PrĂ©dication Avoir soif de la vie de William Branham a Ă©tĂ© prĂȘchĂ©e 60-0304 | La durĂ©e est de: 1 heure 24 minutes |
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Avoir soif de la vie
1 Inclinons la tĂȘte maintenant pour un mot de priĂšre.
Notre PÚre céleste, nous sommes reconnaissants de nous rassembler
encore ce soir, et dâavoir une occasion de Te parler, Te chanter nos
hymnes, et Tâexprimer la profonde adoration de nos cĆurs, car nous
Tâaimons et nous Tâadorons. Et Tu es le seul vrai Dieu. Ton Fils,
Jésus-Christ, qui est mort pour que nous soyons réconciliés avec Dieu
par le lavage de Son Sang au moyen de la Parole⊠Et nous Te prions de
nous accorder une merveilleuse réunion ce soir.
Que les pécheurs trouvent le salut par Christ. Que
les malades trouvent la guérison par Christ. Que les saints trouvent la
joie et la force par Christ. Nous le demandons en Son Nom. Amen. (Vous
pouvez vous asseoir.)
2 Câest si agrĂ©able dâĂȘtre de nouveau ici, dans ce
bĂątiment ce soir, pour servir le Seigneur avec vous. Et je voudrais
demander maintenant, nous avons annoncé que demain soir il y aura un
service de guérison ou la priÚre pour les malades. Nous ne savons pas
ce que le Seigneur va faire. Câest la raison pour laquelle nous
nâannonçons jamais le service de guĂ©rison. Comment savoir que le
Seigneur va guĂ©rit? Ăa ne dĂ©pend que de Lui. Et je ne pense pas, Ă vrai
dire, que cela dépende de Lui; je pense que cela dépend de vous qui
dĂ©sirez la guĂ©rison. Il a payĂ© le prix, etâet nous avons lâassurance
quâIl le fait, et nous savons quâil le veut. Cela ne dĂ©pend que de
lâindividu.
Chaque soir, ou câĂ©tait cela, on laisse simplement
le Saint-Esprit⊠ça⊠Je veux enlever quelque chose de votre esprit.
Chaque soir, jâai comme⊠laisse le Saint-Esprit lorsquâIl entre et se
meut au-dessus de lâauditoire⊠Et vousâvous, votre propre foi amĂšne cet
Esprit de Dieu Ă revenir immĂ©diatement pour vous prouver quâil est ici
dans le bĂątiment, et quâIl connaĂźt le secret mĂȘme de votre cĆur, Il
connaĂźt votre Ă©tat. Pas une seule fois cela nâa failli, et cela nâa
jamais failli depuis que jâĂ©tais un petit garçon.
3 La premiĂšre chose, ou presque, que jâavais vue, et
dont je me souviens, câĂ©tait une vision. Jâavais environ⊠Je ne devais
pas avoir plus de deux ans. Et je mâen souviens aussi nettement que si
câĂ©tait hier. Et sur des centaines et des centaines de ces visions, pas
une seule nâa manquĂ© de sâaccomplir parfaitement et au moment indiquĂ© Ă
chaque fois. Voyez? Ăa doit donc ĂȘtre Dieu. Et ceci montre simplement
quâIl est ici. Et toutes Ses promesses sont lĂ , et Il a promis quâil
ferait cela juste avant la fin des temps. Nous savons donc que le
Message est vrai. Mon Message, câest le Message du temps de la fin, et
Il amĂšne lâĂglise Ă se mettre en ordre.
Et la guérison divine, nous en avons vu la
publicité: «Les aveugles verront; les sourds entendront; les muets
parleront.» Je ne sais pas si ça va se produire. Je préférerais ne pas
faire de la publicitĂ© comme cela. Jâai toujours dit aux gens: «Dites
simplement quelque chose de bien à propos de Jésus. Nous aimons le
Seigneur Jésus dans cette assemblée, aussi avons-nous un grand réveil,
et nous nous attendons à ce que Dieu fasse de grandes choses, et tout.»
Puis, au coin, sur un petit espace, dites: «FrÚre Branham sera notre
orateur.» Voyez? Parce que câest⊠Il peut ne pas le faire. Si donc Dieu
accomplit un miracle, les gens le sauront. Voyez? Mais si je dis quâIl
va le faire, je ne⊠à moins quâil mâait dit quâil le fera, alors lĂ
jeâje sais quâIl va donc le faire. Mais si je⊠sâIl ne me lâa pas dit,
je serais en quelque sorte trÚs peu disposé à dire cela.
Mais chaque soir, nous nous attendons Ă ce que Dieu
fasse quelque chose pour⊠qui va secouer les gens et les ramener Ă laâŠ
Ă la position oĂč ils devraient ĂȘtre. Câest Ă cela que nous nous
attendons.
4 Eh bien, nous nâavons pas priĂ© pour les malades. Et
je⊠si maintenant mĂȘme, si nous faisons se lever chaque personne⊠Si je
pouvais rester debout assez longtemps pour faire cela, et prendre
chaque personne dans ces lignes comme ceci, et parcourir chacune⊠bien
sĂ»r, je succomberais avant dâen finir avec le un dixiĂšme de ces gens.
Mais vous ne pouvez pas faire cela. Quiconque connaĂźt les Ăcritures
sait que les Ăcritures prouvent que vous ne le pouvez pas. Eh bien, une
femme avait touchĂ© le bord du vĂȘtement du Fils de Dieu, et Celui-ci a
demandĂ©: «Qui mâa touchĂ©?»
Et Il a regardé tout autour et tout le monde avait
peur, alors Il a dit⊠Pierre lâa repris, en ces termes: «Dites donc,
qui Mâa touchĂ©?» Il a dit: «Eh bien, câest tout le monde qui Te
touche.» Il rĂ©pondit: «Mais, Je sens quâune vertu est sortie de Moi.»
Eh bien, tout le monde sait que la vertu, câest
votre force. Et si un simple toucher dâune femme en a tirĂ© assez pour
amener le Fils de Dieu Ă avoir une vision, qui Lui a permis de savoir
qui avait fait cela, qui avait tirĂ© de Lui la vertu, quâen sera-t-il de
moi un pécheur sauvé par grùce?
Eh bien, la seule raison pour laquelle cela sâest
fait davantage, câest parce que JĂ©sus a dit: «Les Ćuvres que je fais,
vous les ferez aussi; et vous en ferez davantage, car je mâen vais au
PÚre.»
Maintenant, jeâje sais que Roi Jacques dit: «de plus
grandes», mais cela nâest pas exactement conforme au texte original.
Voyez? Câest «davantage.» Personne ne peut faire quelque chose de plus
grand. Il a ressuscitĂ© les morts, Il a guĂ©ri les malades, Il a arrĂȘtĂ©
la nature, Il a fait tout ce qui devait ĂȘtre fait. Ăa ne peut pas ĂȘtre
plus grand en qualitĂ©, mais cela peut ĂȘtre plus grand en quantitĂ©.
Donc, en ce temps-lĂ le Saint-Esprit Ă©tait dans un seul Homme: CâĂ©tait
le Fils de Dieu. Il avait lâEsprit sans mesure. Dieu habitait en
Christ, rĂ©conciliant le monde avec Lui-mĂȘme. Il⊠Dieu Ă©tait en Christ.
Maintenant, Dieu est en vous, si vous avez le
Saint-Esprit. Dieu est en vous en portion. Mais Il était en Lui sans
mesure. Il avait la plénitude de Dieu en Lui. Mais maintenant, cela est
donné avec mesure à chacun de nous.
5 Il y a quelque temps dans mon église, je lisais et
je donnais un enseignement sur la PentecĂŽte, au cours dâun petit rĂ©veil
que jâavais eu. Eh bien, jâai un vieil Emphatic Diaglott sur la
traduction grecque originelle, et câest celui⊠un ouvrage trĂšs
remarquable. Je le recommanderais Ă tout pasteur. Ilâil nâest plus sur
le marchĂ©; mais je pense que vous pouvez lâobtenir en Angleterre. Je
nâen suis pas sĂ»r. Mais jâen ai un; il est trĂšs vieux, et il fait
remonter la chose jusquâau terme grec originel, et revient ensuite de
lâautre cĂŽtĂ©, et Ă©tablit cela, car en grec, le verbe prĂ©cĂšde lâadverbe.
Voyez? Etâet câest inversĂ© afin que vous le lisiez facilement. Mais
vous pouvez bien lire cela directement Ă partir de⊠Sâil sâagit juste
dâun mot qui est lĂ , câest juste comme Il avait dit cela.
Et quand le Saint-Esprit est entré dans la chambre
haute, il est dit: «Il y eut un bruit comme celui dâun vent impĂ©tueux
(Eh bien, rien ne soufflait, câĂ©tait juste pareil Ă un bruit comme
cela), et il remplit toute la maison oĂč ils Ă©taient assis, et enfin,
des langues séparées se posÚrent sur eux, semblables à des langues de
feu.»
6 Et comment cette grande Colonne de Feu, lâAnge de
Dieu, le Logos qui est sorti de Dieu, qui avait conduit les enfants
dâIsraĂ«l dans le dĂ©sert⊠Quand Elle est venue parmi les gens, Elle
sâest partagĂ©e, et de grandes langues de feu ont commencĂ© Ă se poser
sur chacun, quand la Colonne de feu a commencé à se fractionner, et
pour⊠Dieu se divisant Lui-mĂȘme parmi Son peuple. Oh! cela devrait
arracher le cĆur Ă nâimporte qui. Dieu se divisant Lui-mĂȘme, pour
pouvoir donner une petite portion de Lui-mĂȘme Ă chacun de nous, afin
que tous ensemble⊠Voyez-vous ce que cela signifie?
Voyez-vous maintenant pourquoi je suis pour lâunitĂ©
de toutes les Ă©glises, de toutes les Ă©glises du Plein Ăvangile, de tous
les croyants? Nous devrions ĂȘtre dâun mĂȘme cĆur, dâun mĂȘme esprit, dâun
commun accord. Peu importe combien nous sommes en désaccord sur les
Ăcritures; cela peut ĂȘtre⊠Lâun peut voir ceci de cette maniĂšre, ouâŠ
cela nâa rien Ă voir. Mais en principe, nous devrions nous tenir
debout, comme une grande et puissante armĂ©e de Dieu, allant de lâavant;
car chacun de vous dans votre particularitĂ©, Dieu a prouvĂ© quâIl ne
tient pas compte de votre doctrine, en effet, Il vous donne le
Saint-Esprit. Et la Bible dit: «Il a donné⊠Il donne le Saint-Esprit Ă
ceux qui Lui obéissent.»
Eh bien, si je Lui ai obéi à ma propre maniÚre, et
que vous Lui obĂ©issiez Ă votre propre maniĂšre, et quâIl nous donne Ă
nous tous le Saint-Esprit, par consĂ©quent, nous devons ĂȘtre assez
frĂšres et sĆurs chrĂ©tiens pour nous tenir ensemble la main dans la main
et avancer vers un seul grand but: lâĂvangile.
7 Oh! combien je pense Ă Dieu se divisant afin quâIl
puisse pénétrer dans Sa grande ùme et déverser une petite cuillerée en
moi, et Il a tendu la main et a déversé une cuillerée en vous, et en
vous, et en vous, et en vous, et en vous, se divisant Lui-mĂȘme, le feu,
la puissance purificatrice de Dieu. Alors, si vous avez une cuillerée,
et moi, une cuillerée, et que tous deux nous nous rassemblions, nous
avons deux cuillerĂ©es. Et si cinquante dâentre nous sont ensemble, nous
avons cinquante cuillerĂ©es. LĂ oĂč il y a lâunitĂ©, lĂ oĂč il y a un
rassemblement, là , il y a la sécurité et tout Il est deux fois plus
difficile de casser les bĂątons qui sont dans la main du prophĂšte. Il
est deux fois plus difficile de casser deux bĂątons que dâen casser unâŠ
Et quand nous pourrons atteindre ce niveau, frÚre⊠Si je peux voir cela
arriver, jâirai lĂ au sommet de la montagne du Camelâs Back, je lĂšverai
mes mains, et dirai: «Oui, viens, Seigneur Jésus. Prends-moi
maintenant; tout est fini.» Voyez? Je serai prĂȘt Ă partir Ă ce
moment-lĂ mĂȘme.
Quand je verrai toutes ces différentes personnes du
Plein Ăvangile dâun seul cĆur et dâun commun accord, se tenant ensemble
comme une grande armée, cela ramÚnera Jésus-Christ sur la terre aussi
certainement que je me tiens ici. Jâai essayĂ© chaque principe que je
connais. Il faut Dieu pour faire cela; câest tout. Voyez?
8 Je suis venu parmi eux, comme⊠parmi les frÚres
comme un⊠Venant de lâĂglise baptiste, et jâai vu cette grande chose,
je ne me suis jamais rangĂ© du cĂŽtĂ© dâune quelconque Ă©glise. Peu importe
leurs croyances et tout, jâessaie de me tenir simplement Ă la brĂšche et
de dire: «Nous sommes des frÚres.» Malgré tout, nous sommes des frÚres.
Si nous pouvons discerner lâesprit lâun de lâautre,
et savoir que si un homme se prĂ©sente, peu mâimporte lâĂ©glise dont il
est membre, sâil a lâEsprit de Dieu en lui, il est mon frĂšre. Et peu
mâimporte combien câest un grand homme, combien il est intellectuel, et
combien il parle avec puissance, sâil y a un⊠sâil essaie de faire
quelque chose de faux, jeâje ne crois pas quâil soit encore mon frĂšre.
Mais il sâagit de ce quâil essaie de faire. Sâil essaie de sauver les
Ăąmes, ou de faire quelque chose pour Dieu, câest un frĂšre. Sâil est
tĂ©moin de JĂ©hovah, il est toujours mon frĂšre. Sâil est pentecĂŽtiste de
la saintetĂ©, sâil est des AssemblĂ©es de Dieu, de lâĂglise de Dieu, sâil
est unitaire, sâil est binitaire, sâil est trinitaire, ou, oh! quoi que
ce soit, ils sont tous mes frĂšres et sĆurs. Si nous avons⊠si nos cĆurs
sont en ordre avec Dieu, essayant dâaccomplir quelque chose pour le
Royaume de Dieu⊠Nous essayons de bùtir notre propre royaume, alors
câest⊠par consĂ©quent, Dieu ne pourra pas honorer cela.
9 Jâobservais juste⊠Les garçons vendent probablement
ces livres ici. Il nây a pas longtemps je parcourais cela, dans un Ă©tat
tendu, et je suis tombé sur la photo de madame Nightingale.
