américaine.

            Au Japon, quand ils concluent un accord, ils prennent une petite salière et se jettent du sel l’un sur l’autre. C’est ça l’alliance au Japon, se jeter du sel. C’est comme une poignée de main.

66        Mais en Orient, du temps d’Abraham, leur façon de conclure une alliance, c’était de tuer un animal et de le découper. Et les deux hommes, les deux parties contractantes se tenaient au milieu de l’alliance, au milieu de l’animal. Ils juraient, par Dieu, suivant les termes de leur contrat, comme ça. Ils déchiraient cela. Très bien. L’un prenait un morceau et l’autre, un autre. Et ils s’engageaient au-dessus de cet animal mort, qu’au cas où l’un brisait cet engagement-là, que son corps devienne comme celui de l’animal découpé. C’est ce que Dieu faisait. C’est ce pour quoi Il faisait l’alliance.

            Alors, lorsqu’ils étaient rassemblés, lorsque cet accord avait été exécuté, chaque morceau de ce papier devait concorder bien parfaitement avec l’autre, ça devait reconstituer parfaitement le même... ça devait être le même morceau de papier qui avait été déchiré.

67        Eh bien, voici une alliance entre Dieu et l’Eglise. Il montrait là ce qu’Il ferait avec Christ. Il a amené Christ au Calvaire. Et là au Calvaire, alors que la terre était une fois de plus dans les ténèbres, que l’éclair jaillissait et que les tonnerres grondaient, Dieu prit le corps de Christ et le déchira (l’alliance, la postérité d’Abraham, le glorieux Fils d’Abraham), Il le déchira en deux, Il en retira l’Esprit, Il L’emporta, Il envoya l’Esprit en enfer porter nos péchés. [Espace vide sur la bande–N.D.E.]... corps, le troisième jour, Il Le ressuscita, Il Le fit asseoir à la droite de Dieu, et Il envoya l’autre morceau de l’alliance, le Saint-Esprit qui était en Christ, Il L’envoya sur l’Eglise. Alléluia! C’est ça. Ce même Esprit qui est en Christ doit être dans Son Eglise. Le même Saint-Esprit qui habitait en Christ habite en nous. Et lorsque l’Enlèvement aura lieu, ces deux morceaux doivent s’unir et former la même Eglise pour laquelle Christ est mort.

68        Toutes vos dénominations n’aboutiront pas à ça! [Frère Branham claque les doigts.–N.D.E.] Vos petites divergences, vos ismes et autres du genre baptêmes face en avant, face en arrière, face en haut, n’importe comment que vous voulez vous y prendre, ça n’aboutira à rien. C’est l’Esprit du Dieu vivant qui est dans l’Eglise qui donne à cette dernière la foi qu’Abraham avait: appeler les choses qui ne sont point comme si elles étaient, si Dieu l’a dit. Voilà l’alliance que Dieu a conclue: Il a partagé Christ, Il a pris Son corps, Il l’a mis à Sa droite, Il a envoyé l’autre partie de Christ, le Saint-Esprit, en bas sur la terre pour baptiser l’Eglise avec la même foi, lui donner la même foi qu’Il avait, les mêmes oeuvres qu’Il avait accomplies: «Vous ferez aussi les mêmes oeuvres que Je fais.»

69        Comment pouvez-vous être aveugles pour ne pas voir cela? «Les oeuvres que... Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus (l’Esprit parlant en Lui), mais vous, vous Me verrez, car Je (pronom personnel), Je serai avec vous, même en vous, jusqu’à la fin du monde», non pas juste pour les apôtres, jusqu’à la fin du monde. «Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais. Vous en ferez davantage, car Je m’en vais au Père.» Et donc, le Saint-Esprit n’était pas seulement dans une seule Personne; Il est dans toute l’Eglise universelle, accomplissant les mêmes oeuvres que Jésus avait accomplies. Alléluia!

            Je demande au monde de croire cela. Et vous verrez un réveil éclater dans ce pays. Vous verrez la guérison divine et la puissance du Dieu Tout-Puissant. Il est ici maintenant.

