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Dieu Projetant Son Amour (Quand L’Amour S'élance)
1
Merci beaucoup, frère. Inclinons la tête un moment
pour la prière. Notre
béni Père céleste, nous venons ce soir auprès de Toi en tant que Tes
enfants
qui croient, qui croient la Parole de Dieu, qui croient qu'Il nous a
promis
dans cette Parole que si nous demandons quelque chose en Son Nom, cela
nous
sera accordé.
Et nos
coeurs sont heureux ce soir, car, hier soir, non seulement nous T'avons
vu
guérir les malades, mais nous avons vu la puissance de Dieu qui est
très
efficace changer le pécheur en chrétien. Il y a aujourd'hui des foyers
qui sont
heureux à cause de cela. Et Père, nous en sommes reconnaissants. Et
nous prions
ce soir que Tu doubles le nombre. Envoie chaque pécheur à l'autel;
guéris
chaque malade.
Parle-nous
maintenant au travers de la Parole, pendant que nous, comme Tes humbles
vases,
nous faisons tout notre possible pour essayer d'apporter la Parole de
Dieu, la
Parole de Vie aux gens. Nous prions que Tu bénisses nos faibles
efforts. Nous
prions au Nom de Jésus. Amen. Vous pouvez vous asseoir.
2
Je vois que nous avons beaucoup de lettres sur la
chaire, ce soir. Ce sont
peut-être des mouchoirs sur lesquels on doit prier; je fais cela chaque
soir,
j'essaye de prier dessus. Et maintenant, d'habitude j'attends jusqu'à
ce que la
S l'onction de l'Esprit soit dans la salle et que nous La sentions.
Ainsi, nous
estimons donc, sans aucun doute, qu'il serait plus efficace de faire
cela. Ce
n'est pas de la superstition. Si c'est le cas, alors saint Paul avait
des
superstitions. En effet, la Bible enseigne ceci et nous devons mettre
en
pratique ce que la Bible enseigne. Et les gens prenaient...
Eh bien,
beaucoup de gens oignent les mouchoirs avec de l'huile. Eh bien, bon,
il n'y a
pas de problème. Je suis pour tout ce que Dieu bénit. Mais si vous
observez
attentivement les Ecritures, Paul n'a jamais oint les mouchoirs; il
prenait des
linges ou des mouchoirs qui avaient touché son corps.
Et je
crois que Paul était très fondamentaliste dans ses enseignements. Et je
crois
qu'il a tiré cela de là où
la femme
sunamite est allée voir Elie au sujet de son enfant qui venait de
mourir. Et
Elie a donné son bâton à son serviteur et
lui a dit : "Va le mettre sur l'enfant." Elisée savait en
effet que tout ce qu'il touchait était béni, si la femme pouvait croire
la même
chose... Vous voyez? Je crois que c'est de là que Paul doit avoir tiré
cela.
3
Bon, avant d'ouvrir Son Livre, demandons un moment
à l'Auteur de bénir Sa
Parole. Maintenant, Père, ceci est Ta Parole, et nous En ouvrons
maintenant les
pages; Toi, ouvre notre entendement. Nous prions au Nom de Christ.
Amen.
Mon
sujet ce soir c'est : Dieu projetant Son amour. Et je désire lire un
passage
dans Saint Jean, chapitre 3, verset 16, qui est connu (je suppose ) de
tout
jeune garçon et de toute jeune fille de l'école de dimanche qui est
dans cet
édifice. Il y est dit ceci :
Car Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils
unique, afin que
quiconque croit en lui ne périsse point mais qu'il ait la vie éternelle.
Ceci est peut-être l'un des passages les mieux
connus de toute la Bible.
Souvent on en parle comme étant le passage chéri de la Bible. Et il
parle de
l'amour. Et j'ai eu le privilège de prêcher l'Evangile dans beaucoup et
beaucoup de pays païens. Et j'ai entendu des théories, mais je n'ai
encore
jamais vu quelque chose qui se soit élevé au niveau de l'amour chrétien
de
Dieu. Personne ne peut l'expliquer. Les poètes ont essayé de le faire,
les
paroliers, mais ils ont échoué. Les prédicateurs n'y sont jamais
parvenus.
4
Un poète l'a décrit comme ceci :
Si tout
l'océan était de l'encre,
Et les
cieux un parchemin;
Si
chaque tige sur la terre était une plume,
Et
chaque homme un écrivain de son métier,
Décrire
l'amour du Dieu céleste,
Mettrait
les océans à sec;
Et le
rouleau ne pourrait en contenir le tout,
Même
étendu d'un bout à l'autre du ciel.
J'ai
souvent pensé à ce grand poète qui a écrit ceci :
Depuis
que, par la foi, j'ai vu ce ruisseau
Que Tes
blessures ruisselantes alimentent;
L'amour
rédempteur a été mon thème,
Et le
sera jusqu'à ma mort.
Et je
pense que s'il y a une chose dont on a besoin dans la grande Eglise
universelle
de Dieu ce soir, c'est l'amour. Nous n'avons pas tellement besoin de
ces autres
choses comme nous le pensons. Et toutes ces autres choses (nos
émotions, nos
dons) sont merveilleuses et nous louons Dieu pour cela. Mais si ces
dons ne
sont pas dirigés par l'amour, alors ils ne seront pas efficaces.
5
L'amour doit diriger notre foyer. L'amour est la
plus grande force qui soit
placée sous le pouvoir de l'homme. Un S un foyer qui n'est pas dirigé
par
l'amour n'est pas un foyer. Si un homme et une femme ne s'aiment pas
sincèrement, ils ne peuvent pas se faire confiance. C'est pourquoi je
pense
qu'au lieu de reposer notre foi sur une émotion (ce qui est très bien),
ou sur
un don (ce qui est très bien), comme crier, parler en langues ou
d'autres
choses que nous considérons pour... disant que nous avons le
Saint-Esprit quand
nous faisons ce... Ces choses sont très bien. Mais si nous revenons au
principe
qui place l'amour en premier lieu, et ensuite ces choses, je pense que
notre
église progresserait beaucoup plus vite; si nous mettons Dieu en
premier; et
Dieu est amour.
6
Bien, l'amour est rendu par deux différents mots
qui ont deux significations
différentes. En grec, l'un d'eux, c'est "phileo"; c'est l'amour que
vous avez pour votre femme. "Agapao",
c'est l'amour, l'amour divin. Maintenant, l'amour que vous
avez pour
votre femme est très différent de l'amour de Dieu. Ecoutez ceci. Avec
l'amour
que vous avez pour votre femme, si un homme l'insultait, vous le
tueriez
sur-le-champ; avec ce genre d'amour, un amour phileo. Mais avec l'amour
agapao,
vous prieriez pour son âme perdue. C'est ça la différence.
Il
existe deux différents types d'amour. Je suis presque sûr que beaucoup
d'entre
nous se sont trompés, pensant avoir l'amour agapao alors qu'ils ont
l'amour
phileo. L'amour phileo est intellectuel; l'amour agapao vient du coeur.
L'un,
c'est l'amour humain, l'amour affectif, et l'autre, l'amour divin.
L'amour
divin ne pose pas des questions. L'amour humain raisonne, mais l'amour
de Dieu
ne raisonne pas. Il a une parfaite assurance. Il a une parfaite...
Quand vous
aimez réellement, cela produit la foi.
7
Maintenant, quand... Ce soir, étant en face d'un
auditoire composé de
plusieurs centaines de gens, alors quelqu'un dira : "Vous voulez dire
que
vous n'allez lire que ce seul verset
des
Ecritures?" Eh bien, ce verset des Ecritures suffit pour vous envoyer
au
Ciel ou pour vous condamner pour toujours. Et même si j'en avais le
pouvoir, je
ne changerais cela en aucun cas. Même si on m'offrait tout l'argent du
monde ou
d'être le roi de l'univers, et de régner un million d'années jouissant
d'une
bonne santé, je refuserais toujours de changer une seule Parole de
cette
Ecriture. En effet, c'est la Parole de Dieu et Elle ne peut jamais
changer. Peu
importe combien Elle est petite, Elle est toujours la même. Elle a la
même valeur que le
Livre tout entier.
Votre S
votre comportement ou votre attitude à l'égard de cette petite portion
de
l'Ecriture scellera votre destinée éternelle. Et si cette Ecriture-là a
autant
de valeur, c'est largement assez pour nous ce soir pour réfléchir
là-dessus un
petit moment.
8
Il y a quelque temps à (je crois) Louisville, dans
le Kentucky, on m'a
parlé d'un petit garçon qui était en train de fouiller son S son ÿ le
grenier
de la maison. Et en ouvrant quelques vieux papiers, il est tombé sur un
petit
timbre-poste d'à peu près un demi-pouce carré [ Environ 1,30 cm2. -
N.D.T.].
C'était un très vieux timbre. Aussi, sur-le-champ, le petit garçon eut
deux
idées : l'une c'était la crémerie, et l'autre c'était d'aller chez le
philatéliste du bas de la rue qu'il connaissait très bien. Il a pris ce
petit... d'un pouce S ce timbre d'un demi-pouce carré, il n'y avait
qu'une ou
deux lettres écrites dessus, très décolorées par le temps; il descendit rapidement la rue pour
aller chez le
philatéliste et dit : "Combien me donneriez-vous pour ce timbre?" Le
philatéliste observa cela avec une loupe et il comprit qu'il était
vieux. Le
petit garçon espérait avoir 5 cents pour acheter de la crème glacée...
Mais le
philatéliste marchanda avec lui à
un
dollar. Oh, le petit gars était très excité à l'idée d'avoir un dollar
contre
ce petit bout de papier d'un demi-pouce carré. Le philatéliste le
revendit une
semaine plus tard à cinq cents dollars. La dernière fois que j'ai
entendu
parler de ce timbre-poste d'un demi-pouce carré, il valait un quart de
million
de dollars.
Ainsi,
ce n'est pas la taille de la chose qui compte; c'est ce qu'il y a
dessus. C'est
la même chose avec ce petit passage de ce soir. C'est S on nous a
enseigné ceci
: "Ce ne sont pas les grandes choses que nous faisons qui comptent; ce
sont les petites choses que nous ne faisons pas."
9
On a raconté une fois que le... Le roi George, le
feu roi George de
l'Angleterre visitait une de ses villes ici au Canada. Et on avait fait
sortir
tous les élèves des écoles pour qu'ils voient leur roi passer. Et la
maîtresse
d'école donna à chaque petit enfant un drapeau à agiter en l'honneur de
leur
roi. Et combien ils voulaient manifester leur loyauté, montrer à leur
roi
qu'ils étaient les citoyens de son grand domaine. Et comme le roi
passait dans
son carrosse, tous les petits enfants agitaient leurs drapeaux et
applaudissaient le roi pendant qu'il s'inclinait poliment devant chacun
d'eux
d'un coeur reconnaissant.
Et quand
toute la rue fut dégagée, la maîtresse sortit, cherchant dans la rue,
car on ne
retrouvait pas une toute petite fille. Et la maîtresse parcourait les
rues,
l'appelant; elle remarqua une petite forme appuyée contre un poteau
télégraphique, en train de pleurer. Et elle courut vers la petite
fille,
l'embrassa comme le ferait sa mère, et elle dit : "Chérie, pourquoi
pleures-tu?" Et elle la regarda et les larmes coulaient sur ses petites
joues rebondies. Alors elle demanda : "N'as-tu pas agité ton
drapeau?"
