PrĂ©dication Pourquoi? de William Branham a Ă©tĂ© prĂȘchĂ©e 59-0813 | La durĂ©e est de: 1 heure 24 minutes |
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Pourquoi?
1 Câest certainement bon dâĂȘtre encore de retour ce
soir ici Ă ces rĂ©unions Chautauqua, et dâĂȘtre de retour avec dans mon
cĆur la victoire du Seigneur JĂ©sus.
Je suis un petit peu fatiguĂ©, je nâai pas fermĂ©
lâĆil depuis la nuit dâavant-hier. Je suis rentrĂ© Ă la maison, et jâai
pris ma famille. Ma vieille Ford a rĂ©cidivĂ©. Ou plutĂŽt elle nâa pas
rĂ©cidivĂ©, elle est vraiment fichue. Et jâai dĂ» donc lâamener lĂ -bas au
garage, et ensuite venir ici, et elle est au garage maintenant. Câest
donc un⊠Elle estâelle est presque foutue. Ainsi⊠nous sommes trĂšs
contents dâĂȘtre ici.
Et maintenant, nous avons encore deux grandes
soirées, le vendredi et le samedi. Et nous nous attendons à ce que
notre Seigneur fasse de grandes choses au cours de ces soirées. Et nous
ne savons vraiment pas ce qui nous attend encore ce soir. Jâaime ça,
parce que vous pouvez vous attendre Ă ce que nâimporte quoi arrive.
Nous ne savons pas exactement quand Dieu pourrait venir ici parmi nous
pourâpour nous donner une autre PentecĂŽte. Câest ce quâil nous faut. Et
je serais trĂšs heureux dâĂȘtre en plein dedans avec vous, pour apprĂ©cier
la communion, la fraĂźcheur du Saint-Esprit. Et je vous assure, nos
contrées en ont vraiment besoin.
2 Nous venons de connaĂźtre un procĂšs chez nous. CeâŠ
Jâai lu dans le journal ce matin quâune femme avait tuĂ© un homme en lui
tirant en plein dans le dos et elle a été acquittée au tribunal. On a
dit quâelle Ă©tait devenue aveugle quand elle tirait. Lâavocat de la
partie adverse a dit: «Vous ĂȘtes certainement un bon tireur quand vous
ĂȘtes aveugle.»
Et ça montre vraiment le pouvoir quâa lâargent pour
renverser un procĂšs. Le meurtre semble ĂȘtre une chose trĂšs
insignifiante. Et la criminalité est en recrudescence.
Naturellement, vous voyez tous dans les journaux ce
quâil en est de ces gens du rock and roll et de ce qui est arrivĂ©, ici
dans ce parc et ce qui est arrivĂ©. Et lĂ , il nây avait pas assez de
preuves parce que les filles de certains juges et de certains maires y
Ă©taient impliquĂ©es. Le tĂ©moignage dâune centaine de gens nâa donc pas
suffi pour quâelles soient inculpĂ©es.
3 FrĂšre, en dehors de Dieu, tout est faux. Il ne
reste quâune seule chose qui soit juste, et câest Dieu. Une seule
justice, et câest Dieu. Mais il vient un jour oĂč le Juste Juge rendra
le juste jugement, et oĂč le monde sera jugĂ© par Lui, JĂ©sus-Christ. Nous
sommes si heureux de savoir cela, que peu importe ce qui se passe ici,
il y a un jour qui vient. Nous attendons donc ce jour avec impatience,
courant vers le but de la vocation cĂ©leste en Christ, nous attendant Ă
ce quâIl vienne Ă tout moment.
Vous savez, je ne vois pas beaucoup de choses qui
restent qui vont⊠pourraient LâempĂȘcher de venir accomplir toutes les
prophéties concernant Son retour. FrÚre Sullivan, pouvez-vous dire amen
Ă cela? [FrĂšre Sullivan dit: «Oui, monsieur.»âN.D.Ă.] Je crois cela,
moi aussi, frĂšre, quâIl pourrait revenir Ă tout moment.
4 Vous savez, je trouve que nos réunions sont trÚs
certainement trop courtes. Quand les gens sont rassemblés, ne serait-ce
pas merveilleux maintenant si nous ne⊠si nous avions environ trois ou
quatre semaines de ceci oĂč nous pourrons tenir les aprĂšs-midi des
services dâinstructions, prĂȘcher sur la Seconde Venue, exposer les
Ăcritures et En parler; et tenir une rĂ©union de ministres chaque matin
Ă dix heures oĂč les ministres pourraient se rassembler dans la
communion? Oh, si Dieu le veut (je peux sentir la chose se préparer),
je vais me procurer une grande tente un de ces jours, nous pourrons
donc la dresser quelque part et rester quatre Ă six semaines au mĂȘme
endroit. Et ensuite⊠Nous croyons donc que si quelque chose⊠AprÚs
quâon aura priĂ© pour les gensâŠ
Bien des fois, les gens ne comprennent pas comment
sâemparer de la guĂ©rison. Et dans de courtes et petites rĂ©unions comme
celle-ci, vous ne pouvez pas les instruire. Vous y avez des pécheurs,
il vous faut donc prĂȘcher la Parole et faire des appels Ă lâautel. Vous
devez penser Ă lâonction du Saint-Esprit sous le discernement. Et
toutes ces choses, ne les faire quâen une soirĂ©e ou deux.
5 Et puis, quand une personne est guérie par exemple,
si elle nâest pas⊠Vous voyez, la foi ne connaĂźt pas de dĂ©faite.
Il y a quelques années, une jeune femme est venue me
voir. CâĂ©tait Ă lâĂ©poque oĂč les dames ont commencĂ© Ă porter ces⊠ce
quâon appelle chez nous des jupes scandales. Celles-ci sont en quelque
sorte fendues sur le cÎté. Et elle était une jeune fille chrétienne
dâune certaine Ă©glise dĂ©nominationnelle. Et elle a dit: «FrĂšre Branham,
a-t-elle dit, trouvez-vous que câest faux que nous chrĂ©tiennes portions
ce genre de jupes?»
Et jâai demandĂ©: «Quel genre est-ce?»
Et elle a dit: «La jupe scandale.»
Jâai dit: «Pour commencer, je ne vois pas pourquoi
une chrĂ©tienne voudrait porter quelque chose qui scandalise.» Mais jâai
dit: «Si cela⊠Pourquoi me posez-vous la question? Il y a des doutes
dans votre esprit. Et aussi longtemps quâil y a des doutes dans votre
esprit, ne le faites pas.» Câest la meilleure façon de se tenir loin du
mal. Sâil y a le moindre doute dans votre esprit, tenez-vous Ă©loignĂ© de
cette chose. Mais quand la chose est parfaitement claire pour vous,
allez alors de lâavant. Vous pouvez alors la faire avec foi.
6 Câest ainsi que jâessaie de mây prendre pour mes
réunions. Avec les appels venant de quatre cents et quelques grandes
villes ici en Amérique, sans compter le monde, je les dépose et je prie
jusquâĂ ce que je sois sĂ»r dans mon cĆur que Dieu mâappelle Ă un
certain endroit. Alors jây vais. Peu importe combien ça tourne mal,
quelle que soit la chose, je finis toujours par dĂ©couvrir que câest
Dieu Ă lâĆuvre, peut-ĂȘtre avec une seule personne.
Câest mieux de toujours obĂ©ir Ă Dieu, et nâayez pas
de doutes. Eh bien, sâil y a des doutes dans votre esprit au sujet de
recevoir le Saint-Esprit, pour savoir si câest pour aujourdâhui ou pas,
vous ne Le recevrez jamais ainsi. Vous nây arriverez pas. Vous devez
ĂȘtre sĂ»r que la promesse est pour vous. Et vous ĂȘtes⊠Et puis, si
quelque chose dans votre vie vous condamne, vous feriez mieux
dâarranger cela dâabord, car Il ne viendra pas sur cette base-lĂ .
Voyez? Vous devez arranger cela. Alors, une fois quâon est au clair sur
tout cela, et quâon a parfaitement compris, nous pouvons alors nous
mettre en marche.
7 Jésus a dit dans Marc 11.24: «Si tu dis à cette
montagne: âĂte-toi de lĂ !â, et si tu ne doutes pas dans ton cĆur, mais
crois que ce que tu as dit arrive, tu le verras sâaccomplir.» Pas ce
que Moi Jâai dit, ce que tu as dit. Vous voyez, si vous ne doutez pas
dans votre cĆur, mais croyez que ce que vous avez dit arrive, vous le
verrez sâaccomplir.
Mais alors, avant de voir cela sâaccomplir⊠Et voici
comment jâessaye toujours de considĂ©rer cela: il faut quâil y ait un
type correct de motif et un objectif correct. Et si votre motif est
correct, votre objectif est correct, et que votre foi soit correcte,
Ă©tant donnĂ© que vous sentez que câest la volontĂ© de Dieu, rien ne peut
empĂȘcher la chose de sâaccomplir. Pensez-Y.
8 Pour moi, peu importe ce que câest. Si vous dites Ă
la montagne: «Ăte-toi de lĂ .» Et peut-ĂȘtre quâau cas oĂč vous deviez
passer par-dessus la montagne pour un but, pas pour dire⊠Quelquâun
pourrait dire: «Oh! Je suis un grand homme de foi. Je vais déplacer
cette montagne.» Elle ne se déplacera jamais.
Mais sâil y a quelque chose de lâautre cĂŽtĂ© de la
montagne pour lequel vous devez passer par-dessus elle pour faire la
volonté de Dieu, et que vous ne soyez pas en mesure de passer
par-dessus elle, sous elle, la contourner, et que malgré tout quelque
chose dans le cĆur vous dise dây aller, prononcez la Parole. Ne doutez
pas. Et peut-ĂȘtre quâau moment oĂč vous prononcez la parole, un seul
petit grain de sable tombera. Mais câest en route. Le jour suivant, une
cuillerée pourrait tomber, le jour suivant, une tasse à thé pleine.
Vous ne le remarquerez pas. Mais si vous restez ferme, sachant que
câest en cours, au bout dâun moment, le tout va tomber.