70        Jésus se tenait là ce jour-là et on Lui amena l’apôtre Pierre. Il connaissait qui il était, Il lui a dit son nom, Il lui a dit d’où il venait. Il est allé accomplir ce qu’Il faisait... Il a regardé dans l’assistance une femme qui avait touché Son vêtement, Il lui a parlé de sa perte de sang, disant: «Ta foi t’a sauvée.» «Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais.»

            Il imposait les mains à ceux qui n’avaient pas de foi, dans Sa propre ville où les gens n’arrivaient pas à croire. Il leur a imposé les mains, et ils furent tout de même guéris. Même en plein milieu de l’incrédulité, Dieu a promis de faire toujours cela. Son Esprit vit. Il est le même Jésus hier, aujourd’hui et éternellement. Ce même Esprit...

71        Ecoutez ça. Comme je l’ai prêché ici l’autre soir: «Au commencement, il n’en était pas ainsi.» Jésus a dit: «Je suis le Cep, vous êtes les sarments.» Et si le premier sarment sorti de ce Cep a été un sarment de la Pentecôte, le deuxième devra être un sarment de la Pentecôte.

            Si le premier sarment a écrit le Livre des Actes, le deuxième sarment vivra de telle manière qu’un Livre des Actes pourra être écrit. La même Vie qui était dans le premier sarment du Cep, le Cep, en grandissant, produit chaque fois le même genre de sarment. L’Esprit de Christ est dans l’Eglise. Les enfants d’Abraham diront que la promesse de Dieu est la vérité.

            Si vous ne croyez pas cela, je ne pense pas qu’il y ait de l’espoir pour vous. A l’intérieur et à l’extérieur, l’Esprit de Dieu est ici. Je crois cela aussi solennellement que–que je crois qu’il y a... que nous sommes des êtres humains. Croyez-vous cela? Les enfants d’Abraham.

72        Vous, dans l’assistance, qui n’avez pas de cartes de prière, qui êtes les enfants d’Abraham, je confesse que l’Ange du Seigneur était venu me donner un don. Avant de commencer cette ligne de prière (car nous allons juste prier pour ceux qui ont des cartes), vous qui n’avez pas de cartes, regardez dans cette direction et dites: «Jésus, est-ce la vérité? Si c’est la vérité, parle-moi. Amène cet homme à se retourner et à me parler de ma maladie comme Tu l’avais fait avec la femme qui avait touché Son vêtement.» Car la Bible dit qu’Il est le Souverain Sacrificateur maintenant même (l’autre partie de l’alliance, assise à la droite de Dieu), le Souverain Sacrificateur qui peut être touché par les sentiments de nos infirmités. Et Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Regarde et vis. Croyez-vous cela? Cela vous fera-t-il croire? Alors, quelque part dans cette direction, croyez cela.

73        Je me confie en Dieu. Et, Seigneur Dieu, Tu connais mon–mon objectif. Tu connais mon motif. Et je Te prie d’accorder quelque chose afin que les gens, avant d’entrer dans cette ligne de prière, voient que je leur ai dit la vérité. Au mieux de ma connaissance, j’ai fait selon la Parole de Dieu.

            Maintenant, rends cela réel, Seigneur. Il s’agit de Ton Fils, Jésus. Cet Esprit qui était sur Lui, qui a été séparé de Son corps au jour de–de la crucifixion, a été renvoyé et Il est ici depuis la Pentecôte pour amener l’Eglise à accomplir la même oeuvre. Le même Esprit dans un autre corps fera les mêmes oeuvres qu’Il avait faites dans le premier corps. Certainement. Seigneur, nous croyons en Toi. Qu’il en soit ainsi, au Nom de Jésus.

74        Combien parmi vous sont malades et n’ont pas de cartes de prière? Levez la main, dans cette direction.

            Il y a un homme assis là derrière, au bout, avec sa main levée. Je ne vous connais pas, monsieur, n’est-ce pas? Dieu vous connaît, est-ce vrai? Croyez-vous que Dieu peut me révéler votre maladie? Me croirez-vous? Alors, cette prostatite vous quittera. Croyez-vous que Dieu vous guérira? Très bien, levez la main, si vous croyez. Très bien, rentrez chez vous, rétabli.