Elle
répondit : "Si, maîtresse, j'ai agité mon drapeau."
Elle
demanda : "Le roi n'a-t-il pas vu... N'as-tu pas vu le roi?"
Et elle
répondit : "Si, maîtresse, j'ai vu le roi. Mais je suis si petite que
le
roi ne m'a pas vue."
10
Bon, c'est différent avec Jésus. Quelque petite ou
infime que soit la chose
que vous faites en Son Nom, Il sait tout cela. Cela pourrait paraître
insignifiant,
mais cependant, si c'est fait en Son Nom, peu importe combien petit...
une fois
Il a dit : "Si vous donnez ne fut-ce qu'un verre d'eau froide à l'un de
Mes serviteurs parce qu'il est Mon disciple, en vérité, en vérité, Je
vous le
dis, vous ne perdrez pas votre récompense." Ainsi, peu importe combien
ce
que vous faites est petit, Christ voit toujours les petites choses que
nous
faisons. Et je suis si content de cela (pas vous?), de ce qu'Il voit
les
petites choses que nous faisons. Et si ce petit passage des Ecritures
est
correctement reçu, Il le saura.
11
Pendant la révolution dans les Etats, on raconte
qu'il y avait un soldat
qui était passé en cour martiale à cause d'un certain crime, et il
devait être
fusillé à une certaine date, au levé du soleil. La veille, certaines
personnes
allèrent voir l'éminent président et firent des supplications pour
épargner la
vie de ce soldat. Et le président, étant pressé, prit un petit morceau
de
papier et écrivit dessus : "J'accorde la grâce à cet homme", et il
signa, Abraham Lincoln.
Et le
porteur amena le morceau de papier à la prison et dit à l'homme: "Vous
êtes libre."
Et quand
l'homme a regardé, il a dit : "Ça ne me semble pas officiel. Je n'y
crois
pas et je ne quitterai pas cet endroit." Il a rejeté cela parce que
c'était sur un petit morceau de papier et non sur un grand papier avec
en-tête,
ou quelque chose comme cela, de la part du président. Le matin suivant,
l'homme
passa devant le peloton d'exécution comme le disait la sentence. Le
papier
portait donc le nom du président, disant que cet homme était gracié,
mais on
l'a fusillé bien que le président l'ait gracié. Et ce jugement fut
apporté à la
Cour Fédérale. Et voici la décision qui a été prise : la grâce n'est
grâce que
si on l'accepte comme une grâce.
12
Ainsi, Jean 3.16 est une grâce pour tout mortel,
homme ou femme qui est sur
la terre, si on le reçoit comme
une
grâce; mais si ce n'est pas le cas, vous êtes toujours condamné. "Car
Dieu
a tant aimé le monde qu'Il a donné Son Fils unique, afin que quiconque
croit en
Lui ne périsse point, mais qu'il ait la Vie éternelle." Quelle grâce
pour
la race déchue d'Adam! Pour chaque homme ou chaque femme qui veut La
recevoir,
c'est une grâce pour vous et pour moi.
13
Cet amour que Dieu avait... L'amour est une force
puissante. Et quand
l'amour s'élance et qu'il arrive au bout de sa force, la grâce
souveraine
prendra la relève à partir de là et accordera ce que l'amour a demandé.
Si nous
avons un Sauveur ce soir, c'est parce que Dieu a tant aimé le monde que
Son amour,
étant projeté sur le monde, a produit un Sauveur. Dieu voulait
tellement vous
voir en bonne santé que Son amour est sorti et a produit une expiation
pour
votre maladie ainsi que pour vos péchés. C'était l'amour de Dieu qui
L'avait
obligé à le faire.
14
L'amour est une force puissante. Il poussera une
femme, une mère droit dans
le feu pour chercher son bébé, même si elle sait qu'elle se livre à la
mort. Il
n'existe rien de plus fort que l'amour. L'amour vous donne la
confiance. Vous
pourriez aller tout en sachant que vous êtes membre de la plus grande
église de
toutes les provinces du Canada. Vous pourriez aller tout en sachant que
vous
êtes membre fondateur de la plus grande église de la nation. Et ensuite
vous
faites des choses que vous ne feriez pas si vous étiez membre d'une
petite
mission quelque part dans un coin et que vous aviez l'amour de Dieu
dans votre
coeur.
L'amour
ne connaît pas la crainte. L'amour bannit la crainte. Et tant de fois
dans mes
réunions, j'ai remarqué que quand je viens vers les gens... L'une des
plus
grandes choses que j'ai trouvées parmi eux, c'est la peur. Et ce qui
cause la
peur c'est le manque de confiance. Si vous manquez la confiance, cela
vous
donnera la peur. Mais si vous aimez, cela bannit cette peur. Et c'est
comme ça
que Dieu veut que Son Eglise soit, non pas avec beaucoup de membres
fondateurs;
Il veut des membres qui sont loyaux, qui aiment, qui croient et qui ont
confiance en Lui.
15
Par exemple... Ce soir, ma femme assiste à la
réunion, elle se trouve
quelque part dans l'auditoire. Je l'aime de tout mon coeur. Et quand je
me
prépare à aller outre-mer... Eh bien, qu'en serait-il si ma femme si je la saisissais par la
main et disais :
"Ecoute ceci, Madame Branham. Quand je serai parti outre-mer, tu
n'auras
pas un autre mari. Et si jamais j'apprends que tu as flirté avec un
autre homme
pendant mon absence, malheur à toi quand je serai de retour."
Et puis
si elle me saisissait par le col de la veste, et disait : "D'accord,
Monsieur Branham. Mais je voudrais aussi te donner une petite loi. Si
j'apprends que tu sors avec une autre femme, malheur à toi quand tu
seras de
retour. " Maintenant, serait-ce un foyer, ça? Eh bien,
c'est ce que nous avons fait du lieu où Dieu
demeure, une sorte de lois formalistes que nous devons observer.
Qu'est-ce
que je fais quand je vais outre-mer? J'aime ma femme. Et comme je
l'aime, j'ai
confiance en elle. Nous nous agenouillons par terre et nous prions
ensemble,
nous amenons nos enfants autour de nous. Ils prient: "Ô Dieu, prends
soin
de papa. Ramène-le."
Je prie
: "Ô Dieu, prends soin de ma famille pendant mon absence." Je me
relève, je l'embrasse pour lui dire au revoir, j'embrasse les enfants.
Elle dit
: "Billy, je prierai pour toi pendant ton absence." Cela règle la
question. Nous ne pensons plus à cela.
16
Et si j'étais outre-mer… Sous la loi, je sais que
je divorcerais d'avec
elle à mon retour, si
je suis sorti avec
une autre, je serais un homme misérable. Et même si j'étais là-bas(peu
importe
la condition dans laquelle je me trouverais), et que je savais que je
pouvais
la tromper, puis revenir le lui dire, et qu'elle me pardonnerait cela,
malgré
tout, je ne le ferais pas. Pour rien au monde je ne la blesserais. Non,
monsieur, si je savais qu'elle dirait : "Bill, je comprends; je te
pardonne."
Je ne saurais la regarder en face, j'ai trop d'égard pour elle.
17
Et je vous le dis, frère, quand l'amour de Dieu
entre dans le coeur d'un
homme, il va chasser toutes ces choses; vous n'avez pas à vous
inquiéter pour
ce qui est de fumer, de boire, et de courir les cinémas. Quand l'amour
de
Christ entre dans votre coeur, vous ne voudriez rien faire qui puisse
Le
blesser. Vous n'irez pas çà et là, disant : "Ils sont bornés, et ils
sont
comme ceci et comme cela." Laissez simplement l'amour de Dieu vous
saisir
une fois, ces choses mourront. Toutes vos affections sont tournées vers Christ.
Alors, vous avez la Vie
éternelle, quand vous croyez en Lui, quand vous croyez réellement en
Lui, que
vous êtes marié à Lui, et que vous mourez aux choses du monde.
18
Dieu projette Son amour. Et Son amour fait de vous
ce que vous êtes. Oh, il
y a tellement de choses que nous pouvons dire à ce sujet. Je vais
simplement
desserrer mon col (pour ainsi dire) pendant quelques minutes, pour vous
dire,
mes amis canadiens, certaines choses que je garde dans mon coeur.
Excusez-moi
pour cela car, c'est un témoignage personnel, je voudrais vous faire
connaître
quelque chose que je garde dans mon coeur et que j'ai découvert, car ce
moment
me semble très approprié pour cela.
Beaucoup
de gens se demandent ce qui se passe, ils pensent qu'il s'agit d'une
sorte de
mysticisme. Ce n'est pas ça; c'est l'amour. C'est ça la chose
principale, c'est
aimer Christ; non pas simplement dire que vous L'aimez, mais L'aimer
dans votre
coeur. J'ai vu le plus cruel des démons être conquis. J'ai vu des
animaux
sauvages fléchir d'eux-mêmes en présence de l'amour de Dieu. L'amour
bannit la
crainte.
19
Voici... Un témoignage est écrit dans ce petit
livre. Je prêchais sur la
foi un soir à Portland, dans l'Oregon. Et tout à coup, un homme très
grand,
d'environ deux cent cinquante livres [environ 113 kg S N.D.T. ] surgit
dans la
salle. Je pensais qu'il devait s'agir d'un porteur de message jusqu'au
moment
où j'ai remarqué que tout le groupe de prédicateurs (peut-être cent
cinquante
ou plus) avait fui de l'estrade. Et quand il s'est approché en courant,
il m'a
regardé droit en face, a ramené ses grands bras en arrière...
Je ne
savais pas que c'était un fou sorti d'une institution pour malades
mentaux. Et
il venait juste de frapper un prédicateur là dans la rue, il lui avait
brisé la
mâchoire et une clavicule; il l'avait frappé là dans la rue. Et environ
six
mille personnes (que la salle pouvait contenir) étaient présentes,
dehors il
pleuvait à verse.
Et cet homme
courut vers l'estrade, et il me regarda et dit : "Espèce d'hypocrite,
dit-il, vous vous faites passer ici pour un serviteur de Dieu. Je vais
briser
chaque os de votre corps." Je pesais cent vingt-huit livres [environ 58
kg
S N.D.T.]; lui pesait deux cent cinquante livres ou plus, il mesurait
près de
sept pieds [environ deux mètres S N.D.T.], de par sa force, il pouvait
bien
mettre ses menaces à exécution. Je ne savais quoi dire, car
physiquement, il en
était bien capable.
Mais
quand je me suis retourné pour regarder cet homme, quelque chose se
produisit.
Oh, si cela pouvait toujours se produire! Au lieu de me déchaîner et de
chercher à me battre contre cet homme ou d'appeler la police, je l'ai
aimé; je
me suis dit : "Ce pauvre homme ne désire pas me faire du mal. C'est le
diable dans cet homme; il désire me faire du mal. Cet homme est un
homme
qui a probablement
une famille, qui
aime, qui aime manger, s'associer et S et être un citoyen. Mais c'est
le diable
en lui qui fait cela." Je me suis dit : "Ce pauvre frère..."
