Messieurs, Nous Voudrions Voir Jésus

Date: 64-0304 | La durée est de: 1 heure et 9 minutes | La traduction: Shp
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1          Père céleste, nous ne faisons que racheter le temps maintenant jusqu’à ce que Tu viennes. Le glorieux réveil que nous avons si merveilleusement apprécié, qui s’est répandu dans le pays et tout autour du monde, au point que les feux du réveil ont brûlé dans chaque nation sous le ciel... Tout autour du monde, en ce moment, de glorieuses réunions de guérison se déroulent, vingt-quatre heures sur vingt-quatre; et tout autour du monde, cela a commencé ça fait quelques années. Des gens tout simples sont sortis, en croyant, et c’est ce qui a suscité le réveil. Père céleste, maintenant, nous glanons dans nos villes et dans tout notre pays. Y en a-t-il, Seigneur, qui ne sont pas encore entrés? Si c’est le cas, ô notre Dieu, nous Te prions de les envoyer. S’il y a à Dallas des âmes qui peuvent être rachetées, accorde, Seigneur, que, par un moyen quelconque, d’une façon quelconque, Tu les fasses entrer au cours de cette série de réunions.

2          Nous ne sommes pas trop bien considérés dans le monde, et nous nous attendons à cela. Mais quand notre Seigneur est venu sur terre, Lui non plus n’était pas très bien considéré. Mais il y avait des millions dans le monde à ce moment-là, et il n’y en a eu que quelques-uns qui L’ont écouté. Mais tous ceux qui avaient été destinés à la Vie L’ont écouté. Je Te prie sincèrement, ô Dieu,  d’accorder, ce soir et au cours de la série de réunions, à tous ceux de Dallas qui n’ont pas encore le Sceau de Dieu sur leur front, de leur accorder d’entrer, d’être glorieusement remplis du Saint-Esprit.

3          Je Te prie de guérir tous les malades et les affligés dans toute la région, ici, qui ont la foi.

4          Bénis notre brave et distingué frère Grant. Oh! de le voir tellement plus fort! Ce brave homme qui s’était vraiment ruiné la santé à se tenir dans les lignes de prière avec la plus profonde sincérité, je suis de tout coeur avec lui. Je suis très heureux de voir, Seigneur, que Tu l’as béni si merveilleusement. Que Ta main miséricordieuse soit sur lui et sur tous ceux qui T’aiment dans ce pays et qui attendent Ta Venue.

5          Bénis Ta Parole. Et, Père, nous prions que Jésus Lui-même vienne à nous sous une forme tellement—tellement réelle, d’une façon tellement réelle qu’aucun de nous ne manquera de Le voir, et que tous ceux que Tu as destinés à la Vie Le recevront. Que ceux qui sont malades Le reçoivent, et qu’ils soient guéris pour la gloire du Royaume de Dieu. C’est au Nom de Jésus-Christ que nous le demandons. Amen.

6          Eh bien, nous tâcherons de terminer les réunions entre neuf heures et neuf heures et demie, à cause du—du nombre de personnes, et pour que vous puissiez revenir demain soir. Juste pour dire quelques mots ce soir, j’aimerais prendre un passage de l’Ecriture, que j’ai lu bien des fois. Et est-ce que...

7          Y a-t-il ici des gens qui n’ont jamais assisté à l’une des réunions? Levez la main, pour qu’on voie. Oh! la la! Il y a pratiquement quatre-vingts ou quatre-vingt-dix pour cent de la—de la salle, ou des gens qui sont dans la salle, qui n’ont jamais assisté à une réunion. Nous sommes content de vous avoir avec nous pour cette première fois.

8          Eh bien, chacun sait qu’aucun homme n’en guérit un autre. Pas même un médecin ne peut vous guérir. La guérison vient de Dieu. «Je suis l’Eternel qui guérit toutes tes maladies.» Aucun médecin ne vous dira qu’il a les médicaments qui vont vous guérir. S’il le fait, il vous donne une fausse information.

9          En effet, les frères Mayo, récemment, lors d’un entretien... Quand le petit Donny Morton a été guéri au Canada, celui que les Mayo avaient refusé, ça a eu lieu sur la Côte Ouest. Vous avez vu ça dans le Reader’s Digest. Ils m’ont fait venir là pour un entretien, et ils ont dit: «Nous ne prétendons pas être des guérisseurs, Frère Branham, nous prétendons seulement aider la nature.»

10        Il y a un seul Guérisseur, c’est Dieu. Dieu est le Seul qui puisse former des cellules, produire la vie; par conséquent, l’homme n’a pas le pouvoir de faire ça. Un médecin peut replacer un os, ou vous donner un médicament pour empoisonner les microbes; il en met une certaine dose et un antidote pour que ça ne vous tue pas, mais que ça tue le microbe et tout. Il peut faire ça. Mais les tissus qui ont été déchirés, ou l’os qui a été fracturé, l’appendicite qui a été enlevée, l’appendice, il ne peut pas guérir ça. Il faut que ce soit Dieu. C’est Dieu qui guérit. L’homme peut ôter quelque chose qui en est la cause, s’il est possible de déplacer cet organe, il peut le retrancher, couper les vaisseaux sanguins et enlever cela, ou ce tissu qui est d’une cellule en prolifération, comme une tumeur, un cancer, ou quelque chose comme ça. S’il peut le cerner, il pourra l’enlever. Mais guérir, ça, il ne le peut pas, et il vous le dira.

11        Eh bien, la guérison vient de Dieu seul. Dieu seul a acquis pour nous notre guérison. C’est à nous qu’il revient de faire tout ce que nous pouvons, dans notre vie, et par tous les moyens que Dieu nous a donnés, pour notre guérison, mais c’est Dieu qui guérit. Si Dieu vous appelle à retourner à la Maison ce soir, il n’y a pas assez de médicaments au monde pour vous retenir ici. Rien ne vous retiendra ici. Et s’Il décide que vous devez rester sur terre, peu importe combien de médecins déclarent que vous allez partir ce soir, vous ne partirez pas. Donc, c’est vraiment Dieu qui décide de tout ça.

12        Dieu est la Vie, la Vie Eternelle. «Au commencement était Dieu.» Il n’était pas Dieu à ce moment-là, parce que dieu, le mot anglais god [dieu] veut dire objet d’adoration, et il n’y avait rien d’autre que Lui. Il était l’Éternel, Celui qui est Éternel, c’est tout. Il n’y avait pas de lune, pas d’étoiles, pas d’Anges, rien. Mais dans cet Être, que nous appelons Dieu notre Père, il y avait des attributs. En Lui, il y avait l’attribut de Père; en Lui, il y avait l’attribut de Dieu; en Lui, il y avait l’attribut de Fils; en Lui, il y avait l’attribut de Sauveur; en Lui, il y avait l’attribut de Guérisseur; et toutes ces choses que nous voyons maintenant ne font que manifester Ses attributs.

13        Or, si vous étiez dans Ses pensées au commencement, si vous avez la Vie Eternelle, il n’y a qu’une forme de Vie Éternelle; la Vie Eternelle n’a pas eu de commencement, et Elle n’a pas de fin. Donc, si vous avez la Vie Eternelle, vous étiez un attribut des pensées de Dieu avant qu’il y ait quoi que ce soit d’autre que Lui.

14        Votre forme, votre silhouette et ce dans quoi vous êtes maintenant, ce n’est qu’un négatif, quand vous atteignez vingt, vingt-deux ans. Vous étiez un négatif, et la mort développe la photo pour donner le positif, «que si cette tente où nous habitons sur la terre est détruite, nous en avons déjà une qui attend». Voyez?

15        Ceci, la manifestation, là, ça montre ce qui est en train de se faire. Comme Dieu est devenu Dieu quand Il a créé des anges, Il est devenu Fils quand Il a créé Christ Jésus. Il est devenu Sauveur quand Jésus est mort. Il est devenu Guérisseur quand «Il a été blessé pour nos péchés, et que c’était par Ses meurtrissures que nous avons été guéris». Voyez?

16        Toutes ces choses sont des attributs de Dieu, de sorte qu’à la—la fin, la Bible dit, Jésus a dit: «Vous connaîtrez que Je suis dans le Père, le Père en Moi; Moi en vous, et vous en Moi.» C’est Dieu devenant tangible. Votre propre femme, vous et votre mari, c’est seulement une ombre, un négatif de Dieu et de Son Epouse à Lui, l’Eglise. Vous voyez, c’est seulement l’attribut de Dieu qui est montré sous forme des ombres et des types, comme l’Ancien Testament en était un du Nouveau. Voyez-vous? Alors, à la fin, tout ça se rejoint, Dieu tangible. Dieu en Christ, tangible, fait chair, a habité parmi nous. Et dans ce glorieux Millénium à venir, c’est Dieu sous la forme de Christ, assis sur le Trône de David; et l’Eglise, Son Epouse, le Mari et la Femme ensemble.

17        Oh! c’est ce qu’il y a de plus, c’est assez pour enflammer le coeur d’un croyant; dans ces glorieuses heures où nous vivons, alors que tous les espoirs et les nations, et tout le reste, s’écroulent sur nous, en dessous de nous, nous avons un Royaume. Nous sommes baptisés dans ce Royaume.