Il en va de mĂȘme pour la guĂ©rison divine. Quand vous
voyez le Saint-Esprit Ă lâĆuvre, la Parole ĂȘtre prĂ©sentĂ©e, le
Saint-Esprit oignant cette Parole et prouvant quâIl est ici parmi nous
pour Se confirmer et vous donner la promesse, alors acceptez votre
guérison.
9 Sâil y a le pĂ©chĂ© dans votre vie, ĂŽtez-le. Sâil y a
la condamnation, ĂŽtez-la. Sâil y a le doute, ĂŽtez-le, jusquâĂ ce que
vous voyiez parfaitement que câest la volontĂ© de Dieu, que câest le
plan de Dieu et que vous en faites partie, dites alors: «Maladie, au
Nom de JĂ©sus-Christ, Ă©loigne-toi de moi.» Et ne lâoubliez pas, vous
pourriez ne pas vous sentir mieux pendant une semaine. Mais dĂšs que
vous avez prononcĂ© cette Parole, quelque chose sâest produit. Dieu est
obligé de tenir Sa Parole. Cette maladie est ébranlée et elle commence
Ă quitter. Elle partira si seulement vous croyez. Ne doutez pas.
Câest comme lorsque Pierre marchait sur lâeau, Il
lui a dit: «Pourquoi as-tu douté? Oh! Homme de peu de foi.» Juste parce
quâil sombrait; ça nâavait rien Ă voir avec cela. Christ le lui avait
ordonnĂ© et Sa Parole suffisait. Câest de cette maniĂšre que nous
devrions aussi le concevoir. Bien, cela ne concerne pas mon texte de ce
soir. Mais, câest la vĂ©ritĂ©.
10 Bon, nous allons essayer de nous occuper des
cartes de priĂšre, sâil en reste ce soir, juste comme il semblera bon au
Saint-Esprit. Et puis, demain soir, nous essaierons de distribuer
dâautres cartes de priĂšre. Je crois quâil nous en reste un tas de la
premiÚre ou de la deuxiÚme soirée, car le Saint-Esprit fait une chose
trÚs merveilleuse parmi nous. Oh! Combien nous devrions apprécier cela.
Et Je suis sûr que vous appréciez cela. Il ne devrait pas y avoir un
seul⊠de place pour le moindre doute.
11 Jâaimerais dire ceci en guise de tĂ©moignage. Il y
a tant de choses que je pourrais dire. Quand jâai arrĂȘtĂ© ma voiture il
y a quelques minutes, uneâune jeune femme est venue Ă ma rencontre. Et
elle a dit: «FrÚre Branham, je ne voudrais pas vous interrompre, mais,
a-t-elle dit, je ne saurais vraiment pas mâempĂȘcher de vous dire ceci.»
Jâai dit: «Allez-y, sĆur.»
Et elle avait dans les bras le plus beau et
grassouillet petit bébé. Et elle a dit: «Quand vous étiez ici la
derniĂšre fois, jâĂ©tais dans la ligne de priĂšre. Et quand je me suis
approchĂ©e de vous, vous avez dit: âLa raison pour laquelle vous ĂȘtes
ici, sĆur, ce nâest pas pour une quelconque maladie, mais vous perdez
vos enfants suite Ă des fausses couches. Et vous voulez que je demande
Ă Dieu de vous permettre dâavoir un enfant.â» Et jâai dit: «Câest une
chose honorable.»
Et elle a dit: «Câest exact, monsieur.»
Et jâai alors dit Quelque chose, comme dâhabitude:
«AINSI DIT LE SEIGNEUR, rentrez chez vous, car vous aurez votre
enfant.» Et ce soir, elle mâa montrĂ© un doux petit bĂ©bĂ© rondelet que
Dieu lui a donné dans Son étonnante grùce.
La dame est ici quelque part. Je crois quâelle
sâappelle Madame York, mâa-t-elle dit. Ătes-vous prĂšs dâici, Madame
York? La voici juste ici maintenant avec un bébé dans les bras.
Oh! Le mĂȘme Dieu de lâAncien Testament est le mĂȘme
Dieu aujourdâhui. Il ne faillit jamais. Jâaurai donc une femme dont je
sais maintenant queâŠ
12 Je vois assis ici certains de mes amis Canadiens
qui sont venus du Canada. Il y a de cela environ quatorze ans, cette
femme qui avait environ quarante-huit ans est venue Ă la rĂ©union, câest
une Canadienne dâorigine allemande. Et elle a dit que le Seigneur lui a
dit dans la ligne de priĂšre, par le discernement, quâelle Ă©tait
stĂ©rile. Et les mĂ©decins avaient dĂ©clarĂ© quâelle ne pourrait jamais
avoir dâenfant. Et jâai dit: «Vous souffrez aussi de la terrible
maladie de la tuberculose.»
Et elle a dit: «Câest vrai, monsieur.»
Jâai dit: «Rentrez chez vous, car vous ĂȘtes guĂ©rie
de votre tuberculose, et vous allez embrasser un joli petit garçon de
huit livres [environ 3,6 kgâN.D.T.], AINSI DIT LE SEIGNEUR.»
Elle est rentrée chez elle, elle était forte et en
bonne santé. Les médecins disaient que son cas était chronique. On ne
devrait donc plus y perdre le temps.
13 AprÚs que se soient écoulés environ huit ans⊠Vous
pouvez donc vous imaginer lâĂąge de la femme. Elle a dit quâelle est
allĂ©e dans une Ă©glise oĂč on lui a parlĂ©, disant: «SĆur, si câĂ©tait
Dieu, ça serait arrivĂ©.» Et elle a cru cela. Et aussitĂŽt quâelle a pris
position contre cela, elle a rattrapé la tuberculose. Et alors, le
prĂ©dicateur, sans le vouloir, je ne pense pas, a dit que jâĂ©tais un
psychiatre, que jâĂ©tais un liseur des pensĂ©es, que jâavais lu tout
simplement ce qui était dans son esprit. Et son mari, un homme loyal,
sâest levĂ© et a dit: «Mais il lui a dit AINSI DIT LE SEIGNEUR.» Et le
prĂ©dicateur sâest moquĂ© de lui. Et sa femme dut ĂȘtre alitĂ©e Ă cause de
la tuberculose.
14 JâĂ©tais dans le nord de la Colombie-Britannique
dans une excursion de chasse. En descendant vers Edmonton, je me suis
arrĂȘtĂ© pour environ deux heures. Et environ sept ou huit mille
personnes sâĂ©taient rassemblĂ©es. Et aprĂšs le service⊠Je nâavais pas
mon par-dessus, je nâavais sur moi quâun petit habit de soirĂ©e. Et leâŠ
Un homme sâest approchĂ©, et a dit: «FrĂšre Branham, je vais vous donner
mon pardessus.» Jâavais chaud et je transpirais.
Et jâai dit: «Non.» Mais jâai demandĂ©: «NâĂȘtes-vous
pas le frÚre Doble?»
Il a rĂ©pondu: «Câest moi.»
«Oh! ai-je dit, lâĂ©tat de santĂ© de votre femmeâŠÂ»
Et il a dit: «FrĂšre BranhamâŠÂ» Il mâa racontĂ©
lâhistoire. Il a dit «Elle est dans un Ă©tat trĂšs grave Ă cause de la
tuberculose.»
Jâai demandĂ©: «Pourquoi a-t-elle doutĂ©?»
Il a répondu: «Eh bien, FrÚre Branham, cela a
tellement traĂźnĂ© quâelle a commencĂ© Ă douter.»
Jâai dit: «Peu mâimporte combien elle doute. Jâai eu
cette vision. Elle tenait un petit garçon tout gros et potelé. Et cela
va arriver, en dĂ©pit de ce quâelle dit ou de ce quâelle pense, car Dieu
lâa dĂ©jĂ dit. Une vision ne peut pas ĂȘtre arrĂȘtĂ©e.»
15 Fred Sothmann, un brave ami Ă moi, il est ici
prĂ©sent maintenant. Je pense quâil y a environ deux ans de cela, frĂšre
Fred, ou plutÎt trois ans, nous étions dans le Saskatchewan⊠Je pense
que câĂ©tait Ă Prince Albert. Prince Albert, dans le Saskatchewan. Et
dans lâarĂšne⊠Et un tĂ©lĂ©gramme est arrivĂ©. Madame Doble se rendait lĂ ,
elle devait avoir son bébé dans les trois jours qui suivaient. Et on
lâa amenĂ©e dans une voiture spĂ©ciale, vu son Ăąge, on craignait quâelle
ne soit pas en mesure de supporter cela. Jâai priĂ© pour elle.
Et elle a dit: «Une chose, FrÚre Branham, je
confesse mon pĂ©chĂ© dâincrĂ©dulitĂ©.» Mais elle a dit: «Je veux vous
demander une chose comme confirmation. Vous avez dit que ce serait un
garçon.»
Jâai dit: «Ce sera un garçon.»
Et aussitĂŽt quâils ont pu rentrer chez eux, elle a
eu un petit garçon de huit livres [environ 3,6 kgâN.D.T.] qui court çĂ
et lĂ au Canada ce soir, un garçon dâune mĂšre de plus de cinquante ans,
parce que Dieu tient Sa Parole. Il ne faillit jamais.
16 Prions. Seigneur, alors que nous sommes dans leâŠ
ceci, ce que nous appelons le temps, cela passe si vite. Mais un jour,
nous quitterons le temps pour entrer dans lâĂ©ternitĂ©. Et nous nous
assiérons au bord de la riviÚre sous les arbres toujours verts. Et là ,
nous rencontrerons nos amis et nous donnerons des témoignages, et nous
louerons Son Nom pour toujours. Je mâattends Ă en voir des millions
lĂ -bas auxquels nous avons prĂȘchĂ© et auprĂšs desquels nous avons exercĂ©
notre ministĂšre.
Mais tandis que nous sommes ici, Seigneur, dans la
chaleur, du jour, nous Te prions ce soir de nous accorder Ta grĂące et
Ta miséricorde, et que chaque personne malade ici présente, malade du
péché ou malade dans son corps, que ceci soit un AINSI DIT LE SEIGNEUR
pour elle ce soir. Puisions-nous les revoir plus tard, comme câest le
cas avec cette aimable femme ce soir, Madame York, Ă une autre
occasion, peut-ĂȘtre dans une grande tente quelque part, et les entendre
tĂ©moigner que câest aux rĂ©unions Chautauqua que Ta misĂ©ricorde est
descendue et les a guéris, les a sauvés et remplis du Saint-Esprit.