20
Et il s'est approché de moi et a dit :
"Je vais vous montrer si vous êtes un homme de Dieu ou
pas."
Je n'ai dit mot; je l'ai simplement regardé. Il y eut un silence
absolu. Je
venais juste de conduire deux policiers à Christ là dans le vestiaire.
Ils ont
accouru vers l'estrade pour mettre la main sur cet homme. J'ai secoué la tête à leur intention :
"Ce n'est pas
une affaire d'homme."
Et
l'homme s'est approché jusqu'en face de moi. Et il [Frère Branham
démontre. -
N.D.E.] me cracha en plein sur le visage. Et il dit : "Espèce de
traître.
Je vais briser chaque os de votre corps, je vais bien vous assommer au
beau
milieu de cet auditoire. " Il avait de gros bras... Je n'ai dit mot,
mais
je n'avais pas peur, pas plus que je n'en ai maintenant. C'est cela,
c'est
l'amour. Je n'étais pas allé là-bas par ma propre volonté, c'est Dieu
qui
m'avait envoyé là-bas. C'est à Dieu de prendre soin de moi quand je
suis là. Je
l'ai regardé; je me suis dit : " Pauvre homme."
Et il a
soulevé son gros poing et a amorcé un mouvement pour me frapper; six
mille
personnes étaient assises là, retenant leur souffle. Et quand il a
amorcé le
mouvement pour frapper, j'ai dit : "Satan, sors de cet homme."
D'abord...
J'ai omis une partie. Quand il m'a dit qu'il allait me frapper pour me
jeter
par terre, j'ai entendu ma propre voix lui dire : "Ce soir, vous allez
tomber à mes pieds."
Il a dit
: "Je vais vous montrer aux pieds de qui je vais tomber." Et il a
reculé pour me frapper.
Et j'ai
dit : "Satan, quitte cet homme." Et l'homme leva ses mains en l'air,
ses grands yeux ressortis, sa bouche entrouverte; il virevolta, puis
tomba sur
le plancher; et il coinça mes pieds sur le sol de sorte que le policier
dut le
retourner.
21
N'ayez pas peur. Dieu est toujours vivant. Je L'ai
vu lors d'un défi lancé
par les sorciers guérisseurs en Afrique, et tous ces hindous en Inde.
Ne pensez
pas que le diable ne vous fera pas authentifier chaque centimètre de
terrain
que vous revendiquez. Mais si vous L'aimez, il n'y a plus de peur.
22
Il y a quelque temps, il y a de cela quelques
semaines, au Mexique, on
était censé avoir l'arène, mais on ne nous l'avait pas accordée. Et on
a dû
prendre un très grand terrain où l'on jouait au base-ball ou quelque
chose de
ce genre. Des milliers de gens y affluaient; nous ne pouvions plus
atteindre le
bâtiment ou plutôt l'endroit. On a dû me faire monter sur une échelle
pour
ensuite me faire descendre dans l'arène. Et alors, pendant que je
prêchais là,
cette nuit-làÿ Le soir précédent, une femme était venue là à trois
heures de
l'après-midi, et les gens s'étaient rassemblés depuis neuf heures du
matin. Il
n'y avait pas de sièges pour s'asseoir, ils s'appuyaient les uns contre
les
autres. Et ils ont attendu jusqu'à neuf heures, ce soir-là. Que
feront-ils au
jour du jugement contre ces groupes prétentieux qui ne voudraient même
pas
mettre les pieds à un tel endroit?
Et alors
ce soir-là, monsieur Moore se tenait là, et il pleuvait à verse... Et
monsieur
Moore ne cessait de me dire : "Il y a quelque chose qui se passe dans
la
ligne de prière."
Et un
frère mexicain venu de la Californie, frère Espinosa (beaucoup d'entre
vous le
connaissent peut-être), il distribuait les cartes de prière et essayait
de
garder les gens dans la ligne, mais n'y arrivait pas. Et Billy (mon
fils) est
venu vers moi, et a dit : "Papa, il ne pourra pas maintenir cette ligne
plus longtemps. Il y a une petite femme là, avec le
cadavre d'un bébé qui est mort ce matin, et
elle monte sur ces hommes. "
J'ai dit
: "En bien, Frère Moore, va là-bas prier pour ce bébé."
Et frère
Moore y est allé, et j'ai regardé là devant moi, et la vision de la
résurrection du petit bébé vint. Or, nous ne pouvons pas dire ces
choses sans
que cela soit authentique. Et le petit bébé... J'ai remarqué la petite
maman en
train de crier : "Padre." Le mot "padre" signifie
"père"; elle était catholique. Et quand j'ai dit : "Amenez la
petite dame ici"ÿ et elle avait enveloppé le bébé dans une couverture
qui
était trempée. Je
ne pouvais pas lui
parler, il n'y avait personne pour interpréter. J'ai simplement posé
mes mains
sur le petit bébé et j'ai offert une petite prière à Dieu. Et cette
Bible est
ouverte ici maintenant, Dieu sait que c'est la vérité, le petit
compagnon
poussa un cri et commença à gigoter aussi fortement qu'il le pouvait.
Cela mit
tout Mexico en émoi.
23
Le jour suivant ou la soirée suivante, quand je
suis arrivé là... L'estrade
était aussi large que tout ce
bâtiment, l'espace de la salle, et on y avait empilé beaucoup de vieux
manteaux
et de vieux chapeaux, afin que je puisse prier sur ces chapeaux et
autres
objets semblables, appartenant
aux gens.
En
venant sur l'estrade cette soirée-là, j'ai remarqué un vieil homme au
visage
ridé, c'était la quatrième ou la cinquième personne. Et
comme il venait, il était aveugle, il disait
continuellement quelque chose. L'interprète répétait cela :
"S'approchait-il de l'homme qui allait prier pour lui?"
Il
continuait à dire : "Oui."
Il
fouilla dans la poche de son vieux manteau et fit sortir un chapelet et
commença
à dire quelque chose avec son chapelet. Je lui parlai, disant: "Mettez
cela de côté, frère. Vous n'en avez pas besoin maintenant." Et il
enfonça
cela dans sa poche. Et je l'ai regardé; je me suis mis à réfléchir.
24
Maintenant, pasteurs, voici quelque chose pour
vous. Vous savez, votre
assemblée sait si vous l'aimez ou pas. Vous ne pouvez feindre l'amour;
ça doit
être authentique. C'est comme quand les gens essayent de... Vous
pourriez montrer la
peinture d'un feu à un homme qui
gèle; il ne peut pas se réchauffer avec la peinture d'un feu. Il faut
qu'il y
ait de la chaleur. Et l'amour doit avoir des actions.
25
Et le vieil homme, je commençais à avoir pitié de
lui pendant qu'il se
tenait là. J'ai considéré son vieux manteau en lambeaux. J'ai mis mes
épaules
contre les siennes pour voir si mon manteau lui irait. J'ai regardé ses
pieds;
il ne portait pas des souliers, il avait de grands durillons aux pieds
et
ceux-ci étaient tout poussiéreux sur toute la partie visible, là où les
jambes
de son pantalon en lambeaux lui arrivaient. Mes souliers n'étaient pas
assez
grands pour lui. Et j'ai regardé et je me suis dit : "Ce pauvre vieil
homme n'a peut-être jamais eu un bon repas de toute sa vie."
Oh, le
Mexique est économiquement très pauvre. Un maçon gagne environ huit
pesos par
jour. Il faut environ quatre jours de grand labeur pour s'acheter une
paire de
souliers. C'est Pancho Frank. Qu'est-ce que Pedro fait (Il travaille
pour deux
pesos et il a six ou huit enfants à élever)? Oh, c'est terrible!
Et je me
suis dit : "A part tout cela, la nature encore... Le diable l'a frappé
d'un mal en aveuglant ses pauvres vieux yeux. Combien c'était
douloureux pour
lui!" Et j'ai commencé à entrer dans quelque chose; je n'arrive pas à
exprimer cela. C'était un amour compatissant. Et comme le vieil homme
s'approchait, il posa sa tête sur mon épaule, et j'ai serré dans mes
bras ce
vieux manteau en lambeaux, j'ai dit : "Dieu miséricordieux, s'il Te
plaît,
aide ce pauvre vieux père aveugle. Si mon père vivait encore, il aurait
à peu
près cet âge. Veux-Tu bien l'aider?"
Et je
l'ai entendu crier : "Gloria Dios!" [Gloire à Dieu - N.D.T.] Et
l'homme voyait aussi bien que moi. Les gens se sont mis à crier
partout.
Qu'était-ce? C'était le fait de compatir à la souffrance de sa
condition
d'aveugle. Vous devez faire cela.
26
Si jamais j'ai eu du succès en priant pour
quelqu'un, c'est quand j'ai pu
entrer en communion avec lui, sentir ses infirmités, sentir sa
condition. Alors
quelque chose en vous va au-delà du raisonnement et offre une prière de
la foi
pour le malade. Vous devez avoir de la compassion pour cet homme. Vous
devez
éprouver de la sympathie pour lui. Vous devez partager avec lui sa
souffrance
pour l'aider. Alors vous entrez dans une sorte de profondeur; c'est
l'amour de
Dieu. C'est au-delà de l'amour humain.
Je vais
vous dire quelque chose. Vous pourrez me taxer de fanatique après ceci.
Mais,
je sens que je dois vous le dire quand même. Beaucoup de choses de ce
genre se
passent. Franchement, tout mon ministère est environné de cette chose.
Si je
peux aimer cela ou plutôt compatir à cela...
27
J'ai été garde-chasse dans l'Indiana pendant
plusieurs années, quand
j'étais encore un pasteur baptiste. Un jour, j'étais - j'avais laissé
mon
camion et je traversais un champ. Et j'avais une vieille petite arme à
feu, un
pistolet, un revolver que j'étais censé porter. Et je traversais les
collines
pour voir un ami malade et prier pour lui. Et j'ai ôté cette vieille
petite
arme à feu, et je l'ai jetée sur le siège, puis je me suis engagé dans
le
champ. Et comme je traversais le champ, beaucoup de chênes rabougris
(je ne
pense pas que vous en ayez par ici, des petits chênes rabougris, c'est
comme ça
que nous les appelons là-bas), dans le champ...
J'étais
à environ deux cents yards [Environ 180 m S N.D.T.] de la clôture ou un
peu
plus loin, quand tout à coup surgit un grand taureau. Et je l'ai
reconnu;
c'était ce taureau meurtrier de la ferme Burke, là près du cimetière de
Walnut
Ridge. Quelques mois avant, il avait tué un homme de couleur, il
l'avait tué à
coup de cornes. Et on l'avait vendu là parce qu'il était le fameux
taureau de
Guernesey, un reproducteur. Et on l'avait mis là, et j'avais oublié
qu'il était
dans ce champ. Et il s'est levé, et à pas plus de trente yards [environ
27 m S
N.D.T.] de moi. Et comme il se levait (j'étais nerveux, bien sûr), j'ai
tendu
la main pour prendre l'arme à feu, mais elle n'était pas là. Et je suis
heureux
qu'elle n'ait pas été là. J'aurais tué le taureau et ensuite je serais
allé le
rembourser.
