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PrĂ©dication Nous L'avons trouvĂ© de William Branham a Ă©tĂ© prĂȘchĂ©e 54-0825 La durĂ©e est de: 42 minutes .pdf La traduction MS
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1    Merci, mes amis, et pouvons-nous simplement nous lever juste pour un instant. Notre aimable PĂšre cĂ©leste, nous Te remercions ce soir pour le privilĂšge que nous avons de venir devant Tes enfants bien-aimĂ©s afin de prier les uns pour les autres comme Tu nous as commissionnĂ© de le faire. Nous Te remercions pour ces gens qui sont ici ce soir. Et puissent Tes bĂ©nĂ©dictions reposer sur chacun.
    Et maintenant, malgrĂ© la chaleur et la grande agitation que nous avons dans la ville, nous sommes reconnaissants que les gens viennent entendre ce glorieux vieil Évangile. Il ne vieillit jamais, Il demeurera dans les Ăąges Ă  venir. Nous nous attendons Ă  L’entendre dans la gloire; comment JĂ©sus est mort pour le pĂ©cheur, comment Il a guĂ©ri les malades Ă  Sa mort, comment Il est ressuscitĂ© pour notre justification et comment Il est montĂ© en haut, et comment Il a envoyĂ© des dons aux hommes pour manifester Son amour au monde.

2    Nous Te remercions pour ces vĂ©ritĂ©s de l’Évangile. Nous Te remercions pour des hommes courageux aujourd’hui dans le monde, qui vont proclamer le plein Évangile du Seigneur JĂ©sus-Christ, qui endurent la persĂ©cution, les critiques ou quoi que ce soit; rien ne les arrĂȘte. Leur vision demeure, car elle provient du Calvaire et nous Te remercions pour cela.
    Et maintenant, cache-nous ce soir, PĂšre. Nous prions que Tu veuilles
 S’il y a des perdus, sauve-les; s’il y en a qui sont un peu indiffĂ©rents, ramĂšne-les Ă  la pleine connaissance. Et s’il y a des malades, Seigneur, guĂ©ris chacun d’eux. Et reçois la gloire de ce service alors que nous nous abandonnons Ă  Toi. Nous le demandons au Nom de JĂ©sus. Amen. Vous pouvez vous asseoir.

3    Que Dieu soit misĂ©ricordieux envers les nĂ©cessiteux ce soir. J’ai dit Ă  FrĂšre Baxter, notre–mon manager, que dans
 en un temps oĂč la chaleur est trĂšs forte, et aprĂšs qu’il a dĂ©jĂ  une fois parlĂ©, il n’est plus nĂ©cessaire que moi je parle encore; je commence la ligne de priĂšre, je commence Ă  prier pour les malades.
    Je vous apprĂ©cie vraiment, vous qui ĂȘtes venus dans ces salles surchauffĂ©es. Et je suis tout simplement un peu nerveux ce soir. J’ai essayĂ© de changer mes rĂ©unions d’une façon ou d’une autre afin que je puisse faire passer beaucoup de gens dans la ligne et tout, et que vous vous habituiez Ă  cette procĂ©dure de façon rĂ©guliĂšre, un esprit diffĂ©rent et consort, et cela vous dĂ©range un peu en essayant de changer votre programme. Ainsi, je vais commencer la ligne de priĂšre juste dans quelques instants.

4    Et ce que FrĂšre Baxter vous a dit ce soir, je ne le sais pas. Jamais je ne sais ce que le frĂšre dit, ni ce qui se passe. Mon fils vient ici vers–vers 6 h ou 7 h, ou je ne sais quand, et distribue les cartes de priĂšre. Il est dans une chambre et moi, je suis Ă  un autre endroit, lĂ  oĂč nous logeons.
    Aussi, un homme est venu hier soir me prendre quelque part. Et ce soir, un autre homme est venu me prendre. On m’amĂšne ici, j’y entre environ 5 minutes avant. Ensuite, on signale Ă  monsieur Baxter que je suis lĂ . On chante Crois seulement et–et j’entre dans la salle. À peine arrivĂ©, je commence Ă  prier pour les malades.
    Maintenant, il m’importe que JĂ©sus-Christ soit glorifiĂ© et c’est pour cela que je suis ici ce soir: c’est pour essayer Ă  mon humble maniĂšre
 J’aurais souhaitĂ© tout simplement pouvoir prĂȘcher comme certains de ces ministres, comme FrĂšre Baxter, Oral Roberts, Billy Graham, certains de ces remarqua
 Jack Schuller, certains de ces hommes de cette catĂ©gorie qui sont vraiment des prĂ©dicateurs qui prĂȘchent l’Évangile.

5    Combien ç’aurait Ă©tĂ© facile pour moi d’aller prĂȘcher un sermon de l’Évangile, rentrer Ă  la maison, aller au lit et oublier cela! Ce n’est pas cela. Je dois relever le dĂ©fi de chaque dĂ©mon qui est prĂ©sent. J’ai des critiques qui sont assis, attendant que je dise un mot qu’ils savent que je pourrais mal prononcer, ils
 [FrĂšre Branham prononce «lang» au lieu de «hang» qui veut dire s’accrocher–N.D.T.] Ă  cela–ils s’accrocheraient Ă  cela. Et ça se propagerait. Il faut ĂȘtre prudent.
    Par consĂ©quent, je viens sous l’onction quelques heures avant la rĂ©union, je prie, je demande Ă  Dieu de m’aider. Je reste dans une piĂšce jusqu’à ce que je sente Sa PrĂ©sence. En venant, personne ne m’adresse un seul mot. On ne me parle jamais, Ă  moins que ça soit «Bonsoir», ou quelque chose comme cela, jusqu’à ce que nous entrions dans le bĂątiment. Ensuite, le prochain appel se fait ici parce que je n’aime pas parler aux gens. Si vous le faites, quand les visions commencent et que je commence Ă  parler aux gens
 je–je
 cela m’affaiblit tout simplement.

6    Chaque vision m’affaiblit de plus en plus tout le temps. De cette maniĂšre, mes amis, ce n’est pas
 Mon ministĂšre ne consiste pas en un contact personnel avec chacun, il consiste Ă  Ă©lever JĂ©sus-Christ de façon que chacun puisse voir Sa PrĂ©sence. Et alors vous regardez et vous vivez, chacun de vous. Regardez et croyez, c’est tout ce qu’il y a.
    En Afrique et dans diffĂ©rents pays oĂč FrĂšre Baxter et moi avons travaillĂ© au Nom du Seigneur, cela a trĂšs bien marchĂ©. J’ai entendu les gens dire, aprĂšs que le service Ă©tait terminĂ©, qu’ils avaient vu le Seigneur accomplir une chose extraordinaire, peut-ĂȘtre que des milliers Ă©taient guĂ©ris au mĂȘme moment, des milliers s’étaient effectivement levĂ©s des chaises, des lits de camp et des civiĂšres.

