La Seule Vraie Église Vivante  

Date: 51-0727 | La durée est de: 1 heure et 46 minutes | La traduction: Shp
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1.         Merci…

            … est possible

            Seigneur, je crois.

            Inclinons la tête. Notre Père céleste, nous Te remercions ce soir de ce que nous pouvons chanter cela du fond de nos cœurs : « Seigneur, je crois. » Et comme le père qui avait un fils épileptique a dit, il y a des années : « Viens au secours de mon incrédulité. »… Nous entendons cette question qui a été posée un jour : « Quand Il reviendra, trouvera-t-Il la foi ? » Il n’a jamais demandé s’Il trouvera la justice ou s’Il trouvera des chrétiens, mais plutôt s’Il trouvera la foi quand Il reviendra, sachant que ce sera une chose que les gens auront abandonnée. D’entendre aussi le Saint-Esprit déclarer que ces temps viendraient dans les derniers jours : « Les hommes auront l’apparence de la piété, mais renieront la force » ; le manque de foi ; et nous Te remercions ce soir, Seigneur, car nous sentons dans nos cœurs que nous avons juste une petite foi. Et aide-nous, Seigneur, afin que cette foi soit augmentée ce soir, jusqu’à être si élevée, si perdue dans l’abandon total à Christ, que de grandes et puissantes œuvres  seront manifestées ce soir.

            Pardonne-nous donc nos insuffisances maintenant, et aide-nous. Puisse le Saint-Esprit maintenant même, le grand Agent de Dieu ici sur terre, qui est à la recherche d’une Epouse pour le Seigneur Jésus, puisse-t-Il visiter d’une manière spéciale chaque cœur qui est ici ce soir, car nous le demandons au Nom du bien-aimé Fils de Dieu, Jésus-Christ. Amen.

            Vous pouvez vous asseoir.

2.         Justement, je ne suis pas aussi grand que frère Baxter, et cela me rend… ?... [Frère Branham s’entretient avec quelqu’un pendant qu’on ajuste le microphone. – N.D.E.] Aussi longtemps que ce n’est pas pendant la ligne de prière, c’est en ordre. Voyez-vous ? Ce n’est pas dans… ?... Nous sommes certainement heureux pour le privilège d’être ici ce soir, afin de représenter notre – notre Seigneur et Sauveur Jésus-Christ dans le… Nous espérons que la réunion aura du succès, c’est-à-dire que les gens pourront avoir une grande foi en Dieu. Autrement, nous – notre réunion n’aura pas de succès. Il nous reste encore deux soirées de service, et nous – nous espérons que cela va s’avérer un grand succès pour vous tous.

            Et maintenant, chacun de vous est conscient du fait que sans la foi, il est impossible d’être agréable à Dieu, car il faut que celui qui s’approche de Dieu croie que Dieu existe, et qu’Il est le Rémunérateur de ceux qui Le cherchent. Et puisse-t-Il ce soir, pendant que nous nous attendons à Lui pour Ses bénédictions, puisse-t-Il ajouter grâce sur grâce pour nous.

3.         M. Baxter, alors que j’arrivais, je l’ai entendu prêcher, et il a apporté un – un sermon très puissant pour lequel je suis fort reconnaissant. C’est toujours la prédication de la Parole qui produit les résultats d’une grande réunion. « Car la foi vient de ce qu’on entend, et ce qu’on entend de la Parole de Dieu. »

            Dans les préludes de la réunion de ce soir, j’aimerais lire un passage de – de la Parole de Dieu, car il se pourrait que la simple lecture de la Parole produise la foi. En effet, mes paroles, comme la parole de tout autre homme, peuvent faillir, mais la Parole de Dieu ne peut faillir, car Elle a été écrite par Dieu.

4.         Et vous qui avez vos Bibles et qui souhaiteriez ouvrir ce passage de l’Ecriture, c’est dans le Livre, dans les écrits de saint Jean, au chapitre 5. J’aimerais lire un passage de ce chapitre pour le… juste avant le service de ce soir. Et ensuite, nous appellerons la ligne de prière après quelques commentaires, peut-être le témoignage sur quelque chose que notre Seigneur a fait pour nous. En effet, si je comprends bien. M. Baxter, dans la première partie des réunions, donne des témoignages sur ce qui se produit pendant ces services. Et parfois, je raconte à certains quelque chose que Dieu a accompli dans le passé.

5.         Maintenant la lecture de la Parole, s’il vous plaît :

            Après ces choses, il y avait une fête des Juifs, et Jésus monta à Jérusalem.

            Or il y a à Jérusalem, près de la porte des brebis, un réservoir d’eau, appelé en hébreu Béthesda, ayant cinq portiques,

            dans lesquels étaient couchés… multitude d’infirmes, d’aveugles, de boiteux et de gens qui avaient les membres secs, attendant le mouvement de l’eau.

            Car à de certaines saisons un ange descendait dans le réservoir et agitait l’eau; le premier donc qui entrait après que l’eau avait été agitée, était guéri, de quelque maladie qu’il fût pris.

            Or il y avait là un homme infirme depuis trente-huit ans.

            Jésus, le voyant couché là, et sachant qu’il était dans cet état déjà depuis longtemps, lui dit : Veux-tu être guéri?

            Le malade lui répondit : Seigneur, je n’ai personne qui, lorsque l’eau a été agitée, me jette dans – dans le réservoir… (excusez-moi)… car, pendant que moi je viens, un autre descend avant moi.

            Jésus lui dit, Lève-toi, prends ton petit lit, et marche.

            Et aussitôt l’homme fut guéri, et il prit son petit lit, et marcha.

            Or c’était sabbat ce…-là.

            Quand vous rentrerez chez vous ce soir, lisez la suite de ce chapitre. J’aimerais lire les versets 19 et 20, juste pour épargner le temps, car mon temps pour parler ce soir est presque terminé.

            Jésus donc répondit et leur dit,…

            C’est quand les Juifs Lui ont posé des questions.

6.         Imaginez-vous dans les jours de la Bible, le Fils de Dieu passant dans les rues de la ville, combien Son cœur était ému en voyant les malades et ceux qui souffraient ? Et quand Il est arrivé à cet endroit remarquable, appelé en hébreu Béthesda, parce qu’il y avait cinq portiques, c’était à la porte des brebis, par laquelle les gens amenaient les brebis. Et il y avait en quelque sorte un phénomène propre à cette époque-là ; en effet, les gens croyaient qu’un ange descendait du Ciel de temps en temps et agitait l’eau.

            Eh bien, étant donné que vous vivez ici à proximité de ce beau lac Erie, la plupart d’entre vous savent ce que c’est qu’une eau agitée. C’est une eau qui est… Le courant va dans un sens et les vagues dans le sens contraire, ce qui rend l’eau tumultueuse,  donc une eau très dangereuse pour les bateliers.

7.         Et cette piscine où on lavait les brebis était juste une piscine circulaire, ayant peut-être la dimension de ce bâtiment. Et là-dedans, à certaines saisons, l’eau devenait tumultueuse. Et quelqu’un avait déclaré que c’était un ange qui agitait cette eau, ou la troublait. Naturellement, pour certaines personnes, ce n’était qu’une superstition. Il n’était pas écrit dans les Ecritures que Dieu allait faire une telle chose, par conséquent beaucoup de gens ne croyaient pas cela. Mais beaucoup croyaient que c’était la vérité parce que cela produisait des résultats. En effet, la première personne qui souffrait d’une quelconque maladie et qui entrait avec foi dans l’eau, l’ange… La vertu de l’eau, le phénomène de la chose, l’eau agitée, que beaucoup de gens pensaient être simplement le vent qui soufflait vers le mur… En effet, un mur entourait la piscine. Et dans un certain sens, il se pourrait que le vent envoyait en sens inverse le courant de l’eau qui arrivait,  ce qui agitait l’eau. Mais ce qu’il y avait d’étrange là-dedans, quand une personne qui avait la foi entrait dans la piscine, l’agitation cessait et cette personne était guérie quelle que fût sa maladie.

8.         Eh bien, c’était une chose bien étrange, les gens voyaient les résultats produits par la piscine. Et ils voyaient les résultats sur la personne. Par conséquent les gens croyaient que Dieu envoyait un ange.

            Et aujourd’hui, comme cela est écrit dans les Ecritures, nous croyons que c’était un ange, nous les chrétiens, parce que la Bible déclare que c’était un ange. La Bible, en ce temps-là… Ce Nouveau Testament n’était pas encore écrit. Les gens avançaient simplement au pas de la foi, comme nous le faisons aujourd’hui, en marchant dans un autre âge : les pas de la foi.

            Mais quand notre Maître est venu, Il était la voie à laquelle Dieu a pourvu pour la guérison des corps malades. Dieu a des saisons et Il avait pris des dispositions pour cette génération déterminée.

9.         Quand Charles G. Finney qui, à mon avis (et je ne suis qu’un individu), fut l’un des plus grands ministres depuis saint Paul... Il a affirmé avoir gagné un million d’âmes à Christ. Dwight Moody, en son temps… Charles Finney était un – un juriste, un homme instruit, et il était le message de Dieu au monde de son époque, un homme instruit qui avait réuni plusieurs centaines de juristes. Et vous avez lu sa biographie, je suis sûr, la plupart de tous ceux qui lisent ces choses, les livres religieux. Et c’est un – c’est un chef-d’œuvre.

            Ensuite vint Dwight Moody, qui était un véritable illettré, un homme sans instruction. Sa grammaire était très pauvre, mais il était le message de Dieu pour cet âge-là. Dieu a un message dans chaque âge.

10.       Et dans les jours du voyage des enfants d’Israël dans le désert, Dieu avait un message qui était un serpent d’airain sur une perche, préparé pour une double raison : pour le pardon de péché et pour la guérison de leur corps mordu par le serpent, pour lequel leur assistance médicale ne pouvait rien. Et Moïse était instruit dans toute la sagesse des Egyptiens, lesquels étaient des médecins très intelligents, très habiles. Mais ses – ses remèdes n’étaient d’aucune aide pour ce genre de morsure de serpent. Et nous croyons que c’est la vérité parce que la Bible le déclare. Et il a élevé un serpent d’airain et le peuple n’avait rien à faire sinon regarder à ce serpent d’airain et croire que c’était le double remède de Dieu pour leurs péchés (pour leur rejet du serviteur de Dieu,  pour leurs plaintes contre lui) et pour la guérison contre la morsure du serpent.

11.       Jésus a dit : « Comme Moïse fut… éleva le serpent d’airain, il faut de même que le Fils de l’homme soit élevé, » la même raison.

            Et maintenant, ce serpent était la voie à laquelle Dieu avait pourvu pour la guérison pendant plusieurs, plusieurs années. Et après le serpent, les gens se mirent à adorer la statue, le serpent, plutôt que ce qu’elle représentait. Et cela amena le peuple dans l’idolâtrie. Par conséquent, le prophète alla prendre le serpent et le détruisit.

            Plus tard, quand le peuple a eu besoin de la guérison divine, Dieu envoyait un ange à la piscine. Eh bien, les Ecritures déclarent que c’était un ange et que c’était à la piscine. Et la première personne qui y entrait et qui avait la foi était guérie.

12.       Or, ce passage de l’Ecriture déclare qu’un grand nombre de boiteux, d’estropiés, d’aveugles et de paralytiques, était couché là, attendant le mouvement de l’eau. Et alors, quand la première personne était guérie, toute la vertu de l’ange qui était dans l’eau, sa puissance, entrait dans la personne malade. L’eau redevenait calme et l’ange ne revenait plus pendant plusieurs jours, jusqu’à une autre saison, peut-être après quatre, cinq ou six semaines. Mais les gens attendaient patiemment la venue de l’ange.

            Et beaucoup d’entre vous, membres du clergé qui êtes assis ici, sans doute que vous en avez lu l’histoire : combien les gens se battaient même avec des couteaux, essayant de marcher les uns sur les autres pour atteindre la piscine et y entrer le premier. Quelle multitude en souffrance cela devait être !

