QU'Y A-T-IL DANS TA MAIN?

Date: 55-1120 | La durée est de: 1 heure 46 minutes | La traduction: Shp
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1.         Gloire soit rendue à Dieu ! Oh ! la la ! cela ne vous fait-il pas beaucoup de bien ? Très ravi… Tous ceux qui apprécient le cantique de frère Einar et de frère Waermo, levez simplement la main. Je voudrais vous montrer, frères, combien on les a appréciés.

            Il n'y a pas longtemps, je pensais m'acquérir peut-être… commencer à m'acheter une tente, une tente d'une bonne dimension, et voir si je peux me faire accompagner de ces frères et faire continuellement le tour des nations, les… chanter et prêcher l'Evangile, prier pour les malades, m'occuper en quelque sorte jusqu'à ce que le Seigneur vienne, vous voyez, jusqu'à ce que tout sera donc terminé. Alors nous pourrons rentrer à la maison, et alors je vais juste les écouter chanter le glorieux Evangile jour et nuit… toute la journée, car il n'y a pas de nuit là-bas, là dans l'autre monde.

            Frère Waermo et frère Ekberg, Dieu seul sait combien j'apprécie vos cantiques. Eh bien, vous voyez combien l'assemblée les apprécie. Nous vous remercions, frères, du fond de nos cœurs.

2.         Il y a un jeune frère assis ici, John ; c'est tout ce que je connais de son nom. Il est plombier, je pense. Et j'espère qu'il amène tous les plombiers de la Californie à avoir le même genre d'attitude que lui envers Christ. Ç'a été merveilleux de bénéficier de son aide, et il a - il a travaillé jour et nuit ; il se lève à cinq heures du matin et s'en va et fait cinquante miles [80 km - N.D.T.] en voiture pour aller travailler, puis il revient. Il vient par ici et - et reste ici, peut-être jusqu'à minuit et alors… Vous savez, c'est un travail difficile. Vous voyez ? Et il l'a fait gratuitement. Et nous l'aimons pour cela, n'est-ce pas ? Nous apprécions tous cela, frère.

3.         Je ne vois pas le petit frère Arganbright. Il est peut-être par ici quelque part. Il est peut-être déjà ici dans la salle. C'est un autre vaillant petit soldat de Dieu. S'il n'est pas ici, eh bien, ce n'est pas grave. Je ne veux pas qu'il entende cela de toute façon. Je veux que ce soit vous qui l'entendiez. Vous voyez ? C'est un vrai, vrai frère. Juste… Je le connais depuis quelque temps, et c'est l'un des petits hommes les plus gentils que j'aie jamais vus de ma vie. Et sa toute petite femme irlandaise, juste comme… Les deux ensemble font une personne de bonne taille, vous voyez, ils sont si petits. Et ainsi… Et nous restions chez eux. Et vous parlez d'un foyer aimable, c'est toujours ouvert, en prière, semblable à Christ. Nous apprécions certainement frère et sœur Arganbright, ainsi que tous les amis du mont Sion, là-haut. Ils appellent cela le mont Sion. Toute la - l'atmosphère là-bas, c'est le christianisme. Et ainsi, nous sommes heureux pour eux et pour ses efforts.

            Eh bien, frère Arganbright ne manque jamais des choses à faire pour le Seigneur Jésus. Et il ne les fait jamais à contrecœur ; il part volontiers et les fait. Je n'aurais même pas fait de voyages outre-mer n'eût été son assistance. Et il a un fardeau sur le cœur. Lorsqu'il a un fardeau pour une nation, le voilà qui vient. Je vois une… sa voiture entrer dans la cour et je comprends, eh bien,… Meda dit, mon épouse, elle dit : " Eh bien, nous voilà de nouveau en voyage pour outre-mer, n'est-ce pas ? " Donc, frère Arganbright avec un fardeau sur le cœur…

4.         Et c'est un petit homme si pieux que même quand je n'ai pas de conduite, je vais quand même avec lui, car je sais que Dieu le conduit. Et nous l'apprécions donc de tout notre cœur. Et si, un jour, vous le voyez, dites-le-lui. C'est lui qui m'a amené ici. J'étais loin en Suisse. C'est depuis des années qu'il me disait : " J'ai un fardeau pour la vallée de San Fernando. "

            Et j'ai dit : " Eh bien, ça se trouve où ? " Et je suis… ne connais pas très bien cette contrée.

            " C'est loin là-bas, il y a là un peuple négligé ; il y a quelques petites églises établies là et les gens se débattent durement. " Je… Il a dit : " Voudriez-vous aller là-haut ? Eh bien, il se peut que vous n'ayez pas beaucoup de gens dans l'assemblée, mais voulez-vous y aller ? "

            J'ai dit : " Même s'il n'y en a qu'un, ce sera en ordre. Vous voyez ? Cela ne change rien du tout le lieu où cela se trouve. "

            Vous savez, cela pourrait paraître bizarre pour les gens. Nous ne regardons jamais au nombre. Nous, nous ne regardons jamais à la qualité, nous regardons à la quantité. C'est ce que nous cherchons.

            Une fois, Philippe tenait un grand réveil en Samarie. Et Dieu l'a appelé de ce grand auditoire pour qu'il aille au désert rencontrer une seule personne, et Il ne lui a jamais demandé de retourner là. Est-ce juste ? Vous voyez ? Nous - nous considérons donc cela sous ce rapport ; c'est alors différent.

5.         A vous tous les pasteurs ici présents qui collaborez, qui collaborez avec eux. Je ne connais pas les frères, mais c'est un groupe de braves hommes. Et vous, nouveaux convertis de cette partie du pays, allez dans leurs églises. Aidez-les. J'essayerais de soutenir des gens qui croient dans ce genre de ministère. Pas vous ? Un Evangile, le Plein Evangile et… Allez dans leurs églises. Il y a d'autres bonnes églises ici, et nous les apprécions toutes. Tous ces hommes, vos efforts… mon précieux frère, je prie Dieu de vous aider et de vous bénir en tout.

            Et puis, à l'intention des huissiers, ils ont fait un travail formidable. Et nous les apprécions, même le concierge qui est dans les environs. Tout le monde a été très gentil envers vous.

6.         Frère Arganbright, j'essaye de le contacter. D'habitude, après le service, on prélève une offrande d'amour pour moi. Eh bien, je… je n'ai jamais prélevé une offrande de ma vie. Une fois je me suis mis à le faire ; je n'oublierai jamais cela.

            J'ai été pasteur d'une église pendant douze ans et jamais je n'ai prélevé un centime de ma vie. Je travaillais et je supportais - devais supporter l'église. Je me rappelle donc l'après-midi où je suis arrivé et, oh ! la la ! nous étions sérieusement coincés cette semaine-là. Et vous savez comment on en arrive à ce point où on ne sait pas nouer les deux bouts du mois, vous savez. Ce - c'est quand ça va mal.

            Et j'ai dit : " Tu sais, chérie… " Ce n'est donc pas parce qu'ils ne m'auraient pas aidé. Pas du tout. Ce petit tabernacle, ils vendraient tous leurs - leurs habits pour me venir en aide. Et je - je les apprécie, mais c'est juste parce que je ne voudrais pas prendre cela. Je - je pensais donc que j'étais capable de travailler, pourquoi ne pas travailler.

            Et je vous dis la vérité. Je dis ceci du fond de mon cœur. Je souhaiterais, lorsque je vais faire ces campagnes, pouvoir trouver quelque part un bon travail, même s'il s'agit juste de fendre du bois ou casser le béton, ou quelque chose de ce genre. C'est la vérité. Je le dis du fond de mon cœur. Afin que je puisse ne fût-ce que supporter ma famille ou quelque chose de ce genre. Mais ils prélèvent une petite offrande d'amour pour m'aider à supporter ma famille.

7.         Et ainsi, je me souviens que j'en ai parlé à ma femme. J'ai dit : " Je vais prélever une offrande ce soir. "

            Elle a dit : " Parole d'honneur ? "

            Et j'ai dit : " Huh huh. "

            Alors elle a dit : " Je serai là pour t'y voir. "

            Elle - elle est donc venue et s'est perchée juste devant moi. Je me suis levé et j'ai dit : " Eh bien, mes amis, ai-je dit, je n'aime pas faire ceci. " J'ai dit : " Mais j'ai un petit problème. " J'ai dit : " Si un des frères voudrait bien faire circuler le chapeau… " J'ai dit : " Je déteste vous demander cela, mais, ai-je dit, si vous voulez bien m'aider avec quelques pièces de cinq centimes, ai-je dit, il me manque environ cinq dollars. " J'ai dit : " Je ne m'en sors pas, et j'ai une dette et j'ai promis de la régler, mais je n'y arrive pas. " J'ai dit : " Si vous voulez bien m'aider, j'apprécierai cela. "

            Le vieux diacre se leva et me regarda, le pauvre vieux frère Wisehart, si par hasard l'un de vous tous est des alentours… il a tendu la main et a pris son chapeau. Et j'ai baissé les yeux. En bas à ma droite était assise une petite femme âgée, du nom de madame Webber. Elle était assise là, une vieille et sainte petite femme très pieuse. Et elle a plongé la main sous le petit tablier qu'elle portait par-dessus sa robe. Les femmes bien souvent s'habillent comme cela dans le Sud. Et elle avait une poche ici, sous le tablier, elle a fait sortir un petit porte-monnaie grand à peu près comme ça, muni d'un petit bouton-pression. Elle l'a retourné puis s'est mise à prendre là des pièces de cinq centimes. Mmmmm. Je ne pouvais pas faire cela ! Je l'ai regardée. J'ai dit : " Oh ! je vous taquinais tout simplement vous tous. Je n'en avais pas l'intention. "

8.         Et ainsi, frère Wisehart avait mon chapeau… le chapeau, et il a dit… J'ai dit : " Oh ! Frère Wisehart, je ne faisais que porter. Vous voyez ? " Je vous assure, je ne pouvais pas dépenser cela pour ma survie, de voir cette pauvre petite créature tendre le bras et faire sortir ces pièces de cinq centimes de sa petite… Non, non, pas ça.

Et savez-vous ce que j'ai fait ? Un frère âgé du nom de frère Ryan avait l'habitude de venir chez moi. Il m'a suivi à l'ouest. Tous ils… tout… Il n'y a pas longtemps, il s'en est allé dans la gloire. Il avait à peu près quatre-vingts ans, et portait une longue barbe blanche. Et il avait des cheveux… Je m'en prenais à lui à ce sujet. Mais, je… Les hommes ne devraient pas porter de longs cheveux. Et je l'accusais d'être de la Maison de David, mais c'était un frère pentecôtiste.

            Et ainsi, il avait… Il roulait à bicyclette là, de Dowagiac, dans le Michigan. Et il m'a offert la bicyclette. Elle n'avait pas de garde-boue et à peine des pneus ; elle était en très mauvais état. Et je l'ai rangée là dans un vieux petit hangar à charbon. Je suis donc allé me procurer une boite de peinture à dix cents, là au bazar ; je l'ai entièrement repeinte, j'y ai mis une affiche de vente, et je l'ai vendue à cinq dollars ; et je n'ai même pas eu besoin - prélever une offrande. C'est donc à peu près ça l'offrande que j'ai jamais prélevée.

9.         Ainsi donc… Dans la réunion et… Peut-être qu'ils l'ont fait. J'ai dit à frère Arganbright… Maintenant, écoutez. Tous les efforts que vous, mes chers… Nous n'avons eu qu'un petit groupe, et les dépenses étaient élevées, et je sais que c'est… que vous avez fait tout votre possible. Et je vous ne savez pas combien j'apprécie cela. Je suis désolé d'être même obligé de prendre cela. Si je pouvais souscrire cela, je le ferais. Mais, oh, frère, je - je ne pouvais pas le faire. Et je - et j'apprécie vos efforts. Dieu va… Je prie qu'Il vous le multiplie au centuple.

            Mais j'ai appris (par le téléphone arabe, vous savez) qu'on n'a pas pu faire face aux dépenses. J'ai dit à frère Arganbright que s'il prélevait une offrande d'amour pour moi, qu'il l'affecte aux dépenses de l'église. Et j'avais trois cents dollars pour commencer ici ; cela était acquis précédemment dans une autre série de réunions. J'avais assez pour rentrer chez moi et je pouvais payer ma facture et tout pendant que j'étais ici. Cela aurait bien marché.

10.       Et maintenant, cette série de réunions… frappant cela. Ce ne sont pas vos dépenses, mais en quelque sorte cela… Il se peut que nous soyons en dehors de la section ou quelque chose d'autre ; on n'a pas eu suffisamment de gens pour couvrir les dépenses. J'ai manqué cela deux ou trois fois, et les deux fois, c'était en Californie : une fois, c'était ailleurs, et l'autre fois, ici. Et j'ai promis au Seigneur que lorsque mes réunions en arriveraient au point où elles ne se supporteraient pas financièrement… Et je ne laisserai jamais les gens mendier. Si quelqu'un mendie de l'argent, ou qu'on dise " Qui va offrir cinquante dollars ? " Et ainsi de suite, nous arrêtons à ce moment-là. Oui, oui. Je ne crois pas à ça. Non, non. Dieu est capable. Et j'ai dit : " Maintenant, Seigneur, si Tu ne me soutiens plus, alors c'est le moment pour moi de rentrer chez moi. "

            Ainsi donc - donc, je ne crois pas dans le fait de mendier de l'argent. Mais toutefois, nous avons un moyen, alors Dieu a frayé une voie pour nous maintenant, de sorte que par nos efforts nous - nous puissions nous acquitter de tout, et on en prendra soin comme il faut. Eh bien, ce n'est pas pour dire maintenant… Rappelez-vous, vous chers amis qui y avez placé de l'argent et qui avez fait tout votre possible, si - si vous - si vous avez besoin de quelque chose et - et qu'il n'y a pas assez pour y arriver, et que tout le monde… vous - vous n'y arrivez pas, vous savez, j'en sais quelque chose.

            Qu'arriverait-il si cet après-midi quelqu'un venait me faire une demande, disant : " Frère Branham, je souhaite que vous me donniez cinq mille dollars. "

            " Oh, frère, j'aurais souhaité pouvoir le faire. " Mais je ne suis pas en mesure de le faire, c'est donc… vous comprenez ce que je veux dire.

11.       Eh bien, nous apprécions tous vos efforts. Et que Dieu vous bénisse. J'espère qu'un jour, Dieu voulant, et avec votre permission, je pourrai revenir pour rester un peu plus longtemps, alors nous pourrons peut-être avoir une série de réunions plus importantes, un jour quand nous reviendrons à San Fernando. [L'assemblée applaudit. - N.D.E.] Merci, tous mes remerciements. Tous mes remerciements..

12.       Pour éviter à ma femme de s'évanouir complètement, lorsqu'elle sait qu'elle va devoir monter sur l'estrade, elle est… Je suis arrivé à la maison, là où elle était, juste avant qu'ils ne s'en aillent. On m'a amené et on a vidé les lieux afin que je puisse étudier. Elle est la petite créature la plus nerveuse que j'aie jamais vue de ma vie. J'ai eu pitié d'elle.

            Elle a dit : " Billy, devrai-je vraiment monter là ? "

            Et j'ai dit : " Monte simplement sur l'estrade, chérie. "

            Elle a dit : " Oh, oh, je… [Frère Branham rit. - N.D.E.]

            " N'y pense pas. " Elle veut monter avant que l'Onction ne descende. Ma femme, aussi tendre et timide qu'elle est, elle reste toutefois quelqu'une de très spirituelle. Et je le dis parce qu'elle va probablement monter et descendre, et j'espère et je crois que tout jeune homme dans ce bâtiment et que tout jeune couple aujourd'hui… Et quand vous serez mariés, que vous aurez une vie heureuse ensemble comme elle et moi depuis presque quinze ans que nous sommes mariés, cela a été comme le ciel sur la terre. Et si un quelconque honneur doit être rendu à la famille Branham, rendez-le à elle. C'est elle qui le mérite. C'est juste. [L'assemblée applaudit. - N.D.E.] Une véritable femme, une véritable… ?... Très bien, chérie, où que tu sois… Elle est ici quelque part.