7    Voyez, de toute façon, il n’y a rien dans l’homme qui puisse vous guĂ©rir. Je suis tout simplement votre frĂšre. Je
 S’il y avait un moyen par lequel je pouvais guĂ©rir quelqu’un et que je refusais de le faire, je serais une brute, en voyant des petits enfants souffrir, des gens avec des troubles cardiaques, des cancers et des choses semblables qui les tueraient sur-le-champ. Peut-ĂȘtre que leurs mĂ©decins ont fait tout ce qu’ils savent pour eux, mais il n’y a rien qui puisse sauver leur vie, ils implorent la misĂ©ricorde de Dieu.
    Pour moi, la vie n’est pas un lit fleuri d’aisance; j’ai mes critiques. Mais il me le faut. JĂ©sus a dit qu’il me le faut. JĂ©sus a dit que tous ceux qui Le suivaient devaient subir cela. Il en avait, et moi, je dois en avoir. Mais du fin fond de mon cƓur, et Dieu connaĂźt l’intĂ©gritĂ© de mon cƓur, j’essaie seulement de mon mieux de faire quelque chose pour aider la pauvre humanitĂ© souffrante, pour les aider Ă  recouvrer la santĂ© alors que d’aprĂšs les mĂ©decins, ils n’ont plus de chance de vivre.

8    Quand j’ai l’occasion de dormir la nuit, je peux me coucher avec cette pensĂ©e Ă  l’esprit: «J’ai fait de mon mieux. J’ai fait tout ce que je sais pour rendre la vie un peu plus agrĂ©able Ă  mes concitoyens, des pĂšlerins, les voyageurs en route vers la maison au ciel.» Et j’espĂšre que vous recevrez cela de cette façon-lĂ .
    Maintenant, je dĂ©sire lire en ce moment un court passage de l’Écriture. Et je sais que mes paroles sont les paroles d’un homme. Ceci est la Parole de Dieu, la Bible. Et toute doctrine Scripturaire doit ĂȘtre basĂ©e sur cette Parole. Si c’est quelque chose de contraire Ă  la Parole, cela n’est pas correct. Cela doit provenir de la Bible. Et qui que ce soit qui vient vers vous, prophĂšte, prĂȘtre, potentat, n’importe qui, s’il parle contrairement Ă  ceci, ce n’est pas vrai. Ceci est la Parole.

9    Ceci est la Parole pour les nations. Mais Dieu a placĂ© dans l’Église des prophĂštes, des apĂŽtres, des docteurs, des Ă©vangĂ©listes, des dons et ainsi de suite, pour l’édification du Corps. Peut-ĂȘtre qu’il y aurait quelque chose de personnel dans votre vie dont vous auriez besoin juste pour vous Ă©lever un peu pour faire quelque chose; Dieu a des dons dans l’Église pour faire cela. Certains d’entre eux sont de grands orateurs qui peuvent rĂ©vĂ©ler la–la Bible en prĂȘchant avec une grande puissance.
    Ă‡a, c’est une chose. Autre chose qu’Il a, ce sont les prophĂštes selon les Écritures, ils peuvent interprĂ©ter les–les intentions de cette personne. Un voyant qui voit ce que cette personne a fait dans sa vie, ce qui Ă©tait un parfait secret pour lui, il sait ce que c’était. S’il sait ce qui s’est passĂ© dans votre vie, vous saurez si cela est vrai ou non. AssurĂ©ment s’il sait ce qui s’était passĂ© dans votre vie, s’il peut vous dire ce qu’il y aura, si la premiĂšre chose Ă©tait vraie, la deuxiĂšme sera vraie. Voyez, cela doit en ĂȘtre ainsi.

10    C’est ainsi que nous avons acceptĂ© la Bible. Lorsque MoĂŻse a Ă©crit la chronologie, le–le commencement, la GenĂšse et ainsi de suite, nous–nous acceptons ce qu’il a dit, sachant que c’était vrai Ă  commencer par la maniĂšre dont le monde Ă©tait fondĂ©. Ensuite, nous croyons que sa prophĂ©tie qui devrait s’accomplir est vraie. Nous avons vu la plus grande partie de cela ĂȘtre accomplie.
    Maintenant, Il a parfois des dons lĂ  au sein de l’Église. Nous avons causĂ© des dĂ©gĂąts, l’Église en a fait. Certains d’entre eux ont reniĂ© complĂštement les dons et ils ont attribuĂ© cela Ă  un autre Ăąge. D’autres ont essayĂ© d’imiter les dons et en ont fait une disgrĂące lĂ -dessous. Cela signifie cependant qu’il existe un vĂ©ritable et authentique don de Dieu. S’il y a un faux dollar, cela montre tout simplement qu’il existe un vrai dollar Ă  partir duquel il a Ă©tĂ© fait. Sinon, le faux serait le vrai.

11    Si vous prenez un dollar et qu’il a Ă©tĂ© contrefait, vous savez qu’il y a un contrefacteur qui s’est rĂ©fĂ©rĂ© au vrai dollar pour fabriquer celui-lĂ . La seule façon pour vous de pouvoir discerner cela, c’est d’en prĂ©lever le numĂ©ro et de le renvoyer Ă  l’hĂŽtel des monnaies, et dĂ©couvrir s’il est vrai ou non. C’est ainsi lorsque quelqu’un parle de Christ; ramenez cela Ă  la Bible et dĂ©couvrez si cela est vrai ou non. C’est cela la preuve finale. Ceci est l’HĂŽtel des monnaies.
    Et puisse le Seigneur vous bĂ©nir ce soir alors que j’essaie de vous rendre service Ă  mon humble façon, pour essayer de vous apporter des bĂ©nĂ©dictions et de vous aider, vous, pĂšlerins, voyageurs sur votre route vers la gloire.
    Je me tenais derriĂšre le rideau il y a quelques instants, lorsque mon cher et bien-aimĂ© FrĂšre Baxter parlait disant: «Combien ici ce soir n’ont mĂȘme pas de cartes de priĂšre et veulent ĂȘtre guĂ©ris?» Des mains se sont levĂ©es partout. Mon cƓur s’est serrĂ©. J’ai regardĂ© tout autour et j’ai dit: «Oh! la la!» Priez pour moi; je suis tout simplement un peu nerveux. À voir les gens qui veulent qu’on prie pour eux, la pression
 C’est un monde malade, celui dans lequel nous vivons. C’est vrai.

