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PrĂ©dication La foi, c’est le sixiĂšme sens de William Branham a Ă©tĂ© prĂȘchĂ©e 60-0611E La durĂ©e est de: 1 heure 12 minutes .pdf La traduction MS
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La foi, c’est le sixiùme sens

1    â€Šet c’est un sens de dĂ©livrance. Cela nous dĂ©livre et nous libĂšre de nos cinq sens dans lesquels nous avons Ă©tĂ© placĂ©s au commencement. Et ce cinquiĂšme sens ici
 les cinq sens, l’homme est tombĂ© lĂ  Ă  cause de ces sens par son appĂ©tit.
    Maintenant, remarquez que ces sens ne vous ont Ă©tĂ© donnĂ©s que pour vous mettre en contact avec votre demeure terrestre, afin que vous voyiez, goĂ»tiez, touchiez, sentiez, et entendiez. Mais ils ne doivent pas du tout vous conduire. Et ainsi, bien des fois

    Qu’adviendrait-il si je dĂ©cidais de ne plus voir, si je bandais simplement mes yeux et disais: «Je refuse de voir.» TrĂšs bien, mes yeux ne pourraient plus me servir. Ainsi donc, je–je deviendrais finalement aveugle. Et ainsi, si mon fils s’approche, que je lui bande les yeux et dise: «Non non, la vue n’existe pas.» Je lui bande simplement les yeux, je ne lui permets pas de voir. Il dirait: «Mon pĂšre m’a dit que la vue n’existe pas, alors je vais bander les yeux de mon fils.» Eh bien, pour commencer, notre gĂ©nĂ©ration naĂźtrait aveugle. C’est vrai. Si vous n’utilisez pas vos six sens, ils deviendront inactifs. Ils ne pourront pas du tout fonctionner.

2    FrĂšre, c’est ce que l’Église a fait du sixiĂšme sens dans lequel Dieu l’a mise. Il a simplement mis de cĂŽtĂ© la foi dans les prodiges et les miracles. Et la chose qui entre en contact avec Dieu, qui lui donne le Saint-Esprit et tout, il a mis cela de cĂŽtĂ© lĂ -bas ou quelque part ici, jusqu’à ce que cela soit mort. C’est vrai. Il ne sait pas utiliser cela. Cela ne signifie rien pour lui.
    Vous dites: «Eh bien, Dieu est un GuĂ©risseur.»
    Â«Oh, comment ça, Dieu est un GuĂ©risseur!»
    S’Il a dĂ©jĂ  Ă©tĂ© un GuĂ©risseur, Il est toujours un GuĂ©risseur. S’Il a dĂ©jĂ  Ă©tĂ© un Sauveur, Il est toujours un Sauveur. S’Il a dĂ©jĂ  Ă©tĂ© Dieu, Il est toujours Dieu. Vous voyez donc que c’est un manque de foi qui a Ă©tĂ© prĂȘchĂ© aux gens, et qui fait qu’ils laissent ce sixiĂšme sens (c’est-Ă -dire la foi) inactif.

3    Et toute l’annĂ©e, ils vont courir, tomber malades, et courir chez le mĂ©decin et dire: «Docteur, oh, il y a quelque chose qui ne va pas.» Le mĂ©decin examinera cela, disons qu’il essayera. L’homme
 un brave et honnĂȘte mĂ©decin va travaillĂ© aussi patiemment que possible, avec toute la capacitĂ© que Dieu lui a donnĂ©e pour opĂ©rer et faire ce qu’il doit faire pour vous aider. Ensuite, vous savez, cela progresse. Eh bien, il dira: «Je dois vous avouer que je ne peux plus rien faire. Si vous voulez aller chez un autre mĂ©decin, allez le voir.» Eh bien, ensuite, vous allez chez un autre mĂ©decin. Il dit: «Non, il n’y a rien Ă  faire. C’est Ă  un stade trop avancĂ©.»
    Maintenant, c’est le moment. C’est le moment de recourir au sixiĂšme sens. C’est le moment d’accepter Dieu. C’est le moment de se fier Ă  l’Esprit de foi que Dieu a mis en vous.

4    Et ainsi, dans le cas oĂč les gens ont reçu un enseignement contraire Ă  cela pendant trĂšs longtemps, cela complique la chose. FrĂšre Boze me parlait aujourd’hui, il disait: «FrĂšre Branham, je n’ai jamais compris Ă  quoi vous vous opposiez.» Voyez? Vous ne rĂ©alisez pas ce que c’est, combien c’est dur lorsque vous apportez
 Et la puissance de Dieu descendra lĂ , si rĂ©elle devant les gens qu’ils regarderont et verront l’Esprit se mouvoir parmi les gens et accomplir des choses, et certains se tiendront lĂ  et diront: «Oh, si vous faites juste ceci ou cela, ou cela, l’une ou l’autre chose, peut-ĂȘtre que cela m’aiderait.»
    Oh, frĂšre, si ce sixiĂšme sens pouvait comprendre ce que nous prĂȘchons cette semaine (Amen), que le Saint-Esprit
 Dieu a fait cette promesse. Christ a fait la promesse. Nous avons pris cela cette semaine Ă  travers les Écritures, dans tous les sens, et avons examinĂ© entiĂšrement cela au point que nous savons que Dieu avait promis de faire cette chose qu’Il est train de faire maintenant, aujourd’hui, le surnaturel. Ainsi, une vraie foi authentique voit cela et s’en empare, et tous les dĂ©mons de l’enfer ne peuvent jamais la dĂ©tacher de cela.
    Mais nous, nous nous achoppons Ă  cela. On ne l’utilise pas assez. Nous dĂ©pendons trop de ces cinq. Et quand
 la plupart du temps, 95% de gens ou plus, dĂšs qu’ils voient que les cinq sens ne fonctionnent plus: «Eh bien, c’est fini. Creusez ma tombe, apprĂȘtez mon cercueil», vous voyez.

5    Oh, je pensais Ă  une petite dame que j’ai reçue dans une entrevue ici, il y a un ou deux jours. Je ne la vois pas ici maintenant. Le nom du mari c’est (un nom plutĂŽt allemand) Dorch, Dash, ou Doughish. Et sa femme a eu un songe et elle est venue me raconter le songe. Et elle a dit: «FrĂšre Branham, je–j’ai rĂȘvĂ© que le diable est venu Ă  cĂŽtĂ© de mon lit. Et il a jetĂ© un coup d’Ɠil sur moi et s’est mis Ă  me faire des grimaces de jubilation, disant: «Je t’ai eue maintenant.» Et elle a dit: «Je
 Quelque chose m’est arrivĂ©e. Alors j’ai sautĂ© du lit et j’ai dit: ‘DĂ©mon, sors d’ici, au Nom de JĂ©sus-Christ.’ Et je me suis mise Ă  le pourchasser et il est sorti de la maison en courant.» Et elle a dit: «Je ne comprends pas ce que cela veut dire.»
    Puis le Saint-Esprit, Ă©tant prĂ©sent, donna l’interprĂ©tation. Peu aprĂšs cela, son mari a eu une crise cardiaque. Et lorsqu’elle a vu son mari tomber – et c’est un homme ĂągĂ©, robuste – et ses mains sont tombĂ©es en arriĂšre et ses yeux sont restĂ©s fixes. La mort est venue pour le prendre. Mais Dieu n’avait pas fini avec lui. Et la foi de cette petite dame s’est Ă©levĂ©e et elle a dit: «Je ne peux pas supporter cela! Je rĂ©clame sa vie au Nom de JĂ©sus-Christ!» Il s’est rĂ©tabli. Voyez?
    Pourquoi? Ce sixiĂšme sens s’est rĂ©veillĂ©; ce moment crucial, cette fois-lĂ , lui donna la foi. Dieu lui a donnĂ© le songe bien que cela n’était pas encore interprĂ©tĂ© pour elle. Mais j’ai dit: «VoilĂ  votre interprĂ©tation.» Alors la petite amie s’est mise Ă  crier et Ă  louer Dieu. Elle a dit: «C’est exactement comme ça que c’est arrivĂ©.» Voyez? C’est
 Eh bien, cela dĂ©montre la grĂące. Voyez? Il lui a donnĂ© le songe, sans mĂȘme qu’elle sache ce que c’était. Mais Dieu est toutefois content et fidĂšle pour tenir Son peuple au courant.

6    Si seulement nous Ă©tions spirituels et utilisions ce sixiĂšme sens, nous
 Oh, que de choses nous pourrions Ă©viter; que de choses nous pourrions connaĂźtre si l’église Ă©tait dans l’ordre, un endroit oĂč les esprits et les dons de l’église Ă©taient en action. Nous aurions des Ananias et des Saphiras Ă©tendus d’un bout Ă  l’autre, partout. C’est vrai. Le pĂ©chĂ© disparaĂźtrait de l’église.
    Mais, nous sommes devenus si liĂ©s Ă  la terre avec nos sens, de telle façon que nous disons: «Eh bien, si je ne vois pas ça, si je ne peux pas » Et ainsi, ces sens
 le diable entre dans ces sens. Et il vous laissera voir quelque chose de vos yeux et puis il vous fera douter quand mĂȘme de cela. En effet, bien des fois vous gardez vos yeux fermĂ©s si longtemps que vous devenez aveugle.

7    Une fois un homme m’a dit, il a dit: «Frappez-moi d’aveuglement! Frappez-moi d’aveuglement! Vous croyez Ă  la guĂ©rison divine, au mĂȘme Saint-Esprit que Paul a prĂȘchĂ©. Frappez-moi d’aveuglement!» J’ai dit: «Je ne peux pas le faire, car vous ĂȘtes dĂ©jĂ  aveugle.» J’ai dit: «Votre pĂšre le diable l’a fait il y a longtemps. Voyez? Vous–vous–vous–vous–vous ĂȘtes dĂ©jĂ  aveugle.» En effet, la Bible dit qu’il est aveugle. Cet Évangile est
 s’Il est cachĂ© Ă  quelqu’un, c’est Ă  ceux qui sont aveugles, Ă  ceux qui n’ont pas essayĂ© d’utiliser leurs sens. Le sens de
 que Dieu leur a donnĂ©. Ce sens, s’il est utilisĂ©, c’est un sens de dĂ©livrance, lorsque les cinq autres faillissent. De grandes choses ont Ă©tĂ© accomplies grĂące Ă  ce sens.
    RĂ©cemment ici, dans l’une de mes rĂ©unions, une dame est passĂ©e Ă  l’estrade, et elle avait un–un estomac ulcĂ©rĂ©, qui saignait. Et le Saint-Esprit s’est mis Ă  parler (elle savait que moi je n’en Ă©tais pas capable) et Il lui a dit qui elle Ă©tait, d’oĂč elle venait. Elle avait un estomac ulcĂ©rĂ©. Ensuite, quand Il a terminĂ©, Il a dit: «AINSI DIT LE SEIGNEUR, vous ĂȘtes guĂ©rie.» Puis elle est retournĂ©e chez elle.

8    Et il y avait une dame [Espace vide sur la bande–N.D.É.] 
voisinage, qui Ă©tait lĂ -bas dans la ligne de priĂšre. Quand on en est arrivé  elle avait une grosseur Ă  la gorge. Et quand c’était son tour dans la ligne de priĂšre, Cela lui a dit, Cela a dit–lui a dit qui elle Ă©tait, d’oĂč elle venait, tout Ă  son sujet. Elle a dit: «C’est exact.»
    Il a Ă©tĂ© dit: «AINSI DIT LE SEIGNEUR, vous ĂȘtes guĂ©rie.» Et ainsi, ces deux dames sont parties ce soir-lĂ , ensemble. Elles n’ont senti aucun changement.
    Cela n’a rien Ă  voir. Cela n’a rien Ă  voir, peu importe que vous sentiez que vous
 Vous–vous ne
 ne tenez pas compte de ces sensations. Si vous comptez sur elles, vous ne pourrez pas compter sur cela. En effet, c’est l’évidence des choses que vous ne voyez pas, que vous ne goĂ»tez pas, que vous ne touchez pas, que vous ne sentez pas, ou que vous n’entendez pas. C’est un autre sens.

9    Observez ce qui est arrivĂ©. Environ deux semaines s’écoulĂšrent. Cette femme qui avait l’estomac ulcĂ©rĂ© a essayĂ© de manger, et elle a failli simplement mourir. Mais elle a tenu bon malgrĂ© tout. Elle a dit: «Il y a quelque chose de surnaturel Ă  ce sujet. En effet, cet homme ne m’avait jamais vue de sa vie, et pourtant, il m’a dit qui j’étais. Et cela doit ĂȘtre de Dieu, puisque cela est conforme Ă  la Bible.» Vous voyez? Et elle a dit: «Et je connais cet homme. Je l’ai entendu prĂȘcher et il n’a pas d’instruction. Il ne connaĂźt rien de ces choses, mais il m’a tout dit. Et le mĂȘme homme a dit: ‘AINSI DIT LE. SEIGNEUR.’ Et s’il est serviteur de Dieu, il ne dirait pas cela si c’était juste son imagination. C’est le Saint-Esprit qui a dit au travers de lui que vous ĂȘtes guĂ©rie.
    Et elle a continuĂ©, et–et son mari Ă©tait chrĂ©tien, ses enfants
 Et elle l’a dit. Et elle est partie voir sa petite amie, un peu plus loin de chez elle sur leur rue, qui avait le nodule; aucune diffĂ©rence. Mais toutes les deux s’étaient rĂ©solues dans leur cƓur qu’elles avaient acceptĂ© cela comme Ă©tant Dieu; voilĂ  tout Ă  ce sujet.