Accorde-le, Seigneur.
Bénis les quelques Paroles qui seront lues dans Ta
Parole. Nous voulons Les lire parce que nos paroles failliront, mais Ta
Parole est éternelle et Elle ne peut pas faillir. Bénis les efforts que
nous fournissons, en guérissant les malades, en sauvant les perdus, et
en ramenant à la maison les rétrogrades, car nous le demandons au Nom
de Jésus. Amen.
17 Ce fidĂšle pasteur⊠Jâai reçu une petite note
Ă©crite ici: «Lâautel est Ă votre droite.» VoilĂ qui montre que câest un
pasteur trĂšs fidĂšle; il veut voir les perdus ĂȘtre sauvĂ©s. Câest le but
de notre prĂ©sence ici, voir les perdus ĂȘtre sauvĂ©s et bĂ©nir les gens.
Et vous ĂȘtes toujours une bĂ©nĂ©diction pour moi.
Dans le Livre de Jérémie chapitre 8, verset 22, je
lis:
Nây a-t-il point de baume en Galaad? Nây a-t-il
point de médecin? Pourquoi donc la maladie de la fille de mon peuple ne
guérit-elle pas?
Je voudrais prendre un texte, si on peut lâappeler
ainsi, sur le sujet suivant: Pourquoi?
18 Dieu, quand Il fraye une voie pour sâĂ©chapper, ou
quand Il envoie une pluie de misĂ©ricorde, et que les gens nâen tiennent
pas compte, Dieu se pose la question: «Pourquoi?» Il a le droit de se
poser la question: «Pourquoi?» Quand Il apprĂȘte tout et le prĂ©sente, et
quâensuite les gens rejettent cela, Dieu se demande: «Pourquoi les gens
ont-ils fait cela?» Et Il a le droit de se poser la question:
«Pourquoi?», car Il lâa fait pour notre bien.
Câest comme au 1er chapitre de II Rois, aprĂšs la
mort dâAchab, ce mĂ©chant roi dâIsraĂ«l, Achazia rĂ©gna Ă sa place, lequel
était son fils. Et il était aussi méchant que son pÚre et sa mÚre,
Achab et JĂ©zabel. Et pendant quâil marchait sur la terrasse de son
palais en Israël, quand il était leur roi, il est tombé. Et alors, il
tomba gravement malade, et il était presque mourant. Et il appela deux
de ses soldats et les envoya à Ekron consulter le dieu Baal-Zébub pour
sâenquĂ©rir sâil allait guĂ©rir de cette maladie ou pas. Il le fit en
secret.
19 Et pendant quâils Ă©taient en route, faisant cette
chose abominable⊠Il nây a point de mĂ©chancetĂ© qui se commette sans que
Dieu le sache. Il y avait un vieux petit prophĂšte chauve assis dans une
petite hutte de terre quelque part dans le dĂ©sert. Et lâAnge du
Seigneur vint vers lui et lui dit ce qui se passait. Et Il lui dit:
«Monte là -bas et tiens-toi sur la route.»
Et il a traversé le désert et a monté la colline, et
il a arrĂȘtĂ© les deux soldats. Et il leur dit: «Retournez dire Ă ce roi:
âNây a-t-il point de Dieu en IsraĂ«l? Nây a-t-il point de prophĂšte en
IsraĂ«l pour que tu consultes ces choses, pour que tu envoies des gens Ă
Ekron auprĂšs du dieu Baal-ZĂ©bub? Est-ce pour cette raison? Nây a-t-il
point de prophĂšte ou de Dieu ici Ă consulter pour que tu aies Ă
recourir Ă une telle ressource?» Il leur dit: «Allez lui dire: âAINSI
DIT LE SEIGNEUR, il ne descendra pas de ce lit, mais il mourra pour sa
mĂ©chancetĂ©!â»
Les soldats ont fait demi-tour et sont rentrés. Et
quand ils furent retournés auprÚs de ce roi, celui-ci a demandé:
«Pourquoi ĂȘtes-vous revenus?»
Ils lui ont répondu: «Nous avons rencontré un homme.
Et il nous a dit telle et telle chose.»
Le roi a demandé: «Quel aspect cet homme avait-il?»
Ils ont répondu: «Il était tout poilu, et il avait
une ceinture de cuir autour des reins.»
Et le roi a dit: «Câest Ălie le Thischbite.» Il
comprit quâil avait mal agi.
20 Il y avait un Dieu en Israël. Il y avait un
prophĂšte en IsraĂ«l. Mais câĂ©tait Ă cause de lâentĂȘtement du roi.
CâĂ©tait Ă cause de sa mĂ©chancetĂ© et de son pĂ©chĂ© volontaire quâil
nâĂ©tait pas allĂ© consulter Dieu Ă ce sujet. Et il a perdu la vie.
Câest pareil aujourdâhui. Nous nâavons pas besoin de
tant dâONU. Si nous sommes une nation chrĂ©tienne, appelons Dieu sur la
scĂšne. La raison pour laquelle il nây a point de baume en Galaad⊠Il y
a assurément du baume. Il y a un Dieu en Amérique. Il y a un Dieu ici.
Câest Ă cause de son entĂȘtement que le peuple ne veut pas Le consulter.
Il prĂ©fĂšre accepter le conseil dâun Ă©rudit intellectuel plutĂŽt que de
venir auprĂšs du Saint-Esprit bĂ©ni que Dieu a envoyĂ© sur la terre. Câest
pour cette raison que nous sommes dans une telle situation aujourdâhui.
Ce nâest pas parce quâil nâexiste pas de Dieu, ce nâest pas parce que
le Saint-Esprit nâest pas toujours rĂ©el, câest Ă cause de lâentĂȘtement
des gens. Câest parce quâils veulent pĂ©cher. Câest parce quâils
dĂ©sirent faire ces choses. Câest cela qui est dans leur cĆur.
21 Câest comme un homme qui meurt sur lâescalier dâun
mĂ©decin. Si un mĂ©decin a un remĂšde pour la maladie quâa un homme, et
que cet homme sâasseye sur son escalier, et refuse de prendre le
remĂšde, il mourra lĂ . Et ce nâest pas la faute du mĂ©decin. Il a le
remĂšde, et il veut bien le donner, mais lâhomme est trop tĂȘtu pour le
prendre.
Et câest pareil aujourdâhui. Ăa ne sert Ă rien quâun
homme meure dans le pĂ©chĂ©. Toutes ces choses qui se font ne servent Ă
rien. Dieu a le remĂšde. Et les gens sâasseyent sur les marches de
lâĂ©glise et meurent parce quâils refusent de recevoir cela. Ils meurent
dans le pĂ©chĂ© assis sur les bancs de lâĂ©glise, parce quâils refusent de
recevoir cela.
22 Il y a du Baume en Galaad. Il y a là un Médecin.
Mais les gens refusent de prendre Son mĂ©dicament. Le membre dâĂ©glise
locale tiĂšde pense ĂȘtre trop bon pour prendre le mĂ©dicament du
Saint-Esprit. Le Saint-Esprit est le mĂ©dicament de Dieu. Câest cela le
remĂšde. Mais le membre de lâĂ©glise locale refuse de le faire. Il va Ă
lâĂ©glise. Il fait inscrire son nom dans le registre. Il est disposĂ© Ă
payer sa dĂźme. Il est disposĂ© Ă faire tout ce qui est du mĂȘme genre.
Mais quand il sâagit de prendre le mĂ©dicament, il refuse de le faire.
23 Or, comment obtient-on les mĂ©dicaments? Dâabord,
la science commence Ă faire des recherches jusquâĂ ce quâelle trouve
une certaine toxine. Et ensuite, on lâinjecte Ă un cobaye. Et on voit
comment le cobaye y réagit. Et si le cobaye se rétablit, et que ça
marche parfaitement, on donne alors cela Ă lâĂȘtre humain.
Or, tous les ĂȘtres humains ne sont pas faits comme
le cobaye. Vous pouvez donner un certain médicament à un homme, et cela
aidera lâun et tuera lâautre. Vous pouvez donc avoir une excuse pour
cela, parce que le mĂ©dicament peut aider lâun et tuer lâautre. Vous
pourriez donc vous poser des questions Ă ce sujet, mais vous ne devez
pas vous poser des questions sur le Baume de Dieu, la Toxine de Dieu,
le Saint-Esprit. Il guĂ©rira chaque fois quâIl sera appliquĂ©. Il a Ă©tĂ©
testé et éprouvé, et Il est parfait. Le remÚde du cobaye est bon.
24 Le pĂ©chĂ© du monde aujourdâhui, la maladie la plus
grave ce nâest pas la maladie du cĆur; câest la maladie du pĂ©chĂ© qui
tue le monde. Câest ça qui dĂ©truit la nation aujourdâhui, câest le
péché qui détruit le monde entier. Et il y a suffisamment de remÚde
contre cela. Mais les gens refusent de le prendre. Ils ne veulent rien
avoir Ă faire avec.
Câest juste comme lâhomme assis sur lâescalier du
mĂ©decin. VoilĂ venir un homme qui avait la mĂȘme maladie et il est
guĂ©ri. Un autre vient et dit: «Câest du fanatisme. Je nâentre pas
lĂ -dedans.» Il mourra lĂ , parce quâil refuse de prendre le mĂ©dicament.
Et il en est ainsi. Lâhomme mourra et sombrera dans
une sombre Ă©ternitĂ© sans connaĂźtre Dieu sâil refuse le baptĂȘme du
Saint-Esprit. La toxine de Dieu lui est destinée.
Certaines personnes disent: «Je ne peux mâempĂȘcher
de pĂ©cher.» «FrĂšre Branham, jâai une accoutumance Ă la cigarette. Je ne
puis abandonner cela.» «Jâai une accoutumance Ă la boisson. Je ne puis
abandonner cela.» «Je suis colĂ©rique. Je ne puis mâen dĂ©barrasser.»