75        Il y a une autre personne quelque part là, dans cette direction, qui avait levé la main, là. Cette dame? Croyez-vous que Dieu guérira ce cancer et vous en débarrassera? Vous n’avez pas de carte de prière, mais vous souffrez du cancer. Est-ce vrai? Je ne vous connais pas, je ne vous ai jamais vue de ma vie. Si c’est vrai, levez la main. Très bien, rentrez maintenant chez vous, rétablie. Qu’a-t-elle touché? Elle a touché ce Souverain Sacrificateur qui peut être touché par les sentiments de nos infirmités.

76        Vous assis là au fond, au fond dans l’assistance. Il y a un petit garçon... un petit enfant assis là au fond, qui souffre des yeux; il va subir une intervention chirurgicale. Lève-toi, petit ami. Au Nom du Seigneur Jésus, soulevez-le, mère, et donnez gloire au Seigneur, croyez que Dieu le rétablira et il sera guéri. Cet enfant était couché là par terre, mais cependant, l’Ange du Seigneur révèle cela. Voilà cet enfant là maintenant. Alléluia! Je ne connais pas ces gens. Vous n’avez pas de carte de prière. Exact. Dieu est ici pour guérir. Croyez-vous cela? Amen. Si tu peux croire...

77        Ici même, assis ici même, vous souffrez de reins. Cet homme est inconnu, il souffre très atrocement de reins, surtout. Les médecins vous ont abandonné; il n’y a pas d’espoir, est-ce vrai? Si c’est vrai, levez la main. Avez-vous une carte de prière? Non. Croyez-vous que Dieu vous connaît? Croyez-vous qu’Il peut me dire autre chose à votre sujet? Vous n’êtes pas de cette ville-ci. Vous venez de Bakersfield. Si c’est vrai, faites signe de la main comme ceci. Très bien, c’est bien. Rentrez chez vous, rétabli. Les médecins sont en erreur. Si vous pouvez appeler ces choses qui sont comme si elles n’étaient pas, croire en Dieu, alors Dieu s’en occupera.

            Qu’est-ce? C’est l’autre partie de l’alliance, le Saint-Esprit qui était sur Jésus, Il est ici dans l’Eglise. Amen. Croyez-vous cela?

78        Combien parmi vous ont donc des cartes de prière? Il n’y aura pas de discernement. Je suis fatigué. Je prêche toute la journée, ici et ailleurs. Je voulais seulement vous faire savoir que le Saint-Esprit est ici. Combien ont des cartes de prière? Levez la main.

            Maintenant, calmement, formez une ligne de prière ici même et préparez-vous à y entrer pour la prière pendant que nous prions. Les autres parmi vous... Tous ceux qui ont les cartes de prière, avec respect, mettez-vous le long du mur. Que les huissiers aillent là les aider, et nous aimerions nous occuper de chaque carte de prière que nous avons.

            Si vous ne croyez pas, n’entrez pas dans la ligne. Si vous avez des péchés non confessés, n’entrez pas dans la ligne avant de les confesser et d’arranger cela, parce que vous ne ferez que vous faire du mal. Les cartes de prière série L et série K; le jeune homme dit que c’est ça qui a été encore distribué. Nous aimerions que vous tous, vous vous mettiez là en ligne, et nous nous mettrons bien à prier pour les malades.

79        Maintenant, à vous qui suivez à la radio, ceci peut vous sembler très étrange. Mais... Des fois, je–j’aime m’y prendre à la manière des enfants avec les gens, mais il arrive un temps, et c’est maintenant, où ils doivent savoir ce qu’est la vérité. Les gens oublient qui ils sont. Vous n’êtes pas juste un homme ordinaire. Vous êtes un chrétien. Vous êtes des fils et des filles de Dieu par la grâce de Dieu.

            Pourquoi devriez-vous être dans l’état où vous êtes? Pourquoi devriez-vous douter et avoir des déceptions?