10    Un matin, les enfants Ă©taient partis Ă  l’école, et elle Ă©tait debout faisant la vaisselle. Et elle ne pouvait rien manger du tout, parce que l’ulcĂšre la brĂ»lerait tout simplement. Elle faisait la vaisselle, et elle a dit: «Tout Ă  coup une sensation vraiment froide m’a parcourue.» Et elle a continuĂ©, et s’est dit: «Qu’était-ce? Je me suis sentie vraiment bizarre, vraiment lĂ©gĂšre, avec une sensation froide.» Eh bien, elle a simplement continuĂ© de faire la vaisselle.
    Quelque temps aprĂšs, elle a eu trĂšs faim. Alors elle est allĂ©e Ă  la–à la table
 Et les enfants avaient laissĂ© de la bouillie d’avoine dans une assiette. Alors elle a rempli une cuillĂšre de cette bouillie d’avoine et elle en a mangĂ© avec un petit morceau de toast. Elle s’est dit: «Eh bien, comme d’habitude, je vais peut-ĂȘtre vomir cela dans quelques minutes.» Et elle a donc continuĂ©. La premiĂšre chose, vous savez, tout allait bien. Elle a continué  Elle s’est sentie bien. Alors elle est allĂ©e lĂ  et elle a encore goĂ»tĂ©. Tout allait bien. Alors elle a eu un vĂ©ritable jubilĂ© gastronomique. Elle est allĂ©e se frire deux Ɠufs, un grand morceau de jambon, elle s’est prĂ©parĂ© une tasse de cafĂ©, et elle a vraiment mangĂ©. Elle a continuĂ© Ă  faire la vaisselle pendant quelque temps. Puis elle s’est mise debout. Elle se sentait bien. Elle a levĂ© les mains et a commencĂ© Ă  glorifier Dieu, elle est descendue dans la rue en courant; elle allait raconter Ă  sa sƓur ce qui Ă©tait arrivĂ©. Lorsqu’elle est arrivĂ©e lĂ , cette petite dame marchait sur le plancher en secouant le drap aussi fort que possible. Elle a dit: «Eh bien, que se passe-t-il, ma sƓur?» Elle a dit: «Regarde, cette chose qui Ă©tait sur mon cou a disparu. Je ne retrouve pas cela dans le drap. Je ne retrouve cela nulle part.» C’était parti.
    Qu’était-ce? C’est parce qu’elles s’étaient accrochĂ©es Ă  ce sixiĂšme sens de la Parole de Dieu qui ne considĂ©rait pas «un non» pour rĂ©ponse. Deux mois aprĂšs, elles sont venues Ă  la rĂ©union, toutes les deux, elles m’ont montrĂ© le
 comment elles Ă©taient guĂ©ries et tout. Qu’était-ce? Le sixiĂšme sens, ce sixiĂšme sens, ce sens puissant, cette chose qui les a libĂ©rĂ©es. Ce n’est pas parce que j’avais priĂ©, mais c’est parce qu’elles avaient cru. C’est ça. C’est ce qui a fait cela.

11    Eh bien, elles Ă©taient lĂ  au Cadle Tabernacle, Ă  Indianapolis, ou plutĂŽt c’est en bas, en partant d’ici, Ă  Indianapolis
 Il y avait un–un garçon qui Ă©tait atteint par la polio. Et on avait amené  AprĂšs la guĂ©rison de la fille Redigar
 La fille de frĂšre Redigar Ă©tait assise lĂ  dans le–dans le hangar Ă  charbon. On essayait de la retenir
 Elle Ă©tait devenue folle.
    Combien ici se souviennent de B.E. Redigar, le pasteur du Tabernacle de l’Évangile de Fort Wayne? Oh, vous parlez d’un homme qui a cru Ă  la guĂ©rison
 Du temps de frĂšre Bosworth
 Ne vous souvenez-vous pas de lui, docteur Sullivan? Et un trĂšs brave homme

    Et sa fille qui Ă©tait assise lĂ  Ă©tait devenue folle, souffrant de la maladie mentale qui avait tuĂ© sa sƓur. Et c’était une belle femme. C’était un matin de PĂąques. Et sa mĂšre Ă©tait assise lĂ . Et quand j’en ai fini avec la ligne de priĂšre, quelqu’un a dit: «Il y a ici dans le hangar Ă  charbon, une dame, dans le
 Ă  l’église, avec sa fille.» Il a dit: «C’est madame B.E. Redigar du Tabernacle de l’Évangile de Fort Wayne.»
    Je me suis dit: «Quoi? La femme et la fille de B.E. Redigar assises dans mon hangar Ă  charbon!» Alors je suis allĂ© lĂ . Et lĂ  elles Ă©taient assises sur de vieux petits bancs de l’école du dimanche, qu’on avait jetĂ©s lĂ  avec des papiers
 Une belle jeune fille Ă©tait assise lĂ , elle avait environ dix-huit, vingt ans, et elle se tirait les cheveux, comme ceci, disant: «Une piĂšce de cinq cents est une piĂšce de cinq cents. Une piĂšce d’un sous est une piĂšce d’un sous. Une piĂšce de cinq cents est une piĂšce de cinq cents. Une piĂšce d’un sous Ă©pargnĂ©e, une piĂšce d’un sous–une piĂšce d’un sous gagnĂ©e, une piĂšce d’un sous Ă©pargnĂ©e. Une piĂšce de cinq cents perdue, une piĂšce de cinq cents perdue.» Elle continuait ainsi, se tirant les cheveux, continuant


12    J’ai dit: «Madame Redigar » J’ai dit: «Êtes-vous Madame Redigar?»
    Elle a rĂ©pondu: «Oui.»
    Et j’ai dit: «Je suis frĂšre Branham.»
    Elle a dit: «Eh bien, enchantĂ©e de faire votre connaissance, FrĂšre Branham.»
    J’ai dit: «Votre mari Ă©tait presque une idole de mon cƓur lorsque j’étais petit. Quel grand homme!» Elle s’est mise Ă  pleurer. J’ai dit: «Celle-ci est-elle sa fille?»
    Elle a dit: «Oui, FrĂšre Branham. Nous l’avons amenĂ©e partout mais on n’y peut rien. Et sa sƓur Romaine est morte.»
    J’ai dit: «Romaine, est-elle morte de ça?» J’ai dit: «J’ai des photos de vous tous et tout, vos livres sur les eaux de vie et tout, que frĂšre Redigar a Ă©crits.» J’ai dit: «Eh bien, lorsque j’étais encore petit, lui Ă©tait un grand homme. Je l’écoutais Ă  la radio.» J’ai dit: «Celle-ci est-elle sa fille?»
    Elle a dit: «C’est sa fille.»

13    Quelque chose m’est venu Ă  l’esprit. Son pĂšre est mort et enterrĂ©. Je suis allĂ© à
 ce sixiĂšme sens a commencĂ© Ă  agir. J’ai dit: «Satan, tu ne peux plus la retenir encore. Au Nom de JĂ©sus-Christ, sors d’elle.»
    Alors sa mĂšre a dit
 J’ai dit
 Elle a dit: «Que dois-je faire?»
    J’ai dit: «Elle est guĂ©rie; amenez-la Ă  la maison.» Elle Ă©tait toujours assise lĂ , disant: «Une piĂšce de cinq cents est une piĂšce de cinq cents, une piĂšce d’un sous gagnĂ©e, une piĂšce d’un sous perdue», et ainsi de suite, continuant comme cela. On l’a amenĂ©e Ă  la maison. Et le lendemain, elle est revenue Ă  elle, et maintenant elle est mariĂ©e, avec une ribambelle d’enfants. Qu’était-ce? S’accrocher Ă  ce sixiĂšme sens.

14    Il y a quelque temps (si vous voulez une confirmation de ce tĂ©moignage, de ce que fera le sixiĂšme sens), nous Ă©tions Ă  la
 J’étais avec frĂšre G.H. Brown, 505, rue Victor, Ă  Little Rock, dans l’Arkansas. Et il y avait lĂ  l’un des cas les plus terribles que j’aie jamais vus de ma vie. FrĂšre Brown (aprĂšs que j’eus essayĂ© de prendre un petit repos, pour ĂȘtre restĂ© trĂšs longtemps dans la ligne de priĂšre), il a dit: «FrĂšre Branham, ici au sous-sol de l’auditorium se passe une des scĂšnes les plus horribles que vous ayez jamais vues.» Il a dit: «Cette dame du Mississippi a Ă©tĂ© guĂ©rie de la folie; son fils Ă©tait militaire; elle a Ă©tĂ© dans cet Ă©tat pendant vingt ans; elle ne reconnaissait mĂȘme pas son fils. Et elle est revenue dans son bon sens pendant que je priais pour elle. Cela a embrasĂ© la chose. Et ainsi
 il a dit: «Regardez ceci.» Et je suis allĂ© lĂ . Et une femme trĂšs solide, jeune, avec les pieds juste en l’air, portant juste des petits habits qu’on lui avait fait porter Ă  l’asile, parce qu’elle n’avait jamais soulevĂ© les pieds, elle ne s’était jamais mise debout pendant deux ans. Ses jambes saignaient. Ses bras saignaient. Et elle restait couchĂ©e, les deux pieds en l’air et les deux mains en l’air comme cela.
    Et j’ai parlĂ© Ă  cet homme, j’ai dit: «Qu’a-t-elle?»
    Il a dit: «Elle a perdu la tĂȘte, FrĂšre Branham. Elle avait reçu une piqĂ»re, et quelque chose lui est arrivĂ©, a-t-il dit, juste aprĂšs la naissance de notre bĂ©bĂ©.» Et il a dit: «Cela–cela a paralysĂ© quelque chose dans sa tĂȘte.» Il a dit: «C’est depuis deux ans qu’elle est donc dans un asile.» Et il a dit

    J’ai dit: «Pourquoi saigne-t-elle ainsi?»
    Il a dit: «Eh bien, on ne voulait pas la faire sortir de l’asile.» Et il a dit: «On n’a pas voulu prendre une ambulance, parce qu’elle est–elle est impĂ©tueuse.» Et il a dit: «J’ai louĂ© un frĂšre pour qu’il prenne sa voiture Chevrolet et quatre hommes de plus. Et nous avons essayĂ© de la maintenir sur le siĂšge arriĂšre, quatre hommes, et elle a cassĂ© les fenĂȘtres et tout en donnant des coups de pieds en venant ici, environ 90 miles [145 km–N.D.T.] depuis l’asile oĂč elle Ă©tait.»
    Et j’ai dit: «Vous voulez dire qu’elle saigne comme cela
 » J’ai dit: «Eh bien, je vais sortir lui imposer les mains.»
    Il a dit: «Oh, ne faites surtout pas cela.» Elle a dit: «Elle vous tuerait.» Eh bien, j’étais jeune dans la carriĂšre, et j’étais donc dans le ministĂšre depuis environ, oh, je pense, c’était quelque chose comme un an. Et je me suis dit: «Ô Dieu, occupe-Toi de ça.» Je suis sorti, et elle avait les mains en l’air
 j’ai dit: «Bonjour, sƓur.»

15    Et c’était une bonne chose d’avoir fait attention. Cet Ă©norme et puissant bras (lorsqu’on est possĂ©dĂ© d’un dĂ©mon, on devient dix fois plus puissant
) Et elle m’a secouĂ© comme ceci et si fortement qu’elle m’a basculĂ© de mes pieds. Et quand elle l’a fait, mon pied a directement cognĂ© son–son sein, ici, et cela a dĂ©gagĂ© brusquement ma main. Et j’ai fui loin d’elle. Et j’ai couru comme cela sur la marche et son mari, se tenant là

    Et elle m’a poursuivi en rampant sur son dos comme un serpent, prenant plaisir Ă  me pourchasser sur son dos, les mains et les pieds en l’air, faisant juste
 J’entends encore ce bruit affreux, se traĂźnant comme un serpent, avançant sur le parquet. Elle pesait environ 170 livres [85 kilos–N.D.T.] et elle se traĂźnait comme cela. Elle est venue tout droit jusque-lĂ , elle a fait le tour, a mis ses jambes trĂšs solides contre le mur comme cela et a cognĂ© trĂšs fort avec ses pieds, elle a cognĂ© un banc qui se trouvait lĂ , elle s’est arrachĂ© la peau de sa tĂȘte; une partie de son cuir chevelu a Ă©tĂ© pelĂ©e; le sang a commencĂ© Ă  couler comme cela. Et elle a pris le morceau de bois qui s’en est dĂ©tachĂ©, et elle l’a lancĂ© vers son mari, et cela a arrachĂ© du mur tout le plĂątre. Nous avons dĂ» baisser vivement la tĂȘte. Il a dit: «Je vous l’avais dit» J’ai dit: de n’ai jamais rien vu de pareil de ma vie.»
    Il a dit: «Qu’est-ce, FrĂšre Branham?
    J’ai dit: «C’est le diable.»
    Et juste Ă  ce moment-lĂ , elle a rampĂ© tout droit, et elle a dit: «William Branham, tu n’as rien Ă  voir avec moi. C’est moi qui l’ai amenĂ©e ici.» Et son mari a jetĂ© un coup d’Ɠil et a dit: «Eh bien, elle ne sait mĂȘme pas qui elle est. Comment
 Elle ne vous connaĂźt pas.» Et j’ai dit: «Ça ce n’est pas elle; c’est le dĂ©mon. C’est le dĂ©mon en question.»
    Et j’ai dit: «Satan, tu comprends et tu sais rĂ©ellement que je n’ai aucun pouvoir sur toi, mais mon Seigneur en a, car Il t’a vaincu au Calvaire. Et par un don divin qui m’a Ă©tĂ© donnĂ© par un Ange, qui m’a dit d’amener les gens Ă  ĂȘtre sincĂšres et que rien ne rĂ©sisterait Ă  la priĂšre » Et j’ai dit: «Au Nom de JĂ©sus-Christ, sors d’elle.» Aucun changement.

16    Son pauvre mari, qui portait une vieille salopette, a jetĂ© son bras autour de mon cou et a commencĂ© Ă  me serrer dans ses bras. Et il a dit: «Que dois-je faire d’elle, FrĂšre Branham?»
    J’ai dit: «Ramenez-la Ă  l’asile, s’ils acceptent de la recevoir.»
    Il a dit: «Eh bien, qu’en pensez-vous?»
    J’ai dit: «Il–il ne s’agit pas de ce que je pense, il s’agit de ce que vous, vous pensez.»
    Il a dit: «Je crois qu’elle sera guĂ©rie.»
    J’ai dit: «C’est tout ce que vous devez faire.»
    Â«Je crois qu’elle sera guĂ©rie.» Sur le chemin de retour, ce soir-lĂ , ils n’ont pas eu le moindre ennui avec elle. Le lendemain matin, quand le
 ils sont entrĂ©s pour la chercher, elle Ă©tait debout et elle parlait Ă  l’infirmiĂšre en chef. Et le deuxiĂšme jour, on l’a fait sortir de l’hĂŽpital, tout Ă  fait normale et en bonne santĂ©.

