La Reine De Séba

Date: 58-0313 | La durée est de: 1 heure et 27 minutes | La traduction: Shp
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1          Vous pouvez vous asseoir. Merci, Frère Vayle. Et je suis sûr que personne n’est venu ce soir juste pour être vu. C’est une soirée très affreuse. Et que Dieu bénisse vos vaillantes âmes pour avoir surmonté cette tempête de neige, afin de venir écouter la Parole du Seigneur. Et je crois qu’après que cette vie sera terminée, je vous rencontrerai à un endroit où nous n’aurons plus à braver des tempêtes de neige pour–pour adorer le Seigneur. Maintenant, c’est ce que j’appelle le véritable, le véritable christianisme. Vous ne venez pas juste pour être vus, ni par curiosité par une soirée comme celle-ci. Et je suis sûr que le Seigneur nous bénira dans notre rassemblement de ce soir.

2          Et maintenant, je suis un peu enroué, et je ne prendrai que quelques minutes pour la prédication, et ensuite je vais–nous allons avoir la ligne de prière.

            Et maintenant, vous qui avez des cartes de prière, pendant que nous faisons passer ces lignes de discernement, en prenant quelque part ici et là un petit groupe, pour lequel prier, tenez votre carte de prière, parce que nous allons prier pour tous ceux qui ont des cartes de prière. Gardez donc votre carte de prière. Prions maintenant.

3          Dieu béni, nous Te sommes reconnaissants, et l’adoration de nos coeurs va à Toi, quand nous voyons venir les gens à travers la neige et sur les routes glissantes pour venir T’adorer dans cette réunion. Cela montre, ô Seigneur, que la foi de nos pères est encore vivante. Malgré la prison, ou l’épée, ou des tempêtes, la grande Eglise de Dieu avance. Et nous sommes si heureux d’être membres de ce Corps béni, attendant pour bientôt la Venue de notre Seigneur béni, qui nous recevra dans Son Royaume, dans Sa Présence. Là, nous serons toujours avec Lui.

            Oh! quelles pensées glorieuses et quelle joie inondent nos âmes lorsque nous considérons ces promesses! Et le Saint-Esprit nous rend témoignage qu’elles sont la vérité. Et ainsi, Seigneur, parle-nous ce soir dans Ta Parole, et guéris tous les malades et les nécessiteux qui sont ici. Puisse chacun d’eux recevoir une récompense pour être venu ce soir.

4          Et s’il y a quelqu’un qui n’est pas sauvé, puisse-t-il recevoir cette grande récompense éternelle en étant sauvé de ses péchés.

            Je Te prie, ô Dieu, d’arrêter cette neige, d’envoyer la pluie pour qu’elle l’emporte, afin que nous ayons de bonnes soirées pendant que nous tenons ce réveil en Ton Nom. Bénis nos fidèles qui sont ici, nos frères et nos soeurs, Tes enfants. Comme ils sont venus pour communier autour de la Parole, puissent-ils être protégés sur ces routes glissantes ce soir en rentrant chez eux ; protège-les afin qu’il ne leur arrive aucun mal, aucun danger. Accorde-le, Seigneur, et donne-nous une grande bénédiction.

            Maintenant, nous allons ouvrir la Parole, et personne ne peut L’ouvrir en dehors de Toi. Nous pouvons En tourner les pages, si nous en sommes physiquement capables, mais Toi seul, ô Seigneur, Tu es capable de nous ouvrir les Ecritures ; même si nous La lisons plusieurs fois, Elle sera cachée à nos yeux, à moins que Tu ne L’ouvres. Et nous Te prions de nous ouvrir la Parole, et que nous puissions communier autour d’Elle. Car nous demandons cela au Nom de Ton Fils béni, Jésus-Christ, notre Sauveur. Amen.

5          Dans Saint Matthieu, au chapitre 12, juste un petit passage des Ecritures. Je désire lire le verset 42 et, ensuite, faire un commentaire là-dessus juste pendant quelques instants ; et soyez en prière avec moi.

          La reine du Midi se lèvera, au jour du jugement, avec cette génération et la condamnera, parce qu’elle vint des extrémités de la terre pour entendre la sagesse de Salomon, et voici, il y a ici plus que Salomon.

            Que le Seigneur ajoute Ses bénédictions à la lecture de Sa Parole.

6          Eh bien, les bandes que M. Goad ici présent et M. Mercier ont, ils les produisent à partir des messages enregistrés. Ils en ont des centaines venant de partout dans le pays. Les plus marquants ont été apportés à Chicago, tout récemment. Il y a un–un lot de cinq, si vous voulez les enregistrer, ou plutôt pour vos enregistreurs. Nous avons eu un très bon système de sonorisation et chaque parole était claire. Et ainsi, ils les ont, et ils les vendent à un prix aussi réduit que possible. J’ai commandé une bande auprès d’un certain évangéliste, il n’y a pas longtemps, et la bande m’a coûté neuf dollars. Les jeunes gens, je pense, reçoivent à peu près trois dollars pour une bande. Et c’est encore moins cher que cela, je pense, si vous en achetez par lot. A peu près ce que la bande... un peu plus que la valeur de la bande. Ce que ça leur coûte, en les achetant pour une valeur des centaines de dollars, en une fois. Vous pouvez donc voir mes associés, M. Goad et M. Mercier. Ils seraient heureux de vous rendre ce service.

7          Le passage des Ecritures qui a été lu ce soir... Nous avons lu juste une portion de la Parole infaillible du Dieu éternel. Et Jésus venait juste de leur reprocher la dureté de leurs coeurs, parce qu’ils n’avaient pas cru en Lui. Puis, nous voyons que Lui, là dans la première partie des Ecritures, les gens avaient... dans ce même texte, ou plutôt–ou plutôt dans ce même chapitre, ils L’ont traité de Béelzébul, parce qu’Il accomplissait des signes surnaturels.

            Et si tout le monde savait que Dieu demeure toujours dans le surnaturel! En effet, Dieu Lui-même est surnaturel. Et Ses enfants, qui sont Sa progéniture, ont la nature de leur Père. Ils croient aussi au surnaturel. Si donc ils ne peuvent pas croire au surnaturel, alors l’Esprit de Dieu n’est pas en eux et ne domine pas leur vie.

            Et ces grands hommes cultivés, en ce temps-là, les sacrificateurs et les rabbins, ainsi que les pharisiens, qui étaient des gens d’une très haute culture, des érudits très instruits et raffinés, ne connaissaient que la lettre de la Parole, et ils devaient mener une vie sans reproche, parce que celui qui méprisait la loi de Moïse mourait sur la déposition de deux ou de trois témoins. Et on les lapidait s’ils commettaient quelque chose de faux. Ils devaient donc être un groupe de gens sélectionnés, un groupe d’érudits, un groupe de gens instruits. Mais Dieu ne demeure pas dans tout cela. Dieu demeure dans l’humilité, dans un coeur honnête, dans ceux qui Le recevront. Et ces gens-ci venaient de dire...

8          Maintenant, remarquez, si... quand vous rentrerez chez vous ce soir, lisez ce chapitre 12 de Saint Jean, et vous verrez que ces pharisiens ne se sont jamais présentés là et n’ont jamais dit ouvertement à Jésus qu’Il était Béelzébul. Mais c’est ce qu’ils pensaient dans leurs coeurs, et Lui connaissait leurs pensées. Il percevait ce qu’ils pensaient. Mais eux disaient en eux-mêmes: «Cet Homme est Béelzébul.»

            Et aussitôt, Jésus les condamnait à cause de leurs mauvaises pensées. Et Il a continué de parler de grands signes qui s’étaient accomplis sur la terre. Et avant ceci, Il avait parlé du prophète Jonas.

            Et quelqu’un a dit: «Rabbi, nous voudrions Te voir faire un miracle.»

            Et Il a dit: «Une génération faible et adultère demande un miracle ; il ne lui sera donné d’autre miracle que celui du prophète Jonas. Car, de même que Jonas fut trois jours et trois nuit dans le ventre d’un grand poisson, de même le Fils de l’homme sera trois jours et trois nuits dans le sein de la terre.»

9          Maintenant, arrêtons-nous un petit peu sur Jonas. Eh bien, Jonas avait reçu de Dieu la commission d’aller à Ninive. Et il n’y a rien qui soit juste un hasard ; toutes les grandes roues de Dieu tournent parfaitement. Tout marche exactement tel qu’Il l’avait... sait que cela marchera. Rien n’est un fait du hasard, cela arriva donc. Dieu est omnipotent et omniscient. Il connaît toute chose, et Il a tout pouvoir.

            Ainsi, comme Jonas était en route, il... vers Ninive ou plutôt vers Tarsis, essayant de trouver un chemin plus facile, parce que normalement le navire allait dans cette direction-là, alors peut-être que le Seigneur l’envoyait vers cette ville, à Tarsis plutôt qu’à Ninive. Il s’est dit: «Peut-être c’est par cette voie que Dieu agissait.»

            Dieu n’agit pas toujours par le chemin facile, et avec les choses qui sont à portée de votre main. Des fois, vous devez combattre pour accomplir la volonté de Dieu.

10        Ainsi donc, nous voyons alors notre prophète ce soir, alors qu’il est monté à bord du navire et que survint une forte agitation sur la mer, les gens lui ont lié les pieds et les mains, et l’ont jeté hors du navire. Et Dieu avait préparé pour lui un très grand poisson, et ce dernier avala le prédicateur. Et là, après que le poisson a mangé, tout le monde le sait, quand le poisson a mangé, il va au fond et se repose, les nageoires contre le fond du lac, du ruisseau ou de la mer, ou quel que soit le lieu où il se trouve.

            Donnez à manger à votre petit poisson rouge, puis observez-le. Aussitôt que son petit ventre est plein, il descend directement au fond du bocal, et là, il se repose.

11        Eh bien, cette mer houleuse, et ce prophète rétrograde, les mains liées dans le dos, les pieds liés, dans le ventre du grand poisson, au fond de l’océan... J’ai toujours pensé à ça, quand je vois des gens qui regardent aux symptômes. S’il y a eu un homme qui avait le droit de regarder aux symptômes, c’était Jonas. Considérez sa condition ; il n’y a personne dans cette condition-là ici ce soir. Et il avait... il était rétrograde, en dehors de la volonté de Dieu, les mains et les pieds liés, dans le ventre d’un grand poisson, avec des vomissures tout autour de lui, des algues marines autour de son coup, il reposait au fond de la mer. Et lorsqu’il regardait dans ce sens-ci, c’était le ventre du grand poisson; lorsqu’il regardait dans l’autre sens, c’était le ventre du grand poisson. Partout où il regardait, c’était le ventre du grand poisson.

            Eh bien, personne parmi nous n’est en une aussi mauvaise posture. Et savez-vous ce qu’il a dit? Il a refusé de regarder au ventre du grand poisson. Il a dit: «Ce sont des symptômes trompeurs, de vaines idoles. Observez ce que cet homme a dit, dans cette condition-là. Il a refusé de regarder à la circonstance dans laquelle il se trouvait, et il a dit: «Mais je verrai encore Ton saint temple.» Oh! si seulement nous regardions à cela!

