Ecoutez-Le

Date: 59-0424E | La durée est de: 1 heure et 46 minutes | La traduction: Shp
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1          Tous mes remerciements, frères. C’est gentil. Avec ça, je suis vraiment le bienvenu et je suis très content. Je ne sais quel accueil je pourrais avoir de votre part qui soit plus chaleureux que celui que vous m’avez réservé cette semaine depuis que je suis ici. Ça a été très agréable de faire connaissance avec tout le monde et–et je n’ai pas eu l’occasion de–de rencontrer beaucoup de frères, et c’était juste un de temps à autre. Ainsi donc, ce soir, je me suis précipité là dans la ligne pour serrer la main à tout le monde.

            (Dites donc, entre parenthèses, venez ici, Frère Clibborn.) Becky, ma fillette là derrière, voici frère Booth-Clibborn, mon vieux copain, le compositeur du célèbre cantique: Descendu de Sa Gloire. Je l’ai chanté partout. Et je pense qu’à ma mort, si je suis toujours... je ne suis plus en vie à la Venue de Jésus, j’aimerais qu’on chante Descendu de Sa Gloire pour Lui. Becky, voici frère Booth-Clibborn, le compositeur de la chanson. Ma fillette, Becky, apprend le piano, et la première chanson qu’elle avait apprise, c’était Descendu de Sa Gloire. Que Dieu vous bénisse, Frère Booth. Beaucoup de bonnes choses à vous. Que Dieu soit avec vous.

2          Dites donc, à propos, frère Booth a dit quelque chose et il a écrit en rapport avec, peut-être, certains de ses amis ici, que cette semaine, à peu près, nous allons avoir un... un long service d’une semaine. Eh bien, la raison pour laquelle frère Booth devait prendre les réunions de l’après-midi, voyez, c’est qu’il nous fallait écourter cela, juste trois jours. Ainsi donc, j’ai dû prendre cela moi-même. Et je... Vous ne savez quel sentiment j’éprouvais à l’idée que je devais prendre la place d’un prédicateur qui peut prêcher dans sept différentes langues, le grec et l’hébreu, moi qui ne connais pas bien l’anglais. C’était vraiment une baisse de niveau.

            Mon vieux parler du Kentucky avec le his, le hain’t, le tote, le fetch, le carry, ça ne sonne pas comme l’un de ces membres du clergé. Ainsi... Mais docteur Lee Vayle, l’un de mes associés, je... il veut que frère Booth vienne, l’une ou l’autre chose au sujet de se retrouver; j’aimerais qu’il prenne son adresse concernant son enseignement en grec. Je me suis dit: «Un homme qui enseigne en grec, tandis que moi, je n’arrive pas à enseigner en anglais!» Ainsi... Mais, vous savez, que celui à qui l’on enseigne tous ses biens fasse part avec celui qui est... Comment est-ce? Il y a quelque chose là en rapport avec un passage des Ecritures donc.

3          Et nous sommes très contents d’avoir notre communion ici ensemble, et les bénédictions de Dieu sur tous. Et celui-ci a été l’un des groupes de collaborateurs les plus braves avec lesquels j’aie jamais tenu des services. Et je pense que c’est le commencement de quelque chose de loin plus grand que ce que nous avons ici maintenant, quand les hommes veulent se rassembler, et peu importe leur doctrine, ils laissent simplement tomber les barrières et communient les uns avec les autres. Il n’y a qu’un seul Dieu, et c’est ce Dieu que nous adorons. C’est tout. Et si nous allions tous en Indiana ce matin à quatre heures, avec moi, certains pourraient y aller à bord d’une Chevrolet, et moi, j’irais à bord d’une Ford, et quelqu’un d’autre à bord d’une Buick, et l’autre... Tant que nous atteignons la Géorgie, l’Indiana, et que nous continuons à partir, c’est l’essentiel. Et un véhicule vous amènera tout autant que l’autre. Et c’est ce qui se passe maintenant, je pense, c’est que... L’essentiel, c’est de se mettre en route droit vers la Gloire. Continuez à avancer. C’est bien.

4          Maintenant, l’unique grande chose... Beaucoup de gens m’ont mal compris lorsque je parle des barrières dénominationnelles. Ce n’est pas que la dénomination soit mauvaise. Mais d’ériger une clôture autour de cela, personne d’autre ne peut avoir communion; c’est ce qu’il y a de mal. Je pense que Dieu veut que nous ... Eh bien, qu’arriverait-il si nous n’avions pas de dénominations? Voyez? Il nous faut les avoir. Et elles sont le plan de Dieu. Mais le problème, c’est quand nous en arrivons à nous dire: «C’est nous l’unique groupe», et Dieu passe juste par-dessus cela, bénit quelqu’un d’autre et démontre que nous ne sommes pas l’unique groupe. Donc, c’est comme ça que Dieu travaille.

            Je suis si content de ce qu’Il le fait; en effet, nous sommes tous des êtres humains, Ses créatures. Et vous savez, selon un vieux dicton de l’Indiana, un vieux fermier disait: «Je suis content que tout le monde ne voie pas les choses de la même façon, sinon tout le monde aurait choisi ma femme.» Donc, il aurait pensé autant que lui qu’elle était la femme la plus jolie du monde. C’est donc une bonne idée que nous ayons une–une variété.

5          Comme je le disais cet après-midi, Dieu est un Dieu de variétés. Il nous a créés différents. Il a créé Ses montagnes différentes. Il a créé Ses... les montages, les déserts, les mers, les lacs, les petits poissons, les gros poissons, les hommes grands, les hommes petits, les gros, les costauds, les minces, les indifférents. C’est Lui qui les a créés. C’est tout. C’est ainsi qu’Il s’y prend. Et si c’est ainsi qu’Il aime ça, alors, amen. C’est ainsi que j’aime cela aussi. Mais nous devons tous réaliser que nous sommes la création de Dieu, les créatures de Sa création.

            Eh bien, je ne sais vraiment pas comment exprimer ma gratitude, pendant que j’étais assis là, derrière la chaire, suivant les frères qui avaient prélevé une offrande d’amour pour moi, pour outre-mer. C’est merveilleux.

6          J’ai rencontré frère Borders et certains frères. Je sais que nous sommes ici juste pour trois jours. Et on ne vous donne pas seulement ces salles, l’éclairage et autres... Et j’ai dit: «Frères, ne prélevez pas une offrande d’amour pour moi. Allez simplement de l’avant et affectez cela aux dépenses. Et si vous ne couvrez pas toutes les dépenses, on m’a donné une offrande d’amour à Angelus Temple. Je l’affecterai aux dépenses. Cela vaudrait dix millions de fois ce que j’ai eu pour trouver ce bon groupe de collaborateurs. C’est mon désir de voir des frères unis. Si j’arrivais à voir chaque église au monde démolir ses opinions et ses barrières, et les gens passer les bras les uns autour des autres, et cela, une fois pour toutes, disant que nous sommes des frères, formant une seule grande armée unie de chrétiens, je lèverais mes mains comme Siméon d’autrefois et dirais: «Maintenant, Seigneur, laisse Ton serviteur s’en aller en paix selon Ta Parole, car mes yeux ont vu Ton salut.» C’est exact. J’aimerais voir cela. Le... C’est le désir de mon coeur.

7          Lorsque j’ai quitté l’Eglise baptiste, je suis parti, non pas parce qu’ils m’avaient chassé; je suis simplement sorti sur base de mon propre appel. Je suis toujours en bonne odeur dans l’Eglise baptiste missionnaire. Lorsque je suis allé chez les pentecôtistes, je n’ai vu qu’un seul groupe. Et je me suis dit que c’est la raison pour laquelle on les appelait pentecôtistes. J’ai fini par découvrir qu’il y avait pratiquement autant de dénominations pentecôtistes que des baptistes. Il y a...

            Voici ce que j’aimerais cependant dire à mes amis baptistes, presbytériens et autres: «Lorsqu’on ose penser ou dire que la Pentecôte est une organisation, c’est faux. La Pentecôte est une expérience, ce n’est pas une organisation. Voyez? Nous expérimentons la Pentecôte par la nouvelle naissance. La Pentecôte est une expérience que les méthodistes peuvent avoir, les baptistes, les catholiques, tout celui qui veut une expérience de la Pentecôte peut l’avoir, car c’est pour «quiconque veut, qu’il vienne.» Ainsi donc, que le Seigneur accorde ces choses.

            Et quand j’ai fini par découvrir que la chose même pour laquelle je combats est juste ici à côté de moi, vous savez quel sentiment cela m’a donné. Donc je–donc je redoute de rentrer chez moi ce soir. Vraiment.

8          Eh bien, l’argent que vous avez donné... Je n’ai jamais prélevé une offrande de ma vie. Le point le plus proche que j’aie jamais atteint, c’était une fois que j’étais vraiment sur le point de faire cela. Nous n’avions pas d’argent pour effectuer un paiement de... quelque chose que nous avions, mon épouse et moi. Et je lui ai dit: «Chérie, je vais prélever une offrande ce soir.»

            J’ai fait dix-sept ans comme pasteur au Tabernacle Baptiste à Jeffersonville sans prélever un sou. Ainsi donc, je travaillais pour gagner ma vie. Et je le ferais maintenant, si seulement je le pouvais. Et alors, je... Non pas qu’ils ne me donneraient pas une offrande, ils me donneraient tout ce qu’ils avaient. Mais seulement, je voulais travailler, les laisser garder leur argent. Et aussi, je savais qu’ils en avaient besoin.

9          Alors, j’ai dit à mon épouse, j’ai dit: «Eh bien, j’y vais prélever une offrande.»

            Elle a dit: «J’irai t’observer, voir la mine que tu afficheras.»

            J’ai dit: «D’accord, jeune dame. Trouve-toi seulement un siège là derrière, ma chérie, et je te montrerai comment ça se passe.»

            Je me suis avancé. Nous n’avions pas de plateau d’offrande. Rien dans l’église, on n’en avait jamais eu un. Alors, j’ai dit... Eh bien, on en a un maintenant. J’ai renoncé à cela. Le pasteur, on doit le payer aujourd’hui. Alors, j’y suis allé, j’ai dit: «Mes amis, ai-je dit, je suis désolé de devoir faire ceci, mais je viens d’être un peu fauché, je n’ai pas d’argent pour y faire face. J’ai besoin d’environ cinq dollars.» J’ai dit: «Si chacun de vous donne cinq cents ou dix cents, ou quelque chose comme cela, ai-je dit, cela sera certainement apprécié.» J’ai dit: «Oncle Jim», c’est un vieux pêcheur, un ami à moi, un des diacres de l’église, j’ai dit: «Voudriez-vous venir prendre mon chapeau et le faire circuler?

            Il a dit: «Assurément, Frère Billy.» Il s’est mis à suivre cela.

            Il y avait une petite vieille dame assise comme ceci à côté de là où j’étais, elle avait un de ces petits tabliers avec une pochette à l’intérieur. Combien en ont déjà vu? Vous savez, on–on porte cela comme ceci et ça a une pochette à l’intérieur. Elle était une combattante de la prière. Je l’ai regardée, elle mettait la main sous ce tablier, pour faire sortir ce petit sac à main avec un bouton-pression, en faire sortir ces pièces de cinq cents. Frère, je ne pouvais pas prendre ça. Ça m’aurait choqué de les prendre. Je n’ai pas pris ça, j’ai dit: «Oh! je vous taquinais simplement. Ce n’est pas ce que je voulais dire. Ramenez-moi le chapeau, Frère Jim.» C’est aussi près que je suis jamais arrivé dans le pré–le prélèvement d’une offrande.

10        Et vous savez, il y avait un vieil homme qui pédalait une bicyclette par là, et celle-ci avait rétrogradé. Je–je ne voulais pas dire que cela avait rétrogradé, c’était simplement usé. Voyez? Alors, il–il me l’a donnée. Et je suis allé dans le bazar le lendemain, j’ai acheté deux boites de peinture, rouge et blanc. Ce sont les couleurs de l’équipe de basketball de Jeffersonville, vous savez, ses couleurs. Et je me disais que cela aurait un grand effet psychologique sur les enfants. J’ai tout peint en rouge et blanc, je l’ai exposée, j’ai mis un grand écriteau là-dessus: A vendre, à cinq dollars, et je l’ai vendue le lendemain. Avec ça, j’ai payé, je n’ai pas eu à prélever une offrande après tout. C’était donc aussi près que je sois jamais arrivé pour prélever une offrande.

            Et ce soir, j’apprécie certainement votre bonne offrande d’amour qui me sera donnée après la réunion. Je peux vous promettre que ça ne sera pas affecté aux cigarettes, aux whiskies ou à quelque chose de mal. Ça ira à la prédication de l’Evangile en Australie, et partout où le Seigneur m’enverra. Et un soldat né dans le Royaume là, ça sera à votre actif au jour ou... Moi, je ne fais que suivre la conduite de l’Esprit. Et c’est... Je dois le faire. Et c’est vous qui m’envoyez... votre argent, votre dîme, c’est ce qui m’envoie.

11        Eh bien, je vois des mouchoirs déposés ici, des écharpes et autres. Cela me rappelle ce qui est arrivé à Mexico il n’y a pas longtemps, il y a environ un an, on tend maintenant vers la deuxième année. On nous avait promis une arène, ensuite, on ne nous a pas permis de l’avoir. L’église de là s’était opposée, ainsi, nous avons dû amener les gens, les Mexicains, sur un grand terrain. Et ils ont vraiment aimé ça.