17    Environ six mois aprĂšs, j’étais Ă  Jonesboro, dans l’Arkansas, avec Richard Reed au Tabernacle de l’Heure du RĂ©veil Ă  l’Ancienne Mode, Ă  Jonesboro, dans l’Arkansas. C’était un grand tabernacle baptiste, avec une capacitĂ© de–avec une capacitĂ© plus importante que ça, que cet endroit. Et j’ai commencĂ© Ă  prĂȘcher
 Et je voyais constamment quelqu’un me saluer de la main lĂ -bas, mais je ne savais pas qui c’était. Et elle n’a simplement pas pu supporter cela plus longtemps. Elle a dit: «Vous souvenez-vous de moi?» Elle avait quatre ou cinq petits enfants
 Et j’ai dit: «Je ne pense pas.» Elle a dit: «Je ne vous ai jamais vu auparavant non plus.» Elle a dit: «Mais je suis cette femme qui rampait sur le dos.» Et son mari, en l’espace de ces six mois, avait Ă©tĂ© appelĂ© au ministĂšre, et il partait prĂȘcher l’Évangile. Oh! la la!
    Qu’est-ce? S’accrocher Ă  ce sixiĂšme sens. La foi l’a dit
 Il a dit: «J’ai gardĂ© cela dans mon cƓur. Si Dieu a pu faire telle chose aux autres, Il peut faire cela pour ma femme.» Il a continuĂ© Ă  s’accrocher Ă  cela. Rien ne pouvait le dĂ©tacher de cela. C’est ce que ce sixiĂšme sens fera quand il sera libĂ©rĂ©; et laissez cela avoir son pouvoir de contrĂŽle.

18    Un soir, je suis rentrĂ© chez moi; je me suis couchĂ© dans mon lit. Si vous voulez Ă©crire pour avoir ces tĂ©moignages, je vous donne les adresses. Écrivez Ă  Georgie Carter, Ă  Milltown, dans l’Indiana, et cela pourra–cela pourra lui parvenir: Georgie Carter, Milltown, Indiana. Et elle Ă©tait membre d’une Ă©glise qui ne croyait pas dans la guĂ©rison divine. Elle prenait des leçons de piano pendant qu’elle Ă©tait une petite fille, et son oncle l’amenait pour cette–pour une leçon de piano. Et quand il l’a amenĂ©e, cet homme, un adulte tout fait, et elle, une petite fille, et il a violĂ© cette enfant. Et alors, cela lui a donnĂ© la tuberculose. Et elle Ă©tait restĂ©e couchĂ©e pendant neuf ans et huit mois Ă  plat sur son dos, avec la tuberculose des glandes femelles, partout dans son corps et dans ses poumons. Et elle pesait Ă  peu prĂšs 37 livres [18,5 kilos]. Je pense que ce qu’on a pu peser d’elle

    Maintenant vous pouvez lui Ă©crire si vous voulez. C’est votre privilĂšge, si vous voulez le faire. Elle sera ravie de rĂ©pondre. Et je ne connaissais rien sur cette fille. Je ne savais mĂȘme pas oĂč se trouvait Milltown.
    Et je suis rentrĂ© chez moi et j’ai vu maman
 Et j’ai dit: «Ce soir je vais aller tĂŽt au lit, parce que j’ai l’intention d’entrer mĂ©diter sur le Seigneur.»
    Elle a dit: «TrĂšs bien, Billy, entre tout simplement, va au lit.»

19    Je suis allĂ© dans la chambre, j’ai priĂ© et j’ai priĂ© pendant longtemps. Et aprĂšs quelque temps, j’ai regardĂ© par-là
 Et maman Ă©tait juste l’une de ces femmes paysannes Ă  l’ancienne mode; elle lavait ses habits et les Ă©talait sur une chaise (Je ne sais pas si vous femmes avez dĂ©jĂ  fait cela ou pas), et elle les Ă©talait lĂ  jusqu’à ce qu’elle les repassait, elle Ă©tait debout, pieds nus, et elle repassait. Et ainsi je
 Maman avait placĂ© lĂ  des chaises et elle y mettait des habits de nous tous les garçons dans
 Ă  la maison. Et Ă  l’époque je restais chez nous. C’était longtemps aprĂšs que j’eus perdu ma femme.
    Et j’ai regardĂ©, et c’était comme si cette chaise venait vers moi. Et quand j’ai regardĂ©, c’était cette LumiĂšre qui venait vers moi. Et quand Elle est venue droit vers moi, c’était comme si je commençais Ă  marcher dans un dĂ©sert. Et j’ai entendu quelque chose comme un petit agneau, faisant: «BĂȘĂȘ, bĂȘĂȘ.» Et je me suis dit: «Oh, ce pauvre petit ami est pris quelque part.» Et je suis entrĂ© dans la brousse, essayant de le retrouver. Et quand je suis arrivĂ© Ă  un
 prĂšs de lui, je l’ai encore entendu; j’ai dit: «OĂč est-il?» Je me suis dit: «La pauvre petite crĂ©ature!» Et je me suis approchĂ©, plus prĂšs, fonçant dans la brousse. Et quand elle bĂȘlait, elle partait, faisant: «Milltown, Milltown.» Et je me dĂ©menais, essayant de l’atteindre. Puis je suis sorti de la vision. Je me suis dit: «OĂč se trouve Milltown?» Je me suis dit: «Il y a des problĂšmes Ă  Milltown. Un agneau a Ă©tĂ© attrapĂ© lĂ -bas ou lĂ -haut, peu importe oĂč c’est.»

20    Et je suis parti, et j’ai demandĂ© Ă  mon Ă©glise le mercredi soir, s’ils connaissaient un endroit du nom de Milltown. Personne ne connaissait cela. Eh bien, alors le dimanche, j’ai encore posĂ© la question: «Quelqu’un connaĂźt-il un endroit du nom de Milltown?» Georgie Wright (Beaucoup de mes membres ici venant du Tabernacle connaissent Georgie Wright; il vient lĂ  depuis des annĂ©es), il a dit: «Eh bien, FrĂšre Branham, a-t-il dit, Milltown c’est juste une
 lĂ  au Sud, Ă  environ trente cinq miles [56 km–N.D.T.] d’ici, une petite ville, elle est situĂ©e sur une petite colline lĂ -bas.» Il a dit: «Je connais l’endroit.»
    J’ai dit: «Voulez-vous m’y amener?»
    Il a dit: «D’accord.»
    Eh bien, alors j’ai dit: «J’y serai samedi prochain.»

21    Eh bien, je suis allĂ© Ă  Milltown. Nous y sommes allĂ©s; ils ont Ă  peu prĂšs deux Ă©piciers. Et j’ai vu venir des gens dans leurs camions et dans leurs bogheis. Comme on le fait dans le Kentucky, vous savez, lĂ  dans les montagnes. Et je me suis dit: «Eh bien, je ne vois rien ici.» Je suis allĂ© demander Ă  un homme s’il pouvait me vendre cette petite caisse en bois.
    Il a dit: «Oui, que voulez-vous en faire?»
    J’ai dit: «Il y a beaucoup de gens qui se tiennent ici; je voudrais me faire une estrade oĂč me tenir. Je suis prĂ©dicateur. Je voudrais prĂȘcher.»
    Il a dit: «Vous ne me devez rien pour cela. Emportez-la. C’est bien.»

22    Et ainsi j’ai pris ma caisse
 Et quand j’ai pris ma caisse et que je suis sorti, j’ai vu venir frĂšre Wright. Il a dit: «FrĂšre Branham, je dois faire des achats ici sur la colline.» Il a dit: «Si vous le voulez, vous pouvez m’y accompagner.» J’ai dit: «D’accord. Je place juste ma caisse ici
 Il y aura une foule un peu plus grande quand je reviendrai.» Et j’allais lĂ  Ă  la colline, et nous sommes passĂ©s prĂšs d’une vielle et grande Ă©glise blanche. J’ai dit: «Quel genre d’église est-ce?» Il a dit: «C’est une vieille Ă©glise baptiste.» Il a dit: «Le prĂ©dicateur a eu des ennuis et » Il a dit: «Il est devenu un bandit et il a violĂ© la femme de quelqu’un, et on lui a tirĂ© dessus. Et il s’en est suivi beaucoup d’histoires.» Il a dit: «La pe-l’assemblĂ©e s’est dispersĂ©e.» Et il a dit: «Ils n’ont plus d’église.»

23    Eh bien, je me suis mis Ă  contourner l’église avec lui. Et Ă  ce moment-lĂ , Quelque Chose a dit: «Va Ă  cette Ă©glise.» Et j’y suis allĂ© et il

    J’ai dit: «Je vais me tenir ici pendant que tu iras lĂ  sur la colline.»
    Il a dit: «D’accord.»
    J’ai dit: «On ne tient pas des cultes ici?»
    Â«Non.»
    J’ai essayĂ© d’ouvrir la porte, mais la porte ne s’ouvrait pas. J’ai dit: «PĂšre cĂ©leste, y a-t-il quelque chose en rapport avec cette Ă©glise, pour lequel Tu m’as appelĂ©? Est-ce cette Ă©glise qui Ă©tait toute blessĂ©e dans la brousse? Est-ce pour ceci que Tu criais «Milltown»? Si c’est ici que Tu as besoin de moi, ouvre-moi cette porte.» J’ai saisi la porte, elle ne s’ouvrait pas. Eh bien, je me suis assis sur la marche.
    Et presque Ă  ce moment, un homme s’est approchĂ© de l’église. Il a dit: «Bonjour.»
    J’ai dit: «Bonjour, monsieur.»
    Il a dit: «Voulez-vous entrer dans l’église?»
    Et j’ai dit: «Oui, monsieur.»
    Il a dit: «J’ai la clĂ©.» Il a ouvert la porte.

24    J’ai jetĂ© un coup d’Ɠil lĂ  Ă  l’intĂ©rieur; j’ai dit: «À qui appartient-elle?»
    Il a dit: «À la ville.»
    J’ai dit: «Je voudrais savoir si les gens peuvent avoir des rĂ©unions ici.»
    Il a dit: «Allez lĂ  Ă  la carriĂšre et demandez-leur.»
    Et je suis allĂ© lĂ  et il a dit
 J’ai dit: «Je travaille dans les entreprises de service public; je vais y installer un compteur. Je voudrais y tenir des rĂ©unions.»
    Il a dit: «Servez-vous, vous n’avez pas du tout de loyer Ă  payer pour cela. Prenez-en simplement soin.»
    Et j’ai dit: «Merci, monsieur; c’est ce que je vais faire.»
    Et je suis allĂ© lĂ , et je me suis placĂ© un compteur et j’ai commencĂ© un rĂ©veil. La premiĂšre soirĂ©e j’ai apportĂ©: «Dieu est un
 JĂ©sus-Christ, le mĂȘme hier, aujourd’hui et pour toujours. Dieu reste Dieu.» Et FrĂšre Hall
 l’homme qui a Ă©crit lĂ  un petit article
 ce n’était pas plutĂŽt frĂšre Hall; c’est FrĂšre Wright qui a Ă©crit un petit article lĂ -dessus et qui a dit: «Venez Ă©couter le jeune Billy Sunday.» Eh bien, ce soir lĂ  j’ai eu une grande assemblĂ©e: monsieur Wright, ses deux filles, et son fils, pour une Ă©glise d’une capacitĂ© d’environ cinq cents personnes. Eh bien, j’ai prĂȘchĂ© de toutes mes forces.

25    Le soir suivant, j’avais la mĂȘme assemblĂ©e. Juste au moment oĂč je me suis apprĂȘtĂ© pour
 Assis sur une chaise derriĂšre la chaire, j’allais appeler l’église–la rĂ©union Ă  l’ordre
 j’ai distribuĂ© les livres de cantiques; on les avait dĂ©posĂ©s partout, et j’avais dĂ©poussiĂ©rĂ© complĂštement cela. J’avais travaillĂ© durement toute la journĂ©e; je suis venu et j’ai dĂ©poussiĂ©rĂ© cela. J’ai commencĂ© par ces livres de cantiques
 par ces livres de cantiques
 J’en ai donnĂ© un Ă  frĂšre Wright, un aux autres, et je suis retournĂ© m’asseoir. À ce moment-lĂ  j’ai entendu quelqu’un faire [FrĂšre Branham frappe quatre fois sur la chaire–N.D.É.] Ă  la porte. J’ai regardĂ© et j’ai vu entrer un gars.
    FrĂšre Wright a dit: «Oh, la la!» Il adit: «VoilĂ  le plus grand hypocrite et le plus grand infidĂšle de la contrĂ©e.» Et il a cognĂ© sa vieille pipe Ă  Ă©pi de maĂŻs contre le mur du bĂątiment, il est entrĂ© comme cela; il avait perdu une dent, et sa chevelure pendait sur ses yeux. Il a dit: «OĂč est ce gars qu’on appelle le jeune Billy Sunday?’»
    Je suis allĂ© derriĂšre et j’ai dit: «Votre nom, monsieur?»
    Il a dit: «Je suis Bill Hall, le fleuriste d’ici.»
    J’ai dit: «Eh bien, je suis frĂšre Branham.»
    Il a dit: «Êtes-vous le jeune Billy Sunday?»
    J’ai dit: «C’était une erreur.» J’ai dit: «Non, je ne suis pas le jeune Billy Sunday.» J’ai dit: «Ne voulez-vous pas venir ici devant et vous asseoir?»
    Il a dit: «Je serai tout Ă  fait bien juste ici derriĂšre.»
    J’ai dit: «TrĂšs bien, faites comme chez vous. Voici un livre de cantiques.»
    Il a dit: «Je ne sais pas chanter.»
    J’ai dit: «Eh bien, nous non plus. Mais nous allons faire pour le Seigneur un bruit de joie.»

26    Et je suis allĂ© lĂ -haut, et j’ai prĂȘchĂ©. Lorsque j’ai commencĂ© Ă  prĂȘcher, il n’a cessĂ© d’avancer un tout petit peu, d’avancer un tout petit peu. Et quand j’ai fait l’appel Ă  l’autel, il Ă©tait Ă  l’autel; et il est devenu le pasteur de cette Ă©glise jusqu’à prĂ©sent. Vous voyez?
    Eh bien, quelques jours aprĂšs cela, j’ai commencĂ© Ă  prĂȘcher sur la guĂ©rison divine. On m’a parlĂ© d’une fille qui vivait lĂ  sur la colline, et qui Ă©tait alitĂ©e depuis neuf ans et six
 ou plutĂŽt huit mois, sans mĂȘme voir l’extĂ©rieur. Eh bien, je–j’ai dit: «Eh bien, je ne sais pas si la–si » Leur pasteur avait dĂ©jĂ  dit cela dans une certaine Ă©glise dĂ©nominationnelle qui disait: «Les jours des miracles sont passĂ©s.» La plupart de toutes les Ă©glises de la place disaient: «Si quelqu’un ose simplement y aller, il sera pour commencer excommuniĂ©.» Ainsi son pĂšre Ă©tait diacre dans cette Ă©glise. C’était donc difficile qu’ils viennent lĂ .