Certainement, je me souviens de cela. Lorsque cela a Ă©tĂ© pris⊠celaâŠ
Mais ce livre ne donne pas tous les détails sur ce cas. Monsieur
Stadsklev est lâĂ©diteur de ce livre; câest un trĂšs bon livre, un livre
excellent. Tout est exact, en effet, il a été soumis à la critique.
Eh bien, madame Nightingale est parente Ă la feue
Florence Nightingale. Cette femme sâappelle Florence Nightingale, et
elle est infirmiĂšre. Mais elle nâĂ©tait pas, bien sĂ»r, Florence
Nightingale, la vraieâla vĂ©ritable fondatrice de la Croix-rouge. Mais
elle est de lâAngleterre, et elle Ă©tait uneâune infirmiĂšre, et elle
était une parente lointaine de madame Florence Nightingale, la
fondatrice de la Croix-Rouge.
Jâavais dâabord entendu parler dâelle. Jâai Ă©tĂ© en
Afrique. Sa photo que vous voyez ici, comme un squelette⊠Celle que
nous avons dû⊠FrÚre Gordon Lindsay, quand nous avons arrangé cette
photo, nous avons dĂ» mettre quelque chose lĂ -dessus, en effet il nây
avait quâun petit lambeau nouĂ© autour de la femme, et câĂ©tait trĂšs,
trĂšs affreux. Ainsi, nous avons mis un morceau, deâde quelque chose
lĂ -dessus, et nous avons fait une reproduction de la photo, afin que
nous puissions la publier dans le livre. Câest elle, quand je⊠Et aprĂšs
la prise de cette photo, elle a crevĂ© encore de faim pendant plus dâun
mois, et la voici six mois plus tard, exerçant de nouveau sa profession
dâinfirmiĂšre.
10 Jâaimerais raconter cette histoire avant de
commencer ce soir. Jâaimerais vous en parler.
JâĂ©tais⊠Elle Ă©tait en Afrique du Sud. Et comment
cette femme a-t-elle su que jâallais Ă Londres, je lâignore jusquâĂ
prĂ©sent. Et quand lâavion a atterri, frĂšre Lindsay, moi et frĂšre Jack
Moore sommes descendus de lâavion, et frĂšre Baxter⊠Et nous nous sommes
mis Ă descendre, et jâai entendu mon nom appelĂ© par haut-parleur Ă
lâaĂ©roport international de Londres. Et on me demandait de me
prĂ©senter, et jâai envoyĂ© frĂšre Baxter. Le frĂšre Baxter est revenu
avec⊠vers moi avec un prédicateur et il a dit: «Avez-vous déjà entendu
parler dâune femme du nom de Florence Nightingale?»
Jâai rĂ©pondu: «Ce nom me dit quelque chose.» Et jâai
dit: «Je ne sais pas.»
Et il a dit: «Eh bien, on lâa amenĂ©e par avion de
lâAfrique du Sud jusquâici, et elle se meurt lĂ dans une ambulance.»
Bien, il y avait beaucoup de gens lĂ -bas, et je ne
pouvais pas lâatteindre. Jâai dit: «Vous, parlez-lui.»
Il a dit: «Voici un prédicateur, vous, parlez-lui.»
Et jâai dit: «Monsieur!»
Il a rĂ©pondu: «Eh bienâŠÂ», il a ditâŠ
Jâai dit: «Nâest-elle pas une parente de Florence
Nightingale, laâlâinfirmiĂšre?»
Et elle a rĂ©pondu: «Câestâcâest bien Florence
Nightingale, lâinfirmiĂšre.»
Et elle a dit: «Mais ce nâest pas elle la fondatrice
de la Croix-Rouge. Naturellement, celle-lĂ est morte, il y a, je pense,
50 ans ou plus, peut-ĂȘtre cent ans. Et non, jeâje pense quâelle est
morte vers les années 1908, ou 1909, quelque part, pendant cette
pĂ©riode-lĂ . Celle-ci est donc lâune de ses parentes.
Et jâai dit: «Combien de temps pensez-vous quâelle
pourra encore tenir?»
Il a dit: «Il est probable que nous la trouvions
morte si nous allions Ă lâambulance tout de suite.» Il a dit: «Elle se
meurt.» Il a dit: «Ils⊠Elle vient de lâAfrique du Sud.» Et il a dit:
«Monsieur, elle nâest quâunâquâun tas dâossements.»
Bien, jâai dit: «Nous serons, je crois, Ă lâhĂŽtel
Picadilly, a-t-on dit.»
11 Et le roi George mâavait Ă©crit ou plutĂŽt envoyĂ© un
télégramme, que je garde encore, venant de son personnel, sollicitant
la priÚre, car il avait la sclérose en plaques. Vous souvenez-vous de
cela? Et jâai priĂ© pour lui, et aprĂšs la priĂšre, eh bien, il a pu⊠il
sâest rĂ©tabli, et il a pu marcher. Et, je suis donc allĂ© lĂ ; je pensais
que je devrais le voir lĂ . Et alors, lorsque nous sommes allĂ©s Ă
lâhĂŽtel Picadilly, le pasteur est venu le lendemain matin, et mâa pris
et nous sommes allĂ©s chez lui, juste derriĂšre son Ă©glise, lĂ oĂč ils
avaient placé madame Nightingale avec deux infirmiÚres pour veiller sur
elle.
Et, mes amis, jâai vu beaucoup de scĂšnes. Jâai vu
des gens aux visages rongĂ©s par le cancer, jusquâici au cou. On devrait
placer un petit tuyau ici pour déverser le liquide dans leur gorge ici,
avec les dents et les os rongĂ©s â la chair rongĂ©e par cela. Et des
scĂšnes en Inde; jâai vu des lĂ©preux Ă©tendus lĂ , ne pouvant mĂȘme pas
soulever leurs mains, avec des bouts dâoreilles, sans nez, et ils
étaient devenus blancs comme une verne blanche retournée.
Les petits enfants et tout, rongés par la lÚpre,
Ă©tendus, entassĂ©s les uns sur les autres⊠Jâai vu les petits enfants
étendus, crevant de faim, par centaines dans les rues, avec leurs
petits ventres ballonnés à cause de la famine, une pauvre mÚre couchée
Ă cotĂ© dâeux mendiait un sou pour aider quelquâun dâautre. Câest la
raison pour laquelle je ne peux pas⊠Si câĂ©tait⊠Si je pouvais mendier,
je mendierais pour eux. Jeâje me prive de tout lorsque je sais que les
ĂȘtres humains, pour lesquels Christ est mort, sont en train de souffrir
ainsi. Et il y en a des centaines et des centaines ce soir, partout
dans le monde entier. Et ils sont lĂ dans cette condition-lĂ .
12 Mais quand jâai vu Florence Nightingale, elle
Ă©tait Ă©tendue lĂ , couverte dâun drap. Et elle pouvait Ă peine bouger
ses lĂšvres, sesâses joues Ă©taient toutes creuses. Ses mĂąchoires Ă©taient
enfoncĂ©es et son front ici, vous⊠cela ressemblait bien Ă unâun
squelette mort Ă©tendu lĂ , et sa peau sâĂ©tait dessĂ©chĂ©e. Le cancer
lâavait rongĂ©e et mise dans cet Ă©tat, et avait sucĂ© son sang. Et elle
essayait sans cesse de dire quelque chose. Je ne pouvais pas entendre
cela, et lâinfirmiĂšre sâest penchĂ©e. Et elle a dit: «Je veux lui serrer
la main.»
Et alors, lâinfirmiĂšre a dĂ» soulever ces os et les a
placĂ©s dans ma main. Eh bien, câĂ©tait tout autant que tenir un
squelette. Ses bras mesuraient probablement deux centimĂštres de
diamÚtre à ce niveau-ci, et son⊠Ils ont mis⊠Elle voulait que je voie
son corps. Et on a soulevĂ© ce drap, cela briserait le cĆur de nâimporte
qui, mĂȘme le tour de la hanche Ă©tait ressorti comme cela. CâĂ©tait Ă peu
prÚs cette grandeur, si on réunit cela ici dedans. Et ses jambes
Ă©taient tout bleues et jâai demandĂ© ce que celaâcela Ă©tait. Ses jambes,
ici prĂšs de sa hanche, avaient probablement Ă peu prĂšs cette grandeur.
Et jâai dit⊠Bien, voici cela sur la photo qui en a Ă©tĂ© prise. Voyez?
Et vous pouvez voir ce quâelle Ă©tait devenue aprĂšs, environ six
semaines plus tard. Voyez? Et ainsi, jeâjâai regardĂ©, et quelquâun a
dit: «On lui donnait du glucose jusquâĂ ce quâau moment oĂč ses veines
sâĂ©taient atrophiĂ©es.»
Et ainsi donc, oh! jâai dit: «Oh! la la! Ătes-vous
chrétienne?»
Et elle me lâa fait savoir en disant: «Oui.» Et elleâŠ
Elle sâest encore penchĂ©e, lâinfirmiĂšre, pour
entendre ce quâelle allait dire. Et elle a dit: «Dites Ă frĂšre Branham
de demander au Seigneur de me laisser mourir.» Voyez? Elle⊠elle
sâĂ©tait accrochĂ©e jusquâĂ ce quâil nây avait rien Ă quoi sâaccrocher
davantage, pas⊠rien sur quoi compter. Elle a dit: «Dites à frÚre
Branham de demander au Seigneur de me laisser mourir.»
Je ne pouvais pas faire cela. Ă ce quâil paraissait,
câĂ©tait une jeune dame aimable. Jâai donc dit: «Prions.» Et si
quelquâun a dĂ©jĂ Ă©tĂ© Ă Londres, vous savez, câest lâun des lieux les
plus brumeux au monde. Quand il y a du brouillard, il vous faut y aller
presque Ă tĂątons. Ce matin-lĂ , il y avait vraiment du brouillard.
Câest pourquoi William Cowper nâa pas pu se
suicider; il nâa pas pu retrouver lâocĂ©an aprĂšs quâil eut Ă©crit ce
fameux cantique: Il y a une Fontaine remplie de Sang. Il nâa pas pu
trouver leâlâendroit oĂč se jeter. Leâle taxi ne pouvait pas accĂ©der Ă âŠ
permettre⊠lâocĂ©an pour se suicider, pour se noyer.
13 Etâet quand je me suis agenouillĂ© pour prier,
dâabord jâai commencĂ© Ă prier comme ceci; jâai dit: «Dieu
Tout-Puissant, Créateur des cieux et de la terre, Auteur de la Vie
Ăternelle, Dispensateur de tout don excellent.» Et lorsque jâai terminĂ©
cela, une petite colombe sâest envolĂ©e de quelque part, et sâest posĂ©e
sur le rebord dâune fenĂȘtre lĂ . Et celle-ci Ă©tait Ă peu prĂšs Ă cette
distance-ci de ma tĂȘte. Et le petit oiseau faisait sans cesse des
va-et-vient, faisant: «Cou, cou.» Vous savez comment elles le font. Eh
bien, je pensais que câĂ©tait un oiseau domestique, de la maison. Je me
suis simplement dit que câĂ©tait une petite colombe domestique.
Je nâavais fait que 24 heures en Angleterre, ou Ă
peut prĂšs cela; et cela a durĂ©; et jâai pensĂ© que câĂ©tait une petite
colombe domestique. Jâai donc continuĂ© Ă prier, jâai dit: «PĂšre
céleste, je⊠cette pauvre femme étendue ici, en train de mourir, elle
mâa demandĂ© deâde prier pour que Tu lui ĂŽtes la vie, car elle semble
ĂȘtre dĂ©passĂ©e, elle nâa rien sur quoi compter. Mais, ĂŽ Dieu, Tu es
toujours le CrĂ©ateur; TuâTu es toujours Dieu.»
Et cette petite colombe semblait ĂȘtre trĂšs agitĂ©e.
Et les autres pasteurs qui priaient avec moi, ont semblĂ© arrĂȘter. Et
alors, comme je continuais Ă prier, quand jâai dit: «PĂšre, je prie que
Tu sois miséricordieux envers elle, et si Tu veux lui retirer la vie et
ne pas la laisser vivre, alors laisse-la partir en paix. Accorde-lui
dâaller auprĂšs de Toi maintenant. Mais si câest Ta volontĂ© de la
guĂ©rir, alors PĂšre, puisse-t-elle ĂȘtre guĂ©rie.» Et lorsque jâai fini la
priĂšre, jâai dit: «Amen», et la petite colombe sâest envolĂ©e de nouveau
dans le brouillard.
Eh bien, je⊠dĂšs que jâai arrĂȘtĂ© de prier, le
ministre qui était à cÎté de moi, a regardé un autre et a dit:
«Avez-vous remarqué cette colombe?»
Jâai dit: «Quelle Ă©tait cette colombe? Est-elle
domestique?»
Il a rĂ©pondu: «Non. Elle nâest pas domestique, a dit
le ministre, câĂ©tait juste une colombe qui a agi drĂŽlement.»
Et comme je me retournais pour parler Ă madame
Nightingale, je commençai Ă dire: «Bien, je pensais que câĂ©tait votre
colombe.» Et quand elle a agi comme cela, quelque chose a dit: «AINSI
DIT LE SEIGNEUR.»
Oh! la la! là par-dessus ce qui était comme son
cercueil, oĂč elle Ă©tait Ă©tendue, il y a eu lĂ une vision dans laquelle,
elle marchait lĂ dans la rue. En voici la photo ici mĂȘme, comment elle
est devenue un peu plus tard: Câest ce que jâavais vu dans la vision.
Alors, la chose est venue: «AINSI DIT LE SEIGNEUR, vous vivrez et vous
ne mourrez pas.»
Et quand jâai dit cela, je me suis dit: «Ces choses
sont trĂšs surnaturelles; je ne les comprends pas. Je ne sais pas ce
quâelles signifient.»
Et je suis sorti; je pense que câĂ©tait le frĂšre
Baxter qui mâa dit, a dit: «Comment peut-elle vivre?» Il a dit: «Dieu
sera obligé de créer une nouvelle femme.»
Jâai dit: «Eh bien, Il est capable de faire
infiniment au-delà de tout.»
Et six mois plus tard, aprĂšs que jâai reçu deux
lettres, et voici la photo qui mâest parvenue: elle est totalement
rétablie et en bonne santé, on ne peut pas trouver une trace de cancer,
et elle a repris son travail dâinfirmiĂšre, et elle le fait depuis
longtemps.
14 Il y a quelque temps, une polĂ©mique sâĂ©tait
engagĂ©e entre leâun Ă©diteur de magazine en Angleterre, il disait:
«CâĂ©tait vraiment un manque de scrupule que cette femme⊠CâĂ©tait un
faux témoignage.»