12    Mais JĂ©sus-Christ, le mĂȘme hier, aujourd’hui et pour toujours, a produit et a acquis votre guĂ©rison au Calvaire. «Il Ă©tait blessĂ© pour nos iniquitĂ©s; Il Ă©tait brisĂ© pour nos iniquitĂ©s, le chĂątiment qui nous donne la paix est tombĂ© sur Lui, et c’est par Ses meurtrissures que nous sommes guĂ©ris.» C’est une Ɠuvre accomplie.
    Juste comme votre salut; si vous ĂȘtes un pĂ©cheur, levez les yeux vers Lui ce soir et acceptez votre salut par la foi. Il ne vous sauve pas ce soir. Il n’y a pas un seul pĂ©cheur dans toute la ville de New York, ce soir, qui n’ait pas encore Ă©tĂ© sauvĂ© dans le Royaume de Dieu. Mais cela ne lui fera aucun bien tant qu’il n’a pas acceptĂ© son salut.
    Vous n’avez pas Ă©tĂ© sauvĂ© il y a deux ans, ou il y a dix ans, ou il y a quarante ans. Vous avez Ă©tĂ© sauvĂ© il y a deux mille ans ou mille neuf cents et quelques annĂ©es, lorsque JĂ©sus mourut pour vous; croyez cela. C’est l’enseignement de l’Évangile.

13    Vous avez Ă©tĂ© guĂ©ri jadis il y a deux mille ans, lorsque JĂ©sus mourut au Calvaire. Vous devez accepter cela ce soir. Comment pouvez-vous en savoir au sujet de votre salut s’il n’y a pas un prĂ©dicateur qui est envoyĂ© pour vous indiquer le Calvaire, lĂ  oĂč votre salut a Ă©tĂ© acquis? Il en est de mĂȘme pour la guĂ©rison divine. Comment pouvez-vous en savoir au sujet de la guĂ©rison si Dieu ne fait pas quelque chose, ou s’Il n’envoie pas quelqu’un pour attirer votre attention sur l’Ɠuvre accomplie du Calvaire?
    Et c’est ce que je suis venu faire ici ce soir, humblement, Ă  mon humble façon: attirer votre attention ce soir sur ce que JĂ©sus a accompli pour chacun de vous il y a mille neuf cents et quelques annĂ©es.

14    Dans les Écritures, nous lisons maintenant mĂȘme quelque chose qui se trouve dans Saint Jean, au chapitre 1, au sujet de notre Sauveur, en commençant par le verset 44. Écoutez attentivement. Écoutez notre Sauveur, ce qu’Il Ă©tait en ce temps-lĂ , voyez s’Il est le mĂȘme ce soir.
    Philippe Ă©tait de BethsaĂŻda, de la ville d’AndrĂ© et de Pierre.
    Philippe rencontra NathanaĂ«l, et lui dit: Nous avons trouvĂ© Celui de qui MoĂŻse a Ă©crit dans la loi et dont les prophĂštes ont parlĂ©, JĂ©sus de Nazareth, fils de Joseph.
    â€ŠNathanaĂ«l lui dit: Peut-il venir de Nazareth quelque chose de bon?
    Philippe lui rĂ©pondit: Viens, et vois.
    JĂ©sus, voyant venir Ă  Lui NathanaĂ«l, dit de lui: Voici vraiment un IsraĂ©lite, dans lequel il n’y a point de fraude.
    D’oĂč me connais-Tu? lui dit NathanaĂ«l. JĂ©sus lui rĂ©pondit: Avant que Philippe t’appelĂąt, quand tu Ă©tais sous le figuier, Je t’ai vu.
    NathanaĂ«l repartit et Lui dit: Rabbi, Tu es le Fils de Dieu, Tu es le Roi d’IsraĂ«l.
    JĂ©sus Lui rĂ©pondit: parce que Je t’ai dit que Je t’ai vu sous le figuier, tu crois


15    Maintenant, prions encore. PĂšre, nous Te remercions ce soir pour ces Paroles. Elles touchent et inspirent nos cƓurs, de savoir que c’est ce mĂȘme JĂ©sus Qui a dit Ă  NathanaĂ«l: «Je t’ai vu avant que tu ne viennes Ă  la rĂ©union; tu Ă©tais en train de prier sous le figuier. Je t’ai vu.» NathanaĂ«l Ă©tait disposĂ© Ă  Te recevoir immĂ©diatement.
    Et ce soir, je Te prie, PĂšre, de bien vouloir accomplir Ta parole ce soir, lorsque Tu as dit: «Les choses que Je fais, vous les ferez aussi.» Et Tu as promis
 Et nous savons que l’histoire de la Bible se rĂ©pĂšte. Et maintenant nous savons que nous vivons au temps de la fin. Et nous proclamons le Seigneur JĂ©sus ressuscitĂ©, Qui est vivant avec nous depuis mille neuf cents et quelques annĂ©es.
    Il est ici ce soir. Et puisse-t-Il ce soir faire quelque chose qui amĂšnera les gens Ă  comprendre qu’Il est toujours vivant et qu’Il rĂšgne. Il rĂšgne sur chaque cƓur qui se soumettra Ă  Lui. Et je Te prie, PĂšre, de vouloir faire quelque chose de spĂ©cial ce soir, afin que, lorsque nous partirons d’ici ce soir pour retourner Ă  nos maisons et Ă  nos lieux respectifs, nous puissions dire comme ceux qui venaient d’EmmaĂŒs: «Nos cƓurs ne brĂ»laient-ils pas au-dedans de nous?»

16    Fais quelque chose de spĂ©cial ce soir, PĂšre. Parle peut-ĂȘtre Ă  certains de ces nouveaux venus d’une façon dont on ne leur a jamais parlĂ©. Fais quelque chose pour les gens. Reçois la gloire de ce service. Et maintenant, PĂšre, en tant que Ton pauvre serviteur inutile, je me soumets moi-mĂȘme Ă  Toi. Si Tu peux m’utiliser ce soir, PĂšre, pour aider Tes enfants bien-aimĂ©s, je me tiens prĂȘt et dans l’attente.
    Et circoncis leurs cƓurs, et leurs oreilles et leurs yeux, de sorte que ce qu’ils voient, sentent et entendent, puisse ĂȘtre une leçon pour eux que Tu es ici ce soir, le mĂȘme Seigneur JĂ©sus. Et puissent-ils accepter cela sur base de la foi et croire cela comme Ă©tant l’évidence de Sa rĂ©surrection. Car nous le demandons en Son Nom. Amen.

17    TrĂšs bien, voyons. Je crois que nous avons distribuĂ© cent cartes hier soir. Nous avons appelĂ© beaucoup d’entre elles, je crois jusqu’à–à environ les 25 premiĂšres ou 40 ou quelque chose comme cela. Commençons ce soir par 50; qui a la cane de priĂšre 50? Je n’ai pas appelĂ© cinquan
 jusqu’à cinquante hier soir, n’est-ce pas? [Espace vide sur la bande magnĂ©tique–N.D.É.]
    Si un mĂ©decin pouvait vous guĂ©rir, si vous avez le bras cassĂ©, il viendrait Ă  la maison et devrait vous rĂ©tablir avant de s’en aller. Ce n’est pas ce qu’il fait. Il fixe tout simplement votre bras; c’est Dieu qui le guĂ©rit. Venez, sƓur. Le numĂ©ro 52 a Ă©tĂ© sautĂ©. Est-ce que le numĂ©ro
 la carte de priĂšre numĂ©ro 52? TrĂšs bien, Madame. (Combien ai-je pris? Combien? À partir de combien Ă©tais-je en train d’appeler? De 50 à–de 50 Ă  60?)