27    Et mon petit livre
 Il se peut que beaucoup d’entre vous aient lu cela; c’est intitulĂ©: JĂ©sus-Christ, le mĂȘme hier, aujourd’hui et pour toujours. Eh bien, là
 Le tĂ©moignage de la petite Nail s’y trouve, quand elle a Ă©tĂ© guĂ©rie.
    Eh bien, ils m’ont envoyĂ© quelqu’un pour que j’aille prier pour une fille qui avait la tuberculose. Et ses parents voulaient que j’aille. Je suis allĂ© lĂ  et j’ai priĂ© pour elle. Ce soir-lĂ , elle est revenue avec moi Ă  l’église, aprĂšs ĂȘtre restĂ©e couchĂ©e lĂ  pendant longtemps.
    Georgie s’est accrochĂ©e Ă  ceci et elle s’est mise Ă  pleurer. Finalement sa mĂšre et son pĂšre ont acceptĂ© que j’aille prier pont elle, mais ils ne voulaient mĂȘme pas ĂȘtre dans la maison. Ils sont partis et ils se sont Ă©loignĂ©s. Alors je suis entrĂ©.

28    Pauvre petite crĂ©ature! Elle essayait de tousser; elle faisait: [FrĂšre Branham imite le toussotement d’une personne malade–N.D.É.] Elle ne pouvait pas tenir son crachoir pour y cracher. Et elle a dit: [FrĂšre Branham imite la voix de Georgie ressemblant Ă  celle d’une personne Ă©puisĂ©e et qui essaie de parler] «J’ai
 lu
 le petit
 livre.» Et j’ai regardĂ©, il y avait lĂ  ma photo et ce petit livre intitulĂ©: «JĂ©sus, le mĂȘme hier, aujourd’hui et pour toujours.» Et elle a dit: «Je
 crois
 qu’Il me guĂ©rira.»
    Et j’ai dit: «Eh bien, je ne voudrais pas provoquer des conflits dans votre Ă©glise, ma petite chĂ©rie. Mais oĂč sont ton pĂšre et ta mĂšre?» Les larmes (j’ignore oĂč elle a eu assez d’eau pour avoir des larmes) ont coulĂ© sur son visage, oĂč on pouvait mĂȘme voir les jointures de son crĂąne. Elle Ă©tait membre d’une Ă©glise trĂšs cĂ©lĂšbre qui renie la puissance de Dieu. Ne
 Juste des pharisiens modernes, ils ne croient pas au Saint-Esprit, ni Ă  rien. Soyez tout simplement baptisĂ© dans l’eau et soyez membre de l’église. Ainsi je ne voulais pas susciter de mauvais sentiments parmi les gens.

29    Et j’ai dit: «Eh bien, maintenant je vais prier pour toi.»
    Et elle a dit: «Voulez-vous le faire comme vous l’avez fait pour la fille Nail?»
    J’ai dit: «Ma sƓur, ça c’était une vision. Je ne peux faire que ce que Dieu me dit de faire.» Et j’ai priĂ© pour elle; elle n’allait pas mieux. J’ai terminĂ© mon rĂ©veil
 Et j’avais environ soixante ou soixante-quinze personnes Ă  baptiser Ă  la fin de la semaine. Et elle a promis Ă  Dieu que si elle Ă©tait guĂ©rie, elle irait se faire baptiser au lieu appelĂ© Totten Ford, lĂ  dans le Little Blue River. Eh bien, le jour


30    Quand ce fut le jour du baptĂȘme, je suis parti lĂ . Il y avait lĂ  un prĂ©dicateur qui m’avait humiliĂ© au sujet du baptĂȘme d’eau. Oh! la la! Et il avait tenu un rĂ©veil dans une tente, juste au sommet de la colline. Et pendant que j’étais lĂ  dans l’eau, baptisant, j’ai dit: «Il me semble que les Anges de Dieu sont assis tout prĂšs.» Et chaque membre de son assemblĂ©e (cette eau boueuse avec des gens portant de jolies robes blanches) s’est avancĂ© lĂ  et s’est fait baptiser du baptĂȘme chrĂ©tien, chacun d’eux. C’est vrai. Oh, quel temps!
    Nous sommes allĂ©s chez monsieur Wright pour prendre le souper. Et quand je suis allĂ©, j’ai dit: «Je n’ai pas envie de prendre le souper avant de retourner Ă  la rĂ©union ce soir. Je crois que j’irai lĂ  prier. J’ai un fardeau sur mon cƓur concernant cette petite fille.»
    Et je suis allĂ© lĂ -haut et
 sur le flanc de la colline et j’ai commencĂ© Ă  prier. Il y a environ deux semaines que j’étais lĂ , dans cette mĂȘme petite brousse. Je me suis agenouillĂ© lĂ , je priais, regardant Ă  Dieu. J’ai essayĂ© de me tenir tranquille et il y avait des Ă©pines vertes autour de ma jambe, qui me piquaient, juste
 Vous savez, dĂšs que vous commencez simplement Ă  prier ou Ă  faire quelque chose de bien, voyez comment le diable se cramponne Ă  vous. Et je suis rentrĂ© lĂ  au fond et les rayons du soleil couchant me frappaient aux yeux. Puis je suis retournĂ© de ce cĂŽtĂ©, oĂč que vous fussiez
 Puis finalement, je ne m’en faisais plus. Et j’ai dit: «Seigneur Dieu, que ces piquants me fassent mal aux genoux, ou que ces pierres me fassent mal aux genoux, et que sais-je encore, je prie.» Et je me suis mis Ă  prier.

31    Juste au moment oĂč j’étais totalement plongĂ© dans la priĂšre, j’ai regardĂ© et dans un petit cornouiller
 Tout le monde sait ce que c’est qu’un cornouiller? Oh, Ă©videmment, l’Ohio sait ce que sont les cornouillers. Un petit cornouiller là
 Cette LumiĂšre, cet Ange de Dieu dont vous avez la photo ici, cette LumiĂšre brillait lĂ  dans ce buisson, Elle a dit: «Tiens-toi debout.»
    J’ai dit: «Oui, mon Seigneur.»
    Il a dit: «Dirige-toi vers chez les Carter.» C’est tout ce qu’Il a dit.

32    Eh bien, quand je–j’ai entendu cette cloche sonner
 Et monsieur Wright m’avait parlĂ©, il avait dit: «Eh bien, quand cette cloche sonne, c’est que maman a mis le souper sur la table, et vous, il faut venir.» Une vieille cloche paysanne
 Il a dit: «On la sonne. Elle
 quand elle sonne cela, venez.» Je l’ai entendue. Mais j’étais dans la vision, et je ne pouvais pas partir. Vous savez que Dieu rĂ©pond sur les deux bouts de la ligne. Ne croyez-vous pas cela?
    Au mĂȘme moment, la petite Georgie est devenue trĂšs nerveuse, sachant que j’allais quitter la contrĂ©e, elle pleurait; et elle voulait venir et ĂȘtre baptisĂ©e; et elle l’avait promis Ă  Dieu; et elle devint trĂšs agitĂ©e.
    Et sa mĂšre, une merveilleuse dame, elle est allĂ©e dans la cuisine et s’est agenouillĂ©e, et elle a fermĂ© la porte entre elle et Georgie. Et elle a dit «Ô Dieu du ciel, a-t-elle dit, fais quelque chose Ă  ce vil imposteur qui est venu ici dans notre contrĂ©e. Pendant les neuf ans que ma pauvre petite fille est restĂ©e sur ce lit, jamais une seule fois elle ne s’est plainte. Et maintenant, il l’a complĂštement embrouillĂ©e dans son esprit, en lui parlant d’un GuĂ©risseur ou de quelque chose de ce genre.» Et elle a dit: «RĂ©primande cet homme. RĂ©primande cet homme, Seigneur.» Elle Ă©tait honnĂȘte en cela. Elle a dit «Chasse-le de la contrĂ©e. Ma pauvre petite fille est Ă©tendue lĂ , se mourant lĂ , sans espoir de vivre plus longtemps; et Ă©tant Ă©tendue lĂ  comme cela
 et cet imposteur l’a complĂštement embrouillĂ©e, en lui donnant un faux espoir »

33    Elle a dit
 Maintenant, voici son tĂ©moignage; je n’étais pas lĂ . Elle a dit qu’elle s’est levĂ©e. Elle a cru avoir entendu quelqu’un venir. Elle s’est levĂ©e. Sa fille vivait lĂ  un peu loin sur la colline. Et elle pensait que c’était sa fille. Elle s’est retournĂ©e. Elle a regardĂ©, puis elle a dit que sur le mur, au moment oĂč le soleil se couchait (au mĂȘme moment, moi je priais), elle a vu une ombre venir sur le mur. C’était JĂ©sus, a-t-elle dit. Elle a dit: «Il Ă©tait lĂ  aussi clair que vous L’avez jamais vu, avec Sa barbe. Il a dit: ‘Pourquoi pleures-tu? Qui vient? a-t-elle dit.» Elle a dit qu’elle a regardĂ© par-lĂ  et elle a vu mon ombre, en quelque sorte, Ă  moitiĂ© chauve et portant cette mĂȘme Bible-ci sur mon cƓur, approchant, entrant avec un homme derriĂšre moi.
    Et elle est entrĂ©e en courant et elle a dit: «Georgie, la chose la plus drĂŽle est arrivĂ©e.» Elle a dit: «Je dois m’ĂȘtre endormie. J’ai fait un rĂȘve. J’ai vu entrer ce prĂ©dicateur.»

34    Presque Ă  ce moment-lĂ , la portiĂšre de la voiture a claquĂ©. C’était ma descente. Oh, Dieu rĂ©pond de deux cĂŽtĂ©s, si vous Le laissez simplement faire cela. Georgie croyait lĂ  contre toute incrĂ©dulitĂ©. Elle attendait toujours que Dieu puisse la guĂ©rir. S’il a pu guĂ©rir une fille, Il pouvait en guĂ©rir une autre. Oui. Et elle m’a vu. Et je me suis avancĂ©, Ă©tant sous l’onction. Je n’ai mĂȘme pas frappĂ© Ă  la porte. J’ai juste ouvert la porte. Son pĂšre Ă©tait parti Ă  l’étable chercher du lait, en effet il avait fui de traire les vaches. Et ainsi, je me suis avancĂ©, j’ai ouvert la porte, je suis entrĂ©, je
 Et cette femme, la mĂšre, s’est simplement Ă©vanouie et s’est Ă©croulĂ©e sur le plancher. Et Georgie Ă©tait lĂ , et elle a levĂ© les yeux vers moi.
    Et j’ai dit: «SƓur Georgie, le Seigneur JĂ©sus-Christ que tu aimes » Et lĂ  au dos du lit, le petit poster de son lit, elle en avait grattĂ© toute la peinture
 Tant qu’elle pouvait de ses mains atteindre cela, elle s’accrochait Ă  cela et criait Ă  Dieu de la secourir. Et son Ă©glise lui racontait que les jours des miracles Ă©taient passĂ©s. Mais elle Ă©tait nĂ©e pour ĂȘtre une fille de Dieu. Et elle Ă©tait lĂ , accrochĂ©e Ă  cette promesse. Dieu, dans Sa misĂ©ricorde, a donnĂ© une vision et m’a envoyĂ© lĂ . C’est lĂ  qu’on en Ă©tait. J’ai dit: «Je sais qui tu es maintenant. Tu es cet agneau que j’avais vu attrapĂ© ici dans ce tas de thĂ©ologie.» AllĂ©luia! J’ai dit: «Georgie, le Seigneur que tu aimes et que tu sers, m’est apparu ici, lĂ  sur cette colline il y a un instant, sous forme de cette mĂȘme LumiĂšre qui est suspendue sur la fille Nail, et Il m’a dit de venir par ici. J’ordonne au diable, au Nom de JĂ©sus-Christ, de te quitter.» J’ai dit: «Tiens-toi debout»
    Satan a dit: «Comment va-t-elle se mettre debout alors que ses jambes sont presque comme des manches Ă  balai.» Ce n’était pas une pensĂ©e. «LĂšve-toi de toute façon!» Elle ne pouvait mĂȘme pas soulever son crachoir.

35    Et elle s’est levĂ©e de ce lit sous la puissance du Saint-Esprit, et a traversĂ© le plancher, louant Dieu, puis elle est sortie et s’est assise dans le jardin, et elle a bĂ©ni la pelouse, les feuilles, et tout. Elle n’avait pas vu cela depuis neuf ans. Je me suis retournĂ©, puis je suis parti. Sa mĂšre s’est relevĂ©e et s’est mise Ă  crier et elle est tombĂ©e, et elle est tombĂ©e sous la vĂ©randa et dehors, au jardin. Les voisins ont commencĂ© Ă  venir, pensant que la fille Ă©tait morte ou quelque chose de ce genre. Et elle Ă©tait lĂ  dans le jardin, se promenant, caressant les feuilles et louant Dieu.
    Son pĂšre a entendu tout ce brait, alors il est venu. Sa femme Ă©tait Ă©tendue dehors et les gens l’éventaient comme cela. Et il a entendu jouer l’orgue. Et il est entrĂ© dans la maison. Sa petite fille Ă©tait lĂ , assise Ă  l’orgue, jouant:
Il y a une fontaine remplie de Sang
TirĂ© des veines d’Emmanuel,
Lorsque les pécheurs plongent dans ce flot,
Ils perdent toutes les tùches de leur culpabilité.

36    Oh! la la! Depuis ce temps-lĂ , elle n’a plus Ă©tĂ© dans son lit que pour dormir. Cela fait quinze, seize ans. Oh, qu’était-ce? S’accrocher Ă  ce sixiĂšme sens, quelque chose Ă  l’intĂ©rieur disant: «S’Il a pu guĂ©rir une personne, Il peut me guĂ©rir.» AllĂ©luia! C’est la vĂ©ritĂ©. C’est vrai.