13.       Et quand est venu le Divin Fils de Dieu né d’une vierge, et Il était l’Agneau auquel Dieu avait pourvu, le Sacrifice auquel Dieu avait pourvu, Jéhovah-Jiré, Celui auquel Il avait été pourvu… Et quand Il est né, les gens de cette époque-là, de Son époque, particulièrement les religieux, n’ont pas cru en Lui, parce qu’Il n’était pas venu d’une manière classique, tel que eux  L’attendaient. Il est plutôt venu humblement, né dans une mangeoire, emmailloté. Il n’y avait aucun chant à Sa naissance, comme il y en a à la naissance d’un roi. Pour les mortels, quand un roi naît, le peuple chante et jubile. Mais il n’y avait aucun roi, personne pour chanter à la naissance de ce Roi. Mais les anges sont descendus et ont chanté aux bergers : « Dans la ville de David est né Christ, le Sauveur. »

14.       Et des mages ont vu un – un phénomène, une étoile, et il y avait – il y avait même beaucoup plus d’observatoires en ce temps-là que nous en avons aujourd’hui, car chaque ville avait son propre observatoire. Et ils observaient le temps au moyen des étoiles. La sentinelle se tenait sur la tour de l’observatoire, et il observait les étoiles. Vous vous souvenez, « Quelle heure est-il ? », a-t-on demandé à la sentinelle. Elle a dit : « Le jour vient, et la nuit aussi. » Elle observait les étoiles, et elle savait l’heure qu’il était. Mais cette (remarquez maintenant) – cette lumière magique, comme nous pourrions l’appeler pour que même les enfants puissent comprendre, cette lumière mystérieuse est passée au-dessus de chacun de ces observatoires, venant de l’Orient. Il est dit : « Nous avons vu Son Etoile en Orient. » Mais Son Etoile n’était pas en Orient par rapport à eux. Eux, ils étaient à l’est, regardant à l’ouest, vers la Palestine, et ils ont vu Son Etoile. Mais aucun observatoire, aucun  historien ni personne d’autre n’a écrit quelque chose là-dessus, ou aucun homme en ce temps-là n’a vu l’étoile, à l’exception des mages, et elle les a conduits à Christ. C’était la boussole à laquelle Dieu avait pourvu.

15.       Et il se faisait que ces hommes étaient des descendants de Cham, Sem et Japhet, les trois fils de Noé. Et ils sont venus et ont offert des dons au Fils de Dieu. Et Il a dit dans Matthieu 24 : « Quand cette Bonne Nouvelle aura été prêchée à toutes les tribus, toutes les langues et toutes les nations, alors viendra la fin. » Quand les pères étaient venus pour célébrer Sa naissance, ils ont offert l’or, l’encens et la myrrhe pour L’adorer, alors quand leurs enfants auront tous entendu le message de l’Evangile…

16.       Eh bien, l’Evangile, comme on le croit généralement, est la Parole de Dieu, et c’est vrai dans un sens. Mais la Parole de Dieu, ce n’est pas seulement l’Evangile. La Parole de Dieu, c’est la Semence qui produit l’Evangile. Jésus a dit qu’un semeur sortit pour semer la semence. Et une partie de la semence tomba dans les endroits pierreux ; une autre partie tomba le long du chemin, et les oiseaux du ciel la mangèrent ; une autre partie tomba sur un terrain couvert de chardons ; une autre partie tomba et donna du fruit au centuple.

            Eh bien, la semence, vous ici qui êtes des fermiers, chaque semence  portera du fruit si elle est dans une bonne terre. Et chaque promesse divine donnée par Dieu dans la Bible portera du fruit si elle est reçue dans un bon cœur. Cela produira la promesse. Si vous avez besoin du salut, croyez qu’Il vous sauve et acceptez Sa mort sacrificatoire, et vous recevrez ce que vous avez demandé. Si vous êtes fatigué et triste et que vous sentiez comme si tout le monde est contre vous, « venez à Moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et Je vous donnerai du repos ». Voilà une semence. Recevez-la. Et si vous êtes malade, « Il était blessé pour nos péchés, et c’est par Ses meurtrissures que nous sommes guéris ». Recevez cela. C’est une semence qui produira.

17.       Quand vous semez une semence, vous ne la déterrez pas chaque matin pour voir si elle a germé. Si vous le faites, votre semence ne germera jamais. Vous devez la planter, la confier à la terre et la laisser tranquille. C’est à la nature, à Dieu, de l’arroser et de veiller à ce qu’elle porte des fruits. Est-ce vrai ?

            C’est donc ainsi que vous y allez avec la Parole de Dieu. Recevez-La dans un bon cœur, déjà fertilisé et dont ont déjà été ôtés toutes les plantes rampantes, les endroits rocailleux et pierreux, les doutes, et dans un bon et riche sol de la foi, et croyez-La, confiez-La à Dieu, et allez votre chemin, témoignant que vous avez reçu ce que Dieu vous a promis. Et Il est le Souverain Sacrificateur de votre confession pour confirmer tout ce que vous avez confessé qu’Il a accompli. Voilà l’Evangile. Eh bien, l’Evangile ne consiste pas en paroles seulement.

18.       Pourriez-vous imaginer les gens en train de geler à mort, et moi, je leur peins l’image d’un feu, et je dis : « Regardez le feu qui brûle. Ne fait-il pas chaud ? Regardez ces gens qui se tiennent tout autour, se réchauffant » ? Mais  ça, ce n’est qu’une peinture de quelque chose qui a été. Vous gèleriez malgré tout en regardant cette peinture. Ce qu’il faut, c’est que ce feu-là soit  reproduit de nouveau pour que vous vous réchauffiez. 

            Et l’Evangile de cette époque-là est écrit dans la Parole comme une histoire, un feu peint de ce qui était. Recevez la même semence qu’ils ont reçue, et elle sera une réalité vivante en vous, et elle vous fera passer par la même expérience qu’ils ont eue.

            Vous dites : « Révérend Branham, est-ce la vérité ? » Selon ce que disent les Ecritures, le grand saint Paul a dit : « L’Evangile n’est pas venu à nous en paroles seulement, mais avec puissance et démonstration du Saint-Esprit. »

            Et quand Jésus a donné à l’Eglise la commission d’aller par tout le monde prêcher la Bonne Nouvelle, Marc 16 : « Allez par tout le monde, et prêchez la Bonne Nouvelle à toute la création. Celui qui croira et qui sera baptisé sera sauvé, mais celui qui ne croira pas… Et voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru… »

19.       Or, beaucoup de gens professent qu’ils croient, et aujourd’hui dans mon église, comme dans la plupart de nos églises, nous considérons comme croyant celui qui est fidèle à l’église, qui vient régulièrement à l’église et occupe une – une place, une position dans l’église et soutient celle-ci dans ses besoins financiers. Mais c’est vraiment contraire à ce que Jésus a dit. Jésus n’a pas dit : « Voici les miracles qui les accompagneront : ils occuperont leur place dans l’église, et ils seront des membres fidèles » et ainsi de suite. Il n’a jamais dit cela.

            Mais voici Sa dernière déclaration à l’Eglise. Ecoutez. « Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru : en Mon Nom, ils chasseront les démons ; ils parleront de nouvelles langues ; ou ils saisiront des serpents, s’ils boivent quelque breuvage mortel, il ne leur fera point de mal ; ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris. »

20.       Et ensuite, Il est monté au Ciel. Et les disciples L’ont adoré et sont retournés à Jérusalem ; le Seigneur travaillait avec eux, confirmait la Parole par des miracles qui L’accompagnaient. Est-ce l’Ecriture ? Je la cite exactement comme Il l’a dit. Alors je ne suis pas respon… [Espace vide sur la bande – N.D.E.]… un homme couché là. Cela semble-t-il juste ? Non, ça ne semble pas juste. Il savait où se trouvait cet homme. Il savait que l’homme souffrait d’une infirmité depuis trente-huit ans. Eh bien, peut-être qu’il souffrait des troubles cardiaques. Peut-être qu’il souffrait de l’arthrite, ou peut-être qu’il souffrait de la tuberculose. Peut-être qu’il souffrait de l’anémie. Peut-être qu’il souffrait de l’estomac. C’était une infirmité. Il n’était pas estropié, ni affligé, ni incapable de marcher, car il a dit : « Pendant que je descends, un autre descend avant moi. » Mais il souffrait d’une infirmité depuis trente-huit ans, et Jésus passa là et guérit ce seul homme, puis s’en alla, laissant cette grande multitude d’estropiés, de boiteux, d’aveugles et de paralytiques. Est-ce vrai ? Eh bien, je cite Jean 5.

21.       A présent, considérez cela. Pourriez-vous imaginer l’Aimable et Tout-Puissant Jésus passer par là où était une telle masse humaine constituée d’aveugles, d’infirmes, de boiteux, de paralytiques, et passer juste au milieu de ces gens, et guérir un seul homme qui n’était pas paralytique, ni aveugle, ni boiteux, ni estropié ? Mais il souffrait d’une infirmité depuis trente huit ans. Et Jésus sachant qu’il était dans cet état depuis longtemps, Il lui a dit : « Veux-tu être guéri ? »

            Il a dit : « Je n’ai personne pour m’amener dans l’eau ; pendant que j’y vais, un autre descend avant moi. »

            Jésus a dit : « Prends ton lit, et marche. » Et l’homme s’en alla. Et Jésus, avec le cœur de Dieu en Lui, s’en alla carrément, laissant tout le reste de cette multitude couchée là, des infirmes, des aveugles, des boiteux et des paralytiques. C’est ça l’Ecriture ici (l’Evangile selon la Bible) de saint Jean. Et ceci n’est pas du fanatisme, mais que tous ceux qui savent que cela est la vérité, et que je l’ai lu ici dans cette Ecriture-ci, veuillent bien dire « amen ». [L’assemblée dit : « Amen. » – N.D.E.]

22.       Je me demande pourquoi ce Fils de Dieu immaculé, dont l’amour et la grâce sont infinis, est passé à côté d’une multitude de gens et les a laissés couchés là, dans cette condition-là. Eh bien, je pense, s’Il avait dit à cet infirme-là, ou à ce paralytique ou à cet autre paralytique, ou à cet aveugle… Je crois que Son cœur était ému de compassion pour eux. Croyez-vous cela ? Son cœur était ému de compassion. Et je crois que s’Il avait dit à l’un d’eux : « Lève-toi et marche », ou « Tu as recouvré ta vue », je crois que la chose serait arrivée, pas vous ?

            Mais écoutez maintenant, alors que je lis les versets qui suivent, lorsqu’Il était interrogé, au verset 19 :

            Jésus reprit donc la parole, et leur dit: En vérité, en vérité, je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de lui-même, il ne fait que ce qu’il voit faire au Père; et tout ce que le Père fait, le Fils aussi le fait pareillement.

            Car le Père aime le Fils, et lui montre tout ce qu’il fait; et il lui montrera des oeuvres plus grandes que celles-ci, afin que vous soyez dans l’étonnement.

            Voyez-vous ce que je veux dire ?

23.       Eh bien, Jésus, le Fils de Dieu, a dit : « Moi, le Fils de Dieu, Je ne peux rien faire à ce sujet, car Je ne peux faire que ce que Mon Père me montre à faire. En effet, ce que le Fils voit (amen), voit faire au Père, le Fils aussi le fait. Car le Fils… Le Père montre au Fils ce qu’Il fait et Il vous montrera des choses plus grandes que celles-ci, afin que vous soyez dans l’étonnement. » Saint Jean 14.12, je cite Jésus : « Ces choses que Je fais, vous les ferez aussi. Et vous en ferez de plus grandes, parce que Je m’en vais au Père. » Je cite encore l’Ecriture : « Il est avantageux que Je m’en aille, car si Je ne m’en vais pas, le Saint-Esprit ne viendra pas. » En plus : « Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus ; mais vous, vous Me verrez, car Je serai avec vous, même en vous jusqu’à la fin de l’âge. » Je cite encore Hébreux 8.13, plutôt 13.8 : « Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement. » « Quand le Consolateur sera venu, le Saint-Esprit, Il vous conduira dans toute la vérité et dans toute la lumière, et Il vous annoncera les choses à venir. » Est-ce vrai ? Ce sont là des citations des Ecritures qui sont des Paroles mêmes de Jésus.

24.       Eh bien, est-ce alors étrange aujourd’hui que les Paroles de Jésus se soient accomplies sous nos propres yeux ? Serait-ce étrange aujourd’hui que les incroyants disent que c’est le diable ? Non, Jésus, je Le cite encore, a dit : « S’ils ont appelé le Maître de la maison (c’est-à-dire Lui, la maison de Dieu) Béelzébul (ce qui veut dire un spirite)… S’ils ont appelé le Maître de la maison Béelzébul, à combien plus forte raison appelleront-ils ainsi les gens de Sa maison ! » S’ils ont appelé le Grand Sacrificateur, le Souverain Sacrificateur, le Prophète de tous les prophètes, le Roi de tous les rois, s’ils L’ont appelé, Lui la Puissance de toutes les puissances, alors qu’Il accomplissait Ses œuvres, parce qu’Il était un Voyant et le Maître de tous les voyants qui existaient, qui ont existé avant et qui viendront, le Chef de tout cela, l’Auteur de tout cela, s’ils L’ont appelé Béelzébul, un spirite, à combien plus forte raison appelleront-ils ainsi ces voyants mineurs de la maison ! S’ils ont appelé le Père un démon, à combien plus forte raison appelleront-ils Ses enfants des démons ! » Voyez-vous ce que je veux dire ?