18        Maintenant, nous allons prendre les quelques mots de ce petit Message de ce soir pour vous présenter ce que je voudrais que vous voyiez pendant la série de réunions. Nous lisons dans, excusez-moi, dans Saint Jean, chapitre 12, verset 20. Et notre—notre thème, toujours, depuis le commencement, c’est le même que ce soir, et celui qu’on retrouve sur toute notre documentation, et tout, Hébreux 13.8: «Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement».

          Maintenant, quelques Grecs, du nombre de ceux qui étaient montés pour adorer pendant la fête,

          S’adressèrent à Philippe, de Bethsaïda..., et lui dirent avec instance: Messieurs, nous voudrions voir Jésus.

19        Maintenant, voici la question que nous posons ce soir: S’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement, et que ces Grecs, des gens des nations, ont demandé à Le voir, et qu’il leur a été permis de le faire par un de Ses serviteurs, alors, s’Il reste toujours le même hier, aujourd’hui et éternellement, pourquoi ne pourrions-nous pas Le voir ce soir? Voyez? Messieurs, nous voudrions voir Jésus.

20        Eh bien, je suis sûr que pour tout croyant, cela remplirait vraiment son coeur d’enthousiasme, ce serait une confirmation de sa foi, s’il pouvait littéralement voir et savoir qu’il se tient dans la Présence de Jésus-Christ. Je pense que ce serait la chose la plus stupéfiante que—qu’une personne, qu’un croyant pourrait envisager de savoir, et de savoir réellement qu’il se tient en plein dans la Présence du—du Seigneur Jésus-Christ, son Juge solennel, son Rédempteur, qui sera son Juge au Jugement.

21        Bon, cette question a été posée. Ces Grecs étaient montés pour l’adoration, et c’étaient peut-être des prosélytes de la religion juive. Et ils étaient à la fête, donc ce devaient être des prosélytes. Et ils avaient entendu parler de Jésus. «La foi vient de ce qu’on entend, et de ce qu’on entend la Parole de Dieu.»

22        Or, quelque part dans l’Ecriture, nul doute qu’ils avaient entendu ou lu comment serait le Messie. Donc, ils savaient que s’ils pouvaient... Cet Homme qui prétendait être le Messie, Il aurait nécessairement les attributs que devait avoir le Messie.

23        Or, beaucoup, beaucoup de faux messies s’étaient élevés, nous savons qu’il y en avait même eu un du nom de Jésus qui s’était élevé juste avant l’Oint. Le Messie, c’était l’Oint, ce qui veut dire le Christ, le... un—un Homme oint du Saint-Esprit, la plénitude de Dieu, c’était le Messie, Dieu dans un Homme. L’Homme et Dieu sont devenus Un, quand Dieu est entré dans un Homme.

24        Eh bien, ces Grecs étaient très curieux. Ils avaient appris des choses formidables au sujet de cet Homme qui faisait ces déclarations, et je les admire pour avoir eu assez de sincérité pour examiner ça de plus près. Je pense que, si seulement nous agissions tous davantage de la sorte, que nous examinions de plus près ce que nous entendons dire, et que nous le jugions selon la Parole...

25        Or, Dieu ne change jamais Sa manière de faire les choses. Il reste toujours pareil. Maintenant, Il ne peut pas changer, parce que la décision première de Dieu est la Sienne. Il doit toujours s’en tenir à cette décision, quand Il est appelé à entrer en scène, comme aujourd’hui.

26        Dieu a été appelé à entrer en scène la première fois que le péché a été commis dans le jardin d’Eden, et Il a dû prendre une décision quant à la façon dont Il rachèterait l’homme. Et Il a pris Sa décision en le rachetant par le Sang versé d’un innocent, et Il n’a jamais changé ça. Nous avons essayé de les instruire, nous avons construit des tours et des villes, élaboré des théologies et de l’instruction, et—et formé des dénominations d’église, et on les a fait entrer par la dénomination; et ça n’a jamais marché, et ça ne marchera jamais. Dieu sauve l’homme par le Sang versé de l’Innocent. Il ne change jamais ça, peu importe quelle meilleure manière nous pensons avoir. C’est... ça, c’est la décision de Dieu.

27        Et Il ne peut décider une chose aujourd’hui et une autre demain. Quand Il prend une décision, Il est parfait. Il n’a jamais à revenir dessus. Quand Dieu dit quelque chose, c’est éternellement vrai, car Il est éternel et Ses Paroles sont éternelles.

28        Dieu, qui connaissait la fin depuis le commencement, Il a donc assigné à Son... le monde une certaine portion de la Parole pour chaque génération, au fur et à mesure qu’elles sont venues. Il a envoyé des prophètes dans l’Ancien Testament; dans Hébreux 1, on nous enseigne «qu’après avoir, à plusieurs reprises et de plusieurs manières, parlé à nos pères par les prophètes, Dieu l’a fait en ce dernier jour par le Fils, Jésus-Christ». Maintenant, si nous examinions vraiment bien ce passage de l’Ecriture...

29        Quand Jésus était sur terre et qu’Il a dit qu’Il était le Fils de Dieu, ils L’ont condamné. Il a dit: «Pourquoi Me condamneriez-vous quand Je dis que Je suis le Fils de Dieu, alors que vous appelez ceux à qui la Parole est venue des ‘dieux’?» Abraham était considéré comme un dieu, Elie était un dieu, Esaïe était un dieu, car la Parole de Dieu venait à eux. Et ils étaient, partiellement, des dieux. Jésus a dit qu’ils l’étaient. Il a dit: «Vous les appelez ‘des dieux’.»

30        Maintenant, vous voyez, quand l’homme était oint, comme Joseph, il représentait Christ; quand Moïse était oint, il représentait Christ; quand David était oint, il représentait Christ. Tous menaient à Christ, et Lui était la plénitude de la Parole. La Parole a été manifestée en Lui. Il était l’Oint en entier. Eux, ils L’avaient en partie; nous, nous L’avons en partie. Lui, Il était l’Oint. Le plan de Dieu tout entier reposait en Lui. Le plan de Dieu, avant la fondation du monde, de racheter un monde perdu, était en Lui. Il était la Parole, et Il est encore la Parole, «le même hier, aujourd’hui et éternellement.» Rappelez-vous, Il est venu aux pères à travers les prophètes, Il s’est fait connaître à travers les prophètes; et puis, dans ce dernier jour, à travers Son Fils, Jésus-Christ. Il était Dieu manifesté.

31        Remarquez, la Parole vient toujours au prophète. Dieu n’a jamais agi à travers un groupe de gens. C’est à travers un individu qu’Il agit. A l’époque de Noé, Il a agi à travers Noé. A l’époque de Moïse, Il a agi à travers Moïse. A l’époque d’Elie, Il a agi à travers [Elisée] Elie, à travers Elisée et Elie, à travers Esaïe et ces prophètes, au fur et à mesure qu’ils se sont succédé au cours de l’âge.

32        Et puis, quand Il était ici, Il a été pleinement manifesté; pas dans des pharisiens, des sadducéens, mais en Jésus-Christ. Il était la Parole. Voilà pourquoi Il pouvait dire ce qu’Il a dit. Voilà les déclarations qu’Il pouvait faire. Or, ces Grecs savaient cela, vous voyez.

33        Dans chaque âge, Dieu a assigné une certaine quantité de Parole, et les églises embrouillent tout; alors, Il envoie un prophète parmi eux et Il confirme cette Parole. C’est toujours pareil, chaque fois. Aujourd’hui, nous parlons et nous disons que les méthodistes...

34        Les luthériens ont dit: «Quand vous croyez, c’est tout ce que vous avez à faire; vous êtes justifiés par la foi, croyez.» Beaucoup ont dit qu’ils croyaient, et ils ne L’avaient pas. Nous savons cela.

35        Wesley est arrivé avec ce qui était appelé «la seconde oeuvre de la grâce», la sanctification: «Tous ceux qui crient, et qui sont sanctifiés, L’ont.» Beaucoup ont crié et ne L’avaient pas.

36        Les pentecôtistes sont arrivés, ils ont dit: «Tous ceux qui parlent en langues L’ont.» Beaucoup ont parlé en langues et ne L’avaient pas.

37        Ceux de la science chrétienne sont arrivés, et ils ont dit: «C’est l’amour, le fruit de l’Esprit.» Beaucoup d’entre eux produisent du fruit de l’Esprit et ne L’ont pas.

38        Ces pharisiens pouvaient produire dix fois plus de fruits que Jésus. Le saviez-vous? Or, si je prenais, disons... Que Dieu me pardonne, mais je vais prendre l’autre côté, je vais dire: «Il y a un Homme ici à Dallas, un jeune homme, là, sorti de par ici, de nulle part, dans les... un quartier pauvre, ici, qui se dit Prophète, en Galilée. Il va un peu partout. Je vous ai rassemblés pour vous montrer ce qui ne va pas. Cet Homme prétend être Prophète.»

39        «Eh bien, j’aimerais vous poser une question. Qui a étudié depuis son enfance, sinon votre bon vieux sacrificateur, ce saint homme? Qui s’est tenu avec votre père et votre mère, à votre naissance, sinon votre bon vieux sacrificateur, ce saint homme? Qui vous a pris dans ses bras et vous a circoncis et consacré au Seigneur, le huitième jour, sinon votre bon vieux sacrificateur, ce saint homme? Qui va vous rendre visite quand vous êtes malade et nécessiteux, sinon votre bon vieux sacrificateur, ce saint homme? Qui a étudié et consenti des sacrifices, pendant toute sa jeunesse, pour apprendre toutes les lois et tout, sinon votre bon vieux sacrificateur, ce saint homme? D’où ce jeune Homme est-Il venu, ce Jésus de Nazareth? A quelle école est-Il allé? A quelle organisation appartient-Il? Quelle carte d’association porte-t-Il? Aucune. D’ailleurs, tout ce qu’Il fait, c’est de condamner ceux qui en ont une. Qui est cet Homme, d’abord?»