12        Et Jonas savait que lorsque Salomon avait fait la dédicace de ce temple-là, il avait dit: «Eternel, si Ton peuple, où qu’il se trouve, a des ennuis, et qu’il tourne ses regards vers ce saint lieu et prie, alors exauce des cieux.» Et Jonas a placé sa confiance dans la prière de Salomon. Dans ces circonstances-là, et si Jonas, dans ces circonstances-là, a pu placer sa foi dans la prière d’un homme qui était un homme terrestre et qui plus tard a rétrogradé, et dans un temple terrestre qui fut détruit, à combien plus forte raison devrions-nous ce soir, dans les circonstances négligeables où nous nous trouvons, regarder vers ce temple-là où Jésus est assis à la droite de Dieu, avec Son propre Sang, pour intercéder sur base de nos confessions, oui, à la droite de Dieu, pour intercéder. Eh bien, nos petits symptômes ne signifient rien. Oh! combien Dieu veut que nous regardions à ce qu’Il dit!

13        Abraham prit Dieu au mot et appela ces choses qui étaient comme si elles n’étaient pas, comme si elles étaient, parce que Dieu l’avait dit, et il continua de croire cela.

            Oh! si seulement nous pouvions détourner les regards de ces petites afflictions et de petites choses légères que nous avons, ces petits hauts et bas, et ces problèmes ! Ils sont si petits et si insignifiants. Des fois, ils nous sont infligés pour éprouver notre foi.

14        Eh bien, nous allons remarquer... Eh bien, si vous avez déjà lu l’histoire de Ninive, c’était une ville plus importante ou plutôt plus grande que Saint Louis aujourd’hui, avec plus d’un million d’habitants, je pense, avec tous les parages de Ninive. Les gens étaient tellement analphabètes, qu’ils ne savaient même pas distinguer leur main droite de leur main gauche ; et ils adoraient des idoles. Et leur dieu de la mer étant la baleine, voyez-vous comment Dieu a dû leur faire parvenir ce message? Le grand poisson a avalé Jonas et l’a gardé dans son ventre pendant trois jours et trois nuits. Et pendant que tous les pêcheurs étaient là à la mer, ce dieu a vomi le prophète sur la rive. Certainement qu’ils allaient écouter son message. C’était surnaturel, parce que le dieu de la mer avait envoyé son prophète pour prêcher, et ils ont cru le message.

            Et Jésus a dit: «Il en sera de même de cette génération faible et adultère (celle dans laquelle nous vivons maintenant); comme il en était du miracle de Jonas, ainsi en sera-t-il maintenant. »

15        Et, remarquez que le signe qu’Il allait donner à cette génération faible et adultère était celui de la résurrection, le Seigneur Jésus ressuscité, que la terre devait libérer au troisième matin, et Il est ressuscité d’entre les morts et Il est vivant ce soir, juste ici au milieu de nous pour accomplir les oeuvres de Dieu parmi nous. Combien la Parole du Dieu vivant est glorieuse!

            Ainsi, Il a dit: «Et la reine du Midi se lèvera, au dernier jour, avec cette génération et la condamnera, parce qu’elle vint des extrémités de la terre pour entendre la sagesse de Salomon, et voici, je vous dis, il y a ici plus que Salomon.»

16        Eh bien, dans toutes les générations, Dieu a toujours eu Son serviteur et Son prophète ou plutôt Son message quelque part sur la terre. Dieu n’a jamais manqué de témoin. Et dans chaque génération, les gens ont reçu un témoin de Dieu. Et ainsi, lorsque les gens recevaient ce témoin, c’était alors un âge d’or pour cette génération-là. Lorsqu’ils rejetaient ce témoin, alors c’était un âge de ténèbres pour cette génération-là.

            Or, Dieu avait fait une chose glorieuse du temps de Salomon. Et nous le savons tous, en tant que lecteurs de la Parole bénie, que cet âge de Salomon a été considéré comme l’âge d’or d’Israël. Ils ont construit le temple. Le monde entier leur rendait hommage. Et le règne de Salomon était une préfiguration de celui de Christ, le Fils de David.

            Et remarquez, Dieu a donné à Salomon un don de discernement, et toute la nation, toute l’économie d’Israël, tous y croyaient d’un même accord ; partout, dans chaque lieu, sur chaque lèvre, c’était : «Oh! Dieu nous a visités par un grand don.» Et c’est la raison pour laquelle la nation a prospéré.

17        Eh bien, ne serait-ce pas merveilleux aujourd’hui, si nous, peuple de Dieu, nous recevions le Don de Dieu qu’Il nous a envoyé, c’est-à-dire, le Saint-Esprit? Si seulement nous–si toute cette nation, d’un commun accord, acceptait Christ, le Saint-Esprit, le Don que Dieu nous a envoyé, et qu’il n’y avait pas de barrières dénominationnelles entre nous, et que nous étions d’un même coeur, et d’un commun accord, je dirais: «Frère, ce serait une protection meilleure que toutes les bombes que n’importe quel homme de science pourrait inventer.» Nous serions–aurions une protection, et notre protection serait faite de plumes, car sous Ses ailes, nous serions en sécurité au possible, si la nation recevait simplement cela. Mais comment pourrions-nous faire passer le message, quand nous sommes tous divisés, avec des différences d’opinions, des armes braquées les uns sur les autres? Et–et c’est ce qui rend la chose difficile.

18        Maintenant, nous remarquons que lorsque cela commencera à arriver et que toute l’Eglise commencera à témoigner, et que les gens acceptent et croient de tout leur coeur en ce grand don que Dieu leur a envoyé... Eh bien, certainement, les autres nations ont commencé à entendre parler de cela. Et très loin là-bas, au-delà du désert du Sahara, très loin en Ethiopie, la reine de Séba vivait aux extrémités du monde connu de l’époque. Et sans doute, cette petite reine païenne là-bas... Eh bien, elle n’était pas une croyante, elle était une païenne. Et quand elle était... Tout le monde passait par là, et elle entendait parler de ce grand don qui était là en Israël, en Palestine. Les gens s’y rendaient, et les passants racontaient dans toutes les différents coins du pays: «Oh! vous devriez aller en Palestine. Les gens sont tous unis d’un même coeur et d’un commun accord. Et leur Dieu leur a envoyé un grand don, et Dieu a fait de cet homme roi. Et d’un commun accord, ils croient, eux tous.» Oh! ne serait-ce pas un vrai exemple pour l’Eglise aujourd’hui ? « Juste d’un commun accord, ils sont tous d’un commun accord. Et, oh ! leur Dieu accomplit des miracles.» N’est-ce pas une réprimande pour nous aujourd’hui, en tant que nation et en tant qu’église? «Leur Dieu fait de grandes choses au milieu d’eux.»

19        Et, vous savez, chaque fois que quelqu’un passait, en provenance de là, il racontait cela à la petite reine. «Eh bien, la foi vient de ce qu’on entend, ce qu’on entend de la Parole de Dieu.» Et, vous savez, lorsque vous commencez réellement à parler du surnaturel, et d’un Dieu qui est toujours vivant, il se passe quelque chose à ce propos dans chaque coeur humain qui a un tant soit peu de spiritualité; il soupire de regarder derrière ce rideau. Chaque homme est ainsi, parce qu’à l’intérieur de lui, il est un être surnaturel. Il a un–un esprit qui l’anime, qui le fait bouger, parler, penser, et il est un être surnaturel.

20        Et cette petite femme, toute reine qu’elle était, a commencé à manifester beaucoup d’enthousiasme, parce que tout le monde lui disait la même chose. C’est ce qu’il nous faut faire : dire tous la même chose, glorifier Dieu. Qu’il n’y ait personne qui dise: «Eh bien, je suis un baptiste; nous ne collaborons pas avec ceux-là. Oh! je suis un presbytérien ; je ne suis pas un pentecôtiste.» Cela importe peu, la dénomination dont vous êtes membre ou l’étiquette que vous portez, si vous êtes un fils ou une fille de Dieu, vous ne pouvez pas vous éloigner de cela. C’est juste.

21        Je faisais beaucoup d’équitation. Mon père était un cavalier. Je ne suis pas fameux comme cavalier, mais j’ai beaucoup travaillé dans les ranchs durant ma vie. Je travaillais au vieux ranch «Tripod», où je vais bien des fois chasser maintenant, dans le Colorado. Au printemps, lorsque nous sortions là avec le bétail, on dressait un «drift fence» [clôture érigée lors du rassemblement du bétail pour l’empêcher d’aller à la dérive–N.D.T.], qui partait de la forêt Arapaho, et nous gardions le bétail ; la–l’association Hereford faisait paître dans la vallée de la rivière Troublesome, qui est entre le col Berthoud et le col Rabbit Ear; vous ne pouvez l’atteindre qu’après avoir effectué quarante miles [64 km], la rivière Troublesome.

            Et là-haut, à environ vingt-cinq miles [40 km] là-haut, notre ranch était à la source de la rivière. Et toutes les associations conduisaient leur bétail là-haut au printemps. Si on était capable de cultiver une tonne de foin, on pouvait placer une vache dans cette forêt. C’était le quota fixé par la Chambre du Commerce, et il fallait avoir une marque. Et pendant plusieurs jours, j’étais assis là avec mon... Après avoir chevauché pendant plusieurs jours pour conduire le bétail jusqu’à la clôture de séparation, j’observais le garde forestier qui se tenait là, pendant qu’il comptait les bêtes et les marquait, au fur et à mesure qu’elles passaient.

22        Et j’étais assis là, et j’observais les Diamond T passer. J’observais les Lazy R passer, nos Tripod, les Turkey Track juste plus bas que nous. Et, j’ai remarqué, pendant que j’étais assis là, avec ma jambe autour du pommeau de la selle, lorsqu’ils traversaient cette clôture, le garde forestier n’était pas très intéressé par le genre de marque que portait le bétail, parce que cela avait déjà été vérifié. Mais il était intéressé par le genre de sang qu’ils avaient. Rien ne pouvait entrer là à l’exception d’un pur sang Hereford, rien d’autre. L’étiquette de sang, voilà ce qui comptait à la dernière barrière.

            Et je pense qu’il en sera ainsi à la fin du temps ; Dieu ne regardera pas si nous sommes des unitaires, des binitaires, des trinitaires, des quinquénaires, ou quoi que nous soyons; ce sera le Sang de Jésus-Christ, le Fils de Dieu. Il veillera à ce signe de Sang à la fin du voyage. Oh! si seulement nous pouvions être d’un commun accord et respecter le don que Dieu nous a donné!