80        Dites donc, cette dame-là avec le fauteuil roulant, celle que vous poussez, vous n’avez pas à l’amener là. Amenez-la ici même et je descendrai prier pour elle. Assurément, tous ces gens qui ont les fauteuils roulants ou quelque chose du genre. N’importe quand que vous aimeriez qu’on prie pour vous, eh bien, faites-le simplement savoir. Si vous avez une carte, ou si vous n’en avez pas, vous dans les fauteuils roulants, restez simplement tranquilles; je descendrai prier pour vous. Ça ne me dérange pas.

            C’est juste une proposition, si vous pouvez... Ce n’est pas moi qui guéris les gens; je ne fais que prier pour eux. Combien comprennent cela? Je ne fais que prier pour eux. Je n’ai pas de dons de guérir les gens. J’ai seulement été commissionné de prier pour les gens. C’est un... Et Dieu a honoré cela. La raison pour laquelle je pense qu’Il a fait cela, c’est que je suis sincère avec vous. Je ne viens pas pour l’argent. Je ne viens pas pour la réputation. J’évite toutes ces choses. Je viens pour être votre frère, pour vous parler des bénédictions de la rédemption que Jésus-Christ a acquises pour vous. Cela est à vous.

81        Maintenant, vous qui suivez à la radio... En effet, je... peut-être qu’on va d’ici peu arrêter la retransmission radiophonique, j’aimerais prier pour vous là, à la radio, pendant qu’on apprête la ligne de prière.

            Maintenant, vous qui êtes dans des hôpitaux, il y a des centaines de gens ici ce soir. Et ce sont des chrétiens et des croyants. Et ils–ils sont oints de l’Esprit. Et cette grande partie du Corps de Christ va prier pour vous qui suivez là à la radio. Peu importe ce qui cloche en vous, acceptez simplement Christ maintenant comme votre Guérisseur pendant que nous prions. Et après, écrivez à Angelus Temple et dites à docteur Rolph McPherson, ou–ou docteur Duffield, ou écrivez simplement à Angelus Temple et dites-leur ce que Dieu a fait pour vous.

82        Et si vous êtes un pécheur, acceptez Jésus maintenant comme votre Sauveur personnel. Si vous n’êtes pas né de nouveau, que vous n’avez pas reçu le Saint-Esprit, et que vous avez besoin d’une quelconque assistance de ce genre, venez ici au temple. Eh bien, il y a ici des gens qui vivent dans ce temple depuis trente ans, ils instruisent les gens et ils savent quoi faire. Comment... Et ils vont... C’est l’un des... (Je dis cela sans qu’on m’ait demandé de le dire), mais c’est l’un des groupes de meilleures personnes, de braves travailleurs chrétiens, sincères, droits, de vrais hommes de Dieu.

            J’ai voyagé à travers le monde et jamais je n’ai vu des gens aussi gentils que ceux que j’ai rencontrés ici même dans cet Angelus Temple. Je vous recommanderai certainement cela, si vous voulez venir ici. Vous ne serez pas embrouillés par du fanatisme. Vous aurez une église évangélique solide qui croit la Vérité, qui prend position pour la Vérité. Nous vous invitons donc ici et nous serons contents de vous aider.

83        Maintenant, si vous êtes malade et affligé, vous qui suivez à la radio, inclinez maintenant la tête pendant que nous prions. Et toute cette assistance, inclinez la tête; priez pour les gens. Il y a des centaines et des centaines de gens ici ce soir, vous qui suivez à la radio, qui prient pour vous. Dieu exaucera certainement la prière.

84        Ô Seigneur, peut-être que nous sommes un peu excités ou un peu émus quand il nous arrive de penser aux bonnes choses de Dieu. Et combien nous sommes sûrs d’avoir hérité cela parce que Christ nous l’a donné. Et nous avons le témoignage de Son Esprit dans nos coeurs et les fruits de notre vie, que nous aimons les frères, que nous sommes passés de la mort à la Vie. Et nous savons qu’un jour, quand cette vie sur terre sera terminée, nous irons rester avec Lui. C’est le désir de notre coeur: Le voir, et contempler Celui que nous n’avons pas encore vu, mais dont nous avons vu la Présence par Son Esprit qui se meut, agit, fait des oeuvres qu’Il faisait lorsqu’Il était ici sur terre. Seigneur, regarde là où vont ces ondes radiophoniques maintenant, ces ondes d’éther. Nous Te prions, Seigneur, d’entrer dans des maisons, d’aller dans des hôpitaux, auprès de ceux qui sont cloués aux lits, auprès des boiteux, dans des asiles de fous et dans des hôpitaux psychiatriques où les psychiatres ont tellement traité qu’ils ont besoin de traitement. Seigneur, sois miséricordieux envers ce monde nerveux et névrosé.