25.       Ainsi, prenez votre position ce soir, mon cher ami, du côté où se trouve Christ, du côté où Il prouve absolument qu’Il se trouve.

            « Et maintenant, ceci n’est pas accompli (cela vient de mon cœur), ces choses ne sont pas accomplies en secret. Elles sont accomplies publiquement, afin que tout le monde puisse voir. Elles ne le sont pas dans une seule partie du monde. Cela est confirmé à travers le monde, et Il confirmera encore cela. Ces choses sont faites afin que s’accomplisse ce qui a été déjà prophétisé dans la Bible et qui devait arriver en ces derniers jours.

26.       Je sens maintenant l’Esprit de Dieu. Ecoutez attentivement. Le voici qui vient. C’est une chose glorieuse. Ceci est le jour du Seigneur. Voici le jour où nous devons être heureux. Car, sous nos yeux aujourd’hui ainsi qu’à nos oreilles s’accomplit la Parole de Dieu pour ce jour, la Parole que l’Eternel a prononcée. Loué soit le Nom du Seigneur ! C’est cela, le Saint-Esprit est ici en confirmation de Sa Parole. La prophétie qui a déjà été annoncée et prédite est en train de s’accomplir maintenant sous nos yeux ce soir à Erie, en Pennsylvanie. Et le Saint-Esprit qui a écrit ces Paroles est ici ce soir dans ce dépôt d’armes, pour confirmer la Vérité de Dieu, selon la Parole, la semence, et l’accomplissement de la Parole. Il est ici. Alors réjouissons-nous dans nos cœurs, et soyons encouragés. Préparons-nous et prenons garde à ce que nous avons entendu, sinon nous allons laisser cela nous échapper à tout moment. Croyons en Lui d’un seul cœur et d’un commun accord. Nous sommes limités, et je suis limité à ce que le Père me montre, et que je peux faire ; sans cela, je ne puis rien faire, car je ne fais qu’accomplir les Paroles que le Seigneur Jésus avait prononcées.

27.       Jésus, quand Il est venu, Il a dit qu’Il était venu pour accomplir la Parole de Dieu, ce que les prophètes avaient déclaré. Amen. Il était venu pour accomplir la prophétie de l’Ancien Testament. Croyez-vous cela ? [L’assemblée dit : « Amen. » – N.D.E.] Eh bien, le Saint-Esprit est ici pour accomplir la prophétie du Nouveau Testament. Croyez-vous cela ? Alors réjouissons-nous, car aujourd’hui, c’est le grand jour de notre Seigneur.

            Ne soyez pas abattus, vous qui êtes malades et affligés. Ne soyez pas abattus, vous qui êtes déprimés. Et vous les bien-aimés qui êtes ici dans des fauteuils roulants, sur des civières et des lits de camp, selon la médecine, vous ne vous rétablirez probablement jamais. Et les précieux médecins ont peut-être fait tout leur possible pour vous aider, mais ce sont des hommes comme moi. Et Dieu sait que si j’avais un peu d’autorité ou de puissance, je descendrais carrément de cette estrade, et dans quelques minutes, il n’y aurait pas une seule personne malade ici. Je le ferais. Et c’est ce qu’aurait fait mon Maître, quand Il est passé par Béthesda et qu’Il a regardé cette grande multitude de dix mille personnes couchées là, estropiées, affligées et aveugles. Mais Il a dit : « Je ne peux faire que ce que Mon Père me montre. »

28.       Et ainsi, tout mortel est limité devant la puissance de Dieu. En effet, aucune chair, même le Fils de Dieu ne se glorifie devant le Père, car Il a dit : « Ce n’est pas Moi qui fais les œuvres ; c’est Mon Père qui demeure en Moi qui fait les oeuvres. Il montre au Fils ce que Lui-même fait, et le Fils le fait pareillement. » Le même Evangile, par le même Dieu, est ici ce soir.

            Bientôt, dans quelques jours, nous devons nous rendre en Afrique. D’un côté, je déteste en quelque sorte partir. Je déteste dire au revoir à mon épouse, à mes enfants et tout. L’autre matin dans un restaurant, une dame m’a dit : « Allez-vous laisser votre petite épouse et ces enfants pour aller en Afrique ? »

            J’ai dit : « Oui, madame. »

            Elle a dit : « Pourquoi allez-vous en Afrique ? »

            J’ai dit : « C’est pour apporter l’Evangile de Jésus-Christ. » Et j’ai dit : « Il a dit : ‘Quiconque n’abandonnera pas sa femme, ses enfants et tout, pour s’attacher à Moi, n’est pas digne d’être appelé Mon disciple. » Et j’ai dit : « C’est une si petite chose pour moi, d’abandonner ma charmante petite épouse, mes enfants et tout pour me rendre dans les champs missionnaires à l’étranger, alors que Lui est descendu de la gloire et est mort pour moi.’ » Elle est allée chercher mon petit déjeuner, puis elle est revenue quelques instants après. Elle a dit : « Monsieur, très peu de gens pensent comme cela aujourd’hui. » Ce monde est affamé, mes amis. Donnez aux gens l’Evangile dans son authenticité, dans sa puissance. Pour qu’un feu vert clignote vers l’Afrique…

29.       J’étais à Houston, le soir où la photo de l’Ange du Seigneur là derrière a été prise. Deux jours avant que la photo soit prise, le docteur Bosworth est venu, il a dit : « Regardez ça, Frère Branham. » Il avait la photo de la feue… la petite fille de la feue Florence Nightingale, la célèbre infirmière anglaise. Je crois que c’était son arrière-arrière-petite-fille. Elle était en Afrique du Sud et elle avait une tumeur maligne au niveau de… ?... de l’estomac. On la soutenait là-bas  alors qu’elle n’était rien que des os, vraiment rongée. On la soutenait comme ceci, elle mesure presque six pieds [1,83 m – N.D.T.], une femme grande, maigre, aux cheveux blonds. Elle se tenait comme cela, et ses bras ayant à peu près cette dimension ; je pense qu’elle pesait quarante livres [environ 18 kg – N.D.T.], ou trente-cinq livres [environ 16 kg], ou quelque chose comme cela. Et sur son corps, ici, elle portait un petit vêtement. Et quand il m’a montré cela… Et elle était en train de supplier. Elle avait envoyé un billet d’avion pour que de là, je m’envole pour l’Afrique sans tarder.

30.       Des fois, quand je rentre chez moi, il y a là huit ou dix billets venant de différents endroits. Et je m’agenouille simplement et prie, et je demande au Seigneur à quel endroit aller. Les autres, je les retourne. Je m’efforce d’aller là où le Seigneur me conduit. Et c’est – c’est dur, dans un sens, mais c’est si doux. La nuit, quand vous posez la tête sur l’oreiller, de savoir que vous avez fait de votre mieux pour faire quelque chose pour quelqu’un, peu importe qu’il y ait beaucoup de mépris à supporter et qu’il y ait beaucoup de croix, je pense :

            Jésus doit-il seul porter la croix,

            Et tout le monde être libre ?

            Il y a une croix pour chacun,

            Et il y a une croix pour moi.

            Tout cela n’est pas un lit fleuri d’aisance, mon ami. La nuit, ce sont des combats. Et quelquefois, quand les démons ont été sommés de quitter les gens, qu’ils combattent et que la personne croit, alors ils vous poursuivent directement la nuit comme cela. Vous feriez mieux de savoir ce que vous faites. Très bien.

31.       On m’a remis la photo, et frère Bosworth a dit : « Frère Branham, je… La voici, tout ce que je peux faire, c’est vous la remettre. » Et je – j’ai dû pleurer comme un bébé. Je me suis juste agenouillé sur le plancher et j’ai déposé là le télégramme, plutôt les papiers et la photo. Et ma femme et ma fillette se sont agenouillées autour de la photo, et nous avons prié. J’ai dit : « Père céleste, Tu sais que je ne peux pas partir d’ici maintenant, humainement parlant, pendant que des milliers de gens attendent. » J’ai dit : « Si seulement Tu peux toucher cette pauvre et précieuse femme qui se meurt là en Afrique et la guérir, ce sera un feu vert pour que j’y aille, si seulement Tu la touches et la guéris. » J’ai dit : « Je ne peux pas faire davantage à ce sujet. Eh bien, je suis disposé à quitter les réunions, à faire tout ce que Tu veux que je fasse, ô Père. »

            Dieu fait cela des fois. Vous souvenez-vous de Philippe ? Et je Lui ai confié le cas, et j’ai remis la photo au docteur Bosworth. Et puis, j’ai tout simplement continué.

32.       Et puis, le roi George d’Angleterre, vous le savez tous qu’il m’a envoyé un télégramme à deux reprises pour que j’aille prier pour lui. C’était quand un homme ici à Fort Wayne était guéri de la sclérose en plaques, un ami de son secrétaire particulier, qui avait été cloué au lit pendant dix ans. Je ne pouvais pas m’y rendre à ce moment-là, mais je savais que je serais en Angleterre dans peu de temps, ainsi j’ai tout simplement prié pour le roi.

            Et le jour où nous avons atterri, frère Baxter, moi et les autres de la – pour la campagne qui avait financé notre voyage là-bas avec l’argent provenant de l’Amérique,  nous avons atterri en A… – Angleterre, je ne l’oublierai jamais, j’ai dit à frère Baxter : « Frère Baxter, maintenant j’aurai peut-être un petit peu de repos avant d’entrer dans ce moment de grande tension. » En effet, nous savions qu’il y avait des milliers et des milliers qui attendaient en Finlande.

33.       Alors demain soir, le Seigneur voulant, je vous dirai ce qui est arrivé en Finlande. Mais présentement, notre temps s’envole.

            Et quand je me suis mis en marche, j’ai entendu quelqu’un m’appeler par haut parleur à l’aéroport international, lequel est situé hors de Londres, à environ trente miles [environ 48 km – N.D.T.] Frère Baxter a dit : « Laissez-moi y répondre, Frère Branham. » Et il est allé.

            Il y avait là des ministres, ils m’appelaient par haut parleur. Ils disaient : « Venez par ici. Cette demoiselle Florence Nightingale de l’Afrique vient  d’arriver par avion avant vous. Elle est mourante et veut que vous veniez vers elle. » Oh ! comment pouvais-je l’atteindre là dans toute cette foule ?

            Je lui ai parlé, j’ai dit : « Emmenez-la chez vous. Je dois aller là au palais de Buckingham. Ensuite, appelez-moi, et je serai à l’Hôtel Piccadilly. » Frère Baxter et moi avons fait des arrangements avec lui. Nous avons continué jusqu’à l’hôtel.

34.       Et le jour suivant, après nous être rendus au palais, et jusque chez John Wesley et à d’autres endroits, nous sommes revenus à l’abbaye de Westminster. Et puis, nous sommes entrés dans l’hôtel. Et ce ministre, un ministre anglais, a appelé ; il avait son petit taxi. Et nous nous sommes rendus chez lui, et c’était une matinée plutôt brumeuse. Nous sommes montés à l’éta… avait une belle maison, et sa grande église. Nous sommes montés à l’étage. Et il y avait beaucoup de gens pour nous accueillir.

35.       Et, oh ! frère, sœur, vous qui avez lu mon petit livre, vous y avez lu l’histoire de la petite Georgie Carter ; elle ne pesait que trente livres et quelques [environ 15 kg – N.D.T.]. Pendant neuf ans et demi, elle ne s’était jamais déplacée. Je pensais que c’était la personne la plus misérable que j’eusse jamais vue, car elle ne s’était jamais levée de son dos pendant neuf ans et huit mois. Ce soir, elle est ma pianiste à l’Eglise baptiste de Milltown, où je suis pasteur. Mais… Et les gens dans le voisinage avaient dit : « Qu’elle soit guérie, et nous allons tous croire. » Mais pas un seul n’est devenu croyant. Ils ont donc pensé qu’elle avait été ensorcelée ou hypnotisée. Il y a de cela des années et elle est donc toujours ensorcelée et hypnotisée. Depuis lors, elle a gagné près de cent livres [45 kg – N.D.T.]