            Et ils s’étaient rassemblés à cet endroit-là, à neuf heures ce matin-là, et moi, je n’allais être là qu’à vingt et une heures. Il n’y avait pas de places où s’asseoir, se tenir debout, s’appuyer les uns contres les autres.

            Et le Seigneur accomplissait de grandes oeuvres. J’ai passé là trois soirées. Et il y avait un–un vieux frère mexicain, aveugle, qui était venu à l’estrade. Et le pauvre vieil homme, pieds nus, en lambeaux, aveugle au possible, s’est frayé un chemin jusqu’à l’estrade. Il continuait à répéter quelque chose. Mon interprète, c’était frère Espinosa.

12        Beaucoup parmi vous les Mexicains connaissent frère Espinosa, c’est lui qui interprétait. Et le vieil homme voulait savoir où était le guérisseur. Il a mis la main dans sa poche et a sorti un rosaire, un chapelet, pour dire sa prière. Et je lui ai dit: «Ce n’est pas nécessaire, papa.»

            Alors, je l’ai regardé. J’ai vu qu’il ne portait pas de chaussures, tandis que moi, je portais une très belle paire de chaussures. J’ai placé mon pied à côté du sien pour voir si elles lui conviendraient. Je les lui aurais données. Et il avait... Mon manteau était... Eh bien, je porte les habits de Penny, qui coûtent dix sep–sept à vingt-sept dollars. C’était donc mieux que ce que lui portait. Alors, j’ai mis mes épaules contre les siennes. Mais, oh! il avait les épaules beaucoup plus larges. Et puis, je me suis dit que le pauvre vieil homme n’avait probablement jamais pris un bon repas toute sa vie; il mangeait ces drôles de petites tortillas grasses ou quelque chose comme cela, peut-être qu’il élevait une ribambelle d’enfants. Et là, il était couvert de poussières et de saleté pour avoir travaillé... Et puis, je me suis dit que le sort avait été si malveillant envers lui qu’il était devenu aveugle.

13        Maintenant, suivez. Je voudrais vous livrer un secret de la prière pour les malades. Je ne suis pas un guérisseur. Dieu le sait. Mais Dieu a plusieurs fois exaucé ma prière. Et l’unique moyen par lequel cela peut se faire, c’est de sympathiser absolument avec la personne qui souffre. Vous devez réellement ressentir cela.

            Et ce pauvre vieil homme là, je me disais que si mon vieux père était en vie, il aurait à peu près son âge. Et j’ai simplement passé mes bras autour de lui et je me suis mis à prier. Je me suis dit: «Seigneur...» On n’interprète pas la prière. «Ce que, ce pauvre vieil homme...»

            Et juste à ce moment-là, je l’ai entendu prononcer ces mots: «Gloria a Dios.» Je ne–je ne prononce peut-être pas cela correctement; en effet, je vous ai dit que je ne parlais pas un bon anglais, vous savez donc que je ne parle pas l’espagnol. Mais je sais ce que ça signifie: «Gloire à Dieu», ou quelque chose comme cela. Il a couru à l’estrade, étreignant tout le monde. Il voyait aussi bien que moi. Le Seigneur lui avait ouvert les yeux.

14        Et le lendemain soir, il y eut toute une pile de vieux châles et de chapeaux. Il y en avait un tas, trois fois long comme ceci, à peu près à cette hauteur. Comment reconnaîtraient-ils à qui ça appartenait, ou qu’est-ce qui était quoi, je ne sais pas. Mais ils avaient cru. Ils avaient vu quelque chose.

            Ce soir-là, frère Espinosa... Je ne dirais jamais ces choses si elles n’étaient pas authentiques, c’est prouvé.

            Une dame s’était tenue sous la pluie depuis environ quatorze heures avec un enfant mort. Et quand Billy est venu vers moi, il a essayé de distribuer les cartes de prière. Il ne le pouvait pas. Alors, il a dû circuler avec quelqu’un d’autre pour distribuer les cartes de prière et veiller à ce qu’ils ne les vendent pas, et tout, vous savez. Aussi, il ne parlait pas espagnol.

            Et cette petite dame essayait d’entrer dans la ligne de prière, et tout un groupe d’huissiers n’arrivaient pas à la retenir. Oh! Elle était dans tous ses états, une jeune, une belle jeune dame, d’à peu près cette taille, à peu près, pesant environ cent dix livres [50 kg], elle avait environ vingt-huit ans, je suppose. Elle ne faisait que crier, tenant cet enfant mort sous cette couverture.

15        Alors, Billy est venu vers moi, il a dit: «Papa, tu vas devoir faire quelque chose.» Il a dit: «On n’a pas assez d’huissiers là pour arrêter cette femme.» Elle leur monte par-dessus et tout. Elle est désespérée.

            Et j’ai dit à frère Jack Moore. Beaucoup parmi vous connaissent Jack Moore de Shreveport. Et j’ai dit: «Frère Jack, va prier pour cet enfant, et cela suffira.» Alors, je me suis retourné pour regarder de ce côté-ci, j’ai vu un petit enfant en vision en train de sourire, me regardant. J’ai dit: «Un instant.» Je suis allé là où se trouvait l’enfant. Elle l’avait complètement couvert, là où elle était tombée. Et j’ai dit: «Amenez-la ici.»

            Elle s’est mise à crier: «Padre, padre...» Quoi que... cela veut dire père. Padre, padre...» Je l’ai relevée.

            Et j’ai dit: «L’enfant est-il mort?» Elle ne pouvait pas parler évidemment.

            J’ai imposé les mains à l’enfant et j’ai dit: «Père céleste, est-ce l’enfant que Tu m’as montré tout à l’heure?» Et son enfant a poussé un cri, il a donné un grand coup de pied et s’est mis à crier à tue-tête.

16        Eh bien, frère Espinosa s’est enquis auprès du médecin et tout. Le médecin avait déclaré cet enfant mort à quatorze heures. Et là, on était vers vingt et une heures trente. L’enfant vit aujourd’hui, en bonne santé, là à Mexico, par la grâce de Dieu. Voyez?

            C’est votre approche vers quelque chose. Cette dame était elle-même catholique. Cela ne lui a pas fait obstacle. Les méthodistes ne devraient pas trouver un obstacle au fait que ce sont les pentecôtistes qui tiennent un réveil. Allons à Christ, c’est l’essentiel (vous voyez?), peu importe ce que c’est. Ce n’est pas le messager, c’est le Message que nous écoutons qui compte.

17        Maintenant, ces mouchoirs, nous prions dessus. Je sais que beaucoup de gens les oignent d’huile. C’est en ordre. Tout ce que Dieu fait et bénit, je le soutiens. Mais maintenant, si vous considérez le passage des Ecritures, je pense que Paul ne les avait jamais oints. On retirait des mouchoirs et des linges qui avaient touché le corps de Paul. Voyez? Et je pense que Paul a tiré cela d’Elie qui avait pris son bâton et l’avait posé sur l’enfant, voyez. En effet, ce qu’Elie touchait, il savait que c’était béni. Mais s’il pouvait amener la femme à croire que...

            Eh bien, Saint Paul s’en est allé il y a des années. C’est vrai. Mais ce n’était pas saint Paul qui guérissait. C’était la foi des gens dans le Dieu que saint Paul servait. Saint Paul s’en est allé, mais Jésus vit éternellement.

18        Maintenant, j’apprécie vos convictions, que Christ exauce la prière. Si vous n’avez pas votre mouchoir ici, écrivez-moi simplement à Jeffersonville, Indiana. Eh bien, je ne cherche pas à avoir votre adresse. Je connais un temps difficile à payer des secrétaires et autres pour répondre aux lettres. Je n’ai pas de programmes, je n’ai rien à parrainer, rien du tout, je ne demande pas un sou, vous n’avez pas à envoyer un sou. Parfois, certains payent les frais de poste. Nous en envoyons des milliers et des milliers à travers le monde chaque année. Ainsi donc, un tissu sera envoyé, un petit ruban sur lequel j’ai prié. Or, si c’était mon enfant qui était malade, j’aimerais que quelqu’un en qui j’ai confiance envoie cela.

            Eh bien, le secrétaire écrit la lettre, mais c’est moi qui prie sur les tissus. C’est tout à fait vrai. Et maintenant, si vous en voulez un et... (Merci, frère...?...) si vous ne–si vous n’en avez pas besoin maintenant même, envoyez chercher cela, mettez cela dans votre Bible, dans Actes 19. Si quelque chose arrive, prenez cela et posez-le sur le malade. Si le temps le permettait, je pourrais vous raconter des expériences à vous faire dresser les cheveux, qui sont arrivées. Maintenant, prions donc pour ceux qui sont ici.

19        Seigneur, ces mouchoirs sont déposés ici, ainsi que des écharpes, en mémoire de Ta Parole. Maintenant, nous savons que les Ecritures déclarent qu’on retirait du corps de saint Paul des mouchoirs et des linges. Seigneur, nous ne prétendons pas être Saint Paul, mais Toi, Tu es toujours Jésus. Et Je... Tu ne fais acception de personne. Pierre a dit de même, que–que Tu ne fais acception de personne ni d’aucune nation, mais tous ceux qui craignent Dieu et Le servent avec sainteté. Et je pense, Seigneur, que Tu auras des égards pour ces gens qui ont envoyé ces petits tissus.

            Et une fois, il nous est rapporté que lorsqu’Israël était acculé, alors qu’ils cherchaient à suivre les commandements de Dieu sous la conduite de Moïse, que la mer Rouge leur barrait le chemin vers la Terre promise, il y avait des montagnes de part et d’autre, l’armée de Pharaon les poursuivait derrière. Et alors, ces gens qui essayaient de suivre Tes instructions ont vu la mer Rouge leur barrer le chemin. Quelqu’un a dit que Dieu a baissé le regard au travers de la Colonne de Feu, avec des yeux courroucés, et cette mer a eu peur, a reculé et un chemin a été frayé au travers de la mer, de sorte qu’Israël a pu continuer son voyage vers la Terre promise.

            Seigneur, lorsque ces mouchoirs toucheront les malades et les affligés, ne regarde pas au travers de la Colonne de Feu, mais au travers du Sang de Ton Fils Jésus; et que la maladie et les afflictions reculent. Et que les gens qui sont en pèlerinage, qui réclament Tes Promesses, avancent vers la promesse selon laquelle «par-dessus tout, frères, j’aimerais que vous prospériez et soyez en bonne santé.» Accorde-le, Seigneur, car c’est avec cette attitude, et en ce Nom du Seigneur Jésus, que nous les envoyons aux malades et aux affligés. Amen. Aussitôt après le service, réclamez vos tissus.

20        Maintenant, me remerciant en retour... le Seigneur voulant, on me donne une invitation. Votre bel esprit me l’a fait savoir avant même que vous le disiez. J’apprécie certainement cela. Et... Maintenant, j’ai confié cela au Seigneur. Et c’est juste à temps; nous l’annoncerons aux gens, et nous reviendrons à cette vallée aussitôt que le Seigneur nous aura conduit à venir. Je suis sûr que c’est ainsi que vous aimeriez que je vienne. Je vais uniquement là où le Seigneur me conduit. Le lieu ne s’avère jamais trop petit ou trop grand. Je viens de tenir une réunion à un endroit qui contenait vingt personnes, un réveil. C’était pitoyable, mais je l’ai de toute façon tenu, parce que le Seigneur m’y avait envoyé. Et de grandes oeuvres s’étaient produites. Ainsi, il ne s’avère jamais trop petit. Voyez?

            Celle-ci est donc une merveilleuse grande foule de braves gens, aimables, juste tout ce que nous pouvons désirer. Je suis sûr, le Seigneur y est.

21        Maintenant, pour commencer notre réunion, nous n’aimerions pas retenir... la faire dur–durer longtemps. J’aimerais seulement vous faire savoir donc que ces trois, quatre ou cinq services, je pense que c’est ça au total, je les ai appréciés. Et vous avez vu le Seigneur Jésus se manifester vivant au travers de notre chair, de nos yeux, de nos lèvres, de nos mains, faire et accomplir les mêmes oeuvres qu’Il avait faites lorsqu’Il était ici sur terre. Et le slogan de ma campagne, c’est: «Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement.» Il reste donc Le même. Il le sera toujours.

            Donc presque vous tous, vous savez, je suppose... Combien étaient ici hier soir? Levez la main. Maintenant, c’est tout à fait bien. Un grand... un grand groupe dans l’assistance.

            Maintenant, je ne guéris pas. Il y a une vision comme un signe à l’Eglise que Jésus est vivant et qu’Il accomplit les mêmes oeuvres, de la même façon qu’Il avait accomplies lorsqu’Il était ici sur terre, alors que nous voyons cela maintes et maintes fois.

22        Maintenant, ce soir, j’aimerais prendre juste trois mots du passage des Ecritures que j’ai entendu notre précieux ami, frère Borders ici, qui a fait du très bon travail, un ami intime à moi, qui m’aide à coordonner des choses; j’aimerais prendre les trois derniers mots du verset 5, le chapitre 17, dans Saint Matthieu, que notre frère a lu. Voici ces mots...

Ecoutez-Le. [En Anglais, trois mots: Hear ye Him.]

            Un passage de l’Evangile plus ou moins... Inclinons donc la tête juste un instant et parlons-Lui.