40        «Et vous, les hommes d’affaires! Jéhovah a exigé un agneau comme sacrifice, du sang. Et votre bon vieux sacrificateur, ce saint homme, il a installé de petits enclos, là-bas. Vous, vous êtes commerçants, et vous vendez de la soie et tout; alors, il a fait un endroit là-bas pour que vous, les commerçants, vous puissiez en acheter un avec votre argent, un agneau, pour l’offrir pour vos péchés. Qu’a fait ce jeune Homme? Il est arrivé là-bas et Il a renversé ces choses; Il les a regardés d’un regard furieux, Il les a chassés à coups de fouet, Il a renversé les tables des changeurs. Appelleriez-vous cela le fruit de l’Esprit? Non, il faut dire non, Il cherchait même à vous empêcher d’être sauvés; votre sang, le sang que Jéhovah a exigé. Ça ne pourrait pas être Jéhovah!» Voyez-vous combien c’était invraisemblable?

41        Ces sacrificateurs de ce jour-là, ou ces prophètes, n’ont-ils pas, quand Josaphat et Achab étaient assis ensemble... et que quatre cents sacrificateurs, très bien formés à l’école, sont montés là et ont dit à Achab et aux autres: «Ce pays vous appartient. Ce n’est pas juste que les—les Philistins se remplissent le ventre du blé appartenant à Israël. Le Dieu Tout-Puissant nous l’a donné. Et AINSI DIT LE SEIGNEUR, monte!»

42        Mais, vous savez, Josaphat était un homme spirituel, il y avait un petit quelque chose qui clochait. Il a demandé: «N’en as-tu pas encore un que tu puisses consulter?»

43        Il a dit: «J’en ai un, mais je le hais.» Oui. C’est sûr. Il a dit: «Il prophétise toujours du mal. Il condamne notre peuple dans tout ce qu’il fait. Il n’est pas d’accord avec les autres.»

            Il a dit: «Que le roi ne parle pas ainsi, mais qu’il le fasse venir.»

44        Et quand le petit Michée, fils de Jimla, est venu, il a eu une vision. Il a comparé sa vision avec la Parole. Et quand il a vu que sa vision et la Parole concordaient, il a dit: «Monte, mais je vois Israël dispersé comme des brebis qui n’ont pas de berger.» Vous voyez qui avait raison? C’est vrai qu’ils avaient quelque chose, et que ce pays leur appartenait, mais il leur appartenait sous conditions.

45        Et de même, les bénédictions de ce dernier jour appartiennent à cette église, mais c’est sous conditions. Vous devez remplir ces conditions, sinon vous pouvez tenir toutes sortes de réunions de guérison, de réunions où l’on crie, de réunions de louange, de réunions pour les fruits, de réunions pour parler en langues, et ça ne vous servira absolument à rien. Vous devez remplir la condition de Dieu.

46        C’est pourquoi ces Grecs désiraient voir cet Homme. Ils savaient d’après la Parole ce qu’était censé être ce Messie, et ils tenaient à Le voir. C’étaient des Gentils. Ils avaient entendu parler de Lui, et ils voulaient Le voir.

47        Maintenant, s’ils voulaient Le voir, et que ce privilège leur a été accordé, ne pensez-vous pas qu’ici à Dallas, ce soir, s’Il a dit dans l’Ecriture qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement, et que nous désirions Le voir, ne pensez-vous pas qu’Il nous l’accorderait aussi? Rappelez-vous, s’Il ne le fait pas, alors ce n’est pas le même hier, aujourd’hui et éternellement. Je crois qu’Il est le même. Dieu, dans ce dernier jour, a fait des choses merveilleuses pour les gens.

48        Ça me rappelle beaucoup une femme, là, il n’y a pas longtemps, à Louisville, au Kentucky. Elle avait un petit garçon d’environ, oh! deux ou trois ans. Et le petit gars avait un... il devait souffrir d’un—un trouble mental. Et elle l’avait amené chez le médecin, et le médecin l’avait soigné pendant un moment. Et il lui semblait, à elle, que son état empirait. Mais le médecin, lui, disait: «Je crois qu’il va mieux.»

49        Alors, elle l’a testé, pour voir. Elle l’a amené dans un petit magasin à rayons, et elle a ramassé quelque chose qui aurait dû attirer l’attention de ce petit garçon, et ce dernier ne le regardait pas. Et elle est allée à un autre rayon, et elle a ramassé quelque chose qui aurait dû attirer son attention, un petit pistolet d’enfant ou quelque chose comme cela, et—et ça n’attirait toujours pas son attention. Et elle faisait tout ce qu’elle pouvait, et les gens la regardaient, alors qu’elle devenait hystérique. Alors, elle est allée à un endroit où il y avait une—une petite clochette, et elle l’a ramassée et elle l’a agitée, hystériquement, devant ses yeux, et elle disait: «Chéri, regarde!» Et le petit gars ne faisait que regarder dans le vide. Et elle a laissé tomber cette petite clochette par terre, et elle s’est mise à hurler. Elle criait: «Oh! Non! Non!»

50        Et certaines personnes qui étaient dans le magasin sont allées lui porter secours, et voir ce qui n’allait pas. Elle a dit: «Mon petit garçon, le docteur dit qu’il va mieux, ce n’est pas le cas. Tout ce qui devrait attirer son attention, celle d’un petit garçon comme lui, ne l’attire pas. Il ne fait que regarder dans le vide.»

51        Je pense que c’est là l’état auquel notre église est en train d’aboutir. Dieu a agité chaque don qu’Il a promis dans la Bible, devant nous, et nous continuons à regarder dans le vide, cherchant quelque chose ailleurs. Il semble que c’est un état spirituel de l’église, qu’ils manquent de voir l’heure dans laquelle ils vivent. Ils cherchent une sensation ou quelque chose qui... quelque chose bien loin dans le futur. C’est ce que l’homme fait toujours; il bénit toujours Dieu pour ce qu’Il a fait, il s’attend à ce qu’Il va faire, et il ne tient aucun compte de ce qu’Il est en train de faire. Vous manquez de voir l’heure dans laquelle nous vivons.

52        Voilà ce que ces Grecs voulaient savoir, quelle était l’heure et ce que le Messie devait être. La portion de l’Ecriture qui était révélée pour ce jour-là, si ce Messie l’accomplissait, voilà la preuve! C’est la Parole de l’heure, confirmée, qui est la preuve; ce n’est pas qu’Il devait avoir les fruits de l’Esprit, qu’Il devait être un—un homme de loi auprès des tribunaux de—de justice, pour Son organisation, ou l’une de celles des pharisiens ou des sadducéens. Il était la manifestation de la Parole de Dieu promise pour cette heure-là.

53        Voulez-vous voir ce qu’est le fruit de l’Esprit? Observez ce que la Bible promet pour une heure donnée, et cherchez-en la confirmation. Voilà la preuve. Jésus a dit: «Vous sondez les Ecritures, parce que vous pensez avoir en Elles la Vie Eternelle: ce sont Elles qui rendent témoignage de Moi. Voilà ce qui prouve qui Je suis.»

54        Considérons maintenant un passage de l’Ecriture, avant de passer à autre chose. Jésus a dit, quand Il était ici sur terre, dans le Livre de Luc, que «ce qui arriva du temps de Sodome arrivera de même à la Venue du Fils de l’homme», remarquez, là, «et ce qui arriva du temps de Noé, avant le déluge.» Or, Jésus lisait la même Bible que vous et moi, nous lisons. Et toutes ces choses étaient des ombres. Maintenant, si vous voulez voir ce qui est arrivé avant le jour de Noé, reprenez et lisez dans la Genèse. Il a seulement dit: «Ils mangeaient, buvaient, se mariaient, mariaient leurs enfants.»

55        Mais, si vous remarquez, reprenez Genèse 6 et lisez-le, et là, voyez ce qui est arrivé; nous voyons là-bas que «quand les fils de Dieu virent que les filles des hommes étaient belles, ils en prirent pour femmes.» Des tribunaux de divorce. Des fils de Dieu! Des hommes de renom, des hommes célèbres...

56        Regardez aujourd’hui nos—nos gens haut placés, de grands hommes dans le monde, comme ce noble lord en Angleterre, tout récemment, (le magazine Life avait publié un article là-dessus), qu’on a trouvé avec des strip-teaseuses, et tout. Regardez notre gouverneur de New York, et tous les autres pays alentour, l’immoralité. Regardez les divorces. L’Amérique est à la tête des nations, pour les divorces, du reste du monde. Regardez les femmes, comment elles s’habillent pour sortir dans la rue; et comment les hommes, la première chose à laquelle ils pensent pratiquement, aujourd’hui, c’est quelque chose d’immoral. Toutes les distractions, sur les cigarettes, le whisky, n’importe quoi, ou un spectacle quelconque, ou un... il faut toujours qu’il y ait une femme immorale là-dedans. «Ce qui arriva du temps de Noé!»