36.       Alors, cette femme, quand nous sommes entrés là… Quand frère Baxter l’a regardée, il – il a tout simplement détourné le visage. C’est à peine s’il pouvait supporter de regarder la pauvre femme. Et moi-même, quand je l’ai vue, je – j’ai cru que mon cœur allait gonfler. Elle ne pouvait pas parler assez fort pour que je l’entende. Je me suis donc penché très bas, et une des infirmières interprétait ce qu’elle disait ou plutôt me disait. Elle a dit : « Frère Branham, je veux toucher votre main. » Et, oh ! mes amis, nous – nous allons tous partir un jour, à moins que Jésus vienne prendre Son Eglise. Et nous devons retourner à la poussière de la terre, car Dieu a arrêté que nous devons y retourner.

            Quand j’ai tenu cette main, je ne crois pas (je parle sincèrement) que ce soit différent de la main d’un squelette : tout aussi froide, et ce n’était rien que des os. Et j’ai tenu sa main. Et son bras n’était que des os.

37.       Et elle voulait que je voie son corps. Eh bien, j’aimerais déclarer ceci : je suis… j’ai ici un auditoire mixte. Mais je voudrais que vous me compreniez en tant que votre frère. Et sur son – son corps, lorsqu’on a retiré d’elle le – le drap, elle n’était pas – n’avait pas l’apparence d’un humain, cela ressemblait à un squelette. Comme une dame, tel qu’elles sont constituées au niveau de la poitrine, tout s’était affaissé et il ne restait à ce niveau que les côtes. Et son corps était si maigre qu’au niveau de ses hanches, là où se trouvait l’anneau, l’anneau au niveau de la hanche, la peau était devenue un à travers l’anneau comme cela. Et ses membres n’avaient environ que cette dimension à peu près à cette hauteur où ils s’emboîtent dans la cavité. Comment cette femme vivait encore, notre Père céleste seul sait. Et elle pleurait, les larmes coulaient sur le côté de son visage. Et je ne sais pas où il y avait assez d’humidité aux… pour produire les larmes. Ses jambes étaient tout bleues, les os, comme sur son corps, par où elle était nourrie avec du glucose et des histoires, car depuis plusieurs mois, elle n’était plus en mesure d’avaler quelque chose.

38.       Et l’infirmière s’est penchée pour entendre ce qu’elle disait. Elle a dit : « Dites à frère Branham de demander à Dieu de me laisser mourir. Je n’arrive pas à mourir. » Elle ne pouvait pas manger. On n’arrivait plus à trouver les veines. Et elle était juste couchée là, en train de dépérir. Nous étions frère Baxter, frère Lindsay, frère Moore, moi-même et deux ou trois ministres, ainsi que les infirmières et les bien-aimés de la maison ; j’ai dit : « Inclinons la tête pour la prière. » Et quand j’ai commencé à prier…

            Ma Bible est ouverte devant moi. Et notre Père céleste est près pour écouter ce que je dois dire, et ce que vous…

            Juste quand j’ai commencé à prier, j’ai dit : « Notre Père qui es aux cieux ! », une petite colombe est venue à la fenêtre. Et elle s’est mise à faire « cou, cou », allant et revenant, « cou, cou. » Et pendant toute ma prière, elle roucoulait. Et quand je me suis levé, les ministres ont commencé à dire : « Avez-vous entendu la colombe ? » Et comme je me levais, la colombe s’est envolée. Et juste quand j’allais dire que j’ai entendu la colombe… Comme vous le voyez ici, le soir ici, je n’avais pas le contrôle de ce que j’allais dire, et j’ai dit : « AINSI DIT LE SEIGNEUR, vous vivrez, vous ne mourrez point. »

39.       Nous avons présentement une lettre de sa part. Elle pèse cent trente-cinq livres [61 kg – N.D.T.], elle est parfaitement en bonne santé. L’épouse de mon secrétaire est assise ici ; elle envoie la photo d’une personne qui a une apparence différente ; vous ne pourrez même pas la reconnaître, par rapport à ces os [qu’elle était], de tous les médecins qu’on peut réunir.

            Qu’était-ce ? Etait-ce ma prière ? Non, c’était sa foi dans ce que Jésus a fait pour elle il y a mille neuf cents ans. De même que vous avez été sauvée du péché et de la honte il y a mille neuf cents ans, et vous avez été amené à la communion avec Dieu, non pas parce que Jésus vous a sauvé hier soir ou l’année passée, mais parce qu’à ce moment-là, vous avez accepté ce qu’Il avait déjà fait pour vous. « Et Il était blessé pour nos péchés ; c’est par ses meurtrissures que nous avons été guéris. »

40.       Eh bien, si vous voulez accepter maintenant ce qu’Il a fait pour vous alors… Eh bien, Il est le… Hébreux 3.1. Il est le Souverain Sacrificateur de notre confession. Eh bien, quiconque connaît les Ecritures sait que ce mot qui est écrit, c’est profession, mais le même mot est traduit par confession. En d’autres termes, Il ne peut pas vous sauver sur base des mérites de votre prière. Il ne peut pas vous sauver sur base des mérites de votre enthousiasme ou de vos bonnes œuvres. Il vous sauve sur base des mérites de votre foi et de votre confession. « Car celui qui me confessera devant les hommes, Je le confesserai aussi devant Mon Père et les saints anges. » Et n’importe laquelle de toutes… ré… Suivez attentivement. Toute bénédiction rédemptrice écrite dans la Parole…

            Maintenant, vous n’avez pas besoin de discuter là-dessus, pour savoir si cela est inclus dans l’expiation. Si cela se trouve dans la Parole, Dieu est souverain et doit accomplir Sa Parole. « Car le ciel et la terre passeront, mais Mes Paroles ne passeront point. » Si Dieu a dit cela…

41.       Dieu ne vaut pas plus que Sa Parole. Et si Sa Parole ne vaut rien, alors Il ne vaut rien. Si votre parole… Si je ne peux pas avoir confiance dans ce que vous dites, c’est que vous ne valez rien. Mais vous valez exactement ce que vaut votre parole. Et Dieu vaut exactement ce que vaut Sa Parole. Et moi, en tant que croyant chrétien, je crois que cette Bible est inspirée, qu’Elle a été écrite par le Saint-Esprit et qu’Elle est la Parole infaillible de Dieu. Et Dieu est lié par obligation vis-à-vis de Sa Parole, vis-à-vis du croyant qui accepte Sa Parole. Et chaque Parole est une semence. Si vous l’acceptez dans votre cœur par la foi, la croyez et la confessez, Dieu l’accomplira.

42.       Maintenant, puis-je dire encore ceci, car plusieurs fois les journaux, les magazines, à travers le monde, ont déclaré, m’ont taxé de guérisseur divin. Souvenez-vous, c’est une erreur. Je suis très reconnaissant pour les reportages faits sur moi dans les magazines et les journaux. Sur l’ensemble de tous les commentaires, il y en a eu environ deux ou trois qui m’étaient hostiles. Presque tous étaient très favorables. Le Post Dispatch, le Chicago Tribune et tous ces autres-là, vous avez lu cela là dans le livre. Et le temps pour vous de pouvoir envoyer directement une réponse à ces journaux et les atteindre, pendant ce temps les gens viennent et sont même guéris eux-mêmes, les journalistes et les autres. C’est quand ils sont allés examiner les cas pour voir, prenant leur temps plutôt que de fermer simplement – simplement les yeux, et dire : « Eh bien, il ne fait pas partie de notre église. »…

43.       Chers frère et sœur, il n’y a qu’une seule Eglise, et c’est le Corps des croyants qui sont sortis de toutes les églises, qui sont de véritables croyants en notre Seigneur Jésus-Christ. Voilà la seule Eglise qui existe. On n’entre pas dans l’Eglise – dans l’Eglise de Dieu. On entre dans cette communion fraternelle ; la communion fraternelle baptiste, la communion fraternelle méthodiste, la communion fraternelle catholique, la communion fraternelle presbytérienne. Nous y entrons par un contrat, comme ce que les associations ont dans les églises. Mais dans l’Eglise du Dieu vivant, on n’y entre pas par une lettre, par – par une poignée de main, par le baptême d’eau. Mais l’Ecriture dit : « Nous avons tous été baptisés par un seul Esprit pour former un seul corps. » Un chrétien, peu importe la communion fraternelle à laquelle nous sommes associés, nous sommes nés des chrétiens par l’Esprit de Dieu, et nous devenons des croyants en Son Nom.

            Oh ! combien je L’aime ! Et combien je sais que vous L’aimez ! Et combien je désire ce soir qu’Il guérisse chacun de vous !

44.       Et maintenant, comprenez clairement, avant que nous appelions cette ligne, qu’il n’y a pas de puissance dans aucun homme sur la terre pour vous guérir par la guérison divine. Un médecin peut faire une ablation ; il peut remettre en place un bras. Il peut ôter l’appendice, mais qui va guérir cet endroit où il a retranché l’appendice ? Il peut arracher une dent, mais qui va guérir cette alvéole ? Il peut remettre en place un bras, mais qui va ressouder cet os ? Il faut le surnaturel. Et toutes les guérisons qui s’opèrent dans les hôpitaux, sur les lits de malades, dans les cabinets de médecins, toutes les guérisons sont opérées par Dieu. Peu importe l’assistance que vous utilisez, ce ne sont que des remèdes ; c’est Lui qui opère la guérison. Les remèdes sont une assistance ; c’est Dieu qui opère la guérison. Comprenez-vous ? Eh bien, le médecin fera tout son possible pour vous aider, pour assister la nature, mais c’est Dieu qui opère la guérison.

45.       Psaumes 103.3 dit : « Je suis l’Eternel qui pardonne toutes tes iniquités (Croyez-vous cela ?), qui guérit toutes tes maladies. » Maintenant, vous pourriez venir me confesser vos péchés, et me demander de prier pour vous, mais je ne peux pas vous pardonner. Si vous avez péché contre moi, je peux vous pardonner. Mais si vous avez péché contre Dieu, Il est le seul qui puisse pardonner. Et Il a pardonné chaque personne au monde, et chaque personne qui  viendra au monde. On est déjà pardonné, mais cela n’est d’aucune utilité jusqu’à ce qu’on accepte cela par la foi et le confesse ensuite.

            Et Il a guéri tous les malades, mais cela ne leur sera d’aucune utilité jusqu’à ce qu’ils confessent cela par la foi, qu’ils croient cela et agissent sur base de leur confession. « Comme le corps sans âme est mort, dit Jacques, de même la foi sans les œuvres est morte. » Vous devez croire cela et agir en conséquence. Lorsque vous L’acceptez comme votre Sauveur, vous devez croire cela et agir comme Lui.

46.       Maintenant, cela… Je suis venu au monde, non pas par la volonté d’un homme ni par un homme, mais par la volonté de Dieu, par la divine prédestination de Dieu ; ce n’est pas par ma sainteté, je n’en ai aucune. Ce n’est pas par la sainteté de ma famille ; ma famille, là dans la génération précédente, c’étaient des immigrants venus de l’Irlande. Ils étaient des catholiques. Tout le monde était catholique jusqu’à la dernière génération. Ils ne fréquentaient aucune église du tout, ils étaient séparés, mon père et ma mère sont tous des Irlandais : Branham et Harvey ; ils n’avaient pas du tout de religion. Je suis venu jusqu’à ce… Oh ! la la ! je ne fréquentais pas l’église jusqu’à l’âge de 24 ans. Loin de l’église, mais le…

47.       Lors de ma naissance dans cette petite cabane des montagnes du Kentucky, cette Lumière que vous voyez sur la photo, que la recherche scientifique du monde a déclarée être un Etre surnaturel, est entrée dans la pièce. Elle m’accompagne depuis que j’étais petit garçon. Et Elle me parlait, et c’est Elle qui m’a envoyé ceci, et Elle a dit qu’Elle était envoyée de la Présence de Dieu, qu’Elle me donnerait ces choses à accomplir devant les gens, et non pas pour leur dire d’adhérer à l’Eglise méthodiste, baptiste ou presbytérienne, mais pour croire au Seigneur Jésus-Christ et ils seront guéris ou sauvés de leurs péchés.

            Ainsi, je dis la Vérité. Et si je parlais et déclarais que c’était moi, moi-même, je serais un menteur, car ce n’est pas moi. Mais c’est… je parle de Lui et Il est la Vérité. Et Il va confirmer cela comme étant la vérité. Si vous priez en étant sincère ce soir, pendant que le service est en cours, si Dieu me montre ce qui vous est arrivé, je vais le dire. S’Il ne me le montre pas, je ne saurai le dire.

48.       Et, en tant que Son serviteur, je demande à chacun de vous qui êtes malade ce soir… Il y a un grand nombre de cartes ici. Nous ne pouvons en appeler qu’un petit nombre à l’estrade, parce que je ne peux pas rester très longtemps sous cette onction. Les organisateurs et mon fils m’emmènent, car j’ai une autre réunion demain soir.