13.       Et je veux qu'elle et ma fillette, Sara… J'ai une petite Rebecca, une petite Sara, et un Joseph. Combien se souviennent que lorsque je suis venu pour la première fois en Californie, cela fait plusieurs années, que je vous avais dit que j'allais avoir un Joseph ? Faites voir vos mains. Et ce qui était étrange, l'enfant qui naquit après était une - une fille. Mais le Seigneur m'avait dit que j'aurais un Joseph. Le médecin avait dit : " Elle ne peut plus avoir d'enfants. " Il avait dit : " Cette césarienne… " Mon épouse doit accoucher par césarienne, elle comme sa famille.

            Et ainsi, la petite Sara était née, et elle est assez garçon manqué pour être un Joseph. Mais après tout, après plusieurs années, le petit Joseph est venu. Il pèse dix-huit livres [8,15kg - N.D.T.] et il a six mois, et nous l'aimons de tout notre cœur. [L'assemblée applaudit. - N.D.E.] Frère et sœur, c'est mon épouse, madame Branham. Merci.

14.       [Frère Branham parle à la sœur Branham. - N.D.E.] Prends un micro. Eh bien, tu ne vas pas t'évanouir. Ainsi donc… Ha ha ha.

            [Sœur Branham dit : " Je suis certainement ravie d'être ici, mes amis, et de vous rencontrer, toutes ces aimables personnes que vous êtes. Et j'apprécie vraiment ces réunions, et la Présence du Seigneur. "]

            Merci, chérie. C'est le mieux que tu aies jamais fait. Merci.

            [Frère Branham parle à sa fillette. - N.D.E.] Tu veux dire un petit mot, Sara?

            Oh ! elle est aussi timide que sa mère. Eh bien, merci, chérie, et merci à la petite Sara, et…

            Eh bien, c'est là la petite dame que vous entendez au téléphone, qui reste jour et nuit au téléphone, à la porte, constamment, tout le temps et reçoit les gens. Elle a trente-six ans maintenant et elle a la tête presque blanche comme neige et elle frôle une dépression nerveuse maintenant même, en effet elle est vraiment en difficulté. Elle se tient entre moi et le public du monde, du monde entier. Et elle passe vraiment par des moments [difficiles]. Que Dieu bénisse sa noble âme, et qu'elle soit un jour pour toujours là où vont toutes les braves mères,. Que le Seigneur la bénisse !

            Je vous remercie tous de l'avoir si bien accueillie. Nous - nous vous aimons de… beaucoup pour cela.

15.       Et maintenant, voici quelques mouchoirs sur lesquels on doit prier. Et doit-on prier sur ces gants ? [Un frère dit : " Non, quelqu'un les a perdus. " - N.D.E.] Quelqu'un les a perdus. Eh bien, ce que je fais pendant les - pendant les services, j'obtiens des gants, j'obtiens des petites chaussettes pour enfants.

            Et récemment, je… C'est un peu malin. Nous avons un peu de temps pour communier, n'est-ce pas, avant de commencer ?

16.       Je traversais la Louisiane, et nous allions très loin dans le Sud de la Louisiane pour tenir une réunion. Et pendant que j'étais là, j'ai perdu une valise du dessus de la voiture, tout juste dans le quartier des gens de couleur. Monsieur Moore m'a dit, il a dit : " Frère Branham, vous n'avez aucune chance, a-t-il dit, vous ne reverrez plus jamais cette valise. Et vous n'avez même pas un mouchoir de poche, a-t-il dit, qu'allez-vous faire ? "

            J'ai dit : " Eh bien, je…Tout ce que je vais faire, c'est d'aller droit de l'avant pour prêcher l'Evangile. "

Il a dit : " Eh bien, écoutez donc, Frère Branham, a-t-il dit, ces gens de couleur, a-t-il dit, c'est un quartier pauvre là-bas. "

J'ai dit : " Cela ne fait pas de mal. " J'a dit : " Les gens de couleur sont comme moi, et je les aime. "

Il a dit : " Eh bien, si les… "

            J'ai dit : " Ma Bible s'y trouvait. " Quelqu'un venait de m'offrir un nouveau costume, et il s'y trouvait. Je portais un vieux costume délabré et usé.

            Et il a dit - a dit : " Tout ce que vous avez se trouve dans cette valise. "

            Et j'ai dit : " Oui, c'est en ordre. " Je - j'ai dit : " Eh bien, ma Bible s'y trouve. "

            Il a dit : " Eh bien, si donc un des pécheurs la trouve, il jettera la Bible et il prendra les costumes et s'en ira. " Et il a dit : " Et vous ne pourrez pas gagner. " Il a dit : " Si les chrétiens la trouvent et s'ils savent qui vous êtes, ils vont découper ces costumes en morceaux et vont s'envoyer des tissus de prière les uns aux autres. Qu'allez-vous donc faire ? " Il a dit : " Nous devons partir. "

17.       Et nous sommes allés très loin dans le Sud de cet Etat, là où nous allions tenir la réunion, et nous sommes arrivés là dans une petite ville, et les gens étaient donc… Ensuite, un policier s'est approché. Et il lui a parlé, disant : " Voudriez-vous aussi signaler par radio qu'un prédicateur a perdu sa valise là-bas ? "

            Et il a dit : " Bien sûr. " (Vous connaissez cet accent du Sud.)

            Il a dit : " Hé, ce n'est pas la valise de frère Branham, n'est-ce pas ? "

            Il a dit : " Si. "

            Eh bien, il a dit : " Il a prié pour ma mère, elle était dans un fauteuil roulant, et elle a été guérie. " Il a dit : " Je vais bien sûr chercher cette valise. " Et il est parti, et il a envoyé le message par radio pendant deux ou trois jours. Non, aucune suite positive nulle part.

18.       Alors frère Moore a dit : " Il n'y a rien à ce sujet, Frère Branham. On va là vous acheter un nouveau costume pour remplacer vos costumes et tout, et vous procurer quelques chemises. "

            J'ai dit : " Celle-ci n'est pas trop sale. Elle est bien. " Et ainsi j'allais prêcher et immédiatement.

            Et ensuite, j'étais sur… Il a dit : " Non, nous n'allons plus supporter cela. Vous allez partir immédiatement. "

            Et le téléphone sonna, et on a dit : " Dites donc, quelqu'un a besoin de vous au téléphone, M. Moore. "

            Il y alla, et un brave jeune homme de couleur a dit : " Hé, est-ce vous, M. Jack ? "

            Il a dit : " Oui. "

            Il a dit : " Frère Branham est-il - est-il avec vous ? "

            Il a dit : " Oui. "

            Il a dit : " Dites à M. Bill que j'ai déjà retrouvé sa valise. Je viens avec. " [Frère Branham rit. - N.D.E.]

            J'ai dit : " Frère Moore, où est votre foi ? " C'est juste.

19.       Eh bien, que le Seigneur soit béni. Prions maintenant pendant que nous prions pour les mouchoirs.

            Notre Bien-Aimé Père céleste, aujourd'hui, devant Toi, nous T'apportons humblement ces mouchoirs, ces tissus, ces gants, et que sais-je encore, qui se trouvent ici, Te demandant d'avoir l'amabilité de guérir tous ceux qu'ils représentent. Que Ta bonté repose sur eux tous. La prière de la foi sauvera les malades, et Dieu les relèvera.

            Maintenant, dans la Bible où nous lisons ceci, dans le Livres de Tes Ecrits, au chapitre19 des Actes du Saint-Esprit dans les Apôtres, nous voyons là où le grand saint Paul prenait des mouchoirs et des linges qui avaient touché son corps. Les esprits impurs et les maladies quittaient les gens, et ces derniers étaient guéris. Les gens ont vu que Tu étais avec Paul et ils ont eu foi ; ils voulaient donc prendre des linges, des mouchoirs et autres qui avaient touché son corps. Et Tu as honoré chacun d'eux et ils… tous… la Bible dit que les maladies et les afflictions quittaient les gens.

            Maintenant, Père, nous sommes conscient que nous ne sommes pas saint Paul. Il est rentré à la maison auprès de Toi, il y a bien des années, mais Tu demeures toujours Jésus, le même hier, aujourd'hui, et éternellement. Nous voyons Ton Esprit se mouvoir au milieu de nous ; la même foi qui était dans ces gens est dans ces gens-ci aujourd'hui. Tu retires Ton homme, mais jamais Ton Esprit. Et je prie, Père, qu'en commémoration des glorieux actes des gens de ce temps-là, ces gens-ci aujourd'hui, avec la même foi, envoient maintenant des mouchoirs, que chacun d'eux soit guéri. Avec humilité et révérence, de tout mon cœur et de toute mon âme, je Te prie de bénir chacun et de guérir chacun que ces symboles représentent. Nous le demandons au Nom de Jésus Ton Fils bien-Aimé. Amen.

20.       Je pense qu'immédiatement après le service, ils seront donnés à ceux qui sont dans le besoin. Et maintenant, s'il vous arrive… Juste un instant. Je n'ai pas pu prier pour elle. Donnez-moi cela, s'il vous plaît.

            Divin Père, je prie, c'est tard mais c'est finalement arrivé, je Te demande de la bénir, et peu importe où ce mouchoir sera envoyé, qu'il soit la bénédiction qu'elle demande au Nom de Jésus. Amen.

            Que Dieu vous bénisse, ma… ?... Ne vous inquiétez pas. Il y a quelque chose au sujet d'une petite vieille mère, cela me rend… Ne vous sentez-vous pas comme cela ?

21.       Il y a quelque temps, un soir, très loin dans une réserve indienne, une vieille mère s'est approchée de l'autel en boitillant sur des béquilles, et elle devait les tenir comme cela. Elle a levé les yeux vers moi, et les larmes coulaient sur ses joues et à travers ses profondes rides. Et elle a tendu les mains et a pris ses béquilles et me les a tendues, elle s'est redressée et a quitté l'estrade, sans prière ni rien. Elle, une Indienne. Je l'ai regardée et je me suis dit : " C'est la mère de quelqu'un. "

22.       Je ne suis pas sûr… La dame qui est assise juste ici, est-ce elle qui est venue me voir au Clifton l'autre jour et qui m'a parlé, et qui, en me serrant la main au… là au Clifton ? Là, êtes-vous cette dame ? Elle était si ravie pour quelque chose qui s'était produit pendant la réunion.

            Hier soir, après les services, on m'a emmené manger dans un petit restaurant, quelque part ici sur l'autoroute. Et j'étais assis là, savourant un hamburger lorsqu'un groupe de gens est entré. Et un jeune homme a dit qu'il avait souffert d'une sorte de mal de tête ou quelque chose de ce genre pendant très longtemps, et que cela l'avait quitté et ne l'avait plus dérangé depuis lors.

            Cette dame-ci, concernant le salut de ses bien-aimés ou quelque chose qui est arrivé et qui… Elle en était si heureuse. Elle a dit : " Frère Branham, tant de choses se produisent. Je ne voudrais pas être comme le lépreux indigne, je veux revenir présenter mes remerciements. " J'apprécie cela, sœur. Que Dieu bénisse votre noble âme.

            Maintenant, beaucoup d'entre vous ont reçu des bénédictions. Dites-le donc à quelqu'un d'autre afin de magnifier le Seigneur Jésus à qui nous devons la louange et la gloire.

23.       Je pense aux autres personnes paralysées. Or, nous avons quelques fauteuils roulants, trois sont ici maintenant, et nous avons deux lits de camp. Demandons à Dieu aujourd'hui d'accorder à chacun d'eux… Je crois voir des béquilles sous la chaise de cet homme-là. Demandez simplement maintenant à Dieu de leur accorder de sortir d'ici aujourd'hui en marchant sans leur support. Soyez respectueux.

            Eh bien, si j'ai omis quelqu'un de… une façon de dire les choses… Ouais, un homme montre un aveugle qui est assis là. Qu'il dise comme la vieille aveugle Fanny Crosby : " Ne m'oublie pas, ô Doux Sauveur, écoute mon humble cri. Et quand les autres Tu appelles, ne m'oublie pas. "

24.       J'aurais souhaité avoir le pouvoir de venir aujourd'hui guérir chacun de vous qui êtes malades. Je le ferais. Je ne l'ai pas. J'aurais souhaité avoir le pouvoir de sauver chaque pécheur qui se trouve ici. Je - je n'en suis pas capable. Je n'ai pas ce pouvoir là. Personne d'autre en dehors de Jésus-Christ ne le détient. Et maintenant Il vous donne cela gratuitement, si vous pouvez bien l'accepter par la foi, aussi bien pour votre salut que pour votre guérison. " Il était blessé pour nos péchés, et c'est par Ses meurtrissures que nous sommes guéris. "

Tous ceux qui sont tristes, j'aurais aimé vous rendre heureux. Je n'en suis pas capable. Mais Lui a déjà fait cela ; en effet Il a porté cela au Calvaire. Et tout ce que vous avez à faire, c'est accepter cela, y croire tout simplement.

25.       Eh bien, si je peux être une bénédiction pour vous à n'importe quel moment, faites-le-moi savoir. Si vous avez besoin d'un mouchoir et n'en avez pas reçu ici aujourd'hui, faites-moi simplement un coup de téléphone ou quelque chose de ce genre, à Jeffersonville, dans l'Indiana, et je serai heureux de vous envoyer un petit mouchoir. C'est gratuit. C'est un petit ruban sur lequel je prie et que je vous envoie. Je prierai tout le temps pour vous.

            Et je vais peut-être, dans les tout prochains mois, peut-être, je retournerai outre-mer, dans les pays des noirs. Allez-vous prier pour moi ? Je me souviendrai de San Fernando Valley, que les gens ont promis qu'ils prieraient.

            Que le Seigneur vous bénisse donc. Et juste avant d'ouvrir les pages pour un court service, nous ne voudrions pas être ici au-delà de quarante-cinq minutes ou d'une heure donc. Nous allons alors appeler la ligne de prière pour prier pour les malades, ensuite nous devrons partir. Et je dois partir pour rentrer chez moi. Et je dois repartir aussitôt en Louisiane une fois de plus.

            Je pense que nous devrons retourner très bientôt à Phœnix. J'ai demandé à frère Ekberg. Où est frère Ekberg ? Etait-il ici ? Où est-il ? Est-il encore dans la réunion ? Frère Ekberg, voulez-vous lever la main si vous êtes là ? Frère Einar Ekberg. Je ne le vois pas. Peut-être qu'ils viennent de partir, lui et frère Waermo. Mais je leur demande cependant de m'accompagner à Phœnix.

26.       Et que le Seigneur Dieu vous bénisse maintenant, pendant que nous avons la tête inclinée pour un moment de prière.

            Seigneur Jésus, viens maintenant. Si nous avons péché d'une quelconque manière, pardonne-nous. Et je prie que Tes grandes bénédictions reposent sur chacun d'eux sans exception. Nous venons sous la protection et les ailes du Tout-Puissant. Nous Lui adressons nos prières aujourd'hui au travers de la voie appropriée, en venant par le Sang versé de notre Seigneur Jésus, en confessant nos torts, notre indignité. Nous n'avons aucun mérite. Nous venons simplement parce que nous avons été invités à venir. Il a dit : " Tout ce que vous demanderez au Père en Mon Nom, Je le ferai. " Nous croyons cela, en effet nous regardons à la ressource, d'où cela vient, Qui l'a dit ; ce n'est nul autre que le Bien-Aimé Enfant du Dieu Tout-Puissant, Qui était le cœur, le sein du Père.

            Et maintenant, nous Te prions de nous recevoir. Viens prendre Ta Parole, Seigneur, et prononce-La par des lèvres mortelles aux oreilles mortelles, et qu'Elle entre dans les cœurs, et… ?... comme l'âme. Donne la foi pour les réunions à venir. Nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.