J'ai
tendu la main pour prendre le fusil, il n'était pas là. Alors j'ai
regardé vers
la clôture : elle était trop loin. Il n'y avait pas un arbre quelque
part,
sinon juste de
petits chênes rabougris,
d'environ quatre ou cinq pieds de hauteur [environ 1,20 m ou 1,50 m -
N.D.T.]ÿ
Et il était couché là avec quelque bétail au milieu de ces arbres.
Qu'est-ce
qui allait se passer? Si je lui tournais le dos, il allait m'avoir. Peu
importe
où je pouvais aller, il allait m'avoir. C'était la mort.
28
Alors j'ai pensé à mon Seigneur. "Je ne terminerai
pas ma vie en
lâche. J'ai essayé de dire aux autres d'être braves en temps de
trouble."
J'ai dit : "Je vais marcher vers la mort aussi bravement que possible,
ayant confiance en Jésus-Christ." Ce n'est que cela qui m'est venu à
l'esprit...
Maintenant,
s'il vous plaît, ne pensez pas que c'est enfantin, mais quelque chose
se passa.
Oh, j'aurais souhaité que ça se passe maintenant même. Toujours est-il
que dans
ces cas-là S que quelque chose se passe. Au lieu de haïr ce taureau, il
y eut
quelque chose d'autre; je lui ai témoigné de la sympathie. Je l'ai
aimé. Et je
n'avais pas plus peur de cet animal que je n'en ai en me tenant ici
avec mes
frères. Toute peur était partie. Et je me suis dit : "Pauvre créature,
je
suis sur ton territoire. Tu es un animal; tu ne sais rien d'autre. La
seule
chose que tu saches, c'est défendre
tes
droits."
Et j'ai
parlé à ce taureau en ces termes : "Oh, créature de Dieu, je suis un
serviteur de Dieu. Et je vais prier pour mon frère malade. Je suis
désolé de
t'avoir dérangée. Mais au Nom de Jésus, va te coucher." Et il a
planté ses cornes
dans le sol, soulevant
la poussière; il tomba sur ses genoux et jeta encore de la poussière.
Je me
suis tenu là, aussi calme que je le suis maintenant. Et il courut vers
moi
aussi vite que s'il venait pour charger. Je me suis simplement tenu là, car je n'avais pas peur.
Et quand il est
arrivé à environ cinq pieds de moi, il souleva ses grandes pattes comme
cela et
s'arrêta. Et il regarda de ce côté-ci puis de l'autre, il était si
épuisé, il
se retourna et alla là et se coucha. Et je suis passé à environ cinq
pieds de
lui, et il ne bougea plus.
29
Jésus-Christ, le Fils de Dieu... Quand l'amour
(Lui) est mis à sa place,
cela vaincra chaque ennemi sur la terre ou lors des tourments. Eh bien,
vous
dites : "Frère Branham, j'avais vraiment confiance en vous jusqu'à
maintenant." Bien, permettez-moi de vous dire, frère, que nous
répondrons
tous au jour du jugement. Et le Dieu qui avait pu fermer la gueule du
lion dans
la fosse où était Daniel, est encore vivant aujourd'hui. Certainement.
30
Ma femme va probablement (je ne sais pas où elle
se trouve)... Elle ne...
me fait toujours des reproches parce que je tonds la pelouse sans
chemise. J'ai
environ un demi-hectare là chez S chez moi. Et un jour, je poussais ma
tondeuse; j'avais fait quelques tours, puis quelqu'un est venu pour que
je prie
pour lui. Je me suis éclipsé et j'ai enlevé ma salopette, puis je me
suis
habillé et j'ai couru à l'intérieur prier pour la personne; j'ai fait
peut-être
quelques tours, ce jour-là. Et le gazon de la cour de devant poussait
avant que
je n'arrive à la cour arrière.
Ainsi,
j'étais dans la cour arrière par un après-midi chaud, il n'y avait
personne aux
alentours, personne ne pouvait me voir; j'avais enlevé ma chemise.
Bien, vous
n'avez pas du tout de la chaleur ici. Vous devriez sentir ce qu'il y a
là dans
l'Indiana, sur la rivière Ohio. Et je tondais le gazon aussi vite que
je le
pouvais, j'avais peur que quelqu'un n'entre brusquement, et je n'avais
plus que
quelques tours à faire. Et j'ai oublié qu'il y avait un nid de frelons
là au
coin de la clôture. Et j'ai enfoncé cette tondeuse droit dans ce nid.
Et, mes
amis, Dieu est mon juge, en un instant, j'étais couvert de frelons.
Bon,
tout le monde sait ce qu'un frelon; il vous tuerait. Un seul frelon
peut vous
terrasser, et moi j'étais sans chemise. Et je me tenais là, et quelque
chose se
passa. Je ne sais pas ce que c'était. Quelque chose se passa
simplement; c'est
l'amour. Au lieu de haïr ces frelons, je me suis dit : "Pauvres petites
créatures de Dieu, eh bien, je n'ai rien contre vous. C'est votre
maison et je
vous ai dérangées." Ça semble enfantin. Mais le problème est que nous
essayons d'être des adultes quand nous devrions être des enfants. Nous
prenons
les choses comme si nous étions très intelligents. S'il nous arrivait
une fois
de mesurer notre intelligence à la grâce de Dieu, je me demande ce
qu'il en
résulterait.
Mais dans
ce cas-ci, ces frelons étaient partout
sur moi. Et je n'avais pas peur de ces petits compagnons. J'ai dit :
"Petites créatures, retournez dans votre nid. Je ne vais pas vous faire
du
mal." Et aussi vrai que Dieu est vivant, ces frelons tournèrent autour
de
moi trois ou quatre fois puis retournèrent droit dans leur nid. Cela
est aussi
vrai que je me tiens ici.
31
L'été dernier, M. Mercier qui est ici, M. Goad qui
est aussi ici, et
beaucoup de - de... certaines personnes qui font partie de l'équipe des
campagnes, mais qui ne sont pas avec moi maintenant, nous étions assis
chez
moi, sur les marches de devant. Il y avait une-une fille de couleur...
C'était
dans le journal de ce matin-là, une belle, une ravissante fille de couleur. Elle
avait eu un enfant
naturel. Et elle a pris cet enfant, l'a étouffé dans des couvertures,
l'a enroulé
avec du fil de fer, puis elle a loué un taxi. Et elle est allée sur le
pont
Ohio, a regardé à une certaine distance puis a feint de jeter un paquet
par-dessus, et elle a jeté l'enfant dans la rivière. Le ta-... le
conducteur du
taxi rapporta cela aux autorités; celles-ci ont repêché cela et ont
découvert
que c'était un enfant.
M.
Mercier ici présent ainsi que M. Goad, je les appelle mes étudiants
ministres.
Si seulement vous saviez qui ils étaient, l'un était catholique et
l'autre (je
crois) était un technicien de machines à vapeur. Et ils se sont
constitués en
un petit F.B.I. pour découvrir si ces visions étaient vraies, et ils
sont venus
dans la ville, se faisant passer pour ce qu'ils n'étaient pas. Et le
Seigneur
leur a révélé cela juste là. Et ils sont devenus mes amis. Et ils
étaient assis
sous le porche et je les enseignais. J'ai dit : "Cette femme n'est pas
une
mère. Une mère ne ferait pas une chose pareille. Non, monsieur." J'ai
dit
: "C'est une femelle qui a donné naissance à un enfant, mais elle n'est
pas une mère. Une mère c'est un terme plus noble que cela."
32
Et pendant que l'on parlait, descendant la
route... Je ne sais pas si vous
connaissez ici ce que c'est (ces animaux), c'était un opossum. Bon, je
vis à
environ deux cents yards
d'un petit
bois, près de la berge. Il y a trois maisons entre ma maison et les
bois, et
elles n'ont pas de clôture. Ma maison est entourée d'une clôture. Et ce
vieil
opossum est venu au beau milieu de la journée, vers dix heures du matin
(je
crois), et arrivé à la barrière, il est entré. Et j'ai dit : "Cet
opossum
a la rage." En effet, un opossum, tout le monde sait qu'un opossum se
promène la nuit. Quand le soleil se couche, ils sortent pour aller se
promener;
pendant la journée, ils sont pratiquement aveugles. Et voici venir cet
opossum
en pleine chaleur d'été et au beau milieu de la journée; il vint là, et
arrivé
à ma barrière, il est entré.
M. Wood
qui, autrefois, était témoin de Jéhovah et dont l'enfant a été guéri
d'une
paralysie infantile, sa jambe était retournée derrière lui. Il ne sait
même
plus laquelle c'était à moins que sa maman le lui dise. M. Wood a
résilié ses
contrats, a emménagé et est devenu mon voisin, juste pour être avec
moi. Et il
tondait, il m'aidait à tondre la cour. Et un râteau était posé là où je
ratissais le gazon, car il avait poussé.
Et Leo,
Gene et moi sommes sortis dans la cour en courant, et j'ai pris ce
râteau et je
l'ai jeté sur l'opossum pour l'arrêter. Et quand je l'ai fait, il a
commencé à
ronger le râteau. Bon, ça, c'est inhabituel. En effet, d'habitude,
quand vous
touchez un opossum, il (c'est ce qu'on dit) joue à l'opossum; il reste
étendu
là comme s'il était mort. Et pendant qu'il était dans cet état, Mme et
M. Wood
vinrent; Mme Wood est une vétérinaire. Et pendant qu'il était dans cet
état,
j'ai dit : "Oh, je vois ce qui se passe." Les chiens l'avaient eu il
y avait quelques jours, ou une voiture, et elle lui avait écrasé
l'épaule
gauche et elle avait gonflé comme ceci, elle était cassée et elle la
traînait.
Et, c'est un mot affreux à dire, mais les mouches avaient infecté cela
et il y
avait des asticots dedans. Et j'ai dit : "Voyez-moi ça." J'ai dit :
"Cette pauvre vieille créature est en train de mourir, ai-je dit, c'est
ce
qui a fait qu'elle lutte comme cela."
33
Et juste à ce moment-là, le laitier est venu, et
il l'a regardé, et nous
étions tous debout autour de lui. Et l'opossum et le kangourou sont les
deux
seuls animaux qui ont des poches où ils portent leurs petits. Ainsi, le
vieil
opossum avait relâché le muscle qui retenait la S la poche, et neuf
petits
bébés opossum nus, d'environ cette longueur rampaient sur le sol. J'ai
dit :
"Voyez-moi ça. Bon, venez ici, Leo et Gene." J'ai dit : "Voilà
un véritable amour maternel. Ce vieil opossum a plus de qualités
maternelles
que cette femme qui a noyé son bébé. Si elle n'avait plus que trente
minutes à
vivre, elle consacrerait volontiers ces trente minutes à lutter pour
ses
petits. C'est l'amour maternel en elle qui la pousse à agir de la
sorte."
Et
pendant que nous la regardions, Mme Wood a dit : "Frère Branham,
qu'allez-vous faire d'elle?" Elle a dit : "N'allez-vous pas la tuer
maintenant?" Et elle a dit : "Prenez ces petits et tuez-les vite, car
ils ont un museau rond et ne peuvent être nourris au biberon. Vous
devrez donc
les tuer."
J'ai dit
: "Je ne saurai pas le faire."
"Eh
bien, dit Mme Wood, je... Allez chercher un fusil et tuez-le." Elle a
dit
: "Je croyais que vous étiez un chasseur."