            Et quiconque connaît de manière scripturaire la Bible sait de quoi il s’agit. Considérez la vertu de l’ange, elle restait sur une seule personne. Considérez Daniel, quand il a eu une vision, il a dit : « J’eus l’esprit troublé pendant plusieurs jours. » Est-ce juste ?

            Et soirée après soirée… Pourquoi ? Parce que Jésus a dit : « Les choses que Je fais, vous les ferez aussi, et vous en ferez davantage. » Cela n’est mentionné que quelques fois. Là où Il a dit à la femme…

            Quand un homme du nom de Nathanaël est venu vers Lui, Il a dit : « Voici un Israélite », en d’autres termes, un chrétien. Celui-ci a dit : « Quand m’as-Tu connu ? »

            Il a dit : « Avant que Philippe t’appelât, Je t’ai vu. » Est-ce vrai ?

            Il a dit à la femme avec laquelle Il avait une conversation, pour saisir son esprit, Il a dit : « Va chercher ton mari. »

            Elle a répondu : « Je n’ai point de mari. »

            Il a dit : « Tu as eu raison de le dire ; tu en as cinq. »

            Quelques fois seulement dans les Ecritures… Mais Il a promis : « De plus grandes », ce qui signifiait : « Vous en ferez davantage, parce que Je m’en vais au Père. » Maintenant, c’est l’accomplissement de la Parole.

49.       Puisse le Seigneur Jésus bénir chacun de vous, pendant que nous inclinons la tête pour la prière.

            Notre Père céleste, nous sommes reconnaissants ce soir pour la puissance de l’Evangile, du fait que des âmes affamées acceptent de s’asseoir dans des bâtiments surchauffés, et bien des fois jusqu’à quarante mille personnes à la fois se tiennent sous un soleil accablant de Jamaïque, et dans les océans, plutôt dans les îles de l’océan, pour écouter l’Evangile de Christ apporté dans Sa simplicité, mais aussi dans Sa puissance. Et de voir le Saint-Esprit descendre sous forme de miracles pour guérir les nécessiteux, nous T’en remercions, Père.

50.       Nous Te remercions pour ce grand Etat de Pennsylvanie, pour son gouverneur, pour toutes les autorités et pour la ville d’Erie. Les gens, les églises, tous, Seigneur, se tiennent là, leurs longues flèches pointant vers le ciel, et le matin, quand la cloche sonne, les gens s’empressent à l’église pour trouver une consolation qui apaise leurs âmes ; de savoir que ceci n’est que l’ombre, le négatif. Un jour, la mort va développer l’image ; et alors nous verrons face à face, et nous connaîtrons tel que nous avons été connus.

            Beaucoup sont malades et privés du privilège de se déplacer ; pour plusieurs, leurs jours sont écourtés à moins de soixante-dix ans. C’est Satan qui a fait cette mauvaise chose.

51.       Et, ô Père, comme Ton humble serviteur ce soir, je ne prie pas pour que ces gens m’entendent, mais je m’adresse à Toi, ô Dieu. Puisse l’Ange qui m’a guidé, étant envoyé par Toi, et qui m’a nourri durant ma vie, puisse-t-Il se tenir à côté de moi ce soir pour confirmer les paroles que j’ai prononcées, afin que les gens croient en Toi, et soient sauvés et guéris.

            Et puisse-t-il, après le déroulement de cette série de réunions, quand les gens prendront conscience de ce qui vient de se passer, puisse-t-il y avoir un réveil dans chaque église de cette ville. Que cette ville (oh !) soit toute entière en effervescence pour le Seigneur Jésus. Que chaque membre du clergé de cette ville soit inspiré, Seigneur, en voyant son église se remplir et les gens venir faire leur confession, et désirer se joindre à l’église et vivre pour Christ. Quand il verra les malades qui étaient autrefois malades guéris ensuite, et témoignant sur des milliers d’autres guérisons, Seigneur, croyant… Accorde-le ce soir, Seigneur, afin que quelque chose arrive, qui va les secouer.

52.       Maintenant, j’ai déclaré devant cette audience et devant Toi, ô Seigneur, qu’il n’y a aucun homme qui soit guérisseur divin ou sauveur. Seul Ton Fils bien-aimé a fait cela pour nous. Et nous nous inclinons humblement pour Lui donner toute la louange et toute la gloire pour ce qu’Il a fait. Et nous Te demandons humblement ce soir, Seigneur, d’augmenter notre foi dans Son œuvre achevée au Calvaire, lorsque la grande souffrance subie à notre place y a payé le prix du double remède ; en effet, « Il a été blessé pour nos péchés et par Ses meurtrissures nous sommes guéris. » Puisse ce double remède venir vers chacun ici ce soir. Et comme l’aveugle Fanny Crosby, le poète, a écrit autrefois :

Ne m’oublie pas, ô doux Sauveur,

Ecoute mon humble cri ;

Pendant que Tu visiteras les autres,

Ne m’oublie pas.

 

Toi, la fontaine de mon réconfort

Plus que la vie pour moi ;

Qui, à part Toi, ai-je sur terre

Ou là au ciel, à part Toi ?

53.       Et ce soir, de voir ces gens assis ici, souffrant du cancer, des troubles cardiaques, n’ayant plus que quelques jours à vivre, après quoi ils devront répondre là au jugement, ô Dieu, ne les oublie pas, ô doux Sauveur. Mais que quelque chose soit fait, qui éveillera leur foi, pour qu’ils lèvent leurs yeux au-delà des soins du médecin, au-delà du brouillard et du voile, pour regarder là-bas et voir le sacrifice sanglant suspendu ce soir devant Jéhovah Dieu qui a dit : « Celui-ci est Mon Fils bien-aimé, écoutez-Le. »

            Et nous entendons Sa voix gronder ce soir depuis la Palestine, disant : « Tout ce que vous demanderez en priant, croyez que vous l’avez reçu et vous le verrez s’accomplir. » Accorde-le, Seigneur, qu’il en soit ainsi ce soir.

            Et, à présent, je Te demande humblement, en tant que Ton serviteur, de me cacher derrière le voile maintenant même. Prends, ô Seigneur, non pas parce que je suis digne, je suis indigne, mais à cause de Ton peuple qui est ici, et Ton digne Fils est mort pour cette cause louable… Si Tu cherchais des mains saintes ce soir, où les trouverais-Tu ? Nous avons tous péché et sommes privés de la gloire de Dieu. Mais, ô Père, Ta Parole est déterminée, et Elle doit s’accomplir. Accorde qu’aujourd’hui et ce soir, les déclarations que j’ai faites concernant l’Ange du Seigneur au cours des soirées précédentes, que cela soit confirmé ce soir. Que plusieurs parmi Ton peuple croient et soient sauvés.

54.       Et maintenant, Seigneur, je ne connais rien au sujet de ces gens-ci. Toi, Tu connais tout à leur sujet. Et que leurs cœurs soient tournés ce soir vers le Calvaire pour croire. Et alors qu’ils croient, veux-Tu bien montrer à Ton humble prophète, Seigneur, ce soir, et que je sois en mesure, par la puissance du Saint-Esprit, de voir ces gens, et qu’ils soient guéris. Car je le demande humblement en tant que Ton serviteur, au Nom de Ton Fils bien-aimé, Jésus-Christ, qui a étendu Ses bras pour guérir. Amen.

            Chaque enfant de Dieu qui croit est-il dans la dimension de la prière ? Tous les croyants, tenez-vous ensemble maintenant. Et comme nous le savons bien… Je ne veux pas dire « se lever ». Je veux dire être d’un seul cœur. Merci. Merci. Tenez-vous avec moi dans la prière comme un seul homme.

            Savez-vous que là où il y a désunion, l’Esprit de Dieu n’est pas le bienvenu ?

55.       Savez-vous que quand Jésus entra pour relever, ressusciter la fille de Jaïrus, et que les gens ont dit, eh bien, elle… Il a dit : « Elle n’est pas morte ; elle dort. » Ils se sont moqués de Lui. Est-ce juste ? Et Il les a tous fait sortir du lieu. Est-ce juste ? Il a pris les croyants.

            Et quand Pierre entra pour ressusciter Dorcas, l’aimable et charitable veuve, et que les gens pleuraient et se lamentaient, eh bien, il fit sortir tout le monde de la maison.

            Jésus a pris un homme par la main et l’a conduit hors de la ville (où se trouvaient les sacrificateurs incrédules et les autres) ; Il l’a conduit hors de la ville, et l’a guéri de la surdité. Est-ce juste ?

            Et je suis sûr que vous, les croyants chrétiens, vous reconnaissez ma position ce soir. Et maintenant, sachez ceci, partout dans la salle : je ne suis pas responsable de tout ce qui peut arriver aux incrédules ou aux sceptiques. Car soyez rassurés que les maladies sont absolument des démons.

56.       Par exemple, la surdité ou la mutité… Eh bien, le médecin a dit que les nerfs de l’oreille sont morts. Eh bien, qu’est-ce qui les a tués ? Pourquoi tout en lui n’est-il pas mort ?

            En effet, il y a une puissance surnaturelle qui les coupe, et ils ne peuvent plus fonctionner. C’est comme une bande transparente autour de ma main, si vous ne pouvez pas la voir ou la sentir, c’est le seul sens qui va déclarer cela. Et si les sens naturels ne déclarent pas cela ; ce qu’il s’agit d’un être surnaturel.

            Maintenant, est-ce vrai ?

57.       Ecoutez ce que Jésus a dit, quand l’esprit de surdité est sorti de l’homme, ce dernier a entendu. Est-ce juste ? Quand l’esprit de surdité, quand l’esprit de mutité est sorti de l’enfant, ce dernier a parlé ; l’esprit. Et quand ils sortent d’un… Les démons sont impuissants, à moins qu’ils soient incarnés dans un corps. Considérez le démoniaque de Gadara qui vint à la rencontre de Jésus. Ils ont dit : « Envoie-nous dans ces pourceaux », ils n’avaient pas un corps.

            Et Jésus a dit : « Allez. » Et les pourceaux ont fait des crises que connaissait le maniaque, et ils se sont précipités dans la mer et se sont noyés, en faisant des crises juste comme l’homme.

58.       Considérez les deux garçons dans la Bible, ou des vagabonds, un ministre, les fils du sacrificateur qui sont allés chasser d’un homme un démon, un sort d’épilepsie : Actes 19. Ces gens avaient vu Paul chasser les démons ; et ils avaient vu Jésus, alors ils ont dit à ce démon qui était dans l’homme : « Nous te conjurons par Jésus que Paul prêche, sors ! » Le démon a répondu : « Je connais Jésus, et je sais qui est Paul ; mais vous, qui êtes-vous ? » Et le démon se rendit maître de ces hommes et les dépouilla de leurs vêtements ; et ils s’enfuirent dans la rue, nus. Est-ce vrai ? Eh bien, ces démons sont toujours des démons ce soir, mais on les nomme épilepsie, surdité, mutité, cancer, cataracte. Ce sont des démons. Et quand ils sortent, ils vont chez d’autres personnes. En effet, beaucoup, beaucoup, beaucoup à travers la nation ce soir se trouvent dans l’affliction à cause de cela.

            Qu’on le sache donc, que je ne suis pas responsable pour les critiqueurs, je le suis seulement pour les croyants. Ça ne s’approchera pas de quiconque croit que ce que j’ai dit est la vérité. Très bien.

59.       Eh bien, si nous pouvons… Voyons, où est mon fils ? Bien, quel est… Combien de cartes as-tu distribuées ? La série G, de 50 à 100. Hier soir, nous avons commencé au début de la série, alors… la soirée qui a précédé, nous avons alors commencé au milieu. Commençons avec les dernières, les 15 dernières : 85, 90, 95 à 100. Commençons par la série G.

            Maintenant, c’est juste… Qui que vous soyez, jetez un coup d’œil autour de vous, vérifiez les cartes. Jetez un coup d’œil autour de vous. Voici un homme qui… Est-ce là la vôtre, monsieur ? 70, G-70. Jetez un coup d’œil là autour de vous, il se pourrait que ça soit quelqu’un qui est sourd ou quelque chose comme ça, qui n’entend pas. Regardez, vérifiez leurs cartes. G-85, 90, 85, ou 85, 90, 95, 100. Commencez par là et prenez-les, les quinze dernières de la série. Et maintenant, alignez-vous ici selon votre numéro, s’il vous plaît. 85 et – et 90 – 90… 85, 86, 87, 88, 89, 90, et ainsi de suite jusqu’à 100. Très bien.