27.       Maintenant, pour ouvrir la Parole… Et j'allais prêcher somme toute, aujourd'hui c'était sur mon cœur de prêcher sur : Dieu dans Son Univers ; mais étant donné que mon temps s'est envolé, je prêcherai en partant du Livre d'Exode, au chapitre 4.

            Je sais que vous devez aller à l'église ce soir, et nous tâcherons donc de vous libérer de bonne heure. Nous voulons avoir une très longue ligne de prière cet après-midi, beaucoup de gens à appeler pour qu'on prie pour eux.

            Et maintenant nous allons… Ouvrez avec moi le chapitre 4 de l'Exode, vous qui notez. J'aime la Parole, pas vous ? " La foi vient de ce qu'on entend, ce qu'on entend de la Parole de Dieu. "

            Peu importe combien de petites choses nous essayons de faire ou de dire, combien de petites choses imaginaires, et tout, et notre… ?... notre théologie, cela ne marche pas, à moins que cela vienne de la Parole de Dieu. C'est là dessus que notre foi repose.

            Maintenant, nous lisons :

Moïse répondit, et dit: Voici, ils ne me croiront point, et ils n'écouteront point ma voix. Mais ils diront: L'Éternel ne t'est point apparu.

L'Éternel lui dit: Qu'y a-t-il dans ta main? Il répondit: Une verge.

            Que le Seigneur ajoute Ses bénédictions à ces Paroles, et pour… pendant que nous essayons, par le Saint-Esprit, de trouver le contexte à partir de ceci, nous intitulerons ce texte : Qu'y a-t-il dans ta main ?

28.       C'était un grand jour. A l'époque de Moïse… Nous savons tous que Dieu avait appelé Moïse et l'avait choisi dès sa petite enfance, qu'il était né pour être un prophète. Et quand sa mère l'a enfanté, elle a reconnu qu'il était un - qu'il était un bel enfant. En plus, Moïse est un type parfait du Seigneur Jésus, il est né pendant la persécution. L'ennemi a tenté de le tuer, exactement comme ils ont essayé de tuer le Seigneur Jésus.

            Quand Jésus est né, l'empire romain a publié un édit qu'il fallait tuer tous les enfants à partir de deux ans. Et Moïse, à sa naissance, quand ses parents ont vu que c'était un bel enfant, ils l'ont caché comme Joseph et Marie ont caché Jésus. Tout, il était né pour être un libérateur, pour être un prophète, pour être un sacrificateur ; et c'était pareil pour Jésus, en tout point.

29.       Mais Moïse, quand la loi a été donnée, Moïse a failli. Il descendit et frappa la pierre qui était dans sa main, et il la jeta par terre et brisa les Commandements, à cause d'une faiblesse qu'il avait, qui était la colère. Et il brisa les Commandements et s'en retourna, montrant que le sacerdoce, le sacerdoce lévitique serait brisé.

            Et lors de sa tentation, il avait fait quarante jours d    ans le désert, et Jésus a fait quarante jours dans le désert. Et quand Il en est sorti, Satan L'a tenté sur Son point faible : la faim - un jeûne de quarante jours. Mais quand il a rencontré - quand il a rencontré Moïse, il a pu le vaincre, quand cependant il a rencontré Jésus, il a découvert qu'il y avait là plus que Moïse.

            Il a dit : " Si Tu es le Fils de Dieu, accomplis un miracle ici devant moi. Que je Te voie le faire, et je croirai en Toi. Change ces pierres en pain. Si Tu es le Fils de Dieu, Tu peux le faire. "

            Jésus savait qu'Il ne faisait que ce que le Père Lui montrait. Il a dit : " Il est écrit : 'L'homme ne vivra pas de pain seulement, mais de toute Parole qui sort de la bouche de Dieu. "

30.       Satan L'a constamment combattu, et il utilisait même les Ecritures, et Jésus répliquait : " Il est aussi écrit. "

            Et Jésus a vaincu Satan sans utiliser un seul don divin qu'Il avait, montrant que le chrétien le plus faible peut vaincre Satan sur base de la Parole de Dieu. Et c'est la raison pour laquelle j'essaye de présenter à la personne… il n'y a rien dans un individu, le prédicateur, c'est en Christ, et Christ est dan Sa Parole. Croyez-vous cela ?

            Ecoutez ceci : " Au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu. Et la Parole a été faite chair et a habité parmi nous ", Elle est morte et est ressuscitée, et Elle est en nous aujourd'hui, la même Parole qui était au commencement.

            Cette Bible est la Lettre de Dieu. Et chaque promesse qui s'Y trouve vous appartient, si vous pouvez La croire et La recevoir avec le genre d'attitude correcte. Elle est en vous, l'espérance de la gloire, Christ.

31.       Remarquez. Maintenant, comment entrons-nous en Christ ? Premièrement, nous Le recevons par la foi, en croyant. Deuxièmement, " nous avons donc tous été baptisés dans un seul Esprit pour former un seul Corps ", I Corinthiens 12. Par une seule adhésion ? Nous avons tous été baptisés dans un seul Esprit pour former un seul Corps. Ce sont des croyants, qui ont déjà cru au Seigneur Jésus-Christ, qui sont baptisés dans un seul Esprit pour former le Corps de Christ. C'est un peu contraire à mes enseignements baptistes, mais c'est la Bible.

            Je suis baptiste tant que cela reste avec la Bible ; à part cela je suis la Bible. On nous a enseignés qu'on reçoit le Saint-Esprit quand on croit, mais Paul a demandé (Actes 19) à un groupe de baptistes… Oui, oui. Ils étaient avec Apollos, et Apollos était l'un des convertis de Jean. Et quand Paul parcourait les hautes provinces d'Ephèse, il a vu certains disciples et il leur a demandé : " Avez-vous reçu le Saint-Esprit depuis que vous avez cru ? " C'est juste. Depuis que vous avez cru ? "

32.       Ils ont dit… C'étaient des croyants ; ils éprouvaient une grande joie, criaient et louaient le Seigneur. Ils ont dit : " Eh bien, nous ne savons même pas qu'il y ait un Saint-Esprit. "

            Il a dit : " De quel baptême avez-vous donc été baptisés ? "

            Ils ont dit : " De Jean. " C'étaient des baptistes.

            Il a dit : " Jean a baptisé du baptême de repentance, étant donné que vous devriez croire en celui qui venait, au Seigneur Jésus. " Et quand ils entendirent cela, ils furent baptisés au Nom du Seigneur Jésus-Christ. Paul leur imposa les mains, et ils parlèrent en langues et prophétisèrent. Ça, c'était plusieurs années après la Pentecôte. Vous voyez ? La bénédiction était toujours en cours.

            Elle est encore en cours aujourd'hui et continuera jusqu'à ce que Jésus viendra, partout où l'assemblée se réunira. Que les gens soient des méthodistes, des baptistes, des presbytériens, qui qu'ils soient, quand ils laissent Jésus entrer, Il trouve un - un troupeau dans l'église, c'est comme des étincelles projetées par une enclume frappée sur un morceau de fer chaud (C'est juste.) quand - quand ils laissent Christ entrer. Toujours. Tous ces signes. Lorsque Dieu apparaît, observez ce qui arrive.

33.       Moïse était un échec total. Et il se pourrait qu'il y ait des gens ici cet après-midi, peut-être des ministres, qui ont été des échecs totaux. Peut-être que vous l'avez été en tant qu'épouse, peut-être que vous l'avez été en tant qu'étudiant à - à l'école, peut-être que vous l'avez été en tant qu'enfant pour vos parents. Quoi que vous ayez été, que cela soit " a été " et commencez un nouveau départ dès aujourd'hui. Peu importe ce que c'est. Peut-être que vous avez été un échec en tant que chrétien, peut-être que vous n'avez pas réussi à avancer avec Dieu. Si tel a été le cas, prenez bonne note de ce que je vais dire dans quelques instants à ce sujet.

            Moïse a échoué là en Egypte, alors qu'il était né pour être un libérateur, pour faire sortir les enfants d'Israël de l'Egypte. Pourquoi ? Parce qu'il avait fait cela de lui-même. Il se chargea de le faire lui-même. Et chaque fois que vous vous chargez de faire vous-même les choses en mettant Dieu de côté, vous serez donc un échec comme Moïse.

34.       Il avait pensé qu'il pouvait faire la chose. Quand il a vu un Egyptien frapper un Israélite, il l'a donc simplement tué et l'a caché. Et quand il l'a fait, il est devenu un réfugié dans un autre pays, là en Ethiopie. Et il est allé là et a épousé une femme. Il était… s'est trouvé un travail de gardien de moutons. Et il épousa… il épousa la fille de Jéthro, le sacrificateur de Madian, et il lui naquit deux enfants. Et il eut un travail ordinaire de laboureur, de gardien de moutons, et il garda ces moutons pendant quarante ans, parce qu'il avait manqué de placer Dieu en premier.

            Je pense que c'est là le problème qu'ont les églises. Frère, quand on en arrive au point où nous plaçons notre église en premier plutôt que Christ, nous sombrons immédiatement. Quand vous placez les gens en tant qu'individus, vous placez votre église en premier, votre vie sociale en premier, au lieu de votre vie spirituelle, vous allez échouer.

            Puis-je m'arrêter juste un instant. L'autre jour quelqu'un a dit, il a dit : " Frère Branham, j'apprécie vos prédications, mais vous allez de la Genèse à l'Apocalypse. "

            " Oui. Tout ça, c'est la Bible. " C'est très bien. Je dois simplement aller là où Il me conduit. Vous voyez ? Ha.

35.       Et quand ils construisaient le temple de Salomon, ils avaient toutes les pierres taillées. Tout était mis en ordre. Mais ils ont trouvé une pierre bizarre. Ils ne pensaient pas qu'une chose pareille représentait quelque chose, ils l'ont donc simplement jetée dans un tas de mauvaises herbes. Et ils ont continué avec leur mortier et leurs pierres, en les assemblant. Et ils ont fini par trouver que la chose même qu'ils avaient rejetée… ils étaient très avancés dans les travaux de construction et ils ont découvert qu'ils ne pouvaient pas aller plus loin, une pierre manquait. Et ils avaient construit jusqu'à ce niveau-là, mais ils ne pouvaient pas aller plus loin. Et la pierre même qui manquait était la pierre principale de l'angle, celle qu'ils avaient jetée de côté.

            Je dis que… Je vais dire cela pour les baptistes, et alors vous les presbytériens, vous pourrez vous en glorifier. Très bien. L'une des choses primordiales avec les baptistes, ou avec n'importe quelle église, et ce que nous tous nous avons fait et que vous les pentecôtistes vous êtes en train de faire (c'est juste), c'est que vous rejetez la seule Pierre Principale, la seule Pierre fondamentale qui soit, et c'est Christ.

            Lorsque vous La rejetez… Vous pourriez dire : " Oh ! cela ne marchera pas avec notre programme. "

            Eh bien, avec quel programme cela va-t-il donc marcher ? Quittez simplement votre programme et entrez dans Son programme, et l'Eglise avancera. Placez d'abord la Pierre angulaire. Sinon, vous vous rendrez compte après un moment que ce ne sont que des briques et du mortier une fois de plus.

            Ils devaient donc recevoir d'abord la Pierre de faîte avant de pouvoir… la Pierre angulaire avant de pouvoir continuer.

36.       Moïse avait rejeté cela. Il avait rejeté les principes de Christ. Et puis, il pensait avoir raison. Mais alors, il est devenu un réfugié, et il s'est marié et a eu ces enfants ; il gardait les moutons de Jéthro, il s'était trouvé un travail de gardien de moutons. Pendant quarante ans, il parcourait la partie arrière du désert là, gardant les moutons, empruntant les mêmes sentiers, un vieil homme de quatre-vingts ans. Il avait été appelé quand il avait quarante ans.

            Et savez-vous que quarante ans, c'est l'âge auquel Dieu appelle ? Eh bien, écoutez ; Josué, Caleb, David sur le trône, oh, ainsi de suite, et tout.

            Et lorsqu'il eut quarante ans, Dieu l'appela. Et à quatre-vingts ans, il était rejeté depuis quarante ans. La durée de la vie de Moïse fut de cent vingt ans : quarante ans c'était l'instruction ; quarante ans ont été un échec total ; c'est donc pendant quarante ans qu'il a servi le Seigneur.

37.       Eh bien, un matin alors qu'il descendait ce sentier, marchant sur le même vieux sentier qu'il avait toujours pris, il lui arriva cependant de remarquer quelque chose d'étrange ; c'était un buisson en feu mais qui ne semblait pas se consumer. Et il a dit : " Je veux me détourner pour voir cette chose étrange. "

            Eh bien, c'est là que Moïse a posé l'un des actes les plus glorieux qu'il ait jamais posés ; c'était lorsqu'il se détourna, non pas pour critiquer, mais il se détourna pour voir ce qu'était cette chose étrange. Oh ! mes frères, si seulement vous… Il se peut que vous pensiez que ces choses sont étranges, mais détournez-vous, asseyez-vous comme Moïse. Et il s'est assis là pour voir la chose.

38.       L'un des plus grands hommes de science, au cours de sa conférence, a dit : " Comment êtes-vous parvenus… ? "

            On a demandé : " Comment en savez-vous tant sur la science ? "

            Il a dit : " Savez-vous comment j'ai appris cela ? Je me suis assis dans la présence de la Mère Nature et je lui ai simplement ouvert mes bras, et elle m'a ouvert son cœur et m'en a parlé. "

            Or, c'est ce que vous devez faire avec Christ. Asseyez-vous simplement près de l'Evangile, ouvrez votre cœur à Christ. Il vous parlera. La nature va… Dieu vous répondra.

39.       Moïse s'est détourné pour voir ce qu'était cette chose étrange. Eh bien, il n'a jamais dit : " Je vais prendre quelques feuilles, et je vais aller au laboratoire pour les faire examiner par le chimiste, afin de comprendre le pourquoi. " Voyez-vous ? Il n'était pas curieux de cette manière-là. Il s'est simplement assis et s'est détourné pour contempler le spectacle : un feu brûlant, un feu étrange. Et alors, Dieu lui parla, et dit : " Moïse, ôte tes souliers, car la terre sur laquelle tu te tiens est une terre sainte. "

            Eh bien, qu'en serait-il si Moïse avait dit : " Eternel, c'est un peu embêtant pour moi de faire cela, je vais donc simplement ôter mon chapeau. " Dieu n'avait pas dit : " Ôte ton chapeau. " Il avait dit : " Ôte tes souliers. "

            Et bien des gens disent : " Eh bien, je vais adhérer à l'église. "

            Ce n'est pas ce que Christ a dit. " Vous devez naître de nouveau. " Voyez-vous ? Il ne s'agit pas d'adhérer à une église, mais vous devez naître de nouveau.

            Et Moïse a ôté ses souliers et s'est approché avec révérence. C'est ainsi que vous devez vous approcher de Dieu : avec révérence, pas avec curiosité, mais en mettant de côté tout fardeau, tout doute, pour venir avec révérence, en disant : " Seigneur, que veux-Tu que Ton serviteur fasse ? " Approchez-vous de Lui avec révérence.

40.       Ce n'était pas facile ce soir-là, quand j'étais assis dans la baraque, là tout au fond dans un petit campement de pêche, alors que je voyais des visions depuis mon enfance. Ainsi en arrivant et en voyant les tourbillons… Mais quand j'ai entendu ce bruit de pas sur le plancher… Ce n'était pas une vision, pas du tout, je sais ce que c'est une vision. Certainement. Mais cela n'était pas une vision. L'Homme se tenait là. Je L'ai entendu marcher, Il s'est approché de l'endroit où je me trouvais, Il avait les bras croisés. J'étais mort de peur. J'ai pris mon pouce et j'ai commencé à me mordre l'ongle. Il a dit : " N'aie pas peur. "

            Je reconnus que c'était la même Voix qui me parlait depuis que j'étais un petit garçon, mais c'était la première fois que je Le voyais sous la forme d'un homme. Il a dit : " Je suis envoyé par le Dieu Tout-Puissant pour te dire que tu dois aller prier pour les malades ", alors Il révéla ce qui allait arriver.