23        Puis, nous avons aussi remarqué qu’après que cette petite foi fut édifiée, et quelqu’un d’autre, un voyageur qui témoignait, disait: «Oh! vous devriez voir le grand miracle s’opérer. Vous savez, je crois qu’Israël a un véritable Dieu là-bas, puisque toutes nos idoles ne parlent pas. »

            Nous avons beaucoup de théologie, mais ça ne vaut rien. Peu importe combien la théologie est bonne, si elle ne répond pas... Un dieu de l’histoire ne vaut rien s’il n’est pas le même aujourd’hui. Quel bien cela fait-il de nourrir votre canari de toutes sortes de vitamines pour qu’il ait des ailes solides et ensuite le garder tout le temps dans une cage? Cela ne sert à rien. Ce dont nous avons besoin, c’est d’être libres, de sortir afin que nous puissions déployer nos ailes, nos ailes de la foi avec la puissance du Christ ressuscité, et nous envoler au-dessus de ces histoires qu’il y a ici sur terre.

24        Et nous remarquons donc que ces gens ont commencé à créer un désir, au point que, finalement, elle a dit: «Toutes ces choses que j’ai entendues, je crois que je vais aller là-bas m’en rendre compte par moi-même.»

            Voilà ce qu’il faut faire. Ne vous mettez pas là de l’autre côté pour dire: «Eh bien, mon église ne collabore pas avec ça.» Allez de toute façon. C’est ce qu’elle a fait. Elle s’est mise en route, que ces gens fussent des pentecôtistes ou–ou des presbytériens, cela ne changeait rien pour elle. Son coeur avait faim, parce que Dieu la conduisait. Les fils et les filles de Dieu sont conduits par l’Esprit de Dieu.

25        Remarquez cette petite femme. Eh bien, étant une femme, elle avait beaucoup de difficultés devant elle. Eh bien, elle a dit : «Je vais amener suffisamment de nourritures et autres pour rester, et je ne vais pas là-bas juste pour une soirée et entendre les prédicateurs prêcher, et si je n’apprécie pas ce qu’il dit, demain soir, je n’y retournerai pas.»

            Elle avait l’intention de rester jusqu’à ce qu’elle soit convaincue (C’est ce qu’il faut faire), rester jusqu’à ce qu’elle soit satisfaite. Et elle allait examiner cela par les Ecritures pour voir si ce don était vrai ou pas.

            Et remarquez, elle a dit: «Si la chose est correcte, je veux la soutenir.» Elle a amené beaucoup d’or et d’encens. Elle allait faire quelque chose à ce sujet. Si c’était vrai, cela méritait quelque chose. Si ce n’était pas le cas, elle allait ramener son or. C’est ce qu’il faut faire. C’est la vérité.

            Eh bien, je ne suis pas en train de mettre l’accent sur les offrandes, pour les églises et autres, je vous dis simplement que cela ne mérite pas seulement–cela ne mérite pas seulement que vous y consacriez votre argent, cela mérite que vous y consacriez votre temps, votre vie, votre dévouement, et tout ce que vous êtes, si ce don est correct ; votre témoignage, tout ce que vous êtes, le don mérite tout cela, parce que cela vaut ce qu’Il avait pour vous l’apporter.

26        Eh bien, elle s’apprêta. Or, pour commencer, elle était une femme. Eh bien, elle devait traverser un désert. Observez le temps qu’il fallait. Vous savez combien de temps il fallait à un chameau pour faire la traversée de–de l’endroit où se trouvait son palais jusqu’au palais de Salomon? Cela a pris trois mois, trois mois, non pas à bord d’une Cadillac climatisée, mais sur le dos d’un chameau, sous le soleil brûlant. Oh! la la! et certains ici en Amérique ne veulent pas traverser la rue pour voir la chose. Ils ne se sont pas intéressés, mais elle l’était; quelque chose lui rongeait le coeur.

            Oh! Dieu connaît les Siens. «Tous ceux qu’Il a connus d’avance, Il les a appelés. Tous ceux qu’Il a appelés, Il les a justifiés. Tous ceux qu’Il a justifiés, Il les a glorifiés. Nul ne peut venir à Moi, si Mon Père ne l’attire premièrement.»

            Ainsi, vous voyez, l’Evangile peut être prêché dans la puissance et la démonstration de la résurrection, mais les coeurs de gens peuvent être si durs au point que cela ne les intéresse même plus. Voyez-vous la condition du jour dans lequel nous vivons? Mais c’est là que nous en sommes. Je dis ceci parce que j’apprécie ce soir votre sacrifice, non pas en traversant un désert, mais en roulant sur des rues glissantes, et en faisant des centaines de kilomètres sur des routes glissantes. Cela montre que Dieu continue d’attirer les gens. Malgré tout, ils viennent quand même. Le climat ne les arrête pas.

27        Et elle est venue, et elle... Et une autre chose qu’elle a dû faire, rappelez-vous, elle était une femme et elle était chargée d’or ; et les fils d’Ismaël étaient dans le désert, et c’étaient des pillards. Quelle–quelle aubaine ç’aurait été pour eux, avec une jeune femme escortée par quelques gardes, assise sur le dos de chameau, peut-être qu’elle devait voyager le plus souvent la nuit, parce qu’il fait si chaud dans le désert la journée; pas d’eau, juste ce qu’elle pouvait emporter sur le chameau. Oh! elle avait tant de choses à affronter, mais elle était déterminée.

            Et si un homme ou une femme est déterminée, Dieu ira avec cette personne et veillera à ce que la chose arrive, et elle obtiendra ses désirs. Si on a soif de quelque chose, si la profondeur appelle la profondeur, il doit y avoir une profondeur pour y répondre. Avant qu’il y eût une nageoire sur le dos d’un poisson, il devait y avoir premièrement de l’eau pour qu’il y nage. Avant qu’un arbre dût pousser sur la terre, il devait y avoir premièrement une terre sur laquelle il devait pousser.

28        J’ai lu, il y a quelque temps, l’histoire d’un petit garçon qui mangeait les gommes de ses crayons à l’école. Après, sa maman l’a surpris en train de manger la pédale d’une bicyclette, et elle l’a amené à la clinique. Et quand on a examiné le petit gars, il avait une carence en soufre. Le soufre se trouve dans le caoutchouc. Eh bien, avant qu’il y ait un besoin impérieux de soufre, il devait y avoir du soufre quelque part pour répondre à ce besoin impérieux.

            Et tant que vous êtes disposé à conduire à travers une tempête de neige pour venir à Christ afin d’être guéri, il doit y avoir une fontaine ouverte quelque part. Tant que vous avez un besoin impérieux... tant que cette église a un besoin impérieux de plus de Dieu, il y a plus de Dieu quelque part pour répondre à ce besoin impérieux. « La profondeur appelle la profondeur,» comme l’a dit David, «Au bruit de tes ondées.»

            La profondeur appelle... Avant que la profondeur puisse appeler, il doit y avoir une profondeur pour répondre à cet appel, sinon il n’y aurait pas d’appel. Même s’il n’y avait pas une Bible pour me dire que Christ a guéri, en vous voyant ici ce soir dans ces conditions, je dirais néanmoins: «Il y a une fontaine ouverte quelque part.» Certainement.

29        Comme cette petite reine désirait connaître un Dieu vivant, il y avait un Dieu vivant quelque part qu’elle devait trouver. Peu importe les circonstances, elle allait Le trouver de toute façon. Elle a placé tous les biens sur les chameaux : des aromates, de la myrrhe, de l’encens, et des objets de très grand prix, qui ont coûté littéralement des millions de dollars. Aujourd’hui, vous ne pourriez pas les acheter à un prix bien plus, bien plus élevé que celui de l’époque. Cela coûterait des millions pour les acquérir. Elle a néanmoins chargé ses animaux, et elle a mis sa petite caravane en marche, et alors qu’elle a commencé la traversée du désert, toutes ces circonstances... Mais cependant, quelque chose dans son coeur la tirait. Oh! si c’est la vérité! Eh bien, elle est en route, mais est-ce la vérité?

30        Alors quand elle est arrivée, elle n’était pas allée juste pour rester une heure; elle a pris ses chameaux et les a mis à l’écart, puis elle a dressé ses tentes et tout ce qu’elle avait; elle a gardé ses dons avec elle. Elle est entrée dans l’église; ce matin-là, quand Salomon s’est installé à la chaire, et qu’on a commencé à lui présenter des cas, elle s’est émerveillée devant ce grand esprit de discernement. Mais elle a dit: «Je reviendrai demain, quand il siégera.» Et elle est restée, et jour après jour, elle n’a vu cela faillir aucune fois. Dieu peut tout, sauf faillir. Elle a observé cela. Comme c’était parfait! Et alors, quand elle fut absolument convaincue dans son coeur, quoiqu’étant une païenne, elle était absolument convaincue qu’il y avait un Dieu qui était vivant, non pas une idole, mais un Dieu vivant, puisqu’Il oeuvrait dans Sa créature vivante, se manifestant Lui-même [pour montrer] qu’Il était Dieu. Et elle a dit: «Tout ce que j’avais entendu était exact, et c’est même plus que ce que j’ai entendu.» Elle était absolument convaincue. Elle a offert son or; elle a offert ses dons pour soutenir la chose, et pour que cela serve dans le temple de Dieu ; et elle a fait tout ce qui était en son pouvoir pour soutenir la chose.

            Et Jésus a dit: «Elle se lèvera au jugement, avec vous pharisiens qui êtes très bien instruits, et vous condamnera.» Amen. Je me sens religieux en cet instant même, je... Vous ne pensez pas qu’un baptiste crie, vous pourriez...?... Oui. «Elle se lèvera. Elle se tiendra là, au jour du jugement, avec cette génération et la condamnera. Car elle vint des extrémités de la terre pour entendre la sagesse de Salomon, un don de sagesse, de discernement, et en vérité, Je vous le dis, il y a ici plus que Salomon.»

31        Et ce soir... quand les gens L’ont traité de Béelzébul, Il a dit: «Je vous pardonnerai cela, mais quand le Saint-Esprit viendra et fera cela, il n’y aura jamais de pardon pour cela.»

            Je dis alors à Jésus, après Sa mort, Son ensevelissement, et Sa résurrection, que Sa puissance est plus forte et plus convaincante ce soir qu’elle ne l’était autrefois en ce jour-là. Alors que fera cette reine à cette génération-ci? Car ceci est le dernier appel de Dieu, alors qu’Il envoie le Saint-Esprit dans l’Eglise pour appeler Son peuple. C’est le dernier appel de Dieu.

32        Elle n’avait pas peur, elle ne se souciait pas de ce que les anciens diraient à son retour, de ce que les évêques et tous les autres diraient. Elle s’est tenue là en public et elle a dit: «Tout ce que j’ai entendu est la vérité, et c’est même plus que ce que j’ai entendu.» Elle a pris position pour Dieu, et elle a soutenu la chose, et elle est là aujourd’hui, immortelle avec les Paroles de Jésus-Christ qui dit: «Quand elle montera sur la scène à la résurrection, son obéissance envers Dieu condamnera cette génération. En effet, elle a pris position pour ce qui était juste, quand Dieu avait envoyé Son don sur la terre, et que celui-ci se manifestait. Elle est venue des extrémités de la terre pour entendre la sagesse de Salomon.»

33        Il y a quelque temps, de l’autre côté en Amérique centrale, il y a là un–un ministre du nom de–de Daniel Greenfield. Et il s’est endormi une nuit, et il a eu un rêve. Et il a rêvé qu’il était mort, et qu’il avait été enlevé jusqu’aux portes du paradis.