            Seigneur, s’il y a quelqu’un au monde ou n’importe où auprès de qui je peux orienter des gens, ce serait le Seigneur Jésus, avec ces trois petits mots: Ecoutez-Le, car c’est Lui notre Sauveur et notre Guérisseur. Et maintenant, ce soir où des milliers de gens sont assis ici présentement, je ne sais exactement quoi dire, si ce n’est prendre ces mots et compter sur Toi pour pourvoir à tous nos besoins. Que chaque homme, chaque femme, chaque jeune garçon ou chaque jeune fille qui est dans la Présence divine se détende maintenant, que le Saint-Esprit prenne la Parole de Dieu et L’apporte aux coeurs selon que nous En avons besoin. Il est écrit: «Ouvre ta bouche, et je la remplirai.» Je me confie en Toi, Seigneur, car je ne suis pas capable de parler à une telle assistance ce soir.

            Ce sont les Rachetés par Ton Sang. Et si seulement j’avais deux gouttes de Ton Sang littéral dans un récipient, combien je serrerais cela sur mon coeur. Mais ce soir, selon ce qui T’a plu, j’ai quelque chose de plus valable devant moi: «Ce sont les Rachetés par Ton Sang.» Tu les as tellement aimés que Tu as donné Ton Sang, afin qu’ils soient purifiés de leurs péchés, guéris de leurs maladies. Maintenant, Seigneur, que le Saint-Esprit utilise les lèvres d’argile, oigne les oreilles, afin que la Parole puisse tomber dans la bonne terre et produire au centuple. Et que nous puissions, en partant ce soir, dire comme ceux qui revenaient d’Emmaüs: «Notre coeur ne brûlait-il pas au-dedans de nous alors qu’Il nous parlait en chemin.» Car nous le demandons en Son Nom et pour Sa gloire. Amen.

23        Comme je suis un peu enroué maintenant, je me tiendrai tout près du micro.

            «Ecoutez-Le.» Vous pourrez dire: «Frère Branham, vous disiez que vous auriez une grande assistance, ne pensez-vous pas que c’est plutôt un court passage pour une si grande assistance, et une–une assistance si nécessiteuse?» Non, ce n’est pas la dimension du passage des Ecritures qui compte, c’est sa qualité qui compte. Or, à considérer le papier, c’est bien petit. Et il n’a pas fallu beaucoup d’encre pour écrire ces trois mots. Mais ce qui compte, c’est la Parole du Dieu Eternel. «Tous les cieux et la terre passeront, mais cette Parole ne faillira point.»

            Il y eut quelque temps dans notre ville, ou plutôt de l’autre côté de la rivière, à Louisville dans le Kentucky, un petit garçon s’est retrouvé au grenier d’un vieux bâtiment, fouillant du regard çà et là, errant simplement comme le font les petits garçons. Et il a trouvé une vieille malle. Il a fouillé dans cette vieille malle, mettant tout sens dessus-dessous, comme le ferait un petit garçon de huit ou dix ans, il a trouvé un petit timbre postal jauni. Il l’a ramassé et il s’est dit: «Tu sais quoi, je me demande si ce timbre a une quelconque valeur.» Ça ne mesurait qu’environ un demi-pouce carré [1,27 cm²]. Eh bien, il s’est dit: «C’est très vieux, et c’est...» Mais il a dit: «J’ai un ami philatéliste là sur la route. Peut-être qu’il me donnerait cinq cents pour ce timbre.» Et évidemment, il avait de la crème glacée à l’esprit avec ces cinq cents.

24        Et il est descendu de ce vieux grenier, il est allé chez le philatéliste, et cet homme a pris ce timbre, il l’a placé sous la loupe, l’a examiné et a dit: «Que veux-tu pour ça, junior?»

            Il a dit: «Eh bien, que me donneras-tu pour ça?» C’était un homme d’affaires.

            Il a dit: «Je te donnerai un billet d’un dollar pour ça.»

            Oh! la la! L’affaire était très vite conclue. Eh bien, combien de cornets de glace cela achèterait-il? Avec un dollar en poche, il est parti se disant qu’il avait certainement, peut-être, roulé son ami, en obtenant de lui un dollar pour ce timbre.

            J’ai appris qu’environ un mois plus tard, ce timbre a été vendu à cinq cents dollars. Et plus tard, il a été vendu à une somme plus élevée, et aujourd’hui, on dit qu’il vaut dans des centaines et des centaines de dollars. Vous voyez, ce n’était pas le petit bout de papier jauni, c’est ce qui se trouvait sur ce papier qui comptait. Et c’est pareil ce soir. Ce n’est pas la quantité de cette Parole, c’est... ou la valeur du papier, ou le coût de l’encre, c’est ce que Cela est qui compte. Il y a assez dans ce petit passage de trois mots pour sauver le monde entier; en effet, cela leur pointe Christ.

25        Je pense que c’était du temps d’Abraham Lincoln qu’un–un soldat avait commis un crime. Et on était sur le point de l’exécuter. Il allait être fusillé devant un peloton d’exécution. Et un bon ami à lui est allé voir Son Excellence monsieur Lincoln, qui était un chrétien remarquable, il s’est prosterné à ses pieds et a dit: «Monsieur Lincoln, on va ôter la vie à un homme. Rien qu’un mot de votre part le gracierait. Il est peut-être coupable d’avoir fait quelque chose qu’il n’aurait pas dû faire dans le service militaire. Mais je le connais. Il n’en avait pas l’intention. Ne voudriez-vous pas le gracier, monsieur Lincoln?» Et celui-ci étant pressé, il a arraché un bout de papier et il a dit: «Graciez Untel, Abraham Lincoln.»

            Cet homme s’est incliné avec courtoisie devant lui, il est vite retourné à la cellule en prison et a dit: «Mon ami, tu es libre. J’ai ici ta grâce de la part d’Abraham Lincoln, le président de ces grands Etats-Unis d’Amérique. Voici sa signature.»

26        Et ce prisonnier a dit: «Pourquoi me troubles-tu? Pourquoi te moques-tu de moi, sachant qu’un peloton d’exécution va me tuer ce matin, en m’apportant un tel bout de papier pour chercher à me faire croire que monsieur Lincoln a signé de son nom?» Il a dit: «Ça devait être sur un papier à en-tête. Ça devait porter un sceau. Cela devait...»

            Il a dit: «Il était pressé. Quiconque connaît monsieur Lincoln reconnaîtra sa signature.»

27        Mais il a rejeté cela. Et le lendemain matin, il a été fusillé par le peloton d’exécution. Il avait été informé de sa mise en liberté, mais il ne voulait pas accepter cela. Par la suite, la cour fédérale a connu un procès là-dessus, et voici son–son jugement: Considérant que le nom d’Abraham Lincoln, le président des Etats-Unis y figurait, comme signature, cet homme-là était libre, il ne devrait pas être fusillé par un peloton d’exécution. Et pourtant, il a été fusillé par le peloton d’exécution. Que faire maintenant? Voici sa sentence: «Une grâce n’est une grâce que si elle est acceptée comme une grâce.»

            Ecoutez-Le; c’est un défi. C’est un ordre. C’est une grâce. C’est tout ce dont vous avez besoin, si seulement vous acceptez cela comme ça. Mais si vous n’acceptez pas cela comme ça, c’est juste un autre bout de papier.

28        Dieu, avant de faire quoi que ce soit, avant qu’Il... une quelconque chose remarquable, Il fait toujours savoir qu’Il va le faire.

            Je pense que c’est ce qui arrive maintenant même. Cette nation a été vraiment passée au peigne fin par l’Evangélisation, il y a quelque chose qui est sur le point d’arriver. Et cette fois-ci, il va arriver une grande chose. Il a donc appelé trois de Ses serviteurs. Et trois, c’est le témoignage dans l’Ancien Testament. «Toute affaire se règlera sur la déclaration de deux ou trois témoins.»

            Et Dieu rencontre des hommes dans diverses réunions. Parfois, Il les rencontre en grand nombre, parfois en petit nombre. Une fois, Il a rencontré cinq cents, Il a aussi rencontré soixante-dix, et puis douze, trois, même un. C’est ce qui Le rend très réel.

29        Nous voyons donc qu’ils ont été appelés à l’écart: Pierre, Jacques et Jean. Si vous remarquez bien, Jésus prenait toujours ces trois avec Lui, partout où Il allait. Dans la maison du–du sacrificateur où Il avait ressuscité sa fille...

            J’ai toujours aimé penser à cela comme ceci: Les trois étaient–étaient la foi, l’espérance et la charité. Pierre représentait la foi. Jacques représentait l’espérance, et Jean, l’amour, la charité. La foi, l’espérance et la charité, cela rend témoignage de Dieu.

            Et ils ont gravi ce que nous sommes... ce que nous connaissons comme la montagne de la Transfiguration. Ça doit avoir été une grande place. Pierre, plus tard, dans l’une de ses épîtres, a appelé cela la sainte montagne. Eh bien, il ne voulait pas dire que la montagne était sainte. Il n’existe pas de montagne sainte, c’était le Dieu saint qui était sur la montagne. Il n’existe pas de sainte église; il n’existe pas un saint peuple, c’est le Saint-Esprit dans l’Eglise et dans le peuple.

            Alors, nous Le voyons, alors qu’ils montaient, ils... Trois aussi pour rendre témoignage sur la terre. C’était une occasion très spéciale. Donc, trois vinrent du Ciel pour faire que les cieux et la terre s’accordent. Ils ont vu là le Seigneur Jésus, le Céleste, être transfiguré. Et ils ont vu Moïse et Elie. Eux trois. Trois sur la terre, Trois au Ciel.

30        Maintenant, ce qu’Il faisait ici... Dieu n’a jamais demandé à un homme de faire quelque chose que Lui-même ne ferait pas. C’est pourquoi j’apprécie la chanson de frère Clibborn ici. J’aime chanter cela en ce jour où on cherche à faire de Jésus juste un prophète, on cherche à Lui ôter la Divinité.

            Il y a quelque temps, une femme d’une église qui croit qu’Il n’était qu’un prophète, un homme de bien, un docteur... S’Il l’était, nous sommes tous dans le péché. Dieu avait créé ce corps-là, Jéhovah, Il a construit Son propre Tabernacle où Il a habité. Le Fils de Dieu, Jésus-Christ, était un Tabernacle où Dieu Lui-même habitait. Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec Lui-même.

31        Cette dame m’a dit, elle a dit: «Prédicateur, j’aime vous entendre prêcher parce que vous semblez être sincère. Mais, a-t-elle dit, il y a juste une seule chose qui ne va pas.»

            J’ai dit: «Eh bien, je suis content puisque vous trouvez seulement une seule chose.»

            Elle a dit: «Voici ce que c’est. Vous vantez trop Jésus.»

            J’ai dit: «Si j’avais dix millions de langues, je ne pourrais pas Le vanter assez. Je ne pourrais pas trouver des mots pour Lui exprimer des éloges. Le système linguistique des mortels n’en a pas, pour l’exprimer. Les anges ne peuvent pas trouver des mots pour l’exprimer.»

            «Mais, a-t-elle dit, vous voyez, Il n’était qu’un homme; et vous cherchez à Le rendre Dieu.»

            J’ai dit: «Il était Dieu-Homme.»

            Elle a dit: «Si je vous prouve par vos propres Ecritures qu’Il ne l’était pas, qu’Il était juste un simple homme, un homme de bien, un docteur... C’est tout ce qu’Il était.»

            J’ai dit: «Si les Ecritures le disent.»

            Elle a dit: «D’accord.» Elle a dit: «Dans Saint Jean, chapitre 11, lorsqu’Il se dirigeait vers la tombe de Lazare, les Ecritures déclarent qu’Il avait pleuré. Et c’était la preuve qu’Il n’était qu’un homme.»

            J’ai dit: «Soeur, votre argument est moins consistant qu’un bouillon fait à base de l’ombre d’un poulet crevé de faim. Eh bien, cela ne résistera pas.» J’ai dit: «Lorsqu’Il se dirigeait vers la tombe, certes, ce côté humain pleurait. Mais lorsqu’Il a redressé Ses petites épaules affaissées et qu’Il a dit: ‘Lazare, sors!’ et qu’un homme mort depuis quatre jours s’est mis sur ses pieds et a encore vécu, c’était plus qu’un homme.»

32        Il était un Homme lorsqu’Il descendait de la montagne, affamé, cherchant quelque chose à manger dans l’arbre. C’était un Homme qui était affamé. Mais lorsqu’Il a pris cinq petits pains et deux morceaux de poisson, et qu’Il a nourri cinq mille personnes, c’était plus qu’un homme. C’était Dieu dans l’homme. Lorsqu’Il était couché là dans cette petite barque agitée cette nuit-là, alors que dix mille démons de la mer avaient juré de Le noyer, et qu’elle était agitée comme un petit bouchon de liège dans l’orage, c’était un Homme, pendant qu’Il était endormi. Mais lorsqu’Il a placé Son pied sur le bastingage de la barque et qu’Il a dit: «Silence, tais-toi», et que les vents et les vagues Lui ont obéi, c’était plus qu’un homme. C’était Dieu parlant par Lui.

            Il est vrai qu’Il est mort sur la croix en criant comme un homme. Mais le dimanche de Pâques, ces sceaux romains ne pouvaient pas retenir la tombe. Les pierres ne pouvaient pas faire cela, Il a brisé les sceaux et Il est ressuscité. Il n’est pas étonnant que le poète ait dit:

Vivant, Il m’aima; Mourant, Il me sauva;
Enseveli, Il emporta mes péchés au loin;
Ressuscitant, Il me justifia gratuitement pour toujours;
Un jour, Il viendra, oh! quel jour glorieux!