Il sâest fait que jâavais dans mes documents le
propre tĂ©moignage de la femme. Je lâai retournĂ© Ă M. Stadsklev qui lâa
reproduit et lâa envoyĂ© lĂ -bas; et elle sâest emparĂ©e de cela, et
ensuite, elle est allĂ©e auprĂšs de lâhomme qui avait Ă©crit le magazine
et elle a dit: «Qui disait que ce témoignage était faux?»
Voyez, câest lĂ que vous y arrivez, quand vous avez
par Ă©crit leur propre tĂ©moignage, lĂ vous y ĂȘtes. Voyez? Et alors,
lâhomme mâa Ă©crit une lettre pour sâexcuser, en ces termes: «Je tenais
cela de quelquâun dâautre, sans en avoir la preuve.»
Jâai dit: «Ne publiez rien, monsieur, sur base dâune
dĂ©claration de quelquâun dâautre; vous voyez, en effet, ce que vous
avez fait lĂ maintenant. Voyez?» Jâai dit: «Ne faites jamais cela.»
Mais le témoignage est absolument véridique. Nous
nâaurions jamais publiĂ© cela si ce nâĂ©tait pas la vĂ©ritĂ©. Câest comme
ça que ça doit ĂȘtre, une vĂ©ritĂ© Ă©tablie.
15 Ainsi, voyez-vous, le mĂȘme Dieu qui Ă©tait avec
Florence Nightingale lĂ -bas, câest le mĂȘme Dieu qui est juste ici.
Câest le mĂȘme Dieu. Et tout ce que⊠vous ne devez pas attendre que lâon
prie pour vous. La seule chose que vous avez Ă faire, câest de croire
simplement que lâĆuvre a Ă©tĂ© accomplie. Si vous ĂȘtes un pĂ©cheur, il ne
faut pas attendre un appel Ă lâautel. LĂ mĂȘme oĂč vous ĂȘtes assisâŠ
«Comme Pierre prononçait encore ces mots, le Saint-Esprit descendit sur
ceux qui Ă©coutaient la Parole.» Ils Ă©taient prĂȘts. Il sâagit de la
disposition du cĆur. Il sâagit de la disposition des gens.
Eh bien, maintenant mĂȘme, sâil y a une personne
malade ici, vous nâĂȘtes pas obligĂ© de rester malade, mĂȘme pas jusquâĂ
ce que je lise les Ăcritures. Vous pouvez ĂȘtre guĂ©ri maintenant mĂȘme,
en effet, vous avez Ă©tĂ© guĂ©ri. La seule chose que les Ăcritures
feraient, câestâcâest de tĂ©moigner, de dire que JĂ©sus a dit cela. Et si
le Saint-Esprit venait ce soir, et faisait unâun grand appel ici, et
appelait lĂ diffĂ©rentes personnes, cela ne signifierait pas quâelles
sont guĂ©ries. Cela Ă©lĂšverait tout simplement laâla foi des gens afin
quâils puissent accepter leur guĂ©rison, celle-ci a dĂ©jĂ Ă©tĂ© acquise
pour eux. Comprenez-vous cela maintenant? VoilĂ donc en quoi consiste
la guérison.
16 Eh bien, demain soir, le Seigneur voulant⊠jâai
dĂ©sirĂ© avoir uneâune soirĂ©e Ă lâancienne mode une fois de plus Ă
Phoenix, et jâai choisi demain soir, si le Seigneur le veut. Combien se
souviennent de ma premiÚre visite à Phoenix, il y a des années? Eh
bien, il y avait une ligne de priĂšre jusque lĂ dans la rue, cela
amenait les gens jusque lĂ dans la rue, maintenant la ligne de priĂšre
longue dâun pĂątĂ© de maisons. Jâai prĂȘchĂ© hier soir: NâĂ©teignez pas
votre alarme, vous savez. Gardez juste cette alarme allumée, car le
jour va bientĂŽt poindre.
Bon, demain soir, pour les malades de Phoenix, nous
aurons un service de priĂšre pour les malades. Et nous allons simplement
les faire venir lĂ , leur imposer les mains, prier pour eux, et voir ce
que le Seigneur fera. Et, demain soir, venez en Ă©tant prĂȘt. Combien ici
dĂ©sirent quâon prie pour eux, dĂ©sirent entrer dans la ligne de priĂšre
pour quâon prie pour eux? Faites voir vos mains. Levez-les, partout oĂč
vous ĂȘtes. Nous serons presque obligĂ©s de distribuer les cartes. Voyez?
Sinon, si jâarrive au milieu de cette ligne, et que les visions
commencent Ă apparaĂźtre, cela Ă©cartera dâautres. Eh bien, Ă ma
connaissance, les jeunes gens seront là demain à un moment donné de
lâaprĂšs-midi, vers six heures, sept heures, Ă nâimporte quel moment.
Ils vont distribuer les cartes de priĂšre.
Eh bien. Eh bien, nous verrons alors ce que le
Saint-Esprit fera quand nous y arriverons.
17 Eh bien, alors le dimanche, câest le⊠Nous
continuons⊠(Nous aurons la rĂ©union le dimanche soir ici, nâest-ce pas?
La réunion du dimanche soir?) La réunion du dimanche soir⊠Et je crois
que le mardi, il y aura les réunions de ministres. à dix heures trente
dans la matinĂ©e, ce sera les ministres et leurs femmes Ă lâassemblĂ©e de
Dieu de Garfield, sur la onziĂšme, Ă Garfield, câest pour les ministres.
Jâaimerais vous rencontrer, frĂšres, vous les frĂšres ministres.
Jâaimerais parler avec vous. Vous ĂȘtes mes frĂštes. Voyez? Jeâje vous
aime. Vous dites: «Mais, FrÚre Branham, je suis en désaccord avec
vous.» Cela ne change rien. Je vous aime de toute façon. Alors que leâŠ
je veux que vousâŠ
Un homme mâa dit il y a quelque temps, il a dit:
«FrÚre Branham, ne pouvez-vous pas vous accorder avec ceci?»
Jâai rĂ©pondu: «Je peux mâaccorder avec vous, mais je
ne sais pas si je peux mâaccorder avec ce que vous dites lĂ ou non.
Mais je peuxâje peux mâaccorder avec vous de toute maniĂšre, parce que
vous ĂȘtes mon frĂšre.»
18 Eh bien, jâai choisi pour ce soir un texte court,
afin que nous ne prenions pas trop de temps, et pour pouvoir ĂȘtre ici
demain soir, oĂč ça pourra peut-ĂȘtre aller jusque un peu tard demain
soir, avec toute cette ligne de priÚre⊠Ce soir, ouvrons dans Psaumes
63, ce soir, dans Psaumes 63, vous qui notez le texte et tout.
Maintenant, je voudrais lire un texte familier que
vous avez peut-ĂȘtre dĂ©jĂ lu; jâespĂšre que je nâai pas prĂȘchĂ© sur le
mĂȘme sujet Ă Phoenix. Peut-ĂȘtre que le Saint-Esprit me conduira
autrement lĂ -dessus, si nous le faisons. Et ainsi, nous allons lire Ă
partir du verset 1, Psaume 63:
Ă Dieu! tu es mon Dieu; je le cherche au point du
jour; mon Ăąme a soif de toi, ma chair languit aprĂšs toi, dans une terre
aride et altérée, sans eau,
pour voir ta puissance et ta gloire, comme je tâai
contemplé dans le sanctuaire.
Car ta bonté vaut mieux que la vie; mes lÚvres te
loueront.
19 Inclinons encore la tĂȘte, juste un moment. PĂšre
divin, dans ce tourbillon dâactivitĂ©s de la vie dĂ» Ă lâagitation, les
voitures roulant Ă vive allure dans les rues, des chars sans cheval se
heurtant lâun contre lâautre, avec des lumiĂšres comme des torches. Et
nous voyons le temps de la fin approcher, et je voudrais Te demander,
Seigneur, dâĂȘtre misĂ©ricordieux envers chaque personne qui est dans la
PrĂ©sence divine ce soir. Sonde nos cĆurs, Seigneur, pendant que nous
parlons, non pas seulement Ă mon assemblĂ©e, mais Ă mon propre cĆur
aussi, Seigneur, comme David dit dans un autre psaume: «Sonde-moi et
Ă©prouve-moi.» Et sâil y a quelque chose de souillĂ© en moi, Seigneur, je
Te prie de lâĂŽter, pour que mon cĆur soit pur au-devant de Toi, que les
pensĂ©es de mon cĆur et la mĂ©ditation de mon esprit puissent ĂȘtre
agréables à Tes yeux.
BĂ©nis tout le monde ici, Seigneur. Et sâil y en a
ici qui ne Te connaissent pas, puisse ceci ĂȘtre la soirĂ©e oĂč ils
trouveront cet Adorable Seigneur JĂ©sus, le plus beau dâentre dix mille
pour notre Ăąme, le Lis de la vallĂ©e, la Rose de Sharon, lâĂtoile
brillante du matin, lâAlpha et lâOmĂ©ga. Puisse-t-Il venir briller sur
leur vie, et Ă©clairer le chemin vers le Calvaire, afin quâils Le
découvrent ce soir, comme leur Précieux Sauveur. Je prie ce soir pour
ceux qui sont fatigués sur le chemin, qui sont sur le point de rompre
les rangs.
Ă Dieu, fais-leur savoir que ce nâest pas le temps
de rompre les rangs, mais de former les rangs, car la bataille est en
cours. Les lumiĂšres du soir sâĂ©teignent, et bientĂŽt il y aura
lâobscuritĂ© et personne ne pourra alors travailler. Nous Te prions,
PÚre céleste, de nous accorder une grande réunion ce soir. Ce que nous
entendons par grand, Seigneur, câest que les Ăąmes Tâacceptent, et que
Ton Fils soit honoré, que les malades soient guéris, que les
rétrogrades soient ramenés dans le Royaume de Dieu et que les églises
soient consolidĂ©es, les cĆurs des membres et des ministres Ă©tant liĂ©s
par le lien dâamour, afin que tous ensemble leâla gloire revienne Ă Ta
Glorieuse Personne. Car nous le demandons au Nom du Seigneur Jésus.
Amen.
20 Dans ce verset 3: [verset 4 en françaisâN.D.T.]
Car ta bonté vaut mieux que la vie, mes lÚvres
célébreront tes louanges.
Quand jâai lu cela pour la premiĂšre fois, je me suis
dit que câĂ©tait un texte quâon nâa pas lâhabitude de prendre. Et Dieu
est inhabituel, et Dieu fait des choses inhabituelles, des choses
inhabituelles. Et lorsque jâai lu cela, je me suis demandĂ© ce que David
voulait bien dire quand il dit: «Ta bontĂ© vaut mieux que la vie.» Jâai
examiné cela, me demandant ce qui peut bien valoir mieux que la vie.
Si nous devrions faire un voyage ce soir, et monter
lĂ au ciel, et que je rencontrais le pĂšre Abraham, je lui demanderais:
«Abraham, quelle est la chose la plus glorieuse que tu aies jamais
connue? Quelle est la chose la plus essentielle que tu aies jamais
connue?» Abraham me rĂ©pondrait: «La Vie Ăternelle.»
Puis, jâeffectuerais encore un petit voyage, et nous
monterions vers le grand Archange, Gabriel, qui est le messager de
lâalliance auprĂšs du peuple juif, qui se tient Ă la droite de Dieu, qui
appartient Ă lâordre le plus Ă©levĂ© des Anges du Ciel. Et je lui
demanderais: «Gabriel, tu es un Ange puissant. Tu es aimé de Dieu, et
tu as Ă©tĂ© ici des siĂšcles et des siĂšcles, toi, peut-ĂȘtre, tu connais
tout au ciel, et oĂč se trouve chaque chose, parce que tu es lâun des
Anges qui se tiennent Ă la droite de Dieu. Et tu connais les grands
secrets du Ciel. Tu as sonné la trompette à la Venue du Seigneur Jésus.
Tu as annoncé Sa premiÚre Venue, et Tu annonceras Sa seconde Venue, par
consĂ©quent tu dois ĂȘtre un homme puissant ou plutĂŽt un Ange puissant.
Dis-moi, dans tous les trésors de Dieu, quelle est la plus grande chose
que tu as trouvée parmi Ses trésors?»
Je peux voir Gabriel se concentrer et dire: «La plus
glorieuse chose que jâai trouvĂ©e dans les trĂ©sors de Dieu depuis quâIl
mâa créé, câest la Vie. Dieu Mâa créé pour vivre Ă©ternellement, pour
lâĂ©ternitĂ©. Et la Vie est la chose la plus glorieuse qui soit.»
21 Peu importe combien vous pouvez ĂȘtre riche, peu
importe combien vous pouvez ĂȘtre populaire, qui que vous soyez, la plus
grande chose qui existe, que nâimporte quel homme peut accomplir sur
cette terre, câest de recevoir la Vie Ăternelle.
Que vous soyez roi et monarque, que vous dirigiez le
monde entier pendant un million dâannĂ©es comme roi et jeune homme, si
cependant vous nâavez pas la Vie Ăternelle, vous avez perdu la chose la
plus glorieuse que lâon puisse perdre.
22 Jâai souvent dit que si je pouvais redevenir un
jeune homme de vingt-cinq ans, si Dieu apparaissait sur lâestrade ce
soir, et disait: «Je te ramĂšne Ă lâĂąge de vingt-cinq ans. Tu vivras
pendant un million dâannĂ©es, et Je ferai de toi le roi de tout
lâunivers. Tout se fera sur ton ordre. Ou bien Je te donnerai cent ans
de misĂšre et de malheur, de troubles et de tristesse, mais Ă la fin de
ces cent ans, Je te donnerai la Vie Ăternelle. Mais Ă la fin de ce
million dâannĂ©es, tu seins perdu.»
Oh! je dirais: «Seigneur Dieu, je nâai pas Ă
attendre un seul instant pour faire mon choix. Accorde-moi les cent ans
de misĂšre et de malheur, nâimporte quelle sorte de mort que Tu choisis
pour moi; seulement, Seigneur, donne-moi la Vie Ăternelle. Quand bien
mĂȘme jâaurais le monde entier et que je serais roi pendant un million
dâannĂ©es, Ă la fin de ce million dâannĂ©es, je deviendrais une crĂ©ature
destinĂ©e Ă lâenfer pour toujours. Mais peu importe combien mon sort est
malheureux ici, Ă la fin de ma vie, si jâai la Vie Ăternelle, je
continuerais Ă vivre dans la PrĂ©sence bĂ©nie de Dieu dâĂ©ternitĂ© en
éternité.
23 Alors, Cela mâa donc dĂ©rangĂ© quand je me suis mis
Ă me demander de quoi parlait ce prophĂšte. Eh bien, nous savons que
David était un prophÚte. Je me suis donc demandé de quoi il parlait
quand il a dit: «Ta bontĂ© vaut mieux que la vie.» Enfin, jâai compris
que la vie avait plus dâune signification. La vie a beaucoup de
significations. Cela dĂ©pend de lâangle sous lequel vous le considĂ©rez.