Vous essayez seulement de gagner du temps. Vous refusez simplement
dâutiliser la Toxine de Dieu. Elle guĂ©rira cela, si seulement vous La
preniez. Et des fois, câest pĂ©nible, mais Elle vous fait toujours du
bien. Il faut parfois un médicament qui a mauvais goût pour vous faire
du bien.
25 Ma vieille mĂšre, une vieille maman du KentuckyâŠ
Nous vivions lĂ -bas dans les collines oĂč nous mangions les doliques
avec du pain de maĂŻs; on faisait fondre la viande des peaux pour en
tirer la graisse Ă mettre dans leâle pain de maĂŻs. Et chaque samedi
soir, maman nous donnait un bain dans la grande vieille bassine de
cĂšdre. Combien parmi vous qui ĂȘtes du Kentucky ont dĂ©jĂ vu une vieille
bassine de cĂšdre? AssurĂ©ment. Et je voudrais vous dire quâon ne
renouvelait pas lâeau, on y ajoutait juste un petit peu dâeau plus
chaude, et cela du premier au dernier des neuf garçons. Et alors, ce
qui devait suivre le samedi soir pour nous préserver de la pellagre, dû
Ă notre alimentation, elle nous faisait prendre de lâhuile de ricin. Je
ne peux toujours pas supporter lâodeur de cette chose. Et je venais
avec le nez pincé. Et je disais: «Oh! Maman, ça me rend si malade.»
Elle disait: «Si cela ne te rend pas malade, cela ne
te fait aucun bien.»
Câest donc ainsi avec LâĂvangile. Il doit dâabord
vous donner des nausées vis-à -vis de vos péchés, pour que ça vous fasse
du bien. Pincez-vous le nez et prenez Cela. Vous devez peut-ĂȘtre vous
comporter comme un⊠je ne sais quoi, mais je⊠De toute façon, câest
bon. Cela guérira toujours le péché.
26 Oui, la raison pour laquelle les gens ne veulent
pas prendre Cela, câest Ă cause de leur mode de vie et de leur orgueil.
Je vois cela commencer Ă se glisser parmi nous les pentecĂŽtistes. Un
peu dâorgueil, nous ne voulons pas faire cela. «Je nâai pas envie de
mâagenouiller Ă cet autel-lĂ et pleurer Ă chaudes larmes!»
Eh bien, permettez-moi de vous dire quelque chose.
Jâai ici un auditoire mixte, mais jâaimerais que vous compreniez cela
dans lâangle sous lequel cela est donnĂ©. Toute naissance est un gĂąchis.
Peu mâimporte oĂč elle a lieu. Que ce soit dans la porcherie, dans la
grange, que ce soit dans une maison ou dans une chambre dâhĂŽpital
dĂ©corĂ©e en rose, une naissance est un gĂąchis. Et de mĂȘme la nouvelle
naissance est aussi un gùchis. Vous ne pouvez pas venir tout guindé et
dire: «Jâai reçu Christ comme mon Sauveur personnel.» Câest absurde.
Agenouillez-vous lĂ Ă lâautel et restez-y jusquâĂ ce que vous naissiez
de nouveau. Câest un gĂąchis, mais cela amĂšne la Vie. Peu mâimporte le
degré ou le niveau que je dois atteindre.
27 Mes frĂšres baptistes mâont parlĂ© disant: «Billy,
tu vas devenir un saint qui se roule.» Ăa importait peu pour moi si
câĂ©tait un saint qui se roule par terre [Holy roller en anglaisâN.D.T]
ou un saint qui sautille [Holy jumper en anglais], quelque fût le
niveau, je voulais une nouvelle vie. Je ne me souciais pas de ce que
câĂ©tait, du niveau que câĂ©tait. Quand vous ĂȘtes prĂȘts Ă Le recevoir,
vous viendrez et vous Le recevrez. Heureux ceux qui ont faim et soif de
la justice, ils seront rassasiés.
Le vieux noir là dans le Sud était trÚs heureux
dâavoir reçu le Saint-Esprit. Et son patron dit: «Jâaimerais avoir de
cette religion authentique.»
Il a dit: «Eh bien, patron, vous pouvez lâavoir.»
Il a dit: «Eh bien, attends donc, a-t-il dit, quand
je serai prĂȘt pour cela, je te le dirai.»
Il a dit: «Dâaccord, je vais vous attendre.»
28 Ainsi, un jour, câĂ©tait un jour pluvieux. Oh! La
pluie tombait Ă verse. Et le patron a dit: «Mose, je suis prĂȘt Ă
recevoir le Saint-Esprit dont tu parles.»
Il a dit: «Dâaccord, patron, je serais heureux de
vous accompagner.»
Alors il a dit: «Allons dans le grenier à maïs. On
en a fait sortir tout le maĂŻs maintenant, il vient dâĂȘtre nettoyĂ©.
Câest un bon endroit, sec et propre.»
Et ils y sont allés, et Mose a dit: «Mais, patron,
ce nâest pas Ă cet endroit quâon Le reçoit.»
Il a dit: «Dâaccord, nous irons dans le grenier Ă
foin.» Il a dit «Câest un bon endroit et câest doux, et il y a lâodeur
du foin.» Il a dit: «Nous monterons dans le grenier à foin.»
Et quand ils sont montés là -haut, Mose a regardé
autour. Il a dit «Mais ce nâest pas Ă cet endroit quâon Le reçoit,
patron.»
Il a demandĂ©: «Alors Mose, oĂč Le reçoit-on?»
Il a dit: «Suivez-moi», a dit Mose. Et il sâest mis
Ă retrousser les jambes de son pantalon, et jusquâaux genoux il est
entrĂ© dans la porcherie, et il a dit: «Câest ici quâon Le reçoit.»
«Oh! a-t-il dit, jeâje nâaimerais pas venir lĂ .»
Il a dit: «Depuis le dĂ©but, je nâai pas cru que vous
Ă©tiez prĂȘt pour Cela.» Câest ça. Si vous avez rĂ©ellement besoin de
Dieu, peu importe comment cela vient, vous ĂȘtes disposĂ© et prĂȘt. Vous
Le recevrez.
29 Tout doit mourir avant que vous puissiez avoir la
vie. Et la vie ne vient que par la mort. La vie vient par la mort.
Prenez un grain de maĂŻs et plantez-le. Si ce grain
de maïs ne reste pas là ⊠et il ne doit pas seulement mourir mais il
doit aussi pourrir, câest alors quâil produira une nouvelle vie, Ă
partir de ce gĂąchis de pourriture. Et jusquâĂ ce que lâhomme aura fait
que ces⊠fait sortir par le Saint-Esprit toute la psychologie faite de
mains dâhomme, et sera restĂ© lĂ jusquâĂ ce quâil ait pourri Ă ses
propres idées, alors il recevra le Saint-Esprit. Quand vous réussissez
Ă faire sortir de vous tous les credo et autres histoires en les
martelant et en les faisant pourrir au point que cela est mort et
pourri⊠Câest trĂšs dĂ©sagrĂ©able, mais câest la seule maniĂšre que je
connaisse pour le dire. Vous comprenez cela. JusquâĂ ce que cela
pourrisse, alors la nouvelle Vie viendra.
30 Mais aussi longtemps quâil nây a pas espoir que
cela pourrisse, la nouvelle Vie ne viendra pas. Câest la raison pour
laquelle tant de fois nous nous relevons de lâautel sans le
Saint-Esprit, parce que nous ne pourrissons pas assez Ă nos propres
idĂ©es. Nous devons rencontrer Dieu Ă Son niveau Ă Lui. Câest lĂ que
jâaime Le rencontrer, car Il ne mâa jamais dĂ©laissĂ©.
La nouvelle naissance ne diffĂšre en rien de toute
autre naissance; câest un gĂąchis. Vous devriez voir dans quel gĂąchis
jâĂ©tais quand je Lâai reçu. Et de temps en temps quand Cela vient
encore sur moi, je me retrouve encore dans un gĂąchis avec. Je crie, et
pleure à chaudes larmes, et me comporte si étrangement que, je pense,
je ne suis pas trĂšs beau Ă voir, mais cela⊠Jâai en moi quelque chose
qui se saisit sans cesse, sans cesse, sans cesse de moi. Câest la
nouvelle Vie. Peu mâimporte Ă quoi ça ressemble; je veux savoir ce que
Câest. Câest lâessentiel.
31 Eh bien, il y a eu temps oĂč il nây avait pas de
toxine contre la variole. Il y a eu un temps oĂč on nâavait pas le
vaccin de Salk pour les enfants atteints de la polio. Mais aujourdâhui,
on en a. On en a.
Il y eut un temps oĂč il nây avait pas de remĂšde pour
le pĂ©chĂ©. Il y eut un temps oĂč le⊠sous la loi de la more, Dieu faisait
mourir le bétail ainsi que les moutons. Et sous cela, une expiation
était faite pour le péché, mais cela ne faisait que couvrir le péché.
Cela ne lâĂŽtait pas. Lâhomme, avait donc une excuse. Il pouvait
retourner, mais son cĆur nâĂ©tait pas changĂ©. Chaque annĂ©e, il venait
offrir un agneau pour la purification et pour son péché.
Mais maintenant, il nây a aucune excuse. Il y a de
la Toxine en abondance dans la maison de Dieu. Et câest un remĂšde
contre le pĂ©chĂ©, câest pour le pĂ©chĂ© un double remĂšde. Cela me sauve de
la colĂšre et me purifie. Il y a la Toxine dans la maison de Dieu.
32 Or, quand les médecins étudient les médicaments
pour leurs patients, on en fait lâexpĂ©rimentation sur un cobaye. Mais
quand Dieu a voulu faire un test pour la race humaine, Il nâa pas fait
dâinoculation Ă un cobaye, mais Il a fait une inoculation Ă Son Fils.
Le Seigneur Jésus a reçu la Toxine du Saint-Esprit de Dieu.
Et Son comportement sur la terre prouve ce que
CâĂ©tait. Quand les gens ont crachĂ© sur Lui, Il a priĂ© pour leur pardon.
Quand on Lâa exaspĂ©rĂ©, Il nâa pas rendu la pareille. Cela a montrĂ© que
la Toxine a tenu. Quand on Le tuait, quâIl mourait sur la croix,
saignant et bĂȘlant, Il priait pour leur pardon. La Toxine a tenu bon.