            Et quand il a frappé à la porte, le portier est venu et a demandé: «Qui es-tu, toi qui veux entrer par cette porte?»

            Il a dit: «Je suis Danny Greenfield.» Il a dit : « Je suis le–l’évangéliste américain.»

            Il a dit: «Un instant, monsieur. Je vais voir si je peux trouver ton nom enregistré ici.» Il est revenu, et il a dit: «Tu n’es pas enregistré ici.»

            «Oh! a-t-il dit, il doit y avoir une erreur. C’est sûr que mon nom est là.»

            «Non, ton nom n’est pas enregistré ici.»

            Il a dit: «Eh bien, que dois-je faire?»

            Le portier a dit: «Il n’y a qu’une chose à faire, si tu veux. Tu peux en appeler au Jugement du Trône blanc pour ton cas, si tu veux faire un recours pour ton cas.»

            Et il a dit: «Eh bien, si c’est tout ce que je peux faire, je le ferai.»

34        Il a alors dit qu’il a commencé à se déplacer dans l’espace. Il a dit que c’est comme s’il voyageait pendant quelque temps dans l’espace. Et peu après, il est arrivé à un endroit où il a commencé à faire clair, plus clair, plus clair; et plus il faisait clair, plus lentement il commençait à avancer. Et, finalement, juste au centre de cette Lumière, il s’est arrêté. Il n’y avait aucun endroit précis d’où elle venait, mais juste tout autour de lui, c’était une très grande Lumière, plusieurs fois plus forte et plus brillante que le soleil. Et il a dit qu’il a regardé tout autour, et peu après, une voix très profonde a dit: «Qui es-tu, toi qui te tiens devant Mon Jugement?»

            Et il a dit: «Je suis Daniel Greenfield, l’évangéliste américain. Je suis venu aux portes du paradis, et on m’a demandé de venir ici à Ton Trône de jugement pour que mon cas soit plaidé.»

            Il a dit, la Voix lui a répondu et a dit: «Très bien, Daniel Greenfield, Je vais te juger à Mon Trône de jugement.» Et Il a dit: «J’ai une loi par laquelle tu dois être jugé.» Il a dit: «Daniel Greenfield, n’as-tu jamais dit un mensonge pendant que tu étais sur terre?»

            Il a dit: «Je pensais être un homme sincère, mais dans la Présence de cette Lumière, a-t-il dit, j’ai réalisé que j’avais dit beaucoup de choses qui n’étaient pas correctes.» Et il a dit: «Si, Seigneur, j’ai menti.»

            Il a dit: «Daniel Greenfield, n’as-tu jamais volé pendant que tu étais sur terre?»

            Et il a dit: «S’il y a quelque chose que je pensais être, c’était être honnête. Mais, a-t-il dit, dans la Présence de cette grande Lumière, j’ai vu beaucoup de petites transactions louches que j’avais faites.»

35        Ecoutez, mes amis, vous pourriez penser être en ordre maintenant, mais dans la Présence de cette Lumière, ce sera différent. Ce sera certainement différent. Vous pourriez être un bon membre d’église; vous pourriez vous habiller correctement; vous pourriez aider les pauvres. Cela pourrait être très bien, mais, oh ! dans la Présence de cette Lumière, ce Jugement du Trône blanc...

            Et alors, la Voix a dit: «Daniel Greenfield, as-tu été parfait dans ta vie?»

            «Oh! a-t-il dit, non, Seigneur, je n’ai pas été parfait.» Et il a dit qu’il s’attendait à entendre une grande voix tonnante venir du–de quelque part, et dire: «Eloigne-toi donc de Moi.» Il a dit que ses os ont commencé à se disjoindre, pour ainsi dire, et il tremblait, sachant que dans quelques minutes, il sombrerait dans l’enfer du diable et y resterait pour toujours.

            Et il a dit: Pendant que je faisais face à cela et que je m’attendais à entendre cette Voix, a-t-il dit, j’ai entendu une Voix derrière moi; c’était la Voix la plus douce que j’aie jamais entendue de toute ma vie.» Il a dit: «Elle était plus douce que n’importe quelle voix de mère que j’aie jamais entendue.» Et il a dit: «Quand je me suis retourné, j’ai vu le visage le plus doux que j’aie jamais vu.» Et il a dit: «Il m’a entouré de Son bras, et Il a dit: ‘Père, c’est vrai; Daniel Greenfield n’a pas été parfait dans sa vie, mais il y a une chose qu’il a faite: quand Ma gloire a été révélée, Daniel Greenfield a pris position pour Moi sur la terre. Maintenant, Je prendrai position pour lui ici au Ciel.’»

36        Ô Dieu, que cela soit ma défense ce soir. Que je prenne sa défense comme l’a fait la reine de Séba malgré les critiques. Que je prenne position pour Lui et Le soutienne, car en ce jour-là, je n’aurai aucun mérite, je me confierai seulement en Son mérite à Lui.

            Si vous mourez ce soir, qui vous défendra là-bas? Pensons à cela juste un moment, alors que nous inclinons la tête.

37        Ami pécheur, Jésus pourrait-Il prendre votre défense ce soir? Rétrograde, vous membre d’église qui n’avez jamais reçu le Don de Dieu, le Saint-Esprit, vous en avez honte parce que votre église ne l’enseigne pas. «Celui qui aura honte de Moi devant les hommes, J’aurai honte de lui devant Mon Père et les saints anges.» Ne cherchez jamais à vous en tenir aux enseignements d’un mortel. Ne cherchez jamais à vous en tenir à cet esprit que vous avez ; il a été condamné depuis le jardin d’Eden. L’église n’a pas besoin d’un remodelage, elle a besoin d’une naissance. Vous devez naître de nouveau. Et si vous n’avez pas reçu cette bénédiction de la nouvelle naissance, et que vous ne soyez pas sûr d’être passé de la mort à la Vie, je vous demanderais de bien vouloir... avec la tête inclinée, de bien vouloir lever la main et dire: «Christ, par ceci, je Te promets que, par Ta grâce, je prendrai désormais position pour Toi à partir de ce soir.»

            Voudriez-vous lever la main, partout dans la salle. Que Dieu vous bénisse, madame. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse, monsieur. Que Dieu vous bénisse, là derrière. En haut au balcon, le long des rangées, là derrière dans les gradins. Quelqu’un là-haut? Levez simplement la main. Dites: «Frère Branham, priez pour moi.»

38        Il nous faut écourter ceci maintenant, parce que c’est le temps de commencer la ligne de prière, mais j’aimerais voir s’il y a quelqu’un qui voudrait lever la main, ou plutôt s’il y a quelques-uns de plus qui diraient: «Je n’ai pas mené une vie correcte.» Que Dieu vous bénisse, monsieur.

            «Je sais que j’ai–j’ai vu bien des fois que j’ai dénigré, alors que j’aurais dû soutenir Jésus. J’ai pris la place du pharisien, de quelqu’un de religieux qui, un jour, a dit: ‘Fais mourir cet homme, et donne-nous Barabbas.’ L’Homme qui n’avait fait que remplir le pays d’amour, de signes, de miracles et de prodiges... mais [ils criaient] : ‘Fais-Le mourir !’»

            «Lorsque les gens ont voté pour ce réveil, j’avais effectivement levé la main pour m’opposer à cela, mais maintenant je vais changer cela. Je vais lever la main vers Dieu pour dire : ‘Sois miséricordieux envers moi.’ »

            Que Dieu bénisse ces petits amis là-haut, ces enfants de dix, douze ans, juste au moment crucial. Très bien. Quelqu’un d’autre? Levez simplement la main, dites: «Souvenez-vous de moi, Frère Branham.»

39        Vous direz: «Est-ce que cela fait du bien de lever la main?» Absolument. Que Dieu vous bénisse, monsieur. Que Dieu vous bénisse, madame. C’est bien. Qu’est-ce que cela fait? Cela fait passer de la mort à la Vie, si vous êtes sincère. Que Dieu vous bénisse, monsieur, par ici. Je vous vois aussi, vous, madame, là à gauche. Que Dieu vous bénisse, là derrière, derrière les gradins. Vous à côté, monsieur, juste sur cette ligne-là, Dieu vous voit. Qu’est-ce que cela signifie? Qu’a dit Jésus? «Celui qui écoute Mes Paroles, et qui croit à Celui qui M’a envoyé, a la Vie Eternelle et ne viendra point en jugement, mais il est passé de la mort à la Vie.»

40        «Qu’est-ce que le fait de lever ma main fait, Frère Branham?» Eh bien, la–la science nous dit que la pesanteur garde votre main baissée. Il est impossible de prouver scientifiquement que votre main peut se lever, d’après la loi de la pesanteur. C’est ce qui vous maintient au sol. La pesanteur vous garde ici. Elle garde votre main baissée. Qu’est-ce qui a fait lever votre main? Cela montre qu’il y a quelque chose en vous, un esprit de vie, qui a pris une décision. Et vous savez que vous avez tort, parce que l’Esprit de Dieu a parlé en vous. Et vous levez la main vers votre Créateur pour reconnaître que vous avez tort, et vous implorez Sa miséricorde. Vous défiez juste là chaque loi scientifique. Vous brisez la loi de la pesanteur, parce qu’il y a quelque chose de surnaturel en vous qui vous pousse à lever la main et à prendre une décision pour Christ.

41        Voudriez-vous le faire? Quelqu’un d’autre qui ne l’a pas encore fait, juste avant que nous ne priions? Que Dieu vous bénisse là derrière, soeur. Que Dieu vous bénisse ici, mon frère. Que Dieu vous bénisse aux balcons. Oui, c’est juste. Là-haut, et le long des rangées, Dieu voit votre main, frère, soeur. Certainement qu’Il la voit. Lorsque vous vous tenez là en faisant cela, vous prenez position pour Christ. Lorsque vous levez la main, vous déclarez absolument devant Dieu que vous êtes sincère. Et qu’est-ce? Un Esprit, juste à côté de vous, au-dessus de vous, vous parle et vous dit: «Qu’as-tu fait pour Moi?»

            Qu’arriverait-il si vous mourriez d’une crise cardiaque ce soir? Qu’arriverait-il si vous étiez couché sur votre oreiller et qu’en vous réveillant, vous sentiez vos mains devenir froides? Vous appelleriez le médecin à grands cris ; il viendrait et dirait: «C’est une crise cardiaque, il est mort.» Et vous sentiriez votre poul se glacer, et votre femme, votre mère, vos enfants, qui que ce soit, se mettraient là à pleurer sur vous. Vous aurez à ce moment-là refusé de prendre position pour Christ ; qui prendra position pour vous alors? Oh! mon précieux ami, prenez position pour Lui. Prenez vaillamment position maintenant, en disant: «Oui, Seigneur Jésus, je prends maintenant position pour Christ, je me tiens sur le Roc solide; tout autre terrain, c’est du sable mouvant.»