60.       Combien ici… Merci, monsieur. Merci, monsieur. Merci, monsieur. Combien ici n’ont pas de cartes de prière ? Faites voir la main maintenant. Croyez-vous de tout votre cœur ? Croyez-vous que le Seigneur Jésus est ici pour vous rétablir ? Très bien. 

            Eh bien, souvenez-vous, mon ami chrétien, je somme chaque croyant ici présent de prier le Dieu Tout-Puissant, le Père de notre Seigneur Jésus, de vous guérir.

            Eh bien, ces gens ont une carte, et cette carte porte un numéro. Et sur la… La raison pour laquelle nous faisons cela, si je disais ici : « Que tout celui qui veut qu’on prie pour lui, monte ici », imaginez quelle foule nous aurions. Et si je disais : « Tous les tels et tels », comme cela, vous n’aurez personne pour commencer. Nous distribuons simplement ces cartes, et ensuite nous commençons quelque part et les laissons être appelées. Personne ne sait où on va commencer, nous en décidons quand nous sommes déjà ici.

61.       Et maintenant des gens sont étendus ici sur des lits de camp et des civières, et ainsi de suite. Quelqu’un, pouvez-vous jeter un coup d’œil là sur votre carte, madame, vous dont les mains semblent tordues. Pouvez-vous tenir votre carte ? Voyez quel numéro elle porte. Oh ! la la ! Très bien, madame, regardez par ici et demandez à notre Père céleste de vous guérir ce soir. Qu’en est-il de la vôtre ? Est-ce votre carte ? Votre carte n’était pas du nombre ?

            Maintenant, vous les dames qui êtes sur des civières, suivez et croyez de tout votre cœur. Vous m’êtes inconnues. Je ne vous connais pas. Mais suivez et croyez de tout votre cœur que Jésus-Christ sera ici pour vous rétablir. Croyez-vous cela ? Vous croyez qu’Il le fera ?

            Combien parmi vous là-bas sont malades (Voyons encore maintenant) ceux qui n’ont pas de cartes de prière, et qui veulent être guéris ? C’est… Eh bien, c’est presque tout le monde, c’est absolument partout.

62.       Eh bien, soyez en prière, et notre Père céleste va me révéler la chose. Croyez-vous qu’Il le fera ? Très bien, alors priez et demandez-Lui de vous guérir. Ayez la foi maintenant. Et que l’Eternel Dieu bénisse chacun de vous.

            Maintenant, vous tous qui êtes dans la ligne, croyez-vous de tout votre cœur ? Chacun de vous croit-il ? Très bien, ayez alors foi en Dieu. Je sais que je ne connais personne parmi vous, je ne pense pas. Non, personne parmi vous. Très bien, ayez la foi maintenant et amenez votre premier malade.

63.       Bonsoir, madame ! Eh bien, je suppose que nous sommes des inconnus. Je ne pense pas vous avoir déjà vue de ma vie. Mais nous sommes – nous sommes des inconnus dans la vie, et vous êtes venue vers moi pour une assistance. Et je perçois immédiatement que vous êtes une chrétienne, une croyante ; en effet, le Saint-Esprit n’embrassera pas le péché. Vous avez remarqué cela dans les réunions, si vous avez été ici auparavant. Quand il y a un péché sur l’estrade, ou là dans l’auditoire, Il dénonce carrément la chose, parce qu’Il ne peut pas tolérer le péché ; Dieu ne le peut pas. Il est saint, et Il ne peut tolérer le péché. Et je vous demande de me croire en tant que Son serviteur, et faites-le.

64.       Maintenant, vous avez simplement reçu une carte de prière, et elle porte un numéro et une lettre. Et cela a été appelé, et vous êtes venue vers moi comme une inconnue. Maintenant, la raison pour laquelle je vous parle est que vous êtes ma première malade. Et je – et je dois entretenir la conversation, afin de…

            C’est comme Jésus a dit à la femme au puits : « Apporte-moi à boire ! »

            Elle a dit : « Il n’est pas de coutume que les Juifs demandent quelque chose aux Samaritains. »

            Il a dit : « Mais si tu savais Celui à qui tu parles, c’est toi qui M’aurais demandé à boire. » Et la conversation s’est poursuivie ; alors Il est allé droit [au but] et lui a dit ce qui clochait en elle. N’est-ce pas juste ? Vous voyez, les… Il a promis que les choses qu’Il a faites, Il les accorderait aussi, et qu’il y aurait la pluie de la première et de l’arrière-saison, et que ces choses se produiraient en ces derniers jours.

65.       Maintenant, vous êtes consciente qu’il se passe quelque chose, n’est-ce pas ? Vous – vous en êtes consciente maintenant même, alors que je commence à vous parler. Eh bien, quelque chose vient donc d’arriver, n’est-ce pas ? Eh bien, cela n’était pas… Ce n’est donc pas pour vous faire mal. C’est pour vous guérir. Avez-vous vu la photo de Cela là au fond hier soir ? Vous n’étiez pas ici. Je veux que vous passiez par la réception et voyiez la photo, vous verrez ce que c’est, l’aspect de cela, lorsque les meilleures recherches de l’Amérique… Et aujourd’hui, elle est suspendue dans le hall des arts religieux : un Etre surnaturel.

            Maintenant, afin que cet auditoire le sache, depuis que nous sommes en conversation, une sorte de sensation réelle, je dirais douce et agréable vous envahit. Est-ce vrai ? Si c’est vrai, levez la main. Eh bien, il s’agit en fait de l’Ange du Seigneur, qui entre en contact. Quelque chose ne marche pas en vous. Et si… et je suis Son serviteur.

            Juste comme ce fil qui se trouve dans cette lampe est au service de la lumière, ce n’est pas le fil ; c’est l’électricité qui le parcourt, qui donne la lumière, le fil ne peut pas donner la lumière.

            Moi non plus, je ne peux pas connaître ce que vous avez comme problème, ni vous donner de La lumière. C’est le… cet Esprit que vous sentez maintenant qui apporte la Lumière.

66.       Oui, madame, vous êtes souffrante, n’est-ce pas, sœur ? Vous êtes une personne extrêmement nerveuse. Vous avez beaucoup d’ennuis. Et vous – vous êtes tourmentée par… N’est-ce pas que vous connaissez beaucoup de nuits… vous vous réveillez la nuit, ou quelque chose comme cela ? Pas vrai ? Oui, madame. Je vous vois passer la nuit, toujours avec… Est-ce vrai ? [La sœur dit : « C’est vrai, tout à fait vrai. » – N.D.E.] Ensuite, vous – vous avez eu… Je vois un médecin debout près de vous. Non, vous avez subi plusieurs opérations, n’est-ce pas ? C’est juste. Et vous êtes vraiment… Votre principal ennui se situe dans le dos. N’est-ce pas juste ? C’est dans votre dos, et c’est ce qui fait que vous ayez un… de l’estomac et ainsi de suite. N’est-ce pas vrai ? Ces choses sont-elles vraies, madame ? [La sœur dit : « Ces choses sont tout à fait vraies, tout à fait vraies. » – N.D.E.] Eh bien, personne du tout… seul Dieu doit révéler cela.

            Eh bien, ce n’était pas moi qui parlais alors. C’était ma voix, mais j’étais à plusieurs différents endroits et j’ai vu ce qui est arrivé. Est-ce vrai ? [La sœur dit : « C’est tout à fait vrai, deux opérations à la fois, et cinq une autre fois. » – N.D.E.]

            Eh bien, qui… J’ai dit cela, n’est-ce pas, pendant que je parlais ? Très bien, qui aurait donc su cela, excepté Dieu, ou quelqu’un qui était sur les lieux pour voir ces choses se passer ? Est-ce juste ? Parfois cela… Je ne me rends simplement pas compte de ce qui s’est passé. Mais à présent, vous… Cette sensation n’est pas comme elle était, n’est-ce pas ? Vous voyez, c’est parti. C’est parti quand la bénédiction de Dieu était sur vous.

67.       Est-ce le même Esprit qui a parlé à notre Seigneur Jésus-Christ, quand Il a dit à Nathanaël qu’Il l’avait vu en prière sous un arbre, avant qu’il vienne auprès de Lui et que Jésus lui dise qu’il était un chrétien ou, en d’autres termes, un croyant ? Est-ce le même Esprit ? Le même Esprit. Il est revenu de nouveau sur vous, n’est-ce pas ? Vous êtes bénie, ma sœur. Vos prières sont exaucées. Votre souffrance est terminée. Christ vous a guérie. Vous êtes bien portante. Vous pouvez partir et être bien portante au Nom du Seigneur Jésus.

            Grâces soient rendues à notre Seigneur Jésus-Christ, qui a ramené l’Esprit de Dieu et le Christ ressuscité, qui est présent ce soir pour guérir tous ceux qui sont dans le besoin. Il est ici, mes amis. Je n’ai aucun moyen pour vous L’apporter. Seule votre foi le rend présent. Et observez le changement de l’expression des malades quand ils arrivent à l’estrade.

68.       Maintenant, quelques instants, si l’onction continue à venir sur moi, je ne saurai plus où j’en suis. Maintenant, soyez sûrs pour la réunion de demain soir. Et que Dieu vous bénisse donc. Soyez en prière, là-bas. Et amenez le malade suivant que vous avez.

            Bonsoir, madame ! Notre – notre merveilleux Sauveur est formidable, n’est-ce pas ? Oui, madame. Oui, madame. Bien, Il est tout aussi doux et bienveillant envers nous ce soir qu’Il l’a toujours été. Oui, madame. Bien, croire cela fait de vous une chrétienne, quand l’amour de Dieu est dans votre cœur. Bien, voilà, c’est ce que nous ressentons. C’est tout simplement humain, et heureux ceux qui ont faim et soif de la justice. C’est même une bénédiction que de ressentir cela.

            Eh bien, naturellement, en vous voyant debout là portant des verres, on sait… N’importe qui dans l’assistance saurait que c’est cela, que quelque chose cloche dans vos yeux. Et maintenant, ils paraissent tout à fait clairs ; mais je crois que le problème se situe surtout dans votre œil gauche. N’est-ce pas juste ? [C’est vrai.] Oui, madame. Et tous les deux sont tout aussi clairs, mais vous êtes en train de perdre votre oeil gauche. [C’est juste, frère.] Pas seulement cela, mais votre oreille gauche est en très mauvais état. [Oh, gloire à Dieu ! C’est juste.] N’est-ce pas ? Oui, madame. Oh ! je vois que c’est tout votre côté gauche…  [Gloire au Seigneur ! C’est juste.]

69.       [Espace non enregistré sur la bande – N.D.E.]… et à cette pauvre femme qui est souffrante, j’impose les mains et demande, au Nom de Jésus-Christ, qu’elle soit rétablie, Seigneur. Je la bénis, en tant que Ton serviteur pour sa guérison. Amen.

            Que Dieu vous bénisse, que Dieu vous bénisse, sœur. Partez en rendant grâces… Partez maintenant en témoignant que vous serez rétablie. Tenez-vous-en à votre témoignage. Amen.

            Disons : « Merci, cher Jésus. Merci, cher Jésus. » Très bien, amenez le malade suivant. Maintenant, que chacun soit respectueux et ait la foi maintenant. Et si vous croyez, Dieu vous rétablira. Il vous rétablira.

70.       Eh bien, venez juste un moment, chère sœur. Je voudrais juste… Il y a beaucoup de gens là-bas qui croient, et ça rend la chose très pénible. Il y a beaucoup de gens assis là-bas maintenant qui sont déjà guéris. Et ça – ça me rend vraiment nerveux ou plutôt faible. Et maintenant, vous m’êtes inconnue, je ne vous connais pas, et pour épargner mon énergie, je voudrais juste vous parler un moment, si possible pour entrer en vision. C’est la vision qui me casse. Eh bien, nous sommes des inconnus vous et moi ; nous ne nous connaissons pas. Je ne vous ai jamais vue de ma vie. Vous ne m’avez jamais vu de votre vie comme… n’est-ce pas ? Nous sommes justes des inconnus.

            Maintenant, je veux que vous me donniez votre main droite. Et, maintenant, je veux que vous me croyiez de tout votre cœur. Oui, madame. Vous avez un cancer. Est-ce vrai ? Vous avez un cancer, et c’est au sein, n’est-ce pas ? C’est sur le sein droit. Est-ce juste ? Comment ai-je, dites-vous, comment ai-je su cela ?