J'ai dit
: "Je suis un chasseur, mais je ne suis pas un meurtrier." J'ai dit :
"Je S je ne peux tout simplement pas le faire. C'est une mère, et elle
lutte pour ses petits. Je n'ai pas le courage de faire cela."
Elle a
dit : "Bien, laissez Bank (C'est son mari) faire cela."
J'ai dit
: "Non, je ne peux pas le faire."
Elle a
dit : "Vous n'allez pas me dire que vous allez laisser cette pauvre
créature étendue là et souffrir!" Cette femme avait raison dans son
raisonnement. Elle a dit... Etant vétérinaire, elle savait que la chose
la plus
normale à faire, c'était de les tuer.
Et j'ai
dit : "C'est bien, Mme Wood, mais je ne peux pas le faire."
Elle a
dit : "Vous allez la laisser étendue comme cela?"
J'ai
répondu : "Oui."
Et j'ai
soulevé le râteau et elle est allée jusqu'au seuil de ma porte, puis
elle s'est
effondrée. Nous sommes allés là et nous avons versé de l'eau sur elle.
De temps
en temps, il semblait comme si elle souriait un peu; un sourire à la
manière
des opossums.
34
Ce soir-là, après de longues journées de réunions,
M. Wood a dit :
"Frère Branham, vous avez suffisamment servi aujourd'hui, a-t-il dit,
allons faire un tour." A mon retour cette nuit-là, à vingt-trois
heures,
ce pauvre opossum était étendu là, il était encore étendu là. Il a dit
:
"Eh bien, vous savez, si jamais il devait encore se déplacer, il se
serait
déplacé quand le soleil s'était couché." Ces petits continuaient à
téter
cette mère presque morte...
Je ne
pus fermer l'oeil de toute la nuit. Le
lendemain matin, je suis sorti vers six heures, ce pauvre opossum était
toujours étendu là, couvert de rosée, la patte couverte de mouches. Eh
bien, je
me suis dit : "Je ne puis tuer cette pauvre brave créature", ces
petits continuaient à la téter. Je me suis dit: "Je pense qu'il est
mort." Et je lui ai donné quelques coups avec mon pied; je l'ai vu
bouger
un petit peu; elle vivait encore. Je me suis dit : "Oh! la la!"
Et juste
à ce moment-là, j'ai entendu ma fillette, Rebecca, qui est ici. Elle
sera une
jeune fille spirituelle. Elle a eu sa première vision, récemment, à
l'école.
[ Espace
non enregistré sur la bande - N.D.E.]... fille de onze ans. Elle est
sortie
sous le porche, la petite Rebecca, elle l'a regardée et s'est mise à
pleurer.
Elle a dit : "Papa, c'est une véritable mère, n'est-ce pas?"
J'ai dit
: "Oui." Je lui ai donné un coup avec mon pied. Elle était couverte
de rosée et les mouches à viande étaient toujours sur elle.
Elle a
dit : "Papa, que vas-tu faire de cette mère opossum?"
J'ai
répondu : "Chérie, papa ne sait pas."
Elle a
demandé : "Papa, tu vas la tuer?"
J'ai
répondu : "Papa ne peut pas faire cela, chérie." J'ai ajouté :
"Chérie, tu t'es levée trop tôt (elle avait son petit pyjama)." J'ai
dit : "Rejoins maman au lit." Je l'ai fait donc entrer en chambre à
la hâte. Puis, je suis entré dans le cabinet de travail et me suis
assis.
Et je me
suis dit : "Ô Dieu, combien cette pauvre brave mère opossum a souffert.
Combien elle doit aimer ces petits!" Et pendant que j'étais là, je me
suis
dit : "Eh bien, j'espère que je n'aurai pas à la voir être tuée."
Et
pendant que j'étais là, Quelque Chose m'a dit : "Hier, tu prêchais à
son
sujet. Tu l'as utilisée comme sujet."
J'ai dit
: "C'est exact."
Tu as
dit qu'elle est une véritable mère.
J'ai dit
: "C'est exact."
Il a dit
: "Je l'ai envoyée à ta porte. Et elle s'est couchée
à ta porte comme une dame pendant
vingt-quatre heures, attendant son tour pour qu'on prie pour elle, et
tu n'as
pas dit un seul mot."
J'ai dit
: "Eh bien, je n'ai pas..." Je me suis dit : "A qui suis-je en
train de parler? Suis-je en train de parler à moi-même?" Je me suis
levé
d'un bond. Je me suis dit : "Oh! Est-ce Toi, ô Dieu?"
35
Et je suis sorti sous le porche, et la petite
Rebecca était encore là à
regarder cette mère opossum. Elle était venue droit de la maison. Je
suis sorti
pour aller vers l'opossum. J'ai dit : "Ô Dieu, je sais que Tu connais
chaque fleur. Tu connais chaque passereau. Et il y a cette chose
vraiment
horrible qui est arrivée aux femmes, ce qui est arrivé à cette
ravissante jeune
fille qui a tué son bébé. Et Tu voulais montrer que Tu conduis même les
animaux.
Et elle est venue et est restée étendue à ma porte, attendant son tour
pour
qu'on prie pour elle." J'ai dit : "Je suis désolé, ô Dieu, d'avoir
fait cela." J'ai dit : "Je ne le savais pas, ô Dieu. J'aurais dû le
faire. Mais, ai-je dit, si c'est Ta divine providence, si Tu as cherché
ceci,
si Tu veux que je prie pour cet opossum, je le fais au Nom de Christ.
Viens-lui
en aide, Père, vu que son amour pour ses petits a été si grand." Je me
suis dit : "Ô Dieu, ce que... Voudrais-Tu bien le faire?" Et quand
j'ai dit cela...
Bon, ça
peut paraître étrange. C'est allé partout... J'ai reçu des lettres
d'Afrique,
de l'Inde, du monde entier à ce sujet. L'Associated Press (je pense), a
publié
cela. Et cette pauvre mère opossum s'est levée, elle a mis ses petits
dans sa
poche, a descendu cette allée, marchant aussi normalement que n'importe
quel
autre opossum, avec sa queue en l'air. Arrivée à la porte, elle s'est
retournée
comme pour dire : "Merci, gentil monsieur." Et ayant traversé la
route, elle s'est enfoncée dans les bois, et autant que je sache, ce
soir, elle
est heureuse avec ses petits.
36
Si Dieu a pu avoir de la considération pour un
opossum, combien plus Il
peut vous accorder de la considération quand vous avez produit l'amour
et que
celui-ci a été projeté vers le coeur du Dieu vivant? Si Dieu...
Uniquement par
instinct, cet opossum n'avait pas d'âme; c'était un animal muet. Et si
cela a
pu se faire de cette façon par instinct, et que le Saint-Esprit a pu
conduire
là une pauvre mère opossum, sachant qu'Il m'amènerait à prier pour cet
opossum
et que sa vie serait épargnée, combien valez-vous plus qu'un opossum?
Qu'est-ce
qui a fait que vous êtes venus ici ce soir pour qu'on prie pour vous?
Ma
question c'est de savoir où en est votre âme avec Dieu.
[ Espace
non enregistré sur la bande - N.D.E.] Je crois que ce sera le cas.
37
Il n'y a pas longtemps, là, j'étais absorbé par un
grand cas en rapport
avec M. Krause des Hommes d'Affaires Chrétiens du Plein Evangile;
beaucoup
parmi vous le connaissent. C'est un très grand ami à notre très
honorable et
bien-aimé frère Oral Roberts. Et ainsi, quand... M. Krause était un
très grand
ami d'Oral Roberts. "Oh, a-t-il dit, si jamais quelque chose
m'arrivait,
je suis l'ami d'Oral Roberts." Enfin un jour, M. Krause a contracté une
maladie des reins. Il
est donc allé
dîner avec frère Roberts.
Et frère
Roberts a dit : "Oh, Frère Krause, ce n'est qu'une petite chose pour
Dieu." Il a levé les mains et frère Oral avec cette véritable
(excusez-moi
l'expression, mais...) foi de bouledogue [c'est-à-dire tenace
N.D.T.], lui a
imposé les mains et a dit : "Je réprimande cette chose." Il a dit:
"Ne vous inquiétez pas, Frère Krause; vous allez vous rétablir."
Et frère
Krause a dit : "Je me suis senti vraiment mieux."
Mais
quelques jours après, c'est revenu. Il a dit : "Je suis retourné chez
frère Roberts, a-t-il dit, la même chose avait repris." Il a dit :
"J'ai ensuite pensé que j'irai donc chez William Branham que je
connaissais." Et il a dit : "Il voit
des visions. Je me tiendrai donc devant William Branham;
c'est un cher
ami à moi, et alors, William Branham pourra m'aider."
Il a
donc téléphoné çà et là et a appris que j'étais à Shreveport en
Louisiane. M.
Krause et son épouse ont pris l'avion jusqu'à Shreveport, et ils sont
venus à
la réunion. Et il a dit : "Frère Branham, je n'ai que peu de temps.
Allons
à l'écart, je veux voir ce que le Seigneur me dira."
J'ai dit
: "D'accord, Frère Krause, allons à l'écart." Je suis resté là
pendant quarante-cinq minutes, et le Seigneur n'a rien dit. J'ai dit :
"Je
vais prier, Frère Krause."
Il a dit
: "Si le Seigneur vous montre quoi que ce soit, téléphonez-moi." J'ai
prié pour lui. Il a dit : "Vous savez, je me sens mieux. Je crois que
le
Seigneur m'a guéri sans me révéler la maladie."
J'ai dit
: "Bien, nous sommes reconnaissants à Dieu."
38
Ainsi, ce soir-là, étant un cher ami à frère
Krause, j'ai prié pour lui,
j'ai prié pour lui continuellement. Et environ quelques semaines après,
il est
revenu. Il a dit : "Tenons-nous dans la Présence du Seigneur, et voyons
ce
qu'Il me dira. Je suis dans un état critique." Je me suis tenu là
pendant
une heure ou plus, mais le Seigneur ne m'a rien dit.
Alors,
il est donc allé chez le médecin. Le médecin a dit : "Cela me dépasse;
vous feriez mieux d'aller chez Mayo." Il est allé chez Mayo.
Mayo l'a
examiné, et il a dit : "Monsieur, vous avez une chance sur mille de
vivre.
Il faut une opération dans l'immédiat."
Il a dit
: "Eh bien, je la subirai."
39
Et il est sorti, et il a dit : "Je me disais
qu'étant si près de la
mort, je ferais mieux de consulter Dieu." Il a donc dit : "Seigneur,
Tu sais que je T'aime. Et j'ai essayé de tout mon coeur de soutenir
tout ce qui
est correct." (C'est un homme riche.) Et il a dit... Il fabrique des
charrues; il se peut que vous le connaissiez, vous qui êtes du Kansas.
Et il a
dit : "J'ai essayé de vivre correctement, et Tu sais, Seigneur, que je
T'aime. Eh bien, si Tu veux que je rentre à la maison, je suis disposé
à venir.