33        Certainement. Il était plus qu’un homme. Il était Dieu dans Son Fils, Dieu, l’Esprit, demeurant dans un Tabernacle qu’Il avait Lui-même créé par une naissance virginale, afin qu’Il puisse entrer dans ce Saint Tabernacle pour se manifester à l’humanité, montrer ce qu’Il était dans Son propre Fils, Jésus-Christ. Et Il se tenait là donc comme Dieu devait se faire chair pour endurer la souffrance, endurer l’agonie de la mort afin de mourir pour toutes les créatures.

            Et puis, nous trouvons... vous savez ce qu’Il faisait: Dans l’Ancien Testament, il y avait une loi. Et maintenant, écoutez ceci et mettez l’os de côté. Il y avait une loi en rapport avec cela, c’est que quand un–quand un enfant mâle naissait dans la maison de son père...

34        Avez-vous déjà vu, dans la version King James, la traduction du chapitre 14 de Saint Jean? «Dans la maison de Mon Père, il y a plusieurs demeures...» Cela ne semble-t-il pas étrange? «Dans la maison de Mon Père, une petite maison avec plusieurs demeures.» Or, vous voyez, à l’époque du Roi Jacques, ce qui était appelé la maison, c’était un domaine, et le roi était le père de ce domaine-là. La traduction correcte de cela, c’est: «Dans le Royaume de Mon Père, il y a plusieurs palais.»

            Une version, celle de Moffatt, je... Quelqu’un, je ne me souviens pas correctement de qui c’était, a traduit cela d’une façon plus ridicule que ne l’a fait King James. Il a dit: «Dans la maison de Mon Père, il y a plusieurs appartements.» Nous n’allons pas louer des appartements là-haut, j’en suis sûr. Mais la bonne traduction, c’est: «Dans le Royaume de Mon Père...» Mais vous voyez, en traduisant cela pour le roi, on a dû le rendre dans le–dans le langage parlé à l’époque, qui se rapprochait plus de celui du temps de la Bible.

            Lorsqu’un papa possédait une grande, une immense ferme et qu’un petit garçon lui naissait dans cette maison, il était un enfant, comme... il était un fils, aussitôt né, mais... Eh bien, c’est là, je pense, que nous, les gens du plein Evangile, avons commis une petite erreur; peut-être pas intentionnellement, mais en essayant de dire aux gens qu’aussitôt qu’on reçoit le Saint-Esprit, la question est réglée. Elle ne l’est pas. Elle ne l’est pas. Ce n’est pas ça. Vous ne faites que commencer l’épreuve.

35        Alors, ce jeune garçon, aussitôt né, était un fils. Mais après, le père allait trouver le meilleur tuteur, ou un précepteur, qu’il pût trouver pour cet enfant, pour l’instruire. Il tenait à ce que son enfant soit instruit dans la meilleure école possible. Et alors, ce tuteur faisait rapport au père tout le temps sur l’évolution de son fils.

            Remarquez donc, c’est le type de ce qui se passe avec Dieu. Lorsque nous sommes entrés dans la maison de Dieu par la naissance, Dieu a cherché dans le Ciel pour trouver le meilleur Enseignant qu’Il puisse trouver pour Son Eglise. Ce n’était ni l’évêque, ni l’archevêque. C’était le Saint-Esprit. C’est l’Enseignant et le Tuteur de l’Eglise née de nouveau, dans le Corps de Christ.

36        Et quel sentiment, pensez-vous, le tuteur éprouverait en s’avançant devant le père, le visage couvert de honte, pour dire: «Ton petit garçon que tu aimes tant, oh! c’est un coquin. Il ne progresse pas du tout. Il ne s’intéresse pas à vos affaires; il n’est qu’un–un manoeuvre...» Quel sentiment il devait éprouver!

            Que pensez-vous que le Saint-Esprit dit maintenant qu’Il entre dans la Présence de Dieu pour faire part au Père du comportement de Son Eglise? Eh bien, je peux faire un commentaire très amer ici même, mais peut-être que je vais simplement laisser tomber cela et aborder certaines choses. Que pensez-vous, lorsqu’Il s’avance devant le Père et dit: «Vous savez, cette Eglise de nés de nouveau là, ils enseignent même des choses perverses, que les jours des miracles sont passés.» Qu’en pensez-vous? Et s’Il devait donner le rapport sur le comportement, que beaucoup de diacres sont mariés quatre ou cinq fois et exercent toujours l’office de diacre? Il devait rougir en le faisant. Que les femmes se coupent les cheveux, qu’elles portent des shorts plutôt que des robes, hum, ça doit être horrible.

37        Oh! L’une m’a dit il n’y a pas longtemps, elle a dit: «Frère Branham, a-t-elle dit, vous voyez, moi, je ne porte pas ces shorts. Je porte ces (vous savez, comment appelez-vous cela?) pantalons.» C’est pire que jamais. La Bible dit qu’une femme qui porte un habillement d’hommes est une abomination aux yeux de Dieu. Qu’est-il arrivé? Autrefois, c’était mauvais pour vous les pentecôtistes de faire cela. Quelqu’un a laissé tomber les barrières quelque part. Si c’était mauvais autrefois, c’est mauvais aujourd’hui. C’est vrai. Mais le Saint-Esprit doit faire ce rapport devant le Père sur ce genre de choses. N’est-ce pas terrible? Oh! la la! Ça doit être horrible d’avoir à faire cela, d’amener ce genre de messages, sur la façon dont ils se comportent.

38        Et puis, que pensez-vous qu’Il doit dire de Ses filles et de Ses garçons qui fument la cigarette? Il n’a jamais fait de vous une cheminée. Il vous a donné des poumons pour respirer l’air. Mais Il doit amener ce genre de messages, qu’ils ne font pas attention au prédicateur: «Je le ferai de toute façon.» Et je me demande ce qu’il pense lorsque le prédicateur n’est pas assez prédicateur pour dire cela du haut de la chaire, il fait plus cas de son ticket–repas que de l’Evangile. Qu’en est-il de cela, de sa prédication? Oh! il peut devenir écorchant, mais nous allons laisser simplement passer cela.

            Vous direz: «Frère Branham, vous cognez... vous martelez trop les femmes.» D’accord, les hommes alors, ça vient. Un homme qui laissera sa femme porter ce genre d’habits et fumer la cigarette montre de quoi il est fait. C’est tout à fait vrai. J’ai... J’ai peu de considération pour vous en tant qu’homme. Exact. Oh! Vous pouvez être grand, vous pouvez avoir de gros muscles et... J’ai vu un homme qui pesait deux cents livres [90,71 kg] et qui avait des muscles de fer, mais qui n’avait pas un gramme d’homme en lui. C’est exact. La valeur d’un homme ne réside pas dans ses muscles, mais dans l’effilochage de son pantalon au niveau des genoux à force de prier. C’est ainsi...?... La valeur d’un homme ne réside pas dans ses muscles, mais dans son caractère. Il n’y a jamais eu un homme plus important que Jésus-Christ. C’est vrai. Et Son importance résidait dans Son caractère, pas dans la taille.

            Eh bien, je suis venu prier pour les malades. Eux prendront soin de cela.

39        Mais observez quelle condition: l’Esprit, le Saint-Esprit, combien Il doit rougir en venant devant le Père. Et lorsqu’Il vient dire: «Vous savez, les assemblées et l’Eglise de Dieu ne veulent pas s’entendre. Les méthodistes et les baptistes se combattent. Les presbytériens savent tout cela et ne veulent laisser aucun d’eux entrer.» Que pensez-vous qu’il se passe, lorsque le Saint-Esprit, le Tuteur de l’Eglise, doit rapporter cela devant le Père?

            Voyez la raison pour laquelle vous n’allez pas auprès du Saint-Esprit avec ce genre de choses, vous avez adopté un autre genre de tuteur. Ce n’est à vrai dire pas votre tuteur. Le Saint-Esprit est le Tuteur choisi par Dieu. Vous pouvez avoir une... celui qui vient vous dire que ces choses sont en ordre, mais ce n’est pas le tuteur de Dieu. Le Tuteur de Dieu suivra les instructions de la Parole de Dieu. Amen. Hmm. Mais c’est la vérité.

40        Mais alors, et si le fils n’obéissait toujours pas? Ce fils-là, quoiqu’il fût fils... Nous ne pouvons pas dire qu’il n’est pas un fils, mais il n’aura jamais d’héritage. Ce père dit qu’il ne veut pas écouter: «Il ne veut pas obéir; je n’arrive pas à lui faire confiance; je le laisserai simplement aller. Il est toujours un fils.» Or, si vous êtes né de l’Esprit de Dieu... je dois m’en tenir à cela, car vous êtes un fils de Dieu. Mais si vous... Vous perdez toute votre–votre... la gloire.

            Alors, et si ce fils est un bon fils, un fils obéissant? Oh! comme il aime le père! Oh! comme le–le tuteur aimerait dire: «Ô papa, je vais vous dire quoi. Vous savez que votre fils, c’est bien le fils de son père. Je vous assure, il est toujours occupé à vos affaires tout comme... Eh bien, il en prend soin aussi bien que vous maintenant même.» Oh! comme le père en est fier: «Oh! Assurément, c’est mon fils.» C’est ce que je veux que Lui pense de nous. C’est ce que je... Nous aimerions suivre les instructions de cette Parole, vivre de Cela, prêcher Cela, mourir pour Cela. C’est ce que Dieu veut que nous fassions.

41        Alors, si cet enfant était obéissant, on fixait donc un jour, lorsqu’il avait de l’âge. Eh bien, l’Eglise pentecôtiste devrait avoir de l’âge; quarante ans ou plus, environ cinquante. Elle devrait donc avoir de l’âge.

            Alors, un jour arrivait où cet enfant devenait... il allait être adopté ou placé. (Vous les frères, ce que j’essaie de dire, c’est le placement d’un fils. Vous comprenez ce que je veux dire.) Il devrait être placé en position. Il devient héritier.

            Maintenant, on l’amène dans les rues, on le place, on le revêt d’un certain habit. On organise une cérémonie. Et après cette cérémonie, cet enfant est placé ou adopté dans la même famille où il était né, et son nom sur le chèque était tout aussi valable que celui de son papa. Exact. Il devient héritier. Il est placé en position.

42        Et c’est ce que Dieu faisait ici pour Son Fils, parce qu’Il L’avait trouvé... Alléluia! Il L’avait trouvé: «Celui-ci est Mon Fils bien-aimé.» Dieu L’avait amené là-haut sur la montagne, Il a fait descendre des témoins du Ciel, Il a fait monter les témoins de la terre. Et qu’a-t-Il fait? Il L’a habillé d’une robe d’immortalité. Son vêtement brillait comme le soleil. Alléluia! (Que cela ne vous effraie pas; cela veut dire gloire à notre Dieu.») Il L’a revêtu d’une robe d’immortalité, Il a dit: «Celui-ci est Mon Fils bien-aimé.» Quoi? Je Le place. Je me retire de la scène. «Celui-ci est Mon Fils bien-aimé. Ecoutez-Le.»

43        Oh! Cela a excité Pierre. Il était tellement excité, comme le sont les hommes quand le surnaturel se produit. Il y a généralement des foules de gens de toute espèce, comme ceux qui étaient partis avec Moïse, comme ceux qui sont venus dans ce dernier réveil, dans les derniers jours, une foule de gens de toute espèce. C’est ce que cela suscite toujours. Pierre était tout excité en voyant le surnaturel. C’est ce que font les gens. Et très vite, il voulait se faire des dénominations et les établir toutes. Il a dit: «Je vais vous dire ce que nous allons faire.» Il a dit: «Construisons un tabernacle pour tous ceux qui veulent garder la loi de Moïse. Construisons une autre église ici, faisons cela pour tous ceux qui veulent garder les paroles des prophètes.» Mais j’aimerais vous faire remarquer qu’enfin il a dit: «Nous construirons un autre tabernacle ici pour tous ceux qui veulent croire dans la grâce de Dieu, Jésus-Christ.»

44        Avant qu’il ait prononcé cela de sa bouche, quelque chose s’est passé. Et je suis très content que cela se soit passé. Que peut faire la loi pour moi? Il n’y avait pas de grâce dans la loi. La loi était un–un policier qui m’a dit que j’étais un pécheur. Elle m’a mis en prison, mais elle n’avait pas le pouvoir de m’en faire sortir. Oh! Je suis si content. Et le suivant, c’était... Moïse représentait la loi de Dieu, pour vous dire que vous êtes coupable, que vous êtes sujet à la mort; et il n’y a pas de miséricorde là-dedans. C’est la loi. «Le jour où tu en mangeras, ce jour-là tu mourras.»

            Eh bien, que représentait Elie? La justice de Dieu. Je ne veux pas la justice; je veux la miséricorde. Peu m’importe Sa justice; je veux Sa miséricorde. Christ a rempli les exigences de Sa justice pour moi. Amen.

45        Le vieil Elie est monté là-haut sur la colline avec une commission de la part de Dieu. Et le roi l’a retrouvé et a dit: «Prenez cinquante hommes, montez-y, faites-le descendre. Nous allons faire descendre ce saint-exalté ici et lui apprendre quelque chose.»

            Le vieil Elie était assis là sur une pierre à côté du torrent de Kérith...?... Il avait les serviteurs de couleur qui le servaient chaque jour avec... des corbeaux qui lui apportaient du pain et de la viande, et il buvait. Il était... disant: «Pauvre vieux Elie.» Il était dans une condition meilleure que celle de beaucoup parmi nous. Et il était assis là, et...