57        Jésus a dit: «Et ce qui arriva du temps de Sodome!» Rappelez-vous, Il a laissé ça tranquille. Esquissons le tableau de Sodome. Il y a eu trois catégories de gens dans le monde, toujours; ce sont les croyants, les soi-disant croyants et les incroyants. Ils sont là dans chaque groupe. Nous en parlerons peut-être un soir, au cours de la semaine. Mais à cette époque-là, il y avait les incroyants, les Sodomites; il y avait les soi-disant croyants, qui étaient Lot et son groupe; et il y avait les appelés à sortir et élus, c’était Abraham, qui n’était pas à Sodome.

58        Trois Anges sont descendus juste avant la venue du fils promis. Ainsi, Abraham avait séjourné, et il avait attendu un fils promis; et Lot avait complètement oublié la promesse, et il était parti à Sodome; et les Sodomites ne le croyaient pas, au départ. Mais remarquez, là, par une chaude matinée, trois Etres sont descendus du Ciel. Et comme ils se sont avancés vers Abraham, l’Un d’eux est resté avec lui. Et deux d’entre eux sont descendus à Sodome, pour appeler à sortir ceux qui restaient à Sodome, Lot et ceux qui étaient allés avec lui, et Il n’en a eu que trois; huit à l’époque de Noé.

59        Ça, c’est une déclaration plutôt forte pour ce jour qui vient, «ce qui arriva», trois et huit. Remarquez, il y en avait Un, cependant, qui était venu à Abraham.

60        Or, celui qui était descendu à Sodome, il... ils ont prêché là-bas, les deux qui étaient allés là-bas, ils ont prêché et leur ont dit que l’heure approchait où le monde des nations serait entièrement brûlé. Maintenant, comparez le tableau de Sodome à celui d’aujourd’hui; pas Noé, l’eau; mais cette fois-ci le feu, pour détruire le monde des nations.

61        Et les vrais croyants des nations cherchent un Fils promis, le Fils de Dieu, et nous avons attendu. Ils ne sont pas dans Sodome. Ils sont appelés à sortir.

62        Celui de Sodome, c’était ce membre d’église tiède. Et un genre de Billy Graham contemporain est descendu à Sodome, parmi les dénominations, un Oral Roberts. Et ils sont là-dedans, ils cognent dur, par l’Evangile, ça a aveuglé les gens. Regardez bien le signe qu’il a accompli là-bas, pour ceux-là.

63        Maintenant, regardez Abraham, l’élu, dans son groupe à lui; il y en a Un qui est resté là-bas et qui a accompli un signe pour eux.

64        Vous savez, dans toute l’histoire du monde, toute l’histoire de l’église, jamais une seule fois il n’y a eu un réformateur, ou un homme qui ait jamais eu un—un grand ministère pour ceux des nations, dont le nom se soit terminé par h-a-m, comme A-b-r-a-h-a-m, jusqu’à ce jour. C’est G-r-a-h-a-m, six lettres. Abraham, c’est sept lettres. Six lettres, G-r-a-h-a-m. Billy Graham, un grand revivaliste qui est là-bas à Sodome, parmi ces églises des dénominations, pour appeler à sortir ceux qu’il peut. Nous avons eu Billy Sunday, Finney, Sankey, Moody, Knox, Calvin, ainsi de suite, mais jamais un G-r-a-h-a-m ou qui que ce soit se terminant par h-a-m, jamais auparavant. Il y en a un là-bas, pour l’église formaliste, à Sodome, qui se termine par h-a-m, ce qui veut dire «père des nations.»

65        Et puis, il y en avait Un qui est resté là-haut avec Abraham; Il était assis, la tente... le dos tourné à la tente, et Il a dit: «Abraham» (Pas Abram, ce qu’il était quelques jours auparavant) «Abraham, où est ta femme Sara?» S-a-r... r-a, pas S-a-r-a-ï, vous voyez. «Où est ta femme Sara?»

            Il a dit: «Elle est dans la tente, derrière Toi.»

66        Il a dit: «Je vais te visiter. Je», Je, un pronom personnel, «vais te visiter selon la promesse que Je t’ai donnée.»

67        Et Sara, qui était âgée de cent ans, dans la tente, a ri en elle-même, en disant dans son coeur: «Comment puis-je, moi qui suis vieille, avoir encore du plaisir avec mon seigneur, et que lui est vieux, Abraham, comme des jeunes... ou des gens avec—avec une vie sexuelle qui est terminée depuis des années?» Elle avait quatre-vingt-dix ans, et Abraham en avait cent. Elle a dit: «...avoir du plaisir avec mon seigneur, alors que lui aussi est vieux?»

68        Et l’Ange, le Messager qui était pour l’Eglise spirituelle, a discerné ce qu’elle avait, ce qu’elle disait dans son coeur. Et Il a dit: «Pourquoi Sara a-t-elle douté de ceci, tu vois, en disant dans son coeur: ‘Cela est impossible’?»

69        Et Sara a essayé de le nier. Mais comme elle faisait partie d’Abraham... Son incrédulité l’aurait condamnée, mais Dieu ne pouvait pas la reprendre, parce qu’elle faisait partie d’Abraham. L’Eglise aurait été condamnée depuis longtemps, mais elle fait partie de Christ.

70        Remarquez le signe qu’Il a accompli, en disant ce qu’elle faisait, alors qu’Il lui tournait le dos. Jésus a dit que ça se reproduirait «aux jours de la Venue du Fils de l’homme.» Nous voyons le Billy Graham, nous voyons le feu prêt à tomber, l’église qui attend un Fils promis. Et voilà, tout est là, comme il faut, nous attendons cette heure-là, le Fils promis.

71        Et rappelez-vous le dernier signe qu’Abraham a vu. Et nous qui sommes nés de l’Esprit de Christ, nous sommes la Semence royale d’Abraham. Jésus a promis que la Semence royale d’Abraham verrait le même signe que leur père Abraham avait vu, avant la venue du fils promis. Il n’y a pas eu un seul autre signe. Abraham... Immédiatement après, Sara est devenue mère, et Isaac est arrivé. Le dernier signe, c’était Dieu manifesté dans la chair d’un homme.

72        Là, quelqu’un m’a dit, il a dit: «Frère Branham, vous ne croyez pas que c’était Dieu!»

73        Eh bien, Abraham a dit qu’Il l’était. Il L’a appelé Elohim. Et regardez et voyez si ça ne s’écrit pas avec un L majuscule. Voyez si au début, à l’origine, ce n’est pas là la même chose que c’était: «Au commencement, Dieu créa...» Elohim, le «Tout-Suffisant.»

74        Dieu qui Se manifeste dans Son Eglise, au milieu de Son peuple. Jésus a dit... Ici, Dieu était manifesté dans un Homme, Jésus-Christ, «le même hier, aujourd’hui et éternellement.» L’Eglise est passée par toutes sortes de signes. Eh bien, ensuite, quand Dieu agite le dernier signe devant eux, ils restent là à regarder dans le vide. Que Dieu aie pitié de nous!! Combien nous reste-t-il encore de temps de grâce? Il est peut-être plus tard que nous ne le pensons. Rappelez-vous ma première déclaration; les gens iront de l’avant, pensant être sauvés, comme à Sodome.

75        Qu’était-Il? Qu’ont vu ces Grecs en Lui? Qu’était-Il? Ce qu’ils voyaient en Lui, à l’époque, ce qu’ils cherchaient, ils devaient l’avoir vu.

76        Maintenant, regardez dans Deutéronome, chapitre 18, versets 15 à 20, Moïse... Dieu a dit la chose à Moïse, et Moïse l’a dit au peuple: «L’Eternel, ton Dieu, suscitera un Prophète comme moi. Et si quelqu’un ne L’écoute pas, il sera retranché du milieu du peuple.» Dieu ne change jamais Son plan.

77        Donc, ces Grecs attendaient un Prophète. Or, ça faisait quatre cents ans qu’ils n’avaient pas eu de prophète, depuis Malachie. Mais ces Grecs savaient que cette Parole qui était promise pour ce jour-là devait être un Prophète: «L’Eternel ton Dieu suscitera un Prophète comme moi.»

78        En effet, la Parole ne vient qu’au prophète, à rien d’autre qu’au... Combien comprennent ça? [L’assemblée dit: «Amen.» — N.D.E.] Voyez? Regardez, c’est tellement parfait que, quand Jean, qui était le prophète, se tenait dans les eaux, en train de baptiser, alors Jésus est venu à lui dans l’eau; la Parole est venue au prophète. Il était la Parole, et Il est venu à Jean dans l’eau. Dieu ne change jamais Son système, Il ne change jamais Sa façon de faire. Il est le Dieu immuable. Eh bien, les églises n’ont pas cru ça, pas du tout, mais ça n’a pas arrêté le programme de Dieu. Celui-ci a continué quand même.

79        Maintenant, Pierre, son père était pharisien. Sans doute qu’André, qui était un disciple de Jean, a entendu quand Il a été présenté.

80        Jean a dit: «Voici le Messie, je vois une Lumière au-dessus de Lui, comme une colombe qui descend sur Lui.» Il a rendu témoignage. Il a dit: «Celui qui m’a dit dans le désert: ‘Va baptiser d’eau’, a dit: ‘Celui sur qui tu verras l’Esprit, cette Lumière, descendre comme une colombe’», c’était peut-être la même Colonne de Feu qui avait suivi les enfants d’Israël dans le désert, qui est venue sur Lui, parce que c’était l’Oint, le Logos. Elle est venue sur Lui, et il a dit: «J’en rends témoignage, voici le Messie.»