J'ai vécu beaucoup de jours et je suis disposé à venir. Mais, Seigneur,
si Tu
peux m'utiliser pendant que je suis disposé..." Il a dit : "Je me
suis tenu devant Tes serviteurs, Oral Roberts et William Branham, et on
dirait
que leurs prières n'ont pas pu me
guérir." Et il a dit : "Il se peut qu'il y ait quelque chose que j'ai
fait, et sûrement que Tu l'aurais révélé quand je m'étais tenu là
pendant le
discernement." Il a dit: "Mais si c'est le moment pour moi de venir,
je suis prêt à partir, et je T'aime. Je vais donc à la salle
d'opération, la seule
chance que j'ai."
40
Et les médecins l'ont encore examiné Et ils ont dit : "M. Krause,
êtes-vous sûr de
vouloir la subir?"
Il a dit
: "J'ai prié, et je suis sûr de vouloir la subir." Ils sont donc
entrés dans la salle d'opération. Et il a dit que la dernière chose
dont il se
souvient, c'est qu'il disait : "Seigneur, si c'est Ta volonté pour moi,
je
T'aime, Seigneur. Je T'aime, Seigneur." Et ils l'ont endormi. Et quand
il
est revenu à lui-même, la salle entière commença à s'éclairer. Et il a
vu les médecins
se tenant tout autour.
41
Et ils se sont rués vers lui, et ils ont dit :
"Monsieur Krause,
quelque chose est arrivé. Nous n'avons jamais vu une opération aussi
parfaite.
Et nous pensions que vous alliez mourir, mais tout à coup, vous étiez
normal." Qu'était-ce? Quand l'amour divin a été projeté, la grâce
souveraine est venue prendre place. Elle le doit. [ Espace non
enregistré sur
la bande - N.D.E.]
42
Pourquoi êtes-vous venus ici ce soir pour qu'on
prie pour vous? Ma question
c'est où en êtes-vous avec Dieu? Inclinons la tête juste un moment.
[ Espace
non enregistré sur la bande - N.D.E.]... tranquilles juste un moment.
Je vais
faire quelque chose qui... ou plutôt essayer quelque chose, Dieu
voulant. Je
vais Lui demander... Je vais vous demander ce soir... J'ai dit à Billy
de ne
pas distribuer de cartes de prière. Nous avons déjà distribué les
cartes de
prière, nous n'allons plus en distribuer ce soir, comme nous en avons
l'habitude. Mais je vais demander à ceux qui ont des cartes de prière
de rester
tranquilles une minute.
43
Bon, je vais demander à notre Père céleste, si
nous avons trouvé grâce à
Ses yeux, de bien vouloir Se mouvoir sur cet auditoire maintenant, et
de guérir
les malades sans que vous ayez à venir ici. Je crois qu'Il le fera. Je
Lui
demande de le faire sur base du mérite de Sa Parole, sur base du mérite
de ces
gens qui viennent à Christ. J'ai fait de mon mieux, au mieux de ma
connaissance. Immédiatement après la réunion, je vous demanderai de
venir à
l'autel pour prier un moment. Chaque
soir nous avons été en retard, et je vous demanderai d'être
respectueux, de
prier et de regarder dans cette direction-ci. Et si Christ, la Personne
dont
j'ai parlé, l'Expiation de Dieu, s'Il Se tenait ici à cette chaire...
Et la
Bible dit qu'Il est le Souverain Sacrificateur qui peut compatir à nos
faiblesses. Combien savent que la Bible dit cela? C'est juste.
Eh bien,
quand une femme L'a touché, quand Il était ici sur terre, Il S'est
retourné et
a demandé : "Qui M'a touché?" Et Il a continué à parcourir l'auditoire
des yeux jusqu'à ce qu'Il trouve cette femme, et Il lui a révélé sa
maladie et
lui a dit que sa foi l'avait guérie. Est-ce juste? La Bible dit qu'Il
est le
même hier, aujourd'hui et pour toujours. C'était cela le signe du
Messie dans
la Bible, quand Il était ici, car Il a accompli ces choses chez les
Juifs, chez
les Samaritains, chez les Gentils et tout. Combien savent que c'est la
vérité?
C'était le sceau de Sa qualité
de
Messie.
44
Bon, accordez-moi votre attention, s'il vous
plaît, juste un moment. Vous
tous, croyez; soyez tous attentifs; vous tous, croyez; regardez à
Christ, dites
: "Seigneur Jésus, je suis dans le besoin."
Et nous
sommes dans un jour où j'ai pitié des gens. Quelqu'un dira: "Voici le
chemin." "Voilà le chemin." "C'est nous qui avons la
vérité." "Nous avons..." Ces pauvres gens ne savent où aller.
Les Américains et les Canadiens sont les gens les plus embrouillés du
monde (c'est vrai),
les plus embrouillés
du monde. S'il y a un endroit où les missionnaires sont à leur place,
ce n'est
pas en Afrique, c'est sur le continent Nord-Américain.
Je suis
sûr que si frère Thoms est ici, il pourrait presque répondre pour dire
que
c'est vrai. C'est juste. Qu'en pensez-vous, Frère Thoms? C'est juste.
S'il y a
un endroit où l'on a besoin de missionnaires, c'est bien ici.
45
Maintenant, je ne dis pas ceci pour dénigrer. Je
dis ceci avec révérence et
respect. Mais il est plus difficile de traiter avec un païen instruit
qu'avec
un païen non instruit. Et que signifie
le mot païen?
Incroyant. C'est juste. Une personne qui est intelligente et qui se
suffit, on
ne peut traiter avec elle. Une personne qui sait qu'elle ne connaît
rien, elle
connaîtra Christ en quelque temps si vous lui parlez. C'est juste. Elle
ne
cherchera pas à comprendre. Elle croit tout simplement, un point c'est
tout.
Des dizaines de milliers viennent en une seule fois.
46
Maintenant, regardez dans cette direction-ci. Je
ne prendrai plus de temps.
Je sens que le Saint-Esprit est ici. Dieu est toujours ici, mais je
sens que Sa
Présence est ici. Maintenant, dans cette salle, spécialement dans cette
salle
où je peux voir distinctement, car j'ai prêché durement... Et dans cette salle, si le Saint-Esprit
peut venir dans
cette salle et accomplir ici même, depuis cette estrade, les mêmes
miracles
qu'Il avait accomplis quand Il était sur terre, combien diront : "Cela
augmentera ma foi et me rendra heureux." Maintenant, nous n'allons même
pas... Nous voulons des gens de la salle, partout, où que vous soyez.
Maintenant, soyez simplement respectueux et restez assis tranquillement
juste
un moment.
Je
désire simplement regarder de ce côté et prier. Maintenant, je n'ai
aucun moyen
au monde... Je... si quelqu'un veut bien venir ici... Si cet homme veut
bien se
lever et dire : "Frère Branham, qu'est-ce qui ne va pas..."
Si ma
mère était couchée ici et disait : "Billy, qu'est-ce qui ne va pas en
moi,
chéri? Je t'ai allaité quand tu étais un bébé. J'ai pris soin de toi.
Je t'ai
nourri. Chéri, quel est mon sort?" Je ne le saurais pas. Dieu devrait
me
le dire pour ma pauvre mère. Je n'ai aucun moyen de contrôler cela.
C'est la
grâce de Dieu qui fait cela, la même grâce de Dieu.
47
Mais vous êtes malades, beaucoup d'entre vous ici.
Et je... Dieu veut vous
guérir. Et Il l'a déjà fait; Il veut simplement que votre foi y croie.
Maintenant, essayons d'aller d'un côté ou de l'autre de l'auditoire.
Regardons
de ce côté-ci. Et maintenant vous qui êtes de ce côté-ci, mettez-vous à
prier
et dites simplement : "Ô Dieu, aie pitié de moi", et priez. Et je vais
observer. "Comment faites-vous cela? Que voyez-vous, Frère Branham?"
Quelque chose est en train de se produire.
Il n'est pas nécessaire de l'expliquer; mais c'est cet
Esprit que vous
voyez sur cette photo; c'est scientifique. Si ce soir c'est mon dernier
message, rappelez-vous, ma parole
est la
vérité. En effet, la Bible dit que c'est la vérité; mon ministère
prouve que
c'est la vérité; c'est le Saint-Esprit qui est dedans; et le monde
scientifique
sait que c'est la vérité. Il y a donc trois témoins. Puisse le Seigneur
nous
donner ici trois témoins ce soir, au moins trois personnes. Si Dieu le
fait,
j'en serais heureux : trois personnes.
48
Maintenant, priez et soyez très respectueux. Où que vous soyez dans ce
bâtiment, ça
importe peu. Tout au fond, où que vous soyez... Vous voyez, il y a
beaucoup
d'esprits; tout est un con-... chacun de vous est un esprit; chacun de
vous est
un esprit. Si vous ne l'étiez pas, vous ne seriez pas ici. Bon, tenez.
J'espère
que l'auditoire me regardera cette fois-ci; suivez, maintenant.
Voyez-vous ce
cercle de Lumière, cette petite Lumière qui tournoie là, qui Se tient
juste
ici, juste entre ici et là où cet escalier descend, là? Eh bien, c'est
la
Lumière qui est sur cette photo. Eh bien, Elle vient d'apparaître
maintenant.
Je dis dans la Présence de Celle-ci et devant ma Bible, et devant le
Créateur
des cieux et de la terre, je crois que c'est la même Lumière, la
Colonne de Feu
qui avait conduit les enfants d'Israël. Je crois que cette Colonne de
Feu a été
faite chair et a habité parmi nous sous la forme du Fils de Dieu,
Jésus-Christ.
Je crois, conformément à Sa Parole, que Jésus a dit étant sur terre :
"Je
viens du Père et Je retourne au Père."
Et je crois que quand Il est retourné, Il est retourné à
cette même
Lumière qui avait conduit les enfants d'Israël. Je crois que c'est la
même
Lumière que Paul avait vue sur son chemin et qui lui paraissait si
éblouissante
qu'Elle l'a jeté par terre, bien que ceux qui étaient avec lui
n'avaient pas vu
cette Lumière.
Je ne
sais pas si quelqu'un La voit ou pas; je ne pourrai le dire. Je crois
que c'est
la même Lumière qui était entrée dans la prison cette nuit-là chez
l'apôtre
Pierre. Et il croyait rêver quand les portes de la prison se sont
ouvertes pour
le laisser sortir. Et je crois vraiment que le Dieu Tout-Puissant est
le
Créateur des cieux et de la terre, et Jésus-Christ, Lequel est présent
maintenant, est Son Fils.
49
Et Il est en train d'exaucer la prière d'une
petite dame assise ici même,
là au-dessus de cette petite dame blonde. C'est une petite femme aux
cheveux
noirs, et elle souffre d'un trouble nerveux. Si vous regardez dans
cette
direction-ci, observez, prêtez attention à ceci... La petite dame qui
jette un
coup d'oeil par-dessus la tête de cet homme-là, juste ici. Vous
souffrez d'un
trouble nerveux, madame, une petite
femme aux cheveux noirs. C'est juste.
Juste à
côté de vous, il y a un homme, et cet homme souffre d'un mal de dos.
Avez-vous
une carte de prière? Vous n'en avez pas? Vous n'en avez pas besoin.
Vous êtes
mari et femme. C'est juste. Levez la main si ces choses qui sont dites
sont
vraies. Je ne vous connais pas. Je ne vous ai jamais vus, vous n'avez
aucun
moyen... C'est vrai, n'est-ce pas? Vous êtes tous deux guéris.