            Cela régla la question pour moi. Et quand les gens m'ont dit que j'allais perdre la tête si je partais le faire, je ne fis aucun cas d'eux, parce que je m'étais approché de Lui avec révérence. Peu importe ce que les gens disent. Ce que Dieu dit et ce que les gens disent sont deux chose différentes. Si vous écoutez les gens, vous vous retrouverez dans toutes sortes de situations. Mas si vous écoutez Dieu, vous serez un chrétien.

41.       Et quand il s'est approché avec révérence et qu'il a ôté ses souliers, Dieu lui a parlé, et a dit : " J'ai vu l'affliction de Mon peuple. J'ai entendu leurs plaintes et leurs gémissements, et Je suis descendu pour les délivrer. Et Je veux que tu (celui qui avait fait un fiasco quarante ans avant) Je veux que tu rentres immédiatement et que tu y retournes toi-même. Je t'envoies juste là. "

            " Oh ! a dit Moïse, je - je ne sais pas très bien parler, Seigneur. " Il a dit : " Je - j'ai la bouche un peu embarrassée. " Il a dit : " Je - je ne peux pas y arriver. "

            Il a dit : " Qui a fait la bouche de l'homme ? " Et Il S'est vraiment mis à passer Moïse au peigne fin ; c'est ce que Dieu fait. Frère, Il vous secoue. Il doit reconstruire.

            Il en est ainsi des gens aujourd'hui, ils ne veulent pas être brisés. Vous devez être brisé avant d'être refaçonné. Le prophète est allé à la maison du potier pour être brisé, pour aller sur le tour du potier afin de devenir quelque chose d'autre. Si vous êtes un pécheur, allez sur le Tour. Dieu va vous briser, vous modeler différemment, façonner différemment votre vie, façonner différemment votre vie de famille.

42.       Remarquez. Moïse a dit : " Seigneur, je ne peux pas aller. "

            Mais Dieu avait décidé qu'il allait partir. Et Il a dit : " Moïse, tu dois aller. "

            Et il a dit : " Montre-moi Ta gloire, Seigneur. "

            Et remarquez. Dieu a parlé à Moïse, et a dit : " Qu'y a-t-il dans ta main ? "

            Il a dit : " C'est un bâton, " ou " une verge ", juste un vieux bâton sec venant du désert, où il avait marché comme cela avec cela en main.

            Il se pourrait que tout ce qu'il avait, c'était un bâton. Il se peut que vous ayez même moins que ça, mais quoi que vous ayez, donnez cela à Dieu. Regardez ce qu'Il a fait avec ce bâton.

43.       C'était le même genre de perche que le serpent… C'était fait avec ça, c'était fait dans le désert ; ce qui représentait Christ. Il l'a jeté par terre et cela est devenu un serpent : le jugement, le jugement déjà passé, le serpent a déjà été jugé, depuis le jardin d'Eden. Il l'a saisi par la queue et cela est redevenu un bâton. Il mit sa main sans son sein, elle fut couverte de lèpre ; il la retira ; il la remit dans son sein, et quand il la retira de nouveau elle était pure.

            Alors, certainement… Il avait voulu voir la gloire de Dieu. La guérison divine fait partie de la gloire de Dieu. Il l'a guéri.

            Autre chose, cela montre que le cœur est trompeur, plein de lèpre. Et la - la main qui manipule la puissance, la verge de la puissance de Dieu, doit être pure ; elle doit être rendue divinement pure. Et il a mis sa main dans son sein, elle était guérie de la lèpre ; il l'a fait sortir et elle pouvait alors porter la verge.

            Alors il a vu Sa gloire. Après avoir vu Sa gloire, il n'a plus fait attention au nombre de critiqueurs ou quoi que ce soit d'autre, il était en route pour l'Egypte.

            Et tout homme ou toute femme qui ne tergiversera pas devant les critiques et qui acceptera la pure Parole de Dieu et La croira dans son cœur, tous les démons de l'enfer ne pourront alors l'ébranler. Certainement pas.

44.       John Sproule, un de mes amis, me disait il n'y a pas longtemps qu'il était en Alsace Lorraine, et qu'il traversait là un grand jardin. Il y avait là une statue de Christ. Et lui et sa femme se tenaient à l'écart et la regardaient. Il critiquait cela ; il n'y avait rien là qui ressemblait à la souffrance de Christ. Et l'homme lui dit, le guide a dit : " Monsieur, êtes-vous en train de critiquer cette - cette statue ? "

            Il a dit : " Oui. "

            Il a dit : " Vous ne la regardez pas comme il faut. " Il a dit : " Venez ici. Voyez-vous cet autel ? Agenouillez-vous, et maintenant levez les yeux. "

            E il dit que lorsqu'il leva les yeux, son cœur se fendit. Le sculpteur l'avait faite de façon que lorsque vous… Ne vous tenez pas au loin pour la regarder comme cela ; vous devez vous agenouiller et lever les yeux vers cela pour voir réellement à quoi cela ressemble.

45.       Et c'est de cette façon que Dieu a écrit Sa Parole, pas pour se tenir à distance d'un point de vue intellectuel, psychologique élevé, et dire : " Oh ! je ne sais pas. Les jours des miracles, oh ! je ne sais pas si oui ou non c'est effectivement juste. "

            Dieu n'écrit pas Sa Parole pour cela. Agenouillez-vous et levez les yeux dans la promesse, dans le Sang du Seigneur Jésus. Cela vous paraîtra bien différent lorsque vous viendrez de cette façon-là. On ne doit pas critiquer cela et dire : " Et ces choses ont été, et cela ne se produira pas. " Mais la Bible dit que Jésus est le même hier, aujourd'hui, et éternellement dans chaque principe, chaque puissance. Mettez-vous à genoux et levez les yeux comme cela, alors cela vous paraîtra différent.

            Les choses parurent différentes à Moïse. Il avait eu une vision. La vision changea sa vie. Si jamais vous recevez une vision du Dieu vivant, elle changera votre vie, si une fois vous pouvez voir réellement ce qu'Il est.

46.       Et cet homme et cette femme… Et je dis ceci avec révérence, mais sachant qu'un jour… Je dois donc être ferme, car je dois rencontrer chaque individu à qui je prêche, à la barre du jugement de Dieu. Et là, je préférerais être… vous pourriez vous fâcher un peu contre moi ici et m'aimer là-bas, plutôt que de savoir que ce jour-là vous pourriez dire : " Espèce de séducteur, tu connaissais la vérité mais tu n'as pas voulu me le dire. " Je préfère vous dire la vérité.

            L'homme doit recevoir Christ comme son Sauveur personnel et naître de nouveau et être rempli du Saint-Esprit pour entrer en Dieu et connaître tout de Lui. Si ce n'est pas le cas, c'est un point de vue intellectuel.

47.       Cela peut être un changement d'esprit. Vous pouvez connaître un changement d'esprit sans connaître de changement de cœur. Beaucoup de ministres acceptent de bonnes églises et tout pour un bon de repas. Un grand nombre des gens de haute classe payent beaucoup mieux à l'église. Ce n'est pas ça le changement de cœur ; ça, c'est le changement de pensée.

            Je préférerais être à plat ventre et manger des biscuits secs et boire l'eau plate, mais prêcher la véritable Parole de Dieu, si je dois La prêcher au coin de rue, plutôt que de faire des compromis avec le diable et vivre dans le meilleur palais qu'ils ont et faire des compromis. Prêchez la vérité. Je préférerais porter un costume d'occasion, avec des souliers usés aux pieds, mais prêcher l'Evangile et dire la vérité à ce sujet, telle que Dieu L'a écrite ici dedans, plutôt que faire des compromis avec le diable et passer au second plan. Amen. Soyez sincère avec les gens.

            " Prêche la Bonne Nouvelle ", c'est ce que Dieu a dit. Quelles que soient les circonstances. C'est ça la chose à faire. " La cognée est mise à la racine de l'arbre. "

48.       Moïse était un homme changé, pas par toute l'instruction que sa mère lui avait donnée, pas par toute son instruction et du fait qu'il était un génie militaire, que Pharaon avait chan-… avait formé pour l'être. Mais cependant Moïse avait fait un choix important. Moïse a dit qu'il a regardé l'opprobre de Christ comme une richesse plus grande que les trésors de l'Égypte.

            Que serait-il arrivé si Pharaon avait simplement regardé dans la Parole et avait vu ce que Moïse avait fait. Et Moïse avait fait son choix quarante ans avant, selon lequel il préférerait servir Dieu plutôt que devenir l'héritier et le plus grand roi de la terre, être le Pharaon d'Egypte. Il avait fait son choix. Et cependant, frère, avant de rencontrer Dieu face à face, il essayait toujours de faire cela par lui-même.

49.       Et je crois aujourd'hui qu'il y a beaucoup de bons prédicateurs à travers la nation…Je dis ceci avec respect, frères. Il y a dans le pays beaucoup de bons prédicateurs qui sont vraiment des érudits raffinés et de vrais hommes, qui ne sont jamais allés plus loin que d'accepter Christ. Ce dont on a besoin aujourd'hui, c'est d'être face à face avec la réalité et de naître de nouveau par une expérience du Saint-Esprit à l'ancienne mode, comme ils en ont eu autrefois aux temps bibliques, et d'accepter Jésus-Christ comme ils l'ont fait alors. Une vision de cela changera tout votre être, mon frère, ma sœur, et fera de vous une personne différente. Naissez de nouveau, ayez la vision du Seigneur.

            Il apparut là… des signes. Là où Dieu apparaît, les signes apparaissent avec Lui. Jamais Dieu n'apparaît sans manifester des signes et des prodiges liés à Son Etre. Je suis si reconnaissant de savoir qu'ici même, non pas quelque part là-bas, non pas de l'autre côté de la mer, mais juste ici au coin du Boulevard Lancashire, juste ici le Dieu-Puissant s'est Lui-même rendu présent ici pendant ces quelques dernières soirées, et a prouvé que Son Fils, Christ, est ressuscité des morts et Il montre et fait les mêmes choses qu'Il avait faites lorsqu'Il était ici sur terre. Amen. Et nous n'avons pas honte de l'Evangile de Jésus-Christ ; c'est une puissance de Dieu pour le salut de quiconque croit.

50.       Un homme changé, oh ! quand il a reçu cette nouvelle vision… Le garder hors d'Egypte ? Vous ne pourriez pas le faire s'il vous le fallait. Il avait peur d'y aller, il avait peur de Pharaon. Il avait peur de tous les Egyptiens, car il était recherché pour meurtre. Mais maintenant, essayez de l'arrêter. Il s'était rapproché de Dieu. Il avait vu un Ange ; une vision était apparue devant lui. Il s'était réchauffé auprès du Feu de Dieu. Son cœur s'était - s'était réchauffé pendant qu'il se tenait là. Il avait vu des miracles et des choses surnaturelles. Les gens allaient douter de lui, mais Dieu était avec lui.

            Et chaque homme… il se pourrait que vous soyez un petit épicier lâche, ou un médecin, ou un avocat, quoi que vous soyez, assis dans un coin, ayant adhéré à une certaine église ou quelque chose de ce genre, et pensant que vous êtes en ordre. Mais si vous entrez dans la Présence du Dieu Tout-Puissant, là où la puissance et le Feu de Dieu tombent, vous serez une personne différente. Vous direz à tous vos amis médecins que Jésus-Christ vit et règne. Vous le direz à tous ceux qui entrent dans votre épicerie. En tant qu'avocat, vous le direz à vos clients ou à qui que ce soit, que Jésus-Christ est ressuscité des morts et qu'Il est le même hier, aujourd'hui, et éternellement. Mais vous ne pouvez pas le faire en regardant Cela à distance ; vous devez y entrer, vous livrer vous-même à Cela, personnellement.

51.       Observez-le. Maintenant, c'est un nouvel homme. Le voilà partir. Et maintenant, combien le monde vous critiquera quand vous ferez ceci ! Ne vous attendez pas à avoir un lit fleuri d'aisance. Si tout le monde disait du bien de moi, et que tout allait bien, que je n'avais pas de problèmes ni d'épreuves, je retournerais à l'autel et dirais : " Seigneur, qu'y a-t-il donc ? Il y a quelque chose qui ne va pas. Car tous ceux qui vivent pieusement en Jésus-Christ seront persécutés. " C'est la Bible. C'est ce que Jésus a dit. Il ne peut pas faillir. Ses Paroles sont la vérité. Tous, pas juste quelques-uns, tous ceux qui vivent pieusement en Jésus-Christ…

            Observez, combien c'est le cas. Eh bien, il est un homme nouveau, il a reçu une nouvelle vision. Il rentre directement chez lui, il prend sa femme, la fait asseoir à califourchon sur un mulet avec un enfant sous chaque bras comme ceci ; il prend ce vieux mulet, avec un bâton en main, sa barbe blanche flottant d'un côté et les cheveux de l'autre, il s'en va comme cela.

            On dit : " Où vas-tu, Moïse ? "

            " Je vais en Egypte pour envahir. "

52.       Eh bien, le monde a dû se moquer de lui. Quelle scène horrible ! Quelle occasion pour un critiqueur ! Et bien des fois, le Dieu Tout-Puissant accorde l'occasion aux critiqueurs pour montrer qu'ils sont des critiqueurs. Ça n'a pas bien pénétré. Je vais vous le dire encore. Dieu donne l'occasion pour qu'il y ait des critiques.

            Ce que vous pensez… C'est ridicule, un vieil homme de quatre-vingts ans, traînant un mulet, un vieux petit âne, sa femme assise dessus avec un enfant sous chaque bras, en route vers l'Egypte, vers la plus grande puissance militaire du monde. Eh bien, la Russie serait, comparée à cela, serait une petite histoire à côté de ce que c'était. L'invasion par un seul homme (Amen !), avec un bâton en main, mais avec une promesse de Dieu dans son cœur. Il doit y parvenir.

53.       Eh bien, on a dit : " Moïse, tu es un petit peu détraqué, n'est-ce pas, fiston ? Tu te… trompes simplement. Tu fais simplement une petite erreur ?

            " Non, non. Dieu l'a dit. "

            " Tiens, Moïse, il n'y a pas de mal que tu aies un Dieu. Je - je ne m'en fais pas de ça. Mais - mais, Moïse, ne penses-tu pas que tu t'emballes un peu ? "

            Non, non, a-t-il dit, j'ai vu Dieu. Je suis entré dans Son Feu. Il m'a montré une vision, et Il m'a dit de partir. Et la promesse est dans mon cœur, et voici je m'en vais. " Et la bonne chose qu'il a faite, c'est qu'il est allé et a fait l'invasion. Amen. Car Dieu avait promis cela, et Dieu s'en tiendra fermement à chaque promesse qu'Il fait.

            Je sais que vous pensez que je raisonne un peu ici, mais ce n'est pas le cas. Vous voyez ? Il est carrément parti et a fait ce que Dieu lui avait dit de faire, car c'était la promesse de Dieu. Quand Dieu donne une promesse, Il S'en tiendra à Sa promesse. Il ne faillit jamais. Quand Dieu vous promet quelque chose, Il le fera, si c'est Dieu. Je ne L'ai jamais vu faire une promesse sans qu'Il la tienne. Il la tient toujours.

54.       Qu'avait-il en main ? Un bâton. C'était tout pour aller affronter environ sept millions d'hommes armés, des chars, des cavaliers, des lances. Considérez toutes les grandes lances que les Egyptiens avaient. Considérez les grands chars munis des sabres à leurs roues, fonçant comme cela pour couper les hommes pendant qu'ils roulent à travers eux. Considérez les chevaux armés même de lances sur leurs fronts, sur leurs plaques comme ceci, alors qu'ils foncent à travers les hommes pour - pour les tuer en fonçant au milieu d'eux. Non pas des centaines, non pas des milliers, mais des millions…

            Et voici venir un vieil homme, avec de vieux petits bras flasques, enveloppé dans un vieux petit morceau d'habit comme ceci, un vieux, portant une longue barbe blanche, à quatre-vingts ans, avec un bâton en main ; ses yeux brillent, ce sourire sur son visage, il tire ce petit mulet derrière lui. Le voilà qui s'en va, il part envahir toute l'Egypte. Amen. Et il l'a fait. Non, il ne s'amusait pas ; il avait vu Dieu. Amen.