71.       Je veux que vous remarquiez quelque chose juste un moment. Pendant que vous avez vos mains posées sur la mienne, je veux que vous observiez ma main que voici. Voyez-vous ces petites choses blanches qui parcourent ma main ? C’est ce que je détermine… Je ne sais pas ce que c’est. J’appelle simplement cela des vibrations. C’est une grosseur qui vit en vous, qui a une vie. C’était un germe juste comme vous-même l’avez été. Et vous commencez à développer des cellules et à devenir un être humain dans le sein de votre mère. Mais ce germe n’était pas en vous alors ; c’est un germe de la mort. Et il est entré en vous et a commencé à construire une petite habitation, à développer des cellules, et c’est devenu une grosseur. Et cela développe des cellules, et un corps juste comme le vôtre ; seulement ça n’a pas de forme, et ça n’a pas de libre arbitre comme vous. Il a un maître, c’est le diable ; une détermination, prendre votre vie.

72.       Maintenant, suivez ici. Je veux que vous déplaciez… La Bible dit : « Toute l’affaire se réglera sur la déclaration de deux témoins ou plus. » Est-ce juste ? C’est vrai. Maintenant, retirez votre main de la mienne ; regardez maintenant ma main : elle est tout aussi normale que la main de tout autre homme, n’est-ce pas ?

            Maintenant, posez votre mouchoir juste ici. Prenez cette main-ci, celle-ci, et posez cette main là-dessus. Il n’y a aucun changement du tout, dans ma main, n’est-ce pas ? Juste comme la main de tout autre homme. Eh bien, je me demande pourquoi cela vient de cette main-ci et pas de celle-là.

            Maintenant, je veux que vous voyiez, ce n’est pas dû à la position. Vous voyez, ma main est tout à fait normale. Maintenant, je vais retirer ma main, et la placer là-dessus. Maintenant, il n’y a rien.

73.       Venez ici, Révérend Baxter. Je sais… J’ai examiné le révérend Baxter plusieurs fois, et je sais qu’il n’y a rien qui cloche, à moins que cela ait commencé ces quelques deniers jours. Eh bien, je vais poser sa main, sa main droite sur la mienne. Toujours rien, n’est-ce pas ?  Elle est tout aussi normale que possible. Maintenant, enlevez votre main, Révérend Baxter. Je vais poser ma main dessus ; elle est toujours normale, n’est-ce pas ? Maintenant, posez cette main là-dessus, de nouveau cette main-ci. Observez donc ce qui arrive. Voyez-vous ? Voyez-vous ce que je veux dire ?

            Maintenant, pourquoi c’est cette main-ci plutôt que celle-là ? Quand Il m’a parlé et m’a donné deux signes à accomplir devant les gens, comme Dieu l’avait dit à Moïse, Il a dit : « Tu prendras la personne par la main, la main droite. » Et cela va jusqu’à mon cœur, par la main gauche. Et vous voyez qu’il se produit quelque chose là. Et maintenant, la Bible dit : « Toute l’affaire se réglera sur la déclaration de deux témoins ou plus. » Est-ce juste ?

74.       Eh bien, vous êtes venue vers moi, comme une inconnue. Je ne vous connais pas. Et le Saint-Esprit ici, quand j’ai touché votre main, vous a dit ce qu’était votre ennui et où il se localisait. Est-ce juste ? C’est vrai. Et je n’ai aucun moyen du tout par lequel savoir cela, excepté par Dieu. Est-ce juste ? C’est un témoin. Est-ce juste ?

            Un second témoin ; le fait que vous voyez la chose sur ma main, une réaction physique. Est-ce juste ?

            Je voudrais que mon fils, qui n’a jamais vu ceci, s’avance. Mon fils n’a jamais vu ceci arriver. Je veux que tu observes, fiston. Je vais poser ma main ici. Vois-tu ma main ici maintenant ? Laisse-moi avoir ta main, Paul. Je vais placer la main du révérend Baxter là-dessus. Tu vois ?

75.       Maintenant, observe quand je pose la main de la dame là-dessus, observe ce qui se passe. Vois-tu ce que je veux dire ?

            Eh bien, te souviens-tu de cette nuit-là, à Vandalia, dans l’Illinois, quand tu étais couché, endormi sur le lit, et que l’Ange du Seigneur se tenait là au-dessus de moi. Et j’ai jeté l’oreiller sur toi et je t’ai réveillé et j’ai dit : « Regarde ! » Et tu es venu, en criant et en courant vers moi. C’est le même Ange de Dieu qui rend témoignage ici. C’est le même Ange de Dieu. C’est pour la première fois que Billy voit cela.

            Très bien, maintenant retirez votre main. Je voudrais garder votre main là juste un moment. Et je veux que vous voyiez, sœur, que ce n’est pas dû à la position. Voyez-vous ? Eh bien, voyez-vous cela ? Je veux que vous observiez cela juste un moment. Maintenant, les voilà venir par vague. Vous voyez, voyez-vous ici ? De petites… blanches, comme de petites verrues blanches. Vous pouvez les voir depuis l’auditoire. Observez-les. Eh bien, les voici qui apparaissent ici, les voilà qui apparaissent là. Les voyez-vous en mouvement là ? Maintenant, observez, les voilà disparaître. Les voici qui réapparaissent. Les voilà. Eh bien, c’est quoi ça ? C’est la vie de ce cancer qui s’agite, son esprit.

76.       Si seulement je peux vous amener à croire, cela va vous quitter. Si je ne le peux pas, ça peut vous retenir captive. Maintenant, cela dépend de votre foi dans l’œuvre achevée du Calvaire. Croyez-vous que Dieu a envoyé Jésus et que Celui-ci est mort pour votre guérison ? Très bien, sœur, votre foi vous a sauvée maintenant. Cela s’est arrêté, auditoire. Viens ici, Billy. Très bien, vous pouvez quitter l’estrade ; et soyez rétablie, sœur, au Nom du Seigneur Jésus. Votre foi vous a rétablie.

            Disons : « Grâces soient rendues à notre Seigneur Jésus-Christ ! » Eh bien, ce n’est pas ma prière qui l’a sauvée, c’est sa foi. Bon, elle était debout là ; il y a trois témoins : le premier, voyons, c’était… Il lui a été dit ce qui s’était passé, ce qu’elle avait fait, ou quelque chose comme cela, il lui a été dit quelque chose de surnaturel. Ensuite, la chose suivante qui est arrivée, est qu’Il lui a dit ce qui ne marchait pas et ce qui s’était passé. La chose suivante, elle a vu les résultats physiques. Ensuite, pendant que sa foi était là, au même endroit, la même main, pendant qu’elle regardait droit cela, la grosseur s’est dégonflée, la – la perturbation sur la main a disparu. La vie de cette tumeur maligne dans son sein gauche l’a quittée.

            Si elle continue à croire… Elle en est certaine maintenant. Demandez-lui, que certains d’entre vous lui posent la question, si une très fraîche sensation n’a pas parcouru son sein, et elle a été guérie.

77.       Je pense que nous devrions simplement incliner la tête avec révérence pour rendre grâces à notre Seigneur.

            Notre Père qui es aux cieux ! Que ton Nom soit sanctifié;    

            Que Ton règne vienne; que Ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel.

            Donne-nous aujourd’hui notre pain quotidien ;

            Pardonne-nous nos offenses ; comme nous aussi nous pardonnons à ceux qui nous ont offensés; ne nous induis pas en tentation, mais délivre-nous du malin. Car c’est à Toi qu’appartiennent, dans tous les siècles, le règne, la puissance et la gloire. Amen !

            Dieu Tout-Puissant, Auteur de la Vie, Donateur de tout don spirituel, envoie Tes bénédictions sur ce peuple, augmente leur foi afin qu’ils sachent à cette heure que Tu les a visités, et que Tu as renvoyé sur cette terre, sous la forme du Saint-Esprit, le Christ ressuscité. Et puissions-nous dire ce soir, comme les apôtres d’autrefois sur le chemin d’Emmaüs ont dit : « Nos cœurs ne                       brûlaient-ils pas au-dedans de nous ? », quand ils ont reconnu que le Christ de Dieu était ressuscité des morts et était vivant parmi les hommes. Et, ce soir, nous sommes très conscients qu’Il est ressuscité des morts il y a mille neuf cents ans, et qu’Il vit pour toujours, demeure dans Son Eglise, intercédant pour les croyants qui confessent sur base de Ses oeuvres et de Sa souffrance subie pour nous au Calvaire. Dieu Tout-Puissant, reçois nos actions de grâces pour Lui. Nous  supplions au Nom de Jésus-Christ. Amen.

78.       Très bien, amenez cet homme. Bonsoir, monsieur. Je crois que la bénédiction de Dieu reposera sur vous, mon ami, que Dieu fera quelque chose ce soir pour votre cas, afin de vous amener à croire davantage au Seigneur. Evidemment, vous portez des lunettes, n’importe qui sait que – que vos yeux sont malades. Et… Mais il y a peut-être quelque chose de plus grave. Et maintenant, croyez-vous que ce que j’ai dit est la vérité ? Croyez-vous que ce que j’ai dit au sujet de Dieu est vrai ? Que ce que j’ai dit au sujet de Christ ainsi qu’au sujet du Saint-Esprit est vrai ? Alors l’Ange qui est descendu, que Dieu a envoyé dans ces derniers jours pour bénir Son peuple, après la prédication de Sa Parole… Et ces choses sur lesquelles les ministres ont bâti la foi tout au long de l’âge, et puis, de penser que Sa bonté est descendue dans les derniers jours pour faire quelque chose d’autre pour nous, envoyer un don prophétique qui Le magnifie devant les gens, et amène les gens à voir qu’Il est exactement le même aujourd’hui. Il vit encore pour toujours, étant assis, faisant l’intercession.

79.       Et les anges sont envoyés de Sa Présence, des esprits au service de Dieu, envoyés de la Présence de Dieu. Comprenez-vous, frère, que Dieu ne retire jamais Son Esprit de la terre ? Dieu retire Son homme, mais jamais Son Esprit.

            Dieu a retiré Elie, mais l’Esprit d’Elie est venu sur Elisée. Et ensuite, plusieurs centaines d’années plus tard, Cela vint sur Jean-Baptiste, le même Esprit, l’a amené à agir de la même manière. Et puis, il est prédit qu’Il sera de nouveau ici dans les derniers jours. Voyez-vous ? Dieu retire Son homme, mais Son Esprit demeure. Il a retiré Son Fils, mais Son Esprit est resté sur la terre, le Saint-Esprit. Il L’a renvoyé sur la terre pour vivre parmi les hommes. Le savez-vous ? Vous le savez. [Un homme dit : « Oui, je le sais. Je crois cela. » – N.D.E.] Croyez-vous cela ? [« Je crois cela. »]

80.       Et puis, les Ecritures déclarent que Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Et Il a dit, et voyons donc si c’est vrai, puis Il a dit : « Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus. » C’est l’ordre du monde ; le jour tel qu’il se présente aujourd’hui. « Ils ne Me verront plus », parce que Son Etre physique a été offert en sacrifice comme un Agneau ensanglanté, un innocent pour nous coupables. « Et le monde ne Me verra plus, mais vous, vous Me verrez. » Maintenant, qui est le « vous » ? Le croyant. « Car Je serai avec vous, même en vous jusqu’à la fin du monde. »

            Maintenant, cela s’adressait-il à Pierre, Jacques, Jean, et ceux qui se tenaient là ? Ils ne sont pas en vie ce soir. Ils sont en vie mais dans la gloire. Mais le croyant Le connaîtrait jusqu’à la fin du monde. Est-ce juste ?

81.       Monsieur, vous êtes quelqu’un qui réfléchit beaucoup, n’est-ce pas ? Certainement. Certainement. Vous – vous étudiez constamment des choses. Tout… Si j’ai dit ceci, c’est pour que vous sachez que bien des fois vous anticipez les choses. Eh bien, c’est – c’est héréditaire. Vous… Vous êtes constitué de cette manière-là. C’est vrai, n’est-ce pas ? Et vous – vous souffrez ce soir de l’estomac. N’est-ce pas ça ? Et en effet, vous ne pouvez pas manger certaines choses. C’est un estomac ulcéré. Cela a été causé par une situation qui est survenue il y a longtemps. Et vous êtes nerveux, vos yeux portent des stigmates et vous êtes pratiquement nerveux depuis longtemps, une nervosité  interne. Est-ce juste ? Je vous vois des fois au travail. Et vous vous asseyez, vous devenez si faible par moment que vous devez vous asseoir et vous reposer. Est-ce vrai ? Je ne suis pas en train de lire votre pensée, mon frère. Je vous assure, puisque le même Esprit qui parlait par notre Seigneur Jésus vous a révélé ce qui était dans votre vie… Est-ce juste ? Très bien, voulez-vous être… m’accepter comme Son prophète ? Je vous ai dit la vérité. Est-ce carrément par un Etre surnaturel ? Acceptez-vous cela comme tel ? Alors croyez-moi en tant que prophète de Dieu. Retournez chez vous et mangez ce que vous voulez, l’ulcère est guéri. Vous pouvez partir. Que Dieu vous bénisse, mon frère. Que le Seigneur Jésus vous rétablisse.