18    TrĂšs bien, maintenant 61, 62. Qui a 61, voulez-vous lever la main? 61, mettez-vous vite debout afin que nous puissions nous dĂ©pĂȘcher. 61? TrĂšs bien. 61, 62, 63
 Continuez jusqu’à 75, prenons jusqu’à 75. Maintenant 61, 62, 63,64, 65. [Un frĂšre donne Ă  l’assemblĂ©e des explications sur la ligne de priĂšre–N.D.É.]
    Voyons si nous en avons encore. Ce que
 Toutes les fois que nous aurons plus d’espace, nous appellerons les autres. Est-ce assez Ă  prĂ©sent? Ce qu’il y a, mes amis, c’est que, dans mon bureau Ă  la maison, je reçois tout le temps ce genre de rĂ©action oĂč l’on dit: «FrĂšre Branham, j’étais assis lĂ . J’étais sourd. Mon numĂ©ro a Ă©tĂ© appelĂ©. On me l’a dit trop tard.» Eh bien, alors
 «Je ne pouvais pas me lever. Je ne pouvais mĂȘme pas lever les mains.»

19    Regardez les uns sur les cartes des autres et voyez si elles portent l’un de ces numĂ©ro. Si c’est le cas, envoyez-les ici. Certains ont dit: «Je ne sais mĂȘme pas parler anglais et personne ne me l’a dit.» Regardez sur la carte de votre voisin et voyez s’il
 Lorsque leur numĂ©ro sera appelĂ©, faites-les monter ici, car c’est–c’est ainsi que nous–nous sommes censĂ©s le faire.
    Et puis nous voyons, ce n’est donc pas ma faute. J’ai–j’ai appelĂ© les numĂ©ros et–et
 mais je n’y peux rien lorsqu’ils
 mais effectivement vous ne
 Si vous avez la foi, c’est tout ce dont vous avez besoin, la foi en Dieu. C’est tout ce qu’il vous faut avoir.
    TrĂšs bien, nous allons voir s’ils ont eu le
 TrĂšs bien, trĂšs bien, maintenant nous allons voir ce que
 Si notre Seigneur
 Si notre sƓur qui est Ă  l’orgue
 vous l’organiste lĂ , si vous le voulez, chĂšre sƓur, voudriez-vous donner en quelque sorte un doux accord de Reste avec moi ou quelque chose de ce genre, s’il vous plaĂźt? S’il vous plaĂźt.

20    Et je vais demander Ă  chacun ici d’ĂȘtre respectueux du fond du cƓur. Je sais qu’il fait trĂšs chaud. Mais vous voyez, mes amis
 [Espace vide sur la bande magnĂ©tique–N.D.É.]
    Il se peut que vous ne compreniez pas ceci. Combien sont ici pour leur
 n’ont jamais assistĂ© auparavant Ă  l’une de mes rĂ©unions? Faites voir vos mains levĂ©es, partout dans le bĂątiment. Voyez-vous? Regardez, presque la moitiĂ© de l’auditoire n’a jamais assistĂ© Ă  une rĂ©union auparavant.
    Maintenant lorsque JĂ©sus Ă©tait ici, Il ne prĂ©tendait pas ĂȘtre un grand guĂ©risseur ou quelque chose comme cela, n’est-ce pas? Non. Voici ce qu’Il a dit dans Jean 5.19: «Je ne fais rien de Moi-mĂȘme. Je fais seulement ce que le PĂšre Me montre, c’est ce que le Fils fait Ă©galement.» Est-ce l’Écriture? Et Il a dit qu’Il ne faisait rien d’autre. Il a dit: «En vĂ©ritĂ©, en vĂ©ritĂ©, Je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-mĂȘme. Mais ce qu’Il voit faire au PĂšre, le Fils le fait pareillement. Car le PĂšre montre au Fils ce qu’Il fait. Le PĂšre agit, et Moi aussi J’agis jusque maintenant.»

21    Maintenant, JĂ©sus a dit: «Ces choses que Je fais, vous les ferez aussi». Est-ce vrai? Il a dit: «Encore un peu de temps et le monde ne Me verra plus, mais vous, vous Me verrez, car Je serai avec vous, mĂȘme en vous, jusqu’à la fin du monde.»
    Maintenant, JĂ©sus est Celui Qui a tout fait pour vous, il n’y a rien que moi oĂč n’importe qui d’autre pourrait faire. JĂ©sus a dĂ©jĂ  fait cela. Maintenant, vous n’avez qu’à regarder Ă  Lui et croire cela. Et je vais vous demander d’ĂȘtre tout aussi respectueux que possible. Bien sĂ»r, lorsque les visions viennent, aprĂšs une ou deux, je deviens inconscient, je ne sais pas oĂč je me trouve ni ce qui se passe. On me le raconte. Je ne sais jamais ce qui arrive pendant la rĂ©union.

22    On me le raconte aprĂšs la rĂ©union lorsqu’on capte cela sur le
 Voyez-vous ces tas d’enregistreurs lĂ -bas? Si vous voulez savoir ce qui s’est passĂ©, demandez-leur tout simplement. C’est lĂ  que ça se trouve, chaque portion juste lĂ , chaque parole qui a Ă©tĂ© prononcĂ©e. Et veillez attentivement Ă  ce qu’Il vous dit. Ne vous dĂ©placez pas. Et si, Ă  n’importe quel moment, j’attire votre attention, soyez respectueux, soyez calme, inclinez la tĂȘte. Faites exactement ce qu’Il vous dit de faire, peu importe ce que c’est.
    Et voici tout le secret de tout: c’est de vous abandonner au Saint-Esprit. C’est la seule chose qu’il y a. Vous ĂȘtes nĂ© pour certaines choses, et alors, vous vous abandonnez tout simplement. C’est comme avoir un rĂȘve, seulement vous n’ĂȘtes pas endormi. Votre conscience est tout prĂšs de votre subconscient, vous passez de l’un Ă  l’autre. Vous n’ĂȘtes pas endormi, vous ĂȘtes pleinement Ă©veillĂ©, et pourtant vous voyez des visions. Que le Seigneur vous bĂ©nisse, maintenant. Et si les frĂšres veulent bien amener la dame.

23    Maintenant, dans la ligne de priĂšre, Ă  vous qui ĂȘtes au fond dans des salles, vous qui ĂȘtes alignĂ©s, si vous ne croyez pas de tout votre cƓur, ne venez pas dans la ligne de priĂšre. Si vous avez un pĂ©chĂ© que vous ne voulez pas qu’il soit dĂ©voilĂ© publiquement, vous feriez mieux de le confesser avant de venir dans la ligne de priĂšre (Voyez-vous?) Car il sera–il sera dĂ©voilĂ©. Ainsi priez. Ayez foi.
    Lorsque vous venez ici, tenez-vous tout simplement tranquilles. Il se peut que je vous demande–si je vous demande quelque chose, alors rĂ©pondez. Si je ne vous le demande pas et que c’est Lui Qui parle, ce n’est pas moi en ce moment-lĂ ; ne le faites pas; vous interrompez la vision. Laissez-Le tout simplement parler jusqu’à la fin, ensuite vous pourrez m’entendre de nouveau. Maintenant, soyez respectueux.