37    Rappelez-vous, ici Ă  Fort Wayne, le vieux John Rhyn. Non pas l’homme Ă  la moustache, l’autre, l’aveugle John Rhyn. J’avais lĂ  une rĂ©union dans un grand tabernacle. Je vais terminer, pour commencer Ă  prier pour les malades. Cet homme Ă©tait assis lĂ  au balcon. Il Ă©tait catholique. On l’a amenĂ© prĂšs de l’autel, on l’a amenĂ© Ă  l’estrade suivant sa carte.
    Quand il est arrivĂ© lĂ  oĂč j’étais, j’ai dit: «Vous vous appelez John Rhyn.»
    Â«C’est vrai.»
    Â«Et vous ĂȘtes de la foi catholique.»
    Il a dit: «C’est vrai.»
    Â«Vous faites du cheval au cirque.»
    Â«C’est vrai.» Il a dit 
?
 alors: «Vous ĂȘtes aveugle depuis vingt ans et quelques ou plus.»
    Il a dit: «C’est vrai.» Et une sorte de leucĂ©mie ou quelque chose, avait affectĂ© ses yeux et l’avait rendu aveugle. J’ai dit: «Vous ĂȘtes un mendiant»
    Et il a dit: «Pas exactement un mendiant.» Mais il a dit: «Je reste dans la rue.» Et j’ai dit: «Eh bien, c’est tout Ă  fait vrai.» Et j’ai dit: «Croyez-vous que JĂ©sus-Christ vous guĂ©rira?»
    Il a dit: «Oui.»
    J’ai priĂ© pour lui et je lui ai imposĂ© les mains. J’ai dit: «Seigneur JĂ©sus, je rĂ©primande maintenant cette cĂ©citĂ© au Nom de JĂ©sus-Christ. Que cela le quitte.» Puis je me suis retournĂ© et j’ai regardĂ©, et je l’ai vu s’en aller, voyant. J’ai dit: «AINSI DIT LE SEIGNEUR» (Faites attention Ă  cela), «AINSI DIT LE SEIGNEUR, vous avez reçu la vue.»
    Eh bien, il–il a dit: «Je ne vois pas.»
    J’ai dit: «Ça n’a rien Ă  voir. Allez votre chemin, vous rĂ©jouissant.» Alors il est parti.

38    Il y avait une femme, aprĂšs quelques minutes, qui avait un gros goitre pendant Ă  sa gorge, et pendant que nous priions pour elle, cela a disparu. John Rhyn est revenu, bousculant tous les huissiers, et il est revenu. Et alors l’homme qui m’aidait dans la ligne de priĂšre, a commencĂ© Ă  le faire descendre de l’estrade. Il a dit: «Je veux voir ce prĂ©dicateur.» Et alors on l’a ramenĂ© lĂ . Il a dit–il m’a dit, il a dit: «Vous m’avez dit que j’étais guĂ©ri.»
    J’ai dit: «Vous l’ĂȘtes.»
    Il a dit: «Eh bien, si j’étais guĂ©ri, je verrais.» Il a dit

    J’ai dit: «Oh, non, cela n’a rien Ă  voir. Vous m’avez dit »
    Il a dit: «Eh bien, vous m’avez dit que j’étais guĂ©ri.»
    J’ai dit: «Vous avez dit que vous me croyiez.»
    Il a dit: «Je vous crois sincĂšrement.»
    J’ai dit: «Alors de quoi doutez-vous?»
    Il a dit: «Eh bien, si j’étais guĂ©ri, ne verrais-je pas?»
    J’ai dit: «Vous verrez. Si Dieu m’a donnĂ© une vision dans laquelle vous voyiez, cela doit s’accomplir.» Il Ă©tait catholique et on ne lui avait jamais enseignĂ© quelque chose de ce genre.
    Il a dit: «Mais je ne comprends pas cela. Que dois-je faire?»
    J’ai dit: «Eh bien, tout ce que vous avez Ă  faire, c’est de continuer votre chemin, louant Dieu pour vous avoir donnĂ© la vue.»
    Il a dit: «OĂč ĂȘtes-vous?» Il a commencĂ© Ă  faire pression, il a dit: «Attendez une minute.» Il a dit: «Comment vous appelez-vous?»
    Et j’ai dit: «Branham.»
    Il a dit: «Laissez-moi vous toucher.» Et je l’ai laissĂ© poser mes mains dessus. Il a dit: «Monsieur Branham, en tant que catholique, on m’a enseignĂ© Ă  croire mon prĂȘtre.» Et il a dit: «Je suis venu Ă  vous pour ĂȘtre aidĂ©. Et vous m’avez dit qui j’étais et tout concernant ma condition, ce que personne ne connaĂźt, exceptĂ© Dieu. Je crois que cela est la vĂ©ritĂ© et je vais dire sans cesse: «Gloire Ă  Dieu.» Puis il est descendu de l’estrade.

39    Eh bien, je pouvais Ă  peine tenir le service les deux soirĂ©es qui ont suivi. Il se levait lĂ  oĂč je me trouvais, disant: «Dieu soit louĂ© pour ma guĂ©rison.» Et quand je commençais Ă  prĂȘcher, lui se levait, criant: «Dieu soit louĂ© pour ma guĂ©rison.»
    On lui a donnĂ© un travail de vente des journaux. Presque un mois s’était Ă©coulĂ©, il criait: «Dieu soit louĂ© pour ma guĂ©rison.» Et il Ă©tait lĂ , criant: «Édition spĂ©ciale, Dieu soit louĂ© pour ma guĂ©rison.» Les gens se moquaient de lui et le ridiculisaient. Les petits vendeurs de journaux le sifflaient.
    Les gens dans les rues disaient: «Ce vieil homme a perdu la raison.»
    Mais lui disait: «Édition spĂ©ciale, Ă©dition spĂ©ciale, lisez tout cela; Dieu soit louĂ© pour ma guĂ©rison. Édition spĂ©ciale, lisez tout cela; Dieu soit louĂ© pour ma guĂ©rison.»

40    Ils l’ont pris (et ils ont pensĂ© qu’il fallait l’envoyer dans un asile de fous) et ils l’ont questionnĂ©. Il a dit: «Je suis tout aussi dans mon bon sens que je l’ai toujours Ă©tĂ©. Mais je crois Dieu. Que Dieu soit louĂ© pour m’avoir guĂ©ri.» comme cela. Qu’était-ce? Il s’accrochait Ă  ce sixiĂšme sens. Quelque chose lĂ -dedans tenait cela. Il ne s’en faisait pas s’il allait voir, en effet cette vue n’avait rien Ă  voir. Il voyait Ă  l’aide d’une autre vue. Il voyait Dieu! Nous regardons aux choses que nous ne voyons pas. Toute l’armure du chrĂ©tien, c’est par la foi. Celui qui vient Ă  Dieu doit croire que Dieu existe. Tous les fruits de l’Esprit, tout, c’est la foi, l’invisible. Nous regardons Ă  l’invisible. Nous regardons Ă  l’invisible, c’est par la foi que nous voyons cela. AllĂ©luia!

41    Un petit garçon l’a conduit Ă  travers la rue pour se faire raser chez le coiffeur. Et un certain petit coiffeur, un monsieur je-sais-tout a voulu se moquer de lui. Ainsi il lui a trĂšs bien savonnĂ© le visage. Et les autres coiffeurs, et il leur a fait un clin d’Ɠil comme cela. Il a dit
 Il s’est mis Ă  le raser, il est arrivĂ© Ă  peu prĂšs Ă  la moitiĂ©, il avait mis lĂ  une serviette de toilette, vous savez, et il a dit: «Dis donc, papa Rhyn.»
    Il a dit: «Oui, mon fils.»
    Il a dit: «J’ai appris que vous ĂȘtes allĂ© voir ce saint exaltĂ© quand il Ă©tait ici.»
    Â«Oui,» a-t-il dit.
    Il a dit: «Euh, j’ai appris que vous–vous avez Ă©tĂ© guĂ©ri.»
    Il a dit: «Oui. Que Dieu soit louĂ© pour m’avoir guĂ©ri.» Et quand il a dit cela, ses yeux se sont ouverts pendant qu’il Ă©tait sur la chaise du coiffeur. Il a sautĂ© de cette chaise avec la serviette de toilette autour du cou. Le coiffeur a couru Ă  la porte avec son rasoir en main. Le vieux Rhyn est descendu dans la rue Ă  toute vitesse, hurlant, criant: «Dieu soit louĂ©, Il m’a guĂ©ri.»

42    Qu’était-ce? S’accrocher Ă  ce sixiĂšme sens. C’est quelque chose qui rend cela rĂ©el. Certainement. Par ce sixiĂšme sens, des royaumes ont Ă©tĂ© conquis. Amen. Le sixiĂšme sens a conquis des royaumes. Par ce sixiĂšme sens les murs de JĂ©richo se sont Ă©croulĂ©s. Amen. Croyez-vous cela? Les murs de JĂ©richo ont touchĂ© le sol par le sixiĂšme sens.
    Par le sixiĂšme sens, la mer n’a pas pu engloutir Paul. Quand il est descendu lĂ , quand il avait perdu tout espoir, il a eu un vision de l’Ange du Seigneur. Et il est revenu lĂ , disant: «Prenez courage.» Qu’est-ce qui n’allait pas? Pas de lune ni d’étoiles pendant quatorze jours et quatorze nuits, il faisait toujours tout aussi sombre. La tempĂȘte Ă©tait toujours tout aussi violente. Mais ce sixiĂšme sens s’est mis Ă  l’Ɠuvre quand il a vu l’Ange du Seigneur. AllĂ©luia
    Ce sixiĂšme sens ne pouvait pas laisser Pierre demeurer en prison. Non, non. La puissance du Seigneur a envoyĂ© un Ange lĂ  Ă  l’intĂ©rieur pour le libĂ©rer.
    Le sixiĂšme sens ne pouvait laisser Paul et Silas au pilori. Dieu a envoyĂ© un tremblement de terre et a tout fait tomber par des secousses.
    Ce sixiĂšme sens, laissez-le quelques fois agir en votre faveur. À cause de ce sixiĂšme sens les lions ne pouvaient mĂȘme pas dĂ©vorer Daniel. Les gens ne pouvaient pas jouer avec ce sixiĂšme sens. Non, non.
    Par ce sixiĂšme sens, le feu ne pouvait pas brĂ»ler les enfants hĂ©breux. Par ce mĂȘme sixiĂšme sens qui opĂ©rait dans la petite Marthe, quand elle a pu voir que JĂ©sus a ressuscitĂ© de la tombe son frĂšre mort depuis quatre jours

    Ce mĂȘme sixiĂšme sens a purifiĂ© un lĂ©preux. Ce mĂȘme sixiĂšme sens a ressuscitĂ© JĂ©sus-Christ le troisiĂšme jour. Ce mĂȘme sixiĂšme sens enlĂšvera l’Église un de ces jours et l’amĂšnera d’ici vers la Gloire.

43    Ne comptez pas sur les cinq. Ils sont trompeurs. Mais ce sixiĂšme sens est vĂ©ridique. Si vous voulez
 Il y a un petit ami ici ce soir; je ne sais pas si Charlie Ces est ici ou pas. Je lui parlais du sixiĂšme sens. Il a considĂ©rĂ© cela, il a cru cela et il a mis cela sur une bande. [Espace vide sur la bande–N.D.É.] Sa femme a dit: «Laissez-moi jouer cela.» Elle a couru dans l’autre piĂšce et elle s’est mise Ă  jouer cela. Elle a dit: «Seigneur, j’ai aussi le sixiĂšme sens, elle vais le mettre Ă  l’Ɠuvre. J’ai besoin du Saint-Esprit,» et Il est venu lĂ . Qu’est-ce? Si vous croyez cela. Étant donné  Nous devrions croire cela sans avoir rien vu. Mais cependant Dieu nous laisse voir cela de toute façon. Il nous montre cela. Il nous manifeste Sa–Sa PrĂ©sence. AssurĂ©ment, il n’y aurait donc pas d’excuse que ce sixiĂšme sens ne se mette pas Ă  l’Ɠuvre. Inclinons la tĂȘte.

44    Notre PĂšre cĂ©leste, le sixiĂšme sens, ces tĂ©moignages de la Bible montrent que le sixiĂšme sens, comme j’appelle cela, c’est la foi. Je lisais dans HĂ©breux 11 sur le sixiĂšme sens, la foi est une ferme assurance des choses qu’on espĂšre, une dĂ©monstration de celles que les sens de la terre ne dĂ©clarent pas. Et nous voyons par lĂ , comment les gens ont conquis des royaumes, ont fermĂ© la gueule des lions et ont Ă©chappĂ© au tranchant de l’épĂ©e. Et–et HĂ©noc fut enlevĂ© au ciel par ce sixiĂšme sens. Abraham a sĂ©journĂ© dans une terre Ă©trangĂšre et a reçu un fils Ă  l’ñge de cent ans. Le sixiĂšme sens. Quand Sarah n’était plus en Ă©tat d’avoir des enfants, il ne considĂ©ra point ces choses, il ne douta point par incrĂ©dulitĂ© au sujet de la promesse de Dieu. Mais il fut fortifiĂ© donnant gloire Ă  Dieu, sachant que Dieu fait a la promesse et ayant la pleine conviction que Dieu peut tenir ce qu’Il promet.
    Ă” Dieu, et nous sommes sensĂ©s ĂȘtre des enfants d’Abraham. Que nous sommes lamentables! Ô Dieu, rĂ©veille le sixiĂšme sens parmi ces gens dans cette Ă©glise ce soir, alors que nous voyons que Tu as donnĂ© ce grand signe Ă  Abraham et ce qui est arrivĂ© lĂ . Ô Dieu, je prie que les gens voient la PrĂ©sence de l’Ange du Seigneur ce soir et qu’ils ne s’appuient pas sur leur sensation, sur leur vue, mais sur la Parole de Dieu qui a fait la promesse. Et que chaque personne ici soit guĂ©rie et que celui qui n’est pas sauvĂ© soit sauvĂ© et que tous ceux qui n’ont pas le Saint-Esprit Le reçoivent. Écoute-moi, PĂšre, je prie au Nom de JĂ©sus. Amen.