55.       Il est tout autant réel aujourd'hui. C'est juste. Et Il est tout autant du fanatisme aux yeux du monde, pas seulement du monde, mais de beaucoup de membres d'églises (c'est vrai), tout autant du fanatisme. Le voilà aller, mais dans son cœur… " Eh bien, Moïse, tu n'es même pas un homme entraîné. Tiens, toi, tu n'es qu'un berger. Eh bien, ce que… Comment vas-tu te battre avec ce bâton ? "

            " Ce n'est pas grave. Dieu m'a dit que c'est tout ce que j'avais pour le faire."

            Il se pourrait que nous n'ayons pas même un bâton. Peut-être que vous chantez seulement un cantique ; peut-être que vous témoignez. Quelque chose… ?... quoi que vous ayez, faites-le. Utilisez cela pour la gloire de Dieu, peu importe ce que c'est. Si vous ne pouvez pas chanter, que vous ne pouvez pas siffler, que vous ne pouvez pas témoigner, que vous ne pouvez… distribuez simplement des traités. Faites quelque chose d'autre. Allons-y. Tout ce que vous avez en main, utilisez-le pour la gloire de Dieu. Dieu a toujours eu des hommes qui s'attachent à Lui.

56.       Une fois la - l'armée d'Israël avait complètement fait marche arrière ; ils s'étaient éloignés de Dieu. Ils voulaient agir comme les autres nations, alors ils sont allés se procurer un roi et ont rejeté Dieu. Ils ont pris un brillant pasteur moderne, vous savez.

Et donc, ils... Il était tout à fait à la mode, vous savez. Et le premier... Puis le diable le sut, il envoya alors là un très grand gaillard du nom de Goliath. Il s'est tenu sur le flanc de la colline et a dit : " Je vais vous faire une proposition, vous qui prétendez être ceci cela. Si... Envoyez un de vos hommes et qu'il se batte avec moi, et si je le tue, eh bien, alors votre armée servira - votre nation servira la nôtre. Et s'il me tue, alors notre nation servira la vôtre. "

Eh bien, évidemment, c'est comme ça que le diable se vante quand il a l'avantage. C'est vrai. Donc chaque Israélite disait : " Oh, oh, oh. J'ai peur de me hasarder à cela. "

Oh !la la ! Je peux les voir aiguiser leurs sabres et se gratter la tête, en disant : " Eh bien, je ne le peux pas. " Ils étaient restés trop longtemps éloignés du Feu. C'est tout. C'est juste.

57.       Alors un jour, un pauvre jeune homme maigre et ratatiné est venu là pour - pour apporter des raisins à ses frères, et des bonbons aux raisins, quoi que ce fût qu'il devait apporter à ses frères. Son papa, Isaï, l'avait envoyé là-bas. C'était un pauvre jeune homme ratatiné, vêtu d'un morceau de peau de mouton, d'un petit manteau de peau de mouton, maigre, juste un petit bout d'homme. Et il s'est amené là. Et, frère, Goliath s'est alors vanté aux oreilles de l'homme qu'il ne fallait pas.

Il a dit : " Oh ! vous Israélites là-bas. "

Le jeune David s'est retourné; il a dit : " Vous voulez me dire que vous allez vous tenir là et laisser ce Philistin incirconcis défier l'armée du Dieu vivant? Voulez-vous me dire que vous allez vous tenir là au milieu d'un monde qui devient aussi communiste et athée comme il l'est, et laisser ces incroyants se tenir là et dire que Jésus-Christ n'existe pas, et que Sa Parole n'est pas vraie, que la guérison divine est une fausse histoire ? Ils ne le feront pas aussi longtemps que j'ai le souffle dans mon corps. Bien sûr que non. Et Dieu sera avec moi. Eh bien, certainement. "

58.       Eh bien, son frère s'est retourné et a dit : " Eh bien, je sais que tu es venu ici, espèce de petit galopin, pour te mêler de quelque chose. Tu as de la malice dans ton cœur. Rentre à la maison auprès des moutons de ton père. C'est nous qui sommes ici dans cette affaire ecclésiastique. Nous avons tout cela sous contrôle. (Ouais, ils semblent bien avoir le contrôle sur la chose.) Oh, nous avons tout cela sous contrôle. Toi, rentre. "

Mais un homme a accouru et a dit : " Saül, il y a un homme par ici, un petit jeune homme tout maigre. Il - il a dit qu'il se battra contre ce Philistin. "

            " Eh bien, a-t-il dit, amenez-le ici. "

            Et ils l'ont amené là. Et il a dit : " Eh bien, je t'assure, fiston, j'admire ton courage. Mais si tu peux obtenir un diplôme, une licence, et si tu peux obtenir un doctorat en théologie, et autres, je crois que tu pourras... Tu peux essayer cela. "

59.       Et il est parti et s'est dépouillé lui-même et a fait porter sa grande armure à David. Mais il a vu que son gilet ecclésiastique ne convenait pas à un homme de Dieu. Alléluia. Pas du tout.

David a dit : " Je ne connais rien de ce genre de choses. Mais il y a une chose que je connais : J'ai un lance-pierre en main. " C'est tout qu'il avait, un lance-pierre : deux ficelles et un morceau de cuir. Il a dit : " Mais l'Eternel, le Dieu d'Israël m'a permis d'attraper un lion et de le tuer avec ceci, et Il a tué un ours avec ça. J'ai arraché le lion de - de… J'ai arraché la - la brebis de la gueule du lion. Quand celui-ci s'est dressé contre moi, je l'ai abattu. " Et il a dit : " Si Dieu a été avec moi là-bas... J'ai eu confiance en cette fronde. Je l'ai éprouvée. Je sais que c'est en ordre. Et si Dieu m'a permis de faire cela, combien plus m'aidera-t-Il à tuer ce Philistin incirconcis. " Mmmmm. Une vraie fanfaronnade pour un petit homme maigre comme cela, n'est-ce pas?

            Eh bien, Saül a dit : " Eh bien, attends une minute. Tu ne peux pas partir. L'association ne te recevra pas comme cela, tu sais. Nous devons donc veiller à cela. "

60.       Il s'est donc dépouillé de son énorme armure et l'a mise sur lui. Alors les jambes du pauvre petit David se sont pratiquement courbées; il ne pouvait pas supporter cette grosse histoire.

            Voilà le problème qu'ont beaucoup de gens aujourd'hui, frères. Vous êtes si encombrés avec toutes sortes de diplômes que vous n'arrivez même plus à prêcher l'Ancien Évangile, et... [L'assemblée applaudit. - N.D.E.] C'est juste. C'est juste. On est donc tellement lié, tellement préoccupé par la dénomination et tout comme cela... " Le comité ne me laissera pas faire cela. "

            Que m'importe le comité? Qu'en dit le comité du ciel? Prêchez l'Évangile. " Voici les signes qui accompagneront ceux qui auront cru. " Oui, oui. Jésus, le Fils de Dieu, est ressuscité des morts et Il est vivant aujourd'hui, confirmant qu'Il est parmi les hommes. Rien en rapport avec le comité...

            David a dit : " Ôtez de moi ce truc. Je ne peux simplement plus le supporter. Cela m'énerve un peu de toute façon. " Il a donc tendu la main là, et a pris ce petit lance-pierre, et a porté son vieux petit manteau de berger. C'est ce qu'il vous faut faire, frère. Il a dit : " Je suis... je - j'ai testé ceci. "

61.       Et il y a une chose que je peux dire au sujet de cette vieille religion. Je l'ai testée, frère. Je sais qu'elle est vraie. Je sais de quoi je parle, car j'ai me suis confié en cela quand le médecin a dit : " Vous n'avez plus que trois minutes à vivre. " Amen.

Jésus-Christ, le Fils de Dieu, m'a sauvé par Sa grâce étonnante. Je sais de quoi je parle. C'est la raison pour laquelle je n'ai pas honte de prêcher la guérison divine et la puissance de résurrection du Seigneur, parce que je me suis confié en cela jusqu'à la fin de la route. Je sais ce que cela fera. Je sais ce que fera une vraie et authentique foi dans la Parole de Dieu. Elle produira tout ce que Dieu a promis qu'Elle produirait. C'est juste.

Je ne sais pas comment dire " Amen ", comme un... vous le faites, et m'incliner, et tous vos habits fantaisistes et ainsi de suite. Je ne connais rien de cela. Mais il y a une chose que je connais, c'est que Jésus-Christ est ressuscité des morts, et Il est le même hier, aujourd'hui, et éternellement. Et le Saint-Esprit est tout aussi libre aujourd'hui qu'Il l'était le jour où Il est tombé à la Pentecôte. C'est le même Évangile, mais dépouillez-vous simplement et sortez en plein air. C'est juste.

62.       Il était là. Il a pris son vieux petit manteau de [peau de] mouton et l'a mis, il a pris son lance-pierre, et s'est senti mieux, vous savez, il était en quelque sorte libre. Complètement lié, versé dans la tradition, voilà le problème qu'a l'église aujourd'hui.

            Le voilà qui part, il court là et ramasse cinq petites pierres. Goliath dit : " Vous voulez me dire que c'est là le meilleur que vous avez ? "

            Eh bien, frère, vous ne faites pas du tout le poids contre cela, c'est ce que je dirais. Vous ne savez simplement pas ce qui est enveloppé là dans ce vieux petit manteau de peau de mouton. C'est juste.

63.       Il a ramassé ces cinq pierres, il en a placé une là-dedans... Eh bien, ce costaud d'incroyant se vantait tout en s'avançant là et il l'a maudit au nom de son idole, il a maudit David. " Eh bien, a-t-il dit, je vais te prendre par le bout de ma lance. " Celle-ci était en fait comme une aiguille de tisserand, plus longue que l'un des poteaux centraux de la tente. Et il a dit : " Je vais te prendre par le bout de cette lance... " Un petit garçon pesant environ cent et dix livres [55 kg - N.D.T.], plutôt maigre, petit - petit de taille, un petit homme, qui n'avait peut-être pas beaucoup à manger derrière le désert, mais il restait avec Dieu. C'est l'essentiel.

" Il l'a pris par… " Il a dit : " Je vais te prendre par le bout de ceci, et je vais te soulever et laisser les oiseaux manger ta chair aujourd'hui. "

Voyez ce que David a dit. David a dit : " Tu marches contre moi en tant que Philistin, avec une armure, et avec une lance, et aux noms de votre dieu ; mais, a-t-il dit, moi, je marche contre toi au Nom de l'Eternel, le Dieu d'Israël. Aujourd'hui, je couperai ta tête, et je donnerai ta chair aux oiseaux. "

64.       Pourquoi? Qu'y avait-il dans sa main? Un lance-pierre. Mais Dieu était avec lui. C'est l'essentiel. Que vous ayez une licence, ou une licence en lettres, ou quoi que vous ayez, si vous avez reçu Christ en vous, qu'est-ce que cela change? Que vous connaissiez votre Abc, ou quoi que vous connaissiez, du moment que vous connaissez Jésus-Christ dans Sa puissance de la résurrection, voilà ce que vous devez connaître.

            Il s'est tenu là. Eh bien, il a dit ce qu'il ferait. Et le voilà parti. Quand ils ont commencé à s'approcher, ce Philistin fou furieux, avec sa très grande armure comme cela, et sa lance pendante pour attraper le pauvre petit David... Le petit David s'est avancé et a alors pris cette fronde (la seule chose qu'il avait en main), il y a mis une pierre, comme cela, il l'a enveloppée autour de ses doigts. Regardez, frères, il avait la f-o-i [en anglais f-a-i-t-h - N.D.T.], cinq , en J-E-S-U-S, encore cinq.

            Le voici avancer avec une pierre. Quand il a lâché la pierre, Dieu a dirigé celle-ci droit au milieu du casque, là où le casque aurait dû couvrir ce vieux Goliath, et l'homme s'est écroulé. Et d'un bond David a sauté sur lui et a tiré l'épée même de Goliath et lui a coupé la tête. Et tous les autres ont pris courage et ils ont éliminé les Israélites… ou plutôt ils ont éliminé l'armée des Philistins du pays.

            Je vous assure, ce dont nous avons besoin aujourd'hui c'est d'un autre David qui se tiendra sur la Parole de Dieu et qui prêchera l'Évangile pur de Jésus-Christ, et qui encouragera quelques pasteurs pour qu'ils aillent couper jusqu'à ce que nous boutions hors de notre nation, de notre ville (Amen.) et de nos églises tous ces communistes vantards et athées. Oh ! c'est vrai, mes amis.

65.       Une fois, un homme, un homme tout seul... Un grand groupe de Philistins s'est rué sur lui. Il s'appelait Samson. Il a regardé tout autour. Il n'avait rien, mais il a ramassé la mâchoire d'un mulet. Et l'Esprit de Dieu est venu sur lui, et il a terrassé mille Philistins avec la mâchoire d'un mulet. Pourquoi? L'Esprit de Dieu était sur lui. C'est ce qui l'a fait faire cela. Certainement.

            Une fois il y eut un vieil homme, là dans le Livre des Juges; il s'appelait Schamgar. Avez-vous déjà lu ce qui est écrit de lui? Beaucoup de gens pensent très rarement à Schamgar. Il est là dans le Livre des Juges. C'est lorsque chaque homme faisait ce qui lui semblait bon et ce qu'il pensait. Et le petit Schamgar et tous les autres Israélites, lorsqu'ils mettaient leur - leur nourriture dans les dépôts, voilà que les Philistins venaient et l'emportaient.

66.       C'est ce que fait le diable. Juste au moment où vous avez bien établi les choses et où vous pensez que tout commence à bien marcher, alors le diable s'amène. Observez simplement cela. Il essaiera de venir démolir, ravir ce que Dieu vous a donné. " Des chiens ravisseurs de moutons ", c'est ce que Paul a dit. C'est juste. " Après mon départ, des loups cruels s'introduiront et ils n'épargneront pas le troupeau. "

            Savez-vous ce que nous faisons là chez nous d'un chien qui tue les moutons? Nous déchargeons les deux canons d'un vieux fusil de chasse sur lui. Je vous assure, la meilleure chose pour un chien ravisseur de moutons est de décharger ces deux canons-ci sur lui, et le Nouveau et l'Ancien. Eh bien, cela va...?... l'abattre; je vous assure. Quand vous l'attrapez avec des poils dans la gueule, c'est là la preuve. Très bien. Et c'est juste.

Quelqu'un est venu et a dit : " Maintenant...?... vous êtes allés à cette réunion sous tente, n'est-ce pas? "

" Oui, oui. "

" Oh ! ce type est télépathe. "

" Eh bien, c'est peut-être le cas, mais je suis sauvé. " Amen. C'est juste. C'est Dieu qui travaille.

            Il y a quelque temps, je regardais un homme qui parlait, là où il était assis sur un lit de camp. Il avait été dans un lit de camp depuis je ne sais pas combien de temps. Et aujourd'hui il est rétabli, il fréquente une église pour communier. Grâces soient rendus à Dieu. Quelqu'un a du courage, suffisamment de courage pour vous amener à vous lever et à faire face à la situation.

67.       Schamgar se tenait là. Il venait de battre complètement tout son blé. C'est comme ça que le diable laisse la chose évoluer. Il avait fait sa récolte, le dur labeur était achevé, il avait tout mis dans le grenier... Il se tenait là, et juste à ce moment-là, lui et sa femme, et ses petits enfants peut-être, se tenaient là, il a entendu un bruit. Il s'est relevé d'un côté et a regardé. Savez-vous ce qui se passait? Six cents Philistins arrivaient, très gros, rondelets, s'approchant là dans leurs énormes armures, trump, trump, trump, avec leurs lances ; ils venaient pour emporter sa récolte.