Et votre vie, câest ce qui vous contrĂŽle. Vous avez la vie, le
mouvement, votre existence, câest la vie. Et ça dĂ©pend du genre de vie
qui est en vous, la maniĂšre dont cela vous contrĂŽle.
Il nâest pas Ă©tonnant que les gens ne puissent pas
croire, et pourtant ils prĂ©tendent ĂȘtre religieux; ils ne peuvent pas
croire à la guérison divine, ils ne peuvent pas croire aux miracles,
ils ne peuvent pas croire au Saint-Esprit qui fait que les gens soient
remplis de la puissance de la résurrection de Christ. La raison pour
laquelle ils ne peuvent pas croire cela, câest quâils nâont rien en eux
pour croire, en effet votre vie est⊠votre mouvement est contrÎlé par
la vie qui est en vous.
24 Il y a quelque temps, une chose frappante mâest
venue Ă lâesprit. Dans les annĂ©es passĂ©es, dans les rĂ©gions du Sud, on
vendait des esclaves, les gens de couleur, les nĂšgres qui venaient
dâAfrique, que les Hollandais avaient amenĂ©s lĂ et vendus comme
esclaves. CâĂ©tait une chose pitoyable. Je suis certainement dâaccord
avec Abraham Lincoln que Dieu nâa jamais voulu que lâhomme soit un
esclave. Dieu a fait lâhomme; lâhomme a fait des esclaves. Câest ce
quâils essaient de faire ce soir, pas seulement avec la race noire,
mais avec les races du monde; chaque homme dans chaque nation essaie de
faire des autres des esclaves. Dieu a créé lâhomme libre, une crĂ©ature
libre sous lâautoritĂ© de Dieu, pour Lâadorer.
Eh bien, ils prenaient ces pauvres gens pour les
vendre aux enchĂšres et en faire lâobjet des transactions. Il y a
quelque temps, lĂ en Louisiane, jâai vu lâun des anciens et premiers
enclos pour taureaux, quâils avaient. LĂ oĂč ils amenaient et plaçaient
ces hommes et les gardaient dans le bloc de ventes aux enchĂšres, et ils
les vendaient aux enchĂšres, et on tĂątait leur pouls, on examinait leurs
dents, et on prenait un fouet et on les faisait courir dans la rue, on
les fouettait derriĂšre les talons, on les faisait courir trĂšs vite, et
puis on revenait examiner leur cĆur.
25 Et un vieil homme qui se tenait lĂ mâa dit:
«Pasteur, jâai assistĂ© Ă votre rĂ©union lâautre soir.»
Jâai dit: «Merci, jâobservais tout simplement ceci.»
Il a dit: «Je me souviens de lâĂ©poque oĂč lâon
pratiquait cela.»
Et il mâa dit, il a dit: «Savez-vous quel Ă©tait
lâesclave le plus cher?»
Jâai dit: «Quoi?»
Il a dit: «Une jolie fille.» Il a dit: «LâenchĂšre
pour un esclave homme commençait à cinq cents dollars ou à trois cents
dollars.» Mais, a-t-il dit, pour une jeune fille de couleur, une belle
fille exposĂ©e lĂ , lâenchĂšre commençait Ă deux mille dollars.» Et il mâa
regardĂ©, et il a dit: «Sâil y a un enfer, leurs Ăąmes sây trouvent
aujourdâhui.»
Jâai dit: «Vous parlez de leurs Ăąmes, quâen est-il
de la vĂŽtre, papa? OĂč ira la vĂŽtre?» Quelques jours aprĂšs, un ami
prĂ©dicateur lâa baptisĂ© du baptĂȘme chrĂ©tien.
26 Alors, quand on prenait ces esclaves, les
acheteurs venaient, et les achetaient. Et ils allaient lĂ , et
regardaient partout, et trouvaient celui qui était robuste et en bonne
santĂ©, et on lâĂ©changeait contre un plus petit ou quelque chose comme
cela, juste comme vous le feriez pour une voiture dâoccasion ou pour
quelque chose dâautre au parking, et on en recevait un acte de vente.
Oh! câĂ©tait terrible. Et un jour, unâun revendeur
vint dans une vieille plantation oĂč il y avait beaucoup dâesclaves.
Etâet les esclaves quâon avait amenĂ©s lĂ Ă©taient tristes. Ils se
retrouvaient loin de leur patrie, et ils nâallaient plus voir papa, ni
maman, ni les enfants; ils avaient été déportés et vendus ici pour
mourir sur une terre étrangÚre. Et ils étaient tristes, et bien des
fois pour les amener Ă travailler, on prenait le fouet et on les
fouettait pour les amener à travailler. On les réprimandait sans cesse.
Et un certain revendeur vint dans cette plantation
et demanda au propriétaire: «Avez-vous des esclaves?»
Il rĂ©pondit: «Jâen ai cent et quelques ici.
Voyez-les là -bas.» Et il remarqua un jeune esclave; il semblait
diffĂ©rent des autres. On nâavait pas du tout besoin de le fouetter; il
marchait droit, le menton relevĂ©, les Ă©paules redressĂ©es, prĂȘt Ă tout
faire, et il encourageait toujours les autres, disant «Redressez-vous,
travaillons.» Et on se demandait pourquoi.
Alors ce revendeur demanda au propriétaire, disant:
«Je voudrais acheter cet esclave.»
Il rĂ©pondit: «Non, mais il nâest pas Ă vendre.»
Il demanda: «Pourquoi nâest-il pas Ă vendre?»
Il dit: «Câest un esclave, nâest-ce pas?»
Il dit: «Câest un esclave.»
Il demanda: «Eh bien, pourquoi ne voulez-vous pas le
vendre?»
Il répondit: «Parce que je ne veux pas le vendre.»
Il dit: «Bien, jâaimerais vous poser une question.
Quâest-ce qui fait quâil soit si diffĂ©rent des autres? Est-ce⊠Est-il
le chef des autres?»
Il rĂ©pondit: «Non, Câest un esclave.»
Et le revendeur demanda au propriétaire: «Parfois
vous le nourrissez peut-ĂȘtre un peu mieux.»
Il répondit: «Non, il mange là à la cuisine avec les
autres esclaves. Ce nâest quâun esclave.»
«Eh bien, dit-il, je voudrais alors vous poser une
question.» Il dit: «Quâest-ce qui fait quâil se comporte diffĂ©remment?
Quâest-ce qui fait quâil soit si diffĂ©rent des autres?»
Le propriĂ©taire rĂ©pondit: «Je me suis moi-mĂȘme posĂ©
la question pendant longtemps, mais un jour jâai dĂ©couvert que lĂ dans
la vieille patrie dâoĂč il vient, son pĂšre est le roi de la tribu.» Et
il a dit: «Bien quâil soit un Ă©tranger, et quâil soit ici, loin de son
peuple, il sait nĂ©anmoins dans son cĆur, quâil est fils dâun roi. Et il
se comporte en conséquence.»
27 Oh! je me suis dit que peu importe la situation
que nous devons peut-ĂȘtre traverser, que ce soit les Ă©preuves, que ce
soit les chagrins, que ce soit la persĂ©cution, quâon se moque de nous
ou que lâon soit lâobjet de raillerie, quel genre de personnes
devrions-nous ĂȘtre? Nous sommes fils et filles du Roi. Bien que nous
soyons dans un monde hostile, bien que nous soyons dans un endroit oĂč
nous sommes haĂŻs, peut-ĂȘtre appelĂ©s des noms honteux du genre «saints
exaltĂ©s, langues pentecĂŽtistes». Quâest-ce que ça change? Nous devrions
avoir le menton relevé, les épaules redressées, croyant la Parole de
Dieu, car lĂ de lâautre cĂŽtĂ© du pays, notre PĂšre est le Roi.
Et je pense que câest ridicule et honteux de voir
les filles du Roi porter le genre dâhabits quâelles portent en ces
jours-ci. Quand je vois les fils du Roi fumer la cigarette, et boire du
whisky, et un petit verre de biĂšre, comme câest indigne du fils du Roi
du ciel!
Notre PĂšre est riche en maisons et en terres;
Il détient les richesses du monde dans Ses mains!
Du rubis et du diamant, de lâargent et de lâor,
Ses coffres sont remplis, Il a des richesses immenses.
Nous sommes les enfants du Roi.
28 Peu importe combien nous sommes pauvres, combien
vous devez ĂȘtre Ă©crasĂ©s, combien le monde vous critique et dit
nâimporte quoi sur vous, cela devrait vous faire garder la tĂȘte haute
pour le mu⊠moral des autres. Nous ne devrions jamais nous disputer les
uns avec les autres. Nous devrions toujours dire la chose la plus
louable au sujet dâun frĂšre ou dâune sĆur. Si quelquâun est tombĂ© dans
un caniveau, ne lâenfoncez jamais davantage. Relevez-le; faites-le
sortir de lĂ aussi vite que vous le pouvez, parce que cela lâaidera.
Nous devrons ĂȘtre un exemple. Nous devrions mener une vie exemplaire,
connue nous sommes des fils et des filles de Dieu, le Roi éternel. Nous
devrions nous conduire de cette façon, en tant que fils et filles du
Roi. Nous ne devrions jamais faire quoi que ce soit qui pourrait amener
la honte.
29 Je disais ceci lâautre jour, et ma femme qui est
assise lĂ derriĂšre, mâĂ©coute. Il y a quelques semaines nous allions Ă
un magasin, pour faire quelques provisions, et en plein hiver, nous
avons vu une femme portant de tout petits habits, des habits courts,
avec un petit chandail sur elle. Ma femme a dit: «Tu sais, elle ne peut
pas ĂȘtre Ă lâaise comme cela.»
Eh bien, nous nous sommes mis Ă parler de la chose.
Jâai dit: «ChĂ©rie, quand je vais en Allemagne, je voisâŠÂ» Jâai dit:
«Câest une AmĂ©ricaine, câest tout.» Et jâai dit: «Quand je vais en
Allemagne, les gens ont un esprit allemand, lâesprit national. Quand je
vais en Finlande, ils ont lâesprit finlandais. Quand je vais en SuĂšde,
ils ont lâesprit suĂ©dois. Quand je vais en Afrique, ils ont lâesprit
africain. Quand nous venons en AmĂ©rique, ils ont lâesprit amĂ©ricain.»
«Eh bien, a-t-elle dit, ne sommes-nous pas
Américains?»
Jâai dit: «Non, pas moi; jâhabite simplement ici.»
Elle a dit: «Eh bien, le⊠quelâŠÂ»
Jâai dit: «Voici la raison: ils ont simplement
lâesprit amĂ©ricain. Nous sommes taxĂ©s des religieux.»
30 Je parlais Ă une fille une fois; jâai dit:
«Mademoiselle, ĂȘtes-vous une chrĂ©tienne?»
«Eh bien, a-t-elle dit, je vous apprends que jâĂ©tais
déjà chrétienne encore enfant.»
Jâai dit: «Quâest-ce que cela a Ă faire?»
Une fois, le vieux frÚre Bosworth a demandé à une
autre, disant «Ătes-vous chrĂ©tienne?» Elle Ă©tait trĂšs fĂąchĂ©e; elle a
grogné et a dit: «Je vous apprends que je brûle un cierge chaque soir.»
Comme si cela avait bien quelque chose Ă voir.
Une fois, lâune dâelles mâa dit lĂ Ă Mishawaka, elle
a dit: «Je vous apprends que je suis Américaine.»
Jâai dit: «Cela nâa rien Ă voir. Rien Ă voir.»
31 Et jâai dit: «ChĂ©rie, la raison pour laquelle les
chrĂ©tiensâŠÂ» Jâai dit: «Les chrĂ©tiens nâont pas le dĂ©sir dâagir comme
cela, parce quâils ne sont pas Ă vrai dire des AmĂ©ricains. Pour la
citoyenneté, quoique vivant ici, ils sont des pÚlerins et des
Ă©trangers, ils⊠Notre citoyennetĂ© est du Ciel, et on est nĂ© dâEn-haut,
oĂč rĂšgnent la saintetĂ© et la piĂ©tĂ©. Les vrais chrĂ©tiens, qui sont nĂ©s
de lâEsprit de Dieu, nâagissent pas comme cela.»
Non, monsieur, oh! il se peut que vous soyezâil se
peut que vous soyez un pentecĂŽtiste. Il se peut que vous soyez membre
de lâĂglise presbytĂ©rienne, mĂ©thodiste, baptiste, et que vous fumiez la
cigarette, que vous buviez, que vous ayez des parties de cartes, des
jeux dâescroquerie, des danses, mais si vous ĂȘtes chrĂ©tien, vous ne le
ferez pas. Câest juste.
Dans ma contrĂ©e, nous avons des chĂȘnes. TrĂšs bientĂŽt
ce sera le printemps; toutes les feuilles qui étaient à ces arbres
lâannĂ©e passĂ©e sont toujours lĂ . Eh bien, je nâai pas besoin dâaller
dehors pour dĂ©tacher chacune dâelles, afin que les nouvelles feuilles
apparaissent. Laissez juste la nouvelle vie monter, et les vieilles
feuilles tomberont. Câest la mĂȘme chose pour lâEsprit de Dieu, que vous
soyez chrétien ou pas. Laissez la nouvelle vie de Christ entrer, et la
vieille vie va mourir, et vous deviendrez une nouvelle créature en
JĂ©sus-Christ. Oh! câest ainsi.
32 Alors, jâai dĂ©couvert quâil y a deux diffĂ©rentes
sortes de vie. Certaines personnes pensent que la vie, câest boire,
passer de beaux moments. Ăa, câest lâesprit de cette nation: passer de
grands moments, une vedette, un programme à la télévision, faire
beaucoup de plaisanteries. Eh bien, cela donnerait des maux dâestomac Ă
un vrai chrĂ©tien, dâentendre ce genre de choses. Un homme ou une femme
qui peut regarder à ce genre de sottises que nous avons à la télévision
aujourdâhui, certains de ces programmes etâet apprĂ©cier cela; cela
montre que câest mentionnĂ© ichabod sur votre cĆur, la gloire de
lâĂternel sâen est allĂ©e.
Et quand lâĂ©glise nâattire plus, quand elle en
arrive au point oĂč vous devez signer des cartes et autres pour venir Ă
lâĂ©glise, je pense quâil est temps de tenir une rĂ©union de priĂšre ou
que quelque chose se produise Ă lâĂ©glise.