45    ĂŠtes-vous prĂȘt Ă  recevoir votre guĂ©rison? Vous tous? Est-ce que vous–vous allez mettre votre sixiĂšme sens en action? Qu’est-ce que le sixiĂšme sens maintenant? C’est la foi. Et la foi est une ferme assurance des choses qu’on espĂšre, une dĂ©monstration de celles qui font que le sceptique ait tort, en disant: «Je suis sceptique. Vous devez me prouver cela (vous savez), je dois voir cela.» La foi, c’est cette chose qui conquiert des royaumes, qui exerce la justice, qui fait toutes sortes de prodiges et de miracles de ce sixiĂšme sens. RĂ©veillez cela, enlevez le bandeau de vos yeux spirituels. Regardez autour de vous, verrez si vous ne voyez pas que Dieu reste toujours Dieu.
    TrĂšs bien, vous tous qui avez des cartes de priĂšre, alignez-vous par ici, Ă  ma droite, suivant votre numĂ©ro. Carte de priĂšre 1, 2, 3, 4, levez-vous. 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, venez directement par ici maintenant, de ce cĂŽtĂ©-ci. [FrĂšre Branham parle Ă  quelqu’un–N.D.É.] Oui. D’accord! C’est bien. Apportez le–votre
 ainsi les gens peuvent s’approcher; c’est bien. DĂ©posez cela juste ici, si vous voulez bien. TrĂšs bien. 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13, 14, 15, sei
 [Espace vide sur la bande]

46    Un groupe de gens religieux, un peuple choisi et dont toutes les gĂ©nĂ©rations (les Juifs) avaient Ă©tĂ© enseignĂ©es sur la Venue du Messie et sur ce qu’Il ferait Ă  Sa Venue
 Et quand Il est venu, ils ont manquĂ© de Le reconnaĂźtre. C’est pitoyable, n’est-ce pas? Je pense que c’est l’une des histoires les plus tristes du monde. Le monde a Ă©tĂ© fait par Lui et le monde ne L’a point connu. Il est venu chez les Siens et les Siens ne L’ont point reçu. C’est vraiment triste d’y penser.
    Remarquez maintenant. Ils attendaient un Messie. Est-ce vrai? Et le Messie, Ă  Sa venue, devait ĂȘtre le Dieu ProphĂšte. Combien savent cela? Il devait accomplir le signe d’un prophĂšte. En effet, MoĂŻse avait dit qu’Il serait un prophĂšte, quand Il serait manifestĂ© dans la chair, il serait un prophĂšte, Il accomplirait le signe d’un prophĂšte. C’est juste comme les Juifs maintenant. J’attends


47    FrĂšre Joseph et moi parlions cet aprĂšs-midi. FrĂšre
 Stockholm, en SuĂšde. FrĂšre Lewi Pethrus a envoyĂ© Ă  peu prĂšs un demi-million de Bibles. Quand frĂšre Arganbright m’a montrĂ© ce film: «Minuit moins trois», ces Juifs qui viennent de partout dans le monde, de l’Iran et d’ailleurs, ils n’ont jamais entendu parler du Nom de JĂ©sus. Ils ont Ă©tĂ© lĂ  tout le temps oĂč ils Ă©taient en captivitĂ© romaine. Ils n’ont jamais entendu parler de quelque chose comme JĂ©sus-Christ. FrĂšre Pethrus leur a envoyĂ© ces Bibles. Ils les lisaient.
    Et ainsi il avait eu une entrevue avec eux. Juste sur
 J’ai moi-mĂȘme le film. Et ils regardaient cela. Et on leur a demandĂ©: «Pourquoi revenez-vous dans votre patrie, est-ce pour mourir?» Ils portaient les vieillards au dos et tout

    Ils ont dit: «Nous sommes venus pourvoir le Messie.» Oui, oui.

48    Quand le figuier commence Ă  bourgeonner, l’étĂ© est proche. Cette Ă©toile Ă  six branches de David est maintenant une nation. Le plus vieux drapeau du monde flotte Ă  nouveau, pour la premiĂšre fois depuis deux mille cinq cents ans. C’est vrai. JĂ©rusalem a sa propre monnaie, sa propre devise, ses propres lois, son propre gouvernement. C’est de nouveau une nation. JĂ©sus a dit que quand ce figuier commence Ă  bourgeonner, le temps est Ă  la porte.
    Quand ils ont vu cette–ces Bibles
 Ils n’étaient pas comme la plupart de nos Juifs du Wall Street. Ils Ă©taient lĂ , croyant. Quand on est venu les prendre en avion, eh bien, ils ne voulaient mĂȘme pas monter dans cet avion. Ils avaient peur de cela. Ils n’en avaient jamais vu du tout. Le TWA
 Vous avez vu cela dans le Magazine Look. Le vieux rabbin s’est prĂ©sentĂ© lĂ  et a dit: «Souvenez-vous, quand nous Ă©tions appelĂ©s Ă  retourner dans notre patrie, le prophĂšte nous a dit que nous serions ramenĂ©s sur les ailes d’un aigle.» AllĂ©luia! Écoutez. «Être ramenĂ© sur les ailes d’un aigle.»
    Et ils Ă©taient lĂ  dans leur patrie. Ils Ă©taient de nouveau revenus lĂ . Ils ont pris cette petite Bible et ils ont commencĂ© Ă  La lire, le Nouveau Testament. Les Juifs lisent en partant de la fin vers le dĂ©but, vous savez. Et quand ils l’ont lue jusqu’à la fin, ils ont dit: «Si ce JĂ©sus est le Messie » Cela montre oĂč ils en sont aujourd’hui. «Si ce JĂ©sus est le Messie, alors Il sera un prophĂšte. S’il est ressuscitĂ© des morts, qu’il accomplisse le signe d’un prophĂšte devant nous, et nous Le croirons.» Amen. Oh! la la! C’est tout Ă  fait vrai.
    Vous les Gentils, vous ferez mieux de tomber sur votre face. L’heure approche, oĂč Dieu tournera Sa grĂące vers les Juifs. Et vous les Gentils, vous serez scellĂ©s sans Dieu, sans misĂ©ricorde, juste une substance atomique. Ainsi mettez-vous en ordre avec Dieu maintenant pendant que vous en avez l’occasion. Mettez-vous en ordre avec Dieu maintenant.

49    Remarquez, quand JĂ©sus est venu vers les Juifs, Il a accompli ce signe Messianique, leur montrant qu’il Ă©tait le ProphĂšte. Et ils L’ont appelĂ© un diseur de bonne aventure, BĂ©elzĂ©bul, un dĂ©mon.
    Et alors cela
 Il restait un peuple qui attendait le Messie. Combien savent qu’il n’y a que trois races de gens sur la terre selon la Bible? La race de Cham, de Sem et de Japhet. Tous descendent des fils de NoĂ©. C’est exact. TrĂšs bien. Il s’agit des Juifs, des Gentils et des Samaritains (lesquels sont Ă  moitiĂ© Juifs et Ă  moitiĂ© Gentils). Et ces Samaritains attendaient la venue du Messie.

50    JĂ©sus est passĂ© par la porte, Il s’est assis lĂ  et une femme est venue lĂ . Et Il a dit: «Apporte-moi Ă  boire.»
    Elle a dit: «C’est contraire Ă  la coutume, pour vous les Juifs. Nous n’avons pas de relations avec vous.»
    Il a dit: «Mais si tu connaissais Celui Ă  qui tu parles, tu me demanderais toi-mĂȘme Ă  boire.» La conversation a continuĂ© jusqu’à ce que finalement Il a dit: «Va chercher ton mari puis viens ici.»
    Elle a dit: «Je n’ai pas de mari.»
    Il a dit: «Tu as dit vrai, car tu as eu cinq maris, et celui avec qui tu vis maintenant n’est pas ton mari.»
    Elle a dit: «Seigneur » Cette prostituĂ©e en savait plus au sujet de Dieu que beau
 les deux tiers des prĂ©dicateurs des États-Unis. C’est exact. Elle a dit: «Seigneur, je vois que Tu es un prophĂšte. Nous (nous les Samaritains) nous savons que quand le Messie viendra, Il accomplira ces signes. Il nous annoncera toutes choses. Mais qui es-Tu?»
    JĂ©sus a dit: «Je le suis, Moi qui Te parle.»
    Et elle a couru dans la ville et elle a dit: «Venez voir un Homme qui m’a dit ce que j’ai fait, ne serait-ce point le Messie mĂȘme? Avez-vous compris? N’est-ce point le Messie mĂȘme? TrĂšs bien.

51    Bien, Il a accompli ce signe devant les Juifs. Il l’a accompli devant les Samaritains, mais pas devant les Gentils. Nous Ă©tions des Anglo-Saxons, nous avions une massue sur le dos et nous adorions des idoles, les Romains et tous les autres. Il n’a jamais accompli ce signe devant eux. Et Il a dit que ce
 Une gĂ©nĂ©ration mĂ©chante et adultĂšre en ces derniers jours recevra ce signe de Jonas, le signe de la rĂ©surrection.
    Or, JĂ©sus leur a aussi dit: «Ce qui arriva du temps de Sodome arrivera de mĂȘme Ă  la venue du Fils de l’homme. Quel genre de signe Sodome a-t-elle reçu? La mĂȘme chose, l’Ange avec le dos tournĂ©. («Avez-vous
 Tous tes gens sont-ils lĂ , Billy? Tout le monde? TrĂšs bien.») Il a dit


52    Combien ici maintenant n’ont pas de carte de priĂšre et veulent que Dieu les guĂ©risse? Levez la main. Dites: «Je–je veux que Dieu me guĂ©risse.» Eh bien, s’il y a encore des cartes de priĂšre, des gens qui ont des cartes, qu’ils entrent dans la ligne. Maintenant si ce n’est pas le cas, pourquoi vous
 Nous allons de toute façon arriver Ă  vous. Vous ne–vous n’ĂȘtes pas
 Je veux que vous trouviez
 Si vous pouvez seulement saisir ce que j’ai dit ce soir, ce sixiĂšme sens
 Croyez de tout votre cƓur.
    Maintenant, beaucoup d’entre vous ont envoyĂ© ces mouchoirs. Je prie sur chacun d’eux, essayant de mon mieux de les prendre tous. Maintenant, si je ne vous atteins pas, Ă©crivez-moi Ă  Jeffersonville, dans l’Indiana. Je vous en enverrai un. Voyez? Je vous enverrai cela par la poste. Si vous ne recevez pas cela ou manquez
 votre mouchoir d’une façon ou d’une autre se perd, Ă©crivez-moi tout simplement. Cela ne vous coĂ»te pas un sou. Écrivez tout simplement et nous
 Évidemment, des fois certaines personnes les envoient avec un peu d’argent, car nous dĂ©pensons des centaines de dollars par semaine pour les timbres et tout, et nous envoyons ces–les mouchoirs partout dans le monde, accompagnĂ©s de toutes sortes de prodiges et des miracles en retour. En effet, cela atteint plus de gens que je ne le peux. Mais regardez maintenant


53    Je suppose que quatre-vingt-quinze pour cent de gens
 Je sais que j’ai ici des gens de Jeffersonville. Mais je n’en vois aucun dans la ligne de priĂšre. S’ils y Ă©taient, je leur demanderais gentiment de quitter (c’est vrai) car je peux les voir chez nous. Ceci, c’est pour les gens qui sont ici, les gens qui ne peuvent pas venir Ă  un autre moment.
    Maintenant, ici se tient une dame. Si je pouvais guĂ©rir cette dame, je serais un–un–un–un coquin si je ne le faisais pas. Si je pouvais le faire, je ne serais pas digne de me tenir derriĂšre cette chair, FrĂšre Sullivan, si je pouvais la guĂ©rir. Mais je ne peux pas la guĂ©rir. Elle est dĂ©jĂ  guĂ©rie, si elle est malade. J’ignore si elle est malade. Mais si elle est malade, JĂ©sus l’a guĂ©rie quand Il est mort au Calvaire. Il a rendu cela perpĂ©tuel. Il Ă©tait blessĂ© pour nos pĂ©chĂ©s, par Ses meurtrissures nous avons Ă©tĂ© guĂ©ris. Est-ce exact?

54    Maintenant, ces gens qu’on a poussĂ©s ici dans les fauteuils roulants, je veux que vous regardiez
 Hier soir je crois, une dame qui Ă©tait dans un fauteuil roulant, sur une civiĂšre, l’un ou l’autre, le Saint-Esprit l’a appelĂ©e et l’a tirĂ©e de lĂ . Eh bien, bien des fois, vous qui ĂȘtes dans des fauteuils roulants, vous vous mettez Ă  dire: «Oh, mon cas est dĂ©sespĂ©rĂ©.» Aussi longtemps que vous croyez cela, votre sixiĂšme sens est mort. Si votre sixiĂšme sens est vivant ce soir, ceci est le dernier moment de votre souffrance. Vous vous lĂšverez de lĂ , vous rentrerez chez vous guĂ©ri.
    Cet homme et cette femme qui se tiennent ici (ce frĂšre et cette sƓur de couleur) avec leur petit garçon, croyez-vous ce soir? Ayez foi, mon frĂšre. Ayez foi, ma sƓur. Le petit ami est trop petit pour savoir ce qu’est la foi; croyez que Dieu guĂ©rira votre enfant. La dame qui se tient ici avec ce petit garçon ici. Ayez foi

    Vous tous qui ĂȘtes autour de ces fauteuils roulants, je veux que vous ayez foi pour ces gens. Et vous lĂ -bas, certains parmi vous qui ĂȘtes cardiaques, vous allez mourir dans quelques jours. Le cancer
 Si rien n’est fait, vous allez mourir. Ces gens peuvent vivre une vie normale ici, Ă©tant paralysĂ©s. Mais si vous ne saisissez pas Dieu tout de suite, vous allez mourir. Oui, oui. Mais saisissez Dieu et dites: «Ô Dieu, j’utilise mon sixiĂšme sens; je crois. Et je crois que Tu vas me rĂ©tablir.» Et alors Dieu fera cela. Ne croyez-vous pas cela? Croyez le de tout cƓur.

55    Bien, je ne vais pas utiliser la ligne de discernement
 Je ne saurai pas y faire passer ces cinquante. Je ne saurai pas le faire. Mais je vais prier. Maintenant, si Dieu reste toujours Dieu, si Dieu est toujours Dieu, alors Il peut tout faire exactement comme Il

    Quelle est la forme la plus Ă©levĂ©e de la–de la foi? Il y avait un Romain
 Un Juif a dit: «Viens, impose les mains Ă  ma fille; elle sera sauvĂ©e.»
    Le Romain a dit: «Je ne suis pas digne, dis seulement une parole.» C’est ce que les Gentils sont censĂ©s faire. Dans les rĂ©unions outre-mer et Ă  diffĂ©rents endroits, si les gens voient une chose surnaturelle arriver, tout l’auditoire s’en ira par la foi. Voyez? Ils croiront cela. Mais ici, c’est trĂšs difficile.
    Bien, vous ĂȘtes des pentecĂŽtistes. Vous pouvez ĂȘtres des mĂ©thodistes, mais si vous avez le Saint-Esprit, vous ĂȘtes les pentecĂŽtistes. Maintenant, si ce sixiĂšme sens en vous est prĂȘt Ă  ĂȘtre vivifiĂ©, vivifions-le.