            «Je sais que je ne suis pas encore né de nouveau. Je sais que je n’ai pas encore fait la paix avec Christ, et j’aimerais le faire maintenant, et que Dieu soit miséricordieux envers moi.» C’est bien. Que Dieu vous bénisse. Prions.

42        Dieu bien-aimé, Toi qui as ramené le Seigneur Jésus en Le ressuscitant, et Il apparaît devant nous ici chaque soir, pour nous montrer que le signe qu’Il avait promis, comme Jonas qui était dans le sein de la terre, de même le Fils de Dieu sera dans le sein de la terre ou plutôt Jonas dans le ventre d’un grand poisson, et le Fils de Dieu dans le sein de la terre.

            Il est ressuscité des morts. Il est ici maintenant. Sois miséricordieux envers nous, Seigneur. Nous T’aimons, et nous sommes Tes enfants. Beaucoup de mains se sont levées. Tu as dit, ce sont Tes propres Paroles: «Nul ne peut venir à Moi, si Mon Père ne l’attire. Et tous ceux qui viendront à Moi, Je leur donnerai la Vie Eternelle et Je les ressusciterai au dernier jour.» C’est là Ta Parole, ô Jésus.

43        Maintenant, la prédication de l’Evangile... Voilà le trophée du message. Ils ont levé la main, et maintenant, ô Dieu, Toi qui les as appelés et qui les as attirés pour les présenter maintenant à Ton Fils comme les dons d’amour, maintenant, ils sont devenus des dons de l’amour de Dieu à Son Fils, afin qu’ils soient membres de Son Eglise; remplis-les du Saint-Esprit, ô Seigneur. Déverse sur eux Ton Esprit divin. Fais d’eux de vaillants soldats afin qu’ils prennent position pour Toi, ici en ce jour-ci. Et je suis sûr que dans la Vie qui est à venir, Tu prendras position pour eux, lorsque la rivière froide de la mort se dressera devant eux et que les vagues du vieux Jourdain commenceront à déferler contre leurs âmes. Ils pourront crier à la rive, disant: «Envoie le bateau de sauvetage, Père,» et deux luisantes ailes du Saint-Esprit descendront au-dessus du Jourdain houleux et porteront leurs âmes jusque dans le Royaume de Dieu, en traversant au moyen de la Croix.

            Ô Dieu, accorde-le à présent. Je Te les présente comme fruits du message. Au Nom de Jésus. Amen.

44        Soeur, donne-nous un petit accord de Il y a une fontaine remplie de sang. Oh! prenons un autre cantique : Ma foi regarde à Toi. Voudriez-vous nous donner cet accord? Combien connaissent ce vieux cantique? Eh bien, combien se sentent très bien? Ne... juste récurés; ne sentons-nous pas que le Saint-Esprit est juste ici à l’intérieur et qu’Il nous a récurés? Vous sentez-vous bien? Levez simplement les mains. Oh! c’est merveilleux.

            Maintenant, la prédication, c’est tout ce que nous avons. Nous devons nous poser la question. Mais Dieu est ici pour confirmer exactement ce qu’Il a promis. Très bien. Ma foi regarde à Toi. Un couplet.

            Ma foi regarde à Toi,

            Toi, Agneau du Calvaire,

            Sauveur divin!

            Maintenant, écoute-moi pendant que je prie,

            Ôte tous mes péchés,

            Oh ! laisse-moi dès ce jour

            Être entièrement à Toi!

            Maintenant, très doucement, fredonnons cela. Levez simplement la main.

                 Quand dans le labyrinthe sombre de la vie je marche,

                 Et que les chagrins m’environnent,

                 Sois mon guide ;

                 Ordonne aux ténèbres de se changer en jour,

                 Essuie mes larmes de tristesse,

                 Ne me laisse jamais errer loin de Toi. [Frère Branham fredonne.–N.D.T.]

45        Ô Seigneur, la Parole est sortie, et maintenant, Seigneur Dieu, jamais Tu ne laisses une génération sans Tes oeuvres surnaturelles; et ces jeunes chrétiens, entre vingt-cinq et trente ans, ont levé les mains pour montrer qu’ils ont besoin de miséricorde. Et je prie ce soir, ô Dieu, dès la fin du service, que ces gens aillent vers ces ministres ici présents, qui collaborent, pour leur serrer la main et dire: «Pasteur, je voudrais venir dans votre église. Je voudrais être baptisé. Je voudrais prendre position au sein de votre troupeau. Et je voudrais me tenir là, pour–pour être un vaillant soldat de Christ, tant que la vie sera dans mon corps.» Accorde-le, Seigneur.

            Maintenant, peut-être que ceci est la première fois qu’ils assistent à une réunion. Il ne... peut-être qu’ils n’ont jamais vu que Tu accordes toujours des dons, et que Tu nous as donné le Saint-Esprit dans ce dernier jour, et qu’Il a promis la résurrection.

46        Maintenant, ô Dieu saint, accorde ce soir que ces chrétiens jouissent du privilège de voir la puissance de Jésus ressuscité. Accorde-le, Seigneur, afin qu’après qu’ils auront pris leur position, ils retournent comme la reine de Séba, après qu’elle avait pris position. Elle est retournée en traversant ce désert.

            Oh! sans aucun doute, le chemin semblait beaucoup plus court au retour. Oh! elle était très heureuse. Les chameaux marchaient différemment. Tous chantaient des hymnes à Jéhovah. Les choses avaient changé. Il semblait que le désert n’était pas si chaud que ça. Accorde-le, Seigneur.

            Et en route, en passant par les rues et les routes couvertes de verglas ce soir, ce sera la même chose. Puissent-ils se réjouir en chemin, sachant qu’ils sont passés de la mort à la Vie, et qu’ils ont vu le Jésus ressuscité, le miracle pour une génération faible et adultère. Accorde-le, ô Père. Nous prions au Nom de Jésus. Amen.

47        Comment? Série X, de 1 à 100. C’était quoi hier soir? La série H ? [Frère Branham parle à quelqu’un.] Ce soir, ils ont distribué la série X, les cartes de prière série X. Hier soir, c’était la série H. Ce soir, c’est X. Tenez vos cartes série H, nous allons vous faire monter ici aussi vite que possible. Quand nous distribuons un tas de cartes, nous attendons que le climat permette d’avoir un beau groupe ici à l’intérieur et tout, afin que nous puissions commencer, pour avoir réellement des lignes normales de prière, telles que nous voulons en avoir. Eh bien, nous tenons quand même bon maintenant.

            Combien n’ont jamais assisté à l’une des réunions auparavant, faites voir vos mains? Combien n’ont jamais assisté à l’une des mes réunions? Regardez un peu. Est-ce que ceci...?... Je ne prétends pas être un guérisseur, mes amis chrétiens. Je ne suis pas un guérisseur, mais voici ce que je soutiens : j’affirme que Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Il est ressuscité des morts. Il n’est pas mort; Il est vivant. Et lorsqu’Il était ici sur terre, les oeuvres qu’Il avait faites, Il a promis de les faire de nouveau dans les derniers jours: «Celui qui croit en Moi... les oeuvres que Je fais (Saint Jean 14.7). Celui qui croit en Moi, fera aussi les oeuvres que Je fais.» Il a dit: «Encore un peu de temps et le monde ne Me verra plus, mais vous, vous Me verrez, car Je serai avec vous, même en vous, jusqu’à la fin du monde. Les oeuvres que Je fais...» Quel genre d’oeuvres a-t-Il faites?

48        Il a dit qu’Il ne guérissait pas les gens. Combien savent cela? Ce n’est pas Moi qui fais les oeuvres; c’est Mon Père qui habite en Moi. Et le Fils ne peut rien faire de Lui-même, sinon ce qu’Il voit faire au Père.»

            Voilà pourquoi lorsqu’on est allé chercher Nathanaël, le Juif, et qu’on l’a amené vers Lui... Ainsi lui... Quand Philippe est allé le chercher, il dit l’avoir trouvé sous un arbre, et il a dit: «Viens voir Qui nous avons trouvé, Jésus de Nazareth, le fils de Joseph.»

            Il a dit: «Peut-il venir de Nazareth quelque chose de bon?»

            Il a dit: «Viens, et vois.»

            C’est peut-être ce que beaucoup de pécheurs se sont dit ce soir: «Je vais aller voir, je vais me rendre compte.» C’est la meilleure chose à faire. Venez vous rendre compte.

            Et sur son chemin du retour, lorsque Philippe le lui avait raconté, sans doute que, lorsque Pierre était venu, lequel était... Avant, il ne s’appelait pas Pierre; il s’appelait André et... ou plutôt Simon. Et ensuite, lorsqu’il... Sur son chemin... Il était le frère d’André. Et lorsqu’il est venu auprès de Jésus, Celui-ci ne l’avait jamais vu auparavant; Il a dit: «Tu t’appelles Simon, mais Moi, Je vais t’appeler Cephas.» Ce qui signifie «Pierre», «une petite pierre». Et Il a dit «Ton père c’est Jonas.» Cela le fit tressaillir.

            Là, c’était Jésus hier. Il doit être Jésus aujourd’hui, s’Il est le même. Est-ce juste? Très bien.

49        Ensuite, cet homme de Philippe, qui était de la même ville de Béthesda, alla trouver son ami qui s’appelait Nathanaël. Il dit: «Viens voir Qui j’ai trouvé.» Il était en prière sous un arbre lorsqu’il l’a trouvé. Il dit: «Viens voir Qui nous avons trouvé, Jésus de Nazareth, le Fils de Joseph.»

            L’autre a dit: «Peut-il venir de Nazareth quelque chose de bon?»

            Il a dit: «Viens, et vois.» Il lui a sans doute raconté en route ce qui était arrivé.

            Lorsqu’il est arrivé devant Jésus, Jésus a dit: «Voici un Israélite, dans lequel il n’y a point de fraude.» Il pouvait bien être un Arabe; il pouvait bien être un Grec; ils s’habillent tous de la même façon, ils portent un turban et une robe. Mais Il a dit: «Tu es un Israélite, dans lequel il n’y a point de fraude.»

            Il a dit: «Rabbi, quand... comment m’as-Tu connu? D’où me connais-Tu? »

            Et Jésus a dit: «Avant que Philippe t’appelât, quand tu étais sous l’arbre, Je t’ai vu.» A trente miles [48 km–N.D.T.], en contournant la montagne... C’était là Jésus hier.

            Qu’a dit ce Juif, ce véritable et authentique Juif? Il a dit: «Rabbi, Tu es le Fils de Dieu; Tu es le Roi d’Israël.»

            Jésus a dit: «Parce que Je t’ai dit cela, tu crois?»

            Qu’a dit le Juif, le vrai orthodoxe raide? Il a dit: «Il est Béelzébul, un diseur de bonne aventure, un démon.»

            Jésus a dit: «Je vous pardonne cela, mais quand le Saint-Esprit viendra et fera la même chose, parler contre cela ne vous sera jamais pardonné. C’est blasphémer contre le Saint-Esprit.»