24    Maintenant, Ă  l’intention de l’auditoire lĂ -bas, voici cette dame qui se tient ici devant moi, elle m’est totalement inconnue. Je crois que nous sommes Ă©trangers l’un Ă  l’autre. Je ne l’ai jamais vue de ma vie, je ne sais rien Ă  son sujet, Dieu sait cela. Maintenant, si–si JĂ©sus-Christ est ressuscitĂ© des morts, comme nous le croyons, qu’en serait-il s’il se tenait ici maintenant? Maintenant, Il a dit que nous ferions la mĂȘme chose qu’Il avait faite.
    Si elle–elle est ici pour essayer de–d’obtenir quelque chose, quoi que ce soit, Il saurait de quoi il s’agit si Dieu le Lui montrait. Est-ce vrai? Et Il allait
 Non seulement elle, mais Il reconnaĂźtrait lĂ  dans l’assistance. Si votre foi atteint le niveau oĂč vous pouvez toucher le bord de Son vĂȘtement, comme la femme l’avait fait au 
?
 ça sera la mĂȘme chose.

25    Maintenant, cette femme est ici peut-ĂȘtre pour une certaine raison, sinon elle ne se trouverait pas ici dans la ligne de priĂšre. Il y a quelques minutes, on lui a probablement don
 ou il y a une heure ou quelque chose comme cela, on lui a donnĂ© une carte de priĂšre. Et il est tout simplement arrivĂ© qu’elle a Ă©tĂ© appelĂ©e ici dans–dans–dans la ligne de priĂšre.
    Maintenant, s’il y a quelque chose dans la vie de cette femme, ou quelque chose qu’elle veut, quelque chose qu’elle dĂ©sire, ou peut-ĂȘtre qu’il s’agit de la maladie, peut-ĂȘtre qu’il s’agit d’un problĂšme financier, peut-ĂȘtre
 Je ne sais pas ce que c’est. Peut-ĂȘtre qu’elle a perdu quelqu’un ou je ne sais pas. Mais elle vient vers moi ce soir pour un but.
    Si JĂ©sus Ă©tait ici en personne, dans la chair
 Il est ici dans la chair, mais c’est dans votre chair. Au fur et Ă  mesure que nous nous abandonnons Ă  Lui, notre moi meurt complĂštement et JĂ©sus s’installe. Maintenant, Il pourrait lui dire quels Ă©taient ses problĂšmes. Est-ce vrai? C’est ce qu’Il fit dans la Bible. Alors, s’Il le fait et qu’Il Se manifeste Ă  nouveau ici juste comme Il le fit devant NathanaĂ«l lorsqu’Il avait dit qu’Il l’avait vu avant qu’Il ne vint Ă  la rĂ©union, ce qu’il avait fait, croirez-vous tous en Lui de tout votre cƓur? Que tout le monde ici croie en lui de tout son cƓur. Merci. Bien, qu’Il vous bĂ©nisse.

26    Maintenant, comme vous ĂȘtes la premiĂšre patiente, je pourrais parler Ă  cette femme juste une minute comme notre Seigneur l’avait fait avec la femme au puits. Il lui avait parlĂ© assez longtemps jusqu’à ce qu’Il ait saisi son esprit. Ensuite, Il sut oĂč Ă©tait son problĂšme. Maintenant c’est la mĂȘme chose. Si JĂ©sus Ă©tait en train de par
 ici, en train de lui parler, en train de vous parler, ce soir, sƓur
 Maintenant, j’aimerais tout simplement parler avec vous pendant un moment pour
 Vous ĂȘtes juste–vous ĂȘtes une femme; moi, je suis un homme. C’est–c’est tout ce que nous savons, en nous tenant ici.
    Et peut-ĂȘtre que nous sommes nĂ©s Ă  des intervalles d’annĂ©es, Ă  des kilomĂštres de distance, et c’est la premiĂšre fois de nous rencontrer dans la vie. Maintenant, lorsque notre MaĂźtre, notre Seigneur, a rencontrĂ© une femme au puits, Il s’est mis Ă  lui parler pendant quelques instants. Avez-vous dĂ©jĂ  pensé  vous ĂȘtes-vous dĂ©jĂ  demandĂ© pourquoi Il lui parlait? Je crois qu’Il essayait de contacter son esprit. Et lorsqu’Il a dĂ©couvert oĂč Ă©tait son problĂšme, Il lui a dit oĂč Ă©tait son problĂšme.

27    Et elle a immĂ©diatement dit: «Je vois que Tu es un prophĂšte. Nous savons que lorsque le Messie viendra, Il nous annoncera toutes ces choses.» C’est JĂ©sus. Mais elle ne savait pas oĂč Il avait eu cela; elle avait dit qu’Il Ă©tait un prophĂšte. Et elle a couru dans la ville et a dit: «Venez voir un Homme Qui m’a dit..» ce qu’elle avait fait.
    Maintenant, s’Il est vivant ce soir, non pas mort dans la tombe, mais vivant ce soir, ressuscitĂ© et vivant dans Son Église, Il est tenu d’accomplir Sa Parole. Et alors, si j’ai fait une confession et que j’ai dit qu’Il m’avait dit ces choses par le tĂ©moignage d’un Ange, ce qui a Ă©tĂ© confirmĂ© autour du monde, alors je crois qu’Il va nous parler. Le croyez-vous? Et s’Il me disait Ă  votre sujet quelque chose que vous savez que j’ignore, L’accepterez-vous alors et croirez-vous que vous vous tenez dans Sa PrĂ©sence?

28    Maintenant, voilĂ  le Saint-Esprit. Au Nom de JĂ©sus-Christ, le Fils de Dieu, je prends chaque personne ici sous mon contrĂŽle pour la gloire de Dieu.
    J’aimerais que vous me regardiez juste une minute, madame. Êtes-vous consciente que quelque chose se passe? Maintenant, afin que l’auditoire sache que quelque chose a changĂ©, juste en ce dernier instant, levez la main afin que les gens voient. Oui.
    Maintenant, on dirait une sensation de douceur et d’humilitĂ©. Vous savez qu’il s’agit de Quelque Chose d’autre que votre frĂšre, n’est-ce pas? Maintenant, votre attitude envers Cela dĂ©terminera ce qu’il en est. Vous ĂȘtes une croyante? Vous ĂȘtes une croyante, une chrĂ©tienne, et vous ĂȘtes
 Maintenant, vous vous Ă©loignez de moi. Vous ĂȘtes
 Vous avez quelque chose
 Cela–cela se trouve dans votre sang, c’est une maladie de sang. En fait, c’est
 Il vous faut des piqĂ»res, comme d’in
 d’insuline. C’est le diabĂšte. Vous avez le diabĂšte. Vous avez le diabĂšte.