85        Et je prie que Ton Esprit se meuve là et guérisse tout le monde. Accorde-le, Seigneur. Puisqu’ils n’ont pas pu être ici, qu’ils sachent que Toi, Tu es là. Tu es entré dans le ventre d’un gros poisson pour un homme; dans la fournaise ardente pour un autre; Tu es allé dans des régions des morts, et Tu as ressuscité quelqu’un qui était mort depuis quatre jours. Tu es Dieu, et l’heure vient où tous ceux qui sont dans la tombe entendront la Voix du Fils de Dieu et ressusciteront.

            Seigneur, qu’ils sachent maintenant que Tu les aimes et que Tu vas les guérir. Reçois mon humble cri pour eux, ma sympathie pour eux. Et, par la foi, je place le Sang de Jésus-Christ, le Fils de Dieu, entre chaque personne et sa maladie, et je demande au Nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu, que les maladies et les afflictions quittent ces gens. Amen.

86        Que le Seigneur vous bénisse. Et vous qui suivez à la radio, écrivez donc votre témoignage, informez-nous de votre guérison. En effet, la Bible dit: «Ils l’ont vaincu par leur témoignage et le Sang de l’Agneau.» Que le Seigneur vous bénisse richement donc. Et nous espérons vous voir demain soir, si vous pouvez venir au temple. Nous continuerons avec la vie d’Abraham, jusque vendredi soir. Que le Seigneur vous bénisse.

            Très bien. Maintenant, nous allons commencer la ligne de prière ici au temple, et j’aimerais que chaque personne ici présente, qui promet de prier pour ces personnes malades, lève la main. Maintenant, comment Dieu peut-Il les rejeter? Il ne peut simplement pas le faire. Des centaines et des centaines d’enfants consacrés!Combien à la radio ou dans l’assistance visible ici présente (On a arrêté la retransmission radiophonique), mais combien ici sont nés de nouveau? Levez la main. Comment Dieu peut-Il rejeter cela? Il ne le peut pas.

87        Maintenant, j’aimerais que tout le monde incline la tête et prie avec moi pendant que je prie pour ces gens. Très bien, venez, soeur. Eternel Dieu, envoie Tes bénédictions, l’amour et la puissance guérissante sur notre soeur pour sa guérison. Au Nom de Jésus. Amen. Maintenant, allez en vous réjouissant comme fille d’Abraham. Seigneur, au Nom de Jésus-Christ, en tant que postérité d’Abraham, par Jésus-Christ, j’impose les mains à notre soeur pour sa guérison. Amen. Seigneur, j’impose la main à mon frère, alors que je confesse être le... dans l’alliance avec Christ, en tant que postérité d’Abraham, je demande que sa guérison s’opère au Nom de Jésus. Amen. Maintenant, mettez-vous simplement à vous réjouir alors que vous quittez l’estrade. Agissez comme les enfants d’Abraham. Seigneur, au Nom de Jésus-Christ, guéris notre soeur que voici. Amen. Père divin, au Nom de Jésus-Christ, guéris notre soeur que voici. Etes-vous...?... vous l’assistance là, voyez?

88        Frère Gordon Lindsay, nous sommes honoré de l’avoir; frère Callpepper aussi, je pense, assis là ce soir. Frère Lindsay m’a une fois demandé: «Frère Branham, ayez le discernement juste pour une ou deux personnes, laissez ensuite passer les autres.» Je ne pouvais pas alors faire cela. Mon nouveau ministère permet que cela ait lieu. Voyez? Mais... si vous n’arrêtez pas de parler avec les gens... Et c’est juste ça qui me tue. Voyez?Je cherche à en prendre ici dans l’assistance, ceux qui–qui n’ont pas de cartes de prière, quelqu’un qui–qui n’est pas... qui n’a pas de carte de prière. Ainsi donc, on va par conséquent prier pour ceux-ci et non pour ceux-là. Voyez? Juste afin que vous voyiez...