81        Alors, Pierre est venu avec André à la réunion.

82        Voyons ce qu’Il était. Et si nous voyons ce qu’Il était, alors nous saurons ce qu’Il est maintenant. Et la façon dont ils L’ont reconnu à l’époque, ce devrait être la même façon dont on Le reconnaît aujourd’hui, puisqu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Maintenant, dans le contexte de Sa promesse, voici ce qu’Il ferait. Remarquez.

83        Là, nous voyons que, quand Pierre s’est avancé dans l’assistance, là où Jésus était, Jésus, qui ne l’avait jamais vu auparavant, s’est retourné, l’a regardé et lui a dit: «Ton nom est Simon, tu es le fils de Jonas.» Non seulement Il le connaissait, mais Il connaissait son brave vieux père qui l’avait formé. Et Pierre, qui n’avait pas assez d’instruction pour signer de son nom, qui était connu pour être un homme du peuple sans instruction, il a plu à Dieu de l’établir comme évêque à Jérusalem, et Jésus lui a donné les clés du Royaume et a fait de lui le chef de l’Eglise. Cet homme, sur cette révélation révélée, comme il savait ce que le Messie devait être, il a dit, il L’a reconnu comme étant le Messie, et il est tombé à Ses pieds, parce qu’Il avait fait cela.

84        Il y en avait un qui se tenait là, du nom de Philippe. Lui n’a pas eu besoin qu’on lui fasse cela. Mais il avait un enseignant de la Bible, qu’il connaissait très bien, du nom de Nathanaël. Si vous remarquez, à partir de l’endroit où Jésus se trouvait à ce moment-là, c’était à quinze miles [24 km] de l’autre côté de la montagne, à environ deux jours. Et Philippe s’en va et trouve Nathanaël sous un arbre en train de prier, et il le ramène. Sans doute, si nous pouvions surprendre la conversation qu’ils avaient en chemin, ils disaient: «Regarde, viens voir qui nous avons trouvé: Jésus de Nazareth, Fils de Joseph.»

85        Il a dit: «Mais, peut-il sortir de Nazareth quelque chose de bon?»

86        «Regarde, tu te souviens, nous avons lu dans l’Ecriture que le Messie doit être un Prophète.»

87        «Oh! bien sûr, la Bible l’a dit, Moïse. Nous sommes ses disciples. Il a dit que le Seigneur susciterait un Prophète comme lui.»

88        «Très bien. Alors, ce Prophète, c’est Jésus de Nazareth. Tu te souviens de ce brave pêcheur, Simon, là-bas?

            — Oui.

            — C’est–c’était le fils de Jonas.

            — Oui.

            — Tu lui as acheté du poisson une fois, et il n’a même pas su signer le reçu.

            — Oui.

89        –– Il s’est avancé vers Lui, et Il lui a dit: ‘Ton nom est Simon. Tu es le fils de Jonas.’ Ça ne me surprendrait pas qu’Il sache tout sur toi à ton arrivée.»

90        Ah! Il fallait que Nathanaël voie ça. Alors, il y est allé avec Philippe. Je ne pense pas qu’il soit passé dans la ligne de prière. Il est peut-être resté assis dans l’assistance, ou debout dans l’assistance, quoi que ça ait été. Jésus priait pour les malades.

91        Et aussitôt que Jésus a posé le regard sur lui, Il a dit: «Voici un Israélite dans lequel il n’y a point de fraude.» Or, Il ne l’a pas reconnu à sa façon de s’habiller. Tous les Orientaux s’habillaient de façon identique, avec des turbans et des sandales, et—et des vêtements amples, ils portaient la barbe. Il a dit: «Voici un Israélite dans lequel il n’y a point de fraude.» Eh bien, il aurait pu être musulman, il aurait pu être––il aurait pu être Turc, il aurait pu être n’importe quoi d’autre, mais comment savait-Il qu’il était un Israélite et qu’il n’y avait point de fraude en lui? Et ça l’a vraiment dégonflé.

            Et il a dit: «Rabbi, d’où me connais-Tu?»

92        Il a dit: «Avant que Philippe t’appelât, quand tu étais sous l’arbre, Je t’ai vu.» C’était réglé. Ça suffisait.

93        Voilà. C’était là le Messie. Il a dit: «Tu es le Christ, le Roi d’Israël.» Peut-être que son pasteur se tenait là, mais ça ne l’a pas dérangé.

94        Il y en avait qui se tenaient là, qui disaient: «Cet Homme est Béelzébul.» Ils devaient répondre devant leur assemblée, vous savez. Ils disaient: «Cet Homme fait ça par la puissance du diable. C’est un diseur de bonne aventure ou quelque chose comme cela.»

95        Jésus a dit: «Vous Me taxez de ça, d’un mauvais nom; les oeuvres de Dieu, d’un mauvais nom?» Il a dit: «Vous dites ça du Fils de l’homme, Je vous pardonne. Mais quand le Saint-Esprit viendra», en cet âge-ci, «pour faire la même chose, une seule parole contre Lui ne sera jamais pardonnée dans ce siècle, ni dans le siècle à venir.» C’est ce qu’Il a dit. Je crois que ce qu’Il dit est vrai.

96        Philippe a reconnu, par là... Pourquoi? C’était là, après de longues années sans prophète, et voici que cet Homme le connaissait et savait ce qui n’allait pas, et ce qu’il avait fait.

97        Jésus (Rapidement là, avant de terminer), un jour, Il descendait à Jéricho, qui était au bas de la colline. Mais il Lui fallait passer par la Samarie, et Il est passé par une ville du nom de Sychar.

98        Or, il y a trois races de gens. Croyez ce que vous voulez, mais c’est ce qu’il y a. Il y a les descendants de Cham, de Sem et de Japhet. Maintenant, remarquez, comme les Juifs... Ils attendaient un Messie. Et les Samaritains étaient mi-Juifs, mi-Gentils, ils attendaient aussi un—un Messie. Mais les Gentils, nous, les Anglo-Saxons, nous étions des païens, les Philistins et que sais-je encore, vous voyez.

99        Mais, remarquez, Il ne vient qu’à ceux qui L’attendent. Ce soir, Il ne guérira que ceux qui s’attendent à ce qu’Il les guérisse. Il ne sauvera que ceux qui s’attendent à être sauvés.

100      Et voyez-Le maintenant alors qu’Il envoie les disciples dans la petite ville de Sychar chercher des—des provisions. Pendant qu’ils étaient partis, une jolie jeune femme est arrivée, et c’était une femme de mauvaise réputation. Aujourd’hui, on l’appellerait peut-être une fille de trottoir. Peut-être que ses parents l’avaient jetée à la rue quand elle était petite fille, et que c’est comme ça qu’elle gagnait sa vie, mais il y avait quelque chose dans le coeur de cette petite dame. Elle était venue vers 11 h, parce qu’elle ne pouvait pas venir accompagnée des autres jeunes filles. Si quelqu’un ici est déjà allé en Inde et dans les pays de l’Orient, comme les coutumes ne changent jamais, ils ne peuvent pas se côtoyer, les bonnes gens et les mauvaises. Alors ils...

101      Elle est arrivée, et Jésus était assis là. Au milieu d’un paysage qui ressemblait un peu à celui-ci, là, des treilles disposées au-dessus d’un puits. Et le puits public de la ville se trouvait là, et les gens venaient chercher de l’eau. Et elle est venue presque vers midi chercher son eau. Alors que les jeunes filles viennent chercher de l’eau tôt le matin, et elles, là-bas, elles font leur lessive et des choses comme ça. Son gagne-pain à elle était différent. Alors, elle venait vers midi chercher la sienne, quand les jeunes filles n’étaient pas là, parce qu’on l’aurait chassée du puits.

102      Et alors, elle, sans avoir remarqué qu’il y avait Quelqu’Un assis là, elle a attaché les petits crochets à la cruche et elle l’a fait descendre avec le treuil dans le puits, et elle s’est mise à la remonter. Elle a entendu une voix qui disait: «Femme, donne-Moi à boire.» Et elle a regardé de ce côté-là, et il y avait là un Homme assis, un Juif.

103      Il devait paraître un peu plus âgé qu’Il ne l’était vraiment, parce qu’Il n’avait que trente ans, environ trente-trois, et la Bible dit qu’Il paraissait en avoir cinquante. Vous savez, les Juifs ont dit: «Toi, un Homme de pas plus de cinquante ans, Tu dis avoir vu Abraham?»

            Il a dit: «Avant qu’Abraham fût, JE SUIS.» Voyez?

104      Alors, Il devait avoir la barbe grisonnante, ou quelque chose du genre, quand elle L’a regardé. Et elle L’a regardé. L’oeuvre qu’Il accomplissait devait avoir terriblement marqué Sa vie physique. Et elle a dit...

            Il a dit: «Apporte-Moi à boire.»

105      Et elle a dit: «Il n’est pas de coutume que vous les Samarit-... ou vous les Juifs vous nous posiez une telle question à nous, les Samaritaines.»