29    Et je vois que vous ĂȘtes–vous ĂȘtes extrĂȘmement nerveuse. Vous faites beaucoup les cents pas et vous faites tomber des choses, et tout. C’est vraiment un trouble nerveux. Vous ĂȘtes–et vous ĂȘtes
 je vois que vous vous ĂȘtes rendue Ă  un cabinet de mĂ©decin ou quelque chose de ce genre, et qu’on vous a examinĂ©e. Et je vois cela
 C’est quelque part ici Ă  la tĂȘte. C’est
 Il est
 Ça se situe
 Il y a un autre mĂ©decin, un homme plutĂŽt costaud, et il a dit qu’il s’agissait d’une tumeur au cerveau. Et cela affecte les nerfs optiques, c’est ce qui vous rend aveugle. Et

    Ces choses sont vraies. Maintenant, ce n’était pas moi, c’était Lui. Croyez-vous cela maintenant? Croyez-vous qu’Il est en train de rĂ©pandre l’onction? Il a donc dit: «Voici les signes qui accompagneront ceux qui auront cru. S’ils imposent les mains aux malades, ceux-ci seront guĂ©ris.»

30    Maintenant, Dieu notre PĂšre, comme Ton Esprit est ici pour rĂ©vĂ©ler – Tu as dit les secrets mĂȘmes des cƓurs des gens, Tu as fait connaĂźtre leurs Ɠuvres. Je prie, tout en ayant mes mains posĂ©es sur notre sƓur, que Tu puisses condamner la maladie ou l’affliction de son corps, ou quoi que ce soit que Tu lui as rĂ©vĂ©lĂ©, et que ce soir elle parte d’ici Ă©tant guĂ©rie pour Ta gloire. Je pose cet acte au Nom de JĂ©sus-Christ. Amen.
    Que Dieu vous bĂ©nisse, sƓur. Rentrez heureuse, vous rĂ©jouissant, rendant grĂące Ă  Dieu pour votre guĂ©rison. TrĂšs bien. Croyez-vous au Seigneur maintenant de tout votre cƓur? Maintenant, vous qui ĂȘtes lĂ  sans carte de priĂšre, qui ne pouvez pas–qui ne serez pas appelĂ©s dans la ligne, je veux que vous regardiez par ici et que vous croyiez de tout votre cƓur. Dites: «Seigneur, laisse que Ton serviteur me parle et me dise mon problĂšme, ou quelque chose d’autre Ă  mon sujet. Je Te croirai de tout mon cƓur.» Maintenant, faites cela et voyez ce qu’Il dira.

31    Bonsoir, monsieur. Maintenant, vous et moi, nous sommes supposĂ©s ĂȘtre Ă©trangers l’un Ă  l’autre, monsieur. Nous ne nous connaissons pas. Seul Dieu nous connaĂźt, tous les deux. Il vous a connu depuis que vous Ă©tiez
 avant que vous naissiez. Avant que le monde ne commence, Il vous connaissait et Il savait que vous vous tiendriez ici ce soir. Dieu savait cela. C’est Lui Qui vous a nourri de toute la nourriture que vous avez dĂ©jĂ  mangĂ©e.
    Et nous ne nous connaissons absolument pas. Croyez-vous que vous ĂȘtes dans Sa PrĂ©sence? Non pas devant votre frĂšre, mais dans Sa PrĂ©sence? Croyez-vous qu’Il est capable de me dire ce pour quoi vous ĂȘtes ici ou autre chose qui pourrait–pourrait vous aider?
    Cet homme est en train de s’éloigner de moi. Votre maladie a commencĂ© il y a des annĂ©es. Vous paraissez probablement jeune de quinze ans ou plus par rapport Ă  votre Ăąge actuel. C’est un trouble nerveux. Vous avez Ă©tĂ© dĂ©rangĂ© par un trouble nerveux. Je vois que vous n’arrivez pas Ă  dormir. Vous ĂȘtes debout, vous faites les cent pas, vous ĂȘtes agitĂ©. C’est dĂ» Ă  la nervositĂ©. Vous ne savez pas ce que c’est. Les mĂ©decins ne peuvent pas localiser ce que c’est. Ils ne savent pas ce que c’est.

32    Mais voici ce que c’est. Lorsque vous Ă©tiez un enfant, vous jouiez prĂšs des marches d’une cave et vous aviez
 vous Ă©tiez tombĂ©, et cela a fait qu’une–une vertĂšbre se dĂ©place lĂ©gĂšrement dans votre dos. VoilĂ  votre problĂšme. J’entends
 Vous ĂȘtes 
 Vous n’ĂȘtes pas de cette ville. Vous venez d’une autre ville oĂč il y a un fleuve ou quelque chose qui coule. C’est–c’est New Jersey, Camden, New Jersey. Votre nom est Frank. On vous appelle Frank Sask 
?
 Vous ĂȘtes guĂ©ri, monsieur. Votre foi vous a guĂ©ri 
?
 Dieu 
?

    Croyez au Seigneur JĂ©sus-Christ et vous pouvez ĂȘtre guĂ©ri ou sauvĂ©, n’importe quoi dont vous avez besoin. Notre RĂ©dempteur bĂ©ni fera ces choses pour vous. TrĂšs bien, voudriez-vous amener vos patients?

33    Madame, croyez-vous de tout votre cƓur, vous qui ĂȘtes assise lĂ ? Juste lĂ  avec la tĂȘte inclinĂ©e, celle qui me regarde et qui porte une petite robe verte, lĂ . Oui, vous, levez-vous. Non, la petite dame juste lĂ  derriĂšre vous, SƓur Brown.
    Cette LumiĂšre est suspendue au-dessus de vous, vous avez une Ă©ruption d’eczĂ©ma. Croyez-vous que JĂ©sus-Christ vous guĂ©rit maintenant? Acceptez-vous votre guĂ©rison? Que Dieu vous bĂ©nisse. Rentrez chez vous, vous en serez maintenant guĂ©rie. Dieu va vous guĂ©rir. Que Dieu vous bĂ©nisse.
    Bonsoir. Excusez-moi. Maintenant, soyez–soyez respectueux. Croyez seulement. Ayez foi en Dieu. Maintenant, je veux que vous croyiez tout ce qui est dit. Maintenant, acceptez votre guĂ©rison juste lĂ  oĂč vous ĂȘtes. Regardez dans cette direction, madame. Maintenant, oh! la dame ne sait pas parler l’anglais. Vous ĂȘtes ici pour interprĂ©ter pour elle. Je vais la regarder.