33 Il y a quelque temps, je descendais dâun poteau,
et un certain prĂ©dicateur de ma ville Ă©tait lĂ . Et jâavais Ă©tĂ© auâŠ
avant dâarriver au travail. Et jâapportais uneâune facture
dâĂ©lectricitĂ© Ă une dame, et jâai frappĂ© Ă la porte, et elle est venue
Ă la porte, une toute petite femme Ă moitiĂ© vĂȘtue, et elle a dit⊠Et il
y avait lĂ un certain gars, parmi ces musiciens sauvages, vous savez,
avec ces violons et tout, et il continuait, chantant une espĂšce de
petite chanson, etâet exĂ©cutait de petites danses gigues de
rock-and-roll, ou je ne sais quoi. Et⊠et un⊠Et cette pauvre petite
crĂ©ature est allĂ©e me chercher la facture dâĂ©lectricitĂ©, et elle Ă©tait
emballĂ©e par cette chanson, au point quâelle oublia que jâĂ©tais Ă la
porte. Elle dansait de long en large sur le parquet, et faisait toutes
sortes de scĂšnes. Je me tenais en retrait et je lâai regardĂ©e un
moment. Et alors, quand elle a fini, elle a dit: «Oh! Pardonnez-moi.»
Jâai dit: «ĂĂ va, Madame.»
Et elle est venue et a dit: «Ma mÚre avait oublié
dâamener la facture, la voici donc.» Elle a dit: «Jâaime tellement
danser, que jeâque jeâjâai simplement oubliĂ© que vous vous teniez ici.»
Jâai dit: «Oui, Madame, jâai vu cela.»
34 Peu de temps aprĂšs cela donc, un pasteur me
rencontra et me dit: «Vous savez, FrĂšre Branham, dit-il, rĂ©cemment jâai
eu des problÚmes vraiment terribles avec les fidÚles de mon église.» Il
a dit: «Je nâarrive pas Ă les faire venir Ă lâĂ©glise», il a dit: «Vous
savez quoi? Jâai envoyĂ© aux membres de cette Ă©glise mille cartes, et je
leur ai demandĂ© de promettre quâils assisteraient Ă lâĂ©cole du dimanche
au moins six mois par an.» Il a dit: «Savez-vous combien parmi les
membres de cette église ont répondu à ces mille appels?»
Jâai dit: «Docteur Brown, je nâai aucune idĂ©e.»
Il a dit: «Deux! deux sur mille, qui ont souscrit
quâils viendraient six mois par an, au moins six mois par an, quâils
assisteraient Ă lâĂ©cole du dimancheâŠÂ»
Jâai dit⊠je lui ai racontĂ© lâhistoire de cette
pauvre petite fille au bas de la colline, lĂ oĂč se trouvait lâĂ©glise. Ă
ce que je sache, il se peut quâelle ait Ă©tĂ© membre lĂ . Et il a ditâŠ
Jâai dit: «Pensez-vous que quand ce musicien a
quittĂ© lâantenne, et quâelle lui a envoyĂ© une bise par la tĂ©lĂ©vision ou
la radio, en disant: «Au revoir, chéri. Je te verrai là ce soir à cette
espĂšce de bal populaire oĂč lâon va se rencontrer.â» Elle a dit: «Je te
verrai lĂ .» Jâai dit: «Penses-tu que cet homme devra signerâlui faire
signer une carte pour dire quâelle serait lĂ ?» Certainement pas. Elle y
sera mĂȘme si elle doit mettre ses souliers en gage. Elle y sera.
Pourquoi? Pourquoi? Parce que lâesprit de ce monde est en elle, et elle
est un membre fidĂšle, et elle sera lĂ -bas.
35 Et si les hommes et les femmes aiment Dieu autant
quâilsâque le monde aime ses plaisirs⊠Le plaisir dâun chrĂ©tien, câest
de servir le Seigneur dans la maison de Dieu. Vous nâavez pas besoin de
signer une carte; vous ne pouvez pasâvous ne pouvez pas ouvrir assez
vite la porte.
Et si les membres de lâĂ©glise sâaiment assez les uns
les autres, au lieu de former de petits groupes et vous éloigner de
lâĂ©glise⊠FrĂšre, si vous vous aimez les uns les autres au point que
vousâvous souffrez dans le cĆur jusquâĂ ce que vous vous rĂ©unissiez
encore, câest ainsi que cela devrait ĂȘtre.
Béni soit le lien qui unit
Nos cĆurs dans lâamour chrĂ©tien;
La communion des Ăąmes sĆurs
Ressemble Ă celle dâEn haut.
Quand nous nous séparons,
Cela nous cause la peine;
Mais dans les cĆurs nous restons unis,
Espérant nous revoir.
36 Ă Dieu, mĂȘme sâil nous faut retirer tous les
miracles de lâĂ©glise, mĂȘme sâil nous faut enlever toutes les grandes
orgues, des bancs en peluche, redonne-nous cet amour divin, lâamour
fraternel parmi le peuple et la communion. Sâil nous faut faire tout
cela, ramĂšne cela lĂ . La vie, oh! la vieâŠ
Des fois les gens pensent que la vie, câest avoir
uneâune fĂȘte, aller Ă la fĂȘte et passer un beau moment. Ăa, ce nâest
pas la vie. Dâautres personnes ont ramenĂ© cela au fait de sâenivrer.
Ils sortent dans la rue et sâenivrent, et ils passent un beau moment.
Ils disent: «Câest ça la vie.»
37 Un Ă©crivain a Ă©crit une fois, il nây a pas
longtemps, dans un magazine, je crois que je me suis référé à cela il y
a quelque temps ici. Je ne suis pas sûr. Mais il a dit: «La vie
commence la nuit. La nuit a été faite pour la vie.» La nuit a été faite
pour le repos. Le soleil se couche; vous vous couchez, reposez-vous, ne
rodez pas toute la nuit, pour revenir Ă lâaube, et⊠vous nâĂȘtes pas
censé faire cela. Les mauvaises créatures rodent la nuit. Le mal se
fait la nuit; tous les serpents, les lézards, les punaises et tout se
grom⊠se promĂšnent la nuit. Et ce sont lesâles puissances dĂ©moniaques
qui rodent la nuit.
Et lâhomme est tombĂ© plus bas que la bĂȘte. Lâhomme
est leâest le⊠On nous a enseignĂ©s quâil fait partie du rĂšgne animal,
mais que cet homme sâĂ©loigne de Dieu, il est le plus bas de tous les
animaux. Il nây a pas un animal au monde qui soit aussi bas quâun homme
éloigné de Dieu. Observez-le.
Prenez une vieille mĂšre chienne, ou une vieille mĂšre
truie, peu importe le nom que vous voulez lui donner, tout ce que vous
voulez. Mais considérez sa moralité, elle est à un million de
kilomÚtres au-dessus de beaucoup de vedettes de cinéma, quant à la
moralitĂ©. Câest vrai. Vraiment trop bas⊠Lâhomme est tombĂ© si bas quâil
arracherait un enfant des bras dâune mĂšre et violerait cette maman par
envie bestiale. Mais placez lâEsprit de Dieu en lui, câest une crĂ©ature
diffĂ©rente, parce quâil est une nouvelle crĂ©ature. En JĂ©sus-Christ, il
verserait son sang pour protĂ©ger cette maman. Câest cela la diffĂ©rence.
Lâune est la mort, et lâautre, la vie.
38 Il y a quelque temps jâĂ©tais au Canada, je tenais
une série de réunions là au Saskatoon. Et nous tenions une série de
grandes réunions là -bas à une aréna. Sept ou huit mille personnes y
assistaient. JâĂ©tais avec certains de mes amis lĂ -bas dans cette
certaine rĂ©union. Je venais de quitter Phoenix. CâĂ©tait la premiĂšre
sĂ©rie des rĂ©unions aprĂšs que jâai quittĂ© Phoenix, il y a environ trois
ou quatre, ou cinq ans, lâune des rĂ©unions.
Et je suis descendu, cette nuit-là à la réunion
Ă âĂ âĂ lĂ âĂ lâarĂ©na. Et sur mon chemin de retour Ă la maison, jâai
remarqué ce soir-là que les gens affluaient à ce grand hÎtel. Je me
suis dit: «Eh bien, il semble que ce sont toutes des plaques
dâimmatriculation amĂ©ricaines et tout, sur ces voitures, elles viennent
des Ătats-Unis.» Alors je⊠Ce soir-lĂ , quand je suis revenu, jâai
compris que lâAmĂ©rique Ă©tait au Canada, ce soir-lĂ .
Quand je suis entrĂ© dans lâascenseur, il Ă©tait si
plein de bouteilles de whisky et de gin quâon trouvait Ă peine une
place oĂč se tenir. Et jâai regardĂ© lĂ -dedans; jâai dit⊠jâai regardĂ©
tout autour comme cela, et ce petit opĂ©rateur de lâascenseur me
connaissait, et il a dit: «Ils sont ici.»
Jâai dit: «Ăâen a vraiment lâair.»
Il a dit: «Ăa, câestâcâest un terrain des ivrognes
invétérés, FrÚre Branham.»
Jâai dit: «Nâest-ce pas affreux!» CâĂ©tait un club.
Eh bien, je peux citer son nom maintenant mĂȘme, mais il y a
probablement leurs membres qui sont assis ici. Ils sont donc tous
pourris de toute façon, pour commencer. Il nây a quâun seul club; câest
le club de JĂ©sus-Christ. Vous nây entrez que par la naissance. Vos
autres clubs peuvent ĂȘtre trĂšs bien, mais le vĂ©ritable câest celui de
Christ. Câest lâunique qui modĂšle le caractĂšre et rend les gens ce
quâils devraient ĂȘtre, le club de JĂ©sus-Christ. Et vous nây entrez que
par la naissance.
39 Et alors, lorsque nous nous sommes arrĂȘtĂ©s Ă
lâĂ©tage, oĂč ma chambre⊠jâen suis sorti. Oh! la la! vous pouviez
entendre çà et là partout, toute la⊠la fumée de la cigarette se
rĂ©pandait, etâet de sales plaisanteries partout. Et je commençais Ă
avancer dans le hall, et jâai entendu un⊠quelquâun dans le coin, et
câĂ©taient deux jeunes femmes amĂ©ricaines, toutes deux portaient des
alliances de mariage, ayant sur elles des⊠juste des sousvĂȘtements.
Elles se sont approchées, tenant une bouteille de whisky, titubant et
se heurtant lâune contre lâautre, faisant de petits amusements
innocents, les maris restés à la maison pour faire la garde des enfants.
Câest lĂ que vous attrapez cela. Juste de petits
amusements innocents; câest ainsi que nous appelons cela. Câest tout ce
quâon a ici, des Ă©crans de tĂ©lĂ©vision publics, et toutes ces publicitĂ©s
ici, sur le whisky, la biĂšre, la cigarette et tout. Câest la porte de
lâenfer. Je peux avoir lâair vieux jeu, mais ma jeune sĆur, mon jeune
frĂšre, souvenez-vous, câest ça la porte de lâenfer. Celui qui aime cela
mourra Ă©ternellement. Câest vrai. «LâĂąme qui pĂšche, câest celle qui
mourra.» «La femme qui vit dans les plaisirs est morte, quoique
vivante», dit la Bible. Câest la vĂ©ritĂ©. Comment la fĂ©minitĂ©, cette
douceâŠ
La plus grande chose que Dieu a donnĂ©e Ă un homme Ă
part le salut, câĂ©tait une femme. Elle lui a Ă©tĂ© donnĂ©e pour le
rĂ©conforter, lâassister, le bĂ©nir, et le consoler, etâet ĂȘtre une vraie
compagne pour lui. Et aujourdâhui, câest si corrompu, et pourri que jeâŠ
câest⊠Eh bien, les Hottentots dâAfrique peuvent venir ici et enseigner
Ă nos femmes Ă mener une vie dĂ©cente. Câest juste.
40 Il y a une tribu, au fin fond de lâAfrique, oĂč si
une femme nâest pas mariĂ©e Ă un certain Ăąge, elle doit ĂȘtre expulsĂ©e de
la tribu. Et si elle est mariĂ©e, et avant dâĂȘtre mariĂ©e, on doit
vérifier sa virginité. Si on la trouve coupable, elle doit dénoncer
lâhomme qui a fait cela, et on les tue tous deux. On en tuerait
beaucoup aux Ătats-Unis si cela se faisait ici, nâest-ce pas?
Pensez-y. Des paĂŻens. Câest une honte. Câest une
tache sur ce drapeau pour lequel nos aĂŻeux ont combattu. Câest une
honte pour notre nation. Et quand la féminité est brisée ainsi que la
maternitĂ©, dans nâimporte quel pays, la colonne vertĂ©brale est brisĂ©e.
Que Dieu nous donne encore des mĂšres Ă lâancienne mode.
41 Jâai une coupure de journal qui a Ă©tĂ© publiĂ© lĂ
dans notre journal, un journal local, qui montrait que trois soldats
sur quatre qui Ă©taient partis outremer pendant lâautre guerre, ont
divorcĂ© dâavec leurs femmes six mois aprĂšs leur retour. Et elles
Ă©taient parties travailler dans les usines oĂč lâon fabrique la poudre,
ainsi de suite comme celaâŠ
Eh bien, si un homme est malade et que sa femme ne
peut pas travailler, je veux dire si lui ne peut pas travailler, je ne
condamne pas la chose; sa femme doit gagner de quoi vivre. Câest en
ordre. Mais si elle sâen va travailler juste pour avoir un peu plus
dâargent, vous feriez mieux de la garder loin de cette bande de voyous
avec laquelle elle travaille lĂ . Sa place est Ă la maison. Câest cela.
Ici elle⊠elle est censĂ©e ĂȘtre Ă la maison.
Et, monsieur, vous pourrez vous considĂ©rer vous-mĂȘme
comme étant trÚs correct, mais si vous avez des clubs et ces autres
choses qui vous Ă©loignent dâelle la nuit, vous devez avoir honte de
vous-mĂȘme. Dieu vous a donnĂ© un foyer pour⊠à chĂ©rir et Ă rĂ©conforter
et des choses comme cela, et câest honteux de voir la maniĂšre dont les
hommes traitent leurs femmes, et la maniĂšre dont les femmes traitent
leurs maris. La féminité et la paternité de la nation sont détruites,
les tribunaux de divorce sont pleins.
JĂ©sus a dit quâil en sera ainsi: «Comme il en Ă©tait
aux jours de Noé; ils se mariaient, et mariaient leurs enfants,
jusquâau jour oĂč NoĂ© entra dans lâarche.» Câest un pĂ©chĂ© et une
disgrĂące. Ne me traitez pas de ce genre⊠Je neâŠ
42 Comme Jacob le disait à sa mort, quand il a appelé
ses deux fils qui avaient tué cet homme, il a dit: «Que mon ùme soit
loin de leur colÚre. Car dans leur colÚre, ils ont tué un homme.»