            Et tout d’un coup, vous savez, il a vu venir un bataillon de cinquante hommes. Il s’est levé et a dit: «Si je suis un homme de Dieu, que le feu descende du ciel et les consume.» Et le feu est descendu et ils furent consumés; c’est ça la justice. Il leur était interdit d’accéder sur ce terrain.

46        «Oh! a dit le roi en apprenant cela, il doit y avoir eu une décharge électrique de l’orage ce jour-là.» Vous savez comment les gens essaient de se représenter cela, vous savez. «Il doit y avoir eu un éclair qui a frappé. J’enverrai un autre bataillon de cinquante.»

            Et lorsque le vieux Elie les a vu venir, il s’est levé et a dit: «Si je suis un homme de Dieu, que le feu descende du ciel et les consume.» Le feu est descendu et les a consumés: La justice de Dieu. Il s’est fatigué d’envoyer les bataillons de cinquante. Certainement. Je ne veux pas Sa justice; je veux Sa miséricorde.

47        Mais, oh! nous pensons donc que pendant que Pierre prononçait encore ces paroles, avant que cela sorte de sa bouche, une voix s’est fait entendre du Ciel, disant: «Celui-ci est Mon Fils bien-aimé. [Espace vide sur la bande–N.D.E.] Ecoutez-Le.» Il y avait Moïse, ne l’écoutez pas; la justice, ne l’écoutez pas. Tout est en Lui. «Ecoutez-Le.» Il n’y a plus de lois. Il n’y a plus de jugements, parce qu’Il porte notre jugement. Je suis si content. La loi ne pouvait rien faire pour moi.

            Mais qu’est-ce que Christ peut faire pour moi? Christ représente, non pas Sa loi, pas Sa justice, mais Il représente Sa miséricorde, Son amour. Dieu a tant aimé le monde qu’Il a donné Son Fils unique, afin que quiconque croit en Lui ne périsse point, mais qu’il ait la Vie Eternelle. Christ peut me donner l’amour. Christ peut me donner la Vie Eternelle. Christ peut me donner la guérison de mon corps. Christ peut me donner la satisfaction. Christ peut ôter toute ma tristesse et me donner la joie.

            La loi ne pouvait pas faire cela. Les prophètes ne pouvaient pas le faire. Mais: «Ecoutez-Le.» L’église ne peut pas faire cela aujourd’hui. Le monde ne peut pas faire cela aujourd’hui. Votre argent ne peut pas faire cela aujourd’hui. Vos amis ne peuvent pas faire cela aujourd’hui. Donc: «Ecoutez-Le.» Il est le seul qui puisse faire cela.

48        Il y en a beaucoup parmi vous ici maintenant qui se meurent, qui souffrent du cancer, qui souffrent du coeur, qui vont mourir dans quelques jours si rien ne se passe pas. Vos médecins vous ont abandonnés. La clinique vous a abandonnés. L’hôpital vous a abandonnés. Et si eux ne peuvent rien faire pour vous: «Ecoutez-Le. Je suis l’Eternel qui guérit toutes tes maladies. Ecoutez-Le.»

            Venez avec cela, avec amour. Le monde se meurt aujourd’hui faute d’amour. Aujourd’hui, les chrétiens, nous avons de bonnes églises pleines d’érudits, de beaux bâtiments. Mais nous avons des chaires faibles. Il y a quelque chose qui cloche. L’assemblée n’éprouve pas de sympathie les uns envers les autres comme autrefois. Il y a quelque chose qui manque. Le monde voit ça, chrétiens. Ce dont nous avons besoin aujourd’hui, c’est du baptême de l’amour les uns pour les autres. «A ceci tous connaîtront que vous êtes Mes disciples, si vous avez de l’amour les uns pour les autres.»

            Aucun homme n’a un amour plus grand que Celui qui donne Sa vie pour Ses amis. «Ecoutez-Le.» Et Il était le Seul qui pouvait faire cela. Un ange ne pouvait pas le faire. Rien d’autre ne pouvait le faire. Et Il l’a fait. Vous n’avez aucun droit d’écouter autre chose que Lui, Lui. C’est «Ecoutez-Le.»

49        La Bible déclare: «Vous êtes le sel de la terre.» Le sel est un conservateur lorsqu’il entre en contact. Mais s’il perd sa saveur, peu importe qu’il entre en contact...

            C’est là que l’Eglise se trouve. C’est là le problème. Ils ont perdu l’amour fraternel. Ils ont perdu la sympathie les uns envers les autres. Le monde, les gens cherchent quelque chose de réel.

            Ils ont vu beaucoup d’imitations, beaucoup de fabriqués. Les gens disent: «Oui, je suis chrétien. Je crois dans la guérison divine», et ensuite, ils affichent une attitude différente. Vous dites: «Je suis chrétien», vous sortez et vous portez cette espèce d’habits. Vous dites: «Je suis chrétien», et vous vous comportez... vous sortez, vous fumez la cigarette, vous jetez les dès, vous faites toutes sortes de choses. Honte à vous. C’est un...

            Je–je–je ne suis pas un... Je vous aime. Mais, frère, je préférerais vous corriger maintenant plutôt que venir au Jugement. Vous direz: «Frère Branham, je suis très content que vous ayez fait cela.» Ce sera alors trop tard. Ce dont nous avons besoin, c’est de l’amour et du respect pour Dieu et pour Son peuple. Peu importe de quelle dénomination ils sont membres, tant qu’ils sont frères, ils sont frères. Nous avons besoin de nous aimer les uns les autres. Et l’amour rétablira les contacts là où rien d’autre ne le fera.

50        Je suis un chasseur. Je connais la vie des animaux. Les gens demandent: «Frère Branham, n’avez-vous pas peur de vous approcher de ces ours et autres juste avec un couteau en main?» Certainement pas. Je sais que si vous avez peur d’un animal, il le sait. Vous ne pouvez pas le bluffer. Il le sait. Mais si vous n’avez pas peur, il le sait aussi. Voyez? Et si un animal, par l’instinct, sait cela, qu’en est-il de l’homme?

            Vous ne pouvez pas faire semblant avec un feu peint. Eh bien, vous direz: «Oh! je suis chrétien.» Vous dessinez un feu de quelque chose qui a existé. Vous ne pouvez pas dire à un homme qui gèle: «Regardez cet énorme feu qui a brûlé autrefois, maintenant allez-y vous réchauffer.» Un feu peint ne réchauffe pas. Ça doit être le même feu.

            Nous avons besoin du Feu de l’amour de Dieu dans nos coeurs. Nous ne pouvons pas nous réchauffer à une quelconque doctrine historique. Il nous faut avoir le Saint-Esprit maintenant. Le même Esprit qui avait envoyé le Feu de la Pentecôte le premier jour, doit être le même Feu de la Pentecôte aujourd’hui, qui enflamme leurs coeurs, leur amour; ils mourraient les uns pour les autres. Ils avançaient avec un seul objectif: Gagner des âmes pour Christ; un motif: L’amour. C’est tout.

51        Il n’y a pas longtemps, j’avais un ami avec qui je chassais dans les bois du nord. C’était l’un des meilleurs chasseurs avec lesquels j’aie jamais chassé: un tireur d’élite, un très bon traqueur, mais c’était l’homme le plus méchant que j’aie jamais vu. Il était vraiment méchant. Il avait l’habitude de me taquiner, parce que moi je suis un prédicateur. Et je l’aimais; en effet, j’ai gagné des centaines de pareils hommes à Christ en étant dans les bois.

            Donc, j’aimais chasser avec lui, parce qu’on pouvait le laisser n’importe où, on n’avait pas à le chercher. Il savait où il se trouvait. Son nom est Burt. Et j’allais là, il tirait sur les faons, juste pour me faire mal. Eh bien, si vous voulez ti... tuer un faon, c’est en ordre. Abraham avait tué un veau et il avait donné à manger à Dieu. Mais quant à faire juste volte face et tirer sur un pour faire le méchant, faire le malin, c’est... Parfois, ce n’est pas ce que vous dites qui compte, mais la façon dont vous le dites. Non pas... Ce n’est pas ce que vous faites qui compte, mais la façon dont vous le faites. Ainsi, il tirait simplement sur ces petits faons pour me faire mal.

52        Je disais: «Burt, tu es l’homme le plus méchant que j’aie jamais vu. Pourquoi–pourquoi fais-tu cela, Burt? Ces pauvres petits animaux...»

            Il disait: «Bah! Billy, ressaisis-toi. Tu es un prédicateur poule mouillée. C’est tout ce qu’il y a.» Il disait: «Tu es un bon chasseur, mais je–je–je... Tu es une poule mouillée.»

            Je disais: «Burt, ce n’est pas ça être poule mouillée.» Je disais: «C’est plutôt agir avec bon sens.»

            J’ai été garde-chasse pendant sept ans, garde-chasse de l’Etat. J’aime la nature. Je n’aime pas voir cela être massacré. Je n’aime pas voir quelque chose être écrasé, peu importe ce que c’est.

53        Alors, je... Il m’a dit... Une fois, j’étais allé là-haut, et il–il s’était fabriqué un petit sifflet. Il pouvait prendre ce petit sifflet et imiter un petit faon réclamant sa maman. Un petit cri de faon; c’est un... le petit d’une biche. Et il pouvait faire retentir cela juste comme le cri d’un petit faon réclamant sa maman.

            J’ai dit: «Burt, tu ne vas pas faire ça.»

            «Bah! a-t-il dit, voyons, prédicateur. C’est ça le problème avec vous tous les prédicateurs, vous êtes trop mous.» Il a dit: «Vous êtes simplement trop poule mouillée.» Il disait: «Je suis... Je chasse les gibiers.»

            J’ai dit: «Je–je t’aime, Burt. Mais ne fais pas ça.»

            Alors, nous sommes allés chasser ce jour-là. Et c’était... vers la fin de la saison. J’ai travaillé tard. Et alors, il... Nous avions emporté une cruche, un thermos plein de chocolat chaud, juste pour nous stimuler. Lorsqu’on a très froid, parfois il fait moins dix, quinze, vingt, et nous mettons tout simplement ce chocolat chaud, et lorsque nous prenons notre dîner, là... qu’il fasse chaud ou froid, eh bien, nous prenons du chocolat chaud.

54        Alors, c’était vers la fin de la saison. Et aussitôt que les coups de fusil retentissaient, ces petites biches se sauvaient pour s’abriter. Et je veux dire qu’elles se terrent là. Elles savent mieux que sortir. Il y avait alors environ six pouces [15 cm] de neige, un très bon temps pour suivre la piste des animaux. Et je savais que nous attraperions dans peu de temps une biche. Nous avons donc commencé ce matin-là, et c’était lui qui faisait le guide. Nous avons gravi le mont Cherry, vers Washington. Et lorsqu’il est arrivé... généralement, nous chassons jusqu’à midi, et puis, nous nous séparons. Burt va dans une direction et moi, dans une autre. Et puis, nous rentrons au camp, et nous y arrivons la nuit. On était donc vers midi, il s’est assis dans une petite clairière de la dimension d’à peu près la moitié de cette salle. Il s’était assis sur la neige, il s’est mis à chercher dans son flanc. Et je me suis dit qu’il allait prendre ce chocolat afin que nous en prenions un peu. J’ai déposé mon fusil contre l’arbre. Il a fait sortir ce petit sifflet. Il a levé les yeux vers moi, ces yeux de lézard, et il a dit... il a mis cela dans la bouche comme ça.

            J’ai dit: «Burt, tu ne vas pas faire ça.»

55        Et il a fait retentir un cri juste comme celui d’un petit d’une biche en train de pleurer. Et juste de l’autre côté de la clairière, une énorme belle biche s’est levée. Or, une biche, c’est une mère cerf. Elle était si près que j’ai pu voir les gros yeux bruns et les jolies grandes oreilles dressées. Eh bien, c’est inhabituel. Elles ne se lèveraient pas en ce moment de la journée. Elles resteraient couchées. Et elle a regardé. Et lui s’est retourné vers moi comme pour dire: «Tu vois ce que je t’avais dit?»

            Je me suis dit: «Burt. Assurément, assurément que tu ne vas pas faire ça.» Et il a dit... Elle a encore bramé, comme cette petite–cette petite biche, cette petite mère... le petit faon... Et j’ai regardé, cette grosse biche s’est avancée dans la clairière. C’est tout à fait inhabituel. Pourquoi faisait-elle cela? C’était une mère. Elle avait l’amour maternel. Un petit était en difficulté. Elle n’était pas une hypocrite. Elle n’allait pas, disons, à l’église pour être vue. Il y avait quelque chose en elle. Elle était une mère. Elle avait l’amour. Et cet amour, c’était pour son petit. Elle est née une mère. Elle a encore écouté.

56        Alors, le vieux Burt a tendu la main, il a tiré la culasse mobile de ce fusil 30-06, il a introduit une balle dans le canon, il a pointé. Je me suis dit: «Oh! la la! En un instant, il va lui faire sauter le coeur.» Elle s’est avancée dans cette clairière. Et tout chasseur de biche sait que c’est–c’est tout à fait inhabituel. Mais quel était le problème? Il y avait quelque chose en elle qui la contraignait, et elle s’est tournée. Elle voyait le chasseur de l’autre côté du buisson, et c’était un tireur d’élite. Et le réticule était dirigé droit vers son coeur.

            Je me suis dit: «Oh! Je ne peux pas regarder ça. Comment puis-je regarder ça? Quand cette précieuse mère... Il lui fera sauter du coup ce coeur loyal, avec une balle à pointe ronde de 180 grains. Eh bien, il lui fera un trou aussi grand que ça à cette distance-là.» Ce n’était pas à plus de trente yards [27,43 m] de là où elle était... «Elle la fera tournoyer à plusieurs reprises après qu’il l’aura atteinte. Et ce coeur loyal va exploser en elle.» Je me suis dit: «Comment peut-il faire cela?»