34    Dites-lui que j’ai dit: «Regardez-moi.» Je vous suis Ă©tranger, mais Dieu vous connaĂźt. Vous ĂȘtes une croyante. Vous venez des–des Pays Baltes. Vous ĂȘtes ici pour
 non pas pour vous-mĂȘme. Vous ĂȘtes ici pour un–un bien-aimĂ©, c’est votre mari. Ce mari souffre d’ulcĂšres. Il est dans un bĂątiment, c’est un hĂŽpital. Vous vivez maintenant ici, on dirait Ă  White Plains ou ailleurs, White Plains, dans l’État de New York. C’est de lĂ  que vous venez.
    Vous aussi, vous avez besoin de la guĂ©rison. Vous avez l’arthrite. Elle va retrouver son mari en train de se rĂ©tablir, et vous ĂȘtes guĂ©rie de l’arthrite. Continuez votre chemin en vous rĂ©jouissant JĂ©sus-Christ vous rĂ©tablit par Sa puissance bĂ©nie. Amen, Seigneur. Amen.

35    N’ayez pas peur, ayez foi en Dieu. (Maintenant juste une minute 
?
 juste
 je reprends mon souffle juste une minute. Le Saint-Esprit est en train de se mouvoir trĂšs puissamment dans l’auditoire maintenant mĂȘme. Juste une minute. Accordez-moi juste un peu de temps.) Est-ce la personne?
    Bonsoir. Nous sommes Ă©trangers l’un Ă  l’autre. Nous ne nous connaissons pas. Dieu nous connaĂźt tous les deux. Le croyez-vous?
    La petite dame de couleur qui Ă©tait assise juste lĂ  au bout Ă©tait juste en train de prier pendant les quelques derniĂšres minutes afin que Dieu la guĂ©risse de cette tumeur. Il l’a fait, madame. Vous n’avez pas de carte de priĂšre, n’est-ce pas? Vous pouvez donc vous tenir debout maintenant. Votre tumeur a disparu. JĂ©sus-Christ vous a guĂ©rie. Amen.

36    Nous sommes Ă©trangers l’un Ă  l’autre. Le Seigneur sait pourquoi vous ĂȘtes ici, n’est-ce pas? Je vous vois ĂȘtre transportĂ©e dans un certain type de bĂątiment, couverte d’un drap. C’était un hĂŽpital. Et vous avez subi une opĂ©ration au cours de ces derniĂšres annĂ©es et on vous a opĂ©rĂ©e Ă  cause d’une maladie interne. On vous a opĂ©rĂ©e, on vous a fait une ouverture de part en part. Vous souffrez maintenant d’une maladie d’estomac.
    Et aussi, vous avez
 À l’endroit oĂč l’opĂ©ration a Ă©tĂ© effectuĂ©e, on a commis une erreur et ça s’est ouvert, et vous avez me dĂ©chirure Ă  l’endroit oĂč elle a Ă©tĂ© faite. C’est la vĂ©ritĂ©. Croyez-vous que cela vient
 que l’origine de cette connaissance vient du Seigneur JĂ©sus-Christ? Si vous le croyez et que vous l’acceptez ainsi, certainement que Celui Qui se tient ici, Qui prend un homme comme moi et Qui connaĂźt ces choses, croyez-vous que c’est JĂ©sus-Christ?

37    Puis, Il a dit ceci: «Ils imposeront les mains aux malades et ceux-ci seront guĂ©ris.» Vous croyez cela? Alors, je vous impose les mains, ma sƓur, et je condamne la maladie de votre corps, et je dis: «Satan, quitte-la. Au Nom de JĂ©sus-Christ, qu’elle soit guĂ©rie.» Amen. Que Dieu vous bĂ©nisse. Que le Seigneur JĂ©sus-Christ soit avec vous.
    Bonsoir, monsieur. Je crois que, vous et moi, nous sommes Ă©trangers l’un Ă  l’autre. Nous ne nous connaissons pas. C’est la premiĂšre fois que nous nous rencontrons. Mais il y a Quelqu’un Qui est prĂ©sent maintenant, Qui nous connaĂźt tous deux. C’est Sa majestĂ©, dans la PrĂ©sence de Qui nous nous tiendrons au jour du jugement pour rendre compte de chaque chose qui se trouve dans nos vies.

38    Vous souffrez d’une maladie des yeux. Et vous avez aussi des troubles gastriques. Ces troubles gastriques et votre maladie des yeux ont la mĂȘme origine. C’est un trouble nerveux. D’une part, c’est l’astigmatisme, et de l’autre, c’est un trouble digestif qui vous amĂšne à
 un ulcĂšre d’estomac. Vous n’arrivez pas Ă  trĂšs bien manger. Et cela vous Ă©touffe; et aprĂšs avoir mangĂ©, et vos dents deviennent sensibles.
    Vous ĂȘtes aussi
 Vous avez quelqu’un qui vous est cher c’est une femme. Et elle vous prĂ©occupe. C’est une–c’est une–une–c’est votre belle-sƓur. Et elle se trouve dans un hĂŽpital, un hĂŽpital psychiatrique. Vous ĂȘtes un prĂ©dicateur. Vous veniez Ă  cette rĂ©union hier soir mais vous devriez prĂȘcher; c’est la raison pour laquelle vous n’étiez plus venu. Allez et croyez dans le Seigneur JĂ©sus-Christ, et vous aurez ce que vous demandez. Croyez-vous en Lui? Au nom de JĂ©sus, le Fils de Dieu, je bĂ©nis celui-ci, mon frĂšre, pour sa guĂ©rison. Amen.

39    Ayez foi en Dieu. Ne doutez pas. Juste un instant. Cessez de pleurer, sƓur. Il a entendu votre priĂšre. Juste lĂ  avec
 assise lĂ  avec les mains jointes, la dame qui me regarde, assise presque Ă  l’extrĂ©mitĂ©, avec un petit chapeau rouge
 Oui, madame, vous qui avez les mains
 Vous ĂȘtes souffrante. Elle se tient-lĂ , c’est comme si n’importe quel ĂȘtre humain pouvait voir cette LumiĂšre-lĂ  en train de Se mouvoir au-dessus de cette dame; c’est le Seigneur JĂ©sus-Christ.
    Vous Ă©tiez assise lĂ  en train de prier afin que je vous appelle. Si cela est vrai, agitez votre mouchoir. Vous souffrez des troubles nerveux ou vous avez effectivement cela. Cela est causĂ© par l’étape de la vie que vous traversez: la mĂ©nopause. Cela va vous quitter, et vous allez vous rĂ©tablir. Il commence Ă  faire clair tout autour de vous. Vous allez vous rĂ©tablir. JĂ©sus-Christ vous rĂ©tablit.