MĂȘme Ă ses propres fils, il a dit: «Ne laisse pas
mon Ăąme sâapprocher de Ta colĂšre.»
Et je dirais à ma mort: «Si cet esprit qui est en
AmĂ©rique, si câest par cela que je dois ĂȘtre jugĂ©, que Dieu me garde
loin de cela autant que possible. Que jâaie lâEsprit de JĂ©sus-Christ,
le Fils de Dieu. Que quelque chose se passe en moi, peu importe ce qui
doit arriver.»
43 Les gens ont peur de la nouvelle naissance. Ils
ont peur de cela. Eh bien, peu mâimporte Ă quel Ă©chelon elle a lieu,
chaque naissance est un gĂąchis. Ă supposer que ce soit lĂ dans une
porcherie, toute naissance est un gĂąchis. Que ce soit dans une
porcherie, que ce soit dans un⊠Que ce soit dans une étable à vaches,
que ce soit dans une chambre dâhĂŽpital dĂ©corĂ©e en rose, peu mâimporte
lâendroit oĂč une naissance a lieu, câest un gĂąchis.
Et la nouvelle naissance, câest la mĂȘme chose. Elle
vous fera faire des choses que vous ne pensiez pas faire. Il se peut
que vous criiez, pleuriez Ă chaudes larmes, et que vous vous frottiez
tout autour de lâautel; peu importe ce que vous faites, je nâai jamais
demandĂ© Ă Dieu (cela ne ferait aucun bien), dâessayer de ramener la
nouvelle naissance Ă mon niveau. Jâaimerais me mettre au niveau oĂč Dieu
a placé la nouvelle naissance, et la recevoir. Peu importe ce que je
dois faire.
Quelquâun disait il nây a pas longtemps: «Jâai peur
de recevoir le Saint-Esprit. Jâai peu quâIl me fasse parler en langues
comme les autres.» Peu importe si jâai parlĂ© en langues, si je me suis
exprimĂ© en langues, si jâai criĂ© en langues ou nâimporte quoi dâautre;
je veux le Saint-Esprit. Câest ce qui est fondamental; peu importe Ă
quel niveau ça se trouve. Je veux rencontrer Dieu à Son niveau. Ce
quâIl veut dire est juste. Câest lĂ que je veux me tenir. Cette
nouvelle naissance qui change un homme, change une femme, amĂšne un
nouveau dĂ©sir, change leurs appĂ©tits⊠Luttez avec Dieu jusquâĂ avoir
prise, jusquâĂ ce que la bĂ©nĂ©diction vienne. Alors, Dieu vous changent
comme Il a changé Jacob, du supplantent à Israël, le prince. La
nouvelle naissanceâŠ
44 Ces femmes sont descendues lĂ , et elles avaient
un⊠un homme sortit⊠deux vieux messieurs sortirent en courant,
essayant de les saisir. Ils les ont ratées, et ils tapé leurs mains
derriĂšre elles comme cela, lâune a Ă©tĂ© prise par le talon, et elle
sâest Ă©talĂ©e par terre, et a renversĂ© un peu de son whisky. Et cette
autre a pris cela et a ajouté dans son verre. Et ce vieil homme était
si ivre quâil ne pouvait pas se relever du plancher, oh, passant un
moment beau et sain, juste un petit amusement.
Câest ce qui brise les foyers; câest ce qui gĂąche
les enfants; câest ce qui engendre des nĂ©vrosĂ©s; câest ce qui cause la
dĂ©linquance juvĂ©nile; câest quand la maternitĂ© et la paternitĂ© sont
brisées.
Cette femme a levé cette bouteille; elle a relevé ce
petit jupon, tout ce quâelle portait, elle a lancĂ© sa petite jambe en
lâair comme cela, et a criĂ©: «Youpi!» Elle a dit: «Câest ça la vie.»
Je ne pouvais pas en supporter davantage. Je suis
allĂ© lĂ , et jâai dit: «Excusez-moi. Ăa, câest la mort.» Jâai dit: «Le
diable vous a sĂ©duites. Câest la mort.»
Et elle a dit: «Tu veux un verre? Vas-y, chéri.»
Jâai levĂ© cette mĂȘme Bible-ci, jâai placĂ© Cela
devant elle, jâai dit: «Je suis un prĂ©dicateur de lâĂvangile.»
Et elles ont fait tomber la bouteille, avec ces
maquillages sur tout le visage, sur les yeux, et partout, et leurs
lĂšvres qui Ă©taient censĂ©es ĂȘtre ici, elles Ă©taient peintes lĂ autour du
nez, toutes sortes de truc, et ce trac bleu coulant sous les yeux.
Jâai regardĂ© Ă leurs mains, elles portaient des
alliances; jâai dit «Nâavez-vous pas honte de vous? Je suis aussi un
citoyen amĂ©ricain.» Jâai dit: «Vous faites la honte de la nation.»
«Ă, ont-elles dit, nous lâavons fait sans penser en
mal.»
Jâai dit: «Vous lâavez fait sans penser en mal! Et
vous portez toutes deux des alliances.»
Elles ont commencĂ© Ă sâĂ©loigner comme cela. Je les
ai saisies par la main; elles Ă©taient trop ivres pour mâĂ©chapper. Je
les ai saisies par la main. Jâai dit: «Ăcoutez, mesdames,
agenouillons-nous ici et prions que Dieu ait pitié de vos ùmes
pĂ©cheresses. Allez prendre du cafĂ© noir, dĂ©senivrez-vous et retournez Ă
la maison auprÚs de vos enfants et de vos bébés.» La vie, la vie, ça,
câest la mort!
45 Câest le genre de vie dont David a dit: «Car Ta
bonté vaut vieux que la vie. Oh, mon ùme a soif de Toi, Î Seigneur. Je
soupire de Te voir dans cette terre aride, desséchée; ainsi, je Te
contemple dans Ton sanctuaire.»
[Espace vide sur la bandeâN.D.Ă.] âŠgravir une haute
tour, ou plonger dans une riviĂšre, ou sâĂ©taler sur la rue, ou prendre
de lâacide carbonique, pour mettre fin Ă ce genre de vie. Ce nâest pas
de cela que David parle. Ce genre de vie a une fin, et la fin est
dĂ©sastreuse. Et ce genre de vie nâa pas une bonne fin. Et alors, je
voudrais juste poser cette question Ă lâauditoire, pour un instant:
«Quâest-ce qui pousse une personne Ă faire cela?»
Eh bien, par exemple, je suis allĂ© Ă une fĂȘte une
fois, oĂč⊠Ce nâĂ©tait pas une fĂȘte; câest lĂ oĂč nous avions vendu des
lampes lors dâune campagne. Et on a prononcĂ© un petit discours. Et nous
sommes allés là pour voir à Louisville, dans le Kentucky, et la
compagnie de services pour laquelle je travaillais, jâavais vendu plus
de lampes que toute la compagnie, que tous les autres. Alors, on a
offert un petit moment; nous avions eu un petit dĂźner. Et alors, aprĂšs
que tout Ă©tait fini, les gens ont reculĂ© etâet leâet ils ont organisĂ©
la danse. Quelques jeunes filles sont venues pour danser. Quand elles
se sont amenĂ©es, mon patron mâa dit, il a dit: «Billy, va te tenir lĂ
derriÚre, à la porte; nous allons avoir un petit amusement innocent.»
Jâai demandĂ©: «Quel genre dâamusement innocent?»
Il a dit: «Cela te dĂ©rangerait dâaller Ă la porte?»
Il a dit: «Je sais que tu ne crois pas à la danse; mais ces gens vont
danser.»
«Bien, ai-je dit, ne puis-je pas attendre dehors?»
Il a dit: «Comme tu veux.»
Jâai dit: «Dâaccord.» Câest au moment oĂč jâai
commencé à me retirer que je⊠une pauvre petite fille est sortie en
courant comme cela, elle a couru sur la piste, elle a commencĂ© Ă faireâŠ
une espĂšce dâactes de folie etâet elle continuait, sa pauvre petite
jupe volait autour dâelle. Je me suis dit: «Câest la fille dâune mĂšre!»
Je suis restĂ© lĂ Ă la porte juste une minute et jâai regardĂ© lĂ . Je me
suis dit: «à Dieu, vraiment une jolie petite fille. Nâest-ce pas une
honte, elle pouvait ĂȘtre une idole dâun homme, peut-ĂȘtre dâun bon
prĂ©dicateur, uneâune consolation ou dâun bon ouvrier qui reviendrait la
nuit Ă un petit chĂąteau, oĂč ils auraient des petits enfants quâils
pourraient prendre, sâamusaient avec, et avoir une bonne vie en toute
libertĂ©. Câest⊠Peut-ĂȘtre, il se pourrait que sa mĂšre ait Ă©tĂ© une
chrétienne.»
46 Et elle sâest mise Ă courir ça et lĂ , saisissant
chaque homme. Et elle est revenue vers moi. Et elle a dit: «Veux-tu
danser?»
Jâai dit: «Oui, madame. Je veux bien.»
Et elle a dit: «Viens.»
Je me suis avancĂ© sur la piste; jâai dit: «Un
instant.» Et je lâai tenue elle Ă©tait trop petite pour se dĂ©gager de
moi. Je lâai tenue par la main, jâai dit: «Il y a une chose que jâai
toujours lâhabitude de faire.» Jâai dit: «Chaque fois, avant de faire
quoi que ce soit, je prie toujours. Veux-tu prier avec moi?
Incline-toi.» Je tenais sa main. Elle nây pouvait rien. Nous avons mis
fin Ă cette affaire lĂ en quelques minutes. Certainement.
Le vieil orchestre du Jazz a arrĂȘtĂ©, et ils ont pris
leurs instruments et sont partis. Jâai dit: «Monsieur Hanson, vous
pouvez me licencier si vous voulez.»
Il a dit: «Non, Billy, vous avez fait la chose quâil
fallait.»
VoilĂ . Ce nâest pas ça la vie. Il y a deux
conceptions de ce quâest la vie. Lâune a le suicide; et lâautre a le
ravissement. Ă le ravissement divin. Puisse cette vie descendre en moi.
Mais quâest-ce qui amĂšne une personne Ă faire cela? Il y a une raison.
Laquelle?
47 Maintenant, écoutez attentivement. La raison pour
laquelle les gens font cela; câest parce que Dieu les a créés pour
quâils aient soif. «Mon Ăąme a soif de Toi, comme dans une terre aride
dessĂ©chĂ©e.» Bien, Dieu a créé lâhomme pour quâil ait soif. Mais,
voyez-vous, ce Dieu a créé lâhomme pour quâil ait soif, quâil ait soif
de Lui. Il doit avoir soif de Dieu.
Maintenant, le diable essaie dâĂ©tancher cette soif
avec les choses du monde. Mais il nây arrivera jamais. Eh bien, sâil
peut vous prendre et vous amener Ă avoir soif de la danse, Ă avoir soif
de la télévision, du rock and roll, et de toutes ces autres choses
immondesâŠ
Eh bien, je nâai pas lâintention de condamner toutes
les émissions de télévision, ni toutes les émissions à la radio. Si
vous voulez regarder la télévision, suivez Oral Roberts. Il a une bonne
Ă©mission. Suivez cela. Si vous voulez⊠Câest correct. Je soutiendrais
cela Ă cent pour cent. Billy Graham, Oral Roberts, ou des gens comme
cela, câest bon, ou quelque chose qui est dĂ©cent et biensĂ©ant. Mais
toutes ces absurditĂ©s concernant la boissonâŠ
48 Et lâautre jour par ici⊠Je suis dans un conflit
sur les impĂŽts Ă propos de lâargent que jâai dĂ©pensĂ© dans ces rĂ©unions.
Le gouvernement a dit que cela a dĂ» mâappartenir en propre. Je devrais
payer les impĂŽts sur tout ceâŠÂ»
Jâai dit: «Comment pouvez-vous penser cela?» Jâai
dit: «Câest passĂ© par mon Ă©glise, et cela a Ă©tĂ© utilisĂ© pour toutes ces
réunions.»
Ils ont dit: «Ă, cela vous appartenait avant
dâappartenir Ă lâĂ©glise.» Et ils allaient mâarrĂȘter pour ça.
Et jâai dit: «Jâaimerais vous poser une question au
nom de toute la dĂ©cence.» Jâai dit: «Vous faites passer ces Ă©missions
la nuit. Jâai passĂ© trente-deux ans de ma vie Ă parcourir toute la
nation, le monde entier, essayant dâen faire un endroit meilleur oĂč
vivre, essayant de transformer des escrocs pour en faire des hommes
honnĂȘtes, essayant de prendre les enfants au berceau, et les mettre
dans lâĂ©glise, et quelque chose pour le bien. Jâai consacrĂ© ma vie sur
terre Ă faire cela. Et lâargent que jâai utilisĂ© lĂ -bas, et vous
essayez de me dire que je dois cela.» Et jâai dit: «Vous laissez toutes
ces vieilles émissions désagréables et vulgaires passer à la
télévision, cette compagnie de whisky, de tabac, qui détruisent la
nation, qui font commettre des viols, des meurtres, et tout le reste,
la délinquance juvénile qui déchire votre nation; et ils ne payent pas
la publicitĂ© de cela.» Et jâai dit: «Quâest-ce qui nous reste?»
49 Il y a une chose qui nous reste, et câest Christ.
Certainement, ces compagnies de biĂšre, et tout ce que vous avez comme
publicité là -dessus, ce sont des impÎts du gouvernement. Ils ne payent
pas cela. Mais que moi jâessaye de ne pas payer cela; disons: «Bien,
jâai tenu une rĂ©union au jardin de Madison Square, on a prĂ©levĂ© autant.
Je dois déclarer chaque sou. Et ensuite nous, avons payé autant pour
lâauditorium»
«Oui, câest Ă vous que les gens donnent cela. Cela
vous appartenait. Vous devez payer lâimpĂŽt sur le revenu pour cela.»
Vous y ĂȘtes. Voyez? Eh bien, câest⊠et puis vous
appelez cela justice, mentionnĂ©e lĂ sur les portes des tribunaux. Pas Ă
mon avis, cela ne lâest pas. Pas dans cette Bible, non. Câest vrai.
Nous rendons à César ce qui est à César, et à Dieu ce qui est à Dieu.
Câest vrai. Mais ce monde est perverti, au point que lâon examine mĂȘme
les examinateurs. Eh bien, câest pitoyable. Des nĂ©vrosĂ©s examinent des
nĂ©vrosĂ©s, et leâles psychiatres le⊠soignent les psychiatres. Eh bien,
les choses sont corrompues, foutues pour toujours. Mais le Royaume de
Dieu subsistera éternellement.