57        Alors, j’ai détourné la tête. Je ne pouvais pas regarder cela. Je ne pouvais pas voir quelque chose de réel et de loyal être abattu comme cela. J’ai détourné la tête, je me suis mis à prier très doucement: «Seigneur, ne le laisse pas faire cela. Cette pauvre mère là cherche son petit. Elle n’y peut rien. Il y a quelque chose en elle. Elle est née une mère. Et il y a un petit en difficulté. Peu importe le–le danger, elle ignore ce danger. Elle s’avance malgré tout.»

            Et j’ai attendu, et j’ai attendu, et le fusil n’a point détoné. Et je me suis retourné pour voir, le canon du fusil allait comme ceci. Il a levé les yeux vers moi, de grosses larmes lui coulaient sur les joues, il a jeté le fusil par terre, il m’a saisi par les jambes du pantalon et a dit: «Billy, j’en ai marre. Ici même sur ce... ce banc de neige, enseigne-moi ce Jésus dont tu parles, qui a cet amour réel.»

58        Qu’était-ce? Il avait vu quelque chose de réel. Il avait vu quelque chose être manifesté, qui n’était pas de fabriqué. C’était quelque chose d’authentique. Là sur ce banc de neige, j’ai conduit ce pécheur cruel au Seigneur Jésus, parce qu’une mère biche avait pu manifester quelque chose de réel: L’amour, le vrai amour. Ni la mort ni rien d’autre ne pouvait donc la séparer. La Bible dit qu’une mère peut oublier l’enfant qu’elle allaite, «mais Moi, Je ne peux jamais vous oublier. Vos noms sont gravés sur Mes mains.» Ecoutez-Le, amis. C’est Lui qui vous donne l’amour Eternel.

            Inclinons la tête. Juste avant que nous priions, combien dans cette grande assistance ici ce soir... Maintenant, soyez sincères, c’est la fin du service. Combien ici voudraient sincèrement avoir l’amour de Dieu dans leur coeur pour le manifester au monde, autant d’amour de Dieu qu’elle avait l’amour maternel, cette vieille mère biche? Que Dieu vous bénisse, madame. Que Dieu vous bénisse. Regardez les mains dans cette assistance, littéralement des centaines. «Seigneur, donne-moi ce genre d’amour. De l’amour pour mes frères, de l’amour pour les–les membres de ma famille, de l’amour de Dieu qui m’amène à être ce que Jésus voudrait que je sois, une véritable naissance, un chrétien né de nouveau.» Etes-vous réellement sincère là-dessus maintenant?

            Vous pouvez avoir cela. Inclinez la tête juste un instant maintenant pour la prière. Dans votre coeur, priez et dites: «Ô Dieu, place l’amour dans mon coeur. Je L’entends appeler. Quelle est cette petite voix qui m’a fait lever la main? C’est Lui. «Ecoutez-Le. Car Dieu a tant aimé le monde qu’Il a donné Son Fils unique, afin que quiconque croit en Lui ne périsse point, mais qu’il ait la Vie Eternelle.»

59        Ô Seigneur, il y a beaucoup, beaucoup de mains de mères, de pères, de jeunes, de vieux qui se lèvent. Ils ont entendu une petite voix qui leur a parlé: «Tu as besoin de ce genre d’amour. Et ils viennent humblement maintenant accepter cela. Il est écrit dans la Parole: «Je ne mettrai pas dehors celui qui vient à Moi.» Donne-leur, Seigneur, ce grand amour. Et puissent-ils en être tellement saturés dans leurs coeurs que cela les amènera à s’avancer droit en face de l’ennemi, droit en face du danger ou de n’importe quoi pour faire entrer les âmes perdues dans le Royaume de Dieu, car c’est cela la volonté du Père. Comme Jésus a dit: «Ne savez-vous pas que je dois m’occuper des affaires de Mon Père?»

            Et Ses affaires, c’est le salut des âmes perdues. Accorde ce soir, Seigneur, que chacun d’eux reçoive cet amour profond dont nous parlons, car je Te les confie comme les trophées de ce Message.

            Ils sont à Toi. Et il est écrit: «Celui qui écoute Ma Parole, et qui croit en Celui qui M’a envoyé, a la Vie Eternelle et ne vient point en jugement, mais il est passé de la mort à la Vie.» L’Esprit a parlé par Lui, et ils L’ont reçu. Maintenant, garde-les, Père, dans une paix parfaite. Que leurs coeurs s’accrochent à Toi. Si je ne leur serre jamais la main sur cette terre, puissé-je le faire sur une Terre meilleure de l’autre côté de la rivière. Car nous le demandons au Nom de Jésus, Ton Fils. Amen.

60        Oh! Ne L’aimez-vous pas vraiment? Chantons ce cantique. Donnez-nous l’accord de Je L’aime. Que tout le monde ici maintenant chante cela avec moi; adorons maintenant, tout le monde ensemble. «Je L’aime, je L’aime, parce qu’Il m’aima le premier.» Alors que nous n’étions pas aimables, Il nous a aimés. Chantons tous cela maintenant. Tous ensemble. Très bien.

Je L’aime (adorez-Le simplement)
Je L’aime
Parce qu’Il m’aima le premier
Et acquit mon salut
Sur le bois du Calvaire.

            Ne vous sentez-vous pas bien? Si vous vous sentez vraiment lavés par le Sang du Seigneur Jésus, levez simplement les mains et chantez cela.

Je... (Regardez simplement vers Lui maintenant, adorez-Le. Dites-le-Lui.) je L’aime
Parce qu’Il m’aima le premier
Et acquit mon salut
Sur le bois du Calvaire.

61        Je me demande si nous pouvons fredonner cela pendant que nous pensons simplement à Sa bonté, à ce qu’Il a fait pour nous. [Frère Branham se met à fredonner.–N.D.E.] Fermez simplement les yeux maintenant. Représentez-vous qu’Il est juste devant vous. C’est le Bien le plus aimable dans tous les Cieux et sur toute la terre, Il est l’expression de l’amour du Père.

... m’aima le premier

            [Frère Branham fredonne la suite du refrain.–N.D.E.] Oh! N’est-Il pas merveilleux?

Je L’aime (J’aime adorer. Aimez Sa Présence.)
Parce que... m’aima le premier
Et acquit mon salut
Sur le bois du Calvaire.

62        Seigneur, nous sommes reconnaissants. Tu es le Père Eternel. Et nous Te sommes si reconnaissants de l’amour de Dieu qui a été déversé dans nos coeurs par le Saint-Esprit. Nous avons senti Sa Présence divine baigner simplement notre âme. Après avoir entendu la Parole, Elle pénètre profondément dans notre coeur, à entendre la simple petite histoire. Je suis très content, Seigneur, de l’avoir rencontré il y a environ une année, et comme il m’a étreint! Il a dit: «Billy, je n’oublierai jamais ce banc de neige.» Il y a de cela quelques quatorze ans, mais il est toujours un aimable chrétien, diacre de l’église. Nous en sommes si heureux, Seigneur. Comment cette manifestation... Dieu est... S’ils se taisent, ces pierres crieront aussitôt. Dieu peut manifester Son amour par Ses animaux, par tout ce qu’Il veut, Il peut prendre n’importe quoi et s’en servir pour Sa gloire. Nous en sommes si heureux. Nous sommes si contents pour Jésus, de ce qu’Il nous a aimés. Et nous communions autour de Sa Parole maintenant, communiant dans le Saint-Esprit. Puissions-nous rester toujours dans cet état, Seigneur, unis en sécurité.

63        La réunion se termine après les lignes de prière. Si je revenais dans quelques mois, il y en aura peut-être ici qui ne seront plus là. Celle-ci aura été notre dernière rencontre jusqu’à ce que nous nous rencontrerons à cette Porte-là. Tout sera alors terminé. Accorde, Seigneur, que Tous ceux qui sont dans la Présence divine, que Tu as envoyés ici ce soir, puissent eux tous être là ce jour-là, chantant encore «Je L’aime, Je L’aime, parce qu’Il m’aima le premier.» Accorde ces bénédictions, Père, alors que nous le demandons au Nom de Jésus.

            Et maintenant, Seigneur, nous formons la ligne de prière. Et je Te demande encore une fois, Seigneur, alors que nous quittons maintenant la vallée, d’accorder que la Présence du Seigneur Jésus soit si réelle ce soir qu’Elle agira et accomplira les mêmes oeuvres qu’Il accomplissait lorsqu’Il était ici sur terre. Que chaque coeur Lui soit confié, ainsi que mon coeur. Seigneur, accorde que je puisse m’abandonner tellement à Ton Saint-Esprit qu’Il pourra utiliser mes yeux et mes lèvres, afin que j’aie des visions et que je les dise parfaitement, et que les gens sachent que c’est Toi et Ta promesse, et nous Te louerons, car nous demandons tout cela en Son Nom. Amen.

64        Le photographe prenait des photos. Et j’ai laissé un petit moment pour cela, car aussitôt que la ligne de prière commence, on ne prend pas des photos, car l’Ange du Seigneur est une Lumière. Lorsque je vois les flashs, cela interrompt le service, voyez. Donc, je suppose que Billy et les autres leur en ont parlé, voyez. C’est pourquoi les frères prennent les photos maintenant avant que le service commence. (Eh bien, où est Billy?) ...?...

            Priez donc pour moi. Lorsque je me retrouve outre-mer, au milieu des sorciers et tout qui défient l’Esprit de Dieu... Beaucoup parmi vous ont entendu les Messages. Jamais une seule fois on a défié Cela sans que le Seigneur Dieu soit venu au secours et...?...

65        Combien se souviennent d’avoir lu dans le livre concernant le fou à–à Seattle, Washington, je pense, cette fois-là à Tacoma? Vous rappelez-vous ce qui s’était passé?

            Et que dire des sorciers en–en... là en Afrique, ou les hommes saints là en Inde? Voyez-vous ce qui était arrivé?

            Qu’en est-il de l’homme dont le service avait été loué pour venir m’hypnotiser? Il était assis à la réunion là à Toronto, au Canada. Pendant qu’il était assis là, cherchant à m’hypnotiser, j’ai senti ce mauvais esprit. Je n’arrivais pas à le repérer pendant un moment. Puis, je l’ai directement localisé, j’ai dit: «Pourquoi le diable a-t-il placé dans ton coeur de faire cela? Dieu te jugera.» Cet homme a été frappé de paralysie, et il est toujours paralysé. Il y a de cela huit ans. On l’a fait sortir de la salle en le transportant. Nous ne faisons pas la religion.

66        Qu’en est-il ici même, dans cette petite ville Santa Rosa? Y a-t-il ici quelqu’un de Santa Rosa qui était là lorsque j’étais à Santa Rosa? Vous souvenez-vous de Phoenix? Cet homme-là avait dit: «Je n’ai pas à incliner la tête.» Et sa femme m’a tenu les pieds, elle se traînait dans la boue, à Santa Rosa. Six semaines plus tard, son mari était là complètement fou, sauvage, poussant des cris. Un fonctionnaire de Phoenix, en Arizona. Je suis allé auprès de lui, j’ai imploré Dieu d’être miséricordieux. Dieu l’a guéri. Il a fait passer ses bras autour de sa femme, il est rentré chez lui normal. Voyez?

            C’est le Saint-Esprit, amis. Soyez révérencieux, respectez Cela. Vous ne pouvez jamais recevoir quelque chose auprès de Dieu si vous ne respectez pas Cela.

67        Considérez Marthe lorsqu’elle est allée à la rencontre de Jésus. (Maintenant, c’est de 50 à 75. Frayez-vous le chemin de l’autre côté-là.) Lorsque Marthe est allée à la rencontre de Jésus, on dirait qu’elle avait le droit de Lui faire des reproches, n’est-ce pas? De dire: «Pourquoi n’es-Tu pas venu quand nous T’avions appelé? Mon frère se mourait. Tu n’es pas venu. Pourquoi n’étais-Tu pas venu?» Si elle avait dit cela, ça ne serait jamais arrivé. Voyez? Mais elle a dit: «Seigneur...» (C’est exactement ce qu’Il était) «si Tu eusses été ici, mon frère ne serait pas mort.» Ecoutez ça. «Mais maintenant même, tout ce que Tu demandes à Dieu, Dieu Te l’accordera.» Vous y êtes. Quelque chose doit arriver.

68        Il a dit: «Je suis la Résurrection et la Vie. Celui qui croit en Moi, quand même il serait mort, vivra. Quiconque vit et croit en Moi ne mourra jamais; crois-tu cela?»

            Elle a dit: «Oui, Seigneur, je crois que Tu es exactement ce que Tu dis être. Je crois que Tu es le Fils de Dieu qui devait venir sur la terre.»

            «Où l’avez-vous enseveli?» C’était la chose suivante.

            Oh! Quelque chose doit arriver. Vous voyez, elle avait respecté Dieu en respectant Son Fils. Si vous honorez le Fils, vous honorez le Père qui a envoyé le Fils. Est-ce vrai? Si vous honorez Son messager, vous honorez Celui qui a envoyé le Message. C’est vrai. J’ai vu cela tout au long de mon ministère. Très bien. Maintenant, 75 à 100. Prenez place. L-75 à 100, alors que les huissiers les placent dans la ligne.