Et puis une lance Romaine embauma Son corps en transperçant Son cĆur,
et le sang et lâeau en jaillirent. Ils ont dit: «Maintenant câest fini.
Il a rendu lâĂąme.»
La terre trembla. Il mourut si bien que le soleil
cessa de briller. Il mourut si bien que les étoiles refusÚrent de
briller. Il mourut si bien que la terre devint si sombre quâon pourrait
palper cela. Il mourut et alla dans les plus basses rĂ©gions de lâenfer,
portant nos péchés. Vous ne pourriez pas descendre plus profondément en
enfer que Lui ne lâa fait. Vous ne pourriez pas souffrir plus
atrocement que Lui ne lâa fait. Vous ne pouvez pas ĂȘtre mort plus que
Lui ne lâĂ©tait.
33 Mais frĂšre, en ce premier matin de PĂąques, la
Toxine a commencé à agir. Elle a brisé les sceaux de la mort. Elle a
fracassé le visage au diable. Elle a roulé la pierre, et le Fils de
Dieu revint à la vie. Il est vivant pour toujours. La Toxine a marché.
Dieu Lâa administrĂ© Ă Son propre Fils pour confirmer
cela, quâElle marcherait. Dieu Ă©tait fait chair et a habitĂ© parmi nous.
Câest ainsi que Dieu Ă©tait en Christ. Dieu est venu et a pris Lui-mĂȘme
cette Toxine dans un corps humain quâIl avait créé Lui-mĂȘme, le Fils de
Dieu. Et Il y a vécu, et Il a pris la Toxine. Mais le matin de Pùques,
Elle prouva quâElle tenait.
Ensuite, Il avait des gens qui Ă©taient prĂȘts pour
Cela. Quand ils ont mis le doigt⊠Certains parmi eux doutaient
tellement du mĂ©dicament, ils Ă©taient assis sur lâescalier jusquâĂ ce
quâils touchent Son cĂŽtĂ©. Il y en avait dâautres qui sâen Ă©taient
retournĂ©s rĂ©trogradant sur le chemin dâEmmaĂŒs, mais ils Lâont vu faire
quelque chose comme ce quâIl avait fait avant Sa crucifixion. Ils ont
compris que la Toxine agissait.
34 Oh! frÚre. Vous allez de toute façon me traiter de
saint exaltĂ©. Elle marche encore tout aussi parfaitement quâĂ lâĂ©poque.
Il y a du Baume en Galaad. Il y a une Toxine pour la maladie. Il y a
une Toxine pour la guĂ©rison de lâĂąme et du corps. Elle est dans la
maison de Dieu aujourdâhui, oĂč:
Il y a une fontaine remplie de sang
TirĂ© des veines dâEmmanuel,
OĂč les pĂ©cheurs plongĂ©s dans ce flot,
Perdent toutes leurs taches coupables.
Ce voleur mourant sâest rĂ©joui de voir
Cette fontaine en son jour;
LĂ , que je puisse, quoique vil comme lui,
Laver tous mes péchés.
Ne me dites pas quâil y a mieux. Jâai Ă©tĂ© inoculĂ©
par Lui. Cela ĂŽte de votre cĆur le dĂ©sir du pĂ©chĂ© et y place un
allĂ©luia de sorte que rien ne peut se comparer Ă Cela, quand vous ĂȘtes
inoculé. Vous direz: «Je ne pense pas que je pourrais tenir le coup.»
Soyez inoculé une fois.
35 Maintenant, je vais vous démontrer ce que sont le
Baume de Dieu et lâinoculation. Les premiers candidats Ă©taient Ă cent
vingt. Ils sont montĂ©s dans la chambre haute pour lâinoculation. Il
avait dit: «Jâai Ă©tĂ© avec vous, mais maintenant Je vais ĂȘtre en vous.»
Ils sont montĂ©s pour lâinoculation. Et soudainement, le SĂ©rum est venu
du ciel comme un vent impétueux et des languettes de feu qui brûlaient
apparurent. Et Cela a inoculé cent vingt personnes.
Leurs Ăąmes Ă©taient tellement remplies de joie quâils
ont parlĂ© en dâautres langues et sont sortis dans les rues en courant,
en criant et en se comportant comme une bande dâhommes ivres. Ils ne se
souciaient pas de lâimpression que ça faisait. Ils ne se souciaient pas
de ce que quelquâun disait. Ils en sont arrivĂ©s au niveau de Dieu pour
Le recevoir. Si jamais vous Le recevez, vous arriverez au mĂȘme point.
Câest uniquement de cette façon-lĂ quâIl Le donne, câest Ă ce niveau-lĂ .
36 Ăa marchait tellement bien que quelques jours plus
tard, il y eut un homme qui était sur le point de condamner ce peuple
appelĂ© les Gentils. Et lâinoculation est entrĂ©e en action et il a eu
une vision. VoilĂ que le mĂȘme homme sâĂ©tait mis Ă franchir la porte
appelĂ©e la Belle. Et lâinoculation est entrĂ©e en action quand il a vu
un homme boiteux depuis le sein de sa mĂšre. Il nâavait pas de dire: «Si
seulement tu avais vu Jésus quand Il était ici.» Il était aussi
inoculĂ©. «Ce que jâai, je vais te Le donner», a-t-il.
Oh! Je suis si content quâil y ait suffisamment de
Sérum! Oui. Suffisamment de Sérum!
Ăa a trĂšs bien marchĂ© lorsque quelquâun allait
mourir, et que lâon construisait un billot oĂč on allait le dĂ©capiter.
Comment va marcher lâinoculation, Paul? Il a dit: «Jâai combattu le bon
combat. Jâai achevĂ© la course. Jâai gardĂ© la foi. DĂ©sormais, une
couronne mâest rĂ©servĂ©e; le Seigneur le juste Juge me la donnera en ce
jour-là . Non seulement à moi, mais à tous ceux qui seront inoculés.»
On a alors dit: «La tombe va te faire pourrir», a
dit le diable.
Il a dit: «Tombe⊠à mort, oĂč est ton aiguillon;
tombe, oĂč est ta victoire.» Mais grĂąces soient rendues Ă Dieu qui nous
a inoculĂ©s par le Seigneur JĂ©sus-Christ; puisquâIl vit, je vis aussi.
Assurément.
37 Il vous sera demandĂ© pourquoi vous nâavez pas reçu
Cela, il y a suffisamment de sérum.
Le jour de la PentecĂŽte, quand les gens ont vu tout
ce comportement, il y avait lĂ des cĆurs sincĂšres, et ils voulaient
ĂȘtre candidats. Ils ont donc dit: «Que pouvons-nous faire? Y a-t-il un
mĂ©decin ici?» Dieu a posĂ© la question: «Nây a-t-il point de mĂ©decin?»
Dieu merci que nous ayons encore des mĂ©decins. «Nây a-t-il point de
médecin ici?»
Il y en eut un du nom de docteur Simon Pierre qui
sâest approchĂ©. Il a dit: «Je vais vous faire une ordonnance et elle
durera pour toujours, car elle est pour vous, pour vos enfants et tous
ceux qui sont au loin, en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu
les appellera, qui peuvent Lâobtenir.»
Lâordonnance du docteur Simon Pierre est encore
valable ce soir. Si vous ne la croyez pas, venez au bureau et
rĂ©pondez-y. AllĂ©luia! Oh! AssurĂ©ment. Lâinoculation est bonne. Elle
tiendra bon. Elle est bonne; Elle est bonne.
38 Eh bien, quand nous Le voyons donner
lâinoculation, en voyant revenir les signes quâIl accomplissait, cela
montre quâon a reçu la mĂȘme inoculation.
FrĂšre, si le Saint-Esprit accomplit la mĂȘme Ćuvre
dans les membres de LâĂglise que Christ a sauvĂ©s, alors ils
ressusciteront des morts comme Lui. Il nâest pas Ă©tonnant que nous
puissions dire: «à mort, oĂč est ton aiguillon; tombe, oĂč est ta
victoire.»
Si Cela a guĂ©ri les malades en ce temps-lĂ , la mĂȘme
inoculation le fera pour vous aujourdâhui. Si CâĂ©tait unâun antidote
pour le pĂ©chĂ© et un antidote pour la maladie, câest la mĂȘme chose
aujourdâhui.
Alors, frĂšre, sĆur, sur cette base, permettez-moi de
vous poser cette question finale⊠qui est la suivante: Pourquoi y
a-t-il tant de confusion parmi nous? Pourquoi y a-t-il tant de péchés
parmi nous? Que se passe-t-il? Est-ce parce quâil nây a pas de Baume en
Galaad? Est-ce parce quâil nây a point de Saint-Esprit? Pourquoi donc
lâĂ©glise est-elle dans cet Ă©tat? Pourquoi donc? Est-ce parce quâil nây
a point de Médecin?
Oh! si, il y en a. Il y en a. Mais vous mourrez sur
lâescalier, sous son ministĂšre, sans connaĂźtre Dieu, sans ĂȘtre guĂ©ri
non plus, Ă moins que vous acceptiez lâordonnance qui a Ă©tĂ© Ă©crite pour
vous. «Je suis lâĂternel qui guĂ©rit toutes tes maladies.» Pouvez-vous
la croire? Puisse le Seigneur vous bénir comme nous méditons là -dessus
pendant que vous inclinez la tĂȘte.
39 Ă Seigneur, nous sommes si heureux quâil y ait du
Baume en Galaad. Nous sommes si heureux qu'il y ait un Médecin là .
Alors, au jour du jugement, à ces pharisaïques Amérique, Angleterre, et
les autres grandes nations qui ont entendu lâĂvangile, il sera demandĂ©:
«Pourquoi ne Lâavez-vous pas acceptĂ©?» Quand les mĂ©decins oints sortent
pour manipuler la Parole, et que les résultats suivent tout celui qui
vient, alors il y a du Baume en Galaad.
Voici assis devant nous ce soir des alcooliques, des
femmes ignobles, des hommes immoraux qui autrefois parcouraient les
rues remplis de convoitise, et qui aujourdâhui sont des saints. Il y a
des femmes qui buvaient et plantaient des aiguilles dans leurs bras, au
point que les médecins de la terre ne pouvaient rien faire pour elles.