            Il regarda sa pauvre petite femme qui se tenait là, les manches retroussées, ses pauvres petits avaient des visages pâles. Les Philistins avaient emporté tout ce qu'il avait eu l'année précédente. Et il a compris qu'il devrait encore continuer à endurer la famine ; voilà qu'ils s'amenaient. Ils avaient tous travaillé tout l'été, ils avaient déjà engrangé cela, et ces gens le savaient. Quand tout était engrangé, ils se sont donc dit qu'ils viendraient prendre cela. Il se tenait là et il regardait cela. Vous savez, je ne veux pas dire qu'il était fâché, mais peut-être sa juste indignation monta. Ha, ha !

68.       Vous savez, c'est ce qui devrait vous arriver, à vous qui êtes ici sur ces lits de camp et sur ces civières cet après-midi. Mettez-vous simplement un peu dans une colère noire contre le diable. Dites : " Toi, espèce de vieux vaurien trompeur, tu es un menteur. Christ m'a libéré. Je ne dois plus rester dans cet état-ci. Sors d'ici. " Obligez-le à obtempérer, frère. Il n'a aucune autorité. Jésus l'a dépouillé de tout droit légal qu'il avait, quand Il est mort au Calvaire. Tout le problème du salut et de la guérison a été résolu au Calvaire. C'est juste.

69.       Il a regardé tout autour; il s'est dit : " Eh bien, je ne suis - je ne suis pas soldat; je ne peux pas me battre. Je ne sais pas du tout combattre. Et si je... Je n'ai pas le temps d'aller là pour apprendre à combattre en duel, afin de combattre ces hommes. "

            Mais il devint tout excité. Et il leva les yeux, il y avait là sur l'étagère un aiguillon à bœufs, dit la Bible. C'est un outil qui a un long bâton muni et dont le bout est en cuivre. On fait entrer le bétail dans les stalles avec. Et peut-être quand ils labourent, on ôte la terre du bout de la charrue avec un vieil aiguillon à bœufs.

            Eh bien, il n'avait pas de temps pour apprendre à combattre. Il était fermier. Il ne savait pas du tout combattre, mais le temps pour combattre était là.

            Et il a dit : " Je sais une chose : Je suis un Israélite. " Alléluia. " Je suis circoncis. Je suis dans l'Alliance. Jéhovah Dieu est avec moi. " Et comme il se met à penser à ces choses, je peux le voir balancer ses vieilles petites mains.

            Sa femme s'est dit : " Qu'est-ce qui arrive à mon mari? "

Frère, il a saisi cet aiguillon à bœufs, et la seule chose qu'il pouvait prendre dans sa main, c'était un aiguillon à bœufs. Puis il est sorti par cette porte et a tué six cents Philistins armés. Alléluia !

70.       Qu'y a-t-il dans votre main, cet après-midi? Les médecins vous ont abandonné. Vous n'avez plus de temps à perdre inutilement avec cela. Recevez Christ. Peu importe ce que vous avez dans la main... Dieu... Prenez la Parole de Dieu qui dit que Jésus est le même, hier, aujourd'hui, et éternellement, et tuez la chose, et avancez avec cela. Amen.

            Vous dites : " Eh bien, Frère Branham... " Ouais, vous êtes trop timide. Voilà la vérité. C'est exactement ça le problème.

            Un jour, je prêchais dans l'arène d'un stade de football. Et en entrant, j'ai vu une petite enseigne, cela m'a toujours encouragé. Il y avait là une grande enseigne qui disait : " Ce n'est pas la taille du chien qui compte dans le combat; mais la taille du combat dans le chien. " C'est juste.

Il ne s'agit pas de combien vous êtes timide ou de ce que vous êtes. Frère, levez-vous. Il ne s'agit pas de ce que vous êtes; il s'agit de ce que Christ est en vous, la puissance du Saint-Esprit. Vous dites : " Eh bien, mes voisins se moqueront de moi si je suis sauvé. " Recevez Christ là à l'intérieur, et voyez comment vous parlez à votre voisin. Voyez combien la vie change.

71.       J'ai été rude. Je sais que je l'ai été. Je vous ai parlé comme je ne sais quoi, mais je veux que vous sortiez de cette pauvre petite timidité dans laquelle vous êtes retrouvé ici. Je veux que vous veniez devant... N'ayez pas peur. De quoi devez-vous avoir peur? Jésus a marché hardiment vers le Calvaire, Il a étendu Ses mains et a été cloué là. Même celui qui L'a cloué a dit : " Ce... Il doit être de Sang Royal; Il ne meurt pas comme un lâche. " Il est mort comme un Prince.

            Il était le Prince des princes. Il était le Roi des rois. Il était le Seigneur de tous les seigneurs. Et Il est ici aujourd'hui. Il n'a jamais bronché, Il a posé Son bras... Il avait un objectif, un choix : faire la volonté de Dieu.

            Faites la même chose. Peu importe ce que le diable vous a dit... vous a dit, que vous n'alliez pas vous rétablir. Votre médecin a essayé tout ce qu'il lui était possible. Il pense toujours que vous n'allez pas vous en sortir. Mais Jésus a dit que vous le pouvez, si vous croyez.

72.       Il y a des nouveaux venus ici aujourd'hui. Je me demande, pendant que nous avons la tête inclinée, juste un instant, pour la prière… Le temps s'envole.

            Notre Père céleste, veux-Tu bien accorder du courage à un pauvre homme ou à une pauvre femme qui a été agité à tout vent de doctrine. Ils viennent, et ils ne savent pas quoi croire. Pendant la semaine passée, nous T'avons vu accomplir des choses, Seigneur, que les hommes ne peuvent pas accomplir. Nous T'avons observé. Nous voyons que Tu es ressuscité des morts et que Tu es ici aujourd'hui.

            Et, Seigneur, fais que Ton Saint-Esprit parle aux cœurs des gens sans courage qui sont ici maintenant même, et qui ne sont pas sauvés, et qui savent qu'ils ont juste une certaine attitude mentale vis-à-vis de la Parole. Ils ne sont jamais nés de nouveau, ils ne savent pas ce que cela signifie être baptisé dans le Saint-Esprit pour former le Corps de Christ. Qu'ils fassent l'inventaire maintenant même, Seigneur, et réfléchissent. Et quoi que Tu aies placé dans leur main, puissent-ils lever cette main vers Toi et Te donner le tout petit talent qu'ils ont. Si ce n'est qu'un témoignage, ils ont ne fût-ce qu'une main qu'ils peuvent lever. Et c'est Toi qui peux placer tout ce qu'il y a dans leur main. Nous le demandons pour l'amour de Christ.

73.       Et pendant que nous avons nos têtes inclinées et que tous ceux qui savent prier sont en prière, je me demande aujourd'hui si, pendant que vous réfléchissez là-dessus, mon ami… Peut-être que ceci est notre dernière rencontre sur cette terre. Si je devais revenir dans six mois, il y en a beaucoup ici qui ne seront plus là alors. Peut-être que moi, je ne serai plus là à ce moment-là. Mais ceci sera notre dernière fois d'être ensemble pour un auditoire de cette taille. Beaucoup d'entre vous seront partis avant que je ne vous revoie ; notre prochaine rencontre, ce sera là de l'autre côté.

            Rappelez-vous, je vous offre au Seigneur Jésus. La seule chose que vous devez faire pour recevoir cela, c'est croire cela dans votre cœur et accepter cela. Et je me demande aujourd'hui s'il y a quelqu'un qui voudrait tout simplement lever la main vers le Dieu Tout-Puissant et dire : "Par ceci, Seigneur, je lève ma main. Je viens maintenant à Toi. Je veux devenir un chrétien courageux dès ce moment, car j'accepte le Seigneur Jésus comme mon Sauveur personnel. Je lève ma main pour Te signifier la même chose. " Voudriez-vous lever la main maintenant ?

            Que Dieu vous bénisse, ma sœur. Que Dieu vous bénisse, ma sœur. C'est bien. Que Dieu vous bénisse, mon frère, derrière. Y a-t-il quelqu'un ? Que Dieu vous bénisse, mon frère, par ici.

74.       Quelqu'un d'autre qui dise : "Je lève maintenant mes mains vers le Seigneur Jésus. " Que Dieu te bénisse, mon fils. Je te vois. Quelqu'un… Que Dieu vous bénisse, mon frère, là derrière. Je vous vois. Dieu vous voit. Maintenant, que chacun soit en prière, les chrétiens. Que Dieu vous bénisse, frère, et que Dieu vous bénisse, sœur, par-là. " J'accepte maintenant le Seigneur Jésus comme mon… " Que Dieu vous bénisse, mon frère. " J'accepte le Seigneur Jésus comme mon Sauveur personnel. "

            Que Dieu vous bénisse, mon frère, par-là. Je vois votre main. Dieu aussi la voit. Rappelez-vous… Que Dieu te bénisse, petit garçon. C'est très bien. " Celui qui entend Mes Paroles et qui croit à Celui qui M'a envoyé a (maintenant même) la Vie Eternelle. " Parce qu'il a fait quoi ? Il a cru.

            Dites : " Seigneur, je crois. J'accepte maintenant cela en levant… " Que Dieu vous bénisse, monsieur. Que Dieu soit avec vous, mon frère. C'est très bien.

            Vous dites : "Frère Branham, est-ce que cela représente quelque chose ? "

            Eh bien, Jésus a dit : "Nul ne peut venir si Mon Père ne l'attire. Et tous ceux qui viendront, Je leur donnerai la Vie Eternelle. "

            Eh bien, vous ne pouvez pas… Vous ne seriez pas - vous ne seriez pas…n'avez pas un principe assez réel pour lever la main si Dieu ne vous a parlé. Et comme vous avez effectivement levé la main, alors cela montre à Dieu… J'ai dit que cela montre à Dieu que vous voulez L'accepter maintenant même, Son Fils bien-aimé a pris votre place.

75.       Que Dieu te bénisse, petit garçon ici dans un fauteuil roulant, il a levé la main. Que Dieu soit avec toi, chéri. Oh ! la la ! Voilà que cela a touché mon cœur ! Pensez-y tout simplement, il y a des hommes et des femmes ici, peut-être âgés, qui sont simplement allés et qui ont lu de vieux Magazines True Story et tout au point que cela a tout simplement rendu leurs cœurs durs et insensibles, et ils sont des membres quelque part et ont inscrit leur nom dans un registre, sans jamais savoir ce que c'est que naître de nouveau. Mais voici un petit garçon estropié dans un fauteuil, il lève les mains pour dire : " Je veux accepter le Seigneur Jésus maintenant même. " Oh ! certainement.

            Quelqu'un d'autre maintenant, juste avant que nous priions. Que Dieu vous bénisse, frère, là derrière. Je vous vois, l'homme âgé. Je vous vois, mon frère. Dieu aussi vous voit, frère. Peut-être que vous avez perdu beaucoup d'années, mais maintenant à cet âge-ci Jésus va vous recevoir. C'est ce qu'Il a dit : "Celui qui entend Mes Paroles, qui croit en Celui qui M'a envoyé a (C'est maintenant même.) la Vie Eternelle, perpétuelle. Il ne viendra point en jugement, mais il est passé de la mort à la Vie. "

76.       C'est quand vous croyez que vous recevez Christ dans votre cœur. C'est ce que Jésus a dit : Saint Jean 5.24. Ecoutez… Comment cela se passe-t-il ? Oh ! nous avons des façons qui diffèrent. Certains d'entre nous veulent venir à l'autel ; c'est bien. J'aime cela. Je pense que tout le monde devrait venir - venir à l'autel et prier un moment. Vous-même personnellement, vous priez là. Mais, écoutez, le salut c'est une grâce. Il n'y a rien que vous puissiez faire ; il s'agit de ce que Dieu a fait pour vous. Vous ne pouvez pas venir à moins que Dieu vous appelle. Jésus a dit que vous ne le pouvez pas.

            Et puis, qu'a dit Jésus ? "Je ne mettrai pas dehors tout celui qui viendra. Celui qui écoute Ma Parole et qui croit à Celui qui M'a envoyé a (le temps présent, maintenant même) la Vie Eternelle, et ne vient point en jugement, mais il est passé de la mort à la Vie. "

            La chose suivante que vous pouvez recevoir maintenant, c'est le baptême du Saint-Esprit. Après que vous avez reçu Christ comme votre Sauveur personnel, vous recevez alors le Saint-Esprit par le baptême du Saint-Esprit.

77.       Que quelqu'un d'autre lève la main. Dites : "Priez pour moi, frère. Que Dieu me reçoive. "

Que Dieu te bénisse, petit garçon. Que Dieu te bénisse, fiston. Et que Dieu vous bénisse, là derrière. Et la petite dame derrière, que Dieu vous bénisse, sœur. C'est bien. Juste encore quelques-uns. Nous en avons eu plusieurs. Voici une dame, juste ici. Que Dieu vous bénisse, sœur. Que Dieu vous bénisse, sœur. C'est très bien.

            Immédiatement après ce service-ci, quand l'appel à l'autel… Je veux que vous veniez tous vous tenir ici tout autour, ici tout autour, et que vous apportiez à Dieu votre contribution sous forme de prière. Dieu fera de vous un véritable chrétien.

78.       Pouvons-nous attendre encore une fois et faire le tour pour voir s'il n'y a pas quelqu'un d'autre là derrière ? Je sens plutôt cela dans mon cœur. Il y en a encore un. La différence est que vous pouvez soit lever la main soit ne pas le faire. Si vous voulez bien lever la main, c'est ce qui vous est demandé.

            Que Dieu vous bénisse, mon frère et ma sœur espagnols. Juste… Que Dieu vous bénisse, frère, là derrière. Que Dieu te bénisse, fiston. Que Dieu vous bénisse, sœur. Que Dieu bénisse cet homme et cette femme assis ici. Ces deux mains juste de ce côté-ci, deux petits enfants. Une jeune dame, que Dieu vous bénisse, sœur. Vous savez que vous n'êtes jamais dans l'erreur quand vous suivez la conduite du Saint-Esprit.

            Que Dieu vous bénisse. C'est merveilleux, mon frère. Que Dieu te bénisse, mon jeune petit garçon. Quelqu'un d'autre maintenant ? Rappelez-vous, qu'y a-t-il dans votre main ? Que Dieu vous bénisse, mon frère. Qu'y a-t-il dans votre main ? Que Dieu vous bénisse, mon frère. C'est Christ qui dit : "Lève ta main maintenant. " Que Dieu vous bénisse, sœur. Qu'y a-t-il dans votre main ?

            Vous dites : "Eh bien, Frère Branham, je - je suis un peu timide, comment… " Ce que vous êtes ne change rien. Ce qui compte, c'est ce que Dieu peut faire de vous. Donnez-Lui simplement ce que vous avez maintenant. Et vous avez ne fût-ce qu'une main que vous pouvez lever et dire : "Seigneur, la voici. C'est tout ce que j'ai. Je Te donne ma main avec un cœur sincère derrière cela. J'en ai marre du péché. Je - je veux être Ton serviteur. " Que Dieu te bénisse, jeune homme. C'est très bien.

79.       Très bien. Je pense que vingt, trente ou plus L'ont accepté maintenant même. Et maintenant… Que Dieu vous bénisse, monsieur. Que Dieu soit miséricordieux envers vous. C'est peut-être la dernière fois que nous soyons ensemble avant de nous rencontrer au Jugement ; mais je suis certainement heureux… Que Dieu te bénisse, jeune homme qui est assis là derrière. C'est bien. Les gens continuent simplement à s'ajouter. J'en suis très heureux.

            Et, vous savez, je crois que Dieu va nous accorder un service de guérison mémorable, parce que vous venez et vous acceptez. Beaucoup d'entre vous qui êtes ici pour la première fois n'ont jamais vu les œuvres du Seigneur. Et, malgré tout, vous venez à Christ. Le Christ même que vous acceptez, si je dis la vérité, vous Le verrez se tenir juste ici dans cette salle et accomplir les mêmes choses qu'Il a accomplies quand Il était ici sur terre.