69        Maintenant, maintenant, j’aimerais voir combien ici sont malades, partout dans la salle. Vous n’avez pas de carte de prière, parce qu’on a distribué toutes les cartes de prière. Vous n’avez pas de carte de prière, mais cependant, vous croyez que Jésus vous guérira, et vous voulez qu’Il le fasse, levez la main. Regardez simplement ça. Ça me brise pratiquement le coeur. Le...

            Je ne vais pas vous quitter, je... En effet, si je peux vous amener à voir ce... Maintenant, écoutez attentivement. Ceci est peut-être ce moment crucial que vous avez attendu. Maintenant, écoutez très attentivement.

70        La Bible dit, dans Hébreux, que Jésus-Christ est le Souverain Sacrificateur qui peut être touché par les sentiments de nos infirmités. Que tous ceux qui savent que c’est scripturaire disent amen. [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.] Maintenant même, Il est le Souverain Sacrificateur, l’unique Souverain Sacrificateur. L’unique Médiateur entre Dieu et l’homme, c’est l’Homme Jésus-Christ. Et Il peut être touché maintenant, pas hier; Il peut être touché maintenant par les sentiments de nos infirmités.

            Eh bien, les Ecritures déclarent qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Il a dit: «Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus; mais vous, vous Me verrez (Vous, qui est-ce? Le croyant.), car Je serai avec vous jusqu’à la fin du monde.» Maintenant, Il est toujours le même Souverain Sacrificateur, le même hier, aujourd’hui et éternellement, ici dans ce tabernacle ce soir parmi Son peuple, utilisant Son peuple. Il agira de même qu’Il avait agi jadis lorsqu’Il était sur terre, s’Il est le même Souverain Sacrificateur. Maintenant, si vous Le touchiez, comment sauriez-vous que vous L’avez touché? En effet, Il agirait de la même façon, vous sauriez que C’était le même Souverain Sacrificateur.

71        Ecoutez, mes amis. Cela me rappelle une petite histoire. Les parents de Jésus étaient montés à la Pentecôte. Maintenant, écoutez attentivement. Ils étaient montés à la Pentecôte adorer avec Jésus alors qu’Il avait douze ans. Quand ils revenaient, après l’adoration, ils mirent... ils pensaient simplement que... ils tenaient pour certain qu’Il était avec les membres de la famille. Et après un long voyage, ils se sont mis à Le chercher et ils ne pouvaient pas Le trouver.

            C’est ce que l’Eglise fait présentement. Elle cherche à trouver où Il est. Vous pensiez que vous trouviez... que vous pouvez Le trouver parmi les membres de votre famille. Il n’est pas là. Parfois, vous pensiez que vous Le trouveriez en adhérant à l’église. Vous ne Le trouverez pas là. Où allez-vous Le trouver? Là où vous L’avez laissé. Eglise, vous vous demandez ce qui ne va pas: «Le Grand Jésus qui était autrefois, pourquoi n’accomplit-Il pas ces choses qu’Il a promises?» Quel est le problème?» Rentrez là où vous L’avez laissé. Où est-ce que l’Eglise a laissé Jésus? A la Pentecôte. C’est vrai.

72        Jésus a dit: «Je suis le Cep, vous êtes les sarments.» Maintenant, écoutez attentivement. Combien... Vous tous, vous savez que c’est la vérité, Saint Jean 17... 15, je pense. «Je suis le Cep, vous êtes les sarments.»

            Or, n’oubliez pas, ce n’est pas le Cep qui porte les fruits. C’est le sarment qui porte les fruits. D’où tire-t-il sa vie? Du Cep. Et si un cep pousse et porte un sarment, ce que le premier sarment est, c’est ce que le deuxième sarment issu de la même vie manifestera, le même genre de sarment. Un... prenez ce sarment-ci, disons que c’est la vigne, eh bien, cela portera des raisins. Or, le prochain peut être une citrouille, et l’autre une pastèque. Chaque cep... chaque sarment qui sort de ce cep portera une grappe de raisins, parce que cela sort de la vigne.

73        Et le premier cep qui est sorti de Jésus-Christ a produit une Eglise de la Pentecôte remplie du Saint-Esprit, de la puissance; le deuxième sarment portera la même chose, le troisième sarment fera de même. Ça sera... Chaque sarment que Cela portera sera le même genre de sarment.

            Nous L’avons laissé quelque part. C’est ce qu’ils avaient fait à la fête de la Pentecôte, la fête de la Pentecôte. Jésus est le même Dieu, le même Christ, le même Fils de Dieu. Il est toujours le même qu’autrefois, Il L’est maintenant; seulement, c’est Son Esprit qui est ici pour continuer Son oeuvre comme Il avait promis de le faire.

74        Maintenant, par exemple, voici une ligne de gens. Et si ces gens venaient ici et disaient: «Frère Branham, je suis malade. Pouvez-vous me guérir?» Non. Et si Jésus se tenait ici dans ce costume qu’Il m’a donné? Et s’Il se tenait ici, et que ces gens venaient et disaient: «Veux-Tu me guérir, Seigneur?»

            Il dirait: «Et vous dites que vous croyez en Moi? Avez-vous lu Ma Parole?»

            «Oui, Seigneur. Oh! J’aime Ta Parole. Je La lis.»

            «Et alors, vous Me demandez de vous guérir? Comment puis-Je faire quelque chose que J’ai déjà fait? Je vous ai déjà guéri. Lorsque Je suis mort pour vous, Je vous ai guéri.» Est-ce vrai? Alors, s’Il est mort, et que la–la guérison est accomplie, alors tout ce que vous avez à faire, c’est accepter cela. Maintenant, Il peut vous dire... faire quelque chose qu’Il faisait, accomplir un genre de signe comme ce qu’Il avait fait jadis. Quel signe était-ce? Quel était le signe par lequel les gens avaient su qu’Il était le Messie? Tenez... Lorsqu’Il a dit à Pierre qui il était, le nom de son père, ainsi que son nom, Pierre a reconnu que C’était le Messie. Il est allé trouver un autre gars, c’est Philippe qui est allé. Nathanaël, quand il est venu à Jésus, Jésus lui a dit qui il était, où il avait été, Il a dit qu’Il l’avait vu sous l’arbre.

            Et il a dit: «Tu es le Fils de Dieu, le Roi d’Israël.» Jésus a dit: «Puisque Je t’ai dit ça, tu crois? Tu verras de plus grandes choses que ça.» Assurément, parce qu’il était un croyant.

75        Il est allé chez les Samaritains. Il devait faire cela devant eux là! Il est donc allé chez les Samaritains, et cette femme qu’Il a rencontrée au puits. Il lui a parlé un peu. Et au cours de l’entretien, Il lui a dit... Il avait découvert son problème. Il a dit: «Va, appelle ton mari, et viens ici.»

            Elle a dit: «Je n’ai point de mari.»

            Il a dit: «Tu as dit vrai. Tu en as eu cinq, et celui avec qui tu vis maintenant n’est pas ton mari.»

            Elle a dit: «Je vois que Tu es Prophète. Mais nous savons que lorsque le Messie sera venu, Il nous annoncera ces choses.»

            Il a dit: «Je Le suis, Moi qui te parle.»

            Elle est entrée dans la ville en courant et a dit: «Venez voir un Homme qui m’a dit ce que j’ai fait. Ne serait-ce point le Messie même?»

76        Si c’était là le signe du Messie hier, et qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement, Il doit faire la même chose. N’est-ce pas scripturaire? C’est l’Urim Thummim qui parle, comme je l’ai dit cet après-midi. Eh bien...

            J’ai appelé à partir de... tous ensemble. Très bien. Il y en a qui manquent. 100 manque. La carte de prière numéro 100. Peut-être que c’est quelqu’un de sourd et... Regardez les cartes. La carte de prière numéro 100, lettre L manque. Très bien. Si elle est ici, levez la main, ou que quelqu’un regarde sur la... Y a-t-il des cartes de prière là dans l’assistance? Quelqu’un a-t-il une carte de prière? Levez la main. Etes-vous 100, madame? Quelle carte, quelle carte de prière avez-vous? Quoi? Eh bien, allez de l’avant et entrez là dans la ligne de toute façon. Voyez? Entrez dans la ligne. Vous avez une carte pour y entrer. Vous n’étiez pas là. C’était hier soir, la carte d’avant-hier soir. Très bien, allez de l’avant, entrez dans la ligne. C’est en ordre. Si vous voulez entrer, prenez place. Entrez-y n’importe où. C’est en ordre. Quelqu’un vous laissera entrer dans la ligne. La carte de prière vous y fait entrer.

77        Maintenant, y a-t-il d’autres cartes de prière? C’est tout. D’accord. Maintenant, regardez. Une dame, quel est votre numéro, madame? Que le huissier là s’en occupe.

            Très bien. Maintenant, ceux qui n’ont pas de cartes de prière et qui croient que Jésus les guérira, levez la main.

            Maintenant, avant que nous commencions cette ligne de prière, je ne sais pas arrêter au niveau de chacun pour des visions. En effet, lorsqu’une petite dame avait touché Son vêtement, Il a dit qu’Il avait connu qu’Il était devenu faible, que la vertu était sortie de Lui. Combien s’en souviennent? Il a promené le regard tout autour jusqu’à repérer celle qui avait fait sortir cette vertu, Il a trouvé la petite femme, et Il a dit, Il lui a dit que sa perte de sang s’était arrêtée, car elle avait cru. Est-ce vrai?

78        Maintenant, vous tous qui êtes malades là dans l’assistance, ne me regardez pas; C’est Lui. Mais regardez-Le et croyez. Voyez? Et touchez Son vêtement et voyez s’Il est le même Souverain Sacrificateur qu’Il était hier. Et vous direz comme ceci... Maintenant, que tout le monde soit respectueux et calme. Maintenant, regardez. Puisqu’Il est le même Souverain Sacrificateur, et que je vous ai dit la vérité, dites ceci à Dieu, en cette dernière soirée: «Seigneur, je n’ai pas de carte de prière. Cet homme ne me connaît pas. Je suis malade. Et si seulement Tu me laisses toucher Ton vêtement, que Tu parles par ce frère-là, qu’Il se retourne et me parle comme Tu avais parlé... lorsque cette femme avait touché Ton vêtement, que Tu lui as parlé, révélant sa maladie; si seulement Tu fais cela pour moi, je prendrai... Cela ôtera toute la superstition de mon coeur. Je croirai que Tu es Dieu, je T’adorerai pour toujours.» Priez en disant à Dieu quelque chose comme cela, et puis, regardez dans cette direction et voyez ce qu’Il fera.

79        Quel défi! Vous... Je suis sûr... Est-ce que vous tous, vous comprenez ce que–ce que c’est? S’il y a quelqu’un ici qui pense que ce n’est pas vrai, qu’il vienne donc ici faire la même chose; moi, je quitterai l’estrade. Tout celui qui veut venir ici faire la même chose, il est le bienvenu. L’auditoire est calme. Soyez alors révérencieux, écoutez, priez et croyez. Voyez-vous ce qui est arrivé? Maintenant même, peu importe combien je prêche, tout cela est faux si c’est... c’est–c’est une bonne chose, mais cela marchera-t-il?

            Quelqu’un est venu vers moi, il n’y a pas longtemps, quelqu’un de l’université luthérienne, il a dit qu’ils voulaient accepter le Saint-Esprit. Quatre cents et quelque personnes de cette université luthérienne avaient déjà reçu le Saint-Esprit. Ils ont dit: «Frère Branham, nous avons tout entendu sur les dons; nous sommes allés auprès de quelqu’un qui a écrit un livre, et il a dit: ‘Je n’en ai aucun, a-t-il dit, nous... J’ai simplement écrit au sujet des dons.’» Assurément, vous pouvez écrire à leur sujet, mais sont-ils réels? Assurément qu’ils sont aussi réels que Dieu; C’est Sa Parole.

80        Maintenant, soyez très respectueux. Frères, j’aimerais dire une seule chose. Après, vous les hommes, je n’ai jamais de ma vie eu un groupe de meilleurs croyants. Que Dieu vous bénisse. Priez maintenant pour moi, car j’en ai besoin.

            Maintenant, vous tous là dans l’assistance maintenant, sans carte de prière, regardez simplement dans cette direction, mettez-vous à prier, mettez-vous à croire, voyez ce que Dieu fera. (C’est vrai, là même.)

81        Maintenant, que chacun de vous dans la ligne de prière qui m’est inconnu, je ne vous connais pas, levez la main pour montrer que vous savez que je ne vous connais pas. Très bien. Là dans l’assistance, des inconnus, levez la main, ceux qui sont malades. Je ne vous connais pas. Il n’y a personne que je vois devant moi ce soir dans cette salle que je connaisse, à part mon bon ami, frère Julius Stadsklev, assis ici même, avec sa femme, certain... Elle est ici, juste à côté de lui. Ce sont les seules personnes là dans l’assistance que je peux dire connaître dans l’assistance. Peut-être que beaucoup peuvent me connaître, mais moi, je ne les connais pas.

            Maintenant, croyez simplement. Soyez vraiment respectueux. Cela prouvera...

82        Maintenant, voici une femme que je n’ai jamais vue de ma vie, à ce que je sache. Vous avez levé la main pour montrer que nous ne nous connaissons pas. Eh bien, alors, voici un parfait tableau de la Bible, de Saint Jean 4, un homme et une femme qui se rencontrent pour la première fois. C’est maintenant donc notre première rencontre. Eh bien, si le Saint-Esprit venait ici et s’emparait de cette femme de telle sorte que vous verrez l’onction de l’Esprit en action, je vais alors me mettre à prier pour les gens, et laisser passer une personne, pour récupérer après cette personne-là, et puis, je prendrai une autre. Et puis, je fais comme nous avons fait hier soir.