Et aujourdâhui, ils tĂ©moignent partout dans les rues de la GrĂące
étonnante de Jésus-Christ. Il y a des femmes stériles qui portent des
bĂ©bĂ©s dans leurs bras, parce quâelles ont Ă©tĂ© inoculĂ©es pour quâelles
élÚvent leurs enfants. Il y a ceux qui étaient aveugles qui voient
maintenant. Il y a ceux qui étaient boiteux qui peuvent marcher
maintenant. Il y a ceux qui avaient le cancer, qui étaient mourants, et
qui sont maintenant en vie parce quâil y a du Baume.
40 Peu importe combien lâincroyant secoue la tĂȘte et
sâen va, cela nâenlĂšve pas la Toxine. Il y En a en abondance ce soir
dans les bras de Christ. Nous Te prions, Seigneur, dâinoculer chaque
personne ici ce soir qui a le dĂ©sir de pĂ©cher dans son cĆur. Ăte cela
dâelle, Seigneur, «Ma grĂące suffit», a dit le Saint-Esprit.
Maintenant, nous Te prions, PÚre, de guérir les
malades, fait grĂące Ă ceux qui sont dans le besoin, car il y a du Baume
en Galaad, et il y a un Médecin là . Le Grand Médecin est là , Celui qui
nâa jamais perdu un seul cas, qui nâa jamais perdu un seul patient et
qui ne peut rien perdre. Et Il a dit: «Tous ceux que le PĂšre mâa
donnĂ©s, Je nâen perdrai aucun, et je les ressusciterai au dernier
jour.» Le Grand Médecin. Il montre Sa Présence parmi nous soir aprÚs
soir. Et nous Le prions, ĂŽ Dieu, de faire la mĂȘme chose ce soir en
sauvant les perdus et en guérissant les malades. Car nous le demandons
au Nom de Jésus. Amen.
Oh! je désire Le voir, regarder Sa face.
LĂ chanter pour toujours Sa grĂące qui sauve;
Dans les rues de gloire, élever ma voix;
Tous les soucis sont passés, enfin à la maison,
à jamais pour se réjouir.
Ne voulez-vous pas Le voir? Chantons cela. Oh! je
désire Le voir, regarder Sa face. (Adorez-Le maintenant.)
LĂ chanter pour toujours Sa grĂące qui sauve;
Dans les rues de gloire, élever ma voix;
Tous les soucis sont passés, enfin à la maison,
à jamais pour se réjouir.
Ne vous sentez-vous pas bien? Oh! je Lâaime. Ne
Lâaimez-vous pas? Chantons ce bon vieux cantique Je Lâaime, je Lâaime,
parce quâil mâaima le premier. Combien le connaissent? Combien ici ce
soir sont Chrétiens? Levez la main. Maintenant, baissez vos mains.
Combien veulent devenir Chrétiens? Levez la main. Que Dieu vous
bĂ©nisse. Que Dieu vous bĂ©nisse. Câest bien. Que Dieu vous bĂ©nisse,
monsieur. Que Dieu vous bénisse. Là derriÚre⊠TrÚs bien.
Abandonnez-vous Ă Lui maintenant mĂȘme, juste lĂ oĂč vous ĂȘtes assis.
Abandonnez-vous pendant que nous chantons Je Lâaime.
Je Lâaime, je Lâaime (Levez la main maintenant.)
Parce quâIl mâaima le premier
Et acquit mon salut
Sur le bois du Calvaire.
Oh, jâespĂšre et crois que Dieu a sauvĂ© votre Ăąme.
[FrĂšre Branham se met Ă fredonnerâN.D.Ă.]
Parce quâIl mâaima le premier (Jâai Ă©tĂ© inoculĂ©.)
Et acquit mon salut
Sur le bois du Calvaire.
41 Oh! ne Lâaimez-vous pas? Ne voudriez-vous pas
adorer et sentir cette bonté de Sa miséricorde? Oui, quand je
marcherais dans la vallĂ©e de lâombre de la mort, je ne craindrai aucun
mal, car Tu es avec moi.
Le message est terminé. Adorez simplement dans votre
cĆur. Paul a dit: «Si je chante, je chanterai dans lâEsprit. Jâadorerai
dans lâEsprit.» Il est ici. Je sais quâIl est ici. Oh! je Lâaime bien.
Juste Ă votre propre façon maintenant, pendant que le piano et lâorgue
et ainsi de suite jouent, adorez-Le. Fermez les yeux.
Je Lâaime, (Seigneur, nous Tâaimons.) je Lâaime
Parce quâIl mâaima le premier
Et acquis mon salut
Sur le bois du Calvaire.
42 Maintenant, avec la tĂȘte inclinĂ©e⊠Ami pĂ©cheur, si
vous ne Le connaissez pas encore et si vous savez quâIl est prĂ©sent,
voudriez-vous vous approcher dâici? Permettez-moi de vous serrer la
main juste ici et de prier avec vous juste un moment. Vous ĂȘtes
invitĂ©s. Pendant que nous chantons, si le Saint-Esprit vous parlaitâŠ
«Je voudrais mâapprocher. Je nâaurai pas honte de Lui. Je vais
approcher et prendre position ce soir. Je suis vraiment sérieux. Peu
mâimporte ce que pense mon voisin.» Non, vous venez pour naĂźtre de
nouveau. Ce sera un gĂąchis. Les gens se moqueront de vous et parleront
de vous. Mais ĂȘtes-vous disposĂ©s Ă porter lâopprobre de Christ? Comme
Paul a dit Ă Agrippa: «Câest selon une voie quâon appelle une hĂ©rĂ©sie
(câest-Ă -dire une folie) que jâadore le Dieu de nos pĂšres.» Voulez-vous
gagner son rang ce soir?
Je Lâaime,
Parce (Je vais attendre)âŠ
Et acquit mon salut
Sur le bois du Calvaire.
[FrĂšre Branham se met Ă fredonnerâN.D.Ă.]
Que Dieu vous bénisse, mon frÚre. Tournez juste ici.
[FrĂšre Branham prie avec lâhomme.] âŠau Nom du Seigneur JĂ©sus âŠ?⊠cet
homme âŠ?⊠tous sincĂšrement maintenant, alors Tu guĂ©riras lâĂąme et le
corps. Il sâen ira une personne diffĂ©rente, pour ĂȘtre Ton serviteur dĂšs
ce soir âŠ?⊠Allez maintenant et recevez le Saint-Esprit âŠ?âŠ
Y a-t-il quelquâun dâautre qui voudrait dire: «Je
veux Lâaccepter»?
Il sâen va directement pour pouvoir en finir avec la
chose. Il avait certaines habitudes. Je lui en ai parlĂ©. LâEsprit de
Dieu est ici. Il sâen va directement pour mettre cela en ordre. [FrĂšre
Branham prie avec les gens Ă lâautelâN.D.Ă.]
43 Puissions-nous �⊠Seigneur, comme cette femme et
ce petit garçon �⊠sur ce �⊠puissent-ils venir et réaliser que leur
propre âŠ?⊠montant maintenant âŠ?⊠et quâils viennent et quâils
communient avec Dieu �⊠peuple bien-aimé �⊠leur donner la Vie
Ăternelle et les remplir du Saint-Esprit. Que Dieu vous bĂ©nisse âŠ?âŠ
Allez directementâdirectement lĂ -bas âŠ?⊠consĂ©cration de la pensĂ©e âŠ?âŠ
Nous sommes juste de petits enfants, et solennellement je ⊠?⊠la
foi âŠ?⊠Je Te prie de bĂ©nir. Quâils soient remplis du Saint-Esprit âŠ?âŠ
nous aime compte y arriver, pour que jamais plus âŠ?⊠leur envoie âŠ?âŠ
à Dieu, sauve ce �⊠donne-lui un �⊠Que Ton
Saint-Esprit âŠ?⊠Seigneur, pardonne le pĂ©chĂ©, Seigneur âŠ?⊠le cĆur
soit⊠Alors, Seigneur âŠ?âŠ
Seigneur Jésus, écoute sa priÚre, Seigneur, ce soir
accorde âŠ?âŠ
[Un frÚre demande des serviteurs indépendants, un
frĂšre fredonne tandis que FrĂšre Branham continue Ă prier avec ceux qui
ont des requĂȘtesâN.D.Ă.]
44 Seigneur, je prie Seigneur �⊠[Espace vide sur la
bande]
Acquit mon salut (Y a-t-il un autre pécheur qui voudrait venir?)
Bois du Calvaire (âŠ?⊠me rendant compte âŠ?âŠ)
[Un frĂšre demande davantage de serviteurs
indĂ©pendants pendant que FrĂšre Branham continue Ă prier avec les gens Ă
lâautel] âŠ?⊠Je prie que âŠ?⊠puissance de Dieu âŠ?⊠Seigneur, je prie
âŠ?⊠ses pĂ©chĂ©s lui sont pardonnĂ©s. Puisse ceci ĂȘtre le moment oĂč le
Saint-Esprit �⊠Sang de Jésus-Christ.
[Un frĂšre chante Je Lâaime. Espace vide sur la bande]
Parce quâIl mâaima le premier
⊠mon salut
Sur le bois du Calvaire.
45 Ne voulez-vous vraiment pas venir? Ces petits
enfants, ces jeunes gens font des confessions debout ici; les larmes
leur coulent des joues, et venant de parties de rock and roll et tout.
Câest ce que Dieu veut voir. Câest cela lâobjectif. La guĂ©rison peut
attendre un moment. Nous voulons la guĂ©rison de lâĂąme. MĂȘme si vous
obtenez la guérison de votre corps, il est possible, si vous vivez
assez longtemps, que vous retombiez malade. Mais une fois que vous ĂȘtes
guéri dans votre ùme, vous ne serez plus jamais malade.
[Espace vide sur la bandeâN.D.Ă.] âŠla vĂ©ritĂ© que
vous devez mourir avant de vivre.
46 TrĂšs bien. Combien croient que ce Glorieux
Saint-Esprit est ici? (Quelles cartes de priÚre aviez-vous distribuées
le premier soir? Quoi? A.) Nous avons dâabord distribuĂ© les cartes de
priÚre A. Nous voulons nous en débarrasser. Combien ont une carte de
priĂšre A?