Jésus-Christ
vous guérit. Amen.
50
Ô Dieu, Tu nous as donné - donne-nous-en une
autre. Voici un homme juste
derrière eux; il me regarde. Il souffre de la vésicule biliaire. Votre
nom est
Clarence, n'est-ce pas? Et vous voulez un... Vous n'êtes pas d'ici;
vous venez
d'un endroit appelé Grande Prairie. C'est juste, n'est-ce pas? Eh bien,
votre trouble de la
vésicule biliaire
est terminé, monsieur. Vous pouvez rentrer chez vous et vous porter
bien. Amen.
Vous
dites : "Frère Branham, vous avez cité le nom de cet homme." Quand Il
était ici dans un corps de chair, Jésus-Christ n'a-t-Il pas dit à Simon
que son
nom était Simon, et que le nom de son père était Jonas, et ce Simon a
été
appelé Pierre après cela? Est-ce juste? Il est toujours le même. Amen.
51
Je ne sais pas ce que vous croyez à ce sujet. Pour
moi, le Saint-Esprit est
ici. Seulement, je... Qu'en
pensez-vous,
monsieur assis juste ici? Croyez-vous? Vous souffrez d'une maladie de
la peau,
n'est-ce pas? Si c'est juste, levez la main. Croyez-vous en Dieu pour
la
guérison? Je vais vous dire une autre chose. Dès que j'ai mentionné la
maladie
de la peau, ce bébé-là que porte cet homme a aussi une maladie de la
peau.
Est-ce juste, monsieur? Mettez votre m-... mettez votre main, monsieur, sur
le
bébé. Ô Jésus, le Fils de Dieu, guéris-les tous les deux; je le demande
au Nom
de Jésus. Amen. Je défie votre foi.
52
Tenez! Voilà que cette Lumière est suspendue
au-dessus d'une femme. Elle
souffre d'hypertension; levez-vous. Elle s'appelle Madame Fishbrook.
Vous êtes
de cette ville. Vous habitez sur une rue appelée la 125e rue. Le numéro
de
votre maison est le
numéro 13104. C'est
tout à fait juste. Si c'est juste, levez les mains - levez la main.
Très bien,
rentrez chez vous. Vous êtes guérie, madame. Jésus-Christ vous guérit.
Je défie
votre foi au Nom du Seigneur Jésus, si seulement vous pouvez regarder,
et
vivre, et croire. Soyez respectueux.
53
Qu'en est-il de vous qui êtes de cette région-ci?
Regardez par ici. Ayez
foi et croyez. Dieu ne fait acception de personne. Qu'en est-il de
vous,
l'homme aux cheveux gris assis là, priant si sincèrement : "Seigneur,
que
ce soit moi." Croyez-vous
que Dieu
vous guérira de ce rhumatisme, que vous guérirez? Si c'est le cas,
levez la
main. Très bien, levez-vous. Levez puis baissez les mains. Très bien,
vous
pouvez rentrer chez vous maintenant. Votre foi vous a guéri. Amen.
54
Il y a une femme assise juste au bout du siège là
derrière, elle regarde
droit vers moi en ce moment. Elle a aussi des rhumatismes. Elle souffre
du dos.
Vous croyez, madame, que Dieu va vous guérir? Si vous le croyez de tout
votre
coeur, vous pouvez avoir cela, et rentrez chez vous et portez-vous
bien. Qu'en
pensez-vous? Donnez-y vite une réponse. Eh bien, la dame a manqué sa
guérison,
car cette Lumière est descendue droit ici. Oui.
55
Vous souffrez du coeur, n'est-ce pas, la dame qui
est ici dans la première
rangée, Mademoiselle Farr. Croyez-vous que Dieu va vous guérir? Votre
père,
là-bas, a des problèmes spirituels. C'est juste. Oui oui. Vous non
plus, vous
ne venez pas de cette ville; vous venez des Etats-Unis. Vous venez d'un
endroit
appelé... où il y a des collines, d'une contrée ondulante, montagneuse;
c'est
la Pennsylvanie. Cette ville s'appelle Warren, en Pennsylvanie. Si
c'est juste,
levez la main. Vous êtes guéris, maintenant,
tous les deux. Jésus-Christ vous guérit. Amen.
56
Croyez-vous au Seigneur? Certainement. Croyez-vous
que Sa Présence est ici?
Maintenant, je voudrais que chaque homme ou chaque femme qui a
rétrogradé ou
qui a reçu Christ il n'y a pas longtemps, vienne ici avant que nous
terminions
de prier pour les malades. Venez ici juste une minute pendant que cette
Onction
est ici. Avancez-vous, vous qui avez levé vos mains il y a un instant.
Venez
ici juste un instant à - dans la Présence de Christ, afin que je puisse
demander la bénédiction sur vous. Venez rapidement ici maintenant afin
que nous
puissions en finir avec la prière pendant que le... Venez juste ici
maintenant.
Il y a
une fontaine remplie de sang,
Tiré des
veines d'Emmanuel,
Les
pécheurs plongés dans ce flot,
Perdent
toutes les taches de leur culpabilité.
Avancez-vous
maintenant dans la Présence de Jésus-Christ. Voulez-vous le faire? Très
bien.
Très bien, qui est donc le conducteur des chants? C'est vous, monsieur?
[ Frère
Branham parle au conducteur des chants - N.D.E.] Ne voulez-vous pas
venir
maintenant?
Il y a
une fontaine remplie de sang,
Tiré des
veines d'Emmanuel,
Les
pécheurs plongés dans ce flot,
Perdent
toutes les taches de leur culpabilité.
Perdent
toutes les... de leur culpabilité.
Venez,
ami pécheur, rétrograde, froid, tiède, indifférent. Venez, vous qui
êtes aux
balcons. Nous vous offrons l'occasion de venir maintenant accepter ce
Seigneur
Jésus qui ôte l'aiguillon de la mort.
57
Je sais avec certitude de quoi je parle. Il ne
m'aurait pas laissé faire
ces choses, prouver qu'Il est ici.
Perdent...
Voulez-vous
perdre les taches de votre culpabilité? Venez maintenant sans tarder,
chacun de
vous. Qu'avez-vous, vous les Canadiens? Qu'est-ce qui ne va pas? C'est
une
bonne chose d'être conservateurs, mais ne soyez pas très empesés. Vous
allez
attrister le Saint-Esprit au point de L'éloigner de vous, et vous
n'aurez pas
de réveil. Ecoutez-moi. Je parle au Nom du Seigneur. Brisez
l'entêtement du
milieu de vous, cette... guindée. Agenouillez-vous. Vous savez qu'il
vous faut
la repentance. Je parle au Nom de Jésus-Christ.
58
Oui, monsieur, si vous voulez avoir un réveil,
commencez à ressentir de la
sympathie pour Dieu dans votre coeur. Encore une ou deux douzaines
d'entre vous
doivent être autour de cet autel ce
soir. Et si je suis le serviteur de Dieu, si je suis le prophète de
Dieu, je
parle en Son Nom, et vous savez à qui je m'adresse. Envisagez d'avoir
une place
ici à l'autel. Vous êtes très empesés. Vous feriez mieux de vous mettre
en
ordre avec Dieu, car l'heure vient où vous crierez pour trouver ceci,
mais vous
ne le trouverez pas. C'est AINSI DIT LE SEIGNEUR. C'est Dieu qui parle.
Très
bien. Venez à l'autel. Vous qui êtes indifférent, honte à vous. Alors
que le
Saint-Esprit vient et fait les choses qu'Il est en train de faire au
beau
milieu de vous, vous êtes assis comme un - comme si vous étiez glacé à
mort.
Quittez ce siège et venez à l'autel; repentez-vous ou périssez. C'est
vrai.
Je ne
sais pas pourquoi je dis ceci. Quelque chose me dit de le dire. Je vous
donne
un avertissement. Celui-ci pourrait aussi être le dernier qui vous soit
adressé. Repentez-vous. Peu m'importe l'église dont vous êtes membre.
Si vous
ne vous êtes pas repenti et si l'amour de Dieu n'est pas dans votre
coeur, vous
êtes un pécheur et vous êtes en route vers l'enfer. C'est AINSI DIT LE
SEIGNEUR. Le Dieu même qui discerne les esprits ici et qui leur révèle
leur
état, est en train de parler en cet instant. Je parle au Nom de
Jésus-Christ.
Filez à l'autel et repentez-vous, rapidement, avant que Dieu ne tourne
la page
sur vous et que vous ne soyez condamné pour toujours. C'est AINSI DIT
LE
SAINT-ESPRIT qui est au milieu de nous maintenant.
59
C'est direct, mais c'est Lui. Je ne peux que
parler. Dieu sait que pour
rien au monde je ne
dirais cela de
moi-même. Quelque chose s'est emparé de moi et a dit : "Dis cela." Je
ne fais qu'obéir à Dieu. Pendant que nous chantons un couplet de plus,
chaque
âme accablée par le péché, vous feriez mieux de venir à l'instant même,
car
c'était Lui qui parlait. Il est en train de parler à vos coeurs. Vous
savez
qu'Il est en train de le faire. Si, à ce sujet, il y a quelque chose
dont cette
région a besoin, c'est d'un brisement. Il vous faut un brisement avant
que vous
puissiez être remodelé. Vous êtes allé à l'église si longtemps que vous
êtes
devenu très conservateurs et froids à ce sujet. C'est juste. Il vous
faut vous
repentir. Il vous faut une expérience à l'ancienne mode de l'amour de
Dieu dans
votre coeur. Et rappelez-vous, ma voix vous hantera aussi longtemps que
vous
serez un mortel. C'est vrai. Je parle au Nom de Jésus-Christ. Amen.
Il y a
une fontaine remplie de sang,
Tiré des
veines d'Emmanuel,
Le
pé-...
Permettez-moi
de dire autre chose. Si vous avez quelque chose contre quelqu'un, vous
feriez
mieux d'arranger cela à l'instant même. Cela fait qu'il fasse sombre
dans ce
bâtiment.
...les
taches de leur culpabilité
"Mon
Esprit ne demeurera pas toujours dans l'homme..."
...les
taches de leur culpabilité.
Perdent
toutes les taches de leur culpabilité;
Les
pécheurs plongés...
(Je
crois que je vais me lever directement de mon siège et venir. Si mon
coeur
n'était pas zélé pour Dieu, j'irais à l'autel.)
...
tache de leur culpabilité.
Le
voleur mourant s'est réjoui de voir
Cette
fontaine en son jour;
Et là
puissé-je, bien que vil comme lui,
Laver
tout mon péché.
Laver
tout mon péché,
Laver
tous mes péchés;
Et là
puissé-je, bien que vil comme lui,
Laver
tout mon péché.
60
Mes amis, si le Dieu tout-puissant a parlé de la
manière dont... Je n'ai
pas vu ceci arriver depuis des années. Jamais je n'ai ressenti une
sensation
comme celle que j'ai éprouvée il y a un instant, quand j'ai vu comme
une
obscurité flotter dans ce bâtiment. Quelque chose m'a frappé et ce
n'étaient
plus mes paroles ni
les paroles selon
mon bon vouloir. Dieu sait que c'est la vérité. Il y a quelque chose
qui
cloche. Souvenez-vous bien de cela.