            Préféreriez-vous cela au vieux procédé que j’utilisais autrefois? Combien préfèrent cela à ce que nous faisions autrefois? Levez la main. Autrefois, je prenais juste un ou deux, trois, ou quatre, cinq. Je laissais simplement... Je suivais tout ce que l’Esprit disait. Puis, à ce moment-là, j’étais tellement faible qu’on devait me transporter pour me faire quitter l’estrade. Mais maintenant, peut-être que je parle à une seule personne jusqu’à ce que l’Esprit apporte la révélation, ensuite Cela va dans l’assistance, je prends les gens là dans l’assistance, et puis, de temps en temps, je reviens dans la ligne. Eh bien, si... Je–je ne sais pas ce que... c’est juste un don de...

            Permettez-moi de dire ceci avant de commencer. C’est juste un moyen pour moi de me détendre par le Saint-Esprit et de Le laisser simplement prendre la relève. Je ne sais pas ce qu’Il fera ou ce qu’Il dira. C’est un don. Je ne sais pas quoi, comment je m’y prends; je–je sais simplement qu’Il m’a parlé, et je crois cela.

            Et je crois bien qu’Il se tient ici même maintenant. Et aussitôt que je me détends, Il prend simplement la relève et se met à agir. Il ne m’a jamais fait défaut jusque là, et Il ne me fera pas défaut maintenant, car je crois que ce qu’Il dit sera la vérité.

83        Je veux juste vous parler. (Eh bien, je ne sais pas qui est le technicien chargé de ce micro. Parfois lorsqu’une vision est en cours, je ne sais pas si je parle ou pas du tout, c’est un autre monde. Voyez? Ainsi donc, vous le relevez comme... sinon les gens ne m’entendront pas.)

            Maintenant, si c’est notre première rencontre, et que le Saint-Esprit me révèle quelque chose que vous savez que moi, j’ignore (voyez?), il n’y a aucun moyen pour moi de savoir, c’est quelque chose qui a été, ou–ou quelque chose comme cela, vous reconnaîtrez si c’est la vérité ou pas. Et puis, si ça arrive, vous saurez que ça doit être un miracle. Ça doit être un Etre surnaturel. En effet, il n’y a aucun moyen pour moi de vous connaître. Je ne sais qu’une seule chose à votre sujet, c’est que vous êtes une femme, là debout, et que celle-ci est notre première rencontre. Voilà ma main. Je ne vous ai jamais rencontrée auparavant, et vous avez levé la main pour montrer que nous ne nous sommes jamais rencontrés, et voici la Parole de Dieu. Voyez? Alors, nous y sommes. Ce n’est pas dans un coin, c’est ici même devant des milliers de gens qui sont ici et qui me regardent.

84        Maintenant, si Jésus-Christ est ce qu’Il a dit, qu’Il était, le même hier, aujourd’hui et éternellement, et que cet Ange qui est venu vers moi, qui m’a apporté ce Message, qui m’a dit de dire aux gens que je suis né dans ce but... Si donc Il le veut, Il peut me dire quelque chose à votre sujet, et vous reconnaîtrez qu’il faut un miracle pour faire cela, croirez-vous que c’est le Fils de Dieu qui a fait cela? Vous croirez.

            Combien dans l’assistance croiraient cela? C’est Sa Promesse. Il ne fait pas cela parce qu’Il... parce qu’Il est obligé de le faire; l’unique raison pour laquelle Il fait cela, c’est que Cela soit accompli. Il n’avait pas à guérir les gens, mais le prophète a dit qu’Il le faisait afin que cela soit accompli. C’est ce qui se passe maintenant, que ça soit accompli.

85        Maintenant, si l’assistance peut encore entendre ma voix, cette femme qui se tient devant moi est entoure d’une ombre très noire. Elle est couverte de l’ombre de la mort. Elle souffre du cancer. Maintenant, ne voyez pas cela au visage. Mais c’est vrai, l’ombre de la mort.

            Maintenant, certains nouveaux venus qui n’ont jamais été ici auparavant, levez la main, ceux qui n’ont jamais assisté à l’une des réunions. Maintenant, si vous pensez qu’on a deviné cela, que cela arrive tout simplement parce qu’on l’a deviné, parlons un peu plus à la femme.

            Eh bien, le Seigneur connaît mon coeur. Il connaît le pourquoi de ceci. Oui, cela revient; elle est couverte de l’ombre, une ombre noire qui est la mort, et c’est le cancer. Et ce cancer est dans le côlon, dans les intestins. Puis, vous souffrez de troubles d’estomac. C’est aussi vrai. Vous n’êtes pas de cette ville-ci. Vous venez d’une... de l’est d’ici, c’est une ville appelée Fresno. C’est vrai. Votre nom, c’est madame Duncan. C’est vrai. Croyez-vous maintenant? Rentrez chez vous comme vous avez cru, qu’il vous soit fait selon votre foi. Le cancer ne vous dérangera pas. Vous pouvez rentrer chez vous et être guérie au Nom de Jésus-Christ.

86        Prions maintenant, pendant que nous faisons passer ces gens dans la ligne. Que quelqu’un là dans l’assistance, sans carte de prière, prie. Priez simplement, vous qui n’avez pas de carte de prière. Quelqu’un là dans l’assistance ce soir... dites... juste afin que vous voyiez. L’onction est ici; le Saint-Esprit est ici. Ayez foi, ne doutez pas.

            Une petite dame assise ici même en train de me regarder, vous souffrez de trouble d’estomac. Croyez-vous que Jésus-Christ vous rétablit? Croyez-vous? La petite dame là avec un petit châle noir, assise là même. Croyez-vous de tout votre coeur? Très bien, vous pouvez recevoir votre guérison. Vous n’avez pas de carte de prière. Je ne vous connais pas, je ne vous ai jamais vue. Et pourtant, vous étiez assise là, priant Dieu de vous laisser toucher le Souverain Sacrificateur, et quelque chose est arrivé. Qu’avez-vous touché? Vous êtes à vingt pieds [6 m] de moi. Vous avez touché le Souverain Sacrificateur.

87        Voudriez-vous me faire une faveur? Etant donné que vous êtes guérie, la dame assise à côté de vous pense dans son coeur qu’elle a aussi besoin de guérison pour un mal des yeux. Croyez-vous que Dieu vous guérira?

            Vous dites: «Ai-je lu sa pensée?» Non, j’ai entendu sa prière. Comment ai-je entendu cela? Par l’Esprit. Amen.

            Que Dieu vous bénisse. Maintenant, vous pouvez toutes les deux rentrer chez vous, rétablies. Oui.

            Le petit homme dans l’assistance au bout de la rangée, ici même, souffre des muscles. C’est vrai, monsieur. Vous étiez en train de prier, disant: «Seigneur, moi aussi.» Est-ce vrai? Est-ce vrai? Levez-vous, si c’est vrai. Vous êtes guéri maintenant, Jésus-Christ vous rétablit.

            Croyez-vous? Regardez. Je ne connais pas cet homme. Je ne l’ai jamais vu de ma vie. Il m’est parfaitement inconnu. Mais ce n’est pas moi qu’il a touché; Il a touché Quelqu’un qui est là-haut, c’est le Souverain Sacrificateur. Pouvez-vous vous rendre compte de ce que... de notre situation ce soir? L’Oint du Saint-Esprit est parmi nous. Amen. Croyez cela maintenant, de tout votre coeur, de tout votre être. Croyez cela, vous pouvez l’avoir.

88        Venez. Croyez-vous maintenant? Prions tous maintenant. Je vais juste essayer de m’abstenir maintenant des visions pendant quelques minutes et commencer cette ligne de prière. Très bien. Venez maintenant, soeur, pour qu’on prie pour vous.

            Priez tous. Combien vont promettre de prier là dans l’assistance maintenant pendant que nous faisons passer la ligne de prière, afin que je puisse les faire passer tous maintenant? Seigneur, au Nom de Jésus, guéris notre soeur.

            Venez, soeur. [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

            Le diabète... Tenez-vous ici. Que tous ceux qui souffrent du diabète se lèvent. Tenez-vous juste ici. Venez en croyant. Venez, madame. Vous souffrez d’une tumeur. Que tous ceux qui souffrent d’une tumeur se lèvent. Venez ici, madame. Continuez simplement à descendre jusqu’au bout de l’allée. Ayez foi. Venez ici. Vous souffrez aussi du diabète, tenez-vous donc ici même. Ayez foi. Cette femme est couverte de l’ombre du cancer. Que tous ceux qui souffrent du cancer se lèvent. Tenez-vous ici, soeur. Croyez de tout votre coeur.

89        Venez ici, soeur; regardez dans cette direction. Vous êtes sur le point de subir une intervention chirurgicale à cause de la tumeur. Très bien, tenez-vous juste là. Que tous ceux qui souffrent d’une tumeur se lèvent. Venez dans cette direction.

            Regardez ici, monsieur. Croyez-vous que je suis Son prophète? Vous souffrez de l’arthrite. Que Tous ceux qui souffrent de l’arthrite se lèvent. Venez ici, monsieur. Ayez foi en Dieu. Vous avez... Votre mal de dos, le rein, tenez-vous là. Que tous ceux qui souffrent de rein se lèvent. Très bien. Vous verrez la gloire de Dieu. Continuez simplement à croire maintenant de tout votre coeur. Tenez-vous ici même, soeur.

            Venez, madame, par ici. Croyez-vous que je suis le serviteur de Dieu? Très bien, vous souffrez d’une maladie gynécologique, une maladie des femmes. Que toutes celles qui souffrent d’une maladie de femme se lèvent. Venez dans cette direction maintenant.

            Venez; voyons, madame. Regardez dans cette direction. Vous souffrez de l’arthrite. Venez vous tenir juste ici. Très bien, descendez de l’estrade et mettez-vous en ligne. Ayez foi.

90        Venez ici, soeur, j’apprécie ce petit voile espagnol. Vous souffrez de la nervosité. Neuf personnes sur dix dans cette assistance en souffrent. Levez-vous, vous tous qui souffrez de la nervosité. Tenez-vous juste ici.

            Venez ici, monsieur, et croyez. Venez ici, monsieur. Parlez-vous anglais? Très bien, regardez-moi. Croyez-vous que je suis le prophète de Dieu? Si Dieu me révèle votre maladie, accepterez-vous cela? Vous souffrez de l’asthme. Tenez-vous ici. Que tous ceux qui souffrent de l’asthme se lèvent.

            Cette dame ici... regardez ici. C’est l’arthrite. Le matin, quand elle se lève, elle est raide. Tenez-vous ici, au Nom du Seigneur Jésus. Cet homme ici... Venez ici, monsieur. Le trouble d’estomac, tenez-vous juste là derrière. Que tous ceux qui souffrent de l’estomac se lèvent, ayez foi.

            Le trouble d’estomac, tenez-vous juste ici et croyez Dieu de tout votre coeur.

91        Oh! Vous allez voir la gloire de Dieu. Si Dieu peut les guérir ici, Il peut vous guérir là dans l’assistance, tout aussi bien qu’Il peut le faire ici.

            Regardez dans cette direction, soeur. Tenez, vous, cette femme, qui venez ici. Regardez dans cette direction. Elle souffre du coeur. Très bien. Que tous ceux qui souffrent du coeur se lèvent. Descendez ici, soeur. Très bien. Regardez dans cette direction, soeur. L’arthrite... restez juste ici derrière le dos.

            Tout le monde, vous allez voir arriver quelque chose, que vous n’avez jamais vu auparavant. Observez seulement. Tenez-vous juste ici derrière, soeur.

            Croyez en Dieu de tout votre coeur. Venez ici même. Vous avez... vous êtes sur le point de subir une intervention chirurgicale à cause d’une tumeur. Tenez-vous juste ici derrière maintenant. Croyez de tout votre coeur. Une autre dame, regardez dans cette direction. L’arthrite, descendez ici maintenant. Croyez de tout votre coeur. L’asthme, tenez-vous juste ici, croyez de tout votre coeur.

92        Croyez-vous? Croyez-vous que Dieu peut me révéler quelque chose à votre sujet? En fait, vous n’êtes pas ici pour vous-même. Vous êtes ici pour quelqu’un d’autre; c’est votre père. Votre père n’est pas ici. Il habite dans cette contrée. Il est dans un Etat boisé. Il est en Pennsylvanie. C’est vrai. AINSI DIT LE SEIGNEUR. Il souffre d’une tumeur d’estomac, vous redoutez que ça soit le cancer. Si c’est vrai, faites signe de la main. Amen. Ça y est. Tenez-vous juste ici derrière.

            Nous y sommes. Nous sommes maintenant prêts pour la prière. Chacun de vous là debout qui êtes malades, imposez les mains à quelqu’un d’autre qui est debout. Si Dieu peut chasser chacun de ceux-ci, là, ce démon est exposé. Vous voyez. Dieu connaît toutes choses. Vous allez voir la ligne de guérison la plus glorieuse que vous ayez jamais vue. Ecoutez simplement ceci. C’est ça. Priez les uns pour les autres.

            Ô Seigneur Dieu, Créateur des cieux et de la terre, Auteur de la Vie Eternelle et Donateur de tout don excellent, envois Tes bénédictions, Tes louanges, et tout sur ces gens.

            Seigneur Dieu, accorde-le. Et que la puissance de Jésus-Christ vienne guérir tout le monde. Satan, sors d’ici. Tu es vaincu au Nom de Jésus-Christ.

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