89        Maintenant, comme cette femme-ci. Je sais ce qui cloche chez elle. Croyez-vous cela? Laissez-moi vous montrer quelque chose. Cette femme souffre de nervosité, n’est-ce pas vrai? Si c’est vrai, levez la main. Voyez? Il n’y a personne parmi vous qui passe ici, sans qu’Il–Il me le montre. Mais juste, je... Si je commence à m’arrêter pour ces visions, alors cela va m’emporter. Voyez? Et puis, je ne peux pas les prendre eux tous.

90        Mais ne passez pas par ici en disant [Frère Branham illustre en parlant avec découragement.–N.D.E.]: «Je suis fils d’Abraham.» Passez en disant: «Je ne passe pas à côté de William Branham, je ne passe pas à côté de ces prédicateurs, je passe à côté de la croix avec une promesse: ‘Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru.’» C’est ce que Jésus-Christ a dit. Aussitôt que vous passez par ici, ça s’accomplit. «Merci, Seigneur.» Amen. «Merci, Seigneur!» Demain: «Merci, Seigneur!» Le jour suivant: «Merci, Seigneur!» Le jour après: «Merci, Seigneur!» Dans un an: «Merci, Seigneur!» C’est ça. Que Dieu vous bénisse, soeur. Allez et soyez guérie au Nom de Jésus-Christ.

91        Seigneur, au Nom de Jésus-Christ, guéris notre soeur. Croyez cela.

            Soeur, écoutez ça. Croyez-vous que ce mal de dos vous a quittée pendant que vous vous teniez là dans cette ligne de prière? Si vous croyez, poursuivez votre chemin en vous réjouissant, disant: «Merci.» Très bien.

            Venez, soeur, croyez. Vous ne serez jamais estropiée si vous croyez en Jésus. Croyez-vous qu’Il vous guérira de l’arthrite? Au Nom de Jésus-Christ, allez et soyez guérie. Amen.

            Venez. Voici une femme qui vient, couverte d’une ombre. Elle se meurt; cette femme a le cancer. C’est vrai, n’est-ce pas, madame? Voyez? C’est ce que vous aviez. Vous n’en avez plus maintenant. Mettez-vous simplement à vous réjouir, disant: «Merci, Seigneur!» Ô Seigneur Dieu, au Nom de Jésus-Christ. Amen.

            Ecoutez, amis, lorsque le... lorsqu’il passera par ici, je crois ça. Je ne sais pas si vous croyez ou pas. Ce diable ne peut pas résister pendant que vous passez avec ce genre de foi. Et s’il quitte, continuez à vous réjouir. Gardez-le loin de vous.

92        [Frère Branham prie pour ceux qui sont dans la ligne de prière.–N.D.E.] Au Nom de Jésus-Christ, qu’il en soit ainsi, Seigneur. Accorde-le, Seigneur.

            Ô Seigneur Dieu, accorde la guérison de cet homme au Nom de Jésus-Christ. «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru. Ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris.» Seigneur, je le fais au Nom de Jésus. Amen.

            J’impose les mains à cet enfant et à la mère au Nom de Jésus.

            J’impose les mains à la soeur, au Nom de Jésus-Christ: «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru.»

            Au Nom de Jésus-Christ, qu’ils soient guéris, Seigneur. Amen. Au Nom du Seigneur Jésus-Christ, qu’ils soient guéris, Père.

            Que Dieu bénisse cette petite fille et qu’Il la guérisse, Père, au Nom de Jésus.

            Que Dieu bénisse cette femme et la guérisse au Nom de Jésus. Venez, soeur. Au Nom de Jésus-Christ, qu’ils soient guéris. Accorde-le, Père, pour Ta gloire. Amen.