50        Quand Il a rencontré la femme samaritaine au puits, Il a dit: «Femme, apporte-Moi à boire.»

            Elle a dit: «Le puits est profond; Tu n’as rien pour puiser, et il n’est pas de coutume que vous les Juifs demandiez cela à nous les Samaritains.» Ils avaient une loi de ségrégation, comme c’est le cas dans le Sud entre les Noirs et les Blancs, une loi de ségrégation: «Nous n’avons pas de relations les uns avec les autres.»

            Elle a dit: «Si tu savais à Qui tu parlais, c’est toi qui Me demanderais à boire. Je te donnerais une eau que tu ne viendrais pas chercher ici pour boire.»

            La conversation s’est poursuivie; que faisait-Il? Il contactait son esprit. Et lorsqu’Il a découvert ce qu’était son problème... Combien savent ce qu’était son problème? Elle vivait avec cinq maris.

            Et Il a dit: «Va chercher ton mari, et viens ici. »

            Elle a dit: «Je n’ai point de mari. »

            Il a dit: «C’est juste, tu en as eu cinq, et celui avec qui tu es maintenant n’est pas ton mari.»

            Maintenant, observez ce qu’elle a dit: «Seigneur, Tu es Béelzébul.» Non. «C’est de la télépathie.» Non. Qu’était-ce? Elle était dans l’attende de quelque chose. Elle savait que le temps était proche. Elle a dit: «Seigneur, je vois que Tu es un prophète.» Elle a dit: «Nous, nous les Samaritains, nous savons que quand le Messie viendra, Il fera ces choses, Il nous annoncera ces choses.» Mais elle ne savait pas qui Il était.

            Il a dit : « Je Le suis, Moi qui te parle. »

            Et elle entra dans la ville en courant et dit: «Venez voir un homme qui m’a dit ce que j’ai fait. Ne serait-ce point le Messie?»

51        Mais, rappelez-vous, Il n’a jamais fait cela devant les Gentils. Et Il a dit à Ses disciples: «N’allez pas vers les Gentils.» Pourquoi? C’est celui-ci leur âge. Là, c’était la fin [de l’âge] des Juifs; c’était là le dernier signe que les Juifs recevaient. Combien savent cela? Les Juifs et les Samaritains. Et ceci est le dernier signe pour les Gentils. Nous sommes au bout de la route.

            Que Dieu fasse que ma gorge aille un peu mieux; je voudrais essayer de prêcher un peu cette semaine, Dieu voulant, l’état de ma–ma gorge est tel que je ne le peux pas. Très bien. Nous sommes au temps de la fin maintenant. J’aimerais parler de cela, Le Temps de la fin, peut-être dimanche après-midi ou un soir. Maintenant, soyez révérencieux.

52        Eh bien, Jésus a dit, lorsque... dans Saint Jean 5.19: «En vérité, en vérité, je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-même.» Etait-ce là la vérité? Pouvait-Il mentir? Il ne le pouvait pas et être le Fils de Dieu. «Le Fils ne peut rien faire de Lui-même, mais ce qu’Il voit faire au Père, le Fils le fait pareillement.»

            Ainsi donc, Jésus avait alors dit la vérité. Il devait dire la vérité. Il était le Fils de Dieu. Il ne faisait donc aucun miracle avant que le Père ne Lui montre premièrement ce qu’Il devait faire. Combien savent que c’est la vérité? Pas un seul miracle avant que le Père ne Lui montre premièrement ce qu’Il devait faire.

53        Or, Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement; ainsi pour se manifester dans cette génération, Il doit faire la même chose pour être le même. Est-ce juste? Combien croient cela maintenant, levez la main? Eh bien, à vous les jeunes convertis et à vous les nouveaux venus, si Jésus apparaît ici sur la scène et qu’Il fasse la même chose qu’Il avait faite autrefois en ces jours-là, pour confirmer que nous sommes à la fin de l’âge... Et jamais cela n’est arrivé au cours des âges jusque maintenant. Je demande à n’importe quel historien de me montrer un récit historique. Cela n’est jamais arrivé avant cet âge, maintenant même, au cours de ces quelques dernières années, ces cinq ou six dernières années. Il n’a jamais fait cela, jamais.

54        Une femme toucha Son vêtement, et Il a dit: «Qui M’a touché?» Il ne pouvait pas sentir cela. Pourquoi...?... Le vêtement palestinien est constitué d’un vêtement de dessous et d’une robe ample ; et elle a touché Sa–le bord de Sa robe, qui pendait à cette distance de Sa jambe. Il a dit: «Qui M’a touché?»

            Eh bien, Pierre Le reprit, disant: «C’est tout le monde qui Te touche.»

            Il a dit: «Mais Je me suis affaibli. Une vertu est sortie de Moi.» Puis, Il regarda tout autour jusqu’à ce qu’Il vît la femme, et Il lui dit ce qu’était son problème et Il lui dit que sa foi l’avait guérie. Combien savent cela? Combien savent que l’Epître aux Hébreux dit: «Jésus-Christ est le Souverain Sacrificateur, aujourd’hui–aujourd’hui, qui peut être touché par le sentiment de nos infirmités.»? Est-ce juste ? Comment agirait-Il? Nous... Il est le Cep; nous sommes les sarments. Le Cep ne porte pas de fruits ; ce sont les branches qui portent les fruits. C’est l’Eglise qui porte des fruits aujourd’hui. Voyez-vous? Ma main, c’est Sa main. Vos mains sont Ses mains. Vos yeux et mes yeux sont Ses yeux. Il nous utilise comme des sarments qui se sont abandonnés.

            Dieu notre Père, le reste dépend de Toi maintenant. Que l’on sache ce soir que Tu es le Fils de Dieu qui est ressuscité d’entre les morts. Nous prions au Nom de Jésus. Amen.

55        Voyons. Nous... Je crois en... Qu’était-ce? Hier soir, la série H, et ce soir la série X. Très bien, nous sommes allés jusque vers le numéro 20 ou 25 hier soir, je pense, n’est-ce pas ? Dans–dans la ligne? Commençons à partir du numéro 25 ce soir. X-25. Nous commençons par n’importe quel numéro, cela ne change rien. Qui a la carte X-25? Regardez votre carte maintenant, vous avez un... La dame qui est là-bas? Voudriez-vous venir juste ici, soeur? 25, 26? X-26, voulez-vous vite lever la main. Regardez votre carte, celle de votre voisin. Quelqu’un... Si l’un des huissiers veut bien regarder la carte de cette dame-ci, peut-être qu’elle ne peut pas lever la main. Elle est dans un fauteuil roulant. Très bien.

            X-26, levez vite la main. Très bien. 26, 27? Très bien, levez la main afin que je vous voie très vite. Maintenant, 27, afin que nous puissions... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

56        «Toute affaire se règlera sur la déclaration de deux ou de trois témoins.» Maintenant, je vais vous demander de faire une chose. Soyez aussi révérencieux que possible. Ne vous déplacez pas ; restez vraiment tranquilles.

            Combien n’ont pas de cartes de prière et voudraient que Dieu les guérisse? Levez la main. Dites... Levez la main afin que je voie où vous êtes. Très bien. Maintenant, faites ceci. C’est dans toutes les sections et–et partout. Regardez simplement à Dieu et dites: «Seigneur Dieu, si cet homme m’a dit la vérité, parle-moi. Je crois que Tu es le Souverain Sacrificateur qui est assis à la droite de Dieu. Et je crois que Tu peux être touché par le sentiment de mes infirmités. Et si Tu es le même hier, aujourd’hui et éternellement, en faisant cela dans la ligne de prière, alors Tu dois être le même pour me parler. Maintenant, je regarde à Toi, et par la foi, je crois que je touche Ton vêtement. Et maintenant, si Tu l’es, et que Tu es donc le Cep et que nous sommes Tes sarments, alors parle par frère Branham, et fais qu’il m’appelle.»

            Je somme votre foi au Nom de Christ de faire cela et de voir s’Il le fait. Voyez-vous? Ce n’est que... C’est juste l’Ecriture. Combien savent que c’est entièrement l’Ecriture? C’est certainement une promesse de Dieu.

57        Eh bien, je demanderais à l’ingénieur de bien veiller ; je sais que ce micro n’est pas très puissant, et je ne sais pas quand une–une vision vient; on se retrouve dans un autre monde. On n’est même pas–on–on est... Je ne sais pas ce que je dis, moi-même. Je dois simplement dire la chose pendant que je regarde. Lorsque je sors de la vision... C’est la raison pour laquelle je ne prends pas trop de gens, parce qu’on ne sait pas si c’est une vision ou pas. Voyez-vous? Et on ne sait pas ce qui se passe. Mais soyez simplement respectueux. J’ai vu jusqu’à cinquante personnes passer en une fois. Si la foi est grande, je ne parle pas trop pour Lui, je laisse simplement passer les gens. Mais maintenant, voici...

            J’ai... Combien ici me sont inconnus, que je ne connais pas? Levez la main. Tous ceux qui savent que je ne les connais pas? Eh bien, c’est cent pour cent.

            Vous avez aussi levé la main, madame? Très bien alors, nous ne nous connaissons pas. Tenez, voici une femme et un homme. Maintenant, à vous qui êtes ici, prenons donc notre temps pendant environ... Nous avons quinze minutes pour vous laisser sortir à temps.

58        Maintenant, écoutez ; c’est la première fois que nous nous rencontrons. Je ne vous ai jamais vue de ma vie, et c’est peut-être la première fois que nous nous rencontrons. Si c’est vrai, voudriez-vous lever la main?

            Maintenant, je veux que vous soyez attentifs, auditoire. Lorsque vous abordez effectivement un vrai croyant, voyez l’expression de son visage aussitôt que cette onction le saisit.

59        Combien ont vu la photo (L’avez-vous déjà montrée?) de l’Ange du Seigneur? Faites voir votre main, maintenant. Oui. Elle est ici maintenant. Rappelez-vous, cela est authentifié par le FBI, son directeur. Voyez-vous? Eh bien, c’est l’Ange du Seigneur, que j’ai... Si je... Si ceci était le dernier sermon que je prêche, si c’était la dernière fois que j’apparais en public, il y a des millions de gens à l’église qui savent que c’est la vérité. Et le monde scientifique ne peut pas nier cela, parce que c’est prouvé scientifiquement. Ma parole a été véridique. En effet, Dieu a confirmé cela pour Son Eglise, et c’est confirmé pour le monde scientifique.

60        En Allemagne, ils ont pris trois photos. Ils ont pris un grand appareil photo et l’ont installé là, et ils ont demandé s’ils pouvaient prendre des photos. Lorsque l’onction est descendue, l’appareil a pris cela en photo. On a fait la même chose en Suisse, comme cela, avec d’énormes photos de la chose. Ils ont des photos aussi grandes que cette estrade-ci, dans toute l’Allemagne. Savez-vous combien sont venus au Seigneur cette... au cours de cette série de réunions que j’ai tenue là-bas? Cinquante mille en cinq soirées, en Allemagne. Ce sont aussi des communistes, la plupart d’entre eux.