56    Maintenant, cette femme-ci ou celle-ci de toute façon, je–je ne connais pas la femme. Je pense que nous sommes Ă©trangers l’un Ă  l’autre. Maintenant, ici
 voici une femme. Je ne l’ai jamais vue de ma vie. Elle a dit qu’elle ne me connaĂźt pas et moi, je ne la connais pas. Bien, comment saurai-je et
 Elle est juste arrivĂ©e à
 Et on a mĂ©langĂ© ces cartes et on les a distribuĂ©es aux gens et elle en a pris une et la voici. Il se fait qu’elle est la premiĂšre sur l’estrade.
    Et si certains d’entre vous, au moment mĂȘme oĂč je lui parle, vous croyez lĂ -bas, voyez s’Il ne viendra pas lĂ -bas vous touchez aussi de la mĂȘme maniĂšre. Voyez? Maintenant, si cela peut ĂȘtre fait une fois Ă  une personne qui n’a peut-ĂȘtre jamais Ă©tĂ© dans la rĂ©union, c’est la confirmation que c’est la vĂ©ritĂ©. Dieu a dit Ă  MoĂŻse: «Prends ce don et va lĂ -bas et montre comment tes mains ont Ă©tĂ© guĂ©ries de la lĂšpre.» Il a fait cela une fois et tout IsraĂ«l l’a suivi vers la terre promise. Voyez? Chaque fois qu’il rencontrait un IsraĂ©lite, il ne disait pas: «Regarde ici, Ă  ma main, elle a la lĂšpre. Voyez? Elle est guĂ©rie.» Non, non. Il l’a fait une fois et ils ont tous cru cela. C’est ainsi que nous sommes sensĂ©s y aller: voir cela et croire cela.

57    Maintenant, voici ma main. À ma connaissance je n’ai jamais vu cette femme de ma vie. Si je l’ai dĂ©jĂ  vue, je n’ai jamais fais sa connaissance. Elle est totalement Ă©trangĂšre. Mais si le Saint-Esprit peut venir vers moi et me dire pourquoi elle se tient ici, ou quelque chose qu’elle a fait, ou quelque chose qu’elle s’est proposĂ© de faire, ou peut-ĂȘtre quelque chose que–qu’elle connaĂźt et que j’ignore, cela sera une confirmation qu’Il est toujours le mĂȘme JĂ©sus qui a parlĂ© Ă  la femme au puits. Ce sera une preuve Ă  cette gĂ©nĂ©ration des Gentils que le Messie qui autrefois a vĂ©cu dans la Colonne de Feu, dans la PaternitĂ©, a habitĂ© dans un corps humain appelĂ© le Fils dans la Filiation, maintenant sous forme le Saint-Esprit en vous et moi, par la sanctification par le Sang, habite dans nos corps. Le Saint-Esprit habite en nous: «Celui qui croit en moi, les Ɠuvres que je fais, il les fera aussi. En vĂ©ritĂ©, je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-mĂȘme, il ne fait que ce qu’Il voit faire au PĂšre.» Croyez-vous cela?

58    Maintenant, j’aimerais vous poser une question, vous qui ĂȘtes dans les fauteuils roulants. Maintenant, si je pouvais guĂ©rir cette femme, je le ferais. Si je pouvais vous guĂ©rir, je le ferais. Je ne le peux pas. Mais si le Seigneur Dieu (Ă©tant donnĂ© qu’elle est proche de moi) si le Seigneur Dieu me dit quelque chose au sujet de cette femme (qu’elle soit juge, si c’est vrai ou pas) qu’elle sait que j’ignore, vous savez qu’il faut une certaine puissance surnaturelle ici pour faire cela. Est-ce vrai? Croirez-vous que c’est le Fils de Dieu selon Sa promesse, qu’il a promis qu’Il ferait cela? Croirez-vous partout ici? Accepterez-vous alors votre guĂ©rison et croirez-vous cela de tout votre cƓur? Juste un cas rĂ©glera la chose si vous ĂȘtes vraiment sincĂšre. Amen. C’est tout Ă  fait vrai. Si vous pouvez croire cette seule chose. Cela serait certainement la vĂ©ritĂ©.
    TrĂšs bien donc. Maintenant, je vais juste me tenir prĂšs de ce microphone, en effet quand les visions viennent, je ne sais pas combien je–je parle bas ou combien je parle haut. Mais j’ai cet auditoire ici qui promet de recevoir sa guĂ©rison si le Saint-Esprit me rĂ©vĂšle quelque chose Ă  votre sujet que je
 vous savez que j’ignore. Maintenant, cela sera
 Cela pourrait–pourrait-il vous encourager et vous faire croire, s’Il faisait cela pour vous? Cela se pourrait-il? Certainement.

59    Eh bien, maintenant, je vous parle juste comme notre Seigneur a parlĂ© Ă  la femme au puits. Voyez? Il l’a captivĂ©e, elle d’abord, car elle Ă©tait la premiĂšre (Voyez?) et c’est ainsi que je dois aussi faire pour arriver à
 Voyez? Vous ĂȘtes un ĂȘtre humain. Vous avez un esprit. Vous avez une Ăąme. Je suis un ĂȘtre humain. J’ai un esprit et une Ăąme. Je sais maintenant que vous ĂȘtes une chrĂ©tienne. En effet, votre esprit commence Ă  me tĂ©moigner que vous ĂȘtes une chrĂ©tienne, (c’est exact), Voyez? Il s’en rĂ©jouit. Si vous ne l’étiez pas, Il repousserait cela.
    Avez-vous dĂ©jĂ  Ă©tĂ© dans l’une des rĂ©unions et vu ces choses se produire? Vous les avez vues se produire. Vous avez dĂ©jĂ  remarquĂ© quand les pĂ©cheurs viennent et tout, voyez combien Il s’éloigne d’eux comme cela. Il le fera maintenant mĂȘme et leur dira: «Tu es un pĂ©cheur. Tu as fait ceci et cela. Tu as fait telle chose.» Voyez?

60    Maintenant, si vous croyez de tout votre cƓur, avec tout ce qui est en vous, Dieu pourra me rĂ©vĂ©ler votre problĂšme ou quelque chose lĂ -dessus. Alors vous allez recevoir cela. Et cela les fera tous croire. Ces paralytiques ont dit qu’ils croiront. Les malades, les cardiaques et tout, ont dit qu’ils croiront. Ainsi donc que chacun croie et toute la ligne croira lĂ . C’est inutile de faire passer la ligne de priĂšre. Tous ceux qui ont vraiment voulu utiliser ce sixiĂšme sens, allez simplement de l’avant et dites: «Je remercie le Seigneur, Il me guĂ©rit.» C’est Son attitude envers chacun d’eux. Il s’est fait que vous ĂȘtes la personne qui a tirĂ© ici. Il y en a beaucoup, beaucoup d’autres partout lĂ -bas. Le Saint-Esprit pourra probablement, aprĂšs un moment passer par-dessus tout l’auditoire. Je ne sais pas ce qu’Il fera. Alors quand je deviendrai trĂšs faible, mon fils ou l’un d’eux, Gene ou l’un d’eux viendra me toucher sur le cĂŽtĂ©. Je sais que c’est
 Je dois alors arrĂȘter (Voyez?) car je ne
 Vous ne savez pas oĂč vous ĂȘtes quelque fois aprĂšs tant de visions, tout vous semble alors ĂȘtre une vision. Voyez? JĂ©sus a dit: «Vous en ferez davantage, parce que je m’en vais au PĂšre,» les choses qu’Il a vues


61    Maintenant, je vois ce qu’a la femme. Elle est venue ici pour la priĂšre, et la priĂšre, pour une petite grosseur. Et la grosseur se trouve sur son bras. C’est exact, n’est-ce pas? Maintenant croyez-vous? Maintenant, la grosseur m’est cachĂ©e. Mais elle n’est pas cachĂ©e Ă  Dieu. Que je vous dise sur quel bras elle se trouve? Le bras droit. C’est
 Est-ce exact? Levez la main si c’est vrai.
    Maintenant, croyez-vous de tout votre cƓur? Maintenant, ce sixiĂšme sens vous fait-il quelque chose? Êtes-vous simplement aveuglĂ© Ă  cela pour dire: «Eh bien, c’est trĂšs bon» Voyez? Ou bien ce sixiĂšme sens se met-il rĂ©ellement Ă  opĂ©rer, et vous dites: «Dieu soit louĂ©, je sais que cet homme ne connaĂźt pas cette femme. Eh bien, JĂ©sus-Christ seul la connaĂźt. Et Il a promis qu’Il ferait cela. Cela veut dire que vous irez bien alors, si vous pouvez croire cela.

62    Vous dites: «Peut-ĂȘtre vous avez devinĂ© ce qu’elle avait.» Je ne pouvais pas le deviner. Aucune supposition en cela. Peut-ĂȘtre
 Je vous dirai autre chose. Vous n’ĂȘtes pas d’ici. Vous ĂȘtes de Lima. C’est exact. Croyez-vous que Dieu peut me dire qui vous ĂȘtes? Mademoiselle White, Madame White. C’est vrai. Dieu vous guĂ©rit maintenant, rentrez chez vous et croyez cela de tout votre cƓur.
    Maintenant, croyez-vous, chacun de vous? Ayez foi en Dieu. Si vous pouvez croire, toutes choses sont possibles Ă  ceux qui croient. Si vous pouvez croire. Ou qu’en serait-il si je vous disais que vous avez Ă©tĂ© guĂ©ri pendant que vous Ă©tiez assis sur la chaise, me croiriez-vous? Continuez votre chemin alors car vous l’étiez. Ayez foi en Dieu.
    Maintenant, qu’en serait-il si je posais mes mains sur vous et que je disais: «Satan, Ă©loigne-toi de ce garçon.» Croiriez-vous cela? Pourriez-vous vous rĂ©tablir? Venez ici. Satan, quitte ce garçon au Nom de JĂ©sus. Amen. Partez en croyant donc. Ayez la foi.
    Qu’en serait-il si je vous imposais les mains et que je disais: «Satan, quitte-le»? Croiriez-vous cela? Satan, quitte-le au Nom de JĂ©sus. Amen. Que Dieu vous bĂ©nisse, partez en croyant.

63    Si je vous disais ce qui ne va pas en vous, cela vous aiderait-il ou voudriez-vous plutĂŽt que je vous impose simplement les mains? Qu’est ce qui pourrait vous aider, que je vous dise ce qui ne va pas en vous? C’est dans votre dos. C’est exact. Est-ce vrai? Alors rentrez chez vous et soyez guĂ©ri au Nom de JĂ©sus. TrĂšs bien.
    Croyez-vous que si je vous dis juste quelque chose, si je vous impose les mains, cela vous rĂ©tablira? Venez ici alors. Au Nom de JĂ©sus, qu’elle soit guĂ©rie. Amen. Croyez. TrĂšs bien.
    Qu’en est-il de vous? Je crois que je vous connais. C’est exact. Je vais juste vous imposer les mains et dire: «Satan, quitte mon frĂšre au Nom de JĂ©sus-Christ. Amen.» Croyez de tout votre cƓur maintenant, frĂšre: partez.

64    Croyez-vous, vous tous? Eh bien, Ă©coutez. Voici ce que je ne peux pas comprendre. Voyez? Pourquoi quand le Saint-Esprit viendra et rĂ©vĂ©lera les choses
 Il me dit tout ce qui ne va pas chez les gens. Si je m’arrĂȘte une minute, les autres par contre n’entreront pas dans la ligne. N’est-il pas tout aussi glorieux de voir le Seigneur quand les gens passent, avoir assez de foi pour ĂȘtre guĂ©ri, par l’imposition des mains, que ce serait de–d’avoir un discernement aprĂšs que vous ayez vu cela ĂȘtre accompli? Sommes-nous devenus si amĂ©ricanisĂ©s que le Saint-Esprit doit nous divertir?
    Ici, venez ici. Je ne vous connais pas. Mais nous sommes Ă©trangers l’un Ă  l’autre. Est-ce vrai? Vous me connaissez, mais moi je ne vous connais pas. Mais Dieu nous connaĂźt tous deux. Si Dieu me rĂ©vĂšle votre problĂšme, croirez-vous que je suis Son prophĂšte? De tout votre cƓur? TrĂšs bien. Vous ĂȘtes cardiaque, c’est tout Ă  fait vrai. Croyez-vous maintenant de tout votre cƓur? Croyez-vous que vous serez guĂ©ri? Vous venez de trĂšs loin pour ceci, n’est-ce pas? Tout ce trajet depuis la Californie. C’est exact. Vous avez amenĂ© votre femme aussi? Elle a aussi besoin de la guĂ©rison. Elle n’a pas eu de carte. Mais elle a un problĂšme aux hanches. C’était dĂ» Ă  une chute. N’est-ce pas vrai? Rentrez chez vous; vous allez vous rĂ©tablir vous deux. Partez en croyant.

65    Eh bien, maintenant, c’est la mĂȘme chose que
 Mes amis
 Si vous pouvez croire, tout est possible. Croyez-vous, sƓur. Si je vous impose simplement les mains, croirez-vous que vous serez guĂ©rie? Venez donc. Au nom du Seigneur JĂ©sus, guĂ©ris cette femme. TrĂšs bien.
    Venez, madame. Maintenant, voyez, maintenant, pourquoi? Cette femme est guĂ©rie tout autant que l’autre homme. Pourquoi ne disons-nous pas: «Dieu soit loué» pour avoir guĂ©ri cette femme? Voyez-vous?