            Très bien, que tout le monde soit révérencieux. Venez, madame. Maintenant, soyez révérencieux. Dieu va vous bénir tous ce soir. Ayez foi en Dieu.

82.       Et, bonsoir, sœur. Je vois que vous êtes – vous êtes une croyante. Vous êtes dérangée depuis un certain temps, n’est-ce pas ? Vous avez quelque chose dans votre pensée qui vous inquiète. Bien sûr, la période de la vie par laquelle vous passez est une chose, si vous comprenez ce dont je parle, cela vous a totalement bouleversé, vous a beaucoup bouleversée. Vous comprenez de quoi je parle : la ménopause. Cela vous a amenée à cette condition extrême. Satan vous ment. Il essaie de vous amener à penser que vous êtes… tout va mal en vous, que vous n’allez pas vous rétablir, et de vous amener à croire que votre heure est proche, vous amener à penser quelquefois que vous avez franchi la ligne. Mais c’est faux. Et vous souffrez aussi d’une tumeur, n’est-ce pas ? Oui, oui. Etait-ce vrai ? C’était totalement vrai ? Eh bien, tout ce que j’ai dit, c’était la vérité. Je – je ne vous connais pas, n’est-ce pas, madame ? Je ne vous connais pas du tout. Nous ne nous connaissons pas. Et c’est la vérité. Et ce qui a été dit, ne pouvait être révélé que par un Etre surnaturel. Est-ce juste ? Croyez-vous que je suis Son prophète ? Alors venez ici, que je vous impose la main.

83.       Père, il est écrit dans la Parole, les dernières paroles qui sont sorties de la bouche de notre Maître, Il a dit : « Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru : ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris. » Ô Dieu, bénis cette femme dont je tiens la main ce soir.

            Et toi, démon, tu as essayé de la retenir, mais tu es dévoilé ce soir devant cet auditoire. Tu t’es caché en elle sous forme d’une tumeur. Tu pensais que tu pouvais te cacher d’un médecin. Mais tu ne peux pas te cacher de Dieu. Tu ne peux pas te mesurer à Lui. Je viens pour représenter Jésus-Christ du Calvaire, qui a remporté la victoire sur toi et ton espèce. Et je prends l’autorité ce soir, par une commission qui m’a été donnée par l’Ange de Dieu, qui est présent maintenant pour témoigner de cela. Tu ne peux plus la retenir plus longtemps. Sors d’elle, au Nom de Jésus-Christ.

            Que Dieu vous bénisse, ma sœur. Ce n’est pas à vous que je parlais rudement. Vous êtes guérie maintenant. Vous pouvez rentrer chez vous et être bien portante. Souvenez-vous maintenant, vous allez vous sentir heureuse comme c’est le cas maintenant, et vraiment bien pendant environ soixante-dix heures, peut-être soixante-douze, soixante-quinze heures. Et vous allez connaître une petite crise de maladie, avec une violente migraine. Ne vous inquiétez alors pas. Continuez à remercier Dieu pour votre guérison. Cela peut durer quelque temps. Vous serez étourdie et indisposée avec une tête qui tourne. Vous serez même obligée d’aller au lit. Mais ne vous lassez pas. Eh bien, si je vous ai dit ce qui était, et vous ai dit ce qui sera, si vous savez que le passé c’était la vérité, (est-ce juste ?), ce qui arrivera est aussi vrai. Partez, et que le Seigneur vous bénisse, ma sœur.

            Disons : « Dieu soit loué. » [L’assemblée dit : « Dieu soit loué. » – N.D.E.]

84.       Etes-vous des croyants ? Maintenant, vous qui n’avez pas de cartes de prière, juste un moment, ne quittez pas là-bas juste une minute. Comme je deviens extrêmement faible... Que tout le monde soit aussi respectueux que possible. Prions juste un moment.

            Maître, j’ai l’impression que ma vie est en train de me quitter. Je ne sais pas combien de temps Tu me laisseras encore ici sur cette terre. Mais je prie que ça soit beaucoup d’années, si Tu peux m’utiliser. Mais quand Tu n’auras plus besoin de moi, puissé-je aller auprès de Toi. Je sais cependant que je serai en mesure de tenir jusqu’à ce que j’aurai achevé l’œuvre que Tu avais ordonné d’avance pour qu’elle soit accomplie.

            Et ce soir, il y a ceux qui n’étaient pas ici cet après-midi pour recevoir les cartes de prière. Ils sont étendus ici, les uns sur des civières, les autres sur des lits de camp, les autres dans des chaises roulantes, les autres ont des béquilles ; les autres se meurent de crises cardiaques, de cancers, et de toutes sortes de maladies. Je ne les connais pas, Père bien-aimé. Mais comme Ton Fils bien-aimé dans Sa grâce, nous devenons Tes fils à travers l’adoption par l’Esprit…

85.       Je Te prie, Dieu Tout-Puissant, que cette Ecriture soit accomplie, laquelle déclare : « Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement », afin que Ton humble serviteur soit en mesure maintenant de voir ce que Tu as fait ce soir, selon que Tu le permettras à Ton serviteur, l’Ange de Dieu, qui a été envoyé vers cette petite housse de pailles, posée là-bas dans les montagnes… Puisses-Tu être tout près ce soir pour bénir Ton peuple, et pour nous aider, Dieu bien-aimé, pour que chacun de nous voie Tes bénédictions. Et étant donné que Tu as confirmé Ta Parole ce soir, à travers Ton serviteur, que les gens ici croient de tout leur cœur. Il y en a qui sont assis ici n’ayant pas de cartes, ils ne peuvent pas venir dans la ligne de prière. Il y en a encore beaucoup dans la ligne qui doivent venir. Et je Te demande, Seigneur, de guérir ce soir. Et puisse leur foi s’élever maintenant et dire : « Si Dieu est sur l’estrade, oeuvrant à travers notre humble frère, ce Dieu-là est ici avec moi. Et Dieu ne fait acception de personne, et Il peut me guérir ici où je me trouve comme Il est là-bas, guérissant ceux qui reviennent de l’estrade. » Accorde-le, Seigneur.

86.       Et puisse Ton Saint Ange, qui est venu et qui a dit qu’Il était envoyé de Ta Présence, puisse-t-Il parler maintenant à travers Ton serviteur, au Nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu. Amen.

            L’Ecriture dit : « Ayant fixé Son regard sur eux et connaissant leurs pensées… », je voudrais que vous soyez tous respectueux et croyiez au Seigneur maintenant de tout votre cœur.

            Eh bien, vous êtes là coupés de tout autre contact, sauf avec Dieu, et je ne suis en contact qu’avec Lui, selon que le Saint-Esprit me le permettra. Je ne peux dire que ce que je vois et ce que j’entends, c’est ce que je peux dire, mais pas plus. Et je voudrais que vous tous… Croyez-vous de tout votre cœur que ce que j’ai dit est la vérité ? [L’assemblée dit : « Amen. » – N.D.E.]

87.       Qu’est-ce que vous croyez, vous qui êtes par ici ? Croyez-vous de tout votre cœur ? Si le Dieu Tout-Puissant me montre vos maladies depuis cette estrade, et vous adresse des paroles réconfortantes, vous croirez certainement en Lui. Le ferez-vous ? Très bien, ayez foi en Dieu.

            Je vois simplement la Lumière tout près de la femme. Oh ! je – je m’excuse, la femme vient d’être guérie, je pense. Etiez-vous dans la ligne de prière, il y a juste quelques instants, madame, vous qui êtes assise juste là ? Etiez-vous dans la ligne de prière ? Avez-vous été guérie ici dans la ligne de prière ? Bien, c’est pourquoi Elle se tient toujours au-dessus de vous. Je voyais la Lumière. Le tout… C’est comme si… Je prie Dieu de vous ouvrir les yeux pour que vous voyiez ce que je vois maintenant.

88.       Une dame est assise juste ici. Non, il ne s’agit pas d’elle ; il s’agit de ce garçon qui est assis ici. Dis donc, jeune homme, n’es-tu pas un… ? Mets-toi debout juste un moment. Il y a quelqu’un derrière toi, qui tire. Oh ! tu es un – tu es un prédicateur, ou plutôt tu vas devenir un prédicateur. Non, ton père est un prédicateur. Est-ce juste ? Je vois l’église, et il y a un… Oh ! tu es très malade, n’est-ce pas, jeune homme ? Tu as été examiné récemment par des médecins, ou quelque chose comme ça, est-ce juste ? C’est dans une – dans une grande salle où plusieurs médecins regardent à… Oh ! il s’agit de ton cœur. Je vois un cardiogramme. Est-ce juste ? Est-ce vrai ? Puisse le Seigneur te bénir, mon cher frère, et te rétablir. Sois… Que Dieu te bénisse. Aie la foi.

89.       La dame assise juste là derrière, vous êtes en train de perdre la vue, n’est-ce pas, sœur ? Il y a quelque chose qui cloche dans vos yeux, n’est-ce pas juste ? Je vous vois perdre cela. Voulez-vous croire que Jésus-Christ vous a guérie, il y a mille neuf cents ans ? Levez-vous et recouvrez la vue. Oui, madame, au Nom du Seigneur Jésus-Christ.

            Très bien, l’homme qui est assis là juste à côté de vous. Vous souffrez de l’asthme, n’est-ce pas, frère ? N’est-ce pas juste ? L’asthme ? Croyez-vous que Jésus vous a guéri, il y a mille neuf cents ans ? M’acceptez-vous comme Son prophète ? Levez-vous alors et acceptez votre guérison au Nom du Seigneur Jésus.

            La dame assise à côté de vous, vous n’avez pas de carte de prière, n’est-ce pas, madame ? Oui. Vous souffrez d’une maladie de femmes, n’est-ce pas juste ? Que le Seigneur Jésus vous rétablisse, ma sœur, et vous guérisse. Ayez foi en Dieu.

90.       De ce côté-ci, combien parmi vous croient en Dieu ? Juste un moment. Respectueusement, là au fond, vous qui avez les mains levées, qui n’avez pas de carte de prière, là au fond, ayez la foi. Croyez maintenant. Il y en a tant. Vous qui êtes assis là, qui me regardez de manière si étrange, en cravate, vous étiez en prière, n’est-ce pas, monsieur ? Oui, je vous vois à genoux dans une chambre. Et vous avez prié en disant que si jamais vous pouviez arriver près de moi, vous seriez guéri. Est-ce juste ? Vous souffrez des reins, n’est-ce pas vrai ? Jésus-Christ vous rétablit, mon frère. Levez-vous.

            Eh bien, voilà parti cet esprit, une obscurité, des ténèbres quittent cet homme, apparemment vous pouvez voir cela, observer cela. Il y a un partenaire qui sympathise avec lui. Juste un instant. Le voilà qui tombe, juste un instant. Oui, le voilà qui tombe sur un homme, l’homme qui est assis là en t-shirt, aux cheveux noirs, ayant ses mains sur le visage. Lève-toi, jeune homme. Tu souffres des calculs rénaux, n’est-ce pas juste ? Accepte maintenant Jésus comme ton Guérisseur, qui t’a guéri il y a mille neuf cents ans. Aie foi en Dieu. Ne doute pas.

91.       Qu’en est-il de vous, madame qui êtes assise là, la femme de couleur ? Vous souffrez de l’arthrite, n’est-ce pas ? Eh bien, pourquoi ne vous levez-vous pas pour accepter Jésus-Christ comme votre Guérisseur ? Jetez votre béquille, et rentrez chez vous, soyez rétablie. Ayez foi en Dieu.

            Regardez par ici, vous les boiteux et vous qui êtes dans vos fauteuils [roulants] et sur vos civières, croyez-vous ? La rate gonflée, vous venez du Canada, un secret vous a été caché, madame : vous avez aussi un cancer. Croyez-vous en moi en tant que prophète de Dieu ? Voulez-vous être guérie ? Croyez-vous que je dis la vérité de la part de Dieu ? Alors au Nom du Seigneur Jésus-Christ, levez-vous de votre lit de camp, soyez rétablie.

            Croyez-vous, madame ? Vous qui êtes couchée sur la civière, vous êtes mourante. Vous en rendez-vous compte ? Vous êtes mourante. Et vous avez aussi un cancer, n’est-ce pas ? Alors au Nom de Jésus-Christ, le Fils du Dieu vivant, levez-vous de ce lit de camp, et recevez votre guérison au Nom du Seigneur Jésus-Christ.

            Croyez-vous, chacun de vous ? 

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