TrĂšs bien. Avant que quiconque vienne, combien nâont
pas de carte de priÚre du tout, et qui voulez que Dieu vous guérisse?
Levez la main. Levez la main maintenant pour que je voie qui vous ĂȘtes.
Tout autour, partout, vous qui nâavez pas de carte de priĂšre, mais qui
voulez que Dieu vous guérisse.
TrĂšs bien. Soyons en priĂšre juste un moment. Amenez
votre fardeau au Seigneur. Maintenant, si jâappelle quelquâun qui a une
carte de priĂšre, faites-moi savoir quâil sâagit dâune carte de priĂšre.
Je vais vous demander si le Saint-Esprit⊠En effet, beaucoup de ceux
qui ont des cartes de priĂšre vontâvont venir.
Maintenant, soyez respectueux. Si Dieu, sans cartes
de priÚre, prouve⊠Combien ont assisté aux réunions précédemment,
faites voir vos mains. Presque vous tous, jâen suis sĂ»r. Voyez?
47 JĂ©sus a regardĂ© lâauditoire. Il a dit Ă Pierre:
«Tu tâappelles Simon, et ton pĂšre sâappelle Jonas.»
Il a dit Ă NathanaĂ«l: «Je tâai vu avant que tu
viennes ici, quand tu étais sous le figuier.»
Il a dit à la femme au puits: «Va chercher ton mari
et viens ici.» Elle a dit: «Je nâai point de mari.» Il a dit: «Câest
vrai; tu en as eu cinq.»
Elle a dit: «Je vois que Tu es un prophÚte. Nous
savons que le Messie fera cela.»
Il a dit: «Je suis le Messie. Je Le suis, Moi qui te
parle.»
Elle a couru dans la ville en disant: «Venez voir un
Homme qui mâa dit ce que jâai fait.»
Il a perçu leurs pensĂ©es, Il connaissait ce quâils
faisaient. CâĂ©tait cela le signe du Messie Ă lâĂ©poque. Et si JĂ©sus est
le mĂȘme hier, aujourdâhui, et pour toujours, câest cela le signe du
Messie ce soir. Est-ce juste?
48 Ceci câest pour que vous compreniez, avant que
jâappelle les cartes de priĂšre, car je vais les aligner ici et prier
pour eux ici Ă lâautel sans le discernement. Je veux que ce soit vous
qui avezâvous qui avez des cartes de priĂšre, pas le discernement; vous
qui nâavez pas eu de carte de priĂšre, voyons ce que le Saint-Esprit
dira. Priez tout simplement.
Une fois, une femme toucha Son vĂȘtement. Il ne lâa
pas vue le faire, Il ne lâa pas non plus sentie le faire avec Son corps
physique. Mais Il Sâest retournĂ© et a dit: «Qui Mâa touchĂ©?»
Personne nâa dit mot; les gens lâont niĂ©. Mais Il a
regardĂ© tout autour jusquâĂ ce quâIl dĂ©couvre la petite femme. Et Il a
dit: «Ta foi tâa sauvĂ©e.» Est-ce juste? Il lui a dit quâelle avait une
perte de sang, et sa foi lâavait sauvĂ©e.
49 Et maintenant, la Bible dit quâIl est le Souverain
Sacrificateur qui peut ĂȘtre touchĂ© par les sentiments de nos
infirmitĂ©s. Croyez-vous cela? De tout votre cĆur? TrĂšs bien. Voyez si
vous pouvez Le toucher. Je vais mâabandonner au Saint-Esprit, et voir
si certaines parmi vous petites femmes, petits hommes ou qui que vous
soyez, lĂ , pourrez Le toucher. Quelquâun dans cette direction,
abandonnez-vous. Croyez en Lui. Touchez-Le par la foi, voyez sâIl est
le mĂȘme JĂ©sus.
Là ⊠Câest si loin derriĂšre que je⊠Cela continue Ă
tenir lĂ . Un instant.
Revoici cela. Cette petite femme assise juste ici
qui souffre de problĂšmes de la tĂȘte. La petite dame qui me regarde,
elle a pour ainsi dire une longue chevelure qui semble lui tomber dans
le dos, celle qui secoue la tĂȘte. Vous avez un problĂšme de la tĂȘte,
nâest-ce pas, madame, ou vous en aviez un? Vous nâen avez plus
maintenant; câest parti. Sommes-nous Ă©trangers lâun Ă lâautre?
Avez-vous une carte de priĂšre? Vous nâen avez pas? Vous nâavez pas de
carte de priĂšre? Nous ne nous connaissons pas? Si nous ne nous
connaissons pas, agitez la main comme cela, pour montrer que nous ne
nous connaissons pas, que câest notre premiĂšre rencontre. Ătait-ce
exact, ce qui vous a été dit? TrÚs bien. Vous avez reçu ce que vous
avez demandé. Rentrez chez vous et portez-vous bien.
Quâa-t-elle touchĂ©?
50 Je vois un jeune homme assis lĂ en bas par rapport
Ă elle. Il est trĂšs mince. Il est couvert de lâombre de la mort. Câest
un jeune gamin. Une ombre sombre est sur lui. Il a la leucémie.
Crois-tu, fiston, que Dieu va te guérir? LÚve-toi de ton siÚge.
Tiens-toi debout. Je ne te connais pas. Tu étais juste assis là en
priĂšre. Est-ce juste? LĂšve la main si câest vrai. Crois-tu que
Jésus-Christ te guérit? Rentre à la maison. Je condamne ce cancer au
Nom de JĂ©sus-Christ. Lâombre de la mort tâa quittĂ©.
Quelquâun dâautre⊠Je vois une petite femme agiter
son mouchoir blanc lĂ -bas, elle est vĂȘtue dâune robe jaune. Elle
pleure. Cette LumiĂšre est au-dessus dâelle. Avez-vous une carte de
priĂšre, madame? Vous nâen avez pas? Croyez-vous que je suis le prophĂšte
de Dieu? Croyez-vous que si je mâabandonne au Saint-Esprit, Il peut me
dire votre problĂšme? Vous avez un problĂšme de cĆur et une maladie
nerveuse. Si câest juste, agitez votre mouchoir. Vous ĂȘtes guĂ©rie.
Rentrez chez vous. Jésus-Christ vous guérit.
51 Quelquâun dâautre dans cette direction, qui nâa
pas de carte de priĂšre, levez la main pour que je voie qui vous ĂȘtes,
vous qui ĂȘtes en priĂšre. Priez.
Il y a ici une dame assise juste ici, en priĂšre,
dans cette rangĂ©e-ci. Une LumiĂšre est suspendue au-dessus dâelle. Elle
nâest pas⊠Non, il nây a rien qui cloche chez elle; elle a son enfant.
Et lâenfant, une fillette, a quelque chose qui ne va pas⊠Un cĂŽtĂ© de
son visage ne sâest pas dĂ©veloppĂ© normalement. Allez-vous croire de
tout votre cĆur? Le visage de lâenfant sera normal, si vous pouvez le
croire. Rentrez chez vous et recevez cela. Soyez guérie pour le Royaume
de Dieu.
Là derriÚre⊠Une dame est assise juste là . Elle est
vĂȘtue dâune robe blanche. Elle prie. Elle lĂšve la main. Croyez-vous que
Dieu va vous guĂ©rir de ce problĂšme de cĆur, madame? Si vous le croyez,
levez-vous. TrĂšs bien. Je veux vous demander quelque chose. Tandis que
vous priez: «Seigneur, quâil mâappelle.»⊠Je ne vous connais pas. Si
câest juste, agitez la main. TrĂšs bien, je ne vous connais pas. Vous
étiez en train de prier pour que je vous appelle. Vous avez touché le
Souverain Sacrificateur. DĂšs que jâai citĂ© votre nom, quelque chose
sâest produit. Vous avez senti une sensation de grande chaleur vous
parcourir. Si câest juste, agitez la main. Votre problĂšme de cĆur est
terminĂ©. Vous pouvez rentrer chez vous et ĂȘtre guĂ©rie au Nom de
Jésus-Christ.
52 Croyez-vous cela maintenant? Maintenant, combien
ont la carte de priĂšre A? Venez vous aligner le long de cet endroit-ci:
Carte de priĂšre A. [Espace vide sur la bandeâN.D.Ă.]
53 âŠcroyants du Seigneur JĂ©sus? Croyez-vous que si je
prie pour vous, que si je vous impose les mains, vous serez guéri? Nous
ne pouvons pas prendre cette ligne entiĂšre dans le discernement; vous
le savez. Mais nous pouvons prier pour vous. AprĂšs tout, câest la
priĂšre de la foi qui sauvera le malade. Est-ce juste? Maintenant, je
veux que vous regardiez tous ces gens qui sont lĂ .
Pendant que ces gens passeront dans la ligne,
combien promettent quâils prieront pour eux? Levez la main, lĂ -bas.
54 Bon, de nouvelles cartes de priĂšre seront encore
distribuĂ©es demain aprĂšs-midi Ă six heures. Nousânous allons donc prier
pour tout le monde qui a une carte de priĂšre. Tout le monde qui a une
carte de priĂšre, nous allons prier pour eux. Maintenant, il ne nous
faut pas nécessairement avoir une carte de priÚre.
Maintenant, câest pour la carte de priĂšre A, A. Je
pense quâils en ont distribuĂ© dâautres. Billy a dit quâIl a distribuĂ©
des cartes C ou B, ou quelque chose comme ça. Des cartes B. Bien,
maintenant, gardez-les. Elles suivent. Vous voyez, ceci câest pour A.
Ceci câest pour A. Nous en avons fait la promesse aux gens il y a
longtemps.
Maintenant, si vous voulez tous ĂȘtre respectueux et
prier, ces⊠ceci est un service de guérison. Maintenant, je pense que
je vais directement aller là au bout de cette rangée, ou ici quelque
part, pour que les gens au bout de la rangée puissent prier.