            Ce n'est pas du tout quelque chose que vous devez supposer, mon ami. Que Dieu vous bénisse, monsieur. Que Dieu te bénisse, chérie, la fillette juste ici devant moi, ce tendre petit cœur. Il n'y a rien à supposer, plus d'inquiétude, plus de supposition ; c'est complètement parti maintenant. Jésus est ici, le dernier jour.

80.       La Bible dit, le prophète dit : "Au temps du soir la lumière paraîtra. " Il y eut un jour qui n'était ni nuit, ni ténèbres. Décidez-vous maintenant.

            Où le soleil a-t-il premièrement brillé ? Sur le peuple oriental, en Orient. Mathématiquement, géographiquement, il se déplace en direction de l'Ouest. La civilisation s'est déplacée de l'Est à l'Ouest. Et au début quand il a brillé sur le peuple de l'Est, qu'est-il arrivé ? Il y eut un grand réveil du Saint-Esprit parmi les gens de l'Est. Puis vint un jour où la théologie, les églises, les dénominations ont voilé cela. La Bible dit : " C'est un jour qui n'est pas ténébreux ; il est sombre. "

            Ils ont eu assez de lumière pour croire que Jésus était le Fils de Dieu. Ils n'avaient pas de miracles et de prodiges. Ils croyaient que c'était pour le jour passé. Mais le prophète a dit : " Au temps du soir la Lumière paraîtra. "

            Le peuple de l'Ouest reçoit maintenant leur Lumière. Ne La rejetez pas. La Lumière est en train de briller. Le même Saint-Esprit qui tomba au jour de la Pentecôte est ici même accomplissant les mêmes choses.

81.       Oh ! nous avons un tas de fanatisme. Je reconnais cela, mon ami. Cependant il faut que nous ayons cela. Rappelez-vous, les épouvantails sont tout autour du meilleur pommier. Ainsi donc rappelez-vous tout simplement, Jésus-Christ est toujours le Fils de Dieu et ces choses doivent arriver. L'Evangile ne peut pas être prêché sans qu'il y ait des critiques ; nous savons cela. La Bible le dit. Ne regardez donc pas à cela ; regardez à Jésus. C'est la Lumière ; le temps du soir est là maintenant.

            Y a-t-il quelqu'un d'autre quelque part, avant que nous priions, qui s'est décidé… Que Dieu vous bénisse, chère sœur. C'est très bien de votre part. Que Dieu vous bénisse, sœur par ici. C'est bien de votre part. Dieu voit votre main. Maintenant, prions. Que Dieu vous bénisse, frère. C'est bien. Que Dieu soit miséricordieux envers vous. Que Dieu vous bénisse, petite dame par-là, qui avez levé la main. Ma prière est qu'Il soit miséricordieux envers vous.

            Maintenant, prions. Et que chaque chrétien, à votre propre manière maintenant donc, prie pour ceux-ci qui sont fraîchement venus à Christ.

82.       Dieu Bien-aimé, comme je le sais maintenant, je me tiens ici entre les vivants et les morts. J'ai dû parler très durement cet après-midi, car j'ai senti que Tu avais placé cela sur mon cœur, même après que j'étais déjà ici. Tu as dit : " Secoue les gens. "

            Et j'ai simplement enseigné Ta Parole, et à présent quelque trente ou quarante mains se sont levées. J'espère que je ne les juge pas mal, Seigneur. Je crois qu'ils étaient tous sincères. Ils ont levé leurs mains parce que Quelque chose a parlé à leur cœur. Et maintenant, je Te cite, Ta Parole, Seigneur Jésus, qui les rencontrera là à la rivière un de ces jours, quand la mort va leur serrer la gorge. Le médecin quittera la maison en disant : " Eh bien, il ne se remettra jamais de cette attaque. " Le petit bébé sera couché là à l'intérieur, étouffé par la pneumonie, les petits enfants ou qui que ça pourrait être. Les mères et les pères qui auront eu une longue vie, l'ange de la mort se tiendra au pied du lit, et les vieilles vapeurs froides du Jourdain flotteront devant eux, mais Il sera Là. Tu as dit : " Il ne viendra point en jugement, mais il est passé de la mort à la Vie. "

            Puisse l'Etoile du Matin apparaître et éclairer le chemin pour eux. Et quand les mottes de terre seront jetées au-dessus du cercueil, que les vieux pins puissent murmurer : " Il y a un pays au-delà de la rivière. "

83.       Lorsque cette heure sonnera, ils se souviendront qu'aujourd'hui, parce que Tu as parlé à leur cœur, ils ont levé leur main. Loin là-bas, dans l'autre pays, il se peut que je ne puisse plus jamais leur serrer la main ici, mais, ô Dieu, accorde que dans le nouveau monde, là où il n'y a ni mort ni chagrin, ni tristesse ni maladie, que je puisse serrer chacune de leurs mains là-bas et qu'ils disent : " Frère Branham, c'était ce soir-là, je vous avais entendu prêcher si durement sur le fait que les hommes doivent recevoir Christ, et sur ce qu'il y a dans ta main. Et j'avais levé la main vers Christ et Il m'avait reçu. Et me voici aujourd'hui par les bénédictions et la grâce de Christ. "

Voudras-Tu bien le faire pour nous, Père ? Nous le demandons au Nom de Ton Fils bien-aimé, le Seigneur Jésus. Amen.

[Espace vide sur la bande - N.D.E.] C'est tout ce que je vous demande de faire.

            Crois seulement….

            Tout est possible, crois seulement.

            [Espace vide sur la bande - N.D.E.]

84.       … ?… Ne vous déplacez pas. Restez très tranquilles. Ici se tient une femme âgée, probablement une vieille petite mère, elle a les cheveux gris. Je pense à ma mère qui est à la maison, quand je pense à elle. Ma mère a à peu près cette taille. Mais ma mère est pratiquement une demi-indienne ; elle est… Ses cheveux sont noirs comme du charbon. Mais comme les Indiens, quand ils prennent un peu de l'âge, ils deviennent lourds.

            C'est peut-être la mère de quelqu'un, elle porte une alliance à la main. Dieu seul sait ce qui est passé par ses vieilles mains. Elles ont peut-être bien des fois essuyé les larmes des yeux d'un bébé en pleurs. Il y a des années, peut-être encore petite, une mère l'a peut-être prise et l'a embrassée au doigt quand elle s'y était fait mal, l'a bercée pour l'endormir. Cela fait longtemps que cette vieille mère est allée sur l'autre rive. Peut-être qu'aujourd'hui elle a un mal qu'une mère ne peut faire partir par un baiser, mais il y a Quelqu'un ici qui peut ôter cela par un baiser.

            Je ne la connais pas. Je ne l'ai jamais vue. Je ne sais même pas si elle parle anglais ou pas ; je ne sais pas. Parlez-vous anglais, madame ? Oui ? Mais en fait vous n'êtes pas Anglaise ; vous êtes Allemande, n'est-ce pas ? Oui, oui. C'est juste. Au revoir ; " Auf wiedersein ". [Le prophète dit : " Au revoir en allemand. " - N.D.T.]

85.       Je ne vous connais pas et vous ne me connaissez pas, je viens de quitter votre pays. Avez-vous entendu l'histoire de la fillette allemande aveugle qui a recouvré la vue ? A Karlsruhe, c'était une merveilleuse série des réunions, environ cinquante mille en Allemagne sont venus à Christ, de même qu'à peu près cinquante mille en Suisse sont venus à Christ. Votre peuple est tout abattu, là-bas. Ils en ont assez d'Hitler. A présent, ils ont besoin de Christ. Ils sont aimables. Ils m'ont traité comme si j'étais leur frère. Merci, Seigneur, c'est juste.

            Vous savez, mère, ne vous connaissant pas, je ne me tiendrais pas ici… En tant que gentleman, je me sentirais trop petit pour me tenir devant une personne âgée comme vous, une mère, et essayer d'être un séducteur. Je serais assez sincère pour ôter cela de mon cou et quitter cette salle. Je veux vous aider. Je veux faire quelque chose pour vous si je le peux, car vous êtes une chrétienne. C'est juste.

            Vous éprouvez un merveilleux sentiment dans votre esprit. Cela est déjà venu à ma rencontre. Et je sais que vous êtes une chrétienne. Et Dieu connaît votre besoin, n'est-ce pas ? Et si Dieu me permet de faire avec vous comme Il le fit à travers Son Fils au puits de Samarie…

86.       L'auditoire sait que lorsque Jésus est allé à Samarie Il s'est assis au puits, Il avait envoyé Ses disciples, et une femme est venue. C'était une femme de Samarie. Et Il a dit : "Apporte-Moi à boire. " Avez-vous déjà lu cela ? L'auditoire a-t-il déjà lu cela ? Il essayait d'engager une conversation avec elle.

            Elle a dit : "Il n'est pas de coutume pour les Samaritains - ou plutôt les Juifs de demander pareille chose aux Samaritains. "

            Il a dit : "Mais si tu savais à Qui tu parlais, c'est toi qui Me demanderais à boire. "

            Eh bien, elle a continué la conversation : " Le puits est profond… "

            Finalement Il était… Que faisait-Il ? Il cherchait à contacter son esprit, c'est la même chose que je suis en train de faire à l'instant. Elle est Allemande ; je suis Irlandais. L'une était une Samaritaine, mais cependant Il lui a fait savoir qu'il n'y avait pas de discrimination. Dieu aime tous les peuples.

            Eh bien, elle a dit…

87.       Il a dit : " Va chercher ton mari. " Il a découvert son problème. Elle vivait de façon illégale, elle n'était pas mariée.

            Il a dit : " Va chercher ton mari. "

            Elle a dit : "Je n'ai pas de mari. "

            Il a dit : " C'est juste. Tu en as eu cinq. "

            Oh, elle a dit : "Je vois que Tu es un prophète. " Maintenant, écoutez ceci. N'oubliez pas ceci. Elle a dit : "Nous savons que lorsque le Messie viendra (C'est-à-dire Christ)… on nous a enseignés que lorsque le Messie viendra, Il fera ces choses. " Quoi ? Connaître les secrets de leur cœur comme Lui connaissait ceux du cœur de cette femme, Il savait où était son problème. C'était là le signe du Messie, est-ce juste ? Elle a dit : "Nous savons que lorsque le Messie viendra Il connaîtra ces choses, ou plutôt Il nous annoncera toutes ces choses. Mais elle ne savait pas qui Il était. "

            Il a dit : "Je le suis Moi qui te parle. "

            Elle est donc entrée [dans la ville] en courant, elle disait : "Venez voir un homme… "

88.       Eh bien, s'Il est le Messie et qu'Il est ressuscité, vous savez que moi je serais indigne ou quiconque d'autre, mais quelqu'un doit être choisi pour ceci, n'est-ce pas ? Ainsi donc, si le Messie est ressuscité, je vous dis la vérité, et qu'Il se tient ici à côté de vous… Le Messie, l'Esprit peut dire par mes lèvres, si vous avez assez de foi pour qu'Il fasse cela, vous dire la raison pour laquelle vous êtes ici, comme ce fut le cas pour cette femme-là. Ne pourrait-Il pas le faire ? L'auditoire va-t-il croire cela, s'Il le fait ?

            Ma prière est qu'Il puisse l'accorder. Maintenant, Seigneur, je me confie en Toi au Nom de Jésus.

C'est si difficile, après la prédication, de recevoir l'onction du Saint-Esprit. Mais Il est ici. Le même Ange que vous voyez sur le papier est à moins de deux pieds [environ 60 cm - N.D.T.] de l'endroit où je me tiens.

            La femme souffre d'une maladie nerveuse. Et elle souffre aussi d'une autre maladie en rapport avec quelque chose qu'on place autour du bras. Il s'agit de l'hypertension. Elle souffre de l'hypertension. Vous souffrez aussi de maux d'estomac. Et vous avez deux tumeurs, ici à l'intérieur. C'est vrai, n'est-ce pas ? Maintenant, croyez-vous ? Alors, allez-y et recevez votre guérison. Jésus-Christ vous rétablit.

89.       Ayez foi, ne doutez pas, mais croyez de tout votre cœur que Jésus le Fils de Dieu est ressuscité des morts.

            Bonjour, madame ! Je suis vraiment heureux de pouvoir vous rencontrer. Et que Dieu soit avec vous. Je vois directement que vous êtes une chrétienne. Maintenant, je souhaite vous parler juste un instant, sur un sujet. Je ne vous connais pas… Un homme est apparu juste sur la scène de cela… Il est trop jeune pour être… à moins que ce ne soit son fils.

            Juste un instant. Non. C'est une dame assise juste là qui prie pour son mari qui n'est pas sauvé, elle est assise juste ici derrière. C'est juste. Une jeune dame portant un petit chapeau noir, sa chevelure en quelque sorte pend, elle a un mari qui n'est pas sauvé et elle prie pour lui. Elle a un mouchoir en main. C'est juste, madame, n'est-ce pas ? Levez la main. C'est vrai. Vous avez une grande foi, madame. Puisse Dieu vous accorder votre requête. Je crois qu'Il le fera. Quand vous le verrez, dites-lui que Jésus lui parle.

            Maintenant, je ne… que… Maintenant, voyez-vous ce que je veux dire ? Comment… ?… la dame. Avez-vous une carte de prière, madame ? Vous n'avez pas de carte de prière ? Non. Vous voyez, vous ne pourriez jamais être appelée dans la ligne sans la carte de prière. Vous n'en avez pas besoin, n'est-ce pas ? Voyez-vous ? C'est déjà exaucé. Voyez-vous ? Vous n'avez pas besoin de carte de prière. Il ne s'agit pas de carte de prière ; il s'agit de votre foi. Essayez de vous éloigner de la carte de prière, cela n'a rien à voir avec cela, c'est juste une personne qui se tient ici. Soyez tout simplement fidèle, tendre et loyale, et croyez au Seigneur Jésus.

90.       Oui, la dame qui se tient devant moi est une chrétienne. Et elle souffre de la tension. Et elle est très nerveuse. Et elle souffre d'un trouble de la vésicule biliaire, et elle est nerveuse, agitée ; c'est ce qui provoque la tension chez elle. Et vous avez quelque chose d'étrange. Vous - vous aviez autrefois accepté votre guérison pour la même chose, mais c'est comme si vous êtes devenue trop hautaine avec cela, et cela s'en est allé. Et au fait, vous êtes une - vous êtes missionnaire, ou plutôt vous étiez missionnaire.

            Et je vois un autre homme, et c'est votre mari. C'était un prédicateur pentecôtiste, mais il est dans la gloire. Il est déjà parti. Mais il… Et vous avez encore quelque chose à l'esprit. Vous cherchez à comprendre ce que vous devez faire du reste de votre vie. Et vous essayez de prendre une décision, et vous sentez que vous devez partir à l'est d'ici, vers les Etats de l'est, pour terminer votre vie dans l'œuvre missionnaire. C'est AINSI DIT LE SEIGNEUR. C'est vrai. Ce qu'Il a dit est la vérité, n'est-ce pas ? Ce n'était pas moi, c'était Lui. Chaque parole est la vérité. C'est toujours le cas. Maintenant continuez votre chemin en vous réjouissant et en disant… [La sœur dit : " Je doutais de ma guérison et je l'ai perdue. " - N.D.E.] Maintenant partez, soyez humble et douce, et Jésus sera avec vous.

91.       Disons : " Grâces soient rendues à Dieu. " [L'assemblée dit : " Grâces soient rendues à Dieu. " - N.D.E.] Crois-tu ? Si tu peux croire, tout est possible.

            Vous qui êtes assis là à côté du huissier, vous avez mal au cou. Voulez-vous que Jésus vous guérisse ? Croyez-vous que Jésus va le faire, monsieur ? Vous croyez ? C'est merveilleux, n'est-ce pas ? Certainement.