106      Et Il a dit: «Mais si tu savais à qui tu parles, c’est toi qui Me demanderais à boire.»

107      Alors, elle a dit: «Le puits est profond.» Que faisait-Il? Il contactait son esprit, voyez. Le Père...

108      Il a dit, dans Saint Jean 5.19: «En vérité, en vérité, Je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-même, Il ne fait que ce qu’Il voit faire au Père.» Souvenez-vous-en, là. Notez cela dans vos livres, vous voyez. Jésus ne faisait jamais rien avant avoir vu en vision quoi faire. C’est vrai. Pas entends, mais ce que Je vois. «Le Fils ne peut rien faire, Il ne fait que ce qu’Il voit faire au Père; alors, Il le fait pareillement.» Il l’exécutait comme un rôle. Aucun homme ne peut faire quoi que ce soit en fait, à part ce que Dieu lui dit de faire. Remarquez, là, et le Père Lui avait peut-être dit de monter en Samarie.

109      Et puis, cette femme Lui a parlé, et Il a dit, Il a conversé avec elle, pour contacter son esprit. Et puis, après avoir parlé «d’adorer ici à Jérusalem», voilà qu’Il a trouvé quel était son problème. Nous savons tous ce que c’était. Elle avait trop de maris. Et alors, Il a dit: «Va chercher ton mari, et viens ici.»

            Et elle a dit: «Je—je n’ai pas de mari.»

110      Il a dit: «Tu as dit vrai, car tu en as eu cinq, et celui avec qui tu vis maintenant n’est pas le tien.»

111      Et regardez bien cette femme, remarquez, elle qui était dans cet état-là. (Est-ce que je m’attarde trop, je m’attarde trop?) Elle qui était dans cet état-là, elle en savait plus long sur la vraie Bible qu’un tas de prédicateurs n’en savent aujourd’hui. Et dès qu’Il voit... Elle a peut-être pensé que c’était simplement un—un homme qui voyait son état, et—et elle voulait... qui voulait faire le malin avec elle, ou quelque chose, et elle a dit: «Je n’ai point de mari!»

112      Il a dit: «Tu as dit vrai. Tu en as eu cinq, et celui avec qui tu vis maintenant n’est pas ton mari.»

113      Sans tarder, cette semence prédestinée qui reposait dans son coeur s’est enflammée. Elle s’est retournée, elle a dit: «Seigneur, je vois que Tu es Prophète. Nous n’en avons pas eu depuis quatre cents ans, Tu sais. Nous savons.» Oh! Dallas, ne manquez pas ceci. «Nous savons. Nous attendons un Messie, qu’on appelle le Christ. Et quand Il sera venu, c’est ce qu’Il fera. Ce sera là Son signe.»

            Jésus a dit: «Je Le suis, Moi qui te parle.»

114      Là-dessus, elle lâcha, s’en alla dans la ville, et dit: «Venez voir un Homme qui m’a dit ce que j’ai fait. N’est-ce point le Messie Lui-même?» Et la Bible dit qu’ils ont cru en Jésus à cause de ce que la femme avait dit.

115      Or, c’est comme ça qu’Il s’est identifié comme Messie; pas par Son habillement, par Son instruction, par une carte de membre, par l’honneur qu’on Lui rendait parmi les hommes. Dieu était en Lui, alors qu’Il manifestait la Parole qu’Il avait promise. Il a dit dans Saint Jean 5.39: «Vous sondez les Ecritures, car en Elles vous pensez avoir la Vie Eternelle. Ce sont Elles qui témoignent, ou qui vous disent qui Je suis.»

116      «Le même hier, aujourd’hui et éternellement.» Mon frère, ma soeur, vous êtes un auditoire charmant, on pourrait parler toute la nuit. Voyez-vous ce qu’était Jésus, là? Il était manifesté, c’était Dieu manifesté dans un Homme appelé Jésus-Christ, qui est le Fils de Dieu, qui a promis: «Ce qui arriva du temps de Noé (tout le reste de la scène concorde exactement) arrivera de même à la Venue du Fils de l’homme.» «Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement.» Oh! église, ne regardez pas dans le vide, mais croyez au Seigneur Jésus-Christ! Messieurs, nous voudrions voir Jésus. S’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement, aimeriez-vous Le voir? «Messieurs, nous...» Comment pourriez-vous Le reconnaître? S’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement, Il fera la même chose.

117      Maintenant, un homme pourrait s’avancer ici avec des marques de clous dans ses mains, du sang et de la fumée, et de l’huile qui sort de lui. Ce ne serait pas ça pour autant. N’importe quel hypocrite peut faire ça. Certainement.

118      Mais ce que c’est, c’est la manifestation de cette Parole promise. Il était le Prophète oint de Dieu. Il était—Il était le Dieu-Prophète. Il était tout ce que les prophètes étaient; c’était en Lui, plus le reste de ce que Dieu était. Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec Lui-même. Il était Dieu, Emmanuel, la plénitude de Dieu révélée à nous, dans la Personne de Son Fils Jésus-Christ, le second attribut de Dieu.

119      Remarquez, là, Il est vivant aujourd’hui. Il n’est pas mort. Il est vivant. Il a dit: «Encore un peu de temps, et le monde (kosmos), l’ordre du monde Me verra...» verra; v-e-deux r-a, «ne Me verra plus. Mais vous, vous Me verrez, car Je (Je, c’est de nouveau un pronom personnel) Je serai avec vous, et même en vous, jusqu’à la fin du monde, ou à la fin du monde, quand ces Ecritures doivent s’accomplir.» Tout au long, c’était Dieu, en qui nous avons cru dans l’âge de Luther, Dieu qui a crié dans—dans l’âge de Wesley, Dieu qui a parlé en langues dans l’âge de la Pentecôte. C’est Lui qui arrive, avant la Venue du Fils promis, pour prouver Son Ecriture. Il faut que toutes les Ecritures s’accomplissent. Messieurs, nous voudrions voir Jésus.

            Inclinons la tête.

120      Père céleste, nous voudrions voir Jésus. Qu’Il vienne ce soir, Seigneur Jésus. Viens dans la puissance de Ta résurrection. J’ai parlé longuement, mais rien qu’un mot ou deux de Ta part représentera plus que tout ce que n’importe qui pourrait dire; alors, que l’Eglise ne dorme pas. Que... La dernière manifestation de Dieu, comme Il l’a promis: «Ce qui arriva du temps de Sodome, avant que le feu tombe sur ceux des nations, arrivera de même à la Venue du Fils de l’homme.» L’ombre, le négatif et le positif qui se rapprochent tellement, au point qu’après un moment, il y aura un temps de l’union.

121      Nous voyons que les nations s’unissent, ce qu’on appelle l’ONU. Les églises s’unissent, le conseil oecuménique s’unit avec le Vatican. Toutes les églises s’unissent ensemble, les croyants et les incroyants. Les travailleurs s’unissent dans des syndicats.

122      Seigneur, que l’Eglise se réveille et qu’elle voie que c’est le temps de l’union, que Jésus s’unit à Son Eglise, Mari et Femme. Bientôt, la cérémonie va avoir lieu et ils deviendront Un. Alors qu’Il agite le dernier signe devant nous, ou qu’Il nous montre Sa promesse, puissions-nous voir Jésus et Le glorifier, car c’est en Son Nom que nous prions. Amen.

123      Maintenant, je vais peut-être... il me reste dix minutes pour terminer à temps, si chacun répond bien. Bon, tous ceux qui ont des cartes de prière, je n’aurai pas le temps de m’occuper de tous ce soir. Mais on va s’en occuper un peu plus tard.

124      Maintenant, Billy est ici quelque part, j’en suis certain. Parfois, on ne distribue même pas de cartes, mais je crois qu’il m’a dit qu’il... Vous avez des cartes de prières, n’est-ce pas? Levez la main. Oui, c’est ça... [Espace vide sur la bande. Quelqu’un dit: «L, un.» — N.D.E.]

125      L, L, très bien. Est-ce là cet homme malade, très malade, là-bas? Très bien. L, numéro 1, venez vous placer ici. L, numéro 2, où êtes-vous? Numéro 2, où est le numéro 2? Voulez-vous lever la main? Très bien, avancez ici. C’est une dame.

126      Mon garçon vient. Voici comment ça se passe. Il vient et, devant l’auditoire, il prend ces cartes pour les mélanger toutes, et puis il vous donne la carte que vous voulez. Tout le monde peut avoir une carte, et puis on les appelle par le numéro. Ça montre que le garçon ne sait pas par où elles vont être appelées. Il nous est arrivé une fois, beaucoup d’entre vous ici s’en souviennent peut-être, il nous est arrivé qu’un homme vendait des cartes de prière aux réunions, et il garantissait que la personne irait à l’estrade. Et en plus, il m’arrive de commencer par 1, il m’arrive de commencer par 50, il m’arrive de commencer par 14, 20, 16, et puis je peux les prendre en descendant, et en prendre quelques-unes, ici. Combien ont assisté à des réunions et ont vu cela être fait? Mais oui. Voyez? La carte de prière n’a rien à voir avec ça. Et il y en a beaucoup qui sont guéris dans l’auditoire sans même avoir de carte de prière.

127      Numéro 1, 2, 3. Qui a 3? La carte de prière numéro 3, levez la main. Là-bas, au fond, la dame. Venez ici, madame. Numéro 4. Si vous ne pouvez pas vous lever maintenant, nous allons vous porter. Numéro 4. S’il y a... Je vois qu’il y a une civière ici, et quelques fauteuils roulants, par là autour. Si vous ne pouvez pas venir, nous vous porterons. Numéro 4. Numéro 5, la carte de prière numéro 5. Numéro 6, 7, 8, 9, 10. Que ceux-là s’avancent, maintenant, par numéro, s’ils le peuvent. Voyons voir. 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9. Y sont-ils tous? Ils y sont. Arrêtons-nous là un instant. Nous manquons un peu de temps. Je n’aime pas terminer après 21 h 30.