93        Vous souvenez-vous de la jeune fille de couleur qui a quitté l’estrade ici l’autre soir? Elle n’avait point saisi cela jusqu’à ce qu’elle est arrivée là même; alors, le Saint-Esprit est revenu, l’a rappelée et lui a dit... Vous rappelez-vous tout ce que c’était? La jeune fille était absolument et parfaitement guérie là même où elle se tenait.

94        Croyez-vous? Alors, cette maladie de coeur ne vous tuera pas. Allez en vous réjouissant, disant: «Merci, Seigneur Jésus.» Amen. Venez.

            Au Nom du Seigneur Jésus, que cette femme soit guérie. Amen.

            Venez, soeur. Seigneur Dieu, nous imposons les mains à cette femme pendant que cette grande église est en prière, au Nom de Jésus-Christ, pour sa guérison.

            Père divin, nous imposons les mains à notre frère, au Nom de Jésus-Christ. Amen.

            Père divin, nous embrassons ce petit garçon au Nom de Jésus. Qu’il soit guéri.

            Ô Dieu, nous réclamons la guérison de notre soeur au Nom de Jésus-Christ. Amen.

            Père divin, nous prions pour la requête de cette femme concernant son père, au Nom de Jésus-Christ. Amen.

            Seigneur, nous prions pour notre soeur, au Nom de Jésus-Christ. Amen. Père divin, nous prions pour notre soeur. Au Nom de Jésus-Christ, qu’elle soit guérie.

            Dieu Tout-Puissant, au Nom de Jésus-Christ, que notre soeur soit guérie.

95        Seigneur Dieu, nous Te prions maintenant de T’occuper de la maladie de cette femme et de la guérir alors qu’elle passe, au Nom de Jésus. Croyez-vous cela? Vous avez toujours peur que cela vous rende estropiée. Vous voyez? L’arthrite. C’est ce que vous craigniez, que vous ayez à marcher avec un bâton dans la rue, mais vous n’aurez donc pas à le faire; réjouissez-vous donc simplement. Vous êtes une fille d’Abraham, croyez cela. Très bien. Croyez-vous, soeur? Croyez-vous que vous pouvez aller maintenant manger? Croyez-vous que la gastrite est terminée? Très bien, allez de l’avant. C’est bien. Et que Dieu vous bénisse. Amen.

96        Venez, soeur. Ô Seigneur, je Te prie de guérir notre soeur. Accorde-le, au Nom de Jésus.

            Venez. Ô Père divin, nous Te prions de guérir notre frère et de le rétablir, au Nom de Jésus. Amen. Amen.

            Seigneur, nous Te prions de guérir notre frère que voici, au Nom de Jésus.

            Vous là au fond, qui priez pour ce prédicateur qui souffre du cancer, ne vous en faites pas, tout ira bien pour lui.

            Au Nom du Seigneur Jésus-Christ, je Te prie de guérir cette personne, au Nom de Jésus. Amen.

            Seigneur Dieu, je Te prie de guérir notre frère et de le rétablir, au Nom de Jésus, nous prions, Seigneur.

            Venez. Seigneur, guéris-la; ôte ce mal de dos et guéris-la, au Nom de Jésus, nous prions.

            Venez. Ô Père divin, je Te prie de guérir notre soeur. Au Nom de Jésus-Christ, je lui impose les mains.

            Très bien. Seigneur, je Te prie de la guérir et de lui restituer ce dont Satan l’a privé, au Nom de Jésus. Amen.

            Venez, frère. Ô Seigneur, je Te prie de guérir ce petit homme estropié et puisse-t-il être rétabli au Nom de Jésus-Christ. Amen. Que Dieu vous bénisse, frère.

            Seigneur Dieu, je prie pour notre soeur au Nom de Jésus-Christ, qu’elle soit rétablie. Amen.

97        Si elle ne le peut pas, que cet homme aille carrément juste là s’asseoir sur la civière, je le ferai venir... Je viendrai prier pour lui, soeur. Passez devant; soeur bien-aimée.

            Très bien. Vous qui êtes sur des civières et des brancards, pendant qu’on attend la ligne de prière, je vais descendre prier pour vous maintenant.

            [Frère Branham va dans l’assistance prier pour ceux qui sont sur les civières et des brancards.–N.D.E.]