50 Ăcoutez. Vous nâallez jamais satisfaire ce dĂ©sir
ardent. Vous sortez ce soir vous enivrer, vous soûler, et vous faites
la noce Ă tout casser, demain matin vous avez des maux de tĂȘte, et la
peur. Vous allez briser votre foyer. Vous allez miner votre vie. Vous
allez jeter cela aux chiens, pour ainsi dire. Mais il y a un seul moyen
pour satisfaire celaâcela⊠Et je vais vous dire maintenant, vousâŠ
Ăcoutez ceci! Vous les gens, jeunes ou vieux, comment osez-vous prendre
les choses du diable pour étouffer cette sainte soif bénie, cette soif
qui est en vous? Comment pouvez-vous prendre les plaisirs dans le
monde, du whisky, de la biĂšre, des beaux moments, le luxe, pour
satisfaire cette soif sainte et bénie, que Dieu vous a donnée pour
avoir soif de Lui?
Pour certaines personnes, le diable est si méchant
quâil les laisse se joindre Ă une Ă©glise pour Ă©tancher cela. Oh, oui.
Les gens vont et se joignent à une église, ils disent: «Bien,
jâinscrirai mon nom dans le registre de lâĂ©glise, et je vaisâŠÂ»
LâĂ©glise câest bien, mais permettez-moi de vous
dire, mon ami, que se joindre à une église ne va jamais étancher cette
sainte et ardente soif. Câest lâendroit oĂč Dieu vient, et rien dâautre
ne peut combler cela jusquâĂ ce que vous soyez rempli du Saint-Esprit.
Alors le Saint-Esprit vient dans votre cĆur. Il est la Fontaine
éternelle de Dieu. Il est la Fontaine inépuisable de la vie. Recevez-Le
et abreuvez-vous de Lui pour le reste de votre vie, dans tous les Ăąges.
Dieu a fait cet endroit ici dedans pour Lui-mĂȘme. Vous avez soif de
quoi? De Lui. Il veut que vous ayez soif. Ayez soif de Lui.
51 David était un homme de bois, un berger. Il
utilisait les termes de bergers, et de bois, et ainsi de suite. UnâŠ
dans un autre Psaume il a écrit: «Comme une biche soupire aprÚs des
courants dâeau, mon Ăąme a soif de Toi, ĂŽ Dieu!»
Eh bien, je suis un chasseur, et jâai chassĂ© dans le
monde entier, presque. Bon, avez-vous déjà vu une biche blessée? «Comme
une biche a soif des courants dâeau, ainsi mon Ăąme a soif de Toi, ĂŽ
Dieu!»
Eh bien, en Afrique, frĂšre du Plessis, dans son
pays, ils ont lĂ -bas des chiens sauvages, ils attrapent laâla biche. Et
si vous blessez une biche, si elle peut atteindre lâeau vous avez perdu
votre biche. Si elle peut atteindre lâeau⊠elle trouve lâeau et elle
retourne dans ce sens, elle descend, remonte le ruisseau, et iraâŠ
trompe les chiens, elle retourne lĂ , gravit la colline, revient
derriĂšre eux, elle marche dans le ruisseau, en boit encore, jusquâĂ ce
que cette eau froide suffise pour faire coaguler le sang, alors elle
peut vivre. Mais si elle nâarrive pas Ă trouver cette eau, elle va
mourir.
52 Il en est ainsi. Bien des fois jâai observĂ© le
loup poursuivant laâla biche. Et sâil peut trouver une petite biche lĂ
toute seule, câest de celle-lĂ quâil va sâoccuper. Il y a lĂ une leçon.
Sâil peut trouver une biche Ă©loignĂ©e du troupeau, alors il⊠câest ce
que le diable cherche Ă faire. Ainsi pour vous, jeunes filles, il veut
que vous sortiez avec un garçon qui nâest pas chrĂ©tien. Pour vous,
jeunes garçons, il veut que vous sortiez avec une petite Jézabel
maquillĂ©e quiâqui nâest pas une chrĂ©tienne. Câest lĂ quâil veut vous
dĂ©pecer. Câest lĂ quâil veut⊠il veut planter ses dents en vous.
Et cette petite biche va se mettre seule Ă lâĂ©cart,
loin du troupeau. Câest de celle-lĂ que le loup va sâoccuper. Et pour
vous, hommes et femmes ĂągĂ©s, lorsque vous vous sĂ©parez des croyantsâŠ
Les gens disent: «Je peux rester Ă la maison, y ĂȘtre tout autant un bon
chrĂ©tien quâĂ lâĂ©glise.» Vous ne pouvez pas.
La Bible dit: «Nâabandonnons pas notre assemblĂ©e,
dâautant plus que nous voyons le temps sâapprocher.»
Si vous ĂȘtes un chrĂ©tien, vous dĂ©sirez ardemment
aller lĂ oĂč se trouvent les autres chrĂ©tiens pour communier avec eux.
Ainsi vous ne pouvez pas rester loin de lâĂ©glise et vivre la mĂȘme vie.
Vousâvous ne pouvez pas faire cela, parce que câest comme de dire:
«Jeâjeâjeâjâai faim, mais je nâirai point Ă table? Seulement jeâje ne
vais pas manger. Seulement jeâje ne vais pas le faire.» Voyez? Vous
devez aller vous nourrir de la Parole de Dieu et communier les uns avec
les autres.
Nous avons maintenant besoin les uns des autresâdes
autres plus que jamais, câest maintenant. Lorsque vous vous sĂ©parez des
autres, en vous faisant un peu remarquer, vous ne voulez pas vous
associer avec les autres parce quâils croient ceci, et vous ne voulez
pas vous associer Ă cela, vous ĂȘtes sur un terrain dangereux Ă ce
moment-lĂ , en vous Ă©loignant de lâĂ©glise. Trouvez-vous-en une de votre
choix, et restez-y, et soyez un frÚre chrétien pour tous les autres.
Câest ça ĂȘtre un vrai chrĂ©tien. Alors nous avons la communion, la
protection; les gens vous aiment et ils prient pour vous.
Ce qui fait le succĂšs de mes rĂ©unions, câest le fait
que les gens trĂšs pieux prient pour moi. Câest cela. Câest la raison
pour laquelle il y a du succĂšs dans mes rĂ©unions. Quand jâarrive et que
je présente ces choses au sujet des visions et tout, il y a beaucoup de
vieilles mamans et de vieux papas, des sĆurs et des frĂšres, assis lĂ
qui croient cela de tout leur cĆur. Alors, le Saint-Esprit descend
directement sur eux. Sâils ne croyaient pas cela, je nâai aucun autre
moyen de le faire. Peu importe combien cela est merveilleux pour moi,
cela doit lâĂȘtre aussi pour vous. Nous devons former une unitĂ©, nous
deux ensemble, pour ĂȘtre en contact avec Dieu: vous, comme un croyant,
et moi-mĂȘme comme un croyant.
53 Eh bien, quand ce petit animal se retrouve seul Ă
lâĂ©cart, alors le loup sâamĂšne. Il Ă©pie le chienâĂ©pie laâla biche. Et
il continue Ă sâapprocher de plus en plus. La petite biche commence Ă
se sentir agitĂ©e. Beaucoup de gens sâasseyent dans une rĂ©union,
sâasseyent suivant la prĂ©dication, ils se disent: «Vous savez, il se
peut que ça soit moi. Peut-ĂȘtre que je devrais faire ceci. Peut-ĂȘtre,
je devrais venir à Dieu.» Cela montre que le loup est bien sur toi.
Eh bien, quand le loup fait ce grand bond sur la
biche⊠Eh bien, dâabord, un loup a deux crocs appelĂ©s «les crocs Ă
sang.» Sâils peuvent attraper laâla biche juste par derriĂšre ses
oreilles, il y a une veine lĂ , et câest une artĂšre, juste derriĂšre
lâoreille. Il enfonce ses dents juste lĂ -dedans. Câest contre le
serpent, et il se suspend de tout son poids lĂ . Et que fait-il? Il
coupe la gorge de la biche. Elle est foutu. Cette veine fait jaillir le
sang, et elle ne fera pas cinquante mĂštres sans quâelle ne meure. Elle
saigne simplement Ă mort, et elle perd le sang. Sa vie sâen va.
Combien de précieux jeunes garçons et jeunes filles,
hommes et femmes, ont été attrapés par le diable, sans protection, et
il leur a fait cela? Comme câest pitoyable. «Comme une biche soupire
aprĂšs des courants dâeau.»
54 Alors nous remarquons, si laâsi la petite biche
est rapide, elle redresse sa tĂȘte et sâaperçoit que le loup vient, elle
peut se retourner. Et alors, la biche⊠le loup a un autre endroit par
oĂč saisir. Câest juste au flanc. Eh bien, ceci est le point dâĂ©quilibre
de la biche. Le train arriĂšre est plus lourd que le train avant, et il
faut le milieu ici pour faire lâĂ©quilibre.
Eh bien, si le loup saisit⊠sâil essaie de viser ces
cĂŽtes, il va la rater. Sâil attrape dans sa chair ici, ça ne lui
servira Ă rien. Mais, juste lĂ au flanc, sâil peut saisir avec sa
gueule juste là , et bien saisir, et cette biche à moitié déséquilibrée
comme cela, il peut jeter la biche par terre. Et sâil ne fait pas cela,
il arrache une bouchĂ©e de chair de la biche, sâil rate la gorge.
Sâil attrape la gorge, câen est fini de la biche.
Mais sâil le saisit comme ceci, et si la biche est rapide, elle saute,
se tortille de part et dâautre, saute et sâĂ©lance avant que le loup se
suspende pour la jeter par terre. La petite biche se secoue et se fait
arracher toute une bouchée. Et quand il le fait, un grand trou apparaßt
lĂ , et le loup tombe par terre, et la petite biche fait un bond en
avant. Elle peut distancer le loup.
Eh bien, cette biche va courir de toutes ses forces,
et de toutes ses forces, mais cependant, elle commence Ă saigner,
saigner. Elle perd du sang.
55 Oh, combien sont mordus ce soir Ă Phoenix par la
meute de lâenfer. Leur prĂ©cieuse vie est en train de dĂ©pĂ©rir, parce
quâilsâils regardent⊠le trou dans leur flanc. Il leur est arrivĂ©
quelque chose, ils ont laissĂ© quelquâun entrer dans leur vie, quelque
chose sâest passĂ©, un homme est sorti avec une autre femme, ou une
femme avec un autre homme, ou ils ont pris un petit verre amical. Ils
ont voulu ĂȘtre comme le voisin dâĂ cĂŽtĂ© ou quelque chose comme cela.
Câest alors que vous ĂȘtes attrapĂ©.
Une petite secousse, et alors il lui faut trouver de
lâeau. Câest ce que David a dit: «Comme une biche a soif des courants
dâeau, ainsi mon Ăąme a soif de Toi, ĂŽ Dieu.»
Et cette petite biche saigne lĂ , tremble, et a soif.
Elle va lever son petit nez. Je les ai observées bien des fois. Elle va
flairer [FrĂšre Branham produit un son dâhalĂštementâN.D.Ă.] Elle flaire
pour trouver lâeau. Elle regarde; la meute est derriĂšre elle. Si elle
peut trouver de lâeau, elle va vivre. Si elle ne trouve pas de lâeau
elle va mourir, puisquâelle sâaffaiblit de plus en plus. Eh bien, quand
cette biche, elle doit atteindre lâeau, sans quoi elle meurt.
56 Et quand vous en arrivez lĂ , mon frĂšre, oĂč le
pĂ©chĂ© a rongĂ© votre vie au point quâil vous faut trouver les eaux de
Dieu, à moins que vous trouviez cette fontaine remplie de Sang tiré des
veines dâEmmanuel, lĂ oĂč les pĂ©cheurs plongent dans le flot, perdent
toutes les tĂąches de leur culpabilitĂ©âŠ
Si vous ĂȘtes si assoiffĂ© et que vous soupiriez aprĂšs
lâeau: «Î Dieu, oĂč se trouve-t-elle? Je dois trouver JĂ©sus ou pĂ©rir.»
Quelque chose⊠Vous allez Le trouver, Dieu mettra de lâeau⊠Pour voir
ce Beersheba⊠que⊠unâŠ. Anne avait trouvĂ© pour lâenfant⊠Dieu peut
crĂ©er une fontaine juste Ă cĂŽtĂ© de vous. Peut-ĂȘtre que vous ĂȘtes rongĂ©
par le cancer. Peut-ĂȘtre ĂȘtes-vous clouĂ© dans un fauteuil roulant. Il
se peut que ce cĆur soit sur le point de cesser de battre, le docteur
lâa examinĂ©, et a dit: «Vous nâen avez pas pour longtemps.» Peut-ĂȘtre
que la tuberculose est sur le point de vous avoir, ce dĂ©mon sâest saisi
de vous, est en train de vous cribler, Ă moins que vous trouviez cette
fontaine. Si vous avez soif de cela: «Heureux ceux qui ont faim et
soif, car ils seront rassasiés.»
Mon précieux ami, ce soir, permettez-moi de vous
dire en tant que votre frĂšre, et celui qui vous aime: si vous avez un
besoin ce soir, sâil y a⊠si vous avez Ă©tĂ© mordu par⊠physiquement ou
spirituellement, par la meute de démons, allez vers les eaux aussi vite
que vous pouvez. Il y a une fontaine ouverte ce soir dans la maison de
Dieu, dans la citĂ© de David. Câest pour les gens qui sont impurs. Vous
pouvez plonger dans cette fontaine, perdre toutes les tĂąches de votre
culpabilité. Je vous recommande le Sang de Jésus-Christ, alors que nous
inclinons la tĂȘte.
57 «Ta bonté vaut mieux que la vie pour moi. Et parce
que Ta bonté vaut mieux que la vie, mes lÚvres célÚbrent Tes louanges.
Ă Seigneur, afin que je puisse Te voir comme je Tâai vu dans Ton
sanctuaire. Puis-je Te voir dans cette terre aride, desséchée. Mon ùme
a soif de Toi, ĂŽ Dieu.» AssoiffĂ©e, assoiffĂ©e, essayant de trouver unâun
endroit oĂč sâabreuver
Ătes-vous ici, ce soir, homme ou femme, garçon ou
fille qui nâavez jamais bu Ă cette Fontaine? Vous avez Ă©tĂ© mordu par
les péchés, et vous avez soif ce soir de la guérison. Si cela vous
concerne, voulez-vous lever la main et dire: «FrÚre Branham,
souvenez-vous de moi dans votre priĂšre. Maintenant jâaiâjâaiâŠÂ»
Dieu vous bénisse, monsieur. Dieu vous bénisse. Dieu
vous bénisse, madame. Dieu vous bénisse. Il y a une fontaine remplie de
Sang, tirĂ© des veines dâEmmanuel.