128      Maintenant, combien dans l’auditoire n’ont pas de carte de prière et veulent que Jésus les guérisse, et savent qu’Il peut les guérir? Levez la main. Peu m’importe que vous soyez au balcon, peu importe où vous êtes. Maintenant, regardez, si vous ne...

129      Cette femme qui a touché le vêtement... Pendant qu’ils les alignent... Cette femme qui a touché Son vêtement, elle n’avait pas de carte de prière, peut-être, mais elle a dit... Maintenant, écoutez bien, là. Elle a dit dans son coeur: «Je crois en cet Homme. Si je peux toucher Son vêtement, je serai guérie.» Elle souffrait d’une perte de sang. Combien se rappellent l’histoire? [L’assemblée dit: «Amen.» — N.D.E.] Elle s’est faufilée à travers la foule, peut-être qu’elle s’est frayé avec peine un chemin entre les gens, une petite femme pâle, maladive, et elle a touché Son vêtement.

130      Et le vêtement palestinien est ample. Il n’aurait jamais senti ça. Moi, je ne sentirais pas si vous touchiez ma poche, et mon veston est ajusté. Mais ces vêtements palestiniens... et ils portent un vêtement de dessous. Et elle a touché Son vêtement.

131      Et Il s’est arrêté et a demandé: «Qui M’a touché?» Elle était retournée dans l’auditoire. Il a dit...

132      «Eh bien, a dit Pierre, Seigneur, ça ne va pas, ça. Tout le monde Te touche.»

133      Il a dit: «Mais Je sens que Je me suis affaibli. De la vertu, de la force, est sortie de Moi.» Combien s’en souviennent? [L’assemblée dit: «Amen.» — N.D.E.]

134      Et Il a promené le regard dans toute l’assistance jusqu’à ce qu’Il l’eût trouvée. Pas vrai? [L’assemblée dit: «Amen.» — N.D.E.] Et Il a dit: «Ta foi t’a sauvée.» Pas vrai? [«Amen.»]

135      Maintenant, regardez, prédicateurs, la Bible dit-Elle que «Jésus-Christ (Hébreux 3) est un Souverain Sacrificateur, maintenant même, qui peut être touché par le sentiment de nos infirmités? [Les prédicateurs et l’assemblée disent: «Amen.» — N.D.E.] Combien savent que la Bible dit ça? [«Amen.»] Eh bien, s’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement, comment agirait-Il aujourd’hui? Tout comme Il l’a fait hier. Certainement.

136      Maintenant, vous, voyez-vous, ça ne vous servirait à rien de me toucher. Je serais comme votre frère, votre mari, votre père, quoi que ce soit. Il n’y aurait pas de vertu en moi. Mais si vous, votre foi peut Le toucher, Lui, alors regardez-Le agir. Essayez seulement. Ne l’essayez pas; il y a trop de ça aujourd’hui, de se contenter d’essayer. Faites-le!

137      Maintenant, soyez vraiment respectueux, soyez tranquilles. Juste quelques instants, là, et on saura. Ces choses que j’ai dites, ça avait l’air beau; mais, vous voyez, sont-elles vraies ou pas? C’est ce qu’il faut voir, après. Est-ce que tout ça...

138      J’entends parler les musulmans, les sikhs, les jaïns, Bouddha, oh! la la! les musulmans, mais ils ne peuvent pas... Ils peuvent parler de quelque chose qui a été, mais qu’en est-il de maintenant? Voyez? S’Il n’est pas...

139      S’Il est le Dieu de l’histoire, Il ne nous sert à rien aujourd’hui, s’Il est seulement le Dieu de l’histoire. S’Il n’est pas le même hier, aujourd’hui et éternellement, alors la Bible déclare quelque chose de faux.

140      Maintenant, s’Il peut me soumettre à Sa volonté, qu’Il peut vous faire entrer dans Sa volonté, alors, en agissant entre nous, vous voyez, c’est là que la puissance de Dieu vient.

141      Maintenant, si cet homme est malade, j’aimerais qu’il reste assis là où il est. Et alors, pouvez-vous le voir depuis l’auditoire? Il est assis juste ici.

142      Apportez sa chaise ici, si vous voulez. Mais, vous sentez-vous à même de marcher jusqu’ici, monsieur? A ma droite, venez vous asseoir ici. Apportez la chaise ici, Frère Grant, s’il vous plaît, pour que cet homme puisse rester assis un instant, ici. Très bien, maintenant, asseyez-vous ici, monsieur.

143      J’ai remarqué cet homme depuis quelques minutes, sur le point de s’évanouir. Il doit être gravement malade. Je ne sais pas. Et si je le savais et que je pouvais l’aider, et que je ne le fasse pas, alors je ne serais pas digne de me tenir derrière cette estrade ici et de vous parler, à vous autres, vous, les chrétiens.

144      Mais cet homme n’est probablement pas aussi âgé que moi. Et c’est notre... Nous sommes probablement des inconnus l’un à l’autre. Vous ne me connaissez pas, je suppose. [Le frère dit: «Si, je vous connais.» — N.D.E.] Vous me connaissez. Mais moi, je ne vous connais pas. [«J’étais à une réunion à Jonesboro.»] Oh! vous m’avez vu à Jonesboro, il y a environ quinze ans, quand j’étais là-bas, à des réunions. C’est ça. [«C’est bien ça.»] Eh bien, ça a été glorieux, là-bas. Je crois que c’était avec frère Richard Reed. [«Oui, oui.»] Oui.

145      Maintenant, si cet homme assis ici, souffrant, si je pouvais le guérir et que je ne le fasse pas, quel genre de personne serais-je? Mais je ne peux pas le guérir. Mais maintenant, si nous voyions Jésus, et que Jésus se tienne ici, et qu’Il porte ce costume qu’Il m’a donné, là, est-ce que Jésus dirait: «Viens ici et Je vais te guérir»? Faites attention, là, si vous connaissez votre Bible, vous voyez. Non, non. Il l’a déjà fait; Il ne pourrait pas le faire aujourd’hui. Il l’a déjà fait. «Il a été blessé pour nos péchés, c’est par Ses meurtrissures que nous avons été sauvés... c’est par Ses meurtrissures que nous avons été guéris», plutôt. Très bien. Bon. Mais Jésus pourrait se déclarer, pour faire savoir à cet homme quel est son problème, ou quelque chose qui cloche, ou quelque chose qu’il a fait. Pas vrai? [L’assemblée dit: «Amen.» — N.D.E.] Et comme ça, il saurait que Christ est ici.

146      Parce que moi, je ne le connais pas. Je lève les mains, là, je... il a dit qu’il était aux réunions de Jonesboro. Il y a de cela quinze ans. Je—je n’ai jamais vu cet homme de ma vie, pour autant que je sache. Il était peut-être assis au fond; demain... Eh bien, je ne connais personne ici.

147      Je crois savoir que c’est M. Way qui est assis ici. Un Anglais qui est assis ici même, que je connais, qui était tombé mort dans mon église, l’autre jour, à Jeffersonville, en Indiana; il était tombé mort. Son épouse est là, quelque part par ici, elle est infirmière. Pendant que je parlais, cet homme est tombé mort, il est tombé mort d’un coup. Je suis descendu lui imposer les mains, il est ici. Voyez? Voyez?

148      Si seulement je peux tenir l’assemblée tranquille assez longtemps, jusqu’à ce que le Saint-Esprit puisse descendre. Ne vous agitez pas. Restez simplement assis, tranquilles, vous voyez.

149      Maintenant, monsieur, je voudrais que vous regardiez dans cette direction, juste un instant. J’ai parlé, et je—je suis ici pour vous aider maintenant. Et si je peux vous aider, je ferai tout mon possible.

150      Maintenant, ce que j’ai dit ici dans l’Ecriture, Dieu est tenu, parce que je crois que c’est maintenant les derniers jours; Dieu est tenu de—d’accomplir cette Parole, et c’est ce qu’Il a promis de faire. Et si Lui pouvait me dire quelque chose que vous avez fait, ou quelque chose qui cloche chez vous, ou pourquoi vous êtes ici, ou quoi que ce soit, vous sauriez si c’est vrai ou pas. Vous—vous—vous en seriez témoin.

151      Mais maintenant, si je m’avançais ici et que je vous impose les mains, que je dise: «Gloire à Dieu, vous êtes guéri! Gloire à Dieu», ce serait bien, ce serait parfaitement bien, si vous le croyiez.

152      Mais s’Il vous dit ce que vous avez fait, ou une cause, la raison pour laquelle vous êtes malade, ou quelque chose comme ça... Alors, vous sauriez, s’Il pouvait vous dire ce qui est arrivé, sûrement qu’Il saurait ce qui—ce qui va arriver, ce serait vrai. Oui. Croyez-vous cela? [L’assemblée dit: «Amen.» — N.D.E.]

153      Maintenant, que suis-je en train de faire à cet homme? J’essaie de contacter son esprit, tout comme notre Seigneur l’a fait au puits avec cette femme. Je ne le connais pas. Je ne l’ai jamais vu. Maintenant, il y en a beaucoup ici qui sont malades, beaucoup qui prient.