            Dites donc, l'homme qui est assis juste à côté de vous, là avec la petite fille, il souffre d'un - un trouble à la partie inférieure de son corps ; la prostate le rend nerveux, il se lève la nuit et tout. Vous souffrez de l'estomac et tout qui vous dérangent, en effet cela vous a rendu très nerveux. C'est juste, n'est-ce pas, monsieur ? Vous êtes guéri. Christ vous rétablit. C'est plein de Lumière autour de vous. Tout ce qu'il vous faut, c'est la foi pour croire.

92.       Bonjour, monsieur ! Je vous suis inconnu, monsieur. Nous ne nous connaissons pas. Je ne vous ai jamais vu de ma vie, mais cela… C'est la première fois que vous me voyez. Très bien. Maintenant, si c'est vrai, levez la main pour que l'auditoire voie. C'est la première fois que nous nous rencontrons. Et moi je ne vous connais pas, cependant Dieu vous connaît. Je - je ne… Il m'est impossible de vous connaître ; c'est Dieu qui vous connaît.

            Mais vous souffrez d'une espèce de toux, vous souffrez de l'asthme. Et vous souffrez aussi des troubles gastriques. Vous toussez ; c'est une toux sèche, mais votre estomac est… Oh ! voici ce que c'est. Monsieur, vous avez besoin de la guérison, mais vous avez aussi besoin du salut. C'est juste. Vous êtes un buveur. Je vous vois vous tenir là, buvant du whisky et des boissons que vous ne devriez pas boire. C'est juste. Votre vie - vie est à découvert devant Dieu. Je vais vous dire quelque chose afin que vous puissiez savoir, croire que je suis Son prophète. Durant la dernière semaine ou les deux dernières semaines, vous priiez cherchant à vous mettre en ordre, n'est-ce pas ? Eh bien, votre mal d'estomac s'en est allé ; vos péchés sont pardonnés. Allez et faites-vous baptiser, en invoquant le Nom du Seigneur, et vous allez… Que Dieu vous bénisse, mon frère. Maintenant vous êtes mon frère.

93.       Ne venez pas à moins d'avoir confessé d'abord vos péchés. Amen. Exactement comme pour la femme au puits, Il connaît votre cœur. Ne vous déplacez pas. Croyez.

            Bonjour, madame ! Nous sommes des inconnus l'un à l'autre. Mais Dieu nous connaît tous les deux, n'est-ce pas ? Vous souffrez des troubles nerveux et vous avez aussi mal au cou. C'est vrai. Vous avez une tumeur ; vous souffrez de l'estomac. Je vous vois quitter une table, vous n'arrivez pas à manger. Vous avez des ulcères. Eh bien, quelque chose est donc arrivé, n'est-ce pas ? Avez-vous éprouvé une sensation étrange ? Maintenant, allez manger. Ne doutez pas ; soyez rétablie ; que Dieu vous bénisse. Vous êtes absolument la bienvenue. Ce n'est pas moi, sœur ; c'est Lui. Ayez simplement la foi et croyez.

94.       Si tu peux croire… Petite dame, vous ne deviendrez jamais aveugle. Vos yeux vous dérangent, vous qui êtes assise là, mais vous ne deviendrez pas aveugle si vous croyez au Seigneur Jésus. Est-ce juste ? Vous priez pour vos yeux. La dame à côté de vous, toutes les deux vous souffrez des yeux. C'est juste. Vous ne portez pas des lunettes, mais vous… C'est comme si les nerfs de vos yeux sont endormis et vous n'arrivez pas à voir ; tout est flou. N'est-ce pas juste ? Je vous vois essayer de lire un livre, vous le rapprochez puis l'éloignez, comme ceci. Est-ce vrai ? Si c'est le cas, levez-vous, vous deux, c'est ce dont vous souffrez toutes les deux. Eh bien, ma sincère prière est que le Seigneur daigne vous redonner la vue.

            Ayez foi en Dieu. Ne doutez pas, croyez plutôt et vous recevrez. Si tu peux croire, tout est possible. Oh ! comme c'est merveilleux !

95.       Monsieur, Il a aussitôt entendu votre prière. Oui, Il l'a effectivement entendue. Vous qui avez la main sur le visage, vous êtes assis juste ici derrière, vous portez un costume gris, quelque chose vous a complètement émue, mais vous avez l'arthrite. C'est juste. Vous priiez pour cela à ce moment-là. Vous avez dit : "Seigneur, fais qu'il me parle. "

            Je vous vois… Egalement des troubles gastriques, cela vous dérange. C'est juste, monsieur. Je vois une femme à côté de vous, elle a des cheveux gris, elle porte des lunettes, elle vient d'être guérie. C'est votre épouse, elle est présente dans cette réunion. C'est juste. Maintenant, rentrez chez-vous ; votre arthrite est terminée. Votre foi vous a sauvé, mon frère.

96.       Croyez-vous ? Tout est possible. Ayez la foi. Si vous pouvez croire… Il vous accordera infiniment au-delà de tout ce que vous pourriez faire ou imaginer.

            Madame, quand je parlais tout à l'heure des yeux à cette femme, la deuxième en partant du bout, là, elle porte des lunettes, croyez-vous que cela est arrivé à ce moment-là ? Ici derrière au bout, si vous croyez cela, vous pouvez obtenir ce que vous demandez. Amen. Oui. C'est à vous que je parle, vous qui êtes assise là et qui priez. Amen. Voyez-vous ? Comment a-t-Il dit… Comment pourrais-je entendre la même prière que vous faites ? Parce que je me tenais à vos côtés. Amen.

97.       Est-ce la patiente ? Une aussi jeune fille être une patiente ? Bonjour, mademoiselle ! Vous êtes une très gentille demoiselle, et je vois que vous êtes une chrétienne. Que Dieu nous accorde davantage de jeunes filles comme vous, des chrétiennes. J'aurais souhaité pouvoir faire quelque chose pour vous, ma jeune sœur, pour vous aider, mais, je n'en suis évidemment pas capable. Je suis un homme, mais le Seigneur que nous servons peut le faire.

            Eh bien, Nathanaël est venu auprès du Seigneur Jésus. Il lui a dit aussi qu'il était un croyant. En ce jour-ci et à cette époque-ci, et particulièrement ici sur cette côte ouest où tant de jeunes filles vivent si négligemment, comment ai-je su que vous étiez une chrétienne ? C'est la même raison pour laquelle je sais que vous êtes ici pour que je prie pour vous. Et vous voulez que je prie pour une grosseur, et c'est une protubérance sur votre côté. C'est vrai. Amen. Eh bien, croyez-vous maintenant que je suis Son prophète ?

            Puissé-je vous dire ceci pour vous amener à croire davantage. Vous êtes préoccupée par le cas de deux garçons. C'est juste. L'un est en quelque sorte un toxicomane, l'autre est un délinquant ; et vous priez pour ces garçons. Est-ce vrai, mademoiselle ? Vous avez reçu ce que vous avez demandé. Partez, ne laissez pas votre foi faiblir ; Dieu sera avec vous, ma jeune sœur, au Nom du Seigneur Jésus.

98.       Croyez-vous ? C'est étrange, quelque chose est donc arrivé. Je vois debout ici quelqu'un que je connais. Il se tient en haut en l'air, c'est un homme. Il est en train de chanter. C'est l'un des chanteurs d'ici. C'est monsieur Ekberg, et il prie pour quelqu'un : il s'agit d'une jeune fille. C'est sa fille et elle souffre des troubles féminins. N'ayez pas peur, monsieur, si vous êtes tout près. Dieu va la guérir. Amen.

            Je crois que j'ai vu monsieur Ekberg. Est-il dans la salle ? C'est un homme qui porte des lunettes, il porte un complet brun, monsieur Ekberg. Je ne le connais pas, mais l'un des siens avait un problème. Y a-t-il quelqu'un d'ici qui connaît le cas ? Voudriez-vous lever la main, celui qui connaît le cas ? Très bien, c'est bien. Très bien. S'il n'est pas ici, dites-le-lui là où il est en train de prier, il est en prière, et Dieu a entendu sa prière. Il est apparu ici devant moi dans la tente. Dieu sait que je ne connais rien concernant sa famille, mais voilà la chose. Quelque chose est arrivé à sa famille tout récemment.

            Monsieur Ekberg allait mourir ; il était à bord d'un avion qui était en train de tomber; il a invoqué le Seigneur. Je me tenais sur une montagne faisant la chasse, et Dieu m'a donné une vision pour que je prie pour lui. Les trains d'atterrissage de l'avion sont sortis alors qu'ils étaient bloqués, et ils ont atterri en sécurité, en sécurité. Croyez seulement. Ayez foi.

            Est-ce le patient, qui est-ce… [Un frère dit : " Monsieur Ekberg est ici. " - N.D.E.] Oh ! Monsieur Ekberg. Vous étiez dans la ligne, frère ? Ne - n'ayez plus peur. Allez-y. Tout va bien. Vous étiez en train de prier. Etait-ce la vérité, tout ce qu'Il a dit? Est-ce la vérité ? Que Dieu vous bénisse donc.

99.       Approchez. Croyez-vous ? Vous souffrez sérieusement des nerfs. Cela vous cause beaucoup d'ennuis. Une chose, c'est l'absorption dans votre estomac. Vous souffrez de troubles gastriques. Cela est dû à la nervosité. Vous ne digérez pas votre nourriture, la graisse et tout. C'est vrai. Croyez-vous maintenant ? Je deviens très faible. Voudriez-vous simplement approcher ? Père, je bénis la femme que Tu… ne… faire ce miracle. Qu'elle soit guérie au Nom de Jésus. Amen. Ne doutez pas ; croyez tout simplement.

            Voulez-vous approcher, madame ! [Frère Branham parle à quelqu'un. " Ne vous éloignez pas trop. " - N.D.E.] Juste un instant, sœur. Croyez-vous de tout votre cœur ? Acceptez-vous que je suis Son serviteur ? Eh bien, l'Ange a dit : "Si tu amènes les gens à te croire… " Il ne s'agit pas de croire en moi comme en Eux, Dieu, le Saint-Esprit, mais de croire qu'Ils m'ont envoyé. Voyez-vous ? Ce n'est que de cette manière que je peux vous aider, si vous me croyez. Si vous n'avez pas la foi pour croire que j'ai dit la vérité au sujet du Seigneur, je ne pourrais pas vous aider. Si vous croyez cela, alors je peux vous aider. [La sœur dit : " Je crois. " - N.D.E.] Croyez-vous ? Alors vous n'aurez plus ces troubles féminins… ?… Maintenant, vous pouvez partir et être rétablie.

            Disons : "Grâces soient rendues à Dieu. " [L'assemblée dit : " Grâces soient rendues à Dieu. " - N.D.E.]

100.     Approchez, mademoiselle. Je voudrais vous demander quelque chose. Regardez ici juste un instant. Faites-moi voir… Tournez-vous vers l'auditoire. Environ soixante pour-cent des gens dans cet auditoire souffrent de la même chose que vous. Il vient de l'auditoire comme un grand rugissement. Vous êtes nerveuse, n'est-ce pas, sœur ? Des fois vous n'arrivez simplement pas à vous maintenir. Des fois vous vous dites que vous pourriez pratiquement vous donner la mort ; vous vous demandez ce qui va se passer. Et dans votre expérience religieuse et ainsi de suite, vous n'avez jamais été tout à fait satisfaite. Vous vous êtes toujours demandé ce qu'était… C'est juste. C'est vrai.

            Et vous avez désiré une marche plus intime avec Lui. Et puis des fois Satan vous a dit, tout récemment, quand vous étiez toute seule en chambre, il a dit : "Tu as traversé la ligne. " Je ne suis pas en train de lire votre pensée, mais c'est la vérité, n'est-ce pas ? Voyez-vous ? Il vous a menti, sœur. Vous êtes guérie à l'instant même. Voyez-vous ? Vous n'êtes pas tenue de… ?… Partez en vous réjouissant. Et, ô Dieu, que cette malédiction démoniaque qui a été sur cette enfant sorte et s'en aille, et qu'elle soit remplie de Ton Esprit, au Nom de Jésus. Amen.

101.     Ayez la foi. Maintenant, vous… En réalité, vous n'avez pas besoin que l'on prie pour vous. Vous aviez la même chose. Voyez-vous ? Ce sont des troubles nerveux qui vous dérangent. Permettez-moi de vous montrer quelque chose. Que tous ceux qui sont dérangés par des troubles nerveux lèvent la main là-bas. Voyez-vous cela ? Que Dieu bénisse votre… Jésus qui peut guérir directement ici peut guérir directement là. Ne croyez-vous pas cela ? Que tous ceux qui souffrent des troubles nerveux se mettent debout juste une minute.

Je vois quelque chose. Tenez-vous ici juste un instant. Approchez. Restez debout. Croyez-vous ? Si je suis prophète de Dieu et que j'ai représenté Jésus correctement, et que je déclare qu'Il a donné un don selon lequel je m'abandonne à Lui, et que votre foi peut me dire ce qui ne va pas en vous, croirez-vous cela ? L'anémie et une maladie de femme. Eh bien, tous ceux là-bas qui ont l'anémie, levez-vous, tous dans la salle. Levez-vous, vous qui souffrez de l'anémie, d'une maladie de femme. Levez-vous. Tenez-vous juste ici, juste une minute.

102.     Approchez, madame. Occupez simplement la même place que vous aviez, car vous souffrez de cette même maladie, l'anémie. Tenez-vous juste là une minute. Restez simplement debout ; vous allez voir quelque chose dans un instant.

            Si ces démons là-bas crient demandant du secours ici, si cela doit quitter ici, il est aussi vaincu là-bas. Ayez la foi. Crois-tu ? Si tu peux croire, tout… Restez juste là.

C'est facile pour Jésus de guérir l'arthrite et tout, n'est-ce pas ? Croyez-vous cela ? Maintenant, que tous ceux qui souffrent de l'arthrite lèvent la main là-bas. Restez simplement debout, vous qui le pouvez ; vous qui ne le pouvez pas, placez la main sur votre cœur. Ayez foi en Dieu. La même chose. Cela est allé juste derrière vous, elle avait la même chose. Disons : "Grâces soient rendues au Seigneur. " [L'assemblée dit : " Grâces soient rendues au Seigneur. " - N.D.E.]

103.     Je crois que quelque chose doit arriver maintenant. La dame… Ici, c'est juste au-dessus d'une dame. Cela descend juste ici. Ayez la foi. Croyez. Amenez la patiente.

Approchez, madame. Croyez-vous que je suis… Juste un instant. Je saisis en même temps… Combien souffrent des troubles cardiaques, levez-vous, vous qui souffrez de troubles cardiaques. Cette femme aussi a des troubles cardiaques. Ayez la foi. Tenez-vous ici juste un instant. Croyez cela. Approchez. Est-ce le bébé, sœur ? Tournez-le par ici. Très bien. Retournez et l'asthme, la toux… Que tous ceux qui souffrent de l'asthme se lèvent juste une minute. Voulez-vous bien le faire ? Juste une minute.

104.     Qu'y a-t-il dans ta main ? Satan est vaincu. Il est exposé, chrétiens. Qu'en est-il de cela ? Aucun d'entre vous n'essaie de quitter ce lit de camp, le diable vous vole. C'est une maladie mentale. Le diable dit que c'est une maladie mentale. Ne le croyez pas. Jésus-Christ triomphe de la maladie mentale. Il chasse de vous le diable. Si j'étais à votre place, je me lèverais dans ce petit lit - de ce petit lit, et accepterais ma guérison, et croirais et aurais foi en Dieu.

            Et vous autres, quelle que soit la chose qui cloche en vous, tout disparaît. Il semble vraiment que tout devient laiteux partout. Posez vos mains les uns sur les autres. Vous allez… Le voici. C'est cela. Voilà que ça part. Oh ! Satan, tu es vaincu. Jésus-Christ, l'Omnipotent, le Dieu Tout-Puissant… ?… tous ces gens guéris. Sors !

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