DerriÚre ici à ma droite, Dieu vous bénisse, jeune
dame. Dieu vous bĂ©nisse, jeune homme. Câest bien. Dieu vous bĂ©nisse.
Câest merveilleux. Pensez-y, les amis, examinez cette soif qui est
vous. Avez-vous tournĂ© cela vers lâennemi? Vers les choses de ce monde?
Avez-vous simplement essayé de la satisfaire avec, disons: «Bien, je
vais aller en ville et je vais acheter de nouveaux habits. JeâŠÂ» Ce
nâest pas cela. Vous avez besoin⊠Peut-ĂȘtre que vous avez besoin de
nouveaux habits. Câest en ordre. Mais lorsque vous en faites votre
idole, comment vous devez ĂȘtre toujours trĂšs impeccable. Peut-ĂȘtre
câest votre maison. Peut-ĂȘtre quelque chose dâautre a pris la place de
cette soif et de cet appel. Ăa devrait ĂȘtre Dieu. Dieu est cette
portion qui satisfait.
58 Je vais vous demander de faire quelque chose. Si
vous croyez que Dieu entend ma priĂšre, si vous avez confiance en moi
comme votre frĂšre, et si vous avez besoin de cela, je me demande siâsi
vous pouvez venir ici, et croire que⊠Je parlais Ă une dame; elle mâa
rencontrĂ© aujourdâhui au restaurant. Et elle me parlait de frĂšre
Outlaw, je pense, qui mâavait amenĂ© Ă son chevet lorsquâelle se mourait
de la tuberculose. Elle a Ă©tĂ© guĂ©rie. Les mĂ©decins lâavaient
abandonnée. Et elle a été guérie, plus tard dans une autre réunion,
elle a été guérie du cancer. Sa fillette était couchée, se mourant de
la leucĂ©mie⊠Si la dame ne tĂ©moignait pas, jâavais demandĂ© Ă frĂšre
David de me rappeler son⊠lâamener Ă tĂ©moigner. Et la fillette atteinte
de la leucémie, au dernier stade, son poids avait chuté à 10 kg
environ, et aujourdâhui, pas une trace de la leucĂ©mie.
Oh! la la! Un homme par ici, a dit hier soir, quâil
nâa pas pu entrer dans la rĂ©union⊠Et je crois il a dĂ©couvert lĂ oĂč
jâavais dĂ©posĂ© mon chapeau, lĂ derriĂšre, et il a dit: «Je nâarrive pas
à entrer, mais je⊠Seigneur, je vais toucher son chapeau.» Et il avait
la tuberculose, et il a été guéri.
59 Si vous croyez en Dieu⊠ne⊠Soyez simple. Le
Saint-Esprit est si simple. Simplement il⊠suivez-Le simplement tel
quâIl va. Et si vous croyez que Dieu Ă©coute ma priĂšre, et que vous ĂȘtes
réellement mordu ce soir, quelque part le long de la ligne⊠Vous avez
un tempĂ©rament tel que vous vous dĂ©chaĂźnez facilement; câest le diable.
Il vous a mordu; il va empoisonner votre expĂ©rience. Câest comme de
lâacide sulfurique. Cela vous tuera, et vous serez perdu.
Si vous voulez que je prie pour vous, voulez-vous
venir vous tenir ici afin que je puisse vous imposer les mains, pendant
que nous chantons? Si lâorganiste peut y aller, pendant que vous jouez,
et avec vos tĂȘtes inclinĂ©es «Il y a une fontaine remplie de Sang tirĂ©
des veines dâEmmanuel; les pĂ©cheurs plongĂ©s dans ce Sang, perdent
toutes les taches de leur culpabilité.»
60 Dieu vous bénisse, monsieur. Venez directement
ici. Câest bien. Quelquâun dâautre veut-il venir maintenant? Pendant
que nous attendons, venez par ici et tenez-vous là . Dieu vous bénisse,
madame. Câest bon. Restez juste lĂ , mon frĂšre. Je veux descendre et
vous imposer les mains juste dans une minute.
Eh bien, trĂšs bien, frĂšre, si vous pouvez nous
donner le ton de: Il y a une fontaine remplie de Sang.
Il y a une fontaine remplie de sang (Dieu vous bénisse, mon frÚre. Je
suis juste Ă vous dans un instant.)
âŠde⊠(venez directement, sĆur) âŠdes veines dâEmâŠ
Les pécheurs plongés dans ce flot
Perdent toutes les taches de leur culpabilité.
Perdent toutes les taches de leur culpabilité
Perdent toutes les⊠de leur culpabilité
Ne voulez-vous pas venir juste devant maintenant,
levez-vous? Vous qui ĂȘtes mordu, avez-vous soif de quelque chose de
rĂ©el? Avez-vous soif dâune expĂ©rience avec Dieu? Venez maintenant,
juste ici, que nous priions et que nous leur imposions les mains
maintenant mĂȘme.
âŠles taches de leur culpabilitĂ©.
Le voleur mourantâŠ
Dieu vous bĂ©nisse, sĆur. Câest bon. Venez
directement. Approchez-vous, autour de lâautel maintenant. Tenez-vous
juste ici tout autour, juste un moment pour la priĂšre.
âŠson jour;
EtâŠ
Dieu vous bĂ©nisse, monsieur. Approchez. Il faut ĂȘtre
vraiment un homme pour faire cela. Venez directement �⊠Venez juste
par ici et tenez-vous lĂ .
âŠlaver tous mes pĂ©chĂ©s,
Laver tous mes péchés; laver tous mes péchés,
Et lĂ , puis-je, quoique aussi vil que lui,
Laver tous mes péchés.
Depuis que par la foi jeâŠ
Ne voulez-vous pas venir maintenant? Les autres,
venez jusquâici, voulez-vous vous tenir tout autour ici pour un instant
maintenant. Vous qui ĂȘtes mordus. Voulez-vous ĂȘtre guĂ©ris de cette
morsure du diable, venez directement maintenant. Maintenant câest le
temps de recevoir cela.
Lâamour⊠tour est mon thĂšme,
Jusquâau jour de ma mort.
Jusquâau jour de ma mort,
Jusquâau jour de ma mort;
Lâamour rĂ©dempteur est mon thĂšme,
Jusquâau jour de ma mort.
61 Maintenant, alors que nous sommes rassemblés, ne
voulez-vous pas venir carrément ici? Je ne sais combien de prédicateurs
sont ici ce soir. Combien de prédicateurs, voulez-vous lever la main?
Observez les prédicateurs. Merci bien. Je vais vous demander une chose:
venez ici juste une minute, et tenez-vous avec moi. Je vais descendre
imposer les mains Ă ces gens. Eh bien, ils auront besoin dâune Ă©glise
qui sera leur Ă©glise. Ils auront besoin dâĂȘtre baptisĂ©s du baptĂȘme
chrétien, et ils auront⊠ils vont⊠Il vous faudra les inviter dans vos
églises. Et nous voulons que vous veniez et que vous vous teniez avec
nous ici, pour que nous priions. Juste dans un instant nous aurons la
priĂšre pour les malades aussi, juste dans un instant. Restez simplement
un⊠les malades, restez sur vos siÚges.
Eh bien, je vais demander au pasteur ici, frĂšre
Shores, sâil peut se tenir ici etâet tond⊠et nous conduire dans un
cantique vraiment doux, pendant que les autres ont la tĂȘte inclinĂ©e. Je
vais imposer les mains Ă nos frĂšres et sĆur ici, qui sont venus pour
consacrer leur vie. Ils ont Ă©tĂ© mordus par lâennemi et nous allons leur
imposer les mains afin quâils⊠Et jâaimerais que vous les prĂ©dicateurs,
vous fassiez de mĂȘme. Et alors, nous allons offrir la priĂšre de la foi
pour ces gens.
62 Eh bien, vous qui ĂȘtes debout ici, peu importe ce
que vous avez fait⊠Eh bien certainement, vous ici, vous savez que je
vous dis la vérité. Dieu confirme cela. Je vous dis la vérité, parce
que câest la Parole. Le Saint-Esprit vient et se meut⊠Il y a quelques
minutes au lieu de faire uneâune ligne de discernement comme jâavais
prévu de le faire, quelque chose à la fin est intervenu et a dit: «Il y
en a ceux qui sont mordus.» Voyez?
Comment saurais-je si lâun de ceux qui sont debout
ici ne serait pas un ministre de lâĂvangile dans peu de temps. Comment
saurais-je si certaines de ces jeunes dames, et le reste, qui se
tiennent debout ici, ne pourraient ĂȘtre des missionnaires en route vers
le champ missionnaire. Comment saurais-je qui ils sont? Ăa pourrait
ĂȘtre un autre Billy Graham, ça pourrait ĂȘtre un autre Sankey, Moody,
Finney, Knox, Calvin. Comment le saurais-je? La seule chose que nous
faisons câest de lancer le filet, et puis le tirer. Câest le
Saint-Esprit qui attire. JĂ©sus a dit: «Quand jâaurai Ă©tĂ© Ă©levĂ©,
jâattirerai tous les hommes Ă Moi.»
Mes amis qui ĂȘtes debout ici Ă cet autel, le Vrai,
le Vrai Christ qui guĂ©rit le corps, guĂ©rit lâĂąme. Eh bien, pendant que
nous prions, chacun avec sa tĂȘte inclinĂ©e, et vous, conduisez-nous dans
un cantique comme vous �⊠[Le frÚre conduit le cantique: «Jésus passe
par ici.»âN.D.Ă.]
63 Alors que nous sommes émus �⊠dans la priÚre
maintenant, je voudrais que les prĂ©dicateurs sâapprochent maintenant de
ces gens. Chaque personne qui se tient tout autour de lâautel ici,
maintenant, confessez tout simplement tous vos torts. «Seigneur,
lâennemi mâa brisĂ©, mais ce soir je me tiens ici pourvu seul but:
sachant que je suis une personne qui se meurt, je sais que ma vie est
minĂ©e, elle lâai gĂąchĂ©e; et la soif que je devrais vraiment orienter
vers Toi, je lâai tournĂ©e vers autre chose. Pardonne-moi, ĂŽ Seigneur.
Purifie mon cĆur, purifie ma soif, et que je la tourne vers Toi, ĂŽ
Dieu, et quâĂ partir de cette heure, je boive de la Fontaine de la vie
gratuitement, parce que Dieu mâa invitĂ© Ă cette Fontaine.»
64 Et maintenant, quant Ă vous qui ĂȘtes lĂ dans
lâauditoire, qui ĂȘtes malades et nĂ©cessiteux, voulez-vous simplement
lever la main? Je vais vous demander de faire quelque chose; comme je
lâai fait hier soir. Imposez-vous simplement les mains les uns aux
autres maintenant. Imposez-vous les mains les uns aux autres.
Jâai reçu un trĂšs bon rapport sur la rĂ©union depuis
hier soir. Eh bien, pendant que je prie, je désire que chacun de vous
reçoive sa guĂ©rison. Croyez cela de tout votre cĆur. Croyez que cela
arrivera ce soir, pas⊠Dieu nâa pas promis dâentendre seulement ma
priĂšre, Il a promis dâentendre votre priĂšre. «La priĂšre de la foi
sauvera le malade. Dieu le relÚvera.» Maladie physique, maladie
spirituelle, peu importe ce quâest votre maladie, le Sang de
Jésus-Christ purifie de tout. «Voici les miracles qui accompagneront
ceux qui auront cru, sâils imposent les mains aux maladesâŠÂ»
65 Maintenant, nous formons uneânous formons une
unitĂ©; nous sommes dâun commun accord maintenant. Nous sommes des
chrétiens; le Saint-Esprit est ici, ce Grand Ange de Dieu, cette
Colonne de Feu, dont vous avez la photo, juste ici. Ce mĂȘme Ange de
Dieu est ici maintenant mĂȘme dans ce bĂątiment, ici mĂȘme. Si vous ĂȘtes
des croyants et que vous ĂŽtiez tout musc dâincrĂ©dulitĂ© de vous, tous
les doutes de vous, et que vous croyiez maintenant mĂȘme⊠Maintenant ne
priez pas pour vous-mĂȘme; priez pour la personne Ă qui vous avez imposĂ©
les mains. Voyez? Priez pour lâhomme qui est Ă cĂŽtĂ©; il prie pour vous.
Et priez lâun pour lâautre pendant que je prie pour vous, cela forment
une chaĂźne ici, et Dieu va guĂ©rir chaque personne ici. Il nây aura
personne qui restera malade au milieu de nous, si seulement vous croyez.
Chacun de ces gens-ci, qui sont debout ici tout
autour de lâautel. Je regarde ici et je vois cette Indienne, je crois,
elle sâapproche dâici. Rappelez-vous lâannĂ©e passĂ©e, lâannĂ©e oĂč jâĂ©tais
ici, une fillette indienne aveugle avait recouvré la vue là dans la
réserve des Indiens. Combien je me souviens de ces précieux Indiens
lĂ -bas, comment Dieu avait opĂ©rĂ© des guĂ©risons au milieu dâeux, et vous
ĂȘtes ici maintenant. Dieu vous remplira du Saint-Esprit et vous
comblera infiniment.
Maintenant, vous les prĂ©dicateurs, inclinez la tĂȘte
et priez avec moi. Partout, maintenant, tous dâun commun accordâŠ
lorsquâils Ă©taient rĂ©unis ensemble, ils ont priĂ© dâun commun accord; et
lâendroit oĂč ils Ă©taient rĂ©unis Ă©tait Ă©branlĂ©, et la Parole de Dieu fut
apportée avec assurance.
66 PÚre céleste, en tant que serviteur de Dieu,
jâapporte cet auditoire dans Ta PrĂ©sence, priant maintenant que Tu
brises toute la puissance de Satan, toute incrédulité. Ces précieuses
personnes qui se tiennent ici, elles ont Ă©tĂ© mordues par leâdu diable
et elles ont besoin de Ta puissance de guĂ©rison. Quâils puissent
sâaccrocher Ă la Pierre Principale, la Pierre, Christ JĂ©sus, jusquâĂ ce
que tout le poison duâdu pĂ©chĂ© soit retirĂ© de leurs Ăąmes, et que toutes
les maladies soient ĂŽtĂ©es de leurs corps. Puissent-ils sâaccrocher Ă la
Pierre de Dieu jusquâĂ ce quâils soient totalement libres. Que le
Saint-Esprit descende dans ce bĂątiment maintenant sur chaque cĆur et
sur chaque croyant.
Que la puissance qui a ressuscitĂ© JĂ©sus dâentre les
morts, opĂšre maintenant dans chacun dâeux. Fais-leur savoir que Tu es
Dieu, le Grand Guérisseur, qui ne peut échouer devant un cas. Tu es
Dieu pour toujours. Je Te les confie, Seigneur.
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