            Les communistes sont devenus des communistes puisque l’église s’est relâchée. C’est exact. Ils veulent adorer un vrai Dieu, mais il faut qu’Il soit réel. Je ne les condamne pas. C’est ça. Si Dieu est Dieu, qu’Il soit Dieu. Si ce n’est pas le cas, alors notre condition n’est pas meilleure que si nous étions des musulmans, des bouddhistes, ou tout le reste. Croyons au véritable Dieu.

61        Maintenant, voici la photo. Eh bien, si Christ reste le même... et c’est le thème de ma–ma campagne. Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement, et voici une femme, et nous deux... J’ignore si elle est une chrétienne ou pas. Je suppose qu’elle l’est. Elle se tient ici pour quelque chose. Il se peut qu’elle soit une critiqueuse. Il se peut qu’elle soit une hypocrite. Il se peut qu’elle soit une infidèle. Il se peut qu’elle soit malade et dans le besoin. C’est possible qu’elle soit une sainte de Dieu. Je ne sais pas. C’est la première fois que nous nous rencontrons. Mais si le Saint-Esprit révèle à cette femme, comme Il l’a fait à la femme au puits, le motif de sa présence ici... Et si elle est une critiqueuse, observez ce qui va lui arriver. Observez-la tout simplement.

            Combien ont déjà assisté aux réunions où ils ont vu venir des critiqueurs? Ils restent paralysés, fous, et tout le reste. Voyez-vous? C’est ça. Maintenant, observez ce qui arrive.

62        Le Dieu du Ciel est toujours vivant. Maintenant, je lève mes mains ; je ne connais pas cette femme. C’est la première fois que nous nous rencontrons. Elle a fait la même chose; elle ne me connaît pas.

            Eh bien, si ceci est exactement le même tableau que celui de la femme au puits, à la seule différence que nous sommes tous deux des anglo-saxons, des Blancs... mais une femme et un homme, la même chose. Maintenant, si je lui parle juste un instant, et que je lui dise... Eh bien, je dirais: «Femme, vous êtes malade ; vous allez vous rétablir. Partez.» Elle aurait le droit de douter de cela. Mais que se passerait-il si Dieu allait dans son passé et lui disait quelque chose qui était arrivé là-bas et dont elle est consciente que c’est vrai ou pas ? Cela serait la vérité... Cela confirmerait que c’est vrai. Serait-ce juste, madame? C’est juste. Très bien. Eh bien, que le Seigneur l’accorde.

63        Combien parmi vous croiront, s’Il fait cela pour cette femme, juste ici? Et, n’oubliez pas, chrétiens, priez pour moi. Je me tiens ici au Nom de Celui que vous aimez et que j’aime, Jésus-Christ. Et si Dieu tient cette promesse, c’est qu’Il tient toutes les promesses.

            Eh bien, vous êtes ici pour une certaine raison. Je ne la connais pas. Dieu la connaît. La dame veut que je prie pour elle, pour la grave maladie de nerfs dont elle souffre. Il lui arrive d’avoir de fortes crises de mélancolie, et c’est surtout vers la fin de la journée, elle devient très faible. C’est la vérité. Vous avez aussi un problème de la gorge et vous voulez que je prie pour cela. Vous êtes consciente que quelque chose est près de vous, n’est-ce pas ? Votre frère ne pourrait pas faire que vous vous sentiez comme cela.

64        Juste entre vous et moi se tient cette Lumière que vous avez vue sur cette photo.

            Vous n’êtes pas de cette contrée. Vous venez d’une autre contrée, et vous priez pour quelqu’un qui est là-bas. Et c’est un–un homme âgé; il s’agit de votre père. Et il a un problème de respiration. C’est juste. Et c’est dans le Maryland, n’est-ce pas? Vous pouvez rentrer; que Dieu vous accorde le désir de votre coeur, au Nom de Son Fils Jésus.

            Etes-vous convaincus que le Seigneur Jésus vit et règne? Vous direz: «Frère Branham, qu’est-ce?» Il s’agit de s’abandonner. Il s’agit de s’abandonner au Saint-Esprit. Vous qui êtes malades et infirmes, abandonnez-vous au Saint-Esprit, pour croire. Voyez-vous? Abandonnez-vous simplement. Eh bien, là-bas, croyez-vous? Etes-vous en prière?

65        Maintenant, cette dame-ci, nous ne nous connaissons pas, n’est-ce pas, chère soeur ? Nous ne nous connaissons pas. Eh bien, nous sommes nés à des années d’intervalle, mais Dieu nous connaît tous deux.

            Maintenant, juste un instant. Je vois une femme : elle a des cheveux gris, elle est en prière. Ne voyez-vous pas cela? Regardez ici. Juste là, la dame qui est assise juste là, qui a le regard fixé droit sur moi et qui est un peu grisonnante. Elle est juste au-delà de la dame aux cheveux noirs, là-bas. Elle est à peu près troisième sur la rangée. Elle a un petit col à carreaux. Elle est en prière, parce qu’elle a des troubles cardiaques et elle veut que Dieu la guérisse. C’est l’exacte vérité. Croyez-vous cela, madame, que Dieu vous rétablira? Acceptez-vous cela? Très bien, levez la main. Très bien. Vos troubles cardiaques vous ont quittée maintenant. Vous avez touché quelque chose, n’est-ce pas? Très bien. Ce n’était pas moi. Vous êtes à quarante pieds [environ 12 m–N.D.T.] de moi, mais vous avez touché le Souverain Sacrificateur, avec une simple foi d’enfant pour croire. Soyez respectueux maintenant. Croyez simplement de tout votre coeur.

66        Vous avez dit que nous ne nous connaissons pas, n’est-ce pas? Si le Seigneur Dieu me révèle, ma soeur, le motif de votre présence ici... J’ai une vieille mère à la maison, qui prie pour moi ce soir. Lorsque je vois quelqu’un qui est probablement une mère et qui est âgée, j’éprouve de la sympathie pour elle. Vous souffrez aussi de la nervosité. Mais ce n’est pas là le genre de nervosité... Il s’agit de votre... il s’agit d’une inquiétude au sujet de quelque chose. Ce n’est pas... nerveux, tout comme si vous trembliez, mais lorsque vous êtes inquiète au sujet de quelque chose, vous êtes nerveuse. Et de plus, vous... L’état de vos yeux empire; c’est comme s’ils s’éteignent, ils deviennent aveugles. Et afin que vous sachiez que je suis serviteur de Dieu, vous souffrez maintenant même aussi d’un gros rhume. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR. Ces choses sont la vérité, n’est-ce pas? Si c’est le cas, voudriez-vous lever la main afin que les gens voient?

            Maintenant, croyez-vous? Bien, observez. La dame a quelque chose. Elle est inquiète au sujet de quelque chose. Et si Dieu révèle pourquoi elle est inquiète... Je pourrais la faire passer maintenant, parce que je crois qu’elle va recevoir ce qu’elle a demandé. J’ignore ce qu’a été son problème jusqu’à ce que je réécouterai la bande. Mais maintenant, croyez-vous que Dieu peut révéler ce qui vous tracasse? Combien croient que Dieu peut le faire? Maintenant, vous croyez effectivement que je suis serviteur de Dieu. Vous le croyez effectivement. Je sais que vous croyez, madame? Eh bien, oui, la dame s’inquiète au sujet d’un fils ou plutôt d’un petit-fils ; c’est ça, et ce petit fils est opprimé par un démon, vraiment opprimé et dérangé. Et il n’est pas ici. Il n’est même pas dans cette contrée. Il est de l’Ohio, d’une ville qui a une université; c’est Chillicothe, dans l’Ohio. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR. Croyez-vous que le Seigneur Jésus est vivant? Que le Seigneur Dieu accorde à notre soeur son désir. Amen. Que Dieu vous bénisse, soeur, et qu’Il vous accorde le désir de votre coeur.

67        Croyez-vous de tout votre coeur, chacun de vous maintenant? Eh bien, je pense que cela fait au moins trois, mais si nous pouvons juste... encore un peu de temps. Vous... D’accord, amenez la dame suivante.

            Bonsoir, mademoiselle. Est-ce la première fois que nous nous rencontrons? C’est la première fois que nous nous rencontrons? Croyez-vous que le Seigneur Jésus est ressuscité des morts? Si le Seigneur Dieu, ce que vous Le voyez faire... Eh bien, vous savez que cela doit venir au moyen du surnaturel. Eh bien, cela dépend de ce que vous en pensez. Si vous pensez que c’est–que c’est un–c’est un mauvais esprit, alors vous recevrez sa récompense. Si vous croyez que c’est le Seigneur Jésus, conformément à Sa promesse, ce que je prêche, alors vous aurez Sa récompense. Je ne peux pas dire par moi-même ce que vous croyez ; Dieu pourrait me le dire. Moi, je ne le sais pas. Eh bien, soyez simplement très respectueuse.

68        Vous qui êtes assise là, tenant... essuyant votre nez comme cela... Croyez-vous que Dieu vous a guérie de ce maladie des voies respiratoires? Croyez-vous? C’est terminé maintenant, vous pouvez rentrer chez vous et être en bonne santé. Faites simplement comme la jeune femme. Elle était assise là lorsque j’ai dit, il y a quelque temps, qu’elle priait dans son coeur que Dieu me dise, permette qu’il–me permette de lui parler car elle était vraiment dans le besoin. Il s’agit d’une nervosité, c’est ce qui provoque chez elle une congestion ici au thorax. C’est tout à fait exact. Si c’est juste, madame, levez la main. La jeune dame est assise juste là à l’instant, juste... C’est juste. Voyez-vous, voyez-vous? Comment ai-je su l’objet de sa prière? Comment ai-je su les paroles qu’elle a adressées à Dieu? Voyez-vous? Vous ne pouvait pas vous cacher devant Lui, vous savez. Il est–Il est ici, la Présence du Seigneur.

69        Mademoiselle, si le Seigneur me révèle le motif de votre présence ici, croirez-vous que je suis Son serviteur? Croirez-vous que Christ veut vous accorder ce dont vous avez besoin? Si je pouvais vous aider et que je ne le faisais pas, je serais une personne affreuse. Je ne serais pas digne de me tenir ici sur ce qu’on appelle chaire. Je serais un homme méchant. Mais je suis ici pour vous aider, si possible. Et le seul moyen par lequel je peux vous aider, c’est en laissant le Saint-Esprit me révéler quelque chose qui vous aidera à avoir foi dans Son oeuvre achevée.

            Vous souffrez d’un trouble gynécologique, un dérèglement gynécologique. C’est juste. Croyez-vous que je suis Son serviteur? Vous croyez. Ces jours-ci, vous priez aussi pour quelqu’un d’autre. Il s’agit d’une femme, et c’est votre mère. Et elle souffre d’une colite, et elle n’est pas ici. Elle n’habite pas dans cet Etat; elle habite en Virginie-Occidentale. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR. Maintenant, croyez et vous pourrez recevoir ce que vous demandez. Que Dieu vous bénisse, soeur.

70        Je pense que nous ne nous connaissons pas. C’est la première fois que nous nous rencontrons. Vous avez assisté à la réunion ici hier soir, mais jamais... C’est la première fois que nous nous rencontrons. Je ne vous connais pas.