154      Et maintenant, Père céleste, nous prenons tout esprit ici sous notre contrôle, pour la gloire de Dieu, afin que Tes Ecritures s’accomplissent. La Bible dit que c’est pour ça que Jésus guérissait, «afin que les Ecritures s’accomplissent.» Et c’est la raison pour laquelle Tu fais preuve de miséricorde en ces derniers jours, «afin que les Ecritures s’accomplissent.» Nous venons de parler d’Elles, ce soir. Accorde-le, Seigneur, au Nom de Jésus. Amen.

155      Maintenant, regardez-moi, juste un instant, pour voir si le Seigneur va me révéler quel est votre problème. Et s’Il le fait, allez-vous... s’Il me dit quel est votre problème. Vous avez l’air très malade. S’Il me dit ce qui ne va pas chez vous, ou quelque chose, alors vous croirez, vous saurez que ça ne peut être que Lui.

156      Combien dans l’assistance croiront? [L’assemblée dit: «Amen.» — N.D.E.]

157      Une chose qui vous fait terriblement souffrir, c’est une hernie. Cette hernie vous rend malade. C’est vrai. Voyez? Voyez? Maintenant, est-ce vrai? Levez la main, si c’est vrai.

158      C’est ça qui le rend malade, vous voyez, qui l’affaiblit. Croyez-vous? [L’assemblée dit: «Amen.» — N.D.E.]

159      Voici autre chose: Vous avez un bouton sur le côté droit de votre visage. Ça vous cause du souci. Je vais vous dire autre chose. Croyez-vous que je suis Son prophète? [Le frère dit: «Oui, frère.» — N.D.E.] Vous avez un bouton à la hanche droite, aussi, sous vos vêtements. Si c’est vrai, levez la main. [«C’est vrai.»] Voyez? Voyez? Croyez-vous maintenant? [«Je crois.»] Allez et soyez guéri. Jésus-Christ vous guérit, allez et croyez-le. Ne doutez pas. Venez simplement par ici, avancez ici, frère. Allez simplement, en croyant, maintenant, et tout ira bien pour vous.

160      Croyez-vous maintenant? [L’assemblée dit: «Amen.» — N.D.E.] Ayez simplement la foi. Très bien. Ça, vous savez, je ne le savais pas.

161      Ici, venez, soeur. Je ne vous connais pas. Nous sommes des inconnus l’un à l’autre, je suppose. Si c’est vrai, pour que l’auditoire puisse voir que nous ne nous connaissons pas, voyez-vous. Si... C’est exactement comme quand notre Seigneur a rencontré une femme, un jour. Et voilà que nous nous rencontrons de nouveau, nous nous rencontrons deux mille ans plus tard, sur Sa promesse, et voici un homme et une femme qui se rencontrent de la même manière. Je ne vous ai jamais vue de ma vie. Je pense que nous sommes complètement inconnus l’un à l’autre, mais Dieu nous connaît tous les deux.

162      Maintenant, si le Saint-Esprit, Christ, en moi et en vous, révèle pourquoi vous êtes ici, ou quelque chose à votre sujet, serez-vous enthousiasmée comme cette femme l’a été ce jour-là? [La soeur dit: «Amen.» — N.D.E.] Maintenant, le but de notre présence ici, c’est pour qu’on prie, et qu’on prie pour une maladie dont vous souffrez au sein. C’est ça. Si c’est vrai, levez la main. Maintenant, croyez-vous que Dieu peut me dire de quel sein il s’agit? C’est le sein droit. C’est ça.

163      Il y a des gens qui n’arrêtent pas de dire, là-bas, quelqu’un est entré, en disant: «Ça, il le devine.» Je ne le devine pas. Ne pensez pas ça. Ça entrave, vous voyez. Maintenant, souvenez-vous, vous ne pouvez pas cacher vos pensées à présent. Oui. C’est vrai. Oui. C’est ça.

164      Tenez, vous devriez croire, vous êtes prédicateur, une femme prédicateur. C’est vrai, n’est-ce pas? Très bien. Allez, croyez maintenant, et vous irez bien. Que Dieu vous bénisse. Croyez seulement.

            Croyez-vous? [L’assemblée dit: «Amen.» — N.D.E.]

165      Bonjour. Nous sommes des inconnus l’un à l’autre. [La soeur dit: «Oui.» — N.D.E.] Je ne vous connais pas. [«Non, non.»] Dieu, Lui, vous connaît. Si c’est vrai, levez la main, pour que... Vous êtes beaucoup plus jeune que moi. Peut-être que la femme qui a rencontré notre Seigneur l’était, beaucoup plus jeune.

166      Maintenant, une autre femme se tenait ici. Il y a quelqu’un là, dans l’assistance, qui croit. La voilà, elle est assise là. Elle a des troubles respiratoires. Est-ce vrai? De qui avez-vous touché le vêtement? Le Sien. C’est fini maintenant. Jésus-Christ vous guérit.

167      Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Maintenant, cette femme est à vingt pieds [6 m] de moi, mais ce n’est pas moi qu’elle a touché. C’est le Souverain Sacrificateur qu’elle a touché. Ne voyez-vous pas, je lui tournais le dos; ça montre qu’Il est le même qui a fait la promesse, exactement le même aujourd’hui.

168      Vous souffrez des nerfs, vous êtes très nerveuse, surtout tard le soir, vous êtes... quand vous êtes fatiguée et épuisée, vous êtes très nerveuse. Et puis vous avez un empoisonnement dans votre corps, c’est un empoisonnement dans le sang. Mais, c’est vrai. Et puis, vous avez vraiment un fardeau pour que quelqu’un soit sauvé, n’est-ce pas? [La soeur dit: «Oui, oui.» — N.D.E.] Oui, oui, c’est vrai. Croyez-vous maintenant? [«Oui.»] Très bien, allez. Comme vous l’avez cru, qu’il vous soit fait ainsi. Ayez la foi.

            Ne doutez pas. Ayez foi en Dieu. Croyez simplement.

169      Bonjour, madame. Je vous suis inconnu, je suppose. Si c’est vrai, alors, levons les mains pour qu’ils voient. Je ne l’ai jamais vue de ma vie.

170      «Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement.» Croyez-vous cela? [L’assemblée dit: «Amen.» — N.D.E.] Si le Seigneur Jésus dit à cette femme, ici même maintenant, quelque chose à son sujet, dont je ne sais rien... Eh bien, nous ne nous connaissons pas, nous... elle se tient là, c’est tout, vous voyez. Très bien, croyez-vous? [«Amen.»]

171      Vous avez un problème d’estomac, qui vous fait souffrir, vous qui êtes assis là, en manteau noir. Il vous fait souffrir maintenant même. Si c’est vrai, levez la main. Voyez? Savez-vous pourquoi? Cette femme aussi, c’est l’estomac. Voyez? C’est vrai.

172      Voyez-vous ce trait noir qui va de l’un à l’autre, là? C’est un démon. Voyez? Il essaie de se défiler, vous voyez. Il ne peut pas. Il ne peut pas se cacher devant Dieu. Ça, c’est certain. Nous sommes dans la Présence de Jésus-Christ. Vous devez croire. Ayez la foi.

173      Qu’a-t-il touché? Ce n’est pas moi qu’il a touché. Je ne connais pas cet homme. Il m’est inconnu. Sommes-nous inconnus l’un à l’autre, monsieur? Je ne vous connais pas. Levez la main si c’est vrai. Voyez? Qu’a-t-il touché? Jésus-Christ. Ne manquez pas de voir quelque chose.

174      Maintenant, cette femme, ici. Oui. Oh! cette femme est sous une ombre. C’est la mort sur elle. Elle souffre du cancer, et le cancer se trouve à l’estomac, et aussi au côlon. Elle... Ils viennent de la condamner. Elle se meurt du cancer. C’est vrai, n’est-ce pas, madame? C’est ce qu’on vous a dit. Maintenant, regardez ici. Vous... Il n’y a qu’un seul espoir pour vous, c’est Christ.

175      Croyez-vous que je suis Son serviteur? Il faut qu’il y ait quelque chose qui me dise ça, n’est-ce pas? Il faut qu’il y ait quelque chose qui le fasse. Je—je ne... de moi-même, je ne le saurais pas. Si je vous dis qui vous êtes, croirez-vous que je suis Son prophète? Est-ce que ça vous aiderait? Ça vous aiderait? Mme Crosley. [La soeur dit: «Oh!» — N.D.E.] Alors, rentrez chez vous.

176      Croyez-vous? Combien d’entre vous croient maintenant de tout leur coeur? Alors, levez-vous et acceptez-le. Levez-vous simplement et dites: «Je crois.» Levez les mains, partout.

177      Père céleste, au Nom de Jésus-Christ, que le diable et toutes ses puissances soient réprimés. Puisse le Seigneur Jésus-Christ, qui a promis ceci pour le dernier jour... Il est ici maintenant. Qu’il arrive, Seigneur, en cette heure, que les gens ne le manquent pas. Qu’ils voient ce que Dieu agite devant eux, juste avant que le feu tombe. Que ce groupe d’Abraham, cette Semence royale d’Abraham, comprenne l’heure dans laquelle nous vivons. Ô Jésus, Fils de Dieu, touche chaque malade ici. Guéris-les, Seigneur. Que leur foi comprenne qu’ils se tiennent dans la Présence du Dieu qui les a sauvés et qui les jugera ce Jour-là. Que Sa puissance descende sur eux maintenant, et qu’elle guérisse tous ceux, ici, qui sont dans la Présence Divine.

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