66    Ici, maintenant, vous savez que je sais ce que vous avez. Vous le savez tout aussi bien que moi. Vous savez que Dieu peut me le dire. Maintenant, si je vous le dis, cela vous aidera-t-il? Il s’agit de vos nerfs qui craquent. C’est tout Ă  fait vrai. Croyez de tout votre cƓur, partez et rĂ©tablissez-vous au Nom de JĂ©sus-Christ. Ayez foi.
    Croyez-vous, sƓur, de tout votre cƓur? Au Nom de JĂ©sus-Christ, partez et soyez guĂ©rie.
    Croyez-vous de tout votre cƓur, sƓur? Au Nom de JĂ©sus-Christ, partez et soyez guĂ©rie. Ayez foi.
    Venez sƓur, croyez-vous de tout votre cƓur? Au Nom de JĂ©sus-Christ, partez et soyez guĂ©rie.
    Maintenant, c’est exactement comme ça que Dieu a dit de faire cela, n’est-ce pas vrai? Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru.
    Au Nom de JĂ©sus-Christ, partez et soyez guĂ©rie. Amen.
    Croyez-vous pour elle? Au Nom de JĂ©sus-Christ, que le dĂ©mon quitte l’enfant. Amen. Partez maintenant, soyez guĂ©rie.
    Voulez-vous prendre votre souper, ĂȘtre guĂ©rie des maux d’estomac? Allez prendre votre souper et rĂ©tablissez-vous au Nom de JĂ©sus. Croyez-vous de tout votre cƓur? Voyez?

67    Gardez le
 Recevez ce sixiĂšme sens; Ă©cartez du chemin ces vieux cinq sens, et croyez.
    Bonjour. Que je vous dise quelque chose ou pas, croirez-vous quand mĂȘme, hein? Vous croirez cela de toute façon. TrĂšs bien. Ce petit kyste sur votre colonne vertĂ©brale, se trouve entre vos Ă©paules, partez en croyant et soyez guĂ©ri. Croyez-vous? Au Nom de JĂ©sus-Christ. Amen. Ayez foi.
    Venez, mes frĂšres, croyez-vous? Au Nom de JĂ©sus, qu’il soit guĂ©ri?
    Venez. Croyez-vous, frĂšre? Au Nom de JĂ©sus-Christ, je vous impose les mains, vous vous rĂ©tablirez. Amen. Croyez maintenant
    Croyez-vous, monsieur? Au Nom de JĂ©sus-Christ, soyez guĂ©ri. Amen. JĂ©sus le fait pour vous, si vous croyez.
    Au Nom de JĂ©sus-Christ, soyez guĂ©ri. C’est comme ça, mes frĂšres. C’est cela. C’est ainsi qu’il faut le faire.
    Au Nom de JĂ©sus-Christ, partez et soyez rĂ©tabli. Amen.
    Venez, ma sƓur. Si l’onction du Saint-Esprit est ici pour faire des miracles comme cela, vous allez certainement croire que je suis oint par Lui, n’est-ce pas? Ainsi au nom de JĂ©sus-Christ, partez et soyez guĂ©rie. Amen.
    Croyez-vous, frĂšre? Au nom de JĂ©sus-Christ, partez et soyez guĂ©ri.

68    Si vous pouvez croire, tout est possible.
    Est-ce le malade suivant? TrĂšs bien. Croyez-vous, sƓur, de tout votre cƓur? C’est cela. Amen. Elle a rĂ©ellement compris cela. J’ai seulement observĂ©, elle avait une ombre au-dessus d’elle, et quand cela s’est Ă©loignĂ©, je me suis demandĂ© ce que cela est devenu, cela a fait un tour, maintenant, c’est parti parce qu’elle a cru. Voyez? C’est cela.
    Je ne vous connais pas. Vous ne me connaissez pas. Nous sommes Ă©trangers l’un Ă  l’autre. Mais Dieu vous connaĂźt, et Il sait que je suis ici pour vous aider si possible. Le croyez-vous?
    Juste une minute, quelque chose s’est passĂ© dans l’auditoire, quelque part, quelque part. C’est cela, vous commencez Ă  croire lĂ -bas. Bien, votre mal se trouve dans le dos. C’est exact. Vous avez mal au dos. Mademoiselle Finnhoeffer, rentrez chez vous et soyez en bonne santĂ© 
?


69    Venez en croyant de tout votre cƓur. Croyez-vous, monsieur? Au nom de JĂ©sus-Christ, partez et soyez rĂ©tabli.
    Venez. Maintenant, si je vous dis ce qui ne va pas, ou si je ne vous le dit pas, ou quoi d’autre, allez-vous croire de toute façon? Alors votre tr
 fĂ©minin. Le trouble fĂ©minin vous a quittĂ©, allez de l’avant. Oui, je l’ai dĂ©clarĂ© de toute façon. TrĂšs bien.
    Croyez-vous que Dieu va guĂ©rir votre nervositĂ©? TrĂšs bien. Partez et soyez guĂ©ri au nom de JĂ©sus-Christ, croyez de tout votre cƓur.
    Vous voulez ĂȘtre guĂ©ri des maux d’estomac? TrĂšs bien. Allez prendre votre souper et soyez bien portant au Nom du Seigneur JĂ©sus.
    Croyez-vous de tout votre cƓur? TrĂšs bien. Croyez-vous, sƓur? Au Nom de JĂ©sus-Christ, partez et soyez rĂ©tablie. TrĂšs bien.
    Croyez-vous que ce petit garçon peut ĂȘtre guĂ©ri de cette maladie? Je maudis le diable qui a fait ceci Ă  votre enfant; puisse-t-il ĂȘtre guĂ©ri au Nom de JĂ©sus-Christ. Amen! Amenez-le maintenant, ne doutez pas. Observez ce qui lui arrivera, si vous pouvez croire.
    Croyez-vous de tout votre cƓur? Au Nom de JĂ©sus-Christ, que vous soyez guĂ©ri.

70    Il y a une guĂ©rison qui continue Ă  tirer de ce cĂŽtĂ©-ci. Il s’agit d’une petit dame qui est assise lĂ  derriĂšre, portant un chapeau brun, plutĂŽt mince. Elle souffre de la tuberculose. TrĂšs bien, sƓur. Je ne vous connais pas, madame, et vous ne
 connaissez pas. Si, vous devez me connaĂźtre. Une fois vous avez Ă©tĂ© guĂ©rie dans ma rĂ©union; je vois, c’était Ă  Fort Wayne, dans l’Indiana. AllĂ©luia! Ça y est. Croyez-vous que Dieu peut me dire le problĂšme–votre problĂšme lĂ ? Vous aviez une tumeur, et Dieu vous a guĂ©rie de ça. AINSI DIT LE SEIGNEUR. AllĂ©luia!
    Je vous dĂ©fie de croire. Il y en a tant qui croient. Ayez foi en Dieu. Croyez vous, sƓur? Au Nom de JĂ©sus, partez et soyez rĂ©tablie pour la gloire de Dieu.
    Croyez-vous, frĂšre? Au Nom de JĂ©sus-Christ, partez et soyez rĂ©tabli.
    Croyez-vous, frĂšre? Au Nom de JĂ©sus-Christ, partez et soyez rĂ©tabli.
    Croyez-vous, sƓur? Au Nom de JĂ©sus-Christ, partez et soyez rĂ©tablie.
    Croyez-vous, frĂšre? Au Nom de JĂ©sus, partez et soyez rĂ©tabli.
    Croyez-vous pour ce petit bĂ©bĂ©? Maintenant, regardez, je sais, c’est une maladie de naissance mais cela n’a rien Ă  voir
 Ce que le diable fait chaque fois le diable, Dieu est capable d’îter cela. Croyez-vous cela? Je maudis le diable qui a fait ceci Ă  cet enfant. Au Nom de JĂ©sus-Christ, puisse cet bĂ©bĂ© ĂȘtre guĂ©ri. Amen.

71    Croyez-vous, sƓur? Au Nom de JĂ©sus-Christ, partez et soyez rĂ©tablie.
    Croyez-vous, sƓur? Au Nom de JĂ©sus-Christ, partez et soyez rĂ©tablie.
    Croyez-vous, sƓur? Au Nom de JĂ©sus, partez et soyez rĂ©tablie.
    Croyez-vous, sƓur? (Est-elle la derniĂšre de la ligne de priĂšre?) TrĂšs bien, regardez-moi, ici, juste une minute. Croyez-vous de tout votre cƓur? Si Dieu peut me rĂ©vĂ©ler votre problĂšme, allez-vous croire cela? Une chose, c’est votre Ɠil qui va mal. C’est vrai. Ce n’est pas lĂ  votre grand problĂšme. Vous avez une tumeur, la tumeur se trouve dans l’estomac. Vous n’ĂȘtes pas d’ici. Rentrez dans l’Illinois et rĂ©tablissez-vous. Que JĂ©sus-Christ vous guĂ©risse. Si vous pouvez croire, tout est possible. Croyez-vous cela?

72    Cet homme qui est assis juste lĂ  derriĂšre, a eu
 amenĂ© un petit bĂ©bĂ© qui a la maladie bleue. Vous ĂȘtes de Chattanooga, dans le Tennessee. Monsieur Kirkline, rentrez chez vous et croyez. Le cƓur de ce bĂ©bĂ© va guĂ©rir. JĂ©sus-Christ rĂ©tablit cela. AllĂ©luia! C’est la puissance de notre Dieu. Ayez foi en Dieu.
    Une autre dame assise lĂ , venant de Memphis, dans le Tennessee, est assise lĂ , par ici, elle prie pour sa fille perdue. Ayez foi en Dieu.
    Je cherche une dame, je ne la vois pas dans l’auditoire. Mais elle est quelque part ici. Elle prie. Que Dieu m’aide Ă  la repĂ©rer. Il y a quelqu’un qui a la foi, il est cardiaque et diabĂ©tique. Elle s’appelle madame Wells. Ayez foi en Dieu. Quelque part, je n’arrive pas
 [Quelqu’un dit: «La voici.»–N.D.É.] TrĂšs bien, trĂšs bien, sƓur, votre foi vous a sauvĂ©e. À part ça, la maladie de cƓur est hĂ©rĂ©ditaire dans la famille. Vous n’avez pas de carte de priĂšre, n’est-ce pas? Puisque vous
 Non. Puisque, toutes les cartes de priĂšre sont Ă©puisĂ©es. La maladie de cƓur est hĂ©rĂ©ditaire dans la famille. Vous avez un frĂšre qui est cardiaque. Ce frĂšre n’est pas ici. Ce frĂšre vit au Baltimore, dans le Maryland. Et lui aussi n’est pas sauvĂ©, parce qu’il est couvert d’une ombre noire. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR.

73    Croyez-vous de tout votre cƓur? Ce sixiĂšme sens va-t-il agir sur vous? Imposez-vous les mains les uns aux autres ici mĂȘme, Ô Dieu, CrĂ©ateur du ciel et de la terre, envoie Ton Saint-Esprit en ce moment et guĂ©ris chaque personne qui est dans la PrĂ©sence divine au Nom de JĂ©sus-Christ? Croyez-vous cela?
    Combien ici veulent connaĂźtre JĂ©sus-Christ comme leur Sauveur? Tenez-vous debout. Vous ĂȘtes prĂšs de Lui. Que Dieu vous bĂ©nisse. Que Dieu vous bĂ©nisse. C’est vrai. C’est merveilleux!

74    Combien dĂ©sirent avoir le Saint-Esprit? Tenez-vous debout. Combien dĂ©sirent le baptĂȘme du Saint-Esprit, qu’ils se tiennent debout, chacun de vous. Vous ĂȘtes trop nombreux ici pour ĂȘtre reçu maintenant, entrez en file tout de suite dans cette piĂšce afin que nous vous rencontrions ici. Au Nom de JĂ©sus si vous venez avec sincĂ©ritĂ©, vous serez rempli du Saint-Esprit et sauvĂ© de tous vos pĂ©chĂ©s. Entrez dans la piĂšce ce soir. C’est le moment. Venez par ici vers la piĂšce. Tous ceux qui sont ici et qui croient en Dieu, qui veulent ĂȘtre sauvĂ©s et remplis du Saint-Esprit. DĂ©placez-vous immĂ©diatement de cette salle, ainsi nous pouvons vous aider.
    S’il y a ici quelqu’un de mon Ă©glise de Jeffersonville, qui n’a pas encore reçu le Saint-Esprit comme
 FrĂšre Collins et eux tous qui ont reçu le Saint-Esprit, depuis qu’ils sont ici, oh, ils ont dĂ©chirĂ© la contrĂ©e. Venez par ici, c’est le moment pour vous de Le recevoir, Ă  l’instant mĂȘme. Entrez. Ne sortez pas de lĂ  avant de recevoir le Saint-Esprit. Tous les pĂ©cheurs, venez maintenant. Entrez ici et cherchez Dieu pour le salut. C’est comme ça.

75    Je dĂ©fie tout homme et toute femme qui est dans la PrĂ©sence divine, qui est malade, qui a quelque chose, je vous dĂ©fie de croire au Seigneur JĂ©sus-Christ pendant que je prie pour vous. Le ferez-vous? Combien promettent de faire cela? Si Dieu peut me donner ici le pouvoir de discerner les esprits
 je vous dis, je ne peux pas vous guĂ©rir. Vous ĂȘtes dĂ©jĂ  guĂ©ri. JĂ©sus vous a guĂ©ri quand Il est mort pour vous. Ne laissez pas ce sixiĂšme sens s’engourdir, mettez cela en action maintenant et croyez cela. Qu’en est-il de vous tous qui ĂȘtes ici dans ces fauteuils roulants, croyez-vous cela? Levons donc les mains vers Dieu.

76    Ă” Seigneur Dieu, ne laisse pas ce message passer en vain. Ne laissez, pas la puissance de Dieu ĂȘtre gaspillĂ©e ici ce soir. Mais que le Dieu du ciel envoie la puissance pour convaincre et pour guĂ©rir tout le monde. Que le dĂ©mon quitte tous ceux qui ont le cancer, qui sont cardiaques, qui sont paralysĂ©s, qui ont la leucĂ©mie, toutes sortes de maladies. Je dĂ©fie cela par un don, reçu d’un l’Ange, envoyĂ© au travers des souffrances de JĂ©sus-Christ pour guĂ©rir les malades et les affligĂ©s.
    Satan, sors d’eux. Je t’ordonne, au Nom de JĂ©sus-Christ, de sortir d’eux.
    Maintenant, tous ceux qui acceptent Christ comme leur GuĂ©risseur, peu importe ce que vous avez, cela ne fait aucune diffĂ©rence, si vous croyez Dieu, levez-vous et acceptez cela au Nom de JĂ©sus-Christ. C’est comme ça. Amen! Que Dieu vous bĂ©nisse. Ça y est! C’est parfait, parfait. Que Dieu bĂ©nisse les vĂŽtres, FrĂšre Sullivan.
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