            Ça semblait très proche. Continuez simplement à croire. Si le Seigneur Dieu qui a ressuscité Son Fils d’entre les morts... Et nous sommes... Croyez-vous que nous vivons dans les derniers jours? Croyez-vous que Dieu a promis ces choses? Si c’était le signe du Messie là autrefois, lorsque notre Seigneur révélait aux gens leurs problèmes et ainsi de suite, et où ils avaient été, et qui ils étaient, ou autre chose du genre... Il a promis que ces choses qu’Il a faites, nous les ferions aussi. Et, cela ne devrait se faire qu’à la fin de l’âge des Gentils, puisque les Juifs et les Samaritains avaient déjà reçu cela.

            Croyez-vous qu’Il... ceci est le temps de la fin, et le signe du temps de la fin? Que Dieu vous aide. Si les gens entendent encore ma voix, il y a quelque chose qui arrive à cette femme; c’est une raideur, l’arthrite, qui la dérange. Et je vois que vous avez des douleurs atroces dans vos côtés. Vous avez subi une opération, on vous a fait l’ablation d’un rein. C’est juste. Je vois le médecin, un homme bien charpenté, le genre grand de taille et svelte, et il est en train de faire l’ablation du rein. Vous n’êtes pas de cette ville ; vous êtes d’un endroit appelé Elkton, et vous vous appelez Maude McDaniel. Croyez-vous maintenant de tout votre coeur? Alors, continuez votre route et réjouissez-vous, et que Dieu soit miséricordieux envers vous.

71        Croyez-vous de tout votre coeur? Ayez simplement foi en Dieu, ne doutez pas.

            Croyez-vous que ces pieds vont être guéris? Vous qui êtes assis ici à la première rangée. Vous êtes celui qui Le touchait il y a un instant. Très bien. Ils vont être guéris.

            Vous avez ôté vos lunettes, vous qui êtes assis là, essuyant votre nez comme cela. Croyez-vous que je suis serviteur de Dieu? Croyez-vous? Vous avez aussi besoin d’aide, n’est-ce pas? Votre problème, c’est dans vos épaules. C’est juste. Levez les mains. C’est complètement parti.

            Qu’en est-il de vous qui avez levé les mains, là à côté de lui? Croyez-vous que je suis prophète de Dieu, ou plutôt Son serviteur? Croyez-vous? C’est pour le problème de vos mains que vous voulez que Dieu soit... que l’on prie. C’est juste. Maintenant, partez et recevez votre guérison, vous tous et...

72        Nous ne nous connaissons pas. Je ne vous connais pas. Je ne vous ai jamais vu. C’est la première fois que nous nous rencontrons.

            Il s’est passé quelque chose. Quelqu’un juste par ici. Il s’agit d’un homme qui est assis juste ici derrière. Vous avez redressé la tête par-dessus cet homme aux cheveux noirs. Vous souffrez des troubles cardiaques, et vous voulez que Dieu vous guérisse. C’est juste. Vous étiez en prière et demandiez alors à Dieu, disant: «Que ça soit moi, Seigneur.» Si c’est juste, levez la main. Très bien. Recevez ce que vous demandez. Continuez votre chemin et soyez rétabli. Amen.

            Croyez-vous? Vous tous? Croyez-vous d’un commun accord? En avons-nous déjà eu trois? En avons-nous eu quatre? Combien? Ça va.

73        Maintenant, soyez très respectueux. Nous avons un homme ici sur l’estrade. Un instant. C’est exactement le moment... Eh bien, continuez à croire, vous là-bas; nous ne savons pas ce que pourrait faire le Saint-Esprit? Etes-vous convaincus? Croyez-vous vraiment, mes amis?

            Je ne pourrais pas venir ici pour vous séduire, mon frère. Quel bien cela me ferait-il? Je suis ici en tant que votre frère. Je vous aime. Voilà pourquoi je suis venu. Et, j’aime Christ, et Christ m’a envoyé ici exactement comme Dieu L’avait envoyé en Samarie. Il ne savait que faire. Il allait à Jéricho, mais il Lui fallait passer par la Samarie. Eh bien, le Père L’a-t-Il envoyé là? Il a dit: «Je ne fais rien avant que le Père ne Me le montre.» Il a renvoyé Ses disciples, et la femme est venue. Il s’est mis à lui parler, puis Il a découvert son problème.

74        Je ne sais pas qui vous êtes. Vous m’êtes inconnu. Je ne sais pas qui vous êtes, mais Dieu m’a envoyé ici. Et je suis venu ici et me suis abandonné à Son Esprit, comme Christ l’avait fait à l’époque, et Il me montre votre problème, exactement comme à l’époque. Et cette femme est entrée dans la ville en courant et a raconté à tous ceux qu’elle rencontrait, disant: «Venez, ne serait-ce pas le Messie Lui-même?» Eh bien, si c’était là le signe du Messie à l’époque, c’est le même signe aujourd’hui, s’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement.

            Voici un homme. Je ne vous connais pas, monsieur. Est-ce la première fois que nous nous rencontrons? Si Dieu me révèle votre problème, accepterez-vous cela comme étant Christ qui essaye de vous aider? Eh bien, prenons simplement notre temps avec cet homme. Si les hommes, les femmes, les enfants, dans cette salle... Nous voici tous deux, nous ne nous sommes jamais rencontrés auparavant dans la vie. C’est la première fois que nous nous rencontrons.

75        Eh bien, ceci affaiblit terriblement; voyez-vous ces gouttes de sueur sur mes mains et ainsi de suite? Cela... C’est–cela devient si... J’ai comme l’impression maintenant que cet auditoire devient laiteux, partout. Qu’est-ce? C’est votre foi qui fait cela ; c’est le Saint-Esprit qui s’installe dans la salle. Voyez-vous? Oh! qu’est-ce qui pourrait arriver? Oh! si seulement vous brisiez cette petite croûte!

            Monsieur, je vous vois beaucoup plus jeune que vous ne l’êtes maintenant, et un médecin secoue la tête. Il vous abandonne. C’est tout à fait juste. Vous avez une maladie intime. C’est juste. Vous avez peur que ça soit maintenant le cancer. C’est vrai. C’est depuis longtemps. Comment Dieu pouvait-Il remonter les années comme cela et vous connaître, ce que vous avez fait? Vous souffrez aussi d’un–un problème de glandes. Et vous avez aussi la gastrite. C’est juste. Si Dieu me dit qui vous êtes, allez-vous croire maintenant, puisqu’Il est juste avec vous maintenant? Vous en êtes conscient. Vous êtes monsieur Miller. C’est ça. C’est juste. Maintenant, continuez votre route, réjouissez-vous et soyez heureux. Que Dieu vous bénisse.

76        Croyez-vous de tout votre coeur? Ecoutez, mon ami, vous êtes maintenant beaucoup plus loin que vous ne l’étiez hier soir. Si je suis serviteur de Dieu, qui vous dit la vérité, je vous dis la vérité, maintenant même. Maintenant même, chacun de vous... Christ est ressuscité des morts, et quand Il est mort au Calvaire, Il a dépouillé le diable de tout pouvoir qu’il avait. Voyez-vous, vous êtes guéri maintenant, chacun de vous. Et ainsi, ceci est la vérité. L’Ange même que je–qui me conduit, et qui déclare cela, juste dans cette salle ; cela commence à paraître un peu... Je–je crois que je viens de mentionner cela.

            Ne pensez pas que je suis hors de moi, mais il y a une très forte onction dans la salle, maintenant même. Je crois que si vous croyez que ce que je vous dis maintenant même est la vérité, cela réglera le problème. Croyez-vous cela? Promettez-vous de croire cela? Que pourrait-Il faire de plus? Voyez-vous? Je ne peux guérir personne. C’est Son Esprit. Pas les gens qui sont dans la ligne de prière, il s’agit des gens qui sont là-bas, partout.

            Maintenant, regardez simplement par ici et croyez, et voyez si Dieu n’accomplit pas la chose. Voyez-vous? C’est la vérité. C’est l’Esprit de Dieu. Maintenant, j’ai essayé d’établir cela avec les Ecritures. Dieu est venu et a confirmé que c’était la vérité. Maintenant, Jésus-Christ, le Fils de Dieu, guérit chacun de vous. Or, il n’y a qu’une chose qui peut vous empêcher de recevoir cela; c’est cette petite ombre noire qui est entre la voie lactée et vous. C’est juste.

            Si nous pouvons offrir une prière de la foi pour ôter cette ombre, alors le Saint-Esprit peut descendre sur vous comme les gouttes de la rosée de miséricorde, et rétablir chaque personne qui est ici à l’intérieur, maintenant même.

77        A Durban, en Afrique du Sud, parmi les purs païens, quand ils étaient... j’ai vu vingt-cinq mille malades dans des fauteuils roulants, de petits lits et sur des civières, être guéris en une fois, lorsqu’un seul de ces miracles avait été accompli sur l’estrade; vingt-cinq mille personnes. Et le lendemain, sept grands camions chargés de charrettes, de civières et de massues, descendaient la rue, chantant Crois seulement, avec des milliers d’indigènes noirs nus qui suivaient derrière en chantant Crois seulement.

            Si ces indigènes, qui n’avaient jamais entendu parler de Dieu auparavant, ont pu accepter Christ et recevoir cela, qu’en est-il de nous qui sommes remplis du Saint-Esprit et qui sommes assis dans la Présence de Dieu maintenant pour voir ceci dans cette nation civilisée? Que Dieu soit miséricordieux envers nous. Inclinons la tête. Soyons sincères. Que chaque homme et chaque femme regardent à Dieu maintenant même.

78        Père éternel et béni, l’heure est proche; ces gens doivent rouler sur ces routes glissantes. Et je Te remercie pour eux. Et, ô Dieu, j’essaie avec tout ce qui est en moi, pour ce groupe de gens loyaux, de ne pas faire traîner la ligne de prière, de ne pas faire traîner quoi que ce soit, mais d’essayer de leur dire la vérité de la Bible. Et Tu as été si bienveillant envers nous ce soir en descendant pour confirmer que c’est la vérité.

            Ta Bible déclare dans Hébreux 11: «Dieu confirme ou plutôt rend témoignage de Son don.»

            Maintenant, ô Seigneur, que l’Esprit qui a ressuscité Jésus d’entre les morts entre dans chaque personne qui est dans Ta Présence divine. Et, je condamne tout démon ou toute puissance d’incrédulité qui essayerait d’éloigner cette grande bénédiction universelle de ces gens ce soir; je condamne l’ennemi au Nom de Jésus-Christ.

            Satan, quitte cet endroit. Sors de ce peuple, et que le Saint-Esprit tombe en toute hâte comme bouclier, en apportant des bénédictions sur les gens; qu’Il les remplisse tous, et qu’Il les guérisse, au Nom de Jésus-Christ.

79        Si vous croyez que je suis serviteur de Dieu, et si j’ai trouvé grâce à vos yeux, peu m’importe ce que vous avez comme problème, levez-vous et louez-Le pour votre guérison, et vous la recevrez, maintenant même. Au Nom de Jésus...

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