Ecoutez,
mes amis. Je - je ne suis pas le genre qui fait des compromis. Je ne
suis pas
une personne dépourvue de personnalité. Je vous dis la vérité, et Dieu
confirme
que je dis effectivement la vérité. C'est juste. Mais vous devenez
tellement
formalistes que vous laissez Christ dehors. Les gens deviennent tout
simplement
formalistes. Je suis content de voir que vous êtes convaincus. Vos
pasteurs
sont présents. Ne pensez pas qu'ils vont se moquer de vous. Vous
gagnerez dans
le coeur de votre pasteur une place qui ne disparaîtra pas. J'apprécie
un homme
qui a tort, mais qui s'avancera et dira : "J'ai tort."
N'importe quel autre pasteur que Dieu a sauvé
fera la même chose. Il appréciera cela.
61
Je vais demander aux pasteurs de venir ici prier
avec moi, avec le reste de
cet auditoire. Tous les pasteurs, et - et les - les missionnaires, quoi
que
vous soyez, un membre du clergé, avancez maintenant. Venez tout autour ici et prions. Vous
tous ensemble,
approchez d'ici. Tenons-nous autour de ce groupe de gens. Cette réunion
a assez
duré, alors que - alors que de grandes choses devraient se produire. Eh
bien,
les aveugles devraient voir; les sourds... Voici un fauteuil roulant
ici au
milieu de l'allée, et nous n'avons pas encore vu une personne se lever
de son
fauteuil roulant. Eh bien, honte à vous. Il y a quelque chose qui
cloche. Nous
devons faire sortir cette chose d'ici. Dieu veut qu'il y ait un réveil
à
Edmonton. Je sais qu'Il m'a envoyé. J'ai attendu dix ans pour revenir à
Edmonton, et le diable est en train d'essayer de falsifier ce réveil.
Et vous
connaîtrez la vérité. Eh bien, ce que vous pensez à mon sujet c'est -
ne change
rien, mais vous connaîtrez la vérité. Il y a quelque chose qui cloche.
Dieu m'a
envoyé ici pour une secousse et un réveil, et vous serez coupable si
vous
n'entrez pas et ne faites pas tout votre possible.
62
Je ne parle pas des dénominations. Je ne me soucie
pas des dénominations,
n'importe laquelle; elles sont toutes très bien. Allez partout où vous
voulez.
Mais je désire voir un réveil. Dieu veut un réveil. Et ceci pourrait
être le
dernier pour vous. Vous feriez donc mieux de venir maintenant, alors
que vous
en avez la possibilité. Tous, tous sont invités : méthodiste, baptiste,
catholique, protestant, Juif, je ne... bouddhiste, quoi que vous soyez,
nous
vous demandons de venir. Nous vous persuadons de venir à Celui qui a
ôté
l'aiguillon de la mort. Et chaque homme ainsi que chaque femme qui est ici goûtera à la mort,
aussi sûr que vous
êtes assis ici. Et vous ne savez pas quand cela se produira.
63
Et c'est sûr, ce que je dis est la Parole de Dieu.
Personne ne peut mettre
son doigt, sauf reconnaître que ce que je dis est la Parole de Dieu. Et
Dieu
Lui-même descend et confirme : "C'est la vérité."
Et voici
que nous sommes ici, rien ne se passe; ces malades couchés
ici sont
venus pour être guéris. Eh bien, honte à nous. Nous avons besoin d'un
réveil.
Nous avons besoin d'une secousse, d'un nouveau réveil. C'est juste.
Oubliez ces
petites dénominations et ces petites barrières. Rassemblons-nous. C'est
Dieu
qui est en action, et non pas moi; c'est Dieu. Je ne suis qu'un homme.
Je suis
un mortel. Je dois moi-même implorer la miséricorde. Mais, frère, Il
est ici,
Celui qui vous connaît et qui connaît votre coeur. Cette Personne même
qui
connaît votre coeur m'a dit de dire ceci, et je le dis : "Votre sang ne
sera pas sur moi au jour du jugement." Je parle au Nom de Jésus. Je
vous ai
dit la vérité. Dieu est ici. Amen.
Eh bien,
cela prouve que j'étais - que j'étais un... l'Onction du Saint-Esprit
était
ici. Regardez ici ces membres d'église et tout le reste qui connaissent
leur
condition. Ce qu'il nous faut, les amis, c'est un brisement. Déposez
vos
fardeaux ici; mettez-vous en ordre avec Dieu. C'est ce dont nous avons
besoin.
64
Eh bien, vous tous gens de prière, vous qui vous
intéressez à ces gens, si
vous êtes en ordre avec Dieu, levez-vous avec révérence et respect
devant Dieu,
et prions pour ces gens qui sont ici. Amen. Voudriez-vous voir encore
une nuit
de la Pentecôte? Cela dépend de vous.
Le
Donateur de la Pentecôte est ici, le Saint-Esprit. Pécheurs,
repentez-vous;
rétrogrades, mettez-vous en ordre avec Dieu. Levez les mains vers Dieu
maintenant. Adressez une prière à Dieu à votre façon, dites : "Ô Dieu,
pardonne-moi. Aie pitié de moi; viens-moi en aide. Et envoie-nous
l'ancien
réveil du Saint-Esprit."
65
Ô Eternel Dieu, je viens au Nom de Jésus-Christ.
Maintenant, le diable a
été réprimandé; la maladie a été guérie; l'Evangile a été prêché, la
puissance
de Dieu. Eloigne chaque puissance démoniaque de ce lieu d'exhibitions.
Accorde-le, Père. Et démolis chaque mur de séparation; détruis le
dénominationalisme; détruis ce genre d'idéaux. Et fait que le
Saint-Esprit
vienne en ce moment même à chaque coeur comme un vent impétueux, et
qu'Il
remplisse cette immense salle de la puissance qui illumine du
Saint-Esprit et
qui enflamme chaque coeur. Ô Eternel Dieu qui connais les coeurs des
hommes,
qui Te révèles comme une flamme de feu, pardonne chaque péché; ôte les
péchés,
et rends ces gens purs et blancs. Accorde-le, Seigneur.
66
Maintenant, levez les mains, louez-Le. Rendez-Lui
grâces et louanges. Béni
soit le Nom du Seigneur. Satan doit quitter. Amen. Béni soit le Nom du
Seigneur. Gardez les mains levées et louez-Le. Louez-Le. Dites: "Merci,
Seigneur, de m'avoir sauvé." Si vous Lui demandez... Vous avez le droit
de
le faire. Amen. Louez-Le; louez-Le. [ Un ministre parle dans la salle -
N.D.E.]
Croyez cela.
Vous
tous peuples, rendez-Lui gloire,
Car Son sang peut laver chaque
tache.
Je
vais Le louer (Levez les mains vers Lui.),
Je
vais... (Ôtez de vous cette vieille manière d'être, froide et
formaliste)
Louer
l'Agneau immolé pour les pécheurs;
Vous
tous peuples, rendez-Lui gloire,
Car
Son sang a lavé chaque tache.
67
Je veux que vous serriez la main de quelqu'un qui
est à côté de vous. Si
vous avez fait du mal à quelqu'un, allez vers lui et serrez-lui la
main.
"Dieu vous bénisse, frère." Méthodistes, baptistes, partout,
serrez-vous la main. C'est bien. Dites : "Pardonnez-moi, frère, si je
vous
ai fait du mal. Je vous aime. Je - je vous apprécie; vous êtes mon
frère; j'ai
besoin de vous. Je dois vous avoir à mes côtés. Nous sommes tous
frères. Nous
voulons voir Dieu agir."
68
Je crois que si ces gens qui sont dans des
fauteuils roulants et dans des
civières et d'autres choses semblables se mettent à prier maintenant
même, vous
allez voir quelque chose se produire. C'est tout à fait exact. C'est
juste. Oh,
c'est merveilleux! Serrez-vous simplement la main. Maintenant, levons
les mains
vers Lui.
Je
vais Le louer, je vais Le louer,
Louer
l'Agneau immolé pour les pécheurs;
Vous
tous peuples, rendez-Lui gloire,
Car Son sang a lavé chaque
tache.
Je
vais Le louer (Oh, gloire à Dieu!), je vais Le louer,
Oh,
louer l'Agneau
immolé pour les pécheurs;
Vous
tous peuples, rendez-Lui gloire,
Car
Son sang a lavé chaque tache.
69
Que tous ceux qui se sentent nettoyés
complètement, qui sentent que le
Saint-Esprit a fait quelque chose pour eux, lèvent la main vers Lui
comme ceci,
qui sentent que le Saint-Esprit a fait quelque chose. Béni soit le Nom
du
Seigneur. Oh! la la! N'est-Il pas merveilleux? Donnez-en-nous l'accord,
frère.
"N'est-Il pas merveilleux?" Tout le monde, maintenant. "N'est-Il
pas merveilleux?"
Merveilleux,
merveilleux, merveilleux?
Jésus,
mon Seigneur, n'est-Il pas merveilleux?
Les
yeux ont vu, les oreilles ont entendu,
Ce
qui est écrit dans la Parole de Dieu;
Jésus, notre Seigneur, n'est-Il
pas merveilleux?
N'est-Il
pas merveil-... (L'est-Il pour vous? Est-Il merveilleux?
Représente-t-Il la vie
pour vous?)
Jésus,
mon Seigneur, n'est-Il pas merveilleux?
Les
yeux ont vu, les oreilles ont entendu,
Ce
qui est écrit dans la Parole de Dieu;
Jésus,
notre Seigneur, n'est-Il pas merveilleux?
70
Ecoutez. "Les yeux ont vu, les oreilles ont
entendu ce qui est écrit
dans la Parole de Dieu." Qu'est-ce? "Il est le même hier, aujourd'hui
et pour toujours." Je crois que nous sommes prêts pour un réveil, le
croyez-vous? Je crois que nous sommes prêts. Combien vont commencer à
prier,
vont commencer à agir différemment maintenant même? Levez vos mains.
"Je
vais commencer maintenant même; nous allons commencer à agir
sur-le-champ."
S'il y a quelque chose sur votre chemin, ôtez cela. Commencez dès cette
heure
même et voyons un réveil à l'ancienne mode, envoyé de Dieu,
pentecôtiste,
céleste, commencer dans cette ville. Les aveugles voient; les sourds
entendent;
les muets parlent; les estropiés marchent. Assurément. Mais on ne peut
le faire
au milieu de gens froids, formalistes et guindés. Nous devons démolir
nos
différences et entrer dans l'Esprit. Alors vous commencez à voir des
choses.
71
Quand Elie a demandé aux gens de lui jouer de la
musique, ils ont amené un
joueur de harpe, et quand le joueur de harpe a commencé à jouer,
l'Esprit est
venu sur le prophète. Il faut que le Saint-Esprit soit ici avant de
pouvoir
avoir une prophétie et avant que de bonnes choses se produisent. Dieu
vous bénisse.
Oh, combien L'aiment, dites : "Amen." [ L'assemblée dit :
"Amen!" - N.D.E.] C'est bien. Bien. Maintenant, inclinons la tête
juste un instant, et Frère Allcot, s'il vous plaît. Avancez-vous donc,
pendant
que nous congédions l'audience par la prière. Très bien. Dieu vous
bénisse.
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