98        Ô Seigneur Dieu, accorde que cet homme marche, qu’il jette cette canne par terre et s’en aille en se réjouissant au Nom de Jésus.

            Ô Seigneur Dieu, je Te prie de guérir cette petite femme et de la rétablir. Au Nom de Jésus-Christ. Accorde-le, Seigneur.

            Venez, soeur. Croyez en Dieu, la maladie du coeur quittera et vous serez rétablie, au Nom de Jésus. Accorde-le, Seigneur.

            Que Dieu vous bénisse, soeur. L’arthrite vous quittera si vous le croyez. Au Nom de Jésus-Christ, qu’il en soit ainsi.

            Venez, ma soeur bien-aimée. Au Nom du Seigneur Jésus, je lui impose les mains et je réclame sa guérison.

99        Venez donc. Venez, soeur. Avez-vous peur de mourir? [La soeur dit: «Non, je n’en ai pas peur.»–N.D.E.]Mais il n’y a que votre coeur qui vous dérange. Seigneur Dieu, je Te prie de la guérir au Nom de Jésus. Amen.

            Venez, soeur bien-aimée. Au Nom de Jésus-Christ, qu’elle soit guérie. Amen.

            Venez, mon frère. Seigneur Dieu, au Nom de Jésus-Christ, que mon frère soit rétabli pour Ta gloire. Amen. Accorde-le, Seigneur.

            Très bien, venez, soeur. Ça fait longtemps que ces nerfs vous dérangent. Cela vous met dans tous les états. Vous croyez maintenant. Seigneur Dieu, que cette crise la quitte ce soir, au Nom de Jésus-Christ. Qu’elle s’en aille, rétablie.

100      Venez, soeur bien-aimée. Ça fait longtemps que vous êtes estropiée, mais croyez maintenant. Au Nom de Jésus, qu’Il vous guérisse. Amen. Que Dieu bénisse cette femme et la guérisse au Nom du Seigneur Jésus. Amen.

            Venez, soeur bien-aimée. Au Nom de Jésus-Christ, qu’elle soit rétablie.

            Au Nom de Christ, je Te prie de guérir cette femme pendant que cette grande église est en train de prier, au Nom de Jésus-Christ.

            Au Nom de Jésus-Christ, guéris ce petit garçon, Seigneur, et rétablis-le.

            Au Nom du Seigneur Jésus, je Te prie de guérir cette femme.

            Seigneur Dieu, je Te prie de guérir cette soeur, au Nom de Jésus-Christ. Amen.

            Voudriez-vous aller manger? Allez de l’avant, prenez donc votre souper, au Nom de Jésus-Christ. Amen. C’est ce que vous vouliez que je vous dise. C’est ça. Allez manger.

101      Maintenant, au Nom de Jésus-Christ, qu’elle soit guérie. Seigneur Dieu, je Te prie de guérir cette femme au Nom de Jésus. Que Dieu bénisse cette jeune dame et la guérisse, au Nom de Jésus. Guéris cette jeune soeur, Seigneur, au Nom de Jésus.

            Je prie pour cette femme. Je Te prie de la guérir ainsi que ses bien-aimés, Seigneur. Rétablis-les, au Nom de Jésus. Amen.

            Que Dieu bénisse notre frère et le guérisse, au Nom de Jésus.

            Que le Seigneur bénisse notre soeur et la guérisse...?... au Nom de Jésus le Divin. Amen.

102      Alléluia! Alléluia! Gloire au Seigneur Dieu. Lui qui... «Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement.» Sa puissance omnipotente est ici, Son omniprésence. Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Qui veut Le recevoir et croire à sa guérison? Combien parmi vous les enfants d’Abraham croient en Lui? Levez-vous. Amen. Levez-vous. Je déclare: «Au Nom de Jésus-Christ, recevez votre guérison.» Levez les mains vers Lui, vous les étoiles du matin, vous fils et filles d’Abraham. Appelez tout ce qui est contraire comme n’existant pas. Jésus-Christ vous rétablit. Levez les mains, louez-Le et rendez-Lui gloire, vous tous, pour Sa Présence.

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