Maintenant, que tout le monde garde la tĂȘte inclinĂ©e et prie. Tout le
monde, si vous ĂȘtes sincĂšre, et croyez que le Saint-Esprit est iciâŠ
55 LâonctionâLâonction est sur moi maintenant.
Maintenant, je descends pour vous imposer les mains pendant que
lâonction est sur moi. Câest la raison pour laquelle jâai fait ce
discernement en premier lieu.
Cet homme qui a ce problĂšme de rein assis lĂ .
Rentrez chez vous, monsieur, vous ĂȘtes guĂ©ri. Dieu vous guĂ©rit. Oubliez
cela maintenant. Vous qui ĂȘtes assis lĂ dans lâobscuritĂ©.
TrĂšs bien. Maintenant, croyez de tout votre cĆur.
Venez ici maintenant. [Un frĂšre chante comme FrĂšre
Branham prie pour les gens dans la ligne de priĂšreâN.D.Ă.] [Espace vide
sur la bande]
56 âŠJean: «Comprenez-vous ce que je vous ai fait?»
Ăcoutez maintenant. Pendant que nous prions, nous nâaimons pas ce⊠Nous
ne prenons pas de temps pour le discernement, parce que⊠Oh! il y en
avait là quelques-uns qui étaient des cas trÚs graves, et un pécheur.
Ainsi, câĂ©tait⊠Cela devait ĂȘtre citĂ©. Mais Ă part cela, câĂ©tait
pendant que lâonction du Saint-Esprit Ă©tait avec moi, que jâimposais
les mains aux malades.
Maintenant, de tout mon cĆur, je prie pour vous.
Câest tout ce que je peux faire; je ne suis quâun homme. Voyez? Eh
bien⊠Mais le Saint-Esprit est ici, et vous récompensera si vous croyez
que la maladie, le trouble ou lâaffection de votre corps est condamnĂ©.
Voyez? Câest condamnĂ©. Celaâcela ne peut plus rester en vous.
Maintenant, observez. VousâŠ
57 Jâai priĂ© pour une femme dont les mains Ă©taient
couvertes de nodositĂ©s. Et elleâelle cherchait peut-ĂȘtre Ă ce que ses
mains se redressent. Nous aurions pu prendre cette femme lĂ pendant une
demi-heure, rester avec elle jusquâĂ ce que vous ayez vu un changement
commencer Ă sâopĂ©rer. Alors, cela Ă©liminerait dâautres. Voyez?
Maintenant, peut-ĂȘtre quâun soir nous le ferons. JeâŠ
Allez-vous voir⊠JusquâĂ ce que je voie dans lâauditoire quelque chose
qui soit vraiment sur le point de se produire, je vais amener ce
patient, peut-ĂȘtre, ici Ă lâestrade. EstropiĂ©, infirme, guĂ©ri, de
toutes les façons⊠Ils sâattendent Ă ce que quelque chose arrive. Ăa ne
signifie pas que ce nâest pas arrivĂ©. Quelque chose est⊠Vous pourriez
ne pas voir de changement pendantâŠ
58 Il y a quelques temps, jâĂ©tais Ă une rĂ©union. Et
comme une femme passait, elle avait un estomac ulcéreux. Et il a été
dit: «AINSI DIT LE SEIGNEUR, vous ĂȘtes guĂ©rie.» Une autre femme est
passée, elle avait un gros noeud au cou. «AINSI DIT LE SEIGNEUR, vous
ĂȘtes guĂ©rie.» Elles sont rentrĂ©es chez elles en croyant cela.
Des semaines sont passées. Cette femme a essayé de
manger ayant ce problĂšme dâestomac. Elle Ă©tait dans un si mauvais Ă©tat,
elle ne pouvait rien supporter dans lâestomac. Mais elle a malgrĂ© tout
tenu bon.
Un matin, alors que les enfants Ă©taient allĂ©s Ă
Ă©cole, elle a pris de lâavoine dans lâune de ses assiettes et sâest
mise Ă en manger; elle avait trĂšs faim. Elle eut une sensation trĂšs
étrange, cela ne la dérangea pas du tout. Elle a pris du pain grillé et
lâa beurrĂ©, elle lâa mangĂ©. Elle a ensuite frit deux oeufs et a bu une
tasse de cafĂ©, cela ne lui a point fait de mal. CâĂ©tait parti.
59 Elle était heureuse. Elle a descendu la rue en
courant pour le dire Ă sa sĆur quiâqui avait le gros noeud au cou, qui
nâĂ©tait pas parti. On les traitait de fanatiques parce quâelles avaient
cru. Et elle a dit que lorsquâelle est arrivĂ©e lĂ , cette femme criait,
sautillait. Elle est entrée en courant, elle a dit: «Tu sais, je suis
guĂ©rie de mon problĂšme dâestomac.»
Elle a dit: «Je viens de me lever il y a un instant,
jâai secouĂ© chaque drap. Ce noeud a disparu; je ne sais pas ce quâil en
est advenu.»
Vous voyez ce qui est arrivé? Dieu ne vient pas
toujours Ă lâinstant. Vous vous rappelez quand Daniel⊠LâAnge lui a dit
quâIl a essayĂ© de parvenir Ă lui depuis vingt et un jours.
Si lâAnge du Seigneur, qui est ici, est LâAnge de
Dieu, Il prouve Lui-mĂȘme quâIl lâest. Et si jâai demandĂ© la bĂ©nĂ©diction
sur vous avec sincĂ©ritĂ© de cĆur, et si avec la mĂȘme sincĂ©ritĂ© vous avez
reçu cela, et quâil nây ait point de doute du tout dans votre esprit,
tenez-vous-en Ă cela et voyez ce qui va arriver. Cela doit arriver.
Câest obligatoire, câest la Parole de Dieu. Câest la promesse de Dieu.
Il doit le faire.
60 Maintenant, combien parmi vous croient que vous
irez bien, coûte que coûte? Voyez? Vous irez bien. Vous le devez.
Maintenant, voici unâunâun rĂ©cipient contenant
desâdes mouchoirs. Et maintenant, prions pour ces mouchoirs.
Seigneur, il nous est dit dans la Parole sacrée,
quâon retirait du corps de Paul des linges et des mouchoirs, et que les
esprits mauvais sâen allaient. CâĂ©tait le mĂȘme Paul qui a pu fixer du
regard un homme et lui dire quâil percevait quâil avait la foi pour
ĂȘtre guĂ©ri. Le mĂȘme Paul qui Ă©tait sur le navire cette nuit-lĂ et aux
cĂŽtĂ©s duquel lâAnge du Seigneur SâĂ©tait tenu et auquel Il avait dit:
«Ne crains point, Paul. Personne ne sera perdu.» Et il pouvait courir
au milieu des vagues et chanter. La tempĂȘte Ă©tait violente au possible,
peut-ĂȘtre davantage. «Mais aie bon courage, a-t-il dit, car lâAnge de
Dieu dont je suis le serviteur, Sâest tenu Ă mes cĂŽtĂ©s hier soir et mâa
promis la dĂ©livrance.» Ils ont vu cet Ange Ă lâĆuvre Ă travers Paul.
61 Seigneur, nous ne sommes pas saint Paul, mais Tu
es toujours JĂ©sus. Les mĂȘmes Anges de Dieu, le mĂȘme Saint-Esprit⊠Et je
pose mes mains sur ces mouchoirs, et je demande au Nom de Jésus-Christ,
que chaque personne qui touchera ces mouchoirs soit guérie. Accorde-le,
Seigneur.
Et Divin PĂšre, il a Ă©tĂ© dit quâune fois Tes enfants
revenaient de lâesclavage, se dirigeant vers la terre promise de la
bonne santé, de la prospérité. Et la mer Rouge leur fit obstacle. Dieu
regarda en bas à travers la Colonne de Feu et fronça les sourcils
devant la mer Rouge, parce quâelle retenait Son peuple loin de la
bénédiction. Et la mer eut peur et se retira, et Israël traversa vers
la Terre promise.
à Seigneur, comme Tu vois ces témoignages de Ta
Parole, que nous croyons trĂšs solennellement ĂȘtre la vĂ©ritĂ©. Et comme
je presse ceux-ci sur mon cĆur, Seigneur, que le Dieu du ciel ne
regarde encore pas tellement Ă travers une Colonne de Feu, mais Ă
travers le Sang de Son propre Fils, Jésus, qui a donné la promesse de
la guĂ©rison. Câest par Ses meurtrissures que nous sommes guĂ©ris. Et
quand ces mouchoirs seront placés sur les malades, que le diable les
lĂąche, et quâils aillent vers cette promesse que Dieu leur a donnĂ©e.
«Câest par Ses meurtrissures que nous sommes guĂ©ris.» Je les envoie
vers les malades et les affligés au Nom de Jésus-Christ. Amen.
62 Je crois solennellement de tout mon cĆur que
Christ guĂ©rira chaque personne qui portera ces mouchoirs. Il nây a
aucun doute dans mon cĆur. Je ne doute pas. Dieu lâa dit. Câest
pourquoi je me tiens ici et lance un défi. En Afrique, un demi million
de gens⊠ou plutÎt en Inde⊠En Afrique, il y a des milliers et des
milliers de sorciers et toutes sortes de superstitions: «Viens et
prouve que tu es Dieu». Nâayez pas peur. JĂ©sus est toujours JĂ©sus. Dieu
est toujours Dieu. Il nây a pas assez de dĂ©mons dans les lieux de
tourments qui puissent défier Sa Parole. Et rien ne peut résister quand
une foi pure repose sur une quelconque promesse que Dieu a donnée.
Câest la vĂ©ritĂ©, et Cela rĂ©sistera Ă chaque Ă©preuve ardente. Amen.
Lâaimez-vous? Chantons une fois pendant quâils sont
encore en train de crier lĂ derriĂšre et de recevoir le Saint-Esprit.
Levons les mains comme nous chantons Je Lâaime. Voulez-vous bien nous
donner un accord, sĆur, quelque chose?
âŠLâaime, (Levons-nous maintenant.) je Lâaime.
Que Dieu vous bĂ©nisse, docteur. Jâai dĂ©jĂ priĂ© pour
eux. Voulez-vous congĂ©dier lâauditoire? Ă nous revoir demain.
âŠaimeâŠ
Que le Seigneur vous bĂ©nisse, câest trĂšs bien. FrĂšreâŠ
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