40    Bonjour, madame. Je suppose que nous sommes Ă©trangers l’un Ă  l’autre. C’est un parfait exemple du temps oĂč notre Seigneur JĂ©sus-Christ Ă©tait venu ici sur terre. Il avait parlĂ© Ă  une femme au puits, qui Ă©tait une samaritaine. Et Lui Ă©tait un Juif. Juste une diffĂ©rence de race
 Et Il leur a fait savoir trĂšs vite qu’il n’y avait pas de diffĂ©rence entre les races. Dieu cherchait ceux qui pouvaient L’adorer en Esprit et en VĂ©ritĂ©. Ce soir, vous, en tant qu’une femme de couleur, et moi, un homme blanc, nous nous tenons ici ensemble; cela ramĂšne la mĂȘme scĂšne en face, une fois de plus.
    FrĂšre Baxter, C’était au-dessus de vous tout Ă  l’heure. Monsieur, le deuxiĂšme homme lĂ , souffre de l’épilepsie. Vous acceptez votre guĂ©rison maintenant? Vous n’avez pas une carte de priĂšre. Il n’y a pas moyen, je pense, pour vous d’entrer dans la ligne.
    Vous n’avez pas besoin d’une carte de priĂšre. Vous avez dĂ©jĂ  sur vous ce qu’il faut si vous voulez l’accepter. Comment votre foi m’a-t-elle touchĂ© ici? Ce dĂ©mon d’épilepsie vous quittera si vous croyez. Ayez foi en Dieu et ne doutez pas.

41    La vessie Ă©clatĂ©e sera aussi rĂ©parĂ©e, sƓur, si vous croyez cela de tout votre cƓur. JĂ©sus-Christ vous rĂ©tablira. Que Dieu vous bĂ©nisse. Croyez-vous cela? Oui, trĂšs bien, levez-vous, acceptez donc cela. Que Dieu vous bĂ©nisse. Rentrez maintenant Ă  la maison et soyez guĂ©rie.
    Vous avez une grosseur. Cette grosseur m’est cachĂ©e, Ă  mes yeux naturels. Mais en ce moment, il y a Quelqu’un, Qui n’est pas moi, Qui regarde au travers de mes yeux. Cette grosseur se trouve sur votre sein. Et c’est sur le sein droit. C’est vrai. Il s’agit d’une tumeur. Venez ici. Ô Seigneur Dieu, CrĂ©ateur des Cieux et de la terre, laisse que Tes bĂ©nĂ©dictions soient manifestĂ©es ce soir. Apporte la paix Ă  cette femme. Et que ce dĂ©mon la quitte au Nom de JĂ©sus-Christ. Amen. Que Dieu vous bĂ©nisse. Allez, vous rĂ©jouissant, Ă©tant heureuse.

42    Croyez-vous? (Je deviens vraiment faible 
?
) Croyez-vous? Voulez-vous guĂ©rir de cette maladie de cƓur? Croyez-vous que Dieu va vous rĂ©tablir? Levez la main et dites: «J’accepte cela.» Que toute autre personne qui souffre d’une maladie cardiaque dans ce bĂątiment se lĂšve maintenant mĂȘme et soit guĂ©rie, en ce moment mĂȘme.
    Seigneur JĂ©sus, j’offre de tout mon cƓur la priĂšre de la foi contre cette maladie de cƓur. Satan, tu es dĂ©masquĂ©. Sors de ces gens au Nom de JĂ©sus-Christ, qu’ils soient tous guĂ©ris. Amen. Que Dieu vous bĂ©nisse. Continuez votre chemin et soyez rĂ©tablis.
    Croyez-vous, sƓur, de tout votre cƓur? Au nom du Seigneur JĂ©sus, puisse-t-elle ĂȘtre guĂ©rie pour la gloire de Dieu. Amen (
?
 moi. TrĂšs bien. TrĂšs bien, juste une minute.)
    Seigneur Dieu, bĂ©nis cet homme que je bĂ©nis en Ton nom. Que Ton Esprit vienne sur lui maintenant et qu’il soit rĂ©tabli pour l’amour de JĂ©sus. Accorde ces bonnes bĂ©nĂ©dictions, mon PĂšre cĂ©leste, comme je le demande pour Ta gloire en Son Nom. Amen.
    Croyez-vous que vos yeux seront guĂ©ris? Seigneur Dieu, CrĂ©ateur des cieux et de la terre, bĂ©nis cette femme, que je bĂ©nis en Ton Nom. Et puisse la puissance du Dieu Tout-Puissant venir sur elle et qu’elle soit guĂ©rie. Amen.

43    Je ne suis pas en train de lire la pensĂ©e de cette femme. Cessez de penser comme cela. Placez votre main sur moi, madame. Croyez-vous que je suis serviteur de Dieu? La dame
 Croyez-vous que ce que je demande Ă  Dieu, Dieu l’accordera? Vous croyez que si je–si Dieu me montre ici, sans vous regarder, ce qui ne va pas avec vous, allez-vous accepter votre guĂ©rison? Rentrez Ă  la maison, prenez alors votre souper. Vos troubles gastriques viennent juste de vous quitter. Vous pouvez partir. Que Dieu vous bĂ©nisse. Allez manger votre

    Ce n’est pas que je lis la pensĂ©e, c’est la puissance de rĂ©surrection de JĂ©sus-Christ. Il est ici pour guĂ©rir. TrĂšs bien. Ayez foi et croyez de tout votre cƓur. Croyez-vous, madame? Au Nom du Seigneur JĂ©sus, puisse notre sƓur ĂȘtre guĂ©rie. Amen. Allez, en rendant grĂące Ă  Dieu et en vous rĂ©jouissant.
    Vous devez croire, sƓur, si vous vivez avec cela. Savez-vous cela? Croyez-vous qu’Il va vous rĂ©tablir? Au Nom de JĂ©sus-Christ, je condamne ce dĂ©mon qui lie notre sƓur, afin que cela la quitte par JĂ©sus-Christ. Amen. Que Dieu vous bĂ©nisse, sƓur. Allez en croyant.

44    Croyez-vous, sƓur, de tout votre cƓur? Au Nom de JĂ©sus-Christ, puissiez-vous ĂȘtre guĂ©rie. Amen. Que Dieu vous bĂ©nisse, sƓur.
    Croyez-vous, monsieur, de tout votre cƓur? Au Nom de JĂ©sus-Christ, le Fils de Dieu, allez, soyez guĂ©ris. Au Nom de JĂ©sus-Christ, le Fils de Dieu, puisse notre frĂšre ĂȘtre guĂ©ri.
    Pouvons-nous obtenir de l’auditoire juste une minute
 Mes amis, je–je ne vous vois plus, il commence Ă  faire flou pour moi maintenant; mais j’aimerais que chacun se lĂšve en ce moment-ci et accepte sa guĂ©rison en JĂ©sus-christ.
    PĂšre, Tu es ici, le Seigneur JĂ©sus. Je n’ai plus de force, Seigneur, mais Tu es ici. Et maintenant, je condamne chaque dĂ©mon qui est dans ce bĂątiment, chaque maladie afin qu’elle quitte les malades. Par ces mouchoirs, et Dieu, je prie que Tu les guĂ©risses tous. Au Nom de JĂ©sus-Christ, je rĂ©clame leur guĂ